Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Ce n’est pas ce soir que l’on reviendra aux fondamentaux.

Une minorité de Français a voté pour quatre super-minorités qui se crêpent déjà le chignon pour savoir comment elles pourraient se transformer en majorité pour gouverner le pays.

Je rêve.

Un peu de pudeur ne ferait pas de mal.

Ces professionnels de l’arnaque politique, matheux et boutonneux, pourraient puiser dans leurs souvenirs scolaires et admettre qu’en tant que minorité ils n’ont aucune légitimité démocratique. Ce serait un premier pas.

Leur demander de revenir aux fondamentaux est sans doute trop espérer de leur intelligence, de leur intégrité et de leur suffisance.

Ils ont cru disposer de l’opinion publique par le mensonge et la démagogie, c’est raté.

Mais les dégâts qu’ils ont fait ont laissé des cicatrices profondes.

Ainsi l’opinion publique ne fait plus la différence entre la consommation et le capital, comme en d’autres temps elle a été entrainée à confondre croyance et raisonnement.

Ils brulent le capital pour que l’opinion ne comprenne pas leurs pillages, comme d’autres ont brulé les livres pour que l’opinion ne comprenne pas la suppression des libertés, l’installation du pouvoir absolu.

Mais, sans capital l’économie meurt. De philosophique, la haine du capital est devenue structurelle, tout est organisé pour cela.

Ces pauvres hères élus vont aller hébétés vers une faillite colossale, tentant de séduire l’immense minorité qui les a, pensent-ils, porté au pouvoir, en augmentant leurs pillages pour augmenter leurs distributions de monnaie séductrices.

Ce sera à celui qui distribuera le plus. C’est notre demain.

Alors qu’il serait fondamental de :

  • Remettre le capital au centre de l’organisation, le protéger ainsi que ceux qui savent le faire fructifier.
  • Calculer la part du capital disponible au service de la collectivité en fonction du capital global, et organiser la dépense publique en la limitant à la somme ainsi disponible.

Rien de plus. Pas besoin d’aller minauder à l’ENA pour ça.

Vous trouvez que c’est trop simple ? Normal, c’est le but de la propagande qui vous inonde.

Bien à vous. H. Dumas

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Honneurs aux abstentionnistes

Il y a quelques années, mon voisin et ami a été saucissonné, lui et son épouse, par deux malfrats armés. Ils les ont aspergés de gaz d’autodéfense, les ont menacés de les noyer dans leur piscine, de mettre le feu à leur maison, de les tuer. Ils ont fouillé toute la maison. Ils sont repartis trois heures plus tard avec quelques bijoux et la voiture de mes amis, en laissant derrière eux une maison dévastée et leurs victimes choquées à vie. La police n’a jamais élucidé cette affaire, la voiture a été retrouvée carbonisée quelques jours plus tard.

Je me dis que si ces voyous pouvaient se présenter aux élections, qu’ils soient les seuls candidats, il ne resterait que l’abstention comme recours démocratique.

J’ai moi-même été saucissonné par les hommes de l’Etat français et leur clique, dont je vais faire un organigramme dans quelque temps — en ce qui concerne ceux que j’ai eu à affronter — Ils le méritent.

La différence avec mes amis est que la loi était du côté de mes saucissonneurs alors qu’elle était contre les leurs. Cela n’a absolument rien changé au final : les saucissonnés ont perdu, les saucissonneurs restent impunis.

J’ai été attaqué sauvagement par des délinquants fiscaux, des saucissonneurs aux ordres des hommes de l’Etat, ils m’ont totalement immobilisé, me projetant à terre par le blocage de l’intégralité de ma trésorerie professionnelle.

De plus, ils m’ont jeté en pâture à l’opinion publique en me qualifiant de “fraudeur fiscal”, et ont trouvé une magistrature complice pour leurs actions criminelles.

La torture n’a pas duré trois heures, elle dure depuis vingt ans.

Aujourd’hui, après avoir mis mon patrimoine et mes activités en charpie, ils se partagent leur premier butin. Soit 410.697 € le mois dernier, un peu plus de 600.000 € le mois prochain. Je suis, moi aussi, choqué à vie. Comment vais-je réagir ? Je ne le sais pas encore, pour l’instant je suis au stade de la sidération qui ponctue la fin de la résilience.

Globalement

Les délinquants fiscaux, contrôleurs-pillards des hommes de l’Etat, mentent à l’opinion publique, qui les croit. Alors qu’ils savent parfaitement qu’ils pillent, et exclusivement pour servir leurs intérêts, ils prétendent agir pour le bien commun.

La situation est semblable à celle de l’église. Les curés savaient que structurellement leurs rapports à la sexualité généraient majoritairement chez eux des désordres sexuels personnels, dont le pire fut la pédophilie. Tant que l’opinion publique crut aveuglement à leurs mensonges, les curés cachèrent cette tare structurelle. Mais ils la connaissaient parfaitement. Quand l’opinion publique commença à déserter les églises, à pratiquer l’abstention par son absence, les curés durent avouer leurs turpitudes.

L’abstention est une très grande force.

Nos hommes de l’Etat mentent, ils ne gèrent pas le pays que nous leur avons confié en respectant les règles précises dictées par notre constitution, dont la liberté et la propriété privée.

Ils mentent en prétendant établir un égalitarisme qui ne sert qu’à piller sans apporter, qui n’est que leur fond de commerce, qui n’a aucune autre existence mais génère de lourdes perversions.

Par exemple :

  • Ceux qui ont sacrifié la moitié de leurs revenus pour une organisation de la santé — la meilleure du monde –, n’ont plus d’hôpitaux en état de marche.
  • Ceux qui ont cotisé par répartition pour leur retraite, reçoivent des retraites ridicules.
  • Ceux à qui l’on vente la nécessaire protection commune comme excuse à leur pillage, n’ont plus d’armée, plus de police et plus de justice.

Et voilà qu’à l’occasion d’élections fondamentales, les candidats sont tous, sans aucune exception, pour une augmentation du pillage, pour une limitation renforcée de la liberté.

Est-il une autre solution que l’abstention ?

La pensée majoritaire du pays, celle qui veut plus de liberté, plus de propriété privée, plus de responsabilité, plus de respect pour le mérite et le courage, représente 55% environ des électeurs. Elle s’abstient. Respect.

Bien à vous. H. Dumas

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Revient-il à l’État de décider de ce qui est juste ?

Ça alors !!!

Voilà un sujet de Bac qui en dit long sur l’Education Nationale, notre démocratie et l’abstention massive de l’électorat.

Car enfin, l’Etat : c’est une abstraction. Cela n’existe pas.

Il est une nation, un territoire où les hommes sont parqués depuis si longtemps que leurs intérêts et leurs personnalités ont abouti à une société, voire une civilisation, mais d’Etat point.

Effectivement, nous supportons des hommes de l’Etat qui disent représenter cette abstraction et exigent le pouvoir.

Mais que l’on prenne cela au sérieux, que l’on puisse faire croire à la jeunesse qu’existerait une réalité sublimée qui s’appellerait l’Etat, qui serait douée de capacités particulières, est ridicule. Bien plus, c’est une ouverture à tous les excès que nous connaissons. C’est grave.

Mon fils a une image amusante de l’Etat.

Il fut un temps où les trottoirs de nos villes étaient constellés de crottes de chiens. Il fallait à cette époque éviter les semelles à crampons…

L’Etat de l’époque prit le problème à bras le corps. Fut alors inventée la “motocrotte”.

Véhicule futuriste, monté par une sorte d’astronaute casqué et botté, équipé d’un tuyau avaleur que le préposé tenait au-dessus de la crotte de chien dans le but, pas toujours réussi, de l’aspirer.

Motocrottes et piétons étaient sur les trottoirs pris dans un tourbillon endiablé et soupçonné de mauvaises odeurs.

Malgré une densité sans cesse en augmentation, la lutte paraissait vaine, la crotte de chien croissait au même rythme que les motocrottes.

L’Etat, qui n’existe pas, avait fait comme à son habitude pour faire croire à son existence. Les hommes de l’Etat avaient collectivisé un problème personnel au nom de l’Etat. Ce fut un échec. Au contraire se fut la démonstration de l’abstraction de l’Etat et de son impuissance à se substituer aux responsabilités individuelles.

C’est alors que, tout simplement, le législateur a décidé de punir lourdement tout propriétaire de chien qui laissait son animal se soulager dans la rue.

Une petite dizaine d’années plus tard, chacun ramassait les crottes de son chien, sous peine de contravention et de l’opprobre des passants.

Moralité, aujourd’hui les motocrottes ont disparues et les crottes de chien aussi, il a suffi de responsabiliser les propriétaires de chiens.

Il en est ainsi pour tout.

Comment l’Etat, cette abstraction pourrait décider de ce qui est juste ?

Pourquoi l’Education Nationale n’explique-t-elle pas à notre jeunesse que l’Etat n’existe pas, que ceux qui tentent de faire avancer notre communauté par intérêt personnel, ou quelques fois mais rares par altruisme, n’ont nul besoin de se cacher derrière un postiche : l’Etat.

Ils auraient tout à gagner en étant en première ligne, en assumant leur rôle d’hommes de l’Etat, sans inventer cet Etat potiche et ventriloque, à qui ils font dire n’importe quoi.

La majorité de la population est hermétique à la philosophe, on la comprend. Elle ne va plus voter, elle a donc compris.

Pauvre Education Nationale…

Bien à vous. H. Dumas

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Guerre : mensonges et croyances

La guerre en Ukraine a atteint un point de non-retour.

Les ravages de l’armée russe ne permettent pas d’imaginer une fin des combats sans la totale destruction d’un des ennemis. Celui-ci étant alors obligé d’accepter, au-delà de la défaite, de payer tous les sinistres donc d’être dans l’impossibilité de rétablir une économie vivable, en fait il disparaîtra.

Les deux belligérants vont donc en découdre jusqu’à la dernière goutte de sang disponible.

Pendant ce temps, la guerre va-t-elle se répandre, toucher d’autres nations ?

Ma réponse est oui. Elle sera mondiale.

En réalité deux croyances et leurs mensonges s’affrontent.

Les croyances

Il s’agit de l’idée communément répandue que chacun de nous, que chaque homme, n’aurait pas à assumer sa vie, à n’obtenir que ce qu’il peut obtenir par ses propres moyens. Que, par un miracle de la bonté des autres, son angoisse existentielle pourrait être prise en charge par un être indéfini : Dieu ou hommes.

Il est deux définitions de cet intervenant miraculeux :

  • L’homme providentiel, ici Poutine.
  • La bonté naturelle du groupe, là Biden.

C’est la guerre de l’autocratie contre la démocratie.

Les mensonges

Les deux intervenants sont des menteurs, pour diverses raisons liées à leur condition de simples être humains, ils ne sont pas capables d’apporter ce que la croyance qui les soutient imagine.

Les autocrates ont rarement les capacités intellectuelles et circonstancielles de mettre en œuvre l’organisation juste qu’ils laissent supposer, et de toute façon leurs thuriféraires ayant chacun l’espoir d’un système le favorisant personnellement, le mur de l’impossible est vite atteint.

Quant aux démocraties, leur consommation de dirigeants serait telle si elles étaient libres, que pour trouver une stabilité à leur pouvoir les élus mentent effrontément à leur population.

Le face à face

Poutine est l’archétype de l’autocrate imbécile et prétentieux qui se prend lui-même à ses propres légendes et s’imagine capable de prendre en charge la vie des membres de son pays, mais à condition qu’ils se soumettent intégralement. C’est-à-dire qu’ils ne revendiquent aucune existence en temps qu’êtres libres.

Biden est l’archétype du démocrate qui prétend répandre le bien, assumer le poids de la vie pour les plus égarés, mais en en faisant porter la charge à des boucs émissaires prédéfinis qui, du coup très affaiblis, le laissent seul face à ses délires, qu’il comble par la dette, aussi bien matérielle que morale. Il n’est en réalité porteur que de faillite, morale et économique.

La croyance

L’humanité croit globalement à ces deux mensonges, au point d’en venir aux mains. Les forces portant ces deux mensonges sont équilibrées, il n’y a pas de voie centrale, pas de raison. Tout cela est irréversible.

La troisième guerre mondiale est lancée sans point de retour.

L’espoir

Certains imaginent que l’avènements des réseaux sociaux serait de nature à faire prendre conscience à chacun qu’il est seul face à son destin. Qu’à travers ces réseaux, chacun pourrait acquérir les connaissances nécessaires à l’acceptation de sa place personnelle parmi les hommes, qu’ainsi plus personne n’aurait à solliciter autocrates ou démocrates, que la paix arriverait donc.

Bon je laisse à chacun apprécier cette hypothèse en fonction de ce qu’il voit ou comprend sur les réseaux. Peut-être que…

Bien à vous. H. Dumas

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C’est ballot…

Les images de vidéosurveillance du Stade de France, prises lors de la mémorable soirée du 28 mai 2022, match opposant le Réal de Madrid à Liverpool en finale de Ligue des champions de l’UEFA, se sont effacées elles-mêmes.

C’est vraiment ballot.

Imaginons les évènements à la lueur des informations qui nous sont accidentellement parvenues.

Accompagnée de sombres prédictions, sur l’échelle de Richter des mouvements cycliques de la masse mouvante des « supporters », la soirée avait été hyper organisée par le Préfet Lallement et le Ministre Darmanin.

Les deux acolytes s’étaient largement inspirés pour cette organisation de la célèbre émission télévisuelle, animée il me semble par Laurent Ruquier : « C’est pas moi, c’est lui ».

