Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.
Donc, dans les années 1960, des Américains ont créé sous le Groenland une ville guerrière : “Iceworm”, à partir de laquelle ils ont prélevé des carottes glacières, qu’ils ont ensuite laissées dans un congélateur au Danemark. Normal.
Récemment, en 2019, des scientifiques ont retrouvé les carottes. Surprise, au début du dernier million d’année le Groenland était une prairie, c’est ce que racontent les carottes, pas de glace, une prairie.
Il semblerait qu’il y ait un consensus scientifique pour dire qu’en ces temps reculés il n’y avait ni Mercédès au fioul, ni camion, ni rien du tout ou pas grand-chose comme trace humaine sur notre brave terre. Qui est donc capable, toute seule, de faire fondre les glaces de l’Arctique.
Les personnes ordinaires, comme moi, se disent : “Si l’arctique a déjà fondu seule, pourquoi serions-nous responsables d’une nouvelle fonte, en admettant qu’elle ait bien lieu ?”
Soyons clairs, il ne faut pas se dire ça. Le concept est le suivant : “Si l’Arctique a déjà fondu il est tout à fait normal de penser qu’elle peut refondre, et là ce ne peut être que de notre faute.” Pourquoi ? Question inutile, déjà répondu…sortez un peu…
Alors, changeons notre fusil d’épaule. OK, on déconne avec nos bagnoles et cette fois c’est nous qui allons réchauffer la planète et faire fondre la glace.
Difficile d’avoir le droit de penser autrement, il faut le reconnaître.
Mais la chose étant acquise, reste donc à se préparer à lutter contre la chaleur. On sait faire. On a alors besoin de fraicheur et d’eau.
Pour la fraicheur : climatisation, pour l’eau : désalinisation.
Pour habiter des pays inhospitaliers, il faut soit accepter les modifications génétiques qui ne manquent pas de se faire en quelques centaines de milliers d’années, soit avoir de l’énergie pour compenser les dures lois de la nature.
Donc, la conclusion logique parait totalement contraire aux projets à la mode.
La mode consiste à ne pas fâcher la nature, à compter sur elle pour nous refiler un peu de son énergie grapillée sur les vents et le soleil. Est-ce raisonnable en fonction de ce dont nous allons avoir besoin ? Je crains que non.
Nous devrions-nous pas nous donner les moyens de fabriquer une énergie d’une puissance beaucoup plus forte que celle que nous fabriquons aujourd’hui en brulant du pétrole ? Par exemple genre énergie atomique ?
Non, là ce n’est tout simplement pas possible.
Pourquoi ? Mais parce que dès qu’une énergie puissante est découverte, il y a toujours des cons pour en faire d’abord une arme de guerre.
Parce que voyez-vous, l’homme est avant toute chose un pillard. Il ne rêve que de soumettre son voisin, de lui prendre tout ce qu’il a de plus que lui, y compris sa femme si elle plus jolie que la sienne.
Alors l’idée de centrales atomiques, ou autre énergie puissante et disponible dans le temps, trouveront toujours une bande d’arriérés pour la transformer en bombe mortelle et soumettre leurs voisins.
La conclusion est terrible.
L’humanité va avoir besoin, cela parait incontournable, d’une énergie puissante, abondante, pour lutter contre la nature, qui lui a depuis toujours été défavorable, et qui ne va pas manquer de l’être de nouveau si l’on en croit nos matheux devins.
Or le bordel politique mondial, issu de croyances toutes plus débiles les unes que les autres, ne permet pas de laisser à porter de main des maniaques du pouvoir une énergie puissante qu’ils ne manqueraient de transformer en arme de guerre.
Cette énergie doit donc être la propriété de l’humanité, pas de quelques-uns.
Ce qui implique un pouvoir mondial, au moins pour la création et la gestion de cette énergie.
Aujourd’hui je souffle un peu, après une quinzaine en surchauffe où je suis témérairement monté au filet en espérant crucifier le fisc d’un smatch parfaitement ajusté qui malheureusement n’a servi à rien, l’arbitre était un vendu. Je reprends des forces pour le prochain set.
Etant à Montpellier pour des raisons mineures, je dis à mon épouse : “Et si nous allions nous faire vacciner ?”
Pourquoi pas, répond-elle. Nombre de nos relations sont vaccinées, nous n’entendons pas dire qu’elles seraient victimes d’une hécatombe, et le pic de contagion se rapprocherait.
Nous décidons donc de voir si cela est possible.
Nous appelons la plateforme dédiée qui nous répond qu’elle est débordée et que de ce fait elle ne répond pas. “Plus tard dit-elle…réessayez.”
Ce qui ne s’obtient pas par la force oblige à employer la ruse. Donc nouvel appel, répondeur, déroulement des différentes options et des numéros qui vont avec, jusqu’à la dernière qui vous incite en désespoir de cause à patienter : “un opérateur va vous répondre … puisque vous êtes trop débile pour choisir une de nos intelligentes options.”
L’opérateur répond, c’est une gentille opératrice. Je lui demande s’il y aurait de la pace dans un centre de vaccination à Montpellier ou pas très loin.
Si fait, il y a justement de la place à la clinique Saint Jean.
Nous y allons.
Une splendeur la clinique Saint Jean, un mélange de Versailles, Notre-Dame et Sainte Sophie, mais architecturée “façon uniformité des écoles d’architecture”.
Au fond d’un couloir, lui-même au fond du spectaculaire hall d’entrée type hôtel de Las Vegas, une petite salle d’attente occupée par deux ou trois vieillards cacochymes.
En face deux portes, une pour les piqures, occupée par une seule opératrice ; l’autre pour la propagande, occupée par deux personnes, une secrétaire et un personnage sans doute considérable mais sans marque distinctive.
Je frappe à la deuxième. Pas de réponse. Je pousse un peu le battant.
La secrétaire est surprise : “C’est pourquoi ?” Pour un cornet de frites, évidemment.
J’explique donc que j’ai appris qu’ils avaient des vaccins et pas de client, que donc je me proposais pour écouler le stock.
“Comment, comment ? d’abord qui vous a dit ça ?”
“Et bien la plateforme” Cette chose essentielle à la vie en société : “la plateforme”, vous voyez, un truc basé on ne sait où, qui fait semblant de comprendre votre problème mais qui en réalité s’en fout complètement étant à des centaines, voire des milliers de kilomètres de là.
“Attendez, attendez, je vérifie” dit la gentille secrétaire qui en sait moins que la “plateforme”.
“En effet, nous avons des disponibilités immédiates pour les plus de 75 ans” Ce qui est mon cas. Bingo.
Ça roule. Le personnage considérable se désavachit sur son siège, je sens que l’interrogatoire santé va être poussé. Il ne crie pas Léon et les plumes de son derrière ne font pas la roue, mais avec un peu d’imagination… y a de ça.
C’est à cet instant précis que tout va s’écrouler.
Je dis : “C’est parfait, mon épouse aussi est là, plus jeune elle n’a que 72 ans, mais elle est aussi OK pour écouler le stock”.
Là le chef se bloque. “C’est impossible, les moins de 75 ans doivent être mourants pour recevoir le vaccin. Est-elle mourante ?”
Ben non. Il ne me dit pas de revenir quand elle sera mourante, mais il le pense visiblement.
J’ai le malheur de répondre : “Ah oui, suis-je bête, sous ce régime communiste il faut bien des règlements inhumains. Car enfin, je vis et partage tout, le bonheur comme le malheur, avec mon épouse depuis cinquante cinq ans, et vous voudriez que là ce jour, je sorte de chez vous avec le privilège du vaccin pendant qu’elle resterait exposée. Vous voulez introduire chez moi l’injustice ? Vous n’y pensez pas, pas même en rêve.”
Je suis devenu Charlie, le mot “communiste” a été dévastateur, et encore je n’ai pas dit “égalitariste”. J’avais blasphémé, il fallait partir.
Nous sommes donc partis, en nous gondolant comme des adolescents et en croisant les doigts pour que le Dieu des cons ne nous colle pas COVID par vengeance.
Je ne sais pas vous, mais moi j’ai deux hantises, deux peurs absolues, ce sont la croyance et la certitude. C’est un peu la même chose, seule la source les différencie, la croyance vient de l’extérieur, la certitude vient de l’intérieur.
Donner la mort s’appuie sur les deux à la fois. J’ai voté Mitterrand, cet homme si à l’opposé de mon raisonnement, uniquement parce qu’il était porteur de la suppression de la peine de mort. Prendre le risque de couper la tête d’un innocent est pour moi la pire des ignominies. Rien ne vaut ce risque, qui rapidement se transforme en indifférence générale pour la vie des autres.
Ne pas respecter la vie des autres est une conséquence des croyances et des certitudes. Le doute et le raisonnement, les deux piliers de l’intelligence, sont les seuls outils qui protègent la vie, mais ils ne protègent pas des indélicats, des escrocs, des truands, au contraire ils exposent à ces parasites.
Où les choses se compliquent c’est lorsque l’on prend conscience que ces évidences ne le sont pas vraiment dans les faits ; que l’opinion publique est traversée par les mêmes contraintes : croire et devenir conne et dangereuse, douter, raisonner et s’exposer à la prise de pouvoir par les escrocs.
Est-il utile de revenir sur ces grandes croyances qui ravagent l’humanité ? Un érudit pourrait s’attaquer à l’encyclopédie des croyances à travers les siècles et les sociétés, il ferait œuvre utile.
A mon petit niveau quelques exemples ordinaires. Je constate le grand mensonge de l’église : feindre d’ignorer la sexualité, pour devenir le nid des perversions sexuelles. Le grand mensonge du collectivisme : feindre d’apporter le confort matériel équitablement, pour devenir le lieu de la pénurie et de l’égoïsme exacerbé. Le grand mensonge de l’âge de la sexualité : prétendre qu’une cloison étanche existerait entre les moins et les plus de dix huit ans, pour devenir une excuse au mal être de certains qui accusent, utilement pour eux, le manque d’étanchéité de la fameuse cloison, alors que la littérature et la vie sont remplies des émotions liées à ce mensonge, au plus haut niveau aujourd’hui.
Ai-je réussi à transmettre mon dégout des croyances et des certitudes, ma passion pour le doute, le raisonnement et par conséquences l’importance que je donne à la conscience de l’erreur ?
L’erreur qui nous accompagne en tout, qui est la source de nos progrès, dont l’analyse est essentielle à la vie.
Nous avons tous souffert de ces abrutis qui ne se trompent jamais, qui avancent en écrasant tout sous les bottes de leurs certitudes.
Nous souffrons tous, des églises liées aux croyances des escrocs qui en prennent la tête pour assouvir leur envie de pouvoir et de privilèges, des technocrates hommes de l’église égalitariste qui nous gouverne.
Et Flory dans tout ça ?
Il propage la mort fiscale. Il exécute les condamnés fiscaux. Son service, dont il est évidemment responsable, passe son temps à poursuivre, à harceler, ceux qui ont été préalablement déclarés fraudeurs fiscaux.
Il n’y a pas plus de place chez lui pour le doute qu’il n’y en avait chez Fouquier-Tinville : ” Ce n’est pas moi qui devrais être traduit ici, mais les chefs dont j’ai exécuté les ordres. Je n’ai agi qu’en vertu des lois portées par une Convention investie de tous les pouvoirs. Par l’absence de ses membres, je me trouve le chef d’une conspiration que je n’ai jamais connue. Me voilà en butte à la calomnie, à un peuple toujours avide de trouver des coupables.”
A l’audience du Lundi 15 Mars, dont au risque de paraître immodeste j’ai publié ma plaidoirie, M. Flory a déclaré à la barre : “Je me demande ce que je fais ici ?”
Était-ce une provocation ou un éclair de lucidité ? Je ne sais pas.
Je sais par contre que je meurs victime de la croyance égalitariste qui couvre les pillages journaliers des Services Fiscaux.
Je sais que nous sommes des millions dans mon cas, je sais que la croyance interdit à ces millions de souffrants de comprendre leur souffrance, de lutter pour en éradiquer les causes.
Ainsi les milliers de courriers de menaces et ATD divers, expédiés par les services de M. Flory tous les ans, qui tombent dans des foyers la plupart du temps en difficulté, très souvent de façon totalement injuste parce que le contrôleur fiscal a agi sans contrepouvoir, dans une indécente impunité, n’ébranlent pas les certitudes de Flory.
Enfin pas complètement, car il y a un petit doute.
Je ne suis ni psychiatre ni psychologue, mais de ce que j’observe Flory ne me parait pas aussi cynique et monolithique que l’exigerait sa fonction. Je ne dirais pas qu’il a la poésie à fleur de peau, mais bon…
Flory peut-il être un Saul inversé ? Qui découvrirait sur le chemin des tribunaux — parsemé de certitudes comme pour le magistrat de lundi, mais aussi de doutes comme pour d’autres magistrats que j’ai eu l’occasion de croiser — que la croyance est le poison, que le doute et l’acceptation de l’erreur sont indispensables à la vie ?
La suite, en appel, nous le dira.
Bien à vous. H. Dumas
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M.L.P.S Mouvement pour la Liberté de la Protection Sociale 165, rue de Rennes 75006 PARIS
Communiqué du 17 mars 2021
La Commission européenne met fin au déni français !
La confirmation par la Commission européenne que la directive 2009/138/CE du 25 novembre 2009 (considérant 84 et article 206) permet aux assurances privées de se substituer aux assurances fournies par les régimes de sécurité sociale met un terme au déni des autorités françaises de la réalité de l’abrogation du monopole de ces derniers.
La loi française qui permet aux assurances européennes de couvrir tous les risques en France date du 4 janvier 1994. Il y a donc 27 ans que la République française prive ses citoyens, et notamment ses entreprises, du bénéfice de ces dispositions qui, mettant la Sécurité sociale en concurrence, permettent une diminution substantielle de leurs charges et relancent l’économie.
La responsabilité de ce scandale, au-delà de celle des politiciens, incombe aux juges. Ils n’ont aucune excuse, sinon celle de la lâcheté, car deux d’entre eux, dès 2004, avaient appliqué les lois nationales transposant sans la moindre ambigüité les directives européennes. Ces magistrats ne sont pas morts. M. Thierry Brunet est aujourd’hui vice-président du tribunal judiciaire de Marseille, et Mme Véronique Compan est procureur adjoint du tribunal de Nîmes. Il est loisible à tout citoyen de prendre connaissance de leurs jugements, et à tous les magistrats de prendre leur attache.
