Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.
J’entends ceux qui me disent qu’une société sans une organisation administrative – que l’on appelle péjorativement bureaucratie – ne peut pas exister.
Il faut bien, disent-ils, organiser la vie en commun, appliquer un minimum de règles, alimenter le souvenir des choses par le classement, etc…
J’avais, il y a quelques années, publié un billet sur la nécessité de l’administration, mais aussi sur le sens vital de son fonctionnement.
J’ai cherché ce billet dans les archives du blog sans le trouver. Cependant, en me plongeant dans ces archives j’ai été stupéfait par deux choses :
– depuis plus de dix ans notre discours n’a pas changé,
– depuis le même temps la situation non plus n’a pas changé.
Peut-on parler d’un échec ?
En termes d’audience probablement. On ne peut pas dire que ce blog ait attiré la foule contrairement aux centaines de milliers de followers de bien des sites pourtant superficiels… enfin… question d’opinion.
En termes de constat sociétal et prévisionnel, je crains au contraire que nous soyons toujours dans le vrai et que le dénouement approche dangereusement, alors que notre but était d’alerter pour éviter justement la catastrophe.
Revenons à l’administration
Dans ce billet enfoui, introuvable, je précisais que la bureaucratie est liée à toute organisation, qu’elle lui est consubstantielle, que sa neutralité s’impose. Mais, si elle s’engage elle ne doit pas le faire du sommet vers la base pour ordonner, mais de la base vers le sommet pour informer.
Dans le monde libéral où la société fonctionne au bénéfice des intéressés ou clients l’administration est à leur service et remonte aux décideurs leurs souhaits ou leurs besoins.
Dans le monde collectiviste où la société fonctionne alors pour plier l’assujetti aux règles éditées par le pouvoir – pour le bien des administrés est-il prétendu – l’administration est au service des décideurs, elle a alors un rôle de coercition, elle redescend les ordres et en impose l’application à la population.
On perçoit que selon le but un sens de fonctionnement se met en place, que de ce sens découle la personnalité et l’usage de l’administration.
Dans nos sociétés, où la pensée collectiviste est majoritaire, l’administration est néfaste aux individus, sans que l’on puisse affirmer en contrepartie une utilité quelconque de sa part.
C’est dans ce cadre que les auteurs de ce blog s’autorisent à critiquer vertement l’administration française.
Ce billet m’amène à mettre sur la table la question de la présentation du blog, en supposant que celle-ci aurait une incidence sur l’écoute dont nous bénéficions.
Il est clair que ce blog s’insurge d’abord contre Bercy et ses pillages, qu’il le fait à partir de faits vrais et vécus, qu’ensuite avec la même méthode il évoque d’autres aspects administratifs.
Ce faisant, il brave la terreur fiscale et peut, à juste titre, faire peur. Notre blog lui-même est constamment l’objet d’attaques ouvertes ou occultes de la part des hommes de l’Etat, plus particulièrement de Bercy et de la justice qui lui est inféodée.
Evidemment, en attaquant plus particulièrement Bercy nous touchons l’outil de la pensée collectiviste qui rend l’administration néfaste, son moteur, ses officiants meurtriers.
Si nous décidions de ne plus axer notre blog sur Bercy, de l’ouvrir à une simple réflexion politique, les choses seraient sans doute plus simples.
Mais alors nous rejoindrions la masse des débatteurs, cela nous donnerait peut-être une dimension électorale, mais pourquoi faire ? Si dans le même temps nous relâchons la pression sur le cœur du réacteur, sur la machine infernale et ses collabos.
J’ose espérer que notre sacrifice est utile, quel qu’en soit le coût… même si aujourd’hui il peut paraitre excessif et dangereux.
Bien à vous. H. Dumas
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Face à deux problématiques dont le point commun est la gestion d’une situation délicate, la même méthode donne les mêmes résultats.
A Kaboul des croyances claniques et religieuses d’un autre âge se superposent à l’intérieur des frontières d’un territoire riche en matières premières non exploitées. On comprend, dans une ambiance mondiale de “manque”, les concupiscences sous-jacentes qui agitent la région.
COVID exacerbe le spectre de la mort distribuée au hasard. Situation propice aux escrocs de tout poil, faiseurs de solutions miracles. Concupiscence ici aussi.
En résumé deux situations qui ne peuvent pas se dénouer seules ou individuellement, qui demandent donc une organisation minimum, une ligne de conduite morale, une adaptabilité de tous les instants, donc de l’intelligence et de l’ouverture d’esprit accompagnées d’une sélection juste des meilleurs.
Au lieu de cela, dans les deux cas, l’administration prend le pouvoir.
A Kaboul un intellectuel, formé au cynisme des chiffres aux Etats-Unis, est installé et applique la méthode administrative occidentale.
Pour Covid, même méthode administrative.
Le pouvoir administratif est règlementaire. Ses règlements prennent appui sur des chiffres qui viennent toujours corroborer une logique de protection de l’acquis obtenu par l’appartenance et non par le mérite.
Rapidement le système se déconnecte de la réalité et plonge dans la corruption, à minima intellectuelle le plus souvent bassement matérielle.
A Kaboul la corruption a battu tous les records, alimentée par la fausse monnaie mondiale, jusqu’à payer une armée de cinéma, fantoche, suréquipée, vaincue par des pétoires et des mobylettes préhistoriques.
Pour Covid la corruption est plus perverse, plus littéraire. La médecine libérale, vendue, s’est largement inclinée face au dicta de l’administration qui, au lieu de tenter de soigner, a compté publiquement les morts censés lui donner raison d’imposer un vaccin qu’aujourd’hui M. Alain Fischer – M. Vaccin – reconnait inefficace.
Alors qu’une partie importante de la communauté scientifique prônait, face à cette maladie inconnue, le pragmatisme, le soin immédiat s’améliorant dans le temps, puisque les mutations étaient largement prévisibles. Elle n’a pas été entendue, elle a été ostracisée.
Les méthodes du pouvoir administratif sont simples et assimilables à une croyance.
Les croyances sont la plaie de l’humanité, l’exact inverse de la vérité.
Samuel Huntington a intitulé son ouvrage “Le choc des civilisations”, il eut été plus judicieux de titrer “Le choc des croyances”, tant, si nous n’y prenons garde, celles-ci dictent notre vie à travers les rites, les coutumes, les habitudes qui finissent par nous servir abusivement de réflexion, d’intelligence.
Mondialement l’administration est identique, elle promet la protection en échange de la servitude, refrain connu… Elle fonctionne par interdit, elle se structure par l’appartenance au détriment du mérite, elle dirige des assujettis, elle ne reconnait aucun client, elle a donc tous les droits mais aucune responsabilité de résultat.
Elle assoit son discours sur la manipulation des chiffres, qui est la base de sa propagande.
Le résultat
Il est très simple et systématique.
Décérébrée par la propagande administrative, la population accepte sa mise en esclavage jusqu’à un point de non-retour matériel où alors elle se révolte.
Mais, entretemps, l’administration aura eu raison des meilleurs, des méritants, déstabilisés par la sélection liée à l’appartenance et non au mérite, aux résultats. En France par exemple, l’Education Nationale, filiale directe de l’administration, a dérouté non seulement ceux qui pourraient exister sans elle, mais aussi ceux qu’elle forme en leur faisant croire qu’ensuite leur mérite sera apprécié alors que seule leur soumission au dogme vaudra.
Arrivée au point de non-retour, ses meilleurs éliminés, la population n’a plus comme option que de se jeter dans les bras des extrémistes, qui sont des croyants identiques à l’administration honnie, en pire.
On aimerait retrouver Voltaire et les siens, mais ils ne sont pas une génération spontanée, ils sont le fruit d’un millénaire d’esclavage, d’abus de croyance. Notre nouvelle religion administrative n’a pas cet âge vénérable qui permet non seulement le doute mais aussi la construction intellectuelle de l’antidote.
Comment dit-on Gilet Jaune en Afghan ? Taliban ?
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Quels points communs entre KABOUL et COVID ? Tout."
Vous avez probablement entendu parler des conclusions cataclysmiques du dernier rapport du GIEC à propos de l’évolution du climat.
La presse s’en est fait complaisamment l’écho surtout en cette période estivale pendant laquelle fleurissent les marronniers …
Je vous le rappelle que les marronniers sont ces articles intemporels (sur la vie d’untel ou sur les régimes alimentaires) que l’on glisse dans les journaux pour … meubler puisque les rédactions sont en équipe réduite du fait des congés annuels …
Et comme d’habitude, cette presse tend à reprendre les informations (dépêches d’agences) telles quelles ; sans les vérifier (ce qui est principe le travail de base du journalisme) ni esprit critique (pourquoi se fatiguer).
Fatalement, cette presse se fait le propagandiste des « informations » publiées quand elle n’en rajoute pas elle-même une couche … histoire d’en renforcer l’aspect spectaculaire.
Le journal LE POINT, vient d’en donner à deux reprises l’exemple en exploitant sans vergogne le coté spectaculaire d’images choc ou d’arguments présentés comme non contestables.
Le premier article utilise, comme illustration, une falaise avec une maison sur le point de basculer dans le vide, (les autres journaux ont utilisé des images d’incendies).
L’incrustation sur l’image est sans équivoque
« Les activités humaines sont à l’origine du changement climatique, c’est indiscutable et l’influence humaine rend plus fréquents et plus graves de nombreux évènements climatiques extrêmes et plus particulièrement les vagues de chaleur, les évènements de pluie torrentielle, et dans de nombreuses régions les sécheresses… »
En plus, ça tombe pile poil avec la canicule en Grèce, en Turquie ou en Californie (et les incendies) … après les inondations en Allemagne et en Belgique.
Ou comment faire coïncider des évènements météorologiques (quoique les incendies, qui ont toujours existé, ne soient pas un évènement climatique) avec une théorie qui n’a jamais été prouvée !
Et pour être sûr que vous avez bien compris, on vous met une photo d’une maison proche de s’effondrer avec la falaise qu’elle surplombe.
Le coup de la falaise est spectaculaire mais malheureusement pour leurs promoteurs, faux !
Ce phénomène est connu depuis au moins cent ans à l’ile de Wight. Cette ile du sud de l’Angleterre est située en face des côtes françaises (du Cotentin) qui connaissent le même phénomène.
Seulement, cela n’a rien à voir avec un pseudo réchauffement climatique mais avec :
-les marées lesquelles sont en rapport avec la position de la lune par rapport à la terre,
-la configuration géographique,
-la nature des falaises (c’est de la craie autrement dit du calcaire, friable et fragile).
Il se trouve qu’en Manche, se produisent les plus fortes marées d’Europe avec des différences de niveau entre marée haute et marée basse de plus de 10 m (ce qu’on appelle le marnage) ; ainsi que les courants les plus forts d’Europe !
Qui a navigué en Manche sait ce que cela signifie lorsque des courants atteignent 10 nds (soit 18 km/h) et que l’on navigue à reculons !
Si vous allez à Wight, vous verrez effectivement ces maisons qui finissent par tomber dans le précipice ; ce qui prouve simplement que la falaise recule sous l’action des courants marins.
Et, elle recule depuis des centaines d’années !
Quel rapport avec le réchauffement climatique ?
En l’espèce, aucun !
Rapport de la photo avec l’argumentaire développé ?
Aucun !
Mais on nous répondra, avec une parfaite mauvaise foi, qu’il s’agit simplement d’une image d’illustration … oui mais alors pourquoi ne pas prendre une image qui dit l’inverse ?
Et LE POINT enfonce le clou avec un deuxième article qui affirme :
Le mois de juillet 2021 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre, a indiqué l’Agence nationale océanique et atmosphérique américaine (NOAA) ce vendredi 13 août. Le changement climatique a son rôle à jouer dans ce nouveau record.
Sauf que cette affirmation est encore un mensonge car il contient une déclaration erronée. « le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre »
Car, depuis quand fait-on des relevés de températures 1879 (Le journal glisse quand même que les relevés ont commencé il y a 142 ans sans donner de date ce qui nous fait 1879).
Quel est l’âge de la terre ? 12 à 15 Milliards d’années !
Que représentent 142 ans à l’échelle de la terre ? Rien absolument rien !
Le biais statistique est évident !
Agiter la peur, manipuler l’information est d’autant plus facile que l’homme, conscient de sa faiblesse et de sa fragilité, a toujours eu peur de l’avenir ; et les problèmes météorologiques ont été pendant très longtemps un grand souci de l’humanité pour des raisons bassement matérielles : il fallait survivre !
Si vous lisez l’histoire de France, vous apprendrez que sous le roi Clotaire 1er , roi mérovingien issu des francs qui ont conquis la Gaule et qui vivait au VIème siècle, on faisait déjà état de pluies anormales, d’un temps froid tard dans la saison, puis d’une chaleur anormale en septembre provoquant une deuxième floraison des arbres fruitiers… et à l’époque on ne parlait pas encore de changement climatique mais on parlait de mauvaises récoltes, de famine, d’épidémies et de surmortalité car cela impactait directement des populations qui n’avaient ni nos moyens de protection et de stockage ni nos moyens médicaux.
Et encore, savez-vous qu’au début des années 1900 on faisait, certains hivers, du patin à glace sur la Seine ?
Et le fameux hiver 54 qui a vu la naissance médiatique de l’abbé Pierre ?
Alors que la moindre chute de neige prend aujourd’hui les allures d’un drame national ?
Il y a toujours eu des catastrophes naturelles et il y en aura toujours mais établir un lien aussi affirmatif entre une évolution climatique et des catastrophes naturelles (qui relèvent de la météorologie) relève de la désinformation voire même de la propagande éhontée !
Les épisodes très pluvieux (voir le début de l’été en France) comme les canicules (été 1976, occasion pour le gouvernement d’inaugurer un impôt sécheresse) ont toujours existé et ce sont des phénomènes météo, pas des évènements climatiques car ils sont seulement ponctuels !
Un organisme comme le GIEC qui est une annexe de l’ONU ne justifie ses plantureux budgets que parce qu’il communique des informations inquiétantes. S’il disait « tout va bien » on jugerait qu’il est inutile et on le fermerait !
Et c’est la même chose pour toutes les ONG telles que Green Peace.
Il faut faire peur pour avoir de l’argent, des crédits !
On se rappelle ces photos chocs avec l’ours polaire décharné dérivant sur son glaçon (on suspecte le photo montage), ces manchots sur un ilot de déchets en plastique (là c’est sûr, c’était un photomontage) et maintenant on continue avec des falaises qui s’effondrent pour des causes totalement étrangères …
Et à force de le répéter, on finit par convaincre les populations !
