Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.
Mon vœu pour la France : que la liberté commence. Tout de suite !
Parmi tous les vœux qu’on peut former pour un pays qu’on aime par dessus tout, il en est un qui aujourd’hui l’emporte sur les autres : je souhaite à la France de retrouver la raison.
La France n’est pas folle. Mais elle est en train de le devenir. Ce ne sont pas les Français qui portent cette pathologie, mais leurs dirigeants. Je n’incrimine pas plus l’actuel président de la République et ses équipes que tous ceux qui les ont précédés depuis 46 ans, c’est-à-dire depuis l’élection de Giscard. Tous ont été atteints de cette maladie psychique qui consiste à croire qu’on est d’une essence différente des autres quand on est élu à la tête du pays. Ce mal atteint non seulement celui qui devient président de la République, mais aussi tous ceux qui participent à son pouvoir.
Il y a des présidents dans la plupart des deux cents pays que compte la planète, mais à part quelques dictateurs exotiques, aucun ne souffre du mal français. Il y a donc bien une spécificité nationale chez nous. Et le plus étonnant est qu’il n’y a aucune difficulté à l’identifier … si l’on connaît l’histoire. En fait, tout remonte à Clovis et à son baptême, qui est à l’origine du sacre de nos rois. En dépit des siècles et d’une révolution, le pouvoir, en France, est de nature divine. Quand M. Mélenchon, victime d’une perquisition, s’écrie à l’endroit d’un policier : « Ne me touchez pas, je suis sacré ! », il ne dit rien d’autre, car candidat à la présidence il participe de l’aura du pouvoir.
L’élection du président de la République au suffrage universel n’a fait que renforcer le caractère sacré de son pouvoir. On en même arrivé à un président, l’actuel, qui se voit en Jupiter ! C’est dire si le mal est profond ! Et tout découle de ce délire. La presse ne joue pas, dans notre pays, le rôle de surveillance et de critique qu’elle exerce partout ailleurs, et même l’opposition, tout hostile qu’elle soit, reste finalement assez révérencieuse, même quand elle se réclame des révolutionnaires de 1789.
Si bien que le vrai débat sur l’action du pouvoir ne peut avoir lieu qu’au bistrot du coin, d’où la rage de M. Macron à vouloir le maintenir fermé. Mais une brève de comptoir ne remplacera jamais un tribun déterminé à faire valoir ses vues, et c’est pourquoi le pouvoir, en France, peut résider paisiblement sur un petit nuage qui flotte dans le ciel d’Ile-de-France, cette belle région aussi riche en petits nuages qu’en châteaux royaux.
Nous voilà arrivés au cœur du problème. Tout ce qui devrait changer dans notre pays ne change pas en raison du fait que le peuple, dans son ensemble, ne peut être touché par cette nécessité. Il grogne pour le changement, mais ne le formule pas. Or ce qu’il devrait faire pour être entendu, c’est le crier, et même le hurler pour que le son monte jusqu’au petit nuage. Inutile d’insister, tout est bouclé !
Le mal français, c’est l’Etat. Il a pris de telles dimensions, qu’il étouffe tout. Et pas plus que l’herbe ne repoussait sous les pieds du cheval d’Attila, l’activité économique, seule source de la prospérité d’un pays, ne renaît pas sous les semelles de plomb de l’immense troupe d’énarques et de fonctionnaires qui foule le sol national jusque dans ses moindres recoins.
C’est pure folie qu’un tel régime politique quand il a la charge d’un pays au 21e siècle. On rêve d’une nuit du 4 août et on ne la voit jamais venir. Soyons clair : sans le soulèvement du peuple, il n’ya pas de nuit du 4 août.
Alors ou peut bien se trouver la raison pour les 67 millions d’habitants de notre beau pays ? Dans la révolte évidemment, dans la révolte. Les gilets jaunes avaient montré le chemin. Sans direction, ils se sont perdus en route. Mais ce qu’ils exprimaient n’a pas disparu. Ils voulaient vivre, tout simplement. Ils n’en pouvaient plus de l’Etat, qui au lieu de les servir les opprime. Aujourd’hui, plus de vingt millions de Français sont pauvres ou ne joignent plus les deux bouts. Il faut être un élu politique pour ne pas le comprendre.
Retrouver la raison aujourd’hui, c’est abolir les privilèges de la caste qui gouverne la France et la remplacer par de vrais élus du peuple. Quand les énarques auront été réduits au silence, le peuple enfin parlera. M. Macron a signé l’arrêt de mort du régime quand il a déclaré, le 14 octobre dernier : « On s’était habitués à être une société d’individus libres. Mais nous sommes une nation de citoyens solidaires. » Non, M. Macron, nous en renoncerons jamais à être libres. Et mon vœu pour la France, c’est que la liberté commence. Tout de suite !
Claude Reichman
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On nous parle régulièrement des monnaies numériques (crypto monnaies) de type Bitcoin et j’ai déjà eu l’occasion d’en parler ici et là pour dire tout le mal que j’en pensais !
Ce sont des actifs totalement incorporels, autrement dit des riens ne reposant sur rien, se réduisant à une ligne informatique perdue dans un serveur …. Mais ce sont des actifs générant actuellement une spéculation effrénée puisque le Bitcoin a atteint 29.000 $ (cours du 31 décembre) !
Le problème est que, désormais, les Etats commencent, eux aussi, à s’y intéresser sans que l’on puisse réellement en connaître les raisons …
En effet, l’€, monnaie utilisée quotidiennement, est déjà numérique à 80% puisque vos avoirs en banque se limitent à une ligne informatique, et qu’avec l’épidémie savamment administrée par les petits hommes gris de l’Etat fonctionnaire, les paiements par carte bancaire sans contact ont doublé.
Le cash a pratiquement disparu de la circulation.
Qu’est-ce qui peut donc bien justifier un tel intérêt alors qu’il n’y aucune pénurie de monnaie ?
Pour répondre à la question, il faut se demander quel est le but poursuivi en n’oubliant jamais que les petits hommes gris de l’Etat n’ont qu’un fantasme : contrôler toujours plus la population !
Quand on a compris le but, on comprend mieux tout l’intérêt d’une telle monnaie car qu’est-ce qui permet le mieux de contrôler une population si ce n’est de contrôler l’utilisation que celle-ci fait de l’argent.
Conclusion : Pour contrôler la population, il suffit donc de contrôler les flux d’argent alors que nous savons que les petits hommes gris de l’Etat détestent le cash parce que son usage n’est pas traçable. Dans leur esprit, le cash n’est pas synonyme de souplesse mais seulement de fraude fiscale puisque, par définition, toute transaction en espèces qui n’est pas déclarée échappe au contrôle de l’Etat c’est à dire, en fait, à sa taxation !
Ils n’ont donc de cesse d’agir pour que le cash disparaisse et qu’il soit remplacé par des systèmes de paiement traçables.
La carte bancaire remplit partiellement ce rôle puisque le Fisc peut savoir que vous avez payé tel jour, telle somme, à telle personne mais il lui faut pour cela consulter le dossier de chaque personne (par le biais de la banque) ; ce qui veut dire qu’il faut déjà nourrir des soupçons à propos de cette ou de ces personnes.
Autrement dit, la procédure actuelle est lourde et parcellaire et relève, pour utiliser une expression judiciaire, de la pêche au filet dérivant dans le cadre d’un contrôle fiscal !
Or, la « révolution » de la monnaie totalement numérique, de type Bitcoin, est la block Chain, c’est à dire un système de cryptage à code unique qui permet une avancée technologique faisant changer la nature de la monnaie bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer !
En effet, chaque Bitcoin est affublé d’un code unique qui le rend traçable et insusceptible de fraude !
Il suffirait donc d’affubler chaque € des mêmes caractéristiques pour arriver au résultat recherché !
Ce jour-là, une fois qu’on en aura fini avec les bons vieux billets de banque anonymes, vous ne pourrez plus payer le voisin qui vient tondre votre pelouse ou bricoler chez vous sans passer par la case URSAFF.
Vous ne pourrez jamais plus acheter quoique ce soit de manière anonyme !
La nouvelle monnaie numérique est un rêve d’étatiste mais ne constitue que la suite « logique » de l’utilisation de la technologie qui a permis la reconnaissance faciale, la traque sur internet, la lutte contre la fraude fiscale ; le tout au nom de la lutte contre la haine en ligne ou le terrorisme…
Avec cette nouvelle monnaie entièrement numérique, le paiement ne pourrait se faire que par le biais d’un smartphone ou d’un appareil similaire dédié ; toute transaction étant associée à l’identification des appareils ayant servi à sa réalisation.
Chaque € serait incrémenté d’un code unique et le paiement ne pouvant se faire que de smart phone à smart phone grâce à ce code unique, il serait donc possible d’en suivre le chemin de smart phone à smart phone au fur et à mesure de sa circulation !
Quel intérêt pour le fisc de savoir que tel € est passé de Monsieur A à Monsieur B puis à Madame C ?
Aucun, parce qu’il faut voir plus grand et raisonner en termes de flux de trésorerie !
Le fisc pourrait alors suivre le circuit de chaque € en quelque main qu’il se trouve et retracer sans aucune erreur possible tous les flux d’argent vers telle ou telle personne et si une personne reçoit en peu de temps mille paiements de 50€, nul doute que cela va attirer l’attention !