Tout résident en France est libre de ne pas adhérer à la Sécurité sociale. Ces simples mots auraient dû être prononcés par MM Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron, et par n’importe quel magistrat ayant à en juger. Tous ces hommes et ces femmes ont trahi l’Europe et la France. Certain sont morts. L’histoire les jugera. Pour les autres, il reste l’action récursoire qui permet de rendre les juges fautifs responsables sur leurs deniers propres.
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Nous avons passé, Flory l’exécuteur de Bercy dans l’Hérault, l’homme des recouvrements, et moi le “fraudeur fiscal”, la plus grande partie de l’après-midi ensemble à la Chambre Correctionnelle du TJ de Montpellier.
C’est un homme charmant, calme, posé, genre Saint Just la beauté en moins, intelligent sans doute, mais un croyant pur et dur.
Il croit ou fait mine de croire que le Tribunal Administratif fonctionne, que la vie que nous avons, faite de confort et de beauté, est l’œuvre qui justifie les pillages fiscaux, qu’il ignore, tout étant, d’après lui, en règle dans son bisness.
Le TJ de Montpellier pense la même chose qui m’a condamné à 2000 € de je ne sais quoi plus 2000€ à Flory pour préjudice moral et un petit quelque chose pour les frais d’avocat.
Le harcèlement fiscal n’est pas en voie de reconnaissance, les harceleurs sont félicités et les harcelés condamnés.
Pensant faire preuve de servilité et de carpette à Bercy, en collabo zélé O.V.H, en fermant notre site nous a sauvé la vie (preuve que Dieu existe). https://temoignagefiscal.com/dieu-exsiste-jen-ai-la-preuve/
Bercy n’avait demandé que la suppression de certains articles.
O.V.H pour lui complaire un max nous zappe.
Les clients et futurs clients devraient s’interroger sur la proximité d’O.V.H avec Bercy.
Ce qu’ils nous ont fait, ils pourront le refaire à d’autres en fonction de leur intérêt « supérieur ».
Nous ne savions pas qu’un hébergeur (O.V.H) pour faire plaisir à Bercy (ou pour toute autre raison) pouvait fermer un site, en l’occurrence le nôtre.
D’un claquement de doigts.
Nous ayant viré sans préavis et malproprement, nous avons donc dû trouver un autre hébergeur, et pour éviter toute possibilité de « repetitas » nous nous sommes expatriés.
Nous avons dû et pu rapatrier 90% de notre matériel chez notre nouvel hébergeur.
Le bordel créé par O.V.H après notre mise à la porte a duré environ une semaine.
Cela a été pour nos lecteurs et pour nous assez perturbant mais ce n’est rien à côté de ce que nous aurions subi si O.V.H n’avait pas été un collabo ultra servile et zélé.
Ce qui est catastrophique, comme le souligne l’article dessus, ce sont les données des entreprises hébergés par « On Vous Héberge » qui ont dû disparaitre dans les flammes.
Pour certains cela sera cataclysmique et peut-être insurmontable car ils ne pourront les reconstituer.
Merci O.VH.
Sachant donc que nous avons évité le pire en sauvant notre mémoire, ce qui n’aurait pas été le cas si OVH ne nous avait pas viré comme des pestiférés nous ne pouvons que remercier notre chance (« La Fortuna » comme disait Jules César) de nous avoir évité la catastrophe.
Pas de « Fortuna » pour O.V.H.
Dommage.
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Bizarre non? Cela ne mérite-t-il pas un petit contrôle fiscal de derrière les fagots?
Le 18 février 2021, OVH l’hébergeur de notre site décidait de le fermer sans nous prévenir. https://temoignagefiscal.com/fournel-brabant-et-rombaut-font-fermer-notre-blog/ OVH avait reçu une « injonction » du TJ de Paris à la demande des dirigeants de Bercy qui trouvaient que notre blog commençait vraiment à leur pomper le mou et demandaient la suppression de certains articles de Henri Dumas qu’ils trouvaient par trop attentatoire à leur image de marque. Ce n’est pas le pas la première attaque de Bercy contre notre blog et celui-ci avait toujours pu les supporter. C’était ce coup-ci sans compter sur la servilité gluante d’OVH. Comme dans toutes les guerres ou les dictatures, il y a les résistants et les collabos. OVH avait choisi son camp. Celui du pouvoir, en espérant que Bercy, dans l’avenir, saurait se souvenir de son rôle de paillasson et lui évitera, un jour un contrôle fiscal. Ce qu’il oublie dans sa naïveté de collabo, c’est que Bercy, malgré sa servilité et son obséquiosité d’aujourd’hui ne lui fera aucun cadeau. Il ne fait pas parti du sérail et passera donc à la gamelle comme tout un chacun quand le curseur s’arrêtera sur son entreprise et ses dirigeants.
OVH pour prouver son ralliement inconditionnel à Bercy, décida de faire encore plus fort : il ferma carrément notre blog pensant toujours acheter un ticket gagnant pour son avenir. Souvent les « B.O.F » ou les ralliés sont prêt, pour montrer leur « bonne foi » à vous tirer une balle dans la tête alors que celle-ci n’est pas demandée.
Et paf, la justice « divine » est arrivée et a déclenché les feux de l’enfer sur OVH. Et paf, tout a cramé. Dieu existe donc bien, non ?
PS: Futurs clients d’OVH …
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Avec l’épidémie du coronavirus, la France connaît son chemin de croix. Chaque épisode est marqué par l’incapacité de l’Etat à jouer son rôle, qui est avant tout de protéger le pays et ses citoyens.
Nous en sommes à présent à l’épisode de la vaccination, qui est un échec de plus. Car ce sont moins les vaccins qui manquent que les vaccinateurs. Certes ils sont en nombre plus que suffisant, mais ils reçoivent des ordres si contradictoires des autorités sanitaires que plus personne ne sait ce qu’il doit faire.
L’épidémie se poursuit donc et l’on n’aperçoit pas le moment où l’on pourra reprendre une vie normale … et commencer à réparer les terribles dégâts subis par l’économie.
Il est temps que des voix s’élèvent pour appeler à la désignation de nouveaux dirigeants de notre pays, à commencer par le premier d’entre eux.
M. Macron n’a jamais compris le véritable état du pays. Il a cru que quelques pirouettes technocratiques le remettraient en ordre de marche, alors que plus rien ne fonctionnait dans les rouages de l’Etat et que celui-ci faisait payer une fortune aux citoyens pour son exécrable service.
Henri Dumas a pris cette semaine l’initiative de créer un nouveau parti politique qui aura pour rôle de trouver un candidat à l’élection présidentielle de 2022 afin d’y incarner nos droits fondamentaux à la sécurité, à la justice et au marché.
J’avais moi-même lancé un appel dans ce sens le 27 février dernier. C’est dire que je soutiens sans réserve l’initiative d’Henri Dumas.
Nous savons tous qu’il ne suffit pas d’un bon président pour redresser notre pays, mais cela reste fondamental dans une démocratie marquée par l’élection de celui-ci au suffrage universel. Et même si celui (ou celle) que nous soutiendrons n’est pas élu, il aura affirmé les idées du renouveau et préparé l’avenir.
Beaucoup de Français, et Henri Dumas lui-même, pensent qu’une insurrection se justifierait, mais on sait que la violence aboutit plus souvent au chaos qu’à des réformes. Si violences il doit y avoir, elles seront le résultat d’un enchaînement d’erreurs du pouvoir et d’une exaspération des citoyens beaucoup plus que d’un mouvement planifié.
Henri Dumas propose le nom de Fédération de la France Réelle (FFR). On pourrait en imaginer beaucoup d’autres, mais celui-là est aussi valable que n’importe lequel et l’important est d’en avoir un. Alors va pour la FFR !
Notre action devra viser à la simplicité, c’est-à-dire au respect de nos droits fondamentaux. Parmi les réformes que nous devrons mettre en œuvre, il en est une qui sera décisive et qui permettra aux Français de ne pas être frappé du harcèlement législatif qu’ils subissent en permanence. Elle consistera à limiter l’activité parlementaire à une session unique de trois mois par an. Ce sera largement suffisant pour gouverner un pays qui a besoin de liberté plus que de toute autre chose.
Je n’irai pas plus loin dans les propositions, tant je suis certain que tout le bien que nous souhaitons à la France s’inscrit sans difficulté dans le triptyque sécurité- justice-marché.
Le pire serait de ne pas essayer. Abandonner le terrain à la sinistre cohorte qui l’occupe depuis des décennies serait se condamner à ressembler aux pays du bloc soviétique où le seul plaisir qui restait à leurs malheureux habitants était la vodka jusqu’à l’abrutissement. Nous n’en sommes plus très loin en France, tant l’Etat abuse de son pouvoir à la faveur de l’épidémie. Honte à moi : je viens de découvrir que les résidents des Ehpad n’avaient depuis un an pas le droit de sortir. Si cela m’avait jusqu’à présent échappé, ce n’est pas que je sois inattentif à la vie de mon pays, c’est que le gouvernement et les médias n’en avaient que peu parlé. Il est vrai que personne ne pouvait être fier d’un pays qui en est arrivé à mettre en prison les vieillards !
Eh bien, cela finalement ne m’étonne pas. J’ai passé les trente dernières années à alerter l’opinion sur les méfaits du système de retraite par répartition, qui allait finir pas priver de pensions tous ceux qui ont eu la malchance de naître dans un pays où la natalité et l’activité ne suffisaient plus à garantir les besoins de ceux à qui on avait généreusement attribué des droits qu’on savait ne pas pouvoir honorer. Le drame est là. Et l’enfermement des personnes âgées est le châtiment infligé à ceux qui n’ont pas réussi à enfermer en prison les gouvernants irresponsables et criminels qui les mettaient dans cette situation.
« Les civilisations ne meurent pas assassinées, elles se suicident. » La célèbre phrase d’Arnold Toynbee est celle qui peut le mieux guider notre action. Nous ne voulons pas le pouvoir. Nous voulons que la France vive !
Claude Reichman
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Le Droit à la sécurité des personnes et des biens.
La sécurité des personnes est un primal de droit régalien : faire en sorte qu’une action de police puis de justice puisse répondre rapidement avec des sanctions dures voir lapidaires, afin que la peur change de camp.
N’oublions pas que nous, occidentaux, par notre histoire étions capables des pires inquisitions et exécutions. Il ne s’agit évidemment pas de tomber dans ce registre légal mais le malveillant à l’atteinte d’une personne ou d’un bien de celle-ci doit comprendre qu’il va être rayé de la charte de notre société.
Définitivement ? La peine de mort sous la nouvelle législature Mitterrand a été abolie sous les couverts du doute et de l’humanité. A l’époque quant au doute, la police scientifique était bien démunie, ce qui n’est absolument pas le cas aujourd’hui. D’autres juridictions de nations actuelles n’ont aucun état d’âme.
La sécurité des personnes, c’est aussi la possibilité de les soigner et de les accompagner dans leur fin de vie. Est-ce un droit régalien ? Bien sûr que non. Alors pourquoi un monopole de régence des soins administré de manière verticale ? Quand les personnels dédiés se mettent en grève ?
Le Droit à la justice
L’URSSAF fait ce qu’elle veut, en grand inquisiteur, avec un fondé de pouvoir non limité. Une Gestapo en quelque sorte. En clair, il s’annonce pour la visite de votre entreprise et va vous redresser pour son dérangement par le lexique du Code du Travail de plus de trois mille pages et le Document Unique des règles CHST qui doit être à jour, et ceci à tout instant.
Farce de parasites qui surfent sur ceux de monter sur une échelle sans une formation adéquate.
Le Fisc est plus conciliant, non pas à le rembarrer dans ses droits vis-à-vis des lois en vigueur, comme l’a fait le taulier de ce site. En effet, j’ai eu affaire à un contrôle fiscal sur une de mes sociétés et cela s’est très bien passé en regard des questions et des réponses.
Néanmoins, nous avons affaire avec des juridictions d’exceptions et non de droit commun. Comment voulez-vous qu’un Etat ne règle pas des questions de communauté par des lois d’exception pour se maintenir ? A contrario, comment pouvons-nous en dévier ? C’est toute la question.
Le droit du marché
Le marché entre une offre et une demande doit être régulé, c’est évident, sinon c’est l’aventure. Mais régulé ne veut pas dire capté par des connivences pour servir des obédiences.
Par exemple quel marché peut imposer la SNCF en seule force de moyens de transport ferroviaire ? Quel marché peut nous imposer les éoliennes et panneaux solaires en seule force d’énergie ou même alternative à des forces concurrentes comme le nucléaire ?
Vous le savez ou pas, les marchés les plus régulés au monde sont ceux des transactions financières. Et pourtant, on peut y faire ce qu’on veut à ses risques et périls. Ce sont les marchés sans que l’Etat n’y puisse faire quoi que ce soit, sauf pour passer à la caisse évidemment sise France et moindre bien ailleurs.
L’Etat français n’a pas d’autre vocation que de se servir sur les richesses créées – valeur ajoutée, par des preneurs de risques, considérés comme des détritus d’une société égalitariste promue en irresponsabilité récurrente et captive d’un clientélisme non démocratique, mais préfabriqué par un lycée qui ne lit plus que Piquetty au lieu des axes autrichiens ou américains libéraux ou même français à la marge de l’esprit des lumières.
En conclusion
Si cette force politique naissante veut s’adjoindre les apports de Simone Wapler et faire du Thatcher, j’en suis.
Bien à vous
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Il est temps d’agir, tout le monde en a conscience, mais peu vont dans le même sens.
Cela tient au fait que les cartes sont brouillées, volontairement ou involontairement, par les relais d’opinion officiels ou officieux. Les informations se superposent et se complexifient artificiellement créant un dense brouillard intellectuel et factuel dans lequel peu de radars arrivent à tracer la route.
N’y voyez aucune prétention — juste la chance de ne plus être impliqué dans rien, grâce à Bercy qui m’a isolé en me traitant de fraudeur fiscal – je me propose de vous soumettre la vérité vraie, toute nue, toute simple.
La voici
Au XIXe siècle nait une émotion humaniste légitimant, à juste titre, la lutte de la classe ouvrière alors particulièrement mal traitée. Elle prend le nom de communisme.
Cette émotion, à la suite d’un de ces hasards dont raffole l’histoire des hommes, a pris le pouvoir politique en Russie.
Elle échouera. Jamais une émotion, fût-elle belle et juste, n’a été en mesure de permettre de gouverner une nation.
En revanche cette émotion va rencontrer son église. Sakharov l’a explicité sans équivoque, plus que le communisme c’est la bureaucratie qui a brutalisé les russes.
