Archives de catégorie : Société

Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.

Poutine : c’est fait.

Bon, le coup est parti. C’est un sale coup.

Je n’ai pas de sympathie particulière pour Poutine, qui n’est pas un démocrate, qui s’invite chez les voisins largement grossièrement, en ne respectant pas leurs libertés.

Mais je pense qu’il va gagner.

Il va gagner évidemment le territoire qu’il convoite puisque nous avons déclaré que nous n’irons pas le défendre. A mon âge je ne considère pas avoir le droit de donner mon avis sur ce point puisque je ne suis pas dans la capacité d’agir et qu’expédier les autres au combat sans y aller soi-même me parait largement scandaleux.

Mais, tout respect gardé pour ceux qui vont se faire envahir, ce n’est pas d’eux dont je parle quand je dis que Poutine a gagné.

Je veux dire qu’il va mettre l’occident face à ses inconséquences, à ses mensonges, à ses rapines, à sa médiocrité devenue reine, ligne de vie.

Les sanctions économiques brandies, soit seront appliquées et entraineront à coup sûr plus de dégâts chez nous que chez lui, notamment l’explosion des faux dollars et des faux euros, soit ne seront pas appliquées et sonneront la débandade de l’apparente cohésion occidentale.

Nous avons le choix entre une fin du type Venezuela ou du type Liban.

Dans le premier cas c’est d’abord l’hyperinflation suivie de la misère, dans le deuxième c’est la chienlit communautaire suivie aussi de la misère.

Nous y sommes donc. Face à cela, attaquer Poutine en l’accusant de déséquilibre mental me parait bien léger.

Souvent avoir raison n’est qu’amertume. Pourquoi faut-il que la raison, si simple, échappe au plus grand nombre et transforme la démocratie en caricature alors qu’elle devrait être dans la vraie vie, ce qu’elle est dans l’imaginaire, c’est-à-dire le meilleur outil pour vivre ensemble ?

Les responsables sont les irresponsables qui trichent et monnaient leurs voix, mais aussi ceux qui trichent en les achetant.

Hier, j’écoutais un discours prononcé par Attali, dans leur école devant les jeunes polytechniciens. Quelle stupéfaction quand cet homme a réduit la liberté et le marché à l’économie, la démocratie au seul terreau de cette réduction.

Limitant la liberté au pouvoir de changer d’avis il en a conclu que la liberté n’était que la possibilité de trahir ses engagements. Etrange vision…

Contrairement aux affirmations d’Attali, le marché, qui consiste à contracter librement, va bien au-delà du simple échange économique, le contrat peut être moral, affectif, culturel, etc…

Et enfin la démocratie est le moyen de s’accepter dans toutes nos différences.

La vision simplette et manichéenne d’Attali face aux polytechniciens avait quelque chose de surréaliste. Je ne suis pas allé jusqu’au bout du discours…

Attali fait partie de ces tricheurs qui se gaussent de ceux qui simplement assument leurs engagements, leur parole, pour qui le résultat n’est pas leur moteur, qu’ils trouvent dans l’objectif, dans l’espoir, dans la passion.

Et c’est ici que la démocratie est essentielle car elle permet de vivre sa passion dans un cadre respectueux de celle des autres.

La démocratie n’est pas le marché n’en déplaise aux cyniques, et le marché n’est pas un ramassis de crapules, c’est le lieu indispensable aux échanges — à tous les échanges pas aux seuls échanges économiques — sans lesquels les hommes ne seraient pas ce qu’ils sont ou peuvent être.

Poutine va donc gagner comme Hitler a gagné. En réalité ce ne sont pas eux qui gagnent mais nous qui perdons. Ce n’est pas tout à fait pareil. Mais c’est beaucoup plus confortable de croire à leur victoire que de s’analyser et d’être amené à se constater : cons, fainéants, voleurs et incompétents.

Courbes et camemberts ne nous sortiront pas du pétrin, il va falloir engager les tripes.

Bien à vous. H. Dumas

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Petite histoire de redistribution

Nul n’ignore — enfin disons ceux qui me font l’honneur de lire ce modeste blog —  que celui-ci a pris naissance à la suite de mon pillage par les Services Fiscaux. Pour rapporter ce pillage. Pour faire en sorte que cela ne se reproduise plus. Echec total, non seulement cela continue, mais cela empire…

Revenons à la case départ.

Comme beaucoup d’entre nous à l’époque, j’ai commencé ma vie avec l’arrivée surprise d’un enfant. Le temps m’a prouvé que cette maladresse n’en n’était pas une puisqu’aboutissant à un grand bonheur, qui s’est de plus reproduit.

Mon épouse et moi-même n’avions alors rien, l’achat de notre premier transistor nous colla des angoisses pendant quinze jours. Nous étions en 1965.

Nous avons travaillé, pris des risques, donné notre temps et notre énergie sans compter, nous n’avons jamais rien demandé à l’Etat.

Nous avons accompagné la fin de vie de mes parents, élevé nos enfants, toujours en ne demandant rien à l’Etat.

Quarante ans plus tard nous avions quelques économies, un petit patrimoine, la visibilité d’une vieillesse apaisée.

Le fisc est arrivé, à l’aide de faux et de fausses déclarations, notamment de procès-verbaux d’opposition à contrôle fiscal inexistants, le fisc nous a volé 2,5 M€.

C’est-à-dire tout et un peu plus que le patrimoine constitué en quarante ans de travail intègre, honnête, utile à nos clients et à la société.

Ils appellent cela : la redistribution.

Joli nom pour un pillage.

Mais au fait, avez-vous une idée de ce qu’est cette redistribution ?

Voici un exemple très simple, il suffit de cliquer sur le lien inclus.

La CDA de La Rochelle a distribué, lors de son conseil communautaire du 27 Janvier 2022, la somme de 4 000 € à 27 personnes, cadeau à des primo-accédants à la propriété.

Le jackpot pour tous.

Pour ces heureux futur-propriétaires qui n’ont eu qu’un simple dossier à remplir pour gagner 4 000 €. Qui bénéficieront de la plus-value immobilière en fin de course. C’est cool non ?

Pour les élus qui pensent avoir gagner leurs voix.

Pour les promoteurs qui récupèrent des clients qu’ils n’auraient pas eus.

27 personnes à 4 000€ cela fait 108 000 €. Il y a 222 Communautés d’Agglomérations en France, il suffit que 25 d’entre elles fassent la même distribution, et hop mon pillage est replacé.

Alors, cela méritait bien le pillage des résultats de mon travail de quarante ans, mon assassinat, mon déclassement en tant que “fraudeur fiscal”, la fin de vie misérable qui m’attend. Non ?

Bien à vous. H. Dumas

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Antoine FOUCHER : le délire des “sans-neurone”

Hollande avait remarqué que les pauvres n’ayant pas les moyens de se payer des dentitions non remboursées ont souvent un sourire édenté, il les avait appelés les “sans-dent”.

Notre élite gavée pour son cerveau gras et sans vague — telle l’oie pour son foie gras — se trouve ainsi sélectionnée sans le neurone de l’intuition, de la création, de l’imagination, de l’intelligence en fait.

Notre élite apprend tout, sait tout, mais ne comprend rien.

Ainsi Antoine FOUCHER, ancien chef de cabinet de la présidente du MEDEF, aujourd’hui stratège de Macron, a-t-il une lecture stupéfiante de la situation de la France.

Pour lui notre “fachocratie” – qu’il appelle comme tous les ignares le “néolibéralisme”, alors qu’elle n’est qu’une hernie spectaculaire de l’emprise de l’Etat sur tout — aurait fait la preuve de sa faiblesse et ramené l’Etat au cœur de la société pour sauver la nation.

Je me demande si je me suis bien exprimé, tant l’hypothèse de ce garçon est incroyable.

Je reprends. Le néolibéralisme, qui dans sa tête serait la liberté largement accordée au secteur privé, aurait totalement échoué. Donc, conclut-il, la liberté serait mauvaise conseillère et pour se sauver de cette liberté fautive la nation se serait jetée dans les bras salvateurs de l’Etat, donc des hommes de l’Etat, dont il fait évidemment partie.

Alors, plutôt que de nous jeter paniquant dans les bras de l’Etat, il propose de nous y installer calmement, mais totalement.

Attention, il donne des exemples précis.

COVID qui aurait été jugulé parfaitement grâce à l’Etat, vers lequel les Français se seraient jetés volontairement, mais paniqués.

Sait-il que le vaccin ne marche pas ? Que COVID se fait la malle naturellement ?

La semaine dernière j’ai deux relations qui ont eu COVID, l’une aux trois vaccins, l’autre non vaccinée, résultat : même COVID, deux jours de gros rhume.

La réalité parait être que les Etats ont démesurément grossi et amplifié les conséquences d’une grave maladie que la liberté aurait très probablement beaucoup mieux gérée que l’Etat totalitaire – n’oublions pas que les EHPAD principales victimes sont des prisons de vieux qui n’ont rien fait de mal sauf d’être vieux –

La fausse monnaie. Il reconnait que les hommes de l’Etat ont eu recours aux billets de Monopoly pour traverser la crise COVID qu’ils ont générée.

Il trouve peu pratique l’intermédiaire des banques centrales, qu’il a le culot de qualifier de privées. Il propose de revenir à la fabrication directe de la monnaie par l’Etat.

Pourquoi s’encombrer d’intermédiaire qui rechignent. En fabriquant directement et secrètement la monnaie… il n’y a plus de limite. Sauf la vraie monnaie des autres, qui peut prendre le pouvoir.

La mondialisation. Fantasme en voie de disparition, dit-il. L’avenir, c’est bien connu, est aux villages.

Effectivement, si l’on veut fabriquer de la fausse monnaie, force est de se replier sur soi et sur elle…

Il doit habiter un lieu sans réseau M. FOUCHER, il n’a pas entendu parler d’internet. Pour lui, la mondialisation est un fantasme en échec … ça promet.

Le lien pour aller lire la tragie-comédie hilarante de M. FOUCHER.

L’Etat stratège, la théorie désopilante de M. FOUCHET

L’Etat étant une abstraction, il veut donc parler des “hommes de l’Etat stratèges”, M. FOUCHER étant chargé de la stratégie pour M. Macron, il faut donc lire que la stratégie de la France doit être organisée par M. FOUCHER.

Ce qui nous amène à conclure que M. FOUCHER est un fasciste puisque : “tout par l’Etat, tout pour… etc…”. Quand même…

De là à conclure que Macron confiant sa stratégie à un facho serait donc lui-même un petit facho…. Il n’y a qu’un petit pas à franchir. Attendons la suite.

Tout cela ne sera pas bien grave si la population ouvre les yeux.

Si elle comprend que la connivence et la corruption entre le secteur économique et les hommes de l’Etat a enterré depuis belle lurette le libéralisme et ses libertés.

Que l’impression de ne plus être libre n’est pas une impression mais un fait.

Que ce fait ne peut se rattacher à aucun mot incluant l’adjectif “libre” ou un de ses dérivés, que les seuls mots pouvant décrire la situation sont : étatisme, collectivisme, fascisme, socialisme, connivence, corruption, etc…

Que ces systèmes nous entrainant vers la faillite et la misère nous interdisent de les amplifier. Que l’Etat stratège serait le paroxysme des désordres actuels.

Bien à vous. H. Dumas

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Le vote utile c’est Mélenchon ?

Je suis tout à fait d’accord avec Ségolène Royal, bien que nos motivations ne soient pas tout à fait les mêmes !

Tout le monde connait l’ego délirant et la présomption de Ségolène Royal et l’on devine aisément que son appel au vote en faveur de Jean-Luc Mélenchon repose avant tout sur les vieilles haines et jalousies qu’elle entretient avec Anne Hidalgo et Christiane Taubira …

Autant dire qu’elle est dans le calcul politique, comme d’autres socialistes d’ailleurs, et qu’elle extériorise aussi ses rancœurs notamment vis-à-vis d’E Macron (n’a-t-elle pas été débarquée par ce dernier de son poste d’ambassadrice des pôles ?).

Certains pensent du côté de la droite étatiste, comme E Woerth, mais il y a sans doute de sa part des arrière-pensées ministérielles, que le vote utile c’est E Macron.

Mais E Macron entretient une illusion de richesse du pays qu’il entraine lentement mais inexorablement vers un déclin fatal à l’échéance de dix ou quinze ans !

Voter V Pécresse n’a aucun intérêt puisqu’elle n’est que la copie d’E Macron.

Non sincèrement, je pense que le vote Mélenchon sera très utile … mais pas tout à fait dans le sens où vous pourriez l’entendre …

Jean-Luc Mélenchon est un vieux routier de la politique, un agitateur « révolutionnaire » depuis 40 ans, qui a su vivre sur le dos de la population puisqu’il n’a jamais travaillé de sa vie (sauf vaguement 2 ans en tant que pigiste) et a fait toute sa carrière en tant qu’élu ou ministre. C’est un insoumis … complètement incrusté dans le système des élites à la française qui a pu accumuler de ce fait un patrimoine considérable largement supérieur au million € !

L’avantage, avec lui, c’est que c’est clair ; d’autant qu’il a une vision simpliste du monde. Mais il est vrai qu’il s’adresse à un électorat par nature ignorant des choses économiques situé socialement parmi les fonctionnaires et l’éducation nationale notamment !

Pour lui, l’économie légitime est centrée autour d’un Etat tout puissant et elle est un jeu à somme nulle dans lequel l’argent tourne en rond : ce qui est prélevé par l’impôt sert à créer des emplois et à distribuer des salaires qui alimentent la consommation et, à la fin, la TVA et l’impôt sur le revenu reviennent dans les caisses de l’État.

Face à l’Etat, selon lui, l’économie privée est basée sur le vol car celui qui s’enrichit ne peut le faire qu’au détriment des autres et il faut donc spolier le voleur pour revenir à l’état « normal » des choses !

Ses promesses électorales sont carrément royales !

– toute carrière complète donnera droit à une retraite d’un montant équivalent au SMIC,

– revalorisation du smic  à 1.400€ nets par mois.

– rétablissement de la retraite à 60 ans, financée par une hausse des cotisations dont on sait qu’elles sont déjà trop lourdes et pénalisent fortement l’emploi,

– renforcement de l’assurance chômage pourtant déjà gravement déficitaire,

– revalorisation des salaires des fonctionnaires avec un cout qu’on peut évaluer à plusieurs dizaines de Md€,

– garantie d’emploi dans un secteur d’urgence pour les chômeurs de longue durée…

– création d’un RSA jeunes et de 300.000 emplois jeunes. Dans un second temps, une garantie d’autonomie de 1.063€ serait mise en place.

– adoption d’un vaste plan de “bifurcation écologique” d’un montant de 200 Md€.

– le temps de travail sera ramené à 32 heures par semaine, parce que c’est bien connu, moins on travaille plus il y a de travail,

– embauche d’un million de fonctionnaires (alors que l’on sait que nous en avons déjà 2 millions de trop),

– les congés payés passeront à six semaines,

– garantie d’emploi pour tous, comme pour les fonctionnaires !

Toutes ces dépenses au cout astronomique seraient financées par :

– la suppression du prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% qui frappe les produits financiers, pour “imposer les revenus du capital comme ceux du travail” c’est à dire en gros le retour au système de spoliation mis en place en 2013 par F Hollande, le président normal …

– la suppression du CICE qui rapporterait 20 Md€ et rétablissement des impôts de production (10 Md€) ; avec un massacre fiscal des entreprises perçues par lui comme des profiteurs et des exploiteurs du peuple, alors que l’on sait que les entreprises françaises ont déjà les marges les plus faibles d’Europe !

– la création d’un impôt universel pour les entreprises, qui permettrait à l’État de récupérer au final pas moins de 26 Md€.

– le rétablissement de l’ISF, mais d’un ISF lourd fortement renforcé à 8 Md€ !

– la suppression des niches fiscales « injustes, inefficaces socialement ou nuisibles écologiquement” sans détailler les niches concernées ; le but étant d’augmenter l’imposition des ménages aisés qui sont les premiers bénéficiaires de ces mesures fiscales dérogatoires faites pour atténuer les effets d’une fiscalité trop forte,.

