Archives de catégorie : Société

Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.

Vaccinons, vaccinons… oui, mais lentement

Je crois utile de confirmer une nouvelle fois que je ne crois pas au complot. Tout simplement parce que les conditions à réunir sont démesurées, tout particulièrement à notre époque.

Il faudrait en effet un objectif simple, une complicité réelle et une fidélité totale à cette complicité, un secret absolu, une discrétion tout aussi absolue, une croyance linéaire, un mensonge partagé totalement opaque, autant d’attitudes inexistantes de nos jours, impossibles à réunir.

Tout comme l’accès aux autres galaxies de l’univers, l’accès au complot reste du domaine de l’esprit, sans possibilité de passer à l’acte.

En revanche, je crois aux synergies malsaines.

Les actes et les pensées, multiples et de tout bord, peuvent se rejoindre sur une seule stratégie, alors qu’au départ cela aurait pu paraitre impossible tant les différences paraissaient grandes. C’est une des tares de la démocratie ou un de ses avantages, au choix.

La pantomime du COVID est de ce tonneau.

Sa particularité apparente tient à sa dimension géographique quasi mondiale. Mais celle-ci est liée uniquement aux amplificateurs récents de la communication, donc à relativiser.

Premier temps, une crise économique et humaine dont l’origine se situe sans doute dans l’inadéquation entre l’aspiration naturelle à un égal accès aux biens matériels et moraux pour tous et, en face, un trop grand nombre, la foultitude mondiale, qui rend la chose impossible dans l’état actuel des organisations et des émotions sociales.

Deuxième temps, ce constat installe des réponses instinctives. Notamment l’établissement de prospectives à partir de l’existant, sans intégration des novations, pendant que l’histoire du monde est justement faite de perpétuelles novations.

Donc, amputé de sa créativité, se dessine un avenir sinistre, désespérant, étouffant sous le nombre, qui installe un début de peur généralisée et surtout de défiance face à l’espace pris par l’autre.

L’ensemble se transforme en :

 – d’une part, pour certains, une frénésie de consommation avant arrêt, accompagnée du crédit qui va avec

– d’autre part, pour d’autres, un refus du système de consommation.

Ces deux attitudes créant un clivage explosif qui bouscule très gravement l’économie du système actuel.

Troisième temps, une grippe hivernale particulièrement virulente apparait. Elle tombe à un moment où le terrain matériel et moral est fragilisé, une peur latente est donc déjà en place. L’organisation mondiale est fortement clivée, toutes frontières comprises.

Quatrième temps, d’abord marginalisé, il apparait vite que l’impact de cette épidémie éclipse rapidement le mal-être général. Elle devient l’icône, le buzz, la pandémie.

Il n’en faut pas plus pour que les hommes de l’Etat, partout, s’étalonnent par rapport à elle, donc par rapport à l’inconnu, à l’émotion.

C’est à partir de là que chacun d’eux va se trouver exposé à cet inconnu, dépourvu, à la merci des rumeurs et des émotions.

Très vite, les plus malins vont comprendre que cette terreur, qui s’est installée seule, peut leur servir à dissimuler la ruine dans laquelle ils ont mis leurs pays.

Ils vont donc surabonder cette peur, en faire leur propriété politique, en profiter pour asphyxier l’expression des critiques de leurs échecs en limitant les libertés au nom de la précaution hygiénique.

Macron en est, évidemment, plutôt deux fois qu’une.

Cinquième temps, la sortie.

Cette pandémie, qui n’en est pas vraiment, a un terme naturel, en principe une saison ou une saison et demie.

Donc, elle va disparaître naturellement, laissant alors à la vue le champ de ruine initial, augmenté des conséquences des politiques opportunistes de dissimulation actuelles.

Vient donc le temps du vaccin aux multiples intervenants et bénéficiaires dont naturellement les marchands de vaccins. Qui sont à la maladie ce que les marchands de canons sont à la guerre, de simples fournisseurs.

Il ne faut donc pas acheter trop de vaccins pour ne pas les avoir sur les bras au moment où la maladie régresse, d’un seul coup la plupart du temps, Bachelot en sait quelque chose.

Mais il faut en acheter assez pour faire croire qu’ils sont les responsables de la disparition de cette forte grippe saisonnière.

Après avoir surfé sur la peur de la maladie, les hommes de l’Etat surfent sur la peur du manque de vaccin.

C’est beaucoup, le risque de tomber à l’eau me parait aujourd’hui quasi certain.

Nul complot dans tout cela, des responsables en panique, persuadés d’être malins en profitant d’un fait extérieur pour dissimuler l’échec de leur politique. Une foule en panique. Une panique qui va passer, brusquement. Un bilan qui va apparaître soudain, amplifié, inévitablement.

Il sera fait alors état de l’augmentation de la mortalité en 2020. Il ne faudra pas oublier que la récession économique tue. L’URSS au moment de sa chute ne cessait de voir l’espérance de vie de ses habitants diminuer.

Il est probable que les difficultés économiques de notre pays, largement augmentées par la gestion paravent de l’épidémie, auront été plus létales que le virus COVID. Et ce n’est probablement pas fini.

Attendons, nous sommes mieux ici qu’à l’Elysée avec le gamin.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,50 sur 5 (8 avis)
Loading...
833 vues

LE BOULANGER NICOIS VICTIME DU DURCISSEMENT DE BERCY

“Le boulanger niçois ne multipliait pas les pains au chocolat mais les euros sur son compte en banque. Un homme de 52 ans, qui dirigeait six boulangeries et cent vingt salariés à Nice dans les Alpes-Maritimes, a détourné 1,9 million d’euros au fisc en l’espace de dix-huit mois à peine.

Pour réussir sa combine, il utilisait des caisses enregistreuses qui lui ont permis de fausser sa comptabilité. Elles faisaient payer le prix exact au client mais elles enregistraient des montants inférieurs de façon à déclarer moins de revenus et de payer moins d’impôts. Le boulanger avait acheté ces caisses “magiques” auprès d’une entreprise de Cuers dans le Var, indique Nice-Matin.

L’homme, qui était poursuivi pour fraude fiscale en bande organisée, travail dissimulé et blanchiment, a été condamné à cinq ans de prison dont deux ans ferme, une amende de 100 000 euros et l’interdiction de gérer une entreprise pendant dix ans.

Son associé a été condamné à trois ans de prison dont deux ans avec sursis et une amende de 50 000 euros. Trois autres membres de la famille du boulanger ont été condamnés à un an de prison avec sursis pour recel d’abus de biens sociaux.

Les gérants de la société des caisses enregistreuses seront jugés prochainement.
La rédaction”

 

Comme en 44, juste avant la défaite du III ème Reich, les juges vichystes ont durci les condamnations qu’ils prononçaient.
Durcissement dû à la peur que les allemands perdent la guerre ?
Durcissement dû à la peur du pouvoir en place qui se raidissait dans un dernier soubresaut ?
Durcissement dû à la peur d’être balayé par l’histoire qui les jugerait ?
Et bien sûr la trouille des représailles s’ils perdaient.

Quand un pouvoir vacille, il durcit ses sanctions croyant pouvoir arrêter la marche de l’Histoire.
Ce qui est vain.
Il faut toujours se méfier d’un pouvoir qui vacille, c’est là qu’il est le plus dangereux et qu’il va frapper le plus fort croyant pouvoir éradiquer contestation et résistance.

L’affaire du « Boulanger de Nice » aux caisses enregistreuses « magiques » est là pour le prouver.
Je me garderais bien de porter un jugement sur sa condamnation.
Je ne sais pas ce qu’a apporté le fisc comme preuves et comme évaluation.
Ce que je sais et ça je le sais, comme chanterait Gabin, car j’ai payé pour le savoir.
Ce que je sais et ça je le sais c’est que le fisc est apte à fabriquer des fausses preuves et à faire passer ses affirmations, basées sur un « raisonnement fumeux », pour des vraies preuves que personnes dans ce système bien rodé, n’aura l’outrecuidance de remettre en question.
Ca je le sais pour l’avoir vécu sur plus de 20 ans.
Henri le sait pour l’avoir vécu sur plus de 20 ans.

En théorie, il a été condamné par un juge civil ce que nous demandons depuis des lustres, c’est la partie émergée de l’iceberg.
Ce que l’histoire ne dit pas c’est que déjà, sans doute et c’est même une certitude c’est que Bercy, dès son redressement notifié, l’a tondu à vif.
Il a dû être noyé sous les contraintes et mesures coercitives, la spécialité du fisc français et avant d’arriver au tribunal correctionnel, il devait être déjà au 9/10 mort.
C’est ce que nous appelons « les lettres de cachet » ce qui prouve la puissance de Bercy car tout le monde trouve ça parfaitement normal.

Henri et moi, nous l’avons vécu, donc nous savons.

5 ans de prison dont 2 fermes, c’est coquet comme sanction pour un homme, qui tout compte fait a voulu garder un peu plus le fruit de son labeur pour lui.
Les braquages, les viols, les pédocriminels prennent rarement autant.
Il est vrai qu’ils n’ont pas lésés aussi profondément le peuple français.

Maintenant, son vrai chemin de croix va commencer.
Le fisc va le poursuivre à vie et sans relache.
IL va le suivre à la trace, il va le rendre SDF à vie, jusqu’à la tombe.
Je ne vous parle pas de sa famille qui va le suivre dans sa déchéance.
Le fisc va l’écorcher à vif.

Je ne sais pas réellement ce qu’il a fait car je ne connais que ces deux articles de ces journaux.
Souvent ils hurlent avec les loups.
Je ne peux avoir qu’une pensée compatissante pour cette homme qui va devenir un mort vivant comme je l’ai été.

Le tribunal pénal dans le cas de « fraude fiscal » est une bonne chose mais il faut aussi respecter son jugement ce que Bercy n’a pas fait pour moi.
A quoi cela sert-il de nous faire passer en correctionnel si c’est pour pisser sur ce jugement s’il est défavorable au fisc ?
Bercy veut le beurre, l’argent du beurre et la crémière.
Il ne tolère pas d’avoir tort et qui va s’en plaindre ?

La condamnation hors de proportion de ce boulanger est-il le raidissement (cité plus haut) qui précède l’effondrement de la dictature de Bercy et de ses exactions ?
Est-ce l’ultime carnage fiscal avant leur chute ?

Rome s’est écroulé sous l’invasion des barbares et aussi à cause de la pression fiscale insupportable et des exactions des « agents » fiscaux.
Les romains ne voulaient plus défendre cette oligarchie et ne l’ont plus défendu.
Ce fut une des raisons de la chute de l’Empire Romain.

La dictature de Bercy malgré son enfumage perpétuel résistera-t-elle encore longtemps ?

A vous de nous le dire.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...
1 048 vues

Un dernier mot, monsieur le bourreau ?

Maintenant, Démocraties, vous voilà déshabillées.

Et franchement, quel misérable spectacle que vos corps décharnés, plus nus que nus !

Un homme, une voix !

Soyons francs avec vous ! Il y a déjà bien longtemps que nous autres, le peuple, les populistes, comme vous dites, nourrissions de sérieux soupçons.

Vos maquillages plus ou moins bâclés nous trompaient de moins en moins.

Mais bon, vous aviez la pudeur de conserver certaines apparences, suffisamment en tout cas pour que nous puissions faire semblant d’y croire.

Mais nous imposant vos masques, vous avez jeté les vôtres.

Le slogan « un homme une voix ! » apparaît pour ce qu’il est en effet, un slogan cache-misère.

Car, nous le savons désormais, pour vous, toutes les voix ne se valent pas.

Celles du peuple peuvent être écornées, rognées, et même effacées.

Tandis, que dans le même temps, les voix dominantes peuvent se voir multiplier par deux, par quatre, par plus encore, elles peuvent même être celles de chers disparus, qu’importe ! Preuves filmées, témoignages sous serment… Circulez, rien à voir !

Certains, encore naïfs, se murmuraient entre eux : qu’importe, après tout ! À la fin, les juges jugeront, et tout rentrera dans l’ordre.

Problème : du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest des États-Unis, du haut en bas de la hiérarchie judiciaire, pas trouvé un seul juge ! Pas un seul !

Normal, pensent les majorités de ce côté-ci de l’Atlantique : une histoire américaine, où un personnage, pourtant « vulgaire » et même « grossier », a pu s’imposer, l’espace d’un instant de quatre longues années. Ça n’arriverait pas chez nous : chez nous, les dirigeants sont personnages raffinés et délicats. Bon, c’est vrai que depuis les Américains se sont enfin mis au pas, avec un nouveau président tout plein de qualités et de bonnes manières.

Et puis, autre différence, chez nous, l’espèce juge n’est pas du tout en voie de disparition. Pas de problème de ce côté-là. C’est du moins ce que semblent croire des hommes comme Fabrice Di Vizio, l’avocat du professeur Raoult, qui a répondu à la question : « Que risque votre client des procédures en cours contre lui ? » : « Moi vivant, rien. » Ce qui ne manque pas de panache. Mais panache et réalisme font-ils nécessairement si bon ménage ?

Conviction partagée, peut-on penser, précisément par ce même professeur Raoult, lequel défend dans un entretien : « Non, je ne suis pas inquiet ! Nous sommes dans un État de droit, et in fine, le droit finira par s’imposer ! »

Confiance admirable ! Pas nécessairement partagée par les auteurs et les lecteurs du présent site… d’autant plus que sauf erreur, les juges qui auront à se prononcer sont… des juges administratifs…

Mais parlons d’autre chose, pour en finir. Voilà des années que tout seul contre tout le monde, je démontre les manipulations des spécialistes de « l’économie comportementale ». Des pages de preuves et de démonstrations, de références et de citations, toutes également et rapidement balayées par une accusation de « complotisme »…

Pourtant, nous sommes en train d’assister à un véritable tour de force de manipulation, bien dans la ligne précisément de « l’économie comportementale » : cette question de la vaccination.

La question principale aurait dû être : une vaccination pour quoi faire ? Une pandémie pratiquement sans morts, voire sans vraiment de malades. Des malades qui pris à temps sont faciles à isoler et soigner.

