Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Les Roubeix : le couple infernal

Ce n’est pas douteux, je suis inscrit sur le “mur des cons”.

Ne pensez pas que j’ai soudain la grosse tête, il ne s’agit pas évidemment du célèbre “mur des cons” national, celui du syndicat de la magistrature où étaient affichées les stars — à l’époque à la craie sur un tableau, aujourd’hui plus discrètement dans les mémoires des magistrats –. Ce n’est pas mon niveau.

Plus simplement, la majorité des hommes de pouvoir mélange devoir et ressentiments, pouvoir et raison. C’est hélas humain.

Ils vivent mal l’exposition de leurs décisions, ils sont affectés quand elles sont critiquables et critiquées, ils n’hésitent pas alors à se venger en utilisant leur pouvoir au service de leurs émotions personnelles. Ce qui est très grave, mais très courant.

Evidemment, cela est tout particulièrement vrai pour les Services Fiscaux et pour les tribunaux, aussi pour la police, finalement partout où la force et la contrainte sont disponibles accompagnées de l’impunité.

Dans le combat que je mène contre les mensonges cupides du fisc et leurs effets dévastateurs je rencontre constamment ce genre de réaction.

Je ne compte plus les fonctionnaires du fisc qui ont perdu les pédales dans les dossiers me concernant, qui s’acharnent aujourd’hui contre moi avec pour seul objectif ma mort économique et physique, qui ont perdu de vue la réalité des dossiers.

Je citerai Brabant évidemment, Martino aussi. D’autres sont plus mesurés, pas au point que je puisse dès à présent rendre hommage à leur objectivité, peut-être un jour…

Chez les magistrats ils sont plus rares à craquer. Il faut avouer qu’une partie importante des magistrats a le cuir solide, est capable de garder son sang-froid et sa mesure dans ce marigot judiciaire où Bercy les entraine.

A La Rochelle, surprise, un couple de magistrats pète un câble, et je peux en apporter la preuve.

Le couple Roubeix n’écoutant que son émotion, servile devant le Bercy local, me tue gratuitement. Incroyable.

Lui, juge de l’exécution au TJ de La Rochelle, met en vente, par un jugement du 5 Juin 2019 — pour une créance fiscale dont il ne peut ignorer qu’elle n’existe pas, qu’elle est le fruit d’un complot fiscal – dix maisons m’appartenant dans l’île de Ré au prix de 103 000 € l’une, soit moins de la moitié de leur valeur.

Il sait que ma lutte contre le fisc, qui paralyse tous mes biens, m’a mis dans une situation d’endettement critique, que cet endettement risque de me voir artificiellement et injustement ruiné.

Malgré cela et bien qu’il soit amené, pour éviter le ridicule lors de la vente, à n’engager la vente que pour sept maisons, il refuse de me libérer les trois maisons qu’il ne vend pas, dont la vente m’aurait permis de me mettre à flot, donc de pouvoir continuer ma lutte contre le fisc.

La vente forcée est prévue le 2 Décembre 2020, mais le fisc fait défaut.

Suspense.

Bercy a engagé une procédure devant le TJ de Paris le 9 Novembre 2020, soit un mois avant la date de la vente forcée, contre l’hébergeur de ce blog, sans que nous le sachions, avec pour résultat la fermeture du blog le 11 Février 2021, comme vous le savez.

En fait Bercy ne voulait pas que ce blog puisse faire état de cette vente indigne.

Bercy demande donc, le 2 Décembre 2020, au magistrat Roubeix de reporter la vente.

Là, Bercy demande l’impossible. La loi est très claire, le défaut du fisc entraine la nullité de sa saisie-attribution, donc la vente ne peut pas être reportée, la procédure doit être annulée.

Roubeix, à l’audience, se confond en excuses verbales auprès de l’avocat du fisc, mais il annule la procédure. Dans son jugement :

“Il est équitable de laisser à la charge de la SARL LES HAUTS DE COCRAUD les frais irrépétibles qu’elle a exposés…. Déboute la demande de report de la vente forcée formée par le Comptable du pôle de Recouvrement de Charente-Maritime et par le Syndicat des Copropriétaires de la Résidence LES HAUTS DE COCRAUD ;

Constate la caducité du commandement de payer valant saisie en date du i6 août 2019; Ordonne la radiation de la procédure de saisie immobilière diligentée par le Comptable du Pôle de Recouvrement de Charente-Maritime à l’encontre de la société SARL Les Hauts de COCRAUD;

Déboute la SARL LES HAUTS DE COCRAUD de ses autres demandes…”

Pas d’article 700 au profit de la SARL qui pourtant subit les contraintes, pas de levée d’hypothèque pour les trois maisons non incluses dans la vente annulée, donc trésorerie toujours bloquée, depuis 15 ans, par les hypothèques fiscales. Roubeix ne lâche rien.

L’affaire suit son cours.

Le fisc reprend sa procédure, très légitimement la SARL la conteste, d’abord par le recours préalable obligatoire, puis aujourd’hui devant le TA de Poitiers.

Ma société de son côté vend les dix maisons. Sept au prix de 250 000 € la maison, donc couvrant la fausse créance fiscale, garantissant sa créance au fisc quelle que soit l’issue du recours engagé.

Dans ces conditions, il est légitime que les trois maisons inutiles à la couverture de la fausse créance fiscale retrouvent leur liberté, que leur vente me permette de sortir de l’état de dette dangereux dans lequel je vis depuis plus de dix ans.

Je fais donc une demande, de cantonnement de l’hypothèque couvrant la fausse créance fiscale, de levée de l’hypothèque sur les trois maisons, devant le TJ de La Rochelle.

Et là, alors que ce tribunal compte une trentaine de magistrats, je tombe sur la Roubeix du couple Roubeix. Trop fort.

Qu’est ce qu’elle fait la Roubeix ?

Elle me plante. Elle refuse la levée de l’hypothèque, elle me ruine.

Mais — et c’est là que c’est quand même succulent –, pour en arriver là elle est obligée de mentir, de se ridiculiser, de se découvrir :

“Les deux hypothèques légales prises par l’administration fiscale sont donc toujours en cours et rien ne justifie leur mainlevée…En l’espèce, la SARL LES HAUTS DE COCRAUD ne produit aucun élément pouvant établir la valeur des biens hypothéqués. Les seuls éléments communiqués sont en effet des offres d’achat sans aucune suite et un acte sous seing privés daté du 29 décembre 2020 très imprécis, puisqu’aucune pièce n’est jointe notamment aucun plan permettant de s’assurer que le candidat acquéreur a connaissance des lots sur lesquels il postulerait.”

Ce texte est un grand morceau de bravoure.

On y apprend qu’une vente de plus de deux fois supérieure aux dettes revendiquées ne justifierait pas la mainlevée des hypothèques !!!

Que des offres d’achat qui ne peuvent pas être authentifiées momentanément pour cause d’hypothèque sont déclarées “sans suite”…

Qu’enfin une société qui a signé un accord, déposé chez un huissier pour date certaine, qui a versé 50.000 € d’acompte sur un achat de 1 750 000 €, qui fait des travaux dans les maisons, qui les loue actuellement, serait un acquéreur qui “n’aurait pas vraiment connaissance des lots sur lesquels il postulerait”….

La messe est dite

La volonté de nuire est évidente. Aussi celle de voir disparaître par faillite l’encombrant Dumas, qualifié opportunément de “fraudeur fiscal” pour certains, de “procédurier” pour d’autres, “d’emmerdeur public” voire de “dangereux maniaque” pour tous les croyants en la nécessité du pillage des autres sacrifiés sur l’autel de l’égalitarisme.

Que voulez-vous ma brave dame, si l’on veut répandre le bien autour de soi, il faut s’en donner les moyens, quitte à piller ces richards que sont tous ceux qui possèdent plus que nous.

Je ne vous cache pas que la position de “présumé coupable” est difficile à vivre.

Car en fait, la Roubeix, quel est le fond de sa pensée ? Elle pense que je suis un sauteur, une petite frappe, prête à truander, à faire des faux pour faire croire que je vends quelque chose pour lequel en réalité je n’aurais pas d’acquéreur. Vous vous rendez-compte des dégâts ?

Car si ce n’est pas cela sa pensée, il faudrait admettre que c’est uniquement la méchanceté, voire la jalousie, qui l’anime, ce que franchement je me refuse à croire.

Notez, on papote, on papote, je vous raconte, mais je n’arrange pas mon cas. Je fais appel évidemment, ils vont me tuer par fidélité de groupe.

Il ne faudrait donc jamais rire de ses tortionnaires. Mais alors, que reste-t-il ?

Le grand silence de l’univers ? On y sera bien assez vite…

Bien à vous. H. Dumas

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Sophie ROUBEIX , la dérive judiciaire.

Cette magistrate du Tribunal Judiciaire de La Rochelle pourra, après avoir lu ce billet, décider de me poursuivre, y compris de me jeter en prison.

Il est interdit, article 434-25 du Code Pénal, de critiquer un magistrat ou l’institution judiciaire : ” Le fait de chercher à jeter le discrédit, publiquement par actes, paroles, écrits ou images de toute nature, sur un acte ou une décision juridictionnelle, dans des conditions de nature à porter atteinte à l’autorité de la justice ou à son indépendance est puni de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende.”

En même temps la constitution reprend les droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui autorisent dans leur article 2 à résister : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. »

Sophie ROUBEIX pourra même arguer de préméditation, puisque je sais effectivement parfaitement ce que je fais : Je résiste et dénonce l’inacceptable oppression.

Je ne suis pas une association politique, mais c’est en route, nous allons le devenir.

La question qui se posera alors sera la suivante : La perte de nos droits, de nos libertés, de nos vies, gagnées au prix de la souffrance de nos ancêtres, ne peut-elle faire l’objet que de discours éthérés et philosophiques, sommes-nous interdits de dénoncer nommément ceux qui trahissent nos libertés, nos institutions ? Pour moi la réponse est NON.

Qu’est-ce qui ferait que l’autorité judiciaire ne puisse pas être critiquée ? L’idée qu’elle aurait raison, même lorsqu’elle a tort ? L’idée que les magistrats seraient d’infaillibles surhommes ? Ou l’idée que les hommes de l’Etat qu’ils représentent veulent pouvoir condamner et tuer sans avoir à rendre de comptes ? Quelle différence dans ce cas avec la lapidation ?

Contre quelle oppression je me bats ?

Je me bats contre l’oppression de l’égalitarisme. Cette croyance qui a complètement envahi notre société, au point que tous sont contaminés.

L’égalitarisme qui permet aux hommes de l’Etat de piller des minorités au profit illusoire d’une majorité qui en réalité ne voit rien des recels de ce pillage, dont le fruit a simplement changé de mains par la force des fusils, alors qu’il avait été le plus souvent conquis par l’intelligence et le travail, par la différence, par la sélection des meilleurs.

Qu’espérer d’une société qui détruit ses producteurs, ses meilleurs, au profit de ses ratés, de ses moins bons ? Rien, elle ne peut pas aller bien loin. D’ailleurs elle touche le fond et n’est pas loin de couler.

Ce n’est pas faire de l’élitisme de dire cela, la place reste pour la compassion, la charité, la compréhension et l’amour de l’autre, l’aide, l’empathie, qui n’impliquent pas l’égalitarisme cette utopie mortelle, contraire au sens de la vie, faiseuse de haine.

Dans la pratique cette oppression est mise en œuvre par la “redistribution”, spécialité de Bercy.

Le pillage ainsi renommé commence et finit comme tous les pillages.

D’abord le pillard déconsidère le futur pillé, il fait croire à la foule qu’elle sera la bénéficiaire du pillage mais qu’il faut au préalable qu’elle dénonce et haïsse ceux qu’il va voler, jusqu’au point où elle pourra oublier leur humanité. Alors il volera et tuera en paix.

C’est cela mon combat, il est possible qu’il paraisse inutile, perdu d’avance, prétentieux, qu’importe, il faut bien que quelqu’un s’y colle, car la réalité est là, le meurtre est pour demain, ceux qui ne l’ont pas compris vont être surpris.

Le cas ROUBEIX

Poursuivi par le fisc pour des sommes que je ne dois pas, depuis vingt ans ma vie et celle de ma famille sont un calvaire.

Le fisc a bloqué tous mes biens, il vise ma ruine. Pour me faire payer ce que je dois dit-il. En réalité le fisc sait que je ne dois rien de ce qui m’est demandé, mais il sait aussi qu’il n’a de compte à rendre à personne et que pour qu’il puisse piller à sa guise il faut que la terreur s’installe.

Donc Henri Dumas n’est pas visé personnellement, je suis juste un excellent relais d’opinion pour que chacun comprenne que se battre contre l’oppression égalitariste, contre Bercy, pour sa liberté, est suicidaire et ne peut mener qu’à la ruine.

Je me retrouve devant ROUBEIX de la façon suivante.

Un stock de 10 maisons dans l’île de Ré est bloqué pour une fausse créance fiscale de 1,2 M€.

Déjà, 10 maisons dans l’île de Ré, chacun comprend que c’est un motif suffisant pour être légitimement pillé.

Donc la fausse créance fiscale, accompagnée de la qualification de “fraudeur fiscal”, passe haut la main toutes les étapes de l’ineffable Justice Administrative, qui ressemble à la justice comme moi à un évêque. Tout va bien pour les pillards, Brabant en tête.

Je m’entête et naïf, puisque croyant être sujet d’un état de droit, je continue le combat devant le Tribunal Administratif. 

Dans le même temps je trouve des acquéreurs pour les dix maisons qui représentent plus que la fausse créance contre laquelle je me bats.

Donc je me retrouve devant la ROUBEIX pour lui expliquer que la fausse créance du fisc étant garantie je souhaite qu’elle me laisse vendre trois maisons et en toucher le montant dont j’ai besoin pour payer les dettes que j’accumule dans mon combat.

Elle prend un jugement le 2 Mars 2021.

Qu’est-ce qu’elle dit ?

Elle considère que la créance du fisc est certaine, elle me dénie donc le droit de continuer à lutter pour faire apparaitre la vérité.

Elle met en doute mes ventes, arguant que sans doute mon acquéreur n’a pas très bien compris ce qu’il achetait. Je rêve.

Comment peut-elle m’accuser ainsi, finalement de mensonge, de combine, sans la moindre preuve ? Que n’a-t-elle fait part de ses doutes à l’audience, me laissant alors le temps du délibéré pour la rassurer, s’il en était vraiment besoin ?

En réalité, elle s’en fout de la justice, elle veut juste participer au lynchage.

Elle apporte sa pierre au pillage, ils ont tant besoin d’argent ces égalitaristes, alors un qualifié de “fraudeur fiscal” : à la trappe.

On me conseille de fournir en appel toutes les preuves. Pourquoi faire ? Ils trouveront autre chose, c’est le pillage qui les intéresse, pas la justice.

Inutile de monter dans le train de la mort, elle est certaine au bout, mieux vaut mourir les armes à la main, sa dignité intacte.

Je ne dois rien ni au fisc, ni à cette justice dévoyée, ils ne me font pas peur, l’histoire les jugera, je me contente de mon intégrité, leur pouvoir ils peuvent se le tailler en pointe et…

Bien à vous. H. Dumas

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Cette croyance qui nous tue

Bonjour,

Bien à vous. H. Dumas

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Le COVID et l’hôpital

La lutte titanesque de la liberté face à l’oppression “administrato-égalitariste” a trouvé son paroxysme à l’occasion de la maladie dénommée COVID 19.

Elle est là, sournoise, dissimulée, cette lutte. Mais intense, bien qu’inconsciente pour la plus grande part des protagonistes.

L’histoire fera-t-elle le tri, trouvera-t-elle la vérité ? Rien n’est moins sûr tant tout est caché, faussé par des croyances aussi profondes qu’irréalistes.

Nous avons d’un côté l’hôpital, au-dessus de tout soupçon. Ne forme-t-il pas nos médecins, étant à la fois acteur et transmetteur ? Comment pourrait-il faillir ? Quelle désespérance alors.

Il porte aussi toute la superstition face à la maladie. Qui voudrait s’attirer le courroux de la chance en critiquant l’hôpital, ou tout simplement être laissé des heures sur son brancard en cas d’accident pour avoir critiqué l’hôpital ?

De l’autre côté il y a la médecine libérale qui, profitant de la soif de santé alimentée par des progrès spectaculaires, a vu naître une classe de professionnels privilégiés dont les honoraires ont été dissimulés à la patientèle par une astuce pseudo-mutualiste lui faisant croire qu’elle était soignée gratuitement, l’ensemble basculant dans l’hyper soin rémunérateur.

La lutte entre les deux protagonistes est structurelle et feutrée.

D’un côté la planification, la bureaucratie, les courbes et camemberts, l’assurance arrogante, la science autoproclamée, la modestie économique individuelle mais le coût global illimité.

De l’autre l’engagement personnel, la proximité, l’affectif, mais la mise à niveau irrégulière, le besoin d’actes pour le train de vie et son imposition, l’appartenance à une classe supérieure récente mais si visible et si largement hautaine.

C’est l’hôpital qui est du côté du pouvoir et de l’opinion publique, parce que chaque hôpital a pour Président de son Conseil d’Administration le maire de sa commune et que le Directeur de l’hôpital sait que le maire est son esclave politique face à l’opinion publique qui l’élit.

C’est sur ce champ de bataille qu’arrive COVID.

L’hôpital, pris au dépourvu, ne connait rien à cette maladie, son image de lieu unique de la science médicale est en danger immédiat.

Le secteur privé s’en fout. Il est, par essence, un habitué de l’inédit, c’est son socle, son moteur, sa raison d’être. Il est probable que son adaptabilité va lui permettre de gérer l’essentiel de la crise, ne laissant à l’hôpital que les cas désespérés, donc les morts.

Déjà largement en difficulté, l’hôpital ne peut pas se permettre une telle déroute, il est prêt à tout pour l’éviter, ne représente-t-il pas la fine fleur de l’aristocratie “administrato-égalitariste” ?

L’hôpital appel à la recousse ses obligés politiques. Ils répondent présents, leur intérêt est double, ne pas s’attirer les foudres des fonctionnaires de la santé, se parer de l’étiquette de défenseurs à tout prix de la santé.

La messe est dite.

Le délire va commencer. D’abord “pas touche” aux malades pour la médecine libérale, exclusivité aux hôpitaux.

Alors arrive la course à la surenchère, l’exhibition publique de l’échec annoncé sous-tendant l’énorme difficulté et les sacrifices qui vont avec. Applaudissement de l’opinion publique. Le chantage va s’intensifier jusqu’à un point de non retour.

Mais, et c’est là que les choses sont drôles – enfin si l’on veut –, l’escroquerie sociétale a des conséquences qui vont tout emporter.

L’hôpital évidemment, mais bien plus. Les élus, girouettes de l’opinion publique, vont-ils rester fidèles à la pression de l’hôpital ou vont-ils retourner leurs vestes face à la pression de ceux qui meurent du désordre engendrer par les chantages de l’hôpital et non du COVID?

La mort de l’économie due à l’hégémonie de l’hôpital lui sera-t-elle pardonnée ?

Je ne parierais gros sur ce coup. Je crains que l’hôpital ait joué au-dessus de ses moyens. Ceux qui ont applaudi tous les soirs à 20h seront, comme toujours, les premiers à flinguer l’hôpital quand ils vont comprendre la vraie nature de cette crise de la santé publique : un combat entre “l’administrato-égalitarisme” et la réalité, la vie, le libéralisme.

Combat qui va peut-être décider du sort de la guerre entre les deux antagonistes : la croyance et le réalisme.

Bien à vous. H. Dumas

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BERCY et l’incitation à la haine

Au prétexte que nous porterions atteinte à leur personne, des bourreaux de Bercy ont tenté de faire fermer notre seul moyen d’expression, la soupape de sécurité de notre désespérance, notre arme virtuelle : ce blog.

Ils y sont arrivés, une petite semaine.

Ils nous reprochent d’expliquer des faits vrais, qui les concernent, et de donner leurs noms. Ils ne remettent pas en cause les faits que nous dénonçons, ils ne nous traitent pas de menteurs, ils exigent simplement l’anonymat pour ces faits de torture avérés.

Dans le même temps tout le monde peut constater que nous ne nous cachons pas, que nous n’agissons pas anonymement.

Tout cela est énorme et mérite une analyse à la recherche de la vérité, puisque l’issue sera le tribunal judiciaire – mais aussi populaire –.

Bercy, puisque c’est Bercy qui paie les procédures engagées par ses petits soldats, est, nous le savons tous, le champion toutes catégories confondues du détournement de finalité.

Ceux qui ont eu un contrôle fiscal un peu vif savent que Bercy arrive même à détourner de leur finalité ses propres lois, son gigantesque Code Fiscal.

Ici Bercy détourne un texte qui vise à protéger la liberté d’être et de penser, qui tente de juguler la haine raciale, d’origine ou de pensée.

A partir de ce texte — La loi pour la confiance dans l’économie numérique du 26 Juin 2004 — Bercy s’adresse directement au tribunal pour faire ordonner aux hébergeurs la suppression des propos qui le dérangent, sans que leurs auteurs soient entendus, sans que ces propos soient préalablement analysés librement et contradictoirement devant une juridiction libre et publique.

En droit cela s’appelle une lettre de cachet.

Lettre de cachet dont Bercy a l’habitude puisque ce pillard procède systématiquement de la sorte. Bercy ne connait pas la constitution et traite ses pseudos délinquants, qu’il fabrique à la pelle et nomme “fraudeurs fiscaux,” à coup de lettres de cachet. Les recours judiciaires étant postérieurs à ses pillages et obligatoirement engagés devant les tribunaux administratifs dont la vocation est de servir l’Etat, donc Bercy.

Qu’en est-il vraiment ?

L’incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination raciale est définie ainsi : c’est le fait de pousser par son attitude des tiers à maltraiter certaines personnes, en raison de leur couleur de peau, de leur origine ou de leur religion.

Le mot religion pourrait paraître restrictif. Ce n’est pas le cas, puisque la religion est, elle, définie comme un système de pratiques et de croyances en usage dans un groupe ou une communauté.

La présence de Dieu n’est pas formelle, il est donc possible dans ces conditions d’affirmer que l’égalitarisme, dont Bercy est le bras armé, est une religion.

La vérité

L’égalitarisme n’a aucune réalité universelle, ce n’est qu’une excuse au pillage — Bercy étant le pillard effectif –.  Il s’agit d’une croyance forte pouvant être qualifiée de religion.

Cette religion est totalitaire, elle ne supporte aucune contestation et surtout pas l’appel à la raison et à la liberté de penser qu’est le libéralisme.

L’égalitarisme c’est la haine de l’autre, toujours considéré comme privilégié en quelque chose qui manque à l’égalitariste, frustré impénitent.

L’égalitarisme et Bercy distillent la haine à longueur de journée, dans tous leurs propos.

Ils ressassent que tout irait bien si l’on pendait haut et court les “fraudeurs fiscaux”, sans que l’on sache ce que recouvre exactement l’idée de fraude fiscale.

Disons que globalement, aujourd’hui, toute personne qui gagne bien sa vie et fait mine d’en profiter est pour la population — fanatisée par Bercy et croyante en l’égalitarisme — probablement un “fraudeur fiscal” qu’il serait bon de dépouiller.

Ainsi l’incitateur majeur à la haine dans notre pays est Bercy.

Il suffit pour s’en convaincre d’assister à une émission évoquant les impôts pour voir se pavaner, en juge impitoyable, un représentant de Bercy qui va accuser à tour de bras.

C’est cet incitateur de haine qui obtient la fermeture de notre blog. C’est le monde à l’envers.

Pour moi l’image de la mauvaise foi c’est le défenseur des loups qui prêche pour leur liberté et qui, à ce titre, n’hésite pas à voir la destruction des brebis comme normale. Comme si les brebis n’avaient pour destin que d’être sacrifiées pour que les loups soient libres.

J’ai l’impression d’être la brebis sacrifiée sur l’autel de Bercy et de l’égalitarisme, alors que je ne fais que brouter dans mon pré carré, en emmerdant les autres le moins possible.

La prédation n’est pas de mon côté, elle est du côté des égalitaristes, dont la croyance n’existe qu’accompagnée du pillage.

Ces vérités ne sont pas bonnes à dire. Mais au fond, qu’importe, qui les entend ?

Bien à vous. H. Dumas

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YOUTUBE – BERCY – CRIME CONTRE L’HUMANITE

Ce jour, Mercredi 24 Février 2021, à 0h57, Youtube censure notre chaine “Temoignagefiscal” à la demande de Bercy.

Bercy ne supporte pas d’être accusé de “CRIME CONTRE L’HUMANITE”

Après avoir fait fermer notre blog en s’en prenant aux hébergeurs, qui n’ont pas beaucoup résisté, Bercy s’attaque à Youtube, qui ne résiste pas davantage.

Essayons d’y voir un peu plus clair.

“Le crime contre l’humanité est un acte criminel à l’encontre d’un groupe humain, violant gravement les droits de la personne.” C’est ce que dit le Robert.