En plus, ces organisations sont le plus souvent noyautées par des crypto-marxistes qui veulent juste la destruction du capitalisme (qui « épuise la Terre ») ; cause, selon eux, de tous les maux !
Seulement on oublie au passage de signaler que toutes les prévisions du GIEC se sont avérées fausses quand il ne s’agissait pas de manipulations pures et simples (tout le monde a oublié la fameuse courbe des températures en forme de crosse de hockey qui s’est avérée être une manipulation – même le GIEC a été obligé de le reconnaître) !
On se situe dans des ressorts qui tiennent plus de la religion que du raisonnement scientifique avec la menace de l’apocalypse (voir la Bible et ses quatre cavaliers de l’apocalypse), la fin du monde et ses saints (sainte Greta).
Il faut frapper l’opinion et ça marche surtout quand le GIEC nous annonce, froidement si j’ose dire, la fin du monde pour 2050 !
Le monde n’a jamais manqué de ces prévisionnistes cataclysmiques que ce soit aux alentours de l’an mil (les millénaristes annonçaient rien moins que la fin du monde avec leurs cortèges de flagellants) ou dans les années 1970 avec le Club de Rome qui nous prédisait un monde sans pétrole, sans eau, la surpopulation et la famine (voir le film soleil vert avec Charlton Heston) avec le sous-entendu d’arguments à caractère eugéniste (il y a trop de monde sur Terre).
Désormais, nous avons aussi les épidémiologistes qui se tirent la bourre avec les climatistes !à coup d’annonces anxiogènes !
Seulement, toutes ces prévisions se sont avérées fausses même si, argument fatal, on n’hésite pas à vous affirmer : « vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous avait pas prévenus » !
Savez-vous que la fin du monde est inéluctable puisqu’un jour le soleil finira par s’éteindre rendant la vie sur Terre impossible ?
Vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous avait pas prévenus !
Bien cordialement à tous !
Απο την Ελλαδα – Λερος (De la Grèce – Leros)
Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.
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Elle engage un combat perdu d’avance dans l’état actuel de l’opinion publique.
Sa carrière est impressionnante, son intégrité ne fait aucun doute, sa sincérité non plus.
Je ne connais rien au Karaté, mais je connais beaucoup en ce qui concerne la résistance à un pouvoir pervers, corrompu.
Que lui dire ?
D’abord qu’elle se trompe. Elle n’est pas face à un pouvoir politique qui interfèrerait dans sa carrière, elle est face au pouvoir administratif qui, ici comme ailleurs, finit par croire que c’est lui qui fait et défait les compétiteurs. Les politiques, que maladroitement elle accuse, sont dans la même situation qu’elle, dépendant totalement du pouvoir administratif.
L’opinion publique est soumise à l’administration qui fait étalage de compétences en tout, usurpées pour la plus grande part, irréelles, simples fanfaronnades.
L’administration a convaincu la population — et elle-même –, que notre société lui doit tout. Elle est dans la position de la tique qui prétendrait que le chien est sa création puisqu’elle peut le rendre malade quand elle veut.
Alors qu’elle doit tout à la liberté d’entreprendre qui a suivi la dernière guerre mondiale, à la mondialisation de l’économie dont elle n’est qu’un parasite, à la richesse que cette mondialisation a permise. Elle s’est contentée de piller les acteurs de cet élan de progrès au motif d’une meilleure répartition, en réalité pour organiser son pouvoir.
Cette administration perd de vue l’humanité de ses champions et pense qu’elle trouvera toujours des champions qui se soumettront, l’opinion publique est totalement inconsciente de cette situation.
Gwendoline va être mise au banc de son sport, personne ne la défendra. Dans ces conditions elle va perdre l’assurance qui lui est nécessaire pour performer, elle va se laisser fatalement entrainer dans la polémique qu’engagera l’administration — donc la fédération de son sport — elle y perdra son énergie, son équilibre face aux fausses accusations, aux fausses analyses, aux fausses croyances qui altèrent la vérité.
Et pourtant, elle a raison. Totalement raison.
Peut-elle espérer que l’opinion publique actuellement secouée dans sa croyance en l’administration publique change de paradigme ? Qu’elle se débarrasse de ses élites administratives et fasse confiance à ses champions, en toute chose ?
Pour moi, qui vit le même drame qu’elle, pour nombre de ceux qui lisent ce blog et sont dans la même situation, je crains que cette mutation, si elle arrive, arrive trop tard. Pour elle aussi.
Une seule solution, changer de pays.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Gwendoline Philippe : chapeau…"
Tous ceux qui se sont mêlés à la vie publique française au cours des dernières décennies peuvent faire le même constat : rien n’a jamais marché.
Sous le mot de « rien », j’englobe toutes les démarches visant à améliorer le fonctionnement de l’Etat, de l’économie, de la société.
Ce ne sont pas pourtant les initiatives qui ont manqué. Toute personne active dans l’un de ces domaines peut en citer des dizaines, voire des centaines. Et rien n’a jamais marché !
On peut bien évoquer ici ou là une petite amélioration à la marge, mais partout et toujours les problèmes sont restés massifs et entiers. Alors faut-il invoquer une malédiction française ?
Alain Peyrefitte a publié en 1976 un brillant essai intitulé « Le Mal français ». Il n’a rien perdu de son actualité ni de sa lucidité. Mais un essai reste un essai. Ce qu’il préconise ne prend corps que par l’action. En l’occurrence l’action ne peut avoir qu’un caractère politique. Mais la politique peut s’entendre de plusieurs manières fort différentes. Il y a la politique traditionnelle, qui passe par les partis et les élections, et il y a la politique de la société civile, qui se décline pour l’essentiel en manifestations de protestation et parfois en actions révolutionnaires marquées par la violence. Ces trois types de politique ont tous échoués depuis 1945. Cela fait donc aujourd’hui 76 ans. La durée d’une vie humaine.
Ce constat nous conduit à penser que ce qui a duré une vie ne peut se perpétuer que s’il correspond à une réalité ancrée au plus profond de l’âme collective du peuple et de la nation.
Résumons-nous : les Français sont-ils profondément attachés au « mal français » et si oui, de quelle manière ? Répondre à cette question, c’est tracer les voies de l’avenir.
Je suis tenté de me contenter d’un simple jeu de mots. Les Français sont attachés au « mal français » non par l’affectio societatis mais par des cordes et des menottes. Autrement dit, nous n’acceptons pas collectivement l’organisation de la société française, mais nous la subissons. Quelle est donc cette force qui nous tient prisonniers et qu’aucun effort ne parvient à vaincre ? Ma réponse est la suivante : c’est la peur !
Oui, la peur. Personne, en France, depuis 76 ans, n’est parvenu à renverser l’Etat, qui détient, comme en toute démocratie, le monopole de la violence et qui en use et en abuse dès qu’il est mis en cause. Et si personne n’y est parvenu, c’est parce que les assauts ont été menés par des dirigeants peu capables, qui n’ont pas réussi à constituer des coalitions populaires aptes à vaincre la peur.
Face à la violence d’Etat, il ne peut y avoir que deux méthodes : une violence supérieure ou la ruse. Tous ceux qui se sont essayés à la violence ont échoué parce que l’Etat français peut compter en fait sur une triple violence : la violence judiciaire, administrative et policière. Il est vain de l’affronter par la violence physique, car à moins d’une masse suffisante, il est impossible de l’emporter. Il ne reste donc que l’affrontement administratif et judiciaire.
Sur ces derniers terrains, le combat peut être victorieux, à condition d’être mené par des personnes détenant une qualification au moins égale à celle des personnels d’Etat. C’était d’ailleurs la thèse de Benjamin Constant qui ne voyait le succès d’une révolution que dans le fait que ses chefs soient issus du même milieu que ceux qu’ils combattent.
Il se trouve que la plus grande fragilité de l’Etat abusif réside dans les principes qu’il viole. C’est donc sur ce terrain qu’il faut l’affronter. Et on peut être certain qu’à un moment ou à un autre, quelques serviteurs de l’Etat, choqués de devoir violer les droits de l’homme et du citoyen, finiront par baisser les armes, ouvrant une brèche décisive dans le mur de l’injustice.
C’est ainsi que les portes blindées et les chicanes de l’Etat seront enfoncées par la masse qui se sera engouffrée derrière les chefs inspirés de la contestation démocratique.
La peur ne peut être vaincue que par le bon droit. Celui qui vous élève au dessus de vous-même et vous porte vers l’absolu. Les peuples qui se sont libérés étaient emplis de la certitude d’avoir raison au regard de leurs principes et de leur histoire. Le peuple français ne fera pas exception à la règle. Préparons-nous !
Claude Reichman
Partager la publication "L’Etat vacille, préparons-nous à la liberté !"
Ceux qui pensent qu’un Président de La République peut agir, influer leur vie positivement, sont les victimes de la grande escroquerie intellectuelle dite de “l’homme providentiel” ou du “grand homme”.
Un réflexe qui vient sans doute du fond des âges, qui mélange, encore une fois, la part individuelle et la part collective de chaque être humain.
Ce mélange fortuit ou prémédité, naturel ou manipulé, est un drame endémique.
L’affaire du contrôle technique des deux roues est exemplaire.
Des fonctionnaires inoccupés de l’administration européenne cherchent logiquement dans leur espace d’intervention abscons des sujets où introduire des parcelles de règlementation à peu de frais pour eux mais aux contraintes assurées pour leur assujettis.
Chaque petite contrainte supplémentaire mise en œuvre assoit leur pouvoir, augmente la soumission irréversible de la population, permet de l’encarter davantage au profit de Big Data.
Entre deux tasses à la machine à café, entre deux bouffées lors de la pause cigarette, l’un de ces fonctionnaires se dit : “Le contrôle technique des voitures marche comme sur des roulettes, à tous points de vue : financier, création d’emploi, surveillance des véhicules et des propriétaires, alimentation du Big Data, etc…
Pourquoi ne pas faire la même chose pour les deux-roues ?”
Bingo, génial lui dit sa hiérarchie.
Aussitôt dit, aussitôt fait, la circulaire est pondue. Les bons élèves européens adhèrent immédiatement.
Pas la France, chatouilleuse du côté motards, vite en colère.
Oui mais, l’administration c’est l’administration… en France comme ailleurs.
De rouage en rouage, la circulaire européenne roule sa bosse administrative chez nous, puis un peu comme au Loto elle finit par tomber, au hasard, de la boule du tirage.
Personne ne maitrise le hasard des décisions administratives, surtout pas le Président de La République dont l’unique activité est de se montrer, de réciter ce que lui disent ses conseillers et de se précipiter en tout lieu où il est convenable qu’il soit vu.
Macron apprend, comme vous et moi, par la presse qui elle n’y voit aucun mal, l’existence de la circulaire obligeant les deux roues au contrôle technique.
Quand je découvre la circulaire, je me dis : “Putain, ça va pas le faire.”
Les motards qui rejoignent immédiatement les contestataires COVID, c’est la totale insoluble pour les forces de l’ordre. Samedi c’est le carnage.
Macron se dit la même chose.
Adieu circulaire et contrôle technique des deux roues. Intensification du gag du pouvoir sage, utile, plein de bon sens.
Moralité
Je ne sais pas si le vaccin protège de la grippe, mais si la prétention des hommes de l’Etat à se mêler de notre vie personnelle continue à s’intensifier, nous serons tous vaccinés contre l’étatisme. Merci Pfizer et compagnie.
Au passage, merci les motards, seriez-vous les seuls survivants de la liberté qui font peur aux escrocs prétendant représenter un Etat qui n’existe pas.
Conclusion
Ne perdons pas de vue que notre société c’est nous, que nous c’est tout : le pire et le meilleur. Tout se joue lorsque nous plaçons notre confiance : dans le pire ou dans le meilleur.
Pour ce qui concerne nos besoins collectifs, ils seront gérés par ceux à qui nous confions leur gestion.
Actuellement nous confions cette mission à des gugus, des charlots, voire des escrocs, il est urgent de modifier nos critères de sélection.
Mais aussi, comme les hommes sont imprévisibles, de cantonner à l’essentiel l’action collective, de laisser la plus grande part possible à l’initiative et à la liberté individuelle.
L’affaire du contrôle technique des deux-roues est exemplaire de l’impuissance structurelle du figurant habitant l’Elysée, Macron ou autre. Que fait-il là ?
Il est loin le temps où les hommes du pouvoir le prenaient pour rendre service. Si toutefois ce temps a existé. S’il n’est pas une vue de l’esprit, une légende de l’histoire pour éviter une désespérance qui pourrait être fatale à l’humanité.
Aujourd’hui nous constatons que les hommes du pouvoir politique en France, appelés les hommes de l’Etat, exercent leur pouvoir professionnellement. Ils en ont fait un métier.
Mais ils ne considèrent pas que ce métier ait des comptes à rendre à chacun de nous. Ils ne nous considèrent pas comme des clients de leur profession ayant le droit de critiquer voire de ne pas acheter leur produit, mais comme des usagers de leurs services, des assujettis, à qui ils ne rendent des comptes que globalement et périodiquement.
Cette vision de leur activité a fini par dénaturer complètement les rapports entre eux et nous.
Nous sommes les usagers d’un service à la personne qui n’existe pas, pendant que les professionnels de la politique prennent leurs bénéfices en nous déniant le statut et les droits de clients.
Nous voici assujettis à les payer alors qu’ils n’ont aucun respect pour nous en tant qu’individus, qu’ils ne sont pas tenus aux résultats de tout professionnel.
Nous ne sommes qu’un pion esclave de leurs décisions globales qui visent exclusivement leurs intérêts et ceux des fonctionnaires qui les servent sans lesquels ils ne seraient rien.
Cette réalité demande une organisation et une propagande aujourd’hui bien réglées, diffusées à l’école et dans la presse, que globalement les Français acceptent intégralement.
L’organisation
– Pour installer la croyance et l’imposer, il faut un ennemi imaginaire, qui fait peur, que l’on déteste de ce fait naturellement. Ainsi pour faire croire à leur utilité, les hommes du pouvoir ont diabolisé l’économie, qu’ils ont intégralement soumise, à leur bénéfice. Le résultat a été à la hauteur de ce kidnapping scandaleux, c’est-à-dire la plus grande faillite de tous les temps en cours de développement.
Une chance pour eux, qui détourne l’attention : COVID.
COVID fait naturellement peur, il suffit ensuite de se prétendre capable de terrasser COVID, de stigmatiser ceux que cette prétention fait sourire, le tour est joué, le pouvoir conforté.
