Quand la violence s’invite sans avoir été invitée…

Fils de paysan corrézien, je ne connais rien au monde agricole que mon père a quitté en 1918, à l’âge de 18 ans.

Mais j’ai cru comprendre que l’agriculture, avant toutes les autres activités, a été phagocytée par la technocratie et sa prétention à tout réguler, à tout « camenbériser ».

Que ce soit à travers leurs coopératives, leur structures professionnelles, bancaires, les agriculteurs sont ligotés par la technocratie, la bureaucratie, les fonctionnaires. Ils en meurent et le disent.

Or s’il est une profession individualiste c’est bien l’agriculture. Si individualiste que justement elle est facilement manipulable, chacun ne souhaitant pas se mêler des affaires de son voisin.

Dans ces conditions la connivence et la préférence, bases de fonctionnement de la bureaucratie, ont un champ illimité de développement, créant ainsi des situations intrinsèquement inégales.

C’est l’impression que donne l’histoire des « bassines ».

Je me trompe peut-être, mais un malaise semble bien exister sur la répartition des droits à l’eau entre agriculteurs.

Ces droits à l’eau expliquent une bonne partie des guerres du moyen orient, il me semble qu’il en est de même ici.

Ce ne serait donc pas une violence politique incontrôlée qui serait à la manœuvre, même si c’est elle qui apparait. Elle a sans doute été sollicitée en sous-main, comme elle l’est dans les armées de choc. Les violents le sont naturellement, certains sont formés pour obéir au pouvoir, ce sont les forces de l’ordre, d’autres sont des électrons libres, ce sont les casseurs, mais ils sont animés par la même passion pour la violence.

Personnellement je hais la violence, mais comme j’aime l’humanité je supporte les violents, il ne me viendrait pas à l’idée de les éliminer, je cherche juste à les éviter, ce qui n’est pas évident en ce qui concerne ceux qui crèchent à Bercy…

Une chose est sûre : que viennent foutre là les politiques si ce n’est leur attirance, leur étroite liaison avec la violence, en tout genre. Le pouvoir politique n’est pas regardant à ce sujet, c’est même son activité de base.

Alors bassines ou retraites, force est de constater que les violents sont lâchés.

L’économie, activité non violente, est rejetée, pour faire toute la place à la violence politique. C’est le moment de se faire discrets pour les libéraux…

Je suis bien mal parti… Bien à vous. H. Dumas

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A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

5 réflexions sur « Quand la violence s’invite sans avoir été invitée… »

  1. pour faire redescendre le thermomètre des verts , je leur dirait bien se plonger le CUL ou les neurones dans la littérature

    Cette pratique de mamie redevient tendance. “méthode hyper nature” qui consiste à rafraîchir la zone du périnée grâce à des poches de gel ! Il paraît que c’est divin, notamment pour le bien-être de nos intestins

    Rien à voir avec le fameux bain de siège prôné dans les années 80 par la chanteuse Rika Zaraï ! Le bain dérivatif, c’est un autre procédé, plus archaïque, qui remonterait quasi à la nuit des temps.
    passionné de vie au naturel et de rituels ancestraux …welcome !!.
    –> Aujourd’hui encore, en Papouasie, cette pratique sert à faire baisser la fièvre, régler les problèmes de constipation, soulager des douleurs diverses…

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