Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Ramener l’homme au rang du loup, voire de la panthère des neiges, est une insulte à l’humanité.

Croyance et science sont incompatibles. Je ne me permettrai pas de critiquer l’ouvrage de Yuval Noah Harari « Sapiens », de remettre en cause sa théorie des croyances fédératrices ayant permis à l’homo sapiens de s’imposer. D’une part je n’ai pas les compétences nécessaires pour cela, d’autre part l’idée que la masse puisse imposer les plus lourdes erreurs ne me choque pas. Que l’homo sapiens n’était peut-être pas la meilleure solution non plus.

Ainsi, que la croyance soit la plus grave erreur possible, qu’au contraire le doute soit l’outil salvateur de l’homme, me parait la raison, le moteur de l’humanité.

La science, fille du doute, sait qu’elle ne sait pas. Que ce qui est acquis aujourd’hui peut s’avérer totalement faux demain. Le scientifique qui n’est pas pénétré par cet état d’esprit s’expose au risque d’être in fine un charlatan.

Bien sûr la nature est spectaculaire et l’humanité pas vraiment ou pas autant. Bien sûr la nature est gigantesquement puissante et l’humanité pas vraiment ou pas autant.

Il n’en reste pas moins que le parcours des hommes est hors du commun, peut-être illimité, c’est le seul défi digne d’intérêt.

Je vous sens perplexe : « Jusqu’à quand Dumas va-t-il enfoncer des portes largement ouvertes ? »  Vous avez parfaitement raison et je vous rassure, je ne quitte pas les sujets que je connais.

J’en reviens donc aux sachants et à leur mise en responsabilité, sans laquelle toutes les dérives sont possibles.

Au passage vous remarquerez que les croyances font toutes appel à des sachants, un clergé initié qui n’est responsable de rien puisque le responsable est toujours Dieu. Confortable, non ?

Donc, en ce qui concerne la science, elle aboutit normalement au progrès, qui ensuite modifie, souvent profondément, notre vie, notre biotope.

Pendant des millénaires la science, qui ne savait même pas qu’elle était la science, a imposé les conséquences de ses progrès de façon empirique, après que le temps eut classé ses résultats, conservant les utiles éliminant les inutiles.

Récemment l’humanité est devenue si puissante, si riche, qu’elle a eu les moyens de mettre en œuvre ses découvertes sans que le temps, l’histoire, aient passé et trié le bon grain de l’ivraie.

En agissant ainsi elle s’est exposée, et s’expose toujours, à subir, à grande échelle, les conséquences dommageables de découvertes scientifiques erronées, qui ne seraient donc plus que de banales croyances avec leur cortège de dégâts largement connus.

L’humanité court le risque, grave, d’être précipitée, par les sachants, dans des applications lourdes, peut-être irréversibles, de théories scientifiques qui s’avèreront trop tard complètement fausses.

Donc, et c’est l’objet de ce billet, il n’est qu’une seule solution, si nous ne voulons pas répéter à l’infini les dégâts infligés par les croyances qui tuent ou amènent la régression, c’est de tenir pour responsables les sachants de la mise en œuvre de leur savoir, quelque soit le niveau où ils le font.

Ainsi, s’ils ne sont pas des adeptes du doute salvateur, nous le mettrons dans la boucle pour eux et nous nous protégerons des folies de son absence.

Cela vaut pour tous les fonctionnaires-sachants de notre environnement, pas que pour les écolos…

Bien à vous.

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L’honneur des fonctionnaires et l’avenir de La France étroitement mêlés.

Je lis ou j’entends, à droite et à gauche, une abondance d’explications sur la situation politique du pays. Je suppose qu’il en est de même pour vous.

Chaque spécialiste ou acteur, réel ou simplement convaincu, y va de son explication. Globalement deux accusés sont mis en avant : les Français ou leurs élus.

Aux premiers il est reproché une immaturité politique qui les ferait passer à côté de la bonne croyance qui par leur faute n’est pas majoritaire, aux seconds un gout prononcé pour le mensonge et une passion pour leurs intérêts personnels, accompagnés de différentes imperfections simplement humaines mais à eux interdites.

Tout cela restant dans la pensée pure, dans un absolu, qui considère comme base de toute organisation politique la nécessité d’une croyance et la soumission à cette croyance. Sans compter les versions « complot » surabondantes.

Ce n’est pas ce que je vis chaque jour qui passe.

Je vois des Français lucides, qui savent pardonner mais s’étonnent des contraintes matérielles qui leurs sont imposées, du coût de leur participation à un fond commun qui ne génère pas les retours qu’ils pensent être en droit d’en attendre, qui regardent avec stupéfaction les farfelus qui cherchent à les entrainer dans des croyances auxquelles, avec raison, ils ne croient plus depuis longtemps.

On leur parle de quatrième, de cinquième république, et on leur assène qu’il leur faudrait une sixième république, qui en gros aurait pour mission de les voir « bien voter » !!!

On leur parle de déficit mortel, imputable à leurs voisins, proches ou lointains.

Mais : pourquoi sont-ils ruinés ? Pourquoi sont-ils frustrés ? Pourquoi sont-ils marginalisés quand il s’agit de leur collectivité ? Pourquoi celle-ci devrait-elle être inévitablement en contradiction avec leurs intérêts personnels ? Pourquoi devraient-ils vivre un conflit politique constant, alors qu’aux conflits politiques ils ont déjà donné tant de vies ? Pas de réponse satisfaisante.

Et pourtant les choses sont simples, si semblables à l’œuf de Christophe Colomb.

Les marginaux qui suivent ce discret blog savent qu’un troisième pouvoir : « les sachants », cherche sa place, ou plutôt parait se complaire dans l’effacement actuel qui lui procure le pouvoir sans responsabilité.

Hier j’ai rencontré une « sachante », aujourd’hui je vous fais part des réflexions que j’en ai tirées.

C’est la responsable de l’urbanisme d’une agglomération connue, de moyenne importance. Je souhaitais évoquer avec elle des projets d’urbanisme incohérents parce que victimes d’intérêts divergents qui les empoisonnent.

Elle a refusé de me recevoir, me disant ceci : « M. Dumas, je suis une fonctionnaire, je suis sous la dépendance des élus qui sont les seuls dont je dois recevoir des directives et à qui je dois rendre des comptes. Je ne peux pas vous rencontrer et écouter votre version des projets en cours. »

Tout les problèmes du pays sont résumés dans cette explication. C’est le nœud du drame que nous vivons.

Car enfin, cette fonctionnaire, contrairement à ce qu’elle prétend, n’est pas au service des élus, mais bien au notre. C’est nous qui la payons et elle travaille pour notre bien. Elle n’est pas une salariée des élus, elle n’est pas au service de leurs intérêts personnels, de leur réélection.

Certes elle est peut-être nommée plus par affinité politique que pour ses compétences, mais alors ce n’est pas normal. C’est un abus de pouvoir, une corruption.

La réalité est que c’est bien elle qui a le pouvoir en tant que « sachante ». Mais, son irresponsabilité statutaire fait que sa responsabilité est reportée illégitimement sur l’élu, et c’est là tout le problème.

Toutes les structures de notre pays fonctionnent sur ce principe de base : les élus sont tenus pour responsables de millions de décisions qu’ils ne contrôlent pas ou peu, prises par des fonctionnaires irresponsables.

Comment modifier une situation si l’on demande des comptes à des personnes qui n’en sont pas responsables ? Impossible.

La seule solution pour sortir de l’impasse dans laquelle nous sommes est que les sachants — donc dans le cadre de notre collectivité les fonctionnaires — soient responsables de leurs actes et prennent conscience qu’ils sont à notre service, même si dans la pratique nos mandataires, les élus, peuvent leur transmettent nos souhaits, être une interface entre eux et nous.

Seule cette chaine de responsabilité est en mesure de nous sauver. Pas besoin de nouvelle république. Pas besoin de révolution, de nouvelles croyances.

Juste un changement de statut des sachants, la suppression des Tribunaux Administratifs dont l’unique but est de rendre les fonctionnaires irresponsables.

C’est peu de chose mais l’effet sera radical pour nous et largement bénéfique pour les sachants ou fonctionnaires qui passeront de l’ombre à la lumière et retrouveront ainsi leur honneur, actuellement en berne. Y compris pour l’école de leur élite : l’ENA.

Bien à vous. H. Dumas

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Pourquoi, peut-être…

Yves Marchand signe un papier qui saisit, avec une grande justesse et un humour glacial, l’invraisemblable situation de notre pays.

Cette situation est-elle une surprise, ou une simple logique inscrite depuis longtemps dans la constitution ?

Je penche pour la deuxième hypothèse.

Il me semble que la constitution de la Vème république visait – en mettant en place le scrutin majoritaire — le bipartisme, qui à l’époque paraissait la méthode la plus rationnelle pour diriger un pays, elle donnait alors satisfaction au maître du monde : les Etats-Unis.

En réalité, le centre y était masqué, mais il gérait le tempo des extrêmes qui se rangeaient derrière lui et teintaient légèrement son appartenance.

Il n’apparaissait pas alors que le bipartisme pouvait avaler le centre et mettre face à face deux extrêmes proches du point de rupture démocratique, faisant alors surgir la menace du pouvoir politique pur et dur, de l’affrontement matériel, de la guerre civile. Pourtant ce n’était que logique.

Et maintenant, réfléchissons, simples hypothèses…

Définissons les pouvoirs en présence.

Ils sont donc trois. Le pouvoir politique, c’est la force, la loi, les fusils. Le pouvoir économique, c’est le commerce et l’industrie qui fabriquent ou échangent tout ce qui est indispensable à la vie, sans lui il ne peut pas y avoir de vie. Et le petit dernier, le pouvoir de l’information, du savoir en règle générale, qui n’est plus accessible globalement par un seul individu, dont l’émiettement et la spécialisation ont multiplié les « sachants ».

Ces trois pouvoirs s’allient ou se déchirent au gré des vents du moment. Le plus puissant est le pouvoir économique, capable grâce à cette puissance de s’allier avec n’importe lequel des deux autres.

L’église catholique, qui a pris d’abord le pouvoir politique par la croyance — comme c’est toujours le cas dans le cadre du pouvoir politique – n’a atteint son apogée que lorsqu’elle a fait main basse sur le pouvoir économique, qui in fine l’a dévorée.

Il arrive la même aventure avec la croyance égalitariste, baptisée socialisme, aux multiples variantes telles que le communisme, l’écologie, le syndicalisme, etc…, qui dans certains pays a scellé le pacte du diable avec le pouvoir économique, voir la Chine, la Russie…

Sont nés de cette fusion des ensembles a vocation hégémonique, d’une puissance incontrôlable, qui risquent de tout emporter, momentanément…

Mais le pouvoir des sachants, le troisième et récent pouvoir, qui avance actuellement masqué, ne peut pas se contenter de faire figuration, alors qu’il se considère — et est peut-être – le plus puissant, le plus indispensable.

Ces conflits de titans entre pouvoirs sont la trame de tout, invisible évidemment.

Stratégie

Les pouvoirs ne sont pas maitrisables, ils n’appartiennent pas aux hommes, même si ce sont eux qui les exercent ou les subissent. Il faut donc les traiter comme des entités à part entière.

L’intérêt aujourd’hui, pour affaiblir l’alliance conjoncturelle et dangereuse entre le pouvoir économique et le pouvoir politique, est de favoriser la venue au grand jour du pouvoir des « sachants ». Ce contre quoi se battent les pays ou l’alliance politico-économique est actée, fixée solidement.

Dans ce cadre, la liberté, toute la liberté, sans limite, des réseaux sociaux, de l’information par tous les canaux possible, l’exigence de la transparence, sont un devoir absolu.

Car il est une constante : le pouvoir doit-être combattu, sous toutes ses formes, c’est la seule façon de le rendre raisonnable, car quoiqu’il lui soit fait il perdure… tant il a des raisons d’être. Mais il n’en a aucune de devenir abusif, ce que pourtant il devient naturellement.

Je rappelle que la résistance est un droit constitutionnel.

Alors, faut-il une nouvelle république, une nouvelle constitution ?

Voilà une énigme affolante. Qui la ferait cette nouvelle constitution ? Pourquoi serait-elle mieux ? Ou plutôt, pour qui serait-elle mieux ?

Peut-on répondre à ces questions ?

C’est une peu : quelle est la meilleure religion ? Aucune, et ce n’est pas la question.

La question est : comment faire pour que les hommes se supportent, éprouvent du plaisir à vivre ensemble ?

La réponse est : c’est un problème personnel, que chacun doit régler avec lui-même, qui ne peut pas être régler par le voisin, aurait-il même des fusil, de la fortune ou une grande culture…

Le libéralisme est une philosophie, pas une définition économique.

