Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Quand le réel est irréel

Vous avez sans doute déjà lu “Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur”, c’est un livre culte aux Etats-Unis. Seul ouvrage de Harper LEE, qu’elle a publié en 1960. Le roman se déroule à Maycomb, petite ville fictive de 7.000 habitants. En réalité Monroeville en Alabama où vivait l’auteur, voisine et amie de Truman Capote. Si vous ne l’avez pas lu, précipitez-vous.

Vous découvrirez deux enfants qui jouent le rôle des candides, à la personnalité bien trempée, droits, qui se posent les bonnes questions et qui trouvent les bonnes réponses, aidés par un père qui représente la très grande sagesse.

Face à eux une petite ville où blancs et noirs sont en nombre quasiment égal. En 1960 l’esclavagisme est aboli depuis cent ans, mais la ségrégation est encore pratiquée, abolie seulement en 1964.

Les noirs sont donc les égaux des blancs, mais uniquement s’ils restent sagement chez eux. Les blancs de bas niveau se défoulent sur eux et sont couverts quelques soient leurs mensonges et leurs turpitudes. L’élite des blancs, enfin ceux qui se considèrent ainsi, respectent les noirs, leur liberté mais limitée à la porte de leurs maisons où ils ne peuvent pénétrer qu’en temps que domestiques. Ils regrettent que la racaille blanche viole l’âme des noirs, mais pas au point de donner raison aux noirs quand cette racaille les harcèle.

Figurez-vous que je me sens le noir de notre société, et pas au titre du concert raciste dont on nous rabâche les oreilles journellement.

Pour moi, les blancs sont les fonctionnaires au pouvoir, qui possèdent le pays à travers les élus écrasés par la fausse technicité des hauts fonctionnaires, en complicité avec les affairistes, peu regardants, pour qui le gain d’argent commande et justifie toutes les bassesses.

Je suis le noir dont tout le monde respecte les droits, sans que jamais personne ne réagisse quand ils sont grossièrement bafoués par la lie des fonctionnaires.

Je ne suis pas reçu dans le cercle des blancs, et leur justice me condamne en sachant parfaitement qu’elle se parjure.

Ainsi il me semble que la nature humaine ignore la droiture, se gargarise de faux-semblants destinés à couvrir ses lâchetés, ses cupidités, ses égoïsmes.

Ainsi les hommes de l’Etat, piétinant les idées des lumières, n’hésitent pas, au motif que je suis né sur un territoire qu’ils considèrent sous leur coupe, à me transformer en esclave de la dette artificielle qu’ils font peser sur moi.

Le temps de l’impôt consenti au prorata des moyens de chacun pour l’entretien de la chose commune, utile à tous, est depuis longtemps révolu.

Aujourd’hui je travaille exclusivement pour payer l’impôt, que je dois même si je ne gagne rien.

Cela c’est la servitude pour dette.

Wikipédia ” La servitude pour dettes touche plus de 20 millions de personnes dans le monde10,14. Les circonstances qui conduisent à de telles situations sont diverses : emprunt destiné à financer un traitement médical, une dot, etc. L’emprunteur est ensuite astreint à travailler sans congé pour le compte du prêteur jusqu’au remboursement de la dette. Les rémunérations étant toujours très basses, il arrive régulièrement que la dette ne soit pas éteinte avant le décès de l’emprunteur et passe ainsi aux générations suivantes. D’autres personnes peuvent s’être engagées à payer leur entrée clandestine dans un pays par leur travail jusqu’à ce que leur dette soit remboursée. Toutefois les « salaires » sont tout juste suffisants pour survivre, si bien que le remboursement peut s’étendre sur des années.

La servitude pour dette est théoriquement abolie dans le monde entier, toutefois cette pratique est encore généralisée dans certaines régions du monde.”

C’est exactement mon ressenti, ma situation.

Bien plus, j’ai le sentiment d’être astreint aux travaux forcés.

Wikipédia : “Le travail forcé peut exister dans les pays démocratiques notamment sous forme de travail clandestin) : 21 millions de personnes y sont soumises dans le monde selon une estimation de l’OIT, 90 % étant exploitées dans l’économie privée, par des individus ou des entreprises (22 % victimes d’exploitation sexuelle et 68 % victimes du travail forcé dans des activités économiques comme l’agriculture, la construction, le travail domestique ou la production manufacturée), 10 % subissant des formes de travail forcé imposées par l’État (notamment en prison, dans l’armée nationale ou dans les forces armées rebelles)15. Le travail clandestin constitue sans doute la forme la plus connue de l’esclavage moderne, entre autres parce que c’est la plus répandue dans les pays occidentaux. On parle généralement de travail forcé lorsque des personnes sont recrutées dans l’illégalité par des États, des partis politiques, des entreprises ou des particuliers, et forcées à travailler pour eux, le plus souvent après confiscation des documents d’identité (c’est-à-dire après privation de la citoyenneté) et sous la menace de sévices ou d’autres punitions.

Bizarre Wikipédia, que j’aime bien, qui serait une encyclopédie libérale, qui pourtant ne voit nulle servitude, nuls travaux forcés, dans notre pays.

Je serais donc le seul à connaître cette oppression, ce sentiment de dépossession de mon corps, de mon âme et de mes biens ?

Et pourtant :

“En France, Le Comité Contre l’Esclavage Moderne (CCEM) estime que plusieurs dizaines de milliers de personnes sont contraintes de travailler dans des ateliers clandestins pour rembourser une dette exorbitante contractée le plus souvent pour prix de leur entrée dans le pays.”

Donc, voici la réalité qui nous saute au visage.

Bon sang, mais c’est… bien sûr : la France est un immense atelier clandestin où nous travaillons pour rembourser une dette exorbitante, contractée en naissant ici. Et personne ne dénonce la mafia qui organise ces ateliers par crainte de représailles.

Bercy et les fonctionnaires nous tiennent, ils ont les fusils. Ceux qui veulent leur prendre, un quarteron de généraux, poursuivent exactement le même but. Aucuns n’envisagent de nous rendre la liberté, de nous permettre de fuir ces travaux forcés, cette servitude de la dette, aucun ne sont libéraux.

Au contraire tous se déchainent et analysent à l’occasion de Covid jusqu’où ils peuvent pousser le curseur contre la liberté, et visiblement, c’est sans limite.

Bien à vous. H. Dumas

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Les éléphants vont mourir

Le règne arrive de ceux qui ont des petites voitures, des petits logements et des petits boulots.

Qu’on se le dise, seuls les termites sont capables de sauver la planète.

Seuls ceux que l’on ne voit pas, qui vivent de l’existant, qui boulottent discrètement l’acquis, qui ne construisent rien, auraient le pouvoir de comprendre et de protéger la planète. Si j’ai bien compris l’écologie.

On perd les éléphants, ceux qui avancent puissamment, avec calme et détermination. Mais on garde les grandes oreilles, qui nous écoutent, qui scrutent nos gestes et nos paroles.

Qui pouvait imaginer que le formidable élan de liberté dont était porteuse l’informatique et son enfant terrible : “internet”, finirait dans la délation, l’insulte, paralysé par la connerie à grande échelle de la population et l’opportunisme des hommes de l’Etat ?

Je fais partie d’une génération qui savait se moquer des cons, donc d’elle-même.

Il faut dire qu’elle avait vécu dans sa chair, de façon indélébile, le résultat de la connerie lâchée en liberté sous les bons auspices de la démocratie. Elle avait eu affaire au peuple allemand, à son délire représenté par le gnome Hitler.

Michel Audiard et tous ceux qui ont eu à déclamer ses sentences simples et directes sur les cons ont bercé ma jeunesse. Les cons : “nous”, nous faisaient rire. Nous riions de notre stupidité, de nos faiblesses d’homme, de nos peurs.

Malheur à celui qui se prenait au sérieux. Ils avaient tant fait souffrir récemment les sérieux déguisés en soldat, en dictateur, en hommes de l’Etat de Vichy, en flic, en juge, en médecin, en homme d’affaires, alors que sous leur vernis, leur déguisement, c’était la cupidité et le pillage qui brillaient.

Quatre-vingts ans plus tard, retour à la case départ. Les déguisements sont redevenus essentiels. Ils arpentent les studios de télévision, les journaux, les réseaux sociaux, les associations. La vérité n’a plus cours.

Tout est inversé. L’enfant a qui l’on demande de travailler n’a comme horizon que de partager obligatoirement sa vie avec les cons, pour qui il devra payer, donner de sa personne et, qui plus est, écouter leurs sentences mortelles et sinistres.

Il devra respecter les LGBT comme s’ils étaient la gloire de l’amour, les pauvres comme s’ils étaient la gloire de l’économie, les abrutis comme s’ils étaient la gloire de l’intelligence, les étrangers et leurs coutumes comme s’ils étaient la raison d’être de son pays et de ses propres coutumes, les fonctionnaires comme s’ils étaient l’incarnation de la responsabilité.

Interdit de réussite et de récompenses, l’enfant d’aujourd’hui devra donner aux autres les biens de ses parents, qui de ce fait n’ont plus de raison d’en acquérir pour lui.

Notre maison commune s’effondre sans que le crédule ait vu les termites, qui pendant des dizaines d’années ont vécu sur son dos, cachés derrière la fine pellicule de bois non dévorée en surface, destinée à dissimuler le pillage par la colonie.

Romain Gary s’est battu pour les éléphants d’Afrique, il a été un précurseur. Point de Romain Gary pour les éléphants sociaux, pour ceux dont la force a généré notre société. Ils ont déjà disparu, encore quelques lois imminentes et il ne restera rien d’eux.

Vous dire que cela m’indiffère serait faux, j’en suis malade.

Mas que faire ?

Rien ne fonctionne, personne ne fait mine de proposer autre chose que la vulgarisation de ses intérêts catégoriels, voire personnels.

Le monde a survécu à la disparition des Mammouths, il survivra sans doute à celle des éléphants d’Afrique ou sociaux.

Mais quand même, la connerie au firmament c’est un peu dur, ne pas pouvoir le dire, ne pas pouvoir s’en moquer, c’est manquer de recul, c’est son impunité.

Et, l’impunité de la connerie, je crois que c’est dangereux.

Donc, exigeons le droit de nous moquer des cons — de nous-mêmes puisque nous sommes tous le con d’un autre — surtout quand ils le prennent mal car alors ils sont en danger et nous entrainent avec eux.

Bien à vous. H. Dumas

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Fortes pertubations

La situation me perturbe gravement.

Ce que je constate et vois me parait extrêmement simple.

Pourtant, l’opinion publique, ses suiveurs, les hommes de l’Etat, la presse, paraissent voir l’exact inverse de ce que je vois. Les réseaux sociaux me donnent l’impression de ne rien voir du tout, d’être aveuglés par des querelles d’égos ou de croyances que je pensais dépassées.

Il y a un loup quelque part. J’en ai le souffle coupé.

La société me donne l’impression de s’adapter à l’inaction, à l’irresponsabilité. Rien ne bouge. Ai-je la berlue ?

Ce que je crois voir :

          – Un délire financier dans lequel plus personne ne compte plus rien.

          – Un pillage fiscal indécent, qui parait naturel.

          – Une peur de tout, sans panique, mais tenace.

          – Une inversion des valeurs, une prime à la médiocrité, une aversion générale à la prise de risque, à l’action.

          – Un irrespect pour les plus vieux et pour les plus jeunes tout en affichant l’inverse, et pareillement pour les minorités.

          – Une délation, un espionnage et une censure au-delà de l’imaginable, même dans les pires ouvrages anciens d’anticipation.

          – Une perte régulière des libertés individuelles philosophiques et matérielles qui parait ne choquer personne.

          – Une sacralisation du mensonge, de la frime, de l’apparence.

          – Une intuition collective défaillante.

En clair une vision morbide de la vie, accompagnée d’un repli total sur soi, chacun étant l’ennemi affiché de l’autre. Le tout dans une indifférence absolue les uns pour les autres, masquée par une avalanche de fausses affirmations contraires.

Est-ce moi qui ai le melon, la grosse tête ?

Quelle raison objective pourrait faire que je vois ce que les informateurs autorisés ou dissidents ne verraient pas ? Aucune. Donc je me trompe sans doute.

Mais alors suis-je le seul à ne pas comprendre où l’on va, ou à trop le comprendre ?

Sommes-nous dans un de ces moments où l’opinion publique et ses tribuns, ses profiteurs, ses faux prophètes, partent en vrille si intensément que plus tard l’histoire se demande vainement ce qui a bien pu se passer ?

Sommes-nous à la veille d’un de ces délires de l’opinion publique, lorsqu’elle se donne à la folie de la destruction, du meurtre de masse, avec délectation ?

Que se passe-t-il quand Martinez, la caricature de la CGT, vieux roublard du foutage de bordel bureaucratique, champion de l’avantage acquis, se fait casser la gueule par plus agressif que lui ? Est-ce lui qui écope un vaisseau moribond, dépassé, que ses agresseurs veulent couler car ils pensent que la liberté est en vue, ou veulent-ils juste plus de bordel, plus fort, plus radical, encore plus bureaucratique, encore plus étouffant, encore plus inique, corporatiste, aveuglément croyant ?

L’intelligence, le mérite, l’individu et sa personnalité, vont-ils être victimes d’une tentative d’éradication ou au contraire vont-ils passer au premier plan ?

Je ne vous mens pas quand je vous dis que tout cela me perturbe.

L’énigme est si complète pour moi que je n’arrive plus à structurer mes combats tant l’ennemi est dissimulé dans cette ambiance chaotique.

Où en sont le fisc et l’URSSAF ? Existent-ils encore ?

Vont-ils fermer boutique, mourir de leur excès, être pendus haut et court ? Où au contraire vont-ils sortir renforcés de cette chienlit et nous tuer en nous dépossédant intégralement, jusqu’au moindre centime ?

