Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.
La pensée politique débouche sur l’action politique, inversement l’action politique corrèle la pensée politique.
La réalité de cette pensée n’est jamais aussi visible qu’à la base où les conséquences de l’action politique sont perceptibles par tous, alors qu’au sommet elles sont dissimulées, trafiquées, voire sanctifiées, donc énigmatiques.
Exemple vu par le sommet
Quand le pouvoir politique dérape, le premier signe est ce que l’on nomme “le fait du Prince”, c’est-à-dire la coercition individuelle hors loi. Quand les structures du pouvoir peuvent attaquer “ad hominem” celui qui dérange, quand la loi se fait à la tête du client, quand le pouvoir s’attaque à la personne au lieu d’analyser les faits, au lieu de protéger les libertés individuelles, nous sommes dans un régime totalitaire.
Lorsque Macron se targue de pouvoir emmerder ceux qui ne pensent pas comme lui, qui veulent rester libres des soins de leurs corps, il montre son vrai visage de despote. Mais, la dimension globale de son intervention dissimule la réalité sur le terrain. Il suffit qu’il laisse planer la notion évanescente de “l’intérêt général” pour que l’analyse de la performance du vaccin, de ses potentielles conséquences, soit occultée, ne soit simplement plus possible. L’individu alors, dépossédé de son libre arbitre, devient la cible de toutes les coercitions possibles de la part de toutes les forces publiques qui vont le harceler, alors qu’elles sont censées normalement protéger ses libertés.
Exemple vu par le bas ou le “procès stalinien”.
Où que vous alliez, si vous voulez avoir une idée de ce qu’un décideur pense de vous, adressez-vous à sa plus proche collaboratrice. Le ton qu’elle prendra avec vous indiquera la pensée profonde de son supérieur à votre égard, c’est le principe de la servilité.
En ce qui concerne la “fachocratie”, je suis personnellement l’exemple type du libertaire qu’elle ne peut pas admettre. Ma liberté de parole et d’action est intolérable pour le pouvoir fasciste qui s’est mis en place.
Je vais prendre pour exemple : La Rochelle, où j’ai l’outrecuidance de montrer du doigt les errements des élus et de leur sphère fasciste qui font, par cupidité, connivence, orgueil mal placé, incompétence et bêtise, de cette ville un cul de sac alors qu’elle a tout pour charmer et se développer.
Je me suis mis à dos dans cette charment bourgade les élus évidemment, les services techniques de l’agglo, les services fiscaux et la justice, sans avoir pour la plupart eu l’occasion de les rencontrer, qui donc ne me connaissent pas et ne connaissent pas mes projets ou propositions. Il m’a suffi d’exister autrement qu’eux pour en arriver là.
Travaux pratiques
Je suis membre d’une copropriété dans l’île de Ré. Le syndicat des copropriétaires a décidé des travaux que personnellement je ne trouve pas judicieux tels qu’ils ont été réalisés, car je pense qu’ils laissent en suspend une part du problème qu’ils prétendent régler.
Qui plus est ces travaux ont été réalisés sans permis de construire, sur un site boisé classé et en créant une vue sur mon fond.
J’ai donc déposé une plainte et me suis porté partie civile.
Je gêne le syndic, notable rochelais, le maire qui a laissé faire ces travaux sans permis de construire, et puis : je suis moi… cet épouvantable libéral.
Incroyable, non ? Il faut que vous sachiez que la SARL Les Hauts de Cocraud est la même société que la SCI Les Hauts de Cocraud, dont elle est la continuation nécessaire à la gestion comme loueur en meublé professionnel de son stock. Une banalité.
Cette ordonnance n’a pas de sens, elle est ahurissante. Que se passe-t-il dans la tête d’un magistrat qui rend une telle ordonnance ?
Dans la pratique c’est simple, elle veut élargir les fautifs sans témoin, elle se fout comme d’une guigne de la vue créée sur mon fond et de l’irrespect du Code de l’Urbanisme.
Mais quand même… pour afficher un tel manque de respect de la loi et de la victime, il faut se sentir sûr de soi, être la collaboratrice qui sait que son patron n’aime pas les gens comme vous, qu’il souhaite les voir disparaître.
J’en ai en stock des comme ça, et j’en aurai d’autres.
Ce qui me rassure c’est que je ne suis pas sans doute le seul, un jour nous serons suffisamment nombreux pour juger ces fachos…
Bien à vous. H. Dumas
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J’ai reçu plusieurs vidéos, dont celle-ci, qui prétend faire des révélations fracassantes sur les sociétés américaines Black Rock et Vanguard.
En France, nous adorons les annonces spectaculaires surtout lorsqu’elles sont faites pour dénoncer des scandales ou des faits perçus ou présentés comme tels et il faut bien dire que l’argent (des autres) est un sujet de scandale bien français !
Le problème est que, bien souvent, les révélations sensationnelles qui sont faites sont approximatives quand elles ne sont pas carrément mensongères.
Mais ces vidéos circulent sur les réseaux sociaux et répandent le virus d’une vision manichéiste et erronée du monde … surtout dans une société française où la population a un fort sentiment de victimisation (vis-à-vis du grand capital, des multinationales, ….) et parle volontiers de justice sociale …tout en ignorant la réalité des problèmes économiques !
Concernant cette vidéo, n’y allons pas par quatre chemins, la fille a une très bonne prononciation mais ce qu’elle dit est faux et relève de la manipulation ; et il n’y a rien de plus facile que de manipuler une population ignorante …
Le message explicite est que ces fonds et organismes de gestion auraient un tel pouvoir qu’ils seraient les vrais maitres du monde et que les gouvernements ne seraient que leurs petits toutous obéissants !
C’est en fait une vision complotiste issue de la gauche crypto marxiste pour qui le grand capital est l’ennemi et la cause de tout (nos malheurs) et cette vision négative a réussi à contaminer une partie de l’électorat de droite et de l’extrême droite élevée à la mamelle étatique.
Et les français ont d’autant plus tendance à y croire qu’ils ont surtout gobé le discours distillé en permanence par ceux qui profitent de la situation : à savoir les fonctionnaires et assimilés et notamment les petits journaleux perroquets de la radio télé publique qui ne sont rien d’autre que les apparatchiks du régime.
France info (radio) n’a pas hésité, le 22 janvier, à évoquer le « sulfureux » Blackrock ; ce qui veut dire que même la radio télé publique a pris parti. Mais, concernant France info, il n’y a pas de souci, ils font bien partie de ceux qui vivent très bien à vos dépens puisque leurs (confortables) salaires et retraites sont payés par … vos impôts et notamment la redevance télé !
Car, en France, par une espèce d’inversion de la vision de la morale du monde, il est honorable d’être fonctionnaire, soi-disant au service des autres et d’être payé par les impôts des autres sans jamais rien produire, alors qu’il est déshonorant d’être entrepreneur.
L’entrepreneur, surtout celui qui réussit, est assimilé à un voleur, exploiteur, fraudeur …
Il est donc urgent de remettre les choses à leur place …
Il existe dans le monde deux systèmes de retraite : la capitalisation et la répartition qui reposent sur les principes totalement différents.
Le système par capitalisation est pratiqué à peu près partout sur la planète alors que le système par répartition est pratiqué surtout … en France !
Avec la capitalisation
Vous versez des cotisations pour vous-même à un fonds de pension qui va chercher des gestionnaires pour les faire fructifier. Vos cotisations sont investies notamment dans des entreprises cotées en bourse.
Lorsque vous prenez votre retraite, on vous restitue ce que vous avez versé augmenté des intérêts et des plus-values éventuelles.
Il s’agit évidemment de l’odieux système capitaliste des fonds de pension qui gèrent vos cotisations c’est à dire qu’ils les investissent à mieux de VOS intérêts.
Black Rock est une société de gestion d’actifs cotée en bourse, avec des activités diversifiées (elle n’est ni un fonds de pension, ni un fonds spéculatif). Au 31 décembre 2019, la valeur des actifs gérés par elle s’élevait à 7 429 Md $. Elle collecte de l’argent auprès d’investisseurs institutionnels pour l’investir sur les marchés financiers, en leur nom, afin de faire fructifier le capital des investisseurs ; de la même manière que vous le faites avec votre livret A.
On la retrouve, tout comme Vanguard, au capital de Pfizer, Johnson & Johnson, Moderna, Astra Zeneca, Sanofi, Alphabet/Google, Facebook, You tube, WhatsApp, Michelin, Pernod Ricard, Monsanto, Exxon Mobil, Dow Chemical, Foxconn, Goldman Sachs, Apple, Amazon.
Cela veut dire que dans un système concurrentiel où il n’y a pas de monopole (d’Etat), Black Rock et Vanguard ont des clients et qu’ils leur rendent des comptes.
Black Rock et Vanguard gèrent donc effectivement beaucoup d’argent mais ce n’est pas le leur, c’est celui de leurs clients et, comme elles investissent au capital de sociétés cotées, il est tout à fait normal qu’on les retrouve au capital des principales entreprises mondiales et notamment celles qui font des bénéfices (il n’y aurait aucun intérêt à investir au capital de la SNCF qui perd 15 Md€ par an) !
A bien y regarder, c’est même plutôt rassurant de savoir qu’elles essaient d’optimiser vos cotisations ; démarche totalement incompréhensible en France !
Il existe de la même façon deux fonds de pension norvégiens, les plus riches d’Europe, GPFG et GPFN.
Doit-on en conclure que ces fonds de pension et sociétés de gestion dirigent de facto les entreprises, manipulent les cours, spéculent sur les marchés, provoquent des coups d’Etat, ruinent les populations ?
Non évidemment, car placer de l’argent dans le capital de sociétés ne veut pas dire que vous vous immiscez dans la gestion quotidienne de ces entreprises !
Ces organismes gèrent un capital collectif et le font plutôt bien et rendent des comptes !
Qui s’en plaindra ?
Surement pas les retraités américains, britanniques ou norvégiens en tout cas et si la société de gestion a de mauvais résultats les clients vont voir ailleurs.
Mais, avez-vous vu une seule fois une caisse de retraite française dirigée par des fonctionnaires rendre des comptes aux cotisants ?
Avec la répartition
Les travailleurs actifs versent des cotisations qui sont reversées immédiatement aux retraités avec un système est basé sur la solidarité inter générationnelle ; avec une nuance d’importance : il ne peut fonctionner que s’il y a suffisamment d’actifs pour payer les pensions des retraités.
Contrairement à une idée largement répandue, vous ne cotisez par pour vous-même et les cotisations que vous versez ne vous appartiennent pas ; vous payez pour les autres en espérant que, lorsque ce sera votre tour d’être à la retraite, les autres paieront pour vous.
Ce système fonctionnait correctement tant que l’espérance de vie restait relativement faible et qu’il y avait entre 4 et 6 cotisants par retraité.
Il faut savoir que l’âge de départ en retraite avait été fixé initialement à 65 ans (pour les salariés car les non-salariés peuvent travailler plus longtemps) parce que la pyramide des âges montrait que la majorité de la population mourait alors à … 65 ans !
Avec l’allongement de la durée de vie et les mesures électoralistes irresponsables prises par les socialistes en 1981 (retraite à 60 ans et beaucoup de mises en pré-retraite) et le développement du chômage de masse, le système s’est trouvé rapidement complètement déstabilisé avec un ratio (cotisant/pensionné) qui se rapproche des 1.3.
Sa survie a déjà nécessité plusieurs réformes dont certaines ont généré des mouvements de protestation et de grèves parfois très durs (voir les grèves de 1995).
Le système est en fait toujours sur le fil du rasoir depuis 1981 et les jeunes qui entrent sur le marché du travail sont à peu près tous convaincus qu’ils ne percevront rien ou pas grand-chose dans 40 ans !
Ce faisant, ils sont parfaitement conscients d’avoir affaire à un véritable système de spoliation légalisée basé sur un schéma de Ponzi car, dès que vous travaillez, vous n’avez pas le choix, vous devez cotiser à un régime de répartition obligatoire … même si celui-ci est mal géré !
Et il est d’ailleurs si mal géré que le rendement est en fait négatif (vous recevez moins que ce que vous avez cotisé !) ; mais évidemment on évite de vous le dire pour que vous puissiez garder confiance dans les actions de l’Etat et de ses fonctionnaires.
Car, qui retrouve-t-on derrière cette mauvaise gestion ?
L’Etat et ses fonctionnaires dont la mauvaise gestion est désormais devenue proverbiale !
Gaspillage à tous les étages ?
Oui, et cela tient à plusieurs raisons :
-la répartition permet au pouvoir, qui contrôle l’administration, d’exercer un clientélisme électoral en avantageant certains pensionnés (par le biais d’une foule de régimes spéciaux) au détriment des autres ; ce qui est évidemment contraire au principe d’égalité si souvent invoqué par les élites !
-elle permet aussi de verser des pensions à des personnes qui n’y auraient pas eu droit parce qu’elles n’ont pas (suffisamment) cotisé.
-il n’existe pas dans l’administration de notion de rendement du capital investi ; tout fonctionne à partir d’impôts et de dettes et d’ailleurs, ce n’est pas grave, puisque vous savez bien que ça ne coute rien (à ceux qui le décident) puisque c’est l’Etat qui paie (suivant une déclaration mémorable de F Hollande, alors président, qui en dit long sur la « pensée économique » de l’élite et sa capacité à gaspiller, les impôts, en fait l’argent, des autres) !
En fait, en France, il n’y a pas de fonds de pensions car tout est organisé par l’Etat qui vole les cotisants car le rendement de la répartition est indigne puisqu’il est obligatoire et sous contrôle direct de l’administration d’Etat ; ce qui ne serait évidemment pas le cas avec des fonds de pensions privés !
Encore une fois, les fonctionnaires n’ont pas de clients mais juste des administrés qui doivent obéir ; et la raison en est très simple : la retraite par capitalisation est interdite en France depuis Vichy et la confiscation des fonds de réserves des caisses de retraite par la clique du Maréchal Pétain afin de payer les indemnités d’occupation de l’armée allemande.
Et, comme il n’y avait plus d’argent en 1945 (la France était complètement ruinée), cette décision a été confirmée en 1946 par le CNR (conseil national de la résistance) … sauf, curieusement, pour les fonctionnaires (qui ont droit, eux, à Préfon) !
On l’a compris, au final, en France, la population est contente d’être volée par l’Etat du moment qu’elle échappe au pire : à savoir la gestion rigoureuse de leurs actifs par des fonds de gestion privés présumés être des rapaces, des voleurs et autres gracieusetés …
De multiples conséquences
Le fait que la France soit l’un des seuls pays à pratiquer la répartition ne signifie pas qu’elle ait raison contre le reste du monde.
Par contre, ce système est à la source de plusieurs effets pervers …
La principale conséquence de ce système est qu’en France, les entreprises ne sont pas détenues par des fonds de pensions français (puisque les fonds de pension sont interdits) ; ce qui fait que les grandes entreprises du CAC 40 sont souvent détenues, au moins en partie, par ces fameux fonds de pensions américains, britanniques ou norvégiens.
Et cette tendance a été aggravée par la haute fonction publique française qui a tout fait, à travers une fiscalité du capital relevant de la spoliation, pour dissuader les français d’investir en bourse ; avec le but évident de concentrer l’épargne des français dans l’assurance vie investie en … dette d’Etat (et non dans les entreprises privées) !
Et quand on sait que les 1.700 Md€ de l’assurance vie ont disparu dans la dette de l’Etat de 2.834 Md€, on comprend dès lors toute la « solidité du système » !
On comprend dès lors que “l’irruption” des sociétés d’investissement et autres fonds de pensions au capital des sociétés françaises est une conséquence directe des décisions de l’administration ; c’est à dire que l’on reproche aux autres les conséquences de nos propres actes !