Proposition d’explication
Les belles idées d’amour du prochain et d’égalité entre les hommes, chères à Jésus Christ, ne pouvaient qu’aboutir à la monstruosité d’une église bâtie sur ces noblesses, mais les deux pieds dans le triste réel de l’humain, qui nous a harcelé pendant deux mille ans.
De la même façon le communisme ne pouvait que, disparaître comme toutes les émotions y compris les plus belles, ou servir de noble cause à une église elle aussi fatalement monstrueuse puisque chargée d’imposer le dogme.
Le résultat
Toutes les églises imposent un dogme, toutes les églises sont des tortionnaires, à minima intellectuels, le plus souvent aussi physiques.
Toute structure qui écrase l’individu, qui ne respecte pas sa liberté d’être, de penser et de posséder, commet un crime contre l’humanité.
La bureaucratie russe a inventé l’église communiste, qui en s’adaptant au monde économique libéral est devenue l’église égalitariste.
Le but de toutes les églises est de prendre le pouvoir, d’abord pour le plaisir de l’exercer, ensuite et éventuellement pour imposer une vision uniforme de la vie, une croyance.
L’église égalitariste a sa croyance : l’égalité matérielle. Elle a ses officiants : les technocrates.
Vu sous cet angle, tout s’explique y compris les alliances de cette église avec l’économie. Aussi les différentes obédiences en cours, dont par exemple l’écologie.
Cette église est mondialiste. La technocratie égalitariste parle toutes les langues — dont le camembert et la courbe — vit sous tous les cieux, est universelle.
Egalitariste et dogmatique, elle ne peut que pratiquer le pillage et la censure intellectuelle. Deux monstres.
Au final, un constat, l’individu en tant que tel disparait.
La France, très tôt touchée par le phénomène, a retranscrit cette disparition dans sa constitution.
En effet si la constitution en vigueur — du bout des lèvres et dans son préambule — se réfère à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, modèle universel de la liberté individuelle, c’est pour l’oublier très vite.
Elle n’a pas une ligne pour la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, qui elle pourtant prône la liberté individuelle avec raison, puisque pensée à la suite des folies déployées par les Etats patrons ayant abouti à la guerre mondiale de 1939.
A la place, notre constitution actuelle met en avant celle que nous nous sommes donnés le 27 Octobre 1946, qui est une ode à l’irresponsabilité individuelle, à l’Etat providence, donc au communisme et à l’évolution égalitariste de son église technocratique.
Ne parlons pas de la constitution de 1958 qui ne dit mot des libertés individuelles, qui simplement organise l’Etat conformément aux vœux du Général De Gaulle.
Nous sommes donc face au pire.
Nous avons le devoir d’agir, comme l’on fait nos ancêtres face au monstre ecclésiastique catholique.
Je suis incompétent en violence physique, donc il ne faut pas compter sur moi pour une insurrection, qui pourtant se justifierait.
En revanche je n’ai pas peur du débat politique, c’est donc sur ce terrain que je vous propose d’agir ensemble.
La proposition est simple
Nous créons un parti politique que nous appelons :
La FFR (Fédération de la France Réelle)
Ce parti prend l’engagements d’imposer trois droits dont vous verrez en y réfléchissant que tous nos actes peuvent trouver leur place dans ces trois droits :
– Le droit à la sécurité des personnes et des biens
– Le droit à la justice
– Le droit au marché
Nous avons un an pour faire vivre ce parti, trouver un candidat, avoir les signatures nécessaires et présenter ce candidat aux élections présidentielles de 2022.
Dans notre projet de société l’homme sera libre et responsable.
Le réel devra terrasser la croyance.
J’entends bien, les réflexions
– Mais pour qui vous prenez-vous ?
– Créer un parti politique ? vous n’y pensez pas.
– Un programme aussi restreint, comment le défendre ?
– Et le fric ? et l’organisation ?
Figurez-vous que je ne trouve pas tout cela bien sorcier. Déposer les statuts d’un parti, enfantin. Défendre une organisation simple, au service de tous, et rendre aux français leur liberté, pas du tout compliqué.
La vraie difficulté est tout autre. Il s’agit d’éradiquer la croyance égalitariste, de convaincre l’opinion publique du fait que la liberté et la responsabilité permettent d’arriver à tout, l’esclavage et le dogme à rien.
Personne ne me rejoindra ? Possible en effet.
Sauf lorsqu’il s’agit de tout casser, c’est rarement la foule qui entreprend.
Nous verrons bien. Dès que nous pourrons nous réunir, je vais louer une salle à Paris, je vous y inviterai, alors nous nous compterons.
Bien à vous. H. Dumas
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La campagne électorale pour 2022 n’est pas officiellement commencée mais les grandes manœuvres viennent de débuter et le microcosme, comme l’appelait R Barre, commence à bruisser des manœuvres et calculs préparatoires !
L’annonce d’un ralliement de LR à LREM et à E Macron
E Macron, ce n’est un secret pour personne, est déjà dans le calcul de sa réélection mais il est confronté à un double problème :
-L’érosion de son électorat, essentiellement de gauche, qui va lui faire défaut parce qu’en France, pays très marqué par l’idéologie socialiste voire gauchiste, E Macron, l’hyper étatiste autoritaire, est perçu comme un ultra libéral. Rappelons que 54% des français ont voté en 2017, au premier tour, pour un candidat anti capitaliste, communiste ou autre !
Au surplus, les électeurs de Macron sont essentiellement les salariés de la fonction publique (haute et basse) et beaucoup de fonctionnaires, (très) marqués à gauche et choqués par son « ultralibéralisme », ont déclaré ouvertement qu’ils ne voteraient pas Macron en 2022.
Par ailleurs, sa « stratégie » des comités citoyens (pour le climat), calqués sur le modèle de la période révolutionnaire et mis en place par pure démagogie, alors qu’ils ne sont ni représentatifs ni investis d’un quelconque pouvoir constitutionnel, se retourne contre lui dans la mesure où il se retrouve pris au piège entre les demandes complètements délirantes du comité, dûment cornaqué par des idéologues extrémistes de l’écologie, et les nécessités de la réalité économique. Fatalement, l’essentiel des propositions n’a pas été retenu parce qu’elles étaient irréalistes mais l’électorat écologiste conscientisé, de gauche, ne manquera pas de s’en souvenir et de crier à la trahison le jour venu !
– On sait qu’il y aura, encore une fois, une pléthore de candidats mais on sait aussi qu’E Macron, qui n’est ni de droite ni de gauche, juste jupitérien, et qui a du mal à se placer sur l’échiquier politique traditionnel français, a fait de Marine Le Pen son adversaire « institutionnel » faisant une application personnelle de la vieille maxime : « à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire … mais plus sûrement ! ».
Or, des sondages récents donneraient celle-ci première au premier tour ; ce qui traduit, en filigrane, une évolution de l’électorat aux effets imprévisibles. En effet, jusqu’à présent, tout candidat opposé à Marine Le Pen (ou à son père) était assuré de bénéficier du « front républicain » et du report massif des électeurs (voir J Chirac contre JM Le Pen en 2002 ou même 2017) au second tour. Or, les sondages montrent qu’une bonne partie des électeurs de gauche ou d’extrême gauche, qui ont élu Macron, ne revoteront pas pour lui et beaucoup estiment même qu’elle pourrait être élue !
Dès lors que l’on sait que les institutions françaises font que le président n’est élu que par 25% maximum des Français qui l’ont choisi au premier tour, la majorité du deuxième tour n’étant qu’une majorité par défaut, on mesure tout l’étroitesse de la marge de manœuvre qui reste à E Macron surtout si Marine Le Pen dépasse les 25% des voix au premier tour !
L’horizon se fermant à gauche, il lui faut donc absolument ratisser à droite … alors que même F Hollande, après avoir vertement critiqué le bilan de son successeur, en vient aussi à espérer un retour aux plus hautes fonctions.
On est dans la confusion la plus totale et l’inquiétude commence à gagner les rangs de la majorité de papier du président alors qu’il va falloir assumer les suites des dépenses insensées qui ont été faites depuis un an (le déficit budgétaire a été de 176Md€ en 2020 soit le double de celui de 2019 déjà catastrophique) et une situation économique dramatique dont il va bien falloir gérer les conséquences.
En d’autres termes, il va falloir dégager des ressources fiscales ; et les réformes des retraites et de l’assurance chômage en font partie. Or, à ce stade, le gouvernement se garde bien d’évoquer cette question et il apparaît douteux qu’E Macron ait, à ce jour, une vision claire du bilan qu’il va lui falloir « vendre » aux français !
En effet, une bonne partie des français redoute des hausses d’impôts, ou des diminutions de prestations sociales, pour payer l’addition et souhaite, conformément à une idée désormais bien établie, que ce soient les riches qui paient ; ce qu’E Macron refuse pour l’instant de faire notamment parce qu’il sait que de nouvelles mesures spoliatrices feront fuir le peu de riches qui nous reste !
Autant de sujets qui fâchent, voire de bombes à retardement, pour une population qui commence à être fatiguée des interdictions, oukases, revirements et autres inepties gouvernementales et qui considère E Macron comme le représentant de cet Etat fonctionnaire qui communique beaucoup mais peine à agir avec efficacité avec le dernier avatar des vaccinations !
Ainsi donc, après avoir dragué à gauche, il faut maintenant draguer à droite dans le plus style opportuniste et inciter les caciques de droite à le rallier … à tout prix !
Alors on fait courir des bruits, on prétend qu’une bonne part de l’électorat de droite serait prête à votre pour E Macron, on fait des promesses ; surtout que l’on sait que les airs de pipeau ont toujours eu un effet magique sur une partie de la population surtout politique … qui n’est jamais avare de combinaisons « audacieuses » voire de retournements de vestes impromptus !
On peut se rappeler que N Sarkozy n’avait pas hésité à faire de même, en sens inverse, en enrôlant plusieurs personnalités de gauche dans son premier gouvernement (B Kouchner, E Besson, JP Jouyet, M Hirsch).
Alors, on nous dit que plusieurs caciques de LR auraient appelé à une alliance avec E Macron. En l’occurrence, seul Ch Estrosi, maire de Nice, l’a fait …
Il faut donc faire la part des choses entre la manipulation de la part des macronistes et les tentatives de certains pontes de droite qui voudraient bien sauver leur peau compte tenu d’une nouvelle déroute prévisible en 2022 ; tout en tenant compte du fait qu’une telle stratégie est loin de faire l’unanimité au sein de la droite étatiste traditionnelle alors que 65% des électeurs, se disant de droite, se sont déclarés contre.
Il est donc très peu probable qu’une telle combinaison puisse aboutir car cela signifierait un suicide politique pour le clan LR ; le ralliement au socialisme administré dans tout ce qu’il a de plus excessif et autoritaire risquant d’être perçu comme une véritable trahison par un électorat qui rejettera à coup sûr de telles combinaisons politiques !
Mais, bien entendu, toutes ces annonces et tous ces petits calculs ne constituent que le commencement de grandes et petites manœuvres qui ne manqueront pas de se multiplier dans les prochains mois !
Bien cordialement à tous !
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Une conclusion se dégage de la tempête que nous sommes en train de traverser.
Le COVID s’avère être une maladie saisonnière dont les dégâts sont plus importants que la grippe habituelle, particulièrement pour ceux qui ont déjà des problèmes de santé ou une fragilité due à l’âge.
En réalité une maladie dont les précautions à prendre pour s’en protéger le mieux possible et pour la soigner sont très différentes selon chacun, donc un problème majoritairement personnel.
Et là, nos hommes de l’Etat arrivent sur leurs beaux chevaux blancs.
Leur discours est le suivant : “Il en est parmi vous qui sont trop cons pour se soigner tout seul, et ils sont majoritaires. Mais heureusement nous sommes là, nous qui sommes très intelligents et avons fait sacrifice de notre vie pour protéger les cons.
Vous allez voir ce que vous allez voir. D’abord interdiction aux personnes intelligentes de se soigner elles-mêmes, fusse en faisant appel à leur médecin personnel.
Nous prenons tout en main. Nous réfléchissons, à une dizaine, pour les 66 millions d’abrutis que vous êtes.
D’abord pas de soins, laissez-nous réfléchir… dommage si vous crevez, mais nous devons réfléchir intensément pour votre bien. De nous ne peut que jaillir la lumière.
Ça y est, on a bien réfléchi, on vous enferme. Génial non ? Moderne.
L’idéal serait que vous ne respiriez plus, que vous restiez immobile où vous êtes, que vous ne bougiez plus pendant un an.”
Comment ça ? Mais ce n’est pas possible.
“Ne vous inquiétez pas, on s’occupe de tout.”
En effet. Nous constatons tous le résultat.
Nous pouvons aujourd’hui affirmer deux choses :
– Le collectivisme égalitaire, façon technocratique, ne fonctionne pas en ce qui concerne la santé, sujet pour lequel l’individu doit être responsable et libre. La science venant en appoint ne doit pas être kidnappée au passage par les hommes de l’Etat pour leur servir de moyen de pouvoir.
– C’est la même chose pour tout, pour l’économie, pour la culture, pour l’éducation, pour la famille, etc…
Alors ?
Alors, il serait temps que les hommes et femmes de bonne volonté se ressaisissent et foutent un grand coup de pied au derrière de ces escrocs égalitaristes déguisés en hommes de l’Etat. A la porte. Que chacun de nous retrouve la liberté, la responsabilité, la dignité.
Nous sommes assez grands pour nous occuper de notre vie, de celle de nos enfants, de celles de nos vieux parents, puis de notre retraite.
Que l’on arrête de nous piller contre des promesses vaines, irréalistes, mensongères, qui in fine nous ruinent, ne nous apportent que malheur et souffrances.
Oui mais, me direz-vous, et les cons ? On les laisse tomber ?
D’abord, iIs sont beaucoup moins nombreux que ce que l’on vous dit et la plupart, qui ne le seraient pas, le deviennent à cause des promesses auxquelles ils croient.
Pour les autres, les profonds, les indécrottables, valent-ils le sacrifice de votre vie ? Je vous laisse juge.
Les USA
Bingo les USA viennent de signer un bail pour l’égalitarisme.
Ils croyaient avoir gagné le bras de fer contre ce virus lors de l’effondrement du communisme, en réalité c’est là qu’ils ont perdu.
Le virus égalitaire est bien plus sophistiqué que le communisme qui lui a donné naissance, il a fini par tuer l’URSS trop rustre, il est parti proliférer ailleurs.
Aujourd’hui il envahit l’Amérique, contamination démocratiquement majoritaire.
L’épisode de la droite flamboyante Trump n’était qu’un leurre inutile, qui ne pouvait qu’accélérer le processus technocratique égalitaire. Trump n’était pas la liberté, mais un vison identique en négatif du communisme, du pouvoir détenu par une élite autoproclamée au détriment de la liberté de tous.