Ainsi avaient-ils prévu : du muscle à foison et de l’armement sophistiqué en gaz et matraques, ainsi que des lunettes de vision explicative. Ces dernières, création de notre complexe militaro industriel, à la fois jumelles et œillères, sont discrètement installées au revers du nouvel uniforme carbone anti-crachat des forces de l’ordre.  Elles permettent de détecter les nationalités et les porteurs de faux-billets.

Notre Politico justice attendait beaucoup de cette organisation. Elle ne fut pas déçue.

C’est 30.000 faux billets qui ont été repérés, tous entre les mains d’anglais.

Parallèlement à ce succès logistique, un déferlement d’incivilités — qui n’impressionna ni Lallement ni Darmanin en fins habitués qu’ils sont de la chose — surprit le reste du monde.

De nombreuses menaces, vols avec violence ou tout simplement violences gratuites, se sont abattus sur les familles venues pour, en réalité, assister à un match de football. Pour faire bonne mesure ces troubles extrêmes s’accompagnèrent d’ordres incohérents, émanant des forces de l’ordre ou des organisateurs, qui bousculèrent rapidement le déroulement habituellement calme de ce type de manifestation.

Certains furent si choqués qu’ils eurent des visions d’effroi sans fondement, preuve d’atteinte grave à leur système cognitif. Ils eurent l’impression que des autochtones s’étaient mêlés à la foule des supporters pour rapiner et en découdre gratuitement.

Ces délires firent assez rapidement, d’abord le tour de la planète foot, puis tout simplement celui de la planète terre.

C’est là que Lallement et Darmanin purent intervenir en toute modestie pour clore le bec à ces délires, grâce aux observations obtenues avec leur lunettes de vision explicative.

Hélas, une grave déception les attendait.

Le plus grand nombre mit en doute l’efficacité de ces lunettes de vision explicative, y compris à l’étranger. Certains, même, sont allés jusqu’à imaginer que ces lunettes étaient un progrès technique de type « avion renifleur » … Allant jusqu’à prétendre que nos duettistes étaient de fieffés menteurs.

C’est alors qu’ils eurent l’idée de visionner les vidéos du système de vidéosurveillance du stade de France.

Mais hélas, trois fois hélas, ces vidéos, dont tout le monde parle depuis le début, que tout le monde a vu sauf nos deux olibrius, se sont effacées toute seule par désespérance, par manque de marques d’intérêt.

Drôle d’affaire, non ? Dommage.

Bercy a commandé les mêmes lunettes pour détecter les économies des Français et leurs souhaits de s’en départir entre les mains des hommes de l’Etat. Du coup Bercy est un peu inquiet….

Mais gageons que la justice et la délation compenseront les éventuels ratés de ces outils à venir. Et saluons au passage les sommes astronomiques que notre complexe militaro industriel engrange grâce à ses découvertes, que le monde nous envie et nous payera très cher, évidemment…

Bien à vous. H. Dumas

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Guerre fiscale de haute intensité

Les guerres, toutes les guerres, n’ont qu’un seul combustible : la haine.

Peut-on tuer sans haïr ? Oui, mais alors uniquement pour survivre. L’homme ne peut tuer que pour se nourrir ou pour défendre sa vie, sauf cas de délire ou de haine.

Poutine a pris la responsabilité, depuis des années, d’instiller l’idée de grandeur dans les âmes simples du peuple russe, pour ensuite désigner les Ukrainiens comme de dangereux nazis qui doivent être haïs aveuglement comme il se doit.

Dans l’absolu son attitude est étrange car les Russes ayant un territoire trop grand devraient  tenter de séduire et d’accueillir et non de conquérir de l’espace qu’ils ont déjà en surplus. Cette immensité leur fait craindre sans doute la possibilité d’être totalement dilués dans la masse que l’espace permettrait d’absorber.

Qu’importe sa logique, aujourd’hui c’est l’Ukraine que Poutine convoite, il faut faire avec.

Bien que foireux son plan marche. Il a alimenté la machine à fabriquer de la haine en exposant ses conscrits, morts en abondance, au début du déclanchement de « sa guerre », appelant naturellement vengeance et preuve de ce qu’il avançait.

Aujourd’hui il va éradiquer l’Ukraine, ses opposants internes n’ont plus d’écho, trop de haine en son pays les rendent inaudibles.

Jusqu’où iront les cercles concentriques de cette haine ira la guerre.

Très loin sans doute, jusque chez nous probablement où cette haine viendra se juxtaposer à celle que cultivent nos hommes de l’Etat.

La marque ultime, intellectuellement visible, de la haine en Ukraine est la déclaration, délirante et absolument pas crédible, de la propagande russe accusant le jeune journaliste Frédéric Leclerc-Imhoff d’espionnage pour justifier son assassinat.

Tout cela est si loin, si proche.

La haine en France est distillée par Bercy. Depuis de nombreuses années, disons cinquante ans, Bercy tape dans la caisse commune au profit de quelques’uns.

Ce faisant Bercy ne peut pas ignorer que ce vol manifeste a un terme, c’est : la faillite. Nul n’ignore que toutes dépenses inconsidérées mènent à la faillite.

Bercy a naturellement anticipé. Dans le même temps que Bercy puisait dans la richesse commune pour ses intérêts propres, en fait pour le pouvoir, Bercy répandait la haine des possédants plumés ou à plumer, de telle sorte que leur sort, leur ruine, ne puissent émouvoir personne.

Cette haine aujourd’hui est tenace, elle s’est emparée de tout le corps social, sans exception, justice comprise. Elle est suicidaire.

Elle s’imbrique étroitement dans toute autre haine passant à sa portée. Car la haine appelle la haine, c’est ainsi naturellement.

Sans aucune raison objective, le déversement de la haine en Ukraine va intensifier celle qui sévit chez nous, par simple capillarité. Et, comme Bercy est au bout du rouleau, l’explosion est imminente.

Les possédants, vrais ou inventés, déjà haïs, vont être intégralement pillés, puis déportés et assassinés, c’est écrit et ce sera la disparition de notre société.

Excessif pensez-vous ? Pouvez-vous penser autrement ? Non, la haine est là, elle emporte tout, chacun de nous inclus.

Nous sommes au point d’entrée de la guerre fiscale de haute intensité.

Je suis une des premières victimes, j’ai mis longtemps à comprendre la situation, trop longtemps. Il aurait fallu partir… trop tard pour moi. Peut-être pas pour vous. Dépêchez-vous avant que les frontières se ferment…

Bien à vous. H. Dumas

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C’est de la faute des Anglais

Scènes de pillage, de vol et de pagaille monstre au stade de France à Saint Denis, lacrymogènes et charges de nos CRS-bioniques : que de l’ordinaire… pour la France.

Le cœur des irresponsables qui s’acharne sur le bouc-émissaire de service, ici le supporter anglais : encore de l’ordinaire.

Les ministres, pourtant présents, qui ont tout vu, accusent entre 30 et 40 000 supporters anglais de s’être présentés avec de faux billets. Soit la moitié du stade. Donc, puisque le stade était complet, ce sont 120 000 personnes qui se seraient présentées aux portes.

Darmanin a dû utiliser le compteur fou des services de police, celui qui minore de moitié le nombre de manifestants opposants et double celui de manifestants favorables. Le fameux compteur alchimique des sorcelleries policières.

Il a son pendant aux services fiscaux, où il double la valorisation des biens pour les taxer et les diminue de moitié pour les exproprier.

Attention, le maire Anotin s’insurge, ce qui n’est pas anodin. Il ne manquerait plus que le monde s’imagine que Saint Denis n’est pas la cité la plus calme, la plus bisounours de la banlieue parisienne. — Encore un qui n’a jamais travaillé –. Mais il a l’œil, aucun de ses habitants n’a profité de cette affluence de la Ligue des Champions pour foutre un peu le bordel, seuls les Anglais ont pillé, volé, fait le coup de point avec les stadiers et les flics… dont acte.

Nos supporters français n’auraient jamais fait ça, nos banlieusards non plus. Si vous comparez avec Geoffroy Guichard le lendemain, vous faites du mauvais esprit. Et puis… qui prouve que les Anglais ne seraient pas passés par Saint Etienne avant de rentrer chez eux…

Tout est clair

La surprise a été totale dans le rang de nos fonctionnaires aux compétences universelles. Jamais ils n’auraient pu imaginer l’existence de resquilleurs, d’ailleurs envisageaient-ils simplement un contrôle des billets ? C’est si peu courant en France où tout est à tout le monde, pour tout le monde, gratuitement : les hôpitaux, la justice, les flics, les transports, les piscines, les lycées, les facultés, etc…

Nos fonctionnaires n’avaient jamais été débordés de la sorte par des tricheurs. Habituellement ce sont eux qui resquillent, qui prennent les meilleures places au détriment de ceux qui travaillent qu’ils volent sans vergogne.

Nous pouvons donner des leçons de vol et de combine au monde entier, le plus grand escroc du monde vit à Bercy, d’où il pille sans limite.

Evidemment c’est un peu limite comme compétence, et quand le monde entier regarde, ça la fout mal.

Alors nous passons au deuxième trait de génie de nos fonctionnaires, la délation, la victimisation et le bouc-émissaire. Le déni. La fuite, l’accusation anonyme.

Ici c’est le supporter anglais, ailleurs c’est le capitaliste… peu importe, c’est l’autre.

Nos fonctionnaires sèment la chienlit comme d’autres le Colza. Le corporatisme et l’impunité sont leurs engrais.

La récolte est prodigieuse, nos stocks sont impressionnants, malheureusement le produit s’exporte mal ou chez des indigents eux-mêmes déjà ruinés par ce type de culture toxique.

Et Macron dans tout ça ? Il se marre, il est toujours en train de se marrer. Il faut dire qu’avec sa vieille copine ils ont de quoi se marrer tant ils ont mystifié les autres. Ils s’y connaissent en termes de resquille.

La partie continue. Ce pays est entre les mains de ravis-prétentieux, cyniques et incompétents, qui se sont regroupés en corporations, qui pratiquent la politique de la connivence, qui ne peuvent que faire illusion et… pas longtemps.

Par exemple, Bercy qui a dépensé l’argent des autres, provoqué notre faillite, fait mine aujourd’hui d’être l’interlocuteur ad hoc pour organiser le pillage à venir pour rembourser les dettes. Deux fois pilleur Bercy s’autocongratule journellement.

Sont-ils fous, cons ou malhonnêtes ? Un peu des trois sans doute.

Qu’importe, pour nous seul compte le résultat de ces pensées et méthodes mortifères.

La France va disparaitre, ne me demandez pas comment je ne le sais pas encore, par contre pourquoi je le sais et je vous en parle ici billets après billets.

Bien à vous. H. Dumas

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Nous sommes tous des Présidents de La République

Les Présidents de La République, ici ou ailleurs, ne sont que des hommes ordinaires. Leur pouvoir découle essentiellement des informations en leur possession, que jusqu’à présent nous ne pouvions pas posséder.

Ils récoltaient ces informations par divers canaux. En France c’était les Renseignements Généraux à l’intérieur des frontières et la DGSE à l’extérieur.

Pour faire bonne mesure ils maitrisaient les informations nous parvenant de telle sorte que pas grand-chose nous était accessible.

Ces informations leur donnaient un temps d’avance et nous faisaient croire en leur supériorité.

Ils étaient les sachants, nous étions les ignorants.

Puis vint les réseaux sociaux

Non seulement la donne a changé, mais nous sommes plus informés qu’eux.

Voilà que les hommes de l’Etat courent après les informations que nous possédons avant eux. Extraordinaire, non ?

Les voici soudain banals, au point de pouvoir être classés en fonction de leurs réactions ordinaires aux trop-pleins d’informations, comme nous.

Il y a ceux qui trient et ne retiennent que les informations auxquelles ils croient

Ils font ce tri eux-mêmes pour certains, pour d’autres se sont leurs services qui le font. Dans tous les cas l’information triée devient pour eux une propagande au service de leurs convictions, ils perdent tout lien avec la réalité au profit d’une dépendance à leur croyance. Ils n’ont alors de cesse de nous embarquer avec eux dans leur obscurantisme, ils sont très dangereux.

Il y a ceux qui doutent de toutes les informations qu’ils reçoivent

Ceux là sont toujours indécis, sujets à des changements constants de cap dont leurs services profitent pour agir à leur guise, se moquant de leur instabilité comme d’une guigne.

Il y a ceux qui s’isolent et refusent toute information

Ceux-là ne tardent pas à perdre le sens de leur fonction. Ils s’enferment dans une tour d’ivoire qui devient rapidement leur prison. Ils sont alors les otages de leurs services qui profitent de leur aliénation pour aussi agir à leur guise.

Il y a ceux qui croient au hasard, à l’émotion

Ceux-là sont tout bêtement complotistes. Ils voient des complots partout, comme les êtres ordinaires. Ils sont ravagés par les fausses informations et peinent à faire le tri, tout en étant sujet à la crédulité, ils sont eux aussi les proies désignées de leur entourage.

Enfin il y a ceux qui ont un sens équilibré de la vie, qui trient naturellement les bonnes et les mauvaises informations.

Ceux-là sont peu nombreux. Mais s’ils sont ainsi, très vite ils constatent que leur fonction est surfaite, qu’ils ne sont que très peu ce que la population croit qu’ils sont.

Un décalage s’installe entre ce que l’on attend d’eux et les limites qu’ils se connaissent. Leur statut est une grande souffrance. Disons-le, s’ils persistent : se sont des saints.

