Archives de catégorie : Société

Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.

L’incroyable aveuglement pervers de l’élite politique et philosophique européenne

La chute du mur de Berlin aura été la plus grande arnaque politique qui soit.

Alors qu’il s’agissait de l’effondrement de la philosophie européenne, cette emblématique évènement fut comptabilisé comme son écrasante victoire.

La population de l’URSS, soumise à la dictature communiste, collectiviste, a mortellement souffert pendant soixante dix ans. Elle a ouvert le chemin de croix du collectivisme que la Chine et bien d’autres empruntèrent peu après.

Tous ces pays furent les laboratoires de la pensée communiste européenne. Pendant que leurs ressortissants souffraient et mourraient de la perte de leurs libertés fondamentales, naturelles, au profit de la folle utopie collectiviste, ses inventeurs, les philosophes européens, aveugles à la réalité, se félicitaient de ces expériences, renchérissaient à leur sujet.

L’effondrement du mur de Berlin a donc été comptabilisé comme une victoire par les naïfs, alors qu’au contraire cette défaite donnait de facto libre court à la folie collectiviste qui a perdu ce jour là le miroir qui reflétait sa laideur.

Sans ce miroir la philosophie collectiviste, les dérives et les mensonges qui l’accompagnent, exclusivement basés sur l’envie et la jalousie, ont prospéré de façon illimité en taxant mortellement la richesse née de la liberté individuelle, de son énergie, de son inventivité naturelle, des progrès qu’elle engendre.

Sakharov a eu beau tenter d’avertir le monde entier de l’horreur communiste et tout particulièrement de son outil pervers : la bureaucratie, rien n’y fit.

La démocratie européenne s’est jetée avec délice dans les bras de cette bureaucratie. Ses fonctionnaires installant dans la joie le plus solide des collectivismes mondiaux.

Gagnant tous les esprits à l’aide d’une propagande flattant la médiocrité, la connivence, la lâcheté, la délation, au détriment du courage, du mérite et de la loyauté, la philosophie collectiviste européenne a corrompu toutes les démocraties.

Aujourd’hui l’heure des comptes a sonné.

Les valeurs individuelles sont terrassées, nous vivons le règne de la haine, de la médiocrité et des peurs qui l’accompagnent, des dérives classiques du collectivisme telle que l’écologie religion parmi les autres.

Dans la pratique, c’est tout particulièrement la misère et les pénuries qui accompagnent la philosophie européenne collectiviste lorsqu’elle prend le pouvoir comme elle l’avait fait dans les pays de l’Est.

Aujourd’hui la réalité rattrape l’Europe, ses énergies individuelles, exsangues, sont balayées par la gestion communiste du plus individuel des problèmes : rester en vie face à la maladie.

Après l’effondrement du mur de Berlin ce sont donc ses inventeurs, les philosophes politiques européens, qui entraînent aujourd’hui toute l’Europe dans la chute vertigineuse mais incontournable de leur utopie, en s’aidant de la naïveté de la démocratie qu’ils ont préalablement désinformée.

Rien ne peut arrêter le scénario enclenché sauf la raison, mais elle n’a pas sa place : les croyances ont tout emporté. Une espèce d’Alzheimer désoriente la société européenne qui se tourne, perdue, vers des conflits de croyances qui vont tout détruire.

Les fonctionnaires, par qui tout est arrivé, sont les plus zélés à dénoncer le vide qu’ils ont créé, la guerre des religions dont ils sont l’acteur principal en tant que serviteurs du Dieu-Etat qui refuse toute concurrence.

Je vous souhaite une belle mort, la moins douloureuse possible et jusqu’au bout la maitrise de votre raison

Bien à vous. H. Dumas

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Le bal des enfoirés

Quelqu’un de raisonnable et de scientifiquement informé ne peut pas comprendre les décisions du gouvernement. Le raisonnable, le professeur Christian Perrone l’a récemment exposé. Les tests PCR sont trop poussés (nombre de duplication excessif) et donnent des faux positifs. Sauf à quelques endroits, les hôpitaux sont loin d’être débordés. Actuellement, le nombre de décès lié au Coronavirus est très faible, touche des personnes fragilisées et souvent très âgées, ne fait pas sortir les statistiques de mortalité de la moyenne. Le Pr Perronne confirme que l’association d’hydroxychloroquine et d’azythromycine est efficace dans le traitement, autant dans son service que dans la littérature scientifique. Que leur prescription au niveau des médecins généralistes permettrait de réduire très significativement le nombre de personnes hospitalisées. Que la prescription d’hydroxychloroquine dans les EHPAD serait une bonne méthode de prévention. Que ces moyens normalement facilement disponibles permettraient de contrôler sans difficulté l’épidémie et à la société de retrouver un fonctionnement normal, lié à l’extinction des angoisses artificiellement générées par les médias.

Coté pouvoir, l’intensité du délire ne fait que s’amplifier. La courbe des contaminés testés positifs monte, mais c’est en proportion du nombre de tests, alors, ça monte vraiment ou pas ? Les dix pour cent de positifs en moyenne sont-ils les mêmes que la semaine précédente ? La vitesse de diffusion géographique, que, pour une fois on a pu observer relativement bien, montre que la version chinoise du virus s’est répandue partout en début d’année sans que personne n’ai pu y faire obstacle. Certes, là où il a pu être relativement ralenti, cela n’a pas empêché qu’il ait fini par passer plus tard. Les versions mutées qui circulent actuellement, moins virulentes, n’ont objectivement pas plus d’obstacles. Ni les masques, ni la distanciation, ni le confinement ne font preuve d’une quelconque efficacité. D’autant plus que l’on prend des mesures toujours trop tard, quand le train est passé. L’ensemble de la population sera protégée par une immunité collective, comme toutes les épidémies de ce genre. Autant laisser ce virus circuler rapidement, on en sera débarrassé d’autant plus vite. La population aura fait ses anticorps, sera vaccinée.

Après l’échec total des méthodes anti-diffusion, l’échec total de la gestion des stocks des moyens de protection (gants, masques etc…), l’échec total des mesures de prévention par l’interdiction de l’hydroxychoroquine, l’échec sévère de la réanimation hospitalière avec, rappelons le, plus de vingt pour cent de décès dans les hôpitaux français en mai, pour résumer l’échec total de la prise en charge de cette maladie par le gouvernement français, nous assistons actuellement à une nouvelle flambée d’impostures scandaleuses : interdiction de distribution d’hydroxychloroquine par les laboratoires, y compris pour l’IHU de Marseille, nouvelle interdiction de prescription par les généralistes, un milliard dépensé pour avoir du Remdesivir auprès de Gilead, alors que cet « anti-viral » n’a pas réussi à prouver son efficacité contre le coronavirus (mais sa toxicité oui), et qui serait distribué gratuitement dans les hôpitaux ! Pour ceux qui doutaient, même après le « Lancet-gate », que les gouvernements européens soient corrompus par les labos pharmaceutiques, voilà ce qui peut faire voler en éclats leurs dernières interrogations.

Depuis des mois, on se demande quel est le facteur principal qui influe sur les décisions du gouvernement, entre l’incompétence, la débilité, la folie ou la corruption. J’ai l’impression que le coup du vaccin va nous éclairer. Je les vois venir avec leur gros sabots, en entretenant l’angoisse par tous les moyens, pour la faire durer jusqu’à ce que le vaccin soit disponible, puis le rendre obligatoire, même s’il n’a pratiquement aucune chance d’être efficace contre le coronavirus muté qui circulera à ce moment là.

Eh oui, cher citoyen français de base, nous ne valons pas une roupie, et les énarques ont du fric à se faire sur ce coup là.
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Qui est le ventriloque qui s’exprime par la bouche de Macron ?

Un ancien patron de Bercy, commandeur des croyants en l’Etat, comme Macron, ne peut pas se parer de toutes les qualités qu’il expose alors qu’il couvre les  abus religieux de l’église de l’égalitarisme Bercy, qui tue la moitié de la France, soi-disant au profit de l’autre moitié.

Force est de constater l’inadéquation qu’il y a entre les mots prononcés par Macron et la réalité de sa vie publique, des agissements de ses troupes, de toutes ses troupes.

Alors je pose la question : qui est le ventriloque qui s’exprime par la bouche de Macron ?

J’aimerais le connaître, ce doit être un type bien, à en juger par ce qu’il dit.

Bien à vous. H. Dumas

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HERVE BRABANT est une sous-merde.

Evidemment, vous vous en doutez, le titre de ce billet n’est pas une insulte. Je m’en garderais bien.

Il s’agit d’une caricature écrite, car malheureusement je n’ai pas le don du coup de crayon permettant la caricature dessinée.

Cette caricature, qui représenterait un plat de merde posé sur la tête d’Hervé Brabant, visant ainsi son statut de sous-merde, est dans la droite ligne de mon droit au blasphème face aux Dieux vivants que sont les agents des Services Fiscaux et les magistrats qui couvrent leurs agissements.

Hervé Brabant est le sous-directeur des Services Fiscaux de la Charente-Maritime, chargé des recouvrements. Tel XXXL pendu, il exécute, peaufine, améliore sans cesse l’efficacité dans son activité principale : faire entrer dans les caisses de l’Etat des sommes indues, ruiner les sous-hommes, que nous sommes, issus de ses accusations de fraudes fiscales imaginaires.

Il est parti de loin. Obscur petit comptable d’un camping dans les Vosges, il a gravi tous les échelons des Services Fiscaux grâce à son zèle réputé de serveur de merde.

Pourquoi user de mon droit au blasphème par la caricature, que nous accorde dans sa grande bonté le chef de ces sous-merdes, notre Président de La République B. Macron ? (B pour Bon).

Et bien c’est très simple

La photo ci-dessous est le bouquet qui finit une jolie table, à laquelle Hervé Brabant s’apprête à mettre la dernière main chez moi, en servant à toute ma famille son assiette de merde.

Il s’agit de la vanne trois voies et de la pompe d’accélération de mon chauffage central.

L’ensemble vient de rendre l’âme après vingt ans de bons et loyaux services. Je n’ai plus de chauffage, plus d’eau chaude.

J’ai 76 ans, je m’attends aux pires conséquences. Je n’ai plus d’argent, ni pour manger à la fin du mois, ni maintenant pour me chauffer.

Merci aux sous-merdes.

Rappelons brièvement les faits.

Hervé Brabant et ses complices divins me poursuivent pour des dettes dont j’ai la preuve qu’elles sont imaginaires.

Il est possible que je me sois mal défendu, mais un fait est certain, alors que tout le monde sait que ces dettes n’existent pas, Hervé Brabant a reçu l’onction des magistrats spécialisés dans cette œuvre destructrice, de sa hiérarchie, de l’opinion publique, et il paralyse, lui et les siens, ma trésorerie depuis 15 ans.

Je suis au bout de mes capacités de résistance, des capacités d’aide de la famille ou des amis qui m’entourent, je vais donc crever.

Dieu soit loué, il me reste le droit au blasphème. Piètre consolation, mais quand même…autant en profiter.

Pouvez-vous imaginer cela ?

Hervé m’empêche de vendre trois maisons, sans aucune raison.

Il a largement de quoi couvrir sa fausse dette par la vente forcée qu’il a engagée sur sept autres maisons, toujours pour sa dette imaginaire.

Il piétine et ravage le capital que j’ai mis de côté en cinquante ans de travail, pendant que ses amis fonctionnaires, prétendants à la fonction divine de représentant de l’Etat, m’ont pompé pendant quarante ans des cotisations, pour me verser aujourd’hui une retraite de 420€ par mois !!!

Mon écœurement est massif, il me donne envie de vomir, voir plus si affinité.

Comment j’arrive à limiter ma haine à cette simple caricature ? L’éducation sans doute…

Il est cinq heures, je retourne me mettre sous les couvertures, j’ai froid, on verra demain…

Bien à vous. H. Dumas

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Religions politiques

Appéritif

L’Islam en est une, la République une autre qui ne sont pas autre chose que des sociétés parmi tant d’autres pour un vivre ensemble et l’accepter dans un cadre de règles qui deviennent une normalité, pour leurs assujettis respectifs.

En sortir de l’une ou l’autre est possible, comme le font des migrants, à leurs risques et périls mais c’est encore envisageable, quitte parfois à devoir abandonner son passeport d’origine pour en épouser un autre. Car la double nationalité ou multiple ne va pas de soi pour différents pays, selon le principe : Tu nous aimes ou tu nous quittes. Un bannissement potentiel en quelque sorte.

Chaque homme ou femme qui naît dans une de ces matrices, n’a pas le choix au départ. On lui a donné vie dans un cadre ou si vous préférez un environnement. Un même ADN ne va pas grandir de la même manière selon où il évolue, au sein d’une « famille » ou une d’autre, d’une nation ou d’une autre, ou plus prosaïquement, d’un univers ou d’un autre.

A lui ou elle ensuite de l’épouser dans l’acceptation pur et simple ou de la réfuter, si il ou elle en a la possibilité, par conviction, et par là un chemin qui laisse l’individu choisir, ce qu’a permis l’essor de l’Occident.

Religions politiques

Quand on parle d’Islamisme, on parle d’abord de l’Islam dixit le billet d’Eric Verhaeghe – https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/10/19/ces-versets-du-coran-qui-appellent-a-la-haine-et-au-meurtre-des-infideles/

Quand on parle de la République, on oublie un peu trop souvent sa genèse dans le sang dixit le billet de Jean-Batiste Noé : https://institutdeslibertes.org/islamisme-un-filet-inextricable/

Nous sommes donc en présence de chaque côté, de gardiens du Temple, des intégristes, si vous voulez les désigner ainsi.

Quand l’Islam et la République se rencontrent sur, non pas des Terres de colonisation, mais sur celui de la République, nous avons un problème. Non pas que nous ayons raison dans les principes de vie en communauté parmi nous, mais c’est notre culture qui se confronte à d’autres intégristes d’un autre régime politique tout aussi conquérant que le nôtre. J’ai presque envie de dire que c’est le Cheval de Troie que nous avons accueilli dans nos murs. Inutile de porter la responsabilité de cet état de fait à quelques-uns chez nous, c’est fait et il faut trouver des solutions.

Les solutions chez nous dans la religion dominante

Elles sont très simples. La règle de la République doit s’appliquer à tous, indépendamment de ses origines. La règle en la matière devrait être pour notre Etat, ne pas baisser son froc devant des communautarismes étrangers. En clair, chaque étranger ne doit pas être favorisé par rapport à un français de souche !

Vous allez me dire quel est le Français de souche ? Le camembert que nous allons interviewer en Normandie et puis le Champagne en Alsace et encore plus par tous les corps de métier et de savoir-faire qui sillonnent à travers notre hexagone parmi nos templiers.

Macron le bref, bombe le torse de la République en relation avec le dernier martyre de la même pour nous dire : « La peur doit changer de camp ! »

En a-t-il les moyens ? Bien sûr que non ! Car il lui faudrait être beaucoup plus ferme pour diligenter police, gendarmerie, armée et justice, via des services opaques du renseignement, pour éradiquer ces « 11 septembre 2001 » de notre territoire.

Pensez-vous que Youssouf Fofana, emprisonné aux frais du contribuable à près de 100 € la journée, va devenir un contribuable de notre République, une fois sorti de prison ? Ce bonhomme a commis des actes de barbarie sur un homme, pour aller se réfugier sur ses terres d’Afrique avant d’être repêché par la justice française.

Les éradiquer veut dire aussi les martyriser, comme on a su le faire dans nos geôles de notre histoire, puis les exécuter pour qu’ils ne reviennent pas !

Cette autre religion installée sur notre sol ne fait pas de quartier, en faisons de même !

Conclusion

Vous allez me prendre pour un gros facho pédo-nazi par mes propos ci-dessus, mais sachez que je suis un homme non-belliqueux et très ouvert à la discussion. Mais quand j’en ai assez d’un débat stérile, provoquer les sensibilités ne me fait pas peur. Je n’ai pas peur !

Bien à vous

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La peur de la mort, la peur de la vie

Au départ il est des angoisses diffuses et des peurs, partagées par tous les hommes. A tel point que ces peurs deviennent insupportables, déstabilisent profondément l’existence du plus grand nombre. C’est alors qu’une croyance s’installe pour permettre d’évacuer ces peurs, qui n’ont aucune solution raisonnée possible.

Ces croyances ont une puissance à la hauteur de l’oubli qu’elles impliquent du problème qu’elles régulent.

La peur de la mort

Qui, en réalité, est plutôt une peur de l’inexistence, l’idée du néant qui suivrait la vie et la rendrait si insignifiante que, peut-être, elle paraitrait ne pas valoir la peine d’être vécue.

Face à cette peur s’installe naturellement l’idée d’un au-delà.

Initialement cet au-delà était diffus, à la fois proche et lointain, peuplé de Dieux et de demi-Dieux au fil des inventions des petits malins qui se prétendaient en communication avec cet au-delà.

Car, c’est là le piège, il est toujours des petits malins qui, y croyant ou non, arrivent à persuader un certain nombre de peureux qu’eux connaissent et maitrisent l’espace inconnu qui suit la mort.

A votre choix, et selon qu’ils croient eux-mêmes ou non, se sont au mieux des mythomanes menteurs, au pire des escrocs.