Avec ce nouveau type de monnaie, plus besoin de cibler une personne, il suffit d’entrer le code de l’€ pour le voir circuler de personne à personne et de retracer les flux de trésorerie sans aucune fraude possible ; y compris pour payer de la drogue ou des prostitué(e)s, transactions pour lesquelles le cash est pour l’instant roi !
Or, on sait que les services fiscaux se sont lancés dans l’utilisation de l’intelligence artificielle, dans des conditions d’ailleurs particulièrement opaques, mais on peut supposer qu’avec ces nouveaux moyens, ils pourront cerner les mouvements de capitaux et effectuer tous les recoupements utiles préalablement à de jolis redressements associés à des procédures pénales qui seront largement médiatisées (histoire de conscientiser la population !).
Autrement dit, le jour où ce sera mis en place, les petits hommes gris de l’Etat fonctionnaire auront atteint le nirvana de la surveillance fiscale et c’en sera définitivement fini de notre liberté !
Subsistent à ce jour trois difficultés :
Tout le monde n’a pas un smart phone mais on peut équiper les personnes qui n’en ont pas d’un appareil spécifique dédié ; tout le monde aujourd’hui a une carte bleue !
Il faut des capacités de calcul énormes qui vont consommer beaucoup d’énergie, mais les petits hommes gris de l’Etat sauront prendre les mesures nécessaires pour faire passer leurs priorités avant … celles des autres !
Il faut que les autres pays de la zone € décident d’une mesure similaire et de l’abandon du cash ; ce qui n’est pas pour tout de suite notamment en raison du fait que certains pays (Allemagne, Espagne) sont très attachés à l’usage de billets de banque. Néanmoins, du fait de l’explosion des dettes publiques avec l’aventure du Covid, il se pourrait que même les Etats les plus récalcitrants soient intéressés par la possibilité de taxer la circulation de la monnaie !
Evidemment, alors que certains demandent d’ores et déjà la mise en place du passeport sanitaire pour ceux qui refuseraient de se faire vacciner, on peut supposer que le stade suivant sera un crédit social similaire à celui mis en place en Chine ; c’est à dire qu’on pourra bloquer votre appareil de paiement pour vous empêcher de réaliser certaines transactions si … vous n’êtes pas sage !
Il y a quelques années, alors que je discutais avec un ami à Paros (ile milieu de la mer Egée), celui-ci s’évertuait à m’expliquer que le régime chinois ne pouvait pas durer bien longtemps parce que c’est une dictature et qu’aucune dictature ne peut tenir sur la durée. A un moment ou à un autre, les populations finissent toujours par se révolter !
L’Histoire va effectivement plutôt dans le sens de cette opinion mais l’astuce des dirigeants chinois est que cette dictature a changé de nature et que les moyens numériques permettent aujourd’hui de faire ce que les services secrets de RDA ou d’URSS n’ont jamais pu réaliser : le contrôle total et absolu de toute la population !
Nous allons donc bien vers une sinisation de notre société (et non l’inverse) … avec un contrôle de tous, tout le temps et pour tout !
La France était un enfer fiscal et à l’avenir ce sera … bien pire et les prévisions de G Orwell (1984) et Huxley (le meilleur des mondes) sont d’ores et déjà largement dépassées !
Evidemment, si vous posez la question aux autorités « compétentes », il vous sera répondu qu’il s’agit là d’une vision complotiste et que rien de ce genre n’est envisagé.
Mais n’oubliez jamais deux choses :
-la pratique des petits hommes gris de l’Etat fonctionnaire a été de manière constante d’augmenter les contrôles et les contraintes sur la population,
– les promesses sont faites pour n’engager que ceux à qui elles sont faites et surtout qui y croient !
Et le jour de sa mise en place, ils sauront nous présenter tous les avantages de cette nouvelle monnaie qui remplacera l’ancienne !
Ne restera plus alors, pour ceux qui refuseront de se laisser enfermer dans un tel carcan, que le troc pour échapper au radar de l’administration fiscale comme il y a … 2.500 ans, l’usage de métaux précieux tels que l’or ou l’argent en pièces ou au poids ou in fine l’utilisation, sous le manteau, d’une monnaie étrangère (de type US dollar) !
Sacré progrès !
Bonne année à tous !
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C’est le graal, la recherche de tous ceux qui voudraient que leur vie laisse une trace.
Pour ceux de ma génération, le champion du coup d’avance le plus célèbre fût De Gaulle. Enfin, plus précisément, son départ en Angleterre à l’occasion de la guerre déclarée à l’Allemagne le 3 Septembre 1939, et son fameux appel du 18 Juin 1940.
Ce ne sont ni les mathématiques, ni la science, ni la philosophie et encore moins la politique qui permettent l’accès au coup d’avance.
Ce sont les circonstances et la personnalité de son auteur qui seules donnent, par hasard, un jour non prévisible, les clefs du coup d’avance.
Il est possible que cette opportunité passe à la portée de tous les hommes une fois dans leur vie, si c’est le cas très peu savent ou peuvent la saisir.
Il faut accepter qu’une des particularités du coup d’avance c’est justement que seul l’histoire peut le définir, il n’existe qu’après, aucunement au moment des faits. Donc quand il passe nul ne le sait, même pas celui qui le joue.
Certains imaginent que le coup d’avance demande des qualités particulières et qu’ils les possèdent. C’est ce dont a fini par se persuader justement De Gaulle. C’est faux.
Malheureusement, malgré ses qualités et convictions objectivement exceptionnelles, il n’a jamais pu recommencer un coup d’avance. L’Algérie fut un fiasco qui n’a satisfait ni les français ni les algériens, ses positions anti-américaines ou timidement européennes ont isolé la France, sa gestion rigoureuse mais trop administrative du pays nous a et nous coûte encore cher, etc… Il n’a pas, malgré sa conviction à ce sujet, réussi un autre coup d’avance dans sa carrière dense d’homme d’Etat, ne nous laissant que Giscard, puis Mitterrand, comme punition à ses tentatives de coups d’avance avortées.
Particularité qui ne facilite pas la tâche, au moment où son opportunité se présente le coup d’avance a l’opinion publique contre lui, puisque factuellement son existence est due au différentiel entre la marche de la société et la sienne décalée, c’est là qu’il prend de l’avance.
Le coup d’avance n’est donc non seulement pas prévisible, mais même pas visible au moment de son opportunité, et pourtant certains le jouent et gagnent.
D’autres ne le jouent jamais, ignorent de ce fait qu’il est passé à leur portée.
Dans tous les cas il reste l’objectif, voire l’obsession, de beaucoup d’êtres humains qui l’imaginent par procuration — ou l’ont déjà personnellement vécu — et s’évertuent à tenter de le créer ou de le reproduire.
Peine perdue.
Un des pièges mortels qui entourent le coup d’avance est d’imaginer qu’il serait le produit d’informations particulières que devrait posséder celui qui va le tenter. Cette folle pensée génère des dégradations qui vont de la rétention d’informations à l’espionnage et au complotisme, autant de poisons mortels pour la vie en société.
Le coup d’avance peut être annoncé sans aucune réalité, puisque tant qu’il n’est pas enregistré par l’histoire il n’existe pas. C’est par exemple le cas des religions qui prétendent que le coup d’avance offert à leurs fidèles est la connaissance du paradis.
L’idée du coup d’avance est à la vie ce que le loto est à la misère, le truc qui permet de la supporter.
D’ailleurs les bénéficiaires d’un coup d’avance ont ensuite des trajectoires souvent comparables à celles des gagnants du loto. Ils se croient élus, perdent le sens de l’humilité et des réalités, pour finalement se retrouver dépourvus au terme de l’aventure. Sauf que, le loto mène toujours à l’anonymat alors que certains coups d’avance propulsent leurs bénéficiaires au panthéon de l’histoire des hommes, certes pour un temps limité par rapport à celui de l’univers.
Alors ce soir de la Saint Sylvestre, au moment des vœux, je vous souhaite de rencontrer en 2021 le coup d’avance et de le jouer.
Vous pouvez aussi vous contenter d’observer qui sera le bénéficiaire du coup d’avance qui sera peut-être dévoilé par COVID : Raoult, le Conseil Scientifique, Macron, le couple d’immigré allemand découvreurs du vaccin à la mode, ou un encore inconnu qui va surgir ? Les paris sont pris, attendons de voir qui désignera l’histoire et s’il y a aura ou non un coup d’avance à l’occasion de COVID.
Nicolas SARKOSY a dit : « Ce n’est pas la réalité qui compte mais la perception de la réalité ». On y reviendra.
Pour ne discuter que des deux mesures principales face à la Covid19.
Le port du masque, au hasard…
Si les virus sont volatiles ou aéroportés, la contamination dépend essentiellement de la charge virale contenue dans l’air localement autour du sujet. D’un seul coup, on peut se demander à quoi servent les masques en extérieur ! ??? Aussi et surtout, les masques chirurgicaux, pourtant bien plus efficaces que les masques en tissus, filtrent seulement 95% des particules mesurant plus de 3 microns. Les virus, eux, ont une taille comprise entre 0,01 et 0,3 microns.
C’est approximativement en moyenne comme si vous vouliez arrêter des balles de golf avec un filet d’une maille de 50 cm par 50 cm. J’espère que le filet n’est pas censé vous protéger ! N’allez pas croire non plus que la taille est le seul facteur. Non, le masque n’arrête pas non plus les balles de golf ou boules de pétanque. Il faut le préciser, les covidistes pourraient se faire mal !