Mais non, répondent les têtus de la pandémie : il n’y a pas de traitement ! Ce qui devient pourtant de plus en plus difficile à défendre. Le seul moyen pour s’en sortir : la vaccination ! Des vaccins dont on ne sait pas grand-chose, sinon ce qu’en disent leurs vendeurs, ce qui n’est pas la meilleure des garanties

– Mais que voulez-vous dire par « s’en sortir » ?

– Justement, « sortir » à nouveau, comme on voudra, sans confinement, sans gestes barrière…

Pourtant non. Heureux ces optimistes, car ils ne savent pas lire. S’ils savaient lire, ils découvriraient que leur vaccin salut diminue au mieux les risques de contracter une forme grave de la maladie. Ni plus ni moins qu’avec les traitements disponibles. Pour le reste, le vacciné pourra toujours se trouver contaminé, puis contaminant. Ou encore contaminé par quelque variant du virus. Et donc plus du tout protégé, différence essentielle avec les traitements.

Donc ce sera vaccin ET prolongation indéfinie des mesures sanitaires en vigueur.

Quant aux effets à moyen et long terme de la vaccination, on verra quand on y sera…

Mais ce débat, l’avez-vous noté : escamoté, vidé de tout contenu, plus personne n’en parle.

Remplacé par un autre : le vaccin, tout de suite, ou plus tard ? Parce que, comprenez-vous, des vaccins, on ne pourra pas en avoir tout de suite pour tout le monde…

Le vendeur vicieux qui veut imposer sa marchandise finit toujours par questionner le client indécis : « Vous préférez payer comment ? Chèque ou carte bleue ? » ou encore « vous préférez la solution emporté ou livré ? », ce qui élimine de fait le débat acheter – ou ne pas acheter.

Et voilà, vaccin aujourd’hui, ou demain, c’est devenu le seul sujet de conversation, les vaccins qui n’arrivent pas assez vite, en assez grand nombre…

Admirable manipulation ! Le débat traitement ou vaccin complètement escamoté. Mais on disserte à longueur de temps le degré de compétence des hommes du pouvoir, qui, très habilement, laissent plus ou moins dire… quant aux marchands de vaccins, ils ont les mains rouges à force de se les frotter de contentement…

Jusqu’à quand ? Jusqu’à toujours. Avec ce virus ou ses variants. Ou ses successeurs.

Sauf si, un jour, les peuples se décident à ouvrir les yeux (pandémie inexistante, traitements parfaitement connus, vaccinations inutiles, aux effets inconnus, et qui ne résoudront rien… et pour finir mesures « sanitaires » aussi inefficaces que parfaitement inutiles) mais pour l’instant, sœur Anne, je ne vois rien venir. Dans une telle situation, à quoi bon débattre, je retourne dans la brume, comme disent les marins.

Nota : ne me demandez pas mes « sources ». Elles restent encore un peu disponibles, quelques instants de recherche suffisent. Mais aucune raison de les signaler plus que cela à ceux-là mêmes qui vont bientôt les effacer.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,64 sur 5 (14 avis)
Loading...
1 241 vues

SFR L’OPERATEUR SPECIALISTE DE LA VENTE FORCEE.

Mon fils avait un forfait à 10€ qui lui était largement suffisant.
Le 14 janvier  il reçoit une facture augmentée.
Un dialogue de sourd s’établit entre SFR et mon fils qui ne comprend pas cette vente forcée
Coincidence, Philos avait pondu un article sur ce sujet quelques jours avant.

https://temoignagefiscal.com/ces-fournisseurs-dacces-a-internet-qui-prennent-des-libertes-avec-la-loi/

Il va vite le relire pour répondre à SFR.
Rien n’y a fait.

https://www.60millions-mag.com/2020/12/08/sfr-une-offre-que-vous-ne-pourrez-vraiment-pas-refuser-18051

En deux mots on l’a dans le baba.
Une seule solution pour protester, comme pour FB ou Twitter, changer de fournisseur…


1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (10 avis)
Loading...
3 412 vues

Quand le ridicule tue

Il faut s’accepter tel que l’on est, parait-il. Ce qui, convenons-en, n’est pas si facile lorsque les autres considèrent que ce que vous êtes n’a pas lieu d’exister.

C’est un peu le problème que j’ai rencontré jeune.

Parmi tous mes défauts congénitaux, j’étais très moqueur.

Disons que de 10 à 20 ans, le plus clair de mon temps a été occupé par cette particularité, y compris dirigée vers moi-même évidemment. J’avais aussi l’accent du midi.

Inutile de vous dire que dans une classe de quarante gamin, une telle qualité un tel défaut apporte beaucoup de gaité pour les autres, et beaucoup de problèmes au moqueur.

Donc dès que j’ai eu charge d’âme, mon épouse et mon premier fils, j’ai éradiqué ces deux spécificités, la moquerie et l’accent du midi, pensant que cela allait me permettre de m’intégrer à la bonne société.

Disons que ce fût neutre sur ce point, que pour l’accent il n’y eut pas de problème, mais que pour le reste cela s’est transformé en un esprit contestataire et critique pas toujours facile à gérer.

Bon je m’égare, je m’égare, mais en réalité je vous explique : quand je vois Castex débarquer avec ses lunettes et son air ahuri, mon adolescence arrive au galop et j’éclate de rire.

Ah, si nous avions quinze ans, lui et moi, je me foutrais de sa gueule, il ferait une bonne tête de turc en classe de seconde.

Je déconne, bien sûr que non, c’est absolument interdit aujourd’hui, on ne se moque pas des handicapés, c’est la tôle assurée.

Donc, M. Castex : respect.

Cela dit, vous me faites vraiment marrer, toute la misère du monde sur vos lunettes.

Et puis le discours, complètement en phase. On dirait un gagnant du concours général en latin-grec qui remercie le proviseur lors de la petite cérémonie intime organisée au lycée pour le féliciter.

Jusqu’à aujourd’hui, le ridicule ne tuait pas.

Nos fonctionnaires ont terrassé le proverbe, avec eux le ridicule tue. Ils ont trouvé la “Clay” du problème.

Ils nous ont transformé en animaux souterrains, au terrier dès 18 heures. Ils ont inventé le tchador pour tous, hommes compris.

Ils nous alignent devant les commerces dont nous avons besoin, en rang, surgelés, type manchots de l’antarctique.

Ils ont éradiqué la bise nationale à deux, trois ou quatre coups. Aussi l’accolade, et le serrement de main.

Ils se sont introduits dans l’âme des plus faibles et les ont transformés en agent de délation à toute heure du jour et de la nuit.

Ils ont mis au chômage les médecins, qui n’ont plus le droit de prescrire les médicaments, pendant qu’ils ont mis en surchauffe les planqués de l’hôpital qui ne s’y attendaient pas, qu’il a fallu applaudir pour qu’ils ne fassent pas tous des syncopes de congés maladie.

Ils misent tout sur les vieux, alors qu’ils ne rêvent que de les voir disparaitre pour équilibrer les comptes des assurances maladies et retraites.

Ils analysent scientifiquement la situation tous les Mercredi. Ils pondent aussitôt des décisions invraisemblables qu’ils nous annoncent avec des mines d’enterrement.

Ils ouvrent et ferment les écoles comme les fenêtres, à leur convenance.

Ils distribuent les faux billets comme au Monopoli, au hasard des dès.

Ils achètent des vaccins la peau du cul, dont personne ne veut, dont le but principal sera de s’attribuer la gloire de la disparition naturelle de COVID au début de l’été.

Tout cela est ridicule, mais mortel.

COVID tue tous les jours, indépendamment de leurs ridicules gesticulations.

Il est probable que si chacun de nous, avec l’aide de son généraliste, avait négocié l’arrivée de cette “super-gripette”, cela n’aurait pas augmenté les décès, mais évité la ruine que vont déclencher ces agitations ridicules.

Ce sont les médecins et les scientifiques qui auront, peut-être, raison du fléau, pas Castex et son effarement perpétuel.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (11 avis)
Loading...
981 vues

Brèves de comptoir

Nous sommes heureux de vous retrouver pour un rdv vidéo.

La difficulté à circuler rend la chose difficile à mettre en œuvre, donc rare.

Ce sera notre façon de vous souhaiter nos vœux, nous comptons sur votre indulgence lors de votre visionnage, la prouesse technique n’est pas au rendez-vous, mais le cœur y est.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (3 avis)
Loading...
887 vues

Fake Jobs et vendeurs de pelles et de pioches

Il est effectivement très facile pour un quidam d’ouvrir un compte de trading pour investir ou/et spéculer. Les Brokers ont senti la mine depuis longtemps, avec des séminaires, des formations, des « je suis le meilleur dans l’exécution des ordres, la plateforme de Trading, la commission – sa rémunération qui peut prendre la forme de frais de courtage ou de Spread (écart entre un meilleur achat et une meilleure vente dans un carnet d’ordres). Bon, on ne va pas entrer dans le détail de tout cela sur ce blog, sauf si vraiment des lecteurs veulent s’éduquer sur le sujet, ce que je me ferai fort de leur expliquer dans un autre article plus précis.

Dominique Philos s’est attardé dans son dernier billet sur le Bitcoin et l’action Tesla, sur leur volatilité et sur le fond de celle-ci. Chercher à jouer là-dessus pour un spéculateur en capitaux propres est une bombe de volatilité, c’est-à-dire de fortes illusions ou de fortes désillusions. Cela va tellement vite dans la variation des cours.

Pour des gens introduis dans la spéculation, on travaille plutôt avec les Options avec des stratégies sur ce genre de support, mais aussi sur bien d’autres moins volatiles. L’univers des options est compliqué à appréhender pour Mme Michu, car il y a une véritable formation à acquérir, vraiment pas simple. Dans ce domaine, on peut ainsi construire du presque zéro risque, c’est-à-dire en perte mais faible, en regard du potentiel avec ce qu’on appelle des Pricers de stratégies. Avec les options, vous avez un jeu d’échecs devant vous en sachant ce que vous faites.

Par contre, travailler en direct sur des supports pour les petites mains se fera principalement sur de la représentation graphique des cours, communément estampillée analyse technique. Dans ce domaine, vous trouverez encore les vendeurs de pelles et pioches pour vous présenter leur meilleure carrosserie de la visualisation d’un marché boursier. Ils sont la plupart du temps hors-jeu.

Il existe effectivement une représentation des cours qui structure le marché pour vous le rendre plus clair, indépendamment du temps qui passe, on va dire fractale, mais là encore, cela ne suffit pas. Il y a un système à construire pour développer un mode opératoire pour agir sans doute – c’est maintenant et pas plus tard ou moins avant, puis accepter ses pertes et prendre ses gains selon un Money Management clair et une espérance mathématique positive vérifiée sur une série d’opérations qui se répètent de manière récurrente dans une cloche de Gausse pour les résultats et des opérations qui Trump le monde, Trump Card voulant dire atout dans un jeu de cartes, pour dire agir quand c’est improbable alors que c’est l’inverse.

Mon grand regret est que tout ceci devrait être enseigné dans nos écoles dès que mature possible pour le comprendre, car nous aurions probablement des gens beaucoup mieux formés à la prise de risque responsables pour agir vers le meilleur dans n’importe quel domaine autre que les marchés financiers. Ainsi, toute notre vision de ce qui nous entoure remiserait notre principe de précaution égalitariste inscrite dans notre Constitution de la cinquième dans un placard de voitures balais pour nous gérer non par la pénurie ni la progression des progressistes idéologiques décroissants.

Bien à vous !

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,50 sur 5 (8 avis)
Loading...
820 vues

Trump, Biden, Macron, etc… la crise de la démocratie

L’organisation des sociétés peut-elle être considérée comme définitive ?

C’est ce que les français ont pensé, pendant plus de mille ans. La royauté leur paraissait indépassable.

Puis brusquement, violemment, ils s’en sont débarrassés. Sans pour autant lui trouver immédiatement un système de remplacement satisfaisant.

Après avoir tout cassé, ils ont d’abord reconstruit la même chose. Napoléon a vulgarisé les principes révolutionnaires élitistes pour rebâtir une dynastie personnelle, au prix d’une boucherie et de pillages hors du commun pour l’époque.

La démocratie est arrivée bien plus tard, sur les échecs de ces reconstitutions de royauté.

La démocratie a vraiment pris son envol, sa raison d’être, lorsqu’une majorité s’est dégagée, petit à petit, pour retirer à l’église les pouvoirs politiques qu’elle s’était octroyée à partir de l’impact de la croyance qu’elle utilisait pour soumettre les individus.

On peut donc considérer que la modification sociétale qui a généré la démocratie globale, telle que nous la vivons, s’est faite en deux temps : premièrement la destruction du modèle en place et de ses croyances, puis son remplacement par un autre modèle accompagné de ses propres croyances.

Pour résumer — en acceptant d’affronter tous les commentaires acerbes qui ne manqueront pas de critiquer ce résumé — on peut dire que le système de la royauté a fini par installer des clivages indépassables qui ne pouvaient que sauter violement, mais que la croyance qui le soutenait avait une telle force qu’elle n’a pas permis immédiatement de dégager une nouvelle organisation sociale, qui a eu besoin d’une autre croyance pour voir le jour.

La croyance qui sous-tendait la royauté était Dieu, celle qui a sous-tendu la démocratie était l’homme. Deux choses inexistantes. Dieu par manque de preuve tangible, l’homme par rapport à la dimension maintenant connue de l’univers.

Aujourd’hui

Les clivages indépassables sont de retour, la démocratie s’accompagne de privilèges exorbitants, trop couteux en esprit et en actes pour ceux qui les portent sans en profiter.

La croyance en l’homme  est à son niveau le plus bas — et c’est le moins que l’on puisse dire —

Nous sommes donc dans une situation très semblable à celle où étaient nos ancêtres, au 18ème siècle, quand ils ont tout cassé.

L’explosion

La plus grande partie des élus démocrates occidentaux ne sont soutenus par aucune majorité de pensée, ils sont en apesanteur démocratique.