Ils n’ont aucune chance d’être entourés de personnes partageant leurs facultés d’analyse, tant ils sont une exception. Pour toutes ces raisons, leur rareté est proche de l’inexistence.

Conclusion

Du fait de l’accès pour tous à l’information totale, la fonction de Président de La République n’a plus de réalité en temps normal, plus d’utilité.

C’est sans doute pour cela qu’une majorité petit à petit se dégage pour ne pas aller voter.

C’est clair, nous n’avons pas besoin de Président de La République.

Pas besoin, en temps normal d’un Etat fort, pas besoin de toute cette clique de profiteurs, qui ne sont que des illusionnistes qui basaient faussement leur utilité sur les informations que nous n’avions pas et que eux possédaient.

Ce temps est fini.

Je ne pense pas que, malgré tous leurs efforts, ils arriveront à tarir le flot d’informations que nous véhiculons entre nous, auquel ils n’ont pas plus accès que nous.

Demain devrait être mieux qu’aujourd’hui, sauf si de vieux kroumirs, type Poutine et Biden, viennent tout casser pour garder le pouvoir.

Bien à vous. H. Dumas

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Quand Mélenchon se prend pour Robin des Bois

Un grand nombre de Français, proches de la majorité ou même peut-être majoritaires, adhèrent à ce concept. Que dire ?

Robin des bois est un personnage fictif qui vole les riches pour distribuer aux pauvres. Je lui préfère le Père Noël qui donne à tout le monde sans voler personne.

Encore une fois me voilà à l’index, personne ne croit au Père Noël, une écrasante majorité croit à Robin des Bois ou se prend pour lui.

D’ailleurs Mélenchon ne se revendique pas du Père Noël…

Lorsqu’à 20 ans, après mure réflexion, j’ai décidé que l’honnêteté était la seule voie possible — non que l’escroquerie soit un chemin difficile, voler les autres par la force ou la ruse me paraissait au contraire d’une facilité coupable — je n’imaginais pas que l’honnêteté serait un parcours si douloureux, accompagné d’arbitrages, souvent défavorables à des gains faciles et plus immédiats, voire de lourdes pertes.

Et j’imaginais encore moins qu’un jour la société valoriserait le vol au détriment de la propriété.

Pourtant nous y sommes.

Que ce soit avec Mélenchon — à qui on pardonnera ses grossièretés liées à son éducation et à sa clientèle — ou avec tous les autres hommes ou femmes revendiquant le statut d’hommes de l’Etat : Macron, Le Pen, etc… tous, sans exception, assument l’idée de voler les riches pour donner aux pauvres.

Tous vendent l’idée que les riches ayant volé leurs possessions aux pauvres, donc les voler pour rendre aux pauvres est une bonne action.

Après tout…

L’idée peut être admise dans l’absolu de la théorie et de la liberté de penser, mais dans la pratique elle est suicidaire.

Parmi toutes les incohérences d’une telle démarche, on doit s’attacher à deux raisons essentielles et rédhibitoires : la capitalisation et la responsabilité.

La capitalisation

Nous y revenons pour la énième fois sur ce blog et nous y reviendrons sans cesse. La capitalisation est la seule méthode existante de vie et de progrès, en tout.

Accumuler et transmettre est la règle en toutes choses, y compris pour ceux qui veulent la peau du capital économique.

Pas de progrès scientifique, politique, culturel, etc… sans capitalisation.

En toute activité la détention du capital lié est confiée à une élite, alors qu’en réalité il appartient à tous. Par exemple, ce professeur de chimie qui sait et découvre, peu importe qu’il soit ou non partageur, qu’il soit ou non sympathique, qu’il soit ou non accessible, son capital de connaissances chimiques appartient à tous, qu’il le veuille ou non.

Le capital économique suit le même cheminement, il ne peut exister que chez ceux qui ont les capacités pour le créer, le faire fructifier puis le transmettre, mais il appartient à tous.

Confondre le capital et la consommation est une ineptie, pratiquement toujours volontaire et à la base de toutes les escroqueries d’Etat, qui sont les plus dangereuses, les plus nocives.

Nous avons déjà expliqué que le partage aux 10 millions de parisiens des 10 millions de livres de la bibliothèque Mitterrand, ne rendrait pas les habitants de Paris plus instruits mais détruirait inutilement le capital intellectuel que représente cette bibliothèque, il en serait de même si elle appartenait à un particulier.

Le bashing- capital est économiquement suicidaire, provoque la ruine de la société qui le pratique.

La responsabilité

Autre élément inséparable de la vie. L’enfance, période d’apprentissage et dans nos sociétés de protection, ne doit pas être confondue avec un espace d’irresponsabilité.

Or c’est absolument le cas, nos enfants en grande majorité sont incapables de devenir responsables, ils se jettent dans les bras des marchands de salades qui leur font croire qu’ils seront responsables à leur place, pour eux, qu’ils n’ont pas de souci à se faire, qu’il leur suffit de leur confier leurs vies.

Au point que cette irresponsabilité est devenue l’axe des lois, des vies, de l’organisation sociale.

Cela aussi est suicidaire.

Le mensonge

On en revient toujours à lui, il est indispensable pour vendre toutes ces conneries.

Grace à lui, le capital honnête a pu être pillé, à un point aujourd’hui de non-retour. Il n’en reste rien, que l’apparence permise par le crédit et la fausse monnaie.

Alors le mensonge s’amplifie, il n’a plus de limite.

Devant nous cette fausse monnaie, outil du mensonge, s’effondre, créé l’inflation ou plutôt la dévaluation son imitation négative, nos hommes de l’Etat, relayés par leurs propagandistes, nous font croire que COVID ou l’Ukraine seraient les responsables du désastre qui arrive.

Quelle honte. Ce sont eux les responsables, eux les égalitaristes, les Robin des Bois, qui volent et éparpillent le capital de notre pays depuis cinquante ans. Qui creusent le trou de la dette qui va nous engloutir.

Mais il y a pire, ces mensonges, la population y croit si fort qu’en leurs noms elle va demain tuer et piller les détenteurs des dernières parcelles du capital économique, laissant alors le pays ruiné et probablement en proie à une guerre civile dernier outil de pillage. Les pillards finiront chez les paysans pour voler leurs poulets. Comme les staliniens en 1932.

Être lucide ne sert à rien, au contraire…

Tout cela cache le vrai problème. La gestion de la fin de certaines matières premières. Sur ce point une seule solution, laisser faire le capital et l’imagination, c’est à dire l’inverse de la collectivisation et des plans. Cultiver la confiance et non la défiance et la coercition. L’amitié et non la haine. Le don et non le vol.

Bien à vous. H. Dumas

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Petit tribunal et grand procès

Le 9 juin 2022, à partir de 13h30, aura lieu au Tribunal correctionnel de La Rochelle, 10 rue du Palais, un grand procès.

Il y a vingt ans que je me bats en vue de ce jour.

Hélas cette lutte n’a jamais pu sortir de l’anonymat et objectivement ce ne sera pas le cas le 9 juin pour deux raisons simples : je plaide seul et je ne suis pas Badinter, le Tribunal de La Rochelle n’est pas la Cour Pénale Internationale…

Et pourtant ce sera le procès du mensonge, le procès du siècle.

Ce mensonge total et constant qui empoisonne notre vie, qui nous meurtrit, nous humilie, attente à nos âmes et à celles de nos enfants, détruit le lien social, nous amène vers la guerre par les mêmes méthodes qu’en Ukraine par ce mensonge qui sous-tend la croyance, toutes les croyances qui abusent de l’opinion publique, de la démocratie.

Qui aujourd’hui peut présenter devant la justice un dossier de vie aussi cadré que celui que je vais présenter ? Aussi exemplaire ? Personne.

Il fallait être fou pour en payer le prix en temps et en sacrifices.

Rappelons les faits :

Nous sommes sous le régime d’une constitution dont la base est la déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Nos droits fondamentaux sont la liberté, la propriété, le droit à la justice et à nous opposer à tout abus de pouvoir.

Or, nous vivons exactement le contraire de cette constitution.

Le 9 juin à La Rochelle j’en ferai la démonstration… pour rien.

D’abord ma plaidoirie sera verbale et les magistrats refuseront qu’elle soit enregistrée. Ainsi, quelle que puisse être sa qualité ou sa médiocrité il n’en restera rien. Les magistrats pourront à leur guise mentir à son sujet. Comment cela est-il possible ? C’est la loi… parait-il.

Voilà déjà un gros problème, national. Est-il imaginable que la plaidoirie d’un justiciable puisse faire l’objet d’un jugement alors que personne ne pourra jamais vérifier que ce jugement a un rapport avec ce qui a été plaidé ?

Ensuite je fais citer le Directeur des Services Fiscaux de La Charente-Maritime.

Ce Monsieur, personnellement, signe des lettres qui autorisent le pillage de mes biens. Chacun de ses ordres correspond à une bombe sur mes biens, à leur disparition totale.

Il le fait en sachant parfaitement que les sommes qu’il recouvre ne sont pas dues, que lui-même me doit de la TVA non remboursée. Il sait qu’il me condamne à la misère après une vie de travail exemplaire qu’il ne peut pas ignorer.

Il sait que les sommes qu’il recouvre sont issues d’un contrôle injustifié dicté par la vengeance de son confrère de l’Hérault, réalisé par une cellule spéciale, abusivement utilisée, qui a établi un faux procès-verbal d’opposition à contre fiscal.

Tout cela a été dénié par la justice complice. Le Directeur des Services Fiscaux en profite pour se draper dans sa dignité à quatre balles…

Ce sera l’audience de consignation, le montant de cette consignation sera salé alors que les juges savent que je n’ai pas les moyens de la payer…

Puis vient le même jour la procédure engagée par M. Fountaine, le maire de La Rochelle, qui me poursuit en diffamation. Là c’est le pompon.

Je vous propose de lire sa plainte, et l’objet de sa plainte : la mienne.

Comme vous pouvez le constater, ma plainte décortique le pillage de la propriété foncière de dizaines de familles rochelaises, et en général les méthodes mafieuses des élus rochelais sans aucune exception, ce qui est remarquable…

Les méthodes employées sont du canada-dry de justice, elles ont l’apparence de la justice, la force de la justice, mais elles sont en réalité de la connivence, de la corruption, toutes choses pour lesquelles la France se classe en bonne place mondiale.

A la décharge du maire, ces méthodes ne sont pas spécifiques à La Rochelle, mais ici j’ai pu, grâce au courage des propriétaires, en faire la démonstration.

Pas de problème pour le Tribunal de La Rochelle qui vient de confirmer la légalité de ce vol absolument contraire à notre constitution, sans aucune nécessité collective autre que l’idée géniale de “petits vols entre amis”…

Je vous joins nos arguments et l’étrange jugement qui ne répond à aucune des questions posées, qui consacre le vol…

Une schizophrénie collective

La majorité des Français croit vivre dans un pays de droit, où la liberté et la propriété privée sont les socles de l’organisation sociale, puisque c’est ce que prétend leur constitution. Hélas cela n’est qu’un délire.

La réalité est tout autre.

Une caste politique et bureaucratique dépense sans compter l’argent des autres — que ceux-ci ont beaucoup de mal à gagner — avec un seul but : acheter des voix électorales et protéger leurs privilèges.

Toutes les combines sont bonnes à ce sujet, tous les mensonges trouvent leur sens.

C’est ainsi que Bercy ment et terrorise, dévorant le capital indispensable à l’économie, l’éparpillant volontairement en le détournant de son but, générant un endettement global qui va ruiner plusieurs générations de français, cela dans la plus grande indifférence, pire avec une adhésion massive obtenue par la propagande et le mensonge.

Mais Bercy, bien que la plus fautive, n’est pas la seule administration d’Etat à couvrir ces exactions, la justice n’est pas en reste, la machine législative depuis longtemps détournée des mains démocratiques de la population est aussi de la fête. Suivent l’information, la force, la violence, le communautarisme, tout ce qui divise et affaiblit les Français.

C’est tout cela qui sera en jeu devant le Tribunal de La Rochelle le 9 juin 2022, dans la plus grande discrétion, dans l’opacité de la salle d’audience véritable huis clos déconnecté du monde, huis clos qu’en 2022 il faut avoir le culot d’imposer… Mais les juges, qui réclament la liberté, refusent d’être jugés…

Bien à vous. H. Dumas

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Bercy, un tueur démoniaque

Après vingt ans de lutte, tout va y passer.

Avec ce lien : mainlevees HLT partielles LES HAUTS DE COCRAUD vous assistez en direct au meurtre économique d’une entreprise saine, qui n’a jamais triché, qui ne doit rien au fisc, que Bercy crucifie sans scrupule.

C’est un premier acompte de 162 697,48 € que Bercy vole à partir d’un redressement totalement illégal. Il est aussi remarquable de constater que ce prédateur inclut dans ce vol une somme de 12 475 € qui est un impôt impayé et sa majoration dont Bercy porte l’intégrale responsabilité par la paralysie de l’entreprise qu’il a provoquée illégitimement.

Les cigognes tuent les malades, tout le monde pleure et désapprouve, les hommes tuent les bien-portants, tout le monde se marre et applaudit, cherchez l’erreur de la nature vénérée : https://twitter.com/i/status/1514346090199408683.

Les méthodes de Bercy, ce tueur démoniaque

Premier temps, Bercy a caché les raisons de sa venue dans cette entreprise.