Le pire, c’est noté sur les notices des paquets des masques : « ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses ». Cela dit, le gouvernement a fait enlever cette mention sur les nouveaux paquets à vendre. Malins les gars !
Pour les plus obstinés, pour se convaincre que le masque protège, vous diront « Oui, mais les virus ne se transportent pas seuls mais avec de micro-gouttelettes… » blablabla…, NON les gouttelettes ne retiennent pas les virus. Voyez comme une seule expiration cause de la buée dans un verre. Comment croyez-vous que serait votre masque en à peine 5mn ? L’est-il ? Et même mouillé l’air passe, moins bien au travers du masque, mais passe quand même ! Les virus avec…
Ce ne sont que des données physiques. Elles ne sont pas contestables. Et pourtant….
Le masque est en réalité une bombe bactériologique. On le touche en permanence ! Pour le remettre en place, pour vérifier s’il est bien là, pour montrer qu’on le porte bien comme il faut, comme on nous l’a dit. « C’est bien. Tu es bien sage, tu veux un susuc ? »
Patate !
L’expiration a plusieurs fonctions :
Rejet du CO2
Le port du masque peut donc induire selon la ventilation de la pièce, la température, une moins bonne oxygénation.
Rejet de bactéries, microbes et autres déchets (micro-organismes…) liés aux principes de la respiration
Ceux-ci, plus gros que les virus, s’accumulent dans le masque.
Pensez-vous qu’il est bon pour la santé de potentiellement réinspirer des éléments dont le corps ait voulu se débarrasser ? En plus de ceux que l’on met avec nos mains sales !
D’ailleurs, c’est pour ça que l’OMS, pourtant pro-pandémie, dans son rapport du mois de juillet : « On ne dispose pas encore de données factuelles directes de qualité qui atteste de l’efficacité du port généralisé du masque par des personnes en bonne santé dans la communauté… il faut procéder à un bilan des avantages et des inconvénients à cet égard… . Les masques médicaux, chirurgicaux FFP N95 doivent être utilisés seulement par des professionnels de la santé ou soignant et seulement face à des malades présentant des symptômes. »
Mais bon, ça, ça ne fait pas les affaires de tout le monde ! Alors, on ne le communique pas.
Le covidiste répondra à tout ça : « Mais t’as pas vu ce qui se passe dans les urgences… ». Oh mon dieu ! La raison lui échappe. Je vois mal comment quelque chose qui ne sert à rien, pire, occasionne potentiellement des infections bactériennes pulmonaires, officiellement on ne les compte pas mais il y en aurait eu plusieurs centaines, qualifiées bien sûr plus tard de Covid19, peut désengorger les urgences ? Ce serait plutôt le contraire !
Le confinement…
Alors là c’est pareil. La logique ou raison est emportée par l’émotion, la croyance, la docilité…
À fortiori, enfermer des gens malades avec des gens sains, ne peut que faire accroitre plus rapidement la proportion de malades. Plongé dans un environnement avec une charge virale importante, le sujet sain n’aura pas le temps de faire en sorte de,
Soit produire des anticorps qui représente environ 10% de nos défenses immunitaires humorales
Soit renforcer ses défenses cellulaires (90%), par les lymphocytes B et/ou T
Impossible de faire entendre raison au covidiste. Pas plus que pour les masques. En plus d’être covidiste, il est « confiné ». À ce niveau, c’est un pléonasme.
Heureusement la preuve en image. Oui, nous avons de la chance, il y a, malheureusement qu’un seul exemple en Europe : la Suède. Sa politique a été de ne rien faire. Cool, hein ? La liberté, celle qui est faussement chérie par tout le monde y compris les covidistes… Y-aurait-il eu qu’un seul gouvernement intelligent sur la planète ?
Toujours est-il qu’à partir des sources officielles (https://www.worldometers.info/coronavirus/) , on observe :
En France,
En Suède :
Si l’on compare la première moitié des 2 courbes (remarque pour le covidiste : il faut tenir compte de l’échelle !), on s’aperçoit qu’en France, il y a eu des pics très forts pendant la période de confinement parfois faisant plus du double du nombre de morts quotidien attendu, justement là où le confinement était censé faire effet, même bien après la période d’incubation ! Oh ben ça alors, quelle surprise !
En revanche, en Suède, la courbe s’étale jusqu’à presque fin-juillet, pour un résultat quasi identique en nombre de morts par million d’habitant in fine, ce qu’était censé faire le confinement !
Comme on dit dans mon village : « la messe est dite ! »
Pour les secondes moitiés des courbes, si l’on on se contente de les observer telles qu’elles, on s’aperçoit que la « seconde » vague en Suède est d’une amplitude en moyenne sur les 2 derniers mois, environ 2 fois inférieure avec une forme en cloche comparée à celle de la France qui toute proportion gardée a une structure beaucoup plus plate et un nombre de morts au moins équivalent à la première vague à l’inverse de la Suède, ce qui laisserait entendre qu’évidemment l’immunité collective en Suède ait joué davantage son rôle.
Que voulez-vous, la logique, la raison n’a plus sa place dans ce bas monde !
Le covidiste rétorquera : « Mais comment tu voulais faire autrement ? ». Alors là, les bras m’en tombent ! Plus confiné que ça, tu meurs ! C’est sûr, qu’adopter la politique du pire était sans doute la meilleure chose à faire !
Pour analyser plus précisément la seconde partie des courbes, il faut mettre en perspective l’analyse du nombre des cas.
En France, le nombre de cas (pas de malades ou morts) explose ! :
Notre minus Véran (la racine latine lui va si bien!) explique que l’on fait désormais 280 000 tests par semaine, ce qui représente 40 000 tests par jour. Pas rien ! Alors là, il faut bien l’avouer quand on sait ça, on observe que depuis mi-octobre jusqu’à mi-novembre on a presque 100% de tests positifs dis-donc ! Des fois, bien plus. Trop balaise !
Bon il faut savoir, au moins une petite chose en plus.
D’abord, l’inventeur des tests d’amplification en chaîne par polymérase dits PCR, le prix Nobel de chimie 1993 Kary Mullis avait de son vivant fait savoir que le test PCR ne permettait pas de détecter une infection virale. Je dis bien de son vivant parce qu’il est mort mystérieusement au mois d’août dernier comme par enchantement ! C’est bête, hein…
« Mais enfin bon, admettons » à la Jean-Marie Bigard dans le sketch de la chauve-souris, hihihi… Voyez-vous, les fameux tests PCR, jusqu’au mois de juillet étaient amplifiés à 25 fois contre 30 recommandé. Conséquence, on pouvait avoir de faux cas positifs, certes, mais aussi beaucoup de faux négatifs. Ça laissait l’opportunité d’avoir un taux de mortalité très élevé. En même temps il fallait faire peur. Bouh !
Et puis comme il n’y a plus eu de mort ou trop peu de la Covid19, comme annoncé à la sortie du confinement pour prétendre à une seconde vague, attendue, puis encore attendue… du coup, on nous a focalisé sur les cas positifs, puis après sur les cas contacts ! Mais qu’est-ce donc ? Ben oui, c’est tellement plus pratique.
Et donc depuis le mois de juillet, les tests PCR sont amplifiés de 45 à 50 fois ! En théorie, cela induit qu’il y ait 95% de faux cas positifs. Mais comptabilisés comme vrais, évidemment !
Le covidiste répondra : « Pffff, on n’en sait rien. C’est de la théorie ».
Mais là encore une fois, on a un exemple : les anglais ! Ils ont été assez cons pour faire le test grandeur nature. À Liverpool, il y avait un taux de cas positifs tellement hallucinant, 13,3% de la population en même temps (car il faut bien vous dire une chose, avec un R0 à 2 (R0 si bien expliqué dans l’article https://temoignagefiscal.com/le-coronavirus-ou-le-mange-cailloux/), on a déjà tous était contaminé par la Covid19 au moins 1 fois), qu’ils ont fait appel à l’armée et forcé la population à se faire tester avec des tests antigéniques, bien plus fiables. Oui, l’armée a des tests antigéniques et l’hydroxychloroquine aussi et nous les tests PCR et le Remdésivir qui tue. On l’a vu partout dans la presse… Résultat ? Il n’y avait plus que 0,7% de cas positifs, soit seulement 5,3% de vrais cas positifs comparés aux cas positifs des tests PCR. Pour le coup, silence radio. Bien entendu…
C’est chiant quand la réalité colle à la théorie. Hein ?
Et puis cas positif ne veut pas dire malade et encore moins mort !
On en déduit facilement que depuis juillet presque tous les morts déclarés Covid19, cas positifs n’en sont pas, comme on ne peut plus dire que les urgences sont blindées de cas de Covid19.
Si en plus vous vous dites que quand bien même testé positif, la Covid19 n’est pas forcément la cause de la mort…, ça ne laisse plus beaucoup de place à la dangerosité de la Covid19 !
D’ailleurs comment pourrait-il en être autrement ?
Tous les ans à la même période, à partir de mi-octobre, les urgences sont saturées. Et si cette année, il y a 85% de cas de Covid19 (annoncés), où sont les cas d’urgence habituels ? !!!
Ben c’est vrai, cette année contre entre 10 000 et 14 000 morts de cas de grippe, il n’y en a eu que 72 !
Et les morts liés aux infections virales pulmonaires ? 60 000 par an. Disparus ! Les bronchites, les pneumonies, les rhumes… tout ce qui touchait des millions de personnes par an ? Comme la Covid19 peut toucher tous les organes, même le mec qu’a la chiasse, c’est la Covid !