C’est la première fois de ma vie que je n’ai aucune visibilité de l’avenir, aussi bien de celui de notre pays que du mien propre. Ce brouillard nuit évidemment à l’établissement de stratégies, de projets. Peut-on vivre sans eux ?

Il est temps de laisser un peu filer le temps.

Covid va nous quitter, tant mieux. La vérité verra-t-elle le jour à son sujet ? Peu probable là aussi. Le vaccin : miracle ou pipo ? L’hôpital : responsable de l’échec ou de sa limitation ? Nos figurants politiques : héros ou comiques troupiers ? Raoult : visionnaire ou rebouteux ?

Ce n’est pas demain que le chemin vers l’avenir va nous paraître stabilisé et sûr.

Bien à vous. H. Dumas

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La puissance de la croyance écologique est impressionnante.

La voiture que j’utilise, Land Cruiser Toyota, d’avril 2007, a 14 ans et 460.000 Km.

Pas une panne en 14 ans, un entretien régulier tous les 15.000 km de 500 € en moyenne. Une consommation de 9 l aux 100 km.

La carrosserie a un peu vécu, les rayures sont abondantes, et le véhicule devient un peu bruyant. Je me dis : “Tiens je la changerais bien”. Pure hypothèse puisque, d’une part je n’ai pas les sous, d’autre part le fisc saisirait mon achat immédiatement, mais bon… on peut rêver…

Evidemment je souhaiterais la même, ce doit être ma trentième voiture. J’ai eu de tout, Peugeot, Citroën, Fiat, Lancia, Volkswagen, Audi, BMW, Mercedes, Jaguar, des rapides, des confortables, des luxueuses, mais jamais d’aussi solide, d’aussi tranquille, d’aussi sécurisante, qui ne dépasse pas la vitesse autorisée sur autoroute ou difficilement.

Le prix est raisonnable par rapport aux prestations, je veux absolument la même. Oui, mais voilà, Toyota n’en vend plus, la taxe malus est de 30.000 €, en gros le prix de la voiture.

Peut-on rencontrer une situation plus conne. Voilà un véhicule qui économise la matière première puisqu’il est capable de rouler 500.000 Km et même parait-il 1.000.000 de km, sans problème autre qu’un peu de fuel.

Comment expliquer qu’il subisse une telle taxe, pendant que je croise — ou me doublent — tous les jours des véhicules utilitaires équipés du même type de moteur, qui ne sont pas taxées.

Cette taxe est donc une décision politique qui ne vise pas le véhicule, elle vise son propriétaire.

Ce n’est pas la pollution du véhicule qui est taxée, c’est l’état d’esprit supposé du propriétaire. Il est d’esprit libre puisqu’il peut très facilement s’affranchir du goudron, il ne demande rien à personne et n’étouffe pas dans les bouchons qu’il domine. Le volume même de ce véhicule apporterait la preuve de sa prétention… à la liberté.

Il doit être sanctionné, servir d’exemple, rentrer dans le rang de la servitude, de la crainte, de la croyance.

Cet exemple n’est qu’un détail de l’esprit des écologistes, de la haine qu’ils véhiculent gratuitement, pour rien.

Tout pour eux est sujet à la détestation : l’agriculture, la consommation, la construction, les voyages, les avions, les voitures, les bateaux, la climatisation, le luxe évidemment, etc…

Ce sont de grands malades, ils haïssent l’humanité au point de haïr le progrès, de désirer la régression.

L’écho de leur haine retentit, curieusement amplifié, dans l’opinion publique qui adhère sans retenu à cette folie.

Associée à l’égalitarisme qui hait la richesse, l’écologie version bornée a de grandes chances de réduire notre société en bouillie propice à la gloutonnerie de sociétés voisines non abruties par ces croyances.

Comment avons-nous pu en arriver là ?

Comme pour toutes les graves maladies la science — ici politique — va probablement devoir travailler longtemps pour comprendre. Je crains que seule l’autopsie puisse permettre d’y voir clair, hélas elle suppose au préalable la mort du corps étudié.

Mort qui devrait arriver à brève échéance tant les discours et les décisions prises amplifient les maux qu’ils prétendent soigner. (Je me demande si l’accord pluriel au masculin lié à des sujets masculin et féminin n’est pas une atteinte à l’égalité des sexes. Mais bon, je ne suis pas un champion de l’orthographe, loin s’en faut.)

Les écolos osent tout, c’est à ça qu’on les reconnait. Les éoliennes c’est du gratiné, elles laisseront une marque indélébile de la débilité du concept.

Pourtant elles ne sont que le début des fiascos qui nous attendent. Il faut se préparer à bien pire, probablement à des guerres, des dictatures, des morts, tant cette croyance est violente, prête à tous les mensonges, à toutes les associations, convaincue de détenir la seule et unique vérité, donc d’avoir la légitimité de l’imposer quelles que soient les méthodes ou le coût humain.

Le principe est simple.

Des algorithmes, incluant les réserves connues des matières premières et les dépenses prévisibles à taux constant de celles-ci, prédisent un manque inévitable, que la religion écologique se contente de diaboliser sous la forme de risques d’inondations, de sècheresses, d’ouragans, toutes ces choses qui existent depuis des millénaires et que l’homme craint par-dessus tout.

Que dire face à cette apocalypse annoncée de façon péremptoire ?

Que le progrès va toujours nous sourire, que l’agriculture sera largement suffisante lorsque nous nous nourrirons tous de croquettes, que le fuel sera inutile comme l’est devenu le charbon lorsque nous aurons trouvé une nouvelle énergie encore inconnue, que la maladie ne sera plus qu’un souvenir lorsque nous maitriserons la modification des gênes, etc…

Inutile, l’intuition de la vie n’a pas cours chez les écologistes, archanges de la mort. La démolition est leur mantra, la jouissance de la casse est leur moteur, en cela ils se sentent en communion avec les égalitaristes et les délateurs de tout poil.

Reverra-t-on la guillotine ? Ce n’est pas impossible tant la haine est leur carburant.

C’est tout cela qui se trouve derrière les trente mille balles qui ne permettent plus de rouler en Land Cruiser sans rien demander à personne.

Bien à vous. H. Dumas

PS : Petit bras les Land Cruiser : https://www.agence-france-electricite.fr/actualites/impact-ecologique-transport-maritime/

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La légitime défense

Sommes-nous sur ce blog en état de légitime défense ?

Le site du gouvernement, parlant de la légitime défense dit ceci :

“La légitime défense permet de se défendre, de protéger quelqu’un ou un bien, lors d’une attaque immédiate par une personne.

Les moyens utilisés lors de cette défense sont interdits dans une autre situation. C’est la justice qui vérifie si la riposte, utilisée pour se défendre, est un cas de légitime défense.

Pour que la légitime défense existe, les 6 conditions sont les suivantes :

– L’attaque doit être injustifiée, c’est-à-dire sans motif valable

– La défense doit se faire pour soi ou pour une autre personne

– La défense doit être immédiate

– La défense doit être nécessaire à sa protection, c’est-à-dire que la seule solution est la riposte

– La défense doit être proportionnelle, c’est-à-dire égale à la gravité de l’attaque

– La défense d’un bien ne doit pas avoir pour conséquence un homicide volontaire, c’est-à-dire entraîner la mort d’une personne.”

Pour moi : ça colle.

Le contrôle fiscal qui débouche sur un redressement indu est une attaque immédiate, portant sur nos biens, entrainant notre faillite, donc notre mort sociale.

Nous sommes très nombreux à avoir connu cette attaque, à en subir les séquelles qui nous laissent hébétés, à l’écart de la société, ruinés mais aussi discrédités, humiliés, montrés du doigt, ostracisés pour toujours. Nos enfants seront aussi nombreux demain à affronter ces attaques fiscales ignobles, avec l’aval de l’opinion publique, ce qui est particulièrement destructeur intellectuellement et matériellement.

Il nous est donc permis de répondre à cette violence par des moyens qui seraient interdits dans une situation normale.

L’article 122-5 du Code Pénal est clair :

“N’est pas pénalement responsable la personne qui, devant une atteinte injustifiée envers elle-même ou autrui, accomplit, dans le même temps, un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d’elle-même ou d’autrui, sauf s’il y a disproportion entre les moyens de défense employés et la gravité de l’atteinte.

N’est pas pénalement responsable la personne qui, pour interrompre l’exécution d’un crime ou d’un délit contre un bien, accomplit un acte de défense, autre qu’un homicide volontaire, lorsque cet acte est strictement nécessaire au but poursuivi dès lors que les moyens employés sont proportionnés à la gravité de l’infraction.”

Pas de doute les moyens employés sur ce blog, qui sont la dénonciation argumentée, l’explication de la réalité des faits, la mise en lumière des agressions fiscales mortelles et de leur couverture par la justice administrative, comprenant les noms des auteurs de ces agressions, sont une réponse à la violence que nous subissons. Ces moyens entrent parfaitement dans le cadre de l’article 122-5, parce que proportionnels à l’atteinte injustifiée qui est portée contre nous par les contrôleurs fiscaux, dans le cas évidemment de redressements injustifiés, ou irréalistes par rapport aux situations, dont nous apportons la preuve.

Alors que dire des agressions constantes subies par ce blog de la part des auteurs des attaques que nous dénonçons ? Que dire des magistrats qui entérinent, couvrent, voire s’associent à ces attaques ? Qui donc nous refusent ce que la loi permet : la légitime défense.

Pour résumer la situation : ce n’est pas nous qui avons commencé.

Nous ne faisons que répondre, et nos réponses font beaucoup moins de dégâts matériels et moraux sur nos agresseurs que leurs attaques en ont faits chez nous.

Or, ce blog est de plus en plus attaqué, de toutes parts, tant les hommes de l’Etat voleurs se multiplient, tant la population adhère à ces vols, les banalisant, les réclamant.

Dans les procédures en cours contre le blog nous allons plaider la légitime défense, pour voir ce que les magistrats vont répondre. Ce sera probablement très instructif.

Bien à vous. H. Dumas

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Est-ce qu’un mort vaut un mort ? La question de Raoult.

Il fallait oser le dire. Lors de son dernier passage sur BFM, le professeur Raoult a carrément dit qu’une mort dont on prévoit la survenance dans l’année en cours du fait de l’âge et d’une maladie mortelle engagée, ne peut pas être mise en parallèle avec la mort d’une jeune personne ayant des décennies de vie devant elle.

Cela tombe sous le sens, mais allons plus avant.

Face à la mort, face à la souffrance, toutes les vies sont égales, quels que soient leur âge et leur condition physique. Donc pour chacun de nous, à tout instant, notre vie est essentielle, égale à toutes les autres. Il serait malhonnête de prétendre le contraire. On peut rajouter que la peine générée par la mort d’un proche aimé est, elle aussi, indépendante de la situation du disparu.

Nous sommes donc face à une dualité, chacun considère que sa vie à la même valeur que toutes les autres, mais la réalité sociétale n’est pas ainsi.

Il est clair que pour la collectivité chaque vie est valorisée en fonction de ce qu’elle apporte à la société. Raoult a raison.

Mais il n’est pas allé jusqu’à formuler la question qui découle de la sienne : est-ce qu’une vie vaut une vie ?

La vie de Marie Curie n’est pas comparable à celle de Salah Abdeslam, nul ne peut contredire cette réalité.

Ce qui amène à conclure que pour chacun de nous la vie et la mort sont si essentielles qu’il ne nous est pas possible de les relativiser, qu’elles nous paraissent égales à toutes les autres, mais que pour le groupe auquel nous appartenons l’appréciation de notre vie est à l’opposé de cette égalité. Notre vie n’a alors que la valeur qu’elle apporte ou est supposée apporter au groupe.

On conviendra qu’il ne s’agit pas d’un détail, mais bien d’un essentiel.

Personnellement je tire deux conclusions de ce constat.

    Première conclusion

Les égalitaristes écolos-communistes ne sont que de gros égoïstes qui sont indifférents, contrairement aux apparences, à toute société. Leur absolu d’égalité ne correspond qu’à une émotion personnelle qui ne prend pas en compte la nécessité de l’organisation sociale et la valeur de chacun dans le cadre de cette organisation.

Ce constat est intéressant, il offre un angle de vue qui permet de relativiser le discours mensonger de cette clique, de comprendre le danger mortel qu’ils représentent pour la société.

    Deuxième conclusion

Si l’on accepte l’idée de la valeur sociétale de notre vie, à qui peut-on confier la classification que cela suppose et qui évidemment nous implique lourdement ?

Sans faire un gros effort, on prend vite conscience qu’il n’y a pas de solution fiable pour quantifier la valeur sociétale d’une vie à son terme, mais aussi et plus particulièrement lors de son commencement.

L’éducation, la richesse, l’appartenance, l’intelligence, la beauté, la discipline, la croyance, la religion, la passion, la force, et bien d’autres outils ayant la prétention de classifier efficacement les hommes en société ont fait long feu.

     Conclusion générale

L’égalité des hommes face à la vie est un ressenti personnel très fort, c’est aussi un souhait collectif relativement fort, mais raisonné, pour chaque nouvelle naissance.

En revanche face à la nécessité organisationnelle du groupe les vies sont appréciées, elles ne sont pas égales dans leur déroulement.

Donc la façon dont se fait cette appréciation impacte directement la société, jusqu’à son existence.

Personnellement, avec l’âge, je n’ai aucune confiance dans les prédictions, tant les miennes que celles des autres m’ont apporté des déceptions régulières. Les prédictions éducatives ou les aspirations sociales sont pour moi du même tonneau.

Je ne crois donc qu’à la réalité, à la récompense de ce qui est fait et non de ce qui pourrait être fait.