Toutes ces oppressions, tous les pouvoirs abusifs, aujourd’hui se dissimulent derrière l’égalitarisme, l’Amérique n’y échappe pas.
Mais l’égalitarisme n’existe pas sans son corollaire le pillage.
Les américains entre dans le tunnel, dont nous qui y sommes depuis quarante ans ne voyons pas le bout, alors eux…
Oui mais, les américains sont tous armés… ça peut péter.
La campagne électorale pour 2022 n’est pas officiellement commencée mais les grandes manœuvres viennent de débuter et le microcosme, comme l’appelait R Barre, commence à bruisser des manœuvres et calculs préparatoires !
On sait que la conquête du pouvoir se fait d’avantage par élimination des concurrents que par le talent des candidats (et du vainqueur) et les faits récents tendent à le démontrer puisque E Macron a été, de manière évidente, élu en 2017 à la suite d’un raid judiciaire organisé par le parquet national financier contre le candidat de la droite ; notamment parce que son programme était de nature à porter atteinte au système fonctionnaire français.
Deux évènements récents viennent apporter du grain à moudre à propos des prochaines élections : La condamnation de N Sarkozy et l’annonce d’un ralliement de LR à LREM et à E Macron ; ce qui amène à se demander si nous allons assister à un séisme politique ou à la répétition des combinaisons de 2017 ?
Aujourd’hui nous examinerons le jugement condamnant N Sarkozy.
Condamnation de Sarkozy mis out pour 2022 du fait de sa condamnation
Il ne faut pas être dupe dans cette affaire.
Quels que soient les sentiments que l’on éprouve à l’égard de l’ancien président (et je ne nourris aucune affection particulière à son endroit), on sait que la plus grande crainte des magistrats (essentiellement de gauche) et d’E Macron était qu’il se représente en 2022 ; et cette hypothèse n’était pas à négliger dans la mesure où la droite LR est dans une situation telle qu’elle n’a pas de candidat de valeur à présenter.
Aujourd’hui, la droite étatiste traditionnelle n’a pas de leader et n’est susceptible que de présenter des seconds couteaux alors que LREM et le RN ont déjà leur candidat …
On connait aussi la haine féroce qui sévit entre les magistrats et N Sarkozy, qui avait eu le mauvais gout de les appeler des petits pois, mais aussi la détestation massive de la presse subventionnée à son encontre ; tout ce petit monde ayant fait sien, en 2012, le slogan « tous contre N Sarkozy ! ».
Evidemment, à propos de cette condamnation, on ne manquera pas de clamer qu’enfin les puissants sont soumis aux mêmes règles que les gens ordinaires et qu’enfin, ils ne bénéficient plus de l’impunité habituelle.
Le problème est qu’il ne faut pas regarder cette affaire sous cet angle trop simpliste et qu’il ne faut pas se dire que le fait que l’on ait été soi-même condamné injustement constitue une raison suffisante pour qu’il le soit lui aussi !
Nous avons affaire ici à un affaiblissement dramatique de la démocratie ou du reste de démocratie qu’il nous reste par le canal de l’usage d’une justice idéologiquement politisée bien que rendue au « nom du peuple français » !
On peut parler de contournement de la démocratie !
La manœuvre est à la fois grossière et évidente en ce que la condamnation de N Sarkozy lui retire de facto toute possibilité de se représenter, si jamais il avait eu cette intention, car le futur arrêt de la Cour d’Appel, dans l’hypothèse d’une relaxe, ne pourra intervenir au mieux avant la fin de 2022. En effet, bien que frappé d’appel, le jugement est bien valide sauf à ce qu’il soit infirmé (contredit) par la Cour d’Appel.
Mais, un adversaire à terre c’est toujours un adversaire de moins et le raid judiciaire ça marche.
Le problème de cette condamnation pour trafic d’influence et corruption est qu’il n’y avait rien dans le dossier, aucune preuve tangible ou objective, juste des écoutes des conversations entre N Sarkozy et son avocat ; lesquelles sont en principe couvertes par le secret professionnel.
Il est vrai qu’en la matière, le Code Pénal prévoit que l’intention est punie comme si le délit était réalisé mais le problème est que l’intention est loin d’avoir été prouvée en l’espèce …
On se situe dès lors dans « l’appréciation personnelle de l’intention réelle ou supposée du prévenu par le magistrat » ce qui, vous en conviendrez, est un peu léger !
Au surplus, ces écoutes ont été pratiquées sur une longue période selon la technique dite du « filet dérivant » ; c’est à dire que, comme on n’a rien dans le dossier, on va le remplir avec tout ce qu’on pourra trouver au hasard des écoutes et actes de procédure !
Cette pratique, en ma qualité d’ancien avocat, m’apparait pour le moins problématique, si ce n’est choquante, car les juges savent fort bien que l’avocat est nécessairement le récipiendaire des secrets de son client.
Combien de fois ai-je senti l’agressivité du juge à mon encontre parce que j’étais l’avocat d’un prévenu dont il était persuadé que j’étais le complice. Il est tout aussi vrai que j’ai vu des magistrats dont le fantasme était bien de mettre l’avocat en prison en même temps que son client tout en « assaisonnant » leur jugement de délits inexistants pour améliorer le poids de la condamnation du prévenu !
Seulement, nier ce lien entre le client et son avocat et la nécessité du secret absolu, c’est nier le droit de la défense et c’est en revenir aux dictatures nazies ou soviétiques !
Les magistrats ont exploité avec intelligence et hypocrisie une faille du Code de Procédure Pénale qui ne prévoit pas explicitement la garantie du secret absolu des conversations d’une personne avec son avocat … surtout lorsque les magistrats prétendent écouter seulement le client et que ce n’est vraiment pas de leur faute s’ils sont tombés sur des conversations avec son avocat. Ne devraient jamais pouvoir être versées dans un dossier pénal des conversations qui ne concernent pas directement l’avocat pour des faits délictueux qui ne lui sont pas personnels.
Mais il est vrai que la perversion du système fait que désormais l’avocat est obligé de dénoncer son client au fisc s’il a connaissance de faits de fraude ou d’évasion fiscale !
Sans aucun doute, nous avons affaire ici à une justice partiale et politisée (voir le mur des cons) dont le but est d’évincer les concurrents, comme en 2017 ; étant entendu qu’ensuite ces mêmes magistrats ne manqueront pas de réclamer leur dû auprès d’E Macron !
Il ne faut quand même pas oublier que le parquet national financier a engagé des poursuites éclairs contre Fillon et qu’il s’est acharné à l’encontre N Sarkozy alors que, curieusement, toutes les poursuites contre les hommes d’E Macron sont actuellement enlisées … (Richard Ferrand, Benalla, Darmanin …).
Ce qui est grave, en l’espèce, c’est lorsque la justice, dont tout le monde prétend qu’elle doit être indépendante, se met explicitement au service du pouvoir à la fois pour le protéger et le favoriser en faussant le jeu politique !
A venir, le ralliement de LR à LREM et à E Macron.
Bien cordialement à tous !
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Dimanche 7 mars 2021, France 5 poursuit sa « traque des fake news » avec ce soir là les thèses du film complotiste HOLD-UP. Ça risque d’être grandiose, je me mets devant mon écran, certain d’enfin comprendre toutes mes erreurs passées.
Le titre est « la fabrique du mensonge ». Ces journalistes sont très forts, capables de déceler et révéler toutes ces erreurs faites par deux prix Nobel, un ancien ministre de la santé, plusieurs chercheurs mondialement connus, des chefs de services hospitaliers et des médecins très expérimentés et pragmatiques.
Leur premier ennemi, c’est internet, un écosystème perméable aux « informations alternatives », aux groupes sociaux incontrôlables, aux mouvances type gilets jaunes. Je cite « des gens sont hypnotisés par ces complotistes et ultra conspirationnistes qui refusent d’accepter la vérité ».
Ces « mouvances », déjà qualifiées de « barnum» par Delfraissy, avaient déjà d’après ces journaleux du dimanche, proféré que la javel, le thé et la cocaïne, et dans la foulée l’hydroxychloroquine, traitaient la covid, que le masque était inefficace contre la transmission du virus, et même que c’était l’institut Pasteur qui était à l’origine du virus ! Vraiment n’importe quoi ! Non !
La stratégie de communication de cette émission apparaît tellement claire que cela fait sourire : mélanger les propos sérieux avec les plus fantaisistes, sous assaisonnement de « complotisme », sectes, conspirationniste, youtubeur maléfique. Et il y a sûrement assez de Français désinformés pour se laisser prendre à la manoeuvre.
Pour pousser encore un peu plus loin le bouchon de la confusion, l’émission aborde sans transition le sujet Thierry Casasnovas, gourou du jus de légumes qui soigne presque tout, et qui a apparemment réussi à constituer une véritable secte avec des milliers de fans et un commerce lucratif. L’émission montre les deux cotés de la médaille, celle des fans adorateurs, qui y croient dur comme fer, et celle d’une femme qui a failli en crever, ajoutant pour enfoncer le clou que le gourou avait été condamné pour exercice illégal de la médecine et qu’il était accusé de viol de mineure. Comme quoi le véganisme n’est pas toujours une philosophie très catholique. Pour ceux qui ont la comprenette laborieuse, voilà comment certains sont capables de provoquer l’enthousiasme des foules alors qu’au fond, ce sont des méchants, menteurs, cupides et vicieux. cqfd. Raoult, t’es vilain.
Petit passage sur cette pauvre Karine Lacombe harcelée par des milliers de lettres et de mails d’insultes après avoir traité les études de Raoult sur l’hydroxychloroquine de médiocres et pas significatives. Elle n’a apparemment pas compris ce qui lui arrivait. Nous, on n’a pas compris comment elle a pu avoir un titre de professeur, mais on a compris qu’elle ne lisait pas beaucoup la presse scientifique, chinoise en l’occurence à l’arrivée du coronavirus, qu’elle avait des notions très limitées en statistiques, également en éthique médicale pour préférer des études randomisées où les malades prenant un placebo risquent de crever, et que ses relations avec les laboratoires pharmaceutiques encombraient gravement son esprit perturbé.
Puis Pierre Barnerias l’auteur de HOLD-UP est accusé de se rapprocher de la « complosphère ». Cet aspect du documentaire HOLD-UP en a interloqué beaucoup. Évidemment, il met en relation un grand nombre d’informations comme arguments de l’existence d’un complot international issu d’un très haut niveau décisionnel, ayant pour objectif la domination d’une humanité « inutile » par une élite auto-organisée et sélectionnée. Le passage de Hold-up sur un cours à polytechnique en décrit parfaitement l’intention. C’est ahurissant. Il faut bien reconnaitre que les moyens techniques sont déjà là. Chaque humain à portée d’internet est espionné sur sa position, ses achats, ses pôles d’intérêts, ses économies, ses rencontres, ses relations, ses communications, son intérieur par les caméras des ordinateurs et smartphones, des alarmes, des caméras de lieux publics, etc… Vous vous sentez encore libre ?
Le « grand reset » est une notion qui circule, autant sur le plan d’une domination politique, ou d’une révolution financière, et qui est certainement porté par les capacités techniques de contrôle des populations, et la volonté de garder le pouvoir par une « élite » internationale devenue autant anti-démocratique que mafieuse. Et ce ne sont pas les propos ambigus d’un Bill Gates et les discours et comportements peu compréhensibles des gouvernants qui permettent de se faire vraiment une idée. Tout est possible. C’est ce sentiment que le pire est possible qui transparaît dans le film Hold-up. Tous ces scientifiques, ces médecins, ces économistes qui disent, réfléchissent , prennent conscience et restent pensifs devant l’incroyable accumulation d’ordres absurdes, malhonnêtes, inefficaces, mortels pour une part de la population, font penser que l’humanité est sur une pente très dangereuse. Qu’ils se fassent traiter de complotistes par les vrais manipulateurs des gouvernements et des médias est l’imposture la plus lamentable de l’année.
En tant que profession de santé, je vois chaque jour des dizaines de personnes de tout niveau social qui méritent considération pour ce qu’elles sont et ce qu’elles font, et qui méritent autre chose que de subir les absurdités de gouvernants dont la santé mentale peut être mise en doute, à l’inverse de leur corruption.
Pour finir, bien sûr que ce documentaire sur les soi-disantes « fake news » de HOLD UP est bien incapable d’apporter des arguments scientifiques qui contredisent valablement les informations de Hold-up. Peut-être qu’il confortera ceux qui sont réceptifs au « main stream » gouvernemental, et qui sont prêt à se faire vacciner avec des produits expérimentaux sur lesquels on a encore très peu d’informations sur leur efficacité en durée et sur les variants, et en innocuité à moyen et long terme. Comment donner un « consentement éclairé » comme il convient obligatoirement, dans ces conditions ? Si même les consentements éclairés deviennent des fake news parce que Pfizer et compagnie ont refusé de publier leurs résultats de recherche et de tests ! La vérité est une denrée rare !
Tout le monde devrait pouvoir vivre sur cette Terre avec harmonie, respect des autres, un niveau de bonheur acceptable, même sans rouler sur l’or. Constater que certains groupes n’envisagent leur survie, leur prédominance, leur bonheur, qu’en dégradant l’existence des autres, pas élus, pas assez intelligents, pas pistonnés par l’élite, pas nés dans l’élite, est tout simplement révoltant, barbare. D’autant plus qu’en fait, ils semblent largement ignorer les conditions d’existence et le niveau d’intelligence « populaire », bien plus pragmatique, réaliste, et finalement efficace que le leur. C’est cela qui au final est hallucinant : comment ces « gouvernants » (que l’on peine toujours à définir vraiment) arrivent à prendre en série des décisions aussi stupides, en faire des ordres dictatoriaux, sans croire qu’un jour le verre va déborder et que leurs quelques milliers d’ »éliteux » compassés vont se faire totalement déborder par une population en furie. Personnellement, si j’étais à leur place, et vu que les vaccins sur lesquels ils comptaient (mais c’est pas sûr) pour sauver la situation ne semblent pas vraiment la modifier après trois mois de tests grandeur nature, je dirai que je me suis trompé en raison des avis scientifiques contradictoires, et que dorénavant tous les français peuvent consulter leur généraliste dès les premiers symptômes et bénéficier de tous les traitements précoces qui ont fait leur preuve d’efficacité. Cela limiterait la rage de dizaines de milliers de familles qui ont perdu un proche en raison de l’incurie des services de santé ministériels et publics (pas tous heureusement). Mais voilà, il faudrait que les énarques deviennent intelligents et compassionnels ! Est-ce possible ?
