Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

LE “POUTOU” DE LA MORT

“La richesse c’est le vol”.

La pensée de M. Poutou est émouvante. Il serait bon toutefois qu’il soit plus précis. De quelle richesse veut-il parler ?

Larousse en répertorie sept.

Les richesses scientifiques, intellectuelles, humanistes sont-elles des vols ?

La richesse de l’Amazonie est-elle volée au désert de Gobi ?

En ce qui concerne le vol, là aussi il faudrait que M. Poutou soit plus clair. Quoique, même si lorsqu’il parle de vol Larousse pense en premier aux déplacements aériens, on peut supposer que M. Poutou, lui, désigne les manœuvres consistant à subtiliser des objets à quelqu’un à son insu.

En réalité M. Poutou veut probablement parler du capital, mais gardons son mot qu’il croit plus populaire, plus vendeur de ses salades : la richesse.

Prenons donc un exemple.

Poutou a un salaire de 1 800€ par moi. D’une nature heureuse, il ne se fait pas trop de bile, il préfère les séries télé à la gestion de sa paperasse, la pétanque au jardinage, couvrir ses proches de petits cadeaux que de conseils, un bon verre de rosé à un quart Vittel, etc…

Bref, à la fin du mois il est plutôt en léger découvert à sa banque.

Son voisin M. Pinaud serait plutôt son inverse et avec le même salaire, son jardin et sa vie bien réglée, il met 1 000€ de côté par mois. A qui aura-t-il volé le capital de 12 000€ qui sera en sa possession à la fin de l’année ?

L’histoire peut se répéter à toutes les échelles, elle sera toujours la même, y compris pour ce qu’il appelle les “hyper-riches”.

La richesse, qu’elle soit économique ou culturelle, est d’abord une accumulation, puis une transmission, elle est la base de tout progrès.

La richesse issue du vol, car elle existe évidement, est existentiellement éphémère. Nul ne peut s’enrichir sans fournir à ses clients une prestation, ou alors il est un Etat et il pille des assujettis c’est autre chose. M. Poutou mélange un peu les genres, ses connaissances et son expérience sont limitées.

Sans la richesse — l’accumulation et la transmission — pas de culture, pas de science, pas de civilisation, pas de progrès, et pas d’économie évidemment.

Poutou n’est pas un précurseur, avant lui Lénine, Pol Pot, Mao, Hitler ont tenu ce discours et sont passés à l’acte. On suppose qu’il les préfère à Musk, Arnaud, Gate et Bezos. Chacun ses goûts et ses affinités.

Mais quand même, M. Poutou appelle au vol des biens du riche, ou disons à leur restitution anonyme, c’est à dire pas à ceux à qui ils auraient été volés mais à lui et à ses supporters, donc il appelle en réalité au pillage qu’il dénonce. Ensuite il réclamera la révolution culturelle, la lutte contre les richesses de la pensée…

On connaît, et on sait comment cela se termine. Balzac l’a dit : “Après le vol suit le meurtre”.

La liberté d’expression c’est bien, mais l’appel au meurtre c’est quand même limite.

Poutou croit-il sincèrement ce qu’il raconte ? Ceux qui l’écoutent le croient-ils ?

Hélas je pense que oui.

Je pense qu’une large majorité partage la vision de Poutou, seul le seuil de qualification du riche les différencie. La définition du riche, pour tous, étant celui qui gagne ou possède plus que soi.

Selon où l’on est placé les riches sont donc plus ou moins nombreux. On est toujours le riche de quelqu’un.

Le droit de voler — donc de tuer — les riches que réclame impunément Poutou est indéfini et illimité. Il est partagé par le plus grand nombre. Il s’affiche publiquement par l’intermédiaire de Poutou. Il se concrétise par la délation qui explose. Demain on pille, après-demain on tue.

C’est le début de la fin.

Les sourires niais des personnes présentes à l’émission où s’est exprimé Poutou, l’absence de contradiction structurée, d’indignation, valent complicité.

Bien à vous. H. Dumas

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Le pire est toujours possible….

“Le Pass Vaccinal sera maintenu tant qu’une menace pèsera sur les hôpitaux”. Ou encore “Il faut que les hospitalisations soient compatibles avec un fonctionnement normal des hôpitaux”. C’est le Ministre de la Santé qui le dit.

Dans ce cadre “techno-lumineux”, la majorité parlementaire s’apprête, probablement, à voter massivement, comme un seul homme, une interdiction des tremblements de terre et des éruptions volcaniques qui auraient, soi-disant, une fâcheuse tendance à engorger les hôpitaux.

Maintenant, nous avons enfin une certitude, les risques que nous courrons en recevant un vaccin en phase de test sont exclusivement liés aux difficultés de nos hôpitaux qui sont les plus chers du monde, lequel monde nous les envie frénétiquement.

Ces risques vaccinaux n’ont rien à voir avec notre santé, qu’on se le dise.

Et, si les vaccins ne nous soignent pas fatalement, ils améliorent surement la discussion entre les hospitaliers et leurs patrons politiques. Donc c’est une réussite puisqu’il s’agit de la fonction principale attendue de ces vaccins.

Vu comme cela, les conséquences éventuellement néfastes des dits vaccins deviennent marginales, sont des dégâts collatéraux supportables.

C’est tout, rien de plus. Incroyable, non ?

Tout ça pour ça !!!!

Restez chez vous et prenez du doliprane, c’était donc ça.

Ne venez à l’hôpital que le plus tard possible, en phase terminale si possible, encore ça.

Les chiffres épouvantables déversés par nos journaux nuit et jour, les émissions alarmistes, le confinement, l’interdiction de travailler ou de s’amuser, de se détendre, de se déplacer, la litanie des morts, l’exhibition des souffrances, c’était ça aussi.

La ruine de l’économie, de l’école, du lien social, l’apogée de la délation, encore ça.

La France vaste hôpital en tout lieu en toute heure, obsédée par la maladie avec l’hospitalisation en guise de terminus, toujours ça.

Les médecins interdits de soins, qui pourraient s’inquiéter des patients adressés à l’hôpital et juger des résultats, c’est aussi ça.

Oui mais, l’hôpital c’est le sacre de la fonction publique, de l’égalitarisme, de l’empathie, du don de soi des autres, l’emblème de notre réussite, la justification des charges qui tuent. Cela vaut bien un petit vaccin, et qu’importe l’avenir de chacun si l’hôpital y trouve son compte. Applaudissez, merci.

Ce qu’il y a de bien avec les tricheurs c’est qu’iIs finissent toujours par ne pas pouvoir s’empêcher de craner, d’éventer leur tricherie.

On y est, Véran est le premier, les autres vont suivre, les cocus fermeront la marche, il ne manquera pas grand monde, cinquante millions de vaccinés : ça s’arrose. Non cinquante un millions, je m’étais oublié… merde, je suis vacciné.

Et oui, j’avais oublié que : il n’est pas certain, mais il est toujours possible… le pire.

Cette vérité a tendance à se faire discrète, pourtant c’est elle qui devrait guider notre réflexion, elle est plus utile que la confiance, mais … elle oblige à bosser à plein temps.

Bien à vous. H. Dumas

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Une élite bête comme ses pieds

Le Pass Vaccinal – le PV en abrégé — est la preuve par neuf de cette bêtise, le point au-delà duquel : “plus con que ça tu meurs”.

Quels que soient les mérites du vaccin ou au contraire ses défauts rédhibitoires, les hommes de l’Etat n’ont que deux options : le rendre libre ou obligatoire.

C’est la responsabilité de leur fonction, son honneur.

Ne pas comprendre cela dénote une faiblesse intellectuelle de niveau primaire, véritablement incroyable. A tel point que l’impression de vivre un cauchemar tout éveillé ne va pas tarder à frapper la population.

Macron et tous ses supporters vont payer cash, ce n’est pas possible autrement.

Comment admettre ce Pass Vaccinal et ses incohérences alors que chacun voit bien que son objectif est d’obliger les Français à se vacciner sans en prendre la responsabilité.

Cette manœuvre est horrible, ne pas percevoir sa perversité, ou la percevoir et continuer quand même, est une preuve de connerie ou de folie, au choix.

Nous sommes traités comme ces résistants que les Allemands sortaient de prison, puis leur faisaient croire qu’ils pouvaient fuir en courant dans les champs pour les abattre dans le dos. Ils ont légitimement payé cher pour ça les Allemands.

En bon élève de Bercy, Macron croit avoir trouvé le fil à couper le beurre, alors qu’il ne fait que surfer sur le pire.

Méthode classique de Bercy, on désigne un bouc-émissaire en faisant appel à la haine, la cupidité, la jalousie, l’irresponsabilité, tout cela jamais enfoui très loin chez l’homme, puis on détourne l’attention de la population en torturant à loisir la victime ciblée, pendant ce temps la population oublie les tares du système, dont Bercy fait profiter une clientèle choisie par elle.

Mais il y a une différence de taille. Les boucs-émissaires, de Bercy — les “fraudeurs fiscaux” — sont quantifiés et limités subtilement, de telle sorte que personne ne doute du rôle qui leur est imputé.

Mais là, avec le PV, nous serons tous, par le jeu de l’expansion naturelle de la maladie et de la limite temporelle des vaccins, inévitablement un jour des non-vaccinés !!!

Nous serons tous un jour le bouc-émissaire du PV. Même le plus abruti de nos concitoyens comprend, ou au moins soupçonne, cette situation à venir.

Par quelle lâcheté, quelle bêtise, quelle prétention mal placée, un homme de l’Etat et ses supporters peuvent-ils se mettre en pareille situation ?

Comment Macron peut-il imaginer que dans ces conditions il va pouvoir se présenter aux élections présidentielles ?

Ce sont ces incroyables questions qui me laissent supposer une confusion existentielle entre sa tête et ses pieds.

Le Conseil Constitutionnel va-t-il se prendre les pieds dans le tapis, ou faire un contrepied à Macron en cassant son jouet, le mettant alors au pied du mur, avec un grand coup de pied au c…

Bien à vous. H. Dumas

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L’insécurité des uns paie la sécurité des autres.

Jusqu’où peut aller le fantasme sécuritaire et jusqu’où peut aller le stress de l’insécurité ?

D’abord convenons que tout cela, est à la fois objectif et subjectif, évolue dans un même temps lui-même relatif évidemment. La seule réalité absolue de la vie est la mort, pour le reste elle n’est qu’incertitude et insécurité liées.

La sécurité est un état qui n’existe que dans le présent, l’idée de sa pérennité ne peut être qu’un sentiment, une émotion, un rêve, rien de plus. Et pourtant c’est le moteur de l’humanité.

COVID

Lorsque COVID est arrivée le tableau informatif était effrayant, majoritairement la population s’est confinée pour se protéger. Les hommes de l’Etat, le nez au cul de la population, se sont appropriés la pulsion majoritaire du confinement à l’aide de leur gadget préféré : la loi.

Satisfaction générale des confinés, oui mais…

Pour qu’ils se confinent égoïstement il a bien fallu que certains s’exposent. Le chauffage, la nourriture, les distractions, les soins, etc… tout cela ne leur a pas manqué parce que d’autres l’ont payé de leur insécurité.

Cet échange est aujourd’hui oublié, personne n’en parle, mais ceux qui l’on fait une fois ne le referont peut-être pas aussi facilement à l’avenir. Les premiers pompiers à Tchernobyl y sont allés de bon cœur, ils n’y retourneraient pas.

Pour COVID la question ne se pose pas, elle est apprivoisée, dont acte. Mais pour les autres risques, présents ou à venir, pas sûr que des candidats vont se précipiter au secours de la sécurité des autres en payant eux le prix de l’insécurité.

Les fonctionnaires

Voilà des gens qui par le passé payaient d’un petit salaire le statut sécuritaire dont ils jouissaient. Je parle de la sécurité de l’emploi, de l’absence de sanction, d’une retraite sûre, d’une noble indifférence aux résultats, toutes ces choses qui font écran entre eux et l’insécurité.

Tout cela a un coût, payé par ceux qui s’activent dans l’insécurité, voire la précarité.

Aujourd’hui ce statut des fonctionnaires est toujours là, mais, en plus, leur salaire a tellement grimpé qu’il dépasse largement celui de ceux qui le financent de leur insécurité : les travailleurs du privé, salariés ou patrons.

Le stress de ses derniers, lié à l’insécurité qu’ils assument pour la sécurité des fonctionnaires, est arrivé à un point de non-retour. La probabilité qu’ils refusent de continuer est importante.