A juste titre puisqu’il s’agissait d’une brigade fiscale qui n’avait aucune raison objective de venir de Paris — où elle est exclusive des très grandes fortunes — à Sète vérifier la toute petite entreprise qu’est la SARL Les Hauts de Cocraud, environ 50 000 € de CA annuel. Il s’agissait d’un acte de vendetta inavouable, destiné à réparer l’outrage d’avoir dénoncé des falsifications de Bercy, si évidentes qu’elles ont été, là aussi au bout de vingt ans, sanctionnées par la justice – un jour de grâce exceptionnel, à marquer d’une croix blanche cette sanction…

Donc, premier temps, Bercy cache légalement les motifs de sa venue chez vous, alors qu’ils sont très souvent immoraux, c’est le cas ici.

Puis vient le moment de se défendre des accusations de Bercy.

Dans cette affaire Bercy a prétendu une opposition au contrôle fiscal totalement irréaliste, à partir d’agissements illégaux des contrôleurs reconnus par la CADA. Donc le débat oral et contradictoire a été supprimé, la société n’a pas pu se défendre à ce stade. Le montant du redressement a été automatiquement doublé !!!

En réalité le déséquilibre en défense est constant même sans le stratagème employé ici, particulièrement tordu.

Le contribuable doit d’abord donner ses arguments à Bercy, faute de quoi il n’est pas recevable devant la justice. Ensuite lorsqu’il passe enfin devant les juges, il ne connait pas les arguments qui seront développés par le commissaire du gouvernement qui roule pour Bercy. Il aura déjà été saisi et poursuivi entre temps. Il ne pourra pas demander une expertise judiciaire des faits reprochés.

Il a la tête sur le billot et sa défense est totalement bridée. Il ne dispose ni d’une égalité des armes ni d’un droit réel à une défense libre.

Donc, deuxième temps, une parodie de défense pour l’accusé fiscal.

Puis vient le vol par lui-même.

Là commence le harcèlement, la terreur. D’abord l’information à tous de l’ignominie supposée du contribuable par la publicité faite du faux redressement auprès des banques et des autres acteurs économiques , qui vont le fuir dès cet instant. Donc la mise à l’écart.

Tout alors s’écroule et les naufrageurs de tout poil commencent à tourner autour du contribuable artificiellement affaibli.

Pas de résistance possible contre le troupeau de hyènes.

C’est le troisième temps : la mise à mort.

Comment tout cela est-il possible ?

Très simplement, par la menace. C’est très Poutinien. Sauf que ça marche. Il n’est aucun acte de courage qui s’oppose à ces menaces.

La possibilité de perquisition comptable sans motif expose tout le monde. La maitrise de la justice au service du fisc, l’inégalité des moyens, élimine les plus téméraires.

La propagande d’une redistribution des produits du vol séduit l’opinion publique.

La cupidité des naufrageurs et la terreur isolent le contribuable, l’affaiblissent avant sa mise à mort.

Tout cela ressemble à une corrida, à une danse rituelle macabre où les intervenants sont achetés ou menacés pour s’assurer de leur participation sans faiblesse.

Résumé :

A partir d’un petit contrôleur aigri, dont Bercy flatte le vice, qui va jouir de son méfait en redressant, en surimposant, la plupart du temps un innocent, tout va être fait pour que l’agression devienne irréversible.

Les services de Bercy, contre vents et marées, vont soutenir mordicus n’importe quelle argumentation, même la plus invraisemblable, la plus fausse, du petit contrôleur redresseur.

Les juges ne s’en mêleront pas, ils ne feront que semblant.

Aux agents du recouvrement on fera croire que s’ils ne recouvrent pas — des sommes dont ils pourraient douter — ils devront les payer à Bercy de leurs deniers personnels. Foutaise, mais ça marche…

La machine à broyer l’économie, à tuer les entrepreneurs, à mentir à la foule, à dissimuler les dérives dépensières des hommes de l’Etat, à montrer du doigt des boucs-émissaires, à les sacrifier, est en route. Elle tourne à fond, elle ne s’arrêtera que lorsque la ruine de tous sera totale.

Bien à vous. H. Dumas

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Des élections totalement inutiles

Aujourd’hui, on peut dire que rien ne va sans choquer personne. Que ce soit l’hôpital, la justice, l’enseignement, l’économie, la banque, les retraites, les assurances, le monde du spectacle, etc… la liste est inépuisable des activités en galère et de leurs acteurs qui vivent un blocage, une dérive, une insatisfaction, un échec…

Aux élections législatives, qui sont fondamentales, se présentent trois courants :

          – La Macronie, qui prétend que tout va bien et qu’il faut certes aménager mais surtout continuer.

          – Le Front National qui prône la lutte contre l’envahisseur musulman qui serait la cause de tous nos maux. Mais aussi, plus discrètement, contre le capital.

          – Mélanchon, qui lui ne voit que le capital comme cause aux dégâts, qui donc propose de l’éradiquer.

Pas une seule proposition prenant en compte la réalité.

Quelle est-elle ?

La réalité est justement que la désintégration du capital privé tue notre nation.

Nous expliquons régulièrement sur ce blog que capitaliser, c’est-à-dire accumuler et transmettre, est la base de tout progrès, de toute vie, en tout. En sciences, en culture, en philosophie, en sport, etc…et donc nécessairement en économie.

Le capital, où qu’il soit, est toujours privé.

La somme des capitaux privés faisant la force d’une nation. Par exemple, le capital scientifique est dans la tête de chaque scientifique, il est donc leur propriété privée. Il n’empêche que placé là il reste à la disposition, immédiatement ou ultérieurement, de la nation, sauf si le scientifique persécuté part avec ce capital ailleurs, où il devient alors la propriété collective du “ailleurs”.

Le capital, toujours en tout, ne peut être créé ou entretenu et transmis que par ceux qui possèdent les qualités nécessaires à cela… et ce n’est pas monsieur Tout-le-monde, ni les perroquets gavés de l’Education Nationale.

Il en est ainsi en économie.

Par ailleurs, espérer qu’une une nation puisse vivre sans économie est utopique et con à la fois. Et, sans capital pas d’économie.

En France, le capital disparait, cela exclusivement dans le trou noir de Bercy.

De deux façons :

          – La première par l’intervention de l’Etat financé par Bercy, en des lieux où l’Etat n’a rien à faire où il capte et joue avec le capital et le perd régulièrement.

          – Mais aussi, de façon plus perverse, par l’abandon de la gestion du capital des entreprises par les entrepreneurs eux-mêmes.

Cela mérite une explication.

Harcelés par Bercy et par l’opinion publique les entrepreneurs confient le capital de leurs entreprises à des fonds spécialisés, tel que Blackrock, en croyant garder la gestion et les gouvernes de leur société. En cela ils éliminent le risque personnel de la gestion du capital et ils apparaissent comme de simples salariés, égaux aux autres, sauf quand même la plupart du temps pour leurs avantages et le montant de leur salaire…

Pas de problème quand tout va bien. Mais hélas très vite tout va mal.

Le capital d’une société est tout particulièrement utile dans deux cas : pour se développer et pour traverser les crises qui sont à l’entreprise ce que le rhume est à l’individu, de petites maladies à terrasser régulièrement.

Notre entrepreneur déconnecté de son capital a une image lissée socialement, mais il est à la merci de son porteur de fonds pour décider des investissements, et il voit ce dernier se faire la malle rapidement, avec les biens de son entreprise, en cas de difficultés passagères.

En fait, coincé par Bercy qui ne lui laisserait que des miettes si le capital de l’entreprise lui appartenait, l’entrepreneur abandonne donc l’élément clef de son entreprise : la gestion du capital, qui est en réalité à la fois sa garantie de vie et sa raison d’être.

Est-il un candidat qui dénonce cette situation et le pillage mortel de Bercy ?

Non, rien.

On retrouve nos amis de Contribuables Associés qui prennent la roue de la Cour des Comptes pour lister les dépenses inutiles du pays.

Hélas pour eux, ils prennent le problème à l’envers.

Ce ne sont pas les dépenses qu’il faut surveiller, il est toujours possible de les justifier, ce sont les recettes qu’il faut contrôler et limiter, les dépenses devront alors s’en contenter.

Personne ne se présente aux élections avec ce simple programme, elles sont donc sans espoir pour l’avenir immédiat. C’est la ruine qui nous attend, nous ne pouvons espérer qu’une chose : qu’elle ne nous laisse pas morts pour des siècles.

Alors que tout pourrait être si facile…. Quel gâchis…

Bien à vous. H. Dumas

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Un champ de ruines

Il y a des centaines de milliers voire des millions de personnes en France, de français, dont la vie matérielle est devenue un champ de ruine, un espace de destruction massive dans lequel ils n’ont plus de place pour vivre, tout simplement.

Cela dans l’indifférence générale.

Les responsables sont deux administrations, le fisc et l’URSSAF.

Je suis volontairement allé au bout de ce champ de ruine, en visite naïve disons…

Les choses se sont passées en deux temps.

Premier temps, lorsque les premières attaques iniques de ces deux prédateurs se sont produites, j’ai pensé qu’il s’agissait d’un conflit d’ordre personnel, un accident, une maladresse singulière qui me visait. C’était une erreur que tout le monde fait, ce fût une perte de temps.

C’est seulement dans un deuxième temps que j’ai compris qu’il s’agissait en fait d’un problème général, structurel, une façon d’exercer le pouvoir. Personne n’est visé individuellement, tout le monde est concerné.

Je me suis donc transformé, un peu involontairement au départ, en résistant structuré. J’ai dû comprendre le pourquoi et le comment, c’est fait. Dernier problème, je suis resté très isolé, vais-je le rester longtemps, je ne sais pas… mais sans doute que non. Le temps joue pour moi et ceux qui comprennent, les autres vont largement déchanter. Comment vont-ils le prendre quand il va falloir gagner ce que l’on vaut, uniquement ce que l’on vaut ?

Alors qu’aujourd’hui, une partie du pays pille l’autre, c’est un constat objectif.

Dans un premier temps les pillards dévalorisent les pillés. Ils sont traités de “fraudeurs fiscaux” comme étaient traités d’hérétiques les premiers protestants isolés. Cette qualification “d’hérétiques” a permis de tuer, et de déposséder, les protestants, celle de “fraudeur fiscal” permet de déposséder ceux qui en sont qualifiés, donc de les tuer.

Dans un deuxième temps les pillards s’absolvent, ils se donnent le beau rôle : “ils redistribuent” disent-ils. Ce n’est pas tout à fait la réalité. Effectivement ils distribuent, mais ce sont des cadeaux ciblés avec l’argent volé, et exclusivement dans le but d’acheter des voix pour leur élection, pour capter ou conserver le pouvoir. Rien d’autre ne compte à leurs yeux, ni la vraie misère, ni la ruine du pays par éparpillement infructueux du capital.

Cette dérive de la démocratie est une grande souffrance qui ne peut s’exprimer nulle part. Evidemment pas dans les médias, non plus auprès des tribunaux, encore moins devant l’administration et surtout pas devant la population qui est acquise à la croyance des bienfaits pour elle de ces pillages et au procès en sorcellerie des pillés.

Une chappe de plomb écrase la France sur ce sujet. La faillite en tout est au bout. La terreur s’est installée du fait des moyens illimités et de l’impunité totale des pilleurs.

N’imaginez pas que ne seraient visés que les milliardaires, qu’évidemment tout le monde déteste sauf s’ils sont footballeurs.

Descendons un peu si vous le voulez bien.

Anecdote d’une taxe de séjour ordinaire

Dans l’île de Ré, comme ailleurs, les logements loués l’été sont soumis à une taxe de séjour. Elle était due pour chaque nuitée de chaque vacancier et calculée à partir de ces nuitées.

Cette solution simple demandait sans doute trop de travail aux fonctionnaires dédiés à son encaissement. Je l’ai toujours payée scrupuleusement.

Alors, pour alléger le travail des fonctionnaires et rendre le bébé plus rentable, elle fut déconnectée de sa base : les vacanciers, pour être rattachée à l’immeuble.

Ce faisant elle devenait une taxe de séjour due même en absence de séjour : malin non ?

Pour faire bon poids, les calculs automatiques d’occupation prévus lors du changement d’assise étaient plus de deux fois supérieurs à la réelle occupation. Si par cas on oubliait de préciser les dates d’ouverture de son meublé, en gros deux mois pleins à Ré, elles étaient calculées sur six mois…

J’ai fait mes déclarations, elles n’ont pas été enregistrées pour je ne sais qu’elle raison.

Les calculs de la taxe pour moi se sont avérés complètement erronés.

Je m’en suis ouvert en son temps, sans succès, auprès de l’organisme d’établissement de la taxe, qui n’est plus accessible qu’en ligne.

Puis, occupé par les agressions directes du fisc, j’ai perdu de vue cette fameuse taxe.

Relancé récemment, je vous mets en copie ci-dessous mon échange de mail avec je ne sais qui :

Mon mail :

“Le 2022-05-14 16:34, groupe.dumas.France a écrit :

Bonjour,

En pièce jointe, le courrier reçu d’un huissier.

Les comptes ne sont pas bons, mais mon souhait de vous régler ma taxe de séjour est réel.

Je suis dans l’île de Ré le mardi 7 juin, pouvez-vous me recevoir ce jour là en fin de matinée ou en début d’après-midi pour que nous trouvions une solution.