Cette situation rend leurs privilèges insupportables.

Tous paniquent, largement autant que ce pauvre Louis XVI et sa copine Marie-Antoinette. La foule gronde, le budget de l’Etat explose. Idem dans les autres pays démocrates.

En réalité, la population ne veut plus de la démocratie, elle ne peut plus croire en l’homme qui la justifiait.

Oui, mais

Elle ne pourra pas installer un autre système de société sans l’adosser à une croyance, et pour l’instant il n’en est aucune qui fait mine de s’imposer, même pas d’exister.

“Quand même tout casser”, parait le mot d’ordre subliminal qui parcourt nos sociétés. Donc il faut s’attendre au clash.

Après ?

Personnellement, je n’ai aucune idée précise. Mais je me dis : est-il possible que la prochaine étape consiste à se débarrasser de toute croyance ? Un rêve…

C’est difficile à imaginer avec toutes les croyances véhiculées sous nos yeux par COVID. Mais peut-être est-ce justement le chant du cygne de la croyance ?

Nous savons que la croyance est le ciment qui a permis à l’homo sapiens ses regroupements de conquête, or il n’y a plus rien à conquérir.

Donc, plus de croyance, plus besoin de frontières, de prisons sociales, juste un peu d’intendance, uniquement pour les besoins collectifs somme toute modestes.

Alors, à tour de rôle, par tirage au sort, chacun de nous pourrait-être amené à donner un peu de son temps pour le minima collectif. Ce serait suffisant. Nous retrouverions le fameux paradis terrestre, sans obligation et sans hiérarchie, ou chacun serait libre.

Nous n’en sommes pas là, les croyances actuelles en l’homme et en la démocratie sont encore tenaces et ont le temps de faire quelques millions — voire milliards — de morts avant d’être éventuellement remplacées.

Plus tard, peut-être.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...
839 vues

Les gogos et l’odeur de l’argent facile

Lors des périodes de forte expansion monétaire, comme c’est le cas actuellement, les détenteurs de cash ont tendance à rechercher des actifs réels afin de sécuriser leurs avoirs.

Fatalement, on assiste à une envolée des prix sur ces classes d’actifs.

Nous assistons actuellement à une spéculation intense sur deux « valeurs » : Le bitcoin et Tesla.

Leurs cours de bourse connaissent actuellement une progression à la fois proprement stupéfiante qui doit inciter à la prudence surtout que ce ne sont pas des actifs réels (immeubles, métal précieux).

Le bitcoin

On se situe ici dans l’incorporel au niveau le plus absolu puisque le bitcoin ne repose sur rien, n’est rien et n’a aucune existence réelle !

Ce n’est pas une monnaie et ce n’est même pas un actif car le bitcoin n’a même pas d’existence physique, il ne génère rien, il ne créé rien et on ne connait même pas ses créateurs !

Sa grande volatilité doit inciter à la prudence car voir ce « rien » atteindre et dépasser 41.000$ de valorisation puis perdre 10.000 $ en 24 h, soit 25%, pour redescendre à 31.500 puis remonter et se stabiliser aux alentours de 35.000 $ a quelque chose de totalement irréel.

Autrement dit, ceux sont entrés sur le marché entre 30 et 40.000 viennent de se faire lessiver.

N’oublions pas, quand même, que le système bitcoin est très opaque et que seuls ceux qui sont à l’origine de sa création, alors qu’il ne leur a rien coûté, sont les grands gagnants de cette spéculation totalement irrationnelle et qu’in fine ils échangent leurs bitcoins, qui ne valent rien, contre des dollars sonnants et trébuchants !

Enfin, il faut aimer le goût du risque pour jouer 41.000 $ sur quelque chose qui n’existe pas en dehors d’une ligne informatique et qui est à la merci d’un piratage ou d’une simple panne d’électricité !

Tesla

Cette société californienne, qu’on ne présente plus, vaut désormais plus que tous les autres constructeurs automobiles réunis alors qu’elle ne produit même pas 500.000 voitures par an et ne fait pas de bénéfices (ou si peu, et essentiellement en négociant ses droits à émission de carbone) alors que la qualité de fabrication de ses voitures, vendues pourtant entre 50.000 et 100.000€, est très moyenne !

Le titre Tesla s’est apprécié de 743 % en 2020 pour atteindre une capitalisation boursière de 834 Md$. Son PER (le montant annuel de ses bénéfices rapporté au cours de bourse qui détermine sa rentabilité) doit être de 1.500 alors que le PER normal est plutôt aux alentours de 12 à 15 pour une valeur cotée en bourse ! On ne peut même plus dire que l’action est surcotée car elle a atteint  des niveaux de valorisation totalement irréels.

Rien ne peut justifier une telle valorisation et accepter de payer un titre cent fois sa valeur réelle relève d’une stratégie extrêmement risquée.

Quand vous achetez des actions de société, vous achetez une part de l’entreprise et une part des bénéfices ; mais ici l’entreprise ne fait même pas de bénéfices !

Alors, qu’est-ce que l’acheteur peut bien acheter si ce n’est l’espérance d’une poursuite de la hausse pour pouvoir revendre rapidement avec un gros bénéfice facilement gagné !

Oh, je sais, on ne cesse de tresser des couronnes de lauriers à E Musk, le chef d’entreprise visionnaire, etc., mais il ne faut quand même pas oublier qu’il est avant tout un grand manipulateur qui a été poursuivi par la SEC (gendarme de la bourse US) pour divulgation de fausses nouvelles dans le but de manipuler les cours de bourse de Tesla.

Ce sentiment est renforcé par le fait que la presse s’obstine à vouloir gloser sur E Musk devenu l’homme le plus riche du monde alors que tout cela relève essentiellement d’une  manipulation journalistique cherchant le titre sensationnel pour accrocher le lecteur.

Soyons clairs, l’homme le plus riche du monde est celui qui a le plus de cash sur son compte bancaire pas celui qui a 20% d’une société dont les titres sont montés à des niveaux délirants et qui sont susceptibles de redescendre aussi vite du jour au lendemain !

Des précédents historiques

Il existe des exemples de spéculation effrénée de même nature avec notamment les tulipes aux Pays Bas au 17°s. Un bulbe de tulipe valait alors plus qu’une maison ce qui est à la fois irrationnel et ridicule. Ou encore le sucre en France dans les années 70 avec quelques gros profiteurs et …beaucoup de perdants.

L’issue est toujours la même : un krach boursier et la ruine des petits spéculateurs !

Un comportement irrationnel des acheteurs

On se situe donc, sur ces deux « valeurs », dans le schéma d’une spéculation effrénée qui ne repose sur aucun fondement économique ni même sur aucune réalité tangible et prendre le train en marche est à coup sûr une stratégie perdante !

Car, fatalement, à un moment donné, le marché va se retourner et à ce moment-là il sera trop tard ; il sera impossible de vendre car plus personne ne voudra acheter !

Comment expliquer une telle spéculation ?

La cupidité est le moteur de cette spéculation mais celle-ci est mauvaise conseillère. On peut gagner mais on peut aussi perdre surtout que les faits ont montré que les marchés peuvent se retourner très vite ; ce qui veut dire que la plupart du temps les non-initiés n’auront pas le temps de réagir et se retrouveront « collés » avec leurs titres invendables !

Car, il faut quand même rappeler deux règles essentielles des marchés boursiers :

-pour vendre en bourse, il faut un acheteur et faute d’acheteur, quand un titre dévisse, les vendeurs, et spécialement les petits spéculateurs, verront alors leurs « actifs » fondre comme neige au soleil sans rien pouvoir y faire …

-pour que certains puissent gagner, il faut qu’il y en ait qui perdent puisque le système fonctionne nécessairement dans le cadre d’un jeu à somme nulle !

Il ne faut pas oublier non plus qu’il y a sur le marché des professionnels qui ne jouent pas leur propre argent dans ces aventures et que, de ce fait, ils ne risquent pas leur patrimoine à la grande différence des gogos ; c’est à dire ceux qui viennent sur le marché alors qu’ils n’y connaissent rien, avec l’espoir de gains importants et rapides. Ceux-là sont toujours les victimes de ces coups de bourse car ils acceptent de payer, dans le cadre d’un système qui s’apparente au jeu, un prix sans rapport avec une quelconque réalité économique.

Inutile de dire que cela peut faire très mal et les amateurs de bitcoin viennent de prendre une leçon. Elle ne manquera pas d’arriver pour ceux qui spéculent sur Tesla !

Tout cela n’est rien moins que le miroir aux alouettes de l’argent facile.

Bien cordialement à tous !

Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (5 avis)
Loading...
1 340 vues

LES PETITS PATRONS SONT POUSSES AU SUICIDE.

Nous avons reçu ce mail:

Il m’est arrivé la même chose, contrôle fiscal en 2016 sur les années 2013, 2014 et 2015 sur la TVA; J’étais en auto entreprise et ne pensais pas être assujetti à la TVA. Juste pour info: j’ai créé mon auto entreprise en Avril 2012 et en septembre 2012 est sorti un B.O.I. (Bulletin Officiel des Impôts) qui changeait la donne. Personne ne vous met au courant et en étant autoentrepreneur on ne s’abonne pas au Journal Officiel dans lequel ce B.O.I. est publié……
Ré résultat des courses: redressement fiscal pour 2013 10.000Euros et si seulement on m’avait redressé juste pour cette année-là, j’aurais pu trouver les fonds nécessaires, mais on m’a ensuite redressé pour les 2 années complémentaires pour que la note s’alourdisse fortement: 43.000 Euros. Montant que je suis incapable de rembourser.
J’ai en effet fait plusieurs tentatives de suicide et heureusement je ne l’ai pas fait. Tout simplement je n’ai pas de bien à saisir, sinon ce serait déjà fait, et encore aujourd’hui je reçois des injonctions à payer…..

Voilà, j’ai à l’époque contacté le correspondant de “La Provence” pour qu’il publie un article sur mon histoire, mais il n’a pas voulu se mouiller…..
J’adore votre blog, ça me donne satisfaction de savoir que je ne suis pas le seul à trouver que l’administration française empêche les gens honnêtes de travailler. Pour info, ma société que je viens de vendre, à rapporté 23000 Euros en TVA pour l’Etat l’année dernière. Pas mal pour une personne tout seul en SASU….
Le lien vers le site Web est le site de mon entreprise que je viens de vendre…
Bien à vous,
J.P

Nous avons donc reçu ce mail il y a deux jours en commentaire à l’article de Jacques Clouteau « suicide des petits patrons » https://temoignagefiscal.com/suicide-des-petits-patrons-un-drame-muet-et-ignore-par-jacques-clouteau/.

Cher J.P,
ce drame que vous avez vécu et auquel vous avez failli succomber, nous sommes malheureusement plusieurs milliers à le vivre chaque année.
Henri et moi avons connu ce que vous avez vécu.
Voilà 20 ans que nous avons été ruinés par des agents « assermentés » de Bercy.
Vous croyez que la ruine de nos affaires leur fut suffisante ?
Non, leur coercition à notre égard, même quasiment SDF, est toujours active.
Tant que nous respirons, ils s’acharneront sur nous.
Nous savons qu’ils poursuivront nos héritiers même après notre mort.
La tombe pour eux n’arrête rien.
https://temoignagefiscal.com/super-jai-recu-un-avis-de-controle-fiscal/
(98.000 vues )
Nous sommes le seul blog qui, dans une indifférence glacée des médias « one voice », dénonce leur agissements.
A l’heure où tout le monde filme tout le monde, tel un dinosaure allant à contre-courant, où heureusement les vidéos servent encore de preuve, Bercy arcbouté sur ses coutumes d’un autre âge ne veut absolument pas que ses agents soient filmés lors du fameux « débat contradictoire ».
Qu’a-t-il à cacher ?
Henri en a fait l’amer expérience en voulant filmer ce « débat ».
Il le paye depuis plus de 20 ans.
Depuis plus de 20 ans le fisc le poursuit, sans relâche, après l’avoir ruiné.

Avez-vous subi ce fameux débat contradictoire, annoncé comme faisant partie d’une superbe défense mise à la disposition de chaque contribuable ?
Et cette non moins fameuse charte du contribuable qui ne sert en fait qu’à l’enfumer ?
Avez-vous été redressé par les agents du fisc avec une théorie fumeuse qui leur servait de preuves ?
Nous nous l’avons été.
Avez-vous porté votre affaire devant le Tribunal Administratif ?
Avez-vous constaté une certaine sympathie et concordance entre les thèses du fisc et le jugement du T.A ?
Savez-vous que les énarques dirigent et Bercy et les T.A ?
Ceci vous explique-t-il cela ?
Avez-vous gravi, comme nous, tous les échelons de leur hiérarchie sans aucun résultat autre que le mépris de ces fonctionnaires à notre encontre ?

J’ai moi-même subis toutes ces épreuves surréalistes.
Ces épreuves tellement perdus d’avance que l’on pourrait douter de notre justice.
Je parle de la vraie, la civile.
Avec celle-là, les choses commencent à bouger.
Certes lentement, mais elles avancent dans le bon sens.
Il est vrai qu’en cas de victoire cela ne change pas grand-chose pour le moment.
Moi-même, j’ai été relaxé des accusations du fisc pat le tribunal correctionnel de Paris et malgré cette relax Bercy a continué à me poursuivre avec succès.
https://temoignagefiscal.com/le-tribunal-administratif-linquisition-au-service-du-fisc/

J’ai donc appris ce jour-là que Bercy pouvait « pisser » sur la justice civile et ses jugements sans que cela émeuve qui que ce soit, malgré mes protestations.
Tout le monde bien-pensant ce jour-là a regardé ailleurs.

Dans notre monde, formaté depuis des décennies à acquiescer aux jugements de Bercy
sans broncher, porter le titre de « fraudeur fiscaux » qu’il vous décerne c’est comme si en 40 vous portiez l’étoile jaune et que les autorités, sous couvert des lois anti-juive votées par Vichy, pouvaient vous spolier sans aucune contrainte.
Tous les bons français ont applaudi à l’époque car ils en profitaient.
C’est la même chose aujourd’hui car les spoliations d’aujourd’hui servent à tous.
Servent à tous ?
Certainement pas.
Ils servent en priorité l’immense pléthore de nos fonctionnaires qui par leur surnombre creuse chaque jour un peu plus le déficit de la France.
Il ne restera quelques miettes pour les français lambdas.