Mettons-nous à leur place. L’insécurité du secteur privé est devenue telle que les retours économiques censés le dédommager sont actuellement ridicules. Cela tient au fait que le coût de la sécurité des fonctionnaires a atteint de tels sommets que les prélèvements sur les revenus du secteur libre en insécurité compensatoire sont disproportionnés, confiscatoires, dolosifs.

Voilà donc où nous en sommes

Très proches de la débâcle de 1940.

Quand la population fuyait l’insécurité à venir, se jetant par cette fuite dans une insécurité plus grande encore. De la même façon qu’aujourd’hui, elle s’était bercée d’un sentiment de sécurité qui ne correspondait à aucun effort le justifiant. Personne alors ne voulant affronter l’insécurité de sa vie pour la sécurité de cette lâche population.

Nous sommes très près de la débâcle. Elle sera d’abord économique, puis sans doute rapidement physique quand l’essentiel viendra à manquer et que les pillards pointeront le bout de leur nez.

Avant ou après la présidentielle ? Les paris sont ouverts.

Bien à vous. H. Dumas

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Une sacrée dose…

Bon, nous approchons du but, quelques évidences s’imposent.

Le vaccin ne vaccine pas

Aujourd’hui nous avons tous un parent, un ami, un voisin, respectueux du pouvoir, qui s’est bombé ses trois doses et qui vient d’attraper, à défaut de la queue du Mickey, COVID.

Terrible constat : le vaccin ne protège pas du virus. Il n’empêche pas la transmission. Mais attention, il a évité la mort à ceux qui ne sont pas morts, parait-il, parce que pour les autres “nada” il n’a servi à rien.

Objectivement, autorisant et incitant la foule à se réunir en ne la protégeant pas, on peut considérer que le vaccin fût un des éléments clefs de la propagation de la maladie.

Un point positif, la docilité de Macron, son aspiration pathologique et scolaire à dénoncer le voisin fautif imaginaire, tel qu’il le faisait à Bercy pour les “Fraudeurs Fiscaux”.

En effet, son ostracisme envers les “non-vaccinés”, sous-race de “sous-humains” venant momentanément remplacer les juifs et les riches, lui a rapporté gros :

          – Nous allons abriter une usine flambant neuve de production de l’élixir du docteur Pfizer. La potion magique du cow-boy enrhumé…

C’est formidable pour l’emploi et la campagne électorale du gamin. Pour l’utilité de l’élixir, on verra plus tard.

Ah, aussi, il y aura peut-être les effets secondaires du fameux vaccin, mais ce n’est ni sûr ni proche, on verra… on n’est pas là pour faire des prédictions pense Macron, ni pour communiquer des informations. Que chacun se démerde pour savoir ce qu’il veut savoir.

La mondialisation

Vous savez ce machin qui part du principe qu’il y a une terre sur laquelle courent dans tous les sens des petites bestioles qu’on appelle des hommes, avec pour seul objectif de manger et de se reproduire, deux choses au surplus fort agréables.

Un machin qui rentre en conflit avec l’idée qu’ont les planqués visant à ce que personne ne puisse venir partager leur planque.

Depuis bientôt trente ans la mondialisation est acquise pour ceux qui sont libres dans leurs têtes et dans leurs jambes. Ils sont au sommet de la démarche, devenus si puissants et si indispensables qu’ils se sont fait repérer.

Puis, ces couillons ont inventé la communication partout et pour tous : internet.

Il s’en est suivi une explosion, en tout, en bien et en mal, finalement en ce que sont les hommes. Mais surtout, une stupéfaction pour ceux qui vivaient en tant que chefs des planqués, assis sur le pouvoir obtenu sur des groupes captifs, endoctrinés ou attachés physiquement aux lieux.

Soudain, la mondialisation affaiblit terriblement leur pouvoir.

Alors, ils tentent de la pénétrer, de lui imposer la sempiternelle question : voulez-vous être libres mais face au risque, ou voulez-vous être nos soumis mais protégés par nous du risque.

C’est l’éternelle proposition mafieuse : “tu paies ou ta boutique va bruler.”

Ces possédés ou possédants du pouvoir clanique et leurs zélés serviteurs tentent, avec un certain succès, de pactiser avec les champions de la mondialisation étonnamment sensibles à leurs menaces et à la connivence facile espérant en échange protéger leur monopole naissant.

Ainsi la mondialisation se retrouve dans la situation classique : se construire sur le socle des libertés individuelles ou au contraire à partir d’une organisation collective entre les mains d’un “pouvoir” et fédérée par une ou plusieurs croyances.

Nous en sommes donc là.

COVID est une modélisation grandeur nature de la deuxième solution : l’organisation collective fédérée par une croyance, l’initiative individuelle n’a pas été que négligée : elle a été bannie.

Le résultat est à la hauteur du système : catastrophique.

Pour autant la messe n’est pas dite. Les deux solutions ne demandent qu’à s’affronter, elles trouveront mille excuses à ce sujet. La guerre, la vraie, n’est pas loin.

Elle sera aveugle et totale tant ces deux visions du monde sont inconciliables.

Bien à vous. H. Dumas

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La confusion mortelle

Il n’y a aucun rapport entre l’Etat et la Nation.

La Nation est un espace naturellement déterminé par l’histoire, la géographie et la civilisation, à l’intérieur duquel les individus ressentent le besoin de partager des valeurs et de protéger leurs biens par rapport aux autres Nations.

L’Etat est le raccourci qui désigne les personnes à qui les membres de la Nation confient le pouvoir d’organisation nécessaire au fonctionnement de la dite Nation. En réalité l’Etat est une abstraction derrière laquelle on trouve tout simplement le pouvoir.

C’est ainsi que lorsque Louis XIV déclarait – s’il l’a déclaré – : “l’Etat c’est moi”, il voulait dire : “le pouvoir c’est moi”.

La confusion entre les deux est effectivement mortelle, aujourd’hui elle est de nouveau à son paroxysme.

Après des siècles de confusion les Français se sentant membres de la Nation France ont clairement affirmé en 1789 qu’ils étaient, en tant que membres de cette nation, égaux en droit.

C’est-à-dire que ceux à qui ils confiraient le pouvoir seraient leurs égaux. Même si la nécessité de l’organisation faisait que certains détiendraient le pouvoir pendant que d’autres y seraient soumis.

Cette situation implique le droit de se révolter par rapport au pouvoir lorsqu’il perd de vue cette égalité, lorsqu’il agit à son service et non au service de la Nation. Lorsque se faisant appeler l’Etat il nous impose sa loi, que ce soit en pensant faire le bien ou en affirmant simplement son autorité par cupidité morale ou matérielle.

Les hommes de l’Etat

Ils sont une multitude à prétendre représenter l’Etat, cette abstraction. Cette multitude comprend les chefs, politiciens élus ou cadres supérieurs de l’administration publique, et par extension l’ensemble de la fonction publique que l’on appelle trivialement : “les fonctionnaires”.

Par une déviance intellectuelle stupéfiante, cette multitude s’est d’abord donnée des avantages substantiels puis délirants, soi-disant pour mieux assurer le service de l’Etat.

En réalité pour assoir leur pouvoir, indispensable à leur confort.

Le coût de ces avantages indus — qui trahissent l’égalité en droit, qui prennent pour excuse l’égalité en résultat — est devenu tel qu’il a transformé ces citoyens en pillards pour l’assumer.  

Ce pillage tente maladroitement de se dissimuler derrière la fiction de la répartition égalitariste, qui n’existe pas et n’a jamais existé. Seuls les privilèges des hommes de l’Etat existent, sans contestation possible.

Les déshérités servant d’excuse restent déshérités malgré le pillage, et plus probablement en raison du pillage.

Comment sortir de ce délire collectif ?

Evidemment la solution idéale serait une prise de conscience qui se traduirait par des élections amenant au pouvoir une équipe consciente de la situation et se donnant les moyens de la solutionner.

C’est objectivement impossible. Comment imaginer que ceux qui ont œuvré pour capter le pouvoir à leur avantage auraient la lucidité de l’abandonner, perdant ainsi leurs avantages si confortables ?

Seul l’effondrement de l’Etat, du pouvoir en place, créera les conditions nécessaires au retour de l’égalité, de la Nation telle que ses membres la ressentent instinctivement.

Alors qu’aujourd’hui les membres de cette même Nation commencent à en avoir un dégoût profond. Notamment les jeunes. Ce qui est probablement regrettable, même si l’idée de mondialisation peut leur paraitre préférable et si l’émotion de nation tend à s’estomper.

En fait, seul le temps permettra de déterminer les espaces naturels de regroupement si la nation perd ce rôle.

Aujourd’hui une troisième voie est possible

Il suffit d’assécher l’outil de pillage qui permet aux hommes de l’Etat d’assoir financièrement leur pouvoir, car la preuve est faite qu’ils sont incapables de générer eux-mêmes les sommes nécessaires à l’entretien de leur statut.

Pour eux le pillage est vital, sans lui ils disparaitront rapidement.

CQFD : Il faut et il suffit d’éradiquer Bercy pour caresser l’espoir de redevenir une nation habitable où tous seront égaux en droit, chacun libre de ses choix, de ses possessions, de sa personne.

Les hommes de l’Etat peuvent-ils se maintenir par la force ?

C’est ce qu’ils tentent de faire aujourd’hui, c’est net. Mais leurs dénégations, leurs faux-nez, leurs lois liberticides à la con, ne seront pas d’un grand effet.

Leurs manipulations, leurs sciences sociales sont bien peu de choses et se heurtent à la formidable puissance de la liberté d’expression du net, à l’opinion publique.

Il va falloir qu’ils sortent les fusils s’ils veulent vraiment continuer à piller pour maintenir leur niveau de vie et leur pouvoir. Quelle honte !!!

Et … ce n’est pas sûr que ce sera possible…. nous verrons…

Bien à vous. H. Dumas

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L’odeur du fisc

Le fisc a-t-il une odeur ? Certains trouveront cette question déplacée. Je peux les comprendre. Mais moi, qui vis sous la pression constante du harcèlement et de la torture fiscale, j’affirme que le fisc a une odeur. Elle imprègne tout.

Non seulement le fisc à une odeur nauséabonde, mais il a un goût. Amer évidemment, mais plus encore.

Son odeur est rance, un mélange de vieux papier et de pièce mal aérée, une odeur mesquine qui fait tousser. Pas une odeur de transpiration saine comme dans les vestiaires d’un gymnase où elle est pourtant désagréable, plutôt une odeur fade, d’ennui, de néant, de mort.

Une odeur d’hôpital, mais pas celle des désinfectants, au contraire celle des infections.

Une odeur qui prend plus la tête que les narines, qui est intériorisée, que souvent les autres ne sentent pas, sauf quand ils vous approchent et qu’ils savent que vous en êtes inondé.

Contrairement aux pets c’est une odeur qui gêne beaucoup plus celui qui la porte que son voisin.

Insensible à l’environnement elle se perçoit aussi bien à l’intérieur qu’en pleine nature. Elle est un halo qui vous suit où que vous alliez. Elle imprègne les vêtements, mais ceux qui ont espéré s’en débarrasser dans un camp de nudistes ont été terriblement déçus, elle y décuple, elle atrophie les corps.

Il faut admettre qu’étonnamment une majorité en raffole. Toujours le flacon vaporisateur à la main, ils sont prêts à en asperger leurs voisins.

Sont-ils conscients de la souffrance qu’ils occasionnent aux parfumés allergiques ? Certaines études révèlent qui oui, d’autres prétendent que non, qu’ils croient bien faire, que même si le parfumé souffre ceux qu’il croisera sauront profiter de l’odeur s’ils en sont amateurs.

En ce qui me concerne, après avoir pourtant lu de multiples études sur le sujet je trouve, de façon très ordinaire, que le qualificatif le plus approprié me paraît être une odeur de chiottes.

Ce qui finalement paraît assez logique puisque ceux qui produisent cette odeur sont tout spécialement formés dans une école supérieure où leur sont apprises les mille et une façons répertoriées pour emmerder les Français.

Sans le goût qui va avec, l’odeur fiscale serait orpheline.

La maladie fiscale n’est pas comme Covid, il n’y a pas hélas de perte du goût et de l’odorat, bien au contraire. L’amertume du fisc est telle que la Suze à côté passe pour de la grenadine.

Le goût en est si terrible que certains sont pris de vomissements ou de diarrhées. Ceux qui sont confrontés au goût du fisc sont pris de grimaces qui font la joie de ceux qui pensent qu’ils n’auront jamais à y goûter.