Respectueusement. H. Dumas

La réponse

https://iledere.taxesejour.fr/

Bonjour monsieur Dumas,

Nous vous invitons à prendre contact avec le centre des impôts de La Rochelle

Au 26 Avenue de Fetilly

17000 La Rochelle

Tel : 0546276100

Nous ne sommes pas en mesure de répondre à votre demande.

Nous vous souhaitons une bonne journée

Bien cordialement,

La Régie taxe de séjour

Conclusion

Un calcul de taxe de séjour, contesté depuis longtemps, faux, ne correspondant pas à la réalité d’occupation, en fait ne correspondant à rien, devient soudain une créance fiscale encaissable par le centre des impôts avec tout ce que cela va supposer de violence, ATD, saisies attribution, etc…

Donc, saisie du Tribunal Administratif dont je peux déjà vous donner le résultat, qui ne se penchera absolument pas sur la réalité de cette taxe, ou plutôt son irréalité, qui rendra son recouvrement crédible…. Etc… Bilan futur un vol d’au moins 4.000 €.

Quelle merde.

Vous trouvez cet exemple insuffisant ?

Alors, voyez ceci.

En 2014 j’ai 70 ans. Nous avions une personne à domicile, car mon épouse et moi-même n’ayant pas l’extrême bonheur de bénéficier d’une retraite de l’Etat français — malgré 40 ans de cotisation nous n’avons en retour que 450 € par mois — nous étions souvent à l’extérieur pour essayer de gagner notre vie, et de sauver notre peau des griffes des malades du fisc.

Cette personne à domicile générait des cotisations URSSAF. Dans le même temps l’URSSAF me doit de l’argent pour des exemptions liées au fait que nous avons eu quatre enfants. Peut-être aussi du fait que nous n’avons plus de revenus et aussi 70 ans, plus à venir.

Impossible d’obtenir un rdv pour le calcul exact des sommes dues à l’URSSAF, impossible d’obtenir ce calcul par la justice ou par la nomination d’un expert à ce sujet.

Résultat, lisez cela : Un commandement aux fins de saisie vente 

Encore une poursuite aveugle, en grande partie injustifiée, un meurtre gratuit

Une petite dernière pour la route

Si vous êtes un architecte ayant débuté dans les années 70, vous avez cotisé à la CIPAV. Une merveille la CIPAV.

Après quarante ans de cotisations, quelquefois modestes les années maigres, mais largement copieuses les années grasses, vous avez droit à une retraite de 450 € par mois. Formidable. A vous les croisières et autres activités de nos retraités…

Mais ce n’est pas tout, si vous travaillez encore à la fin de votre contrat de quarante ans de cotisations, vous devez payer une cotisation à la CIPAV en échange de laquelle… ce paiement ne vous ouvre aucun droit.

Mais vous recevez ce type de contrainte

Vivre dans un champ de ruine c’est dur.

J’ai bien pensé à en appeler à l’OTAN pour m’aider dans ma résistance, mais je n’ai ni l’adresse ni le téléphone du directeur des opérations…

Alors, je suis obligé d’attendre que l’édifice s’écroule, mais – et c’est terrible – avant de s’écrouler il va finir de totalement me piller, évidemment, pour tenter de sauver sa peau.

Que penser de tout cela ?

Ma conviction aujourd’hui est que l’imbécilité – terme officiel de la connerie en langage judiciaire – est partout à la manœuvre.

Tous ceux qui se livrent à ces exactions n’en n’ont pas conscience. Ils sont si sots qu’ils croient à leur propre propagande, qu’ils adhèrent à l’idée que le contribuable est un tricheur et qu’ils sont des justiciers.

C’est incroyable tant de connerie, mais c’est ainsi.

Ils n’ont aucune vision de leur avenir, du carnage qui se prépare. Ils se congratulent bêtement, se félicitent de leur connerie. C’est irréel.

Faut-il que Poutine soit stupide pour être parti à la conquête d’un monde qui allait s’écrouler tout seul à sa porte, qu’il n’aurait eu qu’à ramasser à la louche, alors qu’il a donné à ce monde un répit qui lui permet de continuer à piller sa population au service des hommes du pouvoir et de leurs affidés.

Comme quoi les cons sont partout…. à l’Est, à l’Ouest, au Nord, au Sud, c’est la génération spontanée.

Bien à vous. H. Dumas

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Ces fonctionnaires qui se cachent pour tuer

Rappelons quelques bases essentielles :

          – Nous sommes tous mondialement, du fait des frontières, regroupés en nations.

Notre nation s’appelle la France.

Sa particularité est d’avoir, en 1789 par une déclaration solennelle, établi l’égalité de ses membres et confié la gestion collective à la population :  Art. 6. La Loi est l’expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.

– Il n’y a donc pas d’Etat, cette appellation erronée désigne une abstraction.

La réalité est que certains sont mandatés par tous pour organiser la chose commune qui ne doit pas être contraire aux droits individuels garantis par la déclaration de 1789. La chose commune organisée doit donc être minimale.

Les mandataires sont appelés les hommes de l’Etat, ils sont de deux types : les élus chargés de dire la loi pour notre compte et les fonctionnaires chargés de son exécution.

          – Pour la mise en œuvre des besoins communs, l’impôt peut être levé et la force déployée. En sont responsables, au nom de la population, les mandataires désignés.

          – Par ailleurs, l’actuelle guerre en Ukraine donne une idée des conséquences d’une dérive de l’emploi de la force par des hommes de l’Etat indélicats, et confirme que l’atteinte à la propriété des biens d’autrui est un acte de guerre, équivalent en force et violence à l’usage de bombes puisqu’il est la réponse de l’Occident au belliqueux Poutine et à son pays.

Les agissements de nos mandataires et de leurs fonctionnaires doivent être regardés à la lumière de ces bases qui sont les principes de notre constitution.

Il est clair qu’aujourd’hui l’usage fait par nos élus – hommes de l’Etat – et par leurs exécutants – fonctionnaires – du mandat que nous leur confions est systématiquement abusif par rapport aux principes de notre constitution.

Ceci acté

Peut-on considérer ces excès comme des crimes de guerre ?

La responsabilité en incombe-t-elle à une structure collective où à chaque mandataire pris en sa personne ?

Réponse à la première question

Dans la mesure où ces excès portent gravement atteinte aux personnes ou à leur biens, engagent leur vie, la qualification de crime de guerre est certainement opportune.

La responsabilité des mandataires, décideurs ou exécutants, est engagée contrairement à l’idée répandue par eux de leur irresponsabilité, qu’ils prétendent reporter sur l’Etat… qui n’existe pas. Ils sont à notre service, mais ils prétendent être à celui de l’Etat !!!

Par exemple, par rapport à la constitution qui régit notre pays, le mandataire Poutine se rendrait coupable de deux crimes de guerre, l’un envers l’Ukraine, l’autre envers sa population puisqu’il a pris personnellement la décision de déclarer une guerre.

Réponse à la deuxième question

L’Etat, qui n’existe pas, ne peut pas être regardé comme le responsable des conséquences dommageables des excès de nos mandataires décideurs ou exécutants.

Elus ou fonctionnaires sont responsables individuellement, par le jeu du mandat, de l’ensemble des actes qu’ils prennent dans le cadre de leurs décisions ou activités. Il ne peut pas en être autrement.

Les snipers

Nous arrivons au constat, pour chacun de nous, que quelques élus, mais surtout des fonctionnaires délégués à l’exécution, se dissimulant à l’abri de l’abstraction “Etat”, en abusant de leur fonction, engagent des actes qui nuisent gravement aux libertés individuelles.

En ce qui me concerne, je pourrais citer à ce sujet : en tant qu’élu le maire de La Rochelle M. Fountaine, en tant que fonctionnaires ceux de l’administration fiscale qui ont levé contre moi de fausses impositions, les magistrats qui les couvrent, etc…la liste est longue. Je m’y emploie dans ce blog.

Ces snipers tuent impunément. Aujourd’hui le nombre de leurs victimes est impressionnant, mais demain c’est la nation tout entière qui va payer le prix de leurs massacres.

Nous avons non seulement le droit constitutif de les dénoncer mais c’est notre devoir.

Il faut que nous soyons convaincus de cela — il en va de la survie de notre nation – car leurs moyens sont colossaux et leur impunité totale.

Le problème

Notre situation est ridicule, digne de celle des poilus dans les tranchées de 1914.

En effet, ces snipers qui nous descendent maitrisent tous les organismes de recours contre eux en notre possession.

Trahissant la constitution, ils ne se considèrent plus — et nous ne les considérons plus — comme nos mandataires, mais comme les représentants intouchables et sacrés de l’Etat… qui n’existe toujours pas.

Ce tour de passe-passe est la plus grande escroquerie de tous les temps.

Des théories fumeuses telles que la redistribution, la liberté positive, l’assistance généralisée, le refus du mérite, la haine du capital, la théorie des genres, le droit au bonheur, le communautarisme, le wokisme, etc… sont répandues en écran de fumée pour dissimuler leurs atteintes aux droits individuels et à notre droit essentiel d’organisation et de surveillance de la chose commune.

Toutes ces théories, défendables et respectables en tant que pensées, sont anticonstitutionnelles dans leur usage en ce qu’elles empiètent sur nos libertés fondamentales et servent d’excuses pour détourner au profit des hommes de l’Etat — et à notre détriment — la chose commune.

Imaginer que ces crimes de guerre seront jugés un jour n’est pas une utopie mais une certitude. Attendons patiemment, mais avec vigilance, ce jour-là.

Nous jugerons les snipers du fisc, de l’URSSAF, de la justice, etc…

Bien à vous. H. Dumas

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Quand les tribunaux sont des voleurs. Où l’on retrouve Sophie ROUBEIX…

La préemption est un droit particulier, la plupart des gens ne le rencontrent jamais au cours de leur vie.

Que dit Wikipédia à son sujet ? Ceci : “Un droit de préemption est un droit légal ou contractuel accordé à des personnes privées ou publiques d’acquérir un bien par priorité à toute autre personne et ce lorsque le propriétaire manifeste sa volonté de le vendre”.

A la différence de l’expropriation, le droit de préemption ne vise pas spécifiquement un intérêt collectif, n’est pas particulier à l’Etat, il est attaché à différentes situations dans lesquelles une personne extérieure à une transaction possède le droit de remplacer l’acquéreur, aux conditions de celui-ci.

Normalement ce droit ne lèse pas le vendeur, il n’est accompagné d’aucune légitimité à dévaloriser la valeur du bien préempté — à supposer qu’un type de dévalorisation puisse avoir une réelle justification, ce qui ne ressort pas de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, donc de notre constitution –.

L’affaire exposée est la suivante :

Un groupe de propriétaires vend, à La Rochelle, vingt hectares de terrains à des promoteurs privés. Ceux-ci sont porteurs d’un projet compatible avec ce qui se fait aujourd’hui, c’est-à-dire un cota de 30% de HLM, 20% de primo-accession, le reste en marché libre.

La collectivité locale, la CDA de La Rochelle, pour des raisons non exposées — probablement liées à des préférences difficiles à avouer — se met dans la tête de préempter ces terrains, donc de s’introduire dans la transaction en lieu et place des promoteurs acquéreurs. Ceux-ci, tétanisés, ne se révoltent pas…

Les vendeurs sont indifférents, le prix fixé est raisonnable, ils ne sont pas plus royalistes que le roi, ils n’ont aucun apriori contre la CDA qui préempte à travers son mandataire l’EPFNA (Etablissement public foncier de la Nouvelle Aquitaine). D’autant plus que l’EPFNA est porteur d’un projet strictement identique à celui des promoteurs acquéreurs.

Oui mais voilà, la transaction initiale a été conclue au prix de 210 € le m². Ce prix est le montant bas du marché. Et… l’EPFNA propose 35 € du m²…

Convenons que, l’EPFNA s’introduisant sans justificatif dans une opération privée pour réaliser la même chose mais avec les réseaux municipaux, ce différentiel de prix n’a aucune légitimité, c’est tout simplement un vol.

Ce n’est pas très difficile à comprendre.

Un petit exemple peut-être plus clair

Imaginons que l’Etat, ayant besoin de requinquer son stock d’or, décide de mettre en place un droit de préemption sur les transactions d’or. Vous avez un lingot, vous le vendez mettons 57 000 € au cours actuel de l’or. L’Etat préempte la transaction et vous verse 57 000 €. Pas de problème.

Mais au lieu de cela, l’Etat préempte la transaction, prend votre lingot et vous donne en échange 8 500 € !!!

L’Etat vous a volé 48 500 €. OK ? 85,5% de votre capital or.

Vous ne pouvez pas imaginer une chose pareille ? Vous avez tort, c’est ce qui va se passer à La Rochelle.

La saisine de la justice

Le désaccord entre les propriétaires et l’EPFNA est évident, il se retrouve donc devant la justice.

Pendant que le vol, qui est patent, est signalé à la même justice par la voie d’une citation directe. Signalement qui va se retourner contre moi, nous en avons parlé, nous en reparlerons après le 9 Juin, tant la suite est “extraterrestre”.

Revenons à la préemption dont est saisie la JEX. C’est la loi, même s’il est tout à fait étrange de saisir le juge de l’expropriation pour une préemption qui n’est en aucun cas une expropriation. Il y a là à l’encontre du législateur matière à de lourdes critiques.

En cliquant ici vous aurez accès aux conclusions devant la JEX

Les arguments sont objectivement solides. Les noms ont été occultés, car ce billet va probablement faire l’objet de poursuites — dans notre belle société où la liberté d’expression est sacrée mais exclusivement pour caricaturer les croyances des autres pas les nôtres — et je ne souhaite pas impliquer les propriétaires.