Donc toute organisation sociale, qui va devoir classer les hommes, se devrait de garantir d’abord toutes les libertés, puis de récompenser celui qui a réussi, tout bêtement.

Trop simple sans doute…

Bien à vous. H. Dumas

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Imaginer sans peur demain ?

Tout le monde parait attendre, voire souhaiter, la faillite de notre Etat. Certains l’imaginent financière, d’autre politique, d’autre morale, catégorielle, qu’importe. Ensemble ils représentent une telle majorité de sensibilité négative que l’on est bien obligé de se demander si cette faillite n’est pas acquise, inévitable. Tant d’émotions peuvent-elles se tromper ? Tant de ressentis peuvent-ils être injustifiés ?

Donc demain l’Etat ferait faillite.

Qu’est-ce l’Etat ? Vous connaissez mon avis, pour ceux avec qui nous papotons depuis déjà dix ans : L’Etat n’existe pas, c’est une abstraction.

La preuve en est rapportée par la définition qu’en font les manuels de droit : L’Etat est un territoire, une population, et une loi ou constitution.

Le territoire :

Nul n’est responsable de l’endroit où il nait et bien peu le sont de l’endroit où ils vivent. Donc il s’agit d’un paramètre aux motifs indéfinissables, semblables à la taille, la santé, la météo, etc…

La population :

Elle suit les hasards des implantations territoriales, aussi évidemment celui des intérêts climatiques, nourriciers et protecteurs du territoire.

La loi :

Elle n’est le fait que de quelques-uns. C’est ici que nous voyons arriver les hommes de l’Etat. Ce sont eux qui inventent la loi, à leur bénéfice exclusif, cela va de soi.

Donc l’Etat n’existe pas, et pourtant la croyance en lui est majoritairement répandue.

En réalité la confusion tient au fait que de tout groupe naissent des émotions, des liaisons, des croyances partagées, qui ajoutées entre elles au fil du temps créent une impression d’appartenance que l’on peut appeler nation, civilisation, etc…

Amis et ennemis du même groupe tissent des liens fraternels ou conflictuels qui les attachent.

Conclusion :

L’Etat qui n’existe pas ne peut pas faire faillite. Mais les hommes de l’Etat, qui bien que dissimulés derrière la fiction de l’Etat existent réellement, peuvent faire faillite et entrainer dans leur échec le groupe ou nation ou civilisation qu’ils prétendaient diriger.

Donc acceptons l’idée que les hommes de l’Etat français fassent faillite, ce qui est objectivement réaliste lorsque l’on voit dans quelle décrépitude ils sont à tous les niveaux.

Qu’en serait-il de la nation française, de son territoire, de sa civilisation ?

C’est le vrai problème et sur ce point je rejoins le professeur Raoult lorsqu’il dit que face à n’importe quelle difficulté l’ennemi le plus dangereux est : la peur.

La peur, déjà sous-jacente, s’est emparée définitivement du territoire avec COVID, elle est probablement prête à en rajouter une couche lors de la faillite à venir, pourtant anodine, des hommes de l’Etat.

Or, il n’y a pas lieu d’avoir peur. Si tant est que le groupe constitué en nation ou civilisation sur le territoire géographique appelé La France soit convaincu de sa réalité et la défende.

C’est-à-dire qu’il faut oublier l’Etat, les hommes de l’Etat, et s’organiser pour défendre les valeurs qui nous lient ou nous opposent.

Premier point défendre le territoire, c’est-à-dire notre propriété privée commune, tant dans sa partie qui nous appartient en propre que dans celles qui nous appartiennent en commun. La propriété est le lien essentiel entre nous.

Deuxièmement point défendre nos idées communes, acceptées ou critiquées peu importe, elles sont notre identité en tant que groupe ou nation ou civilisation. Elles ne sont pas les définitions qui en sont données mais les sensations qu’elles nous donnent à partager.

C’est donc en défendant notre propriété, quelle qu’en soit la légitimité, et en défendant nos idées, quelles que soient leurs divergences, que notre nation continuera sa route, sans trembler y compris en cas de faillite des amateurs que sont nos hommes de l’Etat actuels.

Nul besoin de se jeter dans les bras d’hommes de l’Etat qui se prétendraient “providentiels” ou qui se laisseraient affubler de cet adjectif, si nous n’avons pas peur et si notre ciment civilisationnel est fort, nous n’avons rien à craindre de la faillite de nos charlots de service. Que chacun assume ses responsabilités personnelles et aide son prochain et tout ira bien.

Il nous faudra quand même deux valeurs essentielles : la confiance entre nous et la liberté individuelle.

Ce sont elles les socles de la force. Exactement l’inverse des lois et règlements que décrètent ceux dont tout le monde sait qu’ils vont dans le mur, justement à cause de leur phobie pour ses deux valeurs qu’ils jugent attentatoires à leur pouvoir.

Bien à vous. H. Dumas

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L’égalitarisme avatar ultime du fascisme et du communisme.

Le pouvoir s’acquiert en accumulant de la puissance.

Il est deux sortes de pouvoir : Le pouvoir par la maîtrise d’autrui et le pouvoir par soi-même. Les deux s’exercent en partie sur soi et en partie sur les autres.

Le pouvoir sur soi est intellectuellement illimité mais matériellement réduit à ses propres forces. Pendant que le pouvoir sur les autres, bien que limité intellectuellement du fait de la diversité des pensées qui empêche leur simple addition, est dans l’absolu illimité matériellement par la possible addition des forces matérielles.

Si l’on adhère à ce théorème beaucoup de choses s’expliquent.

Le pouvoir est-il une nécessité ? Je ne prendrai pas partie sur ce point. Il me semble que non, je constate que oui. Donc partons du constat.

Le pouvoir par les autres.

Nul ne peut l’obtenir sur sa simple personne, il nécessite de regrouper d’abord les autres à travers une croyance abstraite, invérifiable mais séduisante. Par exemple pour un homme de pouvoir tel que De Gaulle la croyance de regroupement affichée était La France ou une certaine idée de La France. Pour d’autres se sera une religion, un concept, etc… La maîtrise de la masse des croyants sera l’outil d’accès au pouvoir.

Pour les égalitaristes la croyance est évidemment l’égalité, mais toujours dissimulée sous un autre nom : communisme, socialisme, social-démocratie, etc…

Cela tient au fait que l’égalitarisme entraine la redistribution imposée donc le pillage, et le pillage au nom de l’égalitarisme ça ne passe pas, ce serait Dieu et le Diable dans le même ascenseur.

Le pouvoir par soi-même.

Au-delà des capacités de séduction que cela demande, il nécessite une assise matérielle qui se concrétise par la propriété privée.

C’est elle qui va jouer le rôle de lieu de protection lorsqu’il sera nécessaire de se mette à l’abri, qui servira aussi de base pour la conquête du pouvoir par sa possibilité de cumul et de capitalisation, de poids, sans lequel nul pouvoir ne peut voir le jour.

Ces deux pouvoirs sont antinomiques.

Le pouvoir individuel et le pouvoir collectif sont la plupart du temps en conflit. Rarement ils sont en symbiose, sauf lorsqu’un effort collectif est vital au groupe et que majoritairement il le ressent comme tel.

Ces conflits de pouvoirs tuent évidemment, mais au préalable les pouvoirs n’hésitent pas à mentir. C’est quand même un problème. D’autant plus que le pouvoir est incontournable de la vie en société, on ne peut pas s’en passer.

L’objectif est donc d’accepter un pouvoir, naturellement limité, dont l’oppression pourra être contrôlée.

Comparatif

Le pouvoir par soi, ou pouvoir individuel, outre qu’il prend sa source dans la liberté individuelle – ce qui n’est pas pour nous déplaire — a pour gros avantage d’échapper à celui qui le détient dès qu’il faillit aux responsabilités qui vont avec. Ce pouvoir s’exerce principalement par la puissance économique, rarement par les fusils, il est donc fragile et demande beaucoup d’attention.

Enfin le groupe peut, assez aisément, le contrer par sa simple masse.

A subir un pouvoir — puisque je n’ai jamais envisagé de le conquérir — c’est évidemment celui-ci qui a ma préférence.

Le pouvoir par les autres, ou pouvoir collectif, inclut des tares rédhibitoires. D’abord il enferme les dominés dans une croyance qui ne peut qu’être unique, donc imposée par la loi, elle-même prenant sa crédibilité dans la force, dans les fusils. Un schéma inacceptable.

Les hommes de ce pouvoir, qu’ils se fassent appeler hommes de l’Etat, de l’Eglise ou empereur génie des Carpates, n’ont que le crédit que leur donne la force.

Chaque siècle qui passe les voit décuplant leur puissance et leur nocivité par le simple fait des progrès techniques généraux, dont ils détournent une partie pour améliorer leurs moyens de contrainte.

Leur bilan en tortures et meurtres divers va croissant régulièrement.

Ainsi les égalitaristes sont passés de quelques morts pour les premiers chrétiens, à des milliers à l’époque féodale, des dizaines de milliers au début du 19ème siècle, des millions au début du 20ème et probablement des centaines de millions pour la prochaine fois, qui ne saurait tarder.

L’égalitarisme intellectuellement aseptisé — nous ne sommes plus dans la dictature du prolétariat mais dans la protection de la planète qui justifie le nivellement à minima, sauf pour les tenants du pouvoir cela va de soi — va cogner très fort.

Tout est prêt, du fascisme il récupère le monopole par et pour l’Etat, du communisme il récupère la bureaucratie et sa planification.

Il prend son envol avec COVID, il vérifie que la masse suivra, elle suit, pas de problème. Bien plus que les opposants traditionnels les simples critiques sont expurgés de la société, des moyens de communication.

La masse, isolée par les arcanes de la spécification, n’a aucun autre choix que de faire confiance, le truc justement à ne pas faire face aux intrigants du pouvoir.

L’égalitarisme est le dernier avatar du pouvoir collectif, ce sera le plus destructeur, le plus mortel.

Bien à vous. H. Dumas

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Une des paranoïas de l’égalitarisme

Plus j’y pense, y compris en me rasant le matin, plus les tentacules de l’égalitarisme me terrorisent.

Je ne sais pas vous, mais personnellement j’ai mis très longtemps à comprendre que l’égalitarisme est une croyance, complètement indépendante de toute réalité.

Au début, je ne m’autorisais pas à l’observer, encore moins à la critiquer, tant j’étais comme tout le monde intoxiqué, confondant alors l’égalitarisme avec le respect du prochain, la compassion, le devoir d’aide, l’empathie, toutes ces émotions qui nous amènent naturellement à porter secours à ceux qui sont dans la difficulté, à les écouter, à les aider autant que faire se peut.

Mais l’égalitarisme n’a rien à voir avec toutes ces belles pensées, même si cette infecte croyance se déguise en se parant d’elles.

Il n’est nul besoin qu’il soit dans la peine pour que l’égalitariste exige de l’autre qu’il partage avec lui ce qu’il a gagné par son travail, même et surtout si lui-même ne fout rien, ne prend aucun risque, est planqué à l’abri et ne sort que pour exiger ce qu’il appelle la justice sociale, l’égalité revue à la sauce du pillage des autres.

Pillage qui demande d’abord, pour se donner un air de légitimité, de dénaturer la réalité de celui qui possède ce que l’égalitariste convoite. Le possédant sera donc un tricheur, un voleur, une ordure qui doit rendre gorge, donner ce qu’il possède.

En gros disons qu’il est 20% de possédants et 80 % d’égalitaristes, qui donc majoritairement vont déshumaniser les possédants, leur travail, leur qualité, pour pouvoir les piller allègrement, sans remord. Bien plus, parmi les 20 % de possédants il y en a 5% qui possèdent plus, ceux-là auront sur le dos les 15 % qui possèdent moins qu’eux, qui se rajouterons évidemment aux 80 % d’égalitaristes initiaux.

Mais ce n’est pas tout, car dans les 5% dont je viens de parler, il en est 1% qui sont beaucoup plus possédants, ceux-là…. Hé oui.

Ne parlons même pas de l’objet de la possession. Pour l’égalitariste le capital économique n’existe pas, tout bien est un consommable. Il ne cherche pas à comprendre la notion de capital, tout capital doit être redistribué pour être dépensé, un point c’est tout.

Cette drôle d’ambiance, croyance unique et universelle, nous parait finalement naturelle, c’est un comble. Le pillage n’étonne personne, les pillés n’inspire aucune empathie, bien au contraire, qu’ils disparaissent, qu’ils tombent dans la misère, ça leur apprendra…

Cerise sur le gâteau, tout le monde se regarde en chien de faïence, chacun soupçonne l’autre de ne pas être dans son camp. S’il n’est riche c’est donc son père, ou son frère, mais il ne peut posséder par son travail. Il est surpayé, donc appartient à une secte, il est à la base d’un complot, comment autrement pourrait-il ne pas paraître obsédé par l’argent des autres…

L’égalitarisme, et c’est là que je voulais en venir, génère une défiance généralisée, l’autre devient celui qu’il faut piller ou qui va vous piller.

Vous ne me contredirez pas lorsque je me permets d’affirmer que la défiance est le contraire de la confiance.

Or, sans confiance il n’est pas possible de vivre en société. A instiller à outrance le poison de la défiance l’égalitarisme a explosé le lien social.

Certains pensent que s’agissant d’argent cela n’est pas très grave. Si, malheureusement, c’est grave. Dans la cadre de l’économie bien sûr, mais pas que…

Voyez comment nos grands prêtres de l’égalitarisme, nos élus — qui s’ils ne sont pas adeptes de cette croyance ne peuvent pas être élus, qui le sont donc plutôt deux fois qu’une — voyez comment leur défiance égalitariste les a envoyés dans le mur.