Bien à vous. H. Dumas

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Macron et Sainte-Soline

Objectivement, je n’avais pas une grande attirance pour Macron, représentant caricatural de cette troisième force — que j’appelle les « sachants » — qui possède le pouvoir en France et dans le monde occidental à travers la bureaucratie publique — populairement nommée «les fonctionnaires» —

Cette force a la prétention de se substituer à la force politique et à la force économique qui se partagent le pouvoir depuis le 18ème siècle. Ou, a minima, de les dominer.

Il faudra bien qu’un jour elle s’intègre, démocratiquement…

En attendant ce jour, cette troisième force, que l’on devine derrière la marionnette Biden à qui elle donne un semblant de vie, s’est donc exposée en première ligne en France avec Macron.

Objectivement, elle a subi un grave revers lié à son manque de connaissance et de respect pour la démocratie, et à son goût du pouvoir absolu dissimulé en deuxième ligne avec tout ce que cela suppose d’hypocrisie et de mensonges.

Est-ce une raison pour que Macron subisse « la bronca » qu’il subit ? Qui me le rend presque sympathique.

Car enfin, qu’a-t-il fait finalement ? Une photographie, un sondage vrai, du niveau politique des électeurs de ce pays.

Et ce niveau ? Une catastrophe : les Français sont immatures politiquement, incapables de discerner les mensonges les plus gros, les ficelles les plus éculées. Ils refusent de voir les choses en face et sont prêts à s’embarquer vers n’importe quelle promesse, se hâtant de courir vers l’irresponsabilité, de confier leur vie au premier prédicateur fou qui annonce qu’il suffit de dépenser pour exister.

Ils ont pillé le monde pendant des siècles, ils croient que c’est leur droit, qu’ils vont pouvoir continuer sans limite, alors que c’est l’inverse qui se profile. D’autres estiment que c’est leur tour…

Galop d’essai à Sainte-Soline.

Des zadistes, venus parait-il de partout – aux frais de qui ? –, veulent en découdre au moment des Jeux Olympiques pour profiter de la venue des caméras du monde entier.

Juste au moment où le pouvoir politique est chancelant, à cause de Macron diront certains, je dirais plutôt à cause des surenchères de Mélenchon parfaitement illégitimes, y compris mathématiquement. Mais n’est-il pas Trotskyste ?

Dans la tête de ces zadistes, je suppose que Sainte-Soline pourrait-être une mèche pour allumer la bombe révolutionnaire.

Abrités derrière une écologie particulièrement approximative ici, ils peuvent provoquer l’incident qui sera relayé et amplifié par Mélenchon et ses troupes, plus tous ceux qui penseront y trouver un avantage personnel. Jusqu’où ? C’est le problème. Nous verrons bien.

Une chose est sure, nous sommes et nous serons loin de l’intérêt de la nation, le désordre ouvrira un espace libre pour toutes les ambitions les plus malsaines, les plus personnelles ou corporatives. C’est là que le niveau zéro de maturité politique des Français nous mènera au carnage.

Et Macron ?

Espérons que son “épouse-maman” saura le consoler et l’éloigner de la scène publique, où il ne ferait — par sa seule présence — qu’aggraver la situation.

Tout cela s’intègre, sans doute naturellement, sans complot, dans un mouvement mondial visant à redistribuer les cartes des pillards et des pillés.

Car, depuis que l’homme existe, le pillage est sa principale activité. Il ne fait pas exception à cette règle naturelle, vitale aussi bien dans la jungle que dans les salons littéraires les plus huppés.

A l’inverse, ne pas piller est l’honneur le plus haut. J’ai eu cet objectif toute ma vie, mon honneur est sauf, mon porte-monnaie est en friche et les pillards me harcèlent…

Qui puis-je ? Rien, ça au moins aujourd’hui j‘en suis sûr.

Un ange passe, accompagné d’une bande de magistrats…

Bien à vous. H. Dumas

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Comment ai-je pu avoir confiance en ces gens ??

J’apprends aujourd’hui, en me déplaçant au Tribunal Judiciaire de Montpellier, que le 3 juillet 2024, c’est-à-dire mercredi dernier, j’ai été condamné, par juge unique, à six mois de prison – avec sursis – à une interdiction de fréquenter le Greffier en Chef du Tribunal Administratif de Poitiers – que je n’envisageais pas de fréquenter ni de harceler contrairement à ce que fait avec moi ce fameux tribunal et les autres – et à un stage de citoyenneté !!!

Je vous rappelle rapidement l’affaire en question : https://temoignagefiscal.com/piege-judiciaire-premedite/, dont l’article de mon blog accessible avec ce lien était en réalité ma plaidoirie, tout y est vrai.

Quand même.

Je n’en reviens pas. Depuis que je suis tout petit, enfant, on m’a donc menti. Le même coup que pour le Père Noël ?

J’ai toujours fait confiance à la justice, comme on m’a incité à le faire. En cas d’échec je me disais : « Tu t’es mal expliqué. Ils sont débordés, il faut que tu sois plus précis. L’appel sera plus réfléchi, les magistrats y sont moins débordés, plus soucieux de l’organisation sociale. Tu es mal tombé, ça va s’arranger un jour. Ils vont bien finir par voir que c’est Bercy qui te maltraite, qui te harcèle, qui est dangereux, qui mène le pays à la ruine, aux conflits sociaux, à la haine des autres, etc… ». Grave erreur…

Peut-on davantage se tromper, avec des conséquences aussi graves ?

Abasourdi je me dis : « Qui est le délinquant, moi ou eux ? »

Cette question vaut-elle la révocation de mon sursis ?

Et pourtant à 80 ans, je peux revendiquer plusieurs choses :

  • Je n’ai jamais été corrompu, je n’ai jamais touché une somme, ou reçu un avantage, qui ne soit issu de mon travail et un simple pourcentage de ce que j’avais fait gagner à mes clients.
  • Je n’ai jamais dépendu de l’Etat, j’ai toujours payé mes impôts et donné une partie de mon temps à des activités bénévoles.
  • J’ai élevé mes enfants et assumé la vieillesse de mes parents, sans aide de l’Etat.
  • J’ai cotisé 40 ans à une caisse obligatoire, qui me verse 480 € de retraite par mois…

Eux, je dis eux, je veux dire les hommes de l’Etat et leurs affidés — dans lesquels, à ma grande stupeur, je dois compter la justice, qui rend l’ordre des hommes de l’Etat et non la justice –, ils m’ont massacré, gratuitement, dans le cadre de leurs croyances — et de la terreur qui rendent ces croyances obligatoires pour tous, même si elles sont de fait incompatibles avec notre constitution — qu’ont-ils fait :

  • Ils ont inventé un redressement fiscal inexistant. Ils m’ont attribué le titre infament de « fraudeur fiscal », uniquement dans le cadre de leurs connivences corporatistes entre tenants du pouvoir, entre fonctionnaires malsains. Car ne l’oublions pas il est des fonctionnaires honnêtes, même très honnêtes, mais ils n’ont sans doute pas intérêt à se montrer, ils risqueraient gros. Vous imaginez la vie du magistrat qui prendrait ma défense ?
  • Ils cassent mes projets professionnels, pour cela ils ruinent des propriétaires et se ruinent eux-mêmes à La Rochelle dans le cadre du transfert de l’hôpital… je vous raconterai.
  • Ils me harcèlent, cherchent constamment des motifs pour me ruiner, bloquer tous mes comptes, saisir et vendre tous mes biens, y compris les plus personnels – le jardin de ma maison –,
  • Ils ont inventé un dossier de délinquance contre moi, exclusivement à base de provocations de la police routière et de qualification en diffamation de ma liberté de parole et de pensée — pourtant bien sage par rapport à ce que l’on entend tous les jours – qui dénonce les escroqueries de Bercy, administration plus sacrée que toutes les religions du monde. Ils disent que je blasphème, ou que je diffame ce qui est pareil, quand je critique cette administration, cancer mortel du pays.

Je vais devoir faire appel, quand je recevrai le jugement, mais rien ne changera, je risque juste que ce soit pire.

Quand je vois mon pays donner des leçons de civilisation au reste du monde… j’en suis baba… Quel cauchemar.

Mais il y a toujours pire, en effet, aujourd’hui, face aux trafics de voix à grande échelle, de tous bords, à la corruption morale des élus qui passe pour du génie, j’ai la nausée pour notre « démocratie »,

Vous connaissez ma consolation ? Je suis né un deux août, date qui a vu la magistrature condamner à mort, par contumace, le Général de Gaule… Résistons, résistons…

Bien à vous. H. Dumas

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C’est fait. La France est nue face à sa vérité.

Les hommes de l’Etat ont acheté la France.

Les électeurs ont avalé toutes les couleuvres que Bercy et la fonction publique leur ont présentées. Ils ont vendu leur liberté, leur responsabilité, aux plus menteurs, aux plus cyniques, aux plus corrompus. Il n’y avait aucune porte de sortie.

Et maintenant ? Que vont-ils faire ces élus et leurs électeurs ?

C’est très simple, ils vont se piller entre eux, puisqu’ils ne souhaitent et ne savent faire que ça…

Ils ont fait le plein de la moissonneuse fiscale, ce matin Bercy pète le feu, le doigt sur le démarreur. Demain les marchés vont exiger que la guillotine fiscale donne à plein. Tout est prêt. Bonjour la misère, totale et irréversible.

Vous dire que je suis déçu ? Même pas. Incrédule ? Oui, c’est certain.

Incrédule et stupéfait, mais pouvait-il en être autrement ? Non.

Oui mais, disent certains, la France est un grand pays elle a survécu à des catastrophes d’une autre ampleur, et de citer : Sedan, Verdun, la débâcle, etc…

Dire cela est aussi une escroquerie, les victimes de ces catastrophes, elles, n’ont pas survécu. On les oublie ? Elles passent en pertes et profits ? Ce n’est pas sérieux…

Non ce matin la France se réveille comme elle est : con.

De grandes souffrances nous attendent. Plus tard leurs auteurs seront absous et leurs victimes oubliées, comme d’habitude.

Le café de ce matin est amer. Bien à vous. H. Dumas

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La France soumise, vaincue. La liberté éradiquée.

Pas un seul candidat libéral.

De trahisons en corruptions les hommes de l’Etat ont livré la France aux extrêmes, pieds et poings liés. Tout cela démocratiquement, c’est-à-dire avec l’aval des Français qui, par leurs votes, ont acquiescé à cette folie.

La question qui est posée dimanche : Quel extrême sera le moins extrême ?

Ou encore : Quel extrême sera le moins mauvais perdant ?

Et vous vous sentez obligé de voter ?

Les hommes de l’Etat qui nous ont amené à ce choix impossible portent une responsabilité historique.

Leurs complices aussi. Je citerai dans l’ordre :

  • La Justice, arbitre tricheur qui a failli à sa mission de dire le juste et de punir le mensonge, de le traquer au profit de la vérité. Qui n’a été qu’un outil de l’ordre, ou plutôt du désordre.
  • L’Education nationale sélectionneur tricheur qui a abusé de la crédulité des parents et des enfants, ou plutôt de leur vanité, et qui a capté iniquement la sélection sociale à son seul profit pour ensuite la politiser et rogner les libertés de penser.
  • La police nationale qui s’est transformée en milice au service du pouvoir politique en fonction des opportunités, des croyances de chacun de ses membres.
  • Les fonctionnaires de base qui, tout à la joie de leur planque et de leur irresponsabilité, ont dénaturé l’idée d’engagement, de résultat, de compte à rendre, de mérite, etc…, au profit de l’appartenance, du copinage, du soutien corporatif.
  • La presse qui a colporté les ragots séduisant son lectorat, au détriment de la recherche de la vérité.
  • Les acteurs économiques mus plus par la cupidité immédiate que par le service et la qualité de leurs produits.
  • Les élus, pauvres bougres en quête de notoriété, dissimulant leur vacuité par le bruit de leurs discours et l’avalanche de leurs lois liberticides et inconsistantes.

C’est beaucoup de monde.

Il en reste peu pour faire marcher la machine. Pas assez. Elle va donc s’arrêter. Le vote de dimanche n’est que l’aveu de l’échec.

Lundi nous rentrons dans le processus de fin. Nous laissons à nos enfants un territoire dévasté, où les libertés sont absentes, où les contraintes sont inconnues.

Les forces de démolition vont-elles venir de l’intérieur ou de l’extérieur, ou des deux ?

Nos enfants vont-ils faire face ? Je crois que oui, qu’ils sont armés pour se défendre, mais je ne saurais décrire ni pourquoi, ni comment… A eux de jouer.

Bien à vous. H. Dumas

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A tous ceux qui font semblant de ne pas comprendre

Vous savez ce que je crois ?

Je crois que tout le monde sait ce qu’est l’intégrité, le respect de l’autre et de sa propriété, de ses biens, de son être, de sa vie. Tout le monde comprend le sens de l’honneur, de l’intérêt collectif, du devoir, du bien et du mal, du mérite, de l’effort, du travail, de la conscience. Mais tout le monde s’en fout.