En cliquant ici vous aurez accès au jugement rendu

Je ne sais pas si vous avez les connaissances nécessaires pour apprécier à sa juste valeur ce monument.

Sachez d’abord qu’il apparait nettement que la magistrate ne comprend rien à l’urbanisme, donc elle va être incapable d’analyser nos arguments et d’y répondre.

Elle va se contenter d’entériner le vol de ces terrains, à hauteur de 85,5%, et de lancer quelques piques à mon endroit, sans doute vexée du fait que je la vois telle qu’elle est face une situation qui la dépasse.

Quand même, elle lèse sans aucun motif les propriétaire de 85,5% de la valeur de leur bien…. C’est énorme. Quel pillage…

Cette affaire est exemplaire à plusieurs titres

D’abord les juges

Ce type de dérèglement judiciaire est monnaie courante. Cela tient à la complexité des situations dont les juges ont à connaître. Du fait qu’ils sont astreints à naviguer géographiquement et thématiquement pour justement ne pas voir leurs jugements trahis par l’habitude. C’est bien, mais décevant pour la compétence.

Mais, le point principal est leur indépendance. Essentielle, elle se transforme chez nous en irresponsabilité, ce qui est très grave.

Le juge n’est pas un Dieu, c’est un homme ordinaire, quelque fois très ordinaire. La liberté sans responsabilité peut lui monter à la tête et lui laisser supposer que ses pensées, ses croyances, peuvent librement s’exprimer puisque personne n’aurait le droit d’en juger.

Or, le juge doit être responsable, c’est un législateur par ses jurisprudences, il n’a pas de raison d’échapper au jugement démocratique de l’opinion publique.

Puis les croyances

Cette affaire rassemble toute la schizophrénie de notre société.

Notre constitution, notre histoire, ont fait de la propriété privée et de la liberté le socle structurel de notre société. Du moins c’est ce que pense tout le monde, ceux qui le croient, mais même ceux qui luttent contre ce type d’organisation.

Or cela n’est vrai que dans les têtes et dans les discours, dans le verbe.

Dans la réalité la liberté n’existe plus depuis longtemps et plus personne ne pense que la propriété privée existe, en tout cas pour les autres.

Nul n’accepte que les fonciers aient des propriétaires, que les capitaux aient des propriétaires, que les entreprises aient des propriétaires, que même l’instruction soit possédée par ceux qui savent. Ne devrait-elle pas être acquise à tous, même à ceux qui n’étudient pas ?….

C’est ainsi que Madame Roubeix, sans doute en toute bonne foi, convaincue de dire le bien, vole des propriétaires et pense mordicus que ce sont eux les voleurs alors qu’ils souhaitent tout simplement percevoir la valeur de leur bien en le cédant.

Une situation improbable.

On nous assène, jour après jour, que le libéralisme ou néolibéralisme entrave notre bonheur, est notre péché, alors que nous sommes profondément communistes, envahis par cette croyance dont nous sommes plus ou moins les inventeurs.

Ce jugement est un acte de pur communisme, il n’est pas le seul.

Il sera entériné en appel et plus loin, par corporatisme…. ou par partage de croyance.

Communistes nous sommes et nous resterons, condamnés à la misère par cette croyance qui a tué et tuera encore.

C’est notre destin : les croyances qui tuent et les inquisiteurs qui ordonnent.

Pour finir ce long billet, un grand merci aux propriétaires rochelais qui ont résisté 20 ans pour faire la démonstration en grandeur réelle de cette folie, il leur a fallu beaucoup de patience et de courage.

Bien à vous

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Des minorités

Les réseaux sociaux font découvrir au plus grand nombre les minorités, qui peuvent s’y exprimer largement.

Anciennement, il fallait avoir des qualités d’explorateur de l’âme humaine et beaucoup de temps à sacrifier pour aller découvrir, en des lieux souvent difficilement accessibles, les minorités et leurs pensées ou leurs conditions.

Les réseaux sociaux sont objectivement une révolution.

Les minorités sont essentielles au groupe. Situées à la marge des sociétés, elles sont pourtant porteuses à la fois de ce qui n’a pas marché et de ce qui marchera, sans que les choses soient claires tant qu’elles sont au stade de la minorité.

Ce que porte les minorités rejoindra-t-il le néant des erreurs ou le firmament de la majorité ? C’est la question, et c’est ici qu’elle nait, dans la minorité, dans l’infime, dans la solitude.

Les réseaux sociaux sont le scanner de l’intelligence collective, la possibilité pour tous de détecter les débuts des tumeurs malignes des mauvaises idées ou au contraire de découvrir l’enchantement des fétus des bonnes idées qui pèteront le feu.

Et l’on voudrait censurer les réseaux sociaux. Mais qui veut cela ?

Etonnamment : tout le monde.

Chaque censeur intervenant évidemment au nom de l’humanité et pour son bien. Y compris les groupuscules aux ambitions naturellement majoritaires.

Le comble tient au fait que les réseaux sociaux n’ont aucune autre fonction que celle-là : porter la voie des minorités ; et que pourtant ils sont les premiers à imaginer comment les censurer.

J’aime les minorités par raisonnement, dans la réalité la plupart me révulsent, quand elles ne me paniquent pas.

Mais, étant moi-même une minorité, je serais mal venu de critiquer ce statut, même si comme tous les minoritaires j’ai du mal à concevoir que la majorité se fout comme d’une guigne de moi, de mes centres d’intérêts, de mes propos. Que je sois persuadé que cette majorité se trompe ne change rien à l’affaire.

Je trouve stupide qu’une minorité ait la prétention d’imposer ses idées aux autres autrement que par la conviction, ce qui implique l’acceptation des autres minorités y compris totalement opposées à la sienne.

Inéluctablement un jour certaines minorités deviennent majoritaires, c’est toute l’alchimie de l’opinion publique.

Rien ne dit pour autant que devenue majoritaire une minorité soit de bonne qualité, seule sa résistance naturelle, sans intervention de la force, aux minorités qu’elle va générer sera la jauge de sa qualité.

On voit bien que la minorité est essentielle pour les idées et les actions, aussi bien dans le cadre de la création pure de majorité que dans celui du test de sa résistance à la qualité.

Oui mais : et le mensonge ?

Alors là pour moi c’est très simple, une minorité ne ment jamais, elle se trompe simplement. Seule la majorité peut mentir, et ment d’ailleurs sans vergogne. Toujours à condition d’exclure la force qui, elle, peut perturber le fragile mais nécessaire équilibre qui existe entre la majorité et les minorités.

Les minorités sont essentielles, mais elles sont le lieu de tous les dangers. Notamment celui de perdre son temps pour rien, qui est sans doute le plus grand. Mais elles sont aussi le lieu des grandes aspirations, des grands projets, de l’avenir, cela vaut bien le sacrifice du temps.

Bien à vous. H. Dumas

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Le remake de la vessie et de la lanterne

Croissance nulle et forte inflation pour le premier trimestre 2022. Ce serait le résultat de COVID dit la presse… tout le monde acquiesce…

S’il fallait un exemple du ridicule de l’affaire COVID, il suffirait de se pencher sur les dégâts de la reprise, façon Hollywood, du confinement à Shangaï qui vise le gros rhume qu’est devenu COVID.

En clair, COVID fut une pantalonnade, très désagréable pour ceux qui l’ont subi, encore plus pour ceux dont cela a précipité la mort, mais sans effet sur l’économie de la France.

La crise économique dont enfin on parle est collective, elle vient de loin, portée par l’opinion publique cette marâtre qui depuis la nuit des temps commande la vie sociétale des hommes.

L’opinion publique a mille façons de s’exprimer, tantôt elle fait mine d’être libre, d’autres fois elle fait au contraire mine d’être contrainte, dans tous les cas c’est elle qui commande. Elle qui choisit les “hommes providentiels”, ou au contraire leur absence ; les lois liberticides ou au contraire la chienlit libérale.

L’opinion publique française a choisi le chant orgueilleux du coq après avoir lamentablement perdu la guerre de 1939, puis l’américanisme idolâtre face à l’ivresse de la consommation. Enfin, plus récemment, le retour à la délation, à la jalousie morbide, à la haine du riche, du juif, élargie à tous les décideurs économiques grands ou petits, l’ensemble sous couvert d’écologie et d’égalitarisme.

L’opinion publique cherche juste à se mentir, à fuir ses responsabilité, toute à la joie du pillage cette constante animale de la société des hommes, qui n’a ni pudeur ni limite mais mauvaise conscience.

Les Français, depuis les années 70, ont mis au point un système aujourd’hui très sophistiqué de pillage des richesse accumulées par ceux qui en ont le don et la possibilité.

Le machin s’appelle Bercy.

Bercy aspire et éparpille tous les capitaux dès leur constitution, sauf pour les quelques privilégiés qui, soumis et de connivence, voient leur capital éventuellement prospérer, mais sous haute surveillance et fragilisé par des obligations parasites qui le défavorise à l’échelle du monde.

Donc, opinion publique en tête, le capital est honni en France. Bercy est largement applaudi lorsqu’il le traque et le détruit.

Oui mais, comme nous le répétons en boucle sur ce blog, nul progrès, nulle vie sans capitalisation. Accumuler et transmettre est la condition essentielle du progrès, en tout.

Celui qui sort de cette boucle, scolaire, scientifique, philosophique, politique, etc… régresse inévitablement.

L’économie sans capital ne peut pas vivre, que ce soit pour une personne, une famille ou une nation.

Depuis plusieurs décennies que l’opinion publique française hait le capital, que son outil de haine “Bercy” le traque, le pille après avoir instauré la terreur et en toute impunité, il a disparu.

A la place figure l’emprunt, qui va tuer la France.

C’est d’une grande simplicité. Qui va le dire, qui veut l’entendre ? Personne et surtout pas l’opinion publique, notre démoniaque patronne.

Que peut faire le petit clown que la France a réélu ?

Il vient de le dire : tout. Donc, traduction : rien.

Personne n’est dupe, mais l’opinion publique veut ce mensonge, elle veut continuer à piller, à en jouir, quel que soit le prix à payer. Pourtant, il va être salé.

Aux avant-postes de la catastrophe, victime précoce, je peux vous assurer que tout comme moi beaucoup vont en mourir.

Car, nous le savons depuis peu, le pillage du capital, de la propriété privée, est un acte de guerre. C’est celui que nous opposons à Poutine. Si terrible que celui-ci menace en contrepartie d’utiliser la bombe atomique.

On peut le comprendre, si j’en possédais une petite, je devrais faire appel à mon sang froid, à mon légalisme, à mon humanisme, pour ne pas l’expédier en catimini sur Bercy.

Trêve de plaisanterie, les événements ne s’y prêtent pas.

Ce pauvre Napoléon-Poutine se trompe autant que son modèle. Il croit être alors qu’il n’est pas, il n’est qu’un hologramme de l’opinion publique, celle qui avait changé au retour de l’île d’Elbe.

Celle-ci souhaite, mondialement, la fin de l’organisation économique en place. Au lieu de l’avouer, elle nous fait croire qu’une bataille de cour d’école dans le Donbass justifie une guerre d’invasion, qui elle justifierait une troisième guerre mondiale.

La chose paraîtra ridicule quand cette même opinion publique constatera les dégâts de ses pulsions. Quand les cartes économiques auront été redistribuées et que rien ne sera changé, car les règles de l’économie sont les mêmes immuablement.

Mais l’opinion publique veut la guerre pour ne pas avoir à se remettre en question.

Objectivement, elle est en droit de se méfier de ceux qui se prétendent les hommes du renouveau. Autant que des hommes de l’Etat, ce sont des menteurs, des profiteurs, qui se croient assez malin pour manipuler l’opinion publique, alors qu’ils sont justement manipulés par elle.

En réalité, le fleuve en furie de l’opinion publique emporte tout sur son passage. Les petites digues morales, juridiques, que les hommes tentent de mettre en place quand il somnole, sont bien peu de chose face à ses colères.

C’est là que, seul face à cette furie, l’homme peut se connaître. Nous y sommes.

Bien à vous. H. Dumas

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Bon, nous y sommes

Samuel Huntington prévoyait en 1996 un choc des civilisations. C’était il y a vingt-six ans. Quand même…

Sa pensée a été abondamment critiquée parce que… simpliste disaient les critiques.

Or aujourd’hui ce choc est là, il implique effectivement le monde occidental, prend sa source à la marge orientale de l’Europe, et tend à diviser le monde en deux.

Il est difficile de faire plus simple.

Finalement la civilisation occidentale c’est quoi ?

Je n’ai pas la prétention d’avoir les connaissances nécessaires pour une étude scientifique de notre civilisation, mais je peux à minima décrire ce que j’en ressens.

Je vis ce que je crois avoir été une révolution ayant abouti à une victoire sur l’esclavage, c’est-à-dire sur le pouvoir que certains s’étaient octroyés pendant des siècles au titre d’une vérité dont ils auraient été les seuls porteurs légitimes, ceci aux dépends des autres. Ladite vérité étant en réalité un énorme mensonge.

Cette révolution, générant le respect individuel, la propriété privée, la récompense liée au mérite, la liberté de consommer, de penser, d’être, accompagnée des devoirs liés à ce type d’organisation, s’est implantée en occident de différentes manières, en des temps échelonnés.

En France ce fut tardivement l’époque des lumières, suivie de bien des tracas avant une application relative un siècle encore plus tard.

Cette civilisation occidentale a été globalement particulièrement performante, l’humanité lui doit beaucoup.