Car si la structure médicale libérale du pays n’a non seulement pas été sollicitée, mais a reçu l’interdiction de soigner, alors que c’est d’elle qu’aurait dû venir les premiers secours puis l’aide nécessaire pour passer le cap de la pandémie sans détraquer durablement toute l’organisation et les libertés de notre pays, c’est parce que les égalitaristes se méfient des médecins libéraux, pas assez égalitaristes à leurs yeux.

C’est la paranoïaque méfiance égalitariste qui a tué à l’occasion de COVID, elle tuera encore demain et probablement beaucoup plus.

La confiance est la base de toute société, la croyance égalitariste est la tueuse de la confiance en l’autre. N’oublions pas cela.

Bien à vous. H. Dumas

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L’inconfortable situation de la magistrature

Les magistrats sont pris entre deux obligations qui peuvent devenir contradictoires : la loi et leur intime conviction.

La loi est loin d’être parfaite. Elle est la résultante de l’opinion publique, de son interprétation par les hommes de l’Etat qui font la loi, des croyances et des habitudes. Evidemment aussi des intérêts de ceux qui sont au pouvoir.

Les imperfections de la loi peuvent prendre une telle ampleur que le serment des magistrats se trouve alors immoral. Ce fut le cas lorsque, en vertu de l’acte constitutionnel n°9 du 14 Août 1941, tous les magistrats de France, sauf Paul Didier, prêtèrent serment au Maréchal Pétain : « Je jure fidélité à la personne du chef de l’État. Je jure et promets de bien et honnêtement remplir mes fonctions, de garder religieusement le secret des délibérations et de me conduire en tout comme un digne et loyal magistrat. »

Leur intime conviction. Elle est faite de leur sensibilité, de leurs croyances personnelles, de l’analyse sociologique que permet leur situation stratégique, de leur humanité, de leur sens de l’ordre et de la tolérance, en un mot de leur intelligence.

C’est cette intime conviction qui a amené certains magistrats à résister aux lois de Vichy après avoir prêté serment, alors qu’au bout était la mort comme pour René Parodi.

Revenons sur terre, pour l’instant nous sommes près de l’absolu qui ne concerne que les minorités.

Plus prosaïquement, la grande majorité des magistrats ne se pose pas ces questions existentielles. Ils tentent simplement d’endiguer l’afflux des procédures générées par les presque cent mille avocats que compte notre pays, ils échappent rarement aux croyances qui polluent leur raisonnement, ils personnalisent leur jugement en fonction de la servilité ou de l’arrogance qu’ils pensent détecter chez le justiciable, en fait ils ne sont pas au niveau de la fonction.

S’ils l’étaient, la profession d’abord puis le corps social tout entier leur accorderaient-ils leur confiance ? Rien n’est moins sûr.

Face à tant de problématiques, le corps des magistrats revendique le privilège de ne pas être jugé lui-même, de l’impunité. Tout est dit.

Alors que faire ? Les chances de tomber sur le magistrat possédant toutes les qualités requises pour juger étant minimes, le mieux est de ne jamais aller devant un tribunal chercher la justice.

J’admets que je suis le contre-exemple de mes constats et de la théorie qui en découle, eh oui… c’est un peu contrariant, mais c’est ainsi.

Alors ? Doit-on se soumettre à des lois liberticides et suicidaires pour nous, mais aussi pour le pays tout entier ? Ou doit-on affronter l’humiliation suprême de la confirmation par le juge des ignominies dont nous sommes l’objet ?

Je parle évidemment tout particulièrement du délire législatif de la fiscalité, de son interprétation vicieuse par les inspecteurs fiscaux animés par le seul moteur du pillage alimenté par le carburant de l’opinion publique, puisque les politiques ont fait de cette opinion publique une masse d’assistés égalitaristes ne pouvant pas vivre autrement que par le vol d’autrui.

La réponse est non, nous ne devons pas nous soumettre.

Parce que ce n’est pas simplement chacun de nous que l’égalitarisme et sa folie fiscale mettent en danger, c’est toute notre société, notre avenir et celui de nos enfants qui sont aujourd’hui gravement exposés.

L’acte de résistance judiciaire est donc incontournable, il est le seul possible. Même si les chances de croiser un magistrat exceptionnel sont minimes acceptons l’idée qu’elles existent.

Bien à vous. H. Dumas

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La junte fiscale de Bercy s’acharne sur notre blog

Il y a quarante huit heures notre nouvel hébergeur suisse nous a donné une heure pour censurer notre blog ou il le fermait. Pourtant ce suisse basait sa publicité sur le thème suivant :

” La Suisse est réputée pour ses lois et réglementations strictes en matière de confidentialité et de protection des données qui empêchent tout tiers, y compris les autorités, d’accéder aux données d’un fournisseur d’hébergement Web, à moins qu’une demande formelle ne soit déposée par un procureur, qui enquête sur un client en particulier. Au niveau fédéral, la collecte et l’utilisation des données personnelles sont régies par la loi fédérale sur la protection des données. En outre, chaque canton de Suisse a mis en place une loi cantonale sur la protection des données. Il n’y a pratiquement aucun autre pays au monde avec un niveau équivalent de protection de la vie privée au niveau politique.”

On notera que cet hébergeur, qui n’aura été le nôtre que quelques jours, qui ne nous remboursera pas sa facture, a été contacté par l’avocat Maître Renaud LE GUNEHEC, attaché à la SCP NORMAND & ASSOCIES, avocats au barreau de PARIS, sous la forme d’une simple menace par courrier, parfaitement illégale.

L’hébergeur ne nous a pas transmis ce courrier de LE GUNEHEC, mais nous avons compris qu’il mettait en avant le jugement obtenu par lui devant le TJ de Paris contre OVH, qui ne nous est pas opposable, pas plus qu’à l’hébergeur suisse.!!!

Je rappelle que ce jugement tend à contourner la loi sur la presse pour obtenir la suppression de billets aux recours prescrits.

Depuis dix ans, aux ordres de la junte fiscale de Paris, LE GUNEHEC use son énergie et perçoit des honoraires payés sur les fonds publics dans le but exclusif de fermer notre blog “Temoignagefiscal”.!!! Hallucinant….

Nous avons déménagé illico. Mais tout cela mérite réflexion.

Que reproche la junte fiscale de Bercy à notre blog ?

Nous porterions atteinte à l’honneur et à la vie privé de certains membres de cette junte. Ce qui justifierait que tout ce qui se fait de mieux comme flic du net, magistrat et autre outil coercitif de notre beau pays s’acharne sur ordre à détruire notre blog.

Remettons un peu les pendules à l’heure.

C’est un peu fort de café de se voir accuser d’atteinte à l’honneur et à la vie privée par des gens qui fouillent la nôtre vingt-quatre heures sur vingt-quatre, qui pulvérisent notre honneur en nous accusant de fraude fiscale, qui se servent de cette fausse accusation pour dissimuler leurs folles dépenses, leur incapacité à gérer le pays que nous leur avons confié, qui achètent des voix avec l’argent qu’ils nous pillent, que nous gagnons en prenant peine et risques alors qu’eux sont planqués et ne foutent rien.

Entre nous, tout cela est inacceptable, scandaleux, semblable au pire des systèmes réprouvés par l’histoire.

Que dire de l’hébergeur ?

Que dire de tous ces acteurs économiques du net qui doivent leur fortune à la soif de liberté de leurs clients, qui les vendent au méchant loup du pouvoir à la moindre alerte, sans résister, en les abandonnant au premier haussement de voix du pouvoir auxquels ils sont asservis, alors que leur notoriété vient de la liberté à laquelle leurs clients croient accéder chez eux.

Plus largement

La démocratie a deux piliers, qui sont : la propriété privée et la liberté d’expression.

Sans eux la démocratie ne peut pas exister. Ces deux piliers sont battus en brèche par la junte fiscale de Bercy, elle n’a de cesse de les diminuer, voire de les réduire à néant.

Pour elle tout est bon pour atteindre ce but, la croyance égalitariste, son outil philosophique, est entièrement consacrée à cela.

La junte fiscale de Bercy vise le pouvoir absolu, même un grain de sable tel que notre blog lui est insupportable, elle ira jusqu’au bout pour le détruire.

Nous, nous résisterons jusqu’au bout, rien sauf la disparition ne nous fera taire, ni dans la dénonciation des dérives démocratiques, humaines, des tortures fiscales, des génocides économiques et humains, ni dans la dénonciation de ceux qui acceptent, voire trouvent du plaisir à exécuter les ordres qui vont dans ce sens.

Nous défendons la liberté d’expression, pour de vrai, la propriété privée, la démocratie, nous avons la conscience tranquille, nous ferons la démonstration de notre mesure.

Car, il ne faut pas l’oublier, la réalité est pire que ce que nous pouvons décrire.

Bien à vous. H. Dumas

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Ambiance nauséabonde

Qu’arrive-t-il à ce pays ?

La délation devient un sport national, au plus haut niveau. C’est grave.

La critique accompagnée de l’accusation est une nécessité en démocratie, mais la délation est insupportable. Il ne faut pas les confondre.

La critique vise à débusquer les incohérences inévitables de la loi ou l’utilisation malsaine de celle-ci, les détournements de finalité.

La délation au contraire suppose une absence totale d’esprit critique et une jouissance perverse à dénoncer ceux qui justement font preuve d’esprit critique dans leur raisonnement ou dans leur action.

Plus la loi est stupide, plus la critique est impuissante, plus la délation va viser ceux qui tentent quand même de pratiquer l’impossible critique.

L’image pour nous de la délation est le “collabo” qui, adhérant aux lois stupides de Vichy, dénonce ceux qui les contestent ou les enfreignent.

COVID

Nul ne peut nier que les lois pondues à cadence accélérée par nos hommes de l’Etat concernant COVID sont dénuées de sens, incohérentes, supplées heureusement par le bon sens des Français et la grande majorité de leurs forces de l’ordre.

Les ordres et contre-ordres qui se succèdent, accompagnés de courbes et camemberts volontairement trompeurs, n’ont ni queue ni tête.

Le bilan qui se dessine sera à la hauteur de ces errements, nous allons être les plus nuls, les plus mauvais résultats mondiaux face à COVID.

Dans ces conditions, la délation qui s’exerce à grande échelle dans la presse officielle et sur quelques réseaux sociaux est insupportable. Elle fait peur. Elle rappelle que malheureusement beaucoup de français aiment la délation, s’en délectent. La délation fait partie d’une frange trop importante de nos politiques et de leurs affidés .

Comment les Français peuvent-ils se laisser aller à tant de bassesse, comment peuvent-ils ainsi abdiquer toute raison ?

Toujours l’égalitarisme.

Il y a d’abord l’idée d’échapper à ses responsabilités, y compris pour sa propre santé, ce qui est un comble.

Donc d’autres auraient la charge de la santé de chacun, organisés par l’Etat cette abstraction derrière laquelle se cachent les tricheurs, les hommes de l’Etat.

Evidemment chacun serait égal, sinon face à la maladie au moins face aux soins. Oui, mais : est-ce être égal, équitable, de recevoir les mêmes soins pour son foie malade si l’on est sobre que si l’on est un alcoolique notoire ? Complication.

Donc on va faire, comme si… mais le mal est là, il va falloir mentir.

Le mensonge, pour se dissimuler, va générer la dénonciation. C’est son camouflage. Autour de l’utopie d’une égalité de santé pour tous la couverture mensongère n’aura pas de limite.

Elle englobera l’idée de la gratuité, de la compétence supérieure, de l’altruisme abondant, pour dissimuler le coût exorbitant, le progrès en berne, l’égoïsme exacerbé par la combine et le favoritisme.

Sur ce terreau, la délation va exploser. Sur ce, COVID arrive et sa cohorte de décisions stupides, inapplicables. Quel territoire idéal pour la délation.

C’est ainsi que nos feuilles de chou se répandent en dénonciations toutes plus minables les unes que les autres.

Que nous importe ces jeunes qui ne risquent rien et font la fête, ces familles qui partent respirer sans masque à la plage ou à la montagne, ces bourgeois ou ouvriers qui se réunissent pour partager un repas, un moment d’amitié, de convivialité.

Chacun doit prendre ses risques, chacun doit en assumer les conséquences. L’égalitarisme qui prétend dépasser ces règles simples, non seulement échoue lamentablement, mais il nous colle cette maladie collective mortelle : la délation.

L’ignominie arrive au galop, le risque qu’elle s’installe officiellement est très grand aujourd’hui, la délation en est le signe avant-coureur.

L’ignominie c’est l’égalitarisme absolu, l’écrasement de l’être humain au profit de l’Etat, pour l’Etat, par l’Etat, c’est le fascisme. La France va mal.

Bien à vous. H. Dumas

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La secte des égalitaristes ne connait que le pillage

Nous sommes les victimes d’une secte, dont les prêtres, “les tecnos-bureaucrates”, ont pour mission affichée de nous piller.

La croyance qui sous-tend cette secte est “l’égalitarisme”, qui en un peu moins de deux siècles a envahi tous les esprits, y compris les plus brillants.

Pudiquement ce pillage est appelé la “redistribution”. Son échec est patent. Ses conséquences ravageuses. Il n’y a pas d’issue, la croyance est aujourd’hui sans retour, elle frappe y compris ceux qui prétendent au changement, qui ne peuvent donc pas le mettre en œuvre.

L’impact de l’égalitarisme est global, sur l’environnement, sur l’organisation du monde, sur la vie sur terre, comme l’ont été avant lui toutes les grandes croyances.

Il prétend protéger les faibles, contenir les prédateurs naturels. C’est ce qu’avance le berger, en oubliant que le loup prélève son dû — souvent chez les plus faibles effectivement, mais pas toujours — mais que l’équilibre naturel ainsi créé permet la vie pour lui et pour les moutons. Alors que les brebis du berger — soi-disant protégées par lui — voient toutes la fin de leur protection directement chez le boucher, faibles ou fortes, sans exception. Pendant que, cerise sur le gâteau, le berger élimine tous les loups. Il faut se méfier des “bons bergers”.