– La division est l’outil naturel de l’homme du pouvoir, elle affaiblit la masse sous influence et par la même les concurrents que cette masse pourrait générer.
La division s’entretient et se sublime par la délation. Le délateur est l’allié indispensable à tout pouvoir. Plus le délateur est flatté ou sollicité, plus on peut considérer que le pouvoir cherche à s’imposer.
Bercy connait la musique à ce sujet, mais la médecine aujourd’hui n’a rien à lui envier avec COVID et la délation généralisée installée en son honneur.
– l’unicité de leurs solutions, évidemment prétendument réfléchies, est une évidence pour les hommes de pouvoir. Non seulement rien ne doit entraver la mise en œuvre de leurs solutions, mais les résultats doivent impérativement démontrer que leurs solutions étaient les seules possibles.
Bercy, aujourd’hui en coma dépassé, a longtemps eu cette prétention d’infaillibilité dans le cadre de l’économie, du partage obligatoire prétendument productif.
Aujourd’hui c’est la médecine qui reprend le flambeau, qui avale le fait qu’elle n’est pas capable de soigner que seule l’industrie médicamenteuse le peut.
Les origines du mensonge dans lequel nous pataugeons allègrement sont donc définies :
– Des professionnels immuables du pouvoir et non des bénévoles conjoncturels prennent en otage notre pays. Ils nous obligent à croire de force à leur fausse réalité, ils nous dénient le statut de clients tout en nous facturant lourdement leurs prestations.
– Des boucs-émissaires et une masse significative de délateurs qui les pourchassent, pour nous diviser. Pour installer la terreur.
– Une solution à nos problèmes assénée sans relâche avec des arguments simplistes. L’interdiction de toute autre solution.
Bercy a fonctionné ainsi ces cinquante dernières années, combien de temps pour COVID et ses successeurs ?
C’est sur cette organisation mensongère que pousse le mensonge comme le chiendent sur la bonne terre non entretenue.
Celui qui voudrait revenir à une société aux mensonges expurgés devrait d’abord modifier notre organisation et surtout nos croyances et nos mentalités, en profondeur.
Objectivement, je ne crois pas que cela soit possible, mais je suis sûr que la lutte dans ce sens est belle.
Bien à vous. H. Dumas
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Les gens se sont fait vacciner pour être protégés de la maladie. Mais non. Ils découvrent peu à peu que non, ils ne sont pas protégés. Ils peuvent être contaminés et pire contaminants.
Ce n’est pas moi qui le dit, mais le pape du covid, l’américain Fauci en personne !
C’est un fait avéré maintenant. Les vaccins covid protègent de tout… sauf du covid.
Les vaccinés peuvent être contaminés, et contaminer les autres. Pas grave dit le vaccinopathe, ils peuvent tomber malades, c’est vrai, mais moins gravement que s’ils n’avaient pas été vaccinés. Ah bon ! Petite question, comme ça en passant : comment le savez-vous ? Quel moyen auriez-vous de le savoir ?
Et les vaccinopathes de réciter en litanie : : il faut que cent pour cent de la population soit vaccinée ! Trouvez-moi un début de justification rationnelle à une telle affirmation, et je prends mes deux doses d’un coup demain matin.
Les non-vaccinés sont par nature le groupe témoin permettant de mesurer l’efficacité des vaccins. Petit problème : et s’il s’avérait que les vaccinés soient plus souvent contaminés et malades que les non-vaccinés ? Ou seulement autant ? (Ce qui semble bien être le cas dans certains pays !) Vous voyez d’ici la tête des vaccinopathes ! Une seule solution pour eux : supprimer le groupe témoin ! Vacciner tout le monde !
Mais ce qui passe le moins, pour moi, c’est le passe, précisément. Et pour une raison bien précise. Parce qu’ils sont vaccinés, les vaccinés pourront circuler comme bon leur semblera. Et bien qu’ils soient vaccinés, les vaccinés peuvent être contaminés, mais surtout, contaminants. Donc de vraies bombes virales en pleine liberté. Avec la bénédiction de tous les vaccinopathes.
Avec cette petite dernière : il semble de plus en plus probable que pour les moins de 60 ans, les vaccins soient bien plus dangereux que le covid…
Bon, maintenant, si vous êtes accroc, vous pouvez vous offrir une dose de plus…
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En cette période de taux nuls et de menace inflationniste, il peut être tentant de diversifier ses avoirs afin de répartir et limiter les risques.
On peut être tenté par l’or qui ne bouge pas (il ne monte pas mais ne descend pas), par le bitcoin (qui bouge beaucoup trop) et dont j’ai déjà évoqué les risques, ou bien acheter des actions de sociétés françaises, européennes, américaines et pourquoi pas chinoises.
Les entreprises chinoises ont un parcours impressionnant puisqu’elles sont sorties du néant pour devenir, pour certaines, des leaders mondiaux (Huawei, Xiaomi, Tencent …) dans leur domaine d’activité.
Les entreprises chinoises ont dépassé le stade de copieurs infâmes de la technologie occidentale puisque la Chine est désormais le pays qui dépose le plus de brevets dans le monde.
Certains financiers nous affirment même que l’avenir est en Chine et en Asie parce qu’en Europe et aux Etats Unis c’est mort avec les taux à zéro résultant des manipulations monétaires des banques centrales et de déficits budgétaires étatiques monstrueux dont on peut effectivement se demander comment ils seront remboursés ?
Surtout qu’en Chine, vous pouvez obtenir du 6% l’an !
Attention quand même …
Il convient d’être extrêmement prudent ; surtout lorsque l’on sait, bien que cette information n’ait pas fait les gros titres de la presse subventionnée actuellement centrée sur la prochaine quatrième vague et le variant delta du Covid, que les autorités chinoises ont fait perdre d’un coup, le 26 juillet, environ 1.500 Md$ de capitalisation sur les bourses chinoises.
Que s’est-il passé ?
Le gouvernement chinois s’est attaqué aux grands groupes chinois cotés spécialisés dans l’éducation ; provoquant un mouvement de panique sur les marchés boursiers.
Et cette action du gouvernement fait suite aux précédentes actions de Pékin à l’encontre des entreprises du secteur de la Technologie.
En effet, une reprise en main avait débuté en novembre 2020, avec le report forcé de l’introduction en Bourse d’Ant Financial (la filiale financière d’Alibaba) et le géant de l’immobilier Evergrande, très endetté, s’est aussi retrouvé dans le collimateur des autorités, tout comme Didi, le Uber chinois, qui s’est vu interdire l’utilisation de son application en Chine…quelques jours après son introduction en Bourse à Wall Street !
En tout, 34 entreprises du numérique, dont les géants de l’internet Baidu, Tencent (WeChat) et ByteDance (propriétaire de TikTok), ont été convoquées par les régulateurs pour discuter des entraves à la concurrence. Ali Baba, quant à elle, s’est vu infliger une amende de 2,3 Md$ pour abus de position dominante.
Jack Ma, le président d’Alibaba, a eu d’ailleurs droit à un traitement personalisé après avoir eu le malheur de faire certaines déclarations « inappropriées » et envisagé de lancer sa propre monnaie numérique ; faisant de ce fait directement concurrence au pouvoir central du PCC (parti communiste chinois).
Après une disparition inexpliquée de plusieurs mois (on parle de camp de rééducation), il a fait une réapparition et tient désormais des propos … tout à fait dans la ligne du parti !
La réalité est que la Chine n’est pas un pays libre, c’est une dictature sous la férule du PCC et de son chef à vie Xi Jinping avec toutes les conséquences que cela implique.
Cela veut dire que, demain les autorités peuvent saisir vos avoirs, ou dévaluer la monnaie pour des raisons purement politiques.
En outre, le système étatique chinois est extrêmement opaque avec une dette publique colossale (supérieure à 200% du PIB), des entreprises très endettées, certaines sous la domination indirecte de l’armée chinoise …
Le yuan n’est pas une monnaie convertible.
En fait, en investissant en Chine, vous cumulez deux risques :
-le risque politique c’est à dire que demain le pouvoir politique peut décider de prendre des mesures contraignantes et c’est ce qu’il vient de faire en mettant au pas le secteur de la Tech, Ali baba, et désormais le secteur de l’éducation. La confiscation, sous une forme ou sous une autre, est donc toujours possible.
Cette pression des autorités chinoises commence d’ailleurs à jeter un sérieux doute sur la sécurité des investissements dans les entreprises du pays et les investisseurs se demandent aujourd’hui quelle sera la prochaine cible de Pékin.
-le risque monétaire car investir dans un pays qui promet du 6% alors que l’Europe promet du 0% est évidemment tentant sauf que l’inflation chinoise y est structurellement plus forte là-bas qu’ici. Vous gagnez donc sur les intérêts mais perdez sur le change de la monnaie puisque la pression inflationniste tend à faire baisser la valeur de la monnaie. Par ailleurs, le pouvoir chinois n’a jamais hésité à manipuler sa monnaie et à pratiquer des « dévaluations politiques » afin de restaurer la compétitivité de son économie et ce point risque de se poser à nouveau prochainement puisque l’économie chinoise ralentit sérieusement et flirte même désormais avec la récession.
A ces deux risques, il faut ajouter, du fait de la puissance chinoise qui commence à indisposer les gouvernements principalement européens et américains, un risque de rétorsions de la part des pays occidentaux à l’encontre de certaines entreprises chinoises qui sont accusées de se livrer à l’espionnage par le biais de leur technologie ; ce qui est probablement vrai mais pas vraiment nouveau dans la mesure où tout le monde espionne tout le monde, y compris ses alliés politiques ou militaires …
Plus grave, on peut même considérer qu’il ne faut pas non plus investir à Taiwan, Chine nationaliste et démocratique, située à une encablure du continent parce qu’elle est actuellement objet de toutes les visées du PCC.
Ce n’est pas que l’économie y soit défaillante, bien au contraire, on y trouve des entreprises situées au premier rang mondial (dans les puces électroniques), mais cette ile est revendiquée de plus en plus agressivement par la Chine communiste à la fois pour des raisons politiques mais aussi économiques et technologiques puisque mettre la main sur les fabricants de puces électroniques résoudraient certaines problèmes des fabricants de la Tech (Huawei notamment) chinois qui sont confrontés à un embargo de la part des autorités américaines.
Le risque d’une attaque chinoise ou d’un blocus maritime, qui asphyxierait l’économie taiwanaise, certainement à l’étude, n’est donc pas nul.
Pour s’en convaincre, il suffit de voir comment a évolué la situation à Hong Kong et notamment comment l’ancienne colonie britannique, restituée en 1997, a été « reprise en mains » en … parfaite violation avec les dispositions du traité qui avait été conclu avec le Royaume Uni !
En fait, dans les régimes dictatoriaux ou les « démocraties limitées », il faut être soumis au régime ou être un ami du régime pour pouvoir espérer prospérer … ce qui peut constituer un frein ou une gêne voire un handicap insurmontable en cas de modification de la « ligne politique » du gouvernement …
Rappelons-nous ce qui est arrivé à M. Khodorkovski qui avait eu l’outrecuidance de vouloir faire de la politique et s’opposer au système mis en place par l’oligarchie issue de l’époque soviétique. Il a été condamné à 10 ans de prison et son entreprise Ioukos, alors premier producteur de pétrole russe, a été purement et simplement démantelée en grande partie au profit du groupe pétrolier public russe Rosneft. Cette dernière, pourtant de taille modeste, est devenue, grâce aux actifs de Ioukos et à la bienveillance de … V Poutine, un géant mondial.
Bien évidemment, Etat souverain contre lequel il n’y a aucun moyen de coercition, la Russie ne paiera pas …
Au-delà de ces considérations, d’une manière générale, car c’est aussi vrai pour la France, il ne faut jamais investir dans des entreprises situées dans des pays non démocratiques et n’assurant pas une sécurité juridique minimale ni même dans les entreprises détenues majoritairement ou seulement partiellement par l’Etat qui n’est pas un partenaire fiable.
L’Etat « joue » d’après ses propres règles qui sont avant tout politiques, alors qu’un investissement ne devrait être que financier ou économique, et il n’hésitera pas à changer les règles du jeu si celles-ci le gênent !
Et cela lui est d’autant plus facile que les élites au pouvoir et les hauts fonctionnaires manipulent de l’argent qui … n’est pas le leur !
Il s’agit d’une instabilité juridique liée aux capacités de nuisance de l’Etat qui dispose du monopole de la contrainte et de la force publique (en tout cas officiellement) et qui ne peut supporter que des acteurs privés puissent avoir les mêmes droits que lui !
On le voit d’une manière générale, en France, en constatant avec quelle « facilité » nos hauts fonctionnaires ont « réussi » à liquider notre industrie en 30 ans à coup de contraintes administratives dont ils connaissaient pourtant l’effet délétère.
Car la règle est que si les Etats en arrivent toujours à fixer des limites à la liberté individuelle, il n’y a aucune limite aux contraintes étatiques et au socialisme !
Bien cordialement à tous !
Απο την Ελλαδα – Πατμος (De la Grèce – Patmos)
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Vous l’avez bien compris, je ne me suis pas fait vacciner et je n’entends pas l’être, sauf si selon les injonctions de Mr Le Chypre, journaliste économique de son état, les forces de l’ordre viennent me chercher et me menotter pour le faire – https://www.dailymotion.com/video/x82clvf
En aparté, vous trouverez le pédigrée de Mr Le Chypre ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Lechypre
J’aurai été son employeur, non vissé par les couilles comme dans toute cette stratosphère, je l’aurai viré sur le champ pour faute lourde, et Outre Manche, bien plus vite …
Ce gars-là a suivi à peu près les mêmes études que moi à la base, dans une université différente, certes, mais j’ai enrichi mon cursus contrairement à lui dans le monde des affaires. Ce gars-là n’a finalement fait que grenouiller dans l’univers de la communication.
Bien, on prend de l’altitude par rapport à une telle érection, ou si vous préférez, manifestation émotionnelle que je qualifie d’indigne et en dehors de toute objectivité.