La pandémie de Covid19 ne se serait-elle pas en réalité une pandémie de test PCR ?
D’ailleurs, cela fait l’objet d’une plainte pour crime contre l’humanité menée par le Dr Reiner Fulmich, avocat allemand. Vérifiez !
« Je vois des jeunes mourir… dans les hôpitaux… », avec son petit numéro Véran qui déboule à l’assemblée, cré cré en colère tout rouge, laissant ainsi supposer qu’il y en a des milliers. Heil Véran !
Savez-vous combien il y a de morts de la Covid19 de moins de 30 ans en France depuis le début ? 28. Des candidats poly-symptomatiques… Bref à regarder les courbes, il n’y a rien d’anormal.
Avec un âge médian de mortalité des Covid19 à 84 ans et une espérance de vie à la naissance de 79 ans, ne serait-il pas normal finalement de mourir de ça ou d’autre chose sachant que toutes les autres maladies ont disparu selon les tests PCR ?
Il est étonnant de constater que des décès, qu’ils aient été causés par un accident de voiture…, une fois testés, si le test est positif, ils sont comptabilisés Covid19. Plusieurs plaintes rapportées au ministère de la santé ont déjà été enregistrées par centaines. Si si, allez-y vérifiez…
Une petite vidéo plus sérieuse de 2m39s du Prof. Christian Perronne, Chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital Raymond-Poincaré à Garches expliquant l’intérêt vénal à diagnostiquer des cas positifs :
Mais aussi, diffusé sur LCI :
Enfin…, le test PCR, pour qu’il ait une véritable signification, quantitative, il aurait fallu avoir développé des contrôles des positifs sur des patients. Nos positifs sont juste basés sur des dilutions de molécules donc il n’y a pas d’indication physiologique donc ne sont pas équivalents à une charge virale. Se faire tester sans symptômes ne sert à… rien.
Et quand bien même on a des symptômes et qu’on est positif, il n’y a pas de protocole ! En même temps l’état s’est tellement acharné à décrédibiliser certains traitements, qu’il n’est plus possible d’en avoir un.
Une anecdote quand même… Une personne plus ou moins proche, paniquée par la Covid19 crie « je vais mourir… ». Mal de tête, température, toussote un peu et bien évidemment perte du goût. Bref la totale. Va voir son médecin… refuse de diagnostiquer quoique ce soit… boum, direct au test. Pas de bol, test négatif. Pourtant avec 95% de faux cas positifs… le médecin recommande un nouveau test pour être sûr. Re-test négatif. Ils sont nuls ces tests de merde ! Le médecin finit donc avec toutes les précautions d’usage par l’ausculter. Bilan une sinusite ! Une maladie de plus qui n’existe plus dans le vidal dis-donc !
Et si par malheur vous devez être hospitalisé et que le test PCR est négatif, hop radio des poumons. À partir d’un certain âge, qu’on ait fumé ou pas… ce serait étonnant qu’il n’y ait pas une tâche quelque part. Oh ben là, dans 100% des cas vous serez estampillé Covid19 ! Et paf, un de plus. Alors pour m’être intéressé à l’imagerie médicale (en rapport avec les probabilités), je pose la question : quelle est la différence entre une tâche sombre causée par « x » et une tâche sombre « susceptible d’être des suites probables d’une contamination par la Covid19 » ? Heureusement que le conditionnel existe, lui ! Réponse : la même différence qu’il y a entre un bon et un mauvais chasseur, pour reprendre le sketch des Inconnus !
Et puis il y a les confinés qui somatisent à mort ! Sans faire de vilain jeu de mots. En moins de 3 jours ils ressentent tous les symptômes… perte du goût, mal aux reins… Ce sont des confinés avec palmes. Euh pas celles pour nager mais celles de la légion d’honneur. Espèce de confiné ! À moins qu’ils aient fini par être hypnotisés ? On verra plus tard…
Bon alors, selon les sources officielles, voici l’évolution de l’indice de surmortalité sur les 4 dernières années :
À la lecture de ce graphique, I faut comprendre qu’en-dehors de la période où on a été confiné, rien n’indique une surmortalité. Il n’y a donc pas de pandémie au sens strict du terme. Sauf si l’on parle de cas positifs, pire de cas contact ! Bientôt, il suffira d’être vivant pour que vous soyez soupçonné d’être un « assassin » si vous ne portez pas de masque… Dès la naissance, hop en taule ! Non mais, sale bébé !
Aussi, ayant éliminé toutes les autres pathologies ou presque, pendant le premier confinement, les hôpitaux et cliniques privées vides, on estime à environ 75 000 morts, les personnes qui n’auront pas été diagnostiquées à temps ou prises en charge pour d’autres pathologies.
Mais alors la surmortalité, qui reste tout de même très relative, constatée pendant la période de confinement ne serait-elle pas plus dû aux mesures prises contre la Covid19 que le virus lui-même ? J’aime à penser que oui. La démonstration est triviale, sauf pour les covidistes. Je ne vous ferais pas l’affront de la faire ici.
Bon, donc depuis le début de cette épidémie, pour être plus propre sur le terme à employer, il n’y a rien de cohérent. Rien. Une dichotomie énorme entre la réalité, la lecture des données brutes, même officielles, et les informations diffusées exponentiellement trompeuse.
Je dis « brutes », parce qu’il y a fort à parier que les vrais morts de la Covid19 ne représentent pas beaucoup plus d’un tiers de ce que nous comptons. Sinon certain !
Personne ne conteste les recommandations toutes aussi plus grotesques les unes que les autres.
Personne ne peut nier qu’on nous a empêcher de nous soigner normalement. Le covidiste dira « mais on ne savait rien à propos de la Covid19 au début ! ». Pourtant le gouvernement en savait bien assez pour nous interdire tout ce dont on avait besoin, aspirine, anti-inflammatoire, corticoïdes… , pour notre bien ! Quelle attention, on n’en demandait pas tant.
Il avait même été également interdit de faire les autopsies. Faudrait surtout pas savoir de quoi on meurt vraiment !
On ne reviendra pas sur l’interdiction de l’hydroxychloroquine au profit du Remdésivir qui vous flingue les reins à coup sûr et de l’étude honteuse Recovery, ou de la publication The Lancet.
152 études montrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine par un abaissement de la mortalité par 2 au minimum, à appareillage équivalent. Pour le covidiste, je répète « à appareillage équivalent » et s’il ne sait pas ce que ça veut dire qu’il cherche ! Ça le sortira de sa TV ou infos de merde reçues par BFM… et de tous ces poisons !
Site de référence officiel pour ceux qui ont un peu plus qu’un verre d’eau tiède entre les oreilles de covidiste : https://hcqmeta.com/ (1 chance sur 1 quadrillion que l’hydroxychloroquine n’est pas d’effets positifs). Covidiste relit au moins 2 fois pour être sûr d’avoir compris le sens…
Entre les faux morts du Covid19 et le fait qu’on nous ait empêcher de nous soigner, nous aurions dû avoir entre 5000 et 10000 morts de la Covid19 ! Qui plus est, des morts de substitution par rapport à d’autres virus ou maladies compte tenu de la surmortalité (cf analyse au-dessus pour le covidiste qui a la mémoire d’un poisson rouge au profit de profondes croyances…).
Ah ! Une petite parenthèse, la vitamine C, D, zinc, magnésium… marche très bien en plus, d’aérer son logement, de se laver (pour de vrai), un minimum d’exercices physiques… enfin des trucs tout bête. Comme moi ! Sans être confiné, je dois bien être un peu con sur les bords. Si si, vous comprendrez un peu plus tard…
Une autre petite précision, le corps est pour moitié constitué de cellules humaines et l’autre de… bactéries, microbes, virus en tout genre. Ce qui fait que notre système immunitaire fonctionne est que notre corps est en permanence attaqué par les virus… Vouloir se protéger, ne plus être en contact avec les virus… serait de fait affaiblir notre système immunitaire.
C’est ce qui explique que selon votre état de santé vous serez sensible à un virus comme la Covid19, la grippe, un autre coronavirus comme le rhume… ou pas. Si on vous teste pour savoir si vous êtes infecté par le virus d’un rhume, il y a 1 chance sur 2 pour que vous le soyez, sans pour autant que vous en soyez malade !
Alors, votre patrimoine génétique fera de vous quelqu’un de plus ou moins résistant, certes, mais ne pas admettre que de ne pas prendre soin de soi est un facteur aggravant, c’est vouloir, une fois de plus, ne pas engager sa propre responsabilité. Pourtant, il n’en fait aucun doute.
Si vous ne faites plus d’exercices physiques, vos muscles fondent.
Si vous ne réfléchissez plus, vous devenez covidiste ou confiné au choix.
Et s’il y a bien une chose à accepter aussi, c’est de vieillir. Devenant plus faible, on finit par mourir, d’une maladie, d’une bactérie, d’un virus, parfois même aussi insignifiants soient-ils ! Surtout à 84 ans et plus !
Parce qu’une réalité saute aux yeux aujourd’hui, comme prévu au mois de mars, la Covid19 (SRAS COV 2) est devenu un virus insignifiant comme le SRAS COV 1 (2001), qui a pourtant fait plus de morts (réels) et lequel a été régulé de manière naturelle, sans aucun vaccin…
En revanche, c’est la loi des virus, s’il est moins virulent, il sera plus contagieux… C’est une loi naturelle lié à la survie de chaque espèce, même si le virus n’en est pas une.