Trop exposé on risque le “long goût fiscal”, maladie dont les séquelles restent à vie sous la forme d’un dégoût général qui neutralise totalement et pour tout celui qui en est affecté.

Nul choix à discuter, il s’agit d’un goût sans couleur, un sale goût. Les lèche-culs en raffolent, sans qu’il ait été établi un rapport avec l’odeur à ce sujet, et pourtant…

Spécialiste du coup du lapin le fisc n’en a pas le goût, il n’a que le très mauvais goût de toujours attaquer par derrière pour tuer.

Le fisc : un truc qui pue et qui a mauvais goût, que le monde entier ne nous envie pas.

Bien à vous.

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L’intuition, le destin et la vie

Celui qui sait, possède -t-il conséquemment demain ?

En tout cas, c’est ce que croient ceux que demain inquiète. En gros nous, tous.

Or, il me semble qu’il n’est ni savoir, ni Dieu, ni hasard en terme de possession de l’avenir, juste un enchaînement qui répond à une logique qui nous échappe car nul n’a le pouvoir de connaître ou de maîtriser tous les paramètres qui installent demain.

Et pourtant, certains croient légitimement pouvoir posséder demain. Soit parce qu’ils sont enivrés de connaissances, soit parce qu’ils perçoivent suffisamment la logique des enchainements pour s’imaginer « destinés ». Il y a même ceux qui croient avoir les deux.

En réalité pour tous, la vie et son évolution restent un mystère, probablement jusqu’au moment où nous la quittons.

Rien pour autant ne nous empêche de faire des hypothèses.

Voici la mienne, qui ne vaut que l’importance que je lui accorde momentanément, j’en ai parfaitement conscience.

Je dirais que la vie s’installe spontanément en tous les points d’équilibre entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, qu’ils soient matériels ou spirituels, qu’elle apparaît ou disparaît constamment dans l’univers en fonction de ces points d’équilibre.

Voilà, un peu abscons mais c’est dit.

Alors, direct.

Quand des salauds poussent vers l’infiniment grand leurs actes de saloperies, ils donnent nécessairement naissance à des justes dont le destin sera d’amener la dite saloperie vers l’infiniment petit pour que la vie persiste au point d’équilibre. Oui, mais aussi réciproquement, sans quoi, sans point d’équilibre, la vie disparaîtrait.

Peut-elle disparaître ? Assurément en l’état de notre expérience, sauf à constater le contraire à l’issue notre propre vie. Sur ce point il est Inutile de se faire des illusions, il suffit d’attendre.

Je vous laisse développer mon hypothèse, la confronter à votre cas personnel ou à votre perception des grands mouvements collectifs, et on en reparle. Nous évoquerons alors, entre autres, l’importance des classes moyennes.

Bien à vous. H. Dumas.

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Aux abonnés

Je voudrais dire merci et souhaiter particulièrement une bonne année aux abonnés de ce blog.

Ils sont 700, ils sont courageux, je suppose que les hackeurs du fisc peuvent entrer dans ce blog et relever leurs adresses, donc je salue leur courage.

Je ne sais pas s’il reçoivent, comme cela devrait être le cas, une alerte à chaque billet, c’est un point technique que je maîtrise mal, dont je ne suis pas sûr qu’il ait traversé intact nos différents déménagements liés aux attaques incessantes du fisc pour faire fermer ce blog. S’ils ne les reçoivent pas je les remercie de bien vouloir m’en excuser.

Je ne sais pas si un jour je pourrai sortir du merdier dans lequel m’a fourré Bercy, si ma vie sera plus longue que celle de cette odieuse administration dont je crois pourtant que les jours sont  comptés. Si c’est le cas, nous nous réunirons pour une grande fête et aussi pour faire partager aux autres la réalité de notre calvaire, pour que cela ne puisse plus se reproduire.

Je pense qu’un mausolée aux victimes du fisc verra le jour, quand les archives de Bercy seront accessibles, si les bourreaux actuels sont virés avant d’avoir pu les bruler.

Bonne année aussi à ceux qui nous lisent et ne sont pas abonnés.

Bien à vous. H. Dumas

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Ces ineffables notaires

Les notaires sont des gens respectables, en douter c’est entrer dans une zone de turbulence.

Le tout est de s’entendre sur la définition des “gens respectables”.

Si les gens respectables sont des gens qui se font payer par nous, alors qu’ils sont en réalité au service de l’Etat — je veux dire de Bercy vous l’aurez compris — alors effectivement les notaires sont des gens respectables.

Cela suppose que l’on soit un fanatique du confort de l’Etat au détriment du notre, qu’évidemment on pense que l’Etat existe, qu’il se confond avec ceux qui prétendent le représenter. Pourquoi pas ?

Vous le savez ce n’est pas ma tasse de thé, à ce sujet je rends bien à Macron ce qu’il pense de moi : je l’emmerde.

Revenons aux notaires.

Imaginons que, par le plus grand des hasards, le fisc vous soit tombé dessus et qu’il en résulte un délirant redressement visant une somme totalement inventée.

Je suppose que vous vous battez comme une bête pour faire valoir vos droits. Oui mais le fisc, votre contestation : il s’en fout comme d’une guigne.

Pendant que vous vous agitez vainement, il colle une hypothèque sur tous vos biens, stocks professionnels et biens personnels compris.

Vous faites le dos rond, acculé dans un coin du ring vous souffrez le martyr, le fisc se marre, c’est son plaisir, les magistrats aussi. N’êtes-vous-pas un “fraudeur fiscal” ? Juif ? Non ou Oui ce n’est pas utile, ça n’ajoute rien, ça n’enlève rien.

Au bout du rouleau, vous êtes obligé de vendre, au moins une partir de ces biens. Vous en vendez suffisamment pour payer l’hypothèque du fisc, le contraire étant impossible, le fisc ne vous laisserait pas vendre, pas question pour lui de vous faciliter la vie… puisque c’est votre souffrance qui le fait jouir…rappelez-vous, ce qu’il aime c’est : “vous emmerder”.

Comment ? Vous ne voulez pas donner tout ce que vous avez gagné aux autres ? C’est quoi cette incivilité ?

On y arrive, aux notaires

Donc cette vente obligatoire, pour besoin de trésorerie, pour vivre, puisque étant dans l’incapacité de travailler tous vos actifs professionnels étant bloqués, cette vente donc est consentie pour une somme supérieure aux inscriptions hypothécaires.

Il s’agit maintenant de passer les actes notariés, de régler le montant des hypothèques inscrites, et de disposer du solde. Simple, non ?

Effectivement : non.

Le notaire ne l’entend pas ainsi. Il prétend, avec toute la déférence qu’il pense lui devoir, interroger le fisc pour lui demander si – en plus des hypothèques qu’il possède – il n’aurait pas envie de prélever un petit peu plus sur le prix de la vente. Faut pas s’gêner, y a un peu de rab…

C’est dingue, non ? Pas tant que ça.

Cette situation est courante. Le fisc a des hypothèques sur un bien qu’un pauvre bougre finit par être obligé de vendre. Mais le fisc c’est le fisc. C’est avant tout des fonctionnaires. Pour vous harceler, vous torturer, pas de problème. Pour travailler… c’est autre chose.

Alors souvent le fisc n’est pas trop à jour dans ses hypothèques.

Alors fisc et notaires réunis ont concocté une modification du Code Civil. Ils ont inventé, en 2006, l’article 2475 du CC, devenu le 2463 depuis le 01/01/2022. Cet article dit que, si les parties le veulent, elles peuvent se mettre d’accord à l’amiable pour la purge des hypothèques. A ce sujet donc le notaire écrit au fisc : ” Bonjour M. Le Fisc, j’ai là un pauvre gus qui vend ses biens. Il le fait pour vous payer, mais moi, j’en profite pour vous avertir, si vous voulez un peu plus que ce que vous avez inscrit, c’est le moment. Grosses bises.”

Et dans la foulée, en acceptant le deal vous vous mettez en position difficile pour continuer à contester ce que vous ne devez pas.

Vous trouvez ça un peu fort, vous le dites. Alors là… vous allez vous faire des ennemis.

En même temps la loi ce n’est pas que l’article 2463 du CC, c’est aussi l’article 2478 devenu le 2464 le 01/01/2022.

Cet article permet de purger les hypothèques, dans le cas qui nous intéresse mettre en séquestre, à la disposition du fisc, le montant des hypothèques et obtenir en échange leur mainlevée.

Alors là, le notaire va vous dire deux choses :

-1- C’est à l’acquéreur qu’incombe la démarche.

Oui, c’est vrai, mais c’est le notaire qui va la faire et c’est le vendeur qui par convention va la payer.

-2- Cela ne peut se faire que lorsque l’acte sera publié par les hypothèques – presque un an – pendant ce temps l’hypothèque peut augmenter.

Non, ça c’est faux. Pas de prise d’hypothèque sur le bien du vendeur après la vente, article 2422 du CC. La date de publication d’un acte est celle faite par le notaire aux hypothèques, elle ne doit pas être confondue avec la date où les hypothèques rendent ce dépôt public. En revanche, effectivement l’hypothèque est prise pour le capital plus les intérêts et accessoires, mais c’est très peu de chose et une provision peut les couvrir.

Conclusion

Votre notaire, en faisant semblant de protéger vos acquéreurs vous jette en pâture, sans vous avoir exposé les deux solutions possibles, en vous refusant ses services si vous ne suivez pas ses consignes. Cela alors que La Cour de cassation a déjà eu l’occasion de dire que nul ne peut imposer l’une ou l’autre des solutions aux parties pour la purge des hypothèques.

Oui mais, fisc et notaires : c’est le grand amour, la folle farandole. Ne vous glissez pas au milieu, vous serez piétiné, vous servirez de paillasson.

Désigné “Fraudeur fiscal”, vous n’avez pas d’ami, pas de conseil, vous êtes seul, juste bon à crever et à lâcher votre fric, et vite, et sans rien dire ou juste ce qu’il faut pour que la terreur prospère….

Bien à vous. H. Dumas

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Le bon, la brute et le truand

Nous allons parler des élections présidentielles, c’est le titre qu’il faut pour le sujet.

Mais avant je vais vous conter une histoire… vraie.

Dans ma garrigue, depuis deux ans, les frelons asiatiques viennent passer leur vie estivale. Ils construisent, en tête des arbres, bien dissimulés du sol, des nids sphériques, importants environ 80 cm de diamètre, où la colonie séjourne une seule saison, l’hiver détruisant vers octobre l’ouvrage  abandonné .

Ce sont de gros insectes très agressifs parait-il, pas vraiment des voisins commodes.

Une seule solution, le piège.

Et c’est là qu’eux et nous sommes très proches : “Face à notre problème nous ne nous posons pas la bonne question, nous n’obtenons donc pas la bonne réponse”. Eux pareillement.

Après être rentré dans le piège, s’être saoulé du breuvage qui lui a été concocté, le frelon cherche à repartir, évidemment. Et là, au lieu de réfléchir, de repartir par le passage qui lui a permis d’arriver, ce qu’il pourrait parfaitement faire, il engage toute son énergie à percuter sans espoir le plastique transparent qui le sépare de la liberté. Puis, épuisé, il finit par mourir. C’est con, non ? Tragique.

Il n’a pas posé la bonne question pour résoudre son problème. S’est-il même posé une question ?

Nous sommes exactement dans cette situation.

Nous avons une impression d’étouffement, de manque de liberté, de dépossession de nos biens et de notre liberté de penser, de contraintes inutiles voire contre productives, d’environnement inique, de combines et privilèges établis à notre détriment, d’esclavagisme, etc…

Nous nous pensons en démocratie et nous imaginons, on nous y aide beaucoup, que notre vote en faveur de tel ou tel Président de la République pourrait changer cet environnement sociétal qui nous étouffe.

Or : qui sera le Président ? Ce n’est pas la bonne question

La Présidence de la République n’est pas le lieu du pouvoir. Il n’y a donc rien à attendre du Président élu, qu’il le soit avec nos voix ou contre nos voix.

Le pouvoir est à Bercy

Et nul n’est élu à Bercy. Aucune structure élective n’a le pouvoir sur Bercy, c’est l’inverse.

Toute notre misère est liée à Bercy qui a carte blanche pour intervenir sur nos vies, après avoir entretenu l’idée que son but est altruiste.

Nous rejouons, à guichet fermé, la pièce classique de nos sociétés.

Un couillon de service, roi, président ou autre, fait mine de détenir le pouvoir politique. Une armée de faux-culs prétend, elle, être détentrice du bien et vouloir nous faire profiter de ses largesses.

Hier église, aujourd’hui fisc, qu’importe l’appellation, elle dirige avec l’assentiment de tous puisqu’elle veut notre bien, elle exploite, vole, intimide, torture la population, pendant que le couillon politique de service porte le chapeau et paie quelques fois une addition salée – voir Louis XVI –

Il n’est pas si rare qu’un digne représentant de ce pouvoir parallèle absolu s’introduise à la place du pouvoir politique officiel, Richelieu et Mazarin sont de bons exemples.

Notre époque a eu Giscard, homme de Bercy devenu Président, aujourd’hui c’est Macron qui joue la même partition.

Bercy

Cet organisme au-dessus de tout attire les amateurs de vrai pouvoir. Ceux qui aiment en jouir, l’utiliser. Or à quoi sert le pouvoir si ce n’est à contraindre les autres ? La contrainte n’est totale que lorsqu’elle vous dépossède de tout, y compris in fine de la vie.

Les membres de cet organisme sont formés par l’ENA. Ils ne sont pas différents de tous leurs prédécesseurs à la même place, pas de différence entre Richelieu et Giscard.

Ce sont les méchants, les brutes.

Dans le titre – copié — de ce billet : les bons sont les Français qui sont objectivement, dans leur ensemble, plutôt de braves gens ; la brute c’est Bercy ; le truand c’est Macron.

Macron, cet homme de Bercy, déguisé en politicien bienveillant, vient de se lâcher. Ce qu’il aime par-dessus tout : “C’est emmerder les gens”, en finesse… Il est bien un pur produit de Bercy.

Libre à nous de croire que l’élection présidentielle aurait une utilité. D’être comme le frelon asiatique qui oublie par où il est arrivé et s’efforce de repartir, sans espoir, par un chemin qui n’existe que dans son imagination largement défaillante.

La liberté est au bout de l’éradication de Bercy.  La seule bonne question est : comment éradiquer Bercy ?

Par exemple, avec COVID c’est Bercy qui génère les ridicules gesticulations des politiques, espérant dissimuler la faillite totale de son organisation financière de la santé. C’est Bercy qui parle par la bouche de Macron. Ne l’oublions pas, car sans quoi le prix à payer sera : encore un peu moins de liberté.

Attention, nous ne sommes pas loin de : plus du tout de liberté. Réfléchissons.

Bien à vous. H. Dumas

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Un pays sur deux roues avant tonneau. Vite : Bonne année, après… qui sait ?

C’est un peu l’image qui me vient à l’idée quand je regarde notre groupe réuni parait-il par des frontières, par le droit du sol, qui se fait appeler France.

Ces images, qui foisonnent sur le net, où camions et voitures se mettent d’abord en travers puis sur deux roues et engagent alors une trajectoire imprévue et imprévisible qui finit la plupart du temps par un tonneau spectaculaire, quand ce n’est pas pire.

Ce pays est fait d’une multitude de tonneaux, de crashs :

A tout seigneur tout honneur, la santé.

Il fut un temps où la médicine ne se prenait pas plus au sérieux que ça. Chacun connaissait son médecin généraliste, en cas de petit pépin il passait à la maison. Il voyait tout le monde, restait un moment, ne perdait pas le contact avec sa patientèle. C’était souvent un ami.

Aujourd’hui nous ne connaissons que les salles d’attente de nos médecins référents, qui sont débordés, que l’on voit quelques minutes après une longue attente inversement proportionnelle. Dès que l’on est malade : direction l’hôpital. Où évidemment on gêne, il y a toujours plus malade que soi, ou paraissant…

Le portillon des urgences passé, c’est la grande solitude. Plus personne n’a le droit de vous voir, jusqu’à plus tard… très tard.

Outils et compétences sont au top, un peu trop pour ce qui vous arrive en général, mais souvent pas assez quand c’est sévère.

On en sort en se disant qu’on n’y retournera plus, on y retourne au moindre pet de travers…

Les médecins ne sont pas les plus lourds à l’hôpital, d’abord ils ne sont pas très nombreux, on n’en voit pas souvent, c’est le reste qui est lourd : L’ambiance “CGT j’en peux plus” à tous les étages.

Alors COVID là-dessus… bonsoir.

Les banquiers

Pour les comprendre il faut d’abord avoir assimilé qu’une fois chez eux votre argent leur appartient. Alors vous comprenez pourquoi si vous voulez le récupérer, ils ne sont pas d’accord, iIs pinaillent.

En fait leur “challenge” c’est de vous coller un crédit, une assurance, un compte épargne, comme pour le flic la prune. Ils vous choppent au moment où vous y attendez le moins, car ils ont un avantage sur vous, ils savent exactement combien vous gagnez d’argent et combien il y a sur votre compte. Ils ont le temps pour ça, pas vous.

Quant à une aide pour votre avenir, un avis éclairé sur votre destin économique, donc bancaire, ne comptez pas sur eux. Ce ne sont plus des banquiers, ce sont des guichetiers.

Malheureusement : interdiction de s’en passer, pourtant ce serait si bien…. En plus, ils sont en prise directe avec le fisc à qui ils parlent de vous régulièrement.

– Les notaires

Là, c’est le pompon. D’ami et confident de la famille, de ses petits secrets, ils sont devenus de dangereux bureaucrates. Plus bureaucrates que les fonctionnaires que, petit à petit, ils remplacent. Ils s’agitent énormément pour vous faire croire que la succession de tante Adèle est le problème administratif le plus aigu qui soit.

Ils n’ont de cesse de vous intoxiquer de leur compétence, eux seuls peuvent définir les conditions de l’achat de la maison de Marcel, que ce dernier voudrait bien vous vendre en dix minutes, parce qu’il se barre ailleurs et qu’il a besoin de son fric, que vous la connaissez pour y avoir tapé la belotte pendant des années, mais ce n’est pas possible.

Le notaire est là pour dire à la mairie qu’elle pourrait acheter la maison de Marcel à votre place et attendre sa réponse, pour fouiner sous les planchers à la recherche d’insectes dont certains sont interdits de séjour, pour vous soupçonner de vouloir payer avec de l’argent que vous auriez gagné en trafiquant avec la Birmanie, pour peaufiner un dossier complet de la maison que vous achetez, qu’il va immédiatement transmettre à son supérieur : le directeur des impôts de votre patelin. Il est aussi là pour vous lire cent pages de conneries insipides, qu’il ne comprend pas lui-même.

En clair : ce n’est plus votre pote. C’est un collabo, un agent du fisc, payé par vous, mais contre vous…

– Les avocats

Alors là, si vous en connaissez un qui n’a pas le melon, téléphonez-moi vite.

Et pourtant, il n’y a pas de quoi. Ils passent leur temps à se faire humilier par des magistrats qui sont complètement hors-sol, qui les terrorisent “vachardement”.

Les salles d’audience sont en réalité de gigantesques “lèches-culodromes”.

Mais, les avocats ont l’exclusivité de plaidoirie, vous ne pouvez pas aller dire à la justice vos espoirs, vos problèmes, lui transmettre vos soucis, les injustices que vous subissez, vous êtes obligez de passer par l’avocat qui lui va au tribunal, payé par vous, pour régler ses propres problèmes – et ils sont nombreux — avant les vôtres.

Alors, si votre cause ne plait pas à la magistrature, oubliez. Vous ne trouverez pas d’avocat, il s’exposerait, c’est pas le genre de la maison.

On pourrait parler des architectes qui aussi se la pètent, qui aussi ont un monopole.

Evidemment des guichetiers de nos mairies, enfin ce qu’il en reste, c’est-à-dire presque rien par temps de COVID, des éboueurs, des chauffeurs de bus, de tous ces privilégiés qui savent que, quoiqu’ils vous fassent, ils auront toujours raison.

Je n’ose pas rajouter les flics, je n’ai pas assez de place.

Donc, cette nouvelle année s’annonce pire que les autres, croyez que j’en suis désolé… Je n’ose pas faire de vœux, ils seraient ridicules tant ce que je souhaite est simple : le droit de vivre libre, de faire ce que je veux, qu’on m’oublie, qu’on ne me fasse pas porter le poids de la misère du monde, du prix du pétrole et du caviar, que le fisc me lâche la grappe, presque rien quoi…

Mais je sais que c’est impossible.

Il me reste Amazon et ses livraisons express, Google et ses recherches à la vitesse de la lumière – dont j’ai appris que c’est la vitesse indépassable… qu’il me tarde de dépasser… Et puis Facebook où chaque jour que le Bon Dieu donne une pute se propose de devenir mon amie, et Youtube qui m’entube, et ma rate qui se dilate… Tout va très bien Madame la marquise…

Ah j’oubliais, ma prédiction pour 2022 :

Je ne sais pas ni pourquoi ni comment, mais je crois que Macron ne va pas pouvoir se présenter aux présidentielles….

Bien à vous. H. Dumas

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Disparition prématurée (terreur et autocritique)

C’est en pleine force de l’âge qu’Emmanuel Bolling vient de nous quitter.

Enfin je veux dire en pleine force de l’âge de lutter, ici, contre la terreur fiscale.

Il a été atteint de plein fouet par cette terreur et, en conséquence, il a décidé de se terrer.

Heureusement sa santé ne parait pas en jeu.

Voici son testament reçu à l’instant par mail :

“Monsieur le Président
17 -ème  chambre du TJ de Paris
Parvis du tribunal de Paris
75859 Paris Cedex 17

 Monsieur le Président

Je suis cité à comparaître à l’audience correctionnelle de votre tribunal afin de répondre des déclarations qui ont été faites dans une vidéo du site TEMOIGNAGE FISCAL, intitulée CRIME CONTRE L’HUMANITE, et incriminant nommément différentes personnes travaillant pour le TRESOR PUBLIC (DGFIP).

Ne pouvant, financièrement, me rendre devant votre tribunal, je tiens à vous faire connaître la réalité de mon rôle dans la vidéo incriminée.

Cette vidéo a été réalisée à l’initiative exclusive de Monsieur Henri Dumas, propriétaire du blog internet, qui en a choisi, seul, le thème.

Mon rôle, comme dans toutes les vidéos d’Henri Dumas, est celui d’un « faire valoir » pour lui. Je n’ai eu aucun rôle actif ni dans la conception ni dans la réalisation de cette vidéo.

En outre, cette vidéo a été tournée dans les bureaux de M Dumas, à Sète, avec ses moyens personnels (caméra, ordinateur et micros).

Je ne suis donc ni complice ni co-auteur même par la fourniture de moyens et ne puis être considéré comme personnellement responsable des propos tenus par Henri Dumas ; propos qui ont été tenus hors de mon contrôle et sans recevoir, de quelque manière que ce soit, mon approbation préalable.

Vous pourrez aisément le constater en visionnant cette vidéo dans laquelle je n’ai aucun rôle actif.

A bien y regarder, je me suis retrouvé dans la même position qu’un participant à un meeting politique écoutant un orateur tenant des propos susceptibles d’entrainer, à son encontre exclusivement, des poursuites judiciaires.

Je vous précise enfin, que, n’étant pas d’accord avec la ligne politique excessive adoptée par monsieur Dumas, j’ai décidé en mars 2021, de mettre fin à ma collaboration et de quitter ce blog.

Ne me considérant à aucun moment responsable des propos qui ont été tenus, je sollicite donc de votre tribunal ma relaxe pure et simple des accusations qui me sont reprochées.

Respectueusement.

Le 03/12/2021

 Emmanuel Bolling”

Résister est difficile. Après réflexion ne jetons pas la pierre à Emmanuel, j’irai le défendre seul

Bien à vous. H. Dumas

 

 

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COVID : un délire collectif…

La tournure prise par les événements liés à COVID m’interroge. Et je m’aperçois, que non seulement je ne suis pas le seul, mais que d’autres m’ont largement devancé.

Depuis fort longtemps, comme vous je suppose, j’ai ressenti, sans vraiment chercher d’explication, que les sentiments, les émotions, les pensées voire les actions d’un groupe ont leur indépendance par rapport aux mêmes stimuli des individus qui composent le groupe, tout en s’imposant à ces individus. Ce qui génère régulièrement des situations assez inconfortables entre le groupe et certains de ses membres.

Dans le cadre de cette différenciation, force est d’admettre que le groupe peut entrer en délire sans pour autant que les membres qui le composent soient eux-mêmes délirants.

Il me semble que pour COVID ce soit le cas.

Hier soir, je suis tombé sur une vidéo-interview de Denis Robert, qui a fortement alimenté ma réflexion.