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Je sais, je radote, mais le moyen de ne pas radoter quand désespérément, tout reste immobile ? Je radote donc une fois de plus : les mesures « sanitaires » ne cesseront pas faute de combattants ! Des combattants (des malades), les gouvernements à force de variants, et d’inventions mensongères, trouveront les moyens d’en inventer toujours d’autres nouveaux, ou les mêmes, pourquoi pas. La tyrannie sanitaire ne prendra fin que si les peuples se réveillent.
Mais pour tout vous dire, je désespère que cela ne se produise jamais.
Je ne vois partout que visages accrocs à leur masque, y compris dans les voitures ou en plein air, voire sur les plages, même par grand vent, et bien loin des « forces de l’ordre », et partout encore des bras nus se bousculant, hystériques, vers des seringues en nombre insuffisant…
Bien sûr, les propagandes gouvernementales tournent à plein régime, les cas pris comme malades, morts en sursis, les hôpitaux déshabillés très normalement saturés dès les premiers hoquets de quoi que ce soit…
Mais non, ce n’est pas une excuse ! Comment prendre encore pour argent comptant les discours de pouvoirs qui ne vivent qu’à crédit ? Foin de bêtise masquée, un peu de curiosité, que diable ! Oui, c’est vrai, la censure totalitaire tourne à plein régime pour rayer des mémoires les discours de bon sens, il n’empêche, il reste encore possible, au moins pour quelques jours, de s’évader encore et de se faire une opinion personnelle frappée au coin du bon sens !
De découvrir par exemple que les vaccins pour lesquels vous vous bagarrez comme chiffonniers en foire aux chiffons ne se contentent pas de vous rendre souvent bien malades, mais semblent tuer nettement plus qu’ils ne protègent, des vaccins incertains dont vous êtes les cobayes inconscients, aux effets à court terme assez peu rassurants, à long terme, proprement affolants, aux prix délirants[1], à renouveler… tous les six mois (un vrai jeu répété de trompe-la-mort), des vaccins qui ne protègent de rien, pas même des prochaines contraintes sanitaires liberticides, des vaccins d’autant plus criminels que strictement inutiles, puisqu’au contraire du Grand Mensonge, si, des traitements existent, de plus incroyablement bon marché, mieux, une prévention intelligente est à la disposition de tous !
Bon, je vous lasse ? Vous avez raison, les paroles valent toujours moins que les chansons ! Je vous en dédie deux, qui à mon avis, vous en diront beaucoup plus long et mieux que moi…
Ce n’est pas douteux, je suis inscrit sur le “mur des cons”.
Ne pensez pas que j’ai soudain la grosse tête, il ne s’agit pas évidemment du célèbre “mur des cons” national, celui du syndicat de la magistrature où étaient affichées les stars — à l’époque à la craie sur un tableau, aujourd’hui plus discrètement dans les mémoires des magistrats –. Ce n’est pas mon niveau.
Plus simplement, la majorité des hommes de pouvoir mélange devoir et ressentiments, pouvoir et raison. C’est hélas humain.
Ils vivent mal l’exposition de leurs décisions, ils sont affectés quand elles sont critiquables et critiquées, ils n’hésitent pas alors à se venger en utilisant leur pouvoir au service de leurs émotions personnelles. Ce qui est très grave, mais très courant.
Evidemment, cela est tout particulièrement vrai pour les Services Fiscaux et pour les tribunaux, aussi pour la police, finalement partout où la force et la contrainte sont disponibles accompagnées de l’impunité.
Dans le combat que je mène contre les mensonges cupides du fisc et leurs effets dévastateurs je rencontre constamment ce genre de réaction.
Je ne compte plus les fonctionnaires du fisc qui ont perdu les pédales dans les dossiers me concernant, qui s’acharnent aujourd’hui contre moi avec pour seul objectif ma mort économique et physique, qui ont perdu de vue la réalité des dossiers.
Je citerai Brabant évidemment, Martino aussi. D’autres sont plus mesurés, pas au point que je puisse dès à présent rendre hommage à leur objectivité, peut-être un jour…
Chez les magistrats ils sont plus rares à craquer. Il faut avouer qu’une partie importante des magistrats a le cuir solide, est capable de garder son sang-froid et sa mesure dans ce marigot judiciaire où Bercy les entraine.
A La Rochelle, surprise, un couple de magistrats pète un câble, et je peux en apporter la preuve.
Le couple Roubeix n’écoutant que son émotion, servile devant le Bercy local, me tue gratuitement. Incroyable.
Lui, juge de l’exécution au TJ de La Rochelle, met en vente, par un jugement du 5 Juin 2019 — pour une créance fiscale dont il ne peut ignorer qu’elle n’existe pas, qu’elle est le fruit d’un complot fiscal – dix maisons m’appartenant dans l’île de Ré au prix de 103 000 € l’une, soit moins de la moitié de leur valeur.
Il sait que ma lutte contre le fisc, qui paralyse tous mes biens, m’a mis dans une situation d’endettement critique, que cet endettement risque de me voir artificiellement et injustement ruiné.
Malgré cela et bien qu’il soit amené, pour éviter le ridicule lors de la vente, à n’engager la vente que pour sept maisons, il refuse de me libérer les trois maisons qu’il ne vend pas, dont la vente m’aurait permis de me mettre à flot, donc de pouvoir continuer ma lutte contre le fisc.
La vente forcée est prévue le 2 Décembre 2020, mais le fisc fait défaut.
Suspense.
Bercy a engagé une procédure devant le TJ de Paris le 9 Novembre 2020, soit un mois avant la date de la vente forcée, contre l’hébergeur de ce blog, sans que nous le sachions, avec pour résultat la fermeture du blog le 11 Février 2021, comme vous le savez.
En fait Bercy ne voulait pas que ce blog puisse faire état de cette vente indigne.
Bercy demande donc, le 2 Décembre 2020, au magistrat Roubeix de reporter la vente.
Là, Bercy demande l’impossible. La loi est très claire, le défaut du fisc entraine la nullité de sa saisie-attribution, donc la vente ne peut pas être reportée, la procédure doit être annulée.
Roubeix, à l’audience, se confond en excuses verbales auprès de l’avocat du fisc, mais il annule la procédure. Dans son jugement :
“Il est équitable de laisser à la charge de la SARL LES HAUTS DE COCRAUD les frais irrépétibles qu’elle a exposés…. Déboute la demande de report de la vente forcée formée par le Comptable du pôle de Recouvrement de Charente-Maritime et par le Syndicat des Copropriétaires de la Résidence LES HAUTS DE COCRAUD ;
Constate la caducité du commandement de payer valant saisie en date du i6 août 2019; Ordonne la radiation de la procédure de saisie immobilière diligentée par le Comptable du Pôle de Recouvrement de Charente-Maritime à l’encontre de la société SARL Les Hauts de COCRAUD;
Déboute la SARL LES HAUTS DE COCRAUD de ses autres demandes…”
Pas d’article 700 au profit de la SARL qui pourtant subit les contraintes, pas de levée d’hypothèque pour les trois maisons non incluses dans la vente annulée, donc trésorerie toujours bloquée, depuis 15 ans, par les hypothèques fiscales. Roubeix ne lâche rien.
L’affaire suit son cours.
Le fisc reprend sa procédure, très légitimement la SARL la conteste, d’abord par le recours préalable obligatoire, puis aujourd’hui devant le TA de Poitiers.
Ma société de son côté vend les dix maisons. Sept au prix de 250 000 € la maison, donc couvrant la fausse créance fiscale, garantissant sa créance au fisc quelle que soit l’issue du recours engagé.
Dans ces conditions, il est légitime que les trois maisons inutiles à la couverture de la fausse créance fiscale retrouvent leur liberté, que leur vente me permette de sortir de l’état de dette dangereux dans lequel je vis depuis plus de dix ans.
Je fais donc une demande, de cantonnement de l’hypothèque couvrant la fausse créance fiscale, de levée de l’hypothèque sur les trois maisons, devant le TJ de La Rochelle.
Et là, alors que ce tribunal compte une trentaine de magistrats, je tombe sur la Roubeix du couple Roubeix. Trop fort.
Qu’est ce qu’elle fait la Roubeix ?
Elle me plante. Elle refuse la levée de l’hypothèque, elle me ruine.
Mais — et c’est là que c’est quand même succulent –, pour en arriver là elle est obligée de mentir, de se ridiculiser, de se découvrir :
“Les deux hypothèques légales prises par l’administration fiscale sont donc toujours en cours et rien ne justifie leur mainlevée…En l’espèce, la SARL LES HAUTS DE COCRAUD ne produit aucun élément pouvant établir la valeur des biens hypothéqués. Les seuls éléments communiqués sont en effet des offres d’achat sans aucune suite et un acte sous seing privés daté du 29 décembre 2020 très imprécis, puisqu’aucune pièce n’est jointe notamment aucun plan permettant de s’assurer que le candidat acquéreur a connaissance des lots sur lesquels il postulerait.”
Ce texte est un grand morceau de bravoure.
On y apprend qu’une vente de plus de deux fois supérieure aux dettes revendiquées ne justifierait pas la mainlevée des hypothèques !!!
Que des offres d’achat qui ne peuvent pas être authentifiées momentanément pour cause d’hypothèque sont déclarées “sans suite”…
Qu’enfin une société qui a signé un accord, déposé chez un huissier pour date certaine, qui a versé 50.000 € d’acompte sur un achat de 1 750 000 €, qui fait des travaux dans les maisons, qui les loue actuellement, serait un acquéreur qui “n’aurait pas vraiment connaissance des lots sur lesquels il postulerait”….
La messe est dite
La volonté de nuire est évidente. Aussi celle de voir disparaître par faillite l’encombrant Dumas, qualifié opportunément de “fraudeur fiscal” pour certains, de “procédurier” pour d’autres, “d’emmerdeur public” voire de “dangereux maniaque” pour tous les croyants en la nécessité du pillage des autres sacrifiés sur l’autel de l’égalitarisme.
Que voulez-vous ma brave dame, si l’on veut répandre le bien autour de soi, il faut s’en donner les moyens, quitte à piller ces richards que sont tous ceux qui possèdent plus que nous.
Je ne vous cache pas que la position de “présumé coupable” est difficile à vivre.
Car en fait, la Roubeix, quel est le fond de sa pensée ? Elle pense que je suis un sauteur, une petite frappe, prête à truander, à faire des faux pour faire croire que je vends quelque chose pour lequel en réalité je n’aurais pas d’acquéreur. Vous vous rendez-compte des dégâts ?
Car si ce n’est pas cela sa pensée, il faudrait admettre que c’est uniquement la méchanceté, voire la jalousie, qui l’anime, ce que franchement je me refuse à croire.
Notez, on papote, on papote, je vous raconte, mais je n’arrange pas mon cas. Je fais appel évidemment, ils vont me tuer par fidélité de groupe.
Il ne faudrait donc jamais rire de ses tortionnaires. Mais alors, que reste-t-il ?
Le grand silence de l’univers ? On y sera bien assez vite…
Bien à vous. H. Dumas
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Nous sommes plusieurs milliers à avoir été condamné sans preuve et personne n’a été, depuis le temps, ému ni même choqué.
Même pas la moindre vaguelette. L’état de droit, pour ceux que Bercy a étiqueté « Fraudeurs Fiscaux » est une vaste blague, un enfumage pour les gogos contribuables et futurs primo accédants à ce titre. L’état de droit, la charte du contribuable et les divers « recours », toute cette panoplie ne sert à rien devant la vraie réalité, celle qui va vous amener (comme pour nous) inexorablement à la spoliation de tous vos biens (comme les nôtres) par les nouveaux « croisés » de Bercy, ceux qui représentent aujourd’hui exclusivement le camp du « bien » et qui nous ont fait rendre gorge de tous ces biens que nous avions mal acquis par notre travail acharné. Il faut savoir et nous, nous le savons depuis longtemps que les tribunaux administratifs et Bercy fonctionnent main dans la main et n’ont aucun problème de conscience en officialisant votre pillage. Pillage qui a été précédé de toute une série d’ATD, de saisies tous azimuts qui vont vous laisser KO debout. Le tribunal administratif n’aura qu’à vous achever d’une pichenette pour vous faire tomber.
Sarko condamné sans preuve ? Comme c’est dommage. Bercy, lui est plus malin que le PNF. Il a aussi des dizaines d’années d’expériences dans la fabrication d’hypothèses de « travail » en les transformant d’un coup de baguette magique comme des preuves irréfutables. Tout est bien rodé entre nos compères. Le tribunal ne va surtout pas creuser pour chercher la vérité, bien que vous l’ayez crié sur tous les toits.
Vos preuves, il n’y croit pas et en plus vous faites partie du mal. il ne va même pas les regarder. Vous aurez droit d’office à l’étoile jaune. Cette vérité, elle est caca, elle sent mauvais et puis ils s’en foutent. La loi c’est eux. Qu’ont-ils besoin de preuve pour condamner un innocent ? Fouquier-Tinville en avait-il besoin pour envoyer les gens à la guillotine ? Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, et bien le tribunal administratif est frappé pour l’éternité de la même cécité.
Et puis comme Sarko vous avez les fameux recours. Sauf que pour nous, loin des feux de la rampe ils vont vous égorger en tout discrétion, comme pour nous…
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L’histoire se passe dans un petit local d’environ 15m2, situé à moins de 100m du marché de Saint Jean de Luz. Deux tables hautes font office de comptoirs, au fond, un petit bureau vitré est équipé d’une table et de trois chaises. Une grande boite aux lettres permet de déposer des documents à toute heure. Trois employés sont présents aux heures ouvrables. Quatre lettres ornent discrètement la porte vitrée : C P A M.
Chaque jour, de nombreux citoyens se rendent dans ce modeste local pour y exposer leurs petits (et grands) problèmes d’assurance maladie. J’ai pu noter le professionnalisme et la disponibilité des personnels de cette annexe de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) : ils apportent à chacun une aide précieuse avec patience et compétence.
Eloge des fonctionnaires qui fonctionnent
L’exercice n’est pourtant pas aisé : rassurer les vieilles dames, répéter la même réponse des dizaines de fois par jour, traiter le stress des citoyens face à un système kafkaïen, stress qui se manifeste parfois par des énervements voire des comportements carrément désagréables. Etant au bout de la chaine, les préposés de la CPAM doivent traiter tous les dysfonctionnements et lourdeurs de leur organisation, tout en respectant l’avalanche de réglementations bureaucratiques qui rendent leur travail plus difficile.