Il ne faut pas perdre confiance et toujours résister au pouvoir inique.
Ne jamais se coucher devant le mensonge et l’injustice.
Oui, JP, il reste du chemin.
Faîtes-le avec nous…

 

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai rien dit, je n’étais pas catholique.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs, je n’ai rien dit, je n’étais pas juif.

Quand ils sont venus me chercher, soit disant fraudeur fiscal, il ne restait plus personne pour protester.”
Ca fait réfléchir, non?
1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (9 avis)
Loading...
1 678 vues

Trump out à 99% mais il reste 1%

Depuis la décision du Congrès des USA de valider l’élection de Mr Biden sans la moindre contestation, la messe semble dite. Mais apparemment, cela ne suffit pas ! Il faut mettre définitivement Mr Trump hors d’état de nuire, comme les anglais ont pu le faire avec Napoléon suite à sa défaite de Waterloo : Suspension définitive de son compte Twitter et temporaire pour ce qui est de Facebook, Snapchat ou Twitch ; évocation du 25ème amendement de la Constitution. On a même Mme Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des Représentants, qui assure s’être entretenu avec le chef-d’état major des armées pour évoquer le fait d’interdire l’accès aux codes nucléaires à Mr Trump, à quelques jours de son départ de la Maison Blanche. Mais que craignent-ils ?

Peter Navarro, assistant au bureau exécutif de Mr Trump et conseiller spécial pour le commerce au sein de la Maison Blanche, démontrait dans son rapport sur les élections 2020 publié le 17 décembre l’ampleur des différentes fraudes répertoriées durant les élections du 3 novembre. C’est à dire qu’on avait clairement changé de dimension. Et il concluait son rapport de la manière suivante : « Si ces fraudes électorales ne font pas l’objet d’une enquête approfondie avant le jour de l’inauguration, le 20 janvier, cette nation court le risque très réel de ne plus avoir une élection présidentielle équitable. »

Cette chute laisse sous-entendre une porte ouverte à l’ouverture d’une enquête approfondie même après la décision du Congrès réuni le 6 jusqu’à la date d’investiture du 20 janvier. Ce n’est d’ailleurs pas autre chose que demandait le sénateur Ted Cruz pour apaiser le débat sur la validité des élections.

On a prêté beaucoup de pouvoirs à Mike Pence, président du Sénat, pour effectivement rejeter des listes de Grands Electeurs dans des Etats contestés afin de déclencher d’autres procédures de désignation du vainqueur comme le permet la Constitution des US. Mike Pence a été clair sur le sujet. Il a reconnu ne pas vouloir exercer ce pouvoir. Il est à noter que Mr Trump et Mike Pence se sont entretenus la veille de la convocation du Congrès.

Mike Pence at-il trahi Mr Trump, comme le laissent entendre beaucoup de réactions suite à la décision du Congrès ? Il faut savoir une chose quant au choix du vice-président par le candidat président aux US : Il est choisi pour son soutien sans faille. C’est le premier socle du président élu. Donc, on peut penser, mais c’est une pure conjecture de ma part, que l’affaire était entendue entre Mr Trump et Mr Pence sur l’issue du vote du Congrès.

On nous répète en boucle que toutes les fraudes relevées lors de ces élections présentées par la Trump Campaign et l’avocate Sidney Powell, sont irrecevables par la justice – juges fédéraux, d’Etat, Cours Suprême fédérale et d’Etat. En clair le dossier est vide. Mr Giuliani, ex maire de New York qui a nettoyé la ville de sa criminalité, n’avait certes plus plaidé en tant qu’avocat depuis quelques décennies. Mais pour ce qui concerne Mme Powell, c’est tout autre chose. Ex procureur pendant près de 10 ans, principalement dans l’Etat du Texas avec plus de 500 affaires à son actif – la série New York Police Judiciaire qui passe actuellement sur TMC le dimanche matin vous donnera une approche de ce qu’est un procureur d’Etat – elle est passée de l’autre côté de la justice ensuite sur des dossiers complexes comme l’affaire Enron et plus récemment sur celle du Général Flynn accusé d’intelligence étrangère et déboutée. Cette avocate a promis de libérer le Kraken – un poulpe géant selon la mythologie scandinave capable d’encercler un navire. Ce qui veut dire : Nous avons toutes les preuves pour nettoyer le Deep State des manœuvres des démocrates.

Nous sommes le 11 janvier 2021 à 9 jours de l’investiture de Mr Biden à laquelle Mr Trump n’assistera pas. Mr Trump va se rendre au Texas auprès du mur qu’il a demandé d’ériger pour limiter l’immigration illégale. Probablement qu’il y fera un meeting.

Entre temps, il a rassuré sur une transition paisible du pouvoir sans citer Mr Biden …

Bien à vous !

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,57 sur 5 (7 avis)
Loading...
887 vues

D Trump président atypique, énergumène ou malade mental ?

On aura beaucoup parlé de ce président à la personnalité si spéciale qui a tenté un dernier « coup d’éclat » avec la prise d’assaut, par quelques centaines de ses supporters, du capitole (siège du parlement américain) alors en session pour certifier l’élection de J Biden.

Président improbable, élu à la surprise générale malgré même l’opposition de son propre camp, individu à la personnalité très clivante, D Trump est vaniteux, égocentrique, vulgaire et arrogant .

Pour tout dire, on a entendu et lu à peu près n’importe quoi à son propos et les avis sont aussi excessifs dans un sens que dans l’autre.

Comment alors expliquer cette situation sans tomber dans l’anti-trumpisme primaire dont adore d’ailleurs se délecter la presse bien-pensante et l’élite intellectuelle française ; étant entendu qu’ici il ne s’agit absolument pas de prendre parti pour D Trump ou pour J Biden.

J’ai entendu un commentateur « informé » sur la radio publique d’information permanente dire que le trumpisme et ses avatars étaient du populisme ; mais cela n’a rien à voir avec du populisme.

Le populisme, c’est la référence à un moment de l’histoire romaine (2ème siècle av JC) au cours de laquelle les Gracques (les frères Tiberius et Caius Gracchus), tribuns de la plèbe, tous deux morts de mort violente, ont voulu prendre le pouvoir au nom du peuple contre l’élite sénatoriale romaine.

Concernant D Trump, rien de tout cela. Il a été élu, il a fait son mandat, il a été battu aux dernières élections et il ne veut pas partir car il veut rester président ; et, pour cela, il n’a eu de cesse de manipuler la partie de l’électorat qui lui est favorable, que ce soit dans ses discours ou par le biais des réseaux sociaux.

Il n’agit donc pas en faveur du peuple mais manipule celui-ci dans le seul but de rester président …. Il utilise donc le peuple pour la seule valorisation de son ego. Tout le contraire du populisme !

Le problème est qu’il a réussi à convaincre une partie de son électorat qu’il y a bien eu complot et des fraudes massives et qu’elle a été volée du résultat des élections !

C’est évidemment du complotisme à l’état pur mais il ne faut pas oublier qu’il fait croire, depuis le début de son mandat, à un complot contre sa personne.

En fait, depuis le 04 novembre dernier, D Trump n’a cessé de parler de fraudes pour expliquer sa défaite bien que la justice n’ait reconnu aucun cas de fraude ; ce qui pose quand même quelques questions ; surtout que lors qu’on oppose à D Trump des vérités qui vont contre ses propres thèses, il biaise et oppose d’autres faits …

En fait, Donald Trump n’a eu de cesse de contester la légitimité de l’élection présidentielle et il a alimenté tous les fantasmes de sa base électorale contre son adversaire démocrate. Il porte donc évidemment une grande responsabilité dans les émeutes qui viennent de survenir.

Il a proclamé qu’il ne reconnaitrait jamais sa défaite même s’il promet désormais une transition apaisée, tout en refusant d’assister à la prestation de serment du nouveau président, mais il a fallu pour cela qu’il soit blacklisté par ses réseaux sociaux favoris Twitter et Facebook grâce auxquels il a depuis 2016 abreuvé ses fans de messages vengeurs !

Du fait de son comportement très excessif, il été aussi lâché par son propre camp et par plusieurs de ses ministres qui désapprouvent un comportement considéré pour le moins comme inapproprié, dans l’une des plus vieilles démocraties représentatives du monde.

La thèse du complot apparait néanmoins pour le moins assez peu crédible car aucune procédure en justice n’a pu aboutir à la démontrer, faute de preuve, dans un pays où pourtant la justice est autrement plus indépendante que dans un pays comme la France !

En outre, s’il y avait eu complot, il aurait été particulièrement énorme puisqu’il aurait fallu aussi la complicité des élus républicains eux-mêmes puisque, dans leur immense majorité, ils ont refusé de suivre D Trump sur ce terrain …

Mais, inévitablement, il y a toujours des gens pour croire à ce genre de thèse …

Seulement, aux USA on n’aime pas les dictateurs ou les apprentis dictateurs (d’ailleurs il n’y en eu aucun depuis 1776). Et les Etats-Unis ne sont ni la Chine ni la Russie où des autocrates peuvent se faire « élire » à vie !

Alors, lorsque la presse européenne s’enflamme avec des titres accrocheurs en parlant d’émeutes et de guerre, d’une démocratie américaine qui a vacillé,  il faut savoir que les institutions américaines n’ont jamais été en danger.

Bien entendu, il y en a toujours pour annoncer un futur putsch mais c’est mal connaître les USA que de croire que le président peut ainsi malmener les institutions.

D’ailleurs, Wall Street (bourse de New York) n’a pas tremblé ; signe qu’il n’y avait aucun risque.

Par contre, ce phénomène est évidemment inquiétant dans la mesure où il remet en cause le processus électoral et sème un doute quant à la légitimité du nouveau président.

Alors, D Trump a-t-il « pété un câble » ou y a-t-il autre chose ?

Il y a bien une explication mais elle est strictement psychiatrique et pour la comprendre il faut s’extraire de la relation purement factuelle de la situation américaine.

D Trump est atteint, de manière très visible, d’un trouble de la personnalité qui est expressément visé par le DSM IV, (diagnostic and statistical manual) manuel qui référence l’ensemble des troubles mentaux.

Ce trouble est dénommé trouble de la personnalité narcissique (TPN) et D Trump en est atteint à un niveau suffisamment élevé pour qu’il ne passe pas inaperçu ; ce qui permet même de dire qu’il est un hyper-narcissique !

Attention toutefois, à ne pas confondre cette pathologie avec le pervers narcissique qui porte sur un autre trouble de la personnalité qui est lui aussi décrit dans le DSM. Néanmoins, ils présentent tous deux des stéréotypes de comportement qui permettent de les caractériser assez facilement.

Ce trait de caractère trouve son origine dans la mythologie grecque ; Narcisse étant ce personnage qui s’admirait dans les reflets de l’eau et finit par en mourir.

Le narcissisme fait partie de la nature humaine mais l’hyper-narcissique, qui est aussi un egocentrique-narcissique, se caractérise par une exacerbation de ce sentiment et par une sur valorisation de soi-même et une dévalorisation des autres qui ne sont considérés par lui que comme des outils, des pions manipulables ou encore des faire-valoir.

Il se perçoit comme le centre du monde ; ce que l’on peut traduire par le fait qu’il ne se demande pas ce qu’il peut faire pour les autres mais exclusivement ce que les autres peuvent faire pour lui dans le cadre d’une relation purement utilitaire, unilatérale et sans contrepartie.

Ce schéma peut être poussé très loin car, dans l’esprit de ces personnes, il ne peut pas y avoir d’opposants politiques ou des gens qui ne sont pas d’accord, il n’y a que des traitres à leur personne !

Quand on a compris ce mode de « raisonnement », la psychologie du personnage s’éclaire au regard de ses actes et attitudes.

Se considérant comme étant le meilleur, il était donc objectivement impossible « dans son esprit » que D Trump puisse perdre les élections et s’il les a perdues c’est forcément qu’il y eu un complot et des fraudes dont il a été la victime. La victimisation est un comportement typique de l’égocentrique narcissique qui ne peut expliquer ses échecs que par une trahison à son égard !

Plus prosaïquement, D Trump a subi une immense frustration et une blessure narcissique qui lui est intolérable car il n’imaginait tout simplement pas que J Biden puisse gagner les élections puisque, à ses yeux, il est lui-même le meilleur et le seul à avoir le droit (à ses yeux) d’être président. En fait, D Trump s’est cru propriétaire de la Maison Blanche et il refuse la réalité d’une défaite aux élections. Il préfère se réfugier dans le déni.

Evidemment, D Trump se situe dans la contemplation narcissique de lui-même et dénie à tout opposant, quel qu’il soit, le droit d’être meilleur que lui ; parce que, sans même évoquer ou tenir compte de la personnalité de J Biden, D Trump se place exclusivement sur ce plan là !

Il n’y a donc aucun populisme dans cette attitude, bien au contraire, puisque D Trump n’a agi que dans le sens d’une valorisation de sa personne ; les électeurs n’étant perçus et utilisés que comme des moyens de parvenir à ses fins ! Ce n’est pas, comme j’ai pu le lire, le peuple contre l’establishment, c’est seulement la manipulation du peuple par D Trump dans le seul but de la valorisation de sa propre personne comme il n’a cessé de le faire pendant les quatre années de son mandat.

Car, très manipulateur et n’hésitant pas à mentir, D Trump a su pousser les choses très loin en provoquant des émeutes, lors d’un discours, pour, à n’en pas douter, justifier l’Etat d’urgence et garder ainsi le pouvoir par la suspension des institutions. Mais on sait qu’il n’a pas été suivi par les élus républicains car, bien évidemment, ils savent de quoi il retourne ; même si on n’en parle pas en public !