Donc il faut être complètement confiné, pour se focaliser sur la contamination, les tests, puisque le virus fera moins de malade et par conséquent moins de morts jusqu’à ce que cela tende vers zéro, comme tous les autres coronavirus.
Mais ce sera le prétexte avancé pour la vaccination. On fera la même allégorie au sujet de la Covid19 que pour… la tuberculose par exemple. La tuberculose faisait 35% de morts. La Covid19 0,05% selon la « police » à 0,01% selon la réalité… Je vous laisse réfléchir sur son utilité sachant que cela tend vers 0.
Enfin le plus intéressant…
Nous disions « Ce n’est pas la réalité qui compte mais la perception de la réalité » – Nicolas SARKOSY.
Oui, parce que tout de même, la vraie question est : comment se fait-il qu’il y ait autant de covidistes ?
« Il ne faut pas sortir de Saint-Cyr » pour se rendre compte que globalement toutes les mesures prises contre la Covid19 n’ont été qu’aggravantes et que la dangerosité réelle de ce coronavirus est désormais quasi nulle.
Ah, je sens bien qu’en disant ça, devant la démonstration précédente, le covidiste était un tantinet septique, mais que là, d’un coup, la conclusion n’est pas possible.
De la même manière que l’on créé le tube de l’été !
Mais qui sont ces covidistes ? Parce qu’il y a pourtant parmi eux des gens qui ont fait de hautes études ! Si si, même parfois polytechnique, l’ENA… même médecine ! Même chez cette élite supérieure, au moins 75% d’entre eux sont covidistes.
Ah, pardon, « je m’a gouré ». L’énarque, lui, il sait tout. Quand il a fini sa réponse, on ne sait plus quelle était la question, mais il a raison, c’est sûr. Glups ! C’est l’enavirus. Pour le coup, il n’y a pas encore de vaccin et celui-ci serait pourtant bien utile !
Avec cette histoire de Covid19, on tombe dans le simulacre de Platon. Il n’y a plus que des débats d’opinions. On s’éloigne de la raison vers la croyance. Et les croyants, comme on l’a vu, font systématiquement diversion.
Les foules sont plus sensibles par l’émotionnel que le rationnel… cela réduit drastiquement l’intelligence individuelle. On ne réfléchit plus ! On devient covidiste ! C’est valable pour toutes les religions d’ailleurs…
Personne ne vérifie les faits, surtout pas les journalistes d’ailleurs, des faits partiellement exposés. On est dans la tromperie. Et ça marche !
Comment ?
Pêle-mêle, des idées pour expliquer que les hommes ne résistent pas à l’idée de conformité qui font d’eux des fascistes.
L’expérience de Asch sur le conformisme (1951).
Il s’agit de mesurer l’influence du groupe sur l’individu. L’individu seul face à un test à reconnaître des évidences aura dans 99% des cas fait un sans-faute. En revanche, ce même un individu au milieu d’un groupe (acteurs) répondant volontairement de fausses réponses, seulement 25% des sujets commettront un sans-faute, avec un taux de 30% de mauvaises réponses. Les sujets étant débriefés à la fin de l’expérience, certains étaient intimement persuadés qu’ils avaient toujours donné la bonne réponse. D’autres avouaient s’être laissés convaincre par l’opinion unanime du groupe ; et enfin certains avaient la bonne réponse, mais ne voulaient pas dénoter par rapport au groupe. Cette expérience a été répétée plusieurs fois à différentes époques. On obtient toujours le même résultat.
L’expérience Milgram
Suite aux catastrophes endurées pendant l’Holocauste, Stanley Milgram s’est interrogé sur l’obéissance aveugle d’une grande partie des Allemands. Prenant le prétexte de réaliser une expérience, Stanley Milgram a demandé à plusieurs personnes de poser des questions à un homme soigneusement attaché à un générateur de décharges électriques. À chaque mauvaise réponse, les personnes devaient lui envoyer des décharges. Seulement, l’homme en question était un acteur et les chocs électriques étaient bel et bien faux. En revanche, les personnes choisies pour lui infliger ses punitions l’ignoraient bien évidemment. Le résultat de cette expérience a démontré que les cobayes, pour 75% des cas, ont obéi au doigt et à l’œil aux consignes de l’expérimentateur représentant l’autorité ; quand bien même l’homme attaché hurlait et pleurait de douleur et dont le seuil théorique de résistance à l’intensité mortelle approchait. Stanley Milgram en a conclu que les résultats étaient « inattendus et inquiétants ».
Vous allez penser « Quel gros con ce mec ! ». Oui parce que de ces expériences, j’en tire la conclusion qu’environ 75% d’entre nous sont bien structurés pour devenir de vrais fascistes. Et alors pour ceux qui aspirent à prendre le pouvoir (élus, hauts fonctionnaires…) on approche les 100%.
Pour vous en convaincre, on continue ?
La troisième vague
Cette expérience, similaire à celle de Milgram, consistait à étudier les mécaniques sociales du fascisme lors de la Seconde Guerre mondiale. Le Professeur Ron Jones mena l’expérience sur une classe entière de lycéens. Il fonda au sein du groupe d’étudiants un mouvement idéologique mettant en avant les mérites de la discipline et de la communauté. Les étudiants se sont montrés motivés et déterminés, plus attentifs également en cours et ont manifesté des signes de rejet envers ceux qui ne suivaient pas comme il se devait le mouvement instauré, ces derniers étant appelés « La Troisième Vague ». Le Professeur Ron Jones s’est vu obligé d’arrêter son expérience au bout du 4e jour voyant que cette dernière lui échappait complètement.
L’expérience de la prison de Stanford
Un groupe de 24 personnes sélectionnées pour n’avoir aucun antécédant… se prêtent au jeu de jouer aux prisonniers et aux gardiens dans des conditions réelles. Les résultats montrent que les prisonniers deviennent rapidement apathiques. L’auteur ne pensait pas que cela pouvait se passer dans une situation de jeu et les résultats sont allés bien au-delà de ses attentes. On note que c’est la définition de l’environnement social qui structure les conduites et les perceptions jusqu’à un point que nous sous-estimons. Gardes et prisonniers reproduisent la plupart des comportements avilissants que l’on peut rencontrer dans de vraies prisons.
Ne voyez-vous pas des similitudes avec ce que nous vivons aujourd’hui ? T’es complétement confiné ou bien ?
Malgré l’expérience du premier confinement, environ 75% des français (décidément, ce chiffre est persistant) selon les sondages étaient pour le second confinement.
Pour le premier, si peu étaient soit suffisamment intelligents et lucides à la fois pour comprendre que ce serait une catastrophe, à postériori, pour le premier, la catastrophe est pourtant belle et bien démontrée. Seulement c’est toujours pareil, admettre qu’on a eu tort, surtout dans ces conditions, ce n’est pas facile. Les plus salauds feindront de l’ignorer pour en remettre une couche ! Et c’est exactement ce que fait chacun à la hauteur du pouvoir qu’il représente.
Comment peut-on accepter un tel désordre, chao, économique, psychologique, sociologique pour… rien !?
En 10 points ce que l’on appelle l’ingénierie sociale :
Au début en février, rappelez-vous : « Le coronavirus, n’est pas dangereux » en regardant ce qui se passe en Italie. « Les masques ne sont pas utiles mais ne vous inquiétez pas nous montons en urgence un comité scientifiques » en montrant des scientifiques avec combinaisons intégrales comme s’il s’agissait du virus Ebola. C’est un double discours qui crée en réalité une dissonance cognitive et le peuple trouvera des réponses du bien-fondé des mesures gouvernementales complétement absurdes que lui-même va demander. Pour bien enfoncer le clou, on va même jusqu’à provoquer une frustration en créant le manque, la pénurie tel que le peuple sera avide de mesures de sécurité quand bien même fussent-elles liberticides ou absurdes tant raillées mais bien observées, jusqu’à la délation, pour toujours bien faire partie du groupe. Le masque ne sert à rien mais il se voit. C’est rassurant… pour les covidistes uniquement.
Edward BERNAYS écrivait en 1928 Propaganda « Comment manipuler l’opinion en démocratie ? »
En bref, en 10 règles :
La distraction
La télé par exemple, elle distrait et met en état d’hypnose ! Sans savoir pourquoi on continue de la regarder.
Les informations répétées, aussi absurdes, finissent par rentrer dans le crâne.
Plus subtilement, il faut détourner l’attention de la nation et défaire les identités.
On diffuse la désinformation de manière complexe
Créer un problème pour mieux le résoudre
Par exemple, on laisse monter l’insécurité pour mieux arriver comme un sauveur.
Il faut comprendre que nous avons 4 grands fantasmes fondamentaux :
L’intérêt matériel immédiat
La peur, aujourd’hui celle d’un virus invisible donc parfait pour disséminer la peur
L’érotisation, autrement dit l’envie
L’agressivité
La peur et l’envie étant finalement les deux principaux moteurs.
La dégradation progressive
Autrement dit, le fascisme progressiste.
Il s’agit de vous donner des informations au compte goute pour que petit à petit vous acceptiez ce que vous auriez refusé si on vous avait tout dit d’un coup. C’est le coup de la grenouille que l’on met dans l’eau que l’on fait réchauffer progressivement. On s’habitue.