Avec le temps, la force naturelle de la centralisation, et le désir de puissance, il parut inévitablement nécessaire de mettre cet espace de néant, d’inconnu, sous la responsabilité d’un seul Dieu, évidemment plus puissant que la multitude de ses prédécesseurs, puisque regroupant toutes leurs puissances.

Ce qui n’a pas manqué de renforcer la puissance de ceux qui prétendent le représenter.

C’est ainsi que sont nées les croyances en des religions monothéistes et leur puissance démesurée.

La peur de la vie

Elle est constante, mettant chacun de nous en face de ses responsabilités. Moins implacable que la confrontation avec le néant, elle trouble quand même le plus grand nombre par l’obligation à tout instant de choisir, de décider, puis d’assumer.

L’ensemble imbriqué dans les choix et obligations des autres, au point que la vision de nos propres actes s’en trouve difficilement définie.

Ici nous allons rencontrer les mêmes mythomanes ou escrocs qui vont prétendre être en mesure de choisir, de décider puis d’assumer pour nous. Tout cela évidemment à notre profit, ils vont même jusqu’à inventer cette idée saugrenue qu’un intérêt supérieur, en réalité le leur, devrait contraindre nos intérêts personnels.

Initialement, ces “messieurs, je fais tout pour vous et mieux que vous” intervenaient par la seule force de leurs biceps, tout comme dans le monde animal.

Puis, associés aux spécialistes du néant, ils s’imposèrent en tant que “chefs vénérés”, Rois. Chacun leur devant obéissance jusqu’à la mort. Tout ça pour ne pas affronter la peur de la vie, ce qui est, il faut en convenir, cocasse.

Les excès du système aboutirent, en Occident, à différentes révolutions et à ce que l’on a appelé “les lumières”, c’est-à-dire cet acte isolé de courage de certains penseurs qui promulguèrent, sans grand succès pratique, l’idée que chacun doit vivre librement sa vie, ne pas en avoir peur.

Aujourd’hui la peur de la vie a atteint son paroxysme et les “messieurs, je fais tout pour vous et mieux que vous” ont créé une sorte de divinité compensatoire, à laquelle nous sommes tous tenus de croire, à travers laquelle ils interviennent, qu’ils appellent : l’Etat.

Pour que cette divinité ne se confonde pas avec les Dieux du néant, pour que sa toute puissance ne soit pas concurrencée, ils durent d’abord séparer les Dieux du néant de ce Dieu du présent. Ce fut la séparation de l’église et de l’Etat.

Les hommes de l’Etat prétendent représenter cette abstraction divinisée, le plus grand nombre d’entre nous croit qu’elle existe vraiment et s’y soumet intégralement, jusqu’à la mort.

La confrontation

Tout va bien, les escrocs s’étant partagés les deux marchés divins — équitablement à leurs yeux — la masse des esclaves que nous sommes avance cahin-caha.

Oui, mais voilà. Il reste sur cette planète, une organisation presque fossile, qui fonctionne dans l’ancien système où seul le Dieu du néant a le pouvoir, la séparation entre le Dieu de la vie et le Dieu de la mort n’a pas encore eu lieu.

Manque de pot, cette organisation est à la tête de la plus grande quantité de matière première, dont nous avons tous un besoin vital : le pétrole. Elle est immensément riche.

Ce Dieu de la mort, riche, ne reconnait pas les différents Dieux de la vie. Les musulmans ne reconnaissent pas les Etats.

Le conflit des croyances aveugles est inévitable.

Car, chaque croyant se croit raisonnable, sans quoi il ne croirait pas. Alors que toute raison a quitté préalablement tout croyant.

Par exemple, n’allez pas dire en ville, à qui que ce soit, que l’Etat n’existe pas, n’est qu’une sorte de divinité fabriquée pour que certains vous possèdent, vous et vos biens. Personne ne vous portera attention. Bien pire, ce sera même considéré comme un sacrilège passible des tribunaux.

Quand deux croyants opposés se rencontrent, ils ne peuvent que s’invectiver, voir se battre et s’entretuer.

C’est donc ce qui nous attend, une lutte à mort entre les musulmans et les étatistes.

Pour combien de temps ? Pour toujours, jusqu’à que la raison ait raison des Dieux Mahomet et Etat.

Ce n’est pas demain la veille, à moins que le pétrole disparaissant, la religion liée disparaisse faute de moyen, ce qui nous soumettrait définitivement au seul Dieu ETAT.

Bien à vous. H. Dumas

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LA DICTATURE DES ENARQUES VA-T-ELLE ENFIN PRENDRE FIN?

Les énarques sont partout, ils contrôlent tout. 
Ils se partagent tout.
Ils sont devenus les parasites de la France et de l’argent des français.
Si vous ne débarrassez pas votre animal de ses parasites il en mourra.
C’est ce qui arrive à la France qui est devenue un grand corps malade grouillant de parasites style ténias. (dans ténia on trouve ENA)
La France est affaiblie, ses forces vives meurent ou s’expatrient devant la mainmise chaque jour plus prégnante d’une administration de plus en plus délirante et incontrôlable.
Nous le vivons en live avec leur vision du covid, où rien ne peu plus les freiner sans être violenté par leurs FDO.
Du haut en bas des administrations, chacun joue son petit chef sans discussion possible.
Il vous décrète complotiste ou faudeur fiscaux selon leur besoin.
Les préfets (tous sont des énarques) jouent les seigneurs de guerre comme au moyen âge et chacun y va de ses petits décrets, espérant faire plus fort que le voisin et se faire remarquer ainsi du Monarque.
Toutes les administrations n’ont qu’un seul but vous piller et vous réduire en esclavage.
Moi qui ai connu le monde d’avant où la liberté était la norme, je pressens que le monde d’Orwell arrive à grands pas et que mes enfants le vivront s’ils ont le malheur de ne pouvoir s’expatrier.
Nous sommes devenus uniquement des vaches à lait pour entretenir ces énarques et cette pléthore de fonctionnaires inutiles qui nous tondent et nous musèlent chaque jour davantage.
Les français dans leur grande majorité sont devenus des moutons bêlant et pleurnichards (mais pas trop, pour ne pas déplaire) qui n’ont plus aucune fierté et se couchent sans même qu’on le leur demande.
Dans tous les domaines la France dégringole et la chute sera sans fin.
Qu’allons nous devenir, nous les 5% maxi de français lucides?
D’une façon ou d’une autre, ils vont nous exterminer dans l’indifférence générale de nos concitoyens.
Perso, je n’espère plus rien. Juste d’aider mes enfants, que j’ai élevés dans la lucidité, se préparer à foutre le camp de ce champ de ruines que devient la France.
Jamais je n’aurai pensé vivre cette décadence mortelle.

Good Luke à vous.

Emmanuel Bolling

Ci-dessous un article “visionnaire” que j’avais pondu en 2015..
L’ENA, ce monstre créé par De Gaulle, forme  depuis des dizaines d’années des générations d’incompétents irresponsables qui dépensent des dizaines de milliards d’euros, les nôtres, en essayant de jouer les capitaines d’industrie avec les entreprises publiques.
Ils peuvent tout se permettre, et le font sans aucun scrupules car aucune sanction ne ponctue leur action.
En cas de perte abyssale, le pouvoir politique issue lui aussi de l’ENA, leur trouve un nouveau fromage.
Toute perte abyssale est systématiquement comblée, discrètement, par le contribuable. Nous.
Dans le secteur dit « publique ».
Bernard Attali (ENA promotion Turgot) Air France 1988/1993 : perte 1,2 milliard d’euros.
Michel Bon (ENA promotion Thomas More) France Télécom  1995/2002 perte  68 milliards d’euros.
Jean-François Cirelli (ENA promotion Léonard de Vinci) GDF 2004  dette 12 milliards d’euros.
Alain Minc 600 millions d’euros, François Roussely EDF 25,8 milliards d’euros de dettes etc, etc…
Tous ces grands PDG ont été recasé (et bien) avec prime de départ se chiffrant en millions d’euros et retraite chapeau, voir décoré.
Entre énarques, c’est la moindre des choses, non ?
Sans oublier leurs salaires et avantages faramineux durant la période de leurs méfaits !
Dans le secteur « politique ».
Les tops du top :Giscard, Chirac, Hollande.
Les tops : Aubry, Fabius, Sapin, Ségolène, Moscovici etc… et maintenant Emmanuel Macron !
Les cabinets présidentiels et ministériels sont, of course, composés en grandes parties de nos chers énarques.
Nous retrouvons évidemment ceux-ci à tous les étages de la haute administration : préfectures, Cour des Comptes (ben voyons !), Conseil d’Etat (les fameux Sages !) etc…
Partout.
Ils sont partout.
Tous se goinfrent à la gamelle France.
Ils nous dévorent vivants.
Ils sont devenus l’Etat Français. Rien ne peut leur résister.
Personne ne les contrôle.
Sauf eux, entre eux…
Elle n’est pas belle la vie ?
Nos politiques énarques creusent à qui mieux mieux le déficit à coup de mesures démagogiques et complètement à côté de la plaque.

Ils font écrouler l’économie, qu’à cela ne tienne, Bercy citadelle de l’énarchie, inventera un nouvel impôt ou taxe pour masquer leur gabegie.
Les médias ne se préoccupent que de leurs petites phrases sans vouloir regarder plus loin.
La politique est devenue un spectacle (pitoyable) pour adultes arriérés.
Nos députés, voulant aussi garder leur gâteau le plus longtemps possible, ferment les yeux.
Tout ce beau monde vit en circuit fermé, entre les apparts et voitures de fonction, surfant sur une France qu’ils vampirisent.
Plus d’économie, donc plus de boulot. N’importe quel patron de PME sait cela.
Nos énarques, non !
Bercy, pour faire fonctionner l’état énarchique le plus longtemps possible, lance à tout va sa Stasi « vérificatrice » pour tondre tout ce qui bouge.
Les abus fiscaux redoublent d’intensité.
Bercy ne craint rien, il contrôle la chaîne de répression de A à Z.
Suivons, de loin, un abus fiscal.
Le mouton hurle. On le saisit à vif.
Il crie qu’il veut qu’on lui rende justice. OK, direction tribunal Administratif.
Mauvaise pioche : Président et Rapporteur Public sont des énarques.
Il veut aller devant le Conseil d’Etat (les Sages !), rebelote, il retombe devant des énarques.
Tout est sous contrôle.
La faille, la seule, internet et ses blogs.
Internet a déjà créé des révolutions ailleurs.
Là se trouvent les vraies informations. On s’aperçoit que les français commencent vraiment à piger l’escroquerie.
Si vous faites le tour des blogs, vous vous apercevrez qu’être traité d’énarque devient une insulte.
De là à passer  dans le langage courant, il n’y a qu’un pas.
Que faire de nos énarques ?
Bercy, symbole de l’oppression fiscale, tombera comme est tombé la Bastille.
Sans prévenir

Emmanuel Bolling

Les noms et les chiffres sont tirés du hors-série de l’Ifrap : « LE DOSSIER NOIR DE L’ENA ».
Si vous le lisez, vous allez tomber en dépression…

Je vous conseille aussi:
https://temoignagefiscal.com/les-prefets-les-nouveaux-seigneurs-de-guerre/

Et pour reprendre R.Armenante:
« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »
Pasteur Martin Niemöller

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La terrifiante Convention Climat (2° partie)

Dans les années 1950, un étudiant américain en psychologie, Stanley Milgram, notait que les bureaucrates et bourreaux nazis au procès de Nuremberg se justifiaient en indiquant qu’ils avaient obéi aux ordres et que donc ils ne pouvaient être tenus responsables de leurs actes. Afin de comprendre si ces comportements étaient propres aux nazis ou s’ils étaient universels, Stanley Milgram a conçu et exécuté, de 1961 à 1963 à Yale, une expérience destinée à évaluer le degré d’obéissance d’un individu à une autorité qu’il juge légitime, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience, comme l’infliction de chocs douloureux voire mortels.

L’obéissance de l’individu à l’autorité  

Pour ce faire, l’équipe du professeur Milgram a recruté au hasard par petites annonces les sujets d’une expérience, bien rémunérée, présentée comme une étude scientifique de l’efficacité de la punition sur la mémorisation.

Elle mettait en présence une figure d’autorité, l’expérimentateur, sûr de lui et vêtu d’un uniforme gris de technicien, l’enseignant, objet de l’étude, et un étudiant attaché à une chaise électrique. Chaque fois que l’étudiant répondait mal à une question, l’enseignant devait lui envoyer un choc électrique dont la puissance augmentait graduellement (de 75 à 450 volts). L’expérimentateur et l’étudiant étaient des acteurs et il n’y avait pas de chocs électriques, mais l’enseignant-cobaye qui était censé punir ne le savait pas.

Si l’enseignant-cobaye demandait qui était responsable au cas où quelque chose arrivait à l’élève, l’expérimentateur répondait : “je suis responsable”. Cette réponse soulageait le sujet et beaucoup ont poursuivi. L’expérience a révélé que, malgré les cris et supplications de l’étudiant et la dangerosité explicitée des chocs élevés, jusqu’à 65% des participants avaient administré des chocs maximum, potentiellement mortels. Avant l’expérience, les chercheurs pensaient que ce taux serait de 1 à 3%.

Des séries d’expériences dans le temps ont fait varier les divers paramètres. Elles ont été reproduites et confirmées par des successeurs de Milgram. Elles ont démontré que :

  • Les femmes obéissaient de la même manière que les hommes, voire davantage,
  • Le sujet devait être convaincu de la légitimité de sa mission,
  • La distance entre l’enseignant-cobaye et la victime influençait l’obéissance,
  • Même chose pour la distance entre la personne d’autorité et l’enseignant-cobaye,
  • L’apparence et le rang de la personne en position d’autorité pouvaient augmenter ou diminuer l’obéissance.

Cette expérience et ses résultats, qui ont alors beaucoup choqué, ont valu à Stanley Milgram d’être reconnu comme un des psychologues sociaux les plus importants du XX°s. Les films d’époque de l’expérience sont visibles sur YouTube.

La Convention Climat et l’autorité

Dans la première partie de cette chronique sur la Convention Citoyenne pour le Climat (CCC) publiée fin Juillet, j’ai partagé avec vous mon inquiétude :

  1. avant même le début des travaux de la Convention, le Président s’était engagé à soumettre ses propositions « sans filtre » au référendum, au vote du Parlement ou à application réglementaire,
  2. plus de 80% de ses propositions reposaient sur la contrainte, la taxation, l’augmentation du rôle de l’Etat ou la restriction des libertés.

En fait, le protocole d’organisation de cette CCC m’a immédiatement évoqué l’expérience de Stanley Milgram : les participants sont tirés au sort, ils sont mandatés par la plus haute autorité du pays, représentée au quotidien par les fonctionnaires du CESE. Elle leur confiait une mission légitime : faire des propositions socialement justes pour sauver le monde de la catastrophe écologique en 2030. Pour compléter le dispositif, le Président indiquait qu’ils ne seraient pas responsables de leurs recommandations puisque le pouvoir politique assumerait.

A la lumière de Stanley Milgram, il était prévisible que la CCC produirait des recommandations punitives et liberticides. Nos dirigeants le savaient puisqu’ils ont appris tout ça à Science Po.

La Convention Climat : rien de nouveau

L’idée de réunir un groupe de citoyens tirés au sort pour travailler sur des sujets de société peut sembler intelligente, voire judicieuse à un moment où la parole des politiques et de l’administration semble largement discréditée.

Mais en réalité, l’exercice n’est en rien une nouvelle forme d’exercice de la démocratie, il ne fait que confirmer que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Les participants ont reçu les données d’entrée produites par l’administration et ils ont suivi le même raisonnement hypothético-déductif qu’elle. Les règles d’engagement du processus sont les mêmes que celles de nos fonctionnaires au quotidien : ils ont l’autorité sans assumer la responsabilité de leurs actes et leurs victimes sont loin. Le résultat est tristement habituel : contraintes, punitions, taxation et restrictions de liberté. Non seulement, ces propositions ne sont pas plus légitimes que les autres lois, mais tenter de nous le faire croire discrédite la démocratie parlementaire.

Comme pour la crise sanitaire, il est temps que  nos dirigeants cessent de nous prendre pour des imbéciles et des enfants irresponsables.

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Duel au sommet

Dans le grand concours d’obscurantisme existant entre les musulmans et les socialo-fonctionnaires c’est la croyance le grand coupable, accompagnée de ses incontournables outils : le mensonge, la bêtise et la force aveugle.

Le contraire de la raison, de la tolérance, de l’intelligence, de l’échange et du respect de l’autre et de ses biens.

Comment est-on arrivé aux incroyables déclarations d’un ministre de la république ; ministre de l’intérieur : “La liberté d’expression a une limite, c’est l’ordre public” ou “Ça m’a toujours choqué de rentrer dans un hypermarché et de voir qu’il y a un rayon de telle cuisine communautaire. C’est comme ça que ça commence le communautarisme”.

Voilà donc un ministre qui ne va pas tarder à fermer les pizzerias, et à qui on peut légitimement demander : “C’est quoi l’ordre public”

Est-ce que la caricature du Directeur des finances, le patron de Bercy, à poil, un code fiscal dans la main droite et un tube de vaseline dans la ma main gauche, en train de baiser Marianne, qui serait elle à quatre pattes, nue aussi, serait une caricature publiable ou troublerait-elle l’ordre public ?