La conséquence de cet échec est qu’il préfère semer le chaos et « casser son jouet » (son poste de président), tel un enfant colérique, plutôt que de le laisser à d’autres car personne ne doit profiter de son œuvre et de ses jouets ! Fatalement, il est évidemment un mauvais perdant parce qu’il refuse de perdre pour la raison très simple que, dans son esprit, il n’y a que lui qui compte et qui est important ;  les autres ne comptent pas !

Et la preuve la plus éclatante est que D Trump n’a même pas appelé la famille ou rendu hommage au policier tué à la suite de l’assaut du capitole. Il n’a même pas exprimé de regret pour les cinq morts ; ce qui démontre un total manque d’empathie.

C’est, bien entendu, une vision délirante de la réalité mais il faut se souvenir que l’hyper narcissique ne perçoit pas la réalité de manière normale mais seulement par rapport à lui-même ; et comme D Trump  a vu qu’il ne pouvait pas s’opposer ni manipuler les électeurs du fait de son débranchement des réseaux sociaux qu’il a utilisés abondamment, il va bouder dans son coin en refusant d’assister à l’investiture de son successeur !

C’est évidemment totalement puéril … et c’est le vice-président, M Pence, qui se rendra à la cérémonie d’investiture.

Il faut comprendre que l’hyper narcissique a une relation particulière par rapport au monde dans la mesure où il se perçoit au centre du monde et ses attitudes peuvent être totalement irrationnelles parce qu’il réagit (son ego inconscient) aux évènements de manière intuitive et exacerbée ; sans aucune rationalité !

Donnez suffisamment de pouvoir à une telle personne et vous allez assister à des emprisonnements arbitraires voire même à des exécutions car, s’il n’y a personne pour mettre des limites à leurs fantasmes, ils finissent par voir des traitres partout !

On l’a compris, ces personnes vivent dans un monde binaire : ceux qui sont pour eux et les traitres ; ce qui fait d’ailleurs qu’ils ne supportent pas la contradiction, y compris dans le cadre d’une simple discussion, parce qu’ils ne peuvent pas accepter d’avoir tort. Et, en général, quand ils sentent que la situation leur échappe, ils deviennent très vite très agressifs, n’hésitant à pas à proférer des insultes (ce que D Trump n’a pas manqué de faire dans ses débats l’opposant aux autres candidats à l’élection de 2016).

Dernier point, ces personnes ne se perçoivent absolument pas comme ils sont ni même comme souffrant d’une pathologie psychique. Il est donc inutile de pointer du doigt leur comportement car, au mieux, ils se réfugient alors dans le déni et deviennent très agressifs, n’hésitant pas à se lancer dans des torrents d’imprécations dans le cadre d’une stratégie inconsciente d’auto protection.

La question que ne vont pas manquer de se poser certains va être : alors est-il fou ?

La psychiatrie ne répond pas aussi facilement ni aussi simplement à ce genre de question mais si on se place du point de vue de l’opinion ordinaire : Non il n’est pas fou c’est à dire qu’il reste conscient de ses actes.

Par contre, au-delà de sa personnalité qui ne concerne que lui-même et ses proches, son attitude et ses discours auront laissé dans une partie de la population ce sentiment qu’on leur a bien volé l’élection et c’est bien là le problème car on ne peut pas avoir un tel comportement à tel niveau de responsabilité sans que cela ait des incidences sur la population !

Car, il restera dans une partie de la population ce sentiment qu’on leur a bien volé l’élection et c’est le constat d’une Amérique profondément divisée qui s’impose et qu’a tenté d’exploiter D Trump, il faut bien le dire, de manière totalement irresponsable !

Alors, aujourd’hui la presse s’amuse à se faire peur mais une fois que D Trump sera sorti des cercles du pouvoir, il redeviendra un anonyme et il sera vite oublié mais il aura réussi à exacerber une fracture entre deux parties de la population qui en viennent à se détester avec d’une part les électeurs démocrates et d’autre part un électorat républicain marginal et extrémiste qui refuse finalement le jeu de la démocratie.

Au-delà de cette question psychiatrique, je pense que toute la classe politique américaine de Washington qui a côtoyé D Trump a compris tout le côté excessif et inquiétant du personnage. Autrement dit, ils savaient mais ils n’en ont rien dit !

Or, désormais les langues commencent à se délier et à avouer l’inavouable !

Cela peut expliquer aussi qu’ils aient essayé de le destituer pour un motif (intelligence avec une puissance étrangère : Russie) qui ne traduisait pas une réalité beaucoup plus inquiétante à savoir celle d’un président légitimement élu mais présentant des problèmes psychiatriques pouvant rendre la situation ingérable ou même mettre le pays en danger.

Désormais, il va falloir surtout plaindre les proches de D Trump parce qu’ils vont subir pendant longtemps ses imprécations et ses colères.

Bien cordialement à tous !

Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en citer l’auteur ainsi que le site originel de publication.

 

Selon le DSM IV, pour que l’on puisse affirmer qu’il est atteint d’un TPN, le patient doit présenter au moins cinq des symptômes suivants :

-le sujet a un sens grandiose de sa propre importance (par exemple, surestime ses réalisations et ses capacités, s’attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport) ;

-est absorbé par des fantasmes de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté, de perfection, ou d’amour idéal ;

-pense être « spécial » et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau ;

-montre un besoin excessif d’être admiré ;

-pense que tout lui est dû : s’attend sans raison à bénéficier d’un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiquement satisfaits ;

-exploite l’autre dans les relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins (mensonges, chantages, violence verbale, etc.) ;

-fait preuve d’un manque d’empathie : n’est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d’autrui ;

envie souvent les autres, et croit que les autres l’envient ;

-fait preuve d’attitudes et de comportements arrogants et hautains.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 3,38 sur 5 (8 avis)
Loading...
1 014 vues

L’ELECTRICITE, UNE BONNE GROSSE VACHE A LAIT POUR BERCY.

Pour celles et ceux qui n’ont pas encore renoncé à comprendre leur facture d’énergie électrique, cela nous est expliqué avec poésie !

C’est fascinant, une facture EDF : belle comme une page de Verlaine, elle contient presque autant de lignes qu’un sonnet de Ronsard.

À la base, le gros monopole d’État vend des kilowatts/heure et le client, tous les deux mois, paye ce qu’il a consommé.
Exactement comme chez le boucher : je choisis une escalope, il la pèse, je paye le prix affiché et je repars avec une « facture » en réalité un ticket – qui ne comporte qu’une seule ligne.

Alors, pourquoi la facture EDF (ou autre opérateur) est-elle si copieuse et utilise-t-elle un langage aussi hermétique?
On y trouve le prix du kilowatt/heure, entre 7cts et 11 cts en fonction de « l’heure creuse ou pleine “, plus l’augmentation de début d’année de 2, %.
Il faut être conscient d’une augmentation annuelle programmée d’environ 5%
Jusque-là tout va bien.
Les « sur-impôts » déguisés viennent immédiatement après.

D’abord, EDF facture un abonnement ! On se demande bien pourquoi !

Lorsque j’achète l’escalope, je ne suis abonné à rien : j’ai, en face de moi, un commerçant qui vend ce dont j’ai besoin, nous faisons affaire et c’est tout.

Avec EDF, même en quasi-monopole, faut s’abonner !
Et c’est payant bien sûr
et ce n’est pas cadeau :  26 euros par mois, soit 312 euros par an.
Cet abonnement augmente tous les ans de façon exponentielle.
En 2016 l’abonnement mensuel était de 11€. Il a donc plus que doublé en 4 ans !
Puis, arrivent les taxes, donc encore des impôts déguisés.
Ah ! Les taxes…
Le mal français.
La fameuse exception française. https://temoignagefiscal.com/liste-des-impots-et-taxes-en-france-prenez-votre-souffle-et-votre-temps-calez-vous-bien-sur-votre-fauteuil/
Cette liste date de 2018…

Pour enfumer un peu plus, on les a appelés « contribution »
La contribution, c’est plus sympa, ça fait plus « social », pour un peu, on serait heureux de s’en acquitter, alors que la « taxe » …

Cela commence par la TCFE, la taxe sur la consommation finale d’électricité.
C’est quoi, la consommation finale ? Y a-t-il une consommation initiale ?

Personne ne sait pourquoi cette taxe existe, même pas EDF, qui se borne à dire que ce prélèvement est reversé aux collectivités territoriales et à l’État (qui détient pourtant 84,5 % du capital du mastodonte). C’est donc un impôt pur et dur.
Elle augmente environ de 4% par an.

Arrive ensuite la  merveilleuse CSPE, la contribution au service public  d’électricité.
Moi qui croyais ingénument  que je contribuais à ce service en me contentant d’acheter du courant électrique!

Soi-disant, cette CSPE sert, entre autres, à compenser le coût exorbitant auquel EDF s’est engagée à acheter l’électricité des petits malins qui se sont équipés de photovoltaïques ou d’éolien.
En août 2011, elle était de 9 % du coût de la consommation ; en 2016 elle en pèse 21,5 %.

On est parti joyeusement sur la belle voie rectiligne tracée par les taxes sur les carburants.
Puis vient enfin, toute menue, toute discrète, la CTAE, contribution  tarifaire d’acheminement électrique car, contrairement au boucher vendeur d’escalope, EDF vous apporte votre achat à domicile contre la modeste somme de cinquante euros par an.

C’est alors que surgit la TVA.
Sur la consommation elle est au prix fort de 20 %. Mais également sur les taxes !

Sur l’électricité les taxes sont taxées !
À 20 % (CSPE, TFCE) ou à 5,5 % (CTAE)!
 
Et le meilleur pour la fin  :
EDF prélève un pourcentage de tout ceci, 1% , pour son CE (Comité d’entreprise) 

En deux mots sur ma dernière facture d’électricité (Total direct énergie)
Sur un total de 670€ les impôts déguisés représentent 312€ soit quasiment 50%.

L’énergie, électricité ou carburant sont pourris de taxes destinées au final à payer encore et toujours notre pléthore de fonctionnaires…

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (11 avis)
Loading...
1 198 vues

Il y a deux discours politiques possibles

Le premier :

“Je vais vous aider à vous débrouiller.”

Le deuxième :

“Ne vous inquiétez pas je m’occupe de tout.”

J’exclus le troisième, pourtant assez répandu :

“Vous fermez vos gueules et vous faites ce que l’on vous dit, sinon c’est la tôle”, qu’évidemment je réprouve.

Nous ne sommes pas très bien placés pour en juger, distance, méconnaissance du biotope, manque d’information, mais j’avais l’impression que, sous son côté fantasque, Trump faisait partie de la première catégorie. Qui aurait ma sympathie, bien sûr. Mais en revanche le personnage me déstabilise. Sa brusquerie, sa violence, les stupéfiants virages de ses trajectoires, ses enthousiasmes, ses paranos, tout cela éveillait ma suspicion, bien que j’aie rencontré dans mes affaires des personnages de ce type, assez couramment.

Donc, pour résumer, je n’ai pas adhéré à Trump. Est-ce que je le regrette ? Objectivement pas encore.

Mais, ce qui arrive en suivant m’inquiète énormément.

Il est clair que la bande à Obama, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, est du deuxième type. Voir l’Amérique se soumettre à la légendaire escroquerie politique du “ne vous inquiétez pas je m’occupe de tout” me tétanise. Cela renverse ma vision de ce pays.

Il est évident que la formule est un mensonge, avoir pour base un mensonge entraine fatalement à d’autres mensonges, puis au mensonge général comme méthode de gouvernance. Qu’attendre de ce processus ? Que dire de son décalage ?

La population entre au Capitole. N’est-ce pas chez elle ? Bon, elle rentre un peu précipitamment et n’est pas trop bien habillée, soit. Mais est-ce suffisant pour pousser ces cris d’orfraie ? Il me semble avoir vu ailleurs des manifestations bien plus musclées qui n’ont pas fait l’objet d’un tel rejet international, d’une telle stigmatisation. De quoi ont peur ceux qui crient si fort ?

J’ai ma petite idée, parce que pour une fois nous sommes en avance sur les Etats-Unis. Nous le “ne vous inquiétez pas on s’occupe de vous” on connait, on en est même à la suite logique “fermez vos gueules faites ce qu’on vous dit”, la tôle c’est pour bientôt, ça ne va pas tarder, on le voit venir. Nos magistrats sont prêts.

“Je vais vous aider à vous débrouiller” est la hantise des bureaucrates. Non seulement celui qui se débrouille leur échappe, mais sa liberté leur complique la vie. Il est plus facile de diriger mille personnes qui marchent au pas, que les mêmes se baladant librement dans la nature.

Il faudrait expliquer aux américains, avant qu’ils soient amenés à le vivre, que confier sa vie à la bureaucratie est la meilleure façon de la perdre. Pour tout le monde, sans exception.

Dans ce genre de société, où l’on s’occupe de tout pour vous, les forts, dont j’étais, peuvent croire qu’ils sont capables de tirer la charrette et que les faibles en profitent. Enfin, c’est ce qui leur est vendu. Après tout pourquoi pas.

Puis vient le temps où les faibles ne sont pas contents, manifestent violemment leur mécontentement, on leur répond qu’ils veulent toujours plus, les forts acquiescent.

Puis les forts vieillissent, c’est mon cas, à leur tour ils deviennent faibles.

Et là, ils prennent conscience de l’escroquerie.

Ceux qui “s’occupent de tout pour vous” sont des escrocs. Les faibles le paient de leur vie. En réalité les faibles de naissance sont escroqués dès le début de leur vie par ce type d’individus, alors que peut-être il aurait été possible de les aider à se débrouiller.

Leur révolte perpétuelle est légitime puisque ce qui leur a été promis n’existe pas.

Je suppose que la virulence des “scandalisés par la foule pacifique qui s’est répandue chez elle, au Capitole”, tient au fait que cette foule leur parait trop lucide, peut-être difficile à berner demain si elle ne se couche pas dès aujourd’hui.

