Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

L’Etat profond Français : une fraternelle des bureaucrates

La France est un vieux pays composé d’actifs et d’inactifs. Inutile de s’étendre sur les inactifs, ils sont incontournables, ils sont là et se multiplient naturellement.

Personnellement je ne vois pas trop l’intérêt de l’inaction, sauf contraint par la vieillesse ou la maladie. D’autres en font leur intérêt de vie, c’est leur problème.

Mais c’est aussi un peu le nôtre parce qu’iIs sont rarement autosuffisants et que leur masse devient telle que les actifs ne peuvent plus subvenir à ses besoins, illimités…

Les actifs

Parmi les actifs, il y a ceux qui font quelque chose et puis les autres : les bureaucrates.

L’objectif des bureaucrates est de compliquer la tâche des actifs — qui agissent — au point de se rendre indispensables et de justifier ainsi un prélèvement sur les revenus du travail de ces actifs.

Rajouté aux inactifs, cela fait beaucoup de monde à financer…

Cerise sur le gâteau, vient se surajouter la corruption électorale qui consiste à acheter par des promesses insensées — de toutes les façons possibles et imaginables — les voix d’électeurs éberlués, qui n’en croient pas leurs yeux, mais qui jouent quand même le jeu. Tout cela pour finir au milieu de l’immense fromage qu’est la classe politique, dans tous les cas hors de prix pour la collectivité même sans compter la corruption…

Le compte n’y est pas

Evidemment, comment dans ces conditions pourrait-il y être ?

De tout cela nait la terreur fiscale. C’est contre elle qu’il faut lutter, c’est par cette lutte et pas autrement que ce pays sortira du désastre.

C’est elle qui permet d’alimenter le foyer des dépenses dévastatrices qui nous tuent.

Eradiquons la terreur fiscale, regardons notre économie en face, libérons nos forces et nos compétences, il n’y a pas d’autre solution.

L’action

Un exemple d’action

La citation directe que M. Fournel m’a fait délivrer

https://ahp.li/a71f21331d81135d50e2.pdf

La citation directe en réponse que je lui fait délivrer.

https://ahp.li/4516cf7618efba257765.pdf

Bonne lecture.

Bien à vous. H. Dumas

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Apprendre à marcher les pieds au plafond

Claude Reichman vient de mettre sur le blog un billet, si vrai et si simple. Comment peut-il se faire que ce billet ne soit pas lu par des centaines de milliers d’internautes ? Voire des millions ?

Il est accessible à tout le monde, il est clair, évident, il colle à la réalité.

Or pendant ce temps nous assistons à ce spectacle fou d’un jeune coq qui sort ses ergots pour imposer un plâtre sans soin préalable sur une fracture ouverte à la jambe gauche, et une foule qui exige de casser l’autre… Non mais…sur quelle planète vit-on ?

En réalité les Français veulent la guerre, le bordel total qui va leur éviter d’avoir des comptes à rendre, qui génèrera le pillage à grande échelle, le vrai, celui qui permet de casser toutes les vitrines et de se servir sans risque, de se loger chez l’autre sans avoir à lui demander son avis, de réquisitionner sa voiture et de prendre sa femme.

Les Français sont impatients, attendre que la guerre arrive d’Ukraine leur parait un peu long. Ils mettent les bouchées doubles, ils sont prêts. Préparation assumée chez certains, latente chez d’autres, mais majoritaire.

Ce pays marche les pieds au plafond. Tout est inversé.

Les lois sont faites pour ceux qui défont, elles s’acharnent sur ceux qui font. Si par cas la loi n’est pas suffisante, la justice en rajoute abondamment.

Je n’ai même plus envie d’égrener les exemples tant ils sont nombreux, courants, habituels, finalement la norme.

Un instant de vérité

Les Français ont inventé « l’homo pénardus ». Il s’agit d’une créature qui a l’apparence d’un homo sapiens, le sapiens en moins le pénardus en plus.

Pénardus, du latin populaire « pénard » encore parlé à Paris, évoque l’irresponsabilité, l’adhésion à la facilité, l’avantage aux collègues l’indifférence pour tous les autres, un emploi et un salaire garantis à vie, pas d’objectif d’efficacité ou de qualité, une sorte d’attitude de type lémurien qui ralentit le corps et l’esprit, sauf dans leurs parties festives où au contraire on peut noter une accélération…

L’homo pénardus dépend évidemment du travail et de la richesse de l’homo sapiens, qui lui tend à disparaître.

Sa disparition vient de son inadaptation à vivre en marchant les pieds au plafond.

En effet, pour des raisons encore largement indéfinies, l’homo pénardus demande pour son épanouissement un environnement inversé, en tout. Il prolifère particulièrement lorsque l’ensemble de la société marche, comme on le dit simplement, : « les pieds au plafond ».

C’est-à-dire quand les plus grosses énormités deviennent la règle, quand la réalité devient la faute. Quand les nuls sont au pouvoir et les bons écartés.

C’est alors que l’homo pénardus s’épanouit. Son intelligence s’est approprié ses pieds, on dit de lui : « Il est intelligent comme ses pieds », ou « comme une valise sans poignée » ou encore « comme la lune », sans pour autant que les liaisons entre ces expressions aient pu être à ce jour parfaitement analysées.

Un souci pourrait être envisagé — mais il ne l’est pas — c’est : lorsque tous les homo sapiens auront disparu, qui financera les homo pénardus ?

Laissons l’histoire se faire — apprenons à vivre misérablement, en ce qui me concerne j’ai fait d’énormes progrès à ce sujet, à mourir dignement, ce n’est pas facile mais je m’entraine sérieusement — et nous verrons peut-être le résultat.

Bien à vous. H. Dumas

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Politique fiction

Au XVIème siècle, le christianisme, à travers l’organisation catholique, va conquérir le monde. En gros la philosophie du « aime ton prochain » — qui fait de l’autre un individu, un homme indépendamment des situations — a su conquérir les esprits, elle devient une croyance universelle. Hélas, elle va servir d’excuse pour les conquistadors et autres ambitieux si peu adeptes de cette philosophie.

Pendant ce temps la papauté se vautre dans la débauche, dans le pouvoir absolu, affronte la réforme luthérienne, génère la Saint Barthélémy et invente l’inquisition.

En réalité, cette pensée et la croyance en découlant, qui sont capables de séduire universellement, sont utilisées par une église faite d’opportunistes sans vergogne qui vont piller le monde en s’adossant à ce mensonge séduisant mais finalement jamais avéré.

Aujourd’hui, le communisme, au départ simple tentative d’une meilleure répartition des revenus de l’industrialisation, s’est transformé. Il est devenu « la philosophie égalitariste », croyance fulgurante, qui court le monde et touche toutes les organisations humaines, même si comme pour l’amour du prochain elle n’est nulle part avérée.

Deux régimes se réclament les porteurs vrais de cette philosophie, le communisme russe et le communisme chinois, même s’il est clair qu’ils sont en réalité dévoyés et au strict service de leurs organisateurs, sans égard pour la philosophie égalitariste qu’iIs symbolisent.

Comme les papes du XVIème leurs dirigeants sont sans vergogne et s’imposent par la force. Comme ces papes ils n’ont d’issue que d’offrir à leur population l’opportunité du pillage à grande échelle sous excuse de la philosophie qu’ils sont censés représenter.

Soit ils pillent le monde, soit ils sautent sous la pression de leur population.

C’est aujourd’hui, sous nos yeux, que l’action se déroule.

Dans la pratique :

La Chine attaque Taiwan, immédiatement. Les USA menacent mais n’interviennent que très peu, ils sont loin et pas vraiment motivés pour s’engager dans une guerre contre un continent pour récupérer un ilot.

Mais le choc les éloigne de l’Ukraine, que la Russie dévore alors. L’Europe n’a ni les moyens ni la volonté de se battre à ce sujet.

L’Occident perd son hégémonie mondiale, apparait alors sa faillite économique. L’Occident a dansé tout son été…

L’ordre économique passe entre les mains des deux associés Russe et Chine, le monde suit.

La domination économique entraine la domination tout court, donc l’invasion, violente ou perpétuelle, peut importe. Les carottes sont cuites.

S’ils ne font pas cela, les deux régimes en place en Russie et en Chine vont rapidement être contestés par leur population et disparaitre.

Nous voilà les spectateurs d’un combat qui dépasse nos mesures et nos forces, mais dont nous aurons à payer une grande partie de la facture.

Bien à vous. H. Dumas

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Oui, la démocratie ne fonctionne pas.

Ce n’est ni la faute des électeurs, ni celle des candidats.

Pour appréhender une situation il faut l’observer sous plusieurs angles et notamment sous plusieurs focales, alternativement larges puis resserrées.

Je vous propose de nous pencher sur l’élection resserrée de votre maire, pour comprendre le problème de la démocratie aujourd’hui en France.

Si vous êtes actif dans votre cité vous avez voté, peut-être l’élu est-il conforme à votre vote, sans doute l’avez-vous ensuite rencontré, ici ou là, les élus sont constamment en représentation en vue de soigner leur réélection.

A l’occasion de cette ou de ces rencontres vous avez probablement perçu qu’en dehors de serrer des paluches votre maire ne maîtrise aucune des activités de la commune. Il peut au mieux faire des vœux auprès de son administration en espérant être entendu, mais ce n’est pas sûr.

S’il est l’élu d’une petite commune cette administration sera celle de la communauté de commune à laquelle elle a été rattachée, de gré ou de force. C’est alors encore pire.

Moralité

Vous avez voté pour une personne qui n’a aucun pouvoir. Vous avez cru remplir un devoir démocratique, vous n’avez que pissé dans un violon.

Ce sont les fonctionnaires, soi-disant techniciens, qui possèdent le pouvoir. Or ils ne sont pas élus, ils sont en poste à vie, ils n’ont de compte à rendre à personne étant protégés par le statut du fonctionnariat.

Tous ces dimanches que vous sacrifiez pour voter sont absolument inutiles.

La situation est exactement la même pour le Président de La République, et elle est identique malgré les apparences pour les députés. Ces derniers étant les otages de Bercy.

C’est ce que ressent inconsciemment la population lorsqu’elle envisage de tout casser, allant même jusqu’à accepter d’en confier la mission à des extrémistes… on verra après…

Le pays est entre les mains de ses fonctionnaires et de leurs complices les magistrats.

Donc la question n’est pas de savoir si nos votes peuvent changer quelque chose, mais de se demander si cette situation est bonne pour le pays ou non.

Il y a du pour et du contre.

Le pour serait une maîtrise du risque en règle générale, contrôlé par la technique. Donc la sauvagerie naturelle de l’homme serait ainsi contenue et la vie plus facile.

Le contre serait la même maîtrise du risque qui annihile la créativité, la sélection par le mérite et la compétence. Qui pousse à la cooptation préférentielle, à la connivence, finalement à la corruption.

Alors

C’est une question de feeling. Personnellement, mon activité créative me pousse à souhaiter moins de maîtrise, plus de bordel, puisque c’est du bordel que nait la créativité.

Je peux comprendre que d’autres pensent autrement et acceptent la monotonie de la maîtrise.

Mais une chose est sure, ce ne sont pas les urnes qui règleront le problème, puisqu’elles ne sont pas le chemin d’accès au vrai pouvoir, dont l’accès nous est démocratiquement interdit.

La reconquête de cet accès vaut-elle une émeute de la rue, voire une guerre mondiale ?

Je ne sais pas.

Bien à vous. H. Dumas

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Quand l’histoire repasse ses films d’horreur

Je pense à Staline, à Mao, à Hitler, ils ont peuplé notre galerie des horreurs quand nous étions enfants ou adolescents. Nous avons appris leur vie, et l’on nous a sommé de ne jamais évoquer l’idée que quelqu’un ou quelque situation pourraient leur ressembler, nous les rappeler, être comparables.

Tout cela, sans que nous ayons bien conscience du mal et de la mort qu’ils ont semés dans la chair d’individus. Une chair fragile, douloureuse, comme la nôtre, équipée de palpeurs physiques et psychiques de haut niveau qui font de nous des hommes. Que de souffrances, masquées, atténuées par l’érudition, par l’explication, par la case histoire.

Je pense aussi à moi, eh oui… J’ai cru, comme tout le monde, que ces horreurs étaient une sorte d‘accident, certes peut-être cyclique mais au retour immédiat peu probable. Force m’est de constater que le retour est beaucoup plus rapide que prévu, que je le vis, qu’il va augmenter en intensité, qu’il emporte tout, que paradoxalement les situations restent d’une grande simplicité, issues d’une immense bêtise et lâcheté collectives.

Une chose est remarquable aujourd’hui, en ce moment, là, tout est beaucoup plus vicieux qu’hier, feutré, pas vraiment visible pour celui que voir dérangerait.

Mais le résultat est le même. Pris dans les griffes des dominants au pouvoir, croyants ou faisant semblant, on finit paralysé, discrédité, étouffé, digéré, écarté, pestiféré, déconsidéré, inaudible, finalement de façon irréversible le jouet de pontifiants qui se la pètent et font croire que votre disparition est indispensable au confort de leurs esclaves, qui le croient et acquiescent.

Il y a plusieurs sujets que le lambda que nous sommes ne doit pas aborder, dont deux : la fiscalité et le statut des fonctionnaires, ils sont immédiatement mortels.

J’ai abordé les deux.

Autorisez-moi à vous décrire la méthode d’effacement.

Au départ vous n’êtes pas fatalement complètement anonyme, sans quoi vous ne gêneriez pas vraiment. Donc vous avez une petite notoriété, vous êtes crédible parce qu’estimé par un petit nombre, lui-même crédible.