Qui peut, en dehors des hommes de l’Etat donc de l’Etat, violer gravement les droits de la personne au niveau d’un groupe humain ? Personne.

Or les crimes contre l’humanité sont jugés par La Cour Pénale Internationale, qui ne peut être saisie que…. par les Etats.

Sauf lorsque la législation de l’Etat prévoit la poursuite du Crime contre l’Humanité, comme en France depuis le 26/12/1964, mais ce sont exclusivement les assises qui peuvent être saisies, et seuls les hommes de l’Etat sont en mesure d’engager cette saisine.

Dans tous les cas les victimes sont donc à la merci de leurs bourreaux potentiels pour voir leurs droits évoqués devant une juridiction dans le cadre du crime contre l’humanité.

Vaste pantalonnade. Résultats nuls.

Dans la pratique, le crime contre l’humanité n’est poursuivi que par les Etats, à condition qu’ils soient vainqueurs et exclusivement contre les vaincus. Victimes, passez votre chemin.

Or, au niveau mondial, le crime contre l’humanité est le plus banal, le plus constant, le plus courant et le plus impuni qui soit.

Le crime contre l’humanité n’échappe pas à la logique de tous les crimes. Il y a la période avant le crime, le crime lui-même et la période après le crime.

La période qui précède le crime

Le crime contre l’humanité est perpétré par les hommes de l’Etat, mais il ne peut l’être qu’avec l’accord express ou tacite de leur population.

Cette population ne répond qu’à un seul stimulus : le pillage.

Tous les crimes contre l’humanité ont pour origine l’idée d’un pillage légitime, couvert par les hommes de l’Etat.

Rappelons que le pillage est la base de la vie sur la terre, que l’homme a fait la preuve de son excellence à ce sujet, que ce que l’on appelle le marché, la liberté individuelle, la propriété privée ne sont qu’une régulation supportable du pillage. Cette régulation n’élimine pas la souffrance, mais elle contient le crime. Toutes les autres méthodes de pillage finissent à terme par un crime contre l’humanité.

Pendant la période qui précède le crime contre l’humanité, les hommes de l’Etat font miroiter à leur population l’idée qu’elle va pouvoir piller certains qui auront au préalable été diabolisés au point que ce pillage pourra apparaitre comme légitime, comme utile à la communauté humaine.

Le crime lui-même

Commis donc par des croyants il est sans limite. Imperceptible sauf pour les victimes, quelques sages infime minorité, et les spectateurs extérieurs qui se gardent bien d’intervenir.

Il véhicule, à l’échelle du groupe, toutes les excitations de l’interdit qui vont du plaisir de la transgression à l’exercice du pouvoir suprême de donner la mort.

L’idée d’équilibre, de justice, la compassion, l’empathie, tout cela est emporté comme fétu de paille par l’ouragan du crime contre l’humanité.

C’est un moment de pure folie où la raison n’a plus sa place.

Après le crime

Nul n’est intact. Tous sortent hébétés. Immédiatement tout se met en place pour un nouvel épisode à venir, qui sera déclenché par les rancœurs, la cupidité ou la curiosité.

Après le crime il est trop tard, c’est avant qu’il faudrait intervenir. Nuremberg n’a servi à rien. Depuis il est arrivé aussi grave, voire pire, sans émouvoir la race humaine.

Ce que nous exposons qui ne plait pas à Bercy, c’est sa responsabilité dans l’installation du crime contre l’humanité à venir, probablement sous peu. Nous nommons les responsables que nous avons à connaître, accompagnés des preuves les accusant.

De façon globale, par ses méthodes Bercy stigmatise une partie de la population.

Au lieu que tous participent en pourcentages égaux de leurs revenus aux dépenses communes, les hommes de l’Etat, à travers Bercy, font en sorte de désigner une catégorie qualifiée de “riche” pour la piller.

Cette partie de la population est en réalité porteuse du capital dont tous ont besoin, que les hommes de l’Etat dilapident. Au terme de cette dilapidation, proche maintenant, le pilage sera, c’est inévitable, accompagné du crime.

Il l’est déjà en partie pour certains.

Pour ceux qui sont sacrifiés à la nécessité pour Bercy d’installer la terreur fiscale qui fait le “bon contribuable”. Le fisc agit de la façon la plus anticonstitutionnelle qui soit en poursuivant, sans leur accorder les garanties juridiques de bases, ceux qu’il accuse de fraude fiscale. Aussi en percevant sur tous, y compris les plus pauvres qu’il fait mine de défendre, des taux d’imposition attentatoires à la liberté.

Bercy installe les prémices du crime contre l’humanité, Bercy le sait, Bercy ne veut pas que cela se sache.

Nous le disons, Bercy nous censure…. Youtube acquiesce. C’était donc cela la fameuse liberté du net, l’avenir de l’humanité par les réseaux sociaux. Un fiasco….

Bien à vous. H. Dumas

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Ne nous trompons pas d’objectif

Ici ou là, au détour de réflexions ou d’écrits, revient régulièrement l’idée que nos fonctionnaires s’enrichiraient sur notre dos, notamment leur élite.

D’une part cette idée est fausse, d’autre part elle masque le vrai problème et elle dessert ceux qui espèrent sortir du marasme dans lequel nous sommes autrement que par une crise profonde, voire une guerre civile.

Oui, nos fonctionnaires sont des planqués irresponsables, pire ils nous imposent un égalitarisme qu’ils ne pratiquent pas, c’est leur fond de commerce, c’est ce qui justifie leur abondance numérique incompressible, et c’est là que se situe le drame.

La philosophie égalitariste, qui se traduit dans les faits par une solidarité obligatoire, imposée, est l’inverse de la nature, de l’évolution de cette nature que la majorité de ces fonctionnaires prétend défendre.

Nul groupe d’êtres vivants ne protège ses imbéciles en propulsant aux commandes ses andouilles, tout en entravant volontairement ses forces vives, notamment ses intelligences.

Les égalitaristes prônent cela. Je suis même étonné de ne pas trouver chez les écolos-égalitaristes des défenseurs du virus COVID, qui après tout, dans un délire “naturalo-égalitariste”, aurait le droit de vivre comme toute autre cellule

L’évolution naturelle, qu’aujourd’hui personne ne met en cause, n’offre pas d’exemple de réussite d’êtres vivants liée à la suprématie des faibles et à l’éradication des forts.

L’inversion actuelle est suicidaire.

L’ordre naturel des choses peut choquer, il est heureusement tempéré par la compassion, l’empathie et la charité, la solidarité volontaire, le regroupement ponctuel et aussi volontaire, mais il ne s’inverse jamais. L’inversion est suicidaire, mortelle, destructrice.

Résumons-nous

Rien ne justifie le nombre stupéfiant de fonctionnaires, leur prise de pouvoir, si ce n’est leur prétention à imposer un monde plus juste, parce que plus égal, plus régulé.

Or, force est de le constater, ils arrivent à l’exact inverse.

La crise sanitaire est là pour nous le prouver, même si nous ne pourrons jamais démontrer qu’assumée libéralement, par la médecine de ville, elle aurait été beaucoup moins grave.

En effet, il aurait fallu pour cela que l’opinion publique soit rompue à l’exercice de la maîtrise de son destin. Or les fonctionnaires déploient des prodiges de persuasion pour lui démontrer qu’elle n’en est pas capable.

Il y a un long chemin explicatif à parcourir, semé d’embuches, pour convaincre l’opinion publique que sa liberté serait sa force, y compris d’ailleurs chez les fonctionnaires.

C’est pourquoi le raccourci de la critique des revenus est nuisible, parce que faux.

Les fonctionnaires, enfin l’élite comme partout, travaillent beaucoup et, à responsabilité égale, elle est nettement moins payée que dans le secteur privé. Sans compter qu’elle n’a aucune perspective possible de fortune, elle doit se contenter des honneurs. Même punition pour les élus.

Il ne faut jamais avoir fréquenté un élu de haut niveau ou un fonctionnaire de ce type, pour ignorer le délire de leur temps de travail, et même si quelques-uns sont véreux, comme partout, leurs ambitions financières sont vites bloquées.

Donc, répandre le bruit qu’ils se gavent les conforte dans leur idée imbécile de sacrifice.

Ce ne sont ni le sacrifice ni le travail qui font avancer la vie, c’est le progrès, la créativité, l’intelligence, l’intuition, le sens de la vie, la clairvoyance, et là nos fonctionnaires sont en échec.

Evitons de les accuser de ce qu’ils ne sont pas des profiteurs largement payés, et accusons-les de ce qu’ils sont, des prétentieux bouffis d’orgueil, planqués, néfaste à l’évolution, contraire à la vie, dont le pouvoir nous tue.

Bien à vous. H. Dumas

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Patrick Poivre d’Arvor : violence, contrainte et soumission.

Dans les années 1980 j’ai eu l’occasion de recevoir Patrick Poivre d’Arvor pendant une semaine à Sète, dans le cadre d’une manifestation que j’avais créée et que je gérais alors.

Plutôt discret par rapport à sa notoriété, ouvert et sympathique, sans prétention, il a passé la semaine dans le sillage d’une jeune actrice niçoise présente, Sophie Duez, qui était aussi gentille que jolie. Aujourd’hui cet homme est présenté comme un prédateur sexuel. Il m’était apparu comme un dragueur impénitent, mais pas plus que 90% de mes invités, qu’ils fussent hommes ou femmes.

Sans que je m’en sois aperçu, il m’a été rapporté bien après que nuitamment les couloirs des hôtels où je logeais tous ces prestigieux invités bruissaient des pas de ceux qui changeaient de chambre plusieurs fois par nuit.

Aujourd’hui on parle de non-consentement, d’emprise, de contrainte et pour conclure de viol.

Il y a quelques années, peut-être quatre ou cinq, je me suis trouvé à la table voisine de Harvey Weinstein dans un restaurant de plage à Saint Tropez. Je ne l’ai trouvé ni beau, ni discret, mais monumental. Pendant tout le repas se fût un défilé de jeunes starlettes venant se présenter à lui, quasiment en offrande, la plupart accompagnées de leur mère ou d’un chaperon plus âgé.

Aujourd’hui j’assiste, étonné je l’avoue, à une débauche journalière de délations.

Je constate que le viol parait être un phénomène courant, alors que je le pensais exceptionnel. Il toucherait donc la majeure partie des rapports sexuels, tous ceux qui sont engagés sans une attestation signée, valable pour une seule fois, certifiant qu’il n’y aucun quiproquo, que les deux parties sont consentantes et ont leur pleine conscience au moment de la signature.

Cette violence, sexuelle ou non, liée au pouvoir, je l’ai rencontrée en politique évidemment, mais aussi dans le monde des affaires, de la culture, de la recherche, de l’enseignement, sur la route… bref partout.

Le COVID n’est-il pas l’image même de cette violence à laquelle nous sommes tous confrontés à chaque instant de notre vie ? N’est-elle pas inhérente à la vie ?

Psalmodier sans cesse face à la violence, de façon ciblée, est-ce en mesure d’éradiquer ladite violence et surtout est-ce sincère ?

Est-ce bien la violence qui est dénoncée, où ces dénonciations ne sont-elles pas elles-mêmes justement une expression de la violence ?

Avez-vous, quelque part, entendu parler de la violence fiscale ? Celle que vous vivez chaque jour qui passe, qui vous détruit à petit feu, dont vous ne pouvez pas parler, nulle part, que nul n’est prêt à écouter, non.

N’imaginez pas que je sois sans compassion pour celles ou ceux qui sont victimes d’un viol, bien sûr que non. Mais j’ai effectivement peu de tendresse pour ceux qui s’approchent du pouvoir et qui pensent qu’ils ne vont rencontrer que bisounours et bonnes manières. Qui crient quand ils se sont brulés.

Evidemment le pouvoir est dangereux, le tenir à distance est un effort de chaque jour.

La violence ne se dénonce pas dans la presse, ce n’est pas un jeu de rôle pour grand public, elle ne peut pas devenir une violence médiatique réclamant la légitimité de la masse, un lynchage plus violent que les violences qu’il dénonce.

Elle se combat pied à pied, jour après jour, d’abord en soi, puis en affrontant les violents, en les mettant devant leur réalité, pas en leur cédant pour aller crier au scandale ensuite.

Sur ce blog nous affrontons la pire des violences, le pillage. Nous ne nous plaignons pas, nous rendons coup pour coup, quitte à être condamnés pour cela.

Les délateurs publics, les “Charlie”, se donnent bonne conscience à moindre coût, et finalement ne font que rajouter de la violence à la violence.