Ceux qui faiblissent à la fin de leur vie et finissent en EHPAD peuvent témoigner de l’escroquerie dont ils sont les victimes, enfin uniquement les survivants évidemment. On devait “s’occuper de tout pour eux”, ils sont vieux, impuissants, on les achève, dur, dur…

Je n’ai aucune sympathie pour tous ces prometteurs de pacotille, qui prennent tout en charge, mais uniquement dans le discourt, pas dans les faits.

Je soupçonne le Biden d’être de ceux-là.

Nous verrons, et rapidement sans doute.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (14 avis)
Loading...
842 vues

Délation, soupçon, condamnation.

“Délation, soupçon, condamnation”, je propose cette maxime aux frontons de nos bâtiments publics et de notre constitution. Elle est plus conforme à notre réalité que l’abstraite “Liberté, égalité, fraternité” qui ne correspond plus ni à notre vie personnelle ni aux aspirations affichées de notre société.

Comme vous le savez, nos ancêtres ont fauté. Le serpent a séduit cette salope d’Ève qui a convaincu cet abruti d’Adam de manger le fruit de l’arbre de la connaissance. Dieu ne pouvant accepter de partager la connaissance — en tant qu’énarque sans doute — les a virés du paradis.

C’est sur cette jolie histoire que la religion a bâti son empire monstrueux aux dépens de générations sacrifiées.

En clair, la domination passe par la culpabilisation — acceptée par eux — des dominés.

Tous coupables est la devise de la domination.

Aujourd’hui, chacun de nous est coupable, de plus en plus coupable.

Coupable de gagner de l’argent, qu’il doit donc restituer.

Coupable de boire, de manger, de baiser, le tout inconsidérément avec pour conséquence de devoir payer une fortune un outil de santé dont l’activité principale est de lui démontrer que s’il est malade c’est sa faute, que s’il ne l’était pas cet outil de santé se porterait beaucoup mieux.

Coupable de polluer l’air du voisin, ou : “si ce n’est lui c’est donc son frère”.

Coupable de rêver de justice alors que ce rêve a pour conséquence d’encombrer des tribunaux qui seraient si efficaces sans tous ces emmerdeurs de requérants.

Coupable d’avoir envie de tous ces formidables objets que l’industrie a mis à notre disposition, notamment l’automobile, mais qui malheureusement mettent l’univers en grand danger.

Coupable de vouloir avoir chaud l’hiver et froid l’été.

Coupable de vouloir voyager.

Coupable de vouloir vivre librement, selon son goût, ses idées, alors que des êtres supérieurs ont tranché et décidé pour nous ce que doit être notre vie.

Cette culpabilité, dont on pourrait remplir des pages, suppose quelques prémices et conséquences.

D’abord une dette, matrice du soupçon.

Envers ses parents, ses maîtres, ses supérieurs, ses patrons, ses clients, ses voisins, en gros envers la société… donc tous les autres et, depuis peu, envers animaux et cailloux, soleil et volcans, planètes et trous noirs, envers tout, tout, tout. Aussi envers les banquiers et les hommes de l’Etat, ce serait dommage et dangereux de les oublier.

Ensuite la délation.

Cette dette permet aux créanciers, c’est à dire à tous les autres qui s’auto-considèrent — ou que l’on accepte — comme moralement supérieurs, de nous dénoncer auprès des autorités constituées, qui peuvent être n’importe qui ou n’importe quoi.

Suit la condamnation

Elle peut être morale et publique, financière, carcérale psychologiquement ou physiquement.

Ainsi va notre vie, c’est la norme.

La bureaucratie structure ce nouveau pouvoir identique aux précédents, qui dévore la vie du plus grand nombre au profit de quelques-uns.

On peine à découvrir les profiteurs car, contrairement à leurs prédécesseurs, ils se noient dans la masse.

Pas d’accoutrement ridicule, pas de site dédié, ils se connaissent entre eux, nous ne les connaissons pas. Et ceux qui les représentent font tout pour nous faire croire que c’est nous qu’ils représentent. Pas facile d’y voir clair.

Le rêve de l’au-delà et du mystère divin en moins, nos nouveaux prêtres ont beaucoup perdu en folklore. Dommage, à être entubé l’élégance à son importance.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (13 avis)
Loading...
1 216 vues

En France, progrès énergétique rime avec coupure d’électricité

Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’hiver, il fait froid en dépit des alarmes répétées des écolos réchauffistes qui nous annoncent la prochaine ébullition de la terre !

Et, évidemment, lorsqu’il fait froid, la consommation d’énergie augmente …

Gouverner c’est prévoir et, en France, le gouvernement se mêle de tout donc il est responsable de la situation qu’il a lui-même provoquée.

Or, quels sont les messages qui sont diffusés depuis le début de l’hiver : Consommez moins d’électricité car il va y avoir des coupures alors que, ces dernières années, les différents gouvernements nous ont expliqué qu’il fallait absolument faire une transition énergétique avec l’implantation de milliers d’éoliennes et force de panneaux solaires.

On nous demande de réduire notre consommation du fait d’un risque de surcharge du réseau qui pourrait sauter avec un risque de blackout total !

Evidemment, l’administration sait utiliser les arguments appropriés pour renverser les responsabilités car il ne fait pas de doute qu’en cas de problème les français seront rendus responsables des coupures de courant parce qu’ils ne sont pas raisonnables et consomment trop d’électricité …

Il faut dire que cette inversion du langage est désormais habituelle dans les cercles du pouvoir puisque le gouvernement rend désormais responsables les français du développement de l’épidémie de Covid alors qu’il a failli à peu près sur tous les plans et que la campagne de vaccination commence par un véritable fiasco !

Pour toucher du doigt la question je vous invite à consulter le site de RTE qui donne, en temps réel, la consommation d’électricité totale et la ventilation des différentes sources d’énergie.

Si l’on regarde la situation du 08 janvier à 9 h, heure du pic de consommation, on constate :

Nucléaire 62%

Hydraulique 18%

Gaz 11%

Eolien 1%

Photovoltaique 0%

Bioénergies 1%

Et des importations à hauteur de 4800 Mw sur un total de 80.000 afin de compenser l’insuffisance de production car la France, grand producteur d’électricité il y a seulement 30 ans, en est réduite désormais à importer de l’électricité principalement d’Allemagne (où elle est produite avec du charbon) et d’Italie !

Ces données amènent à un quadruple constat :

-Compte tenu de leur efficacité absolument nulle, on peut, sans risque, doubler le nombre d’éoliennes et de panneaux solaires on n’aura toujours aucun courant électrique au bout de la prise murale ! A quoi ces éoliennes et ces panneaux solaires ont-ils servis ? Visiblement à rien !

-Les gouvernements successifs ont sciemment fait en sorte d’organiser la pénurie d’électricité avec des énergies dites renouvelables mais qui sont surtout instables et intermittentes tout en étant extrêmement couteuses !

– On a dépensé des centaines de milliards (dont beaucoup de subventions qui n’ont pas été perdues pour tout le monde) en pure perte alors qu’on aurait pu construire plusieurs centrales nucléaires qui permettent d’obtenir une électricité stable !

– On a fermé la centrale nucléaire de Fessenheim alors qu’elle était encore en état de fonctionner et qu’on savait que la production ne serait pas suffisante en cas de situation de froid (je ne parle même pas de grand froid c’est à dire d’une situation où les températures descendent à -10° comme en 1954 ou 1957) !

Et, parallèlement à la dégradation du service d’électricité, la facture d’électricité s’est envolée puisqu’elle a doublé en 5 ans !

Or, il ne fallait pas être bien malin pour comprendre que la consommation d’électricité allait augmenter parce que la tendance naturelle est déjà à l’augmentation du fait développement de la population mais aussi des appareils électriques ; compte non tenu du fait que le gouvernement nous pousse d’ailleurs vers l’électricité avec l’interdiction des chaudières au fuel et bientôt au gaz pour le chauffage, l’orientation vers l’acquisition de pompes à chaleur, l’achat de voitures électriques qu’il faut recharger.

Vous appelez cela de la gestion ? Moi j’appelle ça du sabotage car le résultat qui va nous être imposé était tout sauf imprévisible !

L’incompétence poussée à ce niveau, c’est tout simplement du grand art !

Il serait donc grand temps que les français se rendent compte que la gestion par notre administration ne fonctionne pas et leur coute très cher !

Pourquoi ?

-Parce que l’administration ne fonctionne pas selon des critères économiques mais selon des critères hiérarchiques,

-Parce qu’il n’y a jamais de responsable en cas d’échec,

-Parce qu’il n’y a jamais de sanction économique en cas d’échec puisqu’il y a toujours le filet des impôts pour rattraper les boulettes ; c’est à dire que vous payez par vos impôts (les plus lourds du monde) les erreurs de l’administration !

Bien au contraire, dans le cadre d’un vaste système de connivence et de copinage, les responsables des échecs sont toujours recyclés (ex Agnès Buzyn qui vient se retrouver un poste à l’OMS après sa gestion calamiteuse de l’épidémie de Covid début 2020)

Dans notre état jacobin ou l’administration est toute puissante et décide de tout, on ne peut que constater l’échec global et répétitif de ce fonctionnement étatique de l’économie et de la société.

Or quand tout allait bien ou à peu près, cela se  voyait peu ; mais, désormais que la situation est catastrophique à tous points de vue, cela se voit et cela se verra de plus en plus c’est à dire que les dysfonctionnements vont être de plus en plus fréquents et de plus en plus graves !

Alors, bien sûr, on nous annonce triomphalement qu’on a une solution : c’est le pilotage qui n’est rien d’autre que du délestage c’est à dire qu’on va limiter, via le compteur Linky, la puissance disponible pour chacun !

Le gouvernement et son administration vont donc organiser la pénurie qu’ils ont provoquée !

Chapeau bas, Messieurs les fonctionnaires, vous êtes vraiment des champions !

Bien cordialement à tous !

Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de la reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...
1 325 vues

La liberté n’est ni une convention, ni un droit.

La liberté est strictement individuelle, toujours acquise sur le dos des autres.

La condition humaine, animale, est une dépendance totale, abyssale, à la nature. Tout dans la nature nous est défavorable. Nous sommes l’espèce la plus fragile, et pourtant…

Nous n’accédons à la liberté, c’est-à-dire à un peu moins de dépendance par rapport à la nature, qu’en installant des écrans entre elle et nous.

Initialement ces écrans étaient tout simplement d’autres hommes : les esclaves.

Ceux qui vantent la liberté des sociétés grecques ou romaines, confondent philosophie et liberté. Ils oublient que les philosophes qu’ils admirent raisonnaient à l’abri du bouclier de l’esclavage qui les protégeait de la nature brute.

Les progrès de la science — liés à l’étrange cerveau humain — ont trouvé d’autres boucliers face à la violence de la nature permettant par exemple de se nourrir, de se déplacer sans risque, de se chauffer ou de se protéger de la chaleur, des maladies, des autres.

Beaucoup ont pu se sentir libres. Était-ce un sentiment réaliste ?

Non, toujours une masse d’homme a payé de sa soumission la liberté des autres.

Le progrès industriel et les libertés conquises par ses initiateurs l’ont été sur le travail des ouvriers et sur le vol plus ou moins admis des matières premières.

Puis vint les progrès du commerce, de l’échange, mondial et accessible à tous, qui a lui aussi permis l’accès à des libertés pour ses opérateurs mais conditionné à l’esclavage des consommateurs et de ceux qui reçoivent les déchets.

Régulièrement les esclaves se révoltent, ils refusent leur rôle difficile de bouclier face à la nature brute, qui protège la liberté de certains. Ils veulent être libres, ils croient benoitement que la liberté est simplement une question de convention.

Evidemment personne ne leur explique que sans eux il n’est pas de liberté pour les autres, que leur liberté ne pourra exister que lorsqu’ils trouveront quelqu’un prenant leur place, si possible sans en avoir conscience.

Aujourd’hui

Les hommes libres sont les bureaucrates

Ils sont une conséquence de la révolte des esclaves de l’industrie, ils sont nés, en leur état actuel, de la croyance communiste liée à cette révolte.

Ils ont exercé leur liberté — illimitée, sans acceptation d’opposition — dans les régimes communistes, créant des millions d’esclaves à leur service.

Ils ont dû composer dans les régimes libéraux et commerciaux, parce que l’activité commerciale a une résilience extraordinaire qui lui permet d’affronter tous les vents contraires. Mais là aussi ils ont réussi à s’imposer.

La bureaucratie a étendu ses tentacules sur le monde, elle impose normes et obligations qui mettent en position d’esclaves les autres hommes.

Le comble étant que dans nos sociétés — dites par erreur libres — les esclaves de la bureaucratie prétendent l’être librement, parce qu’ils ont l’impression de décider de leur sort. Mais être libre ce n’est pas simplement décider, c’est aussi et surtout ne pas subir, décider de subir n’est pas un acte de liberté. Peut-être, sous certaines conditions, un acte de courage…

Le monde entier subit les dictats de la bureaucratie mondiale.

C’est à la lumière de ces réflexions qu’il faut lire la chienlit actuelle des Etats-Unis.

La bureaucratie des Etats-Unis est puissante, le monde de l’économie y est aussi très puissant. Chacun souhaite que l’autre soit l’écran protecteur, l’esclave qui garantit sa liberté.

Tout deux lâchent des coups qui fâchent, jusqu’où iront-ils ?

J’accepte l’idée que l’on puisse m’accuser de mélanger pouvoir et liberté. Effectivement, je revendique cette confusion. Il n’est pas de liberté sans pouvoir, et le pouvoir est le moteur de la liberté.

C’est l’éthique qui seule permet la recherche d’un équilibre raisonnable, s’il peut exister.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,75 sur 5 (8 avis)
Loading...
873 vues

Proposition de plainte pour la CJUE

Je vous propose une première mouture de la plainte que nous envisageons de déposer devant la CJUE (Cour de Justice de l’Union Européenne).

Plainte CJUE – Copie

Merci de nous faire part de vos remarques.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
Loading...
1 149 vues

Gestion du COVID : un immense succès politique

Personnellement, je suis bien incapable d’évaluer si la gestion de la crise du COVID par nos dirigeants est une réussite ou un échec en matière sanitaire.