Nous sommes dans un combat au sommet entre intégristes.

Si vous voulez mon avis, ce ne sont pas les musulmans qui vont gagner, ils ont plusieurs siècles de retard.

Qui voudrait aujourd’hui vivre selon leurs préceptes. Qui veut les mariages forcés, qui veut la polygamie, qui veut la loi du talion, qui veut l’interdiction du crédit, qui veut la soumission de la femme, qui veut obéir à une vérité toute faite ? Une minorité primaire, y compris évidemment chez les musulmans.

Alors que les “socialo-communistes-fonctionnaires”, lanceurs de “fatwa” du type “mur des cons” ou contrôles fiscaux à outrance, dépossession et éradication des riches, adeptes de restons chez nous les autres dehors, qui en sont déjà à plus de cinquante millions de morts au compteur, sont autrement plus dangereux.

Ils défilent par milliers, iIs assènent sans gêne leur vérité médiocre, ils n’acceptent aucune critique, ils sont prêts à tuer en masse, pas en amateur.

Ils ont eu la peau des classes moyennes, des gilets jaunes, des libéraux, de la raison, de l’intelligence, ils auront la peau de tout le monde car leurs héros n’ont pas de limite, ils se retourneront contre eux demain s’ils font mine de penser autrement.

La pensée dominante étant : “iI faut prendre au voisin riche, d’abord pour moi puis un peu pour le voisin pour sauver la face”.

Je m’occupe de tout, j’ai tous les droits, tu ne t’occupes de rien, tu n’as aucun droit, c’est le mantra de nos intégristes socialo-fonctionnaires, c’est autrement dangereux que les élucubrations débiles de quelques imans illettrés.

Les morts sont moins visibles, ils se suicident discrètement ou meurent de misère, c’est moins spectaculaire mais beaucoup plus efficace.

Alors de grâce, M. Darmanin, fermez-là, puisque nous sommes impuissants à vous la boucler.

Inutile de surfer sur l’assentiment de la majorité, vous l’avez malheureusement.

Hélas, nul ne peut poursuivre vos propagandistes, nul ne peut arrêter vos zélotes, votre vérité nous tue impunément, ayez au moins la discrétion de vous taire, puisque vous savez tout cela, que la police, l’armée et la justice fonctionnent au profit de votre “ordre public” contraire à nos vies, à nos libertés fondamentales et naturelles, à notre bonheur.

N’en rajoutez pas, Darmanin.

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De Gaulle, visionnaire ou apprenti sorcier ?

La société française va mal, les français supportent de plus en plus mal l’intrusion omniprésente de l’administration ; la contestation monte, le gouvernement et le président sont au sommet de leur impopularité et on peut légitimement se demander ce qu’il va se passer dans les prochains mois …

J’ai lu ici et plusieurs articles à propos de la contestation du système politique français et de la duperie des futures élections présidentielles.

On y accuse les élites d’avoir perverti le système, on nous parle de déni de démocratie, d’effondrement et de risque révolutionnaire et on y stigmatise le président de la république.

Il est vrai que nous attachons une (trop) grande importance au premier personnage de l’Etat et cultivons, souvent à l’instigation des politiques eux-mêmes qui aiment bien se donner ce genre depuis la libération, la culture du chef sauveur de la nation alors qu’il s’agit d’une pratique relevant du mythe pour ne pas dire de l’imposture !

Cela explique néanmoins des attentes excessives de la part de la population quant au rôle que celui-ci doit jouer dans le cadre des institutions … et il n’est pas vain d’affirmer que notre conception monarchique du pouvoir nuit à la fonction présidentielle et à un exercice sain du pouvoir car il ne faut pas oublier la maxime de Lord Acton « le pouvoir corrompt et le pouvoir absolu corrompt absolument ».

On sait aussi que cette vision repose sur le concept de l’Etat fort derrière lequel se cantonnent tous les politiciens ; lequel est surtout celui d’une administration toute puissante qui … ne remplit toutefois pas ses missions régaliennes et qui masque son incapacité générale à régler les problèmes par une communication omniprésente, souvent erratique pour ne pas dire incohérente, et par une abondance de règlements et directives.

Le constat a aussi été fait qu’une oligarchie s’est emparée du pouvoir et en a profité pour distribuer abusivement des prébendes, avec les impôts communs, à seule fin de se créer une clientèle au nombre de laquelle on peut citer les fonctionnaires, les assistés sociaux, la presse ultra subventionnée.

Concernant plus particulièrement cette dernière, il s’avère que, désormais, comme les politiciens, les journalistes et organes de presse (exception « culturelle » unique en Europe) sont payés par les impôts c’est à dire par l’argent public par le biais de subventions massives ; avec pour résultat d’organiser une confusion malsaine et préjudiciable à toute liberté d’expression dont seuls ceux qui ont la maitrise de cet argent (Macron et son gouvernement), sans en être les propriétaires, en tirent bénéfice !

Certes on ne peut pas parler de dictature mais il faut être conscient que le contrôle total de tous les rouages du pays aboutit néanmoins à une neutralisation de toute opposition puisque nous avons un président élu avec 25% des électeurs qui gouverne avec au maximum 29% d’opinions favorables selon des sondages qui disent tous la même chose. E Macron est désormais le candidat avéré des fonctionnaires et il lui suffit de les rassembler pour avoir les 23% des voix lui permettant d’arriver au second tour et de l’emporter face à l’opposant institutionnel rejeté par les ¾ des français : Marine Le Pen !

Il faut être lucide, nous sommes face à un simulacre de démocratie (intermittente de surcroit puisqu’exercée seulement tous les 5 ans) et le choix se donc résumera à un non choix !

Depuis vingt ans, on nous promet des réformes qui … n’arrivent jamais hormis de nouvelles contraintes et de nouveaux impôts ; avec pour résultat un pays qui s’enfonce de plus en plus dans le marasme, les difficultés et la dette !

Et désormais, il faut gérer cette situation mais personne ne sait comment s’en sortir alors que l’élite persiste à vivre dans l’illusion du statu quo !

Fatalement, les français ne votent plus, ou en tout cas de moins en moins, parce qu’ils  n’y croient plus. En fait, plus personne n’y croit hormis le petit cercle des politiciens professionnels et des hauts fonctionnaires.

Alors, faillite de la république, problème de société, défaillance constitutionnelle, ou est-ce autre chose ?

I-Une cause duale :

L’élection d’un chef de l’Etat arbitre, souverain et visionnaire, au-dessus de la mêlée politique, constitue une véritable imposture. Il n’échappe plus à personne que les élections présidentielles donnent lieu à des manipulations grossières alors que, en raison même de leur nature, tout s’y joue pour les 5 prochaines années.

On l’a vu en 2012 avec l’élection de F Hollande. Vous vous rappelez, ce président normal qui avait avoué n’avoir jamais travaillé de sa vie, qui a été élu notamment grâce à la complaisance revancharde de journalistes (75% d’entre eux quand même) qui ont martelé pendant toute la campagne « Sarkozy-Fouquet’s-bling-bling-président des riches-cadeau fiscal aux riches » mais qui avait du mal à s’exprimer en français ; dont on a dit que sa meilleure place était à la tête d’une sous-préfecture (Tulle), qui a violement augmenté la pression fiscale tout en creusant les déficits, qui n’a jamais pu inverser la courbe du chômage, qui méprisait les sans-dents tout en détestant les riches (à partir de 4.000 € par mois de revenus pendant que lui en percevait sans complexe plus de 20.000 !), dont la plus grande réforme a été le mariage homosexuel, qui s’est fait surprendre à visiter la nuit sa nouvelle maitresse au guidon d’un scooter, et qui, en fin de compte, n’a pas osé se représenter.

Et lors des dernières présidentielles de 2017, nous avons vu que les élites avaient décidé que F Fillon n’était pas le bon candidat. Clairement déboulonné alors qu’il partait favori, nous avons eu droit à l’élection d’un jeune parvenu arrogant et narcissique dont le programme flou se révèle être finalement une suite de décisions opportunistes dans le cadre d’une gestion « à vue » du pays ; laquelle va se terminer par une formidable explosion de la dette publique avant celle … des impôts !

Néanmoins, invoquer le passage du septennat au quinquennat en faisant référence au gaullisme historique, ce qui laisserait à penser que nous assistons à une perversion du gaullisme, pour justifier la situation actuelle ne m’apparaît pas être une explication suffisante.

Selon moi, la cause est double et tient essentiellement à la personne du général De Gaulle figure emblématique de la France depuis … 1940 !

-première erreur : la constitution de 1958

Malgré tout ce qu’on a pu écrire, la constitution du 04 octobre 1958 contenait dès l’origine la cause des problèmes actuels ; à savoir un système présidentiel autoritaire organisant un déséquilibre manifeste des pouvoirs et reléguant le parlement à un rôle secondaire alors que les députés et sénateurs sont les représentants des électeurs chargés de défendre leurs intérêts !

Et cette situation a été aggravée avec  le référendum du 28 octobre 1962 à l’occasion duquel le général De Gaulle a demandé aux français que le président de la république soit élu au suffrage universel.

Il s’est alors créé une confusion institutionnelle puisque le président devenait le représentant des français aux lieux et place du parlement. En votant « oui », les français y ont vu un progrès de la démocratie sans percevoir que, dans ce système, le président de la république n’était nullement leur représentant et qu’il n’est même pas responsable politiquement alors qu’il cumule des pouvoirs très importants, tout à fait anormaux … et pour tout dire uniques dans une démocratie.

Dans un tel système, nous nous situons plus près de la dictature que de la démocratie et d’ailleurs les démocraties nordiques et britanniques ne fonctionnent pas du tout comme la nôtre.

La conséquence est que, dans les textes, il est vrai que l’Assemblée nationale peut renverser le gouvernement mais que cela n’est arrivé qu’une seule fois (le 5 octobre 1962 à la suite du vote d’une motion de censure) et qu’au surplus, dans les faits, cela ne change rien puisque le premier ministre n’est qu’un exécutant de la politique du président ; lequel est irresponsable politiquement et peut continuer, tout à sa guise, à faire ce qu’il lui plait en nommant un autre premier ministre !

Les thuriféraires de ce régime ne manqueront pas de nous rappeler que le général De Gaulle avait un sens personnel de la légitimité et que, lorsqu’il a vu, en 1969 à propos du référendum sur le sénat, qu’il n’entrainait plus les français, il a préféré démissionner. Seulement, cette pratique gaullienne, par ailleurs non écrite, ne sera suivie par aucun de ses successeurs trop accrochés à leur pouvoir et à leurs prébendes.

Certes aussi, De Gaulle avait sa vision de l’exercice du pouvoir et s’attachait essentiellement à de grandes idées directrices que le premier ministre était chargé de mettre en œuvre. Cela veut dire qu’il ne s’occupait pas des détails de la gestion courante quotidienne.

Le problème est que cette pratique a dévié, pour ne pas dire été pervertie, à partir du mandat de V Giscard, premier haut fonctionnaire à accéder à la magistrature suprême,  qui s’est mis à gérer le pays au jour le jour aux lieux et place du premier ministre ; à tel point que Chirac, énarque lui aussi, premier ministre de 1974 à 1976, en est venu, devant le constat de son impuissance, à démissionner de ses fonctions et à agir ensuite en sous-main pour déboulonner le président lors des élections suivantes (1981 et l’élection de Mitterrand).

La réalité est que De Gaulle a voulu une constitution à sa main, et qu’il a alors commis un péché d’orgueil. Il ne voulait pas avoir à dépendre ni rendre de comptes vis-à-vis de parlementaires et politiciens qu’il méprisait au plus haut point !

Seulement, on ne fait pas une constitution pour soi ni pour satisfaire son égo et ça été là sa grande erreur dont il  nous faut aujourd’hui supporter les conséquences.

Autrement dit, le général De Gaulle, si encensé aujourd’hui, aux idées duquel tous les politiciens français essaient, à un moment ou à un autre, de se raccrocher faute d’en avoir eux-mêmes par référence à un personnage devenu mythique dans l’inconscient français a lui-même semé le virus qui a progressivement contaminé tout le système démocratique.

-Deuxième erreur : l’ENA

Comme, à l’initiative du même homme, a été créée l’ENA et que ses membres ont fini par prendre le contrôle du pays, nous nous retrouvons dans un système pervers et irréformable parce que non démocratique malgré des apparences trompeuses.

Désormais, il n’y a plus d’alternance, l’administration a pris le pouvoir ; les présidents changent mais les pratiques et les hommes de l’ombre restent les mêmes et ceux-ci organisent le fonctionnement du pays à leur profit en s’octroyant de nombreuses et juteuses sinécures bien souvent ignorées du public.

Clairement, les exécutants (fonctionnaires) ont pris les manettes de décision et n’entendent pas les lâcher tout en ayant organisé un système qui arrose trop de bénéficiaires pour être remis en cause !

II-Peut-on changer les choses ?

Au niveau constitutionnel

Les grandes modifications constitutionnelles intervenues dans le passé l’ont toujours été à la suite de périodes troublées.

La troisième république avait été mise en place dans l’urgence à la suite du désastre de Sedan et de l’écroulement du second empire, lors de la guerre de 1870 contre la Prusse.

La constitution de 1946 (IVème république) avait été adoptée pour effacer la honte de 1940 et faire oublier le vote des pleins pouvoirs à Pétain par 80% des députés et sénateurs.

La constitution de 1958 a été adoptée à la suite des manigances du général De Gaulle dont le but était de faire chuter le régime en place en pleine crise algérienne.

Mais faut-il pour autant souhaiter une révolution ? Il ne faut quand même pas oublier que toutes les révolutions ont terminé par des dictatures (France 1789, Russie 1917, Chine 1949, Cuba 1955).

Sans en arriver à de telles extrémités, il est possible de changer de constitution ou de la modifier que ce soit par le biais d’un référendum ou par le biais d’une réunion du congrès à Versailles (députés et sénateurs).

Dès lors :

-Soit on considère la Vème république comme un accident de l’histoire et on en revient à un véritable régime parlementaire avec un parlement doté de réels pouvoirs tout en replaçant le président de la république dans un cadre honorifique (c’est le cas en Allemagne ou en Italie) et en instituant le premier ministre seul responsable politiquement devant le parlement et seul réel dirigeant du pays !

Nous passerons alors à une VIème république sans revenir aux travers de IVème république et à l’instabilité gouvernementale si l’on garde le système du suffrage uninominal majoritaire à deux tours pour l’élection des députés. Sous la IVème république, le facteur d’instabilité était le mode électoral à la proportionnelle qui empêchait qu’une majorité puisse se dégager.

-Soit on décide de s’inspirer du régime américain et de supprimer le premier ministre pour mettre en place un régime présidentiel mais avec de véritables contre-pouvoirs et notamment une responsabilité politique devant le parlement.

Au niveau administratif

Il faut être conscient que changer de constitution ne suffira pas. Il faut aussi changer le cœur du système ; c’est à dire le mode de gestion et de recrutement et faire en sorte qu’il n’y ait plus une majorité de députés qui soient des fonctionnaires ni que la réalité du pouvoir soit entre les mains d’exécutants inamovibles !

La déclaration des droits de l’homme de 1789, qui a valeur constitutionnelle, prévoit expressément que les fonctionnaires doivent rendre des comptes de leur action publique. Ce n’est absolument plus le cas aujourd’hui. Certes les fonctionnaires rendent des comptes mais à leur seule hiérarchie et jamais au citoyen ; sauf si l’on veut bien considérer les rapports de la cour des comptes comme une telle manifestation alors que ceux-ci n’ont aucune suite faute d’un pouvoir de sanction.

Rendre des comptes sans être responsable ni encourir de sanction, ce n’est pas rendre des comptes !

Il faut donc aussi supprimer l’emprise intolérable de la haute fonction publique et la ramener à ce qu’elle était à l’origine : des hommes d’exécution et non des décideurs politiques.

De ce fait, il faut leur interdire de faire des allers et retours entre leur statut et les mandats ainsi que le cumul de fonctions administratives (qui sont d’exécution) et celles électives (qui sont de décision). On ne peut pas oublier l’exemple fâcheux de cumulards compulsifs tels que JP Delevoye (17 fonctions et mandats) !

Il faut aussi stopper le développement de l’Etat et son interventionnisme et remettre en cause le financement public de la vie politique qui fait que ce sont actuellement les impôts qui financent les campagnes électorales et les partis politiques avec toute une série de dérives et d’abus. Le but initial déclaré était d’éviter les magouilles du type Urba mais a abouti, en fait, à la mainmise de l’administration sur toute la vie politique avec les conséquences rapportées plus haut !

Seulement, il faut être conscient que les élites ne voudront jamais revenir sur leurs avantages et que, finalement, cet immobilisme pourrait bien pousser à l’extrémisme et à la révolution ; ce qu’a d’ailleurs parfaitement compris le pouvoir en organisant une distribution massive d’argent à la suite du Covid pour « calmer la foule ». Nos élites ont parfaitement compris comme l’a écrit Louis Ferdinand Céline que : « le peuple n’a pas d’idéal, il n’a que des besoins » !