Il y a quelques années, j’ai fait un tout petit bout de chemin avec Denis Robert. C’est un homme intéressant et intelligent, mais c’est un croyant égalitariste, donc un candidat au délire. C’est aussi un carnassier rusé, donc un collectiviste dangereux.

Il interview dans cette vidéo ; https://youtu.be/2QFirQKLhEI un pédopsychiatre, le docteur Thierry Gourvenec. C’était il y a un an. C’est très, très, intéressant.

Une petite frustration cependant.

Le docteur Gourvenec explique que les délires collectifs cachent la plupart du temps un choc violent, une peur intense, par exemple la fin programmée par lui-même de Charles De Gaulle à la tête de la France en ce qui concerne la Rumeur délirante d’Orléans en 1969.

Curieusement, il faiblit sous les attaques de Denis Robert, délirant du COVID, et ne précisera pas sa pensée quant au choc de peur qui aurait pu générer le délire COVID, alors que visiblement il a sa petite idée. Il sème quand même in fine le doute dans l’esprit de Denis Robert, c’est intéressant.

Cette idée de délire collectif éclaire l’histoire violemment.

Les délires de Louis XIV, dont Versailles et sa cour – dix mille courtisans — vont précipiter la France vers la révolution. Que sont les guerres de 14 et de 39 si ce n’est des délires collectifs ? Et tant d’autres phénomènes incroyables qui s’expliquent si l’on accepte l’idée du délire collectif.

L’état de délire étant caractérisé par l’incohérence des pensées et des décisions, la perte de repère logique, l’impossibilité de raisonner objectivement autrement qu’à travers le filtre de l’objet du délire, le refus d’une autre vérité que celle du délire. L’aboutissement du délire, s’il en est un, étant la sidération.

Bien des situations dans le monde suivent ou ont suivi ce cheminement, n’ont pas d’autres explications. Le délire collectif serait plutôt la norme que l’exception, il me semble.

Plus avant, en 1995, est publié : “Mécanismes mentaux, mécanismes sociaux, de la psychose à la panique” Sous la direction de Henri Grivois, Jean-Pierre Dupuy.

Je n’en connais qu’un extrait public, que voici :

“Pour bien comprendre un délire et pour pouvoir lui appliquer le traitement le plus approprié, le médecin a besoin de savoir quel en a été le point de départ. Or cet événement est d’autant plus facile à discerner qu’on peut observer ce délire à une période plus proche de ses débuts. Au contraire, plus on laisse à la maladie le temps de se développer, plus il se dérobe à l’observation ; c’est que, chemin faisant, toutes sortes d’interprétations sont intervenues… Entre un délire systématisé et les impressions premières qui lui ont donné naissance, la distance est souvent considérable. Il en est de même pour la pensée religieuse.”

Il s’agit d’une citation d’Émile Durkheim, que j’ai trouvée suffisamment séduisante pour acheter l’ouvrage, que j’aurai la semaine prochaine.

Donc le délire collectif, peu étudié, serait une maladie collective réelle.

Quel chantier s’ouvre à nous…. Quelle découverte en ce qui me concerne.

Dans le genre : retour à l’envoyeur…pour le délire fiscal.

Bercy nid de fous délirants ? C’est à étudier…

Revenons à COVID.

Si tout cela s’avère n’être qu’un délire, ce qui aujourd’hui commence à être fortement sous-entendu, quel échec pour Macron.

Car que demande-t-on à un homme de l’Etat ?  Pas grand-chose mais, à minima, de nous protéger des délires collectifs, de garder toute sa tête quand notre groupe la perd.

De ne pas céder à la panique et évidemment encore moins de l’amplifier.

Suivez mon regard… Attendons d’y voir plus clair.

En ce qui concerne le choc violent, la peur irrépressible, ayant enclenché ce délire ?

J’ai ma petite idée.

Je propose la terreur de perdre la domination mondiale pour les occidentaux et leurs affidés, au profit des asiatiques. Avec tout ce que cela suppose quant à la qualité de vie entre : être dominant ou dominé. Explication qui peut aussi englober le délire écologique…

Pourtant, les soins me paraissent simples pour contrer le délire collectif : il suffit de redonner la liberté à l’individu… il cassera facilement le délire collectif s’il peut s’en échapper.

Bien à vous. H. Dumas

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COVID , le prix à payer

Encore une fin d’année catastrophique, ou plutôt voici une nouvelle année qui commence mal, au choix.

Quelques-unes de ces incohérences qui nous perturbent gravement :

  • le “vaccin” contre COVID, contrairement à ce qui nous est laissé supposer, n’est pas gratuit, nous le payons par l’impôt.
  • Bien pire, nous n’en connaissons pas le coût, alors que c’est nous qui payons.
  • Le “vaccin” obligatoire, tout rappel confondu, serait efficace à un gros 50%, sans qu’une certitude scientifique ne soit apportée sur ces chiffres. C’est un peu comme si les hommes de l’Etat nous obligeaient à leur acheter une voiture qui aurait une chance sur deux de voir sa direction se casser en nous projetant contre un arbre.
  • Étrange similitude entre COVID et collectivisme. C’est à dire un projet collectif qui isole. Un même révélateur d’isolation : la peur de l’autre par qui arriverait le déchaînement de la violence mortelle.
  • L’exigence du sacrifice du plus grand nombre au profit incertain d’une minorité dont le destin ne change pas malgré ce sacrifice. Un échec total, qui justifie paradoxalement l’intensification du sacrifice inutile.
  • Une élite non concernée qui s’épanouit et se renforce au détriment de l’ensemble, qui échappe aux contraintes sans conséquence notable pour elle.
  • Supporterions-nous un chauffage qui ne chauffe pas, un réfrigérateur qui ne rafraîchirait pas, un transport immobile ? Comment pouvons-nous accepter un “vaccin” qui ne vaccine pas ? Qui simplement réduirait le risque d’une maladie dont on sait que son destin naturel est de disparaître. Un peu comme la carence du chauffage s’estompe l’été venu, sans besoin du chauffagiste.
  • Guerres napoléoniennes, 14-18, 39-45 et COVID, même scénario : sacrifice de la jeunesse aux fantasmes de la vieillesse, mais sans même les “faits d’armes”. Le bide complet.
  • Un silence assourdissant des 220 000 médecins français qui, hors quelques exceptions respectables, ont avalé les couleuvres des hommes de l’Etat. Par incompétence ? Par intérêt ? Par désespérance ?

Cette liste n’est pas exhaustive. COVID a été l’unique star des informations depuis deux ans.

La société COVID, un immense désert où l’humanité a le derrière en l’air et la tête dans le sable.

Attention aux coups de soleil sur les fesses et aux vertiges quand tous relèveront la tête.

Bonnes fêtes quand même.  H. Dumas

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Les dérives de l’opinion publique. La gloire de Laurent Garnier

Le 20 mai 1928, la république allemande organise des élections législatives, le parti Nazi mené par Hitler réalise le plus petit score, 2,6% des votes.

Arrive le krach de 1929, l’économie s’effondre.

Le 14 septembre 1930, nouvelles élections, le parti Nazi arrive second, avec 18,25% des suffrages.

La crise perdure, le 5 mars 1933, nouvelles élections législatives, le parti Nazi arrive premier avec 43,91% des suffrages.

Tout le monde connait la suite.

Qui peut prétendre que la voix du peuple est la seule qui vaille ?

Hitler s’est vautré dans la démagogie, il a adhéré à la théorie du bouc-émissaire qu’étaient les juifs depuis deux mille ans, il a flatté les Allemands en les persuadant qu’ils étaient le nombril du monde, il n’a fait que caresser l’opinion publique dans le sens du poil, le tout raconté intégralement dans son livre Mein Kampf, sorti le 18 juillet 1925.

Donc, aucune surprise en tout cela. Uniquement une immensité de médiocrité, de bassesse.

Aujourd’hui :

          – Qui peut croire que la dette ne va pas finir sur un krach ?

          – Qui peut ignorer que la collectivité échoue quand elle ne respecte pas l’individu et ses biens ?

          – Qui ne voit pas que COVID serait affronté de bien meilleure façon si les malades étaient dirigés vers une organisation personnelle et multiple au lieu d’aller mourir comme des cons dans un hôpital collectif incapable de les recevoir tous ?

          – Qui n’est pas conscient que le bouc-émissaire est le fameux “10% des plus riches”, c’est-à-dire tous ceux qui sont capables de créer du capital et de faire vivre grâce à celui-ci l’économie du pays.

          – Qui ne perçoit pas que Bercy tue ces créateurs de capitaux au profit d’une poignée, plus la foultitude qui leur lèche le cul, en prétendant organiser une meilleure répartition ?

          – Qui peut imaginer qu’un groupe peut vivre au dépend de ses forces vives dont l’énergie est captée au profit de ses inconséquents ?

          – Qui peut croire que le mensonge et la perversité d’une administration et de sa justice peuvent remplacer avantageusement l’engagement personnel, le mérite, l’honneur, le respect de sa parole et de la propriété des autres ?

Les Allemands ont été des pillards de 1939 à 1944, des assassins, en reste-t-il une leçon ?

Non, rien. Toutes ces souffrances ont été inutiles. Ce ne sont pas les cérémonies, la main sur le cœur, qui y changent quelque chose. Tous ces morts pour rien et tout qui recommence… C’est à vomir.

Pourquoi cette colère ?

Lisez ceci : https://ahp.li/5b9b3124e9c43b1eec12.pdf

Puis ceci : https://ahp.li/02512400800727457a62.pdf

Si vous avez un tout petit peu d’empathie, vous êtes un être extraordinaire.

Tous pensent que tout cela est normal. La dette ne peut qu’exister puisque M. Garnier le dit. Et puis, en quoi Dumas a besoin d’un million d’Euros, ils seront bien mieux chez les pauvres qui en ont tant besoin, qui sont pauvres par hasard, alors que lui est possédant par rapine, par opportunisme, évidemment…

Le fait que ce qui attend les Français sera encore pire que ce qu’ont vécu les Allemands en pensant pareil, car l’environnement est bien plus dangereux, ne me console pas, j’en suis.

L’opinion publique me dégoute, ceux qui la cajolent encore plus.

Juste, je plains Garnier, pourvu qu’un jour il ne prenne pas conscience de ses pillages, de ses meurtres, sa souffrance serait si intense. En même temps… c’est peu probable.

Bien à vous. H. Dumas

PS : La fameuse dette fiscale est totalement inventée, elle n’existe pas dans la réalité comptable.

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Leur moteur c’est la haine

Résultat de leur jalousie, de leur égoïsme, de leur suffisance, du pouvoir qu’ils se donnent, de leurs limites matérielles et intellectuelles, la haine les habite, elle est le support de toutes leurs pensées, de toutes leurs actions, elle n’a aucune limite, elle se cache derrière l’intérêt collectif, elle est tout, y compris ce qu’ils croient être le bien.

Sa cible : les 10% les plus riches.

“Qu’on prenne aux riches” est la devise de la propagande constante à laquelle sont soumis les français.

Cela vise ceux qui sont réputés en faire partie, mais aussi ceux qui sont supposés vouloir en faire partie, ou encore ceux dont on pense — au pif — qu’ils en font sans doute partie, ou si ce n’est eux leur famille ou leurs amis. Par extension seront inclus ceux qui veulent tout simplement vivre, car alors ils puisent dans les ressources de leur environnement ce qui les apparente aux 10% les plus riches ; on se demande pourquoi ?

Finalement, en dehors d’une petite minorité de fracassés par la vie, marqués des stigmates de la pauvreté, et une portion plus importante de faux-culs déguisés en pénitents de la consommation, tout le reste de la population est supposée pactiser avec les 10% les plus riches et doit donc être rééduquée.

Le territoire d’intervention de la haine est donc extrêmement vaste, quasi illimité pour ceux qui se considèrent en position de la répandre légitimement.

C’est d’eux dont je suis la victime, peut-être vous aussi.

En ce qui me concerne j’ai mis plus de quinze ans pour le comprendre.

Au début j’ai cru qu’il s’agissait d’un quiproquo, le même qu’au lycée. Où mon désintérêt pour ce qui m’y était enseigné est passé pour de la bêtise, de l’indiscipline, de l’arrogance, de l’irresponsabilité, or ce n’était pas le cas, ma vie l’a prouvé ensuite.

Naïf, j’ai cru en la justice alors qu’elle dispense cette haine à longueur d’audience, j’ai cru en la hiérarchie administrative et politique alors qu’elle est à l’initiative de cette haine visant à neutraliser le pouvoir de l’économie qu’elle lui croit défavorable, dont elle est jalouse.