Par contre je pense qu’elle est un immense succès politique pour l’Etat, c’est à dire l’organisation et les femmes et les hommes qui collectivement exercent les pouvoirs exécutifs, administratifs, législatifs et judiciaires. Trois éléments me semblent en effet dessiner le surgissement d’un nouveau régime politique à leur main.

Tout est interdit, sauf ce qui est permis

Le premier est apparemment le plus anodin : l’attestation de déplacement dérogatoire. Cette petite tracasserie, peu contrôlée mais qui a tout de même permis au Fisc de soulager les Français de plusieurs dizaines de millions d’Euros de contraventions, est un marqueur symbolique fort du changement de nature du régime politique en France. Pourquoi ?

Rappelons le fondement d’un régime dictatorial : tout est interdit, sauf ce qui est spécifiquement autorisé. A la faveur de la Révolution, le peuple français a inversé la norme et exigé la liberté : par défaut tout est permis, sauf ce qui est interdit. Ca change tout !

Jusqu’à Mars 2020, malgré une submersion de lois, règlements et textes qui contraignaient nos comportements chaque jour davantage, le principe de la liberté première demeurait. Depuis, cette attestation faussement anodine a fait son apparition qui acte que désormais tout est interdit sauf ce qui est expressément permis et décrit dans la case cochée. C’est un basculement de sens, le basculement d’une liberté première vers une contrainte première. Elle crée un précédent infiniment perfectible pour instaurer à terme un véritable contrôle social.

L’incohérence, l’arbitraire sont le message

Nous avons tous remarqué l’incohérence des innombrables mesures et règlements destinés à dicter la vie des Français dans le moindre détail. S’en moquer, comme l’on fait certains commentateurs, me semble une double erreur. D’abord parce que, même s’il ne faut jamais perdre notre sens de l’humour, le massacre des libertés fondamentales (économique, mouvement, réunion, manifestation, culte, presse, vie privée, etc.) est gravissime. Mais surtout parce qu’en réalité cette incohérence, voulue ou non peu importe, signifie que l’arbitraire, le fait du prince, est le nouveau mode de gouvernement. Le medium est le message : l’incohérence, c’est à dire l’arbitraire, est désormais la norme.

Le pouvoir législatif s’est couché et a voté une nouvelle fois l’état d’urgence, le pouvoir judiciaire a abdiqué en rejetant tous les recours juridiques, la presse a révélé sa complicité en instaurant un bombardement médiatique hallucinant, au sens littéral du terme. Fin de discussion : le pouvoir de contrainte est total et sans limite, la Constitution, l’état de droit sont, a minima, suspendus.

Une France domine l’autre

Même si nous Français n’en avons pas pris la pleine mesure, il existe dans notre pays deux univers séparés par un fossé qui est devenu gouffre : le secteur public et le secteur privé. A l’occasion de cette crise, le secteur privé a été violemment agressé, notamment par la privation de liberté économique : revenus en forte baisse et taux de chômage en hausse verticale. Le secteur public, lui, n’a même pas été égratigné.

D’ailleurs, vous l’avez peut-être remarqué : quand le Président a fait appel à la solidarité et à l’esprit civique des Français, il ne s’adressait qu’aux jeunes et aux Français du privé. Les élus et le secteur public n’étaient pas concernés, comme si l’engagement, par ailleurs remarquable, de milliers d’hospitaliers dédouanait des millions d’élus et de fonctionnaires de prendre leur part de l’effort collectif.

Le fait qu’absolument personne ne l’ait relevé en 2020 est en soi un basculement. Comme l’inégalité de naissance sous l’Ancien Régime, personne n’ose plus remettre en cause la domination totale de la France publique sur le pays. Un clan a pris le pouvoir et, sans surprise, il s’en sert pour forcer le peuple à faire ce qu’il ne ferait pas volontairement et pour s’approprier leur patrimoine et les fruits de leur travail.

Alors, parenthèse ou basculement ?

Vous pourrez me rétorquer que, certes cette situation est désagréable, mais 1/ qu’elle est une réponse passagère à une crise indiscutable et 2/ qu’elle ne résulte pas d’une intention délibérée. Peut-être, mais peut-être pas.

  • Depuis 2015, nous avons vécu plus de la moitié du temps sous état d’urgence (attentats, gilets jaunes, crise sanitaire). Or, à chaque nouvelle instance, les mesures sont de plus en dures, puis elles deviennent permanentes. « Le coup d’état permanent » qu’était pour Français Mitterrand la V° république ne suffisait plus : nous vivons désormais sous « l’état d’urgence permanent »,
  • L’Etat a déjà annoncé que le prochain état d’urgence serait climatique. A cet égard, on peut légitimement se demander si la crise du Covid n’est pas finalement une simple répétition générale, un test grandeur nature destiné à affiner les méthodes de déstabilisation et in fine d’asservissement du bon peuple de France,
  • L’oppression, au sens premier de gêne respiratoire, que cause le port du masque est désormais imposée aux enfants dès 6 ans. Y-a-t il symbole plus clair de la volonté d’ancrer l’arbitraire et l’oppression dans la durée ?

Y a-t-il une intention dictatoriale ? A chacun son point de vue. Mais la sociologie des organisations nous enseigne que l’objectif de tout groupe dirigeant est d’asseoir un pouvoir toujours plus large et plus inexpugnable. A cette aune, la gestion du Covid par l’Etat est un immense succès politique.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (16 avis)
Loading...
1 131 vues

Un avenir bien sombre pour l’automobile

C’est décidé, le moteur diesel sera interdit (les constructeurs le proposent d’ailleurs de moins en moins voire plus du tout !) et le moteur thermique à essence sera bientôt inutilisable du fait d’une taxe de 20.000 € qui va faire que votre voiture neuve à 20.000€ va vous couter 40.000€ !

Et, c’est décidé, cette taxe va passer ensuite à 30.000 puis à 40.000 € !

Qui peut se permettre, à part une élite disposant de revenus confortables, de payer de but en blanc 20.000€ (et bientôt 40.000€) de taxes pour avoir le droit d’user d’un bien qui vous appartient parce que vous l’avez acheté et payé !

L’alternative sera le véhicule électrique dont on sait qu’il est cher. Là encore, qui peut se permettre de dépenser 50.000€ pour une telle acquisition ? Surement pas un salarié qui gagne 1.500€ ou même 1.700€ par mois (moyenne du salaire français) !

Les constructeurs contournent pour l’instant la taxe par le biais de l’utilisation de subterfuges technologiques pour consommer moins mais ce ne sont que des subterfuges technologiques ; autrement dit des complications technologiques, destinées essentiellement à permettre un passage vis-à-vis des normes qui leur sont imposées.

Bien évidemment, ces complications ont un cout immédiat qu’il faut payer lors de l’acquisition mais aussi décalé parce ces systèmes compliqués vont tomber en panne ; sauf à changer de voiture tous les 2 ou 3 ans ce qui ramène encore une fois à une question d’un cout insupportable pour la majorité de la population !

Car, en fait, la transition écologique provoque surtout une augmentation des prix (le prix moyen d’une voiture passe dans les faits de 20.000€ à 40.000€) avec pour conséquence de fermer le marché aux clients qui n’ont pas les moyens de suivre l’évolution/explosion des prix !

Oh, bien entendu, l’Etat fonctionnaire essaie de masquer cette augmentation par des primes, qui ne sont pas autre chose que des subterfuges, dont le premier effet est de faire payer une partie du prix de votre nouvelle voiture par … les impôts du voisin !

Seulement, cette dissimulation du prix réel trouvera sa fin lorsque l’Etat, à bout de ressources, devra y renoncer…

Il n’est donc pas difficile de deviner que le marché de l’auto va progressivement se contracter avec pour effet de provoquer la fermeture d’entreprises (garages, concessions) et la délocalisation de constructeurs qui n’auront pas d’autre choix pour survivre !

Fatalement, il en résultera des pertes d’emplois mais aussi des pertes de recettes fiscales pour l’Etat sur les ventes de voitures neuves et sur les ventes de carburant !

Au niveau européen, Bruxelles a malgré tout décidé d’enfoncer le clou avec de futures normes Euro7 dont on dit qu’elles seront pratiquement inatteignables par les constructeurs !

Car c’est bien là le problème : vous avez d’un côté des constructeurs qui produisent des richesses au prix d’investissements très lourds et de l’autre des fonctionnaires qui produisent des normes au prix d’une frénésie technocratique et idéologique !

Le problème est que l’accélération des normes est telle que les constructeurs ne peuvent absolument pas suivre une telle évolution parce que les investissements sont trop lourds et ne peuvent pas être rentabilisés sur des périodes aussi courtes !

Ce n’est pas autre chose que l’on constate avec la fusion PSA-FIAT Chrysler ; laquelle traduit l’incapacité des grands groupes industriels auto à faire face aux investissements imposés par une transition énergétique qui ne correspond à aucune nécessité et relève essentiellement d’une idéologie malthusienne …

Les constructeurs n’ont donc pas d’autre solution que de se regrouper pour mutualiser les dépenses ; sans que l’on puisse savoir si cette stratégie sera payante ou pas !

Concernant PSA, il ne serait pas étonnant qu’il se casse les dents sur sa proie, si tant est qu’on puisse dire qui est la proie dans cette opération, alors que des groupes tels que Daimler Benz (Mercedes), beaucoup plus riches, s’y sont déjà cassé les dents et dans des périodes beaucoup plus fastes !

Néanmoins, il faut être conscient que cette fusion n’est probablement que la première d’une longue série car il faut s’attendre à d’autres regroupements industriels de ce type pour … les mêmes raisons !

Car, autant prendre conscience, dès à présent, que l’avenir de ces grands groupes est derrière eux parce qu’entre l’épidémie de Covid qui a provoqué la fermeture des usines et des concessions auto et l’accélération de normes impossibles à respecter, il n’y a en fait aucun avenir pour ces grands groupes qui vont probablement être réduits à une lente chute aux enfers !

Les fusions vont donc s’accélérer car nous ne sommes plus dans une phase d’expansion industrielle dans ce secteur. Ces fusions seront, ni plus ni moins, que des fusions/destruction c’est à dire qu’un constructeur en rachètera un autre pour … l’éliminer !

C’est donc un phénomène de concentration auquel nous allons assister et l’ultime base de repli des constructeurs sera les marchés émergents moins exigeants en normes environnementales mais au pouvoir d’achat plus faible !

C’est finalement toute la chaine économique en rapport avec l’automobile qui va être progressivement détruite en Europe !

A partir de ce constat, l’Etat fonctionnaire, qui va continuer à dépenser sans compter l’argent qu’il n’a pas, va fatalement en être réduit à tabasser ce qui reste à sa portée pour conserver des recettes budgétaires.

Or, quand l’assiette fiscale (le nombre de gogos qui paient) se réduit, on constate, non pas une diminution des dépenses de l’Etat mais un alourdissement de la fiscalité subie par chacun !

Que nous restera-t-il à nous européens ?

Des voitures électriques hors de prix et des voitures  thermiques d’occasion qui vont bientôt valoir de l’or parce que les acheteurs n’auront pas le choix et parce qu’il y aura toujours une demande pour les véhicules d’occasion surtout lorsque l’option va se réduire à un choix entre une occasion assez récente à 10.000 € et une neuve à 50.000 € ou plus !

J’ai entendu un histrion écolo insignifiant (dont je n’ai pas retenu le nom) proclamer que l’avenir était à la mobilité durable …

Au-delà de l’ineptie de ce slogan politique complètement décorrélé de la réalité, il faut prendre conscience que :

  • Si les voitures thermiques sont interdites,
  • Si les voitures électriques sont trop chères à l’achat et à l’usage (avec le problème prévisible de la batterie à changer tous les dix ans sans remplacement possible)
  • Si l’électricité est surtaxée par le biais du compteur Linky parce que l’Etat fonctionnaire doit substituer à la taxe sur le carburant, qui ne se vend plus, une taxe sur l’électricité,

Il faudra alors se préparer à beaucoup de mauvaises surprises ; et je suis convaincu, pour ma part, que nous nous orientons à terme vers une immobilité durable !

Bien cordialement à tous !

licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à condition de le reprendre en totalité, d’en citer l’auteur et le site originel de publication.

 

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (11 avis)
Loading...
1 450 vues

La démesure de la dette

Les hommes – j’allais dire les êtres humains, puis je me suis ravisé, je ne crois pas que les femmes soient atteintes du même mal, sauf celles qui perdent leur sophistication pour singer l’intellect primaire et binaire du masculin – les hommes donc sont les adeptes irraisonnables de la démesure.

Si vous avez un doute à ce sujet achetez le “Guinness world records” et il sera levé.

La démesure peut paraître amusante, faire effectivement l’objet d’un répertoire, mais, plus prosaïquement, elle soumet son environnement à des contraintes inutiles et difficiles à vivre.

Aujourd’hui, la dette de la France est entrée dans la démesure, si ce n’est encore dans le Guinness.

Dépassant, en instantané, 2.000 milliards d’Euros, elle n’inclut pas les engagements pris qui ne peuvent être dédits, comme la retraite des fonctionnaires, les participations mondiales, les cautions, etc…

En 2020, la France pour vivre a emprunté un montant équivalant aux impôts prélevés, soit, pour parler en chiffres ronds, 250 milliards d’Euros.

Donc, conclusion :

Les impôts, rien que pour payer le train de vie actuel de la France, devraient être le double de ce qu’ils sont, et pour rattraper le retard : le triple, voire plus selon la cadence.

Vous ne trouvez pas que cela mérite d’y réfléchir ?

Première question :

Avez-vous l’impression d’avoir donné l’autorisation à quelqu’un de souscrire de tels emprunts ? Dont vous êtes la caution.

Vous aurez sans doute à vous exécuter, je crains que vous ayez de grandes difficultés à vous procurer les conditions prévues lors de votre acte de caution, qui pourrait n’être que le vote auquel vous n’avez peut-être pas pas adhéré, voire pas participé.

Un peu léger pour une telle caution.

Deuxième question :

Qu’avez-vous personnellement retiré de ces emprunts ? En quoi ont-ils changé votre vie ?