– un impôt sur le revenu avec un nouveau barème, plus progressif (comprendre plus fort), de 14 tranches, avec un taux maximum de 65% contre 45% actuellement histoire de bien tabasser les riches (mais on ne sait pas à partir de quel niveau de revenus se situe la richesse),

– la mise en place d’une CSG progressive, avec, là aussi, 14 tranches.

– une taxe foncière progressive non plus calculée comme aujourd’hui sur la valeur locative mais sur le patrimoine global ; il s’agirait donc d’un ISF bis,

– une hausse des droits de succession sur les plus hauts patrimoines, avec un plafond de 12 millions € au-delà duquel il y aurait purement et simplement confiscation.

– la réinstauration d’une TVA sur les produits de luxe pour compenser une baisse de TVA sur les produits de première nécessité,

– un impôt sur les profiteurs comme en 1793, en pleine Terreur, avec la loi dite du maximum. On en reviendrait à l’économie selon Robespierre qui envoyait à la mort tout individu désigné comme un profiteur selon des critères qui relèveront évidemment de l’arbitraire étatique !

Et, pour le surplus des dépenses non financées, il pourra décider une annulation des dettes de l’Etat (qui ferait défaut) et « tordre le bras des banques » ; c’est à dire de confisquer leurs avoirs, ce qui revient à confisquer les dépôts bancaires … des français riches et pauvres.

Jean-Luc Mélenchon vote utile ?

Oui, sans aucun doute car, comme cela le pays fera rapidement faillite et les français seront définitivement vaccinés des idéologies collectivistes qui représentent toujours les ¾ des candidats aux élections.

Rappelons qu’aux élections présidentielles de 2017, il y avait 11 candidats dont 10 étatistes, collectivistes ou communistes et que le seul candidat libéral a été éliminé à la suite d’un raid judiciaire tout à fait inédit !

Vous connaissez le film « le diner de con » dans lequel le but des convives est de trouver le champion du monde des cons.

Eh bien, au concours des idées les plus absurdes, Jean-Luc Mélenchon et la France insoumise sont véritablement des champions du monde parce qu’avec un pareil programme (je devrais dire un pareil festival fiscal) accumulant les inepties et les contre-vérités, nous sommes surs d’aller rapidement au désastre.

Jean-Luc Mélenchon ne reniera pas ses origines hispaniques en mettant en place un système à la Chavez ou à la Castro (à Cuba) dont il est par ailleurs un grand admirateur !

Pour ceux qui ne le sauraient pas encore, Hugo Chavez est cet ancien militaire putschiste qui avait réussi, sur un programme populiste, à être élu président du Venezuela et à ruiner le pays le plus riche d’Amérique latine (gros producteur de pétrole) en provoquant des pénuries généralisées, une véritable famine avec, pour seule issue pour une population complètement ruinée, l’émigration notamment vers la Colombie voisine !

Il faut dire qu’il fixait lui-même les prix de vente des entreprises qui se retrouvaient, du fait de l’inflation galopante, à vendre en dessous de leur prix de revient et à disparaître parce qu’il se livrait aussi à l’émission monétaire massive porteuse d’hyper inflation !

Jean-Luc Mélenchon mettra donc en place un système chaviste de contrôle économique au profit d’une caste très réduite dont … il fera évidemment partie. Au Venezuela, Maduro, le successeur de Chavez, ne se maintient au pouvoir que grâce à l’armée (comme en Corée du Nord d’ailleurs) qui bénéficie de toutes les attentions du régime.

En fait de programme, Jean-Luc Mélenchon nous promet une vaste opération de spoliation généralisée sous couvert d’une « fiscalité adaptée » qui achèvera de tuer ce qui reste de l’économie française mais il est vrai que les membres de la LFI sont des anticapitalistes, des marxistes, des révolutionnaires, et des vrais qui adopteront les mesures les plus dures sans trembler !

J’ai connu cette expérience en Grèce, en 2015, lorsqu’Alexis Tsipras, du mouvement gauchiste Syrisa, est devenu premier ministre, (le président n’a aucun pouvoir), et a cru qu’il pourrait engager le même type de démarche et le faire croire à nombre de grecs. On refusait les mesures d’austérité imposées par l’Union Européenne, la BCE et le FMI, on allait sortir de l’€, voire de l’Union Européenne, la Russie allait nous aider, on allait écraser les dettes …

Lisez ou relisez mon article consacré à la Grèce et vous saurez ce qu’il va arriver …

Dès l’arrivée de Syrisa au pouvoir, 200 Md€ ont quitté immédiatement le pays pour aller se réfugier notamment en Allemagne et son discours a fini par s’écrouler devant les réalités économiques et le blocage des banques en 2015 (les grecs ne pouvaient plus accéder à leur compte bancaire et ne pouvaient pas retirer plus de 50€ par jour à l’ATM).

Aujourd’hui, il a disparu du paysage politique et les grecs sont revenus à un premier ministre de centre droit plus réaliste !

Car, les mêmes causes produisant les mêmes effets, la seule certitude est que, dès l‘élection de Jean-Luc Mélenchon, il se produira un véritable mouvement de panique, une fuite des capitaux, un Bank run avant le blocage généralisé. Ceux qui ont quelque chose à sauver essaieront de le faire mais cela sera très difficile !

Grâce à Jean-Luc Mélenchon, les français seront ruinés, la France sera ruinée mais nous pourrons repartir sur des bases saines et la population cessera de croire à l’Etat stratège, à l’argent gratuit de l’Etat, à la compétence de sa haute fonction publique. Ils sauront que s’ils veulent s’en sortir il faut travailler, compter sur soi-même et encore travailler !

Parce qu’inutile de dire que dans un pays déjà sur imposé comme la France, un alourdissement aussi violent de la fiscalité ne pourra avoir que des effets catastrophiques…

Vous voulez assister en direct à l’effondrement économique d’un pays : embrassons-nous Folleville et vive l’argent gratuit qui tombe du ciel et surtout votez Jean-Luc Mélenchon car, contrairement à ce qu’il prétend, son plan d’action n’aura pas pour effet de lutter contre la pauvreté mais de mettre en place la pauvreté pour tous !

Le socialiste E Macron, qui n’est pas un libéral (et loin s’en faut), a déjà “fait sauter la banque” de 560 Md€ en 5 ans mais il faut bien dire qu’il n’est qu’une version canada dry de ce qui vous attend avec Jean-Luc Mélenchon. Celui-ci peut faire mieux, beaucoup mieux … il peut faire sauter le pays entier et la zone € !

Bien cordialement à tous !

Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.

 

 

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Le curseur entre le capitalisme et le collectivisme

Tout est une question d’équilibre, vous en conviendrez. L’un et l’autre sont divergents de par leur définition intrinsèque. L’un progresse dans la création de richesses, dans l’aventure pour nous ouvrir souvent de nouveaux chemins par rapport à une condition actuelle de notre humanité, tandis que l’autre cherche à rebattre les cartes pour en distribuer les fruits. Nous pourrions dire alors que ces deux concepts, ou plutôt un acté et un concept de société sont complémentaires. L’acté est le principe de notre évolution, non par nous seuls humains, mais de toute survie pour évoluer. Le concept collectiviste est contre naturel, régressif pour sauvegarder et entretenir à flot des humains en société, peu importe l’ivresse et l’ivraie, mais c’est de la gestion en tous cas. Quoiqu’il en soit les deux nourrissent une caste loin des regards de toute démocratie.

Il est peut-être temps de parler de Contrat Social avec l’Etat. Il s’agit en fait d’un consensus de la population vis-à-vis de lui. Ce n’est pas ici une élection afin de voter pour qui, mais d’un contrat accepté par une population soumise, qui se veut certes parfois vindicative en manifestant, en bloquant, comme le font souvent nos syndicalistes référents, ou plus rarement des franges de notre population sur tel ou tel sujet. Mais rien de bien méchant, tout rentre dans l’ordre du consensus social accepté par quasiment tous. Car chambouler un quotidien qui prospère ou tout du moins qui tient pour la majeur partie d’entre nous est négociable, sans l’être vraiment, car la finalité de la chose est que c’est non-négociable.

Il est peut-être temps aussi d’évoquer le curseur entre la création de richesses et le collectivisme. Notre presse subventionnée possédée par l’esprit du capitalisme de connivence qui n’a rien à voir avec l’entreprenariat stricto sensu, va forger dans le marbre notre participation à ses roueries, ses bêtises d’informations qui émanent de sources Mainstream de type AFP, pour les répéter, car bien sûr c’est la vérité mais c’est aussi pour distraire … Mais peu importe, et quand même, une majeure partie de nos gens lisent ou voient cette Pravda et s’y conforment, car c’est bien comme ça ! Quel est le débouché de cette presse ? Que tout change sans que rien ne change ! C’est le collectivisme assumé !

La suite vient avec le QR Code via mobile, parfaitement acceptée par une population docile et si peu perplexe quant aux enjeux de ce « Cheval de Troie » dans leur vie quotidienne.

Bravo les artistes ! Vous avez bien manœuvré par votre EdNat et votre propagande. Mais il y aura une suite, contre vous, tôt ou tard, car la vraie nature trouve toujours son chemin et elle le fera par de l’irrésistible, de l’insurmontable et de l’imprévisible, les trois « i ». Je n’ai aucune idée de comment cela va advenir, mais si, par la pénurie de l’offre en rapport avec  la demande des communs des mortels  qui est en train de se programmer….

Bien à vous !

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URSSAF – les faillites – la guerre

Je pourrais parfaitement comprendre que vous me fassiez remarquer que le titre de ce billet ratisse large, mélange un peu tout. J’espère vous convaincre du contraire.

L’URSSAF

Grosso modo il s’agit de ce monstre, légèrement plus gros que l’Etat – privé ? “moi non plus” –, depuis longtemps sur le devant de la scène. C’est lui qui récolte les fonds qui seront distribués par la Sécurité sociale au bénéfice de tous dit-on, prélevés essentiellement sur seulement 10% de la population pour environ 500 milliards d’€.

Cette population contributrice, d’un peu plus de 6 millions de français, est constituée de travailleurs indépendants et d’entreprises pour un peu moins de la moitié.

L’URSSAF pour eux est une charge implacable, due même en absence de revenu, ce qui est particulièrement stupide.

COVID a mis en lumière les disfonctionnements de ce monstre, la dichotomie entre son coût et ses résultats. Bien plus, les conséquences de ses délires qui ont plombé, au moins durablement peut-être définitivement, l’économie de notre pays.

Les faillites

Il faut savoir que l’URSSAF est le principal acteur des dépôts de bilan. Pratiquement un dépôt de bilan sur deux est initié par cette boutique.

Face aux incuries COVID, les hommes de l’Etat n’ont pas pu lever de sur-cotisations URSSAF, c’eut été un peu fort et sans doute mal toléré.

Ils ont donc fabriqué de la fausse monnaie et… demandé à l’URSSAF de se faire discret sur les cotisations.

Les entrepreneurs en 2021 ont retrouvé le paradis originel, un Etat qui leur filait du fric à condition qu’ils restent enfermés chez eux à rien foutre, l’URSSAF qui leur lâchait la grappe.

Les poursuites de l’URSSAF cessant = diminution drastique des dépôts de bilan.

C’est un peu moins glamour que la version officielle d’une économie si solide qu’elle a fait fi du confinement. Mais cela est plus conforme à l’impression que nous avons tous d’une économie à l’agonie.

Cette utilisation mensongère des chiffres, qui est la marque de fabrique de nos technocrates, est un poison mortel qui nous cache les virages à venir tout en nous obligeant à garder le pied au plancher.

Car, sachez-le, l’URSSAF est repartie plein pot sur les encaissements de force visant l’installation de la terreur qui fait les bons contributeurs.

La guerre

Les frais de santé, mal gérés par les hommes de l’Etat, plombent entre autres notre pays. Ailleurs en Occident c’est la consommation qui est prise de folie, que les sirènes du crédit envoutent. Encore ailleurs, toujours en occident, c’est le cynisme, la corruption ou la connivence qui décrédibilisent l’économie. Etc…

Partout les hommes de l’Etat sont sur le point d’être découverts. Leurs mensonges, leur inefficacité, le danger que de tels escrocs représentent ajouté à leur suffisance les mettent en danger d’avoir des comptes à rendre. Ils ont peur.

Une petite guerre qui mettrait tout le monde d’accord pour sauver son “rez-de-chaussée surélevé” ne serait pas malvenue.

Justement, il se trouve que le gars Poutine de son côté étendrait bien son concept à ses voisins Ukrainiens anciennement ses obligés, dont le pays a des problèmes récurrents d’allumage. Une petite guerre ne lui déplairait pas.

Conclusion

Qu’est-ce qui pourrait faire qu’elle n’est pas lieu ?

En plus elle ravirait le reste du monde qui ne demande qu’à prendre la place des belligérants actuellement aux commandes de la planète.

Tout cela est donc lié, sans pour autant, je vous l’accorde, que ce soient les seules causes qui nous mettent en si grand danger de bordel total.

Bien à vous. H. Dumas

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On en a marre du communisme !

On en a marre du communisme !

Si la France doit se retourner sur son passé, la date de référence ne peut être que 1945. Au lendemain de la guerre, une nouvelle ère s’est ouverte, marquée par l’existence d’un parti communiste fort de 28 % des voix. Et armé ! comme le soulignait le général de Gaulle à un résistant venu le visiter à son ministère.

Le statut de la fonction publique, les grandes nationalisations, le statut du fermage, la dictature syndicale datent de cette époque. La France a été marquée de façon indélébile par le communisme, ses pompes et ses œuvres en 1945 et ne s’en est toujours pas relevée. Le plus grave est l’empreinte intellectuelle qui s’est appesantie sur le pays. Le communisme est devenu « l’avenir indépassable » de la France. Nous en sommes toujours là.

Le plus grave est qu’aucun mouvement intellectuel hostile au communisme n’ait pu naître au cours de ces trois quarts de siècle. Aucun parti politique n’a non plus vu le jour, qui eût défendu la liberté, la propriété, la libre entreprise. On pourra toujours citer ici ou là une phrase célébrant ces valeurs dans un programme électoral, mais il ne sera pas difficile de montrer  que ces « paroles verbales » n’engageaient à rien.

Les instances judiciaires suprêmes de notre pays se sont pliées sans difficulté aux conséquences du communisme, alors même que la Constitution les obligeait à condamner les atteintes aux « droits naturels et imprescriptibles de l’homme, que sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression. » (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, article 2).

En dépit de cette imprégnation délétère, le corps et l’esprit de la nation sont restés sains. Ils se sont simplement habitués à voir leur sentiment profond nié et combattu par la doctrine officielle et à être insultés quotidiennement par une petite meute de hyènes et de chacals installée à la tête des médias par des capitalistes faisant leurs affaires avec l’Etat (ou ne pouvant en faire sans lui) et indifférents au sort de la France.

Même la création de l’Union européenne n’a pu inverser cette tendance mortifère. Les hauts fonctionnaires français ont colonisé la Commission européenne de façon à éviter les sanctions que notre pays encourrait en permanence pour violation des règles communautaires qu’il avait pourtant votées. Depuis l’Europe se traîne, pour ne pas dire se vautre, et rien de positif n’en sort, alors même que ses fondateurs, socialistes pour la plupart, étaient animés de l’idée, pourtant contraire à leur doctrine, que la liberté était l’avenir de l’homme et de notre continent.

Les « souverainistes » sont une curieuse engeance. Ils ne jurent que par nos institutions nationales, alors que celles-ci, loin de garantir nos libertés, les bafouent quotidiennement pour la plus grande satisfaction de nos hauts, moyens et petits fonctionnaires. Un vrai souverainiste ne peut être que pro-européen, s’il veut faire preuve d’un peu de cohérence. Mais il préfère prendre des poses et se faire applaudir par de braves gens qui n’ont pas bien compris le film.

Un chiffre en passant, juste pour rire un peu : l’Europe qui nous ruine nous coûte chaque année …9 milliards d’euros (différence entre ce que nous payons et ce que nous touchons) ! Pendant ce temps, la France, chaque année, verse à ses habitants 815 milliards d’euros de prestations sociales (dans des conditions d’ailleurs illégales au regard des règles européennes qui ont supprimé tout monopole social et qui nous permettraient, si on les appliquait, de faire des économies décisives au profit des Français).

L’élection présidentielle de 2022 nous permettra-t-elle d’échapper à la malédiction du communisme ? Le seul candidat qui semble le proposer est Eric Zemmour, même si ses propositions se contredisent souvent et manquent singulièrement de consistance économique. Mais du moins veut-il donner un coup de pied dans la fourmilière. Ce simple coup de pied peut offrir sa chance à la France, car il donnerait le pouvoir aux Français, après des décennies de frustration.

Ma conviction est que le temps du changement est venu. Je ne tire ma science d’aucune divination, mais simplement de la considération des dates. Soixante-dix sept ans nous séparent de 1945. Il est donc largement temps de changer !

Claude Reichman

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LANCEURS D’ALERTE

Une bande de bouffons vient de sacraliser la délation au service de leurs exactions.

https://www.francebleu.fr/infos/societe/le-parlement-adopte-une-proposition-de-loi-renforcant-la-protection-des-lanceurs-d-alerte-1645030245

Sur ce blog nous nous époumonons à alerter sur le pillage des Français par Bercy, tout particulièrement à travers l’accusation trop souvent injustifiée de “fraudeur fiscal” qui enclenche une zone de non droit, de lettre de cachet, où le prétendu fraudeur fiscal est pillé lui et sa famille sur plusieurs générations.

Bercy s’arrogeant, contre toute rigueur judiciaire, le droit d’enquêter, d’accuser, de condamner et d’exécuter la condamnation, sans l’intervention d’un juge, sans que le condamné ait pu assurer dignement sa défense, notamment à l’aide de contre-expertises.

En tant que lanceurs d’alerte, depuis dix ans qu’existe ce blog, nous sommes traqués, poursuivis, acculés, ruinés, humiliés, harcelés, psychologiquement torturés et, aujourd’hui dans cette loi, oubliés alors qu’elle décrit nos souffrances.

Quelle pantalonnade, quel manque de sincérité, quel appel au meurtre. A vomir.

Nous approchons du fond du trou, du « dessous du volcan ».

Ou plutôt nous y sommes. Quel malheur pour ce pays qui court à sa dévastation.

La haine du capital va tout emporter.

Elle est totale, dans tous les milieux, sans aucune exception.

Et pourtant tout n’est que capital : accumulation et transmission.

Rien n’existe sans capitalisation, pas de culture, pas de science, pas de technique, pas de médecine, pas de philosophie, pas d’humanité.

Et évidemment pas d’économie.

Nous allons bientôt avoir le devoir de détester ce que devient ce pays. Ce n’est pas la première fois que la France se trompe lourdement et trahit ses meilleurs éléments, c’est même une fâcheuse habitude chez elle.

Mais quelle tristesse, quel jour funeste, prémices d’horreurs à venir dont plus tard ce pays aura honte.

Bien à vous. H. Dumas.

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Démocratie + Bureaucratie + Technocratie = Fachocratie

La pensée politique débouche sur l’action politique, inversement l’action politique corrèle la pensée politique.

La réalité de cette pensée n’est jamais aussi visible qu’à la base où les conséquences de l’action politique sont perceptibles par tous, alors qu’au sommet elles sont dissimulées, trafiquées, voire sanctifiées, donc énigmatiques.

Exemple vu par le sommet

Quand le pouvoir politique dérape, le premier signe est ce que l’on nomme “le fait du Prince”, c’est-à-dire la coercition individuelle hors loi. Quand les structures du pouvoir peuvent attaquer “ad hominem” celui qui dérange, quand la loi se fait à la tête du client, quand le pouvoir s’attaque à la personne au lieu d’analyser les faits, au lieu de protéger les libertés individuelles, nous sommes dans un régime totalitaire.

Lorsque Macron se targue de pouvoir emmerder ceux qui ne pensent pas comme lui, qui veulent rester libres des soins de leurs corps, il montre son vrai visage de despote. Mais, la dimension globale de son intervention dissimule la réalité sur le terrain. Il suffit qu’il laisse planer la notion évanescente de “l’intérêt général” pour que l’analyse de la performance du vaccin, de ses potentielles conséquences, soit occultée, ne soit simplement plus possible. L’individu alors, dépossédé de son libre arbitre, devient la cible de toutes les coercitions possibles de la part de toutes les forces publiques qui vont le harceler, alors qu’elles sont censées normalement protéger ses libertés.

Exemple vu par le bas ou le “procès stalinien”.

Où que vous alliez, si vous voulez avoir une idée de ce qu’un décideur pense de vous, adressez-vous à sa plus proche collaboratrice. Le ton qu’elle prendra avec vous indiquera la pensée profonde de son supérieur à votre égard, c’est le principe de la servilité.

En ce qui concerne la “fachocratie”, je suis personnellement l’exemple type du libertaire qu’elle ne peut pas admettre. Ma liberté de parole et d’action est intolérable pour le pouvoir fasciste qui s’est mis en place.

Je vais prendre pour exemple : La Rochelle, où j’ai l’outrecuidance de montrer du doigt les errements des élus et de leur sphère fasciste qui font, par cupidité, connivence, orgueil mal placé, incompétence et bêtise, de cette ville un cul de sac alors qu’elle a tout pour charmer et se développer.

Je me suis mis à dos dans cette charment bourgade les élus évidemment, les services techniques de l’agglo, les services fiscaux et la justice, sans avoir pour la plupart eu l’occasion de les rencontrer, qui donc ne me connaissent pas et ne connaissent pas mes projets ou propositions. Il m’a suffi d’exister autrement qu’eux pour en arriver là.

Travaux pratiques

Je suis membre d’une copropriété dans l’île de Ré. Le syndicat des copropriétaires a décidé des travaux que personnellement je ne trouve pas judicieux tels qu’ils ont été réalisés, car je pense qu’ils laissent en suspend une part du problème qu’ils prétendent régler.

Qui plus est ces travaux ont été réalisés sans permis de construire, sur un site boisé classé et en créant une vue sur mon fond.

J’ai donc déposé une plainte et me suis porté partie civile.

Je gêne le syndic, notable rochelais, le maire qui a laissé faire ces travaux sans permis de construire, et puis : je suis moi… cet épouvantable libéral.

Alors, voici l’ordonnance d’irrecevabilité rendu contre moi !!!

Incroyable, non ? Il faut que vous sachiez que la SARL Les Hauts de Cocraud est la même société que la SCI Les Hauts de Cocraud, dont elle est la continuation nécessaire à la gestion comme loueur en meublé professionnel de son stock. Une banalité.

Cette ordonnance n’a pas de sens, elle est ahurissante. Que se passe-t-il dans la tête d’un magistrat qui rend une telle ordonnance ?

Dans la pratique c’est simple, elle veut élargir les fautifs sans témoin, elle se fout comme d’une guigne de la vue créée sur mon fond et de l’irrespect du Code de l’Urbanisme.

Mais quand même… pour afficher un tel manque de respect de la loi et de la victime, il faut se sentir sûr de soi, être la collaboratrice qui sait que son patron n’aime pas les gens comme vous, qu’il souhaite les voir disparaître.

J’en ai en stock des comme ça, et j’en aurai d’autres.

Ce qui me rassure c’est que je ne suis pas sans doute le seul, un jour nous serons suffisamment nombreux pour juger ces fachos…

Bien à vous. H. Dumas

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Un mensonge sensationnel

J’ai reçu plusieurs vidéos, dont celle-ci, qui prétend faire des révélations fracassantes sur les sociétés américaines Black Rock et Vanguard.

En France, nous adorons les annonces spectaculaires surtout lorsqu’elles sont faites pour dénoncer des scandales ou des faits perçus ou présentés comme tels et il faut bien dire que l’argent (des autres) est un sujet de scandale bien français !

Le problème est que, bien souvent, les révélations sensationnelles qui sont faites sont approximatives quand elles ne sont pas carrément mensongères.

Mais ces vidéos circulent sur les réseaux sociaux et répandent le virus d’une vision manichéiste et erronée du monde … surtout dans une société française où la population a un fort sentiment de victimisation (vis-à-vis du grand capital, des multinationales, ….) et parle volontiers de justice sociale …tout en ignorant la réalité des problèmes économiques !

Concernant cette vidéo, n’y allons pas par quatre chemins, la fille a une très bonne prononciation mais ce qu’elle dit est faux et relève de la manipulation ; et il n’y a rien de plus facile que de manipuler une population ignorante …

Le message explicite est que ces fonds et organismes de gestion auraient un tel pouvoir qu’ils seraient les vrais maitres du monde et que les gouvernements ne seraient que leurs petits toutous obéissants !

C’est en fait une vision complotiste issue de la gauche crypto marxiste pour qui le grand capital est l’ennemi et la cause de tout (nos malheurs) et cette vision négative a réussi à contaminer une partie de l’électorat de droite et de l’extrême droite élevée à la mamelle étatique.

Et les français ont d’autant plus tendance à y croire qu’ils ont surtout gobé le discours distillé en permanence par ceux qui profitent de la situation : à savoir les fonctionnaires et assimilés et notamment les petits journaleux perroquets de la radio télé publique qui ne sont rien d’autre que les apparatchiks du régime.

France info (radio) n’a pas hésité, le 22 janvier, à évoquer le « sulfureux » Blackrock ; ce qui veut dire que même la radio télé publique a pris parti. Mais, concernant France info, il n’y a pas de souci, ils font bien partie de ceux qui vivent très bien à vos dépens puisque leurs (confortables) salaires et retraites sont payés par … vos impôts et notamment la redevance télé !

Car, en France, par une espèce d’inversion de la vision de la morale du monde, il est honorable d’être fonctionnaire, soi-disant au service des autres et d’être payé par les impôts des autres sans jamais rien produire, alors qu’il est déshonorant d’être entrepreneur.

L’entrepreneur, surtout celui qui réussit, est assimilé à un voleur, exploiteur, fraudeur …

Il est donc urgent de remettre les choses à leur place …

Il existe dans le monde deux systèmes de retraite : la capitalisation et la répartition qui reposent sur les principes totalement différents.

Le système par capitalisation est pratiqué à peu près partout sur la planète alors que le système par répartition est pratiqué surtout … en France !

Avec la capitalisation

Vous versez des cotisations pour vous-même à un fonds de pension qui va chercher des gestionnaires pour les faire fructifier. Vos cotisations sont investies notamment dans des entreprises cotées en bourse.

Lorsque vous prenez votre retraite, on vous restitue ce que vous avez versé augmenté des intérêts et des plus-values éventuelles.

Il s’agit évidemment de l’odieux système capitaliste des fonds de pension qui gèrent vos cotisations c’est à dire qu’ils les investissent à mieux de VOS intérêts.

Black Rock est une société de gestion d’actifs cotée en bourse, avec des activités diversifiées (elle n’est ni un fonds de pension, ni un fonds spéculatif). Au 31 décembre 2019, la valeur des actifs gérés par elle s’élevait à 7 429 Md $. Elle collecte de l’argent auprès d’investisseurs institutionnels pour l’investir sur les marchés financiers, en leur nom, afin de faire fructifier le capital des investisseurs ; de la même manière que vous le faites avec votre livret A.

On la retrouve, tout comme Vanguard, au capital de Pfizer, Johnson & Johnson, Moderna, Astra Zeneca, Sanofi, Alphabet/Google, Facebook, You tube, WhatsApp, Michelin, Pernod Ricard, Monsanto, Exxon Mobil, Dow Chemical, Foxconn,  Goldman Sachs, Apple, Amazon.

Cela veut dire que dans un système concurrentiel où il n’y a pas de monopole (d’Etat), Black Rock  et Vanguard  ont des clients et qu’ils leur rendent des comptes.

Black Rock et Vanguard  gèrent donc effectivement beaucoup d’argent mais ce n’est pas le leur, c’est celui de leurs clients et, comme elles investissent au capital de sociétés cotées, il est tout à fait normal qu’on les retrouve au capital des principales entreprises mondiales et notamment celles qui font des bénéfices (il n’y aurait aucun intérêt à investir au capital de la SNCF qui perd 15 Md€ par an) !

A bien y regarder, c’est même plutôt rassurant de savoir qu’elles essaient d’optimiser vos cotisations ; démarche totalement incompréhensible en France !

Il existe de la même façon deux fonds de pension norvégiens, les plus riches d’Europe, GPFG et GPFN.

Doit-on en conclure que ces fonds de pension et sociétés de gestion dirigent de facto les entreprises, manipulent les cours, spéculent sur les marchés, provoquent des coups d’Etat, ruinent les populations ?

Non évidemment, car placer de l’argent dans le capital de sociétés ne veut pas dire que vous vous immiscez  dans la gestion quotidienne de ces entreprises !

Ces organismes gèrent un capital collectif et le font plutôt bien et rendent des comptes !

Qui s’en plaindra ?

Surement pas les retraités américains, britanniques ou norvégiens en tout cas et si la société de gestion a de mauvais résultats les clients vont voir ailleurs.

Mais, avez-vous vu une seule fois une caisse de retraite française dirigée par des fonctionnaires rendre des comptes aux cotisants ?

Avec la répartition

Les travailleurs actifs versent des cotisations qui sont reversées immédiatement aux retraités avec un système est basé sur la solidarité inter générationnelle ; avec une nuance d’importance : il ne peut fonctionner que s’il y a suffisamment d’actifs pour payer les pensions des retraités.

Contrairement à une idée largement répandue, vous ne cotisez par pour vous-même et les cotisations que vous versez ne vous appartiennent pas ; vous payez pour les autres en espérant que, lorsque ce sera votre tour d’être à la retraite, les autres paieront pour vous.

Ce système fonctionnait correctement tant que l’espérance de vie restait relativement faible et qu’il y avait entre 4 et 6 cotisants par retraité.

Il faut savoir que l’âge de départ en retraite avait été fixé initialement à 65 ans (pour les salariés car les non-salariés peuvent travailler plus longtemps) parce que la pyramide des âges montrait que la majorité de la population mourait alors à … 65 ans !

Avec l’allongement de la durée de vie et les mesures électoralistes irresponsables prises par les socialistes en 1981 (retraite à 60 ans et beaucoup de mises en pré-retraite) et le développement du chômage de masse, le système s’est trouvé rapidement complètement déstabilisé avec un ratio (cotisant/pensionné) qui se rapproche des 1.3.

Sa survie a déjà nécessité plusieurs réformes dont certaines ont généré des mouvements de protestation et de grèves parfois très durs (voir les grèves de 1995).

Le système est en fait toujours sur le fil du rasoir depuis 1981 et les jeunes qui entrent sur le marché du travail sont à peu près tous convaincus qu’ils ne percevront rien ou pas grand-chose dans 40 ans !

Ce faisant, ils sont parfaitement conscients d’avoir affaire à un véritable système de spoliation légalisée basé sur un schéma de Ponzi car, dès que vous travaillez, vous n’avez pas le choix, vous devez cotiser à un régime de répartition obligatoire … même si celui-ci est mal géré !

Et il est d’ailleurs si mal géré que le rendement est en fait négatif (vous recevez moins que ce que vous avez cotisé !) ; mais évidemment on évite de vous le dire pour que vous puissiez garder confiance dans les actions de l’Etat et de ses fonctionnaires.

Car, qui retrouve-t-on derrière cette mauvaise gestion ?

L’Etat et ses fonctionnaires dont la mauvaise gestion est désormais devenue proverbiale !

Gaspillage à tous les étages ?