Je suis un gaulois réfractaire à la vaccination Covid
Car je n’ai aucune certitude sur le bénéfice vs risque sauf des probabilités : https://www.objectifeco.com/les-tribunes-libres/l-analyse-complete-et-documentee-de-yannick-colleu-concernant-les-vaccins-anti-covid.html
Je ne comprends rien aux vaccins, mais il y a peut-être quelqu’un pour m’éclairer : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quel-vaccin-anti-sars-cov-2-quand-quelle-liberte
Et de « Valneva », le seul vaccin inactivé entier en phase 3 des essais cliniques suite aux liens 1 et 2 juste ci-dessus qu’il faut lire avant : https://www.republicain-lorrain.fr/sante/2021/08/04/pourquoi-le-vaccin-francais-de-valneva-sera-d-abord-disponible-au-royaume-uni
Ce qui me gêne finalement dans cette affaire, c’est le sanitaire collectiviste ou socialiste, alter ego d’un entonnoir de penser sans supporter la moindre concurrence de vues. Vous voulez un exemple dans le registre plus coco que sanitaire : https://www.ladepeche.fr/2021/08/03/pete-lui-la-gueule-une-video-de-jean-luc-melenchon-tres-agressif-avec-un-passant-fait-polemique-9711639.php
J’en ai vraiment assez de ces cuistres corrompus, bien-pensant, pour nous reluire le cuir sur la sacro-sainte solidarité forcée alors que celle-ci trouve notre âme dans la spontanéité, exégèse de la charité qui n’appelle qu’une carte de menu selon conjugaisons de risques et périls sans détruire un socle de solidarité incompressible à définir. Compliqué ?
J’en ai aussi assez de cette caste au sens donné par ceci encore : https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/03/la-religion-scientiste-outil-de-la-domination-par-la-caste/
Le PASS adopté par le parlement, Assemblée Nationale et Sénat, puis adoubé par le Conseil d’Etat et enfin enfilé par le Conseil Constitutionnel ; Ainsi soit-il ! Ou comme à l’époque de la Monarchie « qu’il en soit ainsi ! » En clair : « Circulez et il n’y a rien à voir » selon Coluche !
C’est encore une fois un non-sens bureaucratique digne de fameux Gosplans voués à l’échec comme à notre accoutumée.
Levons-nous au lieu de courber l’échine et chassons-les sans attendre une quelque élection de copinages et d’intérêts entregents !
Bien à vous !
PS – Faites un effort de lire les liens produits, ce qui prend un peu de votre temps, sinon cet article n’a pas de portée ..
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Il est fascinant d’étudier les raisons profondes des échecs politiques. Le plus souvent, elles n’apparaissent pas aux contemporains, parce que la pression psychologique de l’actualité altère la lucidité. Les historiens ont eux une chance de ne pas se tromper. Encore faut-il qu’ils disposent des outils d’analyse appropriés.
La meilleure chance de comprendre une époque et ses évènements reste tout simplement l’attention et l’écoute. C’est ainsi que Hemingway a pu être un des écrivains les plus influents de son temps. « J’ai beaucoup appris, disait-il, en écoutant attentivement. La plupart des gens ne sont jamais à l’écoute. »
L’époque actuelle a tant multiplié les médias qu’il est de plus en plus difficile de se forger une opinion éclairée. Un de mes amis, grand farceur devant l’Eternel, quand il entrait dans une salle de cinéma, apostrophait les ouvreuses en répétant sur un ton prophétique : « Je suis extralucide », ce qui le dispensait d’être accompagné et de donner un pourboire. Dommage qu’il n’ait pas songé à exercer ses dons en politique, cela rendrait service à notre pays.
A défaut d’être extralucide, on peut essayer d’être tout simplement lucide. Il n’est besoin pour cela que de savoir pêcher les bonnes informations. Elles sont le plus souvent à la portée de tout le monde, mais faut-il encore savoir garder les yeux ouverts et « bien sentir les coups », comme disait le regretté Thierry Roland, commentateur sportif inspiré pour qui le football n’avait aucun secret.
Prenons le cas de M. Macron. Voilà un garçon qui ne comprend rien à la France et aux Français et qui se retrouve bombardé président de la République. On aurait pourtant pu se méfier. Il n’a jamais eu d’amis, vit avec une femme plus âgée d’une génération, n’a jamais eu d’enfants ni d’expérience pratique de la vie. Qu’est-ce qui a bien pu passer par la tête des Français pour l’élire président ? En fait, ils n’ont pas eu à réfléchir. Les juges de gauche ont éliminé le candidat de droite et comme Mme Le Pen ne faisait vraiment pas le poids …
Nous voilà donc depuis plus de quatre ans livrés au bon plaisir d’un jeune homme inexpérimenté et qui ne sait pas écouter les gens. Quand il a fait son tour de France, après la crise des Gilets jaunes, pour entendre les doléances des Français, il était le seul à parler. Il n’a donc rien appris qu’il ne pensât déjà lui-même. Pas très instructif !
Après les Gilets jaunes, voici les anti-pass. Leurs manifestations se font aux cris de « Liberté ! ». Mais pas plus que le prix de l’essence pour les Gilets jaunes, la vaccination n’est la véritable cause de leur colère. Ce qu’ils ne supportent pas, tout comme leurs prédécesseurs (qui gonflent d’ailleurs leurs rangs), c’est l’autoritarisme du président de la République, sa totale absence d’empathie et sa surdité à tout ce qui ne vient pas de lui. Les manifestants ont la conviction que leurs problèmes ne seront jamais compris par le président et ce qu’ils veulent vraiment, au fond, c’est son départ.
Mais alors, quels sont ces problèmes, qui mettent des centaines de milliers de Français dans la rue ? Eh bien tout simplement le fait que plus de vingt millions d’entre eux ne s’en sortent plus et ont des fins de mois très difficiles qui commencent le premier ou le deux, quand ce n’est pas le dix ou le vingt du mois précédent. Plus de vingt millions de personnes, c’est près de la moitié du corps électoral. Et vous avez là les vingt millions d’électeurs qui, à la dernière élection présidentielle, ont voté Le Pen ou Mélenchon, ou blanc, ou se sont abstenus. « Un seul lecteur, et j’existe », disait Jacques Chardonne. Mais ce qui est vrai d’un écrivain ne l’est pas d’un président de la République. Mal élu, Macron se devait de réussir pour se rétablir dans l’opinion du peuple. Il a échoué en tout et ne suscite plus la confiance que chez les Français peu nombreux dont la situation reste prospère.
Comme il n’y a pas d’argent magique (même si la Banque centrale européenne a l’air de le croire), il ne reste que la possibilité d’économiser sur celui qu’on dépense. Et c’est la Sécurité sociale qui est le seul pactole disponible. Sa mise en concurrence dégagerait, au profit des Français, un bon tiers des 800 milliards d’euros qu’elle distribue chaque année. Cette réforme, entièrement votée depuis des années, est vitale pour la France. Ne pas la faire, c’est jeter notre pays dans des troubles révolutionnaires qui peuvent aboutir au pire. Au risque de manquer de respect, on est tenté de lancer à M. Macron, la fameuse réplique de Michel Audiard : « Je vais te dire, t’es même pas con, t’es bête ! »
Claude Reichman
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D’abord un petit tour sur Wikipédia pour bien définir le mot et éviter de se faire traiter de populiste – mystérieuse insulte réservée aux snobs de la politique, qui peut viser toute personne ayant une opinion différente de la doxa –.
Donc, entre autres, Wikipédia dit ceci :
“La technocratie est une forme de gouvernement (d’entreprise, d’État) où la place des experts techniques et de leurs méthodes est centrale dans les prises de décision…Parmi les traits caractéristiques et récurrents de la notion de technocratie, on trouve la mise en avant de la compétence et des méthodes du technicien et du scientifique, identifiés aux notions de rigueur et de rationalité. Ces notions sont opposées aux caractéristiques supposées de l’homme et du système politique, ou de l’homme d’affaires, considérés comme vénaux, incompétents et soumis aux intérêts privés œuvrant dans un sens contraire aux intérêts de la société. Dans une technocratie, les compétences techniques et de leadership sont davantage sélectionnées par des processus bureaucratiques et méritocratiques basés sur le savoir et la performance, que par des procédures démocratiques.”
C’est clair. Il n’y a aucun doute Macron est un technocrate, il est incontestablement le chef de cette catégorie de personnes.
Le problème tient au fait qu’il est dans le même temps le président de notre pays qu’il entend gérer “technocratiquement”, exclusivement en résonnance avec des techniciens de son obédience, au mépris de la démocratie, de l’avis des autres dans son esprit tous populistes évidemment.
Soudain, voilà t’y pas qu’il passe aux aveux
S’encanaillant sur les réseaux sociaux, il déclare :
“Je suis tout à fait libre de boire, un verre, deux verres, trois verres quatre verres de vin. De rester chez moi de voir des amis, aucun problème. Par contre, depuis des années on a accepté qu’après avoir bu, je ne suis plus libre de prendre le volant parce que à ce moment-là, ma liberté de prendre le volant peut vous mettre en danger.”
Voilà, c’est dit, sans l’Etat, sa technocratie et lui en temps qu’héritier du concept et leurs lois, les Français continueraient à picoler, notamment au volant, c’est ce que sous-entend “je ne suis plus libre”…
On va un peu lui expliquer ce qu’il ne sait pas, sans doute :
– Les alcooliques picolent toujours, rien ne peut les en empêcher et surtout pas l’Etat, voir la prohibition aux Etats-Unis.
– Petit à petit, une prise de conscience personnelle amène à comprendre les dangers de l’alcool et certains, plus particulièrement ceux que la vie ne bouscule pas trop, arrivent à se passer très bien de l’alcool, y compris donc au volant. C’est un problème personnel, pas de police, ni de technocrate.
– Beaucoup, surtout ceux qui sont mal dans leur peau, continuent à picoler et à conduire, et oui…
Il aurait pu aussi nous parler de la limitation de vitesse et s’attribuer la gloire de la diminution de la vitesse et du nombre de morts sur les routes, en oubliant :
– Comment se comportait sur la route une Renault “dauphine”, qui ne pardonnait rien.
– Comment était le réseau routier en 1960.
– Quel était le rapport à la voiture à cette époque-là.
Comprenez-moi, mon but n’est pas de dénier à la technocratie son existence, ses capacités, son travail et ses engagements, mais bien de la ramener sur terre.
Car, elle a pris, dans des conditions malhonnêtes, avec l’aide de sa milice Bercy, le pouvoir absolu en France. Et aujourd’hui elle veut nous faire croire qu’elle le mérite parce que tous les progrès de notre société lui seraient dus.
Où la technocratie a-t-elle vu jouer ce film ?
Oui, sur de nombreux points la France a progressé pendant de nombreuses années, les technocrates ont fait leur part du travail pour cela, mais pas plus, notamment au niveau décisionnel.
Tous les Français ont participé à cette évolution, sans eux les technocrates ne seraient probablement arrivés à rien, il leur manque quand même, le plus souvent :
– L’imagination
– Le gout du risque
– L’engagement total, qui fait s’oublier soi-même au profit du but.
– L’amour des autres et plus particulièrement de ceux qui ne sont pas dans le moule, voire à la dérive, morale ou matérielle.
– La ferveur du rêve qui fait agir, qu’aucun chiffre ne peut provoquer, bien au contraire.
Alors ces technocrates qui se la pètent – y compris leur chef vénéré Macron qui n’est pas différent d’eux — leur culot de prétendre après coup que toute réussite doit leur être comptabilisée : c’est insupportable.
COVID, notre maître actuel, fait la démonstration des lacunes de ces technocrates. Dans le but de les dissimuler, Macron tend un voile sur la réalité pour nous faire croire que, quand COVID nous quittera pour d’autres espaces, ce sera grâce à lui, que nous devrons le remercier, nous prosterner, et payer un gros bakchich au tenancier de ses troncs : “Bercy”.
Conclusion
Oui, la France a progressé. C’est le résultat de l’effort de tous. Les technocrates s’en attribuent le mérite et captent illégitimement le pouvoir en évoquant leur succès autoproclamé. Hélas pour eux la période tend sans doute vers le déclin. Je n’irai pas inversement jusqu’à dire qu’ils sont les seuls fautifs, quoique…
Mais une chose est sûre, je leur dénie le droit de dire face à ce déclin qu’ils n’y sont pour rien, le droit de nous faire porter le chapeau et la facture, le droit de nous priver de liberté alors que c’est elle, notre liberté, qui permettra au pays de rebondir.
Attention Macron : “ne dépasse pas les bornes des limites…,” ne fait pas comme le propriétaire de Maurice.
Bien à vous. H. Dumas
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Ils défilent dans la rue tous les Samedis avec pour seul point commun le mot “liberté.”
On leur dit “Vous êtes un ensemble hétéroclite, sans attache structurelle, donc vous, n’êtes rien.”
Alors que journellement on leur fait croire que ce qui les rassemblerait serait d’appartenir au “monde libre”, ici on leur affirme que crier “liberté” n’est pas un motif de regroupement valide.
Galéjade, dirait-on en Provence entre deux rafales de mistral.
Depuis la chute du mur de Berlin, depuis 32 ans, les gouvernants des pays “anciennement qualifiés de libres” n’arrivent pas à convaincre totalement leurs ressortissants qu’ils sont les protecteurs, qu’ils prétendent être, de leurs libertés .
Jusqu’à aujourd’hui tout cela était confus, les apparences sauvées, la mise en esclavage compensée par un prélèvement sans précédent sur les richesses — produites par une économie mondiale majoritairement libérale — largement redistribuées en échange des libertés confisquées.
Et puis… COVID est arrivé, sans s’presser…. Le grand COVID, l’affreux COVID…
Et les masques tombent. Enfin… façon de parler.
Reprenons du début.
L’homme, face à la nature beaucoup plus puissante que lui, mortifère, a la nécessité vitale de se regrouper ponctuellement pour affronter des difficultés ou des problèmes qu’il ne pourrait pas solutionner seul.
Lors de chacun de ces regroupements apparait naturellement un chef dont l’évidente nécessité est d’aider à coordonner les efforts. Malheureusement ce chef circonstanciel a tendance à s’approprier le résultat et à constater que celui qui commande et surveille travaille plutôt moins que les autres et qu’il bénéficie des solutions plutôt plus que les autres. Au fil des siècles ces constats sont devenus ataviques chez certains.
La recherche d’un pouvoir artificiel constant a supplanté le pouvoir naturel ponctuel.
L’imagination des fous du pouvoir n’a eu aucune limite.
Chefs du muscle ou sorciers de la tête, ils ont exercé le pouvoir, toujours abusif, par l’épée ou la persuasion perverse.
Mais toujours l’homme soumis a gardé, dans un coin de sa tête plus ou moins reculé, l’idée qu’il a peut-être été libre et qu’il pourrait peut-être le redevenir.
Jusqu’à aujourd’hui cette idée, récurrente, finit toujours par une duperie car parmi les révoltés aléatoires de la liberté se glisse systématiquement un futur homme de pouvoir qui récupère la cinétique libérale à son compte et remet tout le monde en esclavage.