Deux exemples du pillage égalitaire.

La sécurité sociale

Ici je voudrais rendre hommage à Claude Reichman, à qui rien n’a été épargné et qui, contre vents et marées, s’est battu et se bât encore aujourd’hui pour dénoncer le scandale de la Sécurité Sociale (la SS), fille obèse de l’égalitarisme.

Peut-être va-t-il effectivement assister à la mort de cette énormité de la croyance égalitariste.

La Sécurité Sociale pourra-t-elle survivre au fait tout simple qu’elle est l’organisation la plus couteuse du monde face à la maladie — problème personnel et inégal s’il en est, demandant une réponse personnelle et adaptée — ?

Face à ce record mondial de dépense, quel résultat  avec COVID ?

Aucun vaccin français, un taux de mortalité proche lui aussi du record mondial, une carence dans la vaccination dont l’échec, sans surprise, est proche du record mondial.

Donc une série de records mondiaux qui devraient signer la mort de cette officine “la Sécurité Sociale” pour incapacité évidente. La croyance égalitariste sera-t-elle assez puissante pour éviter l’explosion de ce système inadapté et proroger le pillage qu’il induit, ou va-t-il passer cul par-dessus tête ? C’est tout l’enjeu.

La propriété privée

C’est la base de l’organisation humaine. C’est d’elle que vient le progrès par le biais de la capitalisation qu’elle permet, en tout.

Aujourd’hui, la propriété privée tend à être éradiquée partout, elle serait inégalitaire. Dans la réalité elle perdure évidemment, mais au service exclusif des prêtres de l’égalitarisme où elle perd ses vertus capitalistes pour être uniquement dilapidée au service de la jouissance immédiate.  

A titre d’exemple je prendrai la Ville de La Rochelle dont le maire Jean François Fountaine est un zélote de l’égalitarisme, avec toutes les contradictions incluses dans ce faux statut portées ici à leur paroxysme.

Cet homme vole délibérément des propriétaires de foncier de plusieurs millions d’Euros, sans autre motif que le fait du prince, après avoir détourné de leur finalité les lois sur l’urbanisme.

Je le poursuis, ici la plainte déposée.    

Je suis convaincu que la croyance égalitariste mettra du côté de Fountaine la majorité des rochelais, la presse, et les structures administratives et judiciaires.

Il a déjà obtenu un vote des conseillers communautaires pour payer ses frais d’avocat, vote qui entérine son vol, quand même…

Ce faisant il n’agit pas très différemment des autres élus français, juste son aventure est renseignée ce qui est rarement le cas.

Il tue sa ville, il passe à côté de la logique urbanistique, il participe à l’explosion des prix de l’immobilier qu’il raréfie, il rejette les habitants artificiellement en périphérie, etc… Mais il s’appuie faussement sur l’égalitarisme.

Il prétend éliminer une plus-value injuste qu’en réalité il perçoit ou qu’il reporte sur les acquéreurs d’appartement, rien d’égalitariste donc….

Ramené à l’ensemble du pays il s’agit d’une catastrophe sociologique exclusivement due à la croyance égalitariste, donc indétectable pour les croyants, qui sont une écrasante majorité.

Conclusion

La Sécurité Sociale est au terme de son organisation égalitariste, il est possible qu’elle capote par faillite. En revanche, l’ensemble de notre organisation sociale est encore trop loin du même terme. Avant la fin par faillite nous allons beaucoup souffrir, perdre nos libertés, être pillés, entrer plus loin dans le malheur et la haine de l’autre, à la poursuite d’une irréelle sécurité, d’une irréelle égalité, passant à côté de la vie, du mérite, du progrès, de l’épanouissement, de la compassion, de la charité, de l’empathie, en réalité de l’amour de son prochain et par contrecoup de l’amour de nous-mêmes.

Bien à vous. H. Dumas

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Les morts de COVID

COVID a décimé, si l’on en croit la presse, dans le monde entier. Je ne sais pas ce qu’il en est dans les autres pays, mais en ce qui concerne la France j’ai à vous rapporter une anecdote éclairante.

Lundi 22 mars, en milieu de journée, j’ai été pris de douleurs, d’abord supportables, puis de plus en plus intenses, traversantes au niveau du ventre, dans la partie droite entre les dernières cotes et l’aine.

Ces douleurs ont été crescendo, en milieu de nuit elles étaient insupportables. Nous avons appelé le 15. Après quelques minutes d’échanges, le responsable du 15 a décidé de m’envoyer le SAMU.

En lieu et place du SAMU est arrivée une ambulance privée et deux ambulanciers. Gentils mais ne donnant pas une image de compétence médicale. Ils se sont afférés un moment avec des outils qu’ils maitrisaient relativement, l’oreille collée à leur téléphone en ligne avec l’hôpital, je suppose.

Puis direction l’hôpital. Là je suis reçu par une infirmière qui me dit : “vous n’avez pas de Doliprane chez vous ?”. Toujours avec ma douleur violente, je ne trouve pas de réponse, le Doliprane ne me paraissant pas adapté à une telle douleur.

Arrive un infirmier qui fait fonction de décideur, il me colle le cathéter d’usage, me fait une prise de sang et me perfuse un calmant.

Il m’avertit que le résultat de la prise de sang ne sera connu que dans deux heures. J’attends donc. Deux heures plus tard arrive un jeune interne, il me questionne sur la douleur, toujours présente mais diminuée par le calmant.

Il me palpe le ventre, ce qu’à l’évidence on ne lui a pas appris, puis il me dit : “Vous n’avez rien, les analyses sont bonnes, vous pouvez rentrer chez vous”.

Il est trois heures du matin, il me fout dehors en quelque sorte. Mon épouse vient me chercher. Nous partons, en passant devant l’infirmier et l’infirmière qui sont dehors sur un banc et fument une cigarette. Fin de l’épisode hôpital et SAMU.

Un peu sonné, je vais me coucher. Une heure plus tard la douleur revient, encore plus violente. Elle va devenir insupportable, au point que je ne peux plus rien décider. Je suis KO sur un canapé, me tortillant comme un vers que l’on va embrocher sur l’hameçon. Je commence à inspirer une forte inquiétude à mon épouse et à mes enfants.

Ils essaient de me convaincre d’aller en clinique à Montpellier. Epuisé, je ne peux pas m’imaginer subir 30 km de voiture. Sur l’insistance de ma fille, médecin à Nice, et d’un ami cardiologue à la clinique, je finis par me laisser convaincre d’affronter ce déplacement. J’arrive là-bas une heure après dans un état lamentable.

Nous sommes mardi, il est dix heures environ. Je suis pris immédiatement en charge, re-cathéter, re-calmant, re-questions, re-prise de sang. La différence est sur deux points : la venue d’un médecin fini, pas un interne, une analyse d’urine et une échographie.

Ensuite, vers midi scanner. Aussitôt après un urologue vient m’informer qu’il s’agit d’un calcul rénal, qu’il va m’enlever à 15H. Ce qui sera fait sous anesthésie générale. Je sors de clinique le mercredi matin, la douleur a disparu.

C’était donc ce que l’on appelle une crise de colique néphrétique.

L’hôpital est passé complètement à côté, alors qu’il s’agit d’un cas classique. Pas d’analyse d’urine, pas d’échographie, une incompétence crasse.

Pourtant un énorme hôpital, plus gros employeur de la ville, qui en jette, où l’on vous expédie d’office si vous appelez le 15.

Des officiants qui la ramènent, qui vous prennent de haut, qui sont le pouvoir du sorcier, le rempart contre la mort. Quelle illusion….

Ils sont, ici comme ailleurs, syndiqués, bureaucratisés, la compétence réduite au minimum, et… en charge exclusive de COVID.

Et ils se font applaudir.

Bien sûr que beaucoup sont des personnes de qualité, mais structurellement leur boutique est à l’agonie et le sacrifice de quelques-uns d’entre eux ne peut pas compenser la défaillance structurelle de l’ensemble, miné par la bureaucratie et l’égalitarisme.

Le pire c’est que ce sont eux qui pour dissimuler leur dérive imposent — en plus des morts directs qu’ils ont provoqués par manque de soins — la mort de notre société prise en étau dans leur monopole et confinée suicidairement.

C’est cette année, au sortir de la pandémie, que ce système va exploser, que le monopole de la sécu va disparaitre. Le contraire serait prendre les Français pour des cons, ce serait très grave.

Qu’en pense l’opinion publique ? Mes hypothèses face à ses mystères.

-1- Elle vit le poids des retraités. La plus grande partie d’entre eux sont totalement inactifs, donc exclus de la société, pour certains depuis une ou deux décennies. Ils ne pensent qu’à la mort, où à l’entretien de leur vie ce qui est la même chose. Ils sont prédisposés à toutes les peurs, puisque sans objectif stabilisateur.

-2- Elle vit aussi le pouvoir des retraités. Ils exigent une retraite au motif pour certains qu’ils ont payé à cet effet, pour les fonctionnaires que c’était l’objectif de leur vie et l’engagement de l’Etat. C’est une lourde charge, accompagnée d’un pouvoir économique certain.

-3- Elle est victime de sa croyance égalitariste qui l’a persuadée que l’hôpital est le lieu de toutes les égalités, où chacun est soigné de la même façon, avec la même conscience, la même compétence. Elle ne perçoit pas l’énormité de ce mensonge.

Elle n’a pas compris qu’elle n’a pas été soignée, même artisanalement, que des soins dès le début de la pandémie auraient pu éviter bien des morts.

Elle a cru dans l’hôpital, elle a été trahie par les fonctionnaires hospitaliers dont le but principal est de protéger leur corporation et ses privilèges.

Ce ne sont sans doute pas les seuls motifs expliquant l’état actuel de l’opinion publique, mais je crois qu’ils sont importants et qu’une prise de conscience à ce sujet ne devrait pas tarder, modifiant alors l’opinion publique, donc l’organisation sociale, et en profondeur.

Peut-on espérer l’essoufflement des croyances, le retour de la raison ? A voir.

Bien à vous. H. Dumas

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Clair-obscur

De temps en temps il faut être téméraire, s’engager sans avoir tout verrouillé.

Chaque jour nous constatons que non seulement la situation s’aggrave, mais que les décisions prises vont dans le sens d’un aggravement complémentaire. Nous soufflons dans nos cornes de brume, nous agitons les drapeaux jaunes du danger, nous ne sommes pas les seuls, et pourtant… peine perdue, aucun résultat, nous fonçons vers le mur.

Cette situation incroyable doit bien avoir une explication.

Certains peut-être la connaisse, pas moi. La multiplication des constats catastrophiques est monnaie courante. Le ZAP du net s’en fait l’écho. D’autres, ailleurs, plus armés que nous, proposent des masses d’exemples de situations stupéfiantes, déroutantes, mais je reste sur ma faim en ce qui concerne une explication crédible et simple des motifs de tous ces errements.

Panique du Covid, panique du climat, panique du travail, panique de la sexualité, panique des religions, panique des autres, panique de l’économie, de la paix, de l’Europe, de l’emploi du breton, du basque, de la route, panique de vivre, de mourir, de parler librement, de penser librement… panique, panique, panique…. à tous les étages.

A-t-on le droit de réfléchir à la situation, d’en parler, d’essayer de comprendre ? Probablement pas. Hé bien, nous allons le prendre et tant pis pour les critiques, pour l’accusation de nous mêler de ce qui ne nous regarde pas, pour le risque de passer pour des abrutis incultes qui la ramènent comme au bistrot du coin… souvent sympa…

Premier axiome : l’homme est binaire, il construit ou il démolit.

Ce n’est pas la même chose, souvent ce ne sont pas les mêmes hommes. Construire est une activité lente mais illimitée. Détruire est rapide mais limité par la disparition de ce que l’on démolit. Ceux qui construisent et ceux qui démolissent sont en opposition à tous les niveaux, viscéralement.

Deuxième axiome : l’homme est grégaire, le poids du groupe s’impose à lui. Le groupe auquel l’homme appartient possède sur lui le droit de la force naturelle du groupe par rapport à sa force individuelle.

Conclusion

C’est le groupe qui est à la manœuvre, qui construit ou qui démolit. Pour décider le groupe a un outil naturel : l’opinion publique.

Nous y sommes.

L’opinion publique est la patronne du monde des hommes. Elle est la somme des croyances, des questionnements, des connaissances et des ignorances, des émotions qui la traversent, du vrai et du faux, des peurs et des courages, reconnue ou non elle est toujours majoritaire, publiquement ou de façon occulte.

Chaque groupe a une opinion, elle devient publique quand le groupe est suffisamment conséquent. Certains alors la nomment : civilisation.

Elle n’appartient à personne en particulier, tous croient en être propriétaires ou en réclament le droit.

D’autres pensent qu’elle est trafiquée, d’autres encore pensent qu’ils la trafiquent. Peine perdue, elle est, quoiqu’il arrive, et c’est elle qui agit au grand dam des historiens qui fabriquent de faux décideurs qui ne sont que des images de l’opinion publique, revendiquées ou au contraire répudiées.

L’opinion publique construit, puis démolit, avec la même ardeur et la même indifférence, elle se fout de tout, elle a le pouvoir absolu, elle est indifférente à la morale, à la justice, à la vie, à la mort.

Peut-on essayer de comprendre où elle va et pourquoi elle y va ?

Oui, on peut essayer, mais les chances de comprendre sont ténues, et dans tous les cas non partageables.

En revanche, se mettre dans la tête que c’est elle la patronne permet probablement d’accéder à un regard explicatif sur beaucoup de choses.