Aujourd’hui je sais et j’ai enfin compris que ce qui nous attend va être terrible.

Nous avons pris la place du Juif, sans que malheureusement pour lui ce dernier soit exclu de la même haine, et nous allons vivre son calvaire.

Nous sommes bannis de la société, nos biens sont aux autres, ils le pensent si fort qu’ils passent à l’acte, pour l’instant de façon limitée et ciblée, avec les faux semblants que j’ai largement exposés dans ce blog. Demain ce sera directement par la force, sans jugement. Puis par la loi qui sera totalement prédatrice.

Ce sera la répartition égalitaire législative, qui n’aura pas besoin de justificatifs bidons comme aujourd’hui.

Alors nous nous enfoncerons dans la misère, parce qu’il n’y a pas d’économie sans capital et que le capital ne se divise pas selon les besoins, il nait de ceux qui savent le créer et le faire prospérer.

Cette misère génèrera soit une violence physique sur place, soit une invasion guerrière née de la faiblesse liée à une économie en perdition.

Le même film se rejoue au fil du temps, nous y sommes.

Accidentellement, par trop de confiance, par décalage de temps, par une mauvaise interprétation de la chute de l’URSS, j’ai cru que ceux qui bossent, ceux qui imaginent, ceux qui donnent et se donnent, avaient encore leur place.

Grave erreur, la haine au contraire a été décuplée par la chute de l’URSS, par l’augmentation des centiles de richesses, jusqu’au point ou toute raison a abandonné le corps social, ou l’expression de cette haine est la norme, sa conscience l’exception.

Personnellement massacré, je vais assister au massacre programmé des autres.

Quelle forme prendra-t-il ? C’est la seule question qui vaille.

Pas plus que nul n’était capable d’envisager, ni a été capable d’assumer, les fours crématoires, personne ne peut aujourd’hui conceptualiser ce que va engendre la haine expansive abondamment partagée contre les 10% des plus riches.

En réalité c’est la notion même de propriété privée qui va être éradiquée, ce moteur qui a permis à l’homme d’arriver où il est arrivé. Ce sera peut-être tout simplement la misère qui va s’abattre sur tous, qui tuera sans intermédiaire, comme en Corée du Nord. J’ai du mal à visionner le futur, même si en ce qui me concerne il est en fait le passé. Il sera modifié lorsqu’il va passer d’un problème encore personnel à sa dimension collective future. Nous verrons….

Bien à vous. H. Dumas

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La sécurité sociale va engloutir notre société.

Les faits sont ordinaires. D’une simple assurance maladie, librement consentie, qu’aurait dû être la sécurité sociale — avec éventuellement les primes des indigents prises en charge par la collectivité — elle est devenue l’organisatrice de la santé. Avec pour principes de base l’égalitarisme et l’irresponsabilité individuelle, qui ont généré une bureaucratie invasive destinée à organiser ces deux axes inaccessibles.

Aujourd’hui nous sommes confrontés à un hôpital, navire amiral de la sécu, qui est en disfonctionnement profond et définitif. Il n’y a aucune autre explication à la vague de folie étatique qui accompagne COVID.

Il faut se rappeler que les mêmes principes, collectivisme et irresponsabilité individuelle, ont entrainé la débâcle de 1940, mais surtout les ignominies de “l’Etat” de Vichy.

A ce sujet je vous propose la lecture de “La carte postale”, le livre d’Anne Berest chez Grasset, formidable fresque de l’incrédulité face à l’incroyable. Tout y est, la propagande qui désigne le bouc-émissaire défini comme cupide, riche et vicieux, son exclusion du groupe social à coup d’interdits stupéfiants, puis son pillage et enfin son meurtre. Tout ça au profit d’une bande de potes qui se font appeler l’Etat.

Nous retrouvons aujourd’hui les mêmes ingrédients, le juif est remplacé par “les 10% les plus riches”, la propagande qui les vise est constante — voir les droits d’auteur de Piketty qui en a fait sa spécialité — évidemment la confusion est totale entre dépenses de confort et capital vital pour l’économie, anonyme, uniquement attaché à ceux qui savent le faire fructifier, sans lequel une société accède effectivement à la vraie pauvreté, pour tous… Et puis, les 10% les plus riches cela vise tant de monde, il suffit d’y inclure les ascendants sur trois générations… fastoche.

C’est ridicule et pas sérieux, mais c’est…

Je pense souvent à Claude Reichman, cet homme de qualité, qui a tout simplement raison, qui voit le temps passer, les faits le conforter, sans qu’aucun changement ne se concrétise. Nous ne nous voyons pas souvent, je le regrette. L’âge, la distance, les difficultés de circuler, font obstacle au plaisir d’échanger, et tout cela va empirer jusqu’à la paralysie totale, l’éradication de ceux qui raisonnent simplement, en vérité.

La collectivité n’a rien à foutre de la vérité, de la simplicité. Comment se cacher, dissimuler ses vices, sa flemme, ses jalousies, ses envies, derrière la transparence de ces vertus ?

Egalitarisme et irresponsabilité engendrent de façon certaine l’égoïsme. Et, plus cet égoïsme s’épanouit plus la foule chante la gloire du collectivisme.

L’hôpital est le saint des saints de cette inversion de la réalité.

A l’hôpital chacun, au nom de l’intérêt collectif, roule majoritairement pour lui, pour ses avantages qu’il fait partager principalement à sa famille et à ses amis. Celui qui se donne aux autres, à son métier, en crève. Il devient le réceptacle du vide d’action qui l’entoure, le trou noir qui aspire le boulot que les autres ne font pas. L’écœurement aura raison de sa bonne volonté.

Plus il y aura d’argent investi à l’hôpital, moins il fonctionnera, plus il sera dangereux pour l’équilibre de notre société.

Mais rien ne pourra arrêter la croyance instillée par la propagande : “nous avons la meilleure organisation de santé du monde, que tout le monde nous envie, qui est gratuite.” Elle couvre les dérives de l’égalitarisme et de l’irresponsabilité, elle est si facile à croire tant que l’on se porte bien.

Il n’y a pas d’issue.

Macron, avec cet outil défectueux, a déclaré la guerre au COVID, tout comme le 3 septembre 1939 le Président Lebrun déclarera la guerre à l’Allemagne — qu’il eut fallu déclarer en 1938 –. Il va se ramasser la même gamelle.

Agir trop tard et en état de faiblesse ne pardonne pas, il en est ainsi depuis que l’homme est sur la terre.

La santé pourrait être gérée selon les normes du secteur privé, ce que défend Claude Reichman.

Le secteur privé n’est pas exempt de défaut, mais il privilégie la responsabilité individuelle et la différenciation par le mérite ou la qualité. Ce qui donne une large place à la liberté… réservée à ceux qui s’en donnent les moyens, effectivement.

Les deux systèmes sont injustes, parce que la justice ne fait pas partie des choses accessibles en ce monde, mais l’injustice peut aider à construire ou au contraire à détruire, là est le choix unique qui nous est donné.

L’expérience a prouvé que l’injustice liée au collectivisme tue la société, que l’injustice liée à l’organisation individuelle favorise la force de la société.

Pour l’instant le choix est fait, notre société va crever, que sera l’avenir pour ceux qui vont survivre ? Vous verrez, personnellement que ce soit à cause du temps qui passe ou de mes engagements mal vus, je ne serai sans doute pas à l’arrivée.

Bien à vous. H. Dumas

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Le chef, le sorcier et le dindon, ou la valse des pouvoirs.

En apparence, le chef détient incontestablement le pouvoir.

Il commande la force avec laquelle il impose sa volonté. Il peut faire croire qu’il exerce le pouvoir au nom de tous. Alors il ment, ne représentant au mieux que ceux qui ont directement voté pour lui au premier tour en toute lucidité, qui ne sont donc en réalité qu’une poignée de copains.

Il peut aussi tout simplement se proclamer chef de la force, point barre, pas besoin de vote. Sous réserve que celle-ci lui obéisse, ce qui n’est pas gagné.

Les racines du pouvoir du chef sont inscrites dans le passé et son exercice limité au présent.

L’avenir n’est pas son domaine, il est celui du sorcier.

Lui seul détient ce pouvoir par sa connaissance prétendue de l’avenir et la peur qu’il inspire.

En réalité

Le pouvoir n’est que le fruit de la peur que chefs et sorciers cultivent jour et nuit, avec application et sans interruption.

Le dindon c’est vous et moi, c’est celui à qui la peur dicte sa soumission, à juste titre.

En démocratie, le jour des élections les candidats se prétendent sorciers en prévoyant l’avenir. Dès leur élection passée, ils ne sont plus que chefs.

“Il manque alors le sorcier” direz-vous, en rajoutant “c’est parce que nous ne sommes pas une bande de sauvages mais une société avancée, rationnelle, intelligente qui n’a pas besoin de sorcier”.

Détrompez-vous, nul ne peut se passer du sorcier.

“Il est loin le temps où la Pythie de Delphes délivrait ses oracles sous l’emprise de gaz hallucinatoires, où les haruspices se concentraient sur les entrailles de poulet pour connaître le sort à venir de l’humanité, ou de leurs dindons” pensez-vous.

Pas si sûr.

Les algorithmes de nos prédicateurs actuels ne sont pas très différents des entrailles des animaux sacrifiés et leur délire hallucinatoire est directement gazeux…

Si nous avions à hiérarchiser tout cela, je dirais que le pouvoir du sorcier est plus puissant que celui du chef, les peurs qu’il inspire sont plus insaisissables, mais évidemment plus incertaines plus difficiles à manier.

C’est bien pourquoi, en règle générale, les deux sont systématiquement associés dans l’exercice du pouvoir pour soumettre les dindons.

Dans nos démocraties, dites avancées, les hommes de l’Etat sont les chefs, l’administration centrale la sorcière — on remarquera la parité —

L’administration planifie, donc prédit, le politicien contraint en fonction de la prédiction.

Les prêtres de la sorcellerie font polytechnique ceux de la chefferie l’ENA. Certains font les deux.

Et les dindons ? Ils morflent.

Ils ont peur, une peur panique. On les comprend. On fait appel à leur intelligence. Mais que peut l’intelligence face à la peur ? Cette peur liée à la mort, qui vient du fond des âges, effectivement à juste titre.

Les progrès de l’humanité ?

Ils ne sont pas pour les dindons. Ils en seront exclus jusqu’au jour où ils prendront conscience qu’il n’est nul besoin de chef, que la peur est la compagne incontournable de notre vie, que nous sommes tenus de l’affronter seuls, que nul ne peut le faire à notre place.

Mais, est-on sûr que les dindons ne savent pas dès le départ qu’ils vont finir sur la table, dévorés à belles dents ? Que ce n’est pas leur choix de vie ?

Que c’est lorsqu’ils prétendent le contraire qu’ils mentent ?

Vaste sujet …

Si les dindons voulaient la liberté ils l’assumeraient, ils ne se contenteraient pas d’en faire un simple slogan…

Bien à vous. H. Dumas

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Perdre des batailles pour gagner la guerre

Autant vous le dire tout de suite, j’en ai gros sur la patate. Je dois aussi vous avertir que ce billet et ses annexes c’est une demi-heure de lecture. Si vous ne les avez pas devant vous inutile de continuer, si vous les avez parlons-en.

Quelques généralités bonnes à rappeler

L’Etat.

J’ai lu récemment, dans le point, un article que je ne retrouve pas — le journaliste m’excusera de ne pas le citer — qui en évoquant l’Etat précisait qu’il s’agit d’une abstraction. Voilà une bonne nouvelle pour nous qui affirmons cela depuis des années et dénions aux hommes de l’Etat le droit représenter cette abstraction qui par définition ne peut pas être représentée, qui donc en réalité ne représentent qu’eux-mêmes et leurs amis. Ce qui évidemment change tout.

Un peu plus loin, déception, voilà que le même journaliste imagine une autre source de pouvoir potentiel : la nation. Alors là, dommage. La nation n’est qu’un regroupement, au même titre que la famille, la ville, l’entreprise, etc… dont l’existence, comme pour tous les regroupements, est liée aux situations particulières de ceux qui sont concernés, l’ensemble n’ayant aucune raison de s’imposer à ceux qui sont là par hasard…

En réalité il n’existe que deux expressions humaines : l’individu et le groupe. Le premier doit être l’objet d’un respect total, sa vie, sa pensée et ses biens doivent être protégés. Le second est nécessaire, évidemment, mais la plupart du temps de façon ponctuelle, plus rarement de façon constante. Malheureusement, de tout groupe émerge un chef qui aussitôt accepté — et c’est là le problème — se projette de façon exponentielle pour finir par s’imaginer définitif et total, or rien n’est moins vrai.

