Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.
Mr De Villepin en 2011 l’a évoqué. Cette arlésienne ressort avec plus d’actualité devant l’abstention observée pour aller voter lors de ces dernières élections régionales.
Pourquoi pas si nous pouvons toujours voter « Blanc » ou barbouiller notre bulletin de vote pour qu’il soit irrecevable.
Mais le pire serait de nous sanctionner pour voter « blanc », barbouiller ou ne pas y aller du tout.
Viennent ensuite les statistiques qui valent que pour ceux qui les construisent et leurs relais médiatiques à les tenir pour compte. Les statistiques sont par exemple en France indifférenciées d’ethnies ou de communautés dans l’idée de l’excuse de comportements déviant de ceux-ci par rapports aux canons « prédéfinis » de notre vivre ensemble dans un accueillant. C’est un choix de vivre en société qui n’est pas le même partout, comme aux States par exemple, où tout s’affiche et se distribue sans fard.
C’est d’ailleurs assez intéressant quand on y réfléchit. Dire des statistiques catégorisées est stigmatiser chez nous dans une grande hypocrisie par laquelle se drapent tous les ténors politiques du local au plus haut pour ne pas répondre à la question qui leur est posée : Pouvons-nous vivre ensemble sans se friter par nos cultures différentes mais aussi notre brassage génétique différent ?
Evidemment le blanc n’est pas meilleur que le black ou autre dans le registre, mais les statistiques seraient là pour le vérifier plutôt que de végéter et d’ânonner dans l’ambiguïté. Et après, nous aurions des bases statistiques solides sur lesquelles nous pourrions nous appuyer pour agir.
Quand on fait de recherche dans un domaine d’activité, on travaille sur toutes les hypothèses où cela ne marche pas, pour que cela le devienne et ce n’est pas de l’idéologie mais du pragmatisme.
Mais revenons à l’idée du vote obligatoire
A l’impôt ou les taxes qui nous assomment, nous n’y consentons plus beaucoup, sauf pour les autres. C’est obligatoire et nous n’y comprenons plus rien au seuil du palier de notre domicile. D’où l’étendard du mouvement des Gilets Jaunes canal historique : « Où passe notre pognon ? »
Et bien avec l’épisode de la gestion du Covid, nous commençons à le comprendre : dans un vadémécum de gens hors sol qui s’auto-entretient sans rendre aucun compte sur le fruit du travail des gueux corvéables. Ces mêmes s’auto protègent par des lois iniques vis-à-vis de la démocratie pour s’en tirer par des rentes pour soi-disant services rendus. Mais de qui se moquent-ils ? Dans leurs coursives d’ivoire financées par tous les laborieux de la sphère privée et publique, cette dernière qui compose l’armée de leurs petits soldats sans ambition pour dépasser un plafond de verre.
Le vote obligatoire est l’antichambre du totalitarisme pour quelconque citoyen. Le Sénat français, qui s’engraisse au restaurant du Palais de Luxembourg, déjà faible dans son pouvoir de rejet de lois proposées par la Chambre « basse » de l’Assemblée Nationale, s’engouffre dans la surveillance généralisée de la population. Je le rappelle ici, le Fillibuster du Sénat fédéral US est capable d’empêcher toute loi de la Chambre des représentants (notre Assemblée) pour bloquer toute loi proposée à défaut de la majorité des 2 tiers, avec les nouveaux flibustiers des « Démocrates » pour en venir à bout, histoire de faire exactement ce que nous faisons en Europe.
Et aux States, vous avez dans la plupart des Etats une réplication du Sénat et de la Chambre des Représentants qui fixent les règles locales, bien plus que nos pseudos régions inféodées à notre pouvoir centralisé Jacobin.
Par ces derniers propos, nous pourrions en dire de nos institutions européennes qui supposent une Europe fédérale, est un leurre au profit des allemands en connexion directe avec la Russie.
Cette Europe « fédérale » est un cercueil de 1ière classe pour nous français. Tissus industriel divisé par deux depuis l’Euro en France sur 20 ans, mais le choc va venir de l’approvisionnement de l’énergie.
L’énergie abondante et pas chère que nous connaissions va coûter plus cher de manière pilotable à titre individuel (Linky ?) mais pas en production via la déstructuration de notre savoir-faire nucléaire, mais plutôt piloté par les allemands qui vont construire en leur sol un Hub au gaz en provenance de Russie sans passer par l’Ukraine. Volkswagen annonce déjà la non production de véhicules à moteurs thermiques. Safe ?
La fiscalité est le moyen pour un Etat d’obtenir des revenus destinés à financer ses missions qui sont avant tout des fonctions régaliennes (police, justice, armée).
Le propre d’une fiscalité idéale est une fiscalité neutre avec une base la plus élargie possible ; autrement dit : un impôt faible mais payé par tout le monde ; ce qui est rarement le cas et surtout pas en France !
Dans une démocratie représentative de type européen, et surtout en France, la politique, exercée par des politiciens professionnels, étant pour une bonne part faite de clientélisme, les détenteurs du pouvoir font en sorte d’avantager leur clientèle et de pénaliser ceux qui ne votent pas pour eux … puisque l’essentiel du discours des politiciens de tous bords est de prétendre que les impôts seront d’abord payés par les autres.
Fatalement, il en résulte une distorsion de la fiscalité qui s’aggrave en cas d’alternance électorale puisqu’une nouvelle distorsion est opérée en faveur du camp adverse … et cela conduit fatalement à des effets pervers qui sont ensuite souvent impossibles à corriger !
On peut alors parler de véritable dévoiement de la fiscalité !
Les règles fixées par la déclaration des droits de l’homme de 1789
La déclaration des droits de l’homme de 1789 avait fixé le principe simple et clair d’une fiscalité contributive et volontaire. Notre Etat fonctionnaire n’a pas été en mesure de respecter ces principes et la fiscalité est devenue complexe, contraignante et excessive.
On sait que la fiscalité est soit directe soit indirecte et l’impôt le plus « juste » serait, conformément aux principes de 1789, un impôt sur les revenus, strictement proportionnel et non progressif ; en gros une flat tax.
Mais en France on n’aime pas les impôts directs, ils sont trop visibles et compte tenu du niveau très élevé de la fiscalité, la révélation de leur montant susciterait immanquablement la révolte.
En outre, avec une flat tax, le clientélisme deviendrait impossible.
On préfère donc les impôts indirects, surtout s’ils sont dissimulés !
L’arme fiscale, arme délicate
Seulement l’arme fiscale est à manier avec précaution car c’est une arme à double tranchant qui permet, certes, de financer les besoins de l’Etat mais dont il ne faut pas abuser car elle génère des effets négatifs extrêmement dommageables qui, bien souvent, ne se manifestent quelquefois que relativement longtemps après leur mise en place (6 mois à un an).
L’impôt étant avant tout un prélèvement sur la richesse produit ou existante, fatalement plus il est élevé plus le prélèvement sur la richesse a des effets néfastes …
Tout est donc une question de dosage …
Une fiscalité trop lourde va appauvrir, violemment parfois, le secteur économique qui paie l’impôt et finit par réduire le rendement fiscal ; c’est à dire que l’augmentation de la fiscalité entraine une diminution des rentrées fiscales !
Cela a été démontré empiriquement sous l’appellation « l’effet Laffer »
Lorsque les prélèvements obligatoires sont déjà élevés, une augmentation de la pression fiscale conduirait à une baisse des recettes de l’État, parce que la hausse du taux de l’impôt serait plus que compensée par la réduction de son assiette découlant du fait que les agents économiques surtaxés seraient incités à moins travailler.
Toute la difficulté vient du fait que le niveau du seuil d’imposition au-delà duquel l’effet de la diminution de l’offre de travail des agents outrepasse celui de l’augmentation du taux est difficile à établir, et dépend des conditions de vie.
L’exemple français
Plus la fiscalité est lourde et plus elle pèse sur l’économie ; autrement dit plus la pression fiscale est élevée plus la croissance structurelle s’affaiblit !
Mais ce n’est pas l’avis de tout le monde et notamment des dirigeants français qui sont tous des étatistes convaincus ; ce qui fait que nous nous trouvons en présence d’une opposition de conceptions.
La vision libérale explique qu’il vaut mieux une fiscalité faible de façon laisser les agents économiques disposer de meilleurs moyens pour pratiquer l’allocation des ressources étant entendu que les agents privés sont toujours les mieux placés pour pratiquer cette allocation,
La vision administrative française selon laquelle c’est l’Etat qui est le mieux à même d’estimer quels sont les secteurs qui ont le plus besoin de fonds dans le cadre d’une relance encadrée par l’administration. Autrement dit, c’est la relance par l’Etat qui va créer les conditions du renouveau économique, de la croissance et de l’apurement des dettes !
Vous verrez malheureusement qu’il n’en sera rien ! La France continuera à s’enfoncer dans les déficits et les dettes.
Si l’on veut faire une comparaison avec l’Allemagne, dont il faut souligner que c’est un pays vieillissant en diminution démographique, il faut s’intéresser aux données suivantes :
France Allemagne
PIB/hbt 30.690€ 34.110 €
Déficit 9.2% 4,2%
Taux d’emploi 65% 75%
Prélev obligatoires 47,4% 41,7%
Dette publique 117% du PIB 70% du PIB
Le constat de la dérive et du décrochage de l’économie française, alors que les économies étaient très similaires en 1990, est frappant !
Certains incriminent l’€ pour expliquer la faiblesse de la croissance française alors que le grand responsable est l’Etat fonctionnaire qui a trop prélevé sur la richesse produite.
Il faut être lucide, lorsque la dépense publique représente 57% du PIB (en 2019 – parce qu’en 2020 c’est plus de 65%), c’est le fonctionnement de l’Etat qui est en cause et non la monnaie !
L’effet induit est que le tissu industriel et économique des entreprises de taille moyenne est relativement faible par rapport à l’Allemagne. Nous avons beaucoup de petites entreprises, quelques multinationales, qui ont prospéré à l’étranger et à peu près rien au milieu !
Nos hauts fonctionnaires ont, encore une fois, une explication et justifient ce phénomène par des contingences extérieures ayant essentiellement pour but de les exonérer de toute responsabilité !
En tête de liste des arguments de l’élite, nous trouvons la mondialisation et, bien évidemment, la fraude fiscale !
La mondialisation serait la cause de la disparition des entreprises et du chômage alors que l’on sait que c’est la trop forte pression fiscale qui a provoqué la faillite ou le départ des entreprises sous des cieux plus cléments … Les entreprises françaises ont les plus faibles marges d’Europe et ce n’est évidemment pas un hasard !
La fraude fiscale car l’Etat, c’est bien connu, est insatiable et est toujours en manque de recettes fiscales pour faire tout ce qu’il a à faire ! On vient d’ailleurs d’apprendre que Bercy s’intéresserait de près à la situation des expatriés à Dubaï …
Une politique fiscale dévoyée masquée par des expédients
Entre la tentation d’augmenter les missions de l’Etat et d’augmenter constamment les impôts, ce que la sagesse populaire a fini par traduit « à tout nouveau problème un nouvel impôt », on finit par atteindre un seuil limite qui ne peut être dépassé que par l’utilisation d’artifices :
-Pour masquer une fiscalité trop forte et « faire passer la pilule », l’Etat utilise des subterfuges idéologiques ; notamment en invoquant la solidarité ou le maintien des services publics (qui sont on le sait « les meilleurs du monde ») jusqu’au moment où l’argument ne passe plus !
-l’’Etat tend à compenser la trop forte pression fiscale par un saupoudrage d’aides. Ainsi, le prix de l’énergie a très fortement augmenté ces dernières années du fait d’une progression des taxes destinées à subventionner des énergies dites renouvelables qui ne servent à rien (voir votre facture EDF). Pour compenser, l’Etat envoie donc des « chèques énergie » ce qui ne résout en aucun cas la question de la cherté de l’énergie ! C’est juste du clientélisme pur avec l’avantage de réduire les risques de mécontentement.
-parallèlement, il va recourir à une solution, qui ne devrait être que temporaire : L’emprunt. L’Etat compense la dérive des comptes publics par de la dette contractée auprès des nationaux ou des étrangers en escomptant que les recettes fiscales futures permettront de les rembourser. En fait, les petits hommes gris de l’Etat essaient de compenser le manque de travail par de la dette mais c’est juste un expédient qui s’élève aujourd’hui à 2.650 Md€ !
-Et enfin, les petits hommes gris de l’Etat croient avoir trouvé LA solution : le paiement de l’impôt à la source qui permet d’en augmenter le montant presque à volonté. Ce mécanisme, totalement à l’opposé des principes de 1789, institue un impôt, on l’a vu avec la CSG puis avec le PALS, susceptible d’évoluer sans que le contribuable puisse s’y opposer.
Les Etats n’ont pas d’amis
Ils n’ont que des intérêts ce qui implique, comme le disait Nietzsche, que ce sont des monstres froids et d’autant plus froids qu’ils sont aux mains d’une caste auto proclamée qui n’hésitera pas à prendre toutes les mesures permettant son maintien au pouvoir !
Autrement dit, on peut s’attendre à tout ; et c’est bien ce que l’on constate puisqu’avec la fiscalité la plus lourde du monde nous sommes désormais le plus gros emprunteur de l’Union Européenne.
Il faut dire que nous pratiquons l’emprunt systématique depuis 1974 … et que les comptes publics étaient déjà très mauvais bien avant l’arrivée de l’épidémie de Covid !
A vrai dire, nous enchainons les superlatifs … jusqu’au moment où l’Etat se retrouvera au maximum de l’imposition et au maximum de l’emprunt et qu’il n’y aura alors plus aucune solution politiquement acceptable par la population dont le principal centre d’intérêt est de savoir combien elle dispose dans son porte-monnaie !
Un blocage inévitable
Et pourtant, alors que le gouvernement vient d’annoncer une nouvelle augmentation du déficit public pour 2021, qui atteindra le record de 230 Md€ (9,4 % du PIB), après 211 Md€ (9,2 % du PIB) en 2020, nos élites savent que cette dérive est mortifère mais … elles sont incapables de faire autre chose parce que le « cout politique », autrement dit leur futur électoral, serait inacceptable. Alors elles continuent comme si de rien n’était en escomptant quand même forcer un peu la main de la BCE et des pays de l’Europe du nord.
Mais, il faut être lucide, on ne pourra pas continuer longtemps à enfiler des déficits de 200 Md€ par an !
Or, en prévoyant de ramener son déficit sous les 3% du PIB seulement en 2027, le gouvernement français vient d’envoyer un très mauvais signal ; celui d’une France, qui a déjà eu bien du mal à revenir dans la norme avant 2019, et qui ne reviendra jamais dans les critères des traités européens.
L’accumulation de déficits constants et totalement disproportionnés, commence d’ailleurs sérieusement à agacer nos partenaires de l’Europe du nord et ils enregistrent l’évolution de la situation française comme un refus de faire les réformes structurelles nécessaires (notamment sur les retraites et l’assurance chômage).
Et, il est vrai que le gouvernement, et E Macron le premier, joue la montre en essayant de continuer à bénéficier des largesses de la BCE jusqu’en mai 2022 pour les raisons que l’on devine et que, jusque-là, il ne faut fâcher personne !
Seulement, le jour où toute cette « belle mécanique » se bloquera, ne resteront alors que le défaut, la spoliation pure et simple, ou la réduction du périmètre étatique ; cette dernière étant toujours la dernière option retenue par l’élite puisque ce serait porter atteinte à la fois à l’organisation qui dirige le pays et à sa clientèle électorale …
Quelle issue ?
Nous le verrons probablement à la fin du second semestre 2022 lorsque la BCE stoppera ses achats de dette et que les taux d’intérêt vont se mettre à monter … asphyxiant l’Etat fonctionnaire qui ne pourra même pas augmenter les impôts dans des proportions importantes puisque nous sommes déjà … en tête du classement mondial.
Mais, si la situation devient intenable, il n’hésitera toutefois pas à prendre des mesures d’urgence et notamment à décider une augmentation de la TVA dont on sait qu’il s’agit d’un impôt à haut rendement, qu’on ne peut pas éviter puisque basé sur la consommation … (sauf à ne plus rien consommer).