Tout le monde préfère se vautrer, piller, voler, tirer au flan, être irresponsable.

Tout particulièrement ceux qui accèdent au privilège suprême du pouvoir occulte, sans risque, masqué. Du pouvoir que l’on exerce en faisant porter à l’autre le chapeau des conséquences, car il y a toujours des conséquences à l’exercice du pouvoir.

Le problème n’est pas français, il est mondial.

Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’expliquer les deux pouvoirs apparus l’un après l’autre, le pouvoir politique, puis le pouvoir économique, sont confrontés à un nouveau pouvoir, le pouvoir du sachant.

De celui qui sait, qui connait une partie du savoir global aujourd’hui morcelé à l’infini, car spécialisé à l’infini.

Celui-là est indispensable, il est le marionnettiste des guignols qui tiennent leur pouvoir de l’idée qu’ils sauraient agir en politique ou en économie, alors que c’est lui qui tire les ficelles.

Ils sont ses otages, à tous les niveaux, du plus petit guichet de la poste à La Cour de cassation, à l’Elysée.

Hommes d’affaires ou hommes politiques qui se pavanent, aucun ne maîtrise l’espace qu’il est censé commander, dominer, ordonner. Ils sont tous les otages de leur bureaucratie, bodybuildée à l’informatique.

Qu’on l’appelle fonctionnaire ou service privé de conseil, cette caste a le pouvoir et écrase les libertés. Politiques et hommes d’affaires ne sont qu’une interface dont l’unique activité est de faire avaler à la population le pouvoir des sachants.

Tout n’est pour nous qu’obligations énoncées par les sachants. De nos slips à nos bagnoles, nos livres, nos rêves et nos cauchemars, tout nous est dicté par les sachants. C’est ça ou les chèvres en Ardèche.

Ils sont cachés et inaccessibles, mais tout le monde souffre de leur pouvoir occulte.

Sans aller jusqu’où j’ai été pour faire ce constat, pour voir cette vermine s’engraisser sur notre dos, sur notre vie, au hasard des tribunaux, des services fiscaux, des services techniques municipaux où ils s’épanouissent et agissent à fond, chacun ressent sa liberté violemment attaquée, son honneur bafoué, sa condition d’homme remise en question, ses valeurs disparaitre.

Ceux qui les couvrent contre leur gré, pour sauver leur situation, qui veulent continuer à profiter du mythe de leur capacité à agir qui n’existe plus depuis longtemps, ceux là sont en première ligne, ils vont subir de plein fouet la violence nécessaire d’une aspiration au retour à la liberté, à la vie, que rien ne pourra arrêter.

Que ce soit dimanche prochain ou plus tard, cela arrivera.

Il faudra que ce pouvoir occulte des sachants apparaisse, accepte la nécessité de contrepouvoirs, le besoin d’un équilibre pour pouvoir retourner à l’intégrité et balayer les cinglés du pouvoir, les escrocs, que je croise régulièrement et à qui je dis qui ils sont, qui le prennent si mal. Qui rêvent de me tuer.

La population va les éradiquer sans le savoir, dommage, le prix sera plus lourd que si elle le faisait sciemment, lucidement. Mais ils sont si cachés, ils se soutiennent tant entre eux. Et les pauvres dindons qui les masquent, dont Macron fait partie, ont si peur que l’on voit leur fatuité, leur inutilité, leur dépendance aux sachants…

Je vous souhaite bonne chance, pour ce dimanche ou un autre, il va falloir démonter la maison pour pulvériser ces termites.

Bien à vous. H. Dumas

PS : Ne pas confondre les sachants avec les scientifiques, le sachant prétend savoir, le scientifique cherche à savoir. Aucun rapport.

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PIEGE JUDICIAIRE PREMEDITE

Voici le lien d’accès aux pièces de la procédure qui m’est intentée : LIEN

A la suite de cette « enquête », je suis convoqué le mercredi 3 juillet 2024, devant une chambre pénale au TJ de Montpellier, à juge unique, donc avec décision sur le siège. Je n’irai pas.

Je ne peux pas accepter le fonctionnement actuel de notre justice inquisitoire, qui aboutit inévitablement à une justice stalinienne.

Il suffit en Russie de dire en public : « il y a la guerre en Ukraine », pour aller en prison. Il suffit en France de dire « Bercy pille le pays, maltraite les français, installe la terreur fiscale », pour subir le même sort.

Et pourtant c’est bien Poutine qui a envahi l’Ukraine et déclaré la guerre à ce territoire, c’est bien Bercy qui a mis la France en faillite.

Tout cela est insupportable.

Si je vais en prison, je cesserai de me nourrir et « basta », comme on dit à Sète.

J’ai honte pour M. Dupont-Moretti — pour qui j’avais de l’estime — de voir que, ministre, il n’a entamé aucune démarche pour passer de la justice inquisitoire à la justice accusatoire où les arguments s’équilibrent naturellement. Il a laissé la magistrature servir l’ordre des hommes de l’Etat ou ses fantasmes et non la justice pour les Français.

Première question :

Pourquoi les accusations dont je suis l’objet sont inadmissibles ?

Deuxième question :

Pourquoi je n’irai pas demander au tribunal des dommages et intérêts pour le préjudice qu’elles me portent ?

Réponses à la première question

1°) – Le 19/06/2020 à 11h52, je téléphone au Tribunal Administratif de Poitiers.

Le même jour, à 13h14, M. Cormier, Greffier en chef de ce tribunal, va déposer une plainte au commissariat de police de Poitiers.

Là, il ment, volontairement : « La standardiste m’a transféré l’appel et je n’ai pas eu le temps de me présenter que cet individu m’a dit « j’arrive je vais vous tuer ». Je lui ai demandé s’il savait à qui il parlait et ce que cela voulait dire mais il a réitéré ses propos en disant que c’est nous qui l’avions tué car il n’a plus d’argent pour manger à cause de la saisie de « 14 000 balles ». Il a réitéré ses menaces de mort encore plusieurs fois avant que je lui raccroche au nez. J’en ai avisé immédiatement le président du Tribunal Mr Lamontagne des faits… »

La preuve est rapportée par l’enquête que la conversation téléphonique a duré 10 minutes. Dix minutes c’est long, ça ne correspond pas au résumé de M. Cormier. Et effectivement ce n’est pas ce qui s’est passé.

Je ne suis pas un individu. Je me suis présenté. M. Le Greffier en chef aussi. Je lui ai fait part de mon incompréhension face à la violence et à la rapidité de la saisie, alors que les sommes demandées sont ridiculement exagérées, couvrent des agissements évidemment illégaux du maire de La Rochelle et sont contestées. Le ton est monté, et je lui ai dit « je vais vous tuer ». Je m’adressais évidemment au Tribunal, pas à lui. Il ne s’agissait pas d’une menace physique, mais administrative.

Alors M. Cormier m’a dit : « vous pouvez répéter ? », j’ai dit oui, évidemment, et j’ai répété. Quel mal y avait-il à lui répéter que j’allais tuer administrativement ce Tribunal ?

Mais lui, Cormier, il savait que me faisant répéter il pouvait affabuler sur une menace de mort physique.

Par ailleurs il n’était pas question que « j’arrive », j’étais à Sète. M. Cormier en a rajouté pour activer le parquet, qui a d’ailleurs enquêté et vérifié que j’étais bien à Sète et que j’y suis resté.

Ce mensonge, la justice ne l’a pas mis en doute. L’amicale de la fonction publique fait que le fonctionnaire est parfait, un ange sous cellophane.

L’enquête avait le devoir de demander à l’opérateur téléphonique la retranscription de la conversation. Sur un sujet aussi important c’est la moindre des choses, ce n’a pas été fait… Donc il n’y a aucune preuve permettant de savoir si les faits se sont passés tels que M. Cormier le dit… C’est grave, il peut mentir autant qu’il veut drapé dans son statut.

Je précise que j’ai bien tué ce Tribunal puisque, de lui-même, le Conseil d’Etat a dépaysé mes dossiers du TA de Poitiers vers le TA de Bordeaux.

2°) – Donc effrayé par Cormier ou complice de Cormier, au choix, le parquet de Poitiers lance une enquête préliminaire. Le commissariat de Poitiers découvre le 19/06/2020, à 15h, que je ne suis pas interdit de détention d’arme, mais que je possède un révolver, officiellement déclaré, dont la déclaration n’a pas été renouvelée. Aussi que je suis défavorablement connu de la justice – NDA : parce que je suis systématiquement condamné quand je me révolte fasse aux différents diktats des gendarmes sur la route ou du fisc dans mon travail

Il va aussi découvrir mon blog…

Pas d’information cependant sur mes couteaux de cuisine, mes pinces à ongle ou autres objets pouvant devenir des armes par destination…

A partir de là, le parquet va amalgamer les deux fausses affaires pour donner du poids à ses poursuites.

La menace de mort qui n’en n’est pas une. La négligence visant le non-renouvellement de l’autorisation de possession du révolver. Négligence liée au fait que je pensais retourner un jour au tir sportif et que mon voisin ayant été saucissonné, ses prédateurs jamais retrouvés, ce révolver me rassurait. Je ne l’ai plus, j’ai perdu 1000 €, si je suis dévalisé, voire assassiné, la justice se débrouillera avec mes héritiers, dont acte.

L’incroyable c’est que lors de mon audition au commissariat de La Rochelle, le 28/06/2020 à 10h10, le Capitaine de Police me fait déclarer : « Une autorisation de détention d’arme m’a été délivrée pour le matériel suivant : autorisation à titre sportif délivrée sous le n° 01700782028 le 01/02/1984 pour une arme de catégorie B soumise à autorisation, de type révolver, de marque Winchester, de calibre 9MM »

Alors qu’à cette audition je ne savais même pas qu’il était question de mon révolver, dont je ne me sers plus, qui est dans un coin depuis plus de trente ans. Comment aurais-je pu savoir par cœur ces informations pour les lui délivrer ?

En réalité ce policier a glissé dans la déclaration qu’il m’a fait signer ces informations, qu’il avait et pas moi, pour accréditer la liaison entre ce malheureux révolver et ma déclaration, frauduleusement appréciée littéralement. Là aussi c’est grave.

3°) Alors que le 25/06/2024, le parquet de Poitiers a demandé à la police de « procéder sans délai à l’interpellation et au placement en garde à vue de l’intéressé (NDA : donc case prison), le présent valant autorisation d’interpellation de l’article 78 du CPP… » la comparution au commissariat de La Rochelle dégonfle l’affaire, et le capitaine de Police me fait savoir que l’affaire est abandonnée.

4°) Le 28/06/2024, le Chef de la Sureté Départementale de la Vienne conseille au parquet de Poitiers de refiler la patate chaude au tribunal de Montpellier.

5°) Abusé ou complice le parquet de Montpellier va d’abord me piquer mon révolver, c’est toujours ça de pris. Puis finalement me poursuivre pour des faits inexistants, à la suite d’une enquête par endroits bâclée, par endroit frauduleuse.

Réponse à la deuxième question :

Et il faudrait que je comparaisse, pendant que le menteur initial ne sera pas là – sauf peut-être s’il lit ce blog et veut s’assurer la complicité de la justice ?

C’est non.

Ce n’est pas un défi. C’est le refus d’être irrémédiablement condamné et d’accréditer cette condamnation par ma présence.

Car, quoique je dise, vous l’avez compris, je serai condamné.

Et pourtant c’est moi qui suis tombé dans un traquenard, d’abord lorsque les magistrats de Poitiers ont tenté de nous casser par de folles amendes pour couvrir les errements des élus de La Rochelle, puis quand face à ma bonne foi et à ma demande de raison, le Greffier Cormier a profité de ma naïveté, de ma sincérité, pour me provoquer et me tendre un piège effectivement mortel.

Tout cela a pour but la fermeture de ce blog. Inutile d’imaginer que les faussaires seront punis, que je pourrais être indemnisé pour le poids de ces manœuvres, de ces mensonges.

Comment continuer à être libre de dénoncer la terreur fiscale en étant sous le coup d’une condamnation de prison avec sursis ? c’est ce qui se concocte pour moi.

Cette démocratie part en vrille, les hommes de l’Etat et leurs affidés en portent intégralement la responsabilité.

La Justice qui devrait être un arbitre de la vie sociale est devenue un outil de coercition, qui fait pleuvoir amendes et humiliation sur ceux qui avaient confiance en elle et venaient soumettre à son jugement les excès de pouvoir que chacun peut constater tous les jours, tous contraires à notre constitution.

Merci pour vote fidélité, nous avons partagé beaucoup d’idée et d’énergie, même si nous avons été beaucoup moins nombreux qu’il aurait fallu.