Arrive-t-elle à son terme ?

Je ne saurais le dire, mais je peux constater ses dérives, j’en souffre suffisamment pour être crédible lorsque j’en parle.

Le respect individuel n’existe plus, il est battu en brèche par l’idée de la prééminence des intérêts du groupe sur celui des individus. Je ne porte pas de jugement, je constate.

Une complexification artificielle de la vie par les initiés que seraient les techniciens de toute obédience, accompagnée de sanctions primaires, entame violemment et significativement les libertés.

La propriété privée, et notamment le capital pourtant essentiel à l’économie, est considérée comme inutile, alors qu’elle a été l’outil des progrès de la société occidentale.

Le mérite n’est sacralisé que dans les activités annexes, sport, culture, enseignement, il est déconsidéré ailleurs, dans toutes les activités vitales.

Enfin le mensonge s’est installé en maître, alors que toute la construction intellectuelle de l’occident visait justement à l’éradiquer. Outil de domination, base de l’esclavage, le mensonge aujourd’hui s’appelle “communication”, il est le maître incontesté de nos sociétés.

Tout cela génère des conséquences aux apparences complexes, à la réalité simple et affligeante si l’on veut bien ne pas se laisser embarquer par les mots et les attitudes pédants.

Alors, ce choc des civilisations ?

Oui, il est flagrant si la civilisation occidentale est bien ce que j’en ressens.

D’abord à l’intérieur de cette civilisation où toutes ses valeurs créatrices font aujourd’hui défaut.

La démocratie, qui paraissait être la recette miracle porteuse inéluctablement des valeurs occidentales, s’avère au contraire la championne de leur détournement.

Devenu distant et donc anonyme, le vote ne rime plus à rien puisque les votants expriment leurs souhaits sur des raisonnements abstraits. Ils sont donc particulièrement exposés aux mensonges. Petit à petit ils ne votent plus, tant ils en prennent conscience.

Donc, l’occident se meurt de l’intérieur.

A l’extérieur, la situation est pire. Une grande partie de l’humanité a singé la démocratie, mais sans avoir au préalable parcouru le chemin qui l’a fait naitre chez nous, donc au service de despotes qui l’ont utilisée directement de façon perverse, ce qui l’a discréditée.

Sa portée, philosophique, humaine, structurelle, civilisationnelle, a été supplantée par l’idée que son résultat devait être la richesse pour tous alors qu’elle n’est qu’une conséquence aléatoire, qui plus est rarement organisée de façon satisfaisante.

Ainsi donc

L’occident se trouve dans une situation difficile puisqu’il s’agit de défendre un système civilisationnel en dérive, incluant un grand nombre de déçus, prêts à trahir.

En face, le reste du monde conteste la démocratie pour cause d’échecs locaux et pourrait se résoudre finalement au simple pillage des fruits de l’occident au motif qu’ils n’ont pas été ou ne sont plus mérités.

Quoi de plus simple.

Est-il besoin de complexifier la situation ? Sans doute que non. D’abord elle se complexifiera toute seule et, simple ou complexe elle sera… si elle n’est pas déjà.

Chut, attendons la chute.

Quand le bazar sera à son paroxysme nous pourrons juger du courage de tous ceux qui nous pillent, j’en ai quelques-uns à l’œil.

Bien à vous. H. Dumas

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Brève, très brève…

Des nouvelles de la réunion du 11 Avril 2022 au Chien qui fume à Paris.

Cette réunion constitutive fut un échec.

Trois présents :

  • Un ami très cher dont la bonne humeur, l’expérience des combats difficiles et la remarquable intelligence, nous ont fait oublier notre extrême solitude.
  • Une fidèle lectrice, dont on aimerait bien qu’elle se décide à écrire et dire sur le blog son expérience et sa vision, qui en valent la peine.
  • Un inconnu plein d’énergie qui pense que l’introduction d’un associé américain ou une transaction avec les Etats-Unis ouvriraient la possibilité pour une entreprise de poursuivre le fisc français et ses mensonges devant la justice américaine… A étudier..

Soit nous nous trompons, soit la terreur qu’inspire le fisc est encore plus énorme que ce que nous ressentons.

Le temps nous donnera peut-être un jour la vérité.

Bien à vous. H. Dumas

 

 

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L’odieuse censure

Aucune excuse pour l’installation de la censure par la commission européenne sur les réseaux sociaux. Il s’agit d’un crime.

La presse cite la déclaration de Madame Ursula Von Der Leyen — sur Twitter dont finalement elle réclame l’usage à son seul profit — : “Cet accord est historique, dit-elle, nos nouvelles règles vont protéger les utilisateurs en ligne, assurer la liberté d’expression et des opportunités pour les entreprises”.

Vous ne connaissez pas Ursula. Normal vous n’avez pas voté pour elle. Elle est élue par le parlement européen, dont vous ne vous rappelez pas la composition, moi non plus.

La pensée d’Ursula est confuse, elle devrait consulter. Ce ne sont pas nous les utilisateurs qu’elle veut protéger à tout prix, mais elle et ses manœuvres. Son lapsus sera notre futur collapsus.

Si Poutine laissait libre dans son pays les réseaux sociaux et son opposition, il ne pourrait pas agir tel qu’il le fait. Evidemment sa susceptibilité serait mise à rude épreuve…mais nous compterions probablement moins de cadavres depuis trois mois.

La presse enchaine (SO 23/04/2022) : “le nouveau règlement stipule l’obligation de retirer promptement tout contenu illicite (selon les lois nationales et européennes) dès qu’une plateforme en aura connaissance. Il contraint les réseaux sociaux à suspendre les utilisateurs violant “fréquemment” la loi.”

Imaginant sans doute que les tribunaux ne seraient peut-être pas à ses ordres – je la trouve là bien pessimiste – Ursula se donne directement les moyens de sanctionner financièrement les réseaux sociaux.

C’est une chanson que je connais par cœur.

Ce blog, qui n’a rien de subversif, qui conteste juste les vols qualifiés du fisc, fait l’objet depuis son ouverture de tentatives incessantes de Bercy pour le fermer.

La dernière en date a été le détournement de la procédure diffamatoire par le biais d’une simple demande au TJ de Paris à l’encontre des hébergeurs, OVH, Googel, et Archive-Host, afin qu’ils ferment leurs accès à notre blog.

Google et Archive Host n’ont pas obtempéré. OVH a fermé le blog en 48 H, nous avons dû fissa trouver un hébergement ailleurs dans le monde.

Cette méthode lâche qui consiste à utiliser la menace directe, en fait le chantage, pour obtenir une censure que la justice accorde avec parcimonie, est totalement scandaleuse. Elle est humiliante pour la justice et suicidaire pour l’équilibre de notre société.

L’idée que les délires de tel ou tel complotiste ou activiste, ou même fou furieux, pourraient lourdement impacter la population est lui faire bien peu de crédit. En réalité, les psychiatres savent qu’un fou qui a pu s’exprimer est déjà moins dangereux que celui que l’on fait taire.

Quant aux fous du pouvoir, l’histoire est là pour confirmer que ce sont eux les plus dangereux pour la race humaine et que les premiers signes de leur folie sont justement la censure, l’interdiction de les contester….

Ursula affirme qu’il s’agit : “d’une première mondiale en matière de régulation du numérique”.

“Qui vient consacrer le principe que ce qui est illégal hors ligne doit également être illégal en ligne”, dit-elle.

C’est un non-sens de court-circuiter la justice par un système de chantage et de prétendre que le but est de conforter la légalité.

Les lois sur la diffamation et la liberté d’expression sont largement efficaces, rien ne justifie de les jeter aux orties au profit d’un pouvoir sans contrôle.

Autant l’interdiction de toute publication anonyme aurait pu se comprendre et serait de nature à réguler la folie de certains écrits ou discours sur le net, autant cette ridicule menace financière globale incontrôlée est inadmissible.

Faut-il que nos technocrates et politiques soient au bout du rouleau pour en arriver là.

Pour ce qui est de la haine qui se déverserait sur le net.

Par exemple, en ce qui me concerne, je n’ai aucune haine suscitée par la sottise, le vice ou la stupidité de Bercy, depuis ses chefs jusqu’à ses agents de terrain.

Je suis juste en état de sidération face aux conséquences pour le pays.

Eux en revanche me vouent une haine tenace, pas facile à supporter. Une vraie haine, sans aucune limite, qui va probablement jusqu’à l’idée de ma mort qu’ils tentent d’obtenir par ma ruine injustifiée.

Mais je ne suis pas le seul.

Regardez cette vidéo de Raoult

 https://youtu.be/LlV9g1ZiKlg

Avec cette nouvelle loi européenne, il est clair que les vidéos de Raoult auraient été censurées par Youtube.

Cette fausse épidémie d’une méchante grippe serait alors restée ce qu’ont voulu en faire les hommes de l’Etat : un leurre pour dissimuler leur faillite en cours.

Cette vidéo apporte aussi la preuve que la haine n’est pas du côté de celui qui s’exprime, mais du côté de celui qui censure.

Les politicards en liesse sont toujours un mauvais présage, cette journée de censure qu’ils fêtent est pour nous un jour de grande tristesse.

Bien à vous. H. Dumas

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Le capital, ou l’inutile vérité.

Vous l’avez déjà lu sur ce blog, et vous le relirez sans doute, nous respectons profondément le capital et plus globalement la capitalisation.

Sur le net on peut lire : “Le processus de capitalisation consiste à identifier, analyser, expliciter et modéliser le savoir acquis lors d’une expérience de projet ou de programme pour que d’autres puissent se l’approprier, l’utiliser et l’adapter, ou ne reproduisent pas les mêmes erreurs.”

Sans la capitalisation, qui consiste pour simplifier à accumuler et à transmettre, l’humanité n’aurait progressé en rien. Nous lui devons tout, que ce soit dans le cadre des sciences, de la médecine, de la philosophie, de la culture, etc… et évidemment de l’économie.

Mais, face au déferlement de haine qui entoure le capital économique, nous ne sommes pas audibles. Face au pillage de ce capital par Bercy, nous sommes aussi inaudibles, puisque, parait-il, il s’agit de le “répartir”, motif suffisant pour le détruire semble penser la majorité.

Nous, nous pensons, nous l’avons aussi dit et redit, que le capital, dès sa création, appartient à tous, n’est pas la propriété exclusive de celui qui l’a créé, même si celui-ci continue à le gérer en nom propre.

La guerre en Ukraine, dont nul n’évoquera suffisamment la stupidité, nous donne une leçon fantastique de capital.

D’abord, et nous l’avons déjà souligné, déposséder un homme ou une population de son capital est aussi terrible que des bombardements, est une arme de destruction massive, c’est l’arme employée par l’Occident.

Mais bien plus, et tout le monde le constate, lorsque l’Occident a décidé de mettre la Russie à genoux en la privant de son capital pour détruire son économie, elle a saisi les fonds d’Etat, mais aussi ceux des privés les plus riches. Preuve absolue que le capital d’un pays est bien la somme des capitaux publics et privés.

Dans ces conditions que penser de ceux qui par intérêts purement électifs sabordent le capital de la France en volant les possesseurs de capitaux, en redistribuant ce capital a des foules dispendieuses, qui ont été encore plus loin que la dépense, qui ont massivement adhérées à l’emprunt négation du capital.

La France n’a eu besoin de personne pour se ruiner. Elle avait en son sein les prédateurs, les pillards, nécessaires.

Aujourd’hui il faut être aveugle pour ne pas voir que la France et l’Occident vont échouer dans leur entreprise de ruine de l’économie russe, puisqu’eux-mêmes sont en beaucoup plus mauvais état que la Russie, même après les sanctions sur son capital. Cette dernière aura peut-être un petit flou de trésorerie, mais éphémère. Lorsque ce trou sera résorbé, la fureur du vol de son capital va lui donner le moteur nécessaire pour venir réclamer des comptes.

La troisième guerre mondiale est effective, elle arrivera chez nous au cours de cette année ou de la prochaine au plus tard.

J’ai beaucoup de peine pour les jeunes qui vont y perdre la vie.

Si encore il s’en suivait une bonne leçon sur la réalité du capital, sur l’évidence de sa nécessité, sur l’impératif de sa protection et du respect dû à ceux qui savent le créer et le faire fructifier. Hélas, aucune chance que cela se produise.

Notre destin est celui du sous-développement des pays décapitalisés. Ce billet est ce que l’on nomme : un prêche dans le désert.

Bien à vous. H. Dumas

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Dimanche : la pantomime électorale

Si vous n’êtes pas un crédule prêt à avaler n’importe quelle fable, à espérer que quelqu’un pourrait assumer votre vie à votre place, vous n’êtes pas le client des extrêmes, de droite comme de gauche, qui se moquent de nous en nous racontant leurs mensonges éculés qui ont déjà tué et sont encore prêts à tuer.

Si vous êtes un humaniste qui respecte les autres et qui se respecte, qui attache aux choses l’importance qui leur est due et aux autres l’amour et l’empathie qui leur sont nécessaires, je vous sens perturbé. Aucun candidat ne vous séduit.

Ne vous inquiétez pas, c’est normal. Nous ne vivons pas en démocratie.

Nous vivons dans une autocratie bureaucratique.

Quel que soit le candidat élu, il ne sera qu’une potiche entre les mains des “camembéristes”. Votre vote ne changera rien. Votre manque de motivation est un signe de bonne santé mentale.

