Un dernier mot, monsieur le bourreau ?

Maintenant, Démocraties, vous voilà déshabillées.

Et franchement, quel misérable spectacle que vos corps décharnés, plus nus que nus !

Un homme, une voix !

Soyons francs avec vous ! Il y a déjà bien longtemps que nous autres, le peuple, les populistes, comme vous dites, nourrissions de sérieux soupçons.

Vos maquillages plus ou moins bâclés nous trompaient de moins en moins.

Mais bon, vous aviez la pudeur de conserver certaines apparences, suffisamment en tout cas pour que nous puissions faire semblant d’y croire.

Mais nous imposant vos masques, vous avez jeté les vôtres.

Le slogan « un homme une voix ! » apparaît pour ce qu’il est en effet, un slogan cache-misère.

Car, nous le savons désormais, pour vous, toutes les voix ne se valent pas.

Celles du peuple peuvent être écornées, rognées, et même effacées.

Tandis, que dans le même temps, les voix dominantes peuvent se voir multiplier par deux, par quatre, par plus encore, elles peuvent même être celles de chers disparus, qu’importe ! Preuves filmées, témoignages sous serment… Circulez, rien à voir !

Certains, encore naïfs, se murmuraient entre eux : qu’importe, après tout ! À la fin, les juges jugeront, et tout rentrera dans l’ordre.

Problème : du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest des États-Unis, du haut en bas de la hiérarchie judiciaire, pas trouvé un seul juge ! Pas un seul !

Normal, pensent les majorités de ce côté-ci de l’Atlantique : une histoire américaine, où un personnage, pourtant « vulgaire » et même « grossier », a pu s’imposer, l’espace d’un instant de quatre longues années. Ça n’arriverait pas chez nous : chez nous, les dirigeants sont personnages raffinés et délicats. Bon, c’est vrai que depuis les Américains se sont enfin mis au pas, avec un nouveau président tout plein de qualités et de bonnes manières.

Et puis, autre différence, chez nous, l’espèce juge n’est pas du tout en voie de disparition. Pas de problème de ce côté-là. C’est du moins ce que semblent croire des hommes comme Fabrice Di Vizio, l’avocat du professeur Raoult, qui a répondu à la question : « Que risque votre client des procédures en cours contre lui ? » : « Moi vivant, rien. » Ce qui ne manque pas de panache. Mais panache et réalisme font-ils nécessairement si bon ménage ?

Conviction partagée, peut-on penser, précisément par ce même professeur Raoult, lequel défend dans un entretien : « Non, je ne suis pas inquiet ! Nous sommes dans un État de droit, et in fine, le droit finira par s’imposer ! »

Confiance admirable ! Pas nécessairement partagée par les auteurs et les lecteurs du présent site… d’autant plus que sauf erreur, les juges qui auront à se prononcer sont… des juges administratifs…

Mais parlons d’autre chose, pour en finir. Voilà des années que tout seul contre tout le monde, je démontre les manipulations des spécialistes de « l’économie comportementale ». Des pages de preuves et de démonstrations, de références et de citations, toutes également et rapidement balayées par une accusation de « complotisme »…

Pourtant, nous sommes en train d’assister à un véritable tour de force de manipulation, bien dans la ligne précisément de « l’économie comportementale » : cette question de la vaccination.

La question principale aurait dû être : une vaccination pour quoi faire ? Une pandémie pratiquement sans morts, voire sans vraiment de malades. Des malades qui pris à temps sont faciles à isoler et soigner.

Mais non, répondent les têtus de la pandémie : il n’y a pas de traitement ! Ce qui devient pourtant de plus en plus difficile à défendre. Le seul moyen pour s’en sortir : la vaccination ! Des vaccins dont on ne sait pas grand-chose, sinon ce qu’en disent leurs vendeurs, ce qui n’est pas la meilleure des garanties

– Mais que voulez-vous dire par « s’en sortir » ?

– Justement, « sortir » à nouveau, comme on voudra, sans confinement, sans gestes barrière…

Pourtant non. Heureux ces optimistes, car ils ne savent pas lire. S’ils savaient lire, ils découvriraient que leur vaccin salut diminue au mieux les risques de contracter une forme grave de la maladie. Ni plus ni moins qu’avec les traitements disponibles. Pour le reste, le vacciné pourra toujours se trouver contaminé, puis contaminant. Ou encore contaminé par quelque variant du virus. Et donc plus du tout protégé, différence essentielle avec les traitements.

Donc ce sera vaccin ET prolongation indéfinie des mesures sanitaires en vigueur.

Quant aux effets à moyen et long terme de la vaccination, on verra quand on y sera…

Mais ce débat, l’avez-vous noté : escamoté, vidé de tout contenu, plus personne n’en parle.

Remplacé par un autre : le vaccin, tout de suite, ou plus tard ? Parce que, comprenez-vous, des vaccins, on ne pourra pas en avoir tout de suite pour tout le monde…

Le vendeur vicieux qui veut imposer sa marchandise finit toujours par questionner le client indécis : « Vous préférez payer comment ? Chèque ou carte bleue ? » ou encore « vous préférez la solution emporté ou livré ? », ce qui élimine de fait le débat acheter – ou ne pas acheter.

Et voilà, vaccin aujourd’hui, ou demain, c’est devenu le seul sujet de conversation, les vaccins qui n’arrivent pas assez vite, en assez grand nombre…

Admirable manipulation ! Le débat traitement ou vaccin complètement escamoté. Mais on disserte à longueur de temps le degré de compétence des hommes du pouvoir, qui, très habilement, laissent plus ou moins dire… quant aux marchands de vaccins, ils ont les mains rouges à force de se les frotter de contentement…

Jusqu’à quand ? Jusqu’à toujours. Avec ce virus ou ses variants. Ou ses successeurs.

Sauf si, un jour, les peuples se décident à ouvrir les yeux (pandémie inexistante, traitements parfaitement connus, vaccinations inutiles, aux effets inconnus, et qui ne résoudront rien… et pour finir mesures « sanitaires » aussi inefficaces que parfaitement inutiles) mais pour l’instant, sœur Anne, je ne vois rien venir. Dans une telle situation, à quoi bon débattre, je retourne dans la brume, comme disent les marins.

Nota : ne me demandez pas mes « sources ». Elles restent encore un peu disponibles, quelques instants de recherche suffisent. Mais aucune raison de les signaler plus que cela à ceux-là mêmes qui vont bientôt les effacer.

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4 réflexions sur « Un dernier mot, monsieur le bourreau ? »

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