La délation de masse est une violence majeure, c’est bien ainsi que le fisc l’ordonne et l’utilise.

Bien à vous. H. Dumas

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Destins et pensées croisés

Pendant que pour lui je fais la manche…  il la rejoint.

Manche alors !!! Pas de manche.

Dans la manche, aura-t-il le bras long ?

Vous avez dit : “manche… quoi ?” Ah bon…

C’est où la manche ? Juste après la cognée.

Varennes c’est dans la manche ? Mais non….

Se retrouver dans la manche… pour lui qui pourtant n’est pas un manche de la saisie-attribution.

En ce qui le concerne, c’est pas encore dans la poche mais c’est déjà dans la manche.

Hélas, après Hervé arrive évidemment un nouveau bourreau tout frais et tout pimpant, plein d’énergie et gonflé aux ATD et saisies-attributions, cela sans fin, pour les vieux résistants que nous sommes c’est Camerone.

Bien à vous.

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Fournel, Brabant et Rombaut font fermer notre blog.

Les trois lascars, préposés au pillage pour cause de solidarité, sont ulcérés de se voir grandeur nature sur notre blog.

Convenons qu’ils ont raison. Si nous avions les mêmes activités de pillage qu’eux — ce qui n’est quand même pas vraiment concevable — nous aspirerions à la discrétion, et nous serions probablement très contrariés de nous retrouver sur le net en pleine activité.

Ils prétendent que nos observations, pourtant strictement objectives, seraient diffamatoires. En même temps ils n’en sont pas si sûrs, vous allez comprendre pourquoi.

Les hommes de l’Etat, nos protecteurs, qui pensent et réfléchissent pour nous, ont pondu la loi du 21 juin 2004 pour la confiance en l’économie numérique.

Je vous explique : c’est une loi  qui est destinée à protéger notre liberté d’expression en permettant de saisir directement l’hébergeur, pour l’amener devant un tribunal et l’obliger à virer un de ses clients.

Comme le dit la loi, c’est pour que l’on ait confiance en eux, des fois que vous n’auriez pas confiance dans les hébergeurs, ce serait dommage…

Bref, les ordonnances :

OVH VS BRABANT MINUTE 11 FEVRIER 2021 

OVH VS FOURNEL MINUTE 11 FEVRIER 2021 

Attention, ces ordonnances sont basées sur une loi qui vise surtout les opérateurs anonymes, plus particulièrement les terroristes, les illuminés qui prônent la violence, le meurtre, le viol, les sectes sataniques, nique, nique, etc…

Mais aussi, c’est tout nouveau, ceux qui disent pis que pendre de Fournel, Brabant et Rombaut. Parce que c’est très mal de dire du mal de ceux qui vous ruinent, vous jettent dans la misère, détruisent votre vie, s’ils le font pour la solidarité.

Arrêtons-nous un instant sur Jérôme  Fournel. Jusqu’à peu il était le Directeur Général des Services Fiscaux, de Bercy quoi. Un homme au dessus de tout soupçon.

Donc Jérôme engage contre moi une action devant le TJ de Paris au titre de la fameuse loi contre le terrorisme numérique.

La Juge, youpi, est folle de joie. Pensez-donc, ce n’est pas tous les jours que l’on peut rendre service à une telle pointure, quand on est un magistrat du premier degré.

Elle y va à fond, vous l’avez lu.

Oui, mais quand même, cette loi, il y a l’article 4, qui dit :  “Le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes mentionnées au 2 un contenu ou une activité comme étant illicite dans le but d’en obtenir le retrait ou d’en faire cesser la diffusion, alors qu’elle sait cette information inexacte, est puni d’une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 Euros d’amende.”

Or, figurez-vous que l’article dont se plaint le gars Fournel, non seulement il n’est pas diffamatoire puisqu’il s’agit d’une citation directe dont on verra bien ce qu’en dira le tribunal saisi, mais en plus il est prescrit. Donc le motif diffamatoire ne peut pas être évoqué. L’article date du 6 Mars 2020, il est prescrit depuis au pire le 24 Août 2020, l’action de Fournel elle date du 3 Novembre 2020.

Fournel tombe sous le coup de l’article 4 de la loi. Fournel est un délinquant passible d’un an de prison… ben mon vieux !!! C’est un bon et gros détournement de finalité.

Ce n’est guère mieux pour Brabant.

Enfin, le blog est réouvert, nous oublierons vite toutes ces manières de petits dictateurs. Ils ont plus de soucis à se faire que nous, à la lumière de ce qui se passe et de ce qui va se passer.

Quand aux hébergeurs qui ont quand même fermé le blog pour des revendications bidons :

  • OVMH a demandé à être condamnée pour pouvoir nous virer. Et au lieu de nous avertir, ils ont carrément fermé le blog, mettant tous les auteurs et les lecteurs dans le noir.  Cela vaut bien une citation directe pour entrave à la liberté d’expression. Citation OVH
  • Google, vous apprécierez la qualité de sa défense, sa dignité. Des seigneurs…
  • Quant à Archive Host, pour rire, la lettre de leur avocat et ses fautes d’orthographe. 17.02.2021 – Archive Host – Résiliation de compte

Enfin tout cela est fini. Et, c’est la quatrième fois que Bercy tente de faire fermer ce blog, ils ont du temps libre pour pas grand chose.

Nous sommes là, nous pétons la santé, prêts à continuer à dénoncer la mortelle solidarité.

Bien à vous. H. Dumas

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Solidarité : crime contre l’humanité ?

Je revendique le droit d’une part de poser la question, d’autre part d’apporter ma réponse. Je ne revendique pas celui d’avoir raison, ni celui d’imposer ma réponse aux autres.

Je crois utile d’abord de définir ce qu’est pour moi, et pour Wikipédia, la solidarité : c’est une obligation d’assistance à l’intérieur d’un groupe défini.

Ce n’est qu’une obligation matérielle dont les variables sont la définition du groupe, la forme de l’obligation et sa répartition.

Ce n’est donc pas un sentiment : ce n’est pas de l’empathie. Ce n’est pas un acte naturel de générosité : ce n’est ni la charité ni la compassion. Ce n’est ni un acte librement consenti, ni la recherche d’une justice d’équilibre : ce n’est pas une volonté mutualiste choisie, ce n’est pas une réponse à la haine, au désordre, bien au contraire.

La solidarité est une obligation qui vient de loin.

Elle s’exprime depuis toujours dans le cadre familial dont les membres, pratiquement dans toutes les sociétés, se doivent obligatoirement assistance. Cette obligation, depuis les mêmes temps, est contestée ou détournée. Elle est souvent fatale.

C’est en son nom que les familles dans la misère sont tentées de mettre au travail leurs enfants de dix ans.

L’inédit développement mortel de la solidarité

Vers le milieu du 19ième siècle la science et l’industrie font faire à l’homme occidental un progrès fulgurant, jamais encore connu dans l’humanité.

L’économie est la principale bénéficiaire apparente, tout particulièrement son socle — la monnaie et les biens, la propriété privée — qui alors accapare le mot “capital”. Il va devenir un nom générique à son seul usage, au point que le capital des autres activités n’aura plus de nom défini.

Ainsi le capital intellectuel, c’est-à-dire la somme de ce qui est connu et acquis, que l’on doit transmettre, ne peut pas s’appeler capital, donc ne s’appelle plus, ne se définit plus… La même chose arrive au capital scientifique, culturel, politique, religieux, etc…

Les termes “capital, capitaliser” — qui définissent cette qualité particulière qui fait que l’humanité est différente de l’animalité parce qu’elle est capable d’acquérir, de conserver et de transmettre toute sorte de choses — ont été sacrifiés à la simple définition du progrès économique, plus apparent que les autres.

C’est regrettable, surtout parce que rien n’a remplacé ce terme pour toutes les autres activités qui revendiquent leur “non-capitalisation”, un mensonge tragique.

C’est à cette époque que, pervertissant la lutte légitime des classes pour l’accès à un partage équilibré, des théoriciens ont inventé la notion de solidarité convertible en prélèvements obligatoires au détriment du capital de l’économie.

Rares sont ceux, comme Frédéric Bastiat, qui ont vu arriver la catastrophe matérielle et humaine sous l’erreur sémantique.

Si la solidarité avait émietté le capital culturel, scientifique, philosophique, c’eut peut-être été un moindre mal, et encore…

Donc au milieu du 19ième l’idée est lancée de piller le capital économique au profit de la solidarité. Cette idée ne va pas s’arrêter, aujourd’hui elle a envahi l’intégralité du monde occidental.

Le crime contre l’humanité

L’idée d’assistance obligatoire séduit évidemment, à l’exception de ceux pour qui l’obligation est mortelle.

Car la fameuse obligation va engendrer des dérives qui iront jusqu’à la perte de vue de la dignité de l’homme. Le pillage induit sera terrible parce que légal.

Apportée par des fanatiques peu éclairés, tel que cela se produisit en URSS ou ailleurs, la solidarité échoue fatalement lorsqu’elle est appliquée à des groupes pauvres où le pillage ne peut pas exister puisqu’il n’y a rien à piller. Alors elle tue assurément.

Au contraire, elle a pu survivre en occident sur la richesse et l’inventivité des acteurs économiques, un peu aussi sur leur capacité à piller les autres peuples faibles du monde et donc à payer aisément l’obligation de solidarité. L’argent acquis facilement se dépense facilement.

Aujourd’hui, très affaiblie par la solidarité, l’économie de l’occident vacille.

Mais la solidarité est devenue une croyance, plus tenace et plus intense que toutes les croyances religieuses.

Il n’y a pas de “Charlie” lorsqu’il s’agit de critiquer cette croyance, ou tout simplement de la montrer du doigt, telle qu’elle est : une machine à pilier d’abord, à répartir ensuite mais très relativement et surtout vers ses adorateurs.

La critique est alors assimilée au blasphème, dont pourtant les accusateurs se prétendent les remparts.

Exemples des conséquences de la solidarité :

La dette. Liée un peu au COVID, énormément à la solidarité.

Certains parlent de l’effacer. Qu’ils relisent leur histoire. A Rome le débiteur indélicat devenait l’esclave de son créancier en cas de défaut.

Rien n’a changé. D’où croient-ils que vient l’argent de la dette, ceux qui envisagent de ne pas la rembourser ?

Probablement de groupes qui se paieront sur la bête. Ont-ils la capacité de défendre physiquement leurs biens mis en hypothèque par les hommes de l’Etat ? Il y a bien longtemps qu’ils ne brillent plus à ce sujet, ils devraient en être conscients.

Le corporatisme. La solidarité corporatiste, comme les autres, pille d’abord et répartit ensuite. Par exemple chez les architectes, la population est pillée de son droit à créer librement, pendant que les architectes se partagent un monopole qui génère une architecture académique indigeste et uniforme sur tout le pays.

Chez les avocats, la population est pillée de son droit à présenter librement sa cause devant les tribunaux où elle se heurte aux connivences entre Magistrats et avocats, sauf au pénal. Mais gageons que cet espace sera réduit et qu’alors pas un seul avocat ne se lèvera pour défendre la liberté des prévenus ou des parties civiles à plaider seuls leur cause.

Le darwinisme. Un groupe peut-il indéfiniment abattre ou affaiblir ses éléments forts au profit de ses éléments faibles, et survivre ? Difficile de prendre position, c’est une première.

La preuve a été apportée que la recherche de l’amélioration exclusivement par l’élite est suicidaire, pour ma part il en sera de même pour son inverse. Il faut de tout pour faire le monde, des forts et des faibles.

C’est cet état de fait qui génère l’empathie, la charité, l’assistance aux personnes en danger. Cela n’a rien à voir avec le confort qui serait dû aux fainéants ou aux incompétents qui revendiquent la solidarité

Nos droits, notre devoir.

C’est évidemment de dénoncer la solidarité qui, déguisée en bonne action, n’est qu’une machine de guerre consacrée au pillage, à la diffamation de ceux qui tentent de résister ou d’ouvrir les yeux de la société avant que mort s’en suive pour tous.

Alors oui, je dénonce Fournel, Brabant et compagnie, au plus haut niveau, parce qu’ils sont conscients de ce qu’ils font, du mal qui en découle et qu’il est probable — à ce niveau — qu’ils y trouvent plaisir et profit.

Mais ne nous cachons pas que les crimes contre l’humanité n’ont jamais, jusqu’à ce jour, pu être dénoncés avant leur survenance. L’horreur qu’ils portent en eux, attisée par la croyance, n’est jamais visible au moment des faits, sans quoi ils n’auraient pas lieu.

Il en est ainsi de la solidarité.

Nous parlerons dans les jours qui suivent de la dérive de la solidarité, de son aspect structurel, inévitable, qui en font un crime contre l’humanité.

Bien à vous. H. Dumas

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Tout n’est qu’une question de temps

Lorsque j’ai décidé de résister au fisc, je pensais que ce serait dur, mais je me croyais à arme égale tant on m’avait bourré le mou avec : “la France est un pays de droit” et le pompon “Nous sommes tous égaux devant la justice”.

Donc j’ai analysé mes droits, les différents conflits. J’avais entièrement raison. Donc, selon la théorie, je devais être comme l’on dit : “remis dans mes droits”, c’est à dire gagner les procès que j’engageais contre Bercy qui était complètement en tort.

Globalement il n’en fut rien, il n’en est toujours rien. Je perds systématiquement.

Alors, comme tout le monde, je suis parti dans les délires habituels.

On m’en veut personnellement. Qui ? Qu’importe.

Mon avocat n’est pas bon. Le pauvre…

Je suis tombé sur un magistrat vicieux, voire con comme ses pieds.

Le communisme s’est emparé de la société, je suis donc visé — Un peu prétentieux —

Aujourd’hui je pense qu’il n’est rien de tout cela, ou si peu…

Le problème est un problème de temps.

L’administration en général, et fiscale en particulier, a devant elle un temps illimité.

Alors que l’administré n’a que le temps de sa vie, dont il prend conscience, étonné, au fil des procédures.

Ainsi vous voilà dans la vieillesse, bientôt la mort donc la disparition du combattant que vous êtes, alors que l’administration est là, toujours là, se renouvelant indéfiniment.

Ainsi l’administration peut-elle accuser sans vergogne et sans limite de temps, ce qui donne à ses rédacteur une absence totale de conscience, puisque le temps n’existant pas pour eux, la raison n’existe pas non plus. Leurs dires ont peu de chance d’être sanctionnés, pendant que les vôtres n’auront pas le temps de vaincre leur mauvaise foi, qui va rester constante d’un bout à l’autre des années qui passent.

Votre énergie perdra en intensité, leurs magouilles au contraire se crédibiliseront avec le temps.

Bien mieux, un jour ils sont face à vos héritiers, qui ne connaissent pas ou peu vos dossiers, vos motivations, qui vont avoir du mal à contrer la constance du fisc dans le mensonge qui finira par devenir réalité.

Car, avec le temps les faits s’estompent au profit des procédures perdues face à des magistrats qui n’ont ni les compétences ni l’envie de vérifier les mensonges du fisc.

Le cumul des procès perdus fait écran à la vérité, devenant eux-mêmes vérité.

Il en est ainsi pour le fisc, mais aussi pour toute autre administration.

Tout comme le fisc les mairies, les préfectures, les agglomérations, les régions, les ministères, les hôpitaux, les gendarmeries, les tribunaux, etc… sont éternels, ont le poids du temps pour eux, ils sont comme le dit Valery pour figurer la constance de la mer, “sans cesse renouvelés”.

Ainsi, fraudeurs fiscaux innocents, le temps vous rendra coupable.

Seule une révolution, un anéantissement sociétal, la faillite de l’Etat, la ruine du système peuvent vous sauver.

Peu de chance donc. Bien à vous. H. Dumas

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Sans nous ce serait pire

C’est le mantra des dictateurs, les clefs de la caverne de Platon.

C’est avec cette formule, dans sa version ultime :“Sans nous les autres vont vous tuer”, qu’a pu être édifié le mur de Berlin.

Sans vouloir faire ombrage à La Boétie, depuis toujours les despotes présentent la servitude comme protectrice, alors qu’elle aboutit à l’exact inverse, elle expose.

L’alliance des rois et de l’église menaçait les populations des foudres de Dieu en cas de désobéissance libertaire.

Étrangement cette folie gagne en premier ses bénéficiaires.

Je veux dire que rares sont les dictateurs non habités par elle, sans excuse, qui n’auraient comme discours que : “j’ai les fusils vous faites ce qui est bon pour moi, point barre”.

Toujours l’on trouve l’idée — du plus petit regroupement la famille au plus grand le monde –, répandue chez les despotes, qu’ils sont les garants de l’intégrité des autres, payable en soumission. J’ai l’intime conviction qu’ils croient eux-mêmes à ce concept, dit “du bon berger”.

Quant aux victimes, aux soumis, aux esclaves.

Il y a bien sûr parmi eux des complices par intérêt tel que cela est décrit par La Boétie, mais il y a aussi et surtout des peureux de la liberté.

Cette liberté, support prétendu de Mai 68, dont on sait aujourd’hui qu’elle était en réalité une façade pour, tout simplement, une bande de pédophiles ou de hippies — j’ironise cela va de soi —

La liberté : “que vais-je en faire ?” se dit le taulard, projeté sur le trottoir devant la prison où il a passé dix ans, sans savoir que son angoisse est partagée par une foultitude qui n’a jamais été incarcérée mais à qui cependant la liberté procure le même vertige.

Ce vertige précède la crédibilité du despotisme, sa signature : “sans nous ce serait pire”.

A partir de ce concept, implacable, non critiquable, théorème majeur, la liberté va pouvoir être bridée de façon illimitée.

Il est inutile d’avancer des arguments qui ne trouveront jamais de preuve. Comment savoir si ce qui n’a pas été fait aurait pu être mieux que ce qui a été fait, puisque ce ne sera jamais fait ?

En même temps, cette devise oblige ceux qui l’utilisent à contrôler la liberté, elle suppose que personne n’aura la liberté de faire autrement au risque de prouver que cet autrement est mieux.

Macron est un despote, au moins sanitaire.

Il applique, de façon drastique, systématique, la complainte du “sans nous ce serait pire”, chaque jour qui passe, que ce soit directement ou par l’intermédiaire de ses ministres.

Je le soupçonne de ne pas être très intelligent tant il le fait sans finesse. Comme Todd, je pense que l’ENA n’est pas un lieu de sélection de d’intelligence, même si cette école mesure la capacité à apprendre, à retenir et à recracher, mais exclusivement dans l’ordre établi.

Jusqu’où le despote Macron va-t-il se laisser entrainer par le mantra dont nous parlons ?

Jusqu’au bout probablement. Pour deux raisons.

Je le crois suffisamment naïf, à l’égal de tous ceux qui acceptent de se faire tripoter par leur curé ou leur prof de gym – même s’ils le regrettent amèrement plus tard –, pour ne pas percevoir que le postulat “sans nous ce serait pire”, qui doit lui être seriné à longueur de journée, est l’assise du despotisme.

Je le crois suffisamment noyé, perdu, débordé, mais orgueilleux, pour ne pas percevoir les signes évidents de son erreur amplifiée par l’adhésion des soumis de naissance.

Nous allons donc devoir supporter cette situation, le lavage de cerveau qui va avec, la destruction systématique de toutes les tentatives de solutions alternatives, la restriction de toutes nos libertés de penser et de circuler, l’effondrement des initiatives privées par asphyxie, finalement l’effondrement de l’économie et les servitudes aux autres que cela entrainera.

Tout un programme toxique lié à peu de chose, l’idée que ” sans eux se serait pire”.

Bien à vous. H. Dumas

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News ou brève de comptoir

Les stars payent de leur personne.

Adepte du partage, Claire Chazal se donne à fond.

Elle offre aux nécessiteux la bagatelle de 40.000 € en plus de ses impôts — il est vrai réduits puisqu’elle profite de tous les abattements prévus pour les journalistes.

Délicate comme on la connait, pour ne froisser personne, peut-être aussi pour que le don ne devienne pas pour elle une deuxième nature, elle a eu l’astuce de donner de telle façon que le public croit que ce fut contre son gré : elle a été cambriolée.

On imagine aisément que ses cambrioleurs étaient d’authentiques nécessiteux. Qui cambriolerait sans être poussé par le besoin ? Même Bercy cambriole sous l’emprise de la nécessité, forcé par le fleuve dépensier des élus et de la fonction publique.

Qu’importe, quelle classe la Claire, c’est clair.

Elle a même pu aller porter plainte pour donner le change. Ce qui ne met pas ses protégés en danger, tant il y a si longtemps que l’on a pas vu la police élucider des cambriolages et s’intéresser à la notion de propriété.

Donc, Claire chapeau.

Notons qu’elle n’est pas la seule dans son cas. Bien des anonymes donnent ainsi en faisant mine de ne pas être d’accord pour ne pas froisser les bénéficiaires et agir dans une discrétion de bon aloi. Il en est ainsi de ceux qui font semblant de se faire racketter sur la route, ou directement par Bercy, ou tout simplement comme Claire qui se font cambrioler, ils sont et seront d’ailleurs probablement de plus en plus nombreux.

L’égalitarisme peut et doit prendre toutes les formes, y compris les moins académiques.

Bravo à Claire, et à bientôt.

Bien à vous. H. Dumas

 

 

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Qu’ont-ils dans la tête ?

Au moment où l’Amérique se pose des questions sur la domination des noirs par les blancs, ces questions sont formulées de telle sorte que la réponse induite serait qu’il s’agit d’un problème racial.

Je ne pense pas que ce soit le cas.

Je ne crois pas aux problèmes raciaux. Je crois que les émotions humaines ne sont aucunement rattachées à la race, j’en veux pour preuve que des enfants jeunes se lient facilement, égalitairement, indépendamment de toute notion de race.

J’en conclus que la soumission et la domination, exacerbées aux Etats-Unis, sont les rejetons d’une organisation matérielle où la force a pris la place de la liberté, cela dans un but simple et unique : le pillage.

Tout est question de pillage.

Après avoir pillé les autochtones — les Amérindiens — les envahisseurs blancs européens ont importé et pillé des esclaves noirs. C’est un fait.

Je ne juge pas et ne me pose pas en moralisateur, c’était une époque où cela se pratiquait, c’était ainsi.

Mais je constate qu’à cette époque, globalement, cela paraissait normal au plus grand nombre. C’est un peu dur quand même.

J’ai du mal à croire aujourd’hui qu’il existerait, chez nous comme ailleurs, des problèmes raciaux.

Par contre, et quelles que soient les excuses derrière lesquelles ils se cachent, les actes de domination insupportables, mortels, sont légions, avec pour but, toujours et encore, le pillage.

Le pillage est pour moi l’explication à tout, le reste n’est que maquillage. Ce maquillage comprend la politique, la religion, la philosophie, etc… tout ce qui en général se prétend au-dessus des contingences matérielles, attitude qui permet le pillage déculpabilisé.

Le pillage est-il inéluctable ? C’est-à-dire que tout échange supposerait un gagnant et un perdant, donc un pilleur et un pillé. Je ne le crois pas.

Je crois que l’échange peut s’établir au profit des deux contractants, je crois même qu’il est impératif qu’il en soit ainsi, que c’est uniquement quand il en est ainsi qu’une société peut se prétendre civilisée.

La première partie de ma vie, consacrée à l’architecture et aux affaires, a été pour moi l’occasion de mettre en pratique ma croyance en une économie où les bénéfices sont répartis en fonction de l’apport de chacun à une transaction. Car évidemment, qui ne fait rien n’a rien me parait aussi une évidence.

A cette époque, j’ai rencontré la grande distribution naissante, dont les ambitions sociales et économiques étaient passionnantes, elles ont définitivement modifié l’échange.

Puis soudain, et je ne m’explique toujours pas comment, tout est parti en vrille. La corruption a envahi le monde de l’économie.

Il me semble que la faute est attribuable aux politiques qui ont eu besoin d’argent facile pour acheter la population, qui s’est avérée particulièrement vénale.

Les entrepreneurs ont été consentants, ils n’ont pas défendu l’honneur de leurs activités économiques. Les élus dressaient devant eux de faux obstacles administratifs, ils payaient pour les contourner en faisant mine de trouver cela normal, mais en faisant comprendre qu’ils savaient pour pouvoir monnayer leur silence.

Je suis parti, écœuré. Je n’ai donc pas connu la grande distribution flamboyante, j’étais alors convaincu qu’elle serait inévitablement nationalisée, nous n’en sommes peut-être pas loin.

La deuxième partie de ma vie, j’ai rejoint le camp des pillés, des blacks US. J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’un accident, d’une erreur. Puis d’une querelle de personnes que j’aurai accidentellement froissées au point qu’elles souhaiteraient ma mort.

Mais au terme de vingt ans, je suis formel, il s’agit d’un pillage institutionalisé, anonyme et global. Bercy, pour appeler un chat un chat, est un outil très sophistiqué de pillage.

J’ai payé, et je paye encore, pour pouvoir en rapporter la preuve.

Mais, c’est incroyable — et c’est là que je me pose la question, mais que ce passe-t-il dans leurs têtes ? – tout le monde s’en fout, tout le monde vit et profite du pillage.

La majorité des américains blancs pensent que les noirs méritent le sort que les blancs leur font subir, la majorité des français pensent que les pillés du fisc méritent le sort qu’ils sont heureux qu’on leur fasse subir.

Et pourtant

Les signes de ce paillage sont visibles, perceptibles.

Ceux qui profitent du pillage sont parfaitement conscients. “- Rentre dans la fonction publique mon fils, tu auras la planque, pas de responsabilité, un bon salaire, une bonne retraite, pas trop de boulot, de bons syndicats, que veux tu de plus ?”

Oui, quoi de plus ? Être un homme qui s’assume, qui prend des risques, qui se bat, qui veut être libre et juste pour lui, pour tous.

— Pourquoi faire ?

— Eh bien juste… parce que ce ne peut pas être autrement, non ?

— Vous rigolez, regardez autour de vous, C’EST autrement.

En effet, merde.

Ceux qui pillent, sont-ils conscients ? Je ne sais pas ? Je me demande si les becs ouverts et les piaillements de ceux qui profitent ne leur donnent pas finalement l’impression qu’ils font le bien.

Je ne comprends plus rien, mais je constate, comme aujourd’hui où je me suis présenté devant des magistrats — nous en reparlerons — pour une affaire simple, où je ne crois pas avoir été entendu, où mon urgence a dû paraître ridicule puisque le délibéré est à un mois.

Quand je vous raconterai, les bras vous tomberont.

Je paierais cher pour comprendre comment les cerveaux de la majorité de mes concitoyens ont pu se polluer à ce point en quelques années. Ont pu perdre de vue la vérité, toute humanité, et se mettre à piller à tout va.

Mais au bout de ce pillage, en dehors de ma disparition, qui ne me parait pas un évènement mondial, qu’espèrent-ils trouver ?

Sont-ils tout simplement cyniques ? Alors, je les plains.

Comment voient-ils dans leur tête l’avenir de leurs pillages ?

Je ne sais pas, je cherche.

Bien à vous. H. Dumas

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Quand le net se grippe

 

Il apparait clairement que COVID a tué.

Sans que l’on puisse affirmer qu’il ait été beaucoup plus mortel que les maladies habituelles, puisque la grippe saisonnière aurait été aux abonnés absents cette année.

Il est vrai que l’on entend beaucoup de choses et finalement il est bien possible que l’affaire ne soit pas autre qu’un chambardement historique lié au bouleversement sociétal dû au net.

Je vous soumets mon idée.

Les désaccords sont le charme de la race humaine.

Cela va des certitudes de la manière de lancer le cochonnet à la pétanque aux réglages des pneumatiques d’une formule 1, en passant par la vraie bouillabaisse doit-elle inclure des patates ou la vitesse de la lumière est-elle ou non indépassable ?

Ces désaccords sont en règle générale l’apanage d’un petit cercle de spécialistes, ils ne quittent ce cercle pour le grand public qu’après que les arguments échangés aient été sélectionnés accompagnés d’une solution, alors seulement ils sont livrés au commun des mortels.

Les scientifiques n’échappent pas à cette organisation, tout comme les pétanqueurs, les pêcheurs et autres querelleurs bien intentionnés, ils ont des revues qui ne publient que la panacée, la fleur, le miel, de la vérité, de la connaissance, au moins le prétend-on au moment de la communication.

Depuis fort longtemps les choses vont ainsi guidées par l’expérience qui a montré que quand les désaccords débordent la sphère des spécialistes : c’est la pétaudière.

Car les désaccords entre spécialistes sont aussi insupportables que les autres mais ils ont l’avantage d’être cantonnés justement aux spécialistes, s’ils deviennent publics les désaccords risquent la démesure, le gigantisme avec toutes les folies qui vont avec.

Dans le fond COVID aurait pu suivre ce cours des choses, rester entre spécialistes. Les morts seraient morts, les rescapés raconteraient la secousse en fonction de son intensité, les pas touchés resteraient discrets pour ne pas attirer le mauvais œil.

Ce n’est pas ce qui s’est passé. COVID a atteint le grand public bien avant son intensité personnelle maximum.

J’y vois deux raisons

La première étant largement reconnue. Il s’agit du fait que toute maladie est un problème personnel, que le transformer, pour quelque raison que ce soit, en problème collectif amène à la confusion, à la perte du maillage de terrain indispensable à la survenance de l’empathie et des services qui seuls peuvent permettre de traverser l’épreuve.

La deuxième c’est internet et les réseaux sociaux.

Lorsque l’imprimerie est arrivée la pensée a quitté ses lieux habituels intimes pour une vulgarisation qui à terme lui a permis d’être omniprésente, au point de modifier profondément l’homme.

Aujourd’hui internet multiplie cet impact de façon extraordinaire en étant accessible à tous, mais en plus par tous les moyens connus d’expression.

C’est ainsi que l’embarras dans lequel s’est mis le centralisme technocratique face à la maladie fatalement décentralisée en chacun de nous, a été sous le regard de chaque homme du monde à cause du net.

Et, les désaccords trouvant là un sujet universel, la maladie et la mort, s’en sont donnés à cœur joie. A fond.

Sans que cela ne change rien à l’impact de la maladie tous et chacun ont donné leur avis, les spécialistes ont été faits prisonniers du camp de leur vision, qui est, du coup, devenue ordinaire au point que les aficionados ce sont crus l’égal du torero.

Je vous avoue que ce bazar m’enchante.

Trop d’opinions permet de relativiser la nécessité des opinons, qui sont toujours un accroc à la liberté.

Nous savons tous que choisir c’est se priver, avoir une opinion c’est choisir, c’est donc se priver d’un peu de liberté de réflexion.

Le COVID passera, on l’oubliera, mais le net restera et les désaccords trouveront leurs règles pour ne pas déraper et rester comme il se doit entre initiés. Sans quoi ils ne sont plus ni drôles ni productifs.

Bien à vous. H. Dumas

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Réussites et échecs des hommes de l’Etat

Les hommes de l’Etat ce sont : nos élus, dont l’élu en chef Macron; leurs affidés les fonctionnaires, dont l’élite les énarques; leurs obligés, les entreprises en connivence —  nom poli de la corruption –, la grande distribution, les grands du BTP, etc…

Les autres c’est nous : les esclaves salariés du petit privé, les indépendants, les petits commerçants, les agriculteurs, etc…

Il y a une troisième catégorie hors-sol se sont : les multinationales et leurs cadres suffisamment puissants pour ne plus dépendre, nulle part, des hommes de l’Etat.

Les hommes de l’Etat et leurs obligés représentent la majorité électorale, ce qui nous met paradoxalement en situation de dépendance, sous la forme d’une dictature démocratique au service des hommes de l’Etat. Résultat imprévisible et non prévu par les penseurs initiaux de la démocratie, qu’ils croyaient intrinsèquement contraire à la dictature.

Contre-pouvoirs et alternances ont fait long feu.

Ceci posé, admis, indépassable, irréversible, qu’en est-il des réussites et des échecs de cette situation, donc du pouvoir absolu des hommes de l’Etat et de l’opinion publique qui leur est dévouée ou qui les porte, au choix.

Les réussites des hommes de l’Etat

Je dirais en premier leurs forces de coercition. Leurs CRS évidemment, leurs contrôleurs fiscaux, leur justice.

En second je mettrais leur maîtrise des outils de l’information, en fait leur propagande, discrète mais implacable.

Puis leur novlangue qui façonne leurs discours, traduit en langage courant les résultats aberrants des algorithmes de leurs planificateurs fous.

Ensuite leur autosatisfaction, elle est si présente à tous les niveaux qu’elle en est admirable. Un peu dérangeante pour ceux qui ne la partage pas, mais si sincère qu’elle en est un cas d’école lorsqu’on la met en perspective avec leurs échecs.

Enfin les délices de leurs mensonges. Véritable opium ils bercent les imbéciles qui les croient. Leur capacité à faire rêver et oublier la réalité était jusqu’ici inconnue, ce sera très probablement le souvenir principal qu’ils laisseront dans l’histoire.

Je ne vois rien à ajouter dans la rubrique “leur réussite”. Si vous avez une idée, ne vous gênez pas, je suis preneur.

Les échecs des hommes de l’Etat

En tout premier lieu je mettrais la ruine du capital. Collectif ou personnel le capital n’est qu’un. Nous en avons si souvent parlé. Sans capital pas de progrès possible. Le capital s’accumule laborieusement, petit à petit. Alors qu’il se perd dans le faste et la joie. Le capital est particulièrement nécessaire en économie, malheureusement c’est ici qu’il est le plus fragile et le plus excitant à dilapider. Les hommes de l’Etat ont fait très fort à cet effet. A partir d’une idée grotesque d’égalité de résultat, sans prendre en compte l’effort et le mérite, ils ont détruit le capital économique en premier, puis les autres en suivant, le capital intellectuel, artistique, scientifique, etc…

Ensuite je mettrais la solidarité. De ce reflexe, particulièrement développé chez l’humain désarmé devant la nature, ils ont fait une sorte de mantra qui, répété en boucle, enlève tout sens à cette spécificité de l’homme. Au point de légiférer sur son contraire à l’occasion de l’épisode COVID où l’autre est le porteur du mal, qu’il faut fuir ou au moins tenir à distance.

Puis je mettrai la santé. Après avoir, en grande partie par hasard, trouvé des combines pour juguler les microbes, les hommes de l’Etat ont organisé un racket incroyable autour de ces découvertes fortuites. Aujourd’hui ce racket est en échec, un échec qui impacte la raison de vivre de tous, tant ils avaient réussi à convaincre de leur compétence sur le sujet. Compétences usurpées évidemment.

Un autre échec lourd est la délation. Alors que leurs mathématiciens illuminés leur ont apporté un outil de communication inespéré, largement supérieur au langage, à l’écrit, ils l’ont transformé, chacun pour imposer leurs idées, en une foire à la délation que rien ne parait pouvoir arrêter. Délation qui génère jugements à la hâte et haine de l’autre, pour finir en censure généralisée. Le pied.

Et enfin, je crois utile d’insister sur le retour de l’esclavagisme et de l’ostracisme. Car, non content de réduire l’environnement, la nature, à l’idée d’un espace hostile du fait de l’homme, alors que c’est exactement le contraire qui est la réalité, c’est l’homme qui a domestiqué la nature qui lui était particulièrement hostile, les hommes de l’Etat accusent ceux dont ils veulent se débarrasser de polluer l’environnement, tel le loup avec l’agneau chez La Fontaine.

Le dernier échec, mais le plus grave, me parait être celui de la perte des libertés individuelles, notamment son emblème : la propriété privée, sans laquelle chacun est exposé effectivement aux caprices des hommes de l’Etat et de leur bande majoritaire.

Le bilan

Il n’est pas fameux, rien ne permet d’imaginer que les choses puissent changer autrement qu’une fois le système dans le mur.

Encore une révolution en vue, après un grave accident de société.

Bien à vous.

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Pas de panique, pas de panique, pas de panique… Communiqué du gouvernement

Surtout, pas de panique, pas de panique, pas de panique…

Ne vous inquiétez pas, pas de panique, pas de panique, on s’occupe de tout.

Moi : Macron, mes amis du conseil scientifique, mes amis élus de la majorité, ministres et fonctionnaires dévoués, qui se sacrifient pour vous, on s’occupe de tout.

  • Toussez tranquille.

  • Sete ? c’est où ?
  • Ah bon ? plus de vaccin. Je me renseigne.
  • Formidable, 40.000 habitants. Quelle belle ville.
  • Une structure spécialisée a été mise en place, au moins 20 fonctionnaires dévoués sont à la manœuvre. Ne vous inquiétez pas, on s’occupe de tout.
  • Plus de vaccin ? Certes.
  • Mais quand même, dans les 28 prochains jours il y aura 1889 vaccinés, soit 67,5 par jour. Pas mal. Dans six cents jours, tout le monde sera vacciné.

A condition qu’il y ait des vaccins ?

  • Pourquoi, on annonce une pénurie, je ne suis pas au courant, Olivier ne m’a rien dit.
  • Pas de panique, pas de panique… Bon, il faut que je vous quitte, ils ont un problème à Lorient, c’est pas la porte à côté…
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Quand la perversion accompagne le mensonge

Les réseaux sociaux, la presse officielle, le législateur, dénoncent jour après jour des situations perverses dont on peut se demander jusqu’à quel point il ne s’agit pas d’un simple voyeurisme.

Car dans le même temps une perversion hors du commun s’étale sous nos yeux avec la bénédiction de la majorité, qui est persuadée qu’elle se développe à son profit, et personne n’en dit rien. Elle s’épanouit en toute impunité.

Juges et hommes de l’Etat lui donnent leur onction.

Je veux parler de la terreur fiscale, dont seul ce blog fait état. Jusqu’à quand ?

Aujourd’hui je veux mettre en parallèle une réalité factuelle et les mensonges du fisc estampillés vrais par la justice.

Au risque de vous lasser je vais, brièvement — enfin je l’espère –, rappeler les faits parce qu’ensuite je vais vous mettre un lien qui vous permettra de lire ce qu’en dit le fisc, et que la justice fait mine de croire. C’est totalement incroyable, c’est dément.

La réalité factuelle

J’ai livré en 1994, une résidence hôtelière, dans l’île de Ré, invendue du fait de la crise immobilière de l’époque. Je rappelle que tous les gros promoteurs institutionnels d’alors ont pu planquer leur programmes invendus dans des sociétés de défaisance pour sauver leur peau, ce qui n’a pas été possible pour les petits soldats dont j’étais.

Donc en Juin 1994, 79 lots invendus ont dû être mis a disposition de l’hôtel qui ouvrait conformément aux engagements pris envers les 13 premiers acquéreurs.

La société de construction est donc devenue une société hôtelière en 1994, contre son gré, par la confiscation de ses lots au bénéfice de l’hôtel, et cela jusqu’en 2010, date de récupération de ses clefs et de sa liberté.

Cette situation, parfaitement connue du fisc, n’a pas empêché celui-ci de refuser à cette société hôtelière la récupération de la TVA de livraison, ce qui est insensé s’agissant de biens commerciaux. C’est contraire à toutes les règles de la TVA et de la livraison de biens immobiliers.

Puis, dans le cadre du redressement indu de la succession de ma mère, cette société a été sauvagement attaquée par une équipe fiscale venue pour tuer. Qui a froidement attesté d’une opposition à contrôle fiscal alors que c’est elle qui a refusé de donner des documents qu’elle ne pouvait pas refuser de donner. En réalité cette équipe, dont la spécificité réservée aux grands comptes est la preuve qu’elle est venue sur commande pour tuer, a pondu un redressement qui ne correspond à rien de vrai.

Tout ce fatras de mensonges est transformé en un empilement de fausses vérités pour arriver à donner l’illusion d’une dette de ma part, alors qu’il s’agit d’un vol de la leur.

Et ça marche.

Aujourd’hui, alors que je revendique le droit de lutter tout en acceptant que le fisc conserve des garanties suffisantes face aux sommes indues qu’il réclame.

Le fisc s’oppose à ce droit, il veut être payé de ce que je ne dois pas, il met en avant les jugements de complaisance qu’il a obtenu, il m’accuse de duplicité, alors qu’il me vole sans vergogne.

C’est une situation dont la violence et l’injustice sont objectivement pires que tout, seulement dépassées par la torture et la mort physique.

Lire les conclusions du fisc en cliquant ici

Bien à vous. H. Dumas

 

 

 

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Alain COUTOLLEAU, si fonctionnaire…

Comment ça fonctionne un fonctionnaire tortionnaire.

D’abord ça vous qualifie de telle sorte que l’indignité vous colle à la peau, que l’opinion publique, qui condamne si vite, vous condamne déjà.

Par exemple vous êtes traité de délinquant sexuel, chauffard, harceleur, terroriste, homme d’affaires, profiteur, capitaliste, immigré clandestin, libéral ou crème de la crème : de fraudeur fiscal.

Cette indignité va ouvrir au fonctionnaire tortionnaire un boulevard, il va pouvoir se lâcher.

L’esprit de corps va évidemment le protéger, mais pas que…

Toute l’organisation politique et sociale sera de son côté, la presse et l’opinion publique aussi, votre lynchage peut commencer, nul n’y voit un mal.

Vous n’êtes plus un homme, vous êtes un animal, mais en plus nuisible.

Petit exemple, insignifiant, mais bon…

Donc Coutolleau se charge de recouvrir des sommes contre moi, “fraudeur fiscal”, dont il sait parfaitement que je suis d’accord pour les payer, sauf celles que je ne dois pas, évidemment ça tombe sous le sens.

Il paralyse depuis quinze ans ma trésorerie avec ces sommes indues, m’empêchant de payer celles qui sont dues.

Là-dessus, à fond et sans limite, il m’adresse dans la même journée des mises en demeure et des ATD, oubliant les huit jours d’intervalle que lui même annonce. Il s’en fout de la loi, il a pour lui le pouvoir, et l’opinion publique.

Comme vous le savez, je dépose un recours préalable et je me propose de le faire citer au pénal.

Qu’est-ce qu’il fait Coutolleau ?

Il se met en règle et m’adresse de nouvelles ATD, en respectant les délais…  pas mal. Sympa.

Les nouvelles ATD

Ce faisant, il couvre sa faute et je paie ses conneries, ses abus de pouvoir. En effet, le banquier prend 100 € par ATD pour m’adresser un courrier d’information.

Coutolleau ne parle pas de me rembourser les frais bancaires de ses premières ATD foireuses. Quand je vous dis que je suis une merde, puisque déclaré par lui “fraudeur fiscal”.

Jusqu’où iront-ils avant que l’histoire se referme sur eux, les broie, les sanctionne.

Quid alors du mal qu’ils font et qu’ils auront fait jusqu’à ce qu’ils soient débusqués.

Je ne sais pas, mais j’espère que le jour des comptes n’est plus très loin.

Bien à vous. H. Dumas

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Si j’étais cynique

Si j’étais cynique et Président de La République — ce qui pour certains est un pléonasme, peut-être ont-ils l’esprit chagrin — je me dirais que Covid est un sacré allié.

Car, si j’étais Président de La République je saurais évidemment que je suis à la tête d’un pays en faillite, dont l’écroulement est très proche. Je saurais aussi que Covid n’est pas bien dangereux, je l’ai eu. Comme d’ailleurs j’ai affronté d’autres virus bannis aujourd’hui, passons.

Depuis le début de mon mandat, et même avant, je connaitrais la formule magique pour remettre le pays en selle : diminuer les dépenses et augmenter l’assise des recettes pour soulager l’impôt des créateurs de richesse et accumuler un capital permettant au pays de revenir dans la course de la vie.

Oui, mais rien à faire la population n’en veut pas, et ne parlons pas de ses intellectuels qui en rajoutent, ils en vivent.

Grâce à mon ami Covid, j’ai le consentement tant désiré.

Mettons que je sois le Président de La République :

“Je ferme tout, sauf ce qui marche. Donc plus d’intermittents du spectacle qui me foutent l’assurance chômage en l’air. Moins de vieux, Covid s’occupe du surplus et les comptes des caisses de retraite sont soulagés.

Les faux acteurs de l’économie restent chez eux, ainsi que tous les administratifs inutiles. Mais ils ne peuvent pas dépenser leur salaire, j’ai fermé tous les restaurants et les bars, tous les endroits où ils craquaient leur fric.

Ils le mettent à la banque, je surveille ça, au centime près. Je lancerai l’emprunt national de redressement du pays, sans doute obligatoire, lorsque les écuries seront nettoyées et les comptes pleins. Peut-être à la fin de l’année.

Tous les inutiles qui restent chez eux se déshabituent de leur ancienne existence artificielle. Ils sont contents aujourd’hui, ils croient qu’ils font une affaire, mais demain ils seront prêts à prendre n’importe quel boulot tant ils se sentiront dévalués. Donc la main d’œuvre va revenir, moins exigeante, les entrepreneurs aussi puisque c’est leur moteur.

Les complotistes et querelleurs professionnels ? IIs m’indiffèrent. D’abord, ils ont des égos surdimensionnés et sont incapables de se regrouper. Ensuite leurs discours s’annulent, tant ils ne sont attachés qu’au verbe et inactifs dans les faits.

Les casseurs ? S’ils n’étaient pas là il faudrait les inventer. D’ailleurs il est possible que certains soient des inventions d’eux-mêmes. Ils servent grandement mes intérêts en rajoutant de la peur politique à la peur physique. Il n’y a jamais trop de peur. La peur crée la docilité. Quel bonheur quand elle parait intervenir d’ailleurs que du pouvoir, de moi, c’est autant de bénéfices sans investissement.

Si tout va bien, si le vaccin merde autant que prévu, j’ai cet hiver sûr, peut-être le prochain. Là c’est le jackpot. Confinement à bloc.

Même si c’est avec de la fausse monnaie, un bon gros capital sera reconstitué et les inutiles ne se feront plus d’illusion sur leur utilité.

Et puis, reconstitution de la vie familiale, en plus. Ça c’est le bon plan, petits plats, télé, pas de voyage aux quatre coins du monde, on retrouve les vraies valeurs. Ça castagne un peu, mais c’est en famille, pas de problème.

Et puis le bouquet : la délation. Alors là c’est le bonus. Ça dénonce à tout va. On est en train de faire une liste des délateurs, c’est une mine d’or, on va pouvoir s’appuyer sur eux pour alimenter la propagande. On va les gratifier un peu, un message de félicitations ou une petite médaille par ci par là et ils vont dénoncer à fond. C’est nécessaire pour qu’on soit à l’aise, qu’on sache où on va. Les sondages c’est bien, mais la bonne vieille délation c’est plus vivant, plus dévoué, plus sûr.

Les gamins ? Plus besoin de les faire mettre à genoux, ils sont lâchés dans la nature, que les meilleurs gagnent, les autres on s’en fout. Y en a marre. Et les profs… bon passons aussi.

Les opposants politiques ? Ils sont masqués, comme tout le monde, qui voulez-vous convaincre avec un masque ?

Non, je vous le dis la vie est belle.”

Je ne sais pas si le Président de La république est un cynique, j’ai du mal avec ce genre de personnalité, j’en suis l’inverse, je suis un candide.

Ça fait vingt ans que j’imagine que le fisc va cesser ses monstruosités à mon égard, n’est ce pas le comble du candide ?

Bien à vous. H. Dumas

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Les sept mercenaires

Ils tiennent le pays et ils sont bien sept.

Le Président de La République, son Premier Ministre et son Ministre des Finances, cela en fait trois.

Les quatre PDG, du Crédit Agricole, de la BNP, de la Société Générale et des Banques populaires.

Les trois premier dépensent, ils ont été élus pour cela.

Les quatre autres leur promettent d’équilibrer les pertes s’ils leur donnent l’opportunité de faire tout ce qu’ils veulent. S’ils ne sont pas regardant sur les méthodes.

Contrat passé, ils sont OK, jurent et crachent par terre.

Les quatre pieds nickelés inventent des produits dérivés qui ne sont que du vent. Ils les vendent aux investisseurs nationaux ou mondiaux qui ne comprennent rien aux dits produits. Et la valeur de ces abstractions économiques augmente, au point que ces couillons finissent même par en racheter, oubliant que ce sont eux qui les ont fabriqués en sachant qu’il s’agissait d’une escroquerie. C’est loufoque.

Patatras, le bazar s’effondre, tout le monde est ruiné. Oui mais… juste pas possible.

Arrive alors la banque centrale, sur son âne, pour sauver les chevaliers de la haute finance. Elle fabrique en catastrophe de la fausse monnaie à hauteur des pertes.

L’émotion passée, on remet le couvert, même deal, et un peu plus tard le même résultat.

La mère Lagarde rapplique sur son âne avec sa besace pleine de billets de Monopoly.

Alors vous vous dites, quelle bande de charlots.

Pas du tout, ils ne font que ce que vous leur avez demandé.

Attardons-nous une minute sur les abeilles, rares capitalistes du monde animal. La ruche économise le miel, c’est son capital.

Ce sont les ouvrières qui le fabriquent de façon ultra libérale. Elles ne partent pas de la ruche en formation, encadrées par une hiérarchie qui leur dicterait où aller. Non, elles se renseignent à droite à gauche, puis vont ici ou là, elles butinent et reviennent avec leur stock, qu’elles apportent à la ruche, elles ne le boulottent pas en route. Le stock c’est la reine qui le gère, il sert aux générations à venir.

Evidemment les pillards sont légions. Dans la nature tout le monde s’y met, depuis l’ours jusqu’aux fourmis et évidemment l’homme.

Une ruche sans miel, sans capital, est une ruche morte.

N’oublions pas que capitaliser c’est créer, accumuler et transmettre, que cela concerne toutes les activités humaines, que l’économie n’y échappe pas.

Alors qui est responsable de ce qui arrive ?

Qui veut gagner moins et travailler plus pour créer du capital ? Qui veut accepter l’idée que certains sont capables de générer du capital et les autres non ? Qui est prêt à adorer les champions nationaux du capital économique comme il adore les champions de football qui ne sont que le sommet du capital de virtuosité footballistique ?

La destruction du capital par la dépense inconsidérée suppose d’engager les efforts nécessaires pour le reconstituer, qui est prêt à les faire ?

Tout le monde veut simplement une combine pour recapitaliser l’économie, sans regarder à la méthode, pillage ou escroquerie, peu importe.

Les sept mercenaires ne font que ce que leurs commanditaires demandent, les commanditaires sont nous.

Imaginez une seconde le candidat suivant :

Française, français, nous allons recréer un capital indispensable à l’économie de notre pays. Pour cela vous allez aligner vos salaires sur ceux du reste du monde. Vue l’urgence, ceux qui ont les qualités nécessaires pour créer du capital et l’accumuler seront dispensés d’impôts pour gagner du temps, pendant que vous serez taxés pour faire marcher l’Etat. Etat qui réduira de moitié ses salariés pour ne pas obérer la constitution du capital de nos capitalistes. L’Etat n’interviendra pas dans la constitution de ce capital, parce que la preuve a été rapportée dans le monde entier qu’il ne sait pas le faire.

Croyez-vous qu’il aurait une chance d’être élu ? Voteriez-vous pour lui ?

A quoi sert de dézinguer les élus qui ne sont que les exécutants d’une politique réellement voulue par une écrasant majorité d’abeilles qui non seulement boulottent le miel en cours de route mais se goinfrent de celui de la ruche en arrivant.

A nos politiques on ne peut que reprocher de rentrer dans ce jeu de tricheurs, d’en profiter pour se donner quelques avantages au passage, mais qui sont peu de chose par rapport aux enjeux du pays. Pas de quoi fouetter un chat.

Nos sept mercenaires sont pathétiques, mais ils sont notre image et le sort qui nous attend face au reste du monde est autrement pathétique.

Et Covid dans tout ça ? C’est juste un aperçu de ce que sera notre vie lorsque nous allons perdre, sous peu, notre statut de maître du monde en même temps que le capital que les générations qui nous ont précédés avaient su constituer, que nous avons flambé.

Bien à vous. H. Dumas

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Alain COUTOLLEAU: un tueur fiscal ordinaire

La démonstration de la terreur fiscale.

Recours préalable

Et en dépôt ultérieur

Citation Alain Coutolleau

Bonne lecture, à ceux qui auront le temps et le courage d’aller au bout.

Bien à vous. H. Dumas

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“Du côté de Youtube” : une vraie ouverture de débat.

En règle générale j’aime beaucoup les articles de Michel Gorgel. Je leur trouve un accent de sincérité rare. Disons qu’ils sont cristallins, qu’ils ne sont pas — comme tant d’autres, sur d’autres blogs évidemment — à lire en cherchant à deviner le message subliminal, voulu ou involontaire de l’auteur.

Son billet, sur notre relation commune à tous “COVID,” est dans cette droite ligne.

Il porte un regard objectif sur les voix qui se lèvent, ou se sont levées, contre l’utilisation politicienne de cette épidémie hivernale nuisible principalement aux vieillards, que sont certains d’entre nous.

Une première remarque

Personne n’attaque frontalement la source du problème : l’irresponsabilité globale de la fonction publique, son ineptie, ses ravages en tout. Conséquence du statut des fonctionnaires, qui leur a permis de prendre le pouvoir.

Car la ridicule succession de décisions imbéciles montrées du doigt dans “du côté de Youtube” n’est pas spécifique au COVID, elle est la même en tout, absolument tout.

Je dirais, au risque de contrarier Michel Gorgel, que la parole est particulièrement libre dans le cadre du COVID.

Je pourrais vous raconter la vie de l’urbanisme en France, de la route, du commerce, de l’industrie, partout les mêmes délires de l’alliance “élus-bureaucrates” qui, financée par les opérateurs en connivence, dévore les forces vives de notre pays, nos libertés fondamentales.

Deuxième remarque

Ce billet de Michel Gorgel me semble démontrer l’impuissance des structures bureaucratiques à produire des décisions réalistes, alors que cependant la majorité suit, voire anticipe, leurs ordres ou conseils.

Ne doit-on pas se poser une question simple : cette bureaucratie ne reflète-t-elle pas tout simplement l’opinion publique ? C’est-à-dire ce que nous pensons majoritairement.

Le fait que l’opinion publique puisse prendre de brusques virages, que la structure bureaucratique se trouve ainsi souvent prise à contrepied, ne change rien à la chose.

Ma conclusion personnelle

La France est religieusement socialo-communiste. Etat structurel final d’une société victime de la prise du pouvoir par les fonctionnaires, par la bureaucratie. Un point c’est tout.

L’épidémie du COVID est traitée selon cette croyance, entièrement “pour et par l’Etat”, sans aucune place pour l’initiative privée dénoncée comme affairiste et volontairement confondue avec les intérêts connivents qui sont la norme.

Une norme globale, du plus petit au plus grand, que Paulo Coelho appelle : “la banque des faveurs”.

Permettez-moi de rapporter ces mots de Simone Veil parlant de la Shoah :

” Appelfeld énonce les raisons pour lesquelles on ne peut plus s’en détacher. Elles sont terribles, et marquent la différence de nature avec la situation des résistants. Eux sont dans la position des héros, leur combat les couvre d’une gloire qu’accroit encore l’emprisonnement dont ils l’ont payée ; ils avaient choisi leur destin. Mais nous, nous n’avions rien choisi. Nous n’étions que des victimes honteuses, des animaux tatoués. Il nous faut vivre avec ça, et que les autres l’acceptent.”

Michel Gorgel oublie ce qu’oublie Simone Veil, un oubli donc excusable et partagé au plus haut niveau de grandeur : l’opinion publique.

Simone Veil avait souffert horriblement des internements délirants dans les camps de concentration, elle ne pouvait pas partager cette souffrance évidente avec le plus grand nombre, elle s’en étonnait et en acceptait une part de responsabilité.

Alors que, tout simplement, le plus grand nombre, l’opinion publique, avait été antisémite et ne pouvait accepter de regarder l’horreur que cela représentait.

Et oui

C’est parce que l’opinion publique — y compris les contestataires du COVID — est religieusement socialo-bureaucratique, étatique, que ceux qui lisent ce blog, qui adhèrent par ailleurs aux critiques formulées sur la gestion du COVID, sont sidérés que le massacre fiscal, la terreur fiscale dont le pire nous attend, est devant nous, ne fassent l’objet d’aucune faveur médiatique, même pas sur des supports marginaux.

Nous sommes seuls, terriblement seuls, face à l’opinion publique “socialo-bureaucratique” qui se terre, se masque, se vaccine en cadence, indépendamment des hommes de l’Etat, tristes pantins au service de cette opinion publique qu’ils suivent tel mon chien, le nez dans le derrière de toutes les chiennes qu’ils croisent.

Bien à vous. H. Dumas

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Création de monnaie et création de richesse

Que les choses soient claires, en ce qui me concerne je ne supporte plus tous ces experts en économie qui n’ont jamais géré une entreprise, qui donc ne peuvent prétendre à aucune connaissance de l’économie.

Ils arrivent, la gueule enfarinée, à la télé ou dans la presse, ils débitent leurs fadaises et nul ne peut leur répondre. Finalement ce qu’ils disent, qui est volontairement et artificiellement hermétique, fini par avoir l’air vrai alors que ce n’est que du vent, du vent.

Concernant la création de monnaie

La création de monnaie autrement que par l’augmentation de la richesse se résume à de la création de fausse monnaie.

Créer de la fausse monnaie est un délit gravement puni et classé dans le code pénal au chapitre des crimes contre la nation, l’État et la paix publique. La facture, c’est trente ans de prison.

Alors, lorsque l’on vient nous dire que la monnaie est créée par les banques lorsqu’elles acceptent nos crédits, c’est nous culpabiliser en lieu et place des faussaires.

En effet, que vous soyez un particulier ou un banquier, lorsque vous prêtez les cent balles que vous avez dans votre poche, vous ne fabriquez aucune monnaie.

En revanche, si vous prêtez cent balles que vous n’avez pas, il en est tout autrement.

D’abord, il faut que le copain qui vous demande de lui prêter un peu de tune vous croie quand vous lui dites, en lui filant une feuille de papier à la place du fric que vous n’avez pas : “Tiens je te prête cent balles”. Puis il faut que, lorsqu’il va aller acheter son pain avec votre bout de papier, le boulanger croit qu’il s’agit d’un billet. Pas facile tout ça. Impossible même.

Et pourtant, c’est bien de cela dont il s’agit lorsque le banquier vous prête de l’argent qu’il n’a pas. Il vous file un bout de papier que tout le monde doit accepter comme de la monnaie. Alors que c’est de la fausse monnaie.

Cela multiplié par plusieurs centaines de fois les vrais sous qu’il a dans sa poche, font de votre banquier le plus grand faussaire de tous les temps.

Ce faussaire, c’est l’Etat qui le couvre au lieu de l’embastiller comme il se devrait. Mais l’Etat, ça n’existe pas, l’Etat c’est vous. Et oui….

Donc, ceux que vous chargez de vous représenter, en complicité avec vos banquiers, fabriquent tous les jours de la fausse monnaie, ils devraient être en prison pour trente ans…

Car, si en retour de la fausse monnaie qu’ils ont créées pour vous la prêter vous leur restituez de la vraie, issue de la richesse que vous aurez créée, ils vous ont bien baisé. Mais si vous ne leur rendez pas avec de la vraie richesse, ce qui est le cas à 90%, la fausse monnaie s’accumule, et un jour le boulanger ne veut plus du bout de papier.

Concernant la création de richesse

Ce n’est pas une activité naturelle. Le monde vivant, en règle générale, ne crée pas de richesse.

Mon chient, mon chat, pas plus que le lion, le buffle, etc…, ne créent pas de richesse. Ils vivent en équilibre de la chasse ou de la cueillette.

La création de richesse est une spécificité de l’homme.

Elle n’est liée ni au travail, ni à l’intelligence, elle est liée au capital, au fait d’accumuler et de transmettre.

Est-elle utile, la richesse ? Je ne sais pas, demandez à mon chien où au lion.

Quoiqu’il en soit, quoique l’on en pense, la richesse n’est produite que de deux façons, soit par l’économie soit par le pillage.

Par l’économie :

Cela suppose de facturer X + M ce qui a couté X, M étant le bénéfice qui, accumulé, va générer la richesse.

Ce principe basique s’applique à une personne, comme à un groupe de personnes. Dans les deux cas M sera amené à absorber des activités à somme nulle ou même négative, mais in fine si M n’existe pas ce sera la faillite, au mieux l’état naturel : la pauvreté.

Par le pillage :

Là les choses sont plus simples. Le pillage consiste à attendre que les autres aient accumulé de la richesse et à leur prendre par la force. Il faut juste être plus fort qu’eux, car ils se laissent rarement faire.

On peut aussi les tenir en esclavage et exiger de ce fait que tout le fruit de leur travail devienne notre possession. Le temps a prouvé que ce n’est pas la meilleure solution, l’esclave est alors si démotivé qu’il peut arriver à couter plus cher qu’il ne rapporte.

Les interférences

La fausse monnaie est une créance sur la richesse, qui n’a pas besoin d’un créancier déterminé.

Le seul fait d’introduire dans l’économie la charge d’une monnaie qui ne correspond pas à une richesse acquise — mais devant être acquise — est générateur d’un risque lourd.

Lorsque, comme aujourd’hui, ce risque n’est même pas évalué, c’est suicidaire.

Au moment où nous conversons, une seule chose est sûre :

 – Seuls les travailleurs indépendants sont de façon formelle des apporteurs de richesses, puisque lorsque leur bilan est négatif ils font faillite et disparaissent.

Pour le reste :

 – On nous dit que la fonction publique, l’assistance sociale, sont de très bons investissements permettant une stabilité favorable à l’efficacité des résultats des travailleurs indépendants.

Il s’agit d’un mensonge, d’un abus de confiance

Ce pays dissimule, par la création de fausse monnaie, son état de faillite, le fait que ses hommes politiques font des promesses inconsidérées pour se faire élire puis fabriquent, en complicité avec les banquiers, de la fausse monnaie pour dissimuler la situation.

Il faudra que cela soit jugé. La sanction prévue, c’est trente ans de prison pour les responsables et leurs complices recéleurs.

Donc ce pays a une urgence : construire des prisons (gag… on ne sait jamais, certains pourraient prendre cette dernière phrase au premier degré).

Bien à vous. H. Dumas

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