Oui, et cela tient à plusieurs raisons :

-la répartition permet au pouvoir, qui contrôle l’administration, d’exercer un clientélisme électoral en avantageant certains pensionnés (par le biais d’une foule de régimes spéciaux) au détriment des autres ; ce qui est évidemment contraire au principe d’égalité si souvent invoqué par les élites !

-elle permet aussi de verser des pensions à des personnes qui n’y auraient pas eu droit parce qu’elles n’ont pas (suffisamment) cotisé.

-il n’existe pas dans l’administration de notion de rendement du capital investi ; tout fonctionne à partir d’impôts et de dettes et d’ailleurs, ce n’est pas grave, puisque vous savez bien que ça ne coute rien (à ceux qui le décident) puisque c’est l’Etat qui paie (suivant une déclaration mémorable de F Hollande, alors président, qui en dit long sur la « pensée économique » de l’élite et sa capacité à gaspiller, les impôts, en fait l’argent, des autres) !

En fait, en France, il n’y a pas de fonds de pensions car tout est organisé par l’Etat qui vole les cotisants car le rendement de la répartition est indigne puisqu’il est obligatoire et sous contrôle direct de l’administration d’Etat ; ce qui ne serait évidemment pas le cas avec des fonds de pensions privés !

Encore une fois, les fonctionnaires n’ont pas de clients mais juste des administrés qui doivent obéir ; et la raison en est très simple : la retraite par capitalisation est interdite en France depuis Vichy et la confiscation des fonds de réserves des caisses de retraite par la clique du Maréchal Pétain afin de payer les indemnités d’occupation de l’armée allemande.

Et, comme il n’y avait plus d’argent en 1945 (la France était complètement ruinée), cette décision a été confirmée en 1946 par le CNR (conseil national de la résistance) … sauf, curieusement, pour les fonctionnaires (qui ont droit, eux, à Préfon) !

On l’a compris, au final, en France, la population est contente d’être volée par l’Etat du moment qu’elle échappe au pire : à savoir la gestion rigoureuse de leurs actifs par des fonds de gestion privés présumés être des rapaces, des voleurs et autres gracieusetés …

De multiples conséquences

Le fait que la France soit l’un des seuls pays à pratiquer la répartition ne signifie pas qu’elle ait raison contre le reste du monde.

Par contre, ce système est à la source de plusieurs effets pervers …

La principale conséquence de ce système est qu’en France, les entreprises ne sont pas détenues par des fonds de pensions français (puisque les fonds de pension sont interdits) ; ce qui fait que les grandes entreprises du CAC 40 sont souvent détenues, au moins en partie, par ces fameux fonds de pensions américains, britanniques ou norvégiens.

Et cette tendance a été aggravée par la haute fonction publique française qui a tout fait, à travers une fiscalité du capital relevant de la spoliation, pour dissuader les français d’investir en bourse ; avec le but évident de concentrer l’épargne des français dans l’assurance vie investie en … dette d’Etat (et non dans les entreprises privées) !

Et quand on sait que les 1.700 Md€ de l’assurance vie ont disparu dans la dette de l’Etat de 2.834 Md€, on comprend dès lors toute la « solidité du système » !

On comprend dès lors que “l’irruption” des sociétés d’investissement et autres fonds de pensions au capital des sociétés françaises est une conséquence directe des décisions de l’administration ; c’est à dire que l’on reproche aux autres les conséquences de nos propres actes !

En France, si le système fait faillite, ce n’est pas grave, on réduira les prestations, on bouchera les trous avec vos impôts ; ce qui fait que vous cotiserez une deuxième fois pour sauver l’espérance de recevoir les prestations dues en vertu des cotisations versées initialement !

Vous saisissez la nuance ?

Une gestion bien française

En France, l’Etat est partout et son intervention a lieu par le biais de trois grands organismes :

-la Caisse des Dépôts et Consignation, bras armé de l’Etat depuis Napoléon Ier,

-la banque publique d’investissement,

-l’agence des participations de l’Etat.

Alors, je sais bien qu’en France on déteste l’argent ; enfin officiellement parce nos hauts fonctionnaires, eux, ne se privent pas mais leur train de vie est directement prélevé sur les revenus des autres et ils ne subiront jamais les aléas économiques puisque, en cas de nécessité, et notamment d’inflation érodant le pouvoir d’achat, on augmentera simplement les impôts et cotisations des autres pour qu’ils puissent continuer à vivre comme avant !

Faute de fonds de pension, il n’y a pas de capital accumulé qui puisse s’investir dans les entreprises françaises ; lesquelles sont obligées de se financer auprès des banques (ce qui revient plus cher puisque la banque pratique un taux d’intérêt alors que le fonds de pension  se rémunère sur les bénéfices réalisés et sur les plus-values éventuelles).

Les entreprises françaises sont donc plus fragiles ou moins protégées contre les raids boursiers tant fustigés par la gauche mais elles sont surtout directement à la merci du pouvoir de l’administration qui agit à travers les banques et les trois organismes ci-dessus.

L’Etat français a toujours fonctionné ainsi : pas de capital, juste des impôts et des dettes car le patrimoine des français sert de caution à l’action de l’Etat et à la caste qui le dirige …

Système collectiviste, s’il en est !

Une capitalisation désavantageuse pour le futur retraité ?

C’est juste le contraire puisque plusieurs études ont démontré que les français auraient de bien meilleures retraites s’ils pouvaient choisir un régime de capitalisation.

Il faut donc être juste un ignorant, un complotiste, un communiste ou … un fonctionnaire pour y voir une quelconque manœuvre visant à déstabiliser le monde !

On sait que le système de retraite par répartition à la française est voué à l’explosion, c’est inéluctable parce que la démographie est une science exacte et qu’elle s’appuie sur des données incontestables traduites dans la pyramide des âges.

Mais, soyons assurés que le jour où le système flanchera, la haute fonction publique trouvera évidemment une explication à servir aux cotisants spoliés : le capitalisme, la mondialisation, les fonds de pensions américains “vautours” feront alors figure de totems expiatoires !

En France, l’Etat contrôle tout et se livre impunément au pillage mais, à la fin, n’est jamais responsable !

Alors, réflexion faite et tous comptes faits, quel est le meilleur système ?

Bien cordialement à tous !

Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.

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Pourquoi Poutine n’envahirait-il pas l’Ukraine ?

Je ne suis pas un spécialiste de politique étrangère, encore moins un connaisseur des armées et des armements, mais quand je lis les ouvrages sur la dernière guerre mondiale ils n’abondent pas en théories de politique étrangère, un peu plus en explications sur les armements mais pour dévoiler que nous étions un peu à poil à ce sujet simplement du fait de la politique menée à l’époque.

Je me dis donc que ce qui se passe en Ukraine n’est pas un problème de spécialistes, que chacun de nous peut y réfléchir.

Poutine annonce depuis longtemps la couleur, il veut être le signataire du retour à la grande Russie. Ce type d’obsession n’est jamais à prendre à la légère quand il s’insinue dans l’esprit d’un homme de pouvoir et qu’il rend sa pensée publique.

L’Ukraine est une proie de choix, riche en terres agricoles et en ressources minières elle complète parfaitement les autres atouts de la Russie cette petite nation à l’échelle mondiale, mais aux grandes surfaces et importantes réserves de gaz et de pétrole si essentielles. Les Russes sont rudes, durs au mal, et sont liés par la solidarité des gens qui souffrent face à ceux dont ils pensent qu’ils ont la vie douce.

Les agitations de Poutine ont probablement reçu l’aval de la Chine.

Donc, que risque Poutine s’il envahit l’Ukraine en 48H, comme l’imagine les USA ? Rien si ce n’est une haie d’honneur de certains Ukrainiens sans doute.

L’occident va alors y aller de ses sanctions économiques.

Un ambassadeur de la Russie a dit carrément qu’ils s’en foutent. Cela me parait hautement probable.

Que va-t-il se passer ? Rien. Qui va aller se battre pour l’Ukraine ?

Bien pire, si l’occident prononce des sanctions contre la Russie, il affrontera en retour celles de cette Russie qui peut probablement se priver plus facilement que nous sans conséquences politiques. Mais aussi sans doute les sanctions économiques de la Chine dont l’intérêt opportuniste sera de s’allier à la Russie, elle aussi peut se priver ce qui calmerait les ardeurs des libéraux générés en son sein par la richesse.

Mais alors, nous aurons une augmentation intenable du prix du gaz et du pétrole et peut-être un arrêt de la livraison par les Chinois de nos objets manufacturés indispensables, sauf à nous soumettre à leurs conditions qui tourneront autour de la notion de monnaie internationale donc de domination mondiale.

L’invasion de l’Ukraine : petit évènement, grandes conséquences.

Les USA retourneront s’enfermer chez eux, où ils ont tout. Et nous… ben voyons…

Nous récolterons la faillite et la guerre civile qui va avec….

Heureusement les boites de nuit rouvrent cette semaine, je crois…

Et nous avons Manu, le guerrier du COVID…

Bien à vous. H. Dumas

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L’enjeu de la présidentielle, c’est la liberté !

L’enjeu de la présidentielle, c’est la liberté !

Depuis quatre ans, la France est le théâtre de manifestations de rue qui ont pour thème unique la liberté. Les commentateurs s’évertuent à trouver des causes à ces manifestations et invoquent le pouvoir d’achat, l’insécurité, l’immigration, sans jamais s’arrêter à la seule cause vraiment proclamée par les manifestants. On a l’impression que manifester pour la liberté est incongru en France, pays où elle paraît régner sans conteste.

Il y a pourtant une expérience que chacun peut faire. Il suffit de demander à toute personne de rencontre si elle se sent libre. Elle vous répondra non, dans une proportion impressionnante. Et si vous poussez plus loin l’interrogatoire, elle vous expliquera sans la moindre difficulté que chacun des gestes de la vie quotidienne est devenu difficile, qu’on se heurte sans cesse à des interdits et à des obligations, et qu’à chaque pas il faut dépenser le peu d’argent qu’on a réussi à épargner jusqu’à finir aussi raide qu’un torchon essoré.

Etonnez –vous après cela que des milliers de Français aient pris ce week-end le volant de leur voiture ou de leur camionnette et se soient lancés sur les routes en direction de la capitale, drapeau français flottant sur leur véhicule.

La question s’est immédiatement posée : qu’allaient-ils faire à Paris ? La réponse est aussi simple que terrible : prendre le pouvoir. Pourtant, il ne régnait pas un climat factieux dans ces cortèges. Car ce que ces manifestants revendiquaient, ce n’était pas les palais nationaux ni les ors de la République, mais simplement le pouvoir sur leur vie. Et cela, dans le monde moderne, c’est très difficile à obtenir.

C’est même si difficile qu’il faut un grand effort d’imagination pour se figurer un monde où chacun pourrait vivre à se guise, dans un climat de liberté. Les gestes les plus élémentaires, qu’il s’agisse de travailler, de mettre ses enfants à l’école, de passer quelques jours de vacances ou que sais-je encore exigent tout un apparat de papiers officiels, de laissez-passer, d’attestations de santé qu’on est finalement tout heureux et soulagé de pouvoir produire à ce qu’on appelle « les autorités » et dont on ne sait pas qui les a nommées et investies d’un pouvoir qu’elles affichent sans vergogne au nez du malheureux citoyen.

Citoyen, avez-vous dit ? Non, esclave. Esclave de la société, esclave de lui-même, esclave de l’idée qu’il se fait du monde, esclave de tous ces trains qui ne partent pas : « Un jour, nous prendrons des trains qui partent. » (Antoine Blondin).

La France, le monde se trouvent face à une révolution de la vie. La généralisation de l’informatique l’a fait pénétrer chaque geste de notre vie, du plus simple au plus complexe. Et tous ces procédés se sont enkystés dans notre existence au point d’avoir effacé toute liberté de manœuvre. Mais surtout cet ensemble de procédés a fini par devenir une immense administration qui vit sans règles autres que celles qu’elle s’est fixées dans la plus totale obscurité et qu’elle entend faire respecter partout dans le monde.

Le problème majeur de notre société, c’est que l’administration s’est emparée de toute l’administration informatique et l’a incluse dans son pouvoir. Du coup, les pays où le poids de l’Etat représente les deux tiers de la production (c’est la cas de la France) sont devenus complètement invivables. Les autres, qui ont su en rester au tiers de la production, ont pu conserver des espaces de liberté suffisants pour que le peuple ne se sente pas opprimé.

L’élection présidentielle française est l’occasion de poser ce problème dans toute son ampleur. ll faut évidemment une rupture avec tout ce qui s’est fait jusqu’à présent. Si les électeurs choisissent cette voie, notre pays a une chance de se redresser. C’est tout l’enjeu de la candidature Zemmour dont on ne soulignera jamais assez que parmi ses cibles préférées figure la caste médiatique qui a emprisonné l’opinion publique dans ses raisonnements fallacieux et pervers qui ne laissent aucune chance à la liberté de pensée.

Zemmour n’est évidemment pas une fin. C’est le début de quelque chose. La France a besoin de reprendre sa marche en avant. Elle a besoin à cet effet de la liberté de ses citoyens. Ceux-ci ont compris l’enjeu de la période que nous vivons. C’est pourquoi ils ont pris le volant de leur voiture et arboré le drapeau français. Ne  nous y trompons pas : s’ils crient « Liberté », c’est bien « Liberté » que cela veut dire. Ce mot a un sens, partout dans le monde. Mais chez nous, plus qu’ailleurs, parce que c’est nous qui l’avons inventé. Faisons valoir nos droits d’auteur !

Claude Reichman

 

 

 

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Le revenu de la peur

Je passais sur un rond-point ce samedi dans un Landerneau avec mon véhicule, pour peut-être rencontrer la police ou les gendarmes – car ils aiment ce genre de repères, mais plutôt remarquer des inscriptions sur le bitume autour dudit bien flashant : « Nous voulons vivre de notre travail » …

Vous connaissez probablement le film « Le salaire de la peur » avec Yves Montant et Charles Vanel comme principaux acteurs. Le risque du salaire était alors physique comme il l’est encore souvent, mais de moins en moins parmi nos contrées policées.

En effet, ce salaire ou revenu s’est transformé en peur d’un inquisiteur auto proclamé avec tous les moyens de contrôle et de sanction, sans états d’âme. Ainsi, la peur devient de ne pas payer sa dîme, même si elle n’a aucun sens, ou ne peut pas tout du moins être contestée. L’envers du décor devient de déshabiller Paul pour habiller Pierre, en percevant sur chaque transaction la redevance pour nourrir cette caste au pouvoir. La France devient ainsi une terre de désespérance pour bon nombre d’entre nous, qui ne vit que de chèques, de subventions. 

Je rejoins H16 dans son billet : https://www.contrepoints.org/2022/02/11/421151-les-prochaines-semaines-seront-decisives

Il nous dit : « Les dirigeants actuels sont partis trop loin et ils ne lâcheront pas leur pouvoir sans y être forcés. » Puis : « on comprend que tant que les oppositions des citoyens ne seront pas plus fortes, plus fermes, les dirigeants, qui ont maintenant amplement prouvé qu’ils méprisaient complètement peuple et démocratie, continueront sur leur lancée. » Puis enfin : « le combat qui s’ouvre, et qui consiste à récupérer maintenant la maîtrise de nos vies, est un combat qui sera âpre et sans merci. »

Dans le convoi des camionneurs canadiens, nombre d’entre eux possèdent leur propre Truck et ne sont donc pas salariés. Ils ont alors un pouvoir de décision individuel et prennent leur courage à deux mains pour résister à la fange qui se recroqueville devant leur impertinence.

Et si en France tous les petits indépendants, ou en bonne partie, dans un mouvement concerté faisaient la grève – cela me fait penser à l’ouvrage « Atlas Shrugged » d’Ayn Rand, du paiement de leur TVA et de leurs cotisations sociales, les petits marquis ne tiendraient pas deux semaines. Pas la peine ainsi de déambuler sur les Champs Elysées en physique pour prendre des coups de crosses, il suffit juste d’arrêter les Sprinkler à pognon. Ce sera forcément un moment pénible pour tout le monde, mais qu’avons-nous à perdre, sauf notre petit confort d’une route de la servitude qui va devenir de plus en plus serrée si nous les laissons faire ?

Bien à vous !

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Le Convoi de la Liberté

Il nous faut en passer par là, dans l’esprit des Gilets Jaunes à leur début, parce que décidément le « facho-libéralisme » pour reprendre l’expression de Mr Dumas, ne permet plus de débat contradictoire, mais surtout de contre-pouvoir à même de se dresser contre un mur pour avorter d’une objection qui devrait être reçue, au sein de nos palais …

J’aime beaucoup cette notion de « facho-libéralisme », car je la trouve très juste dans son énonciation toujours par Mr Dumas : « Puis en se rappelant la définition du fascisme : “Tout pour l’Etat, tout par l’Etat, rien en dehors de l’Etat”.

En n’omettant pas que le fascisme n’est que ça, que ce n’est pas une couleur politique. Qu’il peut être de droite, de gauche et même centriste. Sa caractéristique est uniquement une totale dépendance à la fiction de l’Etat, donc en réalité à ceux qui prétendent le représenter sous quelque déguisement que ce soit. »

La règle : on aime effectivement affubler de préfixes, le libéralisme, pour le confondre en exégèse, sans en connaître l’esprit, car après tout …

Ce convoi de la liberté, comme le mouvement des Gilets Jaunes ne va pas déroger à cette règle, tant on reste dans du mou de pouvoir d’achat, de Passe Vaccinal, sans en en comprendre les causes mais en les chérissant intuitivement, faute de structure mentale et d’éducation en travers.

La « Facho-sphère » joue sur du velours pour contrer ce genres de mouvements de « libertés » revendiquées. Au pire, comme avec les Gilets-Jaunes, elle sonnera la cavalerie des « False Flag », pour tout casser alentours et retourner l’opinion tranquille en sa faveur.

Ces mouvements de liberté n’ont pas de capacité de nuisance, car chaque individu parmi eux peut être pris individuellement, sans que leur bloc puisse réagir, comparativement à nos syndicats patentés, bien structurés et bien financés à l’insu de notre plein gré, à forte capacité de nuisance au cas où.

Durant l’épisode des Gilets-Jaunes, il n’y a pas eu de mort, ce qui semble invraisemblable dans un tel mouvement, avec de nombreux actes de violence abouties, ou non …

Les choses changeront quand il y en aura, mais c’est une question de détermination individuelle ou d’accident dans un mouvement. Rappelez-vous du Printemps Arabe !

Bien à vous !

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Au final le totalitarisme

2 Au final le totalitarisme

Pour lire la première partie

Tests

Venons en aux tests. Pour ceux-ci le gouvernement jette par les fenêtres un argent qui n’est pas le sien. “Nous dépenserons un peu plus d’1,5 milliard d’euros au mois de janvier” a annoncé fièrement Olivier Dussopt, ministre délégué aux Comptes publics.

Pour donner un ordre de grandeur cela équivaut, chaque mois, à 2 frégates multi-mission, ou une trentaine de Rafale, ou 70 hélicoptères de transport Caracal, ou 50 hélicoptères de combat Tigre, pour rester dans le régalien.

Cela fait aussi un grand nombre de lits d’hôpitaux armés et encore davantage de places d’EHPAD avec leur personnel. Bref de quoi à en finir largement avec l’alibi de la coercition sociale qui est le manque de lits d’hôpitaux, en particulier de réanimation.

Mais cela n’intéresse pas l’autorité Centrale.

La seule stratégie qui sous tend aujourd’hui l’utilisation massive de tests est la création et l’entretien de la peur chez les gens. Ils restent ainsi sous contrôle.

La panique est créée en entretenant la confusion entre tests positifs, cas, et malades. En vérité, l’épidémie se réduit à une « épidémie » de tests positifs avec heureusement peu de malades.

Tester, en lui même, ne freine pas l’épidémie. Tester à tout va ne permet pas de rompre la chaîne de contamination. Pour rompre la chaîne de contamination il faut la connaître, l’identifier pour pouvoir isoler et traiter les malades. Pour rompre la chaîne de contamination il ne faut pas que l’épidémie soit hors contrôle. Il faut une traçabilité. Toutes choses que la masse énorme de tests positifs rend impossible.

Dans le cas de l’Omicron, rompre la chaîne de contamination est utile autour des personnes à risque. Elle ne l’est pas pour des personnes sans risque, qui en plus ne sont pas malades. Prétendre pouvoir rompre la chaîne de contamination de personnes testées positives, non malades, avec un virus très contagieux et très peu grave, n’a pas de sens. C’est pourquoi il faut se concentrer sur les malades, et les personnes à risques, donc tester moins mais à bon escient. L’objectif est de pouvoir maîtriser l’épidémie sur cette population à risque.

Si l’on ne suivait que les malades, l’épidémie ne se remarquerait pas, et la vie continuerait.

Mais cela n’intéresse pas l’Autorité Centrale.

 

 

Croissance Potemkine

Le tout vaccinal est de la poudre au yeux dont le but est d’empêcher de voir le naufrage de ce gouvernement dans le domaine sanitaire et dans les autres.

La dite croissance de 7 % en 2021 ne doit pas faire illusion. https://www.ouest-france.fr/economie/la-croissance-economique-francaise-atteint-7-en-2021-0a7af144-8004-11ec-bd46-29e8689bf94e Elle n’efface rien du tout.

https://www.facebook.com/photo?fbid=920700148806460&set=a.278529036356911

 

Nous sommes face à un sophisme équivalent à celui qui prétend que la guerre est bonne pour l’économie. Il faut relire « la vitre cassée » de Frédéric Bastiat. Bien entendu ce serait aussi une erreur de croire que les destructions liées à la guerre, fut ce la « guerre » contre les COVD, sont l’équivalent de la « destruction créatrice » de Schumpeter.

 

Les fondamentaux économiques, dette, déficit, fausse monnaie et l’inflation, chômage, production d’énergie insuffisante, hyper-réglementation et fiscalité stérilisante sont structurels et mauvais. Ils ne permettent pas d’envisager un avenir serein. Ils nous placent sous la dépendance de nos créanciers. Nous perdons toute crédibilité économique et politique, donc toute autonomie et souveraineté.

La situation de beaucoup de Français est très précaire, certains ne mangent pas à leur faim, ont froid, n’ont pas de logement décent, voire pas de logement du tout. Sans oublier la désagrégation sociale et la négation des valeurs d’Humanité qui ont forgé la civilisation occidentale.

Il n’y a pas de quoi à pavoiser.

Quant aux moyens c’est une douce rigolade. L’État a dépensé un argent qu’il n’avait pas. C’est du mal-investissement basé sur la dette et la fausse monnaie.

Si vous voulez connaître « le vrai état de la France » lisez plutôt le dernier livre d’Agnès Verdier-Molinié

Totalitarisme

Ne pas prendre ou lever les mesures prétendument de freinage, ne dépend ni de la vaccination, ni du passe vaccinal, ni du taux d’incidence de l’infection, mais de la seule volonté de l’Autorité centrale.

Il faut rappeler sans cesse que la réussite de la prise en charge de l’épidémie ne se résume pas à une société totalitaire où l’être humain, vacciné, exempt de COVID ou non, est remplacé par un QR code. La réussite comprend une société où les individus ont leurs droits naturels, liberté, propriété personnalité respectés, une économie prospère et une société où règne l’« harmonie ».

Les Français sont peut-être les « mieux » vaccinés, sûrement pas les mieux protégés. Surtout pas de leur État. À condition d’accepter de reconnaître le désastre économique, social, sanitaire et le changement civilisationnel où les a précipité le gouvernement.

Gouvernement qui les considère comme des gamins irresponsables, ou pire, qui leur dénie toute personnalité et par la même toute Humanité, les traitant comme des objets réduits à un QR code. Cela en dit long sur l’intrusion de l’État dans les vies privées et dans l’esprit des gens.

Gouvernement qui donne des leçons sur les Droits de l’homme à la planète entière mais qui précipite la France dans le totalitarisme.

Faire croire que, quand les gens sont autorisé par l’Autorité Centrale à prendre un café debout, à consommer dans les stades, les cinémas ou les transports c’est un retour à la liberté, alors que toutes les mesures liberticides de contrôle des population persistent, est une vaste fumisterie.

Attendre d’une Autorité centrale l’autorisation de prendre un café debout et une fois accordée, la présenter comme le Débarquement en Normandie est une insulte à l’intelligence humaine.

Le passe vaccinal n’a aucune efficacité sur l’infection. Il est inutile, dangereux et liberticide. Les vies prétendument sauvés par le passe sanitaire. sont une « évaluation » reconnaissent les auteurs. Ce ne sont pas des faits. La transformation du passe sanitaire en passe vaccinal est donc inutile, incohérente et nocive. Sauf :

– dans l’installation du totalitarisme « quoi qu’il en coûte » et quelle que soit l’évolution des épidémies.

– dans le soutien au capitalisme de connivence

Le gouvernement ne travaille pas à interrompre la chaîne de contamination. (voir supra) Avec le passe vaccinal il travaille a ce qu’il existe une chaîne de contamination légale, par les vaccinés, et une illégale par les non vaccinés.

 

Quant à la « gamme d’outils » complète à activer, c’est une gamme d’outils de coercition sociale, qui ne servent à rien pour la médecine ni l’épidémie, mais qui sont indispensables pour, au bon vouloir du gouvernement, pérenniser la destruction des libertés dans notre pays. Ce blanc-seing pour la république totalitaire estune honte pour nos prétendus représentants élus, garants de la « démocratie ».

Il faut répéter sans cesse que un pays ne peut être libre si un seul de ses enfants, s’il n’a commis aucun crime, ne l’est pas. Les non vaccinés ne sont que des boucs émissaires, des victimes expiatoires. Leur faire porter le poids de l’épidémie et des contraintes sociales est d’une injustice totalement assumée. Ce n’est pas la seule. Contraindre toute la population renoncer à sa liberté pour se soumettre aux caprices coercitifs d’un homme seul est aussi une injustice. Organiser le règne de l’injustice est un crime. C’est du totalitarisme pur et dur.

Cela signe la perversion de la loi dont le rôle est « d’empêcher l’Injustice de régner » Quand le gouvernement s’est mêlé de médecine et a porté atteinte à nos Droits naturels, dont nos libertés, au prétexte de la COVID, il a aussi perverti la Loi. Cette « odieuse perversion de la Loi est une cause perpétuelle de haine, de discorde, pouvant aller jusqu’à la désorganisation sociale »

 

C’est bien une dislocation sociale que nous vivons aujourd’hui sur tous les plans.

Pour y mettre fin, la bonne décision est de lever immédiatement toutes les mesures de coercition sociale et de rendre leur totale liberté aux Français.

Discours de Castex du 20 janvier

Article paru dans Contrepoints

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La faille « McKinsey »

Au début, ce ne fut qu’un murmure, quelques voix isolées, ici ou là, que personne n’entendait. Puis ça a pris plus d’ampleur. Aujourd’hui, on n’est plus très loin du vacarme. Oui, les injections, pour obligatoires qu’elles soient dans les faits (en France, du moins), non seulement ne protègent personne de quoi que ce soit, non seulement sont contre-productives, mais en outre, se révèlent pour beaucoup un véritable poison, capable d’entraîner les blessures les plus graves, et même la mort. Éteignez les voix corrompues, le « consensus scientifique », tant revendiqué par l’ennemi, est clairement unanime, il faut cesser immédiatement les programmes d’injections mortifères et toutes les relégations sociales.

C’en est au point que dans une majorité de pays, les dirigeants, aveuglés par l’évidence, se rendent à l’évidence, et que, pour éviter un rejet définitif de leurs esclaves administrés, abrogent tout ou au moins partie, de leurs mesures liberticides.

Reste une minorité malheureuse : les pays dans lesquels le poids de l’état est si lourd que leurs peuples n’ont plus que le choix d’obéir et/ou de mourir. La France, non pas « par exemple », mais désormais, comme meilleur exemple.

Pourquoi nos dirigeants s’obstinent-ils en dépit de l’évidence ?

D’aucuns défendent que la population non injectée constituera le groupe témoin de la nocivité des injections, groupe témoin qu’il faut donc absolument supprimer.

D’autres, plus imaginatifs encore, susurrent que les produits injectés pourraient contenir des ingrédients secrets aux propriétés les plus inattendues.

À mon avis, c’est beaucoup plus simple que cela.

Je le radote depuis deux ans : j’ai d’emblée douté du discours officiel, parce que j’y ai reconnu la « patte » des psychologues de « l’économie comportementale ».

Aujourd’hui, c’est officiel, oui, ce que nous subissons depuis deux ans est dicté par le cabinet américain McKinsey. Le cabinet McKinsey est LE cabinet-conseil en marketing des psychologues de l’économie comportementale. Et qui sont ses principaux clients ? Les laboratoires pharmaceutiques ! Que notre ministère ait choisi ces gens-là pour le conseiller, et que ceux-ci aient accepté cette mission est seulement indéfendable. `

Le cabinet McKinsey n’est pas autre chose qu’un cabinet de manipulation des opinions publiques. À partir d’informations, vraies ou fausses, peu importe, appelées « nudges », on conduit les peuples à accepter, ou même à choisir volontairement, les volontés dirigeantes.

Et c’est ici que tout dérape, tôt ou tard. Le nudge ne trompe pas seulement ceux pour lesquels il est construit. Il trompe plus encore ses créateurs. La pratique et l’usage des nudges donnent à ces derniers un sentiment de toute-puissance, d’invincibilité absolue.

Les théoriciens de McKinsey savent manipuler. Mais ils ne savent pas écouter. Mieux, ils sont incapables d’entendre. La sourde impatience qui gronde au sein des populations, ils n’imaginent même pas qu’elle puisse exister. Et voilà pourquoi, Madame, nos dirigeants s’obstinent. Le bruit des défilés, le grondement des camions ? Qu’importe ? Un autre nudge et tout rentrera dans l’ordre.

Peut-être. Peut-être pas.

Linton Bay, 8 février 2022

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Jaja et les EHPAD

Avant de plonger avec délice dans la rigolade que nous propose Jaja, un instant de recueillement.

D’abord en pensant au respect dû aux personnes âgées qui souffrent du fait de la perte de leur autonomie physique, intellectuelle ou matérielle. Qui voient leur statut d’être humain à la merci de l’aide des autres.

Puis en se rappelant la définition du fascisme : “Tout pour l’Etat, tout par l’Etat, rien en dehors de l’Etat”.

En n’omettant pas que le fascisme n’est que ça, que ce n’est pas une couleur politique. Qu’il peut être de droite, de gauche et même centriste. Sa caractéristique est uniquement une totale dépendance à la fiction de l’Etat, donc en réalité à ceux qui prétendent le représenter sous quelque déguisement que ce soit.

Oublier cela revient à s’exposer à la séduction fasciste, qui en fait prône l’irresponsabilité, l’infantilisation, fol espoir de l’homme adulte en panne.

Le fascisme finit toujours en meurtre de masse, tant il hait les libertés individuelles.

Revenons à Jaja et aux EHPAD

Jaja est un vrai écolo, de ceux qui n’hésitent pas à parler sans réfléchir, juste pour escroquer l’électeur et capter le pouvoir.

Les EHPAD.

Enfant j’ai vécu le poids des vieux dans la famille. C’était ainsi. Tous les jeudis, pour 5 Frs, je rasais mon grand-père de 96 ans qui vivait l’hiver chez son fils mon père et l’été chez sa fille. Avec les 5 Frs j’achetais un carambar. Il était dans la maison, malheureux de vieillir et d’imposer aux siens ses contraintes. On ne parlait pas alors de maison de retraite. Il y avait les enfants ou l’hospice pour ceux qui n’avaient plus leur totale autonomie.

L’hospice c’était la vieillesse prise en charge par l’Etat ou par le clergé qui se prenait encore pour l’Etat qu’il avait été. Personne n’y allait volontairement, seuls les enfants indignes y abandonnaient leurs parents.

Vers les années 1970 sont apparus les appartements pour personnes âgées, incluant soi-disant une assistance médicalisée légère. C’était un pas vers la séparation des générations. Il me semble qu’il s’agissait d’un souhait conjoint de distanciation entre les jeunes et les vieux.

Puis les sexagénaires des années 70 ont vieilli et les prestations dont ils ont eu besoin sont devenus plus hospitalières qu’hôtelières.

Vers 1990, les familles ne voulaient, ou ne pouvaient, plus assumer leurs vieux. Eux-mêmes sans doute imaginaient pouvoir garder une indépendance, une certaine liberté, en évitant le statut du vieillard familial rangé dans un coin du salon.

Il y eut un énorme besoin d’établissements dédiés à cet objectif. L’Etat et ses hospices en lente rénovation étaient au taquet, dépassés comme toujours.

La porte fut entrouverte au secteur privé. Mais attention, sous total contrôle de l’Etat, à tous les niveaux.

C’est ainsi que vit le jour une des plus fameuses connivences de notre organisation économique “facho-libérale”, plus connue sous le néologisme de “néolibérale” : les EHPAD.

Les autorisations de création de ces établissements, tout comme les hypermarchés en leur temps, comme les éoliennes aujourd’hui, furent d’une beauté “facho-libérale” absolue.

Une poignée d’opérateurs hypocrites et roués rencontrèrent naturellement notre bureaucratie fasciste et cette association s’empara du marché, sans vergogne, au nom des grands principes. Lesquels ?? Les mêmes qu’ailleurs : “l’intérêt général”.

A ceux qui ne connaitraient pas “l’intérêt général” je peux dispenser un cours de deux heures en échange d’un bon gueuleton.

Ainsi fut fait, nos vieillards devinrent des assujettis devant répondre aux différentes contraintes ou objectifs que s’étaient fixés les complices de l’opération en fonction de ceux qu’ils servaient : financiers ou électeurs.

A aucun moment nos vieillards n’ont été considérés comme des clients que l’on respecte, que l’on tente de séduire au milieu de la concurrence.

C’est là que Jaja prend son essor comique.

L’ineffable Jaja nous assène : “Si je suis élu (on peut rêver) j’interdirai les EHPAD privés à but lucratif”. Et vlan…

Explication de texte

Ce serait quoi un EHPAD privé à but non lucratif, dans l’esprit de Jaja ?

L’inverse d’un EHPAD public à but lucratif ?

Tout simplement un EHPAD public sans doute. Puisqu’il pense que tout doit être public et que rien ne doit avoir un but lucratif. Sans pour autant qu’il expose comment il nourrit la population, sans les sous…

Soyons sérieux.

Dans une société libérale, les EHPAD s’ouvriraient où elles voudraient, quand elles voudraient. Aux normes nécessaires évidemment.

Leurs clients seraient des consommateurs, qui choisiraient l’EHPAD qu’ils souhaiteraient. Toujours dans le cadre de la concurrence.

Pour ceux qui n’ont pas suivi, les adorateurs de Jaja notamment, la concurrence c’est par exemple un TripAdvisor disponible pour les clients des EHPAD, où chacun donne son avis, où la prestation est décrite et notée. C’est que ça change les choses….

Oui mais, les opérateurs sont alors à la merci de leurs clients… et oui, ils font faillite s’ils perdent leurs clients pour mauvaises prestations… et oui.

C’est ça le libéralisme, Jaja.

Le néolibéralisme ça n’existe pas, car le libéralisme ne peut pas être autre que lui-même.

Le néolibéralisme n’est que le facho-libéralisme, une grave mutation du virus collectiviste, plus dangereuse que le virus initial, parce que plus contagieuse et toujours mortelle.

Réfléchis Jaja…

Bien à vous. H. Dumas

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Revenir à la base

Revenir à la base est essentiel avant d’essayer de comprendre quoique ce soit. Mais ce n’est pas si facile.

Par exemple : comment revenir à la base du sacré ?

Le sacré, du moins sa partie visible, part d’un acte simple. Prenons un repas hebdomadaire entre amis qui va se poursuivre toute une vie, puis au-delà de cette vie qui sera maintenu par les descendants des initiateurs, puis plus tard par ceux qui se prétendront aussi descendants plus ou moins directs. Au terme d’un siècle ou deux, ce repas devient un acte sacré, alors accompagné d’un rituel destiné à magnifier ce sacré.

Une fois arrivé là, qui peut se permettre de rappeler qu’au départ il n’y eut qu’un repas entre amis ? Personne, il est alors d’usage de prétendre que le sacré vient du sacré, n’est pas une évolution. Faux.

Donc revenir à la base n’est pas simple. Beaucoup d’écrans cachent le début ordinaire de ce qui nous parait être des évidences qui s’imposent, alors qu’elles ne tirent leur légitimité que du temps qui passe, qui efface la banalité de leurs premières fois.

S’agit-il, en exprimant ceci, d’une réflexion primaire, non étayée par une kyrielle de citations et documentations diverses ? Peut-être…

Mais peut-on comprendre le fiasco dans lequel nous sommes projetés de toutes parts sans en chercher la base ? Pour moi, non.

Je ne vous cacherai pas qu’il y a un bon moment que je cherche cette base, mère de nos tourments. Jusqu’à ce jour aucune hypothèse ne m’a séduite, toutes étaient partielles ou partisanes, qui plus est compliquant la complexité alors que je cherche la simplicité initiale.

Puis j’ai commencé à lire “La France de face”, le livre d’Anne Nivat, l’épouse de ce pauvre JJ Bourdin, une grande reporter qui dit elle-même :”Je n’ai jamais cru à l’objectivité en journalisme, en revanche, je défends farouchement l’idée d’un travail honnête et utile. J’assume ma subjectivité et revendique l’absence de jugement…”

Où j’en suis de son livre, elle ne ment pas en affirmant cela.

Evidemment sa “subjectivité” l’entraine vers les classes dites “défavorisées”.

Nous voilà donc parti, souvent en compagnie de travailleurs sociaux ou d’associations du même type, dans les quartiers eux aussi globalement qualifiés de défavorisés. Tous les poncifs y passent, mais sans jugement il est vrai — l’attirance n’étant pas, dans l’absolu, un jugement –…

Pour finalement constater que nombreux sont ceux qui se laissent aller au fil de la misère, mais que quelques-uns luttent et s’en sortent, que ce soit par le biais des études ou directement par l’engagement personnel dans le travail ou dans une idée.

Ceux-là me sont sympathiques, et immédiatement j’imagine leur désarroi lorsque, ayant vaincu le signe indien, après travail et galères, on va leur dire une fois accédés au confort matériel : “Par ici la monnaie, nous allons redistribuer le fruit de tes efforts à tes anciens amis qui n’ont pas eu ta chance et sont restés à rien foutre dans leurs canapés à regarder la télé ou leur téléphone…”

La redistribution

Eureka, c’est la base que je cherchais, le monstre qui nous dévore. Devenu sacrée, indiscutable et cependant drogue de mort.

La redistribution constitue un crime contre l’humanité.

Sournoise elle prétend faire le bien, elle cherche à se confondre avec la charité, avec l’aide due aux éclopés de la vie, mais ce n’est pas le cas.

Elle tourne à plein régime, cela n’empêche pas la misère et la honte des laissés pour compte dans la rue.

La redistribution ne satisfait que la haine de la réussite, la jalousie. Contrairement à ce qu’elle annonce elle entrave lourdement, moralement et matériellement, l’assistance aux personnes en danger. Elle confond volontairement les dangers de la faim, de la maladie au profit de la consommation inutile, perverse, non gagnée.

Elle dévore le capital qui manque alors à l’économie, elle enrichit indument ceux qui, si nombreux, se targuent de la gérer, de la redistribuer.

Si j’avais à défendre une campagne électorale, je ne promettrais que cela, la fin de la redistribution.

Je la remplacerai par une aide concrète et efficace à ceux qui sont vraiment dans la peine, ils ne sont pas si nombreux. Pour les autres je leur conseillerais la case travail, engagement, responsabilité, mérite.

La redistribution c’est l’injustice, la certitude de se tromper, de prendre aux travailleurs pour alimenter les fainéants, quel que soit le niveau d’intervention.

Au début étaient la mutualisation, l’association ouvrière, les syndicats, pour équilibrer les rapports et partager équitablement les fruits du travail.

Puis s’est substituée à ces organisations respectables la redistribution, cette crapule, pilleuse en bande, assassine de l’économie, destructrice du lien social, amplificatrice de la haine, de la jalousie, de la délation, autant de maladies graves de la société.

Le partage du bénéfice, ça se discute, entre hommes de bonne volonté, ça ne se redistribue pas aveuglement par l’intermédiaire d’hommes de mains.

La base de nos maux est donc pour moi : LA REDISTRIBUTION

Nous en reparlerons. Bien à vous. H. Dumas

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Transition énergétique : les moulins de la faillite

Nous avons vu que l’écologie est une idéologie construite et parfaitement préméditée.

On a donc décidé idéologiquement de se débarrasser du carbone et de se tourner vers d’autres formes d’énergie sans mesurer les conséquences de cette décision car, il ne faut jamais perdre de vue que l’économie c’est de l’énergie et que nous avons besoin d’une énergie abondante, stable et bon marché pour que le pays puisse fonctionner, que ce soit pour les machines ou les moyens de transport et payer les salaires !

Nous avons fait exactement l’inverse avec une transition énergétique qui va raréfier et renchérir le cout de l’énergie !

On pourrait comprendre le remplacement rapide du pétrole et du gaz en cas de risque de disparition prochaine et rapide de ces derniers. Mais ce n’est même pas le cas, il y a du pétrole et du gaz en quantité … sauf que l’on dissuade désormais les compagnies pétrolières de poursuivre leurs recherches de nouveaux gisements ; ce qui va évidemment aboutir inéluctablement à une pénurie et à un renchérissement du cout de l’énergie !

La pénurie de gaz et de pétrole à venir sera donc provoquée et nous nous retrouverons alors pris au piège d’un mécanisme dont il sera très difficile de sortir !

L’un des symboles de ces errances est la persistance à vouloir implanter des éoliennes alors qu’on ne manque pas de spécialistes pour effectuer toutes les études de rentabilité et de faisabilité des infrastructures de production d’énergie.

On savait donc, dès le départ, que les éoliennes ne fonctionnaient pas suffisamment pour alimenter le réseau ; mais on l’a fait quand même en dépensant des centaines de milliards, ces dernières années parce qu’on est parti de l’idée, complètement farfelue et anti scientifique, d’une énergie gratuite et inépuisable parce que … « du vent et du soleil, il y en aura toujours » !

Sauf que ça ne fonctionne pas comme cela :

-le rendement des éoliennes n’est pas bon et les marges de progression de ce rendement sont extrêmement faibles (il existe des calculs mathématiques très précis à ce sujet). On bute donc sur un plafond et on ne pourra pas faire beaucoup mieux.

-du vent il n’y en a pas tout le temps et le taux de charge des éoliennes est, au mieux, de 20%. Cela signifie que pendant 80% du temps elles ne produisent rien ou si vous préférez, elles ne produisent rien pendant 4 jours sur 5 … dans le meilleur des cas !

-les couts de production, quoiqu’en disent les écolos, sont beaucoup plus élevés que pour une centrale nucléaire parce qu’un moulin à vent ne produit finalement pas grand-chose et qu’il en faut des quantités énormes pour espérer avoir un peu d’électricité … les jours de vent !

-l’empreinte écologique est catastrophique puisqu’on sait que les pales usagées sont enfouies faute d’être recyclables et que les socles en béton (800 tonnes de béton ferraillé) sont là pour l’éternité !

-les éoliennes fournissent, par nature, un courant instable et aléatoire ce qui a contraint EDF à mettre en place de couteuses structures d’adaptation du réseau pour éviter le black-out par effet de domino,

C’est encore pire avec les panneaux solaires qui produisent peu et pendant peu de temps et essentiellement l’été ; mais on continue à en installer y compris dans des lieux où il y a peu de soleil … ce qui est complètement idiot !

Et aujourd’hui, parce qu’on n’a pas suffisamment investi dans des moyens de production stables et pilotables (centrales nucléaires), nous nous retrouvons avec un parc insuffisant, qu’il faut aussi entretenir (ce qui provoque des arrêts importants), l’obligation de recourir au gaz et même au charbon pour produire les jours de vent insuffisant ou encore d’importer du courant d’Allemagne dont on sait qu’il est produit à partir de centrales au charbon.

Vous pouvez vous en rendre compte par vous-mêmes en consultant le site de RTE qui montre, en temps réel, la production d’électricité.

Le 18 janvier 2022, à 12h00, nucléaire, gaz et hydraulique produisaient 93% de l’électricité. Le reste était donc anecdotique si ce n’est, et cela l’est beaucoup moins, que nous importions, ce jour-là, 4.500 Mw d’électricité, essentiellement d’Allemagne (donc produite avec du charbon).

Le 25 janvier à 8h00 nucléaire, hydraulique et gaz produisaient encore 93% mais comme il a fait plus froid, on a importé encore plus d’électricité (5919 Mw) !

Le constat est toujours le même : les énergies dites renouvelables sont, bien souvent, insignifiantes ce qui prouve, résultat à l’appui, qu’elles ne servent à rien en dépit des sommes dépensées ; avec un effet induit imparable : on est obligé de compenser les trous de production avec du charbon et du fioul parce que personne ne pourrait accepter de n’avoir de l’électricité qu’un jour sur cinq !

Conclusion qui s’impose : un moyen de production d’énergie qui ne produit rien … ne sert à rien ou bien alors il sert à autre chose (clientélisme électoral, capitalisme de connivence).

Un « mauvais esprit » estimera même que cet argent « investi » dans ces énergies renouvelables a en fait été dépensé en pure perte … sauf pour certains industriels et intermédiaires qui ont pu faire leur beurre sur votre dos puisque vous payez ces engins inutiles par le biais de la CSPE (contribution au service public de l’électricité) dans votre facture d’électricité et à travers le mécanisme de la taxe carbone.

La question incorrecte qui vient fatalement à l’esprit est : Combien de centrales nucléaires aurait-on pu construire avec l’argent dépensé inutilement avec les éoliennes ?

Et le gouvernement, pris dans le piège d’une transition énergétique ratée, se trouve dans désormais l’obligation de mettre la pression sur EDF pour la forcer à brader le prix de l’électricité et à vendre à perte ; quitte à mettre l’entreprise en difficulté !

Tout vient du fait que l’on sait que la concurrence ne peut jouer qu’au niveau de la production ; et nos élites fonctionnaires ont cru qu’il serait possible de créer un système concurrentiel de production d’électricité à base d’énergies alternatives dans un pays où EDF a le monopole absolu.

Cela ne s’est pas produit puisque ces énergies renouvelables ne produisent rien ou si peu ; et cela s’est aggravé avec l’envolée récente des cours de l’énergie !

De ce fait, EDF est confrontée à une équation impossible entre financer la rénovation du parc existant, construire de nouveaux réacteurs, gérer les énergies renouvelables qui lui ont été imposées et brader son courant électrique à ses concurrents.

Car, pour faire semblant qu’il existe un marché concurrentiel, EDF est contraint de vendre de l’électricité à perte à ses concurrents ; c’est à dire que l’on a créé une concurrence artificielle en pillant EDF !

Mais attention, il ne faut surtout pas y voir un effet du libéralisme ou de la concurrence car c’est très exactement un effet direct de décisions particulièrement inopportunes prises par l’administration !

C’est donc bien un effet de l’étatisme qui a amené à cette situation ; situation à ce point grave que même le personnel d’EDF commence sérieusement à s’inquiéter des mesures électoralistes du gouvernement E Macron.

Le cout de ces mesures sera colossal et met en péril l’entreprise qu’il faudra évidemment un jour recapitaliser avec … vos impôts !

Le paradoxe de cette situation est que, pourtant, les autorités poursuivent imperturbablement leur politique d’orientation contrainte du marché vers le tout électrique avec l’interdiction des chaudières au fuel et au gaz  et qu’elles tentent, en plus, de convertir l’ensemble du parc automobile à la propulsion électrique … sans savoir si on pourra effectivement alimenter tous ces appareils.

La transition énergétique, avec son développement des éoliennes et les fermetures de centrales nucléaires en état de fonctionnement (Fessenheim), s’avère en fait être un énorme échec dont l’effet le plus visible, avant des coupures d’électricité d’ores et déjà annoncées voire même un futur black-out traduisant une fragilisation du réseau, est l’envolée des factures d’électricité ; bien que la propagande officielle tende à vouloir occulter cette vérité en manipulant les chiffres et les données

Le gouvernement fait n’importe quoi mais c’est vous qui paierez alors qu’il apparait pour le moins nécessaire que nos ministres fonctionnaires expliquent aux contribuables et électeurs qui va payer cette transition énergétique dont on n’avait pas besoin.

En tout état de cause, il faut être conscient que nous nous acheminons vers une écologie élitiste car le système qui va se mettre en place, à vos dépens, sera un système totalement réservé à ceux qui auront les moyens ; même si certains écolos se sont engouffrés dans le déni en expliquant qu’il ne s’agissait pas de vivre moins bien mais de vivre mieux !

La future réalité sera que si vous n’avez pas d’argent vous serez écolo par obligation car, faute de moyens, vous devrez vous passer de tout un tas de choses qui ne seront plus autorisées par l’élite comme nous le verrons dans un prochain article.

Cela ressemblera beaucoup à cet aphorisme de Coluche « Dites-moi de quoi vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer ».

Je ne suis pas sûr que l’on puisse y voir un progrès tout comme  je ne suis pas sûr que la population l’accepte longtemps !

À suivre …

Bien cordialement à tous !

Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.

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L’Administration détourne 200 milliards € par an

L’Administration détourne 200 000 000 000€ (200 milliards €) par an en frais de fonctionnements inutiles. Il ne s’agit pas d’un simple relâchement coupable, mais d’une ponction dévastatrice des forces vives du pays. Ce fait politique majeur, dont personne n’osera parler, sera en creux au centre de l’année électorale qui s’ouvre.

32% de frais de fonctionnement

Je cherchais ce chiffre depuis longtemps. Dans un rapport publié par l’Institut Montaigne en  Mars 2019, Jean-Ludovic Silicani, haut fonctionnaire, ancien Commissaire à la Réforme de l’Etat, nous l’a enfin dévoilé : notre pays consacre 18% du Produit Intérieur Brut (PIB), c’est à dire de la richesse créée par le pays, à payer le personnel administratif, les bureaux et les autres frais de fonctionnement de son Administration (ordinateurs, téléphones, automobiles, frais de représentations, consultants, etc.). Comme la dépense publique représente 56,4% du PIB, ça veut dire que 32% de nos impôts et des dettes que nous accumulons servent à payer ses frais généraux.

Le reste sert véritablement à quelque chose : 57% de la dépense publique vont aux dépenses dites « d’intervention », c’est à dire les diverses aides, subventions et transferts sociaux accordés aux particuliers, associations et entreprises, 7% sont des investissements et 3,5% environ servent à régler le coût de la dette.

Alors, 32%, soit 413 000 000 000 € de frais de fonctionnement par an (chiffre 2017), c’est beaucoup ou pas ?

L’Administration détourne 200 milliards

  • L’Etat lui-même a établi un standard (pour les autres) : 15%. Suite au scandale des dépenses somptuaires de la Ligue contre le Cancer payées avec les dons, il a en effet établi que les frais généraux d’une association d’intérêt général ne pouvaient pas dépasser ce chiffre.
  • On estime que les frais de fonctionnement public en Allemagne s’élèvent à 8-10% du PIB, soit en environ moitié moins qu’en France.

Réponse : 32% c’est au moins deux fois trop. 200 000 000 000 € (200 milliards) de trop.

Ces 200 000 000 000€ de trop, c’est 3 fois le budget des Armées, 17 fois celui de la Justice, 40 fois celui de l’Agriculture.

En frais de personnel et de fonctionnement inutiles.

Chaque année !

Une méthode de dissimulation éprouvée

Pour nous cacher ce détournement, l’Administration, avec la complicité active de la presse officielle, a mis en place différents discours :

  • Les frais généraux sont un mal nécessaire (ce qui est vrai mais pas à ce niveau)
  • Si vous critiquez l’administration, c’est que vous êtes un être primaire qui n’aime pas les fonctionnaires ! (sans commentaire)
  • Tout est transparent : lisez les dizaines de milliers de rapports et de pages de sites internet (ce qui est vrai, la complexité servant ici d’opacité),
  • L’administration fait des efforts de réduction de coûts (à part réduire les prestations au public c’est faux).

Si vous n’êtes toujours pas convaincus, arrive l’argument massue : vous remettez en cause le contrat social, la nécessaire solidarité, la protection des plus faibles, la redistribution etc.  Vous êtes un égoïste au cœur de pierre qui tourne le dos au bien commun !

Nous y voici : la classe dominante, mandarinale, confond son intérêt de classe avec l’intérêt général. Paraphrasant la grande General Motors des années 1960 aux Etats-Unis, voici son slogan : ce qui est bon pour l’Administration est bon pour la France !

Et puis, si vous n’êtes pas d’accord, on fait grève.

Un détournement fiscal mortel

Des frais de fonctionnement au standard international (10% de PIB), ça signifierait :

  • La fin des déficits publics qui sont de 3 à 6% du PIB (hors COVID), soit beaucoup moins que les détournements de l’Administration,
  • Une baisse de tous les impôts de 15% à 18% (TVA, charges sociales, etc.),
  • Alternativement, à imposition égale, des dépenses d’intervention augmentées de 200 milliards : une éducation nationale plus performante, une administration de la santé qui fonctionne (enfin), des capacités de défense largement supérieures, des minimas sociaux plus confortables, etc., vous pouvez rêver !
  • Ou, dans la pratique probablement, un mix des deux.

Une sale histoire d’argent qui détruit le pays

La gauche réclame plus d’impôts pour plus de redistribution, la droite moins d’impôts pour soutenir la compétitivité des entreprises. Ces deux discours teintés d’idéologie ne prennent pas en compte la réalité toute simple : notre Administration détourne des sommes gigantesques au profit de son clan et prive ainsi le pays de ses ressources et de son énergie créatrice.

Il ne s’agit pas juste d’un dépassement coupable, mais bien d’un détournement de fonds débilitant qui détruit l’économie, l’emploi, le lien social, le consentement à l’impôt, la redistribution et la protection des plus faibles. Sans compter que la dette abyssale qu’elle nous met sur le dos signifie, à terme, la perte de notre indépendance nationale.

Comme un trou noir qu’on ne veut pas voir, l’Administration française aspire et détruit tout sur son passage, et d’abord la France.

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Le pouvoir des ventres vides

Notre iconoclaste Ministre de l’économie et des finances nous récite que nous venons de faire 7% de croissance en 2021, alors que nous étions à moins 8% en 2020. Pour le principe : 100 divisé par 1,08 = 92,59. Puis 92,59 multiplié par 1,07 = 99,07 . Une simple règle de trois nous permet d’établir que nous ne sommes pas dans de la forte croissance de Mr Le Maire.

Il y a par ailleurs de l’inflation incontestable, pour se nourrir, se chauffer, bref les besoins situés dans le bas de la pyramide de Maslow de bons nombre d’entre nous, et plus surtout dans celle des nantis de la redistribution, celle de ceux qui ne percolent plus que pour recevoir un chèque de cet Etat qui prospère par ainsi. 

Puis vient notre déficit budgétaire, notre balance commerciale vis-à-vis de l’étranger en import-export constamment déficitaires, notre taux de prélèvement obligatoire au top mondial sur la création de richesses, puis enfin parce que cela ne suffit pas notre emprunt endémique vis-à-vis de l’extérieur.

Cette croissance annoncée est un faux nez pour nous situer en réelle décroissance. Pas la peine de se battre avec des tableurs Excel et des graphiques qui montrent l’évidence.

Autrefois, nous avions les Gilets-Jaunes « canal historique » pour poser la question où passe leur pognon de dingue … Où sont-ils passés alors qu’ils auraient dû se réveiller ?

Silence … Il est vrai que le QR Code est passé par là, pour restreindre l’individu dans une optique de groupe dont il va falloir devoir prendre peur d’une démocratie ou de plutôt son absence, par un outil, la numérisation …

Nous sommes dans une intersection de notre vie future entre Dark Vador qui prospère et régule, un totalitarisme déguisé en poupée de soie, et notre virgule puis forcément notre rébellion, tant que possible …

C’est à nous !

Bien à vous !

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Tout a été dit, mais tout n’a pas été fait.

Je pense même que tout reste à faire, seul compte l’avenir, c’est de lui et non du passé que dépend notre présent.

Contrairement à ce qui est largement répandu l’histoire n’apporte aucune aide à la compréhension du présent, ni à l’analyse du futur. Sauf dans le cas ou la situation est stationnaire et se reproduit à l’identique, ce qui est une rareté.

La masse de l’humanité est assez semblable à un vol d’étourneaux, elle s’envole collectivement à chaque émotion ou crainte, ses “murmurations” n’ont aucun chef, aucun commandement. La différence tient au fait que chez les étourneaux personne ne fait semblant de décider, alors que chez les hommes il est toujours un ambitieux qui fait mine de comprendre ou d’être à la base de l’envolée dans l’espérance de capter ensuite le pouvoir, qui conduit à la femme… enfin qui conduisait à…

A partir de ce constat, tout s’explique.

Le professeur Raoult, dont j’apprécie l’intégrité morale et la mesure, sera oublié rapidement. Pourtant il a tellement raison. Sa dernière vidéo est si claire.

Cependant il lui manque un petit truc : ce ne sont pas les hommes politiques qui décident, c’est l’opinion publique qu’ils épousent au plus près à coup de sondages journaliers – qui d’ailleurs vont peut-être valoir la prison à Sarkozy tant ce garçon en était friand –.

L’opinion publique est ce qu’elle est parce qu’elle ne garde aucune trace de ses erreurs, donc elle ne récompense jamais ceux qui les lui montrent.

Le professeur Raoult a peut-être cru que le fait d’avoir raison lui vaudrait une gratification, au moins morale, mais il a récolté le contraire. Il apprend sur le tas qu’en politique le pouvoir se prend, il n’est jamais donné, et la reconnaissance des autres étant une forme de pouvoir elle n’est jamais donnée non plus, il faut aussi la prendre.

Si l’opinion publique n’a pas une ligne de conduite, une morale, elle est prête à tous les excès : pillages, lynchages, délations, rumeurs non fondées, exclusion des minorités, esclavagisme des faibles, servilité envers les plus forts, et bien d’autres cochonneries qui font son charme.

Voyez Bourdin.

Voilà un homme sérieux, clairvoyant, qui n’a pas la langue dans sa poche – nous ne sommes pas les seuls à le constater, parait-il – qui est rigoureux, ne s’en laisse pas conter, qui épouse l’opinion publique, sa sagacité, son intransigeance, ce qui lui vaut une notoriété affirmée. Soudain, patatras, il est soupçonné. Du pire. Il devient le “soupçonneux soupçonné” grave. Le château de sable de sa vie s’écroule, comme celui de ceux qu’il dénonçait. Son épouse est effondrée, on la comprend.

Voyez Poutine.

Il a en marre de vendre une poignée de pois chiches ses matières premières à une bande de snobs qui le prennent pour leur larbin mal dégrossi, à la tête d’une nation d’alcooliques. Alors il s’associe avec Xi Jinping qui lui en a marre de fabriquer presque à l’œil des produits que ses acquéreurs se revendent entre eux la peau du cul, se partageant sans vergogne le bénéfice  de son travail.

L’opinion publique est de leur côté. Elle n’aime ni ses snobs ni ses commerçants qui la font pourtant vivre grassement. Donc, ça va péter. L’opinion publique n’attend que ça, elle criera maman plus tard…

L’opinion publique

Elle refait irrémédiablement les mêmes conneries, elle n’aime que détruire.

Paradoxalement elle n’existe pas, elle n’est qu’un fantasme issu de l’oisiveté. Celui qui s’occupe à plein temps n’a pas d’opinion, il n’en a pas le temps.

Heureux les passionnés, inaccessibles à l’opinion publique.

Pour les autres il n’est que deux solutions :

          – 1 – La brisure constante du groupe, sauf urgence vitale. Ce sont les lumières de la révolution. La liberté individuelle, dont l’exigence impose de ne pas s’occuper des affaires des autres et de limiter les siennes pour qu’elles n’empiètent pas sur les leurs.

          – 2 – La soumission à un homme ou à une organisation qui utilisera le pire de l’opinion publique pour prendre le pouvoir et la brisera ensuite à son seul profit.

Elle n’est pas ragoutante l’opinion publique, et pourtant tous les hommes de pouvoir la traquent, dans ses moindres recoins. C’est le revers de la démocratie.

Elle n’est pas très intelligente l’opinion publique, elle se laisse facilement manipuler. Mais, dans le fond, elle s’en fout, quoiqu’il arrive elle survit. Après cent millions de morts l’opinion publique reste religieusement communiste, égalitariste.

Après 2 000 ans de sévices moraux, l’église est toujours une favorite de l’opinion publique, il en est même qui croient que l’inquisition était le fait des inquisiteurs, alors qu’elle était portée par l’opinion publique qui se délectait de ses accusations.

Alors pour en revenir au titre de ce billet : tout a été dit en effet.

Mais tout n’a pas été fait, il reste une chose à faire : respecter la liberté de l’homme, même quand il doit se regrouper pour survivre.

Faire mentir Yuval-Noah-Harari. Oui jusqu’à aujourd’hui les hommes ont été regroupés à l’aide de mensonges. Sortons de ce cycle infernal. Ce sera peut-être l’apport majeur d’internet et des réseaux sociaux à terme. Enfin, on peut toujours l’espérer.

Bien à vous. H. Dumas

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La France victime de ses médias !

La France victime de ses médias !

D’où vient le sentiment religieux ? Evidemment de la peur. C’est l’origine des sacrifices humains, destinés à apaiser la colère des dieux. L’humanité a mis longtemps à les abandonner en leur substituant un bélier. Et le Christ lui-même s’est offert en sacrifice pour sauver les hommes.

Il n’empêche que, sur terre, presque tout le monde a peur. Et quand une religion n’est pas là pour calmer les angoisses, on en invente une d’urgence.

Tel est le cas de l’écologie. Il s’agit de « sauver la planète » en s’empêchant de vivre, ce qui est le pari de toutes les religions. L’écologie multiplie les interdits et tente de faire honte à ceux qui ne les respectent pas. Jusque là, rien de nouveau. Mais là où l’écologie se surpasse, c’est quand elle invente des prophètes inspirés, parfois très jeunes comme Greta Thunberg, qui nous fait revivre les sorcières de Salem. Ce n’est pourtant rien à côté de l’immense apport de l’écologie à la psychiatrie. Désigner des cibles parmi l’humanité, c’est satisfaire l’irrépressible besoin de haine qui emplit le cerveau de l’homme.

On retrouve cette fonction dans la doctrine sanitaire, qui est devenue une dictature alors qu’elle était justifiée historiquement quand il s’agissait de faire échapper l’humanité aux virus par la vaccination. C’est ce qui s’est passé dans la pandémie du coronavirus. Certains y ont vu une occasion rêvée de retrouver leur pouvoir sur les individus, mis à mal par l’épanouissement de l’individualisme moderne depuis les Lumières. Et quand on parle de « certains », il s’agit forcément de ceux qui exercent le pouvoir et se heurtent à l’esprit d’indépendance et de liberté si difficilement acquis lors des derniers siècles.

En France, on s’est surpassé. Il faut dire que notre pays est celui où règnent l’autoritarisme et le mépris du droit le plus avéré du monde, même en y incluant certaines dictatures. On n’a jamais vu, où que ce soit sur la planète, des technocrates aussi bornés et sûrs d’eux que chez nous. Après des décennies d’échecs, ils viennent vous expliquer que jamais on n’a créé autant d’emplois dans notre pays grâce à l’ampleur des fonds débloqués (c’est-à-dire volés aux citoyens). Et pas un seul instant ils n’avouent qu’il s’agit d’emplois artificiels, qui s’évanouiront sitôt la pluie de subventions interrompue.

Ils veulent absolument avoir sauvé le pays du virus, alors qu’il devient chaque jour un peu plus évident que la vaccination généralisée n’était qu’un leurre. Quand on pense qu’Israël, donné en exemple de démocratie et d’efficacité, doit avouer qu’il a vacciné à tout va …pour rien ! Un tel aveu est inimaginable en France où M. Macron s’est donné il y a quelques jours ce programme: « Vacciner, vacciner, vacciner ! ».

Mais l’essentiel est atteint pour nos gouvernants : ils ont fourni sa ration de haine au peuple. ll faut voir sur les plateaux de télévision les vaccinés fanatiques haranguer la bave aux lèvres les rétifs, qu’ils ne laissent même pas expliquer qu’en refusant l’universelle piquouse ils n’augmentent pas la contamination, puisque celle-ci se fait tout autant par les vaccinés.

On n’est même plus certain que les cas graves épargnent les vaccinés, puisqu’il semble que le facteur déterminant soit le surpoids et l’immunodéficience. Mais quoi qu’il en soit la stratégie raisonnable aurait consisté à laisser à chacun, en liaison avec son médecin, le choix de se vacciner ou non.

Tout le monde est en train de comprendre, en France, que le gouvernement n’avait pas pour ambition de combattre le virus, mais d’empêcher le Pr Raoult de se vanter d’avoir vaincu l épidémie, alors que « le savant de Marseille » ne prétendait à rien de tel et se tenait à l’écart de la politique. L’aberration du tout vaccinal n’était possible que dans un pays qui a perdu ses repères et où le pouvoir n’a plus de légitimité ni d’autorité. La France répondait à tous ces critères, les Français n’ont pas fini de le payer.

Plus que jamais, les médias concentrent la colère du peuple. Les folies du pouvoir n’auraient pas résisté à des débats télévisés dignes de ce nom. C’est une leçon pour la suite des évènements. Nous réclamons des médias dignes de la France, où il n’y a pas que deux dizaines d’amuseurs de plateaux télévisés, mais bien des centaines d’intellectuels et de savants capables de démêler le vrai du faux et dotés d’une morale universitaire qui les met à l’abri de la corruption des esprits.

« Je ne possède que mon cerveau », disait le général de Gaulle. Cela n’était déjà pas si mal !

Claude Reichman

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COVID, après l’emmerdeur l’enfumeur

 Après l’emmerdeur l’enfumeur

COVID un mensonge d’État.

Le 20 janvier 2022 Jean Castex nous a gratifié d’un discours d’anthologie en matière de langue de bois et de propagande.  Il serait trop long d’en faire l’analyse exhaustive mais il est intéressant de relever les principaux points.

Le pire pour un politicien : ne rien faire.

Castex confond volontairement « faire quelque chose » avec « ce que fait » le gouvernement, et « ce que fait » le gouvernement avec « ce qu’il faut faire ». Autrement dit si l’État ne faisait pas, rien ne se ferait. L’intervention étatique est inévitable, bénéfique, et« ce que fait » le gouvernement est la seule stratégie possible. Rejeter cette stratégie c’est « ne rien faire » contre l’épidémie. En vérité Castex confond « le gouvernement et la société » comme l’écrit Bastiat dans La loi.

Il oublie que, jusqu’à cette première qui est la confiscation par l’État de la prise en charge d’une épidémie, les médecins n’ont jamais attendu les ordres de l’Autorité Centrale pour soigner les gens.

Au début personne ne pouvait dire si le SARS-coV2 était anodin ou grave. Il était nouveau. Cependant, il est vite apparu qu’il était peu meurtrier, et surtout qu’il existait des populations à risques de complications, et d’autres où ces risques n’existaient pas. Le virus peut-être anodin pour les uns et pas pour les autres, ce qui aurait dû être une indication à une prise en charge différenciée.

Coronavirus vs grippe

D’abord la grippe n’a rien d’anodin. Il faut noter que l’Institut Pasteur parle de « surmortalité ».

La comparaison avec les chiffres de grippe que fait Castex peut être interprétée différemment.

Il serait possible d’en déduire qu’une épidémie avec un virus respiratoire, « pas anodin », qui mute, bien prise en charge …parce que médicalement, est moins nocive qu’une épidémie liée à virus respiratoire , « pas anodin », qui mute, mal pris en charge… parce que politiquement.

Les épidémies de grippes sont, à quelques détails près, plutôt bien gérées par les médecins. Le gouvernement ne s’en mêle pas, ou peu, il laisse les médecins travailler. Les populations cibles sont identifiées et particulièrement bien prises en charges. En résumé quand le gouvernement se mêle peu, ou pas, d’une épidémie les résultats sont meilleurs.

On ajoutera que les hôpitaux étaient déjà saturés lors d’épidémies de grippe, que les politiciens savaient. Il est alors facile de comprendre pourquoi le système a été complètement débordé en mars 2020. Mais il est difficile de comprendre pourquoi aucune mesure de correction n’a jamais été prise. Aucune mesure de précaution n’a jamais été décidée pour anticiper une épidémie plus importante. L’État a fermé des lits depuis des années et a continué pendant l’épidémie. Ce qui est une faute gravissime.

Rappelons que, pour la grippe, la vaccination est non obligatoire mais recommandée aux personnes à risque, avec un vaccin éprouvé, très bien supporté et qui a obtenu son AMM normalement. Pour les COVID, c’est une vaccination de masse, sans cible, ni objectif médical précis, obligatoire dans les faits, avec un dit « vaccin »qui ne confère pas d’immunité fiable (encore moins que la grippe), utilisant une technologie jamais essayée dans ce domaine chez l’homme, et qui a obtenu une AMM provisoire dans des conditions douteuses.

Rappelons qu’il n’y a pas d’indication vaccinale pour quelqu’un qui a fait la maladie. Il ne vient à l’esprit de personne de vacciner un grippé guéri. Il est obligatoire de revacciner un COVID guéri depuis plus de quatre mois. Pour le vaccin contre la grippe les laboratoires son responsables des éventuels dommages. C’est beaucoup plus flou pour le vaccin contre la COVID.

Vaccination le naufrage

Toutes les modélisations de l’épidémie, depuis celle de Niel Ferguson début 2020 se sont révélées erronés. En ce qui concerne l’épidémie actuelle, en novembre 2021, « l’Organisation mondiale de la Santé s’alerte de la flambée des contaminations en Europe et redoute 700.000 morts supplémentaires du Covid-19 d’ici au printemps » On sait ce qu’il est advenu dans la vraie vie : beaucoup de tests positifs et très peu de morts.

Ce n’est pas la vaccination qui a changé la donne. C’est l’Omicron. Le gouvernement s’attribue les améliorations sanitaires liées à l’évolution naturelle de l’épidémie. L’Omicron est peu dangereux. Il semble aussi être moins dangereux que le Delta pour les personnes à risques. Il faut rester prudents.

Il y a beaucoup de tests positifs mais très peu de malades et encore moins d’hospitalisés. « Il reste que la fréquence des entrées en soins critiques pour Omicron reste beaucoup plus faible que celle observée pour Delta, quel que soit le statut vaccinal. » De plus les vaccins sont encore moins efficaces vis à vis de ce variant. 

« Si nous avons pu traverser ces dernières semaines, avec des centaines de milliers de contaminations chaque jour et des hôpitaux qui ont tenu, ce n’est pas le fruit du hasard. C’est parce que nous avons pris les bonnes décisions, parce que nous sommes massivement vaccinés et que nos vaccins restent extrêmement protecteurs. » Merci. La vérité est différente. Le tout coercition n’est pas une bonne décision.

Le tout vaccinal non plus, la vaccination de masse ne sert à rien, le vaccin n’est pas protecteur.

L’État ne parle plus d’atteindre d’immunité collective avec la vaccination. Ce n’est pas possible. Il y en a plus de 5000 espèces de coronavirus, il y a un immense réservoir animal, les coronavirus mutent sans cesse, la durée et la qualité de l’immunité naturelle sont inconnues, celles de l’immunité vaccinale sont hypothétiques. La durée de l’immunité n’est plus définie médicalement validée ,ensuite administrativement. Elle est uniquement administrative. Elle change constamment au gré des caprices des politiciens, pourvu que l’on vaccine.

Plus de 5600 souches de SRAS-coV2 ont été isolées. Les nouveaux variants échapperont à la vaccination comme y échappe déjà Delta, et davantage encore Omicron. Il faut dire que le vaccin est basé uniquement sur la Spike, souche Wuhan, disparue il y a presque deux ans.

Au départ le vaccin a été vendu par la propagande comme empêchant la maladie.  Puis cela a été piteusement revu à la baisse avec un « protège les autres ». Pour terminer par un tristounet « prévient les formes graves ». Castex s’accroche à la « moindre gravité grâce au vaccin » comme le naufragé à sa planche. Si cette assertion est démentie par les faits tout s’effondre. La vérité apparaîtra nue : la vaccination de masse obligatoire est un naufrage qui aura fait beaucoup de victimes et de dégâts..

 

En réalité, que la vaccination évite les cas graves est bien moins évident que ne l’affirme Castex. Il ne dit rien les travaux qui sous tendent cette assertion. Il n’est pas précisé qui sont ces personnes, ni leurs comorbidités. Rien n’est indiqué des traitements dont elles ont bénéficié, ou pas, au début de leur infection. Or, les personnes hospitalisées, vaccinées ou pas, ont le profil « à risques ». Vaccinés ou pas vaccinés ceux qui meurent sont les mêmes.

Ce n’est donc pas l’absence de vaccination qui induit l’hospitalisation mais l’existence de facteurs de risques.

Vacciner n’est pas un but en lui même. Ce n’est pas la contamination qu’il faut éviter, c’est la maladie et les cas graves. Les enfants de 5 à 11 ans ne sont pas la cible. Les jeunes de plus de 16 ans non plus. Il n’y a aucun bénéfice à les vacciner mais seulement des inconvénients.

Israël, pays « modèle » pour les « vaccinophiles à tout va », malgré une troisième et une quatrième vaccination, n’a jamais eu autant de cas.

 

L’efficacité du vaccin sur le contrôle de la maladie n’est pas convaincant. Presque 10 milliards de doses ont été injectées et il y a plus de cas que jamais.

Si l’on regarde la carte des pays du monde où la population est la plus vaccinée.

https://ourworldindata.org/coronavirus

Elle se superpose exactement à la carte des pays où l’épidémie est la plus forte. Il faut remarquer que la France est deuxième au monde en nombre de cas

h ttps://coronavirus.jhu.edu/map.html

Certes comparaison n’est pas raison mais il y a de quoi à se poser des questions.

 

Article paru dans Contrepoints

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Le destin des hommes

Participant à un stage de récupération de points de permis de conduire, j’ai eu la surprise de passer deux jours intenses et passionnants.

De points et de conduite il n’a été que peu question.

Les animateurs, probablement poètes et humanistes dans une autre vie, ont entrainé vingt personnes, que rien ne liait hors une délinquance routière mineure, dans une réflexion sur elles-mêmes qui a laissé apparaître beaucoup plus de points communs que de différences, alors que les apparences sociales, ailleurs, auraient naturellement poussé au conflit.

Vingt êtres humains ont pris conscience, l’espace de deux jours, que leur condition d’homme est plus forte que leurs différences, une émotion probablement oubliée aujourd’hui, alors que tout cela se passait hier.

Des discussions se sont spontanément ouvertes, tout particulièrement une sur l’évolution vue par Darwin, excusez du peu…

Depuis j’y songe.

Pas question, en ce qui me concerne, de nier l’évolution visiblement présente en tout sur cette terre, mais je me questionne sur sa direction.

Ce que l’on nomme la sélection naturelle va-t-elle vraiment dans le sens du mieux quel qu’en soit le prix, ou est-elle erratique et n’a pas de sens déterminé, ou pire va-t-elle inexorablement dans le sens du moins ?

En tant qu’unité humaine, pour chacun de nous l’évolution va dans le sens du moins, puisque partant vivants nous finissons morts. Pas besoin d’un dessin…

En tant que groupe ?

Ma connaissance approfondie des groupes tient en trois villes : Rochefort sur mer, Sète et La Rochelle, dans lesquelles j’ai été suffisamment proche du pouvoir décisionnel pour avoir ma petite idée de comment il se met en place et ce qu’il décide ensuite.

D’abord sa mise en place.

Curieusement, elle n’a aucun lien avec la compétence. Les compétiteurs sont choisis sur des critères liés aux soucis personnels de leurs électeurs, à leur affect, à leurs intérêts, autant de raisons qui ignorent complètement les besoins de la collectivité. Au final, élire une personne compétente est un pur hasard, y compris pour l’élu lui-même qui ne s’engage pas parce qu’il se sent compétent mais parce qu’il veut être aimé, reconnu. En clair l’intuition nécessaire au commandement n’est ni recherchée, ni prise en compte par la démocratie. Par les autres organisations de sélection non plus.

Ensuite l’exercice du pouvoir. Alors là, descriptions :

A Rochefort sur mer l’élu que j’ai connu a passé sa vie politique à flatter les électeurs au détriment des intérêts de la cité. Décédé aujourd’hui, il est passé à côté de la mutation du commerce dans les années 1970, il a raté la mutation économique de sa ville en s’appuyant sur l’armée intensément présente qui a fait défaut, en échouant dans la mutation de sa station thermale qui avait les moyens d’un destin national fort, en se noyant dans la technocratie des dépenses sans savoir lui associer les rentrées nécessaires à l’équilibre. J’ai vainement fait remarquer tout cela en son temps, j’ai récolté l’opprobre.

A Sète l’élu que j’ai connu a été une étoile filante, il avait la compétence et l’intuition nécessaire, il n’a pas été apprécié pour cela mais pour sa rigueur, qui a rapidement lassé. Son successeur, ventouse indéracinable, a commis les erreurs fatales, il est toujours là. Parmi ces erreurs la pire est de s’être laissé déposséder de son port, parti sous la coupe de la région alors qu’il représente la vie et l’espace principal de la cité. Les Sétois ne sont donc plus maîtres de leur destin, ils s’en foutent… ce n’est pas pourtant faute de les avoir informés.

A La Rochelle, j’assiste en direct à la vraie politique, celle qui lie les intérêts personnels, les orgueils et les prétentions, les susceptibilités, la jouissance aveugle du pouvoir et la connerie illimitée. Cette ville se saborde vaillamment. C’est au cours des siècles une constante chez elle. Aujourd’hui isolée administrativement dans la grande région elle se replie sur elle-même, c’est son truc. Elle attend Le Richelieu qui lui foutra la raclée du siècle… C’est d’autant plus dommage qu’elle avait par hasard précédemment élu un homme dont nul, pas même lui, n’imaginait son intuition et son sens du commandement lors de son élection exclusivement partisane. Malheureusement, cette découverte l’a probablement tellement ravi qu’il s’est engagé au-delà de ses moyens physiques, il est mort jeune sur les bancs de l’Assemblée nationale.

Ma conclusion

Elle est simple, l’évolution personnelle a un destin négatif, l’évolution de groupe également sauf exception.

Donc pour moi la vraie question est : Comment se fait-il que l’homme soit encore là, à pérorer sur terre ? Pour combien de temps encore ?

Car, même s’il serait capable du meilleur grâce à son sens du regroupement, il n’a aucune lucidité lui permettant d’en profiter. Son destin majoritaire est hélas de former des groupes foireux.

Sauf hasard marginal et éphémère, tel qu’un stage psychédélique de récupération de points…

Bien à vous. H. Dumas

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