En France, le taux de TVA est pour l’instant de 20% mais, ici en Grèce, son taux est de 24% depuis la crise de 2015 !
Seulement, tout cela n’est pas sans risque …
La caractéristique française est que la population subit les contraintes et les vexations sans broncher jusqu’au moment où elle se révolte et ce moment-là est très difficile à apprécier alors que les élites craignent, tout en les méprisant (rappelons-nous les sans-dents), les mouvements spontanées et les violences de la rue !
Et ce moment est d’autant plus difficile à apprécier que, dans un Etat très centralisé et hiérarchisé comme le nôtre, et malgré un nombre faramineux d’élus qui, dans la réalité sont totalement inféodés à l’administration centrale, les avertisseurs des relais locaux sont à peu près inopérants.
L’effet inéluctable est que l’administration n’écoute personne et surtout pas les jérémiades de l’administré jusqu’à l’explosion !
Il n’est pas interdit de penser que ce mouvement commence d’ailleurs à se profiler avec l’effondrement de la participation aux dernières élections ; lequel traduit sans coup férir un désintérêt des français pour des enjeux électoraux totalement inaudibles mais aussi une fracture avec le monde artificiel et surprotégé de la politique ; notre jeunesse commençant en outre sérieusement à renâcler devant les menaces et les interdictions de tous ordres que le pouvoir s’évertue à infliger !
Le refus et la colère sourde pourraient bien monter. Les bonnets rouges et les gilets jaunes sont encore dans toutes les mémoires mais on peut aussi se rappeler 1789, 1830, 1848, 1870 !
On sait comment cela commence, avec le rejet des élites déconnectées des réalités du monde, et ça se termine par une révolution … car, la réaction risque d’être disproportionnée alors qu’il est exclu que nos élites acceptent de se retrouver à la tête d’un pays qui fait défaut. Ce serait le constat d’un échec retentissant et un aveu d’incompétence qui cadrent mal avec la très haute opinion qu’elles se font d’elles-mêmes.
Cela signerait aussi probablement la fin de leur suprématie voire même donnerait le signal de leur chute !
On le voit, la fiscalité pose d’une manière plus générale la question du rôle de l’Etat et on sait qu’en France, la doxa officielle est que l’Etat peut tout !
Et c’est vrai, l’Etat peut tout et surtout peut faire n’importe quoi ; ce dont il ne s’est pas privé ces dernières années !
Bien cordialement à tous !
Απο την Ελλαδα Πρεβεζα (De la Grèce : Prévéza)
Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.
Ce blog fait ce qu’il peut pour être à la hauteur de ses ambitions. Elles sont modestes, puisqu’il s’agit simplement de réfléchir au vivre ensemble, de dénoncer les disfonctionnements que l’on constate, d’essayer de les comprendre, d’en tirer des conclusions, de se forger une idée, de proposer des solutions, l’ensemble visant la liberté, la responsabilité, la compassion, l’universel. Tout cela en plaçant l’économie à sa place, c’est à dire devant.
C’est dans ces conditions qu’observer le tribunal de La Rochelle est riche d’enseignements.
Le tribunal de La Rochelle a eu de très gros problèmes, il y a quelques années. Les organismes de surveillance du Ministère ont mis de l’ordre en son temps.
Des magistrats de haut-niveau ont été dépêchés, Madame Brunet-Ludet en fait probablement partie.
Mais La Rochelle est une ville particulière. L’appartenance, les solidarités de classe, de clocher et de pensée, y font la loi.
Malheur à celui qui vient d’ailleurs et n’est pas l’ami du maire ou de son administration. Il n’a pas sa place, il doit être adoubé ou passer son chemin.
L’ambiance est lourde pour celui qui ne met pas un genou en terre face aux monarques des lieux.
Cette ambiance, finalement assez répandue dans nos campagnes, a un lourd défaut : folklorique au départ elle se transforme en prison des libertés avec le temps et ruine la société touchée.
C’est ici que l’observation de La Rochelle rejoint les préoccupations de ce blog, au simple titre d’exemple pratique, rien de plus.
L’exemple
Le hasard m’a amené à affronter cette organisation locale rochelaise défaillante, ou pour le moins en conflit avec notre constitution, avec ce que la majorité des Français croit être leurs lois, leur justice.
C’est ainsi que depuis une quinzaine d’années je lutte aux côtés de propriétaires d’un territoire magnifique, en plein centre de la ville, que les possédants du pouvoir tentent de s’approprier pour… “le franc symbolique”.
Dans le cadre de ce combat j’ai tout vu. Il se trouve que récemment — les lecteurs habituels ont suivi le psychodrame – j’ai pu résumer ces quinze ans de lutte en une plainte contre le Maire et son administration pour escroquerie, sous la forme d’une citation directe pour demain 24 Juin 2021, délivrée aux intéressés fin Mars début Avril.
Cette plainte impliquant indirectement le conseil communautaire, c’est-à-dire tous les représentants élus de l’agglomération, j’ai pensé qu’il était juste de les en informer. Je leur ai donc adressé un exemplaire de la plainte, le 16 Février 2021.
Un peu déstabilisé, le maire président de la CDA, pour rouler les mécaniques et regrouper son petit monde d’élus marqués à la culotte à l’aide de la répartition du budget communautaire, a cru utile de déposer contre moi une plainte en diffamation, devant le Tribunal de Police, s’agissant d’une accusation limitée à la diffamation privée.
Le 4 Avril 2021, dans un billet large qui traitait du pillage initié par l’égalitarisme, je mettais, à titre d’exemple, un lien pour accéder à la plainte rochelaise, bon exemple de pillage.
Ce qui ouvrait la porte au maire — qui considère que toute critique est diffamatoire — pour une plainte plus large au niveau du tribunal correctionnel.
Oui mais
Il n’est pas possible de poursuivre la même affaire devant deux juridictions différentes, cela génère la nullité pour litispendance.
Donc la diffamation, au titre du même motif, ne peut pas être poursuivie à la fois devant le tribunal de police et devant le tribunal correctionnel, même si les conséquences de cette diffamation sont différentes.
Précisons que de mon point de vue il n’y a nulle diffamation dans mon action à rendre publique une procédure qui l’est par essence. Qu’encore de mon point de vue, qui plus est les faits exposés étant avérés il n’y a évidemment aucune diffamation. Il y aura éventuellement procédure abusive si la justice me donne tort, nous n’y sommes pas encore, il faudrait que le maire patiente.
Donc
Convoqué hier devant le Tribunal de Police, en une phrase si alambiquée que je ne me crois pas convoqué pour plaidoirie, mais pour constatation de consignation.
Voici la phrase ” Attendu qu’il convient d’ordonner le renvoi de l’affaire pour consignation de la partie civile … Ordonne le renvoi pour consignation de la partie civile de l’affaire à l’audience du 22 Juin 2021 à 14H devant le Tribunal de Police de La Rochelle”
J’ai appris hier que je ne savais pas lire, qu’il fallait comprendre qu’il s’agissait de l’audience de plaidoirie…
N’étant pas prêt à plaider, j’ai demandé un report, qui ne m’a pas été accordé par La Présidente Mme Brunet-Ludet, juge unique.
J’ai alors expliqué à la magistrate que le motif diffamatoire était aussi présenté par le Maire devant le Tribunal Correctionnel, qu’il y avait donc litispendance.
Elle a évacué le problème, le reportant, à juste titre selon les textes, devant le Tribunal Correctionnel, puisqu’elle avait été saisie la première.
Le résultat fut qu’un lourd dossier, englobant 15 ans de vie, plusieurs milliards d’intérêts, des principes essentiels, l’avenir de la ville, a été évacué au tribunal de police, en cinq minutes, entre deux PV routiers et trois baffes alcoolisées…
J’ai été condamné le soir même.
A 500 € d’amende, 1 € de dommages et intérêts pour le maire et son acolyte, plus 1 500 € pour les frais de justice.
Et aussi à publier le jugement, ce que de toutes les façons j’aurais évidemment fait. D’ailleurs je me demande bien comment il va être motivé ce jugement, et je ne dois pas être le seul à me le demander…
Je le publierai quand je l’aurai… un mois environ parait-il.
Aujourd’hui je vais au tribunal déposer mon appel.
Et là, j’apprends que mon appel ne pourra pas porter sur mon exception de nullité pour litispendance, la magistrate ne considère pas que ce qu’elle a dit à l’audience en évacuant mon incident est officiel !!!
Pas mal pour une magistrate de haut-niveau. Non ?
Résumons
Un lourd problème de société évacué entre deux misères judiciaires, par une magistrate unique, une remarque légitime pour litispendance prise par-dessous la jambe.
Conclusions
La dérive déjà constatée du tribunal judiciaire de La Rochelle n’était donc pas un problème d’hommes, mais un problème structurel d’ambiance, puisqu’elle se reproduit, et avec des magistrats de haut niveau.
La justice est sujette à la connivence. Celui qui dénonce cette connivence est indésirable, tout particulièrement à La Rochelle.
Inutile de vous dire que je n’y suis pas en “odeur de sainteté”, mais plutôt “attendu au virage”.
Entre le régime de Poutine et celui de Macron, pas de grande différence pour celui qui s’oppose à la technocratie, à la bureaucratie, que les deux autocrates vénèrent, adorent, protègent. Celui qui souhaite la liberté pour tous n’est pas le bienvenu.
A demain. Bien à vous. H. Dumas
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On a beau s’attendre à tout à notre époque et particulièrement en France, le livre de Charles Prats, premier magistrat à la Délégation Nationale à la Lutte contre la Fraude (DNLF), « Le Cartel des Fraudes », laisse pantois. Sa sortie en novembre 2020 avait fait quelques vagues, mais pas le Tsunami que l’on aurait pu imaginer. Le variant nouveau occupait probablement plus les esprits que le Beaujolais ou les frasques de la sécu. Néanmoins, les chiffres rapportés par ce livre sont édifiants. En voici quelques uns :
84 millions de personnes réputées vivantes dans le système social français, pour 67 millions d’habitants en France d’après l’INSEE ! Il y a donc 17 millions de zombies à la sécurité sociale.
Il y a 48 Millions de français de plus de 16 ans ayant droit à une carte vitale mais il y a 58 millions de cartes Vitale en circulation en 2004, 10 millions de trop, en régression à 5,2 M en 2019, 8,75% des cartes actives, 17,5 Mds € au prorata;
5 millions de fantômes perçoivent des prestations sociales !
dont 3,1 millions de centenaires ! Alors que l’INSEE en dénombre 21000 ! Trois porteurs de cartes Vitales actives sont nés en 1892 ! Record battu.
12 392 865 personnes nées à l’étranger disposent d’un droit « ouvert » à recevoir au moins une prestation sociale au 1er juin 2019; alors que pour l’INSEE nous avons seulement 8,2 millions de personnes nées à l’étrangers qui vivent en France ! 10,6 M touchent des prestations maladie, donc 2,4 M de « fantômes »;
Parmi ces 12,4 M de personnes, 43% touchent des allocations familiales-logement-handicap ou RSA, c’est à dire 5,3 M , pour 12,7 M d’allocataires en tout, c’est-à-dire que 42% des allocataires de la branche famille sont nés à l’étranger !
33% de personnes nées à l’étranger ont un droit ouvert pour les prestations de retraite, soit 4,3 M, dont 1,1 M résident à l’étranger, dont 3 M devraient être sur le territoire français, donc 37% de leur population mais 24% du total des retraités, alors qu’ils ne représentent que 12,2 % de la population ! 400 000 retraites sont versées à des zombies.
> 1,4 millions de personnes nées à l’étranger ont des droits ouverts à l’assurance maladie alors qu’elles ne sont pas censées exister sur le territoire français;
0,1% pour les organismes sociaux, ou 10% (selon la DNLF), à 33% (selon la police de l’air et des frontières) des numéros de sécurité sociale des personnes nées à l’étranger avaient été obtenus par la production de faux documents, soit 7 millions de personnes, dont 4 millions perçoivent des prestations, ;
15% d’arrêts de travail frauduleux, soit un coût d’environ 2,5 milliards € par an sur 17 Mds en tout, 7 pour le secteur privé et 10 pour le secteur public (quand même quatre fois moindre) !
8% de fraude sur les allocations familiales, environ 8 Mds ; et les islamistes savent y participer. Un cinquième des djihadistes français identifiés continuait à percevoir les aides sociales alors qu’ils étaient en train de mener des combats répugnants à l’étranger ! La sécurité sociale est complice du terrorisme ! Il y a un malaise.
Taux de fausses déclarations de ressources de 49,81% en 2009 lors d’un contrôle sur les bénéficiaires de l’AME (Aide médicale d’état) ;
Fraudes aux cotisations sociales entre 20 et 25 Mds €;
Fraude aux CPAM # 14 Mds €.
83% des français considèrent que les prélèvements obligatoires sont trop élevés en France;
Fraude à la TVA # 10 Mds € ;
Travail au noir # 17 Mds ;
Taux de fraudes (fausses feuilles de paye) dans le cadre des retraites anticipées pour carrières longues : 50% !
Fraude sociale totale d’environ 50 Mds € . Et le délire continue toujours.
Chapitre intéressant : le Subutex, substitut à l’héroïne utilisé pour les cures de désintoxication, fait l’objet d’un trafic incroyable. Les immigrés clandestins titulaires de l’AME (Aide médicale d’État) peuvent l’obtenir gratuitement en tiers payant et sans carte vitale, et faire la tournée des pharmacies avec des ordonnances bidonnées, départ d’un réseau de trafiquants revendant le comprimé obtenu au frais du cotisant régulier entre 100 et 400 € dans différents pays européens. Même l’ONU a accusé la France d’être la plaque tournante du trafic de ce produit qui est considéré comme un stupéfiant dans de nombreux pays. Quand on pense que le ministère de la santé a réussi à interdire en France l’hydroxychloroquine en deux jours, et que le trafic de Subutex dure depuis des années, on peut se demander si les responsables de la sécu n’en sont pas aussi bénéficiaires !
Le livre de Charles Prats contient énormément d’informations et montre la difficulté à extrapoler des chiffres globaux de la fraude à partir d’enquêtes partielles, mais il permet de cerner l’évolution sur presque 20 ans et de conclure que la fraude ne diminue pas et qu’elle est probablement bien plus élevée que ce que l’on arrive mathématiquement à déterminer aujourd’hui.
Pour temporiser vis-à-vis de ces problèmes, les responsables de la sécu proposent des « évaluations », histoire de ne pas régler les problèmes pourtant évidents depuis des années. Leur opposition à la mise en place de systèmes sécurisant le bon fonctionnement de la sécu est très révélatrice. Tout autant que leur déclaration de ne pas vouloir pénaliser les « pauvres ». Il est facile d’être généreux avec l’argent des autres. Il est fou de penser que l’économie du pays peut supporter plus longtemps et plus fortement cette « générosité » sans bornes.
Un autre point incroyable est l’incapacité de la sécu à connaître les prestations par assuré, une loi de 2007 jamais respectée, ni leurs âges, ou du moins de refuser de donner la plupart des informations de leur base de données, même anonimisées. Ils considèrent toute mise en cause de leur gestion comme une agression contre « l’humanité », et leurs réactions épidermiques ne font que révéler leur refus de toute analyse approfondie de leur activité. À la sécurité sociale, on ne veut pas parler de fraude, mais d’ »anomalies » ! Ils n’ont pas l’esprit tranquille, et on les comprend, mais c’est pour cela qu’il ne faut plus les laisser faire. N’oublions pas la phrase de Marie-Sol Touraine à son départ du ministère : « j’ai réussi à sauver la sécurité sociale ». Autrement dit : tout peut s’écrouler autour du moment que la sécurité sociale continue. Je reste ahuri de constater que des gens puissent penser que si l’économie s’effondre, la sécurité sociale pourrait persister sous la même forme.
Nous sommes au lendemain du premier tour des élections régionales, qui démontrent de manière éclatante que près de 75 % (et non pas 60 comme le prétendent les radoteurs professionnels, qui s’obstinent à ne pas prendre en compte les non-inscrits) se moquent complètement de savoir comment les oligarques oppresseurs se partagent les sinécures.