Néanmoins, il ne faut jamais croire que tout peut toujours rester figé et qu’on peut sans cesse faire usage d’expédients …

Bien cordialement à tous !

Απο την Ελλαδα ! (De la Grèce) – Preveza

Licence de publication : la reproduction du présent article n’est autorisée qu’à la condition de le reprendre en totalité, d’un rappeler l’auteur et le site originel de publication.

 

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Le menteur prend, avant toutes choses, ses interlocuteurs pour des cons.

Il ne faut pas oublier ce théorème si l’on veut comprendre l’attitude de nos hommes de l’Etat pour qui le mensonge est l’outil de communication de tous les instants en toutes situations.

Ainsi, allaient-ils sanctionner le professeur décapité qu’ils vénèrent aujourd’hui ?

Oui, c’est un fait, qu’ils ne peuvent réfuter, pourtant ils le font.

Il ne faut jamais avoir déposé une plainte contre un fonctionnaire déviant pour ne pas savoir que le procureur de la république les classe toujours sans suite, sauf en matière sexuelle. Ici le procureur a poursuivi.

Le professeur s’est retrouvé au commissariat. Pour sa défense il a cru bon de déposer une plainte en diffamation à son tour. Effet beaucoup plus dévastateur pour la suite mortelle que les réseaux sociaux accusés par les hommes de l’Etat.

Mensonge ordinaire pour eux qui ont aujourd’hui le culot de surfer sur le racisme pour proposer le Panthéon à celui qu’ils s’apprêtaient à poursuivre en justice, qu’un simple d’esprit, crédule et manipulé par leurs semblables, a assassiné en se suicidant.

J’ajouterai, et ce sera mon dernier avis sur cette affaire, ce professeur remplit-il sa mission lorsque, abordant le sujet de la liberté d’expression, de conscience, il propose à ceux qui ont le plus besoin de son cours – les intoxiqués par la religion musulmane – de quitter la classe ? Evidemment non. Alors un peu de pudeur. L’horreur de sa mort, évidemment inacceptable, ne peut pas le transformer en héros de la nation.

Plus généralement.

Prendre la population pour des cons, se prendre pour un génie, n’est-ce pas la marque de fabrique de toute dictature, de tout abus de pouvoir ? N’est-ce pas le contraire de la démocratie, du respect de l’autre ? Si, évidemment.

Nous sommes effectivement sous dictature.

A ce sujet, Michel Georgel pose des questions dans son dernier billet qui m’ont interpellé.

En effet, l’INSEE rapporte qu’entre le 1ᵉʳ mai et le 5 octobre 2020, c’est 247 613 décès qui ont été enregistrés en France à la date du 16 octobre, soit 1 % de plus qu’en 2019. Soit 2.476 de morts supplémentaires, et non 33.000. Donc, sur les 33.000 attribués au COVID, 30.500 seraient morts sans le COVID.

Il n’est pas ridicule d’imaginer que les 2.476 décès supplémentaires de 2020 ont été victimes des dysfonctionnements des hôpitaux et des HEPAD.

Donc, il n’y a pas d’épidémie particulière.

Il faut reconnaître que cela fait bizarre. Il faut se pincer pour le croire, et encore…et pourtant…

Je n’adhère à aucune théorie du complot volontariste, mais je crois aux grandes tendances qui s’imposent du fait d’intérêts — ou d’idées — dominants et synergiques, qui dictent une conduite majoritaire qui peut donner l’impression d’un complot, que des opportunistes adoptent et que des escrocs s’attribuent effectivement au titre de complot, ou vision politique, ou religion, etc …

Je propose une analyse avec toute la prudence d’usage en pareil cas.

L’économie se cherche depuis quelques années, sans que personne ne comprenne très bien d’où viendrait le mal ni quel il serait exactement. Les avis à ce sujet sont très divergents.

Soudain, début 2020, une fraction importante de la population cesse de travailler, est confinée.

Et… l’économie ne se porte pas plus mal…

D’où la question : le travail de toutes ces personnes arrêtées était-il utile ? La réponse pourrait-être : non.

Mais alors, il faudrait admettre que notre société peut parfaitement fonctionner avec une énorme masse d’inactifs.

Oui mais, ces inactifs ne sont supportables que s’ils n’entravent pas le travail des actifs et s’ils ne réclament pas une part trop importante des revenus de ceux qui travaillent et produisent des richesses.

L’apparition soudaine d’un nouveau virus, très agressif mais peu mortel pour les personnes en bonne santé, génère l’effroi s’il est l’objet d’une surinformation.

Cet effroi permet de sortir du marché du travail une grande partie des inutiles, qui sont eux-mêmes demandeurs et se précipitent vers toutes les cases possibles à ce sujet : télétravail, diminution des dépenses personnelles, départ à la campagne, etc…

Jusque-là tout va bien.

Pour parfaire l’opération, il suffit de mettre en place quelques détails :

– D’abord, la fausse monnaie, pour indemniser les naufragés du travail, sur laquelle on s’accordera entre initiés de l’économie.

– Ensuite, il faut que ceux qui entravaient l’économie naturellement, les fonctionnaires, soient mis hors de course.

– Et enfin, il faut que les oisifs, ceux qui ne travaillent plus, ne profitent pas de leur temps libre pour imaginer on ne sait quelle utopie mortifère à l’économie, pour cela il faut les habituer à vivre chez eux, avec le moins de contact possible, attachés uniquement à leurs écrans.

Il me semble que tout cela colle assez bien avec ce qui se déroule sous nos yeux, que l’étape cruciale de la modification de nos vies par la robotique est peut -être en train de se dérouler incognito.

Alors il faut admettre que les acteurs économiques vont gagner en richesse et en liberté, que ceux qui se sont, ou ont été, exclus de l’économie seront certes inactifs mais en contrepartie surveillés comme le lait sur le feu, donc verront leurs libertés se réduire comme peau de chagrin.

Tout cela n’est qu’une hypothèse…

Bien à vous. H. Dumas

 

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Terrorisme de la stupidité

Le terrorisme par l’Action Directe

Le terrorisme vient par l’action in fine, comme on a pu le voir par les actes de Mohamed MERHA, les frères KOUACHI.

En 2016, nous avons connu le camion fou sur l’esplanade de la Promenade des Anglais à Nice, mais aussi Mr CONARA, chef d’entreprise décapité par un de ses salariés.

Plus avant en 2014 à Nantes, un véhicule fonce sur un marché de Noël !

Et je m’arrête là pour les faits divers qui peuvent se poursuivre à la Prévert. Laurent OBERTONE sera plus à propos que moi pour réciter les désastres

La triste actualité nous rappelle ces faits avec l’enseignant PATY pour l’éveil des consciences, dans sa religion à lui, la laïcité, en opposition à des « insoumis » de l’Islam. Par insoumis, il faut entendre des radicaux …

Le terrorisme peut prendre une autre mouture

La laïcité se voudrait affranchie des reliques barbares de quelconque religion, mais elle épouse aussi une autre qui a pris corps par nos caciques de la Socialie : Le contraire de celle que nous dénonçons à corps et à crie sur ce blogue : L’Etat défaillant pour protéger la propriété privée et la création de richesses qui sont les seuls moteurs d’une vie prospère.

D’autres insoumis chez nous sous couvert de la République s’affirment ainsi, mais de manière plus policée avant de rendre la liberté individuelle caduque et par là installer le « Plan soviétique », avec le contingentement, puis la pénurie. Nous commençons à vivre ses contours. De nouveaux radicaux !

Le terrorisme est déjà là de manière insidieuse par des règles et des lois qui s’empilent les unes par-dessus les autres, pour contraindre, forcer, sans possibilité de débat contradictoire, car la règle, la norme s’impose à tous, même si elle est débile.

Rappelez-vous ? Les Gilets-Jaunes primaux et non les racoleurs issus des gilets rouges, voulaient un débat officialisé entre le peuple et le pouvoir sur des questions centrales de démocratie. Car on peut avoir des questions à poser dans un débat démocratique ouvert qui ne se résume pas à celui de l’Assemblée Nationale, certes élu par le peuple, mais qui s’en démarque de plus en plus pour se maintenir dans une cour du Roi Soleil.

Les lois qui s’imposent à chacun d’entre nous, nous composons avec elles, pour nous réduire et trouver encore la possibilité de prospérer, non par assistance, mais par création. Mais pour combien de temps ?

Le terrorisme par le peuple

Quand les ventres se vident par des voies légales, ils vont chercher de plus en plus l’illégale. Ce que nos politiques cherchent à éviter par-dessus tout alors qu’ils l’ont développé par clientélisme électoral de la pauvreté encensée par l’assistanat, et plus par des associations encouragées et favorisées, histoire de continuer à faire n’importe quoi sous les radars de la vérité, car elles ont bon dos ces « assoces » au plus proche de « la veuve et de l’orphelin ».

Nous sommes dans un déni de prise de conscience orchestré par une EdNat aux abois, et un Etat tout aussi délétère et ferme qui imprime sa rébellion contre celle de ses administrés.

Attendons que les ventres se creusent, de plus en plus nombreux, pour réagir ! Que nos écologistes patentés nous fasse passer de la lumière à la lampe à huile, pour nous insurger !

Bien à vous

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De quoi les morts sont – ils morts ?

Comment expliquer que l’ensemble des dirigeants de nos pays occidentaux s’obstinent dans des directions à l’évidence contre-productives, absurdes et mortifères ?

Servent-ils seulement, comme le pensent beaucoup, les intérêts de l’industrie pharmaceutique, qui se révèle par ailleurs une source importante de leurs financements ?

Obéissent – ils aux souhaits des hommes de Davos, qui souhaitent très officiellement réduire de manière drastique le nombre de la population mondiale, par l’instauration (y compris par le moyen de la terreur sanitaire et/ou climatique) d’un gouvernement mondial, et l’effacement des identités nationales ? Le fait que les hommes de Davos parrainent très officiellement l’organisation des « Young Leaders », et qu’Emmanuel Macron, Olivier Véran, Édouard Philippe (et beaucoup d’autres, dont Nicolas Sarkozy) soient précisément des Youngs Leader a le droit d’interpeller, sans pour autant mériter à coup sûr l’accusation de « complotisme ».

L’un de mes fils me suggérait tantôt une autre piste : « Et si ces gens détenaient des informations plus ou moins effrayantes, dont nous ignorons tout ? »

Le professeur canadien Denis Rancourt, chercheur indépendant de l’Ontario Civil Liberties Association fait remarquer dans plusieurs articles et interviews que l’épidémie de virus chinois se distingue de toutes les autres épidémies comparables observées depuis la fin de la seconde guerre mondiale sur trois points au moins, trois points qui de fait interpellent. Vous pouvez lire ou écouter cela notamment à l’aide de liens in fine, mais comme c’est toujours un peu long, je vous en propose le présent résumé.

  1. Aucune épidémie comparable ne s’est jamais développée dans nos pays de la zone tempérée nord à cette saison. Toutes les autres épidémies se sont produites au cours de la saison froide.
  2. Aucune autre épidémie n’a connu une courbe de progression aussi brutale.
  3. Toutes les autres épidémies ont touché les pays d’une même zone d’une manière strictement uniforme. Ce qui n’est absolument pas le cas ici : des pays voisins, ou même des régions voisines d’un même pays ont connu des taux de contamination radicalement différents (pouvant aller des plus élevés aux plus faibles).

Pour le professeur, une seule explication : il n’y a tout simplement pas eu d’épidémie.

Alors de quoi les morts sont – ils morts, demandez – vous ? Toujours selon le professeur, des seules politiques pratiquées. En France, le confinement, la relégation des personnes âgées, l’interdiction de prescription, notamment de l’hydroxychloroquine…

Si l’on suit le professeur, la première vague, si elle est démontrée, ce n’était pas au printemps, c’est maintenant.

Est – ce cela que « savent » nos dirigeants ?

Peut – être. Pour autant, cela justifie – t– il les mesures qu’on nous impose ?

À cette dernière question, selon que l’on s’avance masqué ou qu’on préfère dire les choses sans masque, on répondra « Bien sûr, bien sûr ! » ou l’on haussera les épaules, avec plus ou moins de lassitude. Moi, je hausse les épaules, avec lassitude.

 

Quelques sources :

https://covidinfos.net/covid19/le-covid-na-pas-provoque-de-mortalite-inhabituelle-en-france-selon-une-nouvelle-etude-du-pr-denis-rancourt/1741/

https://www.youtube.com/watch?v=SyQLVhtBCz4

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Il y a un remède au désastre français !

Il y a un remède au désastre français !

Toutes les histoires importantes remontent à loin.

Le drame affreux de l’enseignant décapité remonte à 1976, quand Giscard et Chirac instaurent le regroupement familial et ouvrent ainsi la porte de l’immigration massive.

Le couvre-feu institué le 17 octobre remonte à 1958 quand le général de Gaulle crée la Ve République pour rétablir la toute puissance de l’Etat.

Le drame sanitaire créé par le coronavirus remonte à 1945, quand la IVe République crée la Sécurité sociale, qui va réduire à néant la liberté médicale.

Les lamentations d’aujourd’hui sont dérisoires, car elles ne s’accompagnent d’aucun projet de réforme. Elles ressortissent à la célèbre formule de Bossuet, pour qui « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».

Face au désastre français, on peut se dire, comme Fellini le disait de Rome, que « Paris est le plus bel endroit pour attendre la fin du monde ». On peut aussi allumer un cierge pour que survienne un homme providentiel. Mais on peut aussi s’accrocher à une idée que l’on croit capable de tout changer.

Cette idée, c’est la fin du monopole de la Sécurité sociale. Elle ne m’est pas venue par une illumination soudaine, mais quand, au terme de plus de vingt années de défense des libertés médicales et d’échecs répétés du fait de la résistance acharnée de l’Etat et de la lâcheté de nos confrères, l’Europe prit un virage décisif en ouvrant toutes ses frontières intérieures, ce qui ne pouvait que s’accompagner de la fin des monopoles publics.

C’est en 1986 que l’Europe prit cette décision, par un traité appelé l’Acte unique. Aujourd’hui, 34 ans plus tard, le monopole de la sécurité sociale est mort dans les lois mais survit encore dans les faits en France, tel un fantôme dictant sa loi aux vivants.

Là encore, c’est la lâcheté des hommes qu’il faut incriminer, tout autant que la bêtise à front bas des politiciens. La liberté avait un boulevard, que nous avons ouvert. Les fonctionnaires qui dirigent la France l’ont encombré de mille obstacles, que leurs alliés dans la société civile se sont bien gardés de dégager. Nous avons donc été laissés seuls face au Minotaure et si le monstre agonise aujourd’hui, c’est que nous avons fait nôtre cette phrase de Clemenceau : « Dans la guerre comme dans la paix, le dernier mot est à celui qui ne se rend jamais. »

La Sécurité sociale, bien plus qu’une institution, est une idéologie. Elle a perverti les mentalités plus encore que l’économie et la politique. Elle est la source de tous les comportements déviants de notre société, au regard de l’histoire de l’humanité. La fin de son monopole la ramènera au rang de ces vieilleries qui encombrent les rayons des vieilles boutiques, qu’on appelle des rossignols et dont la seule nuisance n’est plus que le ridicule.

Depuis le 17 mars 2020, la France a cessé de travailler. Depuis le 17 octobre 2020, elle a cessé de circuler. Gageons qu’il ne faudra plus très longtemps pour que l’Etat enjoigne les citoyens de cesser de se nourrir pour ne pas empiéter sur les réserves alimentaires destinées aux fonctionnaires. Car enfin, que deviendrions-nous si nous ne les avions pas pour veiller sur nous ?

Avec l’âge, les traits s’accusent et l’on finit par ressembler à ce que l’on est. La France vieillit mal et finit par ressembler à une vieille sorcière. Mais elle a toujours su renaître sous des traits juvéniles, que l’on aime passionnément. Tendons-lui les bras. Vous verrez, elle ne nous décevra pas !

Claude Reichman

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Après le viol des consciences, le meurtre

Clausewitz, de façon très claire, explique que la guerre n’est que la continuation d’une diplomatie — discussion — non aboutie.

A Conflans-Sainte Honorine, hier, c’est la guerre qui a parlé.

C’est l’issue d’une diplomatie non aboutie.

On ne peut pas affirmer que toute croyance est acceptable et ridiculiser les croyances de l’autre.

Alors que, en réalité, toute croyance est à bannir, la lutte de la raison contre les croyances devrait être constante, elle s’appellerait laïcité. Oui mais voilà, elle-même est devenue une croyance, qui comme toute croyance exclut l’autre, celui qui ne croit pas.

Le Dieu des laïques est lui aussi une abstraction “l’Etat”.

En son nom on humilie les autres Dieux au lieu d’en démontrer le non-sens, les incohérences.

On tue aussi en prétendant, par exemple, que lui seul peut intervenir en cas de pandémie.

On tue encore quand on prétend que les individus doivent être dépossédés de leur biens au profit de ce “Dieu État”, quand ses exécutants ruinent en toute impunité en son nom.