Et soudain vous vous trouvez au carrefour où, pour aller plus loin, il va falloir rentrer dans le système, dans la connivence. Vous allez devoir rencontrer et travailler avec des gens dont vous désapprouvez les méthodes. Jusque là pas de problème, il vous suffit d’arrêter toute activité et de jouer à la pétanque.

Mais vous voulez continuer votre chemin, qui ne peut que vous amenez à découvrir l’ampleur de la corruption, vous allez faire tâche, surtout si la discrétion s’accorde mal avec votre capacité d’indignation.

Vous êtes la cible, enfin disons plus modestement une cible parmi d’autres comme vous.

Vous serez d’abord écarté des chantiers publics, de l’économie étatisée largement majoritaire dans le bâtiment. Sachez que si les promoteurs privés tirent la langue et prennent tous les risques, les sociétés d’HLM qui ont des fonds propres de 5 ou 6 Milliards d’€ sont courantes.

Puis évidement vos projets seront en bute à des tracas multiples, sous couvert de régulations à visées protectrices pour vos clients, que vous protégez déjà depuis le début de votre carrière à leur plus grande satisfaction.

Puis va venir le temps des contrôles fiscaux, instantanément mortels.

La situation se resserre. Que faire ? Composer, abandonner ou faire face. Vous avez toujours fait face, le choix est vite fait.

Vous n’auriez pas dû, il fallait vous libérer à coup de pots de vin…pas de problème. Mais ce n’est pas votre idéal, parce qu’en plus… vous avez un idéal. Vous croyez à la liberté, à la justice, à l’économie, vous respectez les autres et leurs capitaux. Vous êtes perdu de chez perdu…

Le fisc, la justice, la population — ou la populace c’est comme vous le sentez — sont tous d’accord pour d’abord ne pas écouter vos arguments, puis votre souffrance. C’est dans l’indifférence générale que vous allez être ruiné, dépossédé des fruits de votre travail harcelé, torturé à coup d’huissiers, d’ATD, totalement éliminé, tué.

N’imaginez pas avoir la paix et marquer les esprits en vous suicidant. Vous devez mourir de leurs propres mains, assassiné par leurs juges, leurs banquiers, leurs impôts, vous devez servir d’exemple. La destruction de votre corps n’est pas suffisante pour eux, il faut aussi celle de votre âme et celle de votre statut.

L’odeur de votre réputation qui brule, de votre âme qui se consume, ce sont leurs parfums préférés.

Ils commencent petitement, les juges vous condamnent toujours, mais au début modestement, timidement, alors vous espérez qu’un jour ils comprendront et que vous serez remis dans vos droits.

C’est le contraire qui se passe, plus ils prennent conscience que vous avez raison, que vous êtes honnête et sincère, plus ils vont taper fort. Ils vont cumuler dans un fichier toutes les condamnations, indifféremment, petites ou même insignifiantes, jusqu’à avoir de vous une image de multi condamné qui vous fait passer dans la case des récidivistes, des indésirables, et là ils se lâchent. La fin n’est pas loin.

Oui mais, ces connards, comme dit parait-il Mme Borne, ils sont tellement véreux, corrompus, installés dans une irresponsabilité et un déni du capital et du travail si profond, qu’ils sont en train de faire faillite, grave… Ils mettent le pays en lambeau. L’explosion va leur péter au nez.

Ils vont foutre le camp comme des péteux et certains de nous, les plus robustes, survivront. Alors je ne vous dis pas… il ne faudra pas qu’ils restent là à trainer.

Bien à vous. H. Dumas

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Transfert d’un témoignage

Maxime M a publié dans la rubrique “témoignage” un récit qui, je pense, mérite d’être en première page. Il est glaçant et je le suppose vrai…

Le voici tel que publié.

Suite et Fin des VIOLENCE FISCALE

Bonjour,

Je reviens vers vous pour vous communiquer le dénouement de mon premier témoignage du 10/01/2023.

Pour faire simple le FISC m’a fait assumer à moi seul les conséquences fiscales des méfaits de mon ex-femme. Et oui je suis solvable contrairement à mon ex-femme…

Je vais publier ci-dessous le contenu de trois document qui résument la situation :

– 1er document : Il s’agit d’un mail “témoignage” que j’ai adressé aux agents du FISC qui travaillent dans les services concernés par ce genre d’affaire.

– 2ème document: Il s’agit d’un courrier directement adressé au Resp. du PRS en charge de mon dossier, c’est cet individu qui à pris les différentes décisions à mon égard.

– 3ème document: La réponse que j’ai reçu de l’administration fiscale suite à mon mail et mon courrier.

La moralité de cette sombre histoire est la suivante : Fuyez le FISC, quoi qu’il en soit vous avez tord. L’humanité n’existe pas au profit de l’argent et des intérêts personnelles des comptables public.

DOCUEMENT 1: (MAIL)

Bonjour Mesdames, Messieurs,

Je vous adresse ce mail afin de vous exposer mon point de vue et de vous faire part de mon expérience concernant la manière dont l’administration fiscale a géré le dossier concernant mon ex-femme Madame Cxxxxx G. et moi-même.
Mon ex-femme a détourné à son seul profit et au détriment de son ancien employeur la somme d’environ XXXK€. Ces éléments ont été communiqués à l’administration fiscale par la justice. Ces détournements ont eu lieu de 2016 à 2020. J’ai par le biais du mariage été uni fiscalement à Mme Cxxxxx G. durant les années 2018 et 2019 années au cours desquelles elle a détourné environ 175K€.
En février 2020 quand mon ex-femme m’a avoué ses agissements, c’est moi qui l’ai incitée à se dénoncer dans le but de trouver un arrangement amiable avec son employeur. (A cette date, elle m’avait avoué n’avoir détourné ‘’que’’ XXK€) Donc, si aujourd’hui vous avez la possibilité de réclamer un impôt sur les sommes volées sachez que c’est uniquement de mon fait. Les exercices comptables concernés par les vols étant clos (sans aucune non-conformité majeure d’après les Commissaires aux Compte en place à l’époque…) j’ai la Quasi-certitude, que si elle ne m’avait rien dit, ses agissements seraient passés inaperçus.
J’ai pu constater derrière vos airs condescendants, que vous justifiez vos actes en vous disant que « M. Mxxxxx M. le mérite car il a dû en profiter et puis il a de l’argent ! » Ayez à l’esprit Mesdames, Messieurs que vous n’êtes nullement en position pour porter un jugement sur ma personne que je n’ai absolument rien à me reprocher et qu’à aucun moment je n’ai joui sciemment de cet argent volé. Je me permets également de vous faire remarquer que son propre employeur, sa propre famille (moi y compris), la banque (qui n’a pas respecté son obligation de signalement), les Commissaires aux Comptes (il me semble pourtant qu’il s’agit là d’une de leurs principales missions) vos propres services de contrôle, aucun de ces acteurs n’a perçu la fraude qui relevait pourtant d’une complexité enfantine. L’enquête de police a d’ailleurs prouvé mon innocence sans même me mettre en examen. Alors sincèrement, devant l’incompétence de tous ces intervenants qui êtes-vous pour oser m’infliger cette sanction financière totalement injuste, gardez bien à l’esprit que j’avais confiance en ma femme, je l’aimais. Ce qu’elle a fait n’était simplement pas concevable pour moi.
Cette affaire à fait exploser ma vie, mon couple est parti en fumée ma confiance a été trahie par la femme que j’aimais, je suis tombé en dépression, j’ai été hospitalisé, je suis contraint de partager la garde de mon fils de 3 ans avec une mère qui souffre d’un mal qui perturbe complétement sa personnalité. Et aujourd’hui vous me condamner par votre simple bon vouloir à payer une somme astronomique (initialement évaluée à xxx xxx €) en invoquant la solidarité fiscale. Je me permets de vous rappeler que lorsqu’on paye l’impôt sur les revenus, il est également payé de façon solidaire et il est soumis à une proportionnalité liée aux revenus de chacun des individus constituant le foyer fiscal. Or, aujourd’hui en suivant votre propre logique, cette solidarité que vous évoquez n’est pas du tout appliquée suivant ce critère de proportionnalité, en effet, l’impôt demandé est uniquement lié aux « revenus » de Madame Cxxxxx G, il est donc logique qu’elle soit la seule à le payer.
Là où je veux en venir c’est que vous détournez la logique de la solidarité à votre avantage, vous confondez le fait de « pouvoir le faire » avec le fait de « devoir le faire » et vous le faites par facilité en vous cachant dernière ce pouvoir qui vous est donné par Bercy car oui aujourd’hui la vérité c’est que vous allez au plus facile : « M. Mxxxxx M. a de l’argent tant pis pour lui. » (Lors d’un entretien avec vos services j’ai posé la question : « Qu’ai-je fait de mal pour mériter ça ? » voilà la réponse que j’ai obtenue : « Vous n’aviez qu’à pas vous marier » un bel exemple de votre mentalité et de votre état d’esprit. Ce qui est encore plus obscur que d’agir par facilité, c’est la réelle motivation de cet agissement, car une autre alternative vous a été proposée. Dans ses méfaits Mme Cxxxxx G. a eu la décence et a reconnu devant vous qu’elle était seule responsable et qu’elle souhaitait en assumer seule les conséquences. Dès lors vous aviez la possibilité de récupérer les sommes exigées par le biais d’un plan de règlement (chose que vous avez fait pour les années ou je n’étais pas uni fiscalement à Madame) alors pourquoi l’avoir refusé et venir amputer les fonds d’un innocent ? N’avez-vous donc aucune morale, aucune éthique, aucun sens de la justice ? Je me suis donc interrogé sur l’origine de votre vraie motivation car dans le fond ce n’est pas votre argent qui a été volé ni celui du système, alors pourquoi déployer tant d’énergie, tant de zèle ?
La raison est simple : vous abusez de votre pouvoir pour assurer vos intérêts personnels, garantir votre avancement et augmenter vos primes d’intéressement. Voilà la vraie raison de ce zèle et c’est absolument scandaleux.
Sachez que la somme dont vous me privez ne provient en grande partie d’un don familial. En prenant cet argent vous punissez ma famille, mes grands-parents, mes parents mon fils. Le seul patrimoine que j’ai pu me constituer par le fruit de mon propre travail est ma résidence principale que je n’ai toujours pas fini de payer. Avant ce redressement fiscal, j’essayais de me reconstruire et j’avais pour projet d’acheter une maison pour mon fils et moi. Il vous est facile de voir qu’avec mon seul revenu il m’est impossible d’obtenir un emprunt suffisamment important pour l’achat d’un tel bien, je pensais donc solder mes liquidités pour rendre ce projet réalisable. La somme que vous me substituez (xxxxx€) représente pour moi une saturation de ma capacité d’emprunt d’environ 10 ans. Voilà une autre vérité que je tiens à vous communiquer grâce à l’assiduité que vous avez investie dans votre travail, vous tuez mes projets d’avenir pour les 13 prochaines années. (Comme dit plus haut l’emprunt de ma résidence principale n’est toujours pas soldé)
Une question que je vous pose également, je serais un de vos proches, enfant, parent, femme, frère ou sœur auriez-vous fait preuve d’autant de zèle ? N’auriez-vous pas eu à cœur d’appliquer une répartition juste ? N’auriez-vous pas usé de votre pouvoir de façon différente ? C’est vous-même qui l’écrivez dans vos courriers vous POUVEZ imputer l’impôt à l’un ou à l’autre des partis constituant le foyer fiscal, par le fait vous reconnaissez vous-même votre malhonnêteté d’autant plus que vous osez me demander ta totalité la somme xxxxx€) sans même inquiéter la seule personne en cause : vous êtes complice !
Avant la mise en recouvrement, une proposition de transaction a été établie et arrêtée sur le montant de xxxxx€ (Représentant une remise des pénalités de 80% à 10%). Il avait été convenu oralement que la répartition entre mon ex-femme et moi-même serait de l’ordre de xxK€ à ma charge et xxK€ à la charge de mon ex-femme. Le responsable du PRS a refusé de signer la proposition de transaction pour la simple raison que j’ai lui fait ‘’l’affront’’ de signer avec une réserve : « Sous réserve de connaitre la répartition » En effet cette répartition n’était pas stipulée dans la proposition. Je voyais mal comment renoncer à tous mes droits et reconnaitre le bienfondé de cette transaction sans en connaitre tous les termes. Cet individu qui est juge et partie décide donc seul de me punir davantage. Ce même individu, met en recouvrement la somme totale de xxxxxx€. Alors même qu’il a été informé par mon avocat que je vais payer, il procède à 2 SATD sur mes comptes me laissant pour vivre 598,54€ et me mettant moi et mon fils dans une situation de trésorerie très tendue. Comment justifier un tel comportement de la part de cet individu à mon égard ? Je ne comprends pas.
Je pense que vous comprenez au travers ce courrier tout le dégoût que vous m’inspirez. De par vos agissements et votre prise de position, vous vous rendez complices des méfaits de mon ex-femme, vos valeurs et les siennes sont finalement bien proches…. Je n’ai ni les moyens ni l’énergie nécessaires pour dénoncer vos pratiques devant la justice, je préfère me consacrer à mon fils et moi-même. Mais gardez bien en tête qu’au-delà de la justice défaillante des hommes, il y a la justice de la vie. Et un jour, j’en suis sûr, vous serez mis face aux conséquences de vos agissements, vous penserez à ce courrier et vous ne pourrez pas dire que vous n’aviez pas conscience des conséquences humaines de vos agissements en vous cachant derrière de faux prétextes. Car au fond de vous-même vous savez déjà que ce que vous faites est foncièrement mal.
Je reste malgré tout convaincu que l’homme est bon alors j’espère que mon témoignage vous fera réagir dans le bon sens, par pitié à l’avenir traitez ce genre de dossier avec décence et humanité.
Je vous invite également à lire le témoignage d’Anne Berlioz (https://XXXX.pdf) afin que vous preniez conscience des conséquences humaines désastreuses que vos comportements induisent. On parle ici de conséquence létale, est-ce là vôtre volonté ?