Les deux statuts : liberté et esclavage, ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients. Mais, et c’est le problème, ils ne sont pas solubles. C’est l’un ou l’autre, et non pas l’un et l’autre quelles que seraient les proportions.
Donc aucune comparaison interne n’est possible entre les deux systèmes qui s’excluent l’un l’autre.
Nous en sommes là : COVID arrive.
En France, nous sommes dans un système collectiviste où la liberté est totalement inexistante, où des hommes de pouvoir ont instauré une religion laïque, en conflit avec les autres religions, sans aucun espace de liberté, quand COVID débarque.
Ce qui se serait passé, COVID arrivant chez des hommes libres :
Chacun aurait affronté la maladie selon ses moyens et ses initiatives. L’offre de soins et de guérison aurait été florissante, probablement bidon pour partie évidemment.
La chance et l’intelligence auraient fait le tri, COVID aurait vu son avenir multiplement contrarié. Il est probable qu’à travers les tâtonnements du début une solution efficace serait apparue.
Mais COVID est arrivé chez des hommes mis en esclavage.
Toute initiative a été bannie, au motif de l’intérêt général. Les malades ont été laissés sans soin le temps que les hommes du pouvoir, pris au dépourvu, imaginent ou copient une stratégie.
Cette stratégie adoptée par les hommes du pouvoir est exclusive et s’impose à tous, pas encore par la force mais cela ne saurait tarder.
COVID nous propulse bien au cœur de la gouvernance.
Ce sera sans pitié.
Si la stratégie des hommes de pouvoir s’avère fausse, ce sera ravageur. Déjà, certains de ses aspects sont désocialisants, tels que le masque et le confinement. Mais, si le vaccin s’avère être un tueur direct ou indirect, les hommes du pouvoir — et leur prétention à tout décider pour nous — vont partir en vrille irrécupérable.
Hélas alors, ceux qui défilent au nom de la liberté vont probablement se jeter dans les bras d’autres hommes de pouvoir opportunistes qui montrent le bout de leur nez dans les manifestations, en oubliant que les hommes de pouvoir sont tous les mêmes et que la liberté ne peut s’assumer qu’individuellement.
Si au contraire, COVID meurt, disparait, du fait du traitement, ou même de sa mort naturelle, les hommes du pouvoir vont être emportés par la vanité, c’en est alors fait de nous.
Parce qu’Ils appliqueront leur recette à l’économie, dont nous sommes largement plus malades que du COVID, et la misère nous attend, la liberté indispensable à l’économie passant son chemin pour les décennies à venir.
Serge Soudoplatoff, un français, a créé une explication logique pour l’économie de l’abondance par rapport à l’économie de la pénurie connue sous le nom de «loi de Soudoplatoff»: «Quand on partage un bien tangible, il se divise. Quand on partage un bien immatériel, il se multiplie» (Source Wikipedia).
Se partager un bien tangible c’est un peu le camembert de la loi des 35 heures mise en œuvre par Martine Aubry et décidée par Lionel Jospin dès l’année 2000 en partie et généralisée en 2002. Bizarre, l’Euro en France a été adopté au 1er janvier 2002, et depuis notre secteur industriel s’est effondré et continue de le faire encore plus avec les écolo-taxes et les écolo-normes qui prospèrent.
C’est évidemment partager un droit sur la mort d’un individu lambda qui laisse derrière lui un patrimoine qu’il a construit en payant sa dîme au fur et à mesure de son évolution ou de toute façon lors d’un état stable, car l’immobilité se paie aussi.
C’est finalement redistribuer les profits ou la jouissance de privilèges de chacun bien ciblés, que les éditions Lefebvre mettent à jour chaque année alimentées par les logorrhées règlementaires que seuls les initiés peuvent comprendre dans le texte pour en faire un fonds de commerce.
La nature a cette chose étrange d’être à la fois bienveillante et hostile. L’homosapien qui nous caractérise depuis des millénaires nous a doté d’un cerveau plastique et d’une physionomie généralistes, contrairement à l’individu de Néandertal plus spécifique qui aurait été capable de buter Tyson ou notre Teddy Riner dans n’importe quel combat singulier.
L’Etat et plus encore celui français poursuit cette chose étrange d’être à la fois bienveillant et hostile. Mais il crée un monde artificiel de société d’individus qui perdent pour une bonne partie d’entre eux la notion de risque, qui prospèrent sur le fil de l’expérience des autres certes, mais en se trouvant forcément démuni en cas de cygne noir – l’événement 3i – imprévisible, irrésistible, insurmontable. La responsabilité individuelle est ainsi diluée dans une sorte de Blob, un univers cellulaire vivant gélatineux et sans squelette. Une limace ?
L’immatérialité
Le tangible matériel disparaît ainsi des radars de Bercy, mais comme ils ne sont pas les derniers perdreaux de l’année, ils vont nous tracer ou du moins tout faire pour y recourir. Les pieds dans la glaise, Bercy adore ce qui cherche à lui échapper ou le contourner vers sa prochaine ponction.
Quand on partage un bien immatériel, il se démultiplie.
Mais de quoi s’agit-il ? Ce peut-être un haut de Bilan d’entreprise à l’actif comme des brevets, des licences, bref de l’évaluable qui n’est pas aussi clair qu’un dû au passif à sa banque ou à ses fournisseurs, ce que l’on appelle comptablement de l’incorporel. Dans une cession d’entreprise, ces éléments intangibles peuvent efficacement ou non changer la donne en termes de prix de négociation entre le vendeur et l’acheteur mais aussi vis-à-vis de Bercy.
Mais plus largement, le partage de l’immatériel se produit dans la transmission de la connaissance. Il y a bien sûr la famille, les relations sociales et autrefois le service militaire mais plus sûrement l’école et le parcours qui s’ensuit pour apprendre un métier ou pas forcément. Le pas forcément s’est traduit à titre personnel par une maîtrise acquise dans la filière Sciences Economiques qui a débouché sur une proposition de devenir banquier au sein du Crédit Agricole, dans lequel j’avais travaillé deux années de suite pendant mes vacances d’été, ou au Télégramme de Brest pour embrasser la fonction de journaliste. J’ai décliné ces deux propositions pour poursuivre ensuite des études dans l’expertise comptable que je ne suis jamais devenu non plus d’ailleurs. Il faut savoir qu’une culture en sciences économiques, ne se professe qu’à l’université ou aux préparatoires de grandes écoles de commerce en France, ce qui n’est pas l’apanage des médecins et de la caste qui nous dirige et qui surfent sur l’inculture voulue en la matière du peuple administré pour qu’il n’y comprenne jamais rien. Et c’est vraiment criant quand je discute avec des gens mêmes sérieux.
Pour aller plus avant sur l’immatérialité.
L’immatérialité c’est l’attention – la concentration – fois le temps consacré à un sujet de l’esprit. Est-ce que vous accordez une grande attention à ce qui vous est proposé même en n’y connaissant pas grand-chose au départ ? Cela vous intéresse-t-il vraiment ? Si cela n’est pas le cas, il va bien falloir faire quelque chose pour remplir son assiette. On peut alors devenir un bon professionnel dans un domaine d’activité, avec une souffrance latente, mais rarement un expert …
L’ère du Web et de la numérisation ont véritablement transformé notre monde et notre perception de celui-ci, ce qui n’existait pas quand j’ai fait mes études. L’expérience des autres s’est démultipliée et l’accès à la connaissance aussi. Lire des vidéos sous UTube ou par l’intermédiaire de MOOCs pour accéder à ce qui nous intéresse vraiment permet de gagner du temps et de court-circuiter ce qui n’a finalement plus ou pas d’intérêt pour nous.
Le piège de cette foison de connaissances à profusion se situe dans la versatilité ou l’inattention non comme une abeille qui butine avec précision, persévérance et somme toute prise de risque. Il guette alors une perte d’attention pour ne plus avoir de repères ou en chercher chez d’autres qui n’en sont pas non plus.
La dangerosité du Web
Les virus encore, mais plus sûrement un appareil d’Etat à la ramasse au départ du développement du Web, qui a rattrapé son retard fissa, car il a bien compris que la dystopie de notre avenir sociétal pouvait enfin devenir une vraie réalité par cette providence des nouvelles technologies, souvent en avant-garde dans les domaines militaires et scientifiques mais jamais sauf à présent sur le peuple.
Bien à vous
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L’écologie est un business et actuellement c’est un business à la fois florissant et rentable car il existe un mouvement de fond au niveau de certaines populations, des politiques et des administrations (notamment à Bruxelles) en sa faveur en prenant soin tout de même d’occulter le fait que c’est un marché essentiellement basé sur des subventions ; c’est à dire sur l’argent gratuit des autres !
Autant dire qu’il s’agit d’un modèle économique pas du tout économique fondé sur le gaspillage de ressources fiscales dont le but essentiel est de fausser le libre marché et la concurrence par le biais de subventions d’activités qui, sans elles, n’auraient pas lieu d’être puisque non rentables !
L’archétype de cette vision est Mme von der Leyen, présidente de la commission européenne, dont le plan vert relève de la plus pure idéologie écologiste, et qui a décidé purement et simplement la fin du véhicule thermique pour 2035 et la fin du camion thermique pour 2040.
Même la BCE, par la voix de sa directrice Mme Lagarde, veut faire des investissements verts (qui n’ont de verts que la couleur que l’on veut bien leur donner) en occultant le fait que la « lutte contre le réchauffement climatique » ne ressort pas de la compétence de la BCE dont la mission est seulement la défense de la monnaie …
En brandissant sans cesse la menace d’un changement climatique dont personne à ce jour n’a pu prouver ni la réalité ni l’influence anthropique, les dirigeants de l’Europe veulent donc, à eux tous seuls, changer le climat de la planète ; ce qui relève à tout le moins d’une vision à la fois présomptueuse et délirante du pouvoir qu’ils se sont auto-octroyés !
Seulement, cette stratégie connait quelques ratés peu glorieux qui dévoilent le dessous d’un business profitable pour qui sait y faire … car il faut être conscient que les promoteurs industriels de cette écologie contrainte et punitive n’agissent pas de manière désintéressée, ils le font pour de l’argent.
Il n’y a pas de semaine qu’on nous annonce des nouvelles extraordinaires sur le front des voitures électriques et autres pendant que dans un autre sens on nous explique le mauvais temps et les inondations sont dus au réchauffement climatique dans le cadre d’un catastrophisme de nature à inspirer la peur ; tout comme on nous instille la peur avec le matraquage permanent de l’information manipulée sur l’épidémie de Covid et ses dangers.
Une partie de la population, aisée cela va sans dire, accepte ce discours et se soumet en achetant des voitures électriques dont on sait qu’elles ne peuvent pas, en l’état actuel de la technologie, apporter le même service qu’un véhicule thermique.
Seulement, il ne faut jamais perdre de vue que le discours officiel n’est pas sincère et que la manipulation est toujours au bout de l’argument utilisé pour vous persuader …
Dans un article de la fin de l’année dernière, j’avais expliqué que la folie écolo anti diesel allait désormais s’attaquer au transport routier alors que … la technologie de remplacement n’existe pas et que cela allait engendrer des coûts phénoménaux sans aucun bénéfice autre que la distribution massive de subventions ; comme si l’arrivée massive d’argent gratuit des autres (vos impôts) allait provoquer une révolution technologique !
Il faut bien être un fonctionnaire pour croire à pareil discours … car ce n’est pas comme cela que fonctionne le capitalisme industriel.
Or, un article, qui ne fera sans doute pas les gros titres de la « presse » audiovisuelle subventionnée, vient de paraître dans le journal CAPITAL, pour opportunément apporter une éclatante confirmation !
Je cite le journal : « Trevor Milton se retrouve dans le collimateur de la justice américaine. Très controversé, le fondateur et ancien patron du concepteur de camions électriques et à hydrogène Nikola a été inculpé par les autorités aux Etats-Unis pour avoir induit en erreur les investisseurs en faisant des déclarations fausses ou trompeuses pour embellir l’activité de l’entreprise. »
Et l’article poursuit : « Il est apparu que Trevor Milton avait fortement exagéré les avancées de son entreprises, et les actionnaires ont perdu des dizaines, voire de centaines de milliers de dollars, y compris, dans certains cas, leur épargne-retraite ou de fonds qu’ils avaient empruntés pour investir dans Nikola ».
Trevor Milton, qui a depuis démissionné, avait en effet affirmé que Nikola avait construit un prototype de camion “entièrement fonctionnel” et il avait même réussi à convaincre les dirigeants de General Motors de nouer avec lui un « partenariat technologique » destiné, évidemment, surtout à apporter une caution et un sentiment de crédibilité à son entreprise ; alors même que « il savait que son camion ne pouvait pas fonctionner ».
GM a réagi en réduisant son partenariat avec Nikola …
Nikola fait partie de ces espèces d’entreprises zombies valorisées des dizaines de milliards de $ et qui ont collecté des sommes importantes sur les marchés boursiers, sur la foi de promesses qui n’engagent que ceux à qui elles sont faites, mais qui n’ont aucun chiffre d’affaires (Les ventes de Nikola sont nulles puisqu’elle n’a jamais rien produit).
On se situe là aux limites de la tromperie pure et simple !
Maintenant, évidemment, les langues se délient et certains affirment que Nikola n’est finalement qu’une vaste fraude destinée à récolter du cash à bon compte en exploitant la crédulité des gogos et des idéologues du réchauffement climatique.
Il est vrai que le pouvoir de persuasion est inhérent au mécanisme de l’escroquerie !
Il ne faut jamais perdre de vue que l’appât du gain, et surtout du gain facile, est une motivation pour beaucoup de gens …
Seulement, cela ne peut intervenir que grâce à complicité plus ou moins objective et plus ou moins consciente de fonctionnaires normateurs aveuglés par une vision constructiviste du monde ; fonctionnaires qui ne sont pas des industriels, ni même des ingénieurs mais juste des bureaucrates dont la caractéristique principale est l’irresponsabilité quant aux décisions, bonnes ou mauvaises, qu’ils peuvent prendre avec la complicité de politiciens veules.
E Macron, ne vient-il pas de reconnaitre, dans le cadre de son voyage en Polynésie, que seul le nucléaire peut satisfaire nos besoins d’électricité dans le cadre d’une politique de lutte contre le co2.
Il admet donc que les éoliennes ne servent à rien mais on continuera quand même d’en installer !
La politique a ses raisons que la raison ignore …
Bien cordialement à tous !
Απο την Ελλαδα – Λερος (de la Grèce – Leros)
Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à la condition de la reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.
Partager la publication "Il ne faut plus s’étonner de rien !"
Dès qu’elle l’a pu, l’espèce humaine est partie à la conquête du monde. Partie d’Afrique, elle s’est répandue partout. Aujourd’hui, nous connaissons ce qu’on appelle la mondialisation, qui consiste pour l’essentiel à trouver dans les endroits les plus reculés de la planète les produits les plus élaborés de l’industrie moderne. Et à y rencontrer des touristes.
La pandémie du coronavirus n’est qu’un épisode de la mondialisation. On ne parvient pas à l’endiguer parce que les hommes circulent partout et ne veulent pas cesser de le faire. Les Etats ferment bien de temps en temps leurs frontières, mais dès qu’ils croient avoir réussi à maîtriser la circulation du virus, ils les rouvrent et le virus se répand à nouveau.
L’échec le plus flagrant de l’humanité est de n’avoir pas réussi à se doter d’un outil efficace contre les pandémies. Il y a bien l’Organisation mondiale de la santé (OMS), mais elle n’est qu’un « machin », comme disait le général de Gaulle, et elle est gangrénée par la politique. On se retrouve donc désarmé, ou plus exactement contraint de se battre sur notre propre territoire. Et comme il est impossible d’en interdire durablement l’accès, nous devons mettre au point des méthodes vraiment efficaces de lutte contre le virus.
Y sommes-nous parvenus en France ? La réponse est évidemment non. Pourtant nous étions, en théorie, parmi les mieux placés pour y parvenir. Notre pays vit en effet sous la coupe de l’Etat et celui-ci a toujours prétendu être le plus qualifié pour agir dans l’intérêt général. Force est de reconnaître que c’est, en France, une prétention absurde.
Où que vous fassiez un pas, dans notre pays, vous rencontrez l’Etat. Même si vous ne sortez pas de chez vous. Il y a toujours une loi ou un règlement que l’Etat peut opposer à votre liberté. Bien entendu c’est toujours dans votre intérêt et pour votre sécurité. Et pourtant l’insécurité ne cesse de croître en France et fait l’objet de tous les débats sur les chaînes d’information et les radios. Nous avons donc un problème. Et même un gros problème.
Quand un problème se pose dans une société humaine, on charge quelqu’un ou quelques-uns de le résoudre. En France, on attribue toujours cette mission à l’Etat, c’est-à-dire en fait au gouvernement et à l’administration. Mais dans l’affaire du coronavirus, il y a eu un moment de grande hésitation. On a découvert l’existence d’un professeur de médecine marseillais qui semblait parfaitement qualifié pour mener la lute contre l’épidémie. Cela ne semblait pas créer de difficultés car notre universitaire est fonctionnaire et que son institut est public. Le professeur Raoult était bien l’Etat, mais un Etat un peu particulier car doté d’une mentalité et d’une façon de gérer les problèmes qui le rapprochaient beaucoup du secteur privé. Il avait donc tout pour que le gouvernement le nommât général en chef contre l’épidémie.
C’est alors qu’on vit se déchaîner une féroce hostilité des milieux officiels contre l’universitaire marseillais… qui n’en est pas encore revenu. Dans sa dernière intervention sur la chaîne youtube de son institut, il a consacré plus de temps à parler des attaques et des insultes qu’il subit que du variant delta qui sévit actuellement ! Didier Raoult, comme tout Français capable d’agir pour son pays, mesure à son tour la férocité du système étatique. Gare à celui qui marche sur les plates-bandes du monstre. D’un coup de patte, celui-ci peut tuer l’intrus. Raoult n’est pas mort, mais on l’a bien fait taire.
Quelle leçon tirer de cette très triste histoire, qui a quand même fait mourir 110 000 Français ? Que la réforme de l’Etat est devenue, dans notre pays, une question de vie ou de mort. Il ne s’agit évidemment pas de réformer l’Etat à la marge, mais de le réduire d’un bon tiers. Ce qui va mettre du monde sur le carreau, mais qui a la nécessité d’une intervention chirurgicale quand le médicament a échoué. Réduit à sa substance vive, l’Etat cessera de nuire et pourra rendre service. C’est tout ce qu’on lui demande.
Personne ne peut croire sérieusement qu’on va trouver aujourd’hui des hommes politiques pour faire une telle réforme. On ne les trouvera qu’une fois que le peuple aura agi et mis à bas le système de gouvernement actuel. L’ampleur des manifestations contre le passe sanitaire – mais en fait contre Macron – montre la colère des Français et surtout leur désir de liberté. Il y a bien longtemps qu’en France on n’avait pas manifesté pour la liberté, c’est un signe qui ne trompe pas. Les dés roulent. Quand ils rendront leur verdict, il faudra se rassembler pour construire un monde meilleur. C’est une formule consacrée et galvaudée. Mais elle trace bien la route.
Benjamin Constant a dit : « Prions l’autorité de rester dans ses limites. Qu’elle se borne à être juste, nous nous chargerons d’être heureux. » Voilà, l’opposition a un programme !
Claude Reichman
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Le pass sanitaire est-il une simple attestation de vaccination ?
Une marque initiatique destinée à se retrouver entre personnes obéissantes, entre bons élèves.
C’est alors beaucoup de bruit pour pas grand-chose, puisque l’on sait que le vaccin est à effet limité pour son efficacité immédiate et à effet périmant dans le temps.
Ce n’est donc pas le cas.
Le pass sanitaire est-il destiné à débusquer les cas contacts ?
C’est-à-dire que la trace repérée de votre passage au restaurant va permettre de vous contacter et de vérifier votre situation sanitaire, s’il se trouve qu’au même moment était présente une personne qui va être testée positive quelques jours plus tard.
Il semblerait que ce soit le cas.
Or, vous êtes évidemment vacciné, sans quoi vous n’auriez pas pu partager ce moment de bonheur gustatif devenu douloureux du fait de la présence d’un contaminé, lui aussi vacciné, car sans quoi…. etc.
Donc, devenu cas contact, vous devez vous faire tester et, pendant sept jours, éviter les personnes à risque – ce qui vous amène à demander aux autres s’ils sont “à risque”, rien n’étant écrit sur le bout de leur nez –. Pendant ces sept jours vous devez prendre journellement votre température, pour cela vous pouvez obtenir gracieusement les services d’une infirmière diplômée d’Etat – c’est la moindre des choses –. Au bout de ces sept jours re-test.
Je résume
Vous allez au restaurant, un voisin de salle vacciné est testé positif quelques jours plus tard, les emmerdements sévères commencent pour vous, alors que vous aussi êtes vacciné…
Le mieux c’est quand même de ne pas aller au restaurant. Requiem pour les restaurateurs.
Mais attention
Deux tricheries catastrophiques doivent être combattues pour que vive ce plan génial de technocrates essayant de dissimiler les carences stupéfiantes de l’organisation étatique de notre santé que le monde entier nous envie.
D’abord celle des tenanciers.
Elle est maitrisée. Tous les tenanciers de bar, tous les restaurateurs, connaissent la rapidité préfectorale à dégainer les fermetures administratives. Pas de gros problème, c’est une population docile, terrorisée depuis si longtemps par la préfectorale et par Bercy.
Il en est tout autrement de celle des consommateurs — lèche-culs — concernés.
Ils sont vaccinés, ne l’oublions pas. Ils exigent en échange de cette marque de soumission des signes de déférence. Ils risquent donc de ne pas se plier facilement aux injonctions prévues pour cette situation. En un mot ils risquent de tricher, de ne pas se soucier de savoir s’ils croisent ou non des personnes “à risque”, voire de ne pas prendre leur température tous les jours, ou encore de ne pas se soumettre aux deux tests préconisés.
Ce serait bien, convenons-en, une catastrophe.
Donc, comprenez-le, il faut organiser une surveillance appropriée. Probablement qu’un corps de surveillants sanitaires va être mis en œuvre, accompagné des moyens nécessaires : assermentation, port d’arme, etc…
Ils devront-être très nombreux pour pouvoir être efficaces, ils auront évidemment le statut de fonctionnaire, donc l’emploi à vie, donc ils seront là pour toujours.
D’un côté un pass-sanitaire qui dit tout de nous et sait en temps réel où nous sommes, de l’autre une escouade inévitable de fonctionnaires pour surveiller les tricheurs potentiels face à ces lourdes contraintes, bon sang mais c’est… bien sûr… on connait, c’est Bercy, l’identique, le jumeau.
Décidemment, c’est décidé pour moi : plus de restaurant, plus de ciné, plus de dehors, je reste chez moi en attendant que ça passe le pass….
Bien à vous. H. Dumas
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On sent bien que la tension est forte, que la violence extrême est là, à notre porte.
Les différents attentats passés, évidemment absolus pour les victimes, sont très relatifs pour la masse, je dirais même insignifiants.
Il ne faut jamais perdre de vue que le ressenti individuel lors de sa propre mort, notamment lorsqu’elle est injuste, est une souffrance et une douleur majeures pour l’être humain. Tous les compassionnels se foutent de la gueule du monde quand ils prétendent partager l’horreur de ces instants, qui n’est pas partageable.
Cependant, il est des temps où la mort et la souffrance sont distribuées sans limite, où chacun peut en ressentir la proximité, où un grand nombre les rencontrent, où peu en réchappent.
Ces périodes laissent des traces indélébiles, malheureusement exclusivement à ceux qui les ont vécues, les autres ne sont pas en mesure d’imaginer l’inimaginable.
Moyennant quoi, un jour, tout recommence. C’est une certitude.
Mais comment savoir quand et pourquoi ?
De ce qui est dit, Il y aurait d’abord une sorte de désespérance qui s’empare de la société, une perte de confiance en l’avenir. Puis un manque de confiance dans les autres et en soi. Une désorganisation. Une démesure des égoïsmes.
Mais cela ne suffit pas.
Il faut un moteur à la violence. La faim ou la peur d’avoir faim, de manquer. Le lion vit à quelques mètres de la gazelle qu’il laisse en paix tant qu’il est repu. S’il a faim, il lui saute dessus et la dévore violemment.
L’homme n’est pas différent. A partir de ce constat les choses se précisent.
On aurait pu imaginer que la faillite de Bercy allait entrainer la guerre, la violence ultime, je l’ai cru, j’en doute fortement aujourd’hui.
En France, comme dans les autres pays où cela est arrivé, où les hommes de l’Etat ont fait faillite, c’est le système démerde qui se mettra en place et palliera leur incurie. Donc les petits meurtres entre amis de Bercy ne sont pas un détonateur suffisant pour entrainer le chaos, juste le bazar, supportable pour les démerdards, mortel que pour ceux qui auront eu la malchance d’être entre les mains de Bercy agonisant.
En revanche, lorsque de pseudo-scientifiques nous annoncent que la terre, le 29 Juillet, a épuisé ses ressources… grave danger.
Le message est clair, nous sommes trop nombreux, il va falloir partager la misère, ou… être moins nombreux…
Si ça ce n’est pas un appel direct au meurtre, qu’est-ce ?
Dire aux hommes qu’ils sont responsables, par leur nombre, leur attitude, leur progrès, de leur future disparition, ne peut que les dresser les uns contre les autres. C’est comme crier au feu dans un cinéma bondé.
Résultat, les plus forts marchent sur la tête des plus faibles, soit par la force brute, soit par la fourberie, mais sans exception.
Les écolos sont de grands malades.
Napoléon a liquidé, au nom de la révolution, quelques millions d’européens, Hitler a vu plus grand, il en a liquidé mondialement quelques dizaines de millions, Lénine et Mao ont fait plus fort ils ont atteint à minima la centaine de millions, les écolos devraient atteindre avec leur stratégie fatale un désordre gigantesque qui côtoiera probablement le milliard .
Le venin qu’ils distillent flatte l’égo des “initiés”, qui montrent du doigt ceux qui tentent de se hisser à hauteur de la vie, en les dénonçant comme sans respect pour la nature qu’ils tentent en effet de combattre pour vivre, tout simplement.
L’Europe est en tête de l’écologie, l’Europe est toujours en tête quand il s’agit d’éliminer les autres… c’est sa spécialité.
Après le meurtre pour l’égalité, voilà le meurtre pour la planète, tout un programme.
Au fait, ne comptez pas sur moi, je m’en vais… tué anonymement et sans gloire par le fisc.
La science comprend un nombre incomptable de disciplines et de sous-disciplines, et il semble en apparaître tous les jours. Mais la question n’est pas là.
Devant la confusion et la cacophonie qui règnent depuis 18 mois dans les propos de toutes origines sur le sujet de la Covid 19, il devient utile de classer la science selon ses « états », c’est-à-dire comment différentes populations humaines peuvent être « connectées » aux données scientifiques.
J’en vois sept. Le domaine des certitudes, le domaine des hypothèses, le monde des oublis, le discours des achetés, la sélection des politiques, les débats dans les médias, le savoir du public.
Le domaine des certitudes
La loi d’Archimède, la loi de la gravitation universelle, l’électron, le photon, la thermodynamique, le son, l’ADN porteur de l’hérédité, etc.. sont analysés, définis, programmables par des équations validées des millions de fois. L’individu qui se met à contester telle ou telle certitude passe pour un inculte ou un fou. Passons, les vérités ne sont plus de ce monde.
Le domaine des hypothèses
Domaine très étendu, où les lois ne sont pas établies, ou des postulats sont évoqués mais ne répondent pas complètement aux observations, où des variables encore inconnues peuvent modifier les résultats. C’est le domaine des frontières de la connaissance où les débats entre scientifiques peuvent être intenses, mais passionnants et constructifs. Les considérations d’une époque peuvent être contredites plus tard et il faut bien constater que les « mises à jour » des connaissances individuelles et collectives n’ont rarement rien d’immédiat. Une théorie obsolète peut perdurer dans les mémoires fort longtemps. Le réchauffement climatique est l’exemple même de l’hypothèse sur laquelle des scientifiques sérieux ont des avis opposés. Le concept d’immunité collective est une autre hypothèse. Elle repose sur certains critères, dont le fait qu’un malade guéri, ou une personne vacciné, est définitivement protégé, ne peut plus porter le virus ou la bactérie et ne peut donc plus le transmettre. Manque de pot avec le coronavirus, il ne génère que peu d’anticorps et pas longtemps, voire pas du tout, les vaccins pas plus, qui n’empêchent pas de le porter et de le transmettre à nouveau, qu’il soit de même souche ou muté.
Le monde des oublis
Domaine qui semble grandir en parallèle avec celui des découvertes. Non pas que les connaissances nouvelles invalident les anciennes, en tous cas pas toujours, elles les complètent le plus souvent, mais c’est comme si il y avait un « trop plein » dans les mémoires et que des savoirs les plus anciens passent à la trappe. On a été servis dans la gestion du Coronavirus. Les pandémies passées avaient laissé une expérience et des enseignements sur ce qu’il fallait faire. Absolument tout a été oublié, comme l’a dit Christian Perronne, y compris les stocks de masques, de gants, de protections, de respirateurs, etc… Mais bien d’autres choses ont été oubliées. Les plus graves sont de s’informer efficacement quand une épidémie risque d’arriver, qu’une épidémie finit toujours par arriver, que des traitements ont pu déjà faire leurs preuves dans le passé, que les coronavirus mutent beaucoup et que l’on a jamais réussi à faire un vaccin avant qu’ils ne « changent », que les études par « cohortes » peuvent avoir la même valeur que des études « randomisées », que l’éthique médicale interdit de prendre des malades pour des cobayes …
Le discours des achetés
Depuis longtemps, l’État a proposé aux Universitaires de travailler en recherche avec des entreprises privées. Celles-ci ayant des moyens financiers et techniques devenant très supérieurs à ce que propose l’État, les chercheurs des organisations publiques finissent par être très dépendants des entreprises en particulier pharmaceutiques. L’intérêt de ces entreprises devient leur intérêt indirect. Bien sûr, cela fait avancer la recherche plus vite, enfin on le suppose. Pour éviter certaines dérives, le législateur oblige les chercheurs à mentionner leurs « conflits d’intérêt » lorsqu’ils s’expriment dans n’importe quel média et que le sujet est en rapport avec l’objet de leurs relations avec les entreprises. On a bien vu que cette règle n’a jamais été appliquée par les professeurs de médecine concernés. On ne peut parler d’oublis dans ce cas mais de mensonges pour favoriser tel médicament et dénigrer tel autre en concurrence. La promotion du Remdesivir a été tellement intense jusqu’à ce que l’OMS le disqualifie du traitement que l’existence de ces manoeuvres de corruption ne peut être mise en doute. La promotion des vaccins actuellement procède certainement des mêmes mécanismes.
La sélection des politiques
Dans une dictature comme la France, la caste au pouvoir a pour presque unique objectif de le garder. Je ne sais pas si « presque » n’est pas de trop. Le second constat est que cette caste a horreur que l’on porte atteinte même de façon minime, à son pouvoir. Le moindre conseil lui est insupportable. Aussi, son conseil de crise débat en secret, comme cela le citoyen de base ignore les puissants raisonnements sur des critères imparables qui amène le « pouvoir » à prendre les décisions exceptionnelles d’efficacité démontrée depuis 18 mois. Manifestement le conseil scientifique n’est qu’une façade décorative qui entérine les ordres venus d’en « haut ». On imagine très difficilement des médecins de spécialités diverses interdire aux malades de consulter leur médecin de famille, interdire les traitements précoces, dire d’attendre chez soi que les symptômes deviennent graves, et donner du Rivotril pour « achever » toutes ces prises en charge ratées. Révélation récente : la surconsommation de Rivotril au Printemps 2020 correspond à peu près à la surmortalité sur l’année (corrigée en rapport à la population totale et à l’âge). Comme quoi la qualification de crime contre l’humanité pour leurs décisions politico-thérapeutiques aberrantes se complète par des assassinats en série avec préméditation. Mais évidemment, nos politiques ont pris les meilleures décisions possibles sous couvert du conseil scientifique et grâce aux dollars de Gilead.
Les débats scientifiques dans les médias
La situation des médias devient tellement caricaturale que cela en devient risible, si ce n’était pas l’instrument du désastre. Les médias subventionnés aux ordres directs ou indirects du gouvernement sont obligés de soutenir par tous les arguments possibles et évidemment bidons les décisions injustifiables de ce gouvernement. Mais comme la contre-information marche à plein et contient dans la masse peu intéressante, des présentations scientifiques remarquables, cohérentes et instructives, qui éclairent vraiment sur les faits réels, les statistiques de diffusion, l’efficacité des traitements et des vaccins, les résultats des différentes politiques sanitaires des pays. Les médias main stream sont obligés d’intensifier le harcèlement et la démolition médiatique des scientifiques opposés à la doxa de Macron-Véran par des méthodes qui sont la meilleure preuve de leur compromission. L’insistance sur le vaccin « indispensable » en accusant les « résistants » d’irresponsables est phénoménale. Les débats entre journalistes pseudo-scientifiques sont d’une pauvreté consternante. Les données sont réduites, ils se basent sur un fait, une théorie (ex l’immunité collective) sans en comprendre les critères. Confondent une thérapie génique qui déclenche initialement une production d’antigènes à des vaccins qui provoquent la production d’anticorps. On peut espérer que les effets secondaires à long terme des premiers ne tournent pas à la catastrophe. Certains grands scientifiques ont prévenus que l’on joue aux apprentis sorciers. Les statistiques actuelles ne permettent pas de dire que le vaccin ne présente pas plus de risque que le virus lui-même.
Le savoir du public.
J’ai souvent l’occasion de discuter avec des patients sur le Covid. La majorité ne savent pas que penser, n’ont pas les connaissances pour dire qui a raison de Véran ou de Raoult. La propagande gouvernementale par les grands médias a tendance à être crue. L’obligation du vaccin pour les professions de santé va peut-être changer les choses, car Macron s’attaque à des professions qui sont généralement aptes à comprendre les questions techniques et ne sont pas d’accord pour beaucoup à accepter un vaccin expérimental sur lequel aucun consentement éclairé ne peut être donné. Beaucoup d’infirmiers et peut-être de médecins sont prêts à démissionner si on les oblige à la vaccination par ARNm. La crise sociale risque d’être paroxystique à la rentrée.
M. X est un cadre moyen évoluant bureaucratiquement dans le monde de la santé.
C’est un homme excessivement sérieux, qui croit ce que dit sa hiérarchie, il est même payé pour le relayer.
Vous imaginez que dès que cela lui a été possible, dès la livraison des premiers vaccins, un peu même avant sa catégorie, en Mars, il s’est fait piquer deux fois, comme tout le monde.
Le voilà vacciné et frétillant, fier d’être un bon français, responsable pour lui et pour la France, à la limite de l’autosatisfaction dérangeante pour les autres moins chanceux ou moins téméraires.
Il part fin Juillet en vacances avec sa compagne et les enfants de cette dernière.
Il arrive dans son appartement de location, cannes à pêche, épuisette, vélos et badminton, sur le toit de sa voiture de petite cylindrée – l’électrique se sera pour l’an prochain –, compagne et enfants tassés à l’intérieur. Heureusement cette année le réchauffement climatique sévit ailleurs et oublie la France donc le voyage ne s’est pas fait par une chaleur accablante.
Soudain, le lendemain de son arrivée, il toussote et a un léger mal de tête.
Sûr de lui, il va se faire tester, il en rajoute le bougre.
Et Paf, il est positif. A quoi ? Mais à COVID évidemment.
Ah bon, mais le vaccin ? Effectivement quelque chose n’a pas marché, le vaccin ou le test, nul ne le sait, et surtout pas lui.
En revanche la bureaucratie marche à fond.
Immédiatement sa compagne est détectée “cas-contact”, c’est SHS “Sherlock Holmes Sécu” qui l’appelle en direct.
Elle, son Julot, ses mouflets, tout cela est enfermé dans l’appartement pour 17 jours. Et dit SHS “Attention, nous viendrons contrôler, pas question de sortir”.
Demain probablement le petit rhume de M. X ne sera plus qu’un souvenir, mais sa condamnation à la prison d’été restera bien présente.
C’est à vous dégouter d’être un bon français, quand on pense à tous ces antivaccins qui se la coulent douce à la plage…. Il en est même qui se bécotent sur les bancs publics.
Enfin ce n’est pas très grave, la même bureaucratie d’Etat, en d’autres temps, aurait pu l’envoyer croupir dans les tranchées de Verdun ou, un peu plus tard, travailler dans une usine Messerschmitt loin de chez lui.
Ça boume… évidemment cette histoire n’existe pas, comment pourrait-elle exister ? Notez que… Enfin, bon.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Oyez l’histoire désopilante de M. X"
C’est la question qui me vient à l’esprit lorsque je vois fleurir les pancartes affichant le mot “liberté”, portées par des personnes qui demandent certes un autre Etat mais surtout autant — voire plus — d’Etat.
L’exigence ne doit pas se résumer à être libre, mais à pouvoir jouir du droit d’être responsable de soi.
C’est la responsabilité qui mène à la liberté, sans elle la liberté est au bon vouloir des autres, de ceux qui se prétendent responsables. Elle est donc limitée, semblable à celle que l’esclavagiste concède à ses esclaves.
Nos maîtres n’ont qu’une idée en tête : nous déresponsabiliser. La majorité est d’accord, c’est ainsi qu’elle perd, jour après jour, sa liberté.
La révolution avait pour ennemi les corporations. Aujourd’hui, la nouvelle révolution à faire passe évidemment par l’anéantissement de Bercy, la priorité des priorités, mais aussi par la fin des corporatismes que Bercy a indirectement installés.
Nous avons tous conscience que toute responsabilité nous est refusée.
Sur les choses essentielles de notre vie, notre pouvoir de décision, notre prise de responsabilité, nous ont été volés.
C’est ainsi que :
– Vous ne pouvez pas défendre vos droits vous-même devant la justice, vous devez passer par la corporation des avocats.
– Vous ne pouvez pas bâtir vous-même votre environnement, en être responsable, vous devez passer par la corporation des architectes.
– Vous ne pouvez-pas commercer librement, vous devez passer, dès un seuil de surface modeste, devant des commissions corporatistes pour ouvrir boutique.
– Vous ne pouvez-pas choisir vos soignants et vos soins vous-même, vous devez suivre vos référents et les protocoles décidés par la corporation de la santé.
– Vous ne pouvez pas choisir les études que vous souhaitez, vous devez suivre la voie tracée pour vous par la corporation des enseignants réunie sous le vocable de l’Education Nationale.
– Vous ne pouvez plus vous déplacer librement, organiser sans contrainte vos rencontres, vous devez subir la surveillance de l’Etat, de la corporation de ses fonctionnaires…
– Vous n’êtes plus libre d’exprimer votre pensée. Les outils dédiés sont peu à peu assujettis à la maîtrise de la corporation des informateurs, maitres de la propagande, seule admise.
La liste est illimitée….
La population a-t-elle, en échange de toutes ces restrictions à ses libertés, obtenu le statut d’irresponsabilité dont elle rêve majoritairement ?
Non, évidemment.
Car la somme des décisions prises dans ces conditions, c’est à dire sans responsable, ne peut qu’amener à une situation de catastrophe dont la population, et elle seule, paiera la facture.
Marché de dupe ces pancartes exigeant la liberté et non le droit d’être responsable.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Que feriez-vous de votre liberté ?"
Comment ? Monsieur Macron a inventé le passe sanitaire, bien compliqué et qui fâche bien du monde. On pourrait faire beaucoup plus simple.
Un non-vacciné qui tombe malade, même un tout petit peu, première punition, on lui interdit le Doliprane, sous toutes ses formes.
Et on lui impose, immédiatement, et sans attendre, un traitement précoce de son choix : protocole Raoult, Ivermectine…
Et puis, si ça ne passe pas, interdiction d’être pris en charge par quelque structure hospitalière que ce soit, à la seule exception d’un certain institut à Marseille (19-21 Boulevard Jean Moulin, 13005 Marseille).
Avec un tel programme, tenez le pour certain, plus personne ne songera à éviter la vaccination !
Il est d’autant plus urgent de mettre en place mon système qu’il devient de plus en plus évident que le passe sanitaire est aussi un passe maladie. En effet, un vacciné peut malgré son vaccin contracter la maladie, même sans le savoir, puis, fort de son passe, contaminer tout le monde autour de lui, sans frein ni problème.
Michel Georgel
Partager la publication "Donc, c’est entendu, les non-vaccinés sont très vilains et très dangereux."
Lorsque j’étais jeune nous étions vaccinés contre la poliomyélite pour éviter d’attraper cette maladie.
Aussi contre la tuberculose, encore pour ne pas la contracter.
Pareillement pour la rage, le tétanos, etc…
Lorsque nous partions vers des pays tropicaux, nous nous vaccinions pour ne pas revenir avec les fièvres qui y prospèrent.
Le vaccin était, pour le public, synonyme de protection personnelle.
L’optique n’était pas de protéger les autres de la rage, du tétanos, de la poliomyélite, etc…
Aujourd’hui
Nous devons nous vacciner pour protéger les autres !!!!
C’est quoi ça ? Une bonne explication serait la bienvenue.
Pourquoi les autres ne se vaccineraient-ils pas pour être protégés, et s’ils le sont quels risques courent-ils si je ne le suis pas – ce qui n’est pas le cas, je suis vacciné –.
C’est d’autant plus difficile à comprendre que deux paramètres sont contrariants :
– Les vaccinés peuvent être porteurs et transmettre la maladie, parait-il …
– Les vaccins ne sont pas une maladie bégnine injectée nous classant dans la catégorie des “touchés-pas-coulés” qui génèrerait l’immunité collective liée à un COVID repu, ils sont un rideau artificiel d’anticorps qui laisse COVID sur sa faim. Que devient un COVID mort de faim ? Le sait-on ?
Alors
Quand on nous accuse d’irrespect pour les autres en cas de non-vaccination, alors que le vaccin que nous avons reçu ne protège que nous puisqu’il nous laisse porteur et transmetteur sain, que ce vaccin est déjà ou sera rapidement périmé face aux mutations de COVID, j’ai l’étrange impression d’être anormalement pris pour un con.
Ça commence à faire beaucoup
– L’éducation nationale qui a tenté de me faire croire qu’en suivant ses conseils je serai à l’abri du besoin.
– La justice qui a tenté de me faire croire qu’elle était capable de rendre… la justice
– La police qui a tenté de me faire croire qu’elle était là pour veiller sur la sécurité de ma personne et de mes biens.
– Bercy qui a tenté de me faire croire qu’ils prélevaient un impôt juste au profit des déshérités.
– Maintenant l’hôpital qui tente de me faire croire que la vaccination n’est pas une tentative désespérée pour camoufler la misère de ses moyens, de ses capacités.
Je suis vacciné pour les autres, ruiné pour les autres, endetté jusqu’au trognon pour les autres, soupçonné d’indiscipline pour les autres, assigné à résidence pour les autres, victime de la propagande pour les autres, venu sur cette terre exclusivement pour les autres…
J’en ai largement marre… marre… marre… des autres.
Sous nos yeux le pays se délite, exactement comme pendant les années 1930.