Dans ces conditions, que Charlie-Hebdo fasse commerce de la moquerie, même excessive, pourquoi pas, nul n’est obligé de l’acheter, mais l’Education Nationale …

N’y a-t-il pas mieux à faire pour éveiller l’enfance au doute, à l’intelligence, à la raison, que de se moquer des autres croyances au lieu de les analyser froidement, de dénoncer leur obscurantisme ?

Voici donc une affaire qui tombe bien pour le petit Macron, chevalier croisé du fascisme, de la religion de l’Etat, du tout par l’Etat, tout pour l’Etat.

Dans cette affaire, les complices dénoncés du tueur sont aussi des croyants. Quel niveau de complicité peut s’établir par le biais de la croyance et qu’elles en sont les limites ? Quels fantasmes vont imaginer nos magistrats, croyants d’Etat ?

Voilà une affaire bien mal embarquée, qui compte déjà deux morts inutiles.

Alors que les aspects ridicules des croyances, c’est à dire les pitreries et les délires de ceux qui se prétendent les représentants des Dieux — État compris — seraient aisément démontables si ceux-ci ne s’octroyaient pas l’exclusivité de la force pour soumettre les hommes et celle de la monnaie pour les acheter.

Le courage n’est pas de ridiculiser les croyances des autres mais de lutter contre toutes les croyances et plus particulièrement contre ceux qui prétendent les représenter et les véhiculer.

Chaque homme doit pouvoir accéder à la raison, construire seul librement les croyances pouvant en découler pour lui. C’est la fierté de l’enseignant de faire comprendre cela, de permettre à chacun d’accéder à la liberté de penser, qui doit être totale. Alors que la liberté de s’exprimer, impliquant les autres, ne peut être que mesurée à l’échelle du respect de l’autre.

Mais hélas, l’Education Nationale croit dur comme fer qu’elle seule dispose de la vérité, que l’Etat est Dieu, et elle n’hésite pas à l’imposer, y compris aux hommes alors qu’ils ne sont pas encore en âge de comprendre et de se défendre.

Macron dans cette affaire souffle sur les braises, nous avons bien à faire à un dictateur en herbe.

Demain va-t-être sombre pour ceux qui ont la raison pour guide, pendant que les croyances vont en découdre.

Bien à vous.

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La Covid19 ou la dictature hygiéniste (suite)

« La critique est aisée mais l’art est difficile ». C’est bien souvent le cas.

Mais alors, concernant cette « pandémie » version 2020 ou plutôt cette épidémie si l’on s’en réfère à la vraie définition du mot pandémie valide jusqu’en 2008, qu’aurait-il fallu faire ?

La réponse est nette : RIEN. C’est facile !

Avant de continuer cette discussion, il est impératif de voir cette interview de la généticienne Alexandra Henrion-Caude à un journal TV :

En toute neutralité, loin de la presse officielle, on sent cette femme sincère, parfois émue, sans complotisme qui fait le tour de manière explicative et argumentée et parfaitement compréhensible par tous, sur toutes les questions concernant la Covid19, ce que l’on en sait et les mesures prises.

Elle est un peu longue (49mn, il n’en fallait pas moins) mais vaut vraiment la peine d’être vue jusqu’au bout. Vous ne perdrez pas votre temps. J’insiste, d’autant qu’on ne s’ennuie pas du tout.

https://youtu.be/c3V6DxmOy8o

 

Voyez-vous, qu’il s’agisse de commerce, de santé, de justice, d’éducation… il s’agit en réalité d’interactions, d’échanges.

Dans un monde libre, fait d’échanges (à moins que vous soyez un ermite) et respectueux de chacun, ce vers quoi tout le monde veut tendre (je l’espère, même si beaucoup rêvent encore de privilèges…), il y a un principe de base du vivre en société qui est :

« L’échange mutuellement consenti ».

Pour qu’il puisse y avoir « échange mutuellement consenti », il y a une condition nécessaire : la parfaite information ou du moins la meilleure possible de sorte à ce que ni l’intérêt de l’échange, ni le niveau de prix, qui révèle le niveau d’utilité de cet échange en situation de concurrence, ne puissent être remis en cause.

La justice, dans la plupart des tribunaux du monde, au moins des pays évolués, on vous demande de dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. S’il y a une entorse à l’une de ces trois conditions, on peut aboutir à une fausse conclusion.

Soit dit en passant, la notion de parjure n’existe quasiment pas en France, une exception, une de plus, bien française, pour le principe de la plaidoirie !

Aaaah, ça, on parle et on chante même, les deux pieds dans la merde… et on fait des leçons de morale à tout le monde !

Et c’est pour ça que la justice profite davantage aux gens malhonnêtes qu’aux gens honnêtes en général dans ce pays. Étant souvent difficile de distinguer le vrai du faux, les magistrats coupent souvent la poire en deux, et de fait, l’honnête est lésé.

Mon premier article date du 20 mars 2020. Il était un cri de colère. Entre les informations divulguées par la presse et les chiffres même officiels, il y avait une telle dichotomie que je me demande encore comment les populations peuvent être aussi naïves. Médecins compris !

Pour être honnête, à force d’écouter BFM TV, envahi par mes émotions, j’ai eu moi-même un doute pendant 2 ou 3 jours, le temps de comprendre qu’il valait mieux aller à la source des informations et les analyser moi-même plutôt que de faire confiance aux communiqués officiels anxiogènes au point de ne plus pouvoir raisonner sereinement.

Nul n’est insensible à la théorie de Goebbels : « Un mensonge répété dix mille fois devient vérité ».

Ou encore, Vladimir Lénine : « Plus le mensonge est gros, plus les gens y croiront. »

Depuis le début, dans cette affaire, le seul devoir de l’État et l’unique aurait été d’informer la population avec de vraies informations. Comme celles contenues dans la vidéo plus haut et qui ne sont pas forcément spécifiques au Covid19. Aurait-il fallu qu’ils en soient capables ? Ayant, eux-mêmes, pour certains et je n’en doute pas, beaucoup de mal à comprendre, sans doute s’imaginent-ils que la masse est trop conne pour comprendre, ce qui est sans aucun doute faux. Ben oui, dans leur esprit, il suffit d’être élu ou nominé pour être compétent. Logiquement il serait souhaitable que ce soit l’inverse, mais dans la réalité, ce n’est pas le cas. Ils sont, de fait, bourrés de certitudes, pour ne pas dire abrutis.

Seulement voilà, force est de constater que nos hommes de l’État, prétentieux comme des poux, se sont appropriés le problème, se sont fait un devoir de le résoudre, chose dont ils sont objectivement incapables. Parce que c’est tout bonnement impossible !

En revanche, étant capables de dire tout et son contraire parfois même en moins d’une semaine, ils n’ont fait que mentir. Et aujourd’hui, on doit leur faire confiance ?

Quand il n’y avait pas de masque au moment où il aurait été potentiellement plus prudent pour certains d’en avoir, quand beaucoup toussaient par exemple, ils affirmaient qu’ils ne servaient à rien.

Maintenant qu’ils ont des stocks de masques à plus savoir qu’en faire, on fait croire qu’ils vous protègent, alors qu’en réalité, mal utilisés, ils sont nocifs ! Et c’est bien le cas aujourd’hui.

Leurs informations, recommandations, règles dépendent exclusivement de ce qu’ils ont à nous vendre. Le pire, est que certains d’entre eux finissent par se convaincre eux-mêmes qu’ils font le mieux pour nous. De vrais mythomanes !

À ce sujet, je vous recommande un livre de Jean Sérisé, ancien Directeur de cabinet etc… – « La France n’est pas seule au monde ou L’apprentissage de la vérité » écrit à 95 ans avec une longue expérience, de recul, de claire voyance et de sagesse, à cet âge, il ne risquait plus rien ; il était libre. Il nous démontre que les idées politiques se façonnent voire même exclusivement parfois selon le mode de scrutin. Le même homme politique, selon deux modes de scrutin bien différents aura sur certains sujets des idées parfois diamétralement opposées. Et ils arriveront toujours à se convaincre eux-mêmes que leurs idées sont les meilleures. Et ils en sont totalement inconscients ; c’est dire s’ils en ont des idées. Elle est belle la vie !

Alors ? Si nous avions été correctement informés,

Nous nous laverions, nous ferions du sport, nous mangerions un peu plus équilibré au lieu d’acheter des conneries…, nous ne serions pas stressés… Nous aurions un système immunitaire bien plus performant…,

Les supermarchés auraient trouvé des masques en moins d’une semaine,

Les médecins généralistes, libéraux et ceux du secteur privé, cliniques, nous auraient diagnostiqué et soigné avec ce qui leur semble être le meilleur traitement adéquat en fonction de la personne (fragilités…), avec de l’hydroxychloroquine ou autres…

Et donc les gens n’auraient pas été obligé de se ruer vers les hôpitaux seuls habilités. Ils auraient été traités avant que leur charge virale ne devienne critique au point de les rendre malades à un stade avancé….

Bref, la vie aurait continué… rien des catastrophes passées ou à venir, sanitaires ou économiques, n’auraient eu lieu…, la mortalité serait restée normale…

Mais l’administration nous a interdit tout ça. Elle nous a confiné : Prison !

Et si tu as plus de 70 ans, crève chez toi !

Il n’y a plus qu’une seule maladie : la Covid19. Donc si tu as autre chose : crève chez toi.

Un point positif, les études de médecine vont être vite faites ! En 6 mois, t’es médecin dis-donc ! À condition que tu veuilles bien servir que dans le public. Ça va de soi !

Aspirine, interdit. Anti-inflammatoire, interdit. Corticoïdes, interdit. … . Covid19 ou pas. Tout traitement est interdit.

T’as le choix entre l’hôpital ou… l’hôpital. En même temps, c’est plus simple.

Heureusement que le premier mot de la devise de la république française est « liberté » !

Le drame est que c’est finalement les français qui l’ont voulu le confinement !!! Beaucoup par la peur, d’autres parce que ça les arrange…, télétravail, envie de glander, chômage-partiel (ici on touche un problème de responsabilité individuelle non assumée),…

 

Seuls les hôpitaux publics ont donc été autorisés à diagnostiquer… et en plus c’est l’administration qui décidait des protocoles…. C’est cela qui crée la crise.

Les hôpitaux ne se remplissent pas, c’est l’administration qui les remplit. Et c’est toujours le cas. Il faut que ça se voit. Ils n’ont quand même pas fait tout ça pour rien !

Derrière tout cela, en réalité, se cache entre autres, la guerre du public contre le privé, « le diable, Mme Langlois » à la Bébel dans « Flic ou voyou ».

Et après, ils se sentent obligé de travestir la vérité, tricher pour tenter de faire illusion et montrer que ce qu’ils ont fait, était évidemment le mieux.

Selon si les médecins sont frappés du syndrome « mange-cailloux »

https://temoignagefiscal.com/le-coronavirus-ou-le-mange-cailloux/, l’idée que l’on voit ce que l’on veut voir inconsciemment ou celui de Goebbels ou Lénine (être un « scientifique » n‘y changera rien), certains, gonflés d’un sentiment de supériorité et/ou du désir d’être un héros, vous diront que les hôpitaux sont bourrés de cas de Covid19 et les autres, plus lucides que non, bien évidemment.

Nationalisez la distribution pour voir.

Si on laisse l’administration gérer les supermarchés, en moins de 3 semaines il n’y aura plus rien dans les rayons.

Ce n’est pas que chacun des fonctionnaires individuellement sont nécessairement mauvais, c’est que le système de l’administration est mauvais. Trop lourd. Il n’est pas adapté à la vie. Avec des formulaires, des protocoles… qui n’a rien à voir avec la vraie vie.

La vie est imprévisible. L’administration aurait donc la prétention de prévoir l’imprévisible ?

Vous virez la barre à tribord et le navire mais 20 ans à tourner. C’est pire que le Titanic !

On en a la pleine démonstration ici avec la crise du Covid19.

Et plus, ils voudront la gérer et plus ce sera long et pénible.

 

Le confinement n’a eu pour conséquences que d’avoir davantage de malades, alors que beaucoup n’auraient dû être qu’asymptomatiques et de faire durer le plaisir plutôt que d’avoir une immunité collective plus rapide et donc d’avoir pour conséquence de limiter le nombre de mutants.

C’est comme pour la circulation. Plus il y a de feux rouges et stops et plus il y a de bouchons et d’accidents graves.

Bref, les élus comme les hauts fonctionnaires sont d’une prétention redoutable à vouloir s’occuper de tout le monde. Parce que, encore une fois, c’est impossible. Pour la plupart, malheureusement, ne se rendant pas compte de la difficulté de la tâche, ils ne sont en réalité que des idiots, bourrés d’illusions.

Et cette maladie, la melonite, ils la chopent parfois dès l’école. Ils ne connaissent rien à la vie mais ils vont quand vous l’expliquer ! Là pour le coup, ce serait bien s’il existait un vaccin !

Et c’est bien là aussi le vrai problème. Leur statut acquis pour un temps, pour les élus, ou à vie, pour les fonctionnaires, plutôt que de sentir investit d’un mandat, ils s’approprient le pouvoir. Se sentant supérieurs par rapport à nous les autres gueux, les dérives fascisantes apparaissent en particuliers lorsqu’ils ont une vision administrative de la vie, comme nous l’avons déjà montré précédemment.

Les effets sur l’économie ne se font pas plus attendre.

En dehors, de l’explosion de la dette, des impôts, des règles écrasantes tuant l’entreprise… se dessinent d’autres effets pervers.

Plus l’administration est puissante et plus elle standardise l’économie tentant de la rendre plus simple à gérer pour son propre compte et donc tue la diversité. Bientôt, il n’y aura plus que des monopoles et oligopoles. Avec des prises de participations de l’État, ce sera la Russie !

Vous rêviez de liberté ?

Les politiques, eux, s’attachent à faire ce qui se voit. Ils préfèreront sauver 10 000 emplois d’une seule entreprise qui doit mourir à coup de montagnes de subventions parce que ça se voit, quand bien même les mesures prisent seront au détriment de 100 000 autres emplois de PME ou TPE à moyens termes tuées par l’impôt qui va avec, parce que ça, ça ne se voit pas !

Ce n’est pas magique, ça ?!

Le fait de confier le pouvoir de décision à l’administration, par nature, ne peut donc qu’engendrer des catastrophes à plus ou moins longs termes. Quel que soit le domaine ! Santé, économie, justice, éducation… tout !

Au risque de me répéter, de mon point de vue, il vaut mieux avoir de la richesse et de la sécurité dans une apparence de bordel, que de la misère et des morts bien administrés et/ou bien rangés.

 

Mettre des masques, ça vous rend malade sans que vous ne vous en rendiez vraiment compte. Mais ça se voit, l’État prend soin de vous. Alors souriez, ça ne se verra pas !

Et puis c’est une bonne mesure servant le bon vieil adage qui dit « diviser pour mieux régner ». Si vous portez un masque pour vous protéger et bien c’est que « « l’autre » représente une menace ». Sur le plan sociologique, destructeur humainement, les doctorants n’ont pas fini d’écrire des papiers à ce sujet !

J’en profite pour vous recommander un article très court parti d’une réflexion philosophique du livre “Le siècle des dictateurs”, sous la direction de Olivier Guez.

https://temoignagefiscal.com/oui-macron-peut-devenir-un-dictateur/

La Covid19 servira de prétexte pour réduire encore davantage nos espaces de liberté, notamment d’expression selon la loi Avia et de tous les autres dont nous avons déjà parlé et ceux à venir…

Castex remet le couvert…

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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Ce n’est pas parce que tout est accessible que tout le monde peut y accéder.

Il me parait que là est le problème qui va engloutir notre société.

Trois confusions aboutissent à l’impasse dans laquelle nous sommes, quel que soit l’objectif visé :

L’accès à une situation est à 90% lié au hasard. Ceux qui prétendent le contraire, Education Nationale en tête, sont des charlatans. Le travail, la passion, l’intelligence, l’énergie, la compétence, voire la connivence, la combine, les relations, etc… sont hélas peu de chose si l’on analyse froidement les trajectoires.

En fait les analyses postérieures des réussites, toujours subjectives, sont en général trompeuses et marginales, explications destinées justement à faire oublier la force du hasard initiateur en effet objectivement désespérante.

Le monde est plein d’hommes et de femmes, voire de “genres”, qui ont brillamment travaillé toute leur vie, avec intelligence et compétence, ou d’autres qui ont combiné, intrigué, sollicité, avec acharnement, sans pour autant accéder au but qu’ils convoitaient.

– La présentation des situations idéales est falsifiée. Les contraintes liées à ces situations exemplaires sont occultées, leur relativité notamment temporelle est oubliée. Ceux qui occupent ces situations enviées, bien que vivant ces contradictions ne peuvent en faire état, ils sont tenus de faire : comme si…

Le cirque se nourrit de cette omission, quel qu’en soit le prix à payer pour ceux qui regardent ou pour ceux qui sont regardés.

Dans cet espace fantasmagorique tout le monde est dupe. L’envie crée la réalité, la transforme, elle n’est alors que mirage auquel chacun est obligé de croire. Le réel devient marginal, l’irréel le remplace d’abord dans les esprits, puis dans les faits. Tous les repères explosent.

– Tous les coups sont permis. La morale ne tient pas le choc. Elle souffre des dérapages de ceux qui sont prêts à tout pour accéder à l’idéal qu’ils imaginent.