Pour comprendre l’opinion publique il y aurait les sondages, dont Macron fait un usage addictif grave. Il a tort. Les sondages ne sont pas l’opinion publique, ils sont une émotion de celle-ci, passée, toujours partielle. Or, l’opinion publique, la vraie, celle que l’on ne peut ni mesurer ni connaître, puisqu’elle-même s’ignore, est globale, elle inclut toutes les opinons, y compris celles restreintes des sondages.

Y a-t-il une opinion publique mondiale ?

Probablement, même universelle. Elle n’est pas faite que de paroles, d’échanges entre les hommes, elle inclut tout y compris le poids de ce qu’elle ne connait ou ne maîtrise pas.

Pour terminer ce billet, prenons un exemple.

Covid pour certains est un virus gravissime, pour d’autres il est une simple grippe et ne tue que des vieillards qui seraient morts rapidement d’autre chose.

Les tenants de la simple grippe ne comprennent pas que l’organisation mondiale, pour l’instant, penche du côté de ceux qui croient le virus exceptionnellement dangereux.

Et chacun de se demander : qui tire les ficelles et pourquoi ?

Alors que si l’on se pose la question différemment : pourquoi l’opinion publique mondiale attache-t-elle autant d’importance à cette pandémie ?

Un espace de réflexion s’ouvre.

L’opinion publique est fébrile, peut-être plus qu’elle devrait face à COVID. D’où provient cette fébrilité, découlant souvent d’une angoisse, elle-même issue d’une impression de culpabilité. L’opinion publique ne serait-elle pas au bord d’une rage de destruction qui la culpabilise ? Découlant d’une frustration ?

Là je bute un peu, mais bon il s’agit juste d’un concept de réflexion, j’y reviendrai.

Le concept est de partir du fait que rien n’existe hors la volonté de l’opinion publique, chercher les moteurs de cette volonté doit permettre de comprendre beaucoup de choses. Je n’ai pas dit de les solutionner, les comprendre ne serait déjà pas si mal.

Si je pouvais comprendre les ressorts qui agitent la France, l’esprit de destruction qui s’est emparé d’elle, en partant de son opinion publique, cela me comblerait et m’éviterait de chercher à accuser ou à encenser un abruti politique qui ne mérite pas tant d’égards.

Bien à vous. H. Dumas

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La vérité sera inaudible et inutile

Pour les problèmes de santé, dont COVID fait partie, la vérité découle de l’analyse de la mortalité.

Le premier article chiffré que nous avons publié sur ce sujet, vient de l’IRSAN (Institut de Recherche pour la valorisation des données de santé) :

https://temoignagefiscal.com/lepidemie-de-covid-19-a-eu-un-impact-relativement-faible-sur-la-mortalite-en-france/

Cet article pourrait être taxé de partisan, Laurent Toubiana, fondateur de l’IRSAN, s’étant nettement positionné contre l’alarmisme des hommes de l’Etat face à COVID.

Sans être mathématicien nous pouvons relever deux choses : M. Toubiana part de chiffres officiels, les pondérations qu’il applique sont parfaitement logiques.

Le résultat est clair, probablement raisonnablement objectif : pas de surmortalité pour les moins de 65 ans, légère surmortalité pour les plus de 65 ans, tout particulièrement pour les 85 ans et plus.

Comment dans ces conditions le monde entier et la France tout particulièrement ont pu voir s’installer une panique générale accompagnée d’un arrêt total des déplacements, et de l’économie qui leur est étroitement liée.

Il y a la théorie du complot économique :

Scientifiques achetés et laboratoires assoiffés d’argent se seraient ligués pour raconter des histoires à l’opinion publique qui n’ont pour but que de lui soutirer de l’argent en lui vendant de faux vaccins en vue de larges bénéfices.

La théorie du complot politique :

En difficulté face aux revendications de leur population, les hommes politiques auraient sauté sur l’occasion pour enfermer tout le monde et avoir ainsi la paix sociale à bon compte.

La théorie de l’incompétence :

Bien que la plus grande partie d’entre eux soient issus de très grandes écoles, les responsables politiques mondiaux seraient défaillant intellectuellement, conséquemment incompétents en tout, évidemment particulièrement en ce qui concerne la santé.

Que des hypothèses simplement partiellement satisfaisantes, voire pas du tout.

Principalement parce qu’elles cherchent à attribuer la situation à une manipulation de l’opinion publique alors que c’est elle la manipulatrice.

C’est l’opinion publique toute seule qui a été prise de panique et qui a suscité les réactions de la presse et des hommes de l’Etat, qui ont dans cette affaire toujours eu un temps de retard qu’ils ont cherché à rattraper par l’outrance.

La bonne question est : pourquoi l’opinion publique a-t-elle eu cette crise d’angoisse démesurée ?

Je n’ai pas la réponse que seule l’histoire donnera… peut-être.

Sans doute les privilégiés que furent les actifs des années 60 à 80 imaginent-ils que leur disparition est synonyme de la fin du monde et qu’ils ont réussi à en persuader suffisamment de monde ?

Ou ont-ils encore suffisamment de pouvoir pour donner l’illusion que leur disparition entrainera un chao irréversible ?

Je ne sais pas, mais je sais une chose, c’est la croyance qui les portait qui a été l’amplificateur destructeur de la fausse pandémie.

Vous me voyez venir, je parle de l’égalitarisme.

C’est au nom de l’égalitarisme qu’une poigné de vieillards compte autant qu’une majorité d’âge moyen ou jeune.

C’est aussi en son nom que l’on préfère : pas de soin pour tous à des soins à ceux qui peuvent ou qui veulent.

C’est au nom de cette pensée philosophique ni plus ni moins vraie qu’un autre, mais tout aussi respectable, que s’est malheureusement constituée l’église technocratique et sa pensée unique qui nous exploite au nom sacralisé de la croyance égalitariste.

Croyance qui aujourd’hui, à l’occasion de COVID, a même pris de vitesse sa propre église. Croyance qui nous impose un virus qui serait également destructeur, ce qui est faux mais cru.

Nul ne peut dépasser cette croyance, alors que tout prouve sa fausseté. Elle ne peut laisser aucune place à la vérité qui donc se retrouve inaudible et inutile.

Que peut devenir une société dans le mensonge de la croyance : rien, rien.

C’est ainsi que l’appel lancé avec Claude Reichman n’a que peu de retour et pourtant, exiger le droit de soigner et de se faire soigner librement est-ce anormal ?

Enfermer la population au motif que l’outil de soins aux prétentions égalitaires est débordé, est-ce normal ?

L’égalitarisme engendre le dévoiement des valeurs lorsqu’il passe d’une hypothèse de pensée à l’application impossible imposée par son église.

La vérité est bannie de l’église égalitariste, comme de toutes les églises qui en réalité profanent les pensées les plus nobles puisque les voulant uniques.

Bien à vous. H. Dumas

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Les Français ont le droit de se soigner ! Nous créons le Mouvement Hippocrate 

Une idée portée par Claude Reichman, qu’il nous propose de partager. J’adhère à cette idée, je le remercie de nous y associer. En route…

La France est une grande nation. C’est Gulliver. Mais les Lilliputiens ont réussi à l’enchaîner. Comment expliquer autrement la paralysie des Français face à l’épidémie du coronavirus ?

Les Lilliputiens avez-vous dit ? Assurément. Ceux qui nous dirigent sont vraiment de petits hommes. Au nom de quoi ont-ils voulu être les premiers dans le pays ? Pour oublier leur médiocrité ? Ou, qui sait, pour être transformés en grands hommes par la magie du pouvoir ?

L’épreuve est rude pour la France. Elle est à l’arrêt depuis un an, son économie est ruinée, et on approche des 100 000 morts de l’épidémie.

Eh bien, avec un tel bilan, nos gouvernants veulent non seulement continuer d’exercer un pouvoir tyrannique, mais ils exigent en plus que nous ne soignions pas, sinon selon leur ordonnance qui ne consiste qu’à nous délivrer de l’oxygène quand, près de la mort, nous ne pouvons plus respirer !

Et tout cela alors que des dizaines de milliers de cas ont été traités avec succès par des médecins n’obéissant qu’à leur serment, grâce à des médicaments bien connus et peu coûteux. Ces praticiens savent et ont prouvé que cette maladie doit se soigner précocement, dès son apparition. C’est ainsi qu’on la guérit et qu’on élimine la contagion.

C’est donc ce que nous demandons aux Français de faire en masse. Assez de consignes des médecins des bureaux ! Assez de conférences de presse de ministres incapables ! Assez de commentaires quotidiens d’un président imbu de son verbe ! Nous voulons nous soigner !

Il y a 100 000 médecins généralistes en France. A eux de jouer. A nous de faire appel à eux, à leur science, à leur serment d’Hippocrate. Nous n’acceptons plus d’être la chair à canon des généraux incapables en charge de l’épidémie.

Nous en appelons à tous les citoyens. Et pour commencer à nos élus, qu’on n’entend plus depuis un an. Qu’ils envoient promener le gouvernement et  ses affidés aux 100 000 victimes. Qu’ils se conduisent en hommes et non plus en moutons. Ou sinon, qu’ils démissionnent. Ce sera leur dernière chance de grandeur.

Le mouvement que nous créons n’est pas politique. Nous n’aspirons pas au pouvoir. Seulement à nous soigner. C’est pour cela que nous l’appelons du nom du plus grand médecin de l’histoire, que nous voulons honorer à travers les siècles : Hippocrate !

Le Mouvement Hippocrate appelle tous les Français à le rejoindre dans la volonté de se soigner librement. Et dans le refus de l’intoxication perpétrée par les médias et les médecins avides de gloire plutôt que de guérisons.

Ce que nous disons est aussi simple qu’évident. On peut soigner le Covid précocement et c’est ce dont tous les Français doivent bénéficier. C’est ainsi qu’on arrêtera l’épidémie. Seule la pression populaire peut faire céder la dictature des faux sachants.

Internet charrie le meilleur et le pire. Pour une fois, il ne charriera que le meilleur, qui a un nom en démocratie et qu’on appelle le choix du peuple !

Claude Reichman et Henri Dumas.

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Besoin de croire et rationalité, l’avenir du blog.

Peut-on donner à ce blog un objectif universel, lui qui est né de l’oppression ?

C’est la question dont nous devons débattre.

Si la réponse est oui, il se trouvera des hommes et des femmes de bonne volonté pour atteindre cet objectif — même si, comme l’accepte Claude Reichman, ils ne sont au départ qu’une petite poignée — à la seule condition que tous participent, sincèrement, librement, chacun à la hauteur de ses moyens et pour le bénéfice de tous.

Nous devons d’abord nous mettre d’accord sur l’ennemi et l’objectif à atteindre.

L’objectif à atteindre :

La vérité, qui se définit par la démonstration. Le champ des hypothèses doit être illimité, mais ne peut être cru que ce qui est démontré.

L’ennemi à combattre :

La croyance en ce qui n’est pas démontré, que l’on appelle religion, à travers son clergé.

En ce qui nous concerne ce sera l’égalitarisme dont le clergé est la fonction publique.

Celui-ci comprend :

– un bas clergé, le fonctionnaire de base, croyant, parasitaire, injuste et corporatiste, sans surprise, aisément repérable parce que servant son intérêt ou sa corporation au détriment de sa mission initiale de service public.

– un haut clergé, la haute fonction publique, inaccessible, non croyant, machiavélique, particulièrement dangereux, manipulant la représentation de l’opinion publique, l’amenant à mettre en œuvre des lois contraires à la pensée majoritaire. Traite à la démocratie.

La proposition

Sur ces bases, et quelles que soient les difficultés à venir et le peu d’espoir d’aboutir, je veux bien, pour le temps qui me reste, engager cette œuvre collective, tant la vie telle qu’elle se présente aujourd’hui me parait désespérante pour tous, jeunes et vieux réunis.

Il y a quelques jours j’ai proposé la création de la FFR, Fédération de la France Réelle, c’est toujours l’objectif. Il s’agit simplement de démarrer sans attendre de pouvoir nous réunir physiquement, ce qui peut s’avérer lointain.

Les moyens

Je propose de nous appuyer sur la pensée du philosophe Sun Tzu — dont l’existence n’est pas avérée — auteur de “L’art de la guerre”, sans doute 500 ans avant JC, opportunément cité dans Le Point de cette semaine : ” Qui connait l’autre et se connait en cent combats ne sera point défait ; qui ne connait l’autre mais se connait sera vainqueur une fois sur deux ; qui ne connait pas plus l’autre qu’il ne se connait sera toujours défait”.

Cette pensée est frappée au coin du bon sens, nous la ferons notre.

Connaitre l’autre

Vous l’avez compris notre arme étant le blog, c’est le nombre des contributeurs et des lecteurs qui fera notre force.

Nous devons être cent contributeurs au minimum et des centaines de milliers de lecteurs. Un objectif de mille lecteurs jour parait raisonnable.

Tout en restant attachés au fisc qui est le bras armé de l’égalitarisme, nous refondrons le blog pour le dépersonnaliser, pour qu’il appartienne à tous.

Ceci réalisé, ce blog devra être l’endroit où l’incohérence de l’égalitarisme, son injustice destructrice, seront démontrées billets après billets.

Jusqu’à la connaissance totale de la pensée et des méthodes de l’égalitarisme et de son clergé.

Nous connaître

Cela passera par la définition de nos objectifs, les moyens de les atteindre, la démonstration de leur utilité, de leur nécessité.

La liberté individuelle et la propriété, le mérite et l’engagement, l’intégrité, seront probablement les bases de notre objectif. A nous de faire la preuve de l’intérêt collectif de ces aspirations.