Le capital.

Source de quiproquos constants, rappelons ce qu’est le capital. C’est la somme de toutes les activités économiques connectées, leur assise, leur socle.

Aux économies très actives en créations ou transactions correspond un capital important, à celles peu actives correspond un capital modeste.

Aujourd’hui le capital est mondial et plutôt important.

Il n’appartient à personne, il n’est lié qu’à l’économie. Il se porte naturellement vers ceux qui savent le servir, il fuit ceux qui l’ignorent ou ne le respectent pas.

Toute tentative de séparer le capital de l’économie — par exemple de le redistribuer artificiellement, de le dépenser sans compter — est vouée à l’échec.

La compréhension de la réalité du capital ne le rend ni odieux ni attirant, mais indépendant des volontés individuelles, simple conséquence de l’activité économique dont chacun doit pouvoir juger à l’aune de sa propre philosophie de vie de l’importance pour lui-même, sans emmerder les voisins à ce titre. Ce n’est pas vraiment le cas.

La guerre

Enfin la nôtre. Elle consiste à lutter pour supprimer Bercy et sa mentalité, la terreur fiscale que Bercy ordonne, les souffrances conjointes, les injustices liées.

Rappelons qu’au moins la moitié des dépenses publiques est ordonnée pour satisfaire des fantasmes ou des intérêts électoraux de gens dont nous n’avons nul besoin. Donc la moitié des dépenses publiques est pures injustices, pures inutilités, pures escroqueries, en conséquence la moitié des impôts levés n’a aucune légitimité.

Ils ne peuvent être appelés que grâce à la terreur fiscale. Résister à cette terreur est un grand danger, nous allons en faire la démonstration. Mais c’est un devoir.

Les piliers de la terreur fiscale sont les lettres de cachet que sont les notifications fiscales, exécutables immédiatement, sans recours judiciaire autre que la justice administrative exemple flagrant du conflit d’intérêt.

La terreur fiscale est rendue possible grâce à l’irrespect des principes fondamentaux du droit, qu’il est bon de rappeler : l’accusé est présumé innocent, il doit être présenté devant un juge lors d’une audience publique où lui seront garantis tous les moyens possibles de défense, ce n’est que là et après que toutes les voies de recours aient été épuisées qu’il pourra être déclaré coupable.

Or, l’accusé fiscal est au contraire présumé coupable, traité immédiatement de “fraudeur fiscal”, puis il ne peut se défendre que devant le tribunal administratif qui est une officine de l’administration qui le poursuit, où ses moyens de défense sont limités – pas d’expertise possible — ou l’accusation du rapporteur public ne lui est connue que le jour de l’audience, bref une mascarade de justice qui est la honte de la France.

Rappelons que c’est cette pantomime de justice, et elle seule, qui permet de lever cette masse d’impôts illégitimes qui tue lentement mais surement notre économie en détruisant son capital de base.

Notre combat est essentiel et unique, ce n’est que lorsque la collecte fiscale sera juste, soumise à de vrais tribunaux justes eux aussi, que les dépenses des hommes de l’Etat seront régulées en fonction de la réalité et non de leurs besoins délirants. Alors l’impôt deviendra acceptable et payable par tous.

Cette évidence n’a pas encore fait son chemin dans l’opinion publique, mais ça viendra.

Nous allons peut-être apporter bientôt notre arquebuse intellectuelle à l’espoir, notre bulldozer à la démolition.

Les deux affaires ci-dessous sont en bonne voie.

Un recours classique au TA de Poitiers, son appel à Bordeaux

https://ahp.li/eefe2e00bea1be086d04.pdf   Requête initiale

https://ahp.li/72adaaa1580211cbb40e.pdf   Jugement

https://ahp.li/9e19ff59b4a90ce1e6.pdf45       Appel

https://ahp.li/cc0c34fa0b0c7ba9aaf0.pdf  Arrêt CAAA Bordeaux

Un recours contre la terreur fiscale au TA de Montpellier, son appel à Marseille.

https://ahp.li/cc0c34fa0b0c7ba9aaf0.pdf   Requête initiale

https://ahp.li/ac6ac7a7741518a11c01.pdf   Jugement

https://ahp.li/0db82ecb14d7e8ccb1cb.pdf  Appel

https://ahp.li/b75d68bfd25bbeb18196.pdf  Arrêt CAA Marseille

Dans ces deux dossiers, les TA puis les CA se contentent de prendre des ordonnances sans les motiver sur le fond.

“On ne répond pas à un trou du cul qui pose ce type de question” pensent les hommes de l’Etat et leurs serviteurs – ou leurs patrons – de Bercy.

Donc cassation, où ce sera la même hypocrisie, puis tout droit l’Europe où les questions fondamentales vont pouvoir être posées :

          – Ces tribunaux Administratifs, tribunaux d’exception, quand peut-on espérer s’en débarrasser ? Quand cessera l’existence de cette justice qui pratique le conflit d’intérêt naturellement, sans en avoir l’air, comme les camions diesels pulsent des particules de mazout à longueur de kilomètres.

          – Cette terreur fiscale, que nous vivons chaque heure, chaque seconde, quand cessera-t-elle ?

L’Europe, qui clame son esprit démocratique au monde entier, qui sanctionne et moralise les autres, peut-elle accepter en son sein la torture fiscale pratiquée au bénéfice d’hommes de l’Etat qui nous ont mis en faillite par intérêts personnels et qui nous torturent pour nous imposer la facture ?

Nous verrons bien…

Bien à vous. H. Dumas

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Les curés, ces précurseurs…

Contrairement à la rumeur qui circule, La Sainte Eglise Catholique Apostolique et Romaine, que nous appellerons par facilité pour ce billet la SECAR, n’est pas arriérée face au sexe mais au contraire à la pointe du progrès.

Convenons tout d’abord que la sexualité est une activité qui déborde largement la reproduction dans le monde des vivants par ses externalités. Qu’il y a beaucoup d’inutile prétention chez ceux qui assurent maîtriser la situation.

En ce qui me concerne je me garderai bien de dire qu’il s’agit d’un long fleuve tranquille, ce fut en réalité pour moi une longue épreuve de rafting, qu’heureusement j’ai pu traverser avec l’aide une épouse hors du commun.

Nul ne contestera que la femme qui répond oui à toutes les propositions galantes est considérée comme facile, voire carrément comme “pute”, ce qui ne participe pas à une intégration aisée dans la société.

Donc la femme, avec sagesse, dit non la plupart du temps.

Mais admettons qu’à un moment il faut bien qu’elle dise oui.

Et c’est là que le bât blesse, que toutes les confusions sont possibles.

Chez les parleurs la chose est facile, les palabres peuvent s’étaler dans la durée, au point parfois que la conclusion envisagée est oubliée.

Mais chez les actifs, peu enclins à la parlote, la recherche du point de bascule est tactile, et là toutes les confusions sont possibles, l’erreur ne pardonne pas. Surtout quand la rumeur, ou carrément la justice, s’en mêle, ce n’est pas Hulot qui me contredira.

La SECAR a réglé le problème, pas de mixité dans la sexualité de son personnel.

Donc trois possibilités pour eux:

-l’abstinence totale. Il semblerait que ce soit rarissime.

-la masturbation

-l’homosexualité

On se rapproche des pensées à la mode.

Il semblerait que l’homosexualité au sein de la SECAR soit particulièrement en vogue, au point même de tenter d’essaimer un peu trop ardemment, voire prématurément.

N’est-on pas au centre des revendications actuelles ?

Pas de genre, pas de palabre, c’est oui ou non sans discussion et surtout pas de tentative de convaincre. Pas d’insistance en espérant un oui à l’usure.

Pas de non poli évolutif, que du oui ou “nada”.

L’homosexualité a un passé difficile qui lui a appris à écourter les approches, c’est un atout décisif dans le contexte actuel de l’exclusif “on ou off”.

La SECAR avait tout juste depuis si longtemps. Ce n’était pas pour rien que la tenue de travail de son personnel était une soutane asexuée, et que l’emploi du latin évitait les discussions inutiles.

Malheureusement, les DRH de la SECAR ont cru utile de se débarrasser de tout ces outils sexuellement protecteurs et les voilà dépourvus, juste au moment où ils auraient pu manifester et converger avec la crème des libérateurs ou libératrices autoproclamés de la problématique du : “c’est oui quand ?” Dommage.

Bien à vous.  H. Dumas

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Négationnisme, révisionnisme ou tout simplement déni.

Le déni est redoutable. La plupart du temps il est issu du mensonge à soi-même.

Tel notre Hulot national, si persuadé de sa croisade écologiste ringarde qu’il oublie qu’il est avant tout un méchant.

Et oui, le livre du couple Ancibure tacle les méchants, je vous le conseille. A lire d’urgence.

Ce que j’en ai compris

Dans notre “ça”, il y a un peu de tout : du cupide, de l’obsédé sexuel ou autre, du lâche, du con et du méchant entre autres, etc… Ceux qui se persuadent qu’ils ne sont rien de tout cela sont les plus exposés à l’être justement ; puisque, l’étant alors à leur insu, ils ne font rien pour essayer de maîtriser leur “ça”, ils mentent donc sans vergogne à leur “surmoi”.

Les Ancibure démontrent, et ils sont convaincants, que le premier territoire où s’éclate la méchanceté c’est chez les hommes, dans leurs rapports dominateurs avec les femmes. Donc Hulot est un méchant qui se prend pour un gentil, pour un protecteur de l’humanité.

Il n’est pas le premier à déconner de la sorte.

L’opinion publique, cette salope, reprend souvent un mot inventé il y a peu pour qualifier le déni de la Shoa, c’est “le négationnisme”. J’ai un peu de mal avec cette facilité à rejeter sur les autres, en un seul mot, la monstruosité humaine et à considérer ainsi en être affranchi.

En cette affaire particulière le déni est total. Le livre d’Hitler, “Mein Kampf”, devrait non pas être planqué mais au contraire étudié par tous les élèves en secondaire. En effet sa lecture laisse pantois. Comment une telle bêtise, une vision si ordinaire et si méchante de l’organisation sociale a-t-elle pu convaincre les foules.

C’est ça le vrai mystère, pas qu’Hitler soit fou, mais qu’il ait pu paraître crédible.

Si ce livre était étudié dans nos écoles, il serait possible de décortiquer le concept de la méchanceté absolue, tournée vers l’homme avec l’excuse de l’intérêt du groupe.

Oui mais alors, tous les hommes de pouvoir, ou au moins la plus grande majorité, percevraient que leur moteur, lorsqu’ils prétendent que l’intérêt de la nation est supérieur à l’intérêt de l’individu, est simplement la méchanceté. Avec laquelle ils manipulent les autres à leur bénéfice exclusif de méchants.

Autre exemple, l’interview particulièrement sensée du professeur Toubiana.

https://youtu.be/diFch8bNCdQ

Face à l’absurdité de la démesure des décisions qui accompagnent la survenue de COVID, il observe cliniquement et ne prend pas position, il a raison.

Mais nous, nous n’avons pas de gant à prendre.

Alors, nous pouvons dire que c’est l’opinion publique qui a souhaité toutes ces mesures liberticides. L’opinion publique dont la méchanceté déborde sans mesure. Alors qu’au départ les élus sous-estimaient COVID, la foule s’enfermait déjà, il fallait bien que l’enfermement devienne obligatoire, la méchanceté de l’opinion publique ne pouvait s’imaginer enfermée pendant que d’autres étaient libres.

Ensuite les élus ont compris tout l’intérêt qu’ils avaient à cet enfermement dès l’année précédant les élections, mais c’est du détail.

La méchanceté, moteur des grands mouvements humain ? Cela ne fait aucun doute.

Y-eut-il plus méchant que les curés ? Plus méchant que les philosophes communistes ? Plus méchant aujourd’hui que les écolos ? La liste n’est pas exhaustive.

Je n’ose même pas lister les méchancetés mortelles du fisc, c’est trop, c’est viscéral, c’est calculé, c’est fait pour tuer, c’est monstrueux, et cela réjouit l’opinion publique.

Tout est dit. Bien à vous. H. Dumas

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Le programme d’Eric Ciotti

Je ne connais pas Eric Ciotti, donc je peux en parler.