A bon entendeur, réagissez !
Mxxxxx M
(Un contribuable honnête abusé et volé par le FISC)

DOCUMENT 2: (COURRIER)

M Mxxxxx
X xxx xxxxxxx
XXXXXX

OXXXXXX Cxxxx
Inspecteur ppal des finances publiques
Responsable du PRS de Meurthe et Moselle
CITE ADMINISTRATIVE BAT P
45 Rue Sainte-Catherine
54000 Nancy

LR+AR
Objet : Témoignage de M Mxxxxx concernant l’usage immoral et abusif des pouvoirs du PRS
PJ : Mail du 20/03/2023 ; Livre « BERCY M’A TUEE » ; Photo de vos victimes

A Essey-Lès-Nancy le 20/03/2023

Monsieur OXXXXXX,

Vous avez normalement reçu mon mail (Que vous retrouverez en PJ de ce courrier) que j’ai souhaité anonyme vis-à-vis des différents agents du FISC mais j’espère que vous avez bien saisi que vous êtes le principal responsable de l’injustice qui m’est faite.
En effet, c’est vous, à titre personnel, qui avez décidé d’imputer à moi seul le poids de l’impôt causé par les seuls méfaits de mon ex-femme alors même que rien ne vous y obligeait. J’insiste sur ce point, la solidarité fiscale vous autorise à recouvrer les sommes dues auprès des différentes parties constituant le foyer fiscal mais en aucun cas elle ne vous y oblige. Je ne crois pas que cette loi vous contraigne à un agissement immoral !
C’est vous qui avez refusé de signer la proposition de transaction avant mise en recouvrement, me privant volontairement d’un minimum de répartition entre mon ex-femme et moi-même.
C’est vous qui avez ordonné deux SATD sur mon livret A et mon CCP alors que vous saviez que j’allais régler l’impôt demandé. J’attendais de la part de Mr BXXXXXX la remise post mise en recouvrement. Vous l’avez surement constaté puisqu’avant même l’envoi des SATD j’avais viré sur mon CCP XXXXX€ de mon livret A et contracté un nouveau prêt de XXXXX€ afin de tenir sur mon CCP une somme suffisante pour régler la somme exigée. Alors pourquoi Mr OXXXXXX, pourquoi cet acharnement, ce déferlement de cruauté à mon égard y trouvez-vous une forme de plaisir, de satisfaction ? Penserez-vous à moi lorsque vous dépenserez la part variable de votre rémunération (part qui d’après mes sources est directement intéressée sur votre capacité à recouvrir) ? Ne voyez-vous pas qu’en agissant de la sorte vous agressez un être humain déjà victime d’une situation compliquée à supporter. (Afin que vous puissiez mettre des visages sur les noms de vos victimes, je vous ai joint une photo de mon fils et moi)
Je pense que vous essayez de vous justifier auprès de vous-même en vous disant que j’en ai forcément profité, que je savais ce qu’elle faisait et bien non, soyez certain que j’ignorais tout de ses agissements, que cette idée ne m’a jamais effleuré l’esprit, j’avais confiance, j’aimais ma femme…
Je vous invite à contacter Madame LXXXXXXX Vxxxxxxxx au 06xxxxxxxx. C’est la directrice de l’établissement volé par mon ex-femme. C’est cette personne que j’ai contactée et rencontrée pour exposer les faits dont je venais de prendre connaissance. Posez-lui la question de mon implication dans cette affaire, je suis convaincu qu’elle vous donnera une version qui corroborera mes propos. Elle a vu mon regard lors de notre entretien, un regard ne ment pas ! Vous donnerez vous cette peine de l’appeler, cette peine de connaitre la vérité ou préférez-vous vous cacher derrière de faux prétextes en vous défaussant de votre responsabilité ? Aurez-vous le courage de composer ce numéro ?
En prétendant appliquer au nom de la loi des injustices, posez-vous la question suivante : A l’époque de la France de Vichy auriez-vous été de ceux qui rédigeaient des listes de nom pour remplir des trains en direction des camps ? Après tout, à l’époque, c’était légal… Je suis bien conscient que la comparaison est rude mais dans le principe le mécanisme est exactement le même. (Dans de nombreux cas les agissements abusifs de la sorte poussent les gens au pire)
La vie n’est pas une partie d’échec Mr OXXXXXX, vous n’avez pas le droit de sacrifier des pions au profit d’une victoire personnelle insipide.
Comme je l’ai déjà dit dans mon mail, je reste convaincu que l’homme est bon, j’espère sincèrement qu’à l’avenir mon témoignage et celui d’Anne BERLIOZ (Livre en PJ) vous ferons réagir et agir dans le bon sens.
Absolument rien ne vous contraint à agir de la sorte…

Dans l’espoir que vous changerez d’attitude à l’avenir,
Mxxxxx M

DOCUEMENT 3:(REPONSE DU FISC)

Objet : vos courriel du 21 mars 2023 et courrier complémentaire reçu par le PRS le 29 mars 2023

Monsieur,

Le 21 mars 2023, vous avez adressé un courriel à un certain nombre de collaborateurs de la Direction des Finances publiques de Meurthe-et-Moselle. Ce mel intervient dans le cadre de la procédure de contrôle fiscal dont vous avez été l’objet avec votre ex-épouse. Ce dernier a donné lieu à des impositions supplémentaires correspondant à des activités occultes opérées par votre ex-épouse entre 2016 et 2020 et, au terme d’une transaction, à l’appréhension par le PRS de Meurthe-et-Moselle de sommes sur des comptes dont vous êtes titulaire, à hauteur des droits et pénalités calculés au titre des années 2018 et 2019, années durant lesquelles vous étiez mariés (les autres droits et pénalités établis au titre des années antérieures ou postérieures à celles- ci ayant été mis à la charge exclusive de votre ex-épouse).

Le sentiment d’injustice que vous pouvez ressentir dans les suites données à ce contrôle ne peut légitimer en aucune façon le contenu inacceptable du mel adressé aux collaborateurs de la DDFIP 54 dont vous mettez en cause l’honnêteté, leur respect des procédures de contrôle et de recouvrement et que vous accusez d’être complices, par leur comportement, des actes de votre ex-épouse, condamnés par la Justice.

Les collaborateurs de la direction, qu’ils soient en charge du contrôle ou du recouvrement, ont agi dans ce dossier selon les procédures prévues par la loi et la réglementation et en tenant compte de votre situation, comme l’illustre la procédure de transaction mise en œuvre sur les droits au titre des années 2018 et 2019 mis à votre charge (XX Keuros).

Vous avez estimé utile, dans un courrier complémentaire, de mettre individuellement en cause M. XXXXX, responsable du Pêle de Recouvrement Spécialisé de la direction, accusé d’être personnellement responsable de l’acharnement dont vous auriez été victime et dont le comportement vous semble comparable, dans une référence nauséabonde sinon diffamatoire, à celui des fonctionnaires de Vichy, Prêt, à la lecture de votre mel initial, à vous inviter fermement à adopter à l’avenir dans vos échanges avec les agents de la Direction Générale des Finances Publiques une attitude respectueuse, je vous informe que votre courrier adressé à M XXXXX me conduit désormais à procéder à un signalement au Procureur de la République.

Je vous prie de croire, Monsieur, à l’assurance de ma considération.

J’espère que ces lignes pourrons aiguiller les malheureux qui seront victime de la violence fiscale.

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Client ou assujetti. Agir ou exécuter.

En résumer il s’agit « d’être ou de ne pas être ».

Le client demande, voire exige, obtient ou s’en va. L’assujetti espère, voire implore, obtient ou s’écrase. C’est le même homme, ce n’est pas la même vie.

Le premier vit dans une société dite libérale, le second dans une société collectiviste. L’une est à son service, il est au service de l’autre.

Ceci établi, qu’elle est la société la plus performante, qu’elle est celle dans laquelle il est plus confortable de vivre ? Là est la question.

Ramenée à une société minimum, notre foyer, la situation se présente de la façon suivante : soit chaque membre de ce foyer œuvre sans limite et en responsabilité pour le confort et la sûreté de tous, soit le confort et la sécurité du foyer passent par une norme qui réduira les libertés de chaque membre du foyer, mais permettra d’atteindre les objectifs avec une sollicitation minimum de ces membres.

Par exemple la propreté de la maison. Elle est difficile à réguler en cas de multitude d’objets, configuration et meubles décoratifs. Elle peut être obtenue cliniquement : pas de bibelot, pas de matériaux salissants, pas de configuration difficile d’accès, c’est le cahier des charges d’une chambre d’hôpital.

Pareillement pour le linge et les vêtements, rien de difficile à entretenir. Également pour la nourriture, cuisine minimum et calibrée.

Est- ce bien dans ce type clinique que nous souhaitons vivre ? Rien n’est moins sûr.

Et pourtant, c’est ce deuxième type de société que le confort de nos fonctionnaires nous impose.

Une société où la liberté individuelle s’efface au profit, soi-disant, de la rationalité collective.

Comme le résultat n’est pas brillant, il doit être imposé.

Il l’est par la propagande. Elle fonctionne à coup de dénigrements, de transformations de la vérité, de déclassement des aspirations naturelles des Français. Ainsi Bastiat, Hannah Arendt et Ayn Rand doivent être assimilés à des fascistes de droite, de dangereux extrémistes populistes…tant les libéraux sont interdits de séjour dans ce pays.

Il l’est par la coercition, dont la justice est friande, abondée par une logorrhée de textes législatifs qui, se contredisant entre eux, permettent à la magistrature de décider ce qu’elle souhaite sans égard pour les argumentations et la réalité des faits.

Il l’est par le corporatisme exacerbé de ceux qui sont au pouvoir ou qui y aspirent dans les clous. Il est interdit de nommer ce pouvoir « complotiste », terme strictement réservé aux regroupements d’opposants, alors que la différence entre les deux connivences n’est pas évidente.

Bref, la société qui nous est proposée n’est pas séduisante. La liberté, notre responsabilité d’homme, représentent le mal. J’ai beaucoup de difficulté à m’adapter à cette logique.

Je ne dois pas être le seul si j’en juge par le bordel, issu de cette conception, que traverse notre pays.

Que faire ?

Prendre les armes ? C’est non seulement ridicule et contreproductif, mais c’est quand même vraiment dangereux et génère des dégâts collatéraux énormes, frappant tout particulièrement des innocents qui ne demandent rien – tout le monde ne veut pas être actif et décisionnaire –

La grève du vote ? Alors là : aucun résultat. Les abstentionnistes ne sont pas décomptés.

La grève tout court ? Ce n’est pas la tasse de thé des libéraux. Laissons cela aux révolutionnaires dont le but essentiel est de casser l’économie dans l’espoir du « grand soir ».  

La grève de l’impôt ? Nous y sommes, c’est le bon plan. En quelque sorte l’équivalant pour les acteurs économiques de la grève salariale. Oui mais… cette grève là est formellement interdite. Son effet serait tel que le premier qui l’emploie est sûr de son coup : il va être pendu haut et court.

Donc c’est exclu.

Moralité : Nous devons attendre que le système meure de lui-même. Je sais, ce n’est pas réjouissant. Patience, il n’y en a plus pour très longtemps, la limite de non-retour est franchie, la chute de la société « père Noël » pour certains et « galère » pour les autres est proche, on va y voir plus clair.

Bien à vous. H. Dumas

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LA CONTRE-ATTAQUE

Ce blog a l’ambition de changer de paradigme.

Ce qu’il fut :

Un site de dénonciation, à travers mes aventures personnelles, du harcèlement fiscal, de la terreur fiscale installée volontairement, de l’impunité absolue des agents du fisc, de la complicité de la justice et de la population au cerveau lavé par la propagande. Des lettres de cachet que sont les notifications de redressement, de l’arnaque de l’égalitarisme qui n’est que l’excuse mise en avant par les hommes de l’Etat pour nous piller au profit d’une caste protégée qui se la coule douce au chaud et à l’abri des vicissitudes de la vie que nous prenons en pleine gueule à sa place.

Ce qu’il est :

Un constat au jour le jour, au rythme de l’actualité, des effets de la situation que nous avons dénoncée. La perception du mensonge comme méthode de gouvernance, de la violence fiscale comme arme de soumission au même titre que les fusils, des feux allumés pour monter les Français les uns contre les autres pour les diviser au profit des hommes de l’Etat et de leur caste.

Bref, un projecteur qui éclaire non seulement les scènes qui se déroulent sous nos yeux, mais aussi leurs coulisses.

Le bilan :

Ce blog n’a pas de “lecteurs”, il n’a que des amis fidèles pour la plupart, ou des ennemis irréductibles hélas non moins fidèles. Cela lui suffit.

Ce qu’il veut devenir :

Le ring de la contre-attaque, pour moi et pour nous tous.

Le temps est venu où les menteurs doivent perdre, doivent être mis en face de leurs responsabilités, nous allons nous y employer.