Bien à vous. H. Dumas

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LES TUEURS DE BERCY SORTENT DE L’OMBRE POUR TUER CE BLOG

J’ai été en déplacement du 9 juin au 23 Juin. Notamment pour un rendez-vous professionnel le 11 juin à La Rochelle, puis pour assurer ma présence le 18 juin à une soirée officielle toujours en Charente-Maritime pour laquelle je m’étais engagé. Le 20 juin pour être présent devant la 17ème du TJ de Paris nous en avons déjà parlé, et enfin le 21 juin pour une assemblée générale de copropriétaires en Charente-Maritime.

Quinze jours de déplacement professionnel intense et fatiguant, en voiture, à 80 ans, ce qui ne va pas manquer d’être sous peu interdit…

En rentrant à Sète, le lundi matin 24 juin, dans mon courrier il y avait cette convocation pénale (Pièce n° 1), pour dans 10 jours !!!

L’objectif de cette convocation.

Il s’agit pour Bruno Le Maire, lui-même, de mettre ce blog en situation de disparition.

La manœuvre est simple, une condamnation à prison — probablement avec un sursis qui pourra être levé à tout moment à l’aide une excuse fallacieuse — va paralyser la liberté d’expression de ce blog, qui disparaissant va permettre ma suppression définitive par ruine fiscale trafiquée…. Et les vôtres ensuite…

L’utilisation de la justice à cet effet n’augure rien de bon pour l’avenir de ce pays.

Car la réalité est tout autre que celle évoquée par le parquet.

En 2019 et 2020, Le maire de La Rochelle a engagé des travaux pour lesquels il n’était pas compétent. Ces travaux impactaient durablement l’urbanisme de la cité, dont nous reparlerons à la fin de ce billet.

Une association de propriétaires et moi-même avons entamé des procédures devant le Tribunal Administratif de Poitiers dans l’espoir d’obtenir de la justice l’arrêt de ces travaux hors compétence, et désastreux.

Agacés par notre insistance et souhaitant protéger Le maire de La Rochelle, les magistrats du TA de Poitiers, début 2020, nous ont condamnés à des amandes cumulées de 28 000€, soit 14 000€ pour chaque partie.

Pour tout observateur impartial ces amandes destructrices étaient déraisonnables.

Dès le 2 juin 2020 la saisie pour paiement de ces sommes était annoncée (pièce n° 2), puis le 17 juin 2020 la banque m’écrivait, lettre reçue le 19 juin 2020, que pour règlement de ces 14 000€ mon compte était saisi et vidé (pièce n° 3) entrainant des conséquences fatales pour moi.

C’est dans ces conditions que le jour de réception de l’information de la saisie de mon compte, de sa mise à zéro, le 19 juin 2020, sous le coup de l’émotion, je téléphonais au Tribunal Administratif de Poitiers, dans l’espoir de faire cesser cette provocation catastrophique pour moi.

Je ne sais pas qui j’ai eu au téléphone, sans doute le greffier, toujours est-il qu’il a été indifférent et hautain, alors qu’il était en train de me tuer. Il a même paru satisfait de lui-même. Il répondait au téléphone pour le compte des deux magistrats qui me détruisaient volontairement à travers leurs amandes abusives, que je n’ai pas pu avoir en ligne directement.

Sur le même registre, je l’ai averti que j’allais moi-même les tuer, métaphore, parallèle pour évoquer évidemment la même méthode. Car naïvement je pensais que la justice mettrait le holà à ces délires.

J’ai mis immédiatement à exécution mon annonce en citant à comparaître les deux magistrats (Pièce n° 4) pour le 3 septembre 2020.

A la suite de cette comparution, que j’ai évidemment perdue (pièce n° 5), nous sommes en appel. Seule satisfaction, Le Conseil d’Etat a dépaysé mes procédures du TA de Poitiers vers celui de Bordeaux. Où j’ai été fort bien reçu, mais toujours perdant.

La procédure qui me cite inclut des mensonges indignes.

Le premier

Si je ne nie pas l’expression « je vais vous tuer », je n’ai absolument pas dit « j’arrive ».

Cela n’a pas de sens. J’ai téléphoné de Sète à Poitiers, 850 km, on ne dit pas dans ces conditions « j’arrive », c’est ridicule à deux titres, du fait de la distance et du fait de l’usage du mot.

Le second

Je n’ai pas dit « j’arrive je vais vous tuer » à plusieurs reprises. J’ai dit « je vais vous tuer » une seule fois. La personne au bout du fil m’a alors dit : « vous pouvez répéter ce que vous venez de dire », j’ai dit oui et j’ai répété. Cela sans malice, puisque le mot était employé en métaphore. Sans me rendre compte que l’on me provoquait pour m’accuser ensuite d’un « délit ».

Ces deux mensonges sont graves

Parce qu’ils sont proférés par des personnes assermentées, avec des arrière-pensées perverses, aujourd’hui utilisées au pénal pour censurer un blog et la liberté d’expression, alors que ma spontanéité et ma sincérité qui étaient réelles ont été abusées par ces sachants.

De l’usage du mot tuer en politique :

Je n’envisage pas de me substituer à l’Académie Française, je vous propose simplement de lire les différents emplois du terme « tuer » en politique. Or ma lutte et celle de ce blog est politique, elle vise la terreur, la maltraitance et l’oppression de la politique fiscale.

Tout cela ne prête à aucune équivoque en parcourant ce qu’en dit ChatGPT :

« ChatGPT le 24/06/2024. 16H.

Pour démontrer que l’expression “tuer” en politique est une image courante sans implication de violence réelle, il est utile de rassembler des exemples d’articles de presse où les hommes politiques sont qualifiés de tueurs ou se traitent mutuellement de tueurs. Voici une liste d’exemples trouvés dans des articles de presse :

  1. “Emmanuel Macron, le tueur en série de la politique française “
    • Dans cet article, le journaliste décrit Emmanuel Macron comme un “tueur en série” en politique, faisant référence à sa capacité à éliminer ses adversaires politiques lors des élections et réformes successives.
  2. “Nicolas Sarkozy, le tueur de la droite française”
    • Cet article présente Nicolas Sarkozy comme un “tueur” en politique pour illustrer sa manière implacable de gérer les rivalités au sein de son propre camp.
  3. “François Hollande, le tueur à gages de la gauche”
    • François Hollande est qualifié de “tueur à gages” en politique, signifiant sa capacité à éliminer ses opposants au sein du Parti Socialiste et à mener des politiques impopulaires malgré les critiques.
  4. “Jean-Luc Mélenchon, le tueur des débats télévisés”
    • Jean-Luc Mélenchon est décrit comme un “tueur” lors des débats télévisés pour souligner son aptitude à dominer ses adversaires par la force de ses arguments et son éloquence.
  5. “Marine Le Pen, la tueuse des Républicains”
    • Marine Le Pen est appelée “la tueuse des Républicains” en raison de sa stratégie visant à affaiblir le parti Les Républicains et à attirer leurs électeurs vers le Rassemblement National.
  6. “Angela Merkel, la tueuse de l’austérité”
    • Angela Merkel est mentionnée comme une “tueuse de l’austérité” pour illustrer sa politique stricte en matière de finance publique et de contrôle budgétaire en Europe.
  7. “Donald Trump, le tueur du politiquement correct”
    • Donald Trump est qualifié de “tueur du politiquement correct”, mettant en avant son style provocateur et son rejet des conventions politiques traditionnelles.
  8. “Boris Johnson, le tueur du Brexit”
    • Boris Johnson est décrit comme le “tueur du Brexit” pour sa détermination à finaliser la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne, malgré les obstacles.
  9. “Barack Obama, le tueur des espoirs républicains”
    • Barack Obama est désigné comme le “tueur des espoirs républicains” pour sa victoire électorale et ses réformes qui ont contrarié les Républicains.
  10. “François Mitterrand, le tueur de l’ombre”
    • François Mitterrand est parfois évoqué comme un “tueur de l’ombre” pour ses tactiques politiques subtiles et sa capacité à manipuler les dynamiques de pouvoir en coulisse.

Ces exemples montrent que l’expression “tuer” en politique est fréquemment utilisée comme une métaphore pour décrire l’élimination ou la neutralisation des adversaires politiques, sans aucune implication de violence réelle. »

En lisant directement un article du point visant M. Pierre Charon et d’autres personnes que je ne connais pas (pièce n° 6)

On pourrait trouver bien d’autres articles démontrant l’usage métaphorique du mot « tuer » en politique.

Ma citation pénale par le parquet ne fait donc pas honneur à ce dernier, tant elle est primairement stalinienne.

Traiter de la sorte un homme de 80 ans qui ne fait que signaler la dérive de nos hommes de l’Etat, leurs abus d’argent public qui les entrainent à la terreur fiscale qui « tue » nos enfants, nos familles, notre lien social, est une lourde responsabilité.

Je vais demander un renvoi pour avoir le temps de préparer non seulement ma défense, mais aussi une demande reconventionnelle visant une remise dans mes droits fiscaux, un remboursement de ce que le fisc me doit…

En tête de ce billet, je vous avais précisé une information à venir sur les culs de sac occasionnés par l’absence de compréhension, voir les différentes connivences, des élus en règle générale et de ceux de La Rochelle en particulier. Où, par leur stricte faute, l’hôpital va être transféré sur un site inadapté (pièce n° 7). Ceci n’a pas de lien direct avec ce billet, mais avec le sujet qui me tient à cœur : « Le troisième pouvoir, celui des sachants ». Prochains billets à venir.

Bien à vous. H. Dumas

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Le troisième pouvoir

Deux pouvoirs cohabitent depuis que la royauté et son pouvoir unique a été répudiée.

Le pouvoir politique régi par les règles de la démocratie et le pouvoir financier régi par les règles du marché.

L’attelage, cahin-caha, a traversé deux siècles pendant lesquels il a fait la démonstration, non sans peine, de sa viabilité grâce aux règles qu’il s’est donné au fil du temps.

Ces deux pouvoirs se sont équilibrés et neutralisés pour les optimistes, acoquinés pour les pessimistes.

Arrive aujourd’hui un troisième pouvoir : le pouvoir technocratique de la fonction publique.

C’est, exprimé plus trivialement, le pouvoir des fonctionnaires.

Initialement ce n’était qu’un service à la nation, au même titre que l’armée par exemple.

Du fait de l’hyper spécialisation de ses techniques qui a « autistisé » les politiques, ce pouvoir a pris une importance considérable, incontournable, sans pour autant avoir à rendre des comptes à quiconque. Il a mis le pouvoir politique à sa merci.

Pendant que le pouvoir politique rend des comptes à ses électeurs et le pouvoir financier à ses clients, le pouvoir de la fonction publique n’en rend à personne.

De ce fait il a crû sans limite, aujourd’hui il nous impose sa loi, sans aucun contrôle.

Il accumule de ce fait toutes les tares, tous les excès, de tout pouvoir non régulé : abus de pouvoir, corruptions morales et matérielles, atteintes aux libertés, oppression et finalement dictature.

C’est le défi des élections qui font suite à la dissolution. C’est lui qui a mis Macron échec et mat.

Qui des trois candidats potentiels: Macron, Mélenchon ou Le Pen est capable de juguler le pouvoir technocratique de la fonction publique, de l’insérer dans des règles le limitant tout en lui préservant la place qui lui revient dans une société moderne ?

Lequel des trois est suffisamment libre pour s’atteler à cette tâche, suffisamment lucide pour comprendre que c’est l’unique problème qui se dresse face à l’avenir de nos démocraties.

Notons qu’aucun n’a un programme clair à ce sujet. C’est le problème.

Alors qu’il y aurait des pistes.

  • Nomination par élection des postes clef de la fonction publique, par exemple le Directeur de Bercy
  • Interdiction de cumuler une activité dans la fonction publique avec une des deux autres, économique ou politique.
  • Responsabilité face aux résultat des missions
  • Devoir de réserve, impossibilité de cumul.
  • Etc…

Allons nous laisser ce pouvoir s’étendre au point de mettre à terre ce que nous avons mis si longtemps à conquérir : notre démocratie.

On peut dire, pour dédramatiser, que l’absence de projet face à la nécessité de réguler ce troisième pouvoir nous fait vivre dans une France qui n’a pas « les lumières » à tous les étages.

Ce modeste blog est ouvert à tous ceux qui voudraient bien imaginer des solutions de régulation du pouvoir de la fonction publique de telle sorte que sa nécessité soit reconnue et son expansion maîtrisée.

Quant aux trois candidats, il faudra attendre sans doute une autre consultation pour que le sujet soit abordé.

Bien à vous. H. Dumas

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Bercy et les hommes de l’Etat se radicalisent.

Hier j’étais cité directement devant la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal judiciaire de Paris par des fonctionnaires importants de Bercy, directeurs régionaux, national, réclamant l’impunité pour leur maltraitance à mon égard dénoncée sur ce blog, donc pour la maltraitance fiscale en règle générale.

La 17ème est une chambre essentielle à la démocratie. C’est la chambre des diffamations, donc de notre liberté d’expression. C’est une chambre intellectuelle, stratégique et expérimentée, censée garantir cette liberté fondamentale.