Ces agents de la CPAM appartiennent à la catégorie des « fonctionnaires qui fonctionnent », au même titre que les enseignants qui enseignent, les personnels soignants qui soignent, les assistantes sociales qui assistent, les policiers qui gendarment, les services municipaux qui chaque jour s’occupent de nos communes, etc.
Comme tous les Français, j’ai beaucoup de respect pour leur travail : ils sont le véritable service au public. A chaque visite, je me fais la remarque qu’il y a encore des services au public et des fonctionnaires qui fonctionnent.
Ou plutôt en l’espèce, qui fonctionnaient. Car le local a fermé ses portes en Juin 2020. Vous connaissez déjà l’explication officielle : le COVID bien sûr.
La fin annoncée du service au public
Désormais, si vous voulez obtenir un rendez-vous, connectez vous sur le site. La CPAM a probablement en ligne de mire la stratégie mise en place par l’URSSAF dont le site d’Anglet, sur le BAB, est depuis plusieurs années déjà fermé aux visiteurs. La porte d’entrée est cadenassée, il n’y a pas d’interphone, pas la peine de sonner personne ne viendra. D’ailleurs, il n’y a pas de sonnette. Un papier posé dans le sas vous informe que si vous avez une question, vous pouvez envoyer un e-mail.
Le service au public remplacé par des emplois de bureau
La pandémie du Covid a donné à l’Organisation étatique qui nous dirige nos vies (c’est à dire les femmes et des hommes qui ensemble exercent tous les pouvoirs exécutifs, législatifs, judiciaires, administratifs nationaux, régionaux et locaux) l’excuse parfaite pour accélérer l’atteinte de son vieil objectif : supprimer les contacts avec le menu peuple.
Pour l’Organisation, le problème du service au public, c’est que c’est un travail difficile, usant, fatiguant et, au fond, considéré comme inintéressant. La preuve ? Dans l’Organisation, servir le public est un emploi subalterne, déconsidéré par la hiérarchie et surtout mal payé. Servir le public, ce n’est pas pour les chefs. Comme le disait déjà Clemenceau, « les fonctionnaires, c’est un peu comme les livres dans une bibliothèque, ce sont les plus hauts placés qui servent le moins. »
Bien sûr, la communication officielle de l’Organisation encense « les héros du quotidien » comme elle l’a fait au printemps 2020 pour le personnel soignant. Mais c’est pour maintenir le mythe (et faire oublier sa pathétique performance). Car pour un agent, obtenir une promotion c’est quitter le service au public pour un emploi de bureau.
Vous pourriez être tenté de croire que servir le public est la raison d’être du service public, de l’Organisation, mais ce serait une erreur. Je l’ai déjà évoqué, les objectifs de toute organisation, qu’elle soit publique, commerciale, associative, religieuse, militaire ou autre, est de grandir, se développer, augmenter son bien-être, sa richesse, étendre son pouvoir sur son environnement. Pour une organisation, satisfaire sa raison d’être, sa mission devient rapidement un objectif secondaire voire une nuisance : il est en effet plus pénible de travailler que de se prélasser dans l’organisation.
Dans le privé, le patron exige que son organisation remplisse sa mission. C’est pourquoi, quand elle fait du lard, il purge les états-majors des improductifs budgétivores. Rien de tel dans l’Organisation.
Une Organisation perverse
Depuis près de 50 ans, le nombre de bureaucrates inutiles de l’Organisation augmente deux fois plus vite que la population, tandis que décroit celui des fonctionnaires qui fonctionnent. Avec une grande perversité, elle veut faire croire aux Français que la déliquescence du service au public serait de leur faute : ce serait parce que nous ne payons pas assez d’impôts que l’Organisation manquerait des ressources nécessaires à l’accomplissement de sa mission.
L’Organisation exige toujours plus de pouvoir et d’argent. Les fonctionnaires qui fonctionnent, ceux que nous respectons, ne sont qu’un alibi à sa voracité.
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La France est dans une impasse. Elle s’y est engouffrée depuis des décennies, mais le piège s’est refermé derrière elle et elle ne peut plus avancer ni reculer.
Un examen sérieux de la situation montre qu’il n’y a pas d’autre solution que de faire marche arrière. La marche vers l’avant est synonyme d’endettement supplémentaire et continu, et à court terme de faillite, ce qui pour un Etat signifie l’impossibilité de payer non seulement les dettes résultant de ses emprunts, mais aussi celles du hors-bilan, telles que les engagements de retraite. On imagine ce que peut être la situation dans un pays qui compte 16 millions de retraités, tous dépendant de systèmes publics. Chaos garanti !
Faire marche arrière signifie renoncer à la plus grande partie des « acquis sociaux » et des attributs de puissance publique. On parle souvent de se défaire des innombrables comités Théodule, hautes autorités et agences nationales. Mais cela ne suffira pas. Il faudra aussi tailler dans l’organisation de l’Etat et supprimer par exemple les régions qui, en France, ne servent à rien sinon à faire vivre près de deux millions de fonctionnaires.
Jusque là, il règne une certaine unanimité dans le pays. A la stricte condition qu’on ne passe pas à l’acte. Dès que pointe l’amorce d’une action dans ce sens, le chœur des bénéficiaires du système devient assourdissant et on finit rapidement par décider de ne rien faire.
C’est à ce point précis que se situe le champ de bataille. Face à l’armée du statu quo, il va falloir engager les bataillons du changement. Or ceux-ci sont aujourd’hui réduits à la petite brigade des intellectuels libéraux, qui depuis des générations clament leurs idées dans le désert.
Pourquoi une telle disproportion des forces ? Parce que tous ceux qui ne sont pas fonctionnaires ont vu leur capacité d’action annihilée par la mise en œuvre de la théorie d’Aristote : « Il est aussi dans l’intérêt d’un tyran de garder son peuple pauvre pour qu’il soit si occupé à ses tâches quotidiennes qu’il n’ait pas le temps pour la rébellion. »
L’Etat français, tyran parmi les tyrans, a admirablement déroulé sa politique d’asservissement en utilisant l’arme que le parti communiste lui a léguée en 1945, la Sécurité sociale. A tel point qu’il n’est plus besoin de parti communiste en France puisque le communisme y règne en maître.
La Sécurité sociale, par ses prélèvements monstrueux et ses redistributions somptueuses (pas moins des deux tiers des dépenses publiques !), a anéanti l’économie privée en France et rendu esclaves tous ceux qui avaient vocation à vivre libres, en citoyens responsables.
La conclusion qui s’impose à tout esprit logique est que pour sauver la France, il faut s’attaquer à la Sécurité sociale. C’est exactement ce que j’ai entrepris il y a plus de 25 ans en lançant l’attaque contre son monopole. Car sans monopole, pas de dictature.
On comprend pour quoi je suis devenu, pour l’Etat, l’homme à abattre. Ce qui prouve à tout le moins que ma stratégie était la bonne, et même la seule bonne, puisque toutes les autres ont échoué.
Aujourd’hui, le monopole est mort dans les lois européennes et nationales, mais il poursuit ses ravages dans notre pays grâce à une justice aux ordres qui se refuse – un comble – à appliquer les lois !
Plus de 500 000 travailleurs indépendants, selon les chiffres mêmes de feu le RSI, ne cotisent plus à la Sécurité sociale. Mais il en reste encore trop qui paient en grognant mais qui paient quand même, permettant à cette institution maléfique de continuer ses nuisances.
Nous n’avons jamais arrêté le combat. Et aujourd’hui notre pression a fini par faire craquer la Commission européenne qui, malgré le pacte de corruption qui la lie à l’Etat français, a fini par avouer officiellement que les assurances privées peuvent se substituer à celles de la Sécurité sociale si l’Etat concerné l’autorise, ce qui est le cas en France où une loi prise en 1994 sous notre pression donne toute latitude aux assureurs européens de couvrir tous les risques dans notre pays, et de le faire branche entière, ce qui anéantit le mensonge étatique prétendant que ces assureurs n’ont le droit qu’à l’assurance complémentaire.
Nous avons donc donné à la France les armes de son combat pour la liberté. Il faut à présent s’en servir. Les 18 millions de salariés du secteur privé peuvent désormais retrouver non seulement la liberté de disposer de leur salaire complet, mais aussi, et grâce à cette liberté, leur qualité de citoyen à part entière.
C’est ainsi qu’on fera sortir la France de l’impasse actuelle et qu’on lui redonnera un gouvernement digne d’elle.
Claude Reichman
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Cette magistrate du Tribunal Judiciaire de La Rochelle pourra, après avoir lu ce billet, décider de me poursuivre, y compris de me jeter en prison.
Il est interdit, article 434-25 du Code Pénal, de critiquer un magistrat ou l’institution judiciaire : ” Le fait de chercher à jeter le discrédit, publiquement par actes, paroles, écrits ou images de toute nature, sur un acte ou une décision juridictionnelle, dans des conditions de nature à porter atteinte à l’autorité de la justice ou à son indépendance est puni de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende.”
En même temps la constitution reprend les droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui autorisent dans leur article 2 à résister : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. »
Sophie ROUBEIX pourra même arguer de préméditation, puisque je sais effectivement parfaitement ce que je fais : Je résiste et dénonce l’inacceptable oppression.
Je ne suis pas une association politique, mais c’est en route, nous allons le devenir.
La question qui se posera alors sera la suivante : La perte de nos droits, de nos libertés, de nos vies, gagnées au prix de la souffrance de nos ancêtres, ne peut-elle faire l’objet que de discours éthérés et philosophiques, sommes-nous interdits de dénoncer nommément ceux qui trahissent nos libertés, nos institutions ? Pour moi la réponse est NON.
Qu’est-ce qui ferait que l’autorité judiciaire ne puisse pas être critiquée ? L’idée qu’elle aurait raison, même lorsqu’elle a tort ? L’idée que les magistrats seraient d’infaillibles surhommes ? Ou l’idée que les hommes de l’Etat qu’ils représentent veulent pouvoir condamner et tuer sans avoir à rendre de comptes ? Quelle différence dans ce cas avec la lapidation ?
Contre quelle oppression je me bats ?
Je me bats contre l’oppression de l’égalitarisme. Cette croyance qui a complètement envahi notre société, au point que tous sont contaminés.
L’égalitarisme qui permet aux hommes de l’Etat de piller des minorités au profit illusoire d’une majorité qui en réalité ne voit rien des recels de ce pillage, dont le fruit a simplement changé de mains par la force des fusils, alors qu’il avait été le plus souvent conquis par l’intelligence et le travail, par la différence, par la sélection des meilleurs.
Qu’espérer d’une société qui détruit ses producteurs, ses meilleurs, au profit de ses ratés, de ses moins bons ? Rien, elle ne peut pas aller bien loin. D’ailleurs elle touche le fond et n’est pas loin de couler.
Ce n’est pas faire de l’élitisme de dire cela, la place reste pour la compassion, la charité, la compréhension et l’amour de l’autre, l’aide, l’empathie, qui n’impliquent pas l’égalitarisme cette utopie mortelle, contraire au sens de la vie, faiseuse de haine.
Dans la pratique cette oppression est mise en œuvre par la “redistribution”, spécialité de Bercy.
Le pillage ainsi renommé commence et finit comme tous les pillages.
D’abord le pillard déconsidère le futur pillé, il fait croire à la foule qu’elle sera la bénéficiaire du pillage mais qu’il faut au préalable qu’elle dénonce et haïsse ceux qu’il va voler, jusqu’au point où elle pourra oublier leur humanité. Alors il volera et tuera en paix.
C’est cela mon combat, il est possible qu’il paraisse inutile, perdu d’avance, prétentieux, qu’importe, il faut bien que quelqu’un s’y colle, car la réalité est là, le meurtre est pour demain, ceux qui ne l’ont pas compris vont être surpris.
Le cas ROUBEIX
Poursuivi par le fisc pour des sommes que je ne dois pas, depuis vingt ans ma vie et celle de ma famille sont un calvaire.
Le fisc a bloqué tous mes biens, il vise ma ruine. Pour me faire payer ce que je dois dit-il. En réalité le fisc sait que je ne dois rien de ce qui m’est demandé, mais il sait aussi qu’il n’a de compte à rendre à personne et que pour qu’il puisse piller à sa guise il faut que la terreur s’installe.
Donc Henri Dumas n’est pas visé personnellement, je suis juste un excellent relais d’opinion pour que chacun comprenne que se battre contre l’oppression égalitariste, contre Bercy, pour sa liberté, est suicidaire et ne peut mener qu’à la ruine.
Je me retrouve devant ROUBEIX de la façon suivante.
Un stock de 10 maisons dans l’île de Ré est bloqué pour une fausse créance fiscale de 1,2 M€.
Déjà, 10 maisons dans l’île de Ré, chacun comprend que c’est un motif suffisant pour être légitimement pillé.
Donc la fausse créance fiscale, accompagnée de la qualification de “fraudeur fiscal”, passe haut la main toutes les étapes de l’ineffable Justice Administrative, qui ressemble à la justice comme moi à un évêque. Tout va bien pour les pillards, Brabant en tête.
Dans le même temps je trouve des acquéreurs pour les dix maisons qui représentent plus que la fausse créance contre laquelle je me bats.
Donc je me retrouve devant la ROUBEIX pour lui expliquer que la fausse créance du fisc étant garantie je souhaite qu’elle me laisse vendre trois maisons et en toucher le montant dont j’ai besoin pour payer les dettes que j’accumule dans mon combat.
Elle considère que la créance du fisc est certaine, elle me dénie donc le droit de continuer à lutter pour faire apparaitre la vérité.
Elle met en doute mes ventes, arguant que sans doute mon acquéreur n’a pas très bien compris ce qu’il achetait. Je rêve.
Comment peut-elle m’accuser ainsi, finalement de mensonge, de combine, sans la moindre preuve ? Que n’a-t-elle fait part de ses doutes à l’audience, me laissant alors le temps du délibéré pour la rassurer, s’il en était vraiment besoin ?
En réalité, elle s’en fout de la justice, elle veut juste participer au lynchage.
Elle apporte sa pierre au pillage, ils ont tant besoin d’argent ces égalitaristes, alors un qualifié de “fraudeur fiscal” : à la trappe.
On me conseille de fournir en appel toutes les preuves. Pourquoi faire ? Ils trouveront autre chose, c’est le pillage qui les intéresse, pas la justice.
Inutile de monter dans le train de la mort, elle est certaine au bout, mieux vaut mourir les armes à la main, sa dignité intacte.
Je ne dois rien ni au fisc, ni à cette justice dévoyée, ils ne me font pas peur, l’histoire les jugera, je me contente de mon intégrité, leur pouvoir ils peuvent se le tailler en pointe et…
Bien à vous. H. Dumas
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Décidément, naviguer dans les arcanes de notre fiscalité si complexe peut réserver quelques surprises.