Quoi de plus excitant que de parler de ce que l’on ne connait pas ? Ce ne sont pas ceux qui donnent leur opinion sur les réseaux sociaux à longueur de journée, sur des sujets de société dont ils sont à mille années lumières, qui me contrediront… encore que…

Donc je ne connais pas cet homme. J’ai appris qu’il se présentait à la primaire de LR. Que dire ? LR, c’est diffus dans ma tête. N’est-ce pas le parti dit Gaulliste, qui s’est appelé RPR, PR, ou je ne sais trop quoi ? Un parti qui se dit de droite pratiquant une politique “égalitariste”, communiste ? Un parti qui a généré, par lâcheté, un espace libéral en jachère faisant ainsi une place en or au populisme, pire version de l’Etatisme.

En fait un parti Etatique lui-même où les libertés fondamentales ont été soumises à une technocratie esclavagiste, fanatique de la planification, de l’ordre imposé à son profit. Où la déresponsabilisation de l’administration de l’Etat et des élus a atteint un point tel que tous les bordels, toutes les connivences, toutes les corruptions, toutes les lâchetés, sont permis, pourvu qu’ils émanent d’eux, à leur profit.

Dans cette ambiance le programme annoncé par Ciotti fait rêver.

Correspond-il à une percée de l’opinion publique vers la vérité, vers la sagesse, vers la “remontada”, ou n’est-il qu’une lubie d’un obscur député de l’extrémité territoriale un peu fantasque de la république ?

Ce que j’ai compris de ce programme.

          – Protection absolue de la propriété privée. Donc respect de cette propriété privée, matérielle ou intellectuelle. Donc de nos libertés qui sont justement les piliers de la propriété, pendant qu’elle-même est leur espace de protection. Si la propriété privée est protégée, plus d’espionnage, plus de délation, plus de ségrégation… le rêve, tant pis pour les banquiers, les notaires, tous les espions du fisc, aussi les réseaux sociaux… enfin pour leurs mauvais penchants qui ne sont pas leur essentiel heureusement.

          – Suppression des droits sur les successions et les donations. Enfin la possibilité de capitaliser. On se rappelle que le capital — accumulation et transmission — est la base de tout progrès, en tout. En science, en culture, en technique, en politique, etc… et aussi, évidemment, en économie. La jalousie qui tue le capital économique tue l’économie. Rien ne peut exister sans d’abord avoir capitaliser pour aboutir, que ce soit pour le feu, la roue, l’imprimerie, etc…

          – Un taux d’impôt unique, encore le rêve. Un impôt proportionnel, concept créé par la révolution, nous y voilà enfin. Pour tous ? Parfait, il faut que tous participent aux dépenses pour en prendre leur part de responsabilité.

          – La reprise en main des zones de non droit. Je ne vois pas d’opposant à cette idée.

          – La diminution drastique de la masse bureaucratique et de ses pouvoirs, qui nous torture à l’aide de décrets ou circulaires uniquement mis en œuvre pour assouvir sa soif de pouvoir. Son sadisme et ses vices sont sans limite, Ciotti veut, dit-il, les limiter. Ça alors…

          – La diminution globale de l’impôt. Pas mal, mais il ne dit pas un mot de l’inquisition fiscale. Il ne parle pas du vice intégré aux contrôles fiscaux. Il ne propose pas, par exemple, de donner aux contrôleurs fiscaux, dans le même temps que leur pouvoir de sanction un pouvoir de récompense. Quel plaisir nous aurions à recevoir un avis de contrôle fiscal si nous savions qu’à son issue nous serions punis en cas de faute, mais récompensés par une remise d’impôt sur l’année suivante en cas de comptabilité régulière. Cela changerait tout.

Je n’ai pas été plus loin dans la lecture de ce programme, il m’a comblé.

Est-ce crédible ? Correspond-il à une espérance démocratique naissante ? Ou n’est-il qu’une lubie d’un lecteur de “La grève”, que serait M. Ciotti ?

La balle parait être dans le camp des encartés de LR. Peut-on être encarté et libéral, comme ce programme ? Là est la question.

Dans tous les cas je suis heureux d’avoir aperçu cette comète Ciotti, habitée par des idées qui nous changeraient la vie, qui ont le mérite d’être enfin exposées publiquement.

Bien à vous. H. Dumas

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COVID va-t-il s’avérer la plus grande mystification de tous les temps ?

Quelques indices commencent à justifier de se poser calmement la question.

D’abord l’Agence technique d’information sur l’hospitalisation (Atih) dont l’analyse de l’activité hospitalière 2020 liée au Covid indique : « Au cours de l’année 2020, 218 000 patients ont été hospitalisés pour prise en charge de la Covid-19. Les patients Covid représentent 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus », c’est “peanuts”.

Puis les chiffres globaux de mortalité qui ne paraissent pas avoir significativement marqué une pandémie, puisque évoluant à la marge d’une année sur l’autre.

Enfin notre premier ministre, le Rantanplan de Macron, qui bien que vacciné se fait rattraper par COVID. Démontrant par là le peu d’efficience du vaccin miracle. Reste à savoir à quel niveau de gravité Rantanplan est touché, et si son test est crédible ou non. A-t-il vraiment COVID ?

Ces trois news, c’est peu face à l’avalanche d’algorithmes prédisant à COVID un avenir équivalant à la peste noire, face au scientisme affirmant maitriser la solution sous réserve d’une soumission totale à des règles objectivement régressives et ridicules, et à un vaccin à la formule énigmatique dont personne ne prend la responsabilité des conséquences potentielles.

Face aussi à l’activisme débridé des technocrates fonctionnaires, élus ou non, tous unis par un même combat qui consiste à faire la démonstration de notre nécessaire soumission à leur pouvoir. Face enfin à la puissance de l’hôpital liée à sa maîtrise des activités de la santé où il a su faire croire à sa disponibilité, à son abnégation, à sa gratuité, à son altruisme désintéressé, autant d’images qui se sont effondrées à la vue de tout le monde et en très peu de temps.

Nous en sommes donc là.

Pendant ce temps notre vie sociale et économique a été mise en miettes, notre économie a englouti s’est shootée à une quantité de fausse monnaie qui normalement devrait la ruiner complètement et durablement. Les fainéants ne font même plus semblant de travailler, ils “télétravaillent” et ils sont payés et félicités.

La suspicion de l’autre est devenue la règle, la délation est à son apogée, l’égoïsme et la jalousie sont au taquet.

Que du bonheur.

Que s’est-il passé ?

La conjugaison, de l’éminence de la chute du pouvoir occidental, accompagnée d’un réel souhait de vengeance des remplaçants qui n’apprécient que très peu les pillages que nous leur avons imposés au faîte de notre gloire, de la peur de la mort liée à un vieillissement qui intensifie cette peur, et de l’avènement des réseaux sociaux qui répandent mondialement et instantanément nouvelles et analyses des nouvelles, a généré une ambiance délétère pour laquelle COVID a été un révélateur et un accélérateur puissance mille.

Nous allons donc assister au bouquet final sous peu.

Sera-t-il dramatique ou au contraire féerique ?

De ce que je découvre chaque jour de la connerie structurelle de notre société, je ne suis pas enclin à miser sur son adaptabilité.

J’adopte donc l’idée du drame, à un niveau jamais atteint. Désolé.

Bien à vous. H. Dumas

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Destin judiciaire du contrôlé fiscal. TJ de Montpellier le 22/11/2021.

Le contrôlé fiscal est un fraudeur fiscal, cela va de soi, même si son redressement est scandaleusement arbitraire, sans aucun fondement autre que des falsifications fiscales de la part du contrôleur. Cette situation n’est pas une rareté, cela arrive tous les jours. Vous pouvez ne rien devoir objectivement au fisc, avoir toujours payé vos impôts, un seul redressement basé sur des faux et des mensonges du contrôleur fiscal vous propulsera irrémédiablement dans la case fraudeur fiscal.

C’est ma vie depuis vingt ans.

Donc pour les autres, pour tous les autres, ceux qui se retrouvent dans mon cas sont des larves, des déchets de l’humanité, des sous-hommes qu’il est inutile de respecter.

Je vais vous donner un exemple de ce type de situation à titre de comparaison.

Vous avez mangé un plat avarié, accidentellement, vous êtes malade et vomissez partout.

Premier cas : C’est le restaurateur d’un pays civilisé qui est à la base de votre problème. Vous allez pouvoir le poursuivre, vous serez dédommagé, il est même possible que vous receviez ses excuses.

Deuxième cas : vous êtes un esclave, c’est l’esclavagiste dont vous dépendez qui vous a rendu malade en vous donnant de la mauvaise nourriture. Vous allez être la victime de son courroux, vous allez devoir ramasser votre vomi et vous excuser par-dessus le marché.

La comparaison est facile, nous sommes des esclaves fiscaux face à un redressement indu nous devons affronter la mauvaise foi de la société, tout particulièrement celle des magistrats, nous sommes tenus de donner l’argent que nous ne devons pas. Réclamer la justice ou se révolter constitue un crime de lèse-majesté.

Ce que j’ai vécu aujourd’hui.

Pour une somme que je ne dois pas, qui m’est escroquée à l’aide d’un contrôle fiscal délirant, le fisc a décidé de vendre aux enchères publiques un morceau de ma propriété, de mon jardin.

Cet après-midi c’était l’audience d’orientation. A cette audience le magistrat entend les remarques de la personne poursuivie. Ainsi, devant moi, plusieurs personnes en difficulté, français ou non, ont eu droit à toute sa compréhension.

Personnellement je demandais, entre-autre, la nullité de la procédure parce que le cahier des charges de la vente incluait des pages illisibles.

Je l’avais constaté au greffe en compagnie de la greffière qui m’avait conseillé de demander un exemplaire lisible à l’avocat du fisc. J’ai fait cette demande à cet avocat, il ne m’a pas renvoyé les documents en question. Simple non ?

Eh bien figurez-vous qu’à l’audience le magistrat m’a obligé à relire tout le cahier des charges de la vente, plus de cent pages. Il m’a en quelque sorte obligé à ramasser mon vomi.

Les parties illisibles se trouvant à la fin, ce qu’objectivement je ne me rappelais pas, la lecture de plusieurs dizaines de pages lisibles m’a décontenancé.

J’ai fait part de mon désarroi à haute voix. J’étais, aussi, humilié que ma parole puisse être mise en doute. J’y suis pourtant habitué, mais je ne m’habitue pas.

J’imagine que vous pensez comme moi : n’était-ce pas au magistrat de vérifier mes dires ? Devait-il ainsi faire peser sur moi un soupçon d’affabulation et m’humilier à la barre en me faisant faire à sa place son travail de vérification ? Imaginait-il vraiment que j’ai pu prétendre de façon mensongère que certaines parties du cahier des charges étaient illisibles ?

J’étais l’esclave qui se révoltait, le contribuable “fraudeur fiscal” qui ne peut être que malhonnête. Alors que je suis la victime d’escrocs fiscaux, c’est moi que l’on soupçonne, que l’on accuse.

Car le magistrat a fait une remarque notée au plumitif. La greffière a dû écrire sous sa dictée, cela n’a pas eu l’air de la contrarier, que “Monsieur Dumas a laissé supposer qu’il pensait que l’exemplaire qui lui était donné à lire, n’était pas le même que celui qu’il avait consulté au greffe. Il y a des parties difficiles à lire mais elles sont de peu d’importance“. (Je ne suis pas sûr des mots, je suis sûr du sens et de l’usage qui en sera fait).

Effectivement je me suis demandé tout haut s’il n’était pas possible que le document sous mes yeux ne soit pas le même que celui consulté au greffe, alors que le temps passait et me paraissait long pour arriver aux parties illisibles. Le temps n’est pas le même assis confortablement au greffe que debout à la barre du tribunal…

Conclusion :

L’intelligence, l’empathie, l’humanité, ramenées à zéro par la croyance, ce magistrat, comme 80% des Français et 100% des fonctionnaires, pense que chaque contribuable redressé est un fraudeur fiscal. Il ne peut pas ou ne veut pas imaginer que les contrôleurs fiscaux sont indélicats, que Bercy organise la terreur fiscale.

Il participe activement aux meurtres fiscaux, à la destruction de notre société, à l’éradication de l’honnêteté dans notre économie qui, réputée corrompue, est écartée de l’économie mondiale.

Il se croit pourtant intelligent, et il l’est probablement, quel gâchis…

Il n’est qu’un tueur à gage capable de tuer une famille sur plusieurs générations en lui volant son capital.

Bien à vous. H. Dumas

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