En France, si le système fait faillite, ce n’est pas grave, on réduira les prestations, on bouchera les trous avec vos impôts ; ce qui fait que vous cotiserez une deuxième fois pour sauver l’espérance de recevoir les prestations dues en vertu des cotisations versées initialement !
Vous saisissez la nuance ?
Une gestion bien française
En France, l’Etat est partout et son intervention a lieu par le biais de trois grands organismes :
-la Caisse des Dépôts et Consignation, bras armé de l’Etat depuis Napoléon Ier,
-la banque publique d’investissement,
-l’agence des participations de l’Etat.
Alors, je sais bien qu’en France on déteste l’argent ; enfin officiellement parce nos hauts fonctionnaires, eux, ne se privent pas mais leur train de vie est directement prélevé sur les revenus des autres et ils ne subiront jamais les aléas économiques puisque, en cas de nécessité, et notamment d’inflation érodant le pouvoir d’achat, on augmentera simplement les impôts et cotisations des autres pour qu’ils puissent continuer à vivre comme avant !
Faute de fonds de pension, il n’y a pas de capital accumulé qui puisse s’investir dans les entreprises françaises ; lesquelles sont obligées de se financer auprès des banques (ce qui revient plus cher puisque la banque pratique un taux d’intérêt alors que le fonds de pension se rémunère sur les bénéfices réalisés et sur les plus-values éventuelles).
Les entreprises françaises sont donc plus fragiles ou moins protégées contre les raids boursiers tant fustigés par la gauche mais elles sont surtout directement à la merci du pouvoir de l’administration qui agit à travers les banques et les trois organismes ci-dessus.
L’Etat français a toujours fonctionné ainsi : pas de capital, juste des impôts et des dettes car le patrimoine des français sert de caution à l’action de l’Etat et à la caste qui le dirige …
Système collectiviste, s’il en est !
Une capitalisation désavantageuse pour le futur retraité ?
C’est juste le contraire puisque plusieurs études ont démontré que les français auraient de bien meilleures retraites s’ils pouvaient choisir un régime de capitalisation.
Il faut donc être juste un ignorant, un complotiste, un communiste ou … un fonctionnaire pour y voir une quelconque manœuvre visant à déstabiliser le monde !
On sait que le système de retraite par répartition à la française est voué à l’explosion, c’est inéluctable parce que la démographie est une science exacte et qu’elle s’appuie sur des données incontestables traduites dans la pyramide des âges.
Mais, soyons assurés que le jour où le système flanchera, la haute fonction publique trouvera évidemment une explication à servir aux cotisants spoliés : le capitalisme, la mondialisation, les fonds de pensions américains “vautours” feront alors figure de totems expiatoires !
En France, l’Etat contrôle tout et se livre impunément au pillage mais, à la fin, n’est jamais responsable !
Alors, réflexion faite et tous comptes faits, quel est le meilleur système ?
Bien cordialement à tous !
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Je ne suis pas un spécialiste de politique étrangère, encore moins un connaisseur des armées et des armements, mais quand je lis les ouvrages sur la dernière guerre mondiale ils n’abondent pas en théories de politique étrangère, un peu plus en explications sur les armements mais pour dévoiler que nous étions un peu à poil à ce sujet simplement du fait de la politique menée à l’époque.
Je me dis donc que ce qui se passe en Ukraine n’est pas un problème de spécialistes, que chacun de nous peut y réfléchir.
Poutine annonce depuis longtemps la couleur, il veut être le signataire du retour à la grande Russie. Ce type d’obsession n’est jamais à prendre à la légère quand il s’insinue dans l’esprit d’un homme de pouvoir et qu’il rend sa pensée publique.
L’Ukraine est une proie de choix, riche en terres agricoles et en ressources minières elle complète parfaitement les autres atouts de la Russie cette petite nation à l’échelle mondiale, mais aux grandes surfaces et importantes réserves de gaz et de pétrole si essentielles. Les Russes sont rudes, durs au mal, et sont liés par la solidarité des gens qui souffrent face à ceux dont ils pensent qu’ils ont la vie douce.
Les agitations de Poutine ont probablement reçu l’aval de la Chine.
Donc, que risque Poutine s’il envahit l’Ukraine en 48H, comme l’imagine les USA ? Rien si ce n’est une haie d’honneur de certains Ukrainiens sans doute.
L’occident va alors y aller de ses sanctions économiques.
Un ambassadeur de la Russie a dit carrément qu’ils s’en foutent. Cela me parait hautement probable.
Que va-t-il se passer ? Rien. Qui va aller se battre pour l’Ukraine ?
Bien pire, si l’occident prononce des sanctions contre la Russie, il affrontera en retour celles de cette Russie qui peut probablement se priver plus facilement que nous sans conséquences politiques. Mais aussi sans doute les sanctions économiques de la Chine dont l’intérêt opportuniste sera de s’allier à la Russie, elle aussi peut se priver ce qui calmerait les ardeurs des libéraux générés en son sein par la richesse.
Mais alors, nous aurons une augmentation intenable du prix du gaz et du pétrole et peut-être un arrêt de la livraison par les Chinois de nos objets manufacturés indispensables, sauf à nous soumettre à leurs conditions qui tourneront autour de la notion de monnaie internationale donc de domination mondiale.
L’invasion de l’Ukraine : petit évènement, grandes conséquences.
Les USA retourneront s’enfermer chez eux, où ils ont tout. Et nous… ben voyons…
Nous récolterons la faillite et la guerre civile qui va avec….
Heureusement les boites de nuit rouvrent cette semaine, je crois…
Et nous avons Manu, le guerrier du COVID…
Bien à vous. H. Dumas
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Depuis quatre ans, la France est le théâtre de manifestations de rue qui ont pour thème unique la liberté. Les commentateurs s’évertuent à trouver des causes à ces manifestations et invoquent le pouvoir d’achat, l’insécurité, l’immigration, sans jamais s’arrêter à la seule cause vraiment proclamée par les manifestants. On a l’impression que manifester pour la liberté est incongru en France, pays où elle paraît régner sans conteste.
Il y a pourtant une expérience que chacun peut faire. Il suffit de demander à toute personne de rencontre si elle se sent libre. Elle vous répondra non, dans une proportion impressionnante. Et si vous poussez plus loin l’interrogatoire, elle vous expliquera sans la moindre difficulté que chacun des gestes de la vie quotidienne est devenu difficile, qu’on se heurte sans cesse à des interdits et à des obligations, et qu’à chaque pas il faut dépenser le peu d’argent qu’on a réussi à épargner jusqu’à finir aussi raide qu’un torchon essoré.
Etonnez –vous après cela que des milliers de Français aient pris ce week-end le volant de leur voiture ou de leur camionnette et se soient lancés sur les routes en direction de la capitale, drapeau français flottant sur leur véhicule.
La question s’est immédiatement posée : qu’allaient-ils faire à Paris ? La réponse est aussi simple que terrible : prendre le pouvoir. Pourtant, il ne régnait pas un climat factieux dans ces cortèges. Car ce que ces manifestants revendiquaient, ce n’était pas les palais nationaux ni les ors de la République, mais simplement le pouvoir sur leur vie. Et cela, dans le monde moderne, c’est très difficile à obtenir.
C’est même si difficile qu’il faut un grand effort d’imagination pour se figurer un monde où chacun pourrait vivre à se guise, dans un climat de liberté. Les gestes les plus élémentaires, qu’il s’agisse de travailler, de mettre ses enfants à l’école, de passer quelques jours de vacances ou que sais-je encore exigent tout un apparat de papiers officiels, de laissez-passer, d’attestations de santé qu’on est finalement tout heureux et soulagé de pouvoir produire à ce qu’on appelle « les autorités » et dont on ne sait pas qui les a nommées et investies d’un pouvoir qu’elles affichent sans vergogne au nez du malheureux citoyen.
Citoyen, avez-vous dit ? Non, esclave. Esclave de la société, esclave de lui-même, esclave de l’idée qu’il se fait du monde, esclave de tous ces trains qui ne partent pas : « Un jour, nous prendrons des trains qui partent. » (Antoine Blondin).
La France, le monde se trouvent face à une révolution de la vie. La généralisation de l’informatique l’a fait pénétrer chaque geste de notre vie, du plus simple au plus complexe. Et tous ces procédés se sont enkystés dans notre existence au point d’avoir effacé toute liberté de manœuvre. Mais surtout cet ensemble de procédés a fini par devenir une immense administration qui vit sans règles autres que celles qu’elle s’est fixées dans la plus totale obscurité et qu’elle entend faire respecter partout dans le monde.
Le problème majeur de notre société, c’est que l’administration s’est emparée de toute l’administration informatique et l’a incluse dans son pouvoir. Du coup, les pays où le poids de l’Etat représente les deux tiers de la production (c’est la cas de la France) sont devenus complètement invivables. Les autres, qui ont su en rester au tiers de la production, ont pu conserver des espaces de liberté suffisants pour que le peuple ne se sente pas opprimé.
L’élection présidentielle française est l’occasion de poser ce problème dans toute son ampleur. ll faut évidemment une rupture avec tout ce qui s’est fait jusqu’à présent. Si les électeurs choisissent cette voie, notre pays a une chance de se redresser. C’est tout l’enjeu de la candidature Zemmour dont on ne soulignera jamais assez que parmi ses cibles préférées figure la caste médiatique qui a emprisonné l’opinion publique dans ses raisonnements fallacieux et pervers qui ne laissent aucune chance à la liberté de pensée.
Zemmour n’est évidemment pas une fin. C’est le début de quelque chose. La France a besoin de reprendre sa marche en avant. Elle a besoin à cet effet de la liberté de ses citoyens. Ceux-ci ont compris l’enjeu de la période que nous vivons. C’est pourquoi ils ont pris le volant de leur voiture et arboré le drapeau français. Ne nous y trompons pas : s’ils crient « Liberté », c’est bien « Liberté » que cela veut dire. Ce mot a un sens, partout dans le monde. Mais chez nous, plus qu’ailleurs, parce que c’est nous qui l’avons inventé. Faisons valoir nos droits d’auteur !
Claude Reichman
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Je passais sur un rond-point ce samedi dans un Landerneau avec mon véhicule, pour peut-être rencontrer la police ou les gendarmes – car ils aiment ce genre de repères, mais plutôt remarquer des inscriptions sur le bitume autour dudit bien flashant : « Nous voulons vivre de notre travail » …
Vous connaissez probablement le film « Le salaire de la peur » avec Yves Montant et Charles Vanel comme principaux acteurs. Le risque du salaire était alors physique comme il l’est encore souvent, mais de moins en moins parmi nos contrées policées.
En effet, ce salaire ou revenu s’est transformé en peur d’un inquisiteur auto proclamé avec tous les moyens de contrôle et de sanction, sans états d’âme. Ainsi, la peur devient de ne pas payer sa dîme, même si elle n’a aucun sens, ou ne peut pas tout du moins être contestée. L’envers du décor devient de déshabiller Paul pour habiller Pierre, en percevant sur chaque transaction la redevance pour nourrir cette caste au pouvoir. La France devient ainsi une terre de désespérance pour bon nombre d’entre nous, qui ne vit que de chèques, de subventions.
Je rejoins H16 dans son billet : https://www.contrepoints.org/2022/02/11/421151-les-prochaines-semaines-seront-decisives
Il nous dit : « Les dirigeants actuels sont partis trop loin et ils ne lâcheront pas leur pouvoir sans y être forcés. » Puis : « on comprend que tant que les oppositions des citoyens ne seront pas plus fortes, plus fermes, les dirigeants, qui ont maintenant amplement prouvé qu’ils méprisaient complètement peuple et démocratie, continueront sur leur lancée. » Puis enfin : « le combat qui s’ouvre, et qui consiste à récupérer maintenant la maîtrise de nos vies, est un combat qui sera âpre et sans merci. »
Dans le convoi des camionneurs canadiens, nombre d’entre eux possèdent leur propre Truck et ne sont donc pas salariés. Ils ont alors un pouvoir de décision individuel et prennent leur courage à deux mains pour résister à la fange qui se recroqueville devant leur impertinence.
Et si en France tous les petits indépendants, ou en bonne partie, dans un mouvement concerté faisaient la grève – cela me fait penser à l’ouvrage « Atlas Shrugged » d’Ayn Rand, du paiement de leur TVA et de leurs cotisations sociales, les petits marquis ne tiendraient pas deux semaines. Pas la peine ainsi de déambuler sur les Champs Elysées en physique pour prendre des coups de crosses, il suffit juste d’arrêter les Sprinkler à pognon. Ce sera forcément un moment pénible pour tout le monde, mais qu’avons-nous à perdre, sauf notre petit confort d’une route de la servitude qui va devenir de plus en plus serrée si nous les laissons faire ?
Il nous faut en passer par là, dans l’esprit des Gilets Jaunes à leur début, parce que décidément le « facho-libéralisme » pour reprendre l’expression de Mr Dumas, ne permet plus de débat contradictoire, mais surtout de contre-pouvoir à même de se dresser contre un mur pour avorter d’une objection qui devrait être reçue, au sein de nos palais …
J’aime beaucoup cette notion de « facho-libéralisme », car je la trouve très juste dans son énonciation toujours par Mr Dumas : « Puis en se rappelant la définition du fascisme : “Tout pour l’Etat, tout par l’Etat, rien en dehors de l’Etat”.
En n’omettant pas que le fascisme n’est que ça, que ce n’est pas une couleur politique. Qu’il peut être de droite, de gauche et même centriste. Sa caractéristique est uniquement une totale dépendance à la fiction de l’Etat, donc en réalité à ceux qui prétendent le représenter sous quelque déguisement que ce soit. »
La règle : on aime effectivement affubler de préfixes, le libéralisme, pour le confondre en exégèse, sans en connaître l’esprit, car après tout …
Ce convoi de la liberté, comme le mouvement des Gilets Jaunes ne va pas déroger à cette règle, tant on reste dans du mou de pouvoir d’achat, de Passe Vaccinal, sans en en comprendre les causes mais en les chérissant intuitivement, faute de structure mentale et d’éducation en travers.
La « Facho-sphère » joue sur du velours pour contrer ce genres de mouvements de « libertés » revendiquées. Au pire, comme avec les Gilets-Jaunes, elle sonnera la cavalerie des « False Flag », pour tout casser alentours et retourner l’opinion tranquille en sa faveur.
Ces mouvements de liberté n’ont pas de capacité de nuisance, car chaque individu parmi eux peut être pris individuellement, sans que leur bloc puisse réagir, comparativement à nos syndicats patentés, bien structurés et bien financés à l’insu de notre plein gré, à forte capacité de nuisance au cas où.
Durant l’épisode des Gilets-Jaunes, il n’y a pas eu de mort, ce qui semble invraisemblable dans un tel mouvement, avec de nombreux actes de violence abouties, ou non …
Les choses changeront quand il y en aura, mais c’est une question de détermination individuelle ou d’accident dans un mouvement. Rappelez-vous du Printemps Arabe !
Venons en aux tests. Pour ceux-ci le gouvernement jette par les fenêtres un argent qui n’est pas le sien. “Nous dépenserons un peu plus d’1,5 milliard d’euros au mois de janvier” a annoncé fièrement Olivier Dussopt, ministre délégué aux Comptes publics.
Pour donner un ordre de grandeur cela équivaut, chaque mois, à 2 frégates multi-mission, ou une trentaine de Rafale, ou 70 hélicoptères de transport Caracal, ou 50 hélicoptères de combat Tigre, pour rester dans le régalien.
Cela fait aussi un grand nombre de lits d’hôpitaux armés et encore davantage de places d’EHPAD avec leur personnel. Bref de quoi à en finir largement avec l’alibi de la coercition sociale qui est le manque de lits d’hôpitaux, en particulier de réanimation.
Mais cela n’intéresse pas l’autorité Centrale.
La seule stratégie qui sous tend aujourd’hui l’utilisation massive de tests est la création et l’entretien de la peur chez les gens. Ils restent ainsi sous contrôle.