La rémunération pour copie privée est due lors de l’achat de tout support pouvant servir à l’enregistrement ou au stockage de données numériques : Disque dur, clé USB, carte mémoire, cd-rom, dvd, baladeur numérique, ordinateur mais aussi les smart phones puisqu’ils sont équipés d’une capacité de mémoire de stockage.
Pour un smart phone Huawei P30 light au prix affiché à ELECTRO DEPOT de 238,94€, le magasin indique une « participation pour rémunération de la copie privée » de 16.80€.
Quand on pousse un peu plus loin l’investigation, on s’aperçoit que ce prélèvement représente 7,56% du prix TTC (238,94-16.80=222.14 16.80×100/222.14). Il s’ajoute à la TVA au taux de 20% et aux 0.02€ d’éco-participation pour le recyclage en fin de vie.
Et, tout en étant bien conscient du fait que plus le prix de l’appareil est élevé, moins l’impact de la taxe est important, si on s’en rapporte au prix hors taxes de l’appareil, on s’aperçoit le montant total de taxes non affiché est de 53.85€ pour un téléphone vendu 185.09 € hors taxes. (238.94-16.80-0.002=222.12-(222.12×16.67%)=222.12-37.02=185.09€).
Cela nous fait quand même pratiquement 30% de taxes qui ont le « mérite » d’être présentées comme des participations ; un peu comme si, au moment de recevoir votre avis d’impôt sur le revenu, on vous envoyait un bulletin de participation.
Décidément, la novlangue administrative n’est jamais à court de discours innovants !
De quoi s’agit-il exactement ?
Le site de la SACD (société des auteurs compositeurs dramatiques) nous explique qu’il ne s’agit pas d’une taxe mais d’une rémunération compensatoire pour le préjudice subi du fait de la copie des œuvres de l’esprit. Elle est destinée à compenser le « manque à gagner » que les artistes supportent du fait de la duplication, par les particuliers, des disques, cassettes et enregistrements vidéo de films.
Il ajoute même sans rire : « Au final, tout le monde y gagne. C’est la définition même d’un bon partenariat. ».
On peut rappeler que le « droit à la copie privée » a été mis en place en 1985 sous l’égide de J Lang alors ministre de la culture. Toutefois, attention, il ne s’agit pas d’un droit à copier mais d’une exception dans le cadre d’une utilisation privée, hors de tout commerce ou même cession à titre gratuit.
Conclusion qui s’impose : lorsque vous achetez un smart phone, pour téléphoner, vous devenez partenaire des auteurs compositeurs, sans aucun doute à l’insu de votre plein gré ; car il est évident que, après avoir acheté un téléphone portable, vous allez dès la sortie du magasin vous livrer de manière impitoyable à la copie compulsive …
Par ailleurs, il ne vous aura pas échappé que vous payez cette rémunération d’avance avant d’avoir fait quoique ce soit et avant tout éventuel « manque gagner » !
Or, si, vous avez un abonnement de base, vous n’avez qu’un accès limité à internet qui ne vous permet en aucun cas de faire du téléchargement ou de l’écoute en ligne ; ce qui fait que vous avez payé la taxe pour rien, en tout cas pour une activité que vous n’exercez pas.
Je connais d’ailleurs plusieurs personnes possédant un smart phone mais n’ayant jamais utilisé cette possibilité de copie privée
Les barèmes sont à la fois complexes et très précis mais en gros cette rémunération est fonction de la quantité de mémoire stockable sur l’appareil (32Go ou 64Go) et est, cerise sur le gâteau, assujettie à la TVA. Jusqu’à 32Go c’est 12€ TTC (10€ hors taxes) et jusqu’à 64Go c’est 16.80€ TTC (14€ hors taxes) car si l’artiste doit s’y retrouver, l’Etat ne doit pas y perdre !
Précision : Cette redevance pour copie privée ne concerne que les personnes privées ; c’est à dire que les professionnels n’y sont pas soumis quoiqu’ils l’aient été jusqu’en décembre 2011 ; date à laquelle la France a du se conformer aux règles européennes.
Rémunération, rente et parasitisme
Au XVème siècle on parlait, à propos du droit d’auteur, de « privilège » car c’est bien de cela dont il s’agit : c’est bien un privilège qui dure toute la vie de l’auteur et encore 70 ans après sa mort au profit de ses ayants droit !
Les Révolutionnaires ont, dans la nuit du 04 aout 1789, aboli tous les privilèges sauf … les droits d’auteurs qui ont été confirmés par 7 lois révolutionnaires entre 1791 et 1793. Au-delà de l’intérêt purement anecdotique, il faut en conclure que les auteurs/compositeurs avaient déjà leurs entrées dans les cercles du (nouveau) pouvoir !
Ce qui est surprenant c’est que ce droit d’auteur s’étend sur une durée extrêmement longue à la différence des brevets qui ne sont limités qu’à vingt ans ! Or, un brevet industriel, qui a pu nécessiter des années de recherches et des investissements très lourds, est quand même plus important qu’un droit quasi perpétuel sur une chanson écrite en 20 mn sur un coin de table et dont la valeur tient essentiellement à des dispositions légales pour le moins complaisantes …
En fait, à bien y regarder, la rémunération pour copie privée n’est même pas assise sur le talent de l’auteur mais sur le chiffre d’affaires des fabricants de matériels puisque, plus ceux-ci vendent d’appareils, plus les bénéficiaires touchent leur écot !
Finalement, ce n’est rien moins qu’un système de rente comme on les adore en France ; pays où tout un tas de gens vivent grassement sur le dos des autres et je n’évoquerai même pas ici les nombreuses subventions dont bénéficient ces pauvres artistes …
Si l’on veut voir les choses plus crûment, on peut même affirmer que c’est une forme de parasitisme, tout comme les ordres du clergé et de la noblesse sous l’ancien régime n’étaient qu’une forme de parasitisme institutionnalisé, qui a été mis en place en faveur des auteurs-compositeurs et des marchands de disques qui ont tant de mal à gagner leur vie.
Il est vrai que pour ces derniers, leur avenir est plutôt derrière eux car plus personne n’achète de disques !
En effet, le marché de la musique a considérablement changé depuis 20 ans et plus personne ne fait plus de copie de disques vinyles, de cd ou de cassettes audio ; ces dernières étant d’ailleurs introuvables. Le streaming en ligne domine complètement le marché et, bien souvent, il n’y a même pas de copie possible … juste de l’écoute.
On peut rappeler qu’il existe de nombreuses formules d’abonnement vers des fournisseurs de musique en ligne tels que Itunes, Deezer, spotify, Netflix, Apple music, Amazon, Soundcloud, Facebook. C’est un marché de la musique en ligne légale qui constitue, avec une part de 12%, la troisième source de revenus des auteurs.
Néanmoins, vous l’avez compris, non seulement la taxe demeure mais elle pourrait bientôt aussi s’appliquer aux smart phones reconditionnés qui auront donc l’avantage de payer cette taxe deux fois ; un peu comme si on faisait payer la taxe carbone sur les voitures neuves puis à nouveau sur les voitures d’occasion … même si elles sont pratiquement interdites de rouler …
Il faut en conclure que cette profession qui, en général, gagne déjà très bien sa vie et pendant très longtemps, envisage sérieusement d’augmenter la collecte des « droits d’auteurs » assis sur des ventes de matériels !
En effet, il faut bien aider ces pauvres auteurs compositeurs qui ne s’en sortent plus et il faut savoir que les bénéficiaires s’accrochent d’autant plus à celle-ci que la rente française est beaucoup plus avantageuse que pour le reste de l’Union Européenne. Ils n’ont donc pas manqué de faire pression sur les pouvoirs publics français pour refuser une quelconque harmonisation européenne qui serait bénéfique pour les consommateurs !
Mais, proximité du pouvoir aidant, les pleureuses du spectacle ont réussi à attendrir nos élites qui n’ont en fait rien à leur refuser ; surtout que, c’est bien connu, les artistes sont tous de gauche sauf pour … le portefeuille définitivement placé à droite … très à droite.
Compte tenu des prix pratiqués et des faibles marges, il est peu probable que le marché du smart phone recyclé (hormis les Apple sensiblement plus chers) résiste à une telle taxe … car qui va acheter du matériel reconditionné s’il peut avoir mieux neuf pour moins cher ?
Accessoirement, à une époque où l’on nous explique qu’il faut sauvez la planète, il apparaît pour le moins contreproductif d’empêcher de facto le recyclage d’appareils qui seront purement et simplement mis au rebus au nom de la protection d’une corporation qui n’est pas vraiment dans le besoin !
Mais l’essentiel n’est-il pas de participer ?
Petite précision qui en fera sourire plus d’un : je n’ai pas de smart phone …
Bien cordialement à tous !
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Partager la publication "La rémunération pour copie privée, vous connaissez ?"
Les français savent que la situation de leur pays est mauvaise et ils redoutent de fortes augmentations d’impôts pour payer les conséquences de l’épidémie. Et comme ils n’ont, à aucun moment, décidé quoique ce soit à propos des dépenses qui ont été engagées et dont ils n’ont pas forcément été les bénéficiaires, ils estiment, pas forcément à tort, qu’ils n’ont pas à en subir les conséquences !
N’oublions quand même pas que la « gestion » par le gouvernement va nous couter 400 Md€ de dette supplémentaire …ce qui est loin d’être anodin !
En France, beaucoup d’économistes et de politiciens n’ont jamais manqué de nous vanter les mérites de l’endettement en nous expliquant que la dette n’était pas un problème et qu’elle était au contraire bénéfique.
Curieusement, ce discours semble désormais s’effacer devant les inquiétudes liées au montant astronomique de cette dette et, aujourd’hui, de bonnes âmes cherchent la solution miraculeuse pour nous sortir de cette situation et deux tendances se dessinent : l’annulation de la dette ou le cantonnement de celle-ci.
L’annulation de la dette
D’un côté, les souverainistes préconisent un Frexit et un retour au franc avec une forte dévaluation de la monnaie. Ce ne serait rien moins qu’un défaut déguisé puisqu’on rembourserait nos dettes en € avec des francs dévalués. En outre, cette opération, extrêmement lourde, ne serait d’aucune utilité tant que les problèmes structurels de la France (trop de dépense publique, trop de chômage) n’auront pas été réglés ; et ils ne sont pas près de l’être !
Car, aujourd’hui, la situation a ceci d’extraordinaire que l’Etat emprunte plus que ses propres recettes fiscales. On situe donc dans la dérive budgétaire complète et, au bout du bout d’un exercice somme toute périlleux et irresponsable, on sait que la situation va se bloquer à un moment ou à un autre.
Le premier effet du Frexit serait essentiellement une chute violente du niveau de vie des français avec un fort renchérissement de tous les produits industriels consommés en France et importés dans leur quasi-totalité ; produits qu’il faudrait payer avec des réserves de change en dollars, €, Yens ! En termes de revenus constants, il faudrait s’attendre à un doublement du prix des voitures, de l’électroménager, des smart phones et autres ordinateurs !
D’autre part, une centaine d’économistes viennent de leur côté de demander l’annulation de cette dette Covid ; cette demande reposant sur quatre constats :
-la dette est désormais trop élevée pour pouvoir être remboursée dans des conditions normales, et ce constat est aggravé par le fait qu’il existe un risque, à plus ou moins court terme, de remontée des taux d’intérêts. Si cette remontée se produit, elle va entrainer une explosion des déficits publics et une perte totale de solvabilité !
-l’application de mesures coercitives et spoliatrices pour boucher partiellement des trous béants ne ferait qu’aggraver les choses et mettrait, en outre, les français en colère contre leurs dirigeants ; bien que l’on ne puisse pas exclure une telle issue après les élections de 2022 ! On évoque, d’ores et déjà, des mesures à l’encontre de l’assurance vie, voire même du livret A, parce que les français, mauvais citoyens, persistent à accumuler de l’épargne et qu’il faudra donc bien aller chercher l’argent là où il se trouve !
-l’application de taxes sur les hauts revenus ferait fuir ce qui reste de « riches » en France, sans résoudre le problème ; même si c’est le souhait d’une majorité de français conformément au principe désormais bien établi qu’une fiscalité spoliatrice peut tout à fait être appliquée mais exclusivement … aux autres,
-la seule solution serait donc de ne pas rembourser ; ce qui revient à faire payer ceux qui ont prêté l’argent et quand le prêteur est la BCE, alors pas de scrupules, c’est de l’argent qui n’a rien couté à personne !
Le problème est que cet appel ne tire absolument pas les leçons des comportements passés !
Tout le monde souhaite inconsciemment bénéficier d’un crédit illimité …mais le distributeur de billets dans le salon ou la carte bleue sans plafond de paiement ne sont que des rêves tout éveillés car, quand vous bénéficiez d’argent gratuit en période normale, c’est qu’il a été pris ou va être pris à quelqu’un d’autre, et quand tout le monde en bénéficie à profusion c’est … qu’il ne vaut plus rien !
En d’autres termes, c’est une prime ou un encouragement à l’irresponsabilité, à la mauvaise gestion et à l’inconscience tant il est évident que l’on connait déjà la réponse à la question : voulez-vous un crédit revolving illimité étant entendu que lorsque vous aurez trop de dettes, on les annulera pour vous permettre un nouveau départ ?
Comment en est-on arrivé là ?
Essentiellement, à cause d’un système étatique qui vit au-dessus de ses moyens depuis … 1974 ; année à partir de laquelle nous n’avons fait qu’accumuler des dettes. Et le phénomène, relativement contenu jusqu’à l’arrivée de l’€, s’est littéralement emballé ensuite ; bien qu’il ne soit pas propre à la France puisque tous les pays du sud de l’Europe ont agi de même !
Avant 2002
Avant l’€, lorsque les dépenses dépassaient les recettes habituelles (emprunts et impôts), les Etats finançaient leurs dépenses par l’émission monétaire ; au prix évidemment d’une forte inflation (voir les années 75-85) et d’une dégradation de la valeur de la monnaie.
Ainsi, entre le 9 août et le 16 août 1992, la lire italienne a perdu 18 % de sa valeur face au dollar et fin mars 1993, elle avait perdu plus de 50 % de sa valeur ; c’est à dire que les italiens ont vu leur niveau de vie être divisé par deux !
N’oublions pas non plus les trois dévaluations en France entre 1981 et 1983 grâce à la politique dispendieuse des socialistes nouvellement arrivés au pouvoir. Le 4 octobre 1981 -3%, le 12 juin 1982 -5.75%, le 21 mars 1983 -8% par rapport à la DM ; soit au total presque 19% de dévalorisation du Franc en 3 ans !