Aujourd’hui le tableau du résultat de leurs stratégies est visible, il saute non seulement aux yeux de tous, mais à leurs gorges, et ça fait mal, ça étouffe, ça révolte, ça va tuer si nous ne faisons rien.

L’objectif :

Eviter la violence.

Que ce soit clair, quand le pays est en paix et va bien, ce sont les mêmes Français qui le composent que quand, comme aujourd’hui, il va mal.

Les tricheurs et les violents existent toujours, partout, seule l’honnêteté, l’ouverture, la vérité et la transparence peuvent les contenir. Il est inutile d’espérer les éradiquer, qui plus est la plupart ne sont qu’opportunistes et sans un milieu favorable à leur violence ils n’existeraient pas.

Il n’y a aucune différence entre la violence policière et la violence des casseurs, les deux signent l’échec de l’organisation sociale. En ce sens la bande de Macron ne vaut pas mieux que celle de Mélenchon ou Le Pen.

Les hommes de main qu’ils obéissent à un pouvoir dépravé, les flics, ou à une population exaspérée, les casseurs, sont tous les mêmes, le devoir de la société est de les contenir.

Les moyens :

Ce sera la justice. Il n’y en a pas d’autre. La justice universelle, celle de Voltaire et de ses amis. Celle qui a compris que la propriété individuelle est le seul rempart de l’homme face à tous les dangers. Celle qui sait que rien ne peut être obtenu autrement que par le mérite. Qui sait que l’égalité n’existe pas, que cela implique pour le plus fort le respect dû aux plus faibles, mais ne peut pas aboutir à une dictature des plus faibles.

Celle qui recherche d’abord la vérité, à qui il est interdit de mentir, de dissimuler.

Tout cela n’est que notre constitution, rien de plus.

Comment ?

Comme au début, par l’usage de mes mésaventures mises au service de tous.

Les choses étant consommées, je peux rapporter la preuve de mon parcours humain et professionnel avant que les prédateurs de l’Etat soient arrivés accidentellement chez moi, comme ils sont arrivés ou arrivent chez d’autres, demain chez tous.

Vous trouverez avec ce lien mes conclusions devant la 17ème qui commencent par un récapitulatif, que j’espère humble, de ce que je suis et de ce en quoi je crois : LIEN

Alors à partir de là j’entends démontrer comment et pourquoi les hommes de l’Etat ont fait de moi un paria fiché, ont volé mes biens, détruit ma vie et ma possibilité de continuer à vivre dignement par rapport à mon travail et à mes engagements sociétaux.

Je vais faire cela devant le Tribunal Administratif, complice de ma descente aux enfers, en toute transparence. JE LES ACCUSE de meurtre social.

J’espère que cet exemple sera compris, il s’incèrera inévitablement dans l’actualité.

Donc à bientôt pour cette aventure.

Bien à vous. H. Dumas

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Quand la violence s’invite sans avoir été invitée…

Fils de paysan corrézien, je ne connais rien au monde agricole que mon père a quitté en 1918, à l’âge de 18 ans.

Mais j’ai cru comprendre que l’agriculture, avant toutes les autres activités, a été phagocytée par la technocratie et sa prétention à tout réguler, à tout « camenbériser ».

Que ce soit à travers leurs coopératives, leur structures professionnelles, bancaires, les agriculteurs sont ligotés par la technocratie, la bureaucratie, les fonctionnaires. Ils en meurent et le disent.

Or s’il est une profession individualiste c’est bien l’agriculture. Si individualiste que justement elle est facilement manipulable, chacun ne souhaitant pas se mêler des affaires de son voisin.

Dans ces conditions la connivence et la préférence, bases de fonctionnement de la bureaucratie, ont un champ illimité de développement, créant ainsi des situations intrinsèquement inégales.

C’est l’impression que donne l’histoire des « bassines ».

Je me trompe peut-être, mais un malaise semble bien exister sur la répartition des droits à l’eau entre agriculteurs.

Ces droits à l’eau expliquent une bonne partie des guerres du moyen orient, il me semble qu’il en est de même ici.

Ce ne serait donc pas une violence politique incontrôlée qui serait à la manœuvre, même si c’est elle qui apparait. Elle a sans doute été sollicitée en sous-main, comme elle l’est dans les armées de choc. Les violents le sont naturellement, certains sont formés pour obéir au pouvoir, ce sont les forces de l’ordre, d’autres sont des électrons libres, ce sont les casseurs, mais ils sont animés par la même passion pour la violence.

Personnellement je hais la violence, mais comme j’aime l’humanité je supporte les violents, il ne me viendrait pas à l’idée de les éliminer, je cherche juste à les éviter, ce qui n’est pas évident en ce qui concerne ceux qui crèchent à Bercy…

Une chose est sûre : que viennent foutre là les politiques si ce n’est leur attirance, leur étroite liaison avec la violence, en tout genre. Le pouvoir politique n’est pas regardant à ce sujet, c’est même son activité de base.

Alors bassines ou retraites, force est de constater que les violents sont lâchés.

L’économie, activité non violente, est rejetée, pour faire toute la place à la violence politique. C’est le moment de se faire discrets pour les libéraux…

Je suis bien mal parti… Bien à vous. H. Dumas

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Imaginons…

Nous avons tous eu l’occasion de visionner une de ces vidéos, tirée de la violence de la savane où le lion bouffe la gazelle ou le jeune buffle, filmée par un touriste dodu confortablement assis dans un bus d’excursion.

La nature est violente nous le savions, belle c’est une question de goût.

Imaginons que nous promettions aux buffles une vie tranquille avec du fourrage garanti et une sécurité absolue.

Nous serions tenus d’éliminer tous leurs prédateurs et de confisquer la nourriture aux autres ruminants pour respecter notre engagement.

En gros nous pillerions les autres au profit des buffles et nous éliminerions tous ceux qui seraient naturellement plus forts qu’eux. Ainsi les buffles se multiplieraient indéfiniment. A notre profit ? Probablement… voir les bovins bien de chez nous.

C’est exactement la promesse qui a été faite aux fonctionnaires et assimilés ou imitateurs : garantie de l’emploi et du salaire, impunité quasi absolue en tout.

Pour la tenir les hommes de l’Etat pillent la nation et éliminent tout ce qui pourrait contrarier la vie paisible promise aux fonctionnaires.

Au profit de qui ? Des hommes de l’Etat, car cette situation apparemment confortable est mortifère et les fonctionnaires ou assimilés s’y ennuient à mourir.

Au plus profond de cet ennui ils sont eux-mêmes des victimes collatérales du processus.

Ce qui fait que tous, fonctionnaires ou non, sommes en butte aux perversions de pouvoir induites par le statut « Père Noël » de la fonction publique, chacun alors se révoltant dans son coin pour sa cause, créant une cacophonie révolutionnaire qui ne peut aboutir qu’au pire.

Prendre conscience de cette situation n’est pas facile.

Faire passer le message est mission impossible.

Voici le courrier plein de menace que j’ai reçu récemment.

Émane-y-il d’un surmené qui craque ? Préfigure-y-il une manœuvre sordide de notre ami Bruno, le berger des buffles que nous sommes ?

Attendons la suite…

Bien à vous. H. Dumas.

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Emmanuel et Bruno : pillage et mendicité

Ils auraient pu être les stars de l’époque du cinéma muet, une doublette d’anthologie comme d’autres.

Ils parlent beaucoup me direz-vous, même objectivement trop, c’est vrai. Alors quel rapport avec les stars du muet ? Eh bien comme ils parlent pour ne rien dire, leurs paroles sont si insignifiantes que leur gestuel s’impose. A la fin de leurs interventions, le discours est immédiatement oublié, il ne reste que leurs attitudes.

On revoit Emmanuel en étudiant vieilli, toujours émerveillé par sa capacité mémorielle, mais sec face à l’imprévu qui demanderait un imaginaire dont il est dépourvu.

On revoit Bruno en bourgeois de Neuilly, tiré à quatre épingles, à qui on pourrait imaginer un destin hors du commun s’il avait été maire d’Agen. Le Bruno d’Agen aurait probablement laissé une trace nationale durable dans les esprits moqueurs du français naturellement farceur.

Mais, les choses étant ce qu’elles sont, cette difficulté à s’exprimer pose non seulement problème aux deux intéressés mais, eu égard à leur fonction, à nous tous.

Il faudrait qu’ils expliquent que vivre au-dessus de ses moyens pose les mêmes problèmes à un individu, à une famille ou à n’importe quel groupe y compris une nation.

Il y a deux phases incontournables.

La première n’est que félicité, plaisir de dépenser et de profiter largement. Projection de son égo au firmament des rêves fous du fils de l’hominidé qui se prend rapidement pour Dieu.

Le deuxième n’est que panique, peur de manquer ou manque réel, et pour unique solution la mendicité ou le pillage, le travail ayant été exclu.

Faute de cette explication

Ils laissent libre cours aux bateleur et escrocs divers qui ne rêvent que de destruction et de chienlit en espérant y trouver des opportunités personnelles, même au prix d’actions humainement dégradantes. L’histoire abonde en situations de ce type.

Et pourtant c’est simple

Le statut fictif, irréel, du fonctionnariat, qui imprègne notre société, qui embarque sa majorité dans un rêve qui devient cauchemardesque parce que ruineux, sans possibilité de maîtrise, dépasse largement en coût les moyens de notre économie.

C’est quelque chose que tout le monde comprend.

Revenir à une organisation normale, sans privilège définitivement acquis hors raisons objectives et sans précaution pour l’économique, va être une grande souffrance. Aller de la facilité indue à la réalité prosaïque n’est jamais une partie de plaisir.

C’est quelque chose que tout le monde sait.

Il manque juste quelques hommes courageux pour le dire, les Français sont parfaitement capables de le comprendre.

Ensuite il y aura à affronter l’inertie du paquebot France et à tenir le cap pour revenir à la réalité, au travail et à l’aisance normale pour tous que notre pays à la chance d’être apte à nous procurer.

Sur ce chemin, il ne faudra pas se laisser distraire ou se laisser avaler par les multinationales qui ne sont pas au même niveau. Elles ont leurs réalités, leurs nécessités, mais elles évoluent dans un autre monde qui ne concerne pas la majorité du pays, elles ne devraient pas être incluses dans le PIB, elles sont ailleurs.

Et ça, non seulement les Français le comprennent, mais ils sont capables d’y faire face, ils l’ont déjà prouvé.

Au lieu de cela, nos deux zèbres ergotent sur des détails, solidifient et même amplifient les tares du système. Et, ils attendent la suite de pied ferme. Ben mon vieux… ils n’ont pas peur des mouches.

La suite on la connait : Pillage ou mendicité.

Ce sont les mamelles de la misère. Qu’ils ouvrent les yeux. Qu’ils regardent autour d’eux. Qu’ils sortent de leur bulle dorée. Ils verront alors que la misère générée par une redistribution factice, privilégiant le fumeux statut du fonctionnariat qui laisse à l’écart ceux qui n’en sont pas, génère le pillage ou la mendicité.

Qu’est un Etat réduit à ces solutions ?

L’Allemagne de 1930 ruinée par une guerre déclenchée et perdue est un bon exemple, la solution qu’elle a mis alors en œuvre face aux conséquences a été objectivement au-delà d’une catastrophe, jusqu’à un registre carrément inhumain.

Que dire de la Russie trahie par ses tsars et sa noblesse ?

Les exemples fourmillent de ce qui nous attend, il n’y a aucune exception.

Dissimuler la situation aux Français, les abandonner par intérêt électif personnel face à une situation certes séductrice sur le moment mais porteuse du pire, alors qu’ils sont parfaitement aptes à comprendre tout ça, est une très lourde responsabilité.

Avis à nos duettistes, l’époque du cinéma muet est révolue.

Bien à vous. H. Dumas

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Les fleurs du mâle ou un brulot pour Bruno.

Récemment, j’ai lu quelque part que Bruno Le Maire, dont la perspicacité est légendaire, pense que les Français ne sont pas chagrinés uniquement par leur retraite.

Pas mal, non ? Bon début…

Immergé au milieu de l’intelligence française à son plus haut niveau, chef de Bercy top un sur le sujet, Bruno constate peut-être que l’intelligence n’est pas soudainement artificielle, en réalité elle l’est depuis toujours. Ça le bouscule, comme tout ce que l’on découvre un peu trop tard.

L’intelligence c’est comme la beauté, ce n’est pas celui qui s’en croit le plus pourvu qui l’est et son utilité est relative face à ses contraintes.

Reprenons l’histoire depuis le début : « Mon fils — ou ma fille — a réussi. Il est fonctionnaire. »

C’était le rêve absolu, pas secret mais au contraire claironné, de tous les parents Français depuis la dernière guerre jusqu’à aujourd’hui où ce n’est plus un rêve mais une réalité.

L’écrasante majorité des Français est fonctionnaire ou en a la mentalité.

Rappelons les avantages imaginés : irresponsabilité, garantie du salaire et de la retraite, emploi à vie, impunité et parcelle de pouvoir, corporatisme fraternel… qui sont devenus réalité.

Quel rapport avec l’intelligence et Bruno ?

La facture évidemment. Puisque c’est lui qui paie. Tous les jours des tombereaux de pognon portant sa signature sont déversés pour financer le rêve national du statut du fonctionnariat.

Oui mais : l’économie du pays ne permet pas cette débauche de fric.

Alors, cerise sur le gâteau, cette situation génère une culpabilité collective, accompagnée de son déni, qui induit un rejet de la réalité et sous-tend une haine de l’économie qui se traduit concrètement par l’ostracisme des acteurs économiques, voire une vindicte mortifère envers les plus importants.