La panique est créée en entretenant la confusion entre tests positifs, cas, et malades. En vérité, l’épidémie se réduit à une « épidémie » de tests positifs avec heureusement peu de malades.
Tester, en lui même, ne freine pas l’épidémie. Tester à tout va ne permet pas de rompre la chaîne de contamination. Pour rompre la chaîne de contamination il faut la connaître, l’identifier pour pouvoir isoler et traiter les malades. Pour rompre la chaîne de contamination il ne faut pas que l’épidémie soit hors contrôle. Il faut une traçabilité. Toutes choses que la masse énorme de tests positifs rend impossible.
Dans le cas de l’Omicron, rompre la chaîne de contamination est utile autour des personnes à risque. Elle ne l’est pas pour des personnes sans risque, qui en plus ne sont pas malades. Prétendre pouvoir rompre la chaîne de contamination de personnes testées positives, non malades, avec un virus très contagieux et très peu grave, n’a pas de sens. C’est pourquoi il faut se concentrer sur les malades, et les personnes à risques, donc tester moins mais à bon escient. L’objectif est de pouvoir maîtriser l’épidémie sur cette population à risque.
Si l’on ne suivait que les malades, l’épidémie ne se remarquerait pas, et la vie continuerait.
Mais cela n’intéresse pas l’Autorité Centrale.
Croissance Potemkine
Le tout vaccinal est de la poudre au yeux dont le but est d’empêcher de voir le naufrage de ce gouvernement dans le domaine sanitaire et dans les autres.
Nous sommes face à un sophisme équivalent à celui qui prétend que la guerre est bonne pour l’économie. Il faut relire « la vitre cassée » de Frédéric Bastiat. Bien entendu ce serait aussi une erreur de croire que les destructions liées à la guerre, fut ce la « guerre » contre les COVD, sont l’équivalent de la « destruction créatrice » de Schumpeter.
Les fondamentaux économiques, dette, déficit, fausse monnaie et l’inflation, chômage, production d’énergie insuffisante, hyper-réglementation et fiscalité stérilisante sont structurels et mauvais. Ils ne permettent pas d’envisager un avenir serein. Ils nous placent sous la dépendance de nos créanciers. Nous perdons toute crédibilité économique et politique, donc toute autonomie et souveraineté.
La situation de beaucoup de Français est très précaire, certains ne mangent pas à leur faim, ont froid, n’ont pas de logement décent, voire pas de logement du tout. Sans oublier la désagrégation sociale et la négation des valeurs d’Humanité qui ont forgé la civilisation occidentale.
Il n’y a pas de quoi à pavoiser.
Quant aux moyens c’est une douce rigolade. L’État a dépensé un argent qu’il n’avait pas. C’est du mal-investissement basé sur la dette et la fausse monnaie.
Si vous voulez connaître « le vrai état de la France » lisez plutôt le dernier livre d’Agnès Verdier-Molinié
Totalitarisme
Ne pas prendre ou lever les mesures prétendument de freinage, ne dépend ni de la vaccination, ni du passe vaccinal, ni du taux d’incidence de l’infection, mais de la seule volonté de l’Autorité centrale.
Il faut rappeler sans cesse que la réussite de la prise en charge de l’épidémie ne se résume pas à une société totalitaire où l’être humain, vacciné, exempt de COVID ou non, est remplacé par un QR code. La réussite comprend une société où les individus ont leurs droits naturels, liberté, propriété personnalité respectés, une économie prospère et une société où règne l’« harmonie ».
Les Français sont peut-être les « mieux » vaccinés, sûrement pas les mieux protégés. Surtout pas de leur État. À condition d’accepter de reconnaître le désastre économique, social, sanitaire et le changement civilisationnel où les a précipité le gouvernement.
Gouvernement qui les considère comme des gamins irresponsables, ou pire, qui leur dénie toute personnalité et par la même toute Humanité, les traitant comme des objets réduits à un QR code. Cela en dit long sur l’intrusion de l’État dans les vies privées et dans l’esprit des gens.
Gouvernement qui donne des leçons sur les Droits de l’homme à la planète entière mais qui précipite la France dans le totalitarisme.
Faire croire que, quand les gens sont autorisé par l’Autorité Centrale à prendre un café debout, à consommer dans les stades, les cinémas ou les transports c’est un retour à la liberté, alors que toutes les mesures liberticides de contrôle des population persistent, est une vaste fumisterie.
Attendre d’une Autorité centrale l’autorisation de prendre un café debout et une fois accordée, la présenter comme le Débarquement en Normandie est une insulte à l’intelligence humaine.
Le passe vaccinal n’a aucune efficacité sur l’infection. Il est inutile, dangereux et liberticide. Les vies prétendument sauvés par le passe sanitaire. sont une « évaluation » reconnaissent les auteurs. Ce ne sont pas des faits. La transformation du passe sanitaire en passe vaccinal est donc inutile, incohérente et nocive. Sauf :
– dans l’installation du totalitarisme « quoi qu’il en coûte » et quelle que soit l’évolution des épidémies.
Le gouvernement ne travaille pas à interrompre la chaîne de contamination. (voir supra) Avec le passe vaccinal il travaille a ce qu’il existe une chaîne de contamination légale, par les vaccinés, et une illégale par les non vaccinés.
Quant à la « gamme d’outils » complète à activer, c’est une gamme d’outils de coercition sociale, qui ne servent à rien pour la médecine ni l’épidémie, mais qui sont indispensables pour, au bon vouloir du gouvernement, pérenniser la destruction des libertés dans notre pays. Ce blanc-seing pour la république totalitaire estune honte pour nos prétendus représentants élus, garants de la « démocratie ».
Il faut répéter sans cesse que un pays ne peut être libre si un seul de ses enfants, s’il n’a commis aucun crime, ne l’est pas. Les non vaccinés ne sont que des boucs émissaires, des victimes expiatoires. Leur faire porter le poids de l’épidémie et des contraintes sociales est d’une injustice totalement assumée. Ce n’est pas la seule. Contraindre toute la population renoncer à sa liberté pour se soumettre aux caprices coercitifs d’un homme seul est aussi une injustice. Organiser le règne de l’injustice est un crime. C’est du totalitarisme pur et dur.
Cela signe la perversion de la loi dont le rôle est « d’empêcher l’Injustice de régner » Quand le gouvernement s’est mêlé de médecine et a porté atteinte à nos Droits naturels, dont nos libertés, au prétexte de la COVID, il a aussi perverti la Loi. Cette « odieuse perversion de la Loi est une cause perpétuelle de haine, de discorde, pouvant aller jusqu’à la désorganisation sociale »
C’est bien une dislocation sociale que nous vivons aujourd’hui sur tous les plans.
Pour y mettre fin, la bonne décision est de lever immédiatement toutes les mesures de coercition sociale et de rendre leur totale liberté aux Français.
Au début, ce ne fut qu’un murmure, quelques voix isolées, ici ou là, que personne n’entendait. Puis ça a pris plus d’ampleur. Aujourd’hui, on n’est plus très loin du vacarme. Oui, les injections, pour obligatoires qu’elles soient dans les faits (en France, du moins), non seulement ne protègent personne de quoi que ce soit, non seulement sont contre-productives, mais en outre, se révèlent pour beaucoup un véritable poison, capable d’entraîner les blessures les plus graves, et même la mort. Éteignez les voix corrompues, le « consensus scientifique », tant revendiqué par l’ennemi, est clairement unanime, il faut cesser immédiatement les programmes d’injections mortifères et toutes les relégations sociales.
C’en est au point que dans une majorité de pays, les dirigeants, aveuglés par l’évidence, se rendent à l’évidence, et que, pour éviter un rejet définitif de leurs esclaves administrés, abrogent tout ou au moins partie, de leurs mesures liberticides.
Reste une minorité malheureuse : les pays dans lesquels le poids de l’état est si lourd que leurs peuples n’ont plus que le choix d’obéir et/ou de mourir. La France, non pas « par exemple », mais désormais, comme meilleur exemple.
Pourquoi nos dirigeants s’obstinent-ils en dépit de l’évidence ?
D’aucuns défendent que la population non injectée constituera le groupe témoin de la nocivité des injections, groupe témoin qu’il faut donc absolument supprimer.
D’autres, plus imaginatifs encore, susurrent que les produits injectés pourraient contenir des ingrédients secrets aux propriétés les plus inattendues.
À mon avis, c’est beaucoup plus simple que cela.
Je le radote depuis deux ans : j’ai d’emblée douté du discours officiel, parce que j’y ai reconnu la « patte » des psychologues de « l’économie comportementale ».
Aujourd’hui, c’est officiel, oui, ce que nous subissons depuis deux ans est dicté par le cabinet américain McKinsey. Le cabinet McKinsey est LE cabinet-conseil en marketing des psychologues de l’économie comportementale. Et qui sont ses principaux clients ? Les laboratoires pharmaceutiques ! Que notre ministère ait choisi ces gens-là pour le conseiller, et que ceux-ci aient accepté cette mission est seulement indéfendable. `
Le cabinet McKinsey n’est pas autre chose qu’un cabinet de manipulation des opinions publiques. À partir d’informations, vraies ou fausses, peu importe, appelées « nudges », on conduit les peuples à accepter, ou même à choisir volontairement, les volontés dirigeantes.
Et c’est ici que tout dérape, tôt ou tard. Le nudge ne trompe pas seulement ceux pour lesquels il est construit. Il trompe plus encore ses créateurs. La pratique et l’usage des nudges donnent à ces derniers un sentiment de toute-puissance, d’invincibilité absolue.
Les théoriciens de McKinsey savent manipuler. Mais ils ne savent pas écouter. Mieux, ils sont incapables d’entendre. La sourde impatience qui gronde au sein des populations, ils n’imaginent même pas qu’elle puisse exister. Et voilà pourquoi, Madame, nos dirigeants s’obstinent. Le bruit des défilés, le grondement des camions ? Qu’importe ? Un autre nudge et tout rentrera dans l’ordre.
Avant de plonger avec délice dans la rigolade que nous propose Jaja, un instant de recueillement.
D’abord en pensant au respect dû aux personnes âgées qui souffrent du fait de la perte de leur autonomie physique, intellectuelle ou matérielle. Qui voient leur statut d’être humain à la merci de l’aide des autres.
Puis en se rappelant la définition du fascisme : “Tout pour l’Etat, tout par l’Etat, rien en dehors de l’Etat”.
En n’omettant pas que le fascisme n’est que ça, que ce n’est pas une couleur politique. Qu’il peut être de droite, de gauche et même centriste. Sa caractéristique est uniquement une totale dépendance à la fiction de l’Etat, donc en réalité à ceux qui prétendent le représenter sous quelque déguisement que ce soit.
Oublier cela revient à s’exposer à la séduction fasciste, qui en fait prône l’irresponsabilité, l’infantilisation, fol espoir de l’homme adulte en panne.
Le fascisme finit toujours en meurtre de masse, tant il hait les libertés individuelles.
Revenons à Jaja et aux EHPAD
Jaja est un vrai écolo, de ceux qui n’hésitent pas à parler sans réfléchir, juste pour escroquer l’électeur et capter le pouvoir.
Les EHPAD.
Enfant j’ai vécu le poids des vieux dans la famille. C’était ainsi. Tous les jeudis, pour 5 Frs, je rasais mon grand-père de 96 ans qui vivait l’hiver chez son fils mon père et l’été chez sa fille. Avec les 5 Frs j’achetais un carambar. Il était dans la maison, malheureux de vieillir et d’imposer aux siens ses contraintes. On ne parlait pas alors de maison de retraite. Il y avait les enfants ou l’hospice pour ceux qui n’avaient plus leur totale autonomie.
L’hospice c’était la vieillesse prise en charge par l’Etat ou par le clergé qui se prenait encore pour l’Etat qu’il avait été. Personne n’y allait volontairement, seuls les enfants indignes y abandonnaient leurs parents.
Vers les années 1970 sont apparus les appartements pour personnes âgées, incluant soi-disant une assistance médicalisée légère. C’était un pas vers la séparation des générations. Il me semble qu’il s’agissait d’un souhait conjoint de distanciation entre les jeunes et les vieux.
Puis les sexagénaires des années 70 ont vieilli et les prestations dont ils ont eu besoin sont devenus plus hospitalières qu’hôtelières.
Vers 1990, les familles ne voulaient, ou ne pouvaient, plus assumer leurs vieux. Eux-mêmes sans doute imaginaient pouvoir garder une indépendance, une certaine liberté, en évitant le statut du vieillard familial rangé dans un coin du salon.
Il y eut un énorme besoin d’établissements dédiés à cet objectif. L’Etat et ses hospices en lente rénovation étaient au taquet, dépassés comme toujours.
La porte fut entrouverte au secteur privé. Mais attention, sous total contrôle de l’Etat, à tous les niveaux.
C’est ainsi que vit le jour une des plus fameuses connivences de notre organisation économique “facho-libérale”, plus connue sous le néologisme de “néolibérale” : les EHPAD.
Les autorisations de création de ces établissements, tout comme les hypermarchés en leur temps, comme les éoliennes aujourd’hui, furent d’une beauté “facho-libérale” absolue.
Une poignée d’opérateurs hypocrites et roués rencontrèrent naturellement notre bureaucratie fasciste et cette association s’empara du marché, sans vergogne, au nom des grands principes. Lesquels ?? Les mêmes qu’ailleurs : “l’intérêt général”.
A ceux qui ne connaitraient pas “l’intérêt général” je peux dispenser un cours de deux heures en échange d’un bon gueuleton.
Ainsi fut fait, nos vieillards devinrent des assujettis devant répondre aux différentes contraintes ou objectifs que s’étaient fixés les complices de l’opération en fonction de ceux qu’ils servaient : financiers ou électeurs.
A aucun moment nos vieillards n’ont été considérés comme des clients que l’on respecte, que l’on tente de séduire au milieu de la concurrence.
C’est là que Jaja prend son essor comique.
L’ineffable Jaja nous assène : “Si je suis élu (on peut rêver) j’interdirai les EHPAD privés à but lucratif”. Et vlan…
Explication de texte
Ce serait quoi un EHPAD privé à but non lucratif, dans l’esprit de Jaja ?
L’inverse d’un EHPAD public à but lucratif ?
Tout simplement un EHPAD public sans doute. Puisqu’il pense que tout doit être public et que rien ne doit avoir un but lucratif. Sans pour autant qu’il expose comment il nourrit la population, sans les sous…
Soyons sérieux.
Dans une société libérale, les EHPAD s’ouvriraient où elles voudraient, quand elles voudraient. Aux normes nécessaires évidemment.
Leurs clients seraient des consommateurs, qui choisiraient l’EHPAD qu’ils souhaiteraient. Toujours dans le cadre de la concurrence.
Pour ceux qui n’ont pas suivi, les adorateurs de Jaja notamment, la concurrence c’est par exemple un TripAdvisor disponible pour les clients des EHPAD, où chacun donne son avis, où la prestation est décrite et notée. C’est que ça change les choses….
Oui mais, les opérateurs sont alors à la merci de leurs clients… et oui, ils font faillite s’ils perdent leurs clients pour mauvaises prestations… et oui.
C’est ça le libéralisme, Jaja.
Le néolibéralisme ça n’existe pas, car le libéralisme ne peut pas être autre que lui-même.
Le néolibéralisme n’est que le facho-libéralisme, une grave mutation du virus collectiviste, plus dangereuse que le virus initial, parce que plus contagieuse et toujours mortelle.
Revenir à la base est essentiel avant d’essayer de comprendre quoique ce soit. Mais ce n’est pas si facile.
Par exemple : comment revenir à la base du sacré ?