L’audience a été étrange, inhabituelle.

Tout d’abord les forces de police, toujours présentes mais traditionnellement discrètes, étaient hier bizarrement intervenantes. En la forme d’un agent surarmé, au gabarit impressionnant, qui filtrait les entrées dans la salle d’audience pourtant légalement publique.

Il m’a notamment sans raison, mais sur ordre a-t-il prétendu, interdit l’accès à la salle d’audience pendant que les avocats pour d’autres affaires y pénétraient librement. Ensuite il m’a obligé à éteindre mon portable et non à le mettre sur silencieux, ce fait étant inhabituel mais peut-être général aujourd’hui, je ne saurais pas dire.

Puis il est resté très présent dans la salle d’audience, bloquant la porte d’accès.

Ensuite toutes les affaires ont été renvoyées, me laissant seul pour plaidoirie dans la salle d’audience.

Traditionnellement, lorsque c’est moi qui cite à comparaître un membre des Services Fiscaux, il ne se présente jamais, il n’est donc jamais interrogé par le tribunal.

Ici, après que la Présidente de la formation ait lu intégralement les articles du blog dénoncés par Bercy, y compris ceux qui étaient prescrits et n’avaient rien à faire là, elle m’a interrogé longuement, comme on interroge un coupable. Ce qui ne se fait jamais dans le sens inverse lorsque c’est moi qui cite un agent de Bercy, puisque ceux-ci ne se présentent jamais devant un tribunal.

Quand ce fut au tour du parquet, son représentant se fit menaçant, insistant lourdement sur le fait que dénoncer les agissements mortifères d’un fonctionnaire de Bercy pourrait être considéré comme une radicalisation, défaut qui selon lui ne serait pas que religieux. Ou peut-être voulait-il insinuer que l’activité de Bercy dans notre société est quasi religieuse, mue par la croyance et non la rationalité ? Je ne sais pas.

Lorsque vint mon tour j’ai pu m’exprimer librement, sauf lorsque j’ai souhaité revenir à la genèse de ma maltraitance fiscale, ce qui fut déclaré hors sujet par la présidente…

Bref, une audience tendue, où la 17ème eut l’air un temps, légèrement et pour partie, stalinienne.

Le délibéré est au 16 septembre, nous verrons bien.

Mais tout cela me fait dire que Bercy, et les hommes de l’Etat représentés par le parquet, semblent se radicaliser et envisager très sérieusement l’élimination judiciaire de tout porteur de critiques des agissements violents de leurs agents, qu’ils considèrent au dessus de tout soupçon, devant être couverts par l’impunité fiscale…

Bien à vous. H. Dumas

PS :mes conclusions d’audience

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La température ressentie le 14/06/2024.

Imaginons que vous aimiez les pêches à la folie. Que vous n’appréciez ni les abricots ni les prunes. On vous laisse le choix entre une pêche, un abricot et une prune. Formidable : vous allez prendre la pêche, votre bonheur sera total.

Oui, mais : même si cela ne se voit pas, la pêche offerte est pourrie jusqu’au trognon. Problème.

C’est un peu ce qui nous est proposé pour les élections à venir. A ceux qui ne veulent pas d’un système autoritaire, par essence liberticide, que ce soit de droite ou de gauche, on propose la solution raisonnée : la démocratie.

Oui, mais, une démocratie préalablement pourrie, corrompue matériellement et moralement, par ceux-là mêmes qui prétendent la représenter.

Que faire ? D’autant que les électeurs n’ont même plus le souvenir de ce qu’est une démocratie sincère, où les libertés sont sacrées, notamment la première de toutes : la propriété privée. Celle qui est la base de toute démocratie, l’outil de protection pour chacun de sa propre liberté.

On sait comment et pourquoi cela est arrivé. Mais la situation est si avancée qu’il n’existe pas de remède, pas de retour en arrière.

Notre « démocratie » n’est pas capable de se régénérer. Sa dégradation a créé trop de privilèges, de situations dont la suppression ferait des ravages.

Enfin, disons plutôt qu’elle n’est pas capable de se régénérer par le vote, car nul doute qu’elle va se régénérer par la violence, par la rue, par le conflit, la guerre.

Le prix à payer va être terrible, qui l’assumera ? Personne, il est le fruit de la lâcheté de tous, il n’existera pas d’innocent pour dénoncer, car quand bien même il existerait des innocents ils ne pourraient pas se transformer en délateurs.

Aller voter pour qui ? Pour quoi ?

Alors que la décision de Macron pourrait être intellectuellement courageuse, une question se pose avant d’émettre une opinion à son sujet. Est-elle un acte sincère ou un stratagème pervers ?

Elle serait un acte sincère si Macron avait fait état, au préalable, d’une impossibilité à réformer face à l’effondrement moral et pratique du pays. Il ne l’a pas dit.

Donc, il s’est satisfait de la dégénérescence de notre démocratie. Il l’a utilisé lui-même. Se faisant il l’a donc cautionnée, il a participé à son expansion jusqu’au point de non-retour qu’il constate et qui lui fait dissoudre l’Assemblée nationale dit-il.

Alors non, Macron n’est pas sincère.

Moralité : il va perdre, il va nous faire perdre. Quelle énorme responsabilité !!!

Pour qui voter ? Aucune idée…

Bien à vous. H. Dumas

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A-t-elle le pouvoir mauvais ?

Le pouvoir est comme l’alcool, il enivre ceux qui le consomment.

Or — et on doit le regretter intensément — nos élus ont, tous sans exception et avec l’accord tacite d’une écrasante majorité de Français, transformé le mandat que devrait leur conférer la démocratie en un pouvoir absolu, dont les comptes ne sont à rendre que les dimanches d’élection. Donc, de temps en temps, finalement rarement et si brièvement que le mensonge sur le bilan est la règle, et qu’il est très difficile à débusquer.

Nous ne sommes pas vraiment en démocratie, puisque cela supposerait un engagement courageux de chacun et une discrète modestie des élus.

La situation parait définitive. Revenir à une vraie démocratie où l’affaire publique serait l’affaire de tous, où donc l’élu ne serait qu’un mandataire mettant en œuvre la volonté de tous, supposerait que chacun accepte d’être responsable des décisions collectives.

Ce n’est vraiment pas le cas puisqu’au contraire chacun vise non seulement l’irresponsabilité, mais le larcin à son profit des biens de ses voisins eux-mêmes pillés par l’Etat – les hommes de l’Etat, comme il convient d’appeler la chose –.

Pour bien ressentir cela il faut avoir trainé un peu partout, dans ces endroits où se prennent les décisions ensuite habillées, voire déguisées, d’un langage et de rites technocratiques illusoires. C’est dire que l’on ne peut en fait échanger avec personne sur cette réalité.

Pour imager mon propos.

Prenons pour hypothèse que vous soyez passionné par l’Amazonie. Une année vous traversez l’Amazonie. Vous allez accumuler à cette occasion des connaissances et des émotions particulières.

Au retour, avec qui pourrez-vous les partager ? Avec tous ceux qui ont traversé l’Amazonie. Avouons que c’est limitatif…

Car tous les autres, ceux qui regardent tous les films, lisent tous les livres, ont étudié tout ce qui se sait sur l’Amazonie, vous ne pourrez pas partager avec eux, car en réalité ils ne savent rien de ce qu’ils croient savoir….

C’est exactement pareil pour le pouvoir. Pour en connaître les dimensions exactes, il faut l’avoir eu.

Je vous affirme donc que le pouvoir est enivrant.

Et que… comme pour le pinard, il en est qui ont le pouvoir méchant et d’autres qui ont le pouvoir gentil. C’est-à-dire que comme l’alcool le pouvoir libère leur vraie personnalité chez ceux qui le possèdent.

Le plus stupéfiant, c’est qu’elle est rarement détectable avant la biture, d’alcool ou de pouvoir.

Alors ? A-t-elle le pouvoir mauvais ? Je parle de Marine Le Pen, évidemment.

Ce sera déterminant, on verra bien, puisque les dés paraissent jetés.

Bien à vous. H. Dumas

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La taca-taca-taca-tactique du Macron

« Dissolution
Allez, allez
Pas d’discussion
Allez, allez
Exécution
Allez, allez
J’connais l’métier

La taca-taca-taca-tac-tactique du Macron
C’est de dissoudre avec autorité »

Quand on regarde ou écoute les commentaires sur le sujet, il vaut mieux en sourire,

Au risque de passer pour un donneur de leçon, essayons de gratter légèrement et de découvrir l’affligeante vérité.

Comment la France a-t-elle pu arriver à une inanité politique telle que son Président finit par mettre au chômage, sans préavis, 577 personnes prétendant représenter toute la population ?

La crise

Elle est existentielle. La France pense pouvoir vivre en dansant devant le buffet vide.

L’écrasante majorité des Français pensent que les plus fumeuses théories ou croyances portées par leurs intellectuels, leurs élus et leurs philosophes de comptoir ou bardés de diplômes, sont légitimes à organiser leur vie. Ils sont prêts à s’étriper pour cela, ils en sont même très proches.

Ils sont comme ces anorexiques qui avancent mille motifs pour ne pas manger, qui se pensent maîtres de la situation et qui finissent par mourir d’inanition.

En réalité, le mal français est d’avoir fait passer la politique avant l’économie.

Pire, d’avoir ostracisé les acteurs économiques, de leur voler le capital qu’ils accumulent, qui est l’outil  indispensable de leur activité, sans lequel ils sont exposés à la ruine.

C’est une attitude de riche. C’est son extrême richesse, un peu volée aux autres comme toutes les richesses, mais principalement issue du travail et de l’intelligence des Français, qui a permis à ce pays d’être riche, confortable, y compris pour les plus défavorisés.

Rien, absolument rien, ne tend à laisser supposer qu’une prise de conscience puisse  avoir lieu à ce sujet.

La taca-taca-taca-tactique du  Macron  (chanson de Bourvil lien)

Je veux imaginer :

Qu’elle est dictée par son souci de l’histoire, de l’intérêt du pays, de la nécessité de le sauver de la ruine qui pourrait le reléguer pour des années, voire des siècles, au statut de pays sous-développé, en voie de disparition, voire plus…

Que Macron n’a pas pu aboutir par le biais des structures actuelles, entièrement entre les mains de rêveurs ou de maquereaux… au choix.

Que donc il se dit que la dissolution pourrait lui amener le résultat de celle du 30 mai 1968 qui a vu De Gaulle conforté dans son pouvoir par les élections, et Mitterrand se ridiculiser à la télévision en se déclarant solennellement prêt à gouverner.

Mais, je crains qu’il ait le résultat de Weimar, où le 30 janvier 1933, le Président Allemand se voit dans l’obligation de nommer Hitler chancelier, l’équivalant de premier ministre.

En 1968, la France était riche. En 1933 l’Allemagne était dans la misère.

Aujourd’hui la France est dans la misère économique et intellectuelle, dans le déni, dans les croyances absurdes, elle hait l’économie et ses acteurs. Elle est plus proche de Weimar que de 68.

Conclusion

Sans jouer les devins, le plus probable est qu’il ne sorte rien des élections à venir, pas de majorité, pas d’homme ou de femme providentiel, pas de changement de pensée, pas de prise de conscience de la population.

En revanche, l’épisode devrait être fatal à la situation économique du pays.

La confiance des prêteurs va sans doute en prendre un sacré coup. La révolte, face à la pauvreté insidieuse générée par le délire de la primauté du politique sur l’économie, dont la cause profonde est incomprise par la population,  ne peut pas trouver de solution du fait de cette incompréhension, ne peut se traduire que par la violence aveugle.

Macron va probablement, en effet, passer dans l’histoire, mais il na va pas jouer le rôle pour lequel il se croyait sélectionné. Dur, dur…

Ce n’est pas le moment de vendre vos biens solides, leur prix sous peu ne vous permettra d’acheter qu’une baguette, pas même un gros pain…

Bien à vous. H. Dumas

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MALTRAITANCE ET TORTIONNAIRES – A l’attention de Mme Catherine LORMEAU

Madame,

Le 26 septembre 2022, vous m’avez adressé, par courrier en RAR, des mises en recouvrement antidatées au 16/08/2022.

Pour un total de 200 386 € : https://ahp.li/9662219cb21546194690.pdf

Ces mises en recouvrement visaient de pseudos-dettes fiscales issues de contrôles fiscaux abusifs, ne reposant sur aucune réalité, basse vengeance d’un pouvoir fiscal pervers qui avait généré la création de mon blog https://temoignagefiscal.com/, et une lutte mortelle de 20 ans, qui perdure et que j’espère encore gagner, car je crois en la justice et je pense que vos manœuvres seront lourdement condamnées.