En fait, les Etats dépensiers (et mal gérés) étaient limités dans leur mauvaise gestion car il y avait alors une sanction très rapide :
-Une hausse très forte des taux d’intérêts en cas d’emprunts excessifs,
-Une forte inflation et la dévaluation en cas de trop forte monétisation de la dette avec à la clé la ruine des nationaux.
Il s’agissait donc d’un véritable régulateur.
Depuis 2002
Avec l’arrivée de l’€, la monétisation de la dette par chaque Etat est devenue impossible puisque le privilège d’émission monétaire ressort de la seule compétence de la BCE et que celle-ci, conformément aux exigences allemandes, est indépendante du pouvoir politique.
Ne restaient donc à la disposition des Etats que les impôts et l’emprunt.
Comme le recours à l’impôt est limité par la capacité fiscale des individus, laquelle n’est pas infinie, le seul « moyen disponible » après épuisement du premier a été l’endettement et celui-ci a progressé dans des conditions gigantesques parce que Bruxelles n’avait aucun moyen d’empêcher cette fuite en avant ; ce qui d’ailleurs tord le cou à l’idée d’une dictature bruxelloise.
Avec l’arrivée de l’€, tous les verrous ont sauté ; ça été « open bar » pendant une bonne décennie. Les Etats dépensiers se sont mis à emprunter, à dépenser encore plus et à gérer encore plus mal sans en subir les conséquences : pas de hausse des taux d’intérêts (au contraire ils ont baissé) ni d’inflation jusqu’à la crise de l’€ de 2012.
Il n’y avait plus de régulateur !
Le meilleur exemple en a été la Grèce qui a pu financer à crédit toute son économie jusques et y compris les salaires des fonctionnaires et les pensions de retraite !
Et à partir de 2012, cette « belle mécanique » s’est enrayée et la mission de la BCE a alors été essentiellement de préserver le système et la solvabilité des pays membres de la zone € pour éviter des défauts en cascade en se livrant à une émission monétaire massive.
La BCE n’a fait alors que courir derrière les dettes des Etats membres et elle continue aujourd’hui à le faire !
Nous touchons là du doigt le vice originel du système monétaire européen !
Seulement, il ne faut pas se tromper de coupable : l’€ n’est pas responsable en tant que monnaie mais en tant que système, strict mais imparfait, qui n’a pas été respecté par les Etats dépensiers. Les vrais coupables sont les dirigeants des Etats incriminés qui ont abusé de la dépense publique, notamment à des fins électoralistes, en empruntant massivement, à des taux très bas, de l’argent qu’ils savaient ne pas pouvoir rembourser !
Le problème des débiteurs surendettés est toujours le même : La situation tourne à la catastrophe à la première difficulté et évidemment cela n’a pas manqué d’arriver alors que nos petits hommes gris de l’Etat ont toujours estimé qu’ils avaient encore du temps devant eux !
Ce n’est qu’une version moderne de la fable de la cigale et de la fourmi chère à Jean de la Fontaine !
Désormais, la situation se résume à peu de choses : Trop de dettes avant l’épidémie et encore plus de dettes après alors que la fuite en avant dans la dette ne peut mener qu’à la faillite car, se lancer ainsi à corps perdu dans la dette, c’est nier l’avenir et les risques de l’avenir. C’est même faire preuve d’un aveuglement coupable et c’est la raison pour laquelle les français font actuellement des économies : ils redoutent, sans doute avec quelques raisons, un avenir plus difficile.
Inévitablement, comme la BCE n’est pas la banque d’un pays mais d’un ensemble de pays, son action va se trouver à un moment ou un autre tiraillée entre les bons et les mauvais dont la France est devenue le chef de file ; et si les bons prennent le dessus, c’en sera fini du crédit illimité par l’impression monétaire dont bénéficient actuellement les mauvais.
On touche ici du doigt la différence de conception entre la France où la monnaie est un instrument au service du pouvoir et peut être manipulée sans vergogne, même s’il en résulte la ruine de l’épargnant, et l’Allemagne pour laquelle la monnaie est un bien commun qui ne se manipule pas !
Le cantonnement de la dette
Seulement, répudier la dette ou l’annuler, comme le demandent ces économistes, ou la rembourser en monnaie de singe comme l’envisagent les souverainistes est un jeu dangereux qui ferme le marché du crédit … définitivement alors que la France vit à crédit et que la dette française est détenue à plus de 60% par des créanciers étrangers !
Alors, fatalement on en vient à une autre solution, préconisée notamment par F Bayrou, le haut-commissaire au plan : cantonner la dette dans une structure de défaisance ou une caisse d’amortissement, jusqu’en 2030 !
Après avoir cantonné les français, on va donc cantonner la dette … avec le même succès car, c’est évidemment une fiction financière ; un peu comme si un particulier décidait de « placer » ses dettes sur un compte spécial en expliquant à ses créanciers qu’ils seront payés plus tard … autrement dit, on creuse un trou dans la terre et on y enterre la dette en espérant qu’elle n’en ressorte pas !
En fait, faute de solution, on cherche encore une fois à gagner du temps en espérant que, d’ici là, la situation se soit tellement détériorée pour les autres pays de la zone € que personne ne viendra nous en demander le remboursement car, il faut être lucide, en 2030, après avoir constaté qu’on ne pourra toujours pas la rembourser, on décidera d’en repousser à nouveau le remboursement à plus tard !
Ce n’est donc évidemment qu’un expédient comptable, parce qu’il faut être lucide, cette dette sera mise sur un compte d’attente alors que, pendant ce temps, la dette globale, elle, va continuer à augmenter puisque la France est structurellement déficitaire depuis 1974 et qu’aucune réforme visant à la réduction des dépenses publiques n’est engagée ni même prévue !
Autrement dit, le cantonnement n’est pas une solution à nos problèmes de dettes ; ce n’est rien moins qu’une forme de défaut différé dont la moralité est pour le moins douteuse puisqu’il s’agit clairement d’un transfert aux générations futures de problèmes qu’on ne veut pas résoudre aujourd’hui !
En fait, la seule solution est double : d’abord rembourser et ensuite ne plus s’endetter pour ne pas avoir de dettes ; plus facile à dire qu’à faire !
Finalement, on le voit, il n’y a pas vraiment de solution autre que celle de payer nos dettes mais nul doute que lors de la campagne pour les prochaines présidentielles de 2022, nous allons assister à un festival de propositions miraculeuses, toutes plus farfelues les unes que les autres, pour sortir les français de ce guêpier !
Bien cordialement à tous !
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Partager la publication "Deux tiers des français seraient pour l’annulation de la dette Covid !"
Chaque élection s’exerce dans un cadre de potentiel changement que ce soit au niveau local ou au niveau national. Notre administration pléthorique surfe sur le Trend pour s’étoffer et s’immiscer au plus profond de la vie de ses administrés, à titre particulier ou professionnel. Car au bout du compte, rien ne change, au profit de la complexité, le fonds de commerce de notre administration qui n’a pas manqué d’ailleurs de prévoir ses propres tribunaux d’exception en cas de contestation à côté du droit commun.
Nous sommes donc en présence d’un totalitarisme arbitraire sous couvert de démocratie, qui peut certes être contesté à grand frais pour rarement un gain de cause.
Ceux qui suivent cette administration sous l’étiquette de défense de la condition humaine ou de la veuve et de l’orphelin émargent en épousant ce système qu’il ne s’agit en aucun cas de remettre en cause. Ces bonnes œuvres traitent en fait les conséquences et ne remettent jamais en question les causes. L’intérêt bien compris d’exister et de prospérer selon : aider avec des pansements en bonne conscience, charité sous couvert de solidarité initiée, car défaillante d’un Etat si prospère.
Les médias
Vaste sujet. Un ou une journaliste doit-il être objectif ou subjectif ? Censeur ou ouvert ? Nous sommes quelques parts sur ce Blog des journalistes. Sommes-nous censeur ? Bien sûr que non. Objectifs ou subjectifs alors ? Je dirais l’un et l’autre, car nous exposons les faits et nous traduisons une opinion.
Mais jamais nous ne serons une force Main Stream, capable de fédérer une opposition pour renverser la table. Le Main Stream journalistique est un pseudo droit régalien qui s’exploite actuellement et assidument par un capitalisme de connivence entre l’Etat et de grands faiseurs capitalistiques incontournables pour la masse de notre population.
Et puis, nous pouvons être fermés ad-nutum, dans l’esprit d’une Stasi que nous pensions avoir laissée derrière nous.
Entre parenthèses, le site France Soir émergé de sa funeste fin de partie par la presse écrite est aussi jugé sensible, car devenu indépendant ; même sort non réservé à Médiapart, professionnel de la connivence et du collectivisme ambiant, le découvreur de cadavres dans les placards qui ne rompt pas avec la continuité …
Le candidat révolutionnaire
Est-il émergé des expressions de résistance des « Bonnets Rouges » en Bretagne contre l’écotaxe ? L’est-il encore du mouvement national des Gilets-Jaunes ? Rien, nada !
Néanmoins, l’action des « Bonnets Rouges » a fait reculer l’Etat dans ses lettres de cachet pour des routes à rentes au profit de l’inquisiteur.
Il nous faut arrêter de croire en cette idée du grand sauveur par la démocratie électorale qui n’est que le clone de gens qui l’élisent dans le principe de précaution réfutant risque et responsabilité individuelle. Esprit vertical du roi absolu, du bonapartisme, du transfuge à la tête de la cinquième constitution, du Pharaon ou du Führer qui décidément perdure …
Le seul candidat ou celle versus féminin pourra s’ériger du chaos irrésistible et insurmontable du collectivisme à venir. Du Schumpeter en quelque sorte Qu’on en finisse enfin avec ce Mur de Berlin que l’on croyait avoir achevé.
Bien à vous !
Partager la publication "Il ne peut y avoir aucun candidat au salut de la France …"
Désespérément, les masques continuent de ne pas tomber. Au contraire, ils sont désormais comme chevillés aux visages de leurs porteurs. Avec ce corollaire : qui porte le masque veut à tout prix se faire vacciner, s’il ne l’est pas déjà. Avec cet autre corollaire, avec un porteur de masque provaccin à tout prix, ne cherche pas le dialogue, il n’y en a pas de possible. Penser autrement que le prêt-à-penser délivré par les gouvernements et les médias aux ordres, c’est immédiatement mériter l’étiquette « complotiste ». Et mériter l’étiquette complotiste, c’est comme d’être mort : plus droit à la parole.
Le nombre de « cas » explose ? Peu importe, ce qui compte, c’est le taux de létalité, qui lui reste désespérément stable et bas, depuis le dernier mois de mars. Mieux, depuis quelques semaines, il continue de baisser. Qui dit cela ? Par exemple, la généticienne, reconnue pour la qualité de ses travaux dans le monde entier, Alexandra Henrion Caude.
– Alexandra Henrion Caude ? Une complotiste. Circulez, rien à entendre.
La scientifique Astrid Stückelberger, docteur et auteur, qui a collaboré à l’ONU comme à l’OMS, démontre que la pandémie Covid n’existe pas, et que les mesures restrictives de liberté sont absurdes et les vaccins très dangereux ?
– Encore une complotiste, aucun intérêt.
Dans un entretien tout à fait récent, le professeur Raoult fait part de plusieurs avis proprement renversants :
Les mesures de confinement, de distanciation, de lavage des mains et autres désinfections ont peut-être joué un rôle bénéfique sur la quasi-disparition des affections respiratoires et digestives, mais n’ont eu strictement aucun effet sur le Covid : toutes les mesures pour contrôler le Covid sont inefficaces.
Des travaux réalisés par les Chinois sur le SARS 1, virus fort proche du Covid ont montré que la contamination ne se faisait ni manuellement, ni par contact direct, mais qu’elle s’était produite sur des distances de plus de 200 mètres.
L’inutilité des mesures de confinement, même les plus strictes, est démontrée par… les élevages de visons : tous confinés de manière individuelle dans leurs cages, et malgré cela, tous atteints par le virus…
Conclusion : lutter contre la propagation du virus est à ce jour aussi inutile qu’absurde, tout simplement parce qu’on ne sait pas comment cette propagation se produit. Il ne faut pas lutter contre le virus, mais soigner les gens.
– Le professeur Raoult ? Non seulement un personnage « contesté », mais en outre, un complotiste.
Exit le professeur Raoult.
Les deux pays qui ont le plus vacciné leurs populations, Israël et la Grande-Bretagne, ont des résultats qui au minimum posent question. Une spectaculaire augmentation de la mortalité après vaccination en Israël, rien de rassurant pour ce qui concerne le Royaume-Uni. Pardon, qui dit cela ? Le professeur Gérard Delépine.
– Gérard Delépine ? Encore un complotiste ! Tout comme sa femme, Nicole Delépine, en pire peut-être ! À éliminer.
Le collectif United Health Professionals lance une campagne d’alerte internationale sur l’épidémie de Covid-19 : un courrier extrêmement documenté, adressé à tous les chefs d’état demande l’arrêt immédiat de toutes les mesures sociales coercitives en vigueur, confinement, port du masque, vaccinations obligatoires…
– Le collectif United Health Professionals ? De dangereux conspirationnistes complotistes !
Vous l’auriez deviné.
Pourtant ce collectif conspirationniste cite… pas moins que le patron du conseil scientifique français, le professeur Delfraissy qui s’est inquiété dans une lettre au BMJ : « des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus… voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »
– Delfraissy, un conspi…
Non, cette fois, ça ne marche pas, il faut autre chose.
– Une phrase sortie de son contexte, et qui signifie en fait le contraire de ce qu’elle signifie !
Ah bon. Expliqué comme cela…
Des textes, des interviews, de la même veine que ceux que je viens de citer, on pourrait en présenter des pages entières, mais en vain…
– Tous des complotistes, je vous dis !
Pourtant, je vous pose une question assez simple : qui a le plus de chance d’être de fait un complotiste : le chercheur indépendant de toute oligarchie financière, ou la personne dont les mains sont toutes collantes de la confiture de conflits d’intérêts ?
Dis-moi qui te paye, je te dirai si je te crois !
Cela dit, une croyance majoritaire inconditionnelle en une pandémie qui n’existe plus, guérie par des vaccins qui ne protègent pas des confinements sociaux indéfiniment prolongés par les états, je ne vois pas très bien où cela mènera…
Maintenant, vous ferez comme vous voudrez…
Bormes les Mimosas, 27 février 2021
Quelques sources (parmi tant d’autres, facilement disponibles sur le Net) :
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