C’est dans cette ambiance que Bruno signe, dans le même temps, des montagnes de crédits pour le compte des créanciers qu’il représente, qui haïssent donc leurs prêteurs.

Disons-le, il a le cul entre deux chaises.

Il est au centre d’un conflit inévitable. Se sent-il, inconsciemment évidemment, responsable de cette situation explosive, en cours d’explosion. Ce qui expliquerait sa propension à dire n’importe quoi, n’importe quand, n’importe où.

Et l’intelligence dans tout ça ?

Elle s’est perdue à Bercy dans l’usage immodéré et incontrôlé des algorithmes et camemberts divers. Ce piège qui laisse penser que l’outil aurait la capacité de penser, serait lui-même l’auteur de ses performances, alors que rien n’est plus faux.

L’humanité c’est l’homme, avec toutes ses qualités et ses imperfections, le reste n’est pas humain. La question n’est pas de savoir si ce serait mieux ou si c’est moins bien, ce n’est pas nous, un point c’est tout.

Conclusion

Le statut de fonctionnaire n’est pas humain. C’est ce constat, attention toujours inconscient, qui donne à Bruno cet air ahuri et ces yeux fixes et exorbités.

La condition humaine, que l’honnête homme ne doit pas perdre de vue, n’est pas l’irresponsabilité, la protection à vie, et l’exercice disproportionné du pouvoir pour tout et contre n’importe qui, hélas peut-être… mais rien n’est moins sûr .

Entrevoir ça, ça le bouscule le Bruno. Il n’est pas fait pour cette situation. Il est trop attaché à lui pour comprendre la perversité des autres, des membres de sa boutique.

Je lui conseille de travailler, d’écrire et de publier « les Ministres maudits », il n’y a que comme ça qu’il passera avec respect dans la postérité. Autrement il court le risque du sourire condescendant de ladite postérité… s’il ne laisse que le souvenir du carnage fiscal et de sa terreur, qu’il couvre tous les jours.

Bien à vous. H. Dumas

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Avis d’ouragan force 12

Tous ces p’tits gars – incluant les filles évidemment, « p’tits gars » étant un diminutif affectif, asexué comme il se doit, désignant des êtres humains sympathiques et sincères, mais peu informés – qui défilent pour leur droit à une rente, dont par ailleurs ils dénient globalement la légitimité pour les autres, qui crient en défilant « Macron démission », vont être bien déçus.

Croient-ils que Macron pourrait quelque chose pour eux ? Ils rêvent.

Macron est l’interface entre les préteurs qui ont permis aux p’tits gars de vivre au-dessus de leurs moyens depuis des dizaines d’années et eux les p’tits gars qui défilent aujourd’hui.

Entre deux pastis ils n’ont pas eu le temps d’observer ce qui s’est passé en Grèce ?

Alors explication.

Macron trouve des sous pour eux parce qu’il affirme aux prêteurs, preuves à l’appui, que ses p’tits gars obéissent au doigt et à l’œil, payent des impôts de folie sans regimber, travaillent à fond pour pas grand-chose. Et que lui, Macron, peut les faire payer encore plus pour les prêts à venir.

Oui mais voilà, patatras, les p’tits gars sont dans la rue, évidemment ils ne savent pas tout ça. Comment le sauraient-Is ? Personne ne leur dit. Et puis… ils s’en foutent.

Oui mais les prêteurs ? Eux ne s’en foutent pas. Le crédit de Macron est au plus bas.

Alors ? Plus de prêts ? Plus d’intérêts bidons à 0% ?

Il va falloir rembourser, donc davantage d’impôts — qui sont in fine payés par les plus pauvres selon la règle immuable de : « c’est le dernier de la chaine qui valdingue le plus  –, nous allons en baver des ronds de flan.

A moins que totalement décérébrés, intoxiqués par les bateleurs, ils fassent une vraie révolution, avec la terreur et plein de morts, comme nous en 1789, les Russes en 1917 et les Chinois en 1949. On ne sait pas…

Mais, quoiqu’il arrive ça va chauffer, que ce soit les p’tits gars qui ravagent tout ou Macron qui exécute les CPVS – Commandement de Payer Valant Saisie – : la facture arrive.

Quand je pense que je vais partir avec l’eau du bain…

Ce n’était pas malin de la jouer honnête, de ne pas piquer dans la caisse, de ne rien avoir demandé à l’Etat, de ne rien lui devoir… Non seulement je me bats inutilement depuis vingt ans, mais aujourd’hui cette lutte m’a mis en première ligne des coups qui vont être distribués.

Heureusement que j’ai presque 80 ans et que je m’en fous à un point que je n’aurais jamais cru possible…

Finalement c’est toujours la connerie qui gagne,  Darwin avait raison en refusant de donner un sens à l’évolution…

Bien à vous. H. Dumas

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Ils ont beaucoup appris, et très peu compris…

Le jeune Macron est de ceux-là. C’est mal parti.

Nous n’échapperons sans doute pas à l’effondrement économique : « C’est pour manger sur place ou pour emporter ? »

La taxe est plus chère quand c’est consommable immédiatement. Eh oui, quand c’est le moment c’est toujours plus cher que quand c’est incertain, dans un futur arrangeable à l’infini à l’aide du mensonge.

Donc nous y sommes, c’est le moment de la facture, ça va faire mal.

Récapitulons.

La haine du capital, transcrite en un pillage fiscal qui finalement capte 80% des revenus des travailleurs et des entrepreneurs au profit des hommes de l’Etat, a eu raison de l’économie.

Pour préserver l’économie, le prélèvement sortant de son cycle ne peut pas dépasser 30%. Ce n’est pas un chiffre issu d’un algorithme ésotérique, c’est le constat empirique que peut faire tout acteur économique qui fait ses comptes.

On se rappelle que capitaliser consiste à accumuler et transmettre, que nulle activité ne peut exister sans capitaliser, qu’elle soit scientifique, intellectuelle ou évidemment économique.

De tradition, les barbares mettent le feu aux bibliothèques, et pillent les économes.

Une fois cette folie achevée, toute la société est dans la misère, c’est ce qui nous attend demain matin.

Petite histoire de l’effondrement.

Mitterrand donne le pouvoir économique aux élus de base, qui l’utilisent exclusivement pour acheter des voix. Comme chacun le sait, l’homme politique est d’abord un élu de base puisque, quelle que soit sa formation technique, il tire sa légitimité de son élection donc en liaison avec le niveau de compétence politique de son électoral. Suivez mon regard…

Cette situation a généré une armée de la mort économique : Bercy.

Les plus brillants cerveaux de la nation ont usiné à plumer la France au bénéfice de cette organisation, pour dissimuler ce pillage ils ont maintenu le corps social en vie artificiellement à l’aide du crédit. Les deux actions cumulées ne pouvaient qu’engendrer le pire.

Mais c’était si agréable d’y croire….

Quel que soit le nom qui sera donné à ce qui arrive : grande dépression, désordre mondial, guerre en Ukraine, inflation au lieu de dévalorisation de la monnaie, quelles que soit les explications vaseuses que nous voudrons croire, la chienlit dans laquelle nous sommes est incontournable.

Elle va vers le pire, rien ne peut l’éviter et nous sommes dans cette situation uniquement par notre faute.

Ce n’est pas par hasard si nous n’avons pas de police compétente, pas de justice logique, pas d’armée performante, si nous sommes donc à la merci des errements inévitablement liés à la ruine, à la misère. C’est : parce que nous n’avons plus de capital, donc une économie moribonde.

Là, tout de suite, nous allons reproduire à l’identique les stigmates de l’histoire face à cette situation de faillite de l’Etat qui se répète inlassablement.

Nous allons passer par la case « débile profond » qui consiste à donner encore plus de pouvoir aux hommes de l’Etat à travers la nomination d’un autocrate. Il y a pléthore de candidats.

La violence s’installera. Il est possible, mais il n’est pas certain, qu’après quelques années de violence, de morts inutiles, de souffrances incommensurables, la raison revienne, que l’honnêteté, la compétence, l’équité, refassent surface. Que les droits de l’homme, ses libertés fondamentales, soient reconnus et protégés. Que la sélection, inévitable, se fasse par la compétence et non par l’appartenance ou la corruption. Que l’empathie pour ceux qui échouent soit réelle, sans pour autant leur confier le pouvoir au motif que celui qui rate doit recevoir autant que celui qui réussit.

Bref, que nous puissions remettre la boutique en route et présenter la facture aux responsables.

C’est possible, mais objectivement peu probable puisque cela n’arrive jamais…

Ce pose alors la question qui, en ce qui me concerne, est essentielle : doit-on résister ou foutre le camp ?

Au risque de vous décevoir, je n’ai pas de réponse à cette question essentielle. J’agirai, comme toujours, par réflexe.

Aujourd’hui mon réflexe est de plaindre ceux qui défilent dans la rue pour une retraite dont je ne vois pas très bien qui pourrait leur payer…

Demain, quand ils seront violents, parce qu’ils n’auront toujours pas compris leur part de responsabilité dans la situation qui leur fait peur : l’arrivée de la misère, mon réflexe sera sans doute de ne pas adhérer aux dérives à venir de l’autocrate qu’ils mettront en place parce qu’il leur aura fait croire que oui, ils ont raison et que ce sont les autres qui doivent payer pour eux, qu’ils ne sont responsables de rien, je serai alors probablement dans la résistance.

Et Macron dans tout ça. Bof, pauvre gamin qui ne comprend rien. Une tête pleine, une imagination vide.

Et ne parlons pas de Le Maire, l’homme des basses œuvres, le pillard de service, même pas assez intelligent pour prendre conscience de sa réalité. Un vrai politicard, celui-là. Il passera dans l’histoire pour ce qu’il est… l’histoire est faite de beaucoup de rien.

Je pense à mes petits-enfants… ça me fait mal.

Bien à vous. H. Dumas

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Délinquant face à la dictature fisco-bureaucratique.

Dans « La nature du totalitarisme » Hannah Arendt expose que la différence entre une dictature et un régime totalitaire ne se situe pas dans l’ampleur de l’arbitraire, de la répression et des crimes, mais dans le degré de contrôle du pouvoir sur la société : « une dictature devient « totalitaire » quand et si elle investit la totalité des sphères sociales, s’immisçant jusqu’au cœur des sphères privée et intime (familles, mentalités, psyché individuelle) ».

Je suis en accord avec elle, sauf que je ne pense pas que ce soit le dictateur qui installe le totalitarisme, mais bien la population elle-même. Je ne vois pas la source du malheur au même endroit qu’elle.

Au départ, même si cela n’est pas toujours visible pour un observateur extérieur, il doit y avoir une croyance dans la population — majoritaire intellectuellement — à partir de laquelle un ou plusieurs individus vont installer un pouvoir qui aura inévitablement tendance à devenir totalitaire, s’il ne l’est pas dès le début.

La noblesse a pris le pouvoir à travers l’idée qu’elle donnerait son énergie, voire sa vie, pour défendre les paysans qui n’avaient pas des âmes de guerriers. Les paysans y ont cru, aidés par l’église. Tout cela s’est terminé comme nous savons : « les guerriers nobles » ont fini par exploiter leurs paysans au lieu de les protéger. De guerriers nobles ils se sont majoritairement transformés en escrocs violents, au fil du temps.

Plus tard, l’essor de l’industrie a créé le monde ouvrier qui a généré un réflexe de défense de celui-ci face à son exploitation initiale par le patronat, qui se serait naturellement régulée du fait des intérêts communs en présence. S’en est malheureusement suivi le concept évanesçant de l’égalitarisme, dont une caste s’est déclarée aujourd’hui la garante : BERCY et les fonctionnaires qui ont capté le pouvoir absolu et installé une dictature.

Cela étant dit, je rejoins Hannah Arendt sur l’idée que l’ont peut-être sous un régime totalitaire sans être confronté à la menace physique directe, sans Goulag. La dictature étant alors avant tout psychique, construite sur la croyance à laquelle la population adhère.

Ce n’est qu’en cas de déliquescence de la croyance, ou en son absence, que le dictateur n’a plus à sa disposition que la violence physique pour installer ou maintenir son totalitarisme.

Aujourd’hui Bercy et la bureaucratie ont : « investi la totalité des sphères sociales, s’immisçant jusqu’au cœur des sphères privée et intime (familles, mentalités, psyché individuelle) »

Dans ce blog, à la diffusion confidentielle, j’expose mes voyages, mes incursions, mes explorations, dans les circuits du totalitarisme de Bercy, de la bureaucratie, des fonctionnaires.

Ceux-là même qui ont installé une dictature à partir de croyances séduisantes mais débiles, dont la principale étant que le capital économique serait un ennemi social, alors qu’il n’est que la base de l’économie, comme le capital scientifique est la base de la science, le capital médical celui de la médecine, etc…

Peut-être ce blog sera-t-il utile un jour pour comprendre comment ce pays est allé vers la catastrophe totalitaire, ce n’est plus moi qui serai alors à la manœuvre.

S’approcher du diable sans se cramer

Ce n’est pas facile.

Je vais vous en apporter la preuve. Que ce soit à travers ce blog ou précédemment sans tambour ni trompette, j’ai toujours souhaité aller voir au plus près les manœuvres louches des puissants. Entendons-nous, chacun ne peut aller observer que les puissants qui sont à sa portée, ça commence par le garde-champêtre qui braconne et ça va jusqu’au Président des Etats-Unis, qui braconne aussi. Ce sont partout les mêmes moteurs et les mêmes méthodes, tout n’est qu’une question d’échelle et d’apparences.