Le sacré, du moins sa partie visible, part d’un acte simple. Prenons un repas hebdomadaire entre amis qui va se poursuivre toute une vie, puis au-delà de cette vie qui sera maintenu par les descendants des initiateurs, puis plus tard par ceux qui se prétendront aussi descendants plus ou moins directs. Au terme d’un siècle ou deux, ce repas devient un acte sacré, alors accompagné d’un rituel destiné à magnifier ce sacré.
Une fois arrivé là, qui peut se permettre de rappeler qu’au départ il n’y eut qu’un repas entre amis ? Personne, il est alors d’usage de prétendre que le sacré vient du sacré, n’est pas une évolution. Faux.
Donc revenir à la base n’est pas simple. Beaucoup d’écrans cachent le début ordinaire de ce qui nous parait être des évidences qui s’imposent, alors qu’elles ne tirent leur légitimité que du temps qui passe, qui efface la banalité de leurs premières fois.
S’agit-il, en exprimant ceci, d’une réflexion primaire, non étayée par une kyrielle de citations et documentations diverses ? Peut-être…
Mais peut-on comprendre le fiasco dans lequel nous sommes projetés de toutes parts sans en chercher la base ? Pour moi, non.
Je ne vous cacherai pas qu’il y a un bon moment que je cherche cette base, mère de nos tourments. Jusqu’à ce jour aucune hypothèse ne m’a séduite, toutes étaient partielles ou partisanes, qui plus est compliquant la complexité alors que je cherche la simplicité initiale.
Puis j’ai commencé à lire “La France de face”, le livre d’Anne Nivat, l’épouse de ce pauvre JJ Bourdin, une grande reporter qui dit elle-même :”Je n’ai jamais cru à l’objectivité en journalisme, en revanche, je défends farouchement l’idée d’un travail honnête et utile. J’assume ma subjectivité et revendique l’absence de jugement…”
Où j’en suis de son livre, elle ne ment pas en affirmant cela.
Evidemment sa “subjectivité” l’entraine vers les classes dites “défavorisées”.
Nous voilà donc parti, souvent en compagnie de travailleurs sociaux ou d’associations du même type, dans les quartiers eux aussi globalement qualifiés de défavorisés. Tous les poncifs y passent, mais sans jugement il est vrai — l’attirance n’étant pas, dans l’absolu, un jugement –…
Pour finalement constater que nombreux sont ceux qui se laissent aller au fil de la misère, mais que quelques-uns luttent et s’en sortent, que ce soit par le biais des études ou directement par l’engagement personnel dans le travail ou dans une idée.
Ceux-là me sont sympathiques, et immédiatement j’imagine leur désarroi lorsque, ayant vaincu le signe indien, après travail et galères, on va leur dire une fois accédés au confort matériel : “Par ici la monnaie, nous allons redistribuer le fruit de tes efforts à tes anciens amis qui n’ont pas eu ta chance et sont restés à rien foutre dans leurs canapés à regarder la télé ou leur téléphone…”
La redistribution
Eureka, c’est la base que je cherchais, le monstre qui nous dévore. Devenu sacrée, indiscutable et cependant drogue de mort.
La redistribution constitue un crime contre l’humanité.
Sournoise elle prétend faire le bien, elle cherche à se confondre avec la charité, avec l’aide due aux éclopés de la vie, mais ce n’est pas le cas.
Elle tourne à plein régime, cela n’empêche pas la misère et la honte des laissés pour compte dans la rue.
La redistribution ne satisfait que la haine de la réussite, la jalousie. Contrairement à ce qu’elle annonce elle entrave lourdement, moralement et matériellement, l’assistance aux personnes en danger. Elle confond volontairement les dangers de la faim, de la maladie au profit de la consommation inutile, perverse, non gagnée.
Elle dévore le capital qui manque alors à l’économie, elle enrichit indument ceux qui, si nombreux, se targuent de la gérer, de la redistribuer.
Si j’avais à défendre une campagne électorale, je ne promettrais que cela, la fin de la redistribution.
Je la remplacerai par une aide concrète et efficace à ceux qui sont vraiment dans la peine, ils ne sont pas si nombreux. Pour les autres je leur conseillerais la case travail, engagement, responsabilité, mérite.
La redistribution c’est l’injustice, la certitude de se tromper, de prendre aux travailleurs pour alimenter les fainéants, quel que soit le niveau d’intervention.
Au début étaient la mutualisation, l’association ouvrière, les syndicats, pour équilibrer les rapports et partager équitablement les fruits du travail.
Puis s’est substituée à ces organisations respectables la redistribution, cette crapule, pilleuse en bande, assassine de l’économie, destructrice du lien social, amplificatrice de la haine, de la jalousie, de la délation, autant de maladies graves de la société.
Le partage du bénéfice, ça se discute, entre hommes de bonne volonté, ça ne se redistribue pas aveuglement par l’intermédiaire d’hommes de mains.
La base de nos maux est donc pour moi : LA REDISTRIBUTION
On a donc décidé idéologiquement de se débarrasser du carbone et de se tourner vers d’autres formes d’énergie sans mesurer les conséquences de cette décision car, il ne faut jamais perdre de vue que l’économie c’est de l’énergie et que nous avons besoin d’une énergie abondante, stable et bon marché pour que le pays puisse fonctionner, que ce soit pour les machines ou les moyens de transport et payer les salaires !
Nous avons fait exactement l’inverse avec une transition énergétique qui va raréfier et renchérir le cout de l’énergie !
On pourrait comprendre le remplacement rapide du pétrole et du gaz en cas de risque de disparition prochaine et rapide de ces derniers. Mais ce n’est même pas le cas, il y a du pétrole et du gaz en quantité … sauf que l’on dissuade désormais les compagnies pétrolières de poursuivre leurs recherches de nouveaux gisements ; ce qui va évidemment aboutir inéluctablement à une pénurie et à un renchérissement du cout de l’énergie !
La pénurie de gaz et de pétrole à venir sera donc provoquée et nous nous retrouverons alors pris au piège d’un mécanisme dont il sera très difficile de sortir !
L’un des symboles de ces errances est la persistance à vouloir implanter des éoliennes alors qu’on ne manque pas de spécialistes pour effectuer toutes les études de rentabilité et de faisabilité des infrastructures de production d’énergie.
On savait donc, dès le départ, que les éoliennes ne fonctionnaient pas suffisamment pour alimenter le réseau ; mais on l’a fait quand même en dépensant des centaines de milliards, ces dernières années parce qu’on est parti de l’idée, complètement farfelue et anti scientifique, d’une énergie gratuite et inépuisable parce que … « du vent et du soleil, il y en aura toujours » !
Sauf que ça ne fonctionne pas comme cela :
-le rendement des éoliennes n’est pas bon et les marges de progression de ce rendement sont extrêmement faibles (il existe des calculs mathématiques très précis à ce sujet). On bute donc sur un plafond et on ne pourra pas faire beaucoup mieux.
-du vent il n’y en a pas tout le temps et le taux de charge des éoliennes est, au mieux, de 20%. Cela signifie que pendant 80% du temps elles ne produisent rien ou si vous préférez, elles ne produisent rien pendant 4 jours sur 5 … dans le meilleur des cas !
-les couts de production, quoiqu’en disent les écolos, sont beaucoup plus élevés que pour une centrale nucléaire parce qu’un moulin à vent ne produit finalement pas grand-chose et qu’il en faut des quantités énormes pour espérer avoir un peu d’électricité … les jours de vent !
-l’empreinte écologique est catastrophique puisqu’on sait que les pales usagées sont enfouies faute d’être recyclables et que les socles en béton (800 tonnes de béton ferraillé) sont là pour l’éternité !
-les éoliennes fournissent, par nature, un courant instable et aléatoire ce qui a contraint EDF à mettre en place de couteuses structures d’adaptation du réseau pour éviter le black-out par effet de domino,
Et aujourd’hui, parce qu’on n’a pas suffisamment investi dans des moyens de production stables et pilotables (centrales nucléaires), nous nous retrouvons avec un parc insuffisant, qu’il faut aussi entretenir (ce qui provoque des arrêts importants), l’obligation de recourir au gaz et même au charbon pour produire les jours de vent insuffisant ou encore d’importer du courant d’Allemagne dont on sait qu’il est produit à partir de centrales au charbon.
Vous pouvez vous en rendre compte par vous-mêmes en consultant le site de RTE qui montre, en temps réel, la production d’électricité.
Le 18 janvier 2022, à 12h00, nucléaire, gaz et hydraulique produisaient 93% de l’électricité. Le reste était donc anecdotique si ce n’est, et cela l’est beaucoup moins, que nous importions, ce jour-là, 4.500 Mw d’électricité, essentiellement d’Allemagne (donc produite avec du charbon).
Le 25 janvier à 8h00 nucléaire, hydraulique et gaz produisaient encore 93% mais comme il a fait plus froid, on a importé encore plus d’électricité (5919 Mw) !
Le constat est toujours le même : les énergies dites renouvelables sont, bien souvent, insignifiantes ce qui prouve, résultat à l’appui, qu’elles ne servent à rien en dépit des sommes dépensées ; avec un effet induit imparable : on est obligé de compenser les trous de production avec du charbon et du fioul parce que personne ne pourrait accepter de n’avoir de l’électricité qu’un jour sur cinq !
Conclusion qui s’impose : un moyen de production d’énergie qui ne produit rien … ne sert à rien ou bien alors il sert à autre chose (clientélisme électoral, capitalisme de connivence).
Un « mauvais esprit » estimera même que cet argent « investi » dans ces énergies renouvelables a en fait été dépensé en pure perte … sauf pour certains industriels et intermédiaires qui ont pu faire leur beurre sur votre dos puisque vous payez ces engins inutiles par le biais de la CSPE (contribution au service public de l’électricité) dans votre facture d’électricité et à travers le mécanisme de la taxe carbone.
La question incorrecte qui vient fatalement à l’esprit est : Combien de centrales nucléaires aurait-on pu construire avec l’argent dépensé inutilement avec les éoliennes ?
Et le gouvernement, pris dans le piège d’une transition énergétique ratée, se trouve dans désormais l’obligation de mettre la pression sur EDF pour la forcer à brader le prix de l’électricité et à vendre à perte ; quitte à mettre l’entreprise en difficulté !
Tout vient du fait que l’on sait que la concurrence ne peut jouer qu’au niveau de la production ; et nos élites fonctionnaires ont cru qu’il serait possible de créer un système concurrentiel de production d’électricité à base d’énergies alternatives dans un pays où EDF a le monopole absolu.
Cela ne s’est pas produit puisque ces énergies renouvelables ne produisent rien ou si peu ; et cela s’est aggravé avec l’envolée récente des cours de l’énergie !
De ce fait, EDF est confrontée à une équation impossible entre financer la rénovation du parc existant, construire de nouveaux réacteurs, gérer les énergies renouvelables qui lui ont été imposées et brader son courant électrique à ses concurrents.
Car, pour faire semblant qu’il existe un marché concurrentiel, EDF est contraint de vendre de l’électricité à perte à ses concurrents ; c’est à dire que l’on a créé une concurrence artificielle en pillant EDF !
Mais attention, il ne faut surtout pas y voir un effet du libéralisme ou de la concurrence car c’est très exactement un effet direct de décisions particulièrement inopportunes prises par l’administration !
C’est donc bien un effet de l’étatisme qui a amené à cette situation ; situation à ce point grave que même le personnel d’EDF commence sérieusement à s’inquiéter des mesures électoralistes du gouvernement E Macron.
Le cout de ces mesures sera colossal et met en péril l’entreprise qu’il faudra évidemment un jour recapitaliser avec … vos impôts !
Le paradoxe de cette situation est que, pourtant, les autorités poursuivent imperturbablement leur politique d’orientation contrainte du marché vers le tout électrique avec l’interdiction des chaudières au fuel et au gaz et qu’elles tentent, en plus, de convertir l’ensemble du parc automobile à la propulsion électrique … sans savoir si on pourra effectivement alimenter tous ces appareils.
La transition énergétique, avec son développement des éoliennes et les fermetures de centrales nucléaires en état de fonctionnement (Fessenheim), s’avère en fait être un énorme échec dont l’effet le plus visible, avant des coupures d’électricité d’ores et déjà annoncées voire même un futur black-out traduisant une fragilisation du réseau, est l’envolée des factures d’électricité ; bien que la propagande officielle tende à vouloir occulter cette vérité en manipulant les chiffres et les données
Le gouvernement fait n’importe quoi mais c’est vous qui paierez alors qu’il apparait pour le moins nécessaire que nos ministres fonctionnaires expliquent aux contribuables et électeurs qui va payer cette transition énergétique dont on n’avait pas besoin.
En tout état de cause, il faut être conscient que nous nous acheminons vers une écologie élitiste car le système qui va se mettre en place, à vos dépens, sera un système totalement réservé à ceux qui auront les moyens ; même si certains écolos se sont engouffrés dans le déni en expliquant qu’il ne s’agissait pas de vivre moins bien mais de vivre mieux !
La future réalité sera que si vous n’avez pas d’argent vous serez écolo par obligation car, faute de moyens, vous devrez vous passer de tout un tas de choses qui ne seront plus autorisées par l’élite comme nous le verrons dans un prochain article.
Cela ressemblera beaucoup à cet aphorisme de Coluche « Dites-moi de quoi vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer ».
Je ne suis pas sûr que l’on puisse y voir un progrès tout comme je ne suis pas sûr que la population l’accepte longtemps !
À suivre …
Bien cordialement à tous !
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L’Administration détourne 200 000 000 000€ (200 milliards €) par an en frais de fonctionnements inutiles. Il ne s’agit pas d’un simple relâchement coupable, mais d’une ponction dévastatrice des forces vives du pays. Ce fait politique majeur, dont personne n’osera parler, sera en creux au centre de l’année électorale qui s’ouvre.
32% de frais de fonctionnement
Je cherchais ce chiffre depuis longtemps. Dans un rapport publié par l’Institut Montaigne en Mars 2019, Jean-Ludovic Silicani, haut fonctionnaire, ancien Commissaire à la Réforme de l’Etat, nous l’a enfin dévoilé : notre pays consacre 18% du Produit Intérieur Brut (PIB), c’est à dire de la richesse créée par le pays, à payer le personnel administratif, les bureaux et les autres frais de fonctionnement de son Administration (ordinateurs, téléphones, automobiles, frais de représentations, consultants, etc.). Comme la dépense publique représente 56,4% du PIB, ça veut dire que 32% de nos impôts et des dettes que nous accumulons servent à payer ses frais généraux.
Le reste sert véritablement à quelque chose : 57% de la dépense publique vont aux dépenses dites « d’intervention », c’est à dire les diverses aides, subventions et transferts sociaux accordés aux particuliers, associations et entreprises, 7% sont des investissements et 3,5% environ servent à régler le coût de la dette.
Alors, 32%, soit 413 000 000 000 € de frais de fonctionnement par an (chiffre 2017), c’est beaucoup ou pas ?
L’Administration détourne 200 milliards
L’Etat lui-même a établi un standard (pour les autres) : 15%. Suite au scandale des dépenses somptuaires de la Ligue contre le Cancer payées avec les dons, il a en effet établi que les frais généraux d’une association d’intérêt général ne pouvaient pas dépasser ce chiffre.
On estime que les frais de fonctionnement public en Allemagne s’élèvent à 8-10% du PIB, soit en environ moitié moins qu’en France.
Réponse : 32% c’est au moins deux fois trop. 200 000 000 000 € (200 milliards) de trop.
Ces 200 000 000 000€ de trop, c’est 3 fois le budget des Armées, 17 fois celui de la Justice, 40 fois celui de l’Agriculture.
En frais de personnel et de fonctionnement inutiles.
Chaque année !