“Comme sur la photo” est le mantra de notre société. Il justifie tous les moyens, qui d’ailleurs sont oubliés, ignorés, une fois sur “la photo”.

Ainsi donc se présente le problème.

Tous courent pour atteindre l’instant qu’ils imaginent essentiel, car c’est ainsi qu’il est vécu par l’opinion publique. Ils s’occultent la puissance du hasard, la temporalité de l’instant vers lequel ils courent, pour in fine s’apercevoir que leur but est inaccessible.

Et pourtant

Leur vie leur appartient, elle n’est pas le fruit du regard des autres mais la résultante de leur personnalité qu’ils ignorent, de leur environnement qu’ils méprisent, de leur engagement qu’ils trahissent, de leur morale personnelle qu’ils bafouent.

Au bout, la déprime, la dévalorisation de leur personne, le mal être.

S’ils intégraient que la conscience de ses limites est le secret de l’altérité, on pourrait espérer.

Mais rien n’est fait dans ce sens. C’est ce qui fait les pauvres de plus en plus pauvres et les riches de plus en plus riche, c’est ce qui ne permet pas la discussion, c’est ce qui nous mène droit vers la guerre civile.

Bien à vous. H. Dumas

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Malus auto à 50 000 € en 2022 ?

Ainsi que nous l’avions subodoré, il y a quelques mois, le malus applicable aux automobiles va encore évoluer … en pire ; ce qui ne devrait pas vous surprendre !

Il s’applique depuis le mois de février 2020 à tous les véhicules émettant plus de 138 grammes de CO2 au km et peut atteindre 20 000 € ; ce dernier montant constituant déjà un impôt considérable et pour le moins dissuasif.

En 2021, le seuil de déclenchement du malus sera abaissé à 131 g/km avec un malus maximum porté à 40 000 €, et en 2022 à 123 g/km avec une taxe maximale de 50 000 €.

Le gouvernement met donc la pression en augmentant les contraintes sur un marché sensible et devenu fragile alors qu’il est un grand pourvoyeur d’emplois.

Oh bien sûr, la taxe maximum ne s’appliquera pas à toutes les voitures mais néanmoins il va devenir très pénalisant de vouloir rouler dans une berline 5 places notamment si on a une famille de 4 personnes. Il faut aussi être conscient que sauf à vouloir rouler dans de toutes petites voitures à vocation essentiellement urbaine, qui seules échapperont au malus, il vous faudra en passer par des véhicules équipés de technologies couteuses (batteries d’appoint, moteur électriques) destinées à masquer, dans le cadre d’un système d’homologation s’imposant à des constructeurs qui n’ont pas d’autre choix, la réalité d’une consommation de carburant artificiellement minorée qu’on ne retrouve absolument pas dans le cadre d’un usage quotidien.

On arrivera quand même à la situation pour le moins singulière où le montant de la taxe pourra être supérieur au prix catalogue du véhicule ; ce qui relève de l’absurdité la plus complète. Il ne faut quand même pas oublier que la taxe carbone est avant tout une taxe et une taxe sur … du CO2 c’est à dire sur du vent compte non tenu du fait que le CO2 n’est pas un polluant même si c’est un gaz à effet de serre !

Première question : Est-ce que payer 50.000 € de taxe sur du vent va sauver la planète ?

Non, bien entendu, ce n’est qu’un prétexte à un prélèvement fiscal dont le montant totalement excessif semble avoir échappé à nos dirigeants fonctionnaires …

En fait, vous achetez seulement un droit d’émettre du carbone … et à ce jeu-là bientôt seuls les plus aisés pourront se le permettre !

Clairement, tout ça sent l’arnaque…

On peut en outre se demander pourquoi ce type de taxation devrait se limiter aux voitures ; lesquelles semblent concentrer actuellement l’acharnement du pouvoir ?

Pourquoi ne pas taxer de la même façon tout ce qui pollue et notamment :

Les smart phones à raison de 5.000 € par appareil compte tenu des dégâts liés à leur batterie non recyclable. Même chose pour les ordinateurs et autres tablettes devenus indispensables,

Les voitures électriques pour les mêmes causes : 50.000 €

Les billets d’avion : à raison d’une taxe de 10.000 € par billet

Même chose pour les télés, les écrans de tous poils, les appareils ménagers (lave-linge, frigo, micro-ondes) ; de toute façon ils sont fabriqués à l’étranger (Chine),

Taxons, taxons, puisque c’est pour sauver la planète !

Evidemment, à ce jeu-là, on va tuer l’économie mais la planète ne le mérite-t-elle pas puisque c’est le prétexte officiel à ce délire fiscal ?

Car, les constructeurs auto fermeront leurs usines, ils iront à l’étranger, il y aura un million de chômeurs en plus en France mais la planète ira beaucoup mieux, vous verrez, puisqu’on vous le dit … et ce même si la population française ne représente que 1% de la population mondiale et que l’effet global sera au mieux insignifiant pour ne pas dire carrément totalement inexistant !

Et tout cela dans le but officiel de financer, à coup de milliards €, des véhicules électriques prétendument écologiques, incapables de remplir la mission de base d’un véhicule auto, dont la part de marché ne dépasse pas, malgré tout, les 6% alors que l’on sait qu’elles polluent autant que les autres !

Nous avons donc affaire à un parti pris idéologique qui ne repose sur aucun fondement technologique ni même écologique !

Mais, malgré tout, Bruno Le Maire, le haut fonctionnaire inutile institué, par la volonté du prince, ministre de l’économie, affiche une grande satisfaction face à un bilan aussi déplorable !

Toutefois, tout le monde sait que Bruno Le Maire ne connait rien à l’économie …

Il est vrai que cet aspect des choses apparaît secondaire face à l’envolée du chômage du fait de la gestion cataclysmique de l’épidémie de Covid par le gouvernement et son administration !

En outre, au-delà du fait qu’il s’agisse d’une ineptie administrative, pourquoi taxer seulement les voitures et pas le reste ?

Deuxième question : quel est la nature de l’impôt et quel est le but poursuivi ?

Ici, c’est évident, nous nous situons à l’antithèse de ce que devrait être un impôt ; lequel devrait être neutre dans le fonctionnement de l’économie.

On est aussi complètement en dehors de la fonction essentielle de l’impôt qui est de contribuer aux dépenses de l’Etat puisque les sommes collectées sont destinées à subventionner des voitures électriques qui autrement seraient invendables !

Nous sommes essentiellement en présence d’un impôt comportemental destiné à orienter le consommateur en l’empêchant d’acheter la voiture de son choix car tout le monde ne peut pas se permettre de balancer jusqu’à 50.000 € de taxes, en sus de la TVA, pour faire l’acquisition d’une voiture ; laquelle constitue non seulement instrument de liberté mais bien souvent un outil indispensable pour simplement aller travailler.

A titre de mesure complémentaire, et dans le même ordre d’idée, on pourrait aussi fixer le prix du carburant à 50€ le litre quoique, dans ce cas, les rues seraient à nouveau envahies de gilets jaunes !

C’est aussi l’émanation, de la part de nos dirigeants fonctionnaires, d’une évidente conception socialiste du monde qui foule aux pieds la liberté individuelle avec l’ambition de vouloir modeler la société à coup de contraintes ; laquelle démasque un peu plus l’image pseudo libérale et totalement fabriquée du candidat Macron en vue des élections présidentielles de 2017.

Troisième question : Y a-t-il une autre explication ?

Au-delà des clichés, oui, il y a une réalité et elle est toute simple :

Le décideur, le conseiller des ministères, le haut fonctionnaire, tous ces gens qui prennent ces décisions aberrantes et totalement anti économiques, habitent à Paris intra-muros et, comme 70% des parisiens, y compris leurs soutiens bobos les plus fidèles, ils n’ont pas de voiture !

Quand ils ont besoin d’un véhicule, ils prennent la voiture de fonction, un taxi ou au pire ils en louent une pour quelques jours ; mais en général ils prennent l’avion !

Donc, pour eux, taxer à mort la voiture n’est pas un problème, ils ne sont pas concernés !

Bien différente est la situation du banlieusard qui doit travailler à Paris ou encore de l’habitant de la France profonde, au fin fond de sa campagne, qui habite à 35 km de la ville la plus proche (moi par exemple) et à 12 km du super marché et qui a donc impérativement besoin d’une voiture !

Et ce sont les mêmes personnes, toutes pétries de leur écologie de façade, qui prônent la subvention du vélo électrique dont tout le monde sait qu’il n’est utilisable qu’en zone faiblement urbanisée, sur des distances faibles et par beau temps ; et que, dans la majorité des cas, il va terminer rapidement sa carrière à la cave (ce qui est malgré tout déjà mieux que les trottinettes électriques à la durée de vie moyenne d’un mois et qu’on retrouve abandonnées un peu partout et surtout dans les rivières et canaux avec la pollution que l’on peut imaginer).

Essayez de faire un trajet banlieue-Paris de 40 km en vélo électrique au mois de janvier à 8 h00 le matin et vous m’en direz des nouvelles si … vous arrivez à en revenir vivant !

Tout cela relève de l’ineptie la plus ridicule et, ce qui est intolérable, c’est que nous devons le supporter sans mot dire !

Nous avons en fait affaire à une conception élitiste et parfaitement abusive de la fiscalité car, comme le décideur bobo qui habite Paris prend l’avion pour ses vacances, qu’il a besoin d’électroménager pour équiper son domicile et de smart phones pour communiquer, on ne taxera ni les billets d’avion ni l’électroménager ni les smart phones !

Dans le deux poids deux mesures on ne pouvait évidemment pas faire pire !

On se trouve en fait en face d’une collusion opportuniste entre deux types de personnes.

-Les idéologues anti-voiture, gauchistes ou même terroristes regroupés sous la bannière écolo qui veulent son élimination pure et simple par le biais de mesures radicales et autoritaires,

-Les élites qui veulent bien laisser jouer les premiers avec leurs obsessions ; du moment qu’on les laisse faire tout ce qu’elles veulent et qu’on ne les prive pas de leurs jouets, hobbies et autres !

Et parfois, il y a une confusion entre les deux car il arrive que ce soient les mêmes !

Il en ressort deux conclusions :

-Tant qu’on laissera la main à des idéologues capables de prêcher de telles inepties, on ne s’en sortira pas ; car la seule vérité c’est que toute activité humaine est polluante et ce depuis que l’homme est apparu sur la terre … tout comme le sont tous les animaux.

Mais, on peut aussi abattre tous les animaux et passer au régime vegan … ce que d’ailleurs prônent certains d’entre-eux !

-Il existe une élite qui a pris le pouvoir et l’exerce essentiellement à son profit au motif qu’elle serait seule apte à comprendre les problèmes complexes de nos sociétés tout en  s’estimant au-dessus des lois et d’autant plus au-dessus que c’est elle qui les fait et qu’elle échappe de ce fait aux contraintes qu’elle impose à la population ordinaire.

Est-ce une raison suffisante pour supprimer toute liberté et réserver certains objets facilitant la vie à une élite disposant de moyens hors de portée de la population ordinaire ?

Tout cela témoigne du mépris le plus absolu pour une population laborieuse qui doit sans cesse supporter les décisions abusives d’une caste auto centrée devenue à la fois irresponsable et incontrôlable !

Soyons assurés qu’à force de restreindre sans cesse les libertés et de pousser les gens dans leurs ultimes retranchements, on finira fatalement avec une nouvelle révolte.

Bien cordialement à tous !

Απο την Ελλαδα ! (De la Grèce) – Pylos

Licence de publication : la reproduction du présent article n’est autorisée qu’à la condition de le reprendre en totalité, d’un rappeler l’auteur et le site originel de publication.

 

 

 

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Cette histoire de Covid qui dure dans le temps

Le Covid est présent dans toutes les consciences via l’assommoir des médias en boucle ! Imaginez un instant couper toutes les infos : Pas de journaux, ni de radios ou télévisions, bref coupés du monde. Qu’est-ce qui changerait votre quotidien ? Malade ? Vous iriez vers votre médecin généraliste. Si vous êtes son client depuis un certain temps, il vous connaît.

Il pourrait vous dire aussi qu’il y a une grippe mauvaise qui circule et surenchérir par des principes de précautions à entreprendre. Comment le sait-il ? Croyez-vous que les médecins soient désoeuvrés de tout ce qui est lié à la médecine et de ses réseaux de connaissance évolutive ? Ces gens sont constamment en veille pour apprendre en plus d’avoir appris leur métier comme le font par exemple des informaticiens sortis de leur école pour eux aussi évoluer. Du moins, on le souhaite …
Ces médecins, par des numérus clausus, deviennent de plus en plus rares comme des spécialistes, ce que l’on traduit par des déserts médicaux ou des délais d’attente. Les informaticiens, eux, ne sont pas rares. D’un côté, vous avez l’Etat qui gère, de l’autre vous avez le marché.

Je me suis toujours demandé pourquoi ce numérus clausus vis-à-vis des médecins ? A partir du moment où le candidat obtient son diplôme certifié pour exercer, il devrait pouvoir exercer et s’installer. Puis le marché dira s’il est bon ou mauvais comme pour n’importe quelle entreprise. La loi devrait juste alors intervenir pour sanctionner les charlatans ou les insuffisances professionnelles dans un cadre facile à préciser selon des règles de droit commun, mais aussi dans celui proche de cette activité, comme pour n’importe quels autres corps de métier.

Le marché, ce n’est pas la jungle comme on l’entend trop souvent. C’est un cadre de négociation entre acheteurs et vendeurs avec des règles claires qui protègent des malversations, ou plutôt qui devrait, car malheureusement il est perverti souvent par abus de position dominante et avec elle, la connivence. Et c’est tout notre problème.

Un exemple de connivence ? La médecine du travail. Chaque salarié embauché doit suivre le parcours de son registre, puis un peu plus tard en exercice. Ce « service » me facture en tant que gérant d’entreprise 84 € par salarié à l’année systématiquement, sans même avoir vu un candidat. Vous connaissez sans doute le prix de votre médecin généraliste qui vous connaît et qui fait la même chose et souvent mieux, car il a votre dossier, plus vous y allez quand cela vous semble nécessaire. Mieux, quand un salarié ne s’est pas présenté à un rendez-vous du même « service », celui-ci vous envoie une facture de 20 € HT pour l’avoir dérangé.

La réaction primale par rapport à ces vautours est de les déranger vraiment, mais évidemment, vous connaissez le topo : Mise en demeure puis ATD, et l’URSAFF sur le dos, cette Gestapo qui ne dit pas son nom.

Que faire ? Attendre que tout s’écroule ? Car c’est inévitable en toute logique … Ou bien chantons la Marseillaise et la traduisons en actes pour bannir l’occupant intérieur.

Bien à vous

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Oui, Macron peut devenir un dictateur

Qu’est ce un dictateur ?

Je trouve satisfaisante la réponse de Yung en 1938, parlant d’Hitler ” Il est le haut-parleur qui amplifie les murmures inaudibles de l’âme allemande… Le secret de la puissance d’Hitler, c’est qu’il a un accès exceptionnel à l’inconscient. Dans notre cas, même si occasionnellement notre inconscient nous atteint à travers les rêves, nous avons trop de “cérébral” pour lui obéir, mais Hitler, lui, écoute et obéi. Le véritable leader est toujours “dirigé”… C’est ce qui le rend puissant. Sans le peuple allemand, il ne serait rien”. (Extrait de “Le siècle des dictateurs”, Hitler de Eric Branca, sous la direction de Olivier Guez)

Au moment où certains trouvent oppressant et ridicule le port du masque, force est de constater que — flics présents ou pas présents — les masques sont majoritairement portés par la population.

Que donc Macron, dont par ailleurs nul n’ignore le parcours de “dirigé”, est en phase avec l’inconscient de notre société lorsqu’il rend le masque obligatoire, quelles que soient les incohérences liées à cette obligation.

Dans l’inconscient sociétal, à quoi correspond le masque ?

Le masque est le symbole du refus de l’autre, il est en fait le refus de l’autre.

Ici, l’autre est entendu comme un occupant illégitime de nos espaces personnels. L’autre est celui à cause de qui nous sommes tenus de nous entasser, entassement devenu insupportable, et risqué car porteur de maladies.

Le luxe c’est l’espace.

Un des symptômes de la misère est la réduction de l’espace qu’elle génère. A Versailles Louis XIV va chercher l’espace, le luxe absolu.

Toute ascension sociale se concrétise par plus d’espace. Les acheteurs de SUV achètent de l’espace intérieur, du volume, pas des capacités de franchissement qui ne sont que l’excuse, ils pourraient tout aussi bien se déplacer en camionnette mais la connotation laborieuse les arrête.

Dans le même temps que les français réclament inconsciemment plus d’espace alors que leur est prêché l’entassement, notamment dans les transports en commun, ils sont interpellés par l’idée que la planète ne peut plus subvenir à leurs besoins tant ils sont entassés, que même ils pourraient à terme ne plus pouvoir respirer ce qui, à juste titre, les inquiète.

Evidemment, l’entassement c’est l’autre, c’est lui qui est à fuir, voire même à éliminer.

Clairement, celui qui a accès à l’espace est le privilégié. Le premier visé est le propriétaire de SUV. Il doit rentrer dans le rang pense l’inconscient collectif, si on lui prend son trop d’espace pour le partager, nous aurons tous plus de place.