Dans un pays libre ces « voyages » sont sans problème, ils sont même conseillés.

Dans une dictature, un régime autoritaire, ils entraînent des conséquences néfastes pour le curieux.

En effet, l’arbitre chargé de faire en sorte que la partie soit honnête : LA JUSTICE, devient un outil au service du pouvoir pour éliminer le curieux.

Un exemple :

Le fichier Cassopiée (Chaine Applicative Supportant le Système d’Information Oriente Procédure pénale et Enfants), qui nous coûte 150M€ par an, est censé servir à la rédaction des différents actes de procédure : commissions rogatoires, ordonnances, interrogatoires et doit faciliter l’échange d’information entre les parquets. Les informations qu’il contient son gardées dix ans et visent la délinquance.

En cliquant sur ce lien vous prendrez connaissance du mien : LIEN

Vous constaterez que sur 24 mentions, 10 ne devraient plus être là. Qu’il ne s’agit que de procédures visant des rapports houleux avec la maréchaussée routière ou sur le blog avec les services fiscaux, des procédures, disons-le : politiques.

C’est donc une utilisation dévoyée de ce fichier et, évidemment, cela impacte lourdement mes procédures en cours ou à venir, en m’enfermant dans un rôle de contestataire stérile à éliminer le plus tôt possible.

Mes adversaires n’ont plus qu’à se cacher derrière leur statut d’élus ou de fonctionnaires en s’intitulant des : « fonctionnaires, des dépositaires de l’autorité publique ou des citoyens chargés d’un service public » et ils n’ont plus de compte à rendre. Facile, non ?

Un autre exemple :

Au pénal l’avocat n’est pas obligatoire. La personnalité des justiciables est fondamentale, j’y suis toujours présenté par les adversaires comme : un « fada », dirait Pagnol.

Comme les plaidoiries sont en grande partie orales, je demande toujours l’autorisation d’enregistrer ma propre plaidoirie, pas les débats globaux qui sont interdits d’enregistrement. A cela on me répond que ce n’est pas possible, mais que la greffière note l’intégralité de ma plaidoirie.

Je vous soumets, par ce LIEN, la note d’audience du 3 Novembre 2022.

Vous consterez d’abord que le tribunal, à ma demande de temps nécessaire pour me présenter pour présenter le contexte, dit : « Le prévenu, via l’huissier audiencé, indique qu’il souhaite un long moment de plaidoirie pour retracer sa biographie. Le tribunal précise au prévenu que l’audience du jour n’a pas un but biographique mais un but juridique »

Il se moque de moi, prétendant que j’ai demandé à exposer « ma biographie », et il ne me donnera pas de temps pour expliquer quoique ce soit….

En revanche, je disposerai de deux heures à la 17ème à Paris plus tard, mais pas pour la même affaire.

Quant aux notes de la greffière concernant ma plaidoirie, la présentation de mes arguments, je vous renvoie au paragraphe : Dumas Henri en sa plaidoirie, page 3…

Il ne reste rien de ma plaidoirie orale, les juges d’appel n’en connaitront rien, ils ne sauront jamais la perfidie du tribunal de La Rochelle. Mais ils s’en foutent probablement, ils vont enchainer sur la même ligne…

Conclusions

Le totalitarisme de la fisco-bureaucratie est avéré. Il n’est pas contestable. Il nous étouffe, nous tue, tue nos libertés jusqu’au plus profond de nous, gâche notre vie en société et la confiance qui devrait nous habiter.

Mais la fin des promesses arrive. Regardez ces pauvres gens qui défilent dans la rue en exigeant de leurs enfants une rente à venir, ils ne vont pas être déçus s’ils aiment vraiment le bordel, comme ils le disent…

N’ont-ils pas compris que ce sont eux, en bout de chaine, qui paient l’impôt ou le carnage du trop d’impôts ?

Nous ne sommes pas en route pour sortir de la dictature fisco-bureaucratique, mais une chose est sure, la liberté ne passe pas par les clubs et les nobles pensées, mais par le terrain et la démonstration des milliers d’actes totalitaires que chacun de nous constate chaque jour et doit dénoncer sans relâche, pour faire reculer la croyance sur laquelle nos dictateurs croient trouver une légitimité.

Il n’y a aucune légitimité à bafouer les libertés individuelles, à ne pas respecter la propriété privée, le capital, l’empathie et l’aide au malheureux pas aux fainéants.

Regardez, constatez, analysez, puis venez publier sur ce blog, c’est la seule solution, celle qui fait tant peur à Fournel… pour retrouver la liberté, sans laquelle être homme n’a aucun intérêt.

Bien à vous. H. Dumas

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FOURNEL le DG de Bercy s’ennuie.

Je l’imagine perplexe derrière la vaste baie de son bureau surplombant la seine. En bas une vedette prête à démarrer pour le transporter sur le plus beau fleuve de Paris, dans la cour une multitude de berlines noires lustrées à la « Nénette » prêtes à fendre les bouchons toutes sirènes hurlantes, sur le toit l’hélicoptère républicain qui d’un coup de retord peut le « retord-porter » en tout lieu à toute heure.

N’est-il pas l’homme le plus puissant de France ? du monde ?

Oui, surement, mais il s’ennuie.

Et pourtant, ce ne sont pas les distractions qui lui manquent. Notamment son « Bowling-red » — « red » pour redressement – un jeu du tonnerre, fait pour lui, qu’il maitrise à la perfection. Il peut choisir n’importe qu’elle cible et la faire attaquer par ses « Bowling-reders », qui la détruisent en deux ou trois coups bien ajustés. Il sait qu’il est le maître du monde, que ce ne sont ni les Chinois, ni les Russes qui peuvent lui faire peur, alors les p’tits Français…

Oui mais il s’ennuie, Fournel.

Enfin, disons plutôt qu’il a une contrariété. Une espèce de démangeaison qui l’agite, récurrente, qui pourrait s’étendre, qu’il ne contrôle pas autant qu’il le voudrait. Pourtant ce ne sont pas les efforts qu’il a fait pour la faire disparaître qui sont en cause.

Il a tout essayé, les plus folles arnaques, les plus violentes agressions, et malheureusement ça le démange toujours.

Aujourd’hui, après avoir bien réfléchi, il a lancé son va-tout.

Vous pouvez en prendre connaissance avec ce LIEN .

Il a fait fort Fournel, mais quand même… réfléchir trois mois, pour ça ? Signifié deux jours avant la prescription.

Si ça se trouve il a réuni une commission d’élite pour pondre le truc, avec des réunions journalières, des brainstormings à gogo. Il faut le dire : le résultat est là.

Enfin, entendons-nous bien, il va falloir des magistrats ouverts à sa rhétorique.

Du genre qui adhèrent à l’idée que les paroissiens sont tous en état de pêché, sommés de se confesser, pendant que les curés sont évidemment parfaits, plus que parfaits.

Des magistrats qui ne savent pas encore ce qu’est le passé décomposé.

Plaisanterie mise à part :

Pourquoi sa citation échoue à Arras ? Que vient faire Arras dans la critique d’un blog national ? La Cour d’Appel saisie donnera peut-être une réponse.

Le pire dans cette citation est que Fournel et sa bande trafiquent tant la langue française, qu’ils finissent par la comprendre de travers est faire dire aux mots l’inverse de ce qu’ils disent.

Sa copie serait amusante à lire si tant de personnes souffrant des folies de Bercy n’étaient pas en suspension de vie, projetées dans la misère par ses sbires, car oui, l’impôt abusif est un acte de guerre, c’est clair, et alors l’impôt indu…

Fournel peut dire ce qu’il veut, se cacher derrières des jugements absurdes, je suis l’exemple des dégâts et des injustices qu’il couvre journellement.

En réalité il veut me faire taire, il n’ose pas me suicider, mais il en a envie si fort que ça fait de la peine pour lui.

Allez Fournel : tout ça va s’arranger, évidemment pour nous, pas pour toi à qui ça va péter au nez. Fallait pas dépenser tous les sous des gens, ils sont pas contents, mets-toi à leur place.

Et ceux que tu pilles, ils ont le droit de te demander des comptes, c’est là tu vois :

« Article 14.

– Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

Article 15.

– La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »

Demande à un vrai magistrat, il te dira que j’ai raison.

Bien à vous. H. Dumas

PS : je dédie ce billet aux courageux qui lisent encore ce blog sous surveillance de Bercy.

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Les retraites ? Quelles retraites ?

Nous pouvons probablement nous mettre d’accord sur un point : la retraite est un revenu perçu sans équivalence travail, c’est une rente.

Déjà ici nous sommes immédiatement au cœur d’une schizophrénique collective : ceux-là mêmes qui haïssent les rentiers exigent de le devenir, c’est même pour certains leur seul but.

Si nous passons sur cette incohérence nous sommes alors confrontés au fait que, quelle que soit la méthode employée pour servir la rente retraite, il va falloir y consacrer un capital qui sortira du circuit économique sans retour.

Qu’il ait été économisé au préalable —capitalisation — ou qu’il soit distrait au moment de sa distribution — répartition—, le capital pour servir la rente retraite doit exister.

Hélas ce capital n’existe pas, n’est pas disponible et ne pourra pas l’être.

C’est le problème caché, que tout le monde fait semblant de ne pas voir.

Alors que tout le monde peut percevoir l’origine de sa disparition.

En effet, il y a belle lurette que Bercy a boulotté ce capital, sans aucune possibilité de retour.

Bercy, de la façon la plus secrète et la plus inique qui soit, a mis en fiche tous les français et transformé le pays en un goulag fiscal incapable de capitaliser.

Bercy est le bras armé de la nomenklatura qui vit au détriment du peuple, dissimulée derrière une propagande la prétendant à son service.

Les dépenses délirantes de cette nomenklatura, politiquement majoritaire puisque les abstentions ne sont pas comptabilisées, ont généré deux conséquences irréversibles : l’emprunt incontrôlé et la terreur fiscale.

L’emprunt incontrôlé

La charge fiscale, directement sur les revenus, ou indirectement sur tous les besoins, ou même encore mieux à partir de règlements se transformant en surcoûts taxables, est telle que nul ne peut constituer le capital nécessaire à sa vie propre ou à la vie de son activité. Bercy lui suggère d’emprunter. Il emprunte effectivement.

Or l’emprunt ne peut pas devenir une obligation de vie. Ses conséquences multiplicatrices sont exponentielles, mais possibles dans les deux sens : l’enrichissement ou la ruine.

Son usage doit être prudent et réfléchi. L’imprudence est ici suicidaire. L’obligation imposée par Bercy meurtrière.

La terreur fiscale.

Elle est fondatrice de l’efficience de Bercy, elle s’exprime à travers les contrôles fiscaux qui sont des zones de non droit, où sont tués volontairement des innocents pour installer une peur panique dans la population. Et ça marche.

Survolons le sujet. Non seulement le fichage de Bercy est secret mais il le reste lors d’une enquête ou contrôle, contrairement à la police qui est tenue à la transparence de ses enquêtes. En réalité Bercy favorise ainsi la délation et empoisonne la confiance nécessaire à la vie collective.

Le contrôle fiscal lui-même est secret, son enregistrement est refusé par les contrôleurs, qui assermentés et armés imposent leurs condamnations.

Lesquelles sont exigibles immédiatement, avant tout jugement. Au tribunal administratif pas de contre-expertise possible, donc des jugements sur les seuls dires de Bercy.

L’exécution passe par des juges civils de l’exécution, qui sont dotés des pouvoirs les plus étendus pour vérifier ou redéfinir une créance, sauf pour celles du fisc où ils deviennent de simples exécutants appuyant sur le bouton déclencheur de la guillotine, du meurtre.

En conclusion

Tous les abrutis qui défilent au nom de leur droit à devenir rentier, qui tentent de bloquer le pays, sont soit des imbéciles, soit des pervers. Il feraient mieux d’aller raser Bercy pour retrouver les moyens d’organiser la rente dont ils rêvent. Chacun, comme la fourmi, doit pouvoir la constituer et non pas la voler au voisin ou pire à ses enfants.

La consolation est que s’il ne rasent pas Bercy, Bercy s’effondrera seul, mais sur eux.

Bien à vous. H. Dumas

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Tout le monde peut être celui qui tue.

Accidentel ou voulu l’acte mortel non naturel est toujours le terme d’une erreur de vision initiale.

Tout est dans la vision initiale, dans la réflexion ou la pulsion qui va engager un processus individuel ou collectif qui se terminera bien ou mal, déterminé inexorablement par la vision initiale.

Nos vies ne sont donc que la conséquence fatale de nos impulsions de départ, tout ensuite n’est que trajectoires sur lesquelles nos moyens d’intervention sont extrêmement limités.

Le problème tient au fait qu’il n’est pas sûr que chacun de nous ait la faculté de choisir les multiples visions initiales qui vont déterminer les différentes trajectoires de sa vie.

Certaines sont liées à notre éducation, d’autres à notre environnement, peu sont un choix strictement personnel pris en toute conscience, qui de toute façon ne peut pas dépasser les limites de nos compétences de vision.

Quand Palmade engage sa vie tel qu’il l’a fait, en ne lui mettant pas de limite, il a mis en marche un outil de mort. À quel point est engagée sa responsabilité ? Il n’y a que lui qui le sait. Certainement pas ceux qui vont le condamner.

Mais il y a bien pire.