La guerre que nous devons gagner

C’est évidemment la conquête de l’opinion publique, c’est évidemment un combat exclusivement intellectuel, qui doit se terminer dans les urnes et non dans la rue. La vérité et la réalité doivent terrasser la croyance égalitariste, la religion et son clergé.

Le premier acte

Je demande à notre webmaster d’ouvrir un onglet “forum” où chacun pourra s’exprimer. S’il rencontre un lectorat et si nait en lui une nécessité d’écrire nous lui ouvrirons un compte auteur.

C’est parti. Bien à vous. H. Dumas

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COVID, encore COVID, toujours COVID …

Plus de vaccin en Occitanie. Vous vous en foutez, moi aussi. Mais bon, voilà, plus de vaccin en Occitanie…

Livraison possible la semaine prochaine, peut-être, sans doute…

La France sous perfusion de fausse monnaie, le débranchement n’est pas prévu dans l’immédiat.

Qui croit que c’est la vraie vie ?

Nous voilà tous en apesanteur, dans un espace dont on sait parfaitement qu’il n’existe pas, tout en faisant semblant de croire qu’il existe.

Vous connaissez celle du type qui tombe du vingtième, que l’on entend dire à chaque étage : “Jusque-là, ça va”. C’est nous ça.

Le terminus va être terrible ? Oui, et bien plus encore.

Mais les honnêtes gens s’en sortirons toujours. Eh bien non justement, arrive au galop le temps des crapules, des sans scrupules, des méchants, des prédicateurs névrosés, des mouvements de foule mortels, de la disparition du droit, de la prééminence de la force aveugle, des rançons du plus faible, de la vengeance du délinquant, de la chienlit totale, du règne de chacun pour sa peau.

COVID au moins nous aura servi à ça, à nous mettre lucidement face à notre avenir de chacun pour sa peau.

La sécurité de la santé, qui coute chaque année le prix de toutes les dépenses de l’Etat, et résultat : “restez chez vous et prenez du doliprane… Ou alors nous allons être obligés de construire des “covideries” pour vous isoler, pour que vous ne nous passiez pas votre merde de COVID. Compris.”

Oui, mais mon médecin référant ? : “Puis-je avoir une consultation ? Des soins ? De la compassion ?” Pas question : Réclusion ou réanimation uniquement.

Avant l’hôpital : répondeur. Avant le vaccin : répondeur. Avant la faillite et le suicide : toutes nos lignes sont occupées.

C’est la vie de l’homme blanc occidental, de sa femme son égale, des LGBT réhabilités, et des immigrés qui croyaient trouver chez lui travail et fortune.

Pas conforme aux séries américaines, pas conforme à la littérature européenne, parfaitement conforme à l’histoire de tous ceux qui trichent. Grandeur et décadence, tout un programme.

Bon, pour le vaccin en Occitanie : rappelez les semaines prochaines…. Pour les perfusions de monnaie, demain : souvenir, souvenir…

Et n’oubliez pas, tout à l’heure pour tous : IMPÔTS, IMPÔTS, IMPÔTS…. RUINE, RUINE, RUINE…

Bien à vous. H. Dumas

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La carotte de l’absurde

Donc, dans les années 1960, des Américains ont créé sous le Groenland une ville guerrière : “Iceworm”, à partir de laquelle ils ont prélevé des carottes glacières, qu’ils ont ensuite laissées dans un congélateur au Danemark. Normal.

Récemment, en 2019, des scientifiques ont retrouvé les carottes. Surprise, au début du dernier million d’année le Groenland était une prairie, c’est ce que racontent les carottes, pas de glace, une prairie.

Il semblerait qu’il y ait un consensus scientifique pour dire qu’en ces temps reculés il n’y avait ni Mercédès au fioul, ni camion, ni rien du tout ou pas grand-chose comme trace humaine sur notre brave terre. Qui est donc capable, toute seule, de faire fondre les glaces de l’Arctique.

Les personnes ordinaires, comme moi, se disent : “Si l’arctique a déjà fondu seule, pourquoi serions-nous responsables d’une nouvelle fonte, en admettant qu’elle ait bien lieu ?”

Soyons clairs, il ne faut pas se dire ça. Le concept est le suivant : “Si l’Arctique a déjà fondu il est tout à fait normal de penser qu’elle peut refondre, et là ce ne peut être que de notre faute.” Pourquoi ? Question inutile, déjà répondu…sortez un peu…

Alors, changeons notre fusil d’épaule. OK, on déconne avec nos bagnoles et cette fois c’est nous qui allons réchauffer la planète et faire fondre la glace.

Difficile d’avoir le droit de penser autrement, il faut le reconnaître.

Mais la chose étant acquise, reste donc à se préparer à lutter contre la chaleur. On sait faire. On a alors besoin de fraicheur et d’eau.

Pour la fraicheur : climatisation, pour l’eau : désalinisation.

Pour habiter des pays inhospitaliers, il faut soit accepter les modifications génétiques qui ne manquent pas de se faire en quelques centaines de milliers d’années, soit avoir de l’énergie pour compenser les dures lois de la nature.

Donc, la conclusion logique parait totalement contraire aux projets à la mode.

La mode consiste à ne pas fâcher la nature, à compter sur elle pour nous refiler un peu de son énergie grapillée sur les vents et le soleil. Est-ce raisonnable en fonction de ce dont nous allons avoir besoin ? Je crains que non.

Nous devrions-nous pas nous donner les moyens de fabriquer une énergie d’une puissance beaucoup plus forte que celle que nous fabriquons aujourd’hui en brulant du pétrole ? Par exemple genre énergie atomique ?

Non, là ce n’est tout simplement pas possible.

Pourquoi ? Mais parce que dès qu’une énergie puissante est découverte, il y a toujours des cons pour en faire d’abord une arme de guerre.

Parce que voyez-vous, l’homme est avant toute chose un pillard. Il ne rêve que de soumettre son voisin, de lui prendre tout ce qu’il a de plus que lui, y compris sa femme si elle plus jolie que la sienne.

Alors l’idée de centrales atomiques, ou autre énergie puissante et disponible dans le temps, trouveront toujours une bande d’arriérés pour la transformer en bombe mortelle et soumettre leurs voisins.

La conclusion est terrible.

L’humanité va avoir besoin, cela parait incontournable, d’une énergie puissante, abondante, pour lutter contre la nature, qui lui a depuis toujours été défavorable, et qui ne va pas manquer de l’être de nouveau si l’on en croit nos matheux devins.

Or le bordel politique mondial, issu de croyances toutes plus débiles les unes que les autres, ne permet pas de laisser à porter de main des maniaques du pouvoir une énergie puissante qu’ils ne manqueraient de transformer en arme de guerre.

Cette énergie doit donc être la propriété de l’humanité, pas de quelques-uns.

Ce qui implique un pouvoir mondial, au moins pour la création et la gestion de cette énergie.

Pour certains, cette conclusion est terrible….

Pas pour moi. Bien à vous. H. Dumas

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Histoire de vaccin

Aujourd’hui je souffle un peu, après une quinzaine en surchauffe où je suis témérairement monté au filet en espérant crucifier le fisc d’un smatch parfaitement ajusté qui malheureusement n’a servi à rien, l’arbitre était un vendu. Je reprends des forces pour le prochain set.

Etant à Montpellier pour des raisons mineures, je dis à mon épouse : “Et si nous allions nous faire vacciner ?”

Pourquoi pas, répond-elle. Nombre de nos relations sont vaccinées, nous n’entendons pas dire qu’elles seraient victimes d’une hécatombe, et le pic de contagion se rapprocherait.

Nous décidons donc de voir si cela est possible.

Nous appelons la plateforme dédiée qui nous répond qu’elle est débordée et que de ce fait elle ne répond pas. “Plus tard dit-elle…réessayez.”

Ce qui ne s’obtient pas par la force oblige à employer la ruse. Donc nouvel appel, répondeur, déroulement des différentes options et des numéros qui vont avec, jusqu’à la dernière qui vous incite en désespoir de cause à patienter : “un opérateur va vous répondre … puisque vous êtes trop débile pour choisir une de nos intelligentes options.”

L’opérateur répond, c’est une gentille opératrice. Je lui demande s’il y aurait de la pace dans un centre de vaccination à Montpellier ou pas très loin.

Si fait, il y a justement de la place à la clinique Saint Jean.

Nous y allons.

Une splendeur la clinique Saint Jean, un mélange de Versailles, Notre-Dame et Sainte Sophie, mais architecturée “façon uniformité des écoles d’architecture”.

Au fond d’un couloir, lui-même au fond du spectaculaire hall d’entrée type hôtel de Las Vegas, une petite salle d’attente occupée par deux ou trois vieillards cacochymes.

En face deux portes, une pour les piqures, occupée par une seule opératrice ; l’autre pour la propagande, occupée par deux personnes, une secrétaire et un personnage sans doute considérable mais sans marque distinctive.

Je frappe à la deuxième. Pas de réponse. Je pousse un peu le battant.

La secrétaire est surprise : “C’est pourquoi ?”  Pour un cornet de frites, évidemment.

J’explique donc que j’ai appris qu’ils avaient des vaccins et pas de client, que donc je me proposais pour écouler le stock.

“Comment, comment ? d’abord qui vous a dit ça ?”

“Et bien la plateforme” Cette chose essentielle à la vie en société : “la plateforme”, vous voyez, un truc basé on ne sait où, qui fait semblant de comprendre votre problème mais qui en réalité s’en fout complètement étant à des centaines, voire des milliers de kilomètres de là.

“Attendez, attendez, je vérifie” dit la gentille secrétaire qui en sait moins que la “plateforme”.

“En effet, nous avons des disponibilités immédiates pour les plus de 75 ans” Ce qui est mon cas. Bingo.

Ça roule. Le personnage considérable se désavachit sur son siège, je sens que l’interrogatoire santé va être poussé. Il ne crie pas Léon et les plumes de son derrière ne font pas la roue, mais avec un peu d’imagination… y a de ça.

C’est à cet instant précis que tout va s’écrouler.

Je dis : “C’est parfait, mon épouse aussi est là, plus jeune elle n’a que 72 ans, mais elle est aussi OK pour écouler le stock”.

Là le chef se bloque. “C’est impossible, les moins de 75 ans doivent être mourants pour recevoir le vaccin. Est-elle mourante ?”

Ben non. Il ne me dit pas de revenir quand elle sera mourante, mais il le pense visiblement.

J’ai le malheur de répondre : “Ah oui, suis-je bête, sous ce régime communiste il faut bien des règlements inhumains. Car enfin, je vis et partage tout, le bonheur comme le malheur, avec mon épouse depuis cinquante cinq ans, et vous voudriez que là ce jour, je sorte de chez vous avec le privilège du vaccin pendant qu’elle resterait exposée. Vous voulez introduire chez moi l’injustice ? Vous n’y pensez pas, pas même en rêve.”

Je suis devenu Charlie, le mot “communiste” a été dévastateur, et encore je n’ai pas dit “égalitariste”. J’avais blasphémé, il fallait partir.

Nous sommes donc partis, en nous gondolant comme des adolescents et en croisant les doigts pour que le Dieu des cons ne nous colle pas COVID par vengeance.

Bien à vous. H. Dumas

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Flory : bourreau fiscal ?

Je ne sais pas vous, mais moi j’ai deux hantises, deux peurs absolues, ce sont la croyance et la certitude. C’est un peu la même chose, seule la source les différencie, la croyance vient de l’extérieur, la certitude vient de l’intérieur.

Donner la mort s’appuie sur les deux à la fois. J’ai voté Mitterrand, cet homme si à l’opposé de mon raisonnement, uniquement parce qu’il était porteur de la suppression de la peine de mort. Prendre le risque de couper la tête d’un innocent est pour moi la pire des ignominies. Rien ne vaut ce risque, qui rapidement se transforme en indifférence générale pour la vie des autres.

Ne pas respecter la vie des autres est une conséquence des croyances et des certitudes. Le doute et le raisonnement, les deux piliers de l’intelligence, sont les seuls outils qui protègent la vie, mais ils ne protègent pas des indélicats, des escrocs, des truands, au contraire ils exposent à ces parasites.

Où les choses se compliquent c’est lorsque l’on prend conscience que ces évidences ne le sont pas vraiment dans les faits ; que l’opinion publique est traversée par les mêmes contraintes : croire et devenir conne et dangereuse, douter, raisonner et s’exposer à la prise de pouvoir par les escrocs.

Est-il utile de revenir sur ces grandes croyances qui ravagent l’humanité ? Un érudit pourrait s’attaquer à l’encyclopédie des croyances à travers les siècles et les sociétés, il ferait œuvre utile.

A mon petit niveau quelques exemples ordinaires. Je constate le grand mensonge de l’église : feindre d’ignorer la sexualité, pour devenir le nid des perversions sexuelles. Le grand mensonge du collectivisme : feindre d’apporter le confort matériel équitablement, pour devenir le lieu de la pénurie et de l’égoïsme exacerbé. Le grand mensonge de l’âge de la sexualité : prétendre qu’une cloison étanche existerait entre les moins et les plus de dix huit ans, pour devenir une excuse au mal être de certains qui accusent, utilement pour eux, le manque d’étanchéité de la fameuse cloison, alors que la littérature et la vie sont remplies des émotions liées à ce mensonge, au plus haut niveau aujourd’hui.

Ai-je réussi à transmettre mon dégout des croyances et des certitudes, ma passion pour le doute, le raisonnement et par conséquences l’importance que je donne à la conscience de l’erreur ?

L’erreur qui nous accompagne en tout, qui est la source de nos progrès, dont l’analyse est essentielle à la vie.

Nous avons tous souffert de ces abrutis qui ne se trompent jamais, qui avancent en écrasant tout sous les bottes de leurs certitudes.