Difficile sans doute à définir sans répéter bêtement les phrases toutes faites de ceux qui ont emprunté en notre nom, et espérer que le voisin en a profité, parce que vous probablement pas…

Troisième question :

Savez-vous qui sont les emprunteurs ? Connaissez-vous ceux à qui ils empruntent et sous quelles conditions ?

Savez-vous que vous faites partie des préteurs par le biais de votre assureur, qu’une partie importante de vos primes d’assurances ne sert pas vos risques mais les emprunts de l’Etat, à hauteur de 18% de la créance : soit 45 milliards d’€.

Alors, qu’est ce qu’on fait ?

On ne peut pas continuer comme ça, comme si de rien n’était.

Il y a deux angles d’attaque, avec pour l’acte d’accusation : escroquerie en bande organisée, sur personnes vulnérables.

On peut faire citer à comparaître deux responsables emblématiques, d’un côté le DG de Bercy, de l’autre la DG de la BCE.

L’un répondra symboliquement de l’emprunt, l’autre tout aussi symboliquement du prêt.

Comme chacun le sait, le taux maximum autorisé d’emprunt par rapport aux revenus est de 30%.

La France dont les revenus annuels sont de 250 milliards d’€, n’est éligible à l’emprunt que pour 75 milliards d’€.

Le supplément de 175 milliards d’€ est délictuel, les responsables doivent être recherchés et sanctionnés.

Nul français, en votant, ne peut imaginer qu’une bande d’escroc va abuser de sa confiance et emprunter sans limite, avec pour objectif unique l’intérêt direct ou indirect de la bande en question.

Donc, ces emprunteurs et leurs complices préteurs doivent être appelés à la barre de la Cour Européenne, et sanctionnés.

La constitution doit être révisée, tout emprunt dépassant les fameux 30% des revenus ne pourra, à l’avenir, n’être mis en place qu’après référendum.

Si nous ne faisons pas cela, nous connaissons la suite.

Les français refuseront de payer la facture, mais ils devront alors, comme les allemands en 1930, confier la soutenance de cette défaillance à des voyous, à des individus sans vergogne, sans parole.

Une fois au pouvoir, on sait aussi ce qu’iIs en font, car ils n’ont pas plus de morale pour gouverner que pour effacer des dettes certaines.

Tout cela est très grave.

Comme il faut bien que quelqu’un s’y colle. Nous allons, dans les jours qui viennent, déposer une plainte devant la Cour Européenne, nous vous la mettrons en copie.

Qu’importe si, dans l’instant, elle n’obtient pas de résultat, nous travaillons pour l’avenir.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (12 avis)
Loading...
1 310 vues

Univers probabiliste versus certitudes


Chacun d’entre nous aime à savoir quoi faire de sa journée dans des certitudes, souvent peu préparé à ce qu’un événement « 3i », imprévisible, insurmontable, irrésistible, bouleverse sa vie.

Le principe de précaution inscrit dans notre Constitution plus toutes les normes et les règles qui la phagocytent suit une dérivation mathématique vers le zéro risque et l’éducation soumise qui la projecte.

La première question que l’on peut se poser à ce stade : Est-ce la vie ?

La vie est une expérience pour se heurter à tout ce qui nous entoure, dès qu’elle commence pour chaque individu humain, animal ou végétal. Je laisse de côté le minéral et notre atmosphère qui ont variablement leur propre chimie que nous cherchons toujours à comprendre, car sans ces derniers rien ne serait possible. Ils font partie de notre maison.

Nous, homo sapiens, avec intelligence de créer, de modifier, d’adapter notre environnement pour se répandre par milliards sur notre support par prédation entre nous et nos concurrents sur une Terre hostile prévalant ont pris des risques à bien des arpents de notre histoire.

La seconde question : Le zéro risque est-il un Graal ?

Les humains ne sont pas en reste d’innovation pour bien vivre en société à la tête de la chaîne alimentaire. Ils ont inventé le Communisme et sa déviation par un collectivisme concurrentiel pour une meilleure acceptation des peuples administrés.

Ce collectivisme est d’Etat laïque ou religieux. La croyance est érigée en modèle au détriment de la raison qui était celle de notre siècle et socle des lumières pour individualiser et responsabiliser pour en finir avec la verticalité, pour l’émancipation de chacun, en responsabilité.

Dériver vers l’aucun risque dans notre existence stéréotypée est une hérésie préfabriquée qui va à l’encontre de toute la prospection de la vie. Car un risque zéro traduit en toute objectivité un bénéfice zéro ! Car à quoi bon prendre des risques si tout devient gratuit ?

La troisième question : Le zéro risque peut-il survivre?

La réponse est dans la question et tout ce qui précède. Bien sûr que non !

Quand je suis Trader, je suis face à un univers de probabilités. Ces dernières sont la vie, avec toute leur dose d’incertitudes. Les seules choses que je connaisse sont des repères pour avoir plus raison que tord avec ce que l’on appelle dans notre jargon un Profit Factor favorable en raison de la succession de gains et de pertes essuyées par une gestion pour gagner plus quand j’ai raison et perdre moins quand j’ai tort.

Toute industrie suit les mêmes arcanes, n’en déplaise aux hommes gris qui ont fait sédition et qui n’ont jamais pris aucun risque sauf pour faire carrière pour ne plus en avoir aucun jusque leur mort.

Ces hommes gris ont pris en otage toute l’industrie de notre beau pays pour en faire un servile sous service, façonné pour les nourrir et leurs bonnes œuvres.

C’est la vraie vie qui produit du concret, mais avec forcément du risque.

Bien à vous !

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...
995 vues

Le camouflet aux initiatives de Trump ?

Nous y sommes habitués depuis sa campagne électorale pour entrer dans la Maison Blanche en 2016. Feu nourri à charge depuis les média in situ et en Europe et ailleurs, contre-pouvoirs instrumentalisés, ce que j’appellerais le Marigot de connivences.

Nous connaissons cela parfaitement sise France. Il suffit de relire toutes les campagnes de presse pour adouber tel candidat pour être notre prochain président.

En Trading, nous appelons cela un Trend. Quel est-il ? Haussier pour de la sociale démocratie et limitation des libertés pour capter le modèle Chinois. Dans un Trend, nous avons des progressions supérieures aux régressions. Régression dans le registre veut dire contre-pouvoir. Malheureusement pour nous, nous n’en avons plus beaucoup.

Aux Etat-Unis peut-être ? Leur Constitution permet effectivement des voies de recours, mais qui marquent chacune le pas, car chacun à ses intérêts dans la « City Marigot », pour privilégier sa carrière, ne pas être menacé, ne pas finir en prison pour de longues années à la Dalton. Les Republicans deviennent facilement des RINOs, Republicans In No Name tandis que les Démocrates le deviennent de moins en moins.

Tout est possible pour les Republicans de faire bloc avec Mr Trump par toutes les voies de recours offertes par la Constitution et législature des USA. Mais rien ne se fera selon, car il n’a aucun soutien de la City Marigot.

Notre Jacques Dutronc avait commencé à chanter durant les sixties, « L’opportuniste », ce qui sied à l’ambiance des vents et courants en Trend.

Pour en finir avec ce sujet des dernières élections présidentielles US, j’ai la forte conviction que le dernier templier de nos sociétés occidentales va probablement tomber à 99% de probabilité. Enfin ! Pour beaucoup…

Bien à vous et excellente nouvelle année à vous !

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
Loading...
1 263 vues

Le parlement vient d’infliger un camouflet au président !

Mais pas d’inquiétude, ce n’est pas en France que cela se passe, c’est seulement aux Etats Unis !

Le Congrès américain vient en effet d’infliger vendredi une humiliation inédite à Donald Trump en contournant, à une très large majorité, son veto au budget de la Défense.

Force est de constater que l’homme le plus puissant du monde, du pays le plus puissant du monde, ne peut rien face à des parlementaires et qu’il doit s’incliner !

En effet, la majorité des élus républicains ont joint leur voix aux démocrates, défiant leur chef en fin de mandat.

Ce n’est évidemment pas en France que l’on verrait pareille chose car, ici, cette situation est tout à fait impossible !

Le parlement ne fait rien, ne conteste jamais rien, il se contente d’entériner les décisions prises par l’administration ; en gros il ne sert à rien !

Oh bien sûr, on ose, de temps à autre, quelques audaces pour faire croire à un fonctionnement normal de la démocratie …

Le gouvernement fait alors présenter un texte par des députés (par exemple la proposition de loi sur la sécurité globale qui a tant fait polémique avec son article 24) ; mais c’est en fait surtout le cas lorsque le texte présenté apparaît vraiment trop attentatoire aux libertés publiques.

Le gouvernement en fait alors endosser la responsabilité à des parlementaires suffisamment lâches et complaisants de telle manière qu’il puisse dire : « ce n’est pas nous, ce sont vos représentants » !

Mais personne n’est dupe …

Seuls les sénateurs font un peu d’opposition ; mais essentiellement parce qu’ils ne sont pas du même bord politique mais cela reste très soft et sans aucun danger pour le pouvoir. Le sénat n’a, dans les faits, aucun pouvoir et ne sert à rien puisqu’en cas de conflit avec l’assemblée nationale, celle-ci a toujours le dernier mot !

Vous avez des pays où la démocratie représentative fonctionne, même s’il y a quelque fois des problèmes, et des pays où elle ne fonctionne pas du tout !

Mais, rassurez-vous, cette situation typique de la France n’est absolument pas le résultat du hasard ; c’était délibérément voulu par le général De Gaulle dès 1958 …

Parce que le général en question, qui fait figure de sauveur de la France en 1944 mais qui n’aurait rien fait sans le soutien inconditionnel de W Churchill et les armées américaines, n’aimait la démocratie que lorsqu’elle ne le dérangeait pas dans l’exercice d’un pouvoir autocratique !

En France, la réalité du pouvoir n’est pas exercée à l’assemblée nationale, lieu de la représentation des français, mais bien à l’Elysée et dans le secret des cabinets ministériels ou, au pire, dans le cadre de comités d’experts composés de membres non élus et connus de personne (par exemple ce désormais fameux conseil scientifique chargé de gérer l’épidémie de Covid avec tout le succès qu’on lui connait !).

Parce qu’en France, seule l’élite éclairée est capable de prendre les bonnes décisions et que les français n’ont qu’à obéir ; d’ailleurs ne sont-ils pas des veaux ?

Bien cordialement à tous !

Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,88 sur 5 (8 avis)
Loading...
1 079 vues

Mes prévisions pour 2021

Bon, je vous vois venir.

Mais qui c’est ce mec pour prétendre nous faire des prévisions ? A-t–il seulement une boule de cristal, un jeu de tarot ? Est-il un gourou, un énarque, un prévisionniste ? Un polytechnicien, un prix Nobel ? Non ? Alors de quoi il se mêle ?

Je n’ai aucune réponse à ces questionnements, mais je vais quand même vous donner mes prévisions pour 2021, et nous en reparlerons le premier Janvier 2022. Ok ?

  • 1° – En 2021 la bureaucratie va s’effondrer.

le 9 Novembre 1989 le mur de Berlin s’est écroulé. Certains ont cru que c’était le communisme, qu’ils n’aimaient pas, qui s’effondrait. En réalité c’est la bureaucratie communiste qui se vautrait.

Le communisme est une idéologie, en tant que telle sa vie est éternelle, à la mesure des hommes, il y aura toujours quelqu’un pour y croire et la perpétuer.

Cette idéologie, comme toutes les autres, ne peut devenir réalité qu’au détriment des libertés naturelles. Elle doit donc s’appuyer sur une bureaucratie coercitive, alliée à la force des armes, qui bloque les libertés naturelles. Mais cela ne peut jamais durer très longtemps, ou du moins indéfiniment.

La France est un peu le berceau de l’idéologie communiste, qu’elle a aménagé en égalitarisme, peu différent, lui aussi nécessitant une bureaucratie coercitive paralysant les libertés naturelles.

Les blocages des libertés naturelles sont destructeurs à tous les niveaux, tout particulièrement au niveau économique.

Un jour, inévitablement, ces verrous sautent. C’est fait. Macron l’a dit.

Il s’est réjoui du fait que la science a été capable de mettre en place un vaccin contre COVID en quelques mois. Or ce n’est pas la science qui a fait un exploit, les chercheurs sont capables de prouesses tous les jours, sur tous les sujets, c’est la bureaucratie qui a dû plier bagage et laisser le champ libre aux chercheurs sous la contrainte de l’urgence et de ses propres errements.

Vaincue ici, elle va être vaincue partout. Ce sera en 2021.

Tout simplement parce que pour elle Macron a dû emprunter largement au dessus de nos moyens et que les créanciers exigeront la mort de notre bureaucratie. Son compte est bon. Paix à son âme, ce n’est pas moi qui la pleurerai.

  • 2° – En 2021, le changement va être spectaculaire.

Il n’y a pas de différence générationnelle entre les sociétés. Chaque jour naît le même pourcentage de personnes honnêtes,  droites, compréhensives, tolérantes, jalouses, cyniques, vicieuses, perverses, malhonnêtes, lâches, courageuses, etc…

Le hasard construit des organisations sociales qui appellent au pouvoir, à tour de rôle, toutes ces personnalités, produisant des structures vivables et efficientes ou invivables et  destructrices.

Nous arrivons au terme d’une organisation cynique, hypocrite, malhonnête, corrompue qui va sauter avec la chute de sa bureaucratie.

En 2021, une personne, sans doute une femme, inconnue à ce jour, va se révéler.

Elle sera porteuse tout simplement des libertés naturelles, et elle sera élue en 2022.

Mais elle ne sera que la cerise sur le gâteau, car dès 2021, les êtres entreprenants auront pris le pouvoir, tout comme les chercheurs dans le cadre du COVID, car la pression de l’échec va rapidement exploser la bureaucratie et libérer l’initiative individuelle, les libertés naturelles.

On en reparle donc le premier Janvier 2022.

Bonne année, bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,83 sur 5 (12 avis)
Loading...
1 132 vues