L’égalitarisme et sa forme guerrière le communisme ou le fascisme, sont des visions initiales si éloignées de la réalité, où la violence et le pillage annihilent le respect de l’autre, l’empathie due au plus faible, qu’ils ne peuvent finir que dans la mort.

Et aujourd’hui le communisme, dans son expression factuelle la plus perverse et la plus violente, joue sa survie face à l’humanisme mondial que la science pourrait mettre en place grâce à l’informatique et aux réseaux sociaux.

Face à leur disparition probable les prêtres défroqués du communisme regroupent les attardés de la terre et déclenchent en ce moment même la violence qui va tuer des milliards d’êtres humains., que l’on résiste ou non.

Eux même et leurs fidèles ont-ils conscience de la trajectoire qu’ils ont initiée ?

Certains probablement, leur majorité non.

Je ne serai plus là lorsqu’ils verseront leurs larmes de crocodile sur le carnage. Mais je souffre par anticipation et ma souffrance est immense, pleine de rage et de questionnement.

Est-ce si compliqué de comprendre ce qui se passe, où tout simplement la morbidité est-elle finalement la vraie patronne de l’univers ?

Bien à vous. H. Dumas

PS: Lorsqu’un gamin au sortir de ses études choisit la profession d’inspecteur des impôts personne ne lui a dit qu’il devra tuer des entreprise, tuer l’économie Combien sont-ils alors à en avoir conscience ? Peu sans doute.

Mais ensuite quand tous savent, comprennent la gravité de ces meurtres économiques, ils n’ont qu’un seul but : que l’impunité leur soit garantie. C’est la facture que nous payons. C’est la couleuvre qu’avalent les magistrats.

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En admettant que quelqu’un me demande un conseil, un seul.

Bon, la question ne se pose pas, personne ne m’en demande …

Mais, on ne sait jamais, un jeune loufoque, qui ne serait pas convaincu que sa génération a tout compris et les prédécesseurs rien, me dirait : « Monsieur, pouvez-vous me donner un conseil, un seul à l’aide duquel je pourrais bâtir ma vie ? »

Je lui dirais : « oui. Il se résume à ceci : cherche toujours l’origine ».

Tout a une origine dont la compréhension vérifiée permet de connaître toutes les situations intellectuelles ou matérielles qui en découlent.

La société « camembert-sondage » dans laquelle tu vis fait exactement le contraire. Elle ment sur les origines de tout et projette à l’aide de ses mensonges un avenir incompréhensible pour toi et des problèmes pour elle, qu’elle est — et restera — incapable de maîtriser.

Les grandes hésitations de l’homme, son instabilité, ses déséquilibres et ses angoisses tiennent au fait qu’il ne connaît pas son origine, ni celle de son environnement. Tous les mensonges qu’il a bâti à ce sujet lui sont gravement retombés sur le nez.

Un jour il saura, en attendant ce jour il souffre.

Plus prosaïquement, chaque jour nous créons les origines d’avenirs sans que l’on en soit toujours conscient tant ces avenirs peuvent être éphémères ou imbriqués entre eux au point d’occulter leurs origines.

D’où l’importance de reconstituer objectivement, dans un absolu souci de vérité, chaque origine de chaque chose. C’est la seule solution pour maîtriser et comprendre les décisions à prendre à tout moment du déroulement des choses, initié par leurs origines.

Cela vaut pour soi, pour les autres, pour la collectivité, pour le vivant et pour l’inerte.

Évidemment le questionneur pourrait alors me demander : « comment avoir la certitude que l’on va bien découvrir la vraie origine de chaque chose ? » Je lui répondrais : “ jeune homme il était question d’un seul conseil. Je n’en ai pas d’autre. Démerde- toi avec celui-là. En fait, la vérité dépend de toi et de ton travail. Seuls ceux qui l’atteignent valent, les autres m’indiffèrent. Tu comprends pourquoi je ne m’aime pas plus que ça”.

Mais je te rassure, “la recherche génère le doute et le doute protège de l’erreur et du mensonge”.

Mais, au fait.

La recherche de l’origine des choses est-ce de l’histoire ? Non, l’histoire comme son nom l’indique n’est qu’une histoire.

Est-ce de la science ? Non, mais sans elle la science n’existe pas puisqu’elle en explique certaines conséquences.

Est-ce de la croyance ? En partie oui, puisque c’est un des moteurs qui permet l’erreur, donc l’avancée de la recherche vers l’origine des choses.

Est-ce de la philosophie ? Non il manque définitivement à la philosophie le goût pour la preuve.

Est-ce de l’intuition ? Il en faut, mais ce n’est pas suffisant.

L’origine des chose ? C’est la vérité, toute nue. Celle que la plupart du temps nous ne voulons absolument pas voir, lui préférant le mensonge si séducteur.

Nous privons-nous ainsi du meilleur ? A chacun sa réponse.

Bien à vous. H. Dumas

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Coup de mou sur le passé, questionnement sur l’avenir.

L’an dernier j’ai pris position un peu avant l’invasion de l’Ukraine.

Cela s’est traduit par des billets dont les liens sont les suivants :

https://temoignagefiscal.com/certains-me-disent-que-poutine-aurait-raison/

https://temoignagefiscal.com/poutine-cest-fait/

https://temoignagefiscal.com/un-avenir-inquietant-humiliant/

https://temoignagefiscal.com/les-russes-sont-ils-pour-poutine/

https://temoignagefiscal.com/poutine-va-t-il-mondialiser-son-conflit-arme-aujourdhui-strictement-personnel/

https://temoignagefiscal.com/macron-na-pas-la-carrure/

Pourquoi ce dimanche je les ai relus ? Pourquoi ces prises de position ont isolé ce blog ?

Je ne sais pas.

Ce que je sais : la situation n’a pas l’air de s’arranger.

L’idée que ce que l’on appelle la civilisation occidentale, au moins en Europe va basculer vers le néant, l’asservissement, ne parait plus tout à fait farfelue.

Notre faiblesse économique, nos capitaux dilapidés, nous exposent évidemment face à des gens peu scrupuleux et puissamment riches de matières premières ou de main d’œuvre travailleuse et à faible coût.

Ils n’acceptent plus notre domination ? En effet cela parait clair.

Mais nous n’hésitons pas à continuer de nous mentir, à penser que tout cela est moins important que nos haines internes, haine du riche, haine du maghrébin, haine du juif, haine du croyant, haine du politique, haine du fonctionnaire, haine de la profession libérale, haine du consommateur, haine de l’automobiliste, du cycliste, du piéton, du motard, du capital, du travail, haine du jeune, haine du vieux, haine du con, haine du diplômé, haine du va-nu-pieds, haine d’un pour tous et de tous pour un.

Quelle énergie perdue, quelle folie et quelle imprudence. Mais malheur à celui qui alerte, qui explique, qui veut être le premier à tolérer. Puisqu’on vous le dit : « Pas de tolérance ».

La haine vaut loi. Il suffit de regarder l’Assemblée Nationale et tous ces pingouins qui se font élire, par moins de la moitie du pays et sur la haine des autres.

Petit écart

En relisant ces billets je suis tombé sur ce passage.

Le 25 février 2022 j’écrivais : « Mais pas plus que l’indigne façon dont me traite ces salopards du fisc ne pourrait justifier que je fasse une descente chez eux pour les abattre, même si j’en avais envie ce qui n’est pas le cas, Poutine n’a pas le droit de pénétrer chez un voisin et d’y perpétrer des assassinats. »

Quand je pense qu’ils m’ont mis un jour en tôle et je ne sais quoi de plus après jugement… pour apologie de meurtre… Pourtant lecteurs assidus, ces enfoirés ne lisent pas ce blog sincèrement…

Revenons à notre civilisation

Ses bases :

  • L’adhésion à la capitalisation, en tout, à travers la propriété, intellectuelle ou matérielle.
  • Les libertés d’expression et de circulation, sacralisées par l’inviolabilité du domicile et la justice sans les lettres de cachet.
  • Le choix démocratique des hommes de l’Etat, donc le refus de l’autocratie.
  • L’idée d’égalité de moyens — pas de résultat —

Non seulement ces idées ne sont pas naturelles, mais elles sont minoritaires dans le temps et dans l’espace, depuis toujours. Aujourd’hui, qu’en reste-t-il chez nous ? Rien. Pourtant elles ont été le moteur du progrès… dont plus personne ne veut

Evidemment, ce n’est pas ainsi que fonctionne la nature. D’un autre côté les écologistes n’y adhèrent pas non plus…

En ce qui me concerne, je m’efforce de défendre ces idées, je me demande bien pourquoi ? Notez, je ne me suis jamais posé la question, tant tout cela me parait humainement naturel.

Mais aujourd’hui, où elles ne sont plus à la mode, défendre ces idées est devenu compliqué, et demain je pense ce sera tout simplement dangereux.

Nous verrons bien.

Bien à vous. H. Dumas

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L’inacceptable coup d’Etat

Une nation est un groupe de personnes réunies géographiquement et moralement entre lesquelles s’est établie une confiance — fondation du consentement sans lequel rien n’est possible — qui permet à ces personnes de se regrouper ponctuellement pour affronter les difficultés que seule une action collective peut régler.

Les deux points constitutifs d’une nation sont donc :

  • la confiance, fondation du consentement.
  • La définition du champ d’action de la nécessité des actions communes.

La confiance

Elle résulte exclusivement du respect que chacun porte à l’autre. Elle est la traduction en retour de ce respect.

Ce respect n’est pas toujours immédiatement défini, il demande souvent un échange préalable d’opinions ou d’explications. D’où la nécessité de la liberté d’expression qui est la seule voie possible pour arriver au respect de chacun.

La définition du champ des actions collectives.

Elle est essentielle. Sans elle la nation court le risque de négliger les libertés constitutives du respect, de devenir un ensemble oppressif constamment en mode collectif. Lorsque le mode collectif s’étend à des sujets où il n’est pas essentiel, il se transforme en contraintes lourdes, inutiles, contre-productives, opposées à son avantage initial. Il débouche alors le plus souvent sur une oppression matérielle et morale constante qui détruit la confiance sans laquelle aucune nation ne peut exister.

Nous en sommes là.

Pourtant la déclaration des droits de l’homme avait balisé le sujet de façon pragmatique et largement accessible, au point qu’elle est toujours le repère théorique de notre constitution.

Mais, à la suite d’un coup d’Etat, dont les causes et les moyens sont connus mais seraient trop longs à développer dans ce billet, une bureaucratie de techniciens, au service exclusif d’eux-mêmes, a trahi la liberté d’expression en l’étouffant par la propagande et l’imposition de croyances en lieu et place de la raison.

Puis, les mêmes ont inlassablement prétendu pouvoir intégrer toutes les activités humaines dans un cadre impérativement collectif, imaginant une conscience collective qui se substituerait aux consciences individuelles.

Résultat : la confiance a disparu, égoïsme et corporatismes l’ont remplacée anéantissant l’idée même de nation, que des charlatans dangereux se proposent de rétablir par la force au lieu du consentement, ce qui serait le pire.

Que faire ?

Prendre pacifiquement le pouvoir pour redéfinir le périmètre collectif et du même coup réinstaller les libertés et la confiance.

Cela passe par les élections présidentielles, nous en avons déjà parlé.

Alors, qui s’y colle ?

Un homme ou une femme, d’une cinquantaine d’années, nécessairement ouvert, qui annoncera ce chantier, démolitions et reconstructions détaillées sans ambiguïté.

Je lui ouvrirai ce blog pour commencer. C’est dire à quel point il va partir de loin, de très loin… Bien à vous.

Henri Dumas

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Les détours de la violence fiscale

Ce billet pour ceux qui s’interrogent sur le fonctionnement de notre justice, sur sa propension à coller à la société mercantile, que par ailleurs elle dénonce et sanctionne à tour de bras.

Ce LIEN pour accéder à un arrêt de La Cour d’appel de Montpellier

Les faits sont simples :

  • J’ai réalisé la promotion d’un immeuble à Sète en 1989, je me suis payé la crise de 1990, les ventes n’ont pas été possibles, la plupart des lots me sont restés sur le paletot.
  • De 1990 à 2015, j’ai de ce fait assumé une grande partie des frais de copropriété, je n’ai jamais failli. Soit pendant 25 ans. Je suis resté toujours disponible pour la copropriété, à qui je me suis efforcé de rendre service pendant tout ce temps. Je n’ai jamais poussé à la sanction de ceux qui pour des raisons diverses ont été à ces époques en difficulté de paiement des charges.
  • Puis le fisc a redressé artificiellement et indument cette société qui est devenue insolvable et a vu son stock paralysé.
  • C’est là que les autres propriétaires et le syndic se sont sentis des ailes pour me poursuivre sans vergogne, alors que ma société ne pouvait pas être insolvable au regard des lots qu’elle possédait.
  • Dès que cela a été possible, j’ai vendu des lots pour payer la copropriété.

Je passe sur les intrigues nées des concupiscences qui ont affecté certains, sur la joie morbide de me voir mis à terre par la violence fiscale et espérer en retirer un profit. L’histoire, pas si ancienne, connait bien le sujet.

L’affaire se termine par une condamnation à 10.000 € pour avoir demandé un peu d’humanité, de ne pas être traité comme un poulet déchiqueté par une meute de chiens. Oui mais,  comment ai-je pu oublier que la justice est débordée et sélectionne par le fric ceux qui font appel à elle, surtout si elle se considère dérangée pour rien. Et un réputé fraudeur fiscal qui se bat pour son honneur et sa survie n’est-il pas moins que rien ?