Nous souffrons tous, des églises liées aux croyances des escrocs qui en prennent la tête pour assouvir leur envie de pouvoir et de privilèges, des technocrates hommes de l’église égalitariste qui nous gouverne.

Et Flory dans tout ça ?

Il propage la mort fiscale. Il exécute les condamnés fiscaux. Son service, dont il est évidemment responsable, passe son temps à poursuivre, à harceler, ceux qui ont été préalablement déclarés fraudeurs fiscaux.

Il n’y a pas plus de place chez lui pour le doute qu’il n’y en avait chez Fouquier-Tinville : ” Ce n’est pas moi qui devrais être traduit ici, mais les chefs dont j’ai exécuté les ordres. Je n’ai agi qu’en vertu des lois portées par une Convention investie de tous les pouvoirs. Par l’absence de ses membres, je me trouve le chef d’une conspiration que je n’ai jamais connue. Me voilà en butte à la calomnie, à un peuple toujours avide de trouver des coupables.”

A l’audience du Lundi 15 Mars, dont au risque de paraître immodeste j’ai publié ma plaidoirie, M. Flory a déclaré à la barre : “Je me demande ce que je fais ici ?”

Était-ce une provocation ou un éclair de lucidité ? Je ne sais pas.

Je sais par contre que je meurs victime de la croyance égalitariste qui couvre les pillages journaliers des Services Fiscaux.

Je sais que nous sommes des millions dans mon cas, je sais que la croyance interdit à ces millions de souffrants de comprendre leur souffrance, de lutter pour en éradiquer les causes.

Ainsi les milliers de courriers de menaces et ATD divers, expédiés par les services de M. Flory tous les ans, qui tombent dans des foyers la plupart du temps en difficulté, très souvent de façon totalement injuste parce que le contrôleur fiscal a agi sans contrepouvoir, dans une indécente impunité, n’ébranlent pas les certitudes de Flory.

Enfin pas complètement, car il y a un petit doute.

Je ne suis ni psychiatre ni psychologue, mais de ce que j’observe Flory ne me parait pas aussi cynique et monolithique que l’exigerait sa fonction. Je ne dirais pas qu’il a la poésie à fleur de peau, mais bon…

Flory peut-il être un Saul inversé ? Qui découvrirait sur le chemin des tribunaux — parsemé de certitudes comme pour le magistrat de lundi, mais aussi de doutes comme pour d’autres magistrats que j’ai eu l’occasion de croiser — que la croyance est le poison, que le doute et l’acceptation de l’erreur sont indispensables à la vie ?

La suite, en appel, nous le dira.

Bien à vous. H. Dumas

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Un après-midi avec Flory

Nous avons passé, Flory l’exécuteur de Bercy dans l’Hérault, l’homme des recouvrements, et moi le “fraudeur fiscal”, la plus grande partie de l’après-midi ensemble à la Chambre Correctionnelle du TJ de Montpellier.

C’est un homme charmant, calme, posé, genre Saint Just la beauté en moins, intelligent sans doute, mais un croyant pur et dur.

Il croit ou fait mine de croire que le Tribunal Administratif fonctionne, que la vie que nous avons, faite de confort et de beauté, est l’œuvre qui justifie les pillages fiscaux, qu’il ignore, tout étant, d’après lui, en règle dans son bisness.

Le TJ de Montpellier pense la même chose qui m’a condamné à 2000 € de je ne sais quoi plus 2000€ à Flory pour préjudice moral et un petit quelque chose pour les frais d’avocat.

Le harcèlement fiscal n’est pas en voie de reconnaissance, les harceleurs sont félicités et les harcelés condamnés.

Ici ma plaidoirie : PLAIDOIRIE du 15/03/2021

Vous n’aurez pas le reste de l’audience, dommage, mais c’est interdit et là, 4000€, ça suffit pour aujourd’hui.

Bien à vous. H. Dumas

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Qui partage ces réflexions ?

Il est temps d’agir, tout le monde en a conscience, mais peu vont dans le même sens.

Cela tient au fait que les cartes sont brouillées, volontairement ou involontairement, par les relais d’opinion officiels ou officieux. Les informations se superposent et se complexifient artificiellement créant un dense brouillard intellectuel et factuel dans lequel peu de radars arrivent à tracer la route.

N’y voyez aucune prétention — juste la chance de ne plus être impliqué dans rien, grâce à Bercy qui m’a isolé en me traitant de fraudeur fiscal – je me propose de vous soumettre la vérité vraie, toute nue, toute simple.

La voici

Au XIXe siècle nait une émotion humaniste légitimant, à juste titre, la lutte de la classe ouvrière alors particulièrement mal traitée. Elle prend le nom de communisme.

Cette émotion, à la suite d’un de ces hasards dont raffole l’histoire des hommes, a pris le pouvoir politique en Russie.

Elle échouera. Jamais une émotion, fût-elle belle et juste, n’a été en mesure de permettre de gouverner une nation.

En revanche cette émotion va rencontrer son église. Sakharov l’a explicité sans équivoque, plus que le communisme c’est la bureaucratie qui a brutalisé les russes.

Proposition d’explication

Les belles idées d’amour du prochain et d’égalité entre les hommes, chères à Jésus Christ, ne pouvaient qu’aboutir à la monstruosité d’une église bâtie sur ces noblesses, mais les deux pieds dans le triste réel de l’humain, qui nous a harcelé pendant deux mille ans.

De la même façon le communisme ne pouvait que, disparaître comme toutes les émotions y compris les plus belles, ou servir de noble cause à une église elle aussi fatalement monstrueuse puisque chargée d’imposer le dogme.

Le résultat

Toutes les églises imposent un dogme, toutes les églises sont des tortionnaires, à minima intellectuels, le plus souvent aussi physiques.

Toute structure qui écrase l’individu, qui ne respecte pas sa liberté d’être, de penser et de posséder, commet un crime contre l’humanité.

La bureaucratie russe a inventé l’église communiste, qui en s’adaptant au monde économique libéral est devenue l’église égalitariste.

Le but de toutes les églises est de prendre le pouvoir, d’abord pour le plaisir de l’exercer, ensuite et éventuellement pour imposer une vision uniforme de la vie, une croyance.

L’église égalitariste a sa croyance : l’égalité matérielle. Elle a ses officiants : les technocrates.

Vu sous cet angle, tout s’explique y compris les alliances de cette église avec l’économie. Aussi les différentes obédiences en cours, dont par exemple l’écologie.

Cette église est mondialiste. La technocratie égalitariste parle toutes les langues — dont le camembert et la courbe — vit sous tous les cieux, est universelle.

Egalitariste et dogmatique, elle ne peut que pratiquer le pillage et la censure intellectuelle. Deux monstres.

Au final, un constat, l’individu en tant que tel disparait.

La France, très tôt touchée par le phénomène, a retranscrit cette disparition dans sa constitution.

En effet si la constitution en vigueur — du bout des lèvres et dans son préambule — se réfère à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, modèle universel de la liberté individuelle, c’est pour l’oublier très vite.

Elle n’a pas une ligne pour la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, qui elle pourtant prône la liberté individuelle avec raison, puisque pensée à la suite des folies déployées par les Etats patrons ayant abouti à la guerre mondiale de 1939.

A la place, notre constitution actuelle met en avant celle que nous nous sommes donnés le 27 Octobre 1946, qui est une ode à l’irresponsabilité individuelle, à l’Etat providence, donc au communisme et à l’évolution égalitariste de son église technocratique.

Ne parlons pas de la constitution de 1958 qui ne dit mot des libertés individuelles, qui simplement organise l’Etat conformément aux vœux du Général De Gaulle.

Nous sommes donc face au pire.

Nous avons le devoir d’agir, comme l’on fait nos ancêtres face au monstre ecclésiastique catholique.

Je suis incompétent en violence physique, donc il ne faut pas compter sur moi pour une insurrection, qui pourtant se justifierait.

En revanche je n’ai pas peur du débat politique, c’est donc sur ce terrain que je vous propose d’agir ensemble.

La proposition est simple

Nous créons un parti politique que nous appelons :

                                        La FFR (Fédération de la France Réelle)

Ce parti prend l’engagements d’imposer trois droits dont vous verrez en y réfléchissant que tous nos actes peuvent trouver leur place dans ces trois droits :

                              – Le droit à la sécurité des personnes et des biens

                              – Le droit à la justice

                              – Le droit au marché

Nous avons un an pour faire vivre ce parti, trouver un candidat, avoir les signatures nécessaires et présenter ce candidat aux élections présidentielles de 2022.

Dans notre projet de société l’homme sera libre et responsable.

Le réel devra terrasser la croyance.

J’entends bien, les réflexions

          – Mais pour qui vous prenez-vous ?

          – Créer un parti politique ? vous n’y pensez pas.

          – Un programme aussi restreint, comment le défendre ?

          – Et le fric ? et l’organisation ?

Figurez-vous que je ne trouve pas tout cela bien sorcier. Déposer les statuts d’un parti, enfantin. Défendre une organisation simple, au service de tous, et rendre aux français leur liberté, pas du tout compliqué.

La vraie difficulté est tout autre. Il s’agit d’éradiquer la croyance égalitariste, de convaincre l’opinion publique du fait que la liberté et la responsabilité permettent d’arriver à tout, l’esclavage et le dogme à rien.

Personne ne me rejoindra ? Possible en effet.

Sauf lorsqu’il s’agit de tout casser, c’est rarement la foule qui entreprend.

Nous verrons bien. Dès que nous pourrons nous réunir, je vais louer une salle à Paris, je vous y inviterai, alors nous nous compterons.

Bien à vous. H. Dumas

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COVID – USA – NOUS

Une conclusion se dégage de la tempête que nous sommes en train de traverser.

Le COVID s’avère être une maladie saisonnière dont les dégâts sont plus importants que la grippe habituelle, particulièrement pour ceux qui ont déjà des problèmes de santé ou une fragilité due à l’âge.

En réalité une maladie dont les précautions à prendre pour s’en protéger le mieux possible et pour la soigner sont très différentes selon chacun, donc un problème majoritairement personnel.

Et là, nos hommes de l’Etat arrivent sur leurs beaux chevaux blancs.

Leur discours est le suivant : “Il en est parmi vous qui sont trop cons pour se soigner tout seul, et ils sont majoritaires. Mais heureusement nous sommes là, nous qui sommes très intelligents et avons fait sacrifice de notre vie pour protéger les cons.

Vous allez voir ce que vous allez voir. D’abord interdiction aux personnes intelligentes de se soigner elles-mêmes, fusse en faisant appel à leur médecin personnel.

Nous prenons tout en main. Nous réfléchissons, à une dizaine, pour les 66 millions d’abrutis que vous êtes.

D’abord pas de soins, laissez-nous réfléchir… dommage si vous crevez, mais nous devons réfléchir intensément pour votre bien. De nous ne peut que jaillir la lumière.

Ça y est, on a bien réfléchi, on vous enferme. Génial non ? Moderne.

L’idéal serait que vous ne respiriez plus, que vous restiez immobile où vous êtes, que vous ne bougiez plus pendant un an.”

Comment ça ? Mais ce n’est pas possible.

“Ne vous inquiétez pas, on s’occupe de tout.”

En effet. Nous constatons tous le résultat.

Nous pouvons aujourd’hui affirmer deux choses :

– Le collectivisme égalitaire, façon technocratique, ne fonctionne pas en ce qui concerne la santé, sujet pour lequel l’individu doit être responsable et libre. La science venant en appoint ne doit pas être kidnappée au passage par les hommes de l’Etat pour leur servir de moyen de pouvoir.

– C’est la même chose pour tout, pour l’économie, pour la culture, pour l’éducation, pour la famille, etc…

Alors ?

Alors, il serait temps que les hommes et femmes de bonne volonté se ressaisissent et foutent un grand coup de pied au derrière de ces escrocs égalitaristes déguisés en hommes de l’Etat. A la porte. Que chacun de nous retrouve la liberté, la responsabilité, la dignité.

Nous sommes assez grands pour nous occuper de notre vie, de celle de nos enfants, de celles de nos vieux parents, puis de notre retraite.

Que l’on arrête de nous piller contre des promesses vaines, irréalistes, mensongères, qui in fine nous ruinent, ne nous apportent que malheur et souffrances.

Oui mais, me direz-vous, et les cons ? On les laisse tomber ?

D’abord, iIs sont beaucoup moins nombreux que ce que l’on vous dit et la plupart, qui ne le seraient pas, le deviennent à cause des promesses auxquelles ils croient.

Pour les autres, les profonds, les indécrottables, valent-ils le sacrifice de votre vie ? Je vous laisse juge.

Les USA 

Bingo les USA viennent de signer un bail pour l’égalitarisme.

Ils croyaient avoir gagné le bras de fer contre ce virus lors de l’effondrement du communisme, en réalité c’est là qu’ils ont perdu.

Le virus égalitaire est bien plus sophistiqué que le communisme qui lui a donné naissance, il a fini par tuer l’URSS trop rustre, il est parti proliférer ailleurs.

Aujourd’hui il envahit l’Amérique, contamination démocratiquement majoritaire.

L’épisode de la droite flamboyante Trump n’était qu’un leurre inutile, qui ne pouvait qu’accélérer le processus technocratique égalitaire. Trump n’était pas la liberté, mais un vison identique en négatif du communisme, du pouvoir détenu par une élite autoproclamée au détriment de la liberté de tous.

Toutes ces oppressions, tous les pouvoirs abusifs, aujourd’hui se dissimulent derrière l’égalitarisme, l’Amérique n’y échappe pas.

Mais l’égalitarisme n’existe pas sans son corollaire le pillage.

Les américains entre dans le tunnel, dont nous qui y sommes depuis quarante ans ne voyons pas le bout, alors eux…

Oui mais, les américains sont tous armés… ça peut péter.

Attendons. Bien à vous. H. Dumas

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