L’histoire a prouvé que les hommes de cette époque n’étaient ni faibles, ni sots, ils ont su en cinq ans sortir du piège dans lequel ils s’étaient fourrés en 1939. Certes les alliances de l’époque les ont aidés, mais n’est-ce pas le but des alliances ? Rien donc de dévalorisant.
Il est stupéfiant de constater que la dérive d’aujourd’hui, qui nous rapproche du chaos, possède les mêmes fondamentaux que celle d’hier : la croyance fatale.
Cette croyance fatale est la suivante : “les hommes doivent être — ou sont — tous égaux.” (je ne parle pas de l’égalité en droit évidente, mais de l’égalité en fait)
Cette croyance est marquée au fer rouge dans nos esprits depuis deux mille ans, elle porte en elle l’irrespect des faibles — ils n’existent pas puisque nous sommes tous égaux –, l’irrespect des différences pour la même raison, et elle sacralise le règne de l’hypocrisie qui permet d’occulter la vérité.
A moins que vous ayez les yeux et les oreilles bouchés, que vous habitiez en un lieu ou internet ne vous est pas accessible, vous ne pouvez pas être passé à côté de la diversité des hommes.
Il n’est pas un blog, un journal du net, un site marchand, qui ne soit inondé de commentaires, et leur diversité — du plus intelligent au plus con — n’est pas une vue de l’esprit mais un constat inévitable.
Oui, non seulement les hommes ne sont pas égaux dans leurs corps, mais ils ne le sont pas non plus dans leurs têtes.
C’est un fait, aller contre est mensonger, stupide et nocif pour tous.
Ajoutons que ces différences, sur une vie, génèrent des surprises. Ce n’est pas fatalement le plus fort qui est le moins malade, qui vit le plus vieux, ni le plus intelligent qui réussit le mieux, etc… tout cela est brassé par la vie. Modifier ces différences, tenter de les gommer au lieu de les assumer, fait plus de mal que de bien.
Etes-vous conscient que votre vie est conditionnée par cette croyance ? C’est peu probable.
Et pourtant, c’est par rapport à elle que vous vous situez, que vous pensez, que vous agissez, soit en accord avec elle, soit en réaction contraire à elle. Elle ne vous lâche pas, vous n’êtes pas libre. Nous ne sommes pas libres.
Pour imager mon propos, je vous propose quelques lignes de Sylvain Tesson, prises dans “Le téléphérique”
Il s’amuse à décrire les types de Russe qu’il pense déceler dans ce peuple, et notamment : “Le Businessman arriviste enrichi par la chute de l’URSS : parasite qui doit sa prospérité au dépeçage de l’Union soviétique, individu flasque, blanc et gros, cachant son manque d’éducation et sa crasse culturelle sous des vêtements lamentablement assortis, un amas de gadgets prétentieux et la satisfaction de soi-même, possède davantage le sens du kitsch que du beau, souvent moscovite, considère la nature comme un parc d’attraction et les bêtes sauvages comme des cibles pour le tir à la carabine”.
Sylvain Tesson est agréable à lire. Fils de bourgeois, il a fait normale sup, sa vie d’enfant gâté de pays riche l’a amené se promener courageusement dans les contrées reculées de la terre où l’homme vit misérablement. Il fait de cette misère une star intellectuelle. Béatifiée elle alimente ses livres et son compte en banque.
Chez le Russe qui prend son destin en main, qui sort ce pays de la folie égalitaire qui a tant tué, ruiné, écrasé, il ne voit que l’inélégance. Il passe à côté de l’intelligence, du travail, de la vérité, de la vie, tant il a été biberonné à l’idée que les hommes étant tous égaux, l’économie, ses lois dures, implacables, serait un espace inférieur.
Il est proche de Balzac décrivant la provinciale, illisible aujourd’hui.
Il est la pensée commune, l’hypocrite égalitariste qui dévalorise les différences, nivèle les compétences, notamment en économie où elles sont criantes, terriblement visibles.
L’égalité, pour tuer l’économie, a inventé la fonction publique et sa bureaucratie.
Le gag COVID, qui fait rire jaune la France comme la misère économique faisait rire jaune l’URSS, est l’avatar de l’égalitarisme.
La bureaucratie Macron tente de mettre en perspective égalitaire une maladie, ses victimes. La tentative est pathétique, les mensonges engendrés grotesques.
Le résultat va être à la hauteur de la bêtise qui anime cette utopie égalitaire face aux virus.
Mais qui va prendre conscience de cette situation, de son origine, de son mécanique développement, du résultat à venir.
Personne, car la croyance est là, toujours là, elle défigure la réalité, empêche toute remise en perspective, toute solution, elle amplifie un dialogue de sourds où tous sont d’abord et avant tout des croyants en l’égalité, incapables d’agir objectivement en respectant les hommes et leur liberté.
Devant ce qui est d’ores et déjà annoncé comme une quatrième vague, l’administration est en train de prendre un certain nombre de mesures portant clairement atteinte à la liberté individuelle et à propos desquelles on peut légitimement se poser quelques questions. Il s’agit notamment de :
-l’extension du Pass sanitaire,
-l’obligation de vaccination sous peine de licenciement.
-la fermeture des hôpitaux aux non vaccinés, sauf cas d’urgence médicale, à compter du 1er août.
Certes le nombre de contaminations au variant delta explose, selon les statistiques officielles, mais pas le nombre de morts ; ce qui permet effectivement de valider la stratégie de vaccination.
Visiblement, paniqué ou pas, le gouvernement veut absolument contraindre la totalité de la population à se faire vacciner et est décidé littéralement à « pourrir » la vie des récalcitrants.
Est-ce que cela justifie de prendre toutes ces mesures ; car on voudrait mettre les gens dans la rue qu’on ne s’y prendrait pas autrement !
Personnellement, je suis pour la vaccination et, d’ailleurs, je suis vacciné ; ce qui m’a aussi facilité le voyage vers la Grèce.
Néanmoins, le flot de mesures prises ou sur le point de l’être relève d’un acharnement administratif totalement hors de proportion avec les risques encourus ; ce qui nous ramène, encore une fois, au pouvoir exorbitant dont dispose l’administration dans ce pays.
Car, de quels moyens d’action dispose le fonctionnaire ?
La contrainte et la coercition et c’est ce qu’il fait car, matériellement, il ne produit rien mais veut donner le sentiment de l’action face, il est vrai, à une population versatile, inquiète pour ne pas dire narcissique et hypocondriaque pour une partie d’entre elle …
Alors, entre la peur d’être taxé de n’avoir rien fait, le reproche de l’incompétence, voire du laxisme, le gouvernement se livre au chantage en imposant des mesures coercitives contradictoires comme le ferait le gouvernement chinois avec son désormais fameux « crédit social ».
On pourrait affirmer, comme dans l’adage populaire, que le chef a toujours raison … jusqu’à un certain point toutefois car, à bien y regarder, ces mesures discriminatoires, qui aboutissent à exclure toute une partie de la population, sont de même nature que celles qui ont été prises à partir de juillet 1940 pour ostraciser les juifs ; à cette différence près que l’Etat français de Vichy n’était pas un Etat de droit alors que la France d’aujourd’hui l’est encore ….
Evidemment, la comparaison peut paraître « audacieuse », voire abusive, surtout de la part des thuriféraires du pouvoir, mais il faut être conscient qu’à un moment ou à un autre les obligations juridiques mises à la charge des uns et des autres seront examinées par les juridictions de ce pays et qu’il en résultera un certain nombre de conséquences dont pour l’instant nous ne pouvons qu’esquisser les contours.
Le pass sanitaire
Il ne devait pas être obligatoire selon les propres propos du président et désormais, il l’est dans des conditions dantesques parce que totalement inapplicables entre les rayons de supermarchés autorisés et ceux interdits, les grandes surfaces et les moins grandes et enfin les personnes qui ont besoin d’avoir accès à des produits de première nécessité mais qui ne sont pas vaccinées !
Son imposition relève de pratiques kafkaïennes car non seulement il porte atteinte à la liberté d’aller et de venir mais aussi impose des contraintes intolérables, et dans la pratique inapplicables, aux magasins et centres commerciaux. Pour tout dire, en raison des flux de personnes très importants dans ce type de lieux, il va leur falloir embaucher une armée de vigiles pour faire les contrôles ; ce qui n’est tout simplement pas possible.
On voudrait tuer le commerce qu’on ne s’y prendrait pas autrement car qui va tolérer de faire la queue pendant des heures pour faire valider son pass et faire ses courses ; si tant est que le pass présenté est bien celui de la personne qui le présente (on parle déjà d’un trafic de QR codes) !
Par ailleurs, les contrôles d’identités, un moment envisagés, ont dû être abandonnés car seul un OPJ dûment assermenté peut faire un tel contrôle. La censure du conseil constitutionnel et des tribunaux était inévitable ; ce type de question ayant été déjà jugé à propos de contrôles d’identité effectués par des huissiers de justice dans le cadre de procédures d’expulsion d’occupants de squats encadrées par la police.
Un huissier de justice, tout assermenté qu’il est, n’a pas le droit d’exiger vos documents d’identité pour effectuer une telle vérification !
On a là l’exemple typique de la vision administrative de la vie en société inapplicable dans les faits avec toutefois ses dérogations puisque les députés, même non vaccinés, auront quand même accès à l’hémicycle au nom du principe du libre exercice et de la permanence du pouvoir !
Le licenciement des récalcitrants
Par ailleurs, faire voter, dans l’urgence, par des députés littéralement « aux ordres » une loi pour prévoir le licenciement pur et simple des salariés qui ne voudraient pas se faire vacciner relève à la fois de la dictature administrative pure et simple et de l’ignorance juridique.
Les employeurs l’ont bien compris et en ont tiré immédiatement les conséquences pratiques.
Ils ne veulent pas se retrouver les dindons de la farce bureaucratique d’avoir à payer les indemnités de licenciement des salariés réfractaires ; ce qui signifie qu’ils ne veulent pas assumer les conséquences financières de décisions qui leur échappent et qui relèvent de la seule responsabilité de la puissance publique !
Car, ce qu’on demande aux employeurs, ce n’est rien moins que d’assumer financièrement le cout d’une décision de l’administration et de licencier un salarié dont, au demeurant, ils sont parfaitement satisfaits ; ce qui rend la mesure encore plus incohérente !
En outre, le motif du licenciement lié à la non vaccination est étranger au droit du travail, il est étranger au travail tout court et a trait seulement à la vie privée du salarié dans laquelle l’employeur n’a pas le droit d’intervenir !
Il ne fait donc pas de doute que l’administration fait prendre aux employeurs des risques dont l’importance ne semble pas avoir été mesurée et que ceux-ci risquent des sanctions très lourdes devant les juridictions sociales (prud’hommes et cour d’appel chambre sociale) pour des licenciements qui seront qualifiés d’abusifs (sans cause réelle et sérieuse) !
En outre, hormis le cas du licenciement pour faute, inapplicable en l’espèce, le salarié a droit à ses indemnités de licenciement qui sont, minimum légal oblige, d’un dixième de mois par année d’ancienneté (certaines conventions collectives sont plus généreuses) ; ce qui peut faire des sommes rondelettes que l’employeur peut, d’ailleurs, n’avoir même pas les moyens de payer !
Enfin, l’application de telles mesures risque de provoquer la mise en péril de l’entreprise du fait de l’obligation de se séparer de plusieurs salariés indispensables au fonctionnement de celle-ci !
On peut donc se demander si ce texte de loi supportera la censure du conseil constitutionnel eu égard à ses dispositions attentatoires à la liberté individuelle, au droit du travail, à la responsabilité financière du principal intéressé, l’employeur, pour des salariés qui vont se retrouvés littéralement « jetés à la rue » !
On imagine aisément que les salariés licenciés et privés de revenus se retourneront d’abord contre leurs employeurs puis contre l’Etat responsable de cette situation ; tout comme on peut imaginer aisément que les employeurs condamnés se retourneront aussi contre l’Etat pour se faire indemniser des frais indûment supportés et ils auront raison !
On peut enfin légitimement se demander quelles sanctions seront prises à l’encontre des employeurs qui refuseront d’appliquer la loi après avoir estimé qu’il y aurait beaucoup plus de risque à licencier qu’à ne pas le faire ?
Enfin, au regard des salariés de la fonction publique, notamment hospitalière, il y a aussi un gros problème car, du fait de leur statut, on ne peut pas les licencier. Ils doivent être révoqués puisque ce sont des fonctionnaires !
Là encore, outre la désorganisation des services, le risque d’une grève n’étant en outre pas à exclure, se posera à terme la question de la responsabilité de l’Etat !
La fermeture des hôpitaux aux non vaccinés
Cette mesure est tout simplement inadmissible et de toute façon inapplicable.
Tout d’abord, elle va à l’encontre du serment d’Hippocrate et surtout, en cas de problème médical grave qui ne serait pas détecté, entrainerait la mise en cause de la responsabilité de l’établissement et des médecins, pour non-assistance à personne en danger et refus de soins ; ce qui relève de la justice pénale …
Aucun médecin conscient de ses devoirs et de ses responsabilités ne prendra donc le risque d’un tel refus et trouvera toujours une manière de contourner cette interdiction.
En conclusion :
On a compris que ces mesures de discrimination et de stigmatisation d’une partie de la population non seulement relèvent du chantage et d’une idéologie sécuritaire qui n’a rien à faire dans une démocratie mais elles sont inapplicables dans les fais ; compte non tenu fait qu’elles vont générer un grand nombre d’exclusions et de dérogations qui vont leur retirer tout effet pratique.
Il est malheureusement regrettable que les parlementaires, dont les pouvoirs sont déjà réduits à la portion congrue du fait des dispositions de la Vème république, se laissent embarquer dans cette aventure dont les français sauront se souvenir en temps utile ; soyons-en certains !
Ces mesures, tout comme les confinements, ne servent à rien et n’auront qu’un effet mortifère sur une économie déjà exsangue ; la reprise tant annoncée ne pouvant avoir lieu !
En tout état de cause, les manifestations se multiplient d’ores et déjà contre ces mesures sécuritaires et le gouvernement a pris là un risque dont il n’a semble-t-il pas pris la mesure … compte non tenu des autres sujets de mécontentement (fin du quoiqu’il en coûte, écologie punitive, instauration de ZFE qui, dans les faits, vont interdire à certains de pouvoir aller travailler) qui ne sauraient rester bien longtemps sans réaction qu’on peut redouter violente.
Qui a dit que le gouvernement brassait du vent ?
Bien cordialement à tous !
Απο την Ελλαδα – Παρος (De la Grèce – Paros)
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