Ils s’en moquent, tout comme moi, et donc parlons d’autre chose.
En effet, la seule vraie question n’est pas qui gagne le loto prétendument électoral, mais comment se débarrasser de tous ces coûteux inutiles.
Mais pour en arriver là, il faudra, tôt ou tard, commencer par le commencement. Et le commencement est la révolution de notre appareil judiciaire.
Le Professeur Raoult se dit persuadé que la vérité finit toujours par s’imposer. Je ne sais pas d’où il peut tirer cette certitude : c’est presque toujours le contraire qui s’observe et l’Histoire est surtout un énorme mensonge construit sur les cendres de la vérité.
La pandémie est la grande manipulation des temps modernes, mais la croyance en la pandémie est une Religion : peu importent les évidences (nombre réel de décédés, inutilité, inanité et perniciosité des politiques liberticides occidentales), ses adeptes ne la remettront jamais en question.
L’affirmation : « Il n’y a pas de traitement ! » est une falsification. Mais c’est ce que vont continuer de croire et de répéter les adeptes de la pandémie. Et les traitements vont continuer de rester interdits !
Pasteur doit faire des sauts dans sa tombe, s’il sait qu’ils ont l’impudence d’appeler « vaccins » les produits qu’on injecte, au sens propre, à tour de bras, qui pourtant, bons ou mauvais, sont tout ce qu’on voudra, sauf des vaccins : il n’importe ! Au Moyen-âge, les croyants décapitaient les hérétiques et brûlaient les « sorcières » ou prétendument telles. Aujourd’hui, les croyants ne se contentent pas de se faire piquer eux-mêmes, ils font piquer sans hésitation leurs vieux parents comme leurs enfants, même les plus jeunes !
Sourds aux plaintes de ceux que les vaccins ont rendus malades, aveugles au spectacle de ceux qui sont morts, sans souci de ceux qui pourraient bien mourir demain. Et vouant aux gémonies quiconque émet et semble émettre le moindre doute à propos de la sainte religion vaccinale.
Le Professeur croit en la vérité, il croit aussi en la Justice. Il a, semble-t-il, déposé plainte contre plusieurs de ses détracteurs. Bon vent ! La preuve est apportée que le bon Professeur n’est jamais sorti de son hôpital et de ses chères études. Car nous sommes nombreux sur ce site, pour l’avoir éprouvé à nos dépens, à savoir qu’il n’y a pas grand-chose à attendre de la justice, sinon souvent le pire, et que tout ce que son action risque de faire gagner au Professeur est une inscription définitive sur un certain mur, qui pour s’être fait plus discret, n’en est pas moins toujours bien réel…
Il y a des années de cela, portant un foulard bleu, entouré de manifestants portant un foulard bleu, j’écoutais, sous la pluie, un orateur, arborant un foulard bleu, un certain Monsieur Reichman, un homme pour lequel j’ai toujours éprouvé une grande admiration. Monsieur Reichman a fini son discours, je m’en souviens comme si c’était hier, et d’ailleurs c’était hier, en invoquant la dissolution immédiate et définitive de l’ensemble de notre appareil judiciaire et son remplacement par des hommes débarrassés de toute idéologie et seulement soucieux d’accomplir et respecter la volonté du peuple.
Et c’est bien vrai que pour bien faire les choses, il faut commencer par leur commencement !
Bon ! Faisons malgré tout le pari du « bon juge », souhaitons tout de même bonne chance au Professeur Raoult !
Bormes les mimosas, 20 juin 2021
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La démocratie est, comme le marché, un espace de liberté fragile qui suppose que les parties qui le composent soient à équivalence d’informations pour qu’il n’y ait pas tromperie au moment des choix.
En effet, la démocratie donne à la population le droit de choisir ses dirigeants, droit qui n’est valide qu’exprimé en toute connaissance de cause.
Les dirigeants élus sont chargés de gérer les aspects communautaires de notre vie, c’est-à-dire les espaces décisionnels appartenant à chacun de nous dont il nous est apparu, objectivement, qu’il était de notre intérêt d’en mutualiser la gestion, qui alors nous échappe évidemment.
Plus ces espaces décisionnels mutualisés sont nombreux, plus la structure qui va les prendre en charge sera lourde, cette lourdeur amenant automatiquement la complexité. La complexité entraine la spécialisation, qui naturellement accapare la connaissance, laissant alors les non spécialistes dans l’ignorance.
Là sont les limites du système collectif.
Plus nous allégeons nos responsabilités en confiant des pouvoirs personnels à la collectivité, plus l’outil créé pour gérer cela se complexifie et nous échappe.
Le gain de la mutualisation de nos pouvoirs personnels est donc limité par la situation d’ignorance dans laquelle cette mutualisation nous plonge. A partir d’un certain seuil d’ignorance le gain se transforme en perte tant il nous expose à l’angoisse, au complotisme, aux fausses informations, finalement aux escrocs, au détriment de la démocratie, de sa nécessaire transparence.
Le cycle infernal
La part de décision que nous acceptons de collectiviser va, en démocratie, être confiée à des élus, qui vont s’appuyer pour l’assumer sur la fonction publique.
Il est clair que les élus qui acceptent de prendre en charge les parties de nos pouvoirs personnels — que nous avons accepté de mutualiser — doivent avoir les compétences nécessaires pour s’en occuper au mieux de nos intérêts.
Si nous abandonnons une trop grande quantité de pouvoirs personnels aux élus, si nous dépassons leurs raisonnables capacités de gestion, ils ne peuvent plus assumer leur mission.
On voit bien l’intérêt que nous avons de bien calculer le volume de ce qui doit être ou ne pas être mutualisé, il n’y a pas la place pour la croyance à ce sujet. On constate que la réalité n’est pas exactement cela, mais qu’au contraire les croyances tendent irrationnellement à s’imposer sur ce sujet crucial.
Le dérapage
La fonction publique devrait être neutre. C’est un outil au service de ce que la population a décidé de mutualiser, dont la gestion dépend des élus qui ont la charge d’assumer la bonne marche des pouvoirs mutualisés.
Nous devrions en être là. Nous sommes ailleurs.
A la suite d’errements, dont chacun à son idée, la masse des pouvoirs personnels mutualisés a débordé les élus et leur outil la fonction publique.
Le processus “complexité-spécialisation” s’est emballé. La population est entrée en voie d’ignorance dans le cadre des pouvoirs délégués, donc des responsabilités liées.
L’amplification constante de cet état a attiré les fous.
En réalité, d’abord les escrocs qui ont profité des opportunités offertes par l’ignorance croissante de la population, selon le processus que nous venons de d’écrire, qui se sont servis grassement tout en faisant illusion.
Puis la situation ainsi créée est devenue ingérable, alors les escrocs se sont “fait la malle”, soit ils sont passés à autre chose, soit ils font mine d’être opposés au système qu’ils ont mis en place.
Seuls des fous et des illuminés acceptent aujourd’hui de jouer le rôle de gestionnaire des pouvoirs mutualisés, alors que cette gestion est hors de contrôle.
Nous sommes tous projetés dans une situation aberrante, dépossédés d’une trop grande part de nos pouvoirs personnels nous assistons à l’effondrement de la mutualisation de ceux-ci en n’ayant plus les moyens de comprendre le phénomène, tant notre ignorance concernant nos propres pouvoirs délégués est grande.
Des fous ont pris le pouvoir démocratique, le pouvoir administratif et… ils nous traitent de fous pour dissimuler leur déroute face à la complexité qu’ils ont générée, qu’ils sont incapables de gérer. C’est le comble de notre époque.
Le bilan
Le plus terrible est la perte de vue de la simplicité des pouvoirs que nous avons confiés à la mutualisation, par flemme, par laxisme, tels que notre santé, notre éducation, nos déplacements, notre économie, etc… tant de choses que chacun de nous sait faire mais ne fait pas au bénéfice de rêves artificiels qui vont être sous peu mortels.
Quand la folie se prétend la raison, quand la raison est accusée de folie, la démocratie est en grand danger car alors la liberté de choix de l’électeur n’existe plus et sans elle plus de démocratie, une simple apparence de démocratie.
Bien à vous. H. Dumas
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Il n’est un secret pour personne que la haute fonction publique pris le pouvoir et qu’elle impose ses décisions ; le président E Macron n’étant finalement que le représentant de celle-ci.
Uderzo et Goscinny, dans leurs aventures d’Astérix et Obélix, font dire à ces derniers : on mesure la puissance d’une armée à la qualité de sa nourriture. Plus elle est mauvaise, plus l’armée est puissante ; ce qui faisait aboutir nos deux héros au constat désabusé : On ne savait pas que l’armée romaine était si puissante !
Doit-on en conclure, par analogie, que plus une administration prend des mesures contraignantes et impopulaires, pour tout dire, mauvaises, plus elle est puissante ?
Un petit retour sur quelques décisions de l’administration s’impose …
Le psychodrame du 80 :
Dans cette affaire, l’administration centrale a clairement refusé de se déjuger alors que tout le monde sait d’une part que la mesure est très impopulaire et d’autre part inutile car n’ayant pas eu d’effet significatif sur la mortalité routière. On se retrouve donc avec des départements appliquant le 80 et d’autres le 90. Le problème est que vous pouvez passer d’un département à l’autre sans vous en rendre compte et passer inopinément du statut de citoyen respectueux (en roulant aux 90 km/h autorisés) à celui de dangereux délinquant. L’élément intentionnel fera défaut mais vous serez quand même sanctionné avec le sentiment d’être victime d’une injustice … pour un résultat statistique totalement nul !
La forte hausse de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) :
On se souvient qu’elle avait déclenché le mouvement des gilets jaunes de la France périphérique (qui roulent en diesel et fument des clopes) ; lesquels refusaient de se voir punis pour l’usage d’un véhicule indispensable pour aller travailler, avec à la clé 15 éborgnés et de très nombreux blessés du fait d’un usage totalement disproportionné et inhabituel de la force. Il a fallu que l’affaire menace de se transformer en révolution pure et simple pour que E Macron finisse par la supprimer tout en « lâchant » 12 Md€ pour calmer les mécontents !
L’écotaxe :
Tout le monde se souvient des portiques qui devaient faire payer le fret et peut-être même ultérieurement le trafic automobile. Il avait fallu les actions musclées des bonnets rouges pour que la mesure soit annulée. Seulement, avec la Loi Climat votée récemment, ces portiques, qui sont encore en place, pourront être réactivés ! L’administration ne renonce donc jamais et s’apprête à donc remettre son mécanisme fiscal en service ! Les bonnets rouges ont promis de reprendre la lutte …
Les ZFE (zones à faible émission) :
C’est la nouvelle mesure dont la plupart des français n’a jamais entendu parler. Dans quelques années, toutes les villes de plus de 150.000 habitants seront interdites aux véhicules thermiques trop anciens et à tous les véhicules à moteur diesel. La grogne commence à monter mais l’administration ne reviendra pas sur cette mesure qui va pénaliser des centaines de milliers de personnes et particulièrement ceux dont les revenus sont les plus faibles. L’argument « imparable » est que l’administration promet des aides pour changer de voiture sans voir que, pour une personne qui gagne le SMIC et dont les difficultés bancaires commencent le 10 ou le 15 du mois, même avec les aides, il lui sera impossible de dépenser 20.000 € ou plus dans un nouveau véhicule !
Le malus écologique :
Il prend désormais des proportions complètement délirantes puisque, dans certains cas, le montant de l’amende fiscale peut dépasser le prix usine de la voiture ; et ce dans le seul but de contraindre la population à acheter des voitures électriques censées être moins polluantes mais à l’autonomie très insuffisante pour ne pas dire ridicule … sans compter une obsolescence rapide. J’ose à peine imaginer ce qui va se passer lors des départs en vacances avec des milliers de voitures électriques quittant toutes ensemble l’Ile de France et qui vont toutes se retrouver « à sec » en même temps et au même endroit alors qu’il n’y aura que 10 bornes de recharge disponible. Cet aspect des choses n’a visiblement pas été vu par notre administration et cela promet de furieuses empoignades car ce sera à qui pourra se connecter le premier pour éviter de se retrouver à la nuit tombée encore à attendre avec des enfants qui n’en pourront plus de rester confinés dans une voiture !
L’interdiction des chaudières au fuel et bientôt des chaudières au gaz.
Ne resteront autorisés que le chauffage électrique notamment par le biais de pompes à chaleur et le chauffage au bois sous certaines conditions (mais pas en ville) alors que toutes les mesures qui sont prises dans le but d’imposer des énergies dites renouvelables ont pour effet de fragiliser le réseau électrique avec des menaces de coupures l’hiver (juste quand on a besoin de chauffage) et que, parallèlement, le prix de l’électricité ne fait qu’augmenter du fait de taxes qui n’ont d’autre but que de subventionner ces modes de production ni verts ni efficaces et non pilotables !
Que constate-t-on à propos de toutes ces mesures ?
Que ce sont toujours des mesures de contrainte et qu’elles sont toujours impopulaires.
Y-a-t-il une seule mesure libérale ou seulement de nature à favoriser la vie de la population ?
Non, bien évidemment, et certaines constituent même de véritables atteintes au mode de vie des français pour des bénéfices totalement hypothétiques quand ce ne sont pas carrément des contraintes insupportables !
Et on pourrait continuer longtemps cette liste non exhaustive …
Le seul constat que l’on puisse faire est que l’administration enchaine les mauvaises décisions, bien souvent sans se rendre compte des dégâts occasionnés.
Cela tend à prouver, selon la « loi d’Astérix et d’Obélix », qu’on ne savait pas que l’administration française était si puissante !
Bien cordialement à tous !
Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.
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Je me permets de rappeler la naissance de ce blog.
C’était en 2010, je croulais sous les attaques du fisc, toutes indues, partisanes, fabriquées pour tuer au service d’une crapulerie au-dessus de tout soupçon portée par la haine, la jalousie.
Je sortais de la lecture du journal d’Etty Hillesum. Cet ouvrage exceptionnel m’avait terriblement touché. On y percevait l’intrusion de la folie de la Shoah dans la vie ordinaire d’une jeune femme juive, ouverte, intelligente, moderne.
Elle-même ne percevait pas cette folie. Jusque dans le train qui l’amène à la mort elle s’interroge, ne comprend pas ce qui se passe tant cela dépasse toute possibilité de compréhension.
Bien sur les mesures qu’elle doit affronter la surprennent. Pourquoi être interdite d’aller ici où là ? Pourquoi être internée dans un camp ? Pourquoi un organisme Juif, dont elle est, accepte-t-il de participer à ces restrictions ?
Elle croit que les trains qui embarquent ses proches vont dans le nord, pour des travaux, peut-être forcés. Elle leur procure pulls et nourriture, envoie des colis…
Lire ce livre en connaissant la fin arrache des larmes de sang.
Ce livre est une supplique au témoignage… involontaire.
Que s’est-il passé depuis le début de ce blog ? Tout et rien.
Tout pour moi. Je sais aujourd’hui quelle est la réalité de la folie que je subis. Je comprends la portée du pillage, seul véritable moteur de l’humanité, génocidaire quand une société en fait sa loi.
Je sens au plus profond de moi l’évolution de notre société, exactement semblable à celle qui a laissé Etty Hillesum incrédule, sans doute jusqu’au sas de la chambre à gaz.
Qui peut penser que le groupe auquel il croit appartenir veut en réalité sa mort ? Seule solution pour le piller, lui voler ce qu’il possède.
Qui peut imaginer que le pillage soit institué en lien social, même et surtout s’il y a eu Hitler, Staline, Pol Pot, Mao, Chaves, Mussolini et tous les penseurs qui leur ont servi d’excuse.
Rien pour notre société. Je la vois jour après jour s’enfoncer dans le mensonge, croire que l’Etat existe, si puissant, si à leur service, qu’il peut fabriquer des billets de Monopoly et palier à l’idée de travail, de risque, de mérite, pour faire place aux jeux télévisés, au réseaux sociaux, à l’inactivité rémunérée…
Je vois ceux qui prétendent représenter cet Etat restreindre les libertés, asservir les confiants, traquer les incrédules.
Rien ne peut freiner la haine de l’autre, le souhait de le déposséder. La recette miracle est en route, c’est au service de la planète et de la santé que nous devrons rendre gorge et nous voir dépossédés. Imparable.
Le pire est inévitable. La Shoah, le Rwanda, les enfants meurtriers du grand bond en avant, Pol Pot, nul témoignage ne peut avoir raison du pillage, de la haine qui le précède. Seule sa survenance apaise et, paradoxalement, rouvre les portes de la liberté.
Liberté chérie, évidemment. Bien à vous. H. Dumas
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Près de 22 millions de Français ne s’en sortent plus. Pour eux le 30 du mois succède directement au 1er. C’est donc la moitié du corps électoral qui est aujourd’hui en déshérence. La gifle délivrée à Macron vient directement de ces gens-là. A gloser sur le respect dû au chef de l’Etat, on en oublie le sens profond de la gifle, et l’on se garde bien d’en estimer les conséquences.
Un régime qui ne repose plus que sur la moitié des citoyens n’a plus la moindre chance de se maintenir, sauf par la force. Mais on sait que celle-ci finit toujours par être vaincue par une force supérieure, qui est la colère du peuple.
La force, c’est précisément le choix qu’a fait Macron contre les gilets jaunes. N’importe quel gouvernant intelligent aurait compris la cause véritable du soulèvement et pris les mesures pour l’apaiser. D’autant qu’il n’y avait nul mystère dans ce mouvement. Les Français sont écrasés de charges et d’impôts et ne réclament rien d’autre que les moyens de vivre dignement. Oui, mais voilà, le pacte étatique, qui se chiffre par les 800 milliards d’euros déversés chaque année sur la population au titre de la « politique sociale » interdit que l’on traite mieux les esclaves qui produisent cette richesse. Alors Macron a décidé de cogner. Qu’il se fasse cogner à son tour (même si la gifle fut des plus légères) ne devrait être une surprise pour personne.
Et maintenant ? Eh bien l’emploi de la force va continuer contre le peuple, et le peuple va devenir vraiment violent. Les quelques dizaines de bavards autorisés à s’exprimer dans les médias audiovisuels (les seuls qui comptent vraiment), et qui ne représentent qu’eux-mêmes, pourront bien condamner la violence de toute leur indignation de privilégiés, elle n’en continuera pas moins jusqu’au renversement du régime.
La politique est l’art du symbole. La gifle donnée à Macron en est un, et des plus puissants. Car ce jeune type au tee-shirt sans couleur et aux cheveux longs est vraiment l’image de tous ceux qui ne s’en sortent pas et qui savent que dans ce système ils ne s’en sortiront jamais. Les gouvernants actuels dansent sur un volcan, qui vient de lancer au ciel sa première fumerolle.
Le pire de tout est qu’à tous les niveaux, la France est dirigée par des crétins. La cause n’en est pas un mal congénital qui frapperait notre nation, mais l’organisation étatique de la société officielle, où tout s’est calqué sur le rite administratif. Le manque de masques contre l’épidémie n’est en rien différent de la fixation à 15 heures, et non deux heures plus tôt, de la première demi-finale du tournoi de Roland Garros, qui condamnait le match vedette qui suivait à ne pas se terminer avant le couvre-feu et donc obligeait à faire évacuer un public passionné par cette rencontre. On a donc frôlé l’émeute, jusqu’à ce que l’Etat affolé permette au public de rester jusqu’au bout, ce que les spectateurs ont interprété comme leur victoire et l’ont salué d’une Marseillaise aux accents de révolution.
Il est évident que la génération actuelle de dirigeants ne parviendra pas à faire émerger de ses rangs un chef de l’Etat réformateur. Mais rien n’interdit de penser que la génération suivante, qui va très bientôt prendre les commandes, en sera capable. Pour une raison des plus simples : elle n’est pas imprégnée de l’idéologie collectiviste qui empoisonne l’esprit de ses aînés. La réussite individuelle est son moteur essentiel, ce qui ne l’empêche nullement d’être généreuse. Mais elle l’est à se façon, par des gestes simples et directs, loin des slogans et de l’idéologie. Et quand elle parle, on sait qu’elle ne ment pas, contrairement à ses devanciers.
Tel est le sens de la gifle donnée à Macron. C’est une vraie folie pour un pays développé comme le nôtre de s’être donné un président immature. Cette folie, il faut la corriger. D’urgence. Mais de façon raisonnable, si c’est encore possible. La balle est dans le camp de la droite libérale, qui détient les solutions de nos problèmes mais qui ne parvient pas à trouver les hommes aptes à les résoudre.
Mais la balle est surtout dans le camp des directeurs des médias audiovisuels. Ils doivent ouvrir leurs chaînes à de vrais débats. Et à des invités choisis dans la société civile. Pour qu’on entende enfin quelque chose qui ressemble à une parole et non au grésillement d’un moulin à prières.
Claude Reichman
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Je l’imagine courant derrière son cerceau avec sa marinière bleue à col marin, sous l’œil attendri de sa maman.
Aujourd’hui encore n’est-il pas un adorable bambin, presqu’adulte ?
Que de satisfactions pour toutes les bonnes fées qui se sont penchées sur son berceau.
Aussi, comment ne pas lui pardonner quand il parle de violence, alors qu’on comprend qu’il n’a aucune idée de ce qu’est la violence, de ce que le mot veut dire.
Il prend une petite gifle pour un acte de violence, peuchère….
Voilà un vrai acte de violence, gratuit, pur et dur, qui fait mal, beaucoup et longtemps.
Comme nous savons qu’il lit ce blog, considérons ce document comme un service rendu pour qu’il appréhende mieux la réalité de la violence.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Quel adorable bambin a dû être Macron."
Je ne connais pas Damien Tarel. Je ne me sens pas proche de cet homme. Je n’ai aucune attirance pour les sports de combat, fussent-ils médiévaux, pas plus pour cette période obscure. Il ne me viendrait pas à l’idée d’aller poirauter derrière des barrières pour voir passer un Président de la République.
Mais, 18 mois de prison pour une gifle : ça m’interpelle.
La presse bienpensante, donc l’opinion publique, nous dit que nous avons l’obligation de respecter la fonction de “Président de la République” quel que soit l’homme qui l’occupe et quoi qu’il fasse de cette fonction.
Déjà, cela seul choque profondément ma vision de la vie en commun.
Mais là, à Tain-l’Hermitage, ville célèbre pour ses bouchons routiers, Macron était-il dans le cadre de sa fonction ?
La fonction de Président de la République consiste-t-elle à sortir de sa voiture en courant et à se précipiter vers la foule parquée derrière des barrières, pour aller serrer des mains.
Si c’est le cas, je l’ignorais.
Comment se fait-il qu’avant de se présenter à nos suffrages les candidats n’aient pas à inclure dans leur campagne la façon dont ils envisagent d’assumer cette partie de leur fonction.
J’imagine Marine Le Pen, entourée de parachutistes en tenue de camouflage, se diriger vers la foule et appeler “papa” à la moindre menace.
J’imagine Mélenchon arriver droit sur la foule et gifler le premier.
J’imagine Fillon hésitant ; ” Pénélope ? Tu es là ? on y va ? Pénélope, où es-tu ? On y va ?” puis la foule se dispersant sans Fillon et sans Pénélope.
Il est clair qu’au moment des faits Macron n’était pas dans le cadre de sa fonction.
Il s’agit donc d’une simple altercation entre deux individus ordinaires. On remarque que l’un d’entre eux pratique les sports de combat, pas l’autre plutôt partisan des réceptions qui ramollissent le corps.
Leur désaccord a l’air profond et, finalement, on peut considérer que le sportif a été mesuré, il aurait sans doute pu porter un coup plus sévère.
Conclusion : La justice apparente n’est pas la justice.
On peut dire la même chose avec le ballet noir des scientifiques.
Revenons un peu en arrière, souvenons-nous.
Début du 20ème la science est formelle, les races sont différentes. Des guignols, à l’allure on ne peut plus sérieuse, pèsent les cerveaux, mesurent les nez, les oreilles et tout ce qui dépasse que l’on peut mesurer, puis déclarent doctement que les races sont distinguables, qu’il faut les distinguer.
L’opinion publique adhère à cette “vérité scientifique”, jusqu’à qu’un débile profond accepte de représenter cette opinion publique, puis aille jusqu’à faire de cette vérité scientifique l’excuse permettant de voler puis de tuer les Juifs, race à éliminer.
Tout ça pour ça : pour un simple pillage.
Aujourd’hui, les mêmes scientifiques sont à la manœuvre. Ils prédisent l’avènement de la nature, la fin de l’homme intelligent et de ses découvertes, la supériorité des Dieux Eole et Hélios, la nécessité de restreindre nos libertés pour notre bien, la dénonciation et l’élimination de ceux qui refusent ces raccourcis ridicules.
Ils ont l’opinion publique pour eux. Evidemment : il ne s’agit, une fois encore, que d’un simple pillage.
Il arrive, vite et à grande échelle.
Pillards ou pillés ? C’est vous qui allez choisir, ne l’oubliez pas.
Bien à vous. H. Dumas
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“Pass sanitaire” ou comment s’asseoir sur l’éthique.
Le gouvernement a fini par réussir à imposer le « Pass sanitaire ».
En passant du « passeport vaccinal » au « Pass sanitaire », moins fermé, il tient formellement parole sur « la non obligation vaccinale ». Pour cela il intègre d’emblée la guérison de l’infection naturelle, et la possibilité d’un test RT-PCR négatif.
Grâce à quoi le gouvernement :
– court-circuite le débat sur l’éthique de la vaccination de masse que le « pass » implique,
– essaie d’éviter de braquer les personnes qui ne veulent pas se faire vacciner.
En créant un seuil à partir duquel le « pass » sera obligatoire il ne serre pas trop le nœud coulant, pour éviter que les personnes ne se rebiffent. Serrer viendra plus tard.
Si les Français avaient compris le « passeport vaccinal »comme « non éthique », celaaurait suffit pour le disqualifier. Il fallait l’éviter. Dans les médias, l’argumentation « contre » tournait donc essentiellement autour des questions technologiques liées à la vaccination, voire simplement logistiques,(Possibilité offerte à toute la population de se faire vacciner). Cela impliquait que sa mise en place ne dépendait que de la levée des réserves technologiqueset logistiques. Alors que le problème est moral. Si le débat avait été trop long l’opposition éthique aurait pu retrouver de la vigueur.
Au final, nous nous retrouvons aujourd’hui avec une vaccination de masse qui n’est pas éthique et un « pass sanitaire » qui ne l’est pas non plus.
Le “pass” est liberticide
Son argument visant à autoriser un « retour à la vie normale » repose sur l’émotionnel.
Une vie de soumission ne saurait être « normale ». Le « pass » est présenté comme une libération, bien que son instauration s’accompagne de menace et de chantage. S’il était une libération, s’il était utile et moral, il serait adopté spontanément, sans coercition, ni manipulation.
Affirmer que les gens seront « libres » avec le « pass », ou qu’il permettra leur « libération » est une perversion des mots mots qui perdent leur sens.
Affirmer que les gens seront libres avec le « pass sanitaire », mais que s’ils le refusent ils ne pourront pas avoir de vie sociale et que, par conséquent, le refus de vie sociale est leur libre choix, est un sophisme.
Imposer le « pass sanitaire » au nom d’une prétendue libération est immoral. Un Droit naturel ne peut être prétexté pour détruire un Droit naturel. Dans le même registre, imposer l’obligation vaccinale anti COVID, au prétexte qu’elle existe déjà pour d’autres pathologies n’est pas valable. Une atteinte à la liberté ne peut justifier une autre atteinte à la liberté.
Le « pass sanitaire » n’est en rien sanitaire. Il ne garantit pas aux Français de rester en bonne santé. Il leur garantit une liberté conditionnelle, un ersatz de liberté, surveillée et étriquée, qu’il ne faut pas confondre avec La Liberté. Ersatz tellement étriqué qu’il ne dispense pas des gestes barrières, ni de la distanciation sociale (Les fameuses jauges).
Le « pass sanitaire » ne rend pas plus libre que la chaîne au cou du chien.
La liberté est un principe
La liberté n’a pas de contrepartie. La liberté est un principe, qui plus est un principe fondateur de la France moderne. L’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 dit : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. »
Il ne faut pas reculer sur la Liberté. La liberté implique la responsabilité individuelle, elle nécessite un combat inlassable et quotidien. Elle se mérite. Elle est ou elle n’est pas. Elle est consubstantielle de l’Homme. « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric Bastiat, La Loi (1848) Détruire la liberté détruit l’Homme.
Le “pass” porte atteinte à l’échange.
« L’Échange, c’est l’Économie politique, c’est la Société toute entière; car il est impossible de concevoir la Société sans Échange, ni l’Échange sans Société. » Frédéric Bastiat, Échange (1850)
« L’échangeest un droit naturel comme lapropriété. (…) priver [ tout citoyen]de cette faculté, quand il n’en fait aucun usage contraire à l’ordre public et aux bonnes meurs, (…) c’est légitimer une spoliation, c’est blesser la loi de la justice. »Frédéric Bastiat, Association pour la liberté des échanges (1846) Le « pass » est un contrôle des échanges inter-humains. Une partie de la population est privée de cette liberté, ses échanges sont limités.
Le gouvernement prétend lutter et légiférer contre la discrimination. Du Défenseur des Droits au ministère chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances tout l’appareil étatique est mobilisé et que cette fois il ordonne la discrimination.
Il est interdit à un professionnel de discriminer ses clients, ses employés sur leur race, leur religion, leur couleur de peau ou bien d’autres choses mais la discrimination par la COVID est désormais légale, aujourd’hui à partir du moment ou mille personnes peuvent se rassembler. Mais demain ? Il sera facile de durcir et multiplier les critères d’application.
Son objectif est le contrôle des populations
La violence légale est politique. La contrainte légale est politique. Un « ausweis » est toujours politique, jamais médical. Il faut noter que les personnes peuvent voyager et avoir une vie sociale en étant porteur d’autres maladies infectieuses…mais ils en sont interdits s’ils ne peuvent pas prouver qu’ils n’ont pas la COVID. Les preuves, vaccin comme test, étant bien fragiles. Comme quoi c’est bien de la politique.
Pour l’État le principal n’est pas le contrôle de la COVID. Le contrôle d’une épidémie est une affaire médicale. Son objectif est le contrôle des populations. Il lui fallait agir vite.
L’Europe fut son alibi et son bouclier. La décision européenne d’imposer un « pass sanitaire » sert de justificatif à un comportement moutonnier d’abdication des dirigeants nationaux. Le panurgisme est une forme de gouvernement qui ne fait pas appel à la raison. L’Europe trahit ainsi, une fois de plus, ses textes fondateurs et sa philosophie d’être un espace de libre circulation pour les biens et les personnes. Cela confirme une fois encore que l’Europe qui se construit est un monstre totalitaire, centralisateur et technocratique.
Ne croyez pas que les politiciens subissent l’Europe. Ils la créent et la désirent, nous la subissons.
Le « pass sanitaire », peu sévère aujourd’hui, est une porte ouverte à un contrôle accru et de plus en plus strict des gens. Il y a de fortes chances que ce « pass » finisse par ne pas concerner uniquement la COVID. Rien n’empêchera l’État d’inclure d’autres critères tels que le comportement « citoyen » des individus, écolo-responsables comme il se doit, le comportement des entreprises « citoyennes », elles aussi « écolo-responsables » et « solidaires », le comportement routier, piéton, la fréquentation des sites politiquement incorrects, complotistes, conspirationnistes.
C’est la porte ouverte au « crédit social ». Si les Français ne peuvent plus voyager en Chine, la Chine viendra à eux. Avec une différence toutefois, si les Chinois ne se mêlent pas de politique ils s’enrichissent et la Chine est prospère. Que les Français se mêlent ou non de politique ils s’appauvrissent, et la France tombe en ruine.
Il suffira au gouvernement de trouver une bonne raison pour faire gober l’élargissement du « pass » aux Français. Soyez sans crainte,… façon de parler, il en trouvera. Il suffit de regarder que les« bonnes raisons » ne manquent pas pour le « pas sanitaire » : reprendre une vie sociale, culturelle, voyager. Toutes les mesures coercitives sont faites pour imposer le bonheur aux Français… malgré eux.
À côté du « pass » lui même plusieurs mesures périphériques ont vu le jour, ainsi en Israël, le bracelet électronique. Il faut cependant saluer ce pays qui a supprimé son « passeport vert » mais qui a maintenu les mesures de restrictions strictes pour les voyageurs se rendant en Israël.
Bien des gens sont tellement effrayés, épuisés par un an de crise qu’ils sont prêts à accepter n’importe quoi. Leur soumission est totale. Plusieurs victimes de la coercition réclament leur oppression etcelle de leurs concitoyens. Après la délation encouragée pour non respect des gestes barrières, certains se font les auxiliaires de cette coercition. La pression de la communauté s’exerce pour la vaccination des récalcitrants. Ce n’est plus « restez chez vous ! », c’est « vaccinez vous ! »
C’est le nec plus ultra du totalitarisme.
Mais la peur, ou une autre motivation, peut pousser de zélés zélotes à exiger ce « pass » ou un équivalent sans directive étatique.Ainsi un employeur, un familier, un parent pourrait l’exiger. Dans une société libre n’importe qui peut demander n’importe quoi, même de farfelu, pour accéder à sa propriété. La concurrence qui est libre choix, la responsabilité personnelle, le coût à supporter sont de bons régulateurs. Mais nous ne sommes pas dans une société libre.
Il faut être complètement naïf pour faire confiance à l’État pour protéger notre vie privée. Il est le premier à y porter atteinte. Comment pourrait-il protéger les personnes à partir du moment où son intérêt est l’intrusion dans cette vie privée ? Totalitaire pas essence l’étatisme ne reconnaît pas la vie privée, comment pourrait-il la défendre ?
La crise que nous vivons a mis en lumière la collusion entre le capitalisme de connivence et l’État. Toutes les informations ont de la valeur, en particulier celles qui concernent la santé. Soyons sûrs que l’un comme l’autre sauront en tirer profit.
Ouvrir les yeux
Nous avons vu supra que le « pass » est une atteinte aux Droits naturels. Elle s’ajoute à d’autres. Il ne faut pas croire que le « pass » est une petite atteinte. Le niveau de résilience, ou la capacité d’encaissement, de soumission des populations peut varier en fonction du poids de la « spoliation légale » que l’État leur inflige. Ce n’est pas parce qu’une population encaisse, ni même accepte, que porter atteinte à un Droit naturel n’est pas délétère ou grave. Toute atteinte à un Droit naturel est grave. Toute atteinte à un Droit naturel les détruit tous.
Les Droits naturels sont propres à l’être humain. La société c’est l’échange, l’économie c’est l’échange, l’Humanité c’est l’échange. La Liberté c’est l’Homme. Détruire ses Droits naturels c’est nier son Humanité, les anéantir réifie. La Grèce, Rome et le Christianisme avaient fait de l’individu une Personne, c’est fini. S’il en fallait des preuves, on les trouvera dans la manière indigne et inhumaine avec laquelle des malades ont été privés de soins , sont morts abandonnés et avec laquelle les défunts ont été privés de l’accompagnement décent et de rites funéraires propre à l’Homme, à cause de réglementations étatiques délibérées.
En ce sens la crise que les politiques ont créée est un bouleversement extrêmement profond social, économique, humain, jusqu’à la conception même de l’Homme dans les sociétés occidentales. Cela traduit bien un changement absolu de notre société. Changement dans ses fondations, dans ses racines, dans l’exigence de confiance minimale indispensable à un fonctionnement harmonieux d’une société humaine. C’est un changement civilisationnel.
Les pays du « G7 Finances » (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni.) viennent de se réunir à Londres et se sont engagés sur l’objectif d’un taux d’impôt minimal mondial sur les sociétés « d’au moins 15% ».
Cet engagement a été pris à l’initiative des Etats Unis et du nouveau président démocrate J Biden ; au rebours de la politique de D Trump qui avait fortement réduit les impôts sur les entreprises dans le but de favoriser leur retour aux Etats Unis.
Les USA sont passés de l’incitation fiscale à la contrainte fiscale notamment en raison des énormes plans de relance annoncés et de la distribution de chèques à chaque foyer, et se retrouvent dans l’obligation d’augmenter fortement les impôts ; ne serait-ce que pour éviter d’utiliser de manière continue et abusive la planche à billets porteuse d’inflation et de dérèglement de l’économie.
Les pays du G7 veulent surtout mettre fin à la concurrence fiscale qui s’est mise en place du fait de la globalisation des échanges (appelée aussi mondialisation) et qui a conduit, depuis trente ans, à une chute importante des recettes fiscales issues des entreprises alors que, parallèlement, le mouvement général de socialisation des sociétés a conduit à une explosion des dépenses publiques et logiquement a rendu les Etats de plus en plus dépendants de leurs recettes fiscales.
Des règles d’application mondiale
Cet impôt serait appliqué au lieu d’implantation du siège social et on peut considérer que cette démarche n’est pas illégitime lorsque l’on sait que le taux moyen d’imposition des multinationales est de 7.5% et que certaines, particulièrement les GAFAM, ne paient pratiquement rien … tout en réalisant des centaines de milliards de chiffre d’affaires.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la France, le Royaume-Uni, l’Italie et l’Espagne ont déjà mis en œuvre leur propre taxe numérique.
Alors qu’au départ, on parlait d’un taux de 21%, ce taux mondial, bien que ramené à 15%, aboutirait donc au doublement du taux moyen effectif actuel particulièrement bas …
Tout la difficulté sera évidemment d’imposer cette mesure à tous les Etats de la planète, y compris ceux qui n’ont pas participé à cette réunion et surtout aux paradis fiscaux ; et là cela risque d’être extrêmement complexe surtout que les entreprises visées n’hésiteront pas à transférer leur siège social vers des pays qui refuseront d’appliquer cette règle fiscale.
Il faudra déjà que cet engagement soit ratifié par les pays de l’OCDE ; or, rien que dans l’Union Européenne, nous sommes déjà en présence d’une ligne de partage entre les Etats qui cherchent des ressources budgétaires (France, Allemagne, Italie, Espagne, Pays-Bas) et ceux qui ont fondé leur modèle économique sur une fiscalité attractive (Irlande qui pratique un taux de 12.5%, Hongrie, Bulgarie, Chypre, Malte, Luxembourg et même la Suisse qui applique dans certains cantons un taux inférieur à 12%).
C’est donc pour l’instant essentiellement une gesticulation médiatique destinée à amuser le bon peuple et à lui faire croire que ce seront les autres qui paieront les impôts nécessaires pour rembourser les dépenses publiques engagées depuis un an et demi !
Madame Yellen, secrétaire d’Etat au trésor de J Biden ne vient-elle pas d’affirmer « Cet impôt minimum mondial va mettre fin à la course au moins-disant fiscal pour les entreprises, et contribuer à plus d’équité pour la classe moyenne et les travailleurs aux États-Unis et à travers le monde ».
La situation française
Bruno Le Maire n’a pas pu s’empêcher d’exulter en affirmant qu’il s’agissait d’un accord « historique » tout en prétendant que cette décision avait été prise à l’initiative de la France alors que l’on sait que nos élites cherchent à taxer les géants du numérique qui, jusqu’ici, ont réussi globalement à échapper à l’impôt français !
Seulement, à bien y regarder, ce taux de 15% n’est pas vraiment comparable avec les taux pratiqués en France ; ce qui explique d’ailleurs que Bruno Le Maire ait ensuite affirmé « c’est un point de départ et dans les mois qui viennent nous allons nous battre pour que ce taux d’imposition minimal soit le plus élevé possible » c’est à dire le plus proche possible des taux pratiqués par la France !
Et on comprend mieux le sens de cette déclaration lorsque l’on sait que le taux d’impôt sur les sociétés français varie de 26.5 à 27.5% en fonction du Chiffre d’Affaires et qu’il est donc largement supérieur au taux moyen d’impôt sur les sociétés dans le monde qui se situe lui à 22% !
Et encore, ces taux français ont-ils baissé ces dernières années parce qu’ils se situaient encore, il y a peu, à un niveau bien supérieur … vraiment trop pénalisant (au-delà de 30%) ; ce qui explique d’ailleurs le manque de compétitivité des petites et moyennes entreprises françaises, qui ne disposent elles aucun moyen d’évitement fiscal et paient donc bien plus que cette moyenne mondiale de 22% ; enfin pour celles … qui font des bénéfices !
Car, la France fait figure à cet égard de véritable précurseur c’est à dire qu’elle cherche à tout prix à récupérer des recettes fiscales après avoir tari leur source du fait d’une politique fiscale qui a totalement laminé notre secteur industriel avec des entreprises qui ont soit disparu soit délocalisé !
N’oublions pas non plus que le grand fantasme des élites françaises, qui sont toutes, il faut le rappeler, des fonctionnaires payés par les impôts des autres, est d’augmenter les impôts et surtout de resserrer les mailles du tamis pour augmenter le rendement fiscal !
La logique des petits hommes gris de l’Etat étant d’engager toujours plus de dépenses du fait de l’augmentation permanente de leur sphère d’intervention, cette augmentation s’accompagne en retour d’une augmentation inéluctable de la pression fiscale et explique que nous soyons passés de l’impôt volontaire et citoyen à l’extorsion fiscale, voire même parfois à la spoliation pure et simple !
On se situe là évidemment au niveau de la conception française de l’impôt redistributif et solidaire qui peut tout et surtout de remodeler la société en luttant contre les inégalités … en contradiction flagrante avec les principes constitutionnels affirmés dans la déclaration des droits de l’homme de 1789 !
Art. 13. Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Art. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
Fatalement, dans cette logique, on comprend que tout bénéfice non taxé par l’Etat constitue un « manque à gagner » vite requalifié, pour les besoins de la cause, de fraude fiscale et on sait que les services de Bercy évaluent le montant de cette fraude fiscale à l’aune de déficits budgétaires essentiellement liés à une mauvaise gestion de la part de ces mêmes fonctionnaires !
En outre, on sait que l’évasion fiscale est un exercice très difficile en France du fait des très importants moyens de traque mis en place !
Ce qu’il ne faut pas perdre de vue, c’est qu’un pays surimposé comme la France se retrouve, de facto, entouré de paradis fiscaux relatifs et que cela provoque à la fois une perte de compétitivité et la fuite des entreprises qui recherchent de meilleures conditions d’activité.
On comprend alors que la notion de paradis fiscal est une notion relative qui n’existe que par rapport aux enfers fiscaux et que la France est bien un enfer fiscal !
Il eut été souhaitable, au lieu de fixer un taux minimal d’imposition, qu’on fixe un taux maximal d’imposition … Mais, il faut être lucide, à 15% l’impôt sur les sociétés mondial sera toujours d’un montant beaucoup trop faible par rapport à la pratique fiscale française !
Augmenter l’impôt moyen mondial, c’est donc diminuer la concurrence fiscale face à laquelle l’Etat fonctionnaire se trouve totalement démuni et le fantasme des petits hommes gris de l’Etat est donc de faire monter le taux d’imposition des autres pays au taux français !
Et c’est d’ailleurs là que se situe désormais la marge de progression fiscale (les spécialistes parlent de « nouveaux gisements fiscaux ») surtout qu’il va falloir un jour renflouer les caisses étatiques vidées par les politiques budgétaires récentes (quoiqu’en France, elles étaient déjà vides) ce que l’on peut traduire par l’expression suivante :
Après avoir complètement essoré les entreprises françaises, Bercy veut s’attaquer aux entreprises situées à l’étranger !
Vaste programme !
Bien cordialement à tous !
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Quelle chance avait raisonnablement l’auteur de la gifle de voir arriver sur lui Macron en courant et, en quelque sorte, en tendant la joue ? Aucune.
Cet acte n’est donc pas prémédité, c’est un acte réflexe. Est-il lié à la position sociale du gifleur où du giflé ? Je dirais les deux.
Difficile donc de déterminer qui a tort et qui a raison dans l’absolu.
Deuxième constat
La réaction de Macron, et sa déclaration.
Il réagit sainement, courageusement, il affronte. Parfait.
Mais sa déclaration est stupide, et c’est là que le bât blesse : “Il faut respecter les fonctions dans la République et je ne lâcherai jamais ce combat”.
C’est l’inverse qui s’impose.
Dans tous les cas les hommes doivent être respectés, c’est en cela que l’auteur de la gifle est condamnable.
Les structures et les fonctions au contraire doivent être constamment remises en question, c’est l’objet même de la démocratie.
Par essence la structure tend à devenir oppressante, elle doit être constamment critiquée, adaptée à l’évolution de la société. C’est à cela que sert l’Assemblée Nationale. Toute démocratie n’est que possibilité pour le démocrate de juger et de remettre en question la structure de gouvernance.
L’inverse de la pensée profonde du jeune Macron.
Vu son âge politique, ce n’est pas une gifle qu’il faut à Macron, c’est une bonne fessée (électorale). Il la mérite, pour inverser ainsi l’ordre des choses et exposer le pays à la violence en lui faisant croire que ses problèmes sont liés au choix des chefs et non à de profondes modifications structurelles indispensables.
On comprend mieux son échec, son cantonnement politique stupide limitant nos choix à lui ou Le Pen, ce qui n’a pas de sens.
Voilà une gifle fondatrice, arrivée dans le débat par hasard, mais essentielle.
Sera-t-elle analysée comme il se doit ? Nous verrons.
J’ai souvent répété ceci : pour moi, l’essentiel des malheurs du monde est le fait d’un peu moins de deux cents organisations criminelles, parfaitement identifiées et connues de tous, organisations criminelles appelées états.
Quand les peuples sont malheureux, c’est-à-dire presque tout le temps, ils rêvent leur salut dans un changement des hommes de l’état dont ils sont les esclaves. C’est bien sûr complètement idiot : au sein d’une mafia, les parrains se succèdent (vieillesse, maladie, assassinat, ce que vous voudrez…), mais la mafia reste, intacte et toujours aussi nocive. Éliminer un parrain ne sert à rien, il est immédiatement remplacé par un autre, le plus souvent pire que son prédécesseur. Ce ne sont pas les dirigeants qu’il faut combattre, c’est la mafia en tant que telle qu’il faut mettre au pas.
Et c’est exactement la même chose pour les organisations criminelles que sont les états.
Quand les hommes d’un état ont pris trop de pouvoir, le peuple de cet état ne peut tout simplement pas faire l’économie d’une forme de révolution, qui consiste à prendre ou reprendre le pouvoir extorqué. Plusieurs anthropologues ont montré que le pouvoir est contraire à la nature humaine : il n’y avait pas de pouvoir dans les sociétés primitives. Il y avait bien des chefs, désignés d’une manière ou d’une autre, mais ces chefs étaient sans pouvoir. Malheur au chef qui prétendait à quelque forme de pouvoir : il se trouvait mis à mort, ou à tout le moins, chassé de la tribu, ce qui revenait d’ailleurs au même.
Dans beaucoup de pays occidentaux, sans doute, et en France, à coup sûr, il est temps, plus que temps, de remettre les hommes de pouvoir à leur place : celui qui paye, c’est celui-là qui doit avoir le dernier mot.
Peuples, vous ne pouvez plus l’ignorer, pas de cerveau humain qui résiste à l’hybris : le pouvoir sur autrui étant par nature contre nature, rend fou et ne connaît pas de limites.
Le pouvoir, contre la société. Les hommes de pouvoir contre les peuples. [1]
Ouvrons les yeux ! Nous avons cru que nous avions « touché » le fond : folie fiscale devenue fureur fiscale, invasions criminelles massives, extrême insécurité érigée en mode de vie ordinaire… nous étions en train d’en mourir, toujours plus pauvres face à nos prédateurs toujours plus riches, étalant avec insolence leurs richesses et leurs fastes, volés à nos économies. Nous ne le savions pas, mais non, nous n’avions pas touché le fond !
En marche pour le pire, et disons-le plus simplement, en marche pour la mort : sous prétexte d’une pandémie qui n’a jamais existé que dans l’imaginaire de quelques furieux et d’un nombre plus considérable de désinformés, on nous a confinés, déconfinés, masqués jusque dans nos bois les plus retirés ou sur nos plages de plus grand vent, imposés couvre-feux et laissez-passer les plus humiliants… et bien tout cela n’était rien encore ! Voilà désormais pour tous l’obligation de se faire injecter des produits totalement inutiles, puisque la maladie est rare et qu’on peut la traiter, des produits dont on ne sait à peu près rien, sinon qu’ils sont le fait de criminels multirécidivistes, au casier judiciaire lourd comme un corps mort de grand cargo ! Des gens que les gens normaux se gardent bien de fréquenter, de près ou de loin. Mais des gens qui sont les relations intimes de nos hommes de pouvoir. On ne sait pas bien qui tient le plus l’autre par la barbichette, mais on sait qui paye le barbier !
L’injection obligatoire, proprement injustifiable. Ou bien l’injection est effectivement un vaccin et protège l’injecté du risque de maladie, et dans ce cas, comment justifier une obligation ? Ou bien l’injection ne protège pas du risque de maladie (comme l’a d’ailleurs affirmé l’homme de pouvoir Olivier Véran), et dans ce cas, comment justifier l’obligation ?
L’injection ne protège pas, mais évite les formes graves, nous dit-on. Parfait. Mais des médicaments beaucoup moins coûteux et sans risques font exactement la même chose. Dans un espace de liberté, je devrais pouvoir choisir ma solution.
Je ne peux plus ? Signe certain qu’il plus que grand temps, non de changer les hommes de pouvoir, mais de les remettre à leur place.
Ce qui ne peut se faire que si le peuple se réveille. Se réveillera-t-il ? Pour vous le dire franchement, je nourris les plus grands doutes à ce sujet. Mais peu importe, je suis partisan de faire comme l’a dit en son temps le prince d’Orange[2].
Et puisque nous en sommes aux références, cette légende que je crois indienne et que j’adore :
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : «Colibri! Tu n’es pas fou? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu!»
Et le colibri lui répondit : «Je le sais, mais je fais ma part.»
Mon billet ? Bien d’accord avec vous : même pas la goutte d’eau apportée par l’oiseau mouche. Mais comme lui… je fais ma part.
Bormes les mimosas, 7 juin 2021
[1] Voir « La Société contre l’état » de Pierre Clastres : http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-La_Société_contre_l’État-1999-1-1-0-1.html
[2] « Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre… »
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« Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric Bastiat,La Loi (1850) Ce sont les Droits naturels pour la défense desquels Bastiat c’est battu toute sa vie.
La société française, depuis un an, est devenue une société totalitaire où le gouvernement, au prétexte d’empêcher les gens de mourir d’une maladie qui tue très peu (0,07 % de létalité quand soignée, et pas de décès en dessous de 60 ans) empêche toute la population de vivre.
L’outil totalitaire, conçu pour paraît-il vaincre l’épidémie, repose sur deux piliers :
la vaccination avec le chantage à la vie normale et l’énorme pression politico médiatique en faveur du vaccin.
Intérêt général, intérêt personnel.
Un des arguments utilisés pour imposer la vaccination est de protéger les autres. Dit autrement : ne pas penser à soi, vaincre son égoïsme, penser à la collectivité, à la communauté. Cela pour suivre le fameux adage qui veut que « l’intérêt général » prime sur « l’intérêt personnel ».
Il faut être conscient que l’intérêt général, hors unanimité, n’existe pas. Il n’est, au mieux, que l’intérêt d’une majorité. Il est surtout une pénalité pour tous les autres. Cette minorité opprimée peut-être réduite à sa plus petite expression : un seule personne. Or tout être humain mérite le respect de ses Droits Naturels.
Pousser une Personne à se sacrifier pour l’intérêt collectif, qualifié souvent de « bien » collectif, signifie que ne pas se sacrifier est « mal ». Cela s’apparente à un sacrifice humain, en moins sanglant, mais relève tout autant de la pensée magique.
Ce sacrifice de la Personne revient :
– À ne pas considérer la société humaine comme une communauté de personnes libres et responsables. L’Homme est un être social qui coopère naturellement avec ses semblables. « L’Échange, c’est l’Économie politique, c’est la Société toute entière; car il est impossible de concevoir la Société sans Échange, ni l’Échange sans Société. (…)Si les hommes, comme les colimaçons, vivaient dans un complet isolement les uns des autres, s’ils n’échangeaient pas leurs travaux et leurs idées, s’il n’opéraient pas entre eux de transactions, il pourrait y avoir des multitudes, des unités humaines, des individualités juxtaposées; il n’y aurait pas de Société.
Que dis-je? il n’y aurait pas même d’individualités. Pour l’homme, l’isolement c’est la mort. Or, si, hors de la société, il ne peut vivre, la conclusion rigoureuse, c’est que son état de nature c’est l’état social. » Frédéric Bastiat, Harmonies économiques, Échange. (1850)
Les Hommes échangent librement des services pour le plus grand profit de chacun, donc au final, de tous, puisque chacun trouve son avantage. Personne n’est pénalisé, personne ne reste sur le carreau. L’échange c’est la société. Les mesures de coercition sociales entravent les échanges et détruisent la société.
– À considérer la société humaine comme une société d’insectes, de fourmis ou de termites, où l’individu n’existe pas, ne compte pas, où seule existe la collectivité complètement figée et hiérarchisée.
À cause de cela l’Humanité de chacun est niée, annihilée. Les individus ne sont plus des Personnes mais des numéros, des rouages interchangeables de la mécanique sociale. Les Hommes de l’État sont des mécaniciens qui usent et jettent les pièces de la mécanique selon leur bon vouloir.
C’est ce qui se passe avec la poursuite de la pression pour une vaccination de masse. La pression vaccinale est entretenue alors que le gouvernement lui-même reconnaît que l’effet protecteur individuel est incertain, surtout avec les variants, que l’effet protecteur des autres est non avéré et, pour couronner le tout, que des formes plus graves de la maladie peuvent se voir chez les vaccinés. Le tout validé par le Conseil d’état.
Comme si les hommes de pouvoir, dépourvus de compassion, ne savaient pas tirer de leçon de la mort de jeunes adultes, qui ne seraient jamais morts de la COVID. Ces morts ne sont pas considérés comme des Personnes mais comme des individus indifférenciés qui peuvent être sacrifiés à la collectivité.
Or la mort d’un être humain qui n’aurait pas dû mourir ne saurait être considérée comme un « dégât collatéral » acceptable au regard d’une prétendue « balance bénéfice/risque favorable ».
La Personne et la balance bénéfice/risque.
La balance bénéfice risque du vaccin contre le SARS-coV2 a toujours été mise en avant.Depuis l’affaire du vaccin Astrazeneka, responsable de thromboses mortelles, la balance bénéfice/risque présentée comme favorable à la vaccination est davantage encore relayée. Les politiciens, les médias et bien des médecins nous bassinent à longueur de journée.
C’est une manipulation. La balance bénéfice risque ne peut, et ne doit, s’apprécier qu’au niveau de chaque personne. Il n’est pas sain de comparer des personnes différentes ayant chacune des caractéristiques distinctes qui influent sur cette balance. Elle n’est pas la même chez une personne âgée ou atteinte de comorbidités, que chez un adulte ou un enfant sains.L’appréciation de cette balance est propre à chacun. Elle fait intervenir la relation intime médecin/malade et la responsabilité personnelle. Pour les personnes qui ont zéro risque de mourir de la COVID, un risque, même infime, d’être tué par le vaccin est inadmissible. Faire courir un tel risque n’est pas éthique. Faire courir un tel risque à ces personnes ne sauvera pas une personne à risque.
En ce qui concerne les enfants, hors comorbidité grave ils n’ont aucun risque de complication, ni de décès, la balance bénéfices/risque est systématiquement défavorable au vaccin. Malheureusement, tout à leur obsession monomaniaque (une seule solution, la vaccination.) certains voudraient les vacciner. « Justement, la France prépare une étude sur les effets du vaccin AstraZeneca chez l’enfant avec Covireivac. « On proposera à des parents et enfants volontaires de participer à l’essai clinique pour évaluer, non pas l’efficacité, mais les effets secondaires et la production d’anticorps, explique la présidente de la Société française de pédiatrie. (…) Si nous découvrons deux effets secondaires graves, on arrête tout de suite. » (Source)
Ne pas évaluer l’efficacité confirme ce que l’on sait déjà : sur une maladie qui ne tue pas les enfants, même une efficacité à 100 % (De quoi d’ailleurs.. ?.) n’apportera rien. Dans ce cas le vaccin est inutile. Si les seuls critères étudiés sont les effets secondaires ce n’est pas éthique. L’étude sera arrêtée en cas d’effet secondaire grave, mais ce sera déjà trop tard les dégât seront là. Il ne faut pas oublier non plus que des études rassurantes n’excluent pas des effets graves à long terme. Ces effets peuvent n’apparaître que sur de longues séries, donc seulement quand le vaccin est utilisé larga manu dans la vraie vie. Nous venons de le vivre avec le vaccin Astrazeneka chez des adultes jeunes.
Cette proposition de vacciner les enfants « pour sortir de l’épidémie » s’appuie sur des modélisations. On constate pourtant qu’aucune modélisation apocalyptique ne s’est réalisée. Même pas dans les pays qui n’ont pas confiné. Cela devrait amener nos prétendues élites et nos dirigeants à réexaminer la pertinence de cet outil de gouvernance.
L’objectif qui sous tend cette préconisation vaccinale est l’éradication virale. Non seulement peu réaliste mais inutile pour « sortir de la crise ». Ce sont les politiques qui imposent cette condition parce qu’elle les arrange. Elle justifie leurs mesures de coercition sociale et de vaccination à tout va, sans discernement aucun.
Revenir sur terre, respecter la Personnalité.
Il y a eu trop de morts, trop de malheurs, trop de souffrances dans cette affaire de la COVID. Il est temps que cela cesse. Il faut mettre fin au grand n’importe quoi qui règne depuis plus d’un an. Il faut arrêter la spirale infernale dans laquelle le gouvernement a embringué la France. Il est temps de ne plus ajouter du malheur au malheur. De ne plus ajouter aux malheurs de la maladie les malheurs de leur incurie. Il est temps que nos gouvernants reviennent sur terre et fassent preuve d’humilité et de bon sens. Il faut faire une pause et regarder la situation avec calme et bon sens.
Les gens n’ont pas peur de mourir, ils ont peur de vivre.
Il ne faut plus avoir peur de vivre.
Il faut un retour immédiat à la normale et une prise en charge des malades rapide et mobilisant plusieurs moyens :
Il faut travailler avec l’immunité naturelle grâce aux personnes sans risque. Il faut se concentrer sur la protection des gens à risque, en respectant leur libre arbitre. L’enfermement du reste de la population ne leur apporte aucune protection. Il n’y a aucune indication médicale à une vaccination de masse pour une maladie globalement peu mortelle, https://www.sudradio.fr/emission/bercoff-dans-tous-ses-etats-461/ et dont la létalité en dessous de 60 ans peut être ramenée à zéro quand les gens sont soignés. (Voir supra).
Il faut isoler les malades, dépister intelligemment, vacciner pertinemment, respecter les gestes barrières à bon escient, traiter précocement avec des traitements efficaces, hydoxychloroquine ou ivermectine même s’ils ne sont pas reconnus officiellement en France. Il faut augmenter nos capacités en lits hospitaliers et en lits de réanimation, armés évidemment.
Le Droit romain, le Christianisme, le Libéralisme ont transformé un individu en une Personne. La Personnalité est spécifique à l’Humanité. Les colonies de fourmis ou de termites sont constituées d’individus, pas de Personnes. La destruction de la Personne réifie les êtres humains. La négation de la Personne est un recul civilisationnel.
Nous sommes le 6 juin. Il y a 77 ans, les Alliés débarquaient en Normandie et s’apprêtaient à nous rendre la liberté. Qu’avons-nous fait de cette liberté ?
Pendant les années de reconstruction de la France, nous avons eu à cœur de travailler à cette tâche, et puis tout s’est gâché. Les querelles ont repris, ce dont on ne peut s’étonner, connaissant la nature humaine, mais surtout nous avons progressivement tourné le dos aux principes fondamentaux de 1789, jusqu’à les nier complètement au lieu de nous y référer chaque fois qu’ils étaient remis en cause.
Rappelons que la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 proclame que les droits naturels et imprescriptibles de l’Homme sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.
Qui peut dire aujourd’hui que dans la France actuelle ces droits sont respectés ?
Le simple énoncé de ces droits devrait être un viatique pour tout citoyen français. Il devrait pouvoir s’en prévaloir en toutes circonstances et notamment quand l’Etat le met en difficulté. Mais se réclamer de ces droits devant un tribunal français suscite le mépris des juges qui estiment n’avoir à respecter que leur propre opinion.
C’est ainsi que s’est noué le drame du monopole de la sécurité sociale. Ce monopole a été abrogé par les directives européennes prises en application du traité de l’Acte unique de 1986, qui avait décidé qu’à partir du 1er janvier 1994 le marché intérieur européen « comporte un espace sans frontières intérieures dans lequel la libre circulation des marchandises, des personnes, des services, et des capitaux est assurée selon les dispositions du présent traité. »
La libre circulation généralisée entraînait l’abrogation de tous les monopoles, y compris celui de la sécurité sociale, car chacun devait pouvoir vivre et travailler dans n’importe quel Etat européen en conservant notamment sa protection sociale.
La date de mise en œuvre de ces dispositions était le 1er juillet 1994. Le gouvernement étant muet, je publiai le 30 juin 1994 dans Le Figaro un article intitulé « La révolution du 1er juillet ». La seule réaction fut un petit communiqué de Mme Simone Veil, ministre des affaires sociales, prétendant qu’en fait cette réforme ne concernait que les assurances complémentaires. Ce fut le premier mensonge d’une très longue série. La France officielle venait de décider de nier ses engagements européens pour préserver un système social désormais illégal et qui, par son coût déraisonnable et ses effets désastreux sur les entreprises, conduisait notre pays à l’abîme !
Vingt-sept ans ont passé. La France officielle continue de refuser la fin du monopole, me poursuit en justice et veut m’envoyer en prison pour avoir simplement dit publiquement que le monopole était abrogé par les lois de la République, ce qui est la stricte vérité.
Cette vérité, en outre, n’a aucun caractère idéologique. Il s’agit de la simple conséquence de la construction européenne. Comment un pays comme la France peut-il se comporter comme s’il n’avait pas signé tous les traités européens, transposé toutes les directives et appelé les électeurs à approuver ces décisions ?
Les principaux responsables sont évidemment les politiciens français, dont un seul, je dis bien un seul, a soutenu notre démarche, alors qu’une immense majorité d’entre eux a voté tous les textes qui libèrent la protection sociale d’un monopole moyenâgeux et catastrophique pour la prospérité de notre pays.
Si l’on veut avoir une idée des bienfaits d’une libération de la protection sociale, on peut considérer que le maintien du monopole coûte plus de 150 milliards d’euros par an, qu’on pourrait économiser et qui bénéficieraient pour l’essentiel aux salariés. En 27 ans, c’est près de 4 000 milliards d’euros qui auraient pu aller à la consommation des ménages, aux investissements des entreprises et donc à l’emploi. Avoir refusé aussi obstinément ces mesures salvatrices ne mérite qu’un seul qualificatif : criminel !
Mais les politiciens ne sont pas, loin de là, les seuls responsables. A égalité dans la trahison de leurs devoirs, il y a aussi les juges. Car en dernière analyse, ce sont eux qui ont volé ces 4 000 milliards aux Français.
Je regrette que tous les Français ne puissent, faute de temps et d’envie, assister au spectacle de ces juges qui massacrent leurs droits et leurs espoirs. S’ils le faisaient, la réforme de la justice serait faite depuis longtemps et on aurait remplacé ces magistrats arrogants, vaniteux et dépourvus de toute humanité par des juges ayant connu le travail et la vie, et qui seraient sévères quand ils ont affaire à des malfaiteurs mais bienveillants quand en face d’eux comparaîtraient des citoyens à la recherche de leurs droits bafoués.
Je ne suis pas pessimiste sur l’issue de ce combat. Plus de 500 000 entrepreneurs se sont libérés et ont, grâce à cela, sauvé leur outil de travail. Les juges ne savent plus quoi inventer pour faire dire aux lois le contraire de ce qu’elles disent. Et la France entière attend cette libération qui la fera pousser un immense cri de joie alors qu’aujourd’hui elle se languit de misère et d’impuissance.
« Tout le malheur de l’homme vient de ce qu’il ne sait pas prendre un langage simple », disait Albert Camus. Alors je prendrai un langage simple : Il faut briser les juges !
Claude Reichman
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Port du masque obligatoire, protection ou soumission?
Emmanuel Macron dans son intervention du 30avrila bien précisé que les gestes barrière étaient maintenus après le 30 juin, dernière étape de son plan dit « de déconfinement. » Il peut être intéressant de s’arrêter sur le port du masque.
1 Rappel utile
« Les études scientifiques sur l’utilité du masque pour lutter contre les épidémies, en protégeant une population des virus respiratoires, restent encore peu nombreuses et s’appuient principalement sur des données observationnelles. Il est en effet difficile de réaliser des études randomisées de qualité sur cette question, puisqu’on ne peut pas demander à des gens de s’exposer au virus avec ou sans masque pour mesurer l’efficacité de ce dernier. » Source
Le masque est conçu pour un usage médical
Le « masque chirurgical » a été conçu initialement pour un usage médical. Il« aurait été utilisé la première fois en 1897. »Lors d’une intervention chirurgicale il protège de l’infection le champ opératoire et la plaie opératoire. Dans la même logique, porté par un patient contagieux ce masque protège l’entourage.C’est pourquoi, très tôt, en particulier en Asie, il a été utilisé pour essayer de protéger les populations lors d’épidémies. Aujourd’hui il y est devenu habituel en période d’infection. Le but du masque facial est de protéger le porteur et l’entourage de la transmission aéroportée de germes, et accessoirement contre un risque de projection de liquides biologiques. Il y a deux types de transmission aéroportée.
Les gouttelettes : gouttelettes de salive ou de sécrétions des voies aériennes supérieures émises lors de la toux, la parole, l’éternuement. > 5μ elles sédimentent rapidement dans l’environnement immédiat (moins d’1 m). Elles entrent en contact avec les muqueuses ORL et/ou oculaire. Elles sont fréquemment associée à une transmission par contact (mains sales, surfaces, objets souillés.)
Les aérosols : Aérosols de fines gouttelettes < 5 μ (sécrétions bronchiques émises lors de la toux) ou de poussières portant le germe. Ils sont relativement résistants dans l’environnement et véhiculés sur de longues distances. Ils sont inhalés par l’hôte.
La protection est toujours imparfaite quel que soit le type de masque.
Pour considérer l’efficacité il ne faut pas se limiter à comparer la taille du virion de SARS-coV2 à la taille du « trou » du masque. La taille du coronavirus varie de60 nanomètre à 140 nanomètre (0,06 micron et 0,14 micron). Un masque chirurgical a une efficacité de filtration pour une particule à partir de 3 µm. Un masque FFPest filtrant pour une particule à partir de la taille de 0,6 µm (Source)Une particule virale ne peut se déplacer seule à l’extérieur. Elle est portée par un vecteur . Il faut tenir compte de la taille du vecteur. Pour faire une comparaison, une personne sur un vélo peut entrer par une porte. Plusieurs personnes dans un bus ne passerontjamais. Il faut aussi tenir compte des fuites vers l’intérieur et vers l’extérieur et du fait que le masque est souvent touché et mal porté.
2 Vint la COVID-19
Au commencement la négation
Le gouvernement avait, aux premiers temps de l’épidémie, prêché l’inutilité du masque. Il faut dire que la France en était dépourvue à cause de l’incurie étatique,allant du non renouvellement à leur destruction.
En début d’épidémie les pays asiatiques ne confinaient pas mais testaient, traçaient, rompaient les chaînes de contamination, isolaient les malades, les traitaient immédiatement et leur population portait des masques. Il est probable que le port du masque ait joué un rôle dans leur réussite de la gestion de l’épidémie. Lequel précisément on ne sait pas. Au même momentla France démunie de tout, manquait de tests, de gel hydroalcoolique, de tenues de protection, ne traitait pas les malades en phase précoce, détournait les malades des cabinets médicaux, déclarait inutile le port du masque et enfermait sa population. Or, compte tenu de ces circonstances, face à un virus inconnu, quand tout partait à vau l’eau, le bon sens aurait voulu que la France mobilise tous les moyens disponibles.L’utilisation de masques, foulards ou autres avaient un sens. Même une efficacité faible n’était pas à négliger.
Aujourd’hui l’obligation
Le gouvernement a fini par rendre obligatoire le port du masque, y compris en extérieur. Le contexte est très différent. Les tests sont largement disponibles au point qu’ils sont effectués à tire-larigot dans une logique politique. Pour le gouvernement le nombre de tests effectués est un gage de qualité de la prise en charge de la COVID. Le nombre de tests positifs sert à effrayer la population. Les masques sont abondants et, corollaire, obligatoires en de multiples lieux. Cette obligation relève d’une directive politique.
Aujourd’hui nous avons du recul. L’absence du port du masque en population générale n’entraîne pas d’apparition de foyer, ni de résurgence épidémique. « Lorsque le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a supprimé l’obligation de porter un masque et les autres restrictions liées au COVID imposées aux entreprises et aux particuliers, le Dr Anthony Fauci a qualifié cette décision de “risquée” et de “potentiellement dangereuse”. Mais aucune flambée n’a eu lieu. Plus tôt ce mois-ci, le Dr Fauci a eu du mal à expliquer comment le Texas a défié ses propres prédictions lors d’une apparition sur MSNBC, arguant à l’époque qu’il pouvait y avoir un “décalage”. Trois semaines plus tard, il n’y a toujours pas de recrudescence des cas au Texas. »Ceci est à rapprocher des manifestations sans gestes barrière regroupant plusieurs centaines, voire milliers, de personnes, telles que la carnaval de Marseille qui n’ont donné lieu à aucun foyer non plus. Contrairement à ce qui avait été largement annoncé.
Les gouttelettes et les aérosols diffusent bien sûr. Le fait qu’il y ait du virus sur les objets ou dans l’air, qu’on en porte sur les mains ou qu’on l’ inhale, n’implique pas automatiquement une infection. Il faut que la quantité de virus (charge virale) soit suffisante et que le seuil infectieux (Capacité des défenses immunitaires) de l’organisme soit dépassé. « À l’heure actuelle, ces observations contrastent toutefois avec les données issues de la pratique clinique. Si dans certaines conditions expérimentales et dans des environnements intérieurs mal ventilés il existe un potentiel de transmission du virus par les aérosols, l’expérience clinique de la gestion de la pandémie suggère plutôt que le mode de transmission du SARS-CoV-2 est de courte portée, par les gouttelettes et le contact étroit. » Source À l’air libre les virus sont vite dilués et éloignés.Il en est de même dans des locaux ventilés. La probabilité que la charge virale soit suffisante et que le seuil infectieux soit atteint est très faible, voire nulle. La transmission à l’extérieur représente 0,1% des cas de Covid-19 Il ne faut pas oublier la cinétique de ces épidémies que l’on ne connaît pas vraiment.Enfin, pour une réelle protection il faudrait former les utilisateurs.
Tout ces faits rassurants devrait entraîner la confiance pour un retour à la liberté. Malheureusement ces nouvelles sont occultées, comme tout ce qui rassérène et qui enlève une quelconque justification au totalitarisme étatique.
La soumission à l’Autorité Centrale
Certains voudraient qu’être masqué soit la norme.Si ce n’est que de vivre masqué n’a rien de normal. Si les mesures de coercition sociale rentrent dans les mœurs c’est la servitude qui est intériorisée. Le masque en population générale n’en est qu’un témoin plus visible que d’autres. Il est donc aisé pour les autorités et la population de repérer les dissidents et de les présenter comme « responsables » de l’infection. Cela facilite la répression et la délation. Nous sommes bien dans une logique totalitaire. En vérité ce qui se joue avec le port du masque obligatoire c’est la soumission.
3 Alors que faire ?
Le port du masque doit s’appuyer sur les circonstances et le bon sens. Ce qui est certain c’est que :
– Obstruerlongtemps, hors nécessité professionnelle,les voies aériennes supérieures n’est pas sain, encore moins pendant une activité physique.
– Masquer la population générale ne protège pas les véritables cibles qui sont les personnes fragiles. – Imposer le masque aux enfants qui ne sont que rarement malades et peu contagieuxest immoral.
Porter un masque doit être apprécié à travers deux éléments. – L’intérêt par efficacité objective. Il semble bien aujourd’hui qu’en population générale il est peu utile, encore moins en extérieur ou dans une pièce ventilée. – L’intérêt pour vaincre la peur. Il peut servir. Nous avons vu que, pour l’État, dans ces épidémies, la science compte moins que l’irrationnel,pour la population, les réactions sont émotionnelles.
Le port du masque doit reposer sur la Responsabilité personnelle, le libre choix. Le tout en tenant compte de la nécessité de faire attention aux personnes fragiles etde ne pas porter tort à autrui. Le libre choix c’est surtout le pouvoir dire « non ». Le pouvoir de dire non est protecteur parce que rien n’est imposé à autrui. (Non je ne reçois pas à ces conditions, non je n’entre pas dans ce lieu à ces conditions etc…) La liberté de choix et la responsabilité individuelle entraînent la disparition de la délation, et celle du flicage numérique.
4 Conclusion
Laissons la conclusion à Emmanuel Macron :« Je pense m’étouffer avec ça (…) j’ai dû absorber un truc du masque »C’est une synthèse de tous les inconvénients du masque.
N’oubliez pas de vous laver régulièrement les mains
Notamment à la page 71, l’article 3 du Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance, le TSCG, qui traite de l’interdiction des déficits structurels (les mauvais), est rapporté, il dit :
” Les parties contractantes ne peuvent s’écarter temporairement de leur objectif respectif à moyen terme ou de la trajectoire d’ajustement propre à permettre sa réalisation qu’en cas de circonstances exceptionnelles, telles que définies au paragraphe3, point b”
Et le paragraphe 3, point b, dit :
“Les “circonstances exceptionnelles” font référence à des faits inhabituels indépendants de la volonté de la partie contractante concernée et ayant des effets sensibles sur la situation financière des administrations publiques ou à des périodes de grave récession économiques telles que visées dans le pacte de stabilité et de croissance révisé, pour autant que l’écart temporaire de la partie contractante concernée, ne mette pas en péril sa soutenabilité budgétaire à moyen terme”
Pour les Etats dispendieux, incapables de maîtriser leurs déficits structurels, COVID est rapidement apparu comme une formidable opportunité de faire péter les digues de l’endettement. Vous voyez les liaisons…. pas besoin de dessin.
Pour le reste le livre est pessimiste, évidemment.
Comme tous les ouvrages sur l’économie, bien que particulièrement renseigné et honnête, ce livre ramène l’économie à la lecture de chiffres et de courbes, alors qu’elle est un phénomène strictement comportemental, issu des attitudes rationnelles et irrationnelles des hommes pour satisfaire leurs besoins vitaux et superflus.
Bonne lecture.
Bien à vous. H. Dumas
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Beaucoup de Français croient que ce que nous impose le gouvernement avec la vaccination contre le coronavirus est de l’ultralibéralisme, dont l’objet est d’enrichir « BigPharma ».
La vérité oblige à dire que cette politique a peut-être pour but d’enrichir « big pharma » mais n’est en rien ultralibérale, ni libérale.
La vérité pour éclairer
Le confinement détruit les Droits Naturels individuels universels. Il ne fait pas partie, par principe, des solutions pour une prise en charge d’une épidémie.
La COVID est très peu mortelle. Il existe des solutions synergiques pour la prévenir et pour la traiter . Les traitements ambulatoires, efficaces et sans danger,mais non reconnus en France, concurrencent le vaccin et limitent son intérêt.
Le vaccin concerne donc très peu de gens (les populations à risque).
Le virus varie tout le temps et recombine sans cesse. Il fait partie d’une gigantesque famille que les vétérinaires connaissent bien parce qu’il existe un immense réservoir animal. Animaux pour lesquels il n’a jamais été découvert de vaccin probant.
Le vaccin a des effets secondaires délétères, dont le risque d’apparition d’anticorps facilitants (qui aggravent la maladie chez les personnes vaccinées)
À partir de là personne ne va se bousculer pour trouver un vaccin. Alors vaccin anti COVID fin de partie ?
Dans un pays libre le délire vaccinal que nous impose l’État n’aurait jamais pu avoir lieu. Nous ne sommes pas dans un pays libéral. L’État intervient.
Mentir pour manipuler :
Le gouvernement a confisqué la gestion de la maladie. Il n’a retenu que deux solutions, le confinement et la vaccination. Il lui a fallu pour que la population se soumette :
Présenter la maladie comme très grave avec la litanie des morts tous les soirs, puis la litanie des « cas » et la litanie de l’engorgement des services de réanimation.
L’aggraver : interdire de soigner précocement les malades avec des traitements efficaces officiellement dénigrés, décourager les malades d’aller consulter leur médecin. Ne pas anticiper les besoins en masques, soluté hydralcoolique, vêtements de protection. Laisser perdurer la pénurie de lits de médecine, de réanimation et continuer à fermer des lits. Priver les gens de leur liberté, mélanger des gens malades et des gens sains : confinement, couvre-feu, assignations à résidence. Donner des consignes ubuesques, contradictoires, incohérentes.
Le résultat est une crise, improprement appelée sanitaire, qui dure. Grâce à quoi, la population désormais effrayée et déboussolée est mûre pour le confinement et le vaccin. Cela « quoi qu’il en coûte » au point de vue financier et humain. Plus les restrictions sont longues plus le désir de vivre et d’en sortir est fort, plus la prévention vis à vis du vaccin diminue, plus les gens le réclament.
Le capitalisme de connivence
C’est la peur
Une fois les populations effrayées et les êtres humains chosifiés, il est facile au nom d’une prétendue urgence de :
Dépenser des fonds publics par wagons (40 milliards),
Confondre vitesse et précipitation. Faire très (trop) vite. Simplifier pour les raccourcir les périodes d’essais cliniques (rolling review), délivrer des AMM conditionnelles. Elles prévoient que « les laboratoires concernés transmettent des données complémentaires à l’AEM selon un calendrier précis, afin de confirmer le rapport bénéfices/risques estimé initialement. » Le début de la vaccination devenant, de fait, une période de poursuite des essais cliniques Selon l’analyste israëlienne Tehilla Shwartz Altshuler, « la campagne de vaccination est jusqu’à présent “la plus grande expérimentation sur des humains au XXXe siècle”.
Minimiser les effets secondaires, y compris les décès et les accidents graves, passés par pertes et profits à l’aulne d’une balance bénéfice risque collective, ce qui n’a aucun sens.
Offrir une clientèle captive de plusieurs milliards de personnes à piquer régulièrement, soit une clientèle infinie. Personnes dont l’immense majorité n’a aucune indication vaccinale ( en particulier enfants et jeunes adultes) donc un risque vaccinal largement supérieur au bénéfice éventuel.
Créer un « pass sanitaire » rendant le vaccin obligatoire dans les faits, et permettant le flicage numérique et le maintient ad vitam æternam des mesures coercitives totalitaires .
Dans cette configuration, pour les labos, c’est le jackpot. Les sommes en jeu sont colossales. Il leur a été plus facile de gagner beaucoup d’argent, à peu de risque, grâce à des accointances avec l’État, que d’affronter dans un système de liberté économique, les difficultés de cette vaccination et les risques encourus pour un résultat incertain. C’est cela le capitalisme de connivence.