La bureaucratie, d’organisation initialement au service des êtres humains composant notre nation, est devenue un ogre autocrate qui impose ses lois à ses seuls profits matériels et intellectuels.

Le monstre, sous une fausse technicité, écrase les libertés individuelles au moyen d’une pression matérielle de tous les instants se traduisant la plupart du temps par une pression économique dont se charge avec une violence inouïe l’armée cynique de Bercy, qui vole, tue et viole les consciences.

Votre vie, ce qui la singularise, votre pensée, vos biens, votre identité, vous sont refusés. Bien plus, il vous est ordonné par la contrainte de vous fondre dans la masse prédéfinie pour vous.

Et on vous demande de voter. C’est l’ultime humiliation.

Voyons, rappelez-vous COVID.

Un virus qui méritait un peu d’attention, la bonne volonté de nos médecins, sans doute un certain empirisme fait de confiance réciproque avec eux, aussi un peu d’espace individuel pour limiter les contacts contagieux, tout ce à quoi nous avions droit avant.

Avant que les “camembéristes” fassent de nous des animaux d’élevages intensifs dans les EHPAD, les hôpitaux, les transports en commun, qu’ils nous désignent par de simples numéros, qu’ils nous réduisent à des cartes vertes en guise d’identité. Qu’ils interdisent à nos médecins de nous soigner, qu’ils nous paniquent avec des chiffres irréels, qu’ils prétendent nous protéger avec un vaccin inventé sur le champ qui s’avèrera à minima inopérant, tout cela en nous ruinant au passage et en portant un coup mortel à nos libertés individuelles.

Et on vous demande de voter.

Alors que pas un seul candidat ne vous propose un retour vers vous-même, de terrasser pour vous l’autocrate bureaucratique camemberiste, de vous rendre la liberté qui vous a été volée insidieusement en effraction de la constitution qui régit notre espace commun.

Tout cela n’a pas de sens.

La seule solution démocratique qui vous est accessible est de refuser cette pantomime, de ne pas voter.

— Oui, mais c’est un devoir civique. Ah bon ? C’est un devoir civique de se faire manipuler, de se faire voler sa vie, ses biens, au profit d’une caste de bureaucrates  autocrates ?

— L’absence de vote, l’abstention, n’est pas comptabilisée, vous dit-on. Donc il faut aller voter blanc.

Alors là, je peux vous affirmer que rien n’est plus faux. Les votes blancs, tout le monde s’en fout parce qu’ils sont anonymes.

Alors que votre abstention elle fait un gros trou noir dans les registres électoraux, elle empêche de dormir toutes ces marionnettes qui vivent de votre vote, à votre détriment.

Le jour où votre abstention atteindra 80%, c’est que vous aurez tout compris et les imposteurs seront alors démasqués.

Ne pas aller voter, c’est un message plus fort que de descendre dans la rue pour tout casser…

Bien à vous. H. Dumas

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C’était donc une guerre civile…

Tout a commencé vers les années 1970.

Les décideurs de l’après-guerre, issus de la guerre, abandonnaient le pouvoir. Ils considéraient pour la plupart avoir rempli leur contrat d’homme. Ayant participé à la “remontada” qui a fait suite à l’incroyable défaite de 1939, puis ayant reconstruit le pays, ils goutaient modérément les états d’âme des fringants bourgeois socialisants qui proposaient le rasage gratis pour tous avec le capital gagné et accumulé par eux.

Giscard fut l’initiateur de la dépense en remplacement de la thésaurisation pourtant seule voie d’accès au capital.

Croyait-il que l’économie puisse survivre sans le capital ? Je ne sais pas.

Toujours est-il que c’est lui qui le premier a engagé sans compter la dépense publique, ses successeurs ont suivi, puis l’ont magistralement dépassé.

Dans le même temps l’inutile a été libéré, l’essentiel a été verrouillé.

De marginal, Bercy est devenu central. A l’époque je n’ai pas compris que Bercy engageait contre certains français des actes de guerre.

J’ai constaté, petit à petit, que tous autour de moi ne pouvaient plus décider librement, travaillaient avec pour but principal de payer leurs charges et non d’accomplir correctement leur travail.

Pendant que mon environnement professionnel se dégradait en gain et en qualité, de monstrueux services administratifs se développaient exponentiellement et vivaient sinon dans l’opulence au moins dans l’irresponsabilité, qui est peut-être la forme la plus aboutie de l’opulence.

J’ai perçu évidemment la violence de Bercy, sa puissance démesurée, son manque total d’empathie, son impunité, ses mensonges, la terreur rependue volontairement.

Bien que sidéré par ce constat j’ai été, comme nous tous, intoxiqué par la propagande qui décrivait Bercy comme le chantre de la justice sociale, de la redistribution. J’ai fini par croire que c’était moi qui me trompais, qu’il était normal de donner tout ce que l’on gagnait et ne rien obtenir en échange.

Bien plus, j’ai fini par trouver des excuses aux mercenaires qui sont venus chez moi me voler, me piller, en toute conscience.

J’ai exposé publiquement tout cela à titre de thérapie pour moi et pour les autres, mais sans prendre vraiment conscience de l’inadmissible de toute cette folie.

Incroyable.

Il a fallu la guerre Ukraine-Russie, il a fallu que face aux bombes Le Ministre Le Maire déclare qu’il était capable par le pillage des biens russes, par la saisie de leurs capitaux, par le blocage de leur économie, de leur faire rendre l’âme, de gagner la guerre.

Sans pour autant trouver une excuse à Poutine qui n’en n’a pas, force m’a été de prendre conscience que le pillage des biens des autres par le fisc, par Bercy, est un acte de guerre.

Que Bercy n’est pas du tout un lieu de justice, d’équilibre, mais bien une caserne guerrière, un antre à canon, un distributeur de mort.

La question que je n’avais pas osé me poser

Au service de qui agit Bercy, cette armée de la mort ?

La réponse passe par son inverse, Bercy tue qui ?

Bercy pille et tue les forces vives de ce pays, tous ceux qui créent des richesses, donc c’est au service des autres, de ceux qui ne créent pas de richesses, ne prennent pas de risque.

Donc il est en France une guerre civile qui dure depuis presque cinquante ans, pendant laquelle il est aujourd’hui avéré qu’une violence de pillages économiques, égale voire supérieure à celle d’une armée classique de soldats et de bombes, initiée par Bercy dépossède et tue une partie du pays au profit d’une autre.

Cela s’appelle une guerre civile. Et personne ne s’offusque…

Ce constat m’accable. Que peut-on faire ?

Faire comprendre ce que l’on a compris ? Sans doute, courage, cela ne va pas être facile mais il faut le faire.

Et après ? Après… on verra…

Bien à vous. H. Dumas

PS : Si les gilets jaunes avaient compris ce contre quoi et pourquoi ils se battaient, ils n’auraient pas cédé un pouce de terrain.

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Avoir raison trop tard

Je me permets de partager avec vous ce petit moment d’amertume qui s’installe lorsque l’on a raison trop tard.

Dans la vie, comme dans les cocktails, l’amertume doit être maniée avec précaution, mais elle est indispensable pour relever le gout de l’ensemble.

Dans un billet publié il y a quelques mois, j’avais mis un lien qui ouvrait une vidéo tournée en Afghanistan au côté d’un détachement américain en opération avancée. Un des jeunes soldats — Il s’agissait de militaires professionnels et volontaires — répondait à la question : “pourquoi avoir voulu être là ?” froidement par “Pour tuer”.

Quels que soient les motifs qui ont poussé Poutine à déclarer la guerre, le résultat — sauf à voir les Ukrainiens fuir comme les Français en 1939 et trouver un Pétain pour signer une paix immédiate repoussant ainsi à demain le carnage — ne pouvait que finir en boucherie. Il est des hommes qui aiment tuer. Le soldat est de ceux-là. Le soldat chevaleresque ne fait pas de vieux os. N’oublions pas qu’il met sa propre vie dans la balance de sa recherche de satisfactions mortelles. Ce n’est pas un monstre, c’est un homme. Bien d’autres ne sont pas plus délicats, malfrats, trafiquants ou corrupteurs en tous genres. Sans compter les bienpensants qui tuent gaiement au service de leur foi. Que vaut la vie des autres, d’un inconnu ?

Aujourd’hui en Ukraine, en admettant même que quelques excès puissent se glisser dans les constats actuels et futurs du carnage d’une armée d’invasion contre une population, la cause est entendue, le massacre est consommé. Poutine ne peut pas s’en remettre. Il le sait sans quoi, comme Staline ou Mao, il irait jusqu’au bout, jusqu’à l’éradication des Ukrainiens et à la guerre mondiale totale.

Tout à ses calculs de pouvoir et de puissance, il a complètement sous-estimé la réalité humaine, celle de ses soldats, de son armée identique à toutes les autres. Il aurait dû le savoir : on ne déclenche jamais la guerre, elle tue aveuglément, elle est hideuse.

En ce qui nous concerne, avoir compris cela avant qu’en soit fait le constat ne peut amener aucune satisfaction tant les dégâts sont lourds. Et pourtant il s’agit… des autres… pas de nos personnes.

Alors quand une autre guerre produit sur nous personnellement les mêmes conséquences et que tout le monde est sur le point d’en prendre conscience, l’amertume d’avoir eu raison seul, d’avoir lutter pour le faire admettre, d’avoir souffert en vain pendant si longtemps, envahit un peu la pensée, décourage, façonne l’indifférence personnelle : dommage.

Je veux parler de ces armes aussi terribles que les bombardements, que l’occident oppose à Poutine : la saisie des biens, la dépossession forcée, le blocage des transactions économiques, l’isolement financier.

Ces armes que Bercy manie contre la France, contre les Français, tous les jours que le Bon Dieu donne.

Tous les jours, à partir d’une fiscalité excessive, Bercy saisit, accuse de fraude fiscale, contraint, ruine, vend les biens de centaines de milliers de Français.

Jusqu’à aujourd’hui il fallait admettre cette situation, la considérer comme naturelle.

Depuis vingt ans j’en dénonce le caractère arbitraire, destructeur. Je l’ai comparée aux lettres de cachet. J’ai fait connaître ses ravages. Mais Bercy prétendait qu’il s’agissait de la rançon à payer pour vivre dans un beau pays où tout est à la portée de tous.

Or, soudain, COVID démontre que rien n’est accessible sauf aux privilégiés, que tout est en vrac, qu’une bureaucratie obèse orchestrée par une technocratie prétentieuse vit au dépend du pays et contamine tout ce qu’elle touche, que ceux qui tentent de ne dépendre de personne sont massacrés, volés, dépossédés. On leur applique les lois de la guerre économique, on les écrase du poids du vol de leur biens, on leur explique que c’est pour le bien des autres.

Mais non, ce n’est pas la vérité. Les hommes de Bercy sont des soldats, mais les soldats du pillage, ils aiment ça, ils ne vivent que pour ça. Notre misère est leur récompense. La pauvreté qu’ils provoquent iniquement les fait jouir. Ce sont les snipers du pillage.

Aujourd’hui ils œuvrent à découvert. Ils sortent de leurs caches, les cibles sont, peut-être à juste titre, les otages exécutés face à la guerre déclenchée par Poutine.

Mais, les soldats du fisc exposés soudain, leur violence, leur puissance, leur vice, leurs dégâts, leurs méthodes, leur absence de limite, leur jouissance, sautent aux yeux de l’humanité.

Avoir su tout cela avant tout le monde n’apporte aucune satisfaction.

Le prix à payer a été trop élevé. Une seule chose pourrait consoler, c’est le fameux : “plus jamais ça.”

Oui mais, justement, tout se révèle par la guerre dont pourtant il était aussi dit : “plus jamais ça”.

Et puis, ce constat fait, les choses vont-elles changer ? Permettez-moi d’en douter.

Alors oui, ce soir mon cocktail est un peu trop amer, demain peut-être sera-t-il mieux réussi. J’espère que ces essais ne vont pas faire de moi un alcoolique …

Bien à vous. H. Dumas

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REUNION CONSTITUTIVE

Bonjour,

J’avais émis l’idée de réunir les âmes de bonne volonté à Paris, pour donner un élan à l’association que nous portons  l’AVF (Aide aux Victimes Fiscales).

Je vous confirme une réunion pour le lundi 11 Avril 2022, au Chien qui fume, 19 Bd du Montparnasse, 75006 Paris, à 18h. Nous évoquerons le projet que je crois nous pourrions engager.

Il ne s’agit pas de porter une assistance directe aux malheureux pris dans les griffes du fisc, ce serait trop lourd, nous le ferions sans doute mal et cela exigerait une lourde cotisation sans que nous puissions garantir des résultats. Et puis, pour cela il y a les avocats.

Je pense  qu’en revanche nous pouvons faire du lobbying sur notre concept :

Lutter pour des recettes fiscales constitutionnellement et proportionnellement bloquées à 30% des revenus du travail et du capital et 10 à 20% sur l’ensemble des dépenses (TVA) et non pour l’hypothétique maîtrise des dépenses de l’Etat. Elles se réguleront mécaniquement par rapport aux recettes. Aussi pour la limitation de l’intervention publique aux besoins régaliens.

Nous avons énormément d’arguments à développer dans cet axe, le but serait de monter un réseau de bénévoles allant à la rencontre des élus dans toute la France.

Je serai donc le 11 Avril à 18h au Chien qui fume, peut-être seul, peut-être avec certains d’entre vous. 

Nous discuterons en prenant l’apéro, ceux qui le veulent pourront rester diner, chacun payant son écot.

Bien à vous. H. Dumas

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