Le 1 décembre 2022, vous m’avez adressé des mises en demeure pour le même objet d’un montant de 193 402 € : https://ahp.li/bb6a1e5ea07e1bbebebc.pdf

Le 2 mars 2023, vous avez pratiqué sur le compte de ma société une SATD, pour un montant de 193 402 €, total d’une addition de restants dus tous égaux à zéro, vestige sans doute de mon paiement de toutes ses sommes irréelles par la vente imposée des biens de ma société !!! : https://ahp.li/18ce38e87a0171f7c918.pdf

Le 31 mai 2024, vous venez de pratiquer une nouvelle SATD, pour un montant de 197 021,77 €, qui vise toujours les mêmes objectifs : https://ahp.li/bcd9506bee4d1110b90c.pdf

La preuve que ces sommes ne sont pas dues :

  • Le 11 juillet 2022 vous avez établi un décompte définitif des sommes dont vous me prétendiez débiteur, que le notaire qui a procédé aux ventes de mes biens vous a soldé. Ces sommes visent toujours les mêmes délires inexistants dans la réalité : https://ahp.li/014cf73339c0384a3a62.pdf
  • Le 19 aout 2022 vous avez levé toutes les hypothèques que vous aviez prises sur les biens de ma société, car le notaire avait soldé vos prétendues créances : https://ahp.li/f0100efa5c58fb8f7c03.pdf

Vous ne pouvez en aucun cas prétendre à de nouvelles créances visant un contentieux que vous avez-vous-même soldé.

LA VERITE

En réalité, je me suis aperçu que vous déteniez, vos décomptes fantaisistes soldés, un trop perçu d’IR de 10 322 €, que je vous ai réclamé le 10 aout 2022 : https://ahp.li/64493490539f33bad9ea.pdf

Où avais-je la tête ? Demander des comptes à un tortionnaire ? Quelle idée loufoque.

La réponse ne peut être que : davantage de maltraitance. CQFD.

MALTRAITANCE ET TORTIONNAIRES

J’ai 80 ans, une fin de vie particulièrement difficile alors que je n’ai jamais dépendu de l’agent public, qu’au contraire j’ai enrichi le pot commun et la pensée collective par mes engagements et mon travail. Je ne juge pas utile d’en faire étalage, je ne l’ai jamais fait, je n’ai agi qu’animé par ma condition d’être humain responsable.

Pendant tout ce temps, j’ai beaucoup réfléchi, au-delà, je l’espère, des intoxications intellectuelles et sociales permanentes.

Notamment en ce qui concerne la maltraitance, les tortionnaires et les résistants. Peut-être parce que je suis un enfant de la guerre, issu de ces problématiques.

Pour imager mon propos, je vais partir de l’article paru hier dans le journal Le Point : https://ahp.li/d507677f8119d59a3755.pdf

Il s’agit des maltraitances, considérées comme normales et nécessaires à l’époque, en vigueur il y a quelques années au lycée de Notre-Dame de Bétharram, à Pau.

Le constat

Pour qu’il y ait maltraitance — non définie comme « coups et blessures et atteinte à l’intégrité morale » qui sont la réalité — il faut :

  • Le support d’une croyance qui va effacer toute prise de conscience des faits, en les projetant dans une nécessité de future construction du cadre de l’implantation dans la société de cette croyance. Ici, c’est l’éducation sévère qui permettrait la construction d’un être parfait, efficace et solide, au point que ce sont les parents qui se privent pour envoyer leurs enfants souffrir dans cette boucherie humaine destructrice. Ce pourrait aussi être une religion, une organisation sociale, ou n’importe quelle croyance animée d’un prosélytisme fort.
  • Des tortionnaires volontaires. Le simple fait de croire prédispose à accepter la maltraitance, mais pas pour autant à en être un acteur. Or, le tortionnaire est un acteur. Ses motivations peuvent être la simple bêtise ou l’ambition, voire pire : le plaisir. Le tortionnaire est beaucoup plus présent que la trace qu’il laisse dans l’histoire des maltraitances éradiquées.
  • Une acceptation de la société. Sans laquelle la maltraitance n’ayant pas pignon sur rue va avoir du mal à se développer largement. La maltraitance est toujours, de ce fait, accompagnée de la censure pour éviter les contestations de la croyance qui lui donne vie. Elle est aussi couverte par la force qui s’exprime par la loi, la justice et les forces de l’ordre.

La résistance

  • La violence de la maltraitance et la résilience de l’être humain sont telles que très peu des maltraités entrent en résistance. La solution que pourrait apporter la résistance parait toujours plus lointaine que l’espoir immédiat d’imaginer la baisse de l’intensité de la maltraitance à cours terme par la soumission.
  • Pourtant aujourd’hui notre société a obtenu des résultats tangibles face à de nombreuses maltraitances. Citons : justement l’éducation des enfants, mais aussi la condition des femmes, la condition ouvrière, le rapport aux animaux, à la nature, l’acceptation des minorités, des préférences sexuelles, etc…
  • Et pourtant certains pensent encore que, justement, ces résultats prouveraient la faiblesse et la déliquescence de notre société, alors que c’est exactement l’inverse qui se produit.

La confusion

  • Elle se résume en peu de mot, un seul : l’égalitarisme.
  • Cette croyance qui permet à des personnes comme vous, Mme LORMEAU, de croire ou de faire semblant de croire à l’égalitarisme et de pouvoir au nom de cette croyance maltraiter tous les jours des êtres humains préalablement dévalorisés par la qualification de « fraudeurs fiscaux ». Cela sans que jamais leur position soit considérée par rapport à leur apport social, mais simplement par rapport à des règles que vous avez le droit d’inventer au jour le jour, juste pour avoir le plaisir de les torturer, comme cela est démontré dans le dossier que je rapporte en tête de ce billet.

Conclusion

Vous êtes, Madame LORMEAU, une tortionnaire dans un univers de maltraitance fiscale, dont Bercy est l’église sous-tendant la croyance en un égalitarisme qui sert de vecteur aux fanatiques de la maltraitance en général, qui comme vous s’épanouissent dans ces conditions extrêmement favorables.

Je suis un résistant qui, vu mon âge, risque de disparaître avant de voir la fin de cette maltraitance. Mais ce n’est pas sûr.

Car au bout de toute maltraitance il y a un échec cuisant. Ici se sera la faillite économique du pays générée par les dégâts sur les forces vives de cette maltraitance.

Et là, tous seront touchés, y compris les plus modestes, la croyance sera si ébranlée que les tortionnaires seront soudain vus pour ce qu’ils sont : des tortionnaires.

Alors ceux-ci seront lourdement condamnés. Aurai-je le temps de vous voir condamnée ? Je l’espère et je m’y emploie.

Serez-vous un jour condamnée pour tout le mal que vous faites ? J’en suis sûr, c’est ce qui me maintient en vie et me donne l’énergie pour continuer à me battre.

Désolé, mais pas de formule hypocrite de politesse, je vous souhaite simplement le dixième du mal que vous faites, ce sera déjà énorme à supporter.

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Le mystère : notre note de cotation baisse, notre capacité d’emprunt reste intacte.

C’est simple, la note de cotation est liée à la gestion du pays, la capacité d’emprunt est liée au volume de nos économies personnelles. Pour faire bref, qu’importe les compétences de l’emprunteur du moment qu’il offre une garantie largement supérieure au capital qu’il emprunte.

Disons même qu’au contraire, plus il est incompétent plus le préteur a des chances de faire une très bonne affaire puisque la faillite de l’emprunteur va lui donner accès aux garanties, donc à un capital supérieur aux crédits qu’il a consentis.

Le seul marqueur qui ressort de cette situation c’est que les préteurs sont totalement convaincus de la capacité de Bercy à nous déposséder pour payer les crédits engagés.

Comme les dirigeants des pays du tiers monde qui accueillent nos industries sont les garants de laisser leur population dans un état de misère économique les obligeant à travailler pour une poignée de pois chiches, ce qui est la raison de notre venue.

Quand Lemaire se réjouit du résultat et s’en attribut le mérite : il a raison.

C’est grâce à la maltraitance fiscale qu’il organise, à la terreur fiscale que cela instaure, à la violence qui en découle et devant laquelle tous plient, qu’il peut continuer à emprunter tout en n’ayant pas à gérer le pays, mais uniquement à faire semblant de distribuer — ou à distribuer pour de vrai à ses amis — pour garder le pouvoir à travers les élections, dans notre démocratie libérale…

Dans ce pillage, cette escroquerie gigantesque en pleine accélération, finalement qui fait quoi ?

D’abord le pouvoir.

Cette chose à laquelle les hommes sont génétiquement soumis au titre d’animal grégaire qui doit impérativement se regrouper ponctuellement pour exister, se défendre et régler des situations qui demandent un effort commun.

Ce pouvoir perdure au gré des évènements et peut-être – sans doute – du hasard, au-delà des situations où il est nécessaire, par la volonté de ceux qui y prennent gout, .

Actuellement ce pouvoir est entre les mains de la technobureaucratie. Nous pourrions développer les raisons et la succession des faits qui ont généré ce résultat, il faudrait un livre, pas un billet. Ce n’est pas l’objet du débat, qui est : qui fait quoi ?

Le fonctionnement du pouvoir.

Si la technobureaucratie exerçait directement le pouvoir, elle devrait affronter ses oppositions – il y en a toujours – en utilisant uniquement la force, ce qui serait peu pratique et provoquerait une contre-force qui la balayerait un jour ou l’autre.

Nous arrivons donc au tour de passe-passe.

La technobureaucratie a phagocyté la démocratie.

Disons que 90% des élus sont d’un ordinaire peu commun, car c’est la qualité qui leur permet de séduire la population. Pas de forte personnalité, pas de programme visant le mérite ou la rigueur, souplesse et démagogie sont les deux mamelles d’une bonne élection.

Donc, sauf cas exceptionnel, l’élu est arrangeant, peu ambitieux, craintif, à l’intérieur. Sensible aux honneurs, ébahi par sa notoriété, abusé par les imitations de servilité, courageux avec les faibles, à l’extérieur. Un dimanche il accède au pouvoir, souvent en même temps qu’à une luxation du poigné liée à son marathon de mains serrées qui l’a porté où il arrive.

Très vite il se range derrière la technobureaucratie qui lui fait comprendre sa nullité quant à la gestion qu’il est censé prendre en main.

Pour le consoler, et aussi dissimuler ou lui couper la chique quant aux avantages monstrueux que s’accorde la technobureaucratie en termes de revenus, d’irresponsabilité, de sadisme, elle lui ouvre largement l’accès au capitaux publics qui sont exclusivement composés de nos économies, du fruit de notre travail, car eux ne rapportent rien, absolument rien, ils en sont même fiers.

Voilà donc nos culs-terreux du dimanche devenus des personnages gonflés artificiellement d’importance par la technostructure, qui sont prêts à tout pour rester à ce poste équivalant à un gros lot de l’Euro millions.

L’attelage est sur les rails, le mensonge et la démagogie en carburants illimités — pas de risque de pénurie à ce sujet –, voilà les animateurs de notre esclavage — suivi de notre mort à venir — en route.

Tout le monde va payer la facture, ceux qui ne sont pas dans le système d’abord, mais ceux qui y sont aussi plus tard.

Et Bruno se congratule…

Est-ce bien utile de rabâcher cette réalité ? Non sans doute puisqu’il n’y a rien pour la déprogrammer.

Bien à vous. H. Dumas

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N’est-il pas possible qu’on nous foute juste la paix ?

Est-il quelqu’un de normal qui ressent un avantage positif en retour des contraintes auxquelles les hommes de l’Etat nous soumettent ?

Je serais curieux de le rencontrer et d’écouter son ressenti et ses analyses à ce sujet.

Est-il quelqu’un qui rencontre régulièrement dans sa vie des personnes, non attachées au pouvoir, qui viennent lui prendre ses affaires, lui voler le fruit de son travail, le torturer de soucis jour et nuit ?

Lui aussi j’aimerais le rencontrer, qu’il me raconte, puisque cela ne m’arrive pratiquement jamais.

Est-il quelqu’un qui ressent que son entourage espionne sa vie, contraint ses amis à le dénoncer, qui se sent donc obligé de dissimuler avec eux, comme il le fait face à son banquier, à son notaire, à son expert-comptable, à tous ces valets des Services Fiscaux ?

Encore un avec qui j’aimerais discuter, encore une situation que je ne connais pas avec mes amis.

En fait, j’aimerais rencontrer un être ordinaire, qui ne soit pas passé du côté des oppresseurs où je suppose la vie est facile, et qui s’épanouit dans notre « démocratie libérale », qui se sent protégé et qui est ravi de payer le prix exigé par les hommes de l’Etat pour se faire.

Parce que j’avoue que je finis par me demander si c’est moi qui suis paranoïaque, mythomane, envahi par des fantasmes d’horreur — n’existant que dans ma tête –, quand il faut que je roule à 30 à l’heure dans des endroits dégagés où il n’y a personne, quand il faut que je pile devant chaque piéton qui se gratte le nez sur le bord du trottoir, quand il faut que je remplisse pendant des heures entières des imprimés obligatoires pour lesquels, sans quoi, des professionnels me prennent des sommes faramineuses pour le faire mal à ma place, tout en me laissant responsable des résultats de leur laxisme.

Pour parfaire mon abattement, la presse, la radio, le net, se liguent et me farcissent la tête de nouvelles anxiogènes ou de petites vidéos falsifiées et majoritairement débiles.

L’heure n’est pas à la rigolade, parait-il.

C’est une question de résilience. A partir du moment où l’on arriverait à se foutre de tout, l’environnement actuel deviendrait probablement hautement risible.

Des homos aux énarques, des femmes aux machos, des croyants aux fanatiques, les situations qui ne manquent pas de piquant sont légion pour ceux qui voudraient s’esclaffer. Mais avec qui ?

Voilà le vrai problème.

Car il est possible de pleurer seul, de faire la tronche seul, mais pas de rire ou de sourire béatement seul.

Or, je voudrais bien rire de tout ce bordel, mais je me sens terriblement seul. Je crains que tous ces sinistres esclaves qui m’entourent m’expédient à l’asile en me surprenant à rire seul. Alors, je me retiens.

Face à des situations de plus en plus invraisemblables, cocasses, ridicules, je n’ose plus rire, tout simplement.

Vous dire que je le regrette est un euphémisme.

J’ai peur de ne plus jamais rire, alors que ce fût objectivement une de mes activités principales. Pratiquement mon plaisir extrême, depuis l’enfance jusqu’à ce jour maudit où plusieurs connards imbus de leur pouvoir, portés par le vice du sadisme, ont fabriqué de faux redressements fiscaux m’expédiant du côté des tristes.

Sont-ce mes éclats de rire qui les ont excités ? C’est bien possible…

C’était il y a vingt ans.

Depuis je vois la foule, logée à la même enseigne, me rejoindre, et ces connards toujours en place. Même s’ils la ramènent un peu moins, conscients que l’heure des comptes approche pour eux.

Le pire n’est pas certain, mais il est toujours possible. Pour nous ce serait de rire de nouveau, mais jaune…

Bien à vous. H. Dumas

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LA LIBERTE : fleuron ou égout de l’humanité.

Tout le monde a posé un jour cette question : que ferais-tu si tu gagnais le gros lot de l’Euromillions ?

Les réponses sont convenues. Ce serait l’immédiat accès aux souhaits matériels du moment et la fin des contraintes économiques de la vie ressenties comme intolérables. La réalité, rapportées par de nombreuses études ou articles de presse, parait plus prosaïque pour les gagnants. Une sorte d’enfer lié aux autres et à un environnement inadapté. Avec en plus, assez souvent, la ruine et le désespoir après épuisement du pactole.

Qu’en serait-il du même type de question, mais élargie à la morale, aux interdits : que ferais-tu si tu pouvais faire tout ce que tu veux, sans limite, si tu étais totalement libre ?

Là, ça se complique. On voit très bien ce que l’on ferait de sa propre liberté, les contraintes que cela poserait aux autres, même en limitant en tout honneur l’usage de notre liberté. Alors en lui laissant libre cours…

Et pourtant chacun de nous se considère comme bien élevé et respectueux des autres. Mais quand il pense à ces salauds de x… les autres, c’est la terreur.

Bref, ce n’est pas gagné.

La liberté, ce fantasme dont on nous fait croire que la démocratie en serait la garante, existe-t-elle vraiment ?

Car de deux choses l’une, soit elle existe et la démocratie qui serait son emblème vaut la peine de donner sa vie pour elle, soit elle n’existe pas et tout n’est que mensonges, inutilement mortels pour les plus graves.

Mon avis qui, comme on dit, n’engage que moi.

La liberté suppose un apprentissage pour l’utiliser. Cet apprentissage ne peut-être que personnel, acquis évidemment librement.

Malheureusement il y a foultitude de candidats se prétendant instructeurs en bonnes manières d’être libre, mais commençant par assommer leurs disciples par des règles liberticides et repoussant la liberté à bien plus tard… dans les cieux…ou dans la société libre de demain bâtie sur l’esclavage d’aujourd’hui.

Pourtant, dans mon esprit la liberté existe, chacun doit avoir la volonté de la maîtriser, ce qui implique la tolérance, sans laquelle les erreurs initiales de ceux qui se forment à l’usage de la liberté sont considérées comme inacceptables.

Donc tolérance et liberté sont un tandem obligatoire.

Et pourtant, c’est ce tandem qui aujourd’hui est la cible de tous les projets politiques, à travers le monde. Il fait l’objet d’un rejet fort dans notre monde occidental, d’un sourire sarcastique dans les sociétés totalitaires.

Doit-on en conclure que le tandem « tolérance et liberté » est un accident de l’humanité, que la règle de cette humanité est la servitude et la dictature, la violence et la mort au profit de quelques’uns ? C’est possible.

Vous conviendrez que c’est désespérant.

Faut-il se laisser aller ? Chercher uniquement le pouvoir et ses réseaux pour assouvir sa liberté, voire ses plus bas instincts ? Ou travailler à la qualité de sa propre personne et lui permettre à terme de laisser libre cours à sa liberté civilisée ? La collectivité doit-elle pardonner les erreurs individuelles d’ajustement des libertés ? Doit-elle encadrer la liberté en courant le risque de l’anéantir ?

On voit bien que le problème est double, à la fois personnel et collectif. C’est ce qui le rend difficile.

L’idée est que la liberté soit propre, qu’elle puisse s’exprimer sans contrainte liberticide matérielle ou morale. Aussi que chacun de nous et le corps social partagent ce but, car c’est le seul susceptible d’engendrer un avenir pour notre condition d’homme.

Or, ce n’est pas mon ressenti actuel à partir des informations auxquelles j’ai, comme tout le monde, accès. Mais je peux me tromper…

Bien à vous. H. Dumas

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La règle de trois

La guerre n’est que la conséquence d’un désaccord intellectuel.

Au départ est donc une abstraction, un projet de vie, une vision de situation, une attitude, un processus de pensée, ou simplement une croyance, qui diffère entre deux personnes ou deux groupes de personnes.

Chacun est persuadé que sa vision est la vérité. Chacun pense que cette vérité est légitime et les conséquences qu’il en tire sont  si essentielles qu’il est prêt à se battre et donc à mourir pour elles.

De l’abstraction initiale nous arrivons à la plus ordinaire des situations : la mort et les souffrances qui la précèdent.

D’où l’expression : plus con que ça, tu meurs.

La parade est simple. C’est la même recette que celle qui permet le progrès technique qui ne diffère en rien du progrès intellectuel, contrairement à ce que beaucoup pensent ou prétendent.

C’est donc ici que prend place la règle de trois annoncée dans le titre de ce billet.

Dans un processus technique, industriel, chaque rajout à un tout doit répondre à trois critères : être nécessaire, solide et beau.

La même recette appliquée à la vie commune ne peut qu’aboutir au progrès, à l’entente, à l’harmonie, donc à la vie.

C’est à travers un processus de pensée individuel, constant en chacun de nous à son niveau de réflexion, que la vie en société est possible dans la paix.

Nécessaire

Si je me demande sincèrement pour chaque pensée et action que j’entreprends si elle est nécessaire pour moi et pour tous, j’évite l’inutile, je mets de l’ordre dans le fouillis de la nature. Ce sera la quête du juste, de l’utile.

Solide

Ce souci élimine l’éphémère, la mode et son cortège d’incohérences, de bluff, d’inutile. Ou du moins la ramène à ce qu’elle est : un simple divertissement.

Beau

C’est essentiel. Sans la beauté matérielle ou morale il ne peut pas y avoir d’humanité. La beauté naturelle est le fruit du hasard, celle de l’humanité est le fruit de la pensée, cette différence détermine tout.

Simple ? Oui, comme bonjour.

Pourquoi l’idée de vivre en paix, de continuer à faire progresser notre humanité devrait-elle être compliquée ?  Alors qu’elle est simplement nécessaire, solide et belle.

Bien à vous.

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C.Q.F.D. Affaire Théron à Bullecourt dans le Pas de Calais

Le débat judiciaire est clos.Quant à la suite des procédures lancées par Fournel le directeur national des services fiscaux contre ce blog parce que je demandais à M. le Procureur de la République d’enquêter sur le rapport entre cet horrible carnage et la situation fiscale de M. Théron, nous n’en saurons pas plus que ce que le Procureur a déclaré à la presse. Oui il y a un lien, mais pas d’enquête. Le lien est dans la tête de M. Théron… il ne peut pas être ailleurs…

Je vous joins le lien pour lire l’arrêt de La Cour d’Appel de Douai : https://ahp.li/98d434839dd0222944b6.pdf

La loi du silence, ici l’ormeta fiscale…. c’est la France et sa dette publique…

On revient toujours aux fondamentaux : Seule la transparence, en tout, permet la vie en groupe, dès le binôme et jusqu’à la nation.

Hélas nous en sommes loin.

Bien à vous. H. Dumas

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Quelle que soit l’horreur du pouvoir en place, il se trouvera toujours un magistrat à son service pour vous envoyer en prison, voire à l’échafaud.

C’est ce que chacun de nous doit avoir à l’esprit lorsqu’il utilise son bulletin de vote. Voter n’est pas anodin, ce ne peut pas être un simple caprice. Ce devrait être, dans l’absolu, limité à confier un mandat nous laissant la maîtrise de notre destin à travers une administration et une justice neutre et démocratique, respectant toutes les opinions. Ce n’est pas le cas.

Les condamnations, à la prison conduisant à la mort pour le résistant Alexeï Navalny, ou directement à la peine de mort pour le rappeur Toomaj Salehi, ne sont pas des exceptions. C’est la règle.

Le vote ne confie pas un mandat, il donne le pouvoir, et le pouvoir n’a pas de limite. Où que ce soit. La coercition qu’il peut mettre en œuvre avec ce qui se fait appeler abusivement la justice est illimitée.

Un exemple flagrant.

Cela fait deux fois que le magistrat Faucou Gérald, Président de la formation ayant à fixer une consignation au TJ de La Rochelle, abuse de son pouvoir pour entraver la justice.

La consignation à l’occasion d’une citation directe est fixée, selon l’article 392-1du Code de procédure pénale « en fonction des ressources de la partie civile ».

Deux de mes sociétés en survie difficile et ayant peu de ressources du fait d’agressions indues par les Services Fiscaux pour l’une, par les élus et Services Municipaux de l’Urbanisme pour l’autre, ont fait citer les responsables devant la Chambre correctionnelle du TJ de La Rochelle.

Ai-je tort ou raison dans ces affaires ? Vous pouvez en juger en lisant les citations accessibles avec les liens liés ci-dessus. En ce qui me concerne, je me défends, dos au mur, avec les moyens que me donne la constitution : la justice et le droit d’expression.

En règle générale, ces deux moyens me sont refusés par « la justice » qui poursuit mon blog pour le compte de Bercy et me colle, lorsque je la saisis, des montants de consignation pour le moins dissuasifs, disons en réalité carrément inaccessibles.

Ici en particulier, en imposant deux fois des consignations de dix mille Euros, le magistrat n’hésite pas à se mettre hors la loi. La Cour Européenne a déjà jugé qu’une consignation excessive est une entrave à la justice. C’est évident, puisqu’alors ne pouvant pas être payée elle met fin aux poursuites engagées.

Il est peu probable que La Cour d’Appel de Poitiers déjuge ce magistrat, qui en tout état de cause sera celui qui jugerait si la consignation pouvait être réglée, alors qu’il a déjà jugé, sans entendre le plaignant que je suis… sans procès juste et équitable.

Il faut savoir que dans le cas contraire, où c’est un membre de l’administration qui me poursuit, où sa consignation est payée par son employeur, celle-ci ne dépasse jamais 500 €, le plus souvent elle est limitée à 300 €…

Conclusion

Il existe bel et bien un corporatisme d’Etat couvrant un pouvoir absolu. La défense de nos droits, de la liberté d’expression, face à ce pouvoir absolu ne passe pas par la case justice. C’est un constat factuel, pas une impression ou une obsession, une phobie complotiste…

Hors, pas de vie sociale possible sans arbitre pour chaque phase de jeu…

N’est-ce pas le point essentiel à défendre, celui qui précède tout ?

Bien à vous.

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L’autorité, cochonnerie invasive.

Les élus, la presse, l’opinion publique, la plupart des intervenants, quel que soit leur bord politique, demandent un peu plus d’autorité, voire une ferme autorité.

J’avoue que cela me sidère. Ne voient-ils pas que la guerre n’est qu’un affrontement d’autorités ? Que c’est toujours ainsi que finissent les crises d’autorité : par la guerre.