Le Libéralisme :
C’est la confiance
Dans le capitalisme vrai ce n’est pas vaccin fin de partie non plus, mais les choses sont différentes. :
Il y a d’abord ne pas nuire : respecter la personne humaine, la laisser décider de sa vie. Sélectionner des solutions efficaces moins dangereuses que la maladie. Considérer la balance bénéfices risque de manière individuelle. Si toutes les innovations sont envisageables, préférer des technologies sûres, éprouvées est logique. Le repositionnement de molécules anciennes constitue aussi une innovation.
La vitesse et la réactivité ne sont pas confondues avec la précipitation. Hâte toi lentement.
L’État, concentré sur ses fonctions régaliennes, laisse toute liberté aux différents acteurs. Il ne fausse pas les échanges avec de l’argent public. Il laisse les professionnels prendre en charge les épidémies comme ils se doit. L’État soucieux de sa population assume sa fonction régalienne de sécurité. Il délivre une ATU pour des thérapeutiques éprouvées et fiables.
Les laboratoires lèvent des fonds auprès de leurs actionnaires ou ailleurs. Les laboratoires, y compris leurs dirigeants, prennent leurs risques et sont personnellement responsables. Si une technologie vaccinale nécessite une logistique, lourde, complexe, donc fragile et onéreuse les investisseurs pèsent les avantages et les inconvénients.
Le libéralisme est intrinsèquement juste et cohérent parce qu’il respecte les Droits Naturels individuels, « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme »La Loi (1850). Parce qu’il est juste, il est efficace.
L’éthique doit prédominer.
L’Autorité Centrale et le socialisme collectivistes ne sont pas éthiques et ne peuvent l’être parce que reposant sur la « spoliation légale » et l’irresponsabilité.
Dans un système libre les deux solutions imposées comme seules et uniques aux populations, à savoir le confinement et la vaccination de masse, seraient restées ce quelles auraient toujours du être : un délire jamais appliqué.
La fin ne justifie pas les moyens. Pas besoin de contraindre les gens, ni de leur mentir pour les effrayer afin de les faire obéir à des consignes totalitaires, absurdes et contradictoires. Quand les explications sont claires, que les solutions sont rationnelles et cohérentes, que l’on fait appel au libre choix et à la responsabilité personnelle, les gens adhèrent et le bon sens prévaut.
Les Hommes échangent des services. Ils cherchent à rendre le meilleur service à leurs semblables pour en tirer un profit. Profit dû à leur seul mérite. L’échange libre et le respect de la propriété privée (Il n’est possible d’échanger que ce qui vous appartient) sont indispensables. Les motivations à rendre service sont multiples et très personnelles, pas forcément matérielles. L’honneur d’avoir aidé son prochain, l’image de marque de l’entreprise flattent l’ego. Ce sont des moteurs non négligeables. Au point de vue matériel, un gain important récompense un service important, un risque important impose un prix important. La prise de risque, le prix trop élevé, la responsabilité personnelle, la concurrence, le respect des gens sont les freins à l’avidité. Tout cela est profondément éthique.
Une technologie moderne au service d’une invention peu utile, qui rend un petit service, ne modifie pas le service rendu qui reste faible. Par exemple l’utilisation de l’ARMm ne rend pas le vaccin plus utile, n’exonère pas des indications, contre-indications, effets secondaires et balance bénéfice risque individuelle.
Il n’est pas correct de considérer le Libéralisme uniquement du point de vue de son efficacité. Il n’y a rien à gagner à mettre en place efficacement une action immorale. La performance opérationnelle du privé ne doit pas être mises au service d’une mauvaise cause. Elle rend plus performante l’application d’une mauvaise solution, ce qui en aggrave la nocivité.
La Liberté pour s’en sortir
C’est une erreur de croire que des fonds publics alloués à la recherche permettraient de vaincre « Big Pharma ». Il y a des crédits publics pour tout ce qui va dans le sens de la doxa officielle : le vaccin qui sauvera le monde de la terrible COVID, le réchauffement climatique entropique, le décolonialisme etc… Les fonds publics ont inondé « Big pharma » pour la recherche et la mise au point de ces vaccins. C’est même à cause de l’implication de la puissance publique que la réification des gens, la gabegie, le mal investissement ont pu avoir lieu.
Ce n’est pas parce qu’il est dans le secteur public que Didier Raoult résiste. L’État lui a cherché des noises mais c’est un trop gros morceau pour la nomenklatura. Christian Peronne, lui aussi dans le secteur public, est passé à la trappe.
Dans cette histoire de vaccin contre la COVID, il y a peu de chances que la situation actuelle soit advenue dans une société libre ou chacun exerce son libre arbitre, prend ses responsabilité, engage ses ressources et assume ses actes.
L’être humain n’est pas que chair. Sa santé ne se limite pas à son état physique et encore moins à être indemne de la COVID.
Parce qu’il est éthique et cohérent, parce qu’il considère l’être humain dans sa globalité physique et spirituelle, le libéralisme est porteur d’espoir pour notre société paumée.
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Deux élus de La Rochelle, qui n’acceptent pas la critique de leurs actions, qui n’assument pas les conséquences pour les personnes de leurs abus de pouvoir, attaquent le blog, sur les articles qui les concernent — c’est de bonne guerre –, mais aussi dans son ensemble — ce qui n’est pas acceptable –.
Ils appellent au corporatisme de la fonction publique, à l’appartenance. Ils comptent sur la “croyance politique” pour éviter de faire face à la réalité de leurs comportements délictueux.
Se faisant ils tentent de manipuler la justice et se croient autoriser à critiquer notre liberté d’expression. C’est juste un peu grave…
Imaginez cette nouvelle à la une de tous les médias : « Macron interdit de radio et de télévision jusqu’à la fin de son mandat ! » A peu de choses près, c’est ce qui est arrivé à Donald Trump sur Facebook. Et le réseau américain vient de confirmer cette interdiction pour une durée de deux ans.
Bien entendu, Facebook n’est qu’un média parmi les autres et Trump peut s’exprimer tout à loisir ailleurs. Mais il est tout de même extraordinaire qu’un média américain ait osé interdire le président des Etats-Unis.
Certains ne manqueront pas de vanter la liberté de la presse outre-Atlantique qui lui permet de s’opposer frontalement au pouvoir, d’autres mettront en cause la légitimité d’un réseau social face à celle de l’élu de la nation. Au-delà de ce très intéressant débat, s’en profile un autre, encore plus important, qui concerne le motif de cette interdiction : Facebook reproche à Donald Trump d’avoir diffusé des fausses nouvelles, des « fake news » comme on doit le dire aujourd’hui pour ne pas passer pour un plouc.
Le problème de l’information est devenu vital pour les démocraties. Aucun régime politique ne peut durablement subsister dans un climat de censure et de désinformation. Or on constate partout dans le monde une volonté des Etats de tromper l’opinion. Celle de leur pays et celle du monde. Ce n’est certes pas nouveau, et chacun peut citer, dans le passé, des mensonges qui ont provoqué des tueries et des guerres. Mais l’époque actuelle est celle des médias de masse, avec par conséquent le risque des mensonges de masse.
Ce risque, disons-le franchement, est parfaitement avéré en France. Il n’existe dans notre pays pas un seul journal, une seule radio, une seule chaîne de télévision à qui on puisse vraiment faire confiance. Et de ce fait la démocratie chez nous tremble sur ses bases tandis que se développe un climat de guerre civile.
Certains médias inspirent un peu plus de confiance que les autres, mais une observation attentive démontre que même chez ceux-là l’honnêteté intellectuelle présente de graves défauts et que la sélection de leurs invités relève de la censure et non du véritable débat.
Prenons un exemple particulièrement instructif, celui qui concerne la retraite. La France s’est dotée d’un régime par répartition, qui fait dépendre les pensions non pas d’un capital accumulé, mais d’un abondement instantané. C’est ce que les tenants de ce système appellent « la solidarité entre les générations » sans craindre l’indignation des victimes du système, à savoir les actifs actuels, qui paient un lourd tribut aux nombreux retraités sans pouvoir espérer toucher un jour une pension. La raison est fort simple : il n’y a actuellement que 1,4 cotisant pour un retraité, et on se dirige allègrement vers une égalité parfaite (un pour un) qui signera la mort définitive des pensions en France, après trois quarts de siècle d’existence de ce système.
Disons-le tout net : il ne s’agit pas d’une crise mais d’une catastrophe. Que vont devenir nos 16 millions de retraités, quand ils constateront à l’examen de leur compte bancaire que leur pension n’a pas été payée et que leur caisse de retraite ne répondra plus au téléphone ? Ils pourront toujours appeler un cousin fonctionnaire retraité qui les rassurera en leur disant que sa pension à lui a bien été versée, ce qui voudra seulement dire que l’Etat (qui paie la pension des fonctionnaires, lesquels n’ont pas de caisse de retraite) n’est pas encore en faillite
Macron est allé se promener dans le Lot ces derniers jours et a parlé d’abondance, comme d’habitude, pour ne pas dire grand-chose, comme d’habitude. Concernant la réforme des retraites, il a dit quelle ne se ferait pas avant la fin de son mandat, puis qu’il n’était pas exclu qu’elle se fasse. Ce qui n’a aucune importance puisque cette réforme (déjà votée par l’Assemblée nationale) n’apporte aucun remède à la catastrophe et qu’elle se borne à piller les réserves des quelques caisses qui en ont.
Toute personne ayant lu ou entendu dans les médias des réflexions intéressantes à ce sujet est priée de se signaler aux autorités afin d’être placée sous surveillance pour dissidence. De même toute personne ayant lu ou entendu dans les médias un débat auquel participait au moins une personne alertant l’opinion sur le véritable état des retraites est priée de se constituer prisonnière dans la gendarmerie la plus proche afin d’être emprisonnée d’urgence pour détention d’informations confidentielles.
Donc, pour nous résumer, il faut interdire à M. Macron de s’exprimer dans les médias jusqu’à la fin de son mandat afin de ne pas perturber l’opinion de ses déclarations intempestives et fausses. Concernant la personne qui va avoir à prendre cette décision, nous suggérons la stratégie de la plume lancée en l’air. Celui sur qui elle se posera sera l’heureux élu. Mais comme les soldats de Mussolini, tout le monde soufflera vers le ciel et la plume ne se posera sur personne. Le hasard ayant parlé, la catastrophe pourra poursuivre son cours majestueux dans une France apaisée et heureuse. « Pourquoi me soucier des générations futures, disait Groucho Marx, ont-elles jamais fait quelque chose pour moi ? »
Claude Reichman
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Chacun peut-il prétendre détenir la vérité ? La vérité peut-elle être issue d’une croyance ? Toutes les croyances sont-elles vraies ?
Et, finalement, qui se soucie de la vérité ? Est-elle utile ? Qui la cherche ?
Petit à petit, avec l’âge, je suis devenu sourd. Dernièrement je me suis procuré des appareils auditifs. Il existe aujourd’hui des aides à poste, que l’on garde jour et nuit. Leur effet est sidérant.
La vérité sonore qui était la mienne en a pris un coup. Je redécouvre des sons oubliés, qui ne me manquaient pas. Tels que le pépiement des oiseaux, incroyable.
Ma vérité sonore dépendait de ma surdité, mais elle n’était pas la vérité, puisque les oiseaux pépient intensément, au moins dans mon jardin.
Celle d’aujourd’hui est-elle plus vraie ? Probablement pas puisqu’il est des sons que l’humain n’entend pas.
Donc, finalement, il n’existe aucune vérité autre que celle des résultats que chacun de nous subit, et ils sont assez peu liés à nos intentions, davantage au hasard.
Et pourtant, au nom de la vérité les hommes s’étripent joyeusement, très régulièrement, et l’on sent bien en ce moment qu’ils ne vont pas tarder à remettre ça.
Quel est le signe avant-coureur de ses drames cycliques ?
C’est le déni du résultat. Déni global, religieux, imposé par l’opinion publique qui ensuite déchaine le feu. Aujourd’hui le déni est partout.
L’économie.
Nous devons croire qu’il s’agit d’une activité non fondamentale, à laisser entre les mains de personnes avides, cupides, dont le seul moteur est le vol, dont l’organisation de l’activité — appelé “le marché” — est honteuse et porteuse d’iniquité.
Les revenus de cette activité ne peuvent pas appartenir à ses opérateurs, ils n’en sont pas dignes. Ils sont donc ostracisés.
Si l’on pousse le raisonnement, la richesse se fabrique à la BCE en ouvrant des colonnes de crédit. Mais alors, pourquoi prélever des impôts ?
Dire que cette façon de penser est une pantalonnade n’est pas audible.
La santé
COVID est le gag du siècle. Le masque est passé, en quelques mois, du délit inexcusable, inacceptable, mettant en danger la sécurité du pays dans le cadre de son port par les femmes musulmanes à une obligation touchant toute la population, tous âges confondus, sous peine de délit couteux.
L’organisation sanitaire, toute de connivence et de privilège, désignait l’hôpital comme déversoir des quelques vrais malades noyés au milieu des faux malades intoxiqués aux calmants. COVID a explosé cette organisation moribonde.
Le déni a été à la hauteur de la situation mensongère, mondial, terrifiant.
Avec l’énorme avantage d’éviter les questionnements sur l’économie, tout particulièrement sur les liaisons malsaines entre COVID et déliquescence de l’économie, du type temporel de l’œuf et de la poule.
L’environnement
Le monde s’est couvert d’éoliennes. Don Quichotte revenant aurait fort à faire. Leur échec, prévisible dès le début, reste officiellement tabou. Quel gag !!!
Personne ne parle de la surpopulation. Qui voudrait ne pas être ?
La valse des conneries écologiques est impressionnante, mais derrière est toujours un motif non avoué.
Paris interdit aux voitures, parce que personne ne sait faire les percées qui seraient nécessaires. N’est pas Haussmann qui veut.
Les pays en voie de richesse paralysés par le surcout écologique qui leur est imposé, sauf ceux qui n’ont pas besoin de nous, il y en a… suivez mon regard.
Un homme nouveau, asexué, propre sur lui, sans besoin de mobilité, de nourriture, sans rejet, inerte sans contestation, est en train de naître. Juste, il s’apprête à tuer tous ceux qui ne pensent pas comme lui… un détail.
Alors : le pire et la vérité ? Couple infernal ?
Oui, sans hésitation.
Celui qui, tel que moi, a eu la sottise de croire que la vérité est une clef essentielle de la vie, s’est mortellement trompé. Enfin en ce moment.
Hélas
Croire que la justice existe, que la vérité peut être démontrée, que les juges sont honnêtes et intelligents, que les élus sont altruistes, que l’honnêteté finit toujours par triompher, que le fruit de notre travail nous appartient, que les fonctionnaires sont à notre service, que la police pense à nous protéger et à protéger nos biens, que les hôpitaux sont fait pour soigner les malades et l’éducation nationale pour faire de nos enfants des adultes compétents et responsables, et bien d’autres choses encore, est se tromper lourdement.
La dérive de la pensée, de l’action, la perte de vue de la simplicité de la vérité, est exactement semblable à ce qu’elle était en 1938.
Vous connaissez la suite. Honneur à vous si vous donnez un jour votre vie pour sauver les meubles et terrasser ce bordel.
Bien à vous. H. Dumas
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Ce film, à travers les éoliennes, explique les mécanismes de l’ignorance, associée à la croyance, entretenues par l’argent de la connivence et de la corruption.
Il s’applique à toutes les dérives technocratiques, à toutes les planifications, qui à partir de quelques données, en négligeant dans le même temps une multitude d’entre elles inconnues ou volontairement tues, échafaudent des croyances rapidement transformées en prise de pouvoir et de bénéfices par des opérateurs peu scrupuleux, au détriment de notre collectivité.
Félicitation à Jean-Louis Butré, que j’ai connu au début de son combat il y a une quinzaine d’années, son courage, sa foi et son intégrité l’ont amené à bon port. Les éoliennes sont moribondes, c’est logique. Mais la croyance qui les porte …
Ce film est long, soyez patient, il est intéressant jusqu’au bout.
Bien à vous. H. Dumas
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