Nous avons là l’ingrédient classique de la dictature.

Le droit à la conquête de plus d’espace, donc la légitimité d’en priver par la force ceux qui en possèdent trop. Indiscutable.

Cette émotion d’espace peut se modeler, se traduire par des qualificatifs rattachés mais exprimés différemment, sous réserve in fine de restreindre l’espace des privilégiés pour augmenter, soi-disant, celui de tous.

Par exemple, la richesse est un symbole de possibilité d’espace, la réduire chez ceux qui sont réputés en avoir trop va dans le bon sens de la plus équitable répartition de l’espace. Sans qu’il soit alors besoin de rentrer dans les méandres de l’économie.

Macron est donc en phase avec l’inconscient collectif qui étouffe, il surfe sur le syndrome du poulet en batterie dont est victime 90% de la population sans l’exprimer cela va de soi.

Macron amplifie les murmures des français. Qu’importe la façon dont il le fait, quand bien même elle serait totalement incohérente.

Peut-il franchir la ligne jaune, prendre les pleins pouvoirs et devenir dictateur ?

Oui, parce qu’il n’est pas vicieux, juste “dirigé”, naïf et totalement immergé au point de ne pas avoir conscience de son image, donc de son paraitre.

Il peut être le porteur symbolique de toutes les dérives induites par la psychose de l’entassement. Elles sont nombreuses.

La suite est ordinaire, le gout du pouvoir, les hommes de confiance indélicats, irrespectueux des minorités, la certitude d’avoir raison, l’idée de la nécessité absolue d’aboutir et de déjouer toutes les oppositions forcément dans l’erreur, l’intelligence, la ruse, la ténacité, etc…

Oui, Macron peut devenir un dictateur.

Et… si ce n’est lui, ce sera un autre, les phobiques de l’entassement veulent en découdre. Le masque ne va pas leur suffire.

Bien à vous. H. Dumas

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La Covid19 ou la dictature hygiéniste

Après le déconfinement, pas de rapport avec les cerveaux confits qui le restent, on attendait tous la seconde vague. Au mois de mai, rien. Au mois de juin, rien. Au mois de juillet, … on change pour la seconde fois la définition du mot « pandémie ». Ah, cette fois, ça va coller avec la réalité. Ouf !

Oui, il y a 12 ans, une pandémie était encore la propagation d’une maladie grave dans le monde entier qui entrainait des décès, en nombre ! En d’autres termes une maladie qui cause un accroissement significatif de la mortalité mondiale.

Depuis 2008, l’accroissement de la mortalité significative n’est plus une condition, il suffit d’être malade.

Et depuis le mois de juillet, comme la réalité ne colle toujours pas aux fantasmes de nos catastrophistes confits, il suffit d’observer l’accroissement du nombre de cas positifs à un test validé par nos autorités, sans voir forcément l’accroissement du nombre de malades, et encore moins de morts, pour déclarer être en situation de pandémie.

« Le nombre de cas positifs explose ». Bouh, j’ai peur.

Jusqu’alors, on n’avait jamais parlé de « pandémie » de grippe qui fait pourtant 500 000 à 800 000 morts par an !

Comme quoi, selon ce que l’on veut faire passer comme message, la sémantique a de l’importance !

Et oui, à peine plus d’un an après la première modification de la définition du mot « pandémie », c’était à l’hiver 2009-2010 qu’est née la soi-disante grippe qui allait tous nous tuer, selon les mêmes protagonistes qu’aujourd’hui, faire des millions de morts, la grippe porcine H1N1. Comme au début de la crise Covid19 ! Post crise financière de 2008, qui n’avait sans doute pas atteint profondément le moral des populations, la tentative d’intoxication a fait un flop. Pas pour tout le monde rassurez-vous.

Passé d’une crise financière à une véritable crise économique, acquise bien avant 2019, la plupart des pays occidentaux avec un ratio dettes/PIB (PIB qui ne veut pas dire grand-chose soit dit en passant (cf mon premier article du 20 mars : https://temoignagefiscal.com/cest-lhistoire-du-petit-coronavirus/), la Covid19 servira de prétexte. On y reviendra.

Bon, alors comme ça, toute la pandémie de la Covid19 ne tient aujourd’hui qu’à un simple test. Eh bien, testons sa pertinence…

Le test le plus communément admis est le fameux test PCR, celui dont la tâche est de détecter la présence d’ARN viral dudit virus.

Mais voilà, le problème est que l’ARN viral de la Covid19 ressemble à beaucoup d’autres type de Coronavirus y compris celui d’un simple rhume. Et puis il faut prendre en compte les mutations. Ainsi, il est rigoureusement impossible à partir de ce seul test de dire ou non si l’on est infecté.

Il y a un vrai dilemme, si on abaisse le seuil de détection, on peut passer à côté de cas positifs et s’il est un peu trop élevé, on détecte des rhumes ! Le 29 août, le New-York Times publiait une étude qui disait que 85 à 90% des personnes qui avait été mises en quarantaine n’étaient ni contagieuses, ni malades !

Pour anecdote, cet été à Saint-Tropez, un restaurant a brutalement fermé. Toutes les personnes avaient été testées positives en une soirée. La presse parlait de super cluster. Ouuaaahah ah ah… C’est Marcel qu’avait mis la clime trop forte. Oooh leeeeu con !

Ainsi donc, notre administration, pour être efficace et « parfaite », parce qu’elle s’est donnée une mission qu’elle est incapable de gérer, comme les autres d’ailleurs (elle veut vraiment servir à quelque chose) et donc ne pouvant faire autrement, se base uniquement sur ce test foireux pour décréter la situation de pandémique. Bien. Avec la nouvelle définition svp.

Ainsi donc, s’en va en guerre contre la Covid19 pour nous pondre tout un tas de règles aussi imbéciles que destructrices, comme elle a l’habitude de faire.

Le port du masque obligatoire par exemple, celui que l’on voit partout. Le fameux masque de papier. https://www.youtube.com/watch?v=oxgW8YNtP_w (Drôle, Les Guignoles il y a 11 ans, 1m34s)

Il ne faut le dire à personne mais il est utilisé principalement par les chirurgiens, pour éviter les projections de bactéries ou microbes dans leur patient quand ils opèrent. Ils sont utilisés à une température de 8°c. La densité d’oxygène est forte… tout va bien.

Les virus sont volatiles, aéroportés. Le masque ne sert donc presque à rien puisque l’air que l’on inspire passe pour la grande majorité par les voies d’air sur les côtés, dessus, dessous… et donc la contamination dépendra de la charge virale contenu dans l’air localement autour de vous.

L’utilité en extérieur ? À moins de se faire cracher dessus… pfff

Et à l’intérieur ? Ben pfff aussi finalement. Il suffit d’aérer largement !

Le point négatif est qu’avec le port du masque dans la vie de tous les jours l’oxygénation est beaucoup moins bonne puisque l’on inspire plus facilement, pour partie, l’air que l’on a expiré. On affaiblit son corps qui se défendra moins bien contre les agressions virales… Et pof ! Un rhume transformé en Covid19 ! Parce qu’il y a des virus, microbes, bactéries partout en permanence tout autour de nous. Notre système immunitaire est là pour ça.

Le cerveau a besoin d’oxygène, pour les neurones, tout ça… peut-être que ceux que ça ne gêne pas de porter un masque en ont moins besoin que les autres… Ah ben oui ceux qui ont une mentalité administrative justement… suis-je bête !

Le point positif pour eux est peut-être qu’ils fabriqueront plus de globules rouges.

Mais une chose est sûre, c’est que le virus est extrêmement poli. Ben oui, quand on mange, pas besoin de masque, quand on boit, non plus, dans les bars, restaurants, cantines… et quand on fume… non plus ? Ben fumez pour mieux respirer, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ! Après, le virus se transforme comme le font les Gremlins après minuit, ils se transforment en crès crès méchants virus avec de grandes dents qui font crès peur.

Les gels Hydroalcooliques ?

Même topo ! Pour les coronavirus, tout le monde, les scientifiques, tous, même les confits, ont admis que les savons gras, comme le savon de Marseille, étaient 4 fois plus efficaces que les gels hydroalcooliques, mais sous certaines conditions…

Et oui, il faut avoir déjà les mains propres, et que le gel hydroalcoolique ait une concentration d’environ 70% d’éthanol pour être efficace. Oui, il faut aussi un peu d’eau pour les protéines…

Mais en pratique, comment c’est ti que ça se passe ? Et bien plus personne ne se lave les mains. Donc tout le monde a les mains dégueulasses. Pour être propres les mains, il faut du savon et les rincer. Gel hydroalcoolique sur gel hydroalcoolique, avec des mains sales, sécrétions, transpirations, les virus… ils rigolent !

N’aurait-il pas mieux valu dire aux gens qu’il faut se laver. Il y a 10 ans, dans le métro, il y avait 3 personnes sur 10 qui prenaient une douche tous les jours et 2 qui en prenaient une 1 fois par semaine. Ben ça n’a pas changé.

Alors un point positif, c’est qu’avec les mains poisseuses toutes collantes et qui puent, on a moins envie de se mettre le doigt dans le nez. Mais surtout, il vient une solution hyper efficace : il suffit d’agiter ses mains devant son visage pour coller les virus sur nos mains comme le font avec les mouches les papiers tue-mouches. Et hop, on ne respire plus de virus. Ce n’est pas intelligent ça ? Ça va être drôle quand notre ministre Véran va rendre ce geste, en plus de ceux qui sont « barrières », obligatoire. Vous imaginez le tableau ?! https://www.youtube.com/watch?v=ZM5nx6YVPgs (Drôle, Tais-toi, 29s)

Voyez-vous, quand j’étais enfant et un peu sot, j’appelais les vieux les PPH, l’acronyme pour désigner les Passera-Pas-l’Hiver.

Les causes de mortalité des vieux sont multiples : grippes (10 000/an), maladies respiratoires virales (60 000/an) et même un simple rhume (sans doute des dizaines de milliers encore) peut tuer une personne âgée et bien d’autres… C’est triste et en même temps quoi de plus naturel ? Quand on vieillit, on s’affaiblit. Il faut l’accepter.

Aussi pour mettre tout ça en perspective, il faut quand même réaliser que la France compte par an 800 000 morts soit 2200 morts/jours.

Jusque-là, on ne s’est jamais inquiété de rien. Et pourtant, « 30 000 supposés » morts du soi-disant Covid19, ce n‘est finalement pas tant que ça…

En cette année 2020, tout le monde il est mort du Covid19, dis-donc ! In-Croy-able !

Seulement 72 morts de la grippe ! Le rhume ? Disparu ! Donc revenons un peu sur les tests.

Les tests PCR, on l’a vu ne sont pas fiables. Attention, un test PCR positif accompagné d’autres symptômes peut devenir pertinent mais le test seul ne l’est que 1 fois sur 10 !

Mais qu’en est-il pour les tests sérologiques ? Là aussi, rares sont ceux qui sont vraiment fiables selon les critères de l’agence nationale de référence mais il en existe à plus de 95%. Très bien.

Mais en quoi consiste les tests sérologiques ? Ce n’est non pas pour détecter le virus mais l’anticorps.

Donc après avoir était malade ou pas, parce qu’asymptomatique, vous avez développé des anticorps. Pour autant si vous mourez et que vous êtes testé positif, peut-on conclure que vous êtes mort des suites du Covid19 ? Non.

Si on faisait le même genre de test pour détecter des anticorps contre le tétanos, pourrait-on conclure que vous êtes mort du tétanos ? Ici pour le Covid19, on le fait sans problème !

Toujours est-il que pour lutter contre ce virus « extrêmement grave de la mort qui tue » pendant « l’épidémie » quand un parent était admis aux urgences et bien vous ne l’avez plus jamais revu. Direct au four ! Pas d’autopsie possible. L’administration est aussi « parfaite et efficace » qu’ « inhumaine ». Et je suis prêt à parier ma chemise que pour ceux qui étaient impliqués dans ce process, cela leur aura fait autant d’effet qu’aux soldats de la wehrmacht qui envoyaient les juifs en train dans les camps de concentration. Ils ne s’en sont même pas rendu compte.

Aussi, ceux pour lesquels l’autopsie a été possible, elle a révélé pour la majorité de déclarés « mort du Covid19 » qu’en réalité, ils ne l’étaient pas.

L’explosion de cas positifs à la rentrée de septembre était simplement dû à l’explosion du nombre des tests pratiqués. Est-ce que cela rend pour autant le Covid19 plus dangereux ?

Les malades qui remplissent nos lits d’hôpitaux aujourd’hui, en 2019 auraient été chez eux. Mais si vous êtes testé positif au test PCR, selon le simple effet mange-cailloux (cf https://temoignagefiscal.com/le-coronavirus-ou-le-mange-cailloux/), le protocole inventé par notre administration vous étiquette de « pestiféré Covid19 » et on met en branle tout le cinoche qui va avec pour agiter le chiffon rouge de la peur avec zèle.

En bref, il est donc à n’en pas douter qu’il y a eu une large substitution de morts d’origines diverses en morts Covid19 et c’est toujours le cas.

On ne reviendra pas sur la gestion calamiteuse des hommes de l’État qui de par le confinement auront provoqué plus de morts qu’il n’aurait dû y avoir. Ce n’est quand même pas compliqué à comprendre. Malade, renvoyé chez vous avec rien pour faire baisser la charge virale, vous finirez bien par contaminer votre famille. Et si certains d’entre eux travaillent prennent les transports…

https://www.youtube.com/watch?v=4gPNZMDGEAk  (sympa et instructif, L’OMS en flagrant délit, 4m49s)

Aussi, on pourrait voir les choses autrement. Le Covid19, « Le virus court toujours » avec ses petites baskets. Depuis le temps, une large majorité de la population a déjà eu à faire à lui !

Alors entre, les immunisations croisées, celle donnée par les cellules T, ceux qui ont fabriqués des anticorps… cette explosion de cas positifs avec aussi peu de morts du Covid19, sinon zéro, malgré la meilleure volonté de nos hommes de l’État et de leurs médecins affidés, sans être complotiste, non, pour nous faire croire qu’ils en sont, n’y aurait-il pas finalement déjà une immunisation collective ? Le virus, avec ses 33 souches, à il y a une semaine, ne serait-il pas devenu inoffensif comme attendu ?

33 souches ! Pour ceux qui attendent un vaccin… grand bien leur fasse. Aussi inutile et impossible le vaccin, c’est juste du Connerievirus dont on parle là ? https://temoignagefiscal.com/le-connerievirus/

Cette immunisation collective, souvenez-vous, c’est bien ce qu’espérez tout le monde pendant l’épidémie en avril, les vrais médecins et même les médecins et scientifiques confits… TOUS.

En définitive, quand on fait une cartographie de tout ce qui a été dit précédemment, ne pourrait-on pas conclure qu’aujourd’hui les autorités justifient la dangerosité du Covid19 seulement et uniquement par les conséquences des mesures prises contre la Covid19 elles-mêmes ? Là c’est très très fort. Et le plus dingue, c’est que ça marche ! Bravo les médias ! Et ça coute un pognon monstre. Ça ruine tous nos commerçants, artisans, professions libérales…

J’aime ce qui est simple mais je déteste les raisonnements simplistes.

Pour se défendre, la nomenklatura, notre élite française, divise le monde en deux catégories. Ceux qui sont « pour » les mesures contre la Covid19, les dociles, les gentils et ceux qui sont « contre » taxés de complotistes, les méchants.

Le profil des « contre » étant dans tous les journaux, je vais faire l’essai de celui des « pour ». Mais avant je voudrais préciser une observation essentielle pour qu’il n’y ait pas de malentendus. À observer les gens, je pense que l’on peut définir en réalité trois grandes catégories de personnes.

  • Les « contre », il y a bien des complotistes mais pas « que » (10 à 15% de la population)
  • La masse, où l’on peut distinguer les « moutons » mais aussi ceux qui ne veulent tout simplement pas d’ennui ou encore ceux qui n’ont pas le temps d’y penser réellement… (70% à 80% de la population)
  • Et puis les vrais « pour », avec zèle (10 à 15% de la population encore). Alors qu’on se le dise tout net, pour moi, ce sont des fachos.

Les fachos, ceux qui ont une croyance forte en l’État. Ceux qui vouent une haine à celui qui ne porte pas de masque, à celui qui allait courir pendant le confinement, qui donc les considèrent comme des assassins, mais qui pour le coup rêvent de pouvoir leur mettre une balle dans la tête ou dans le genou pour qu’il ne puisse plus courir… le plaisir sadique à la délation…

Des monstres d’égoïsme, animés par la peur cèdent aux plus vils et bas instincts.

Pour rappel, sur la seule volonté d’Hitler de se « débarrasser » des juifs, considérés comme le mal absolu de l’économie, responsables de la crise en 1933 en Allemagne, c’est bien l’administration qui petit à petit en est venue à construire des camps de concentration. Ça fait écho, là, hein ?! Seuls ceux qui ont une vision administrative des choses et qui ont le pouvoir peuvent arriver à ces horreurs. On les croise principalement dans la fonction publique mais aussi dans les grandes entreprises à divers niveaux hiérarchiques.