La justice pour tous ? La justice recours contre la sauvagerie, l’irrespect ? Ben voyons…

Bonne lecture. Bien à vous. H. Dumas

 

 

 

 

 

 

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Opinion publique et violence fiscale

L’opinion publique est la maitresse incontestée de l’organisation sociale. Nul ne peut exercer le pouvoir sans elle.

Ceux qui croient que l’opinion publique n’est qu’une facette ou un privilège de la démocratie se trompent lourdement.

Les pires dictateurs savent qu’ils ne sont rien sans elle, c’est pourquoi ils la manipulent ou la terrorisent pour la maitriser. Car l’opinion publique peut être élégamment séduite ou vertueusement conquise, comme elle peut être abusée, voire violentée. Mais elle doit donner son accord expressément, tacitement ou lâchement. Sans lui, nul ne peut exercer le pouvoir.

Ceci exposé, on comprend aisément que dans une société matérialiste, comme la nôtre, l’opinion publique puisse être séduite ou achetée par le biais d’une économie généreuse pour tous. D’où l’idée de l’égalitarisme.

Idée farfelue que les vidéos sur la nature sauvage, abondantes sur le net, faites d’animaux qui s’entredévorent gaillardement, ramènent à sa réalité universelle…

Le réflexe de l’homme de pouvoir, lorsque l’opinion publique lui échappe, est de la récupérer par la force. La première arme qui lui vient à l’esprit est la propagande, accompagnée de la censure qui élimine celle des opposants.

Si cela n’est pas suffisant la contrainte contre les opposants pointe rapidement le bout de son nez, en même temps que les cadeaux aux fidèles partisans. En gros la corruption.

Nous en sommes là.

Plus loin viendrait l’agression physique, la torture, puis l’élimination totale par emprisonnement ou assassinat des opposants, de ceux qui pourraient convaincre l’opinion publique que le pouvoir n’est pas en de bonnes mains, risquant ainsi de le renverser.

La violence fiscale : le stade intermédiaire.

Elle possède de nombreux avantages, dont le principal est de rencontrer l’adhésion de l’opinion publique que le décideur cherche justement à flatter. Elle s’appuie sur le plus grand des dénominateurs communs : la jalousie.

Donc, plus le pouvoir est faible, plus la violence fiscale va monter en puissance.

On le constate tous les jours. La faiblesse des élus, des juges enfermés dans leurs bunkers, anciennement palais de justice ouvert à tous, est significative ? Plus ils ont peur, plus ils font place à la violence fiscale.

Ils vont continuer, jusqu’à ce que l’opinion publique comprenne que c’est pour elle un marché de dupe. Car, comme le démontre très bien Pascal Salin, c’est toujours le plus petit qui paie l’impôt. En effet l’entrepreneur ou producteur rajoute toujours à son prix l’impôt, car il doit avoir une marge sans quoi il disparait, et in fine le consommateur paie son achat augmenté du prix de tous les impôts.

Dans ce marché de dupe c’est le salarié de base qui finit, comme c’est le cas aujourd’hui, par ne percevoir qu’une infime partie de la valeur ajoutée par son travail, le solde étant dévoré par la fiscalité.

Cette violence fiscale est structurelle, elle frappe la plupart du temps aveuglément et par hasard. Alors que ceux qui la cautionnent ou la subissent sont persuadés qu’elle a ses raisons et s’imaginent personnellement décideurs ou victimes. Non, ce n’est pas le cas, c’est encore plus con que ça…

C’est un peu comme la torture au stade supérieur de la violence, quand les tensions sont arrivées jusqu’à la guerre. La torture accompagne inévitablement la guerre, alors qu’elle n’a aucun effet sur son déroulé. Mais elle évacue la pression sans risque pour le tortionnaire, elle tue la victime qui est rapidement passé du stade d’homme à celui de tas de bidoche qui n’intéresse personne. La torture se croit utile, ce n’est pas le cas, elle n’est pas à la mesure du problème. Même le pillage, la torture et la mort de six millions de juifs n’a pas eu d’effet sur le déroulement de la guerre de 39-45. Pourtant quel drame. Comment ont pu vivre après ce drame ceux qui s’étaient aussi lourdement trompés ?

Revenons à la violence fiscale

Donc la violence fiscale, sorte de torture matérielle et psychique, moins violente mais bien plus longue que les violences physiques, est inutile pour régler l’échec global inévitable de l’égalitarisme et pour permettre aux hommes du pouvoir, à la ramasse, de se refaire une santé dans l’opinion publique.

Tout faux, c’est ce que l’on peut affirmer.

En revanche, les dégâts de la violence fiscale sont monstrueux.

Ce sont les meilleurs qui morflent, les moins bons, les plus lâches, sont dans la connivence et y échappent.

La violence fiscale tue l’économie, elle crée des reflexes d’évitement qui prennent le pas sur la raison et l’investissement, sur l’ambition et le risque, sur la liberté des décisions économiques sans laquelle il n’y tout simplement pas d’économie possible.

Le jour ou l’opinion publique se révoltera contre la violence fiscale, que se passera-t-il ? Demandez à Louis XVI ou à Charles Ier d’Angleterre.

Vous pensez peut-être que ce jour n’arrivera pas. Qu’est-ce qui vous fait penser cela ? Il est TOUJOURS arrivé…

Bien à vous. H. Dumas

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Les escrocs de la bureaucratie vendent mon bien familial pour une bouchée de pain.

Jour après jour la bureaucratie française, ses irresponsables et ses escrocs, se découvrent. Ce n’est pas très ragoutant. La France a été la servile de Rome, elle en a sans doute gardé le goût, elle en incarne la décadence.

Certains pourraient penser que c’est la frustration qui dicte ma plume. Qu’ils le pensent puisque mes dénégations à ce sujet ne serviraient à rien. En résistant j’ai accepté d’être jugé.

Un point sur la situation générale.

Le 06/08/2019 l’Assemblée nationale a autorisé le gouvernement à procéder par ordonnance pour mettre en place la législation du Code Général de la Fonction Publique.

Le 24/11/2021 le gouvernement a édité l’ordonnance précitée du nouveau CGFP, entrée en vigueur le 01/03/2022.

Voici le premier article du CGFP : « Le présent code définit les règles générales applicables aux fonctionnaires civils. Il constitue le statut général des fonctionnaires.

Ceux-ci sont, vis-à-vis de l’administration, dans une situation statutaire et réglementaire. »

Les fonctionnaires, c’est-à-dire les troupes de la bureaucratie, ne sont pas dépendantes de la nation donc de nous comme cela paraitrait naturel, mais de l’Administration, c’est-à-dire d’eux-mêmes.

Ils sont comme Louis XIV, Napoléon ou Bokassa 1er, l’Etat c’est eux, point barre.

Les choses s’éclaircissent, on commence à comprendre.

Donc la bureaucratie a le pouvoir absolu, nous sommes ses sujets.

Mais, comme elle va d’échec en échec et que cela coute un bras, même les deux, il lui faut un bouc-émissaire, ce sont : Les riches, soupçonnés ou carrément accusés de fraude fiscale, c’est-à-dire de ne pas assez donner pour combler le trou que creusent avec détermination, pour leur confort personnel, les bureaucrates.

Sachant que nous sommes tous le riche d’un autre, il n’y a pas de limite à la dénonciation salvatrice pour les bureaucrates.

Mon cas particulier, pour l’exemple.

Je précise que la vente d’une partie de mon terrain familial étant une escroquerie, que je peux démontrer, cela me met en situation de légitime défense.

Je ne vais pas tirer dans le tas, ce n’est pas ma tasse de thé. Mais je me considère en droit de juger ceux qui m’escroquent, dans les termes adaptés à leur réalité, sans me sentir lié par quelque mesure que ce soit.

Rappel des faits

Profitant de la chasse intense liée au vol autorisé des personnes privées par les pouvoirs publics, une folle de pouvoir, inspectrice des impôts, Mme Jourdes, invente en 1998 une taxe successorale sur le jardin de la maison de ma mère.

Pour cela elle obtient un certificat d’urbanisme positif par la ruse, qui sera retiré rapidement par le maire, les terrains n’étant pas constructibles.

Choqué je la poursuis, ainsi que sa hiérarchie, pour faux et usage de faux. Résultat : néant.

Non seulement cet ignoble personnage utilisera, sans vergogne, ces faux certificats d’urbanisme pendant vingt ans pour justifier sa taxe indue devant les tribunaux, mais elle fomentera deux contrôles fiscaux mortels sur mes deux entreprises, pour se venger de mes poursuites. Cela en accord avec sa hiérarchie, au plus haut niveau.

Je gagnerai, au terme de vingt ans de bagarre, le redressement successoral, mais sans aucune indemnité. Vingt ans de harcèlement…

Il restera les deux contrôles fiscaux, mis en œuvre par deux inspecteurs minables, serviles et vicieux : Martino et Garcia.

Le premier est un jeune ambitieux, pas très malin, qui éditera un faux constat d’opposition à contrôle fiscal. Un peu gêné par ce faux, il mettra deux ans à éditer son redressement. Quelles promesses l’ont convaincu ? Je ne sais pas. Mais il était, il y a peu, le patron fiscal de la cellule qui analyse les biens des élus… sacrée planque…

Le second était un vieux kroumir, usé et cynique, péteux, qui a quitté le contrôle dès son arrivée dans mes bureaux, sans aucune raison, prétextant que l’enregistrement du débat oral et contradictoire nuirait à la sérénité de son travail. Incroyable… Pour lui, sérénité égale absence de trace.

Les deux ont donc édité des redressement basés sur des constats d’opposition à contrôle fiscal inexistants.

Comme sœur Anne, j’attends le magistrat honnête et courageux qui déclarera, comme il se doit, ces constats inexistants, et je ne vois rien venir. Quelle lâcheté…

Il est possible qu’il n’existe même pas…ce fameux magistrat honnête et courageux.

La vente de mon terrain familial.

Alors là, c’est le pompon. Le magistrat chargé de cette sale besogne s’appelle COMBARET.

Ce magistrat, comme tous, est inamovible. Personne ne peut l’empêcher de nuire.

Or, il n’est pas assez intelligent pour prendre conscience des conneries qu’il accumule ou, s’il l’est, c’est alors une crapule hors du commun.

Il a tout d’abord refusé de constater l’irréalité des factures indues présentées par le fisc pour engager la vente du terrain.

Il a mis en vente un terrain dont personne ne sait s’il est ou non constructible, pour se couvrir il a décidé une mise à prix de 15 000 € !!! Un terrain de 1 500 m² plein Sud sur  Saint Clair à Sète… Le résultat a été catastrophique cet après-midi, le tiers de la valeur d’un terrain constructible.

Il a refusé la vente amiable. Il n’a pas appliqué la loi, pourtant très stricte, qui annule le commandement valant saisie-vente en cas de non-réalisation de la publicité, et cela par deux fois.

Cet après-midi il a passé outre le fait que la fameuse dette fiscale serait professionnelle ce qui interdit la saisie d’un bien privé, avec la réserve que la loi a une dimension rétroactive, à discuter dans l’esprit… encore faut-il en avoir.

Ce même après-midi le fisc a présenté un faux certificat d’affichage par huissier, incroyable…il l’a cru, et non le certificat d’huissier de non-affichage que j’ai fourni… lui vrai.

Enfin, il tente — et réussira sans doute — d’obliger la Cour de cassation à modifier l’interprétation de la loi sur la nullité des commandements de saisie-vente pour absence de publicité. Il a mis volontairement les parties, dont l’Etat, face au fait accompli et à ses conséquences si maintenant la loi était appliquée.

Finalement, effectivement, c’est peut-être plus une crapule qu’un con…

Je suis détruit

Perdre cet espace de nature, ces restanques protégées, cette partie secrète du jardin de notre maison familiale où tous les enfants sont allés rêver, c’est très dur. Pour une bouchée de pain, alors que les poursuites du fisc pour des redressements imaginaires – je le rappelle désapprouvés par le Commissaire du Gouvernement de la CAA de Marseille – vont donc perdurer et que revenir sur cette injustice va devenir de plus en plus problématique.

Être obligé de supporter, à chaque audience, les avocats mercenaires du fisc qui n’ont pas d’autres arguments que de cracher sur ma personnalité, faute de réelle dette fiscale à démontrer, voir les magistrats acquiescer benoitement et servilement, cela donne une piètre image de notre pays.

Quelle bande de minables. Combien vont-ils tuer de personnes avant d’admettre qu’ils ont perdu 9000 Md€ à ce jour et demain bien plus ?

Quelle bande de pingouins. La seule consolation c’est que quand tout va s’effondrer, ils seront les premiers touchés, et ce n’est pas leur médiocrité et leur absence totale de courage qui vont les sauver.

Je n’irai donc pas leur tirer dessus à coups d’armes à feu, ils peuvent dormir tranquilles. Mais, s’il y a des correspondances et un cortex universel, qu’ils sachent que toute ma volonté est qu’ils paient très cher toutes leurs saloperies, faites à moi et à bien d’autres.

Bien à vous. H. Dumas

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A la poignée de fidèles lecteurs de ce blog

La Russie a envahi l’Ukraine le 24 Février 2022.

Voici ce que dit le Point : https://www.lepoint.fr/debats/guerre-en-ukraine-l-aveuglement-des-specialistes-etait-stupefiant-03-02-2023-2507271_2.php

Ce que nous disions le 13 Février 2022 : https://temoignagefiscal.com/pourquoi-poutine-nenvahirait-il-pas-lukraine/

Bien à vous. H. Dumas

 

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