Une méthode de dissimulation éprouvée
Pour nous cacher ce détournement, l’Administration, avec la complicité active de la presse officielle, a mis en place différents discours :
Les frais généraux sont un mal nécessaire (ce qui est vrai mais pas à ce niveau)
Si vous critiquez l’administration, c’est que vous êtes un être primaire qui n’aime pas les fonctionnaires ! (sans commentaire)
Tout est transparent : lisez les dizaines de milliers de rapports et de pages de sites internet (ce qui est vrai, la complexité servant ici d’opacité),
L’administration fait des efforts de réduction de coûts (à part réduire les prestations au public c’est faux).
Si vous n’êtes toujours pas convaincus, arrive l’argument massue : vous remettez en cause le contrat social, la nécessaire solidarité, la protection des plus faibles, la redistribution etc. Vous êtes un égoïste au cœur de pierre qui tourne le dos au bien commun !
Nous y voici : la classe dominante, mandarinale, confond son intérêt de classe avec l’intérêt général. Paraphrasant la grande General Motors des années 1960 aux Etats-Unis, voici son slogan : ce qui est bon pour l’Administration est bon pour la France !
Et puis, si vous n’êtes pas d’accord, on fait grève.
Un détournement fiscal mortel
Des frais de fonctionnement au standard international (10% de PIB), ça signifierait :
La fin des déficits publics qui sont de 3 à 6% du PIB (hors COVID), soit beaucoup moins que les détournements de l’Administration,
Une baisse de tous les impôts de 15% à 18% (TVA, charges sociales, etc.),
Alternativement, à imposition égale, des dépenses d’intervention augmentées de 200 milliards : une éducation nationale plus performante, une administration de la santé qui fonctionne (enfin), des capacités de défense largement supérieures, des minimas sociaux plus confortables, etc., vous pouvez rêver !
Ou, dans la pratique probablement, un mix des deux.
Une sale histoire d’argent qui détruit le pays
La gauche réclame plus d’impôts pour plus de redistribution, la droite moins d’impôts pour soutenir la compétitivité des entreprises. Ces deux discours teintés d’idéologie ne prennent pas en compte la réalité toute simple : notre Administration détourne des sommes gigantesques au profit de son clan et prive ainsi le pays de ses ressources et de son énergie créatrice.
Il ne s’agit pas juste d’un dépassement coupable, mais bien d’un détournement de fonds débilitant qui détruit l’économie, l’emploi, le lien social, le consentement à l’impôt, la redistribution et la protection des plus faibles. Sans compter que la dette abyssale qu’elle nous met sur le dos signifie, à terme, la perte de notre indépendance nationale.
Comme un trou noir qu’on ne veut pas voir, l’Administration française aspire et détruit tout sur son passage, et d’abord la France.
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Notre iconoclaste Ministre de l’économie et des finances nous récite que nous venons de faire 7% de croissance en 2021, alors que nous étions à moins 8% en 2020. Pour le principe : 100 divisé par 1,08 = 92,59. Puis 92,59 multiplié par 1,07 = 99,07 . Une simple règle de trois nous permet d’établir que nous ne sommes pas dans de la forte croissance de Mr Le Maire.
Il y a par ailleurs de l’inflation incontestable, pour se nourrir, se chauffer, bref les besoins situés dans le bas de la pyramide de Maslow de bons nombre d’entre nous, et plus surtout dans celle des nantis de la redistribution, celle de ceux qui ne percolent plus que pour recevoir un chèque de cet Etat qui prospère par ainsi.
Puis vient notre déficit budgétaire, notre balance commerciale vis-à-vis de l’étranger en import-export constamment déficitaires, notre taux de prélèvement obligatoire au top mondial sur la création de richesses, puis enfin parce que cela ne suffit pas notre emprunt endémique vis-à-vis de l’extérieur.
Cette croissance annoncée est un faux nez pour nous situer en réelle décroissance. Pas la peine de se battre avec des tableurs Excel et des graphiques qui montrent l’évidence.
Autrefois, nous avions les Gilets-Jaunes « canal historique » pour poser la question où passe leur pognon de dingue … Où sont-ils passés alors qu’ils auraient dû se réveiller ?
Silence … Il est vrai que le QR Code est passé par là, pour restreindre l’individu dans une optique de groupe dont il va falloir devoir prendre peur d’une démocratie ou de plutôt son absence, par un outil, la numérisation …
Nous sommes dans une intersection de notre vie future entre Dark Vador qui prospère et régule, un totalitarisme déguisé en poupée de soie, et notre virgule puis forcément notre rébellion, tant que possible …
C’est à nous !
Bien à vous !
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Je pense même que tout reste à faire, seul compte l’avenir, c’est de lui et non du passé que dépend notre présent.
Contrairement à ce qui est largement répandu l’histoire n’apporte aucune aide à la compréhension du présent, ni à l’analyse du futur. Sauf dans le cas ou la situation est stationnaire et se reproduit à l’identique, ce qui est une rareté.
La masse de l’humanité est assez semblable à un vol d’étourneaux, elle s’envole collectivement à chaque émotion ou crainte, ses “murmurations” n’ont aucun chef, aucun commandement. La différence tient au fait que chez les étourneaux personne ne fait semblant de décider, alors que chez les hommes il est toujours un ambitieux qui fait mine de comprendre ou d’être à la base de l’envolée dans l’espérance de capter ensuite le pouvoir, qui conduit à la femme… enfin qui conduisait à…
A partir de ce constat, tout s’explique.
Le professeur Raoult, dont j’apprécie l’intégrité morale et la mesure, sera oublié rapidement. Pourtant il a tellement raison. Sa dernière vidéo est si claire.
Cependant il lui manque un petit truc : ce ne sont pas les hommes politiques qui décident, c’est l’opinion publique qu’ils épousent au plus près à coup de sondages journaliers – qui d’ailleurs vont peut-être valoir la prison à Sarkozy tant ce garçon en était friand –.
L’opinion publique est ce qu’elle est parce qu’elle ne garde aucune trace de ses erreurs, donc elle ne récompense jamais ceux qui les lui montrent.
Le professeur Raoult a peut-être cru que le fait d’avoir raison lui vaudrait une gratification, au moins morale, mais il a récolté le contraire. Il apprend sur le tas qu’en politique le pouvoir se prend, il n’est jamais donné, et la reconnaissance des autres étant une forme de pouvoir elle n’est jamais donnée non plus, il faut aussi la prendre.
Si l’opinion publique n’a pas une ligne de conduite, une morale, elle est prête à tous les excès : pillages, lynchages, délations, rumeurs non fondées, exclusion des minorités, esclavagisme des faibles, servilité envers les plus forts, et bien d’autres cochonneries qui font son charme.
Voyez Bourdin.
Voilà un homme sérieux, clairvoyant, qui n’a pas la langue dans sa poche – nous ne sommes pas les seuls à le constater, parait-il – qui est rigoureux, ne s’en laisse pas conter, qui épouse l’opinion publique, sa sagacité, son intransigeance, ce qui lui vaut une notoriété affirmée. Soudain, patatras, il est soupçonné. Du pire. Il devient le “soupçonneux soupçonné” grave. Le château de sable de sa vie s’écroule, comme celui de ceux qu’il dénonçait. Son épouse est effondrée, on la comprend.
Voyez Poutine.
Il a en marre de vendre une poignée de pois chiches ses matières premières à une bande de snobs qui le prennent pour leur larbin mal dégrossi, à la tête d’une nation d’alcooliques. Alors il s’associe avec Xi Jinping qui lui en a marre de fabriquer presque à l’œil des produits que ses acquéreurs se revendent entre eux la peau du cul, se partageant sans vergogne le bénéfice de son travail.
L’opinion publique est de leur côté. Elle n’aime ni ses snobs ni ses commerçants qui la font pourtant vivre grassement. Donc, ça va péter. L’opinion publique n’attend que ça, elle criera maman plus tard…
L’opinion publique
Elle refait irrémédiablement les mêmes conneries, elle n’aime que détruire.
Paradoxalement elle n’existe pas, elle n’est qu’un fantasme issu de l’oisiveté. Celui qui s’occupe à plein temps n’a pas d’opinion, il n’en a pas le temps.
Heureux les passionnés, inaccessibles à l’opinion publique.
Pour les autres il n’est que deux solutions :
– 1 – La brisure constante du groupe, sauf urgence vitale. Ce sont les lumières de la révolution. La liberté individuelle, dont l’exigence impose de ne pas s’occuper des affaires des autres et de limiter les siennes pour qu’elles n’empiètent pas sur les leurs.
– 2 – La soumission à un homme ou à une organisation qui utilisera le pire de l’opinion publique pour prendre le pouvoir et la brisera ensuite à son seul profit.
Elle n’est pas ragoutante l’opinion publique, et pourtant tous les hommes de pouvoir la traquent, dans ses moindres recoins. C’est le revers de la démocratie.
Elle n’est pas très intelligente l’opinion publique, elle se laisse facilement manipuler. Mais, dans le fond, elle s’en fout, quoiqu’il arrive elle survit. Après cent millions de morts l’opinion publique reste religieusement communiste, égalitariste.
Après 2 000 ans de sévices moraux, l’église est toujours une favorite de l’opinion publique, il en est même qui croient que l’inquisition était le fait des inquisiteurs, alors qu’elle était portée par l’opinion publique qui se délectait de ses accusations.
Alors pour en revenir au titre de ce billet : tout a été dit en effet.
Mais tout n’a pas été fait, il reste une chose à faire : respecter la liberté de l’homme, même quand il doit se regrouper pour survivre.
Faire mentir Yuval-Noah-Harari. Oui jusqu’à aujourd’hui les hommes ont été regroupés à l’aide de mensonges. Sortons de ce cycle infernal. Ce sera peut-être l’apport majeur d’internet et des réseaux sociaux à terme. Enfin, on peut toujours l’espérer.
Bien à vous. H. Dumas
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D’où vient le sentiment religieux ? Evidemment de la peur. C’est l’origine des sacrifices humains, destinés à apaiser la colère des dieux. L’humanité a mis longtemps à les abandonner en leur substituant un bélier. Et le Christ lui-même s’est offert en sacrifice pour sauver les hommes.
Il n’empêche que, sur terre, presque tout le monde a peur. Et quand une religion n’est pas là pour calmer les angoisses, on en invente une d’urgence.
Tel est le cas de l’écologie. Il s’agit de « sauver la planète » en s’empêchant de vivre, ce qui est le pari de toutes les religions. L’écologie multiplie les interdits et tente de faire honte à ceux qui ne les respectent pas. Jusque là, rien de nouveau. Mais là où l’écologie se surpasse, c’est quand elle invente des prophètes inspirés, parfois très jeunes comme Greta Thunberg, qui nous fait revivre les sorcières de Salem. Ce n’est pourtant rien à côté de l’immense apport de l’écologie à la psychiatrie. Désigner des cibles parmi l’humanité, c’est satisfaire l’irrépressible besoin de haine qui emplit le cerveau de l’homme.
On retrouve cette fonction dans la doctrine sanitaire, qui est devenue une dictature alors qu’elle était justifiée historiquement quand il s’agissait de faire échapper l’humanité aux virus par la vaccination. C’est ce qui s’est passé dans la pandémie du coronavirus. Certains y ont vu une occasion rêvée de retrouver leur pouvoir sur les individus, mis à mal par l’épanouissement de l’individualisme moderne depuis les Lumières. Et quand on parle de « certains », il s’agit forcément de ceux qui exercent le pouvoir et se heurtent à l’esprit d’indépendance et de liberté si difficilement acquis lors des derniers siècles.
En France, on s’est surpassé. Il faut dire que notre pays est celui où règnent l’autoritarisme et le mépris du droit le plus avéré du monde, même en y incluant certaines dictatures. On n’a jamais vu, où que ce soit sur la planète, des technocrates aussi bornés et sûrs d’eux que chez nous. Après des décennies d’échecs, ils viennent vous expliquer que jamais on n’a créé autant d’emplois dans notre pays grâce à l’ampleur des fonds débloqués (c’est-à-dire volés aux citoyens). Et pas un seul instant ils n’avouent qu’il s’agit d’emplois artificiels, qui s’évanouiront sitôt la pluie de subventions interrompue.
Ils veulent absolument avoir sauvé le pays du virus, alors qu’il devient chaque jour un peu plus évident que la vaccination généralisée n’était qu’un leurre. Quand on pense qu’Israël, donné en exemple de démocratie et d’efficacité, doit avouer qu’il a vacciné à tout va …pour rien ! Un tel aveu est inimaginable en France où M. Macron s’est donné il y a quelques jours ce programme: « Vacciner, vacciner, vacciner ! ».
Mais l’essentiel est atteint pour nos gouvernants : ils ont fourni sa ration de haine au peuple. ll faut voir sur les plateaux de télévision les vaccinés fanatiques haranguer la bave aux lèvres les rétifs, qu’ils ne laissent même pas expliquer qu’en refusant l’universelle piquouse ils n’augmentent pas la contamination, puisque celle-ci se fait tout autant par les vaccinés.
On n’est même plus certain que les cas graves épargnent les vaccinés, puisqu’il semble que le facteur déterminant soit le surpoids et l’immunodéficience. Mais quoi qu’il en soit la stratégie raisonnable aurait consisté à laisser à chacun, en liaison avec son médecin, le choix de se vacciner ou non.
Tout le monde est en train de comprendre, en France, que le gouvernement n’avait pas pour ambition de combattre le virus, mais d’empêcher le Pr Raoult de se vanter d’avoir vaincu l épidémie, alors que « le savant de Marseille » ne prétendait à rien de tel et se tenait à l’écart de la politique. L’aberration du tout vaccinal n’était possible que dans un pays qui a perdu ses repères et où le pouvoir n’a plus de légitimité ni d’autorité. La France répondait à tous ces critères, les Français n’ont pas fini de le payer.
Plus que jamais, les médias concentrent la colère du peuple. Les folies du pouvoir n’auraient pas résisté à des débats télévisés dignes de ce nom. C’est une leçon pour la suite des évènements. Nous réclamons des médias dignes de la France, où il n’y a pas que deux dizaines d’amuseurs de plateaux télévisés, mais bien des centaines d’intellectuels et de savants capables de démêler le vrai du faux et dotés d’une morale universitaire qui les met à l’abri de la corruption des esprits.
« Je ne possède que mon cerveau », disait le général de Gaulle. Cela n’était déjà pas si mal !
Claude Reichman
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Le 20 janvier 2022 Jean Castex nous a gratifié d’un discours d’anthologie en matière de langue de bois et de propagande. Il serait trop long d’en faire l’analyse exhaustive mais il est intéressant de relever les principaux points.
Le pire pour un politicien : ne rien faire.
Castex confond volontairement « faire quelque chose » avec « ce que fait » le gouvernement, et « ce que fait » le gouvernement avec « ce qu’il faut faire ». Autrement dit si l’État ne faisait pas, rien ne se ferait. L’intervention étatique est inévitable, bénéfique, et« ce que fait » le gouvernement est la seule stratégie possible. Rejeter cette stratégie c’est « ne rien faire » contre l’épidémie. En vérité Castex confond « le gouvernement et la société » comme l’écrit Bastiat dans La loi.
Il oublie que, jusqu’à cette première qui est la confiscation par l’État de la prise en charge d’une épidémie, les médecins n’ont jamais attendu les ordres de l’Autorité Centrale pour soigner les gens.
Au début personne ne pouvait dire si le SARS-coV2 était anodin ou grave. Il était nouveau. Cependant, il est vite apparu qu’il était peu meurtrier, et surtout qu’il existait des populations à risques de complications, et d’autres où ces risques n’existaient pas. Le virus peut-être anodin pour les uns et pas pour les autres, ce qui aurait dû être une indication à une prise en charge différenciée.
Coronavirus vs grippe
D’abord la grippe n’a rien d’anodin.Il faut noter que l’Institut Pasteur parle de « surmortalité ».
La comparaison avec les chiffres de grippe que fait Castex peut être interprétée différemment.
Il serait possible d’en déduire qu’une épidémie avec un virus respiratoire, « pas anodin », qui mute, bien prise en charge …parce que médicalement, est moins nocive qu’une épidémie liée à virus respiratoire , « pas anodin », qui mute, mal pris en charge… parce que politiquement.
Les épidémies de grippes sont, à quelques détails près, plutôt bien gérées par les médecins. Le gouvernement ne s’en mêle pas, ou peu, il laisse les médecins travailler. Les populations cibles sont identifiées et particulièrement bien prises en charges. En résumé quand le gouvernement se mêle peu, ou pas, d’une épidémie les résultats sont meilleurs.
On ajoutera que les hôpitaux étaient déjà saturés lors d’épidémies de grippe, que les politiciens savaient. Il est alors facile de comprendre pourquoi le système a été complètement débordé en mars 2020. Mais il est difficile de comprendre pourquoi aucune mesure de correction n’a jamais été prise. Aucune mesure de précaution n’a jamais été décidée pour anticiper une épidémie plus importante. L’État a fermé des lits depuis des années et a continué pendant l’épidémie. Ce qui est une faute gravissime.
Rappelons que, pour la grippe, la vaccination est non obligatoire mais recommandée aux personnes à risque, avec un vaccin éprouvé, très bien supporté et qui a obtenu son AMM normalement. Pour les COVID, c’est une vaccination de masse, sans cible, ni objectif médical précis, obligatoire dans les faits, avec un dit « vaccin »qui ne confère pas d’immunité fiable (encore moins que la grippe), utilisant une technologie jamais essayée dans ce domaine chez l’homme, et qui a obtenu une AMM provisoire dans des conditions douteuses.
Rappelons qu’il n’y a pas d’indication vaccinale pour quelqu’un qui a fait la maladie. Il ne vient à l’esprit de personne de vacciner un grippé guéri. Il est obligatoire de revacciner un COVID guéri depuis plus de quatre mois. Pour le vaccin contre la grippe les laboratoires son responsables des éventuels dommages. C’est beaucoup plus flou pour le vaccin contre la COVID.
Vaccination le naufrage
Toutes les modélisations de l’épidémie, depuis celle de Niel Ferguson début 2020 se sont révélées erronés. En ce qui concerne l’épidémie actuelle, en novembre 2021, « l’Organisation mondiale de la Santé s’alerte de la flambée des contaminations en Europe et redoute 700.000 morts supplémentaires du Covid-19 d’ici au printemps » On sait ce qu’il est advenu dans la vraie vie : beaucoup de tests positifs et très peu de morts.
Ce n’est pas la vaccination qui a changé la donne. C’est l’Omicron. Le gouvernement s’attribue les améliorations sanitaires liées à l’évolution naturelle de l’épidémie. L’Omicron est peu dangereux. Il semble aussi être moins dangereux que le Delta pour les personnes à risques. Il faut rester prudents.
Il y a beaucoup de tests positifs mais très peu de malades et encore moins d’hospitalisés. « Il reste que la fréquence des entrées en soins critiques pour Omicron reste beaucoup plus faible que celle observée pour Delta, quel que soit le statut vaccinal. »De plus les vaccins sont encore moins efficaces vis à vis de ce variant.
« Si nous avons pu traverser ces dernières semaines, avec des centaines de milliers de contaminations chaque jour et des hôpitaux qui ont tenu, ce n’est pas le fruit du hasard. C’est parce que nous avons pris les bonnes décisions, parce que nous sommes massivement vaccinés et que nos vaccins restent extrêmement protecteurs. » Merci. La vérité est différente. Le tout coercition n’est pas une bonne décision.
Le tout vaccinal non plus, la vaccination de masse ne sert à rien, le vaccin n’est pas protecteur.
L’État ne parle plus d’atteindre d’immunité collective avec la vaccination. Ce n’est pas possible. Il y en a plus de 5000 espèces de coronavirus, il y a un immense réservoir animal, les coronavirus mutent sans cesse, la durée et la qualité de l’immunité naturelle sont inconnues, celles de l’immunité vaccinale sont hypothétiques. La durée de l’immunité n’est plus définie médicalement validée ,ensuite administrativement. Elle est uniquement administrative. Elle change constamment au gré des caprices des politiciens, pourvu que l’on vaccine.
Plus de 5600 souches de SRAS-coV2 ont été isolées.Les nouveaux variants échapperont à la vaccination comme y échappe déjà Delta, et davantage encore Omicron. Il faut dire que le vaccin est basé uniquement sur la Spike, souche Wuhan, disparue il y a presque deux ans.
Au départ le vaccin a été vendu par la propagande comme empêchant la maladie. Puis cela a été piteusement revu à la baisse avec un « protège les autres ». Pour terminer par un tristounet « prévient les formes graves ». Castexs’accroche à la « moindre gravité grâce au vaccin » comme le naufragé à sa planche.Si cette assertion est démentie par les faits tout s’effondre. La vérité apparaîtra nue : la vaccination de masse obligatoire est un naufrage qui aura fait beaucoup de victimes et de dégâts..
En réalité, que la vaccination évite les cas graves est bien moins évident que ne l’affirme Castex. Il ne dit rien les travaux qui sous tendent cette assertion. Il n’est pas précisé qui sont ces personnes, ni leurs comorbidités. Rien n’est indiqué des traitements dont elles ont bénéficié, ou pas, au début de leur infection. Or, les personnes hospitalisées, vaccinées ou pas, ont le profil « à risques ». Vaccinés ou pas vaccinés ceux qui meurent sont les mêmes.
Ce n’est donc pas l’absence de vaccination qui induit l’hospitalisation mais l’existence de facteurs de risques.
Vacciner n’est pas un but en lui même. Ce n’est pas la contamination qu’il faut éviter, c’est la maladie et les cas graves. Les enfants de 5 à 11 ans ne sont pas la cible. Les jeunes de plus de 16 ans non plus. Il n’y a aucun bénéfice à les vacciner mais seulement des inconvénients.
Israël, pays « modèle » pour les « vaccinophiles à tout va », malgré une troisième et une quatrième vaccination, n’a jamais eu autant de cas.
L’efficacité du vaccin sur le contrôle de la maladie n’est pas convaincant. Presque 10 milliards de doses ont été injectées et il y a plus de cas que jamais.
Si l’on regarde la carte des pays du monde où la population est la plus vaccinée.
Elle se superpose exactement à la carte des pays où l’épidémie est la plus forte. Il faut remarquer que la France est deuxième au monde en nombre de cas
Participant à un stage de récupération de points de permis de conduire, j’ai eu la surprise de passer deux jours intenses et passionnants.
De points et de conduite il n’a été que peu question.
Les animateurs, probablement poètes et humanistes dans une autre vie, ont entrainé vingt personnes, que rien ne liait hors une délinquance routière mineure, dans une réflexion sur elles-mêmes qui a laissé apparaître beaucoup plus de points communs que de différences, alors que les apparences sociales, ailleurs, auraient naturellement poussé au conflit.
Vingt êtres humains ont pris conscience, l’espace de deux jours, que leur condition d’homme est plus forte que leurs différences, une émotion probablement oubliée aujourd’hui, alors que tout cela se passait hier.
Des discussions se sont spontanément ouvertes, tout particulièrement une sur l’évolution vue par Darwin, excusez du peu…
Depuis j’y songe.
Pas question, en ce qui me concerne, de nier l’évolution visiblement présente en tout sur cette terre, mais je me questionne sur sa direction.
Ce que l’on nomme la sélection naturelle va-t-elle vraiment dans le sens du mieux quel qu’en soit le prix, ou est-elle erratique et n’a pas de sens déterminé, ou pire va-t-elle inexorablement dans le sens du moins ?
En tant qu’unité humaine, pour chacun de nous l’évolution va dans le sens du moins, puisque partant vivants nous finissons morts. Pas besoin d’un dessin…
En tant que groupe ?
Ma connaissance approfondie des groupes tient en trois villes : Rochefort sur mer, Sète et La Rochelle, dans lesquelles j’ai été suffisamment proche du pouvoir décisionnel pour avoir ma petite idée de comment il se met en place et ce qu’il décide ensuite.
D’abord sa mise en place.
Curieusement, elle n’a aucun lien avec la compétence. Les compétiteurs sont choisis sur des critères liés aux soucis personnels de leurs électeurs, à leur affect, à leurs intérêts, autant de raisons qui ignorent complètement les besoins de la collectivité. Au final, élire une personne compétente est un pur hasard, y compris pour l’élu lui-même qui ne s’engage pas parce qu’il se sent compétent mais parce qu’il veut être aimé, reconnu. En clair l’intuition nécessaire au commandement n’est ni recherchée, ni prise en compte par la démocratie. Par les autres organisations de sélection non plus.
Ensuite l’exercice du pouvoir. Alors là, descriptions :
A Rochefort sur mer l’élu que j’ai connu a passé sa vie politique à flatter les électeurs au détriment des intérêts de la cité. Décédé aujourd’hui, il est passé à côté de la mutation du commerce dans les années 1970, il a raté la mutation économique de sa ville en s’appuyant sur l’armée intensément présente qui a fait défaut, en échouant dans la mutation de sa station thermale qui avait les moyens d’un destin national fort, en se noyant dans la technocratie des dépenses sans savoir lui associer les rentrées nécessaires à l’équilibre. J’ai vainement fait remarquer tout cela en son temps, j’ai récolté l’opprobre.
A Sète l’élu que j’ai connu a été une étoile filante, il avait la compétence et l’intuition nécessaire, il n’a pas été apprécié pour cela mais pour sa rigueur, qui a rapidement lassé. Son successeur, ventouse indéracinable, a commis les erreurs fatales, il est toujours là. Parmi ces erreurs la pire est de s’être laissé déposséder de son port, parti sous la coupe de la région alors qu’il représente la vie et l’espace principal de la cité. Les Sétois ne sont donc plus maîtres de leur destin, ils s’en foutent… ce n’est pas pourtant faute de les avoir informés.
A La Rochelle, j’assiste en direct à la vraie politique, celle qui lie les intérêts personnels, les orgueils et les prétentions, les susceptibilités, la jouissance aveugle du pouvoir et la connerie illimitée. Cette ville se saborde vaillamment. C’est au cours des siècles une constante chez elle. Aujourd’hui isolée administrativement dans la grande région elle se replie sur elle-même, c’est son truc. Elle attend Le Richelieu qui lui foutra la raclée du siècle… C’est d’autant plus dommage qu’elle avait par hasard précédemment élu un homme dont nul, pas même lui, n’imaginait son intuition et son sens du commandement lors de son élection exclusivement partisane. Malheureusement, cette découverte l’a probablement tellement ravi qu’il s’est engagé au-delà de ses moyens physiques, il est mort jeune sur les bancs de l’Assemblée nationale.
Ma conclusion
Elle est simple, l’évolution personnelle a un destin négatif, l’évolution de groupe également sauf exception.
Donc pour moi la vraie question est : Comment se fait-il que l’homme soit encore là, à pérorer sur terre ? Pour combien de temps encore ?
Car, même s’il serait capable du meilleur grâce à son sens du regroupement, il n’a aucune lucidité lui permettant d’en profiter. Son destin majoritaire est hélas de former des groupes foireux.
Sauf hasard marginal et éphémère, tel qu’un stage psychédélique de récupération de points…
Il faut être conscient que la transition énergétique qu’on nous présente comme écologique n’est justifiée ni par des considérations économiques de marché ni par des considérations écologiques mais seulement par des considérations écologistes ; c’est à dire des considérations purement idéologiques.
Le CO2 voilà l’ennemi
En fait, l’écologisme n’a rien à voir avec l’écologie et il a mis en place une construction idéologique qui repose entièrement sur l’hypothèse future totalement hypothétique, mais présentée comme certaine, d’un réchauffement climatique cataclysmique dû à une augmentation du CO2 dans l’atmosphère.
On a donc décidé qu’il fallait taxer de toutes les manières les émissions de carbone et spécialement les énergies fossiles.
-atmosphère, atmosphère
Comme toujours, il faut remettre les choses à perspective afin de comprendre de quoi on parle.
Question simple à laquelle chaque français devrait pouvoir répondre facilement : Quelle est la quantité de CO2 (dioxyde de carbone) dans l’atmosphère ?
20%, 30%, ou même 70% comme j’ai pu le lire ?
0.041% ! Oui, moins de 5 dix millièmes (le reste étant de l’azote 78%, de l’oxygène 21%, de l’argon 1%). Autrement dit, on nous explique qu’un gaz à la concentration inférieure à 0.05% va anéantir la planète alors que la toxicité du CO2 commence à partir d’une concentration à 3% c’est à dire à 80 fois la concentration actuelle !
Même un doublement de la concentration actuelle n’aurait aucun effet ni sur nous ni sur le climat ; surtout que l’on sait que le principal responsable de l’effet de serre est la vapeur d’eau (on l’estime à 60 %). Il serait donc manifestement beaucoup efficace de lutter contre la vapeur d’eau mais on ne le peut pas parce que la surface de la Terre est couverte d’eau à plus de 70% et qu’au surplus, l’eau en s’évaporant et en se condensant (nuages) joue le rôle d’un régulateur thermique.
Nous avons donc affaire à l’énorme manipulation d’une opinion à la fois ignorante et crédule mais qui se laisse apathiquement circonvenir par la parole de personnages dont la première qualité n’est pas, loin s’en faut, la sincérité.
L’hypothèse de départ de toute cette construction idéologique est donc totalement ridicule ; et c’est pourtant sur elle qu’est basée toute la politique fiscale liée à la transition énergétique ; et, comme il s’agit d’une décision politique, ne reposant sur aucune base scientifique, on additionne sans complexe les inepties telles que les panneaux solaires, les éoliennes et maintenant l’hydrogène ; toutes ces options ayant la caractéristique d’être extrêmement couteuses tout en n’étant en aucun cas une solution rentable pour produire de l’énergie.
Les ambitions et les sommes en jeu sont tellement excessives qu’elles en sont ridicules et le bons sens oblige à constater que les économies d’énergie sont surtout la source d’un énorme gaspillage d’argent et d’énergie !
Mais comment ont-ils fait pour convaincre la population ?
C’est le docteur Goebbels (ministre de la propagande du IIIème Reich) qui en a donné l’explication : « Plus le mensonge est gros, plus il passe. Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit … » autrement dit un gros mensonge suffisamment répété finit par devenir la vérité !
Or, le CO2 n’est pas tombé du ciel dans le discours des tenants de l’écologisme radical ; il résulte tout au contraire d’un schéma parfaitement prémédité et totalement calculé !
La base de l’argumentation est donc d’occuper les médias et la rue et de mentir, mentir, toujours mentir en organisant le discours autour de plusieurs axes :
-Utilisation d’un discours anxiogène.
Jouer sur la peur des gens est très efficace et cela ne date pas d’aujourd’hui !
Rappelez-vous, dans les années 1980, à l’aide d’études pseudo scientifiques, on nous expliquait que la couche d’ozone allait disparaître et qu’on allait tous mourir grillés par les ultra-violets !
Evidemment, il n’en a rien été … et on n’en parle plus !
Le Club de Rome, dans les années 70, nous annonçait la fin du pétrole au plus tard en 1980, et un manque dramatique d’eau douce avec des guerres terribles.
Encore une fois les prévisions catastrophistes ne se sont pas réalisées !
Avant l’an Mille, en plein moyen âge, les classes dirigeantes ont utilisé le discours sur la fin du monde à l’aide d’arguments basés sur la religion.
Aujourd’hui, histoire d’impressionner encore plus les populations, on n’hésite pas à attribuer tout évènement météorologique (cyclone, tempête, ….) au réchauffement climatique ; tout comme la montée des températures alors que celles-ci montent et descendent sur des périodes relativement longues (au temps de l’optimum médiéval la moyenne des températures était plus élevée qu’actuellement). Mais on ne retient que celles qui montent …
Ce discours se heurte quelques fois à la réalité ; notamment avec l’été 2021 qui a été particulièrement mauvais en France (tandis qu’il y avait une canicule Grèce en juillet et août).
-utiliser une ambiguïté sémantique :
En parlant d’énergies durables, on a sous-entendu qu’on pourrait disposer d’une énergie éternelle et gratuite.
Or, rien n’est plus faux, aucune énergie n’est et n’a jamais été gratuite et, d’ailleurs, ces énergies ne sont ni durables ni écologiques ; mais le tout c’est d’y croire !
-utilisation d’un discours manichéiste en procédant arbitrairement à une division entre énergies propres et énergies sales.
Seulement les énergies dites renouvelables censées être propres ne le sont pas ; mais le tout est de le faire croire au consommateur qui se retrouve guidé à travers un circuit balisé idéologiquement !
Les batteries sont bourrées de produits toxiques et ne sont pas recyclées pour des raisons de cout, les pales d’éoliennes ne sont pas non plus recyclées et leurs socles en béton de plusieurs centaines de tonnes ne seront jamais retirés !
-adoption d’une posture relevant de la religion avec un dogme qu’il est interdit de remettre en cause.
Le but est évidemment de disqualifier tout adversaire aux thèses officielles ; lesquelles ont désormais valeur de credo insusceptibles de quelque remise en question que ce soit !
La constante de ce « raisonnement » est que les désirs et/ou fantasmes des militants n’en font pas pour autant une réalité.
-une clientèle ciblée
Nous avons affaire à une vision de l’écologie qui vise à satisfaire la “clientèle qui compte” aux yeux des politiciens fonctionnaires : les bobos urbains aux revenus conséquents qui vivent éloignés de la nature et à qui on peut faire gober à peu près n’importe quoi à ce sujet !
Ce sont les mêmes qui achètent des Tesla, le produit typiquement geek, à 50.000 voire à 100.000 €, bourrées de produits toxiques, en croyant sauver la planète !
Mais c’est aussi le cas des jeunes qui défilent dans la rue en manifestant pour sauver la planète l’I Phone connecté à la main sur lequel ils s’abreuvent de vidéos !
Et, évidemment, ainsi que je l’ai déjà expliqué, l’opportunisme forcené des Etats les a conduit à constater très rapidement que taxer le carbone dans une économie carbonée est forcément très rentable ; surtout pour des Etats impécunieux toujours à la recherche de « gisements fiscaux » à haut rendement.
A cet égard, il faut bien être conscient que le mouvement des gilets jaunes a été une surprise complète pour le pouvoir qui pensait que la population avait tellement bien « intégré » la question écologique qu’elle allait accepter sans broncher une forte augmentation du prix du carburant !
On l’a compris, l’écologie est devenue pour l’organisation fiscale étatique un prétexte à taxation !
-des conséquences catastrophiques
Malheureusement, faire croire à une transition écologique compétitive est une hérésie, pire un mensonge, puisqu’elle ne « fonctionne » que sur un système perverti basé sur la subvention fiscale de ce qui ne fonctionne pas et la pénalisation fiscale ou l’interdiction pure et simple de ce qui fonctionne !
Seulement, il faut être conscient que cette politique va avoir des effets économiques et sociaux catastrophiques notamment sur le niveau de vie de la population en massacrant l’emploi, en orientant de manière contrainte la consommation vers des produits beaucoup plus chers et en renchérissant inutilement le cout de l’énergie.
Forcément, tout cela va très mal se passer et beaucoup de gens, actuellement anesthésiés par les mesures gouvernementales du « quoiqu’il en coute », vont prendre conscience, sans doute un peu tard, que la fin du mois sera beaucoup plus problématique que la fin du monde !
A suivre …
Bien cordialement à tous !
Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.
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Il n’est pas celui que beaucoup cherchent à identifier dans la source de nos malheurs, mais certainement celui qui nous empêche de vivre parmi nous.
Quel est cet inquisiteur ? Celui le plus proche de nous, cette administration non-élue et son bras armé, sa propagande qui tourne en boucle.
Quand je discute avec les vrais gens sur notre condition de cette gestion Covid, ce sont le plus souvent des réponses d’otages telles que les décrit Mr Reichman dans son dernier billet. Mais le même Monsieur ne semble pas avoir conscience de l’état de décérébration de notre population. Elle ne comprend rien à rien de ce qui passe au-dessus d’elle, tant ou temps qu’elle peut aller au boulot demain, ou ne rien faire demain, ou encore se projeter dans ses multi plans d’un futur qui semble pour elle un acquis en termes sociétaux.
Au-dessus les choses bougent pourtant, car notre condition d’individu et de propriété associée et d’accès à de l’énergie abondante et à bas coût ne sont plus des mûrs, mais des contenants de chevaux de Troie qui vont faire que ces mêmes mûrs demeurent infranchissables, non de l’extérieur vers l’intérieur mais l’inverse, le communisme …
Je discutais ce dernier vendredi avec une banquière en gestion d’entreprises sur l’optimisation de trésorerie et par là ce qu’elle me proposait. Elle avait beaucoup plus à apprendre de moi en profitabilité financière pour faire de l’argent avec de l’argent que de ses circonvolutions formatées de son employeur, puis nous avons embrayé sur le Coronacircus. Elle m’a parlé de vaccination potentielle de ses enfants, de ses doutes, sur lesquels j’ai embrayé. Elle a passé un super moment avec moi qu’elle m’a confessé.
Je discutais avec mon coiffeur ce dernier samedi que je connais en se disant « tu ». Mon coiffeur est une éponge de ce qui se passe dans son Landerneau et aime et fréquente les notables du même. Un petit jeune est entré pour prendre son rendez-vous à la suite de moi, fagoté « Destroye » ce qui voulait dire : « Salut les fossiles … ». J’ai commencé à reprendre mon coiffeur sur ses élucubrations de la gestion Covid, mais d’une manière diplomate, sans le heurter, car j’avais compris dès ses premiers mots son cancer, la propagande sur le sujet. Le petit homme qui attendant en écoutant nos échanges avait changé de regard de bleu vis-à-vis de moi lorsque je franchissais la porte du salon pour le quitter.
Je discutais avec mon notaire, fin décembre dernier, qui est un officier de droit assermenté. Et là encore, j’ai mesuré son inconsistance sur le Coronacircus et il m’a bien plus écouté sur le sujet que de notre affaire.
Trois petits sondés, l’une salariée avec une tête bien faite et l’autre, un artisan, salarié d’autre fois pour apprendre son métier et franchir le Rubicon, puis un officier de droit assermenté que je pourrais multiplier parmi toutes mes rencontres, en dehors des lieux où cette abomination de Pass Vacinnal tient comme autorisation de fréquentations, afin de révéler la vacuité de notre réflexion en tant que peuple face à nos fondamentaux de droits comme individus.
Les Etats s’en donnent à cœur joie avec la pandémie. Ils prennent en otage tout individu qui passe à leur portée et se régalent de cet exercice. La plupart du temps, les individus sont trop faibles pour protester d’une voix audible, mais de temps en temps un otage connu ou même célèbre se rebiffe et cela s’entend.
Cela a été le cas du tennisman Djokovic. Il entendait participer au tournoi open d’Australie, un des quatre principaux du monde, alors qu’il ne remplissait pas les conditions sanitaires requises. Bien entendu, il avait tort de ne pas se plier à la règle, puisque celle-ci s’appliquait à tous les joueurs. Mais ses convictions anti-vaccinales et son statut de numéro 1 mondial lui paraissaient suffisantes pour enfreindre les conditions fixées par les organisateurs du tournoi et par le gouvernement australien. Ce en quoi il se trompait doublement.
Les sociétés humaines sont imprégnées de hiérarchie, et à cet égard elles sont semblables aux sociétés de chimpanzés, avec lesquels l’homme a 98 % de gènes en commun. Chez les chimpanzés comme chez l’homme, il y a des mâles et des groupes dominants. Mais cette domination est sujette à de fréquents changements, dus à l’évolution des rapports de force dans la société et entre les individus. En temps normal, dans les sociétés démocratiques, les individus se protègent le mieux qu’ils peuvent des abus de l’Etat. Certains Etats respectent assez bien les principes de liberté et de protection des droits fondamentaux de l’homme. D’autres, comme la France, s’en soucient comme de colin-tampon et obligent les citoyens à se battre sans cesse contre les abus d’autorité et les violations du droit par l’Etat.
Le malheureux (mais quand même milliardaire) Djokovic a beau être l’idole de la Serbie, l’Australie lui répond qu’elle n’est pas serbe et que c’est sa loi qui prévaut. Ce qui envoie le tennisman dans un centre de rétention, qui n’est pas une prison mais un mauvais hôtel, en attendant qu’il soit statué sur son cas. La pandémie a ramené Djoko à son humble état d’individu ayant enfreint les règles. On ne pleurera pas sur son malheur (qui ne consiste qu’en un titre et des millions en moins, et une vexation en plus), mais on constatera que le gouvernement australien a pu se bomber le torse d’avoir fait plier le numéro un mondial. Ce n’est pas grand-chose, mais en un temps où les politiciens sont l’objet d’un mépris généralisé, c’est toujours bon à prendre.
La plupart des gouvernements de la planète ont mis leur société sous cloche face à l’épidémie. Les restrictions de liberté ont été la règle. Certains Etats ont levé celles-ci dès qu’ils ont pu, d’autres, comme la France, clament leur volonté de protéger la santé des habitants et s’en réclament pour maintenir les contraintes au-delà du nécessaire et parfois même du raisonnable. Mais parler de raisonnable à propos d’un haut fonctionnaire français c’est parler pour ne rien dire, car la raison du technocrate est celle de l’Etat et ce dernier ne connaît que l’intérêt de son pouvoir.
Les libertés rognées, voire supprimées, dans les Etats comme la France ne reviendront pas sans que les citoyens ne doivent combattre. Ces revendications devraient figurer au premier rang des programmes politiques pour l’élection présidentielle. Pour le moment, elles sont des plus discrètes et les ténors politiques « rugissent comme un rossignol », comme le disait Shakespeare. Les citoyens savent donc que leurs malheurs sont loin d’être terminés. Ce qui n’est certes pas nouveau, comme Sisyphe le savait bien.
Parmi les décisions essentielles qu’un nouveau pouvoir devrait prendre en France, il y a la suppression de la cour de cassation et du Conseil constitutionnel. Ces deux organismes imbus de leur importance ont massacré au fil du temps les droits fondamentaux fixés par la Déclaration des droits de 1789, qui trône pourtant au faîte de la Constitution française. Il faudra les remplacer par une cour suprême qu’on prendra bien soin de ne pas peupler de fonctionnaires. Au moins aura-t-on une chance ainsi d’avoir quelques grandes décisions qui ramèneront la démocratie française à une vraie démocratie, et non à une démocratie conditionnelle, comme on dit liberté conditionnelle au sortir de la prison.
Un virus est une toute petite chose, mais qui peut faire de grands dégâts. Le SARS-CoV-2 l’a rappelé au monde. Et celui-ci a soudain compris ce que la mondialisation veut dire. Ceux qui pensent que les frontières vont faire leur grand retour se font des illusions. Depuis que l’homme est homme, il ne pense qu’à circuler et à atteindre l’horizon. Aujourd’hui l’homme sait qu’au bout de l’horizon, ayant longuement voyagé, il tombera sur son voisin de palier qui circulait comme lui. « Ah ! C’est vous ! Quelle bonne surprise ! » s’écriera-t-il. En ajoutant in petto : « Celui-là, il ne pense qu’à voyager ! ».
Claude Reichman
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Je ne sais pas tout ce qui a été écrit sur le pouvoir, d’ailleurs je ne sais pas grand-chose de ce qui a été écrit sur tout. Je me contente de partager ce que j’ai vécu, en bien ou en mal, et les réflexions que j’en ai tirées.
Evidemment mon métier m’a mis constamment au contact du pouvoir. Les maîtres d’ouvrage, à partir d’un certain volume d’investissement, sont inévitablement des êtres de pouvoir.
J’ai constaté trois sortes de pouvoir :
– Moral, je dirais les curés, les imams, les gourous de tout poil, que je connais mal. En fait les actifs de la philosophie.
– Politique, là c’est l’abondance et tout le monde connait.
– Economique, c’est plus compliqué. L’apparence ici ne fait pas le pouvoir, ce n’est pas celui qui est le plus visible qui est le plus fort. Je dirais même que c’est le contraire des deux premiers pouvoirs qui se décorent comme des sapins de noël pour s’affirmer. Nous sommes dans le discret, les signes de pouvoir sont perceptibles exclusivement par les initiés.
Ces trois pouvoirs sont en compétition. Leurs troupes respectives sont prêtes à en découdre à tout moment.
Notre spécificité.
Le pouvoir moral en France est en berne. En ce qui me concerne je trouve cela plutôt bon signe tant ce pouvoir, plus que les autres, rogne sur les libertés.
Reste les pouvoirs politiques et économiques. Normalement ils devraient être en opposition, de cette opposition devrait naître un équilibre garant des libertés.
Je veux dire que l’intérêt bien compris de tous est que les pouvoirs s’autolimitent pour éviter qu’ils empiètent exagérément sur nos libertés. C’est d’ailleurs ce que croient les troupes de ces deux pouvoirs qui s’agitent et s’invectivent copieusement dès qu’ils en ont l’occasion, c’est-à-dire tout le temps, en pensant qu’ils équilibrent les forces et protègent leur liberté. Elles vont même voter pour cela, ces troupes.
Oui mais
L’ambiance des troupes n’est pas celle du pouvoir.
Dans la Grande Armée les hommes donnaient leur vie pour la révolution – un peu aussi pour le pillage – Napoléon lui voyait les guerres comme un moyen d’être admis à la table des princes, voire dans le lit de leurs filles.
Aujourd’hui, les acteurs politiques et économiques pratiquent au sommet la connivence. Contrairement à ce que croient leurs troupes, ils avancent la main dans la main. Ils ne sont plus en conquête, ils sont en partage.
Or le pouvoir n’a qu’une utilité humaine, sociétale, c’est sa phase de conquête. Il est alors imaginatif, rassembleur, respectueux de ses troupes dont il a grand besoin, il porte des projets. Alors qu’en phase d’exercice il devient méprisant, paranoïaque, vénal, la connivence accentuant cette nature il s’assoit sur les libertés, bien plus il croit même devoir les soumettre pour sa pérennité.
C’est ainsi que la France est entre les mains de quelques poids lourds de l’économie et de l’élite politique, étroitement associés, pour le plus grand malheur de nos libertés. Il ne s’agit pas d’un complot mais d’une simple facilité informelle, instinctive, dans l’exercice du pouvoir. Pour chacun d’eux il en résulte une somme de pouvoirs supérieure à son propre pouvoir sectoriel.
Cette situation fige la société au point que ne sont cooptés par le pouvoir que des bêtes de pouvoir, des drogués de la combine pour y rester. La fraicheur de la conquête, ses naïvetés, ses échecs pédagogiques, sont de ce fait annihilés.
Face à cette organisation il ne nous reste que la soumission, ou l’exclusion. Toute tentative de conquête du pouvoir est vouée à l’échec.
Prenons Macron, par exemple.
Voilà un gamin qui n’a connu que le pouvoir, qui ne vit que pour le pouvoir, qui en a tous les vices, identiquement aux jeunes rois que la société nobiliaire a fabriqués pendant des siècles, qui une fois aboutis n’hésitaient pas à piétiner la masse, nous.
Ce garçon a pris le pouvoir dès 16 ans en “enlevant” sa professeure de français, qui la pauvre n’y est évidemment pour rien, contrairement à ce que beaucoup croient. Puis il a suivi le cursus du pouvoir, d’abord scolaire, puis politique, puis financier et enfin aujourd’hui total. Il est terriblement dangereux pour nos libertés.
Il ne connait pas le doute, ni l’empathie qui nait de l’échec ou de la soumission, de l’absence de pouvoir.
Il ne se doute pas que la majorité de la population n’a ni envie ni besoin de pouvoir. Il se croit sans doute “destiné à”. Ils sont tous comme ça.
Mais il n’y a pas que lui et, s’il part, son successeur agira de la même façon.
Car ceux qui sont liés par la connivence entretiennent consciencieusement leur association. Ils distillent journellement lois et règlements qui s’infiltrent dans la population, rognent ses libertés, la maintiennent en état de soumission, voire d’esclavage, de telle sorte qu’elle n’ait ni l’énergie ni la possibilité d’être libre, d’échapper à leur pouvoir qu’ils estiment nécessaire.
Poutou a raison, mais il se trompe.
Oui, il y a vol, mais il n’est pas économique. La richesse qui nous est volée c’est notre liberté. Et c’est l’alliance entre les politiques et les acteurs économiques, au sommet, qui pipe les dés, qui vole nos libertés, en bande organisée.
Pourrait-il en être autrement ?
Evidemment. C’est à nos jeunes qu’il faut expliquer comment marche le monde, la politique, l’économie, au lieu de les abrutir avec des matières qu’ils auront tout loisir d’apprendre plus tard.
Aujourd’hui on les jette dans les bras de l’inculture totale qui peut se rencontrer sur le net, pourtant aussi porteur du meilleur de la connaissance.
Pour Poutou c’est trop tard, pour Macron aussi, ce qui fait que pour nous… il va falloir attendre, sans que l’on connaisse les risques à traverser pendant cette attente.
La pensée de M. Poutou est émouvante. Il serait bon toutefois qu’il soit plus précis. De quelle richesse veut-il parler ?
Larousse en répertorie sept.
Les richesses scientifiques, intellectuelles, humanistes sont-elles des vols ?
La richesse de l’Amazonie est-elle volée au désert de Gobi ?
En ce qui concerne le vol, là aussi il faudrait que M. Poutou soit plus clair. Quoique, même si lorsqu’il parle de vol Larousse pense en premier aux déplacements aériens, on peut supposer que M. Poutou, lui, désigne les manœuvres consistant à subtiliser des objets à quelqu’un à son insu.
En réalité M. Poutou veut probablement parler du capital, mais gardons son mot qu’il croit plus populaire, plus vendeur de ses salades : la richesse.
Prenons donc un exemple.
Poutou a un salaire de 1 800€ par moi. D’une nature heureuse, il ne se fait pas trop de bile, il préfère les séries télé à la gestion de sa paperasse, la pétanque au jardinage, couvrir ses proches de petits cadeaux que de conseils, un bon verre de rosé à un quart Vittel, etc…
Bref, à la fin du mois il est plutôt en léger découvert à sa banque.
Son voisin M. Pinaud serait plutôt son inverse et avec le même salaire, son jardin et sa vie bien réglée, il met 1 000€ de côté par mois. A qui aura-t-il volé le capital de 12 000€ qui sera en sa possession à la fin de l’année ?
L’histoire peut se répéter à toutes les échelles, elle sera toujours la même, y compris pour ce qu’il appelle les “hyper-riches”.
La richesse, qu’elle soit économique ou culturelle, est d’abord une accumulation, puis une transmission, elle est la base de tout progrès.
La richesse issue du vol, car elle existe évidement, est existentiellement éphémère. Nul ne peut s’enrichir sans fournir à ses clients une prestation, ou alors il est un Etat et il pille des assujettis c’est autre chose. M. Poutou mélange un peu les genres, ses connaissances et son expérience sont limitées.
Sans la richesse — l’accumulation et la transmission — pas de culture, pas de science, pas de civilisation, pas de progrès, et pas d’économie évidemment.
Poutou n’est pas un précurseur, avant lui Lénine, Pol Pot, Mao, Hitler ont tenu ce discours et sont passés à l’acte. On suppose qu’il les préfère à Musk, Arnaud, Gate et Bezos. Chacun ses goûts et ses affinités.
Mais quand même, M. Poutou appelle au vol des biens du riche, ou disons à leur restitution anonyme, c’est à dire pas à ceux à qui ils auraient été volés mais à lui et à ses supporters, donc il appelle en réalité au pillage qu’il dénonce. Ensuite il réclamera la révolution culturelle, la lutte contre les richesses de la pensée…
On connaît, et on sait comment cela se termine. Balzac l’a dit : “Après le vol suit le meurtre”.
La liberté d’expression c’est bien, mais l’appel au meurtre c’est quand même limite.
Poutou croit-il sincèrement ce qu’il raconte ? Ceux qui l’écoutent le croient-ils ?
Hélas je pense que oui.
Je pense qu’une large majorité partage la vision de Poutou, seul le seuil de qualification du riche les différencie. La définition du riche, pour tous, étant celui qui gagne ou possède plus que soi.
Selon où l’on est placé les riches sont donc plus ou moins nombreux. On est toujours le riche de quelqu’un.
Le droit de voler — donc de tuer — les riches que réclame impunément Poutou est indéfini et illimité. Il est partagé par le plus grand nombre. Il s’affiche publiquement par l’intermédiaire de Poutou. Il se concrétise par la délation qui explose. Demain on pille, après-demain on tue.
“Le Pass Vaccinal sera maintenu tant qu’une menace pèsera sur les hôpitaux”. Ou encore “Il faut que les hospitalisations soient compatibles avec un fonctionnement normal des hôpitaux”. C’est le Ministre de la Santé qui le dit.
Dans ce cadre “techno-lumineux”, la majorité parlementaire s’apprête, probablement, à voter massivement, comme un seul homme, une interdiction des tremblements de terre et des éruptions volcaniques qui auraient, soi-disant, une fâcheuse tendance à engorger les hôpitaux.
Maintenant, nous avons enfin une certitude, les risques que nous courrons en recevant un vaccin en phase de test sont exclusivement liés aux difficultés de nos hôpitaux qui sont les plus chers du monde, lequel monde nous les envie frénétiquement.
Ces risques vaccinaux n’ont rien à voir avec notre santé, qu’on se le dise.
Et, si les vaccins ne nous soignent pas fatalement, ils améliorent surement la discussion entre les hospitaliers et leurs patrons politiques. Donc c’est une réussite puisqu’il s’agit de la fonction principale attendue de ces vaccins.
Vu comme cela, les conséquences éventuellement néfastes des dits vaccins deviennent marginales, sont des dégâts collatéraux supportables.
C’est tout, rien de plus. Incroyable, non ?
Tout ça pour ça !!!!
Restez chez vous et prenez du doliprane, c’était donc ça.
Ne venez à l’hôpital que le plus tard possible, en phase terminale si possible, encore ça.
Les chiffres épouvantables déversés par nos journaux nuit et jour, les émissions alarmistes, le confinement, l’interdiction de travailler ou de s’amuser, de se détendre, de se déplacer, la litanie des morts, l’exhibition des souffrances, c’était ça aussi.
La ruine de l’économie, de l’école, du lien social, l’apogée de la délation, encore ça.
La France vaste hôpital en tout lieu en toute heure, obsédée par la maladie avec l’hospitalisation en guise de terminus, toujours ça.
Les médecins interdits de soins, qui pourraient s’inquiéter des patients adressés à l’hôpital et juger des résultats, c’est aussi ça.
Oui mais, l’hôpital c’est le sacre de la fonction publique, de l’égalitarisme, de l’empathie, du don de soi des autres, l’emblème de notre réussite, la justification des charges qui tuent. Cela vaut bien un petit vaccin, et qu’importe l’avenir de chacun si l’hôpital y trouve son compte. Applaudissez, merci.
Ce qu’il y a de bien avec les tricheurs c’est qu’iIs finissent toujours par ne pas pouvoir s’empêcher de craner, d’éventer leur tricherie.
On y est, Véran est le premier, les autres vont suivre, les cocus fermeront la marche, il ne manquera pas grand monde, cinquante millions de vaccinés : ça s’arrose. Non cinquante un millions, je m’étais oublié… merde, je suis vacciné.
Et oui, j’avais oublié que : il n’est pas certain, mais il est toujours possible… le pire.
Cette vérité a tendance à se faire discrète, pourtant c’est elle qui devrait guider notre réflexion, elle est plus utile que la confiance, mais … elle oblige à bosser à plein temps.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Le pire est toujours possible…."
J’ai déjà eu l’occasion d’évoquer avec vous les procédés pour le moins contestables d’EDF en ce qui concerne la présentation de ses factures. ici et là
J’ai une maison très isolée sans jamais avoir perçu un centime d’aide (que je n’ai pas demandée).
J’ai peu d’appareils électriques mes gros consommateurs étant le frigo, le circulateur du chauffage (au bois), la box internet, l’ordinateur, des ampoules basse consommation et la machine à laver une fois par semaine (je n’ai pas la télé). En outre, je suis absent plusieurs mois par an (puisque je suis en Grèce).
De ce fait, mes factures d’électricité sont très basses et je peux prétendre pratiquer l’écologie bien plus que certains moralisateurs.
Cela ne m’empêche pas de constater qu’EDF persiste à vouloir berner sa clientèle captive (parce qu’en France le marché est faussement libéralisé) en présentant de manière constante des affirmations qui sont sans fondement voire carrément mensongères !
La dernière facture, reçue ce jour, en est encore une fois un excellent exemple.
Précision : Je suis toujours à la facture papier parce qu’EDF n’ayant jamais répondu à mes demandes d’explication, il n’y aucune raison que je réponde à leur demande de dématérialisation …
Celle-ci est accompagnée de plusieurs feuillets dont l’un m’a amené à faire une petite vérification.
Fact cheking
Conformément à une détestable habitude, certains médias publics (France info et France inter en particulier, mais aussi le Monde et Libération) ont mis en place des vérificateurs (décodeurs) qui vous « aident à démêler le vrai du faux » dans une action dénommée par les pays de langue anglaise « fact checking » (contrôle des faits) notamment à propos d’affirmations qui circulent sur internet ou plus simplement proférées par des personnages publics (politiciens ou autres).
Soyons lucides, il s’agit essentiellement d’instruments de propagande destinés à contrebalancer des idées qui iraient à l’encontre de la vérité officielle ; même si, évidemment, il circule sur Internet nombre d’affirmations fausses ou complotistes.
Ce feuillet d’accompagnement contient donc plusieurs vignettes dans lesquelles EDF fait la part entre le vrai et le faux de certaines affirmations.
Il est connu que les fonctionnaires et les énarques adorent les tableaux Excel et autres camemberts. Nous avons donc droit à un petit tableau dans lequel on nous explique :
« En France, le prix de l’électricité est parmi les moins chers d’Europe ».
Cette affirmation est souvent relayée par nos ministres fonctionnaires, Bruno Le Maire en tête !
Mais comme ce dernier ne connait rien à l’économie, on peut se permettre de mettre en doute des affirmations de ce type assénées de manière constante ; surtout lorsque cette affirmation est faite sans aucune justification.
Ce tableau nous présente les données : tarif TTC en €/MWh pour les clients résidentiels (particuliers).
Précision MWh : mégaWatts/h unité de référence.
France 193
Zone € hors France 248
Italie 226
Espagne 232
Belgique 270
Allemagne 319
j’observe d’ores et déjà qu’EDF utilise des échelles différentes pour votre facture (en kWh) et le tableau (en MWh). Je n’ose imaginer que c’est juste pour « embrouiller le client » et l’empêcher de faire une comparaison utile avec sa propre facture ?
Effectivement, à lire le tableau, l’électricité française semble la moins chère …
On doit donc en remercier EDF, notre vaillante administration ainsi que nos sensationnels ministres fonctionnaires qui nous permettent d’avoir l’électricité la moins chère d’Europe ! Cela compenserait quelque peu le fait que la France est le pays le plus imposé d’Europe !
Sauf que si vous lisez votre facture vous vous apercevez que cette affirmation est loin d’être vraie !
Serait-ce encore un mensonge de votre appareil administratif destiné à « faire passer la pilule » des factures d’électricité ?
Une règle constante en mathématiques est qu’une affirmation est vraie tant qu’elle n’a pas fait l’objet d’une preuve inverse.
J’ai donc procédé au fact checking des fact checkers et malheureusement je ne suis pas du tout arrivé au même résultat qu’affirmé par EDF !
Précision liminaire pour éclairer cette distinction obscure entre kiloWatt et kiloWattheure : le KiloWattheure est une unité d’énergie tandis que le kiloWatt est une unité de puissance.
Un appareil de 2 500 W (2,5 kW) utilisé à puissance maximale pendant 2 h aura consommé 2,5 kW × 2 h = 5 kWh en tout.
Bien évidemment, ce qui nous intéresse c’est l’énergie consommée.
Démonstration :
Ma facture pour 6 mois est de 70.53€ TTC tandis que ma consommation dument relevée par mon compte Linky est très précisément de 109 kWh.
A partir de ces données, il est alors facile de faire la vérification de l’affirmation d’EDF !
70.53€/109 kWh = 0.647 €/kWh
Pour dissiper toute ambiguïté, je vais me livrer à une petite explication à destination de ceux qui ne maitrisent pas forcément très bien ces variations d’échelles entre MégaWatts et kiloWatts.
Le prix indiqué par EDF dans sa vignette étant en MWh il convient donc de convertir les kWh en MWh !
Ce n’est pas compliqué, il y a un million de Watts dans un MégaWatt alors que dans un kiloWatt il y a mille Watts. Il y a donc mille kiloWatts dans un MégaWatt et je dois donc multiplier ma facture par mille pour faire une comparaison utile et déterminer le prix en MégaWatt.
Fort de cette précision, je convertis donc ma facture pour constater que le prix TTC de l’électricité que je paie est de 647€/MWh soit donc bien plus que le double du prix le plus cher indiqué comme étant celui de l’Allemagne.
On peut légèrement modifier ce résultat en annualisant la facture et cumuler ces données avec celles de la facture du 15 juillet 2021 qui donnait 309 kWh pour un montant total de 99.70€.
Le total des deux factures est donc de 419 kWh pour 170.23€ ce qui nous donne :
170.23/419 = 0.41€/kWh(410€/MWh).
ce qui est sensiblement moins mais reste néanmoins très supérieur au prix allemand censé être le plus cher !
Faute d’explications précises de la part d’EDF quant au mode de calcul lui ayant permis d’aboutir aux données qu’elle met en avant, je m’en tiendrai à mon calcul basé sur des données tangibles fournies par EDF elle-même !
Patatra, l’affirmation d’EDF est démontée par un simple petit calcul qui permet de constater que, non, l’électricité vendue par EDF n’est pas la moins chère d’Europe et loin s’en faut !
Il semble bien même qu’elle soit LA PLUS CHERE !
L’affirmation d’EDF est donc au minimum tendancieuse (pour ne pas dire manipulée par le biais de l’utilisation de moyennes) soit … complètement fausse !
Bien évidemment, je vous encourage à effectuer la même démarche en consultant votre facture d’électricité afin de vérifier le montant réel du prix de l’électricité que vous payez.
Je pense que vous n’êtes pas au bout de vos surprises … et n’hésitez pas à le faire savoir !
Bien cordialement à tous !
Partager la publication "EDF menteur récidiviste ?"
La première courbe sur trente ans montre à quel point lancer des produits expérimentaux, mal conçus et testés trop vite, sans responsabilité et avec fraude dans les données aboutit à une catastrophe.
5500 personnes sont décédées dans les 48 heures suivant l’injection. Tout cela est rassurant ! N’est-il pas ? Les vaccins sont en train de devenir plus dangereux que les derniers variants, surtout que la mortalité par Covid touche des personnes âgées alors que la criminalité vaccinale expérimentale touche tous les âges, même si cela reste plutôt les vieux qui ne supportent pas.
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