Dans cette crise sanitaire, j’y vois les mêmes principes, les mêmes causes et dans certains pays du monde, déjà les mêmes conséquences.

Tout ça pour ne pas admettre que nos administrations qui se sont développées comme le cancer sont incompétentes. Ce n’est pas forcément à cause des personnes qui la composent, même si les concours administratifs sélectionnent un certain type d’individu, la fameuse épreuve de dissertation de culture générale, bien marxiste, donc inhumain, puisqu’il considère les hommes comme tous identiques, des commodités.

La peur, le pire de tous les maux qui empêche tous raisonnements, esprits critiques… mène à la folie.

L’origine du problème, à bien y réfléchir, est le manque de confiance en soi.

Savez-vous que dans les villes où il n’y a ni stops, ni feux rouges, non seulement il y a beaucoup moins de bouchons mais il y a surtout 60% à 4 fois moins d’accidents mortels ?

Se déresponsabiliser est dangereux. Dans cet exemple, vous confiez la responsabilité à un feux, un stop (représentation symbolique de l’État) de vous dire quand vous pouvez passer de quand vous devez vous arrêter !

Ici, dans cette crise sanitaire, nous avons confié le pouvoir aux hommes de l’État lesquels à titre individuel ne supportent aucune conséquence de leur décision. Comment confier un pouvoir de décision à quelqu’un qui n’en supporte aucune responsabilité ?

Tous ces cerveaux aussi instruits que confits poussés par l’orgueil de vouloir résoudre une “crise sanitaire” sans précédent… comme le catastrophisme est tentant. Ils vous ont sauvé la vie, bordel. Il va falloir leur dire merci. Et tout ça en mettant tout le secteur privé et libéral de côté !

Un complot ? Je ne sais pas. Personnellement je pense qu’il y a plus d’idiots que de complots.

Les fonctionnaires ont tellement envie de servir à quelque chose.

Les élus ont tellement envie de servir à quelque chose et eux y sont même contraints de par le système en responsabilité mais aussi pour donner l’illusion de leur utilité pour se faire élire.

Les pseudos chercheurs et organismes de santé qui veulent briller en sauvant le monde…

L’industrie pharmaceutique qui veut vendre des masques, du gel, des médicaments, des vaccins…. Depuis plus de 20 ans pas une seule grande découverte en matière de remède ! Alors ?

Comme pour la circulation automobile, la population préfère l’illusion d’une protection à l’efficacité. En l’absence de feux ou de stops, en cas d’accident, ceux qui ont une vision administrative des choses, se plaindront qu’il n’y en a pas. Et dans ce système bien administré, le maire, pour ne pas être en responsabilité s’exécutera pour cette petite minorité d’imbéciles.

Des morts de cette crise, il y en aura eu de toutes les formes : Covid19, grippes et rhumes estampillés Covid19, tous ceux qui n’ont pu se faire soigner ou opérer pendant cette période, les morts économiques et ailleurs dans le monde déjà des exécutions sommaires. Et ce n’est pas fini.

Conséquence, une pluie d’interdictions, de règles attaquant nos droits inaliénables et fondamentaux, contrôle de l’information sur les réseaux sociaux… dont l’issue probable est la dictature ferme et définitive. Nous avons déjà un pied dedans.

Les pays les plus activistes en matière de mesures contre la Covid19 sont ceux-là mêmes qui ont les résultats les plus médiocres en termes de nombre de morts par millions d’habitants. Et devinez quoi, ce sont ceux-là aussi qui ont un rapport dette/PIB les plus élevés et/ou les indices de liberté économiques les plus faibles. L’Allemagne étant un cas à part. Pour comprendre, il faut avoir vu la vidéo suivante.

Si vous êtes encore là, peut-être aurez-vous le courage de regarder cette vidéo, de mon point de vue instructive du côté du droit : https://www.youtube.com/watch?v=q62Z6ay8YCo

(C’est 49mn, mais nécessaire pour être bien informé de ce qui se fait

PS : En Allemagne, Dr est un titre acquis quand on est diplômé d’un doctorat, ici en droit et non en médecine)

Demain, si l’OMS vous dit qu’elle va monter une commission pour lutter contre la mort suite aux arrêts cardiaques, vous y croyez ? Non ? Parce que c’est la prochaine étape pour imposer encore plus de règles et d’interdictions…

Ici, le rappel des droits de l’homme que je vous invite à lire :

https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789

L’article 2 mentionne : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. ». On est toujours en France ou s’agit-il d’une fiction ?

La question est : que feront nos hommes de l’État si un évènement fait basculer la masse en faveur de ceux qui sont pour la liberté ?

Ma conclusion est que l’on est tous con, on est tous un peu nazi sur les bords, mais ça va mieux quand on le sait !

Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.

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Et maintenant

On ne peut pas dire que la crise soit une surprise, en tout cas pour ceux qui lisent ou participent à ce blog.

Depuis des années nous étions convaincus que la gestion de nos sociétés ne pouvait pas perdurer telle que nous la voyions être pratiquée.

La connivence qui a remplacé dans tous les postes clefs la compétence, le mérite. Le crédit qui a remplacé les économies comme méthode d’achat ou d’investissement. Les bénéfices de ceux qui travaillent, en créent, prélevés au profit de ceux qui ne font rien et accumulent les pertes professionnelles ou personnelles. La responsabilité et la création entourées d’une suspicion légale maximum. L’inculture largement affichée avec sa compagne l’incompétence, toutes deux proportionnelles aux gesticulations et au bruit de leur supporters.

Tout cela mis en exergue par une organisation politique et judiciaire complice affichée des tenants de ce système.

Résistants à tout cela, avons-nous bien perçu que ça y est, que la catastrophe pressentie est là, derrière nous, appartenant déjà au passé ? Ce n’est pas sûr.

Le déguisement dont s’est affublée la crise nous a abusé. Se déguiser en grippe mortelle, il fallait y penser.

Pendant que nous nous confinions, que nous pinaillions sur l’utilité du masque, le complot du vaccin, les massacres des EHPADS, que nous comptions nos morts, la crise s’installait discrètement, définitivement.

Ceux qui travaillent pour de vrai ont été plutôt débordés. Il fallait assumer pendant que les autres, les inutiles du système, les plus nombreux, restaient sur le bord du chemin et regardaient passer les épaves de la crise : eux-mêmes et leurs comportements dévastateurs.

Leurs complices politiques et légaux ont immédiatement fabriqué de la fausse monnaie pour qu’ils croient que la machine était encore en activité. Aujourd’hui encore ils s’agitent sur tous les fronts, y compris les plus inutiles, pour faire croire que la société défunte existe toujours.

Trop tard, la partie est jouée, c’est fini, la crise a tout emporté.

Nous sommes donc dans l’après-crise, inutile d’attendre sa survenance.

Que va-t-il se passer ?

Si nous regardons l’histoire, ce type de situation n’est pas nouveau, il se conclut toujours par une catastrophe : une guerre ou une dictature.

La cause en est simple. Il est intrinsèquement impossible aux initiateurs de l’accident de se remettre en question, c’est d’ailleurs à cause de ce défaut qu’ils sont ce qu’ils sont.

Or, pour que la société dérape à ce point il a fallu qu’ils soient suffisamment nombreux, majoritaires.

Cons ils sont, cons ils resteront. Malhonnêtes ils sont, malhonnêtes ils resteront. Faux-culs et traitres ils sont, faux-culs et traitres ils resteront. Egoïstes et sans vergogne ils sont, égoïste et sans vergogne ils resteront. En clair, il n’y a rien à espérer d’eux, tout à craindre.

La crise passée, la catastrophe qu’elle va induire est en route, quel déguisement va-t-elle prendre ?

Nous sommes encore une fois aveugles, il y a tant de travail à faire pour ceux qui sont dans l’action, si peu nombreux.

Les déclencheurs du drame sont actuellement aphones, justes étonnés face aux conséquences de leur comportement. Ils ne vont pas tarder à entrer dans la phase conséquence, qui ne va manquer de les surprendre, lourdement.

Et là, fidèles à leur fonctionnement, ils vont d’abord accuser le voisin, puis mettre en place une organisation qui pillera mortellement ce voisin désigné.

Pour concrétiser cela ils vont devoir confier leur avenir à un champion du mensonge, de l’escroquerie, de la folie, qui ensuite, mais bien plus tard, les anéantira.

Disons qu’une décennie est le temps de ces mutations.

Dans ce laps de temps, les individus responsables vont, comme à leur habitude, travailler, assumer et ne pas se rendre compte de l’enfer vers lequel la crise, qu’ils ont à peine perçue, les entraine.

Ainsi va l’histoire, la plupart du temps écrite par les fossoyeurs, les fous, rarement par les raisonnables, les lucides, les solides, ceux qui assument la survie des hommes.

Les psychopathes et les escrocs font l’histoire, les autres, tant bien que mal, essaient de maintenir la vie sur terre.

Bien à vous. H. Dumas

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Energie naturelle

Un ami-lecteur de longue date, ma envoyé il y a quelques jours un message pressant : “Lisez “Eloge de la Force” de Laurent OBERTONE.”

J’ai suivi son conseil, commandé l’ouvrage, je viens de le finir.

Je n’ai jamais rien lu de pareil. Un tsunami intellectuel. Chaque phrase est lourdement chargée d’énergie, de la part de l’auteur et pour le lecteur, comme je ne l’ai jamais vu.

Séduit dès les premières pages, je suis resté dubitatif jusqu’à la fin craignant de me faire embarquer  vers une organisation extrême, violente, totalitaire, se dissimulant sous le faux-nez de la liberté.

Pas du tout. Le message reste pur jusqu’au bout. C’est une déclaration de confiance dans la liberté individuelle, le mérite, la compétence, le travail.

Procurez-vous cet ouvrage, le plus vite possible, il justifie votre peine, il effacera vos doutes.

Quant au résultat final… l’auteur n’en dit pas plus qu’il ne faut.

Bien à vous. H. Dumas

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Gloubiboulga de questions qui appellent des réponses

1.) Pourquoi fermer nos centrales nucléaires ?

Le danger ? Le que faire des déchets radioactif ? Une inefficience économique et d’approvisionnement à bas coût ?

La décision politique est de les fermer les unes après les autres sans faire évoluer la technologie sous-jacente pour les rendre plus sûr – alors qu’elles le sont déjà. En effet le processus développé à travers le monde qui maîtrise cette technologie est de les démultiplier en unités plus réduites et plus performantes.

2.) Soutenir la population par l’Etat quoiqu’il en coûte dans une crise sanitaire ?

Avec quel argent ? L’endettement « Open Bar » qui appelle le soutien de la BCE ?

La décision politique, forte de l’imposition maximale et du taux de recouvrement le meilleur au monde rassure, mais pour combien de temps vis-à-vis de l’extérieur qui comprend bien notre écosystème en route vers celle de la servitude.

3.) La route de la servitude et de la décroissance ?

La « vertitude » doit-elle devenir notre nouvelle attitude ? Nous réduire pour connaître la pénurie et l’indigence ?

La décision politique a acté dans ce registre pour nous limiter dans nos moyens, c’est-à-dire réduire l’individu qui était autrefois le ferment naturel de notre évolution exponentielle : Le quidam qui cherchait à dépasser sa condition pour lui et ses enfants

4.) Le Transgenre via des féministes radicaux (radicales) ?

Cette haine des hommes que vous trouverez dans l’ouvrage de Pauline Harmange fait le lit d’une rivière entre les hommes et les femmes en confondant tout, c’est-à-dire l’exploit d’imbéciles et de gens sans histoire.

La décision politique est de s’adapter à cette liberté d’expression. Et cette femme a le droit de dire ce qu’elle pense et soutient, ce que permet notre « démocratie », sans contrepartie.

5.) Une Presse en mode propagande ?

La Presse doit nous informer, et avec elle tous les moyens pour cela. Sa déontologie devrait être l’objectivité : Rapporter les faits tels qu’ils se présentent.

La décision politique est de passer de l’objectivité à la subjectivité : Comprendre que personne n’est responsable mais qu’eux ils on vont agir quand le désastre a passé avant ! Inopérant et le « juste » circonstanciel, sans vision, sans rien sauf l’échec du vide de ce socialisme ambiant !

6.) Le Covid ?

Les jeunes, notre avenir, sont cantonnés et parqués alors qu’ils s’ébrouent sans rien contre nous entre eux, sauf peut-être pour leurs aînés, dont la propagande nous le sert en ligne et en boucle – Spot TV actuel via France Télévision.

La décision politique est de les sacrifier dans leur avenir pour protéger les élites et les « Papy Boomers » qui partent avec la caisse !

Ces jeunes devraient se révolter ! Pas pour des bourses, mais pour avoir des opportunités de prendre un quelconque ascenseur social !

7.) Le Gang de l’administration

On ne sait plus qui fait quoi dans cette mafia qui a pignon sur rue, mais nos œuvres technologiques développées dans le privé leur ouvrent des espaces de pouvoir sans commune mesure.

La décision politique est de formater chaque individu sous son empire par des Data Basis recoupées sans faille.

Conclusion de ces sept

J’ai envie de dire que le meilleur est devant nous, tant j’ai la foi en l’intelligence humaine, et non en quelconque religion dont le socialisme fait partie. Ces régulateurs de la pensée se veulent des avocats contre la liberté d’aimer de penser et d’entreprendre, ce qui a fait pourtant le lit par lequel ils se babinent en toute impunité.

Leur seule légitimité est qu’ils annoncent sans fard leurs destins à leurs citoyens, sans les prolongements qui vont s’ensuivre, car incapables de poursuivre, sauf devant leur miroir  aux alouettes qui prononce à un peuple qu’il doit manger de plus en plus de pain plutôt que de la  brioche.

Bien à vous

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Debout les Morts !

Bon, aujourd’hui, les choses sont claires :

  • Le virus chinois a muté. Les chiffres sont sans appel : mille morts par jour au moment le plus critique de l’épidémie, comptés par dizaines aujourd’hui, et en diminution constante.
  • La carte des pays ayant refusé l’hydroxychloroquine se confond avec celle de l’importance de la mortalité et de la létalité.
  • Une létalité qui augmente avec le nombre de personnes vaccinées préalablement contre la grippe dans la période précédente.
  • Le port du masque est absolument sans effet sur la propagation du virus, comme le prouvent d’ailleurs les chiffres quotidiennement diffusés chaque jour : non seulement un masque est une passoire pour un virus, mais en outre, ce virus ne se transmet pas par voies respiratoires, mais presque uniquement par contact.
  • Les masques, mal portés, sont au contraire dangereux pour la santé.

Maintenant, la question se pose : pourquoi, malgré ces faits d’évidence, la plupart de dirigeants dans nombre de nos pays occidentaux s’obstinent – ils dans leurs erreurs ?

On peut penser qu’ils ont peur d’avoir à assumer les conséquences de confinements dont tout démontre à présent qu’ils ont été plus contre-productifs que réellement nécessaires.

Mais si c’était cela, difficile de comprendre pourquoi ces mêmes dirigeants ne se sont pas saisis de l’opportunité qu’aurait pu être pour eux la mutation virale ? « Hier, le virus était dangereux, nous avons fait ce qu’il fallait, aujourd’hui, le virus a muté, il représente un danger dix, cent fois moindre, et donc revenons à des mesures sanitaires proportionnelles à cette réalité. »

Au contraire, obstination, discours anxiogènes, mesures coercitives, ruine de l’économie… L’objectif présenté : éradiquer le virus, ce que tout le monde sait être parfaitement illusoire !

Il doit donc y avoir autre chose ! Une vaste préparation à une prochaine obligation vaccinale, source d’un magnifique enrichissement pour les petits copains de nos autorités sanitaires ? Le plaisir, pour ne pas dire la jouissance du pouvoir, une sorte de prolongation du sinistre 80 km/h ? Je sais bien que le « complotisme » n’a pas très bonne presse sur ce site, mais je note cependant que certains imaginent une oligarchie internationale, entendant mener les foules à toujours plus de servitude, par le moyen de la terreur sanitaire ?

Voulez – vous que je vous dise ? En ce qui me concerne, la réponse à ces questions ne m’intéresse absolument pas. Pour moi, peu importe.

Ce qui compte, ce qui est désormais avéré, c’est que chez nous comme ailleurs, il ne faut plus rien espérer des « forces de pouvoir », et surtout pas quelque retour à un semblant de raison. Inutile aussi d’attendre quoi que ce soit d’une improbable « alternance ».

Le salut, s’il se produit, ne viendra d’aucun homme de pouvoir. Il ne pourra venir que du peuple, aujourd’hui terrorisé, jusqu’à supporter les masques absurdes (mais bien plus par la crainte de l’amende de 135 € que de celle de la maladie elle – même) ! Le peuple qui finira peut – être par se réveiller, criant d’une seule et même voix : « Maintenant, ça suffit ! »

Masques, mais aussi politique migratoire, justice abominablement injuste, impositions lourdement confiscatoires, monstrueux gaspillages partout, confiscation de nos libertés, lois criminelles… « Maintenant, ça suffit ! »

En dehors de cela, rien à attendre !

Alors, disons — le avec force ! Debout les Morts !

Vidéos que vous devriez écouter absolument (si ce n’est pas déjà fait).

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