Evidemment, il s’agit pour eux d’avoir davantage d’autorité dans le sens de leur opinion, pas dans un autre. Chacun arguant du fait que son opinion est probablement majoritaire, ou pour le moins le serait si ce n’était une, ou des, manipulations éhontées qui sabordent cette opinion. L’imbécilité des autres, victimes consentantes de ces manipulations, serait la grande fautive.

Au fait c’est quoi l’autorité ?

Ce qu’en dit Chat GTP : « L’autorité peut être comprise de différentes manières selon le contexte. Fondamentalement, elle se réfère à la capacité ou au droit de contrôler, de commander ou d’influencer les actions des autres. Cette capacité peut être fondée sur divers facteurs tels que la légitimité, la compétence, le pouvoir institutionnel ou social, etc. Dans le contexte social, l’autorité peut provenir de positions de pouvoir officielles telles que celles occupées par des dirigeants politiques, des chefs d’entreprise ou des leaders religieux. Elle peut également découler de l’expertise ou de la compétence dans un domaine particulier, donnant à une personne une certaine influence sur les autres en raison de son savoir-faire. L’autorité peut également être perçue comme une norme de comportement acceptée dans une communauté ou une société donnée. Par exemple, les lois et les règlements sont souvent considérés comme des autorités régissant le comportement des individus. En psychologie, le concept d’autorité est souvent associé à l’influence sociale et à l’obéissance, comme illustré par les expériences célèbres de Stanley Milgram sur la soumission à l’autorité. En résumé, l’autorité représente la capacité d’exercer une influence, de donner des directives ou de prendre des décisions qui sont acceptées ou suivies par d’autres, que ce soit en raison du pouvoir formel, de la compétence, de l’expertise ou des normes sociales. »

En résumé, l’autorité est l’expression du pouvoir, la plupart du temps accompagnée de l’emploi de la force. Elle commence par un froncement de sourcil, elle finit au peloton d’exécution.

Elle est celle du cerf dominant qui s’impose aux biches et aux mâles dominés, celle du prélat qui brulait les sorcières, celle du mollah qui condamne à mort un rappeur, celle du dictateur qui embastille ses opposants, celle du fonctionnaire guichetier qui tourmente les administrés, celle de Bercy qui vole en toute autorité pour crédibiliser les 3 000 Md€ de dettes.

Elle est inacceptable. Si inacceptable que la révolution a instauré la seule protection possible, le lieu où l’autorité ne peut aller : la propriété privée.

Oui mais, l’autorité d’un pouvoir éclairé ne serait-elle pas elle-même éclairée, donc parfaitement supportable ?

De mon point de vue, il n’est de pouvoir éclairé que ponctuellement, pour une action qui ne peut se résoudre qu’en groupe, le pouvoir ainsi instauré cessant dès l’action terminée. C’est rare.

Le reste du temps les hommes n’ont pas besoin de tutelle pour vivre leur vie, au contraire.

Bien plus, l’autorité ne peut être que consentie jamais imposée, tant les risques de dérapage, d’excès sont incontournables et graves.

Chacun a le droit de se mettre sous l’autorité de qui il veut, mais nul ne devrait être obligé de subir une autorité qu’il n’a pas choisi.

Alors, tarte à la crème : oui mais, la délinquance, l’incivilité, les crimes ?

D’abord ces débordements sont généralement le fruit de conflits d’autorités, mêmes si elles sont marginales ou illégales. Leur paroxysme naissant de l’usage qu’en font les Etats, dans la guerre, les manœuvres politiques, le pillage fiscal, etc…

Quant à l’autorité morale : elle est acceptable si elle reste morale, si elle ne devient pas contrainte physique ou matérielle.

Vous allez me rétorquer : « Qui définit la morale et, en admettant qu’elle puisse être définie, que fait-on pour ceux qui ne la respecte pas ? »

C’est un gros problème, effectivement.

Je dirais que chacun sait la morale universelle, la ressent. Mais elle suppose pour être suivie une maîtrise que nous n’avons pas tous ou pas toujours.

Je dirais que là l’arbitrage s’impose, et non la solution clef en mains qui a toutes les chances d’être partisane, voire crapuleuse.

Donc le cheminement est une définition large des contraintes de la vie sur terre, il me semble qu’à ce sujet la déclaration des droits de l’homme et du citoyen est une ébauche presque parfaite.

Elle permet d’imaginer une société sans pouvoir, sans élu, avec uniquement des arbitres.

C’est-à-dire une justice libre, intense, disponible, au-dessus des intérêts matériels ou immatériels, transparente, qui traquerait le mensonge, qui ne serait pas une autorité puisqu’elle serait une justice universelle, la même pour tous les hommes.

Ne sommes-nous pas capables, toutes nations et civilisations réunies, de définir pas à pas une justice juste, qui s’impose sans autorité, par séduction et raison ?

Je suis convaincu que oui.

Et les délinquants ? On en fait quoi sans autorité ?

Ils devront affronter la honte, un poids mortel si elle fait face à la sagesse.

Bien à vous. H. Dumas

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Démocratie et corruption

La corruption, dans l’esprit du public et du législateur, est un acte strictement économique.

Deux définitions sont données sur le net :

La corruption active, qui se manifeste lorsqu’une personne, physique ou morale, offre, promet ou donne, directement ou indirectement, un avantage quelconque à un agent public ou à une personne exerçant une fonction ou un mandat électif public, dans le but d’influencer son action ou sa décision.

Il peut s’agir par exemple d’influencer une personne publique – via des cadeaux, promesses ou autres avantages – dans le cadre d’un appel d’offre pour qu’elle choisisse une entreprise plus qu’une autre.

Ce type de corruption est une infraction pénale grave, régie par des articles spécifiques du code pénal. Cette pratique illégale peut prendre diverses formes, allant des cadeaux aux voyages en passant par des promesses plus subtiles d’avantages futurs. On parle de corruption « active » car il y a un acte spécifique : celui de proposer une compensation en l’échange d’une action.

La corruption passive, qui se caractérise par l’acte d’un agent public ou d’une personne exerçant une fonction ou un mandat électif public qui sollicite ou accepte, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des cadeaux ou des avantages de toute nature pour accomplir, retarder ou omettre un acte de sa fonction ou facilité par sa fonction.

Cela inclut les situations où l’agent public reçoit des avantages pour agir contre l’intérêt du service public ou pour favoriser des intérêts privés. Le droit pénal qualifie ces actes comme des infractions graves.

A l’inverse de la corruption active, il ne s’agit pas de faire une proposition délictueuse mais d’accepter une proposition en connaissance de cause. L’auteur a une fonction dans les pouvoirs publics – contrairement à l’autre type de corruption qui condamne des personnes travaillant dans le secteur privé.

Rien sur la corruption démocratique !!!

Pourtant, la démocratie est bien le système structurel par lequel nous considérons que notre société veille et agit pour l’intérêt collectif, dans toutes ses dimensions.

Dans ces conditions le vote ne peut qu’être déterminé par l’intérêt collectif.

Or, nul ne me contredira si j’affirme que le vote est, à 99%, déterminé par un intérêt personnel, soit direct par exemple l’octroi d’un emploi ou d’un logement, soit indirect par exemple la promesse de règles législatives favorisant des intérêts personnels ou catégoriels.

Les partis politiques et leurs programmes sont une litanie de propositions personnelles ou catégorielles, le plus souvent contradictoires par rapport à l’intérêt collectif.

Conclusion, la corruption est le moteur principal de nos démocraties.

L’écrasante majorité des électeurs considère normal de donner sa voix à celui qui leur apporte le plus d’avantages personnels, elle est totalement indifférente à l’intérêt collectif.

L’écrasante majorité des hommes politiques considère normal de chercher des voix à l’aide de promesses directes aux électeurs, aux groupes d’électeurs, aux membres de leurs partis politiques, sans aucun souci pour l’intérêt collectif.

Par exemple, l’intérêt collectif n’est pas d’avantager les incapables au détriment des capables, c’est l’inverse, mais il ne faut pas le dire. Claironner l’empathie comme moteur constructif d’une société, et non comme un devoir d’abord personnel puis collectif mais dans la mesure des possibilités, est la règle. C’est corrompre les délaissés pour qu’ils déterminent leurs voix.

Notre démocratie n’est qu’une vaste fumisterie corruptive. Nul ne peut ou ne veut gérer en bon père de famille le bien collectif, la vie collective, que ce soit du côté des électeurs ou des élus.

Cela dans l’indifférence générale de tous les garde-fous existants, y compris de ceux qui se parent du nom de « Justice ».

Comment peut-on sortir de là et aboutir à une démocratie véritable du type de celle qui existe en Suisse ?

La solution n’est pas seulement structurelle, elle est aussi éducative, et l’éducation ne découle pas que de l’enseignement mais aussi de la compréhension du vécu.

Le nerf de la guerre ce sont les sous, l’économie.

Un Etat qui dépense et s’octroie le droit de voler dans la caisse de ses administrés pour régler ses dépenses, surtout quand elles dérapent, n’est pas un Etat digne de confiance, moral. C’est donc un Etat qui prédispose à la corruption démocratique.

Il existe une solution simple pour à la fois régler ce problème et éduquer les électeurs.

C’est le vote par référendum de l’impôt, tous les deux ou trois ans, qui impliquera que seront mis aux manettes ceux dont le projet d’impôt aura été ratifié par le vote.

Pas le vote du budget, qui lui sera établi en fonction de l’impôt voté.

Le vote des deux ou trois impôts essentiels directs et indirects.

Cela obligera les élus à expliquer l’usage de ces impôts avant vote, puis à l’appliquer, sans possibilité de modification. Toutes les taxes mineures, génératrices enthousiastes de corruption, seront abolies.

Plus besoin de Bercy nous imposant ses lois, ouf…

C’est simple et incontournable, c’est l’assainissement qui permettra de penser et d’œuvrer exclusivement dans le cadre des intérêts collectif, sous surveillance de la population qui devenant décideuse, s’éduquera, se responsabilisera.

Bien à vous. H. Dumas

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Oui la démocratie est le meilleur système. Oui mais… Bercy…

La démocratie est à la politique ce que le marché est à l’économie, c’est à dire une organisation structurelle dont la base est la liberté.

Est-ce à dire que ce type d’organisation serait une sorte de culbuto qui, quoiqu’il arrive, retomberait toujours du bon côté ? Non.

Que ce soit en économie ou en politique il est toujours des êtres de pouvoir qui, pour augmenter sans limite leur propre liberté, abuse du pouvoir et sont prêts à soumettre la liberté des autres. Or, sans liberté, pas de démocratie.

Notons qu’une collectivité raisonne globalement. Elle aime et souffre globalement, se révolte ou adhère tout aussi globalement. En réalité, elle n’est pas si différente dans son émotionnel de chacun de nous.

Une collectivité peut donc être flattée, abusée, et se croire en sécurité. Ou, au contraire, elle peut être malmenée, bousculée et alors désespérée s’engager dans des voies sans issues, toujours comme chacun de nous.

On peut dire qu’actions et émotions sont une résultante naturelle, vécue aussi bien individuellement que collectivement, liée aux décisions prises, qui s’exprime sous la contrainte des structures qui les englobent.

De cela découle qu’une collectivité que l’on désespère peut avoir des réactions incohérentes, dangereuses, suicidaires, tout comme un individu désespéré.

C’est ainsi que les allemands, désespérés économiquement par leurs vainqueurs, se sont jetés logiquement dans les bras d’Hitler qui leur promettait non seulement une amélioration mais aussi un avenir radieux.

Donc, quand une démocratie dérape il faut se poser la question des responsabilités de celui ou de ceux qui ont pu la conduire, en la trompant, dans une situation de désespoir, de dérapage.

Ce motif de dérapage n’est pas une fatalité, aussi bien le groupe à pu se saborder lui même par erreurs accumulées où veuleries. On ne le sait qu’après s’être posé la question. Il faut donc impérativement se la poser pour connaitre les remèdes à appliquer.

Aujourd’hui, en ce qui nous concerne :

Force est d’admettre que la France est un groupe en mal-être, sur le point de sacrifier les libertés et la propriété — leur socle — peut-être même la démocratie.

Le coupable est Bercy.

Bercy qui a accumulé une dette objectivement désespérante, qui a relayé et crédibilisé une atteinte aux droits de propriété dévastatrice des libertés, qui a maltraité la France qui travaille au profit de celle qui profite sans morale.

Les dégâts sont tels que nul ne pourra les réparer sans un effort colossal, qui ne peut que porter sur les faibles, comme à la guerre, puisqu’on aura besoin des forts pour remonter la pente. Ces conséquences sont inaudibles…

Donc notre démocratie va dans le mur.

Après il sera top tard pour juger Bercy et pour traiter la maladie. Si l’on veut éviter le pire, seul un procès de Bercy et un jugement aujourd’hui permettront de faire le deuil de ce qu’était la France et lui permettre de redevenir une nation crédible.

Le procès de Bercy est essentiel. Nous devons l’exiger, aujourd’hui.

Bien à vous. H. Dumas

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