La vie normale ne pourra être retrouver qu’à partir du moment où il y aura un vaccin. L’idée du vaccin admise… Le vaccin étant ce qu’il est, il faudra continuer les gestes barrières, porter les masques et probablement faire de nouveaux confinements… Et ainsi de suite… et le bon peuple oublie, devant la télé…
NB : c’est exactement de cette manière que grossit notre administration, petit à petit comme le cancer. L’administration ne peut être par nature que fasciste et c’est bien pour ça qu’il faudrait ne lui laisser aucun pouvoir. Ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui.
La stratégie du différé, le « on s’en occupera »
On s’occupe de la « pandémie », on s’occupera de l’économie plus tard (sachant que l’économie ne se maîtrise pas) et le plus tard ne viendra donc jamais.
En revanche les lois liberticides… pleuvent… comme le fichage (encore 3 nouveaux décrets), l’interdiction de filmer, de s’exprimer, on ne compte plus les articles, vidéos censurés par des organismes dits indépendants…, des articles mêmes scientifiques disparus de la toile prouvant que la science n’est plus que politique…, on interne ce qui ne pensent pas comme l’omerta en hôpital psychiatrique…, on décrédibilise les autres…
Les parlementaires n’ont même plus la parole s’ils ne vont pas dans le bon sens. Le gouvernement impose.
En bref, bien qu’un mal nécessaire, la démocratie ne fonctionne plus. Il y a une concentration des pouvoirs. Nous sommes en dictature.
À l’ONU, les rapporteurs aux Droits de l’Homme s’inquiètent pour le respect de plusieurs libertés fondamentales en France presque exclusivement : https://flip.it/ngRah6
S’adresser au public comme à un enfant en bas âge
On vous fait culpabiliser. Vous ne mettez pas votre masque même s’il ne sert à rien. Mais c’est une mesure qui se voit qui donne l’illusion.
Et si vous agissez mal, vous serez puni, banni du groupe, sans compter l’amende !
S’adresser à l’émotionnel
Le virus devenu insignifiant, on entretien la peur de mourir. Il faut obéir comme on nous l’a appris depuis l’école… et avant. On agit sur la culpabilité, encore et encore…
Encourager le peuple à se maintenir dans la bêtise et l’ignorance
L’esprit critique est anéanti par les normes, les procédures, la normalisation… le big data… Si vous n’êtes pas spécialiste du domaine, quand bien même la question ne relèverait que du simple bon sens, vous n’êtes pas autorisé à donner votre avis même fusse-t-il issu d’une démonstration logique.
On applique le formatage de tous les modes de communication. Aujourd’hui, on ne peut être que covidiste ou complotiste. La pensée devient binaire. Débile ? Oui.
Se complaire dans la médiocrité
On a besoin de se sentir appartenir à un groupe. Pour bien comprendre selon la pyramide de Maslow :
Besoins physiologiques primaires (boire, manger et dormir).
Besoin de sécurité (peur de mourir), inhibe la raison au profit de l’émotion.
Besoin d’appartenir à un groupe, à mettre en perspective les expérience de Hash, Milgram… . Avec le masque on fait d’un groupe une succession de personnes détachées des unes des autres. Si tu ne mets pas de masque alors tu seras banni du groupe, allant jusqu’à la délation par ceux qui souffrent des mêmes maux que nous.
Besoin d’estime de soi. La culpabilisation est un sentiment qui au contraire détruit. Elle rend docile.
Besoin de réalisation de soi, dans une économie détruite, ça devient plus compliqué.
Une économie prospère, permet de réaliser tous ces étages.
Remplacer la colère par la culpabilité (encore)
Seriez-vous égoïste au point d’être responsable de la mort des gens qui vous entourent, que vous aimez, que vous croisez ?
Les humains n’aiment pas le changement
Pour faire admettre le changement, il suffit d’un choc pour imposer de nouvelles normes. Faire admettre que nos habitudes ne sont pas les bonnes.
Diviser pour mieux régner. Pro-masques vs anti-masques, distanciation sociale. Le virus est l’alibi parfait, parce qu’invisible.
En ingénierie sociale, il existe d’innombrables essais sociologiques concernant la manipulation de masse. Nul doute que nos hommes du pouvoir en aient fait à un moment donné ou à un autre leurs livres de chevet.
Avec tout cela, les gens sont perdus et pour ne pas être rejeté du groupe, ils s’autocensurent pour se conformer à ce qu’ils croient être la pensée du groupe, les médias reflétant en principe l’opinion publique. Avide de sensationnalisme, au début sans forcément trop y croire, la population en redemande. La presse fournit quitte à distiller de fausses informations ou trompeuses. Vient alors l’encrage. Les politiques encouragés, voulant avant tout être réélus, s’exécutent et renchérissent encore plus le mouvement pour conforter leur pouvoir. Un vrai cercle vicieux. Nos élus, hauts fonctionnaires jouissent de leur pouvoir et le covidiste est rassuré.
Que tout cela se produise de manière concertée, planifiée (thèse complotiste) ou de manière naturelle, tant la bêtise des gens du pouvoir et de la population est insondable, cette manière de gouverner et de convaincre le bien-fondé des mesures prises que la population n’aurait jamais acceptées normalement est inacceptable.
Les covidistes sont par nature, des fascistes qui s’ignorent. Des égoïstes, des salauds incapables de prendre une quelconque décision, assumer une quelconque responsabilité. Des lâches.
Toute la magie de notre « chère » administration.
Dans la hiérarchie, chacun obéit se croyant à l’abri et espérant pouvoir tirer parti de quelques avantages. On monte des comités pour prendre des décisions… à plusieurs. Pas de responsabilité.
Il y a ceux qui obéissent, et pire, ceux qui sont partie prenante, comme les élus (députés, maires… et surtout les préfets), directeurs d’établissement publics (hôpitaux, établissements scolaires…) et mêmes des grandes entreprises (des PDG aux différents directeurs et managers…).
On se conforme tant à ce que l’on croit être l’avis du groupe, que cela fini par le devenir. C’est un phénomène auto-réalisateur.
Et plus on se sent en sécurité (comme les fonctionnaires ou assimilés comme dans les grandes entreprises) et/ou plus on se trouve haut dans la hiérarchie (plus les salaires sont importants) ce qui confère une certaine sécurité également, plus bien souvent on est un covidiste convaincu, incapable d’anticiper quoique ce soit perdant tout le sens des réalités, en somme le bon sens. Le confinement ne les inquiète pas… il ne change rien sinon même les covidistes peuvent en profiter. Après tout, 80% des gens occupés dans ces conditions font un travail qui ne sert à rien, alors rien ne changera… Ils peuvent se contenter d’écouter ce qui les arrange. Il y aura des exceptions bien évidemment.
D’autres en mal d’héroïsme ou de reconnaissance (comme ceux qui aiment le pouvoir, comme beaucoup de personnels soignants…) se feront un plaisir d’amplifier leurs actes avec zèle et finiront par croire à ce qu’ils ont envie de vivre. De vrais mythomanes.
À contrario, les plus fragiles, comme par exemple les plus anciens, souvent par jalousie, sont favorables aux mesures égalitaristes, comme le confinement… ils peuvent aussi fantasmer sur l’utilité d’un vaccin, lequel s’il était efficace, protégeant des virus, ceux-ci pourraient accroitre significativement leur espérance de vie. Il faut bien le dire, ils n’ont plus grand-chose à perdre, eux !
Bref, tout cela n’est que l’expression du comble de l’égoïsme, de l’orgueil, de la vanité ou encore de la jalousie. Tout cela au prix de la liberté.
Mais souvenez-vous des conclusions de l’expérience de Asch « certains étaient intimement persuadés qu’ils avaient toujours donné la bonne réponse », en analysant bien tous les effets de ce que l’on appelle l’ingénierie sociale, ne serait-il pas possible que la population mondiale soit hypnotisée au point d’être victime d’une hallucination collective ?
L’état d’urgence sanitaire à induit une dictature. C’est un fait. L’histoire montre qu’en général, toutes les libertés prises par les hommes du pouvoir ne seront jamais restituées.
Jean-Paul Sartre : « Jamais nous n’avons été plus libre que sous l’occupation allemande ». Provocateur, c’était un appel à prendre position pour la résistance.
On créé un problème, le virus, en amenant la solution, le « vaccin ».
Covidiste, si tu es sincère, que tu as cru aux masques, aux confinements…, va te faire « vacciner ».
Oui, à plus ou moins long terme, le « vaccin » est une solution à condition qu’il ne soit pas obligatoire et que rien ne force à l’être pour vivre normalement. Après tout, s’ils sont efficaces, ceux qui se seront « vaccinés » ne risquerons plus rien de ceux qui ne le sont pas. Chacun doit être libre de ses décisions et convictions. Tant qu’il s’agit d’un acte consenti et éclairé, les bases du libéralisme… je ne vois aucun souci à cela.
En revanche, je ne trouve pas normal que ce soit l’État qui sélectionne pour toi, covidiste, le bon « vaccin ». Tu devrais être libre de tes choix. Sachant qu’ils ont chacun des particularités différentes, cela te permettrait potentiellement de cumuler les « qualités » de chacun… On n’est jamais trop prudent !
Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.
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Le déroulement de la véracité de cette élection m’intéresse depuis un bon moment. Et je ne suis pas le seul par les articles liés au sujet que l’on peut parcourir sur les sites de https://www.dreuz.info/ , https://www.francesoir.fr/ , https://insolentiae.com/ , https://lecourrierdesstrateges.fr/ , https://institutdeslibertes.org/
Inutile d’évoquer les médias Mainstream US et les nôtres sise France qui détestent Mr TRUMP depuis le début et qui ne nous informent plus objectivement depuis bien longtemps.
Par tous les sites « complotistes » cités ci-dessus, on apprend beaucoup de choses sur le déroulé de cette élection, sur le parcours institutionnel qui doit la valider ou pas, sur les voies de recours en considération d’un résultat altéré.
Mais un mur – de Berlin ? – est dressé par le marigot « démocrate » à la manœuvre contre lequel toutes les preuves apportées, les témoignages sous serment – aux States, le parjure relève d’une peine de crime chez nous – de fraudes manifestes, qui ricochent en fin de non-recevoir alors qu’il y a manifestement des voies pour s’interroger et enquêter de manière approfondie.
Le temps entre les résultats de l’élection affichés depuis début novembre et leur officialisation au 6 janvier prochain est relativement court pour instruire l’affaire. Celle du Watergate poussant Mr Nixon en exercice à la démission le 9 août 1974 avait pris du temps.
Mr BIDEN est sorti des primaires du Parti Démocrate comme le « moins mauvais d’entre eux », poussé par Mr OBAMA, suite à l’échec de sa préférée lors des mêmes primaires, Mme Kalama HARISS. Le ticket BIDEN-HARISS devient une autoroute pour socialiser les USA selon les canons du Grant Reset, thème déployé par Eric VANHAEGHE sur son site https://lecourrierdesstrateges.fr/
Le sujet n’est pas d’aimer Mr TRUMP mais de valider le résultat d’élections dans une démocratie représentative de la première puissance mondiale. En dévier le sens par un coup d’Etat possible par les RINOs – Republican In No Name, qui soutiennent les supercheries du parti Démocrate révèle un ambivalent de connivences entre des gens bien introduits qui veulent poursuivre leur carrière selon une doxa de corruptions et de menaces.
Nous avons donc en résultante de ces élections Mr BIDEN, pour l’instant mais plié à 99%, un type du genre Mr HOLLANDE qui a grenouillé dans la politique pendant toute sa carrière professionnelle, avec aucun fait marquant à son actif mais pour reprendre l’expression de feu Mr MITERRAND qui est plutôt un homme du passif.
On est en train de nous expliquer que Mr BIDEN en faisant campagne pour le fauteuil de la Maison blanche principalement du sous-sol de sa résidence principale et qui parfois en ressortait pour faire des meetings loin de brasser des foules a rassemblé le plus grand nombre de votants de toute l’histoire des élections présidentielles US.
Bien à vous.
Partager la publication "La dernière élection US pour le fauteuil de la Maison Blanche"
Nos hommes de l’Etat fonctionnent au sondage, hors les français, majoritairement disent les sondages, sont antivaccins.
Donc pédale douce pour les hommes de l’Etat. Et ça tombe bien, la boutique aurait-elle pu aller vite ? Rien n’est moins sûr.
La santé problème particulièrement individuel ne peut fonctionner qu’avec une organisation libre et personnalisée. Seul son coût peut faire l’objet de réajustement ou d’aide pour les impécunieux.
La pandémie a touché également tous les pays.
Mais les conséquences, physiques et économiques, vont être très différentes selon les organisations et les mentalités de chaque pays.
C’est le bilan qui va être le verdict, et il y aura fatalement des conséquences, sans doute sans concession, enfin…
L’affaire suit son cours, nous en reparlerons lorsque les éléments à notre disposition seront plus concrets.
Bonnes fêtes quand même. H. Dumas
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Qui pourrait croire qu’il n’y aura pas de comptes à rendre ? L’incertitude n’est pas là.
La vraie question est : comment les comptes vont-ils être rendus ? Qui va payer ? Les fautifs ou les victimes ?
Il faut d’abord prendre conscience du fait que les auteurs du cataclysme qui nous attend sous peu ne sont peut-être pas ceux que nous désignons.
Né en 1944, j’ai probablement été profondément marqué par la guerre, en réalité surtout par la catastrophe psychologique collective qui l’a accompagnée, puisque j’en suis issu.
La curiosité sur le sujet m’a amené à lire beaucoup d’ouvrages sur Hitler. J’en suis arrivé à la conclusion que cet homme était un débile plus que léger, pas loin d’être profond. Ceux qu’il avait choisis — ou subis — pour l’entourer étaient du même tonneau.
Donc, en toute logique, ce n’est pas un débile qui a pu manœuvrer l’Allemagne et les allemands, et si ce n’est pas cela c’est donc l’inverse.
Et oui, je crois finalement que ce sont les allemands qui ont fabriqué Hitler. Disons qu’ils l’ont couillonné, qu’il a payé de sa vie sa stupidité, sa vanité, qui l’ont amené à se mettre au service d’un peuple pris de folie, de prétention mal venue.
En effet, je ne crois pas à la manipulation de l’opinion publique; je crois que, à l’exact inverse, ceux qui se pensent les manipulateurs de la masse sont en réalité manipulés par elle.
Cela me parait être une simple résultante de la force des corps, la masse est toujours plus forte que l’unité, s’impose à elle, un point c’est tout. — L’exception type c’est Lénine, mais dans ce cas pas de manipulation, juste des fusils, de la violence absolue et constante, sans jamais d’adhésion, c’est différent –.
Cet angle de vision modifie profondément l’idée de demain et de la remise des comptes.
D’abord de quoi sera fait demain.
Tout bêtement de la faillite de la France. Nulle personne, nul groupe, ne peut durablement dépenser plus qu’il ne gagne, boulotter son capital, sans faire faillite, c’est à dire sans se retrouver démuni, ruiné, sans le sou.
Il n’y a aucune hypothèse à opposer à ce fait d’une grande simplicité, quelle que soit la complexité apparente de la comptabilité du défaillant.
Aujourd’hui il est possible d’affirmer que l’état de faillite des français est pour demain, c’est-à-dire pour 2021.
Je prends donc pour base de ma réflexion que c’est la masse des français qui a généré la faillite et non les “hommes de l’Etat” qui ne sont que des poupées désarticulées entre les mains de la masse. Rassurez-vous je m’inclus à la masse, je ne me dérobe pas.
Pourquoi et comment la masse des français s’est-elle transformée en un groupe irresponsable et prodigue ?
Probablement un problème éducatif spontané, débuté vers les années 1960, au moment où les collaborateurs de la guerre reprenaient de l’épaisseur. Les résistants ou proclamés tels étant alors repus de vengeance et de profits, peu enclins à se battre encore.
La pensée du collabo de base : du profit sans risque, du gain sans travail, de la soumission grassement rémunérée, est devenue la pensée éducative majoritaire. D’abord dans les familles.
Puis elle a gagné, petit à petit, tout le système, tant la fortune faite et la puissance acquise par le gain de la guerre permettaient toutes les insouciances.
C’est ainsi que l’élite a été transformée par la masse, elle s’est mise au service de cet idéal, si l’on peut qualifier ainsi ce type de comportement.
Donc, ce n’est pas l’ENA qui nous impose sa pensée, mais nous qui avons généré l’ENA et sa pensée.
Cette hypothèse change l’angle de vue.
S’acharner sur l’élite ne sert à rien, le mal est en profondeur. Débusquer les responsables est impossible tant ils sont nous tous.
La solution est donc d’abord conceptuelle, puis éducative, sans qu’il soit possible d’imaginer que la facture des dégâts pourra être présentée à tel ou tel responsable politique, qui ne sont que nos projections.
Nous devons changer nos projections, et cela n’est pas possible autrement que par des prises de conscience personnelles.
Donc, il n’y a pas de solution.
Que faut-il à l’opinion publique pour qu’elle ouvre les yeux ? Pour qu’elle s’interroge sur l’idée de capital, sur la nécessité de ne pas saborder l’économie par des prélèvements inconsidérés ?
Personne ne le sait. Au contraire, il semble qu’elle ne souhaite en aucun cas ouvrir les yeux, qu’elle se cherche quelques mensonges pour continuer sa dérive.
L’environnement, fol orgueil qui ne résiste pas à l’observation de l’univers ; le bien des animaux, qui eux n’envisagent pas de réciprocité ; le mélange outrancier des genres et des pensées ; l’abandon de la raison au profit des croyances ; toutes ces choses qui permettent à la masse de ne pas affronter la réalité.
Mais la réalité est là, toujours, rien ne la plie.
La distorsion entre elle et nous est telle que l’instabilité créée ne peut finir que par une immense explosion.
C’est le moment de serrer les fesses.
Bien à vous. H. Dumas
PS: pour sourire
Que penser du haut conseil scientifique, composé de hautes personnalités scientifiques, qui après une journée de profondes réflexions aboutit à la conclusion qu’il y aura peut-être une troisième vague de la pandémie ou… peut-être pas !!!
Quand on n’a rien à dire, comme le disait Coluche, on ferme sa gueule.
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Comme vous tous, je suis abonné à un FAI (fournisseur d’accès à internet). Pour ce qui me concerné, il s’agit de SFR.
Ces FAI savent vous attirer avec des offres alléchantes ; toute l’astuce étant ensuite de vous entrainer à augmenter l’utilisation de services et par voie de conséquence, la facture finale !
Or, je viens de recevoir le message qui suit :
Votre offre évolue et est « enrichie »
Vos usages et besoins évoluent et nous voulons que vous puissiez profiter encore plus de votre box.
C’est pourquoi SFR vous fait bénéficier d’une nouvelle offre incluant les appels illimités depuis votre Box vers tous les mobiles en France métropolitaine et DOM (hors Mayotte) pour 3€ de plus par mois*. Vous en profiterez automatiquement et sans réengagement, dans un mois à la date de votre prochaine facture.
Cependant, si vous le souhaitez, vous pouvez choisir de conserver votre offre actuelle. Pour cela,
rendez-vous avant votre facture de juin 2021** sur www.sfr.fr/nouvelleoffre-ftm
Si vous détenez des options, soyez rassuré, elles seront conservées avec votre nouvelle offre. Nous vous remercions de votre fidélité et vous souhaitons de profiter pleinement de votre nouvelle offre !
À bientôt, Votre équipe SFR
Cette « offre » m’a donc été présentée comme un avantage …
Là où ce message pose problème, c’est qu’il est tout simplement illégal !
Il s’agit d’un procédé interdit appelé « vente forcée » visé par le code de la consommation et c’est aussi un délit pénal puni par une amende de 5è classe pouvant s’élever à 1 500 € ou 3 000 € en cas de récidive
En effet, au sens de l’article L. 121-1 du code de la consommation, est considérée comme déloyale une pratique commerciale contraire aux exigences de la diligence professionnelle et qui altère ou est de nature à altérer de manière substantielle le comportement économique du consommateur. Il s’agit par exemple de pratiques trompeuses et agressives.
Et, en cas de vente forcée, réprimée par l’article R. 635-2 du code pénal, les consommateurs peuvent saisir le Tribunal d’Instance compétent pour résoudre le litige par la voie contentieuse.
En effet, il convient de rappeler qu’en droit français, le silence n’est pas synonyme d’acceptation mais de refus et que le consentement ne se présume pas, et surtout pas par le silence du destinataire ; il doit être explicite et volontaire !
Evidemment, compte tenu de la somme en jeu, beaucoup d’abonnés vont laisser passer cet abus sans se rendre compte qu’ils ne sont pas obligés d’y souscrire.
Certains y verront même un avantage de pouvoir contacter les numéros de téléphone portable à partir de leur téléphone fixe.
Attention quand même, il convient de bien vérifier la nature et la consistance de la proposition car l’illimité est rarement … réellement illimité !
Si vous n’êtes pas intéressé, vous avez le droit de refuser.
Le problème avec SFR c’est qu’il est très difficile de les joindre par mail et que la procédure de la lettre recommandée est lourde et peu pratique.
La seule solution est d’appeler le 1023, numéro gratuit de SFR pour faire cesser cette pratique avec confirmation par SFR, par mail, de l’absence de changement de service.
Vous pouvez aussi faire un signalement à l’ARCEP qui est l’organisme de régulation des télécommunications.
Si vous allez sur internet, à la rubrique « vente forcée », vous pourrez constater que SFR semble d’ailleurs être un habitué de ces pratiques illégales ; en tout impunité apparemment !
Bien cordialement à tous !
Addendum du 08 janvier 2021
l’affaire semble prendre des proportions suffisamment importantes puisque la presse écrite commence à en parler et notamment LE POINT dans son édition d’aujourd’hui.
Le problème est que visiblement l’article du POINT n’a pas été vérifié et qu’il s’agit seulement de la reprise d’une dépêche d’agence (AFP) ou autre … car ce qu’il raconte est malheureusement inexact.
Il évoque le problème de l’augmentation des tarifs de SFR sur l’abonnement RED à 5€ en téléphonie mobile et en affirmant, un peu curieusement, que renseignement pris auprès de la revue QUE CHOISIR le procédé serait légal.
Or, le problème que j’ai évoqué porte seulement sur la téléphonie fixe avec l’abonnement à 22.01€ par mois A VIE que SFR tente de modifier en l’augmentant de 3€ par mois pour avoir le droit d’appeler les téléphones mobiles (actuellement, si vous utilisez votre téléphone fixe pour appeler un mobile vous payez une surtaxation).
Attention donc à ne pas faire de confusion; l’article du POINT étant visiblement totalement hors sujet.
Pour le surplus, la pratique reste illégale puisqu’il s’agit d’un procédé de vente forcée explicitement visée par le Code de la Consommation.
Addendum du 15 janvier 2021
Décidément, les FAI ne sont pas sans ressources. Clairement, ils ont obtenu du pouvoir (F Hollande président alors) la modification du code de la consommation avec l’ajout d’un article L224-33 qui constitue une véritable dérogation, pour ne pas dire une véritable entorse, au droit commun.
Je complète donc l’article avec un commentaire que j’ai formulé sur l’article d’E Bolling sur le même sujet.
J’ai évoqué, pour ce qui me concerne, le forfait sur le tel fixe et j’avais explicitement la possibilité de refuser l’extension, moyennant 3€ par mois, de l’appel illimité vers les mobiles. C’était un peu compliqué mais j’ai pu le faire … sauf surprise à venir.
Le cas visé ici est différent puisqu’il s’agit d’une augmentation du forfait sur le tel mobile et effectivement, l’art L224-33 autorise SFR à faire ce qui est rapporté ; sans que le client puisse s’y opposer !?!
“Tout projet de modification des conditions contractuelles de fourniture d’un service de communications électroniques est communiqué par le prestataire au consommateur par écrit ou sur un autre support durable à la disposition de ce dernier au moins un mois avant son entrée en vigueur, assorti de l’information selon laquelle ce dernier peut, tant qu’il n’a pas expressément accepté les nouvelles conditions, résilier le contrat sans pénalité de résiliation et sans droit à dédommagement, jusque dans un délai de quatre mois après l’entrée en vigueur de la modification. Pour les contrats à durée déterminée ne comportant pas de clause déterminant précisément les hypothèses pouvant entraîner une modification contractuelle ou de clause portant sur la modification du prix, le consommateur peut exiger l’application des conditions initiales jusqu’au terme de la durée contractuelle.”
Bien évidemment, cela est scandaleux et effectivement la seule solution est la résiliation sans être assuré que la situation ne se reproduira pas avec un autre opérateur.
Nul doute que les FAI et opérateurs de téléphone ont obtenu cette disposition légale moyennant quelques pressions “amicales”. Le texte a été pris sous forme d’ordonnance en 2016 donc sous F Hollande, ce président qui détestait les riches mais … encore plus les pauvres sans-dents, sans passer par le parlement.
Clairement, l’ordonnance a autorisé une véritable entorse à la loi et au droit commun (Code Civil). Je ne suis pas sur que ce texte puisse passer l’épreuve d’une QPC (question prioritaire de constitutionnalité).
Autre renseignement important : SFR et le groupe Altice de Patrick Drahi est très endetté. Il force donc le chiffre d’affaires à la hausse.
PS : l’opposition à prélèvement bancaire est très efficace.
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L’obscurantisme consiste à empêcher l’homme d’accéder à la connaissance en général, y compris donc, par conséquence, à la connaissance de lui-même.
La transmission et l’accumulation des connaissances, leur capitalisation, sont les moteurs qui ont permis à une variété d’êtres vivants d’accéder, à coup de millions d’années, à nos sociétés humaines avancées. Ces dernières sont aussi la somme de nos évolutions personnelles qui, elles encore, sont liées à l’accès vers la connaissance globale qui, nous servant de repère, nous a permis de nous construire en tant qu’êtres humains, selon le fameux adage attribué à Socrate : “Connais-toi toi-même” considéré à juste titre comme la clef de tout.
Donc l’obscurantisme non seulement détruit la société qui l’abrite, mais il détruit aussi individuellement les hommes qui la composent.
L’obscurantisme est plutôt la règle sur terre.
La lumière est rare, peu partagée, car elle peut donner le vertige tant alors la responsabilité devient lourde pour celui tente de voir et de comprendre.
L’obscurantisme et le pouvoir sont étroitement liés.
Ils ont une base commune, la croyance. Les périodes les plus obscures sont celles où les croyances sont les plus tenaces.
Donc, d’abord et avant toute chose il est une croyance. Cette particularité est fondamentale. Le point délicat est qu’une croyance active est une croyance inapparente. Par essence la croyance détruit toute capacité d’analyse, puisque justement elle impose de croire, donc elle dénie le questionnement ou le vide de son sens.
Rajoutons que le pouvoir va naturellement au plus fort, le problème pour ceux qui en sont friands n’est pas tant de le conquérir que de le garder.
C’est ici que la croyance va servir de jauge et de juge, celui qui croit est accepté par et dans le pouvoir, celui qui ne croit pas est rejeté, son incrédulité étant susceptible de fragiliser le pouvoir.
Ce théorème se vérifie au fil des siècles, quel que soit le lieu et les hommes.
Aujourd’hui nous sommes sommés de croire.
Nous devons croire en la technocratie, à ses projections divinatoires, à ses analyses infaillibles, à la qualité de ses serviteurs : “les fonctionnaires”, à son indispensable utilité sans laquelle nous ne saurions vivre.
L’affaire du COVID est de cette nature.
Une sorte de grippe hivernale se répand rapidement. Sa particularité est que contrairement à la grippe classique les victimes ne meurent pas d’un discret excès de fièvre, mais de spectaculaires étouffements.
Tous se précipitent alors à l’hôpital. Ils sont en effet habités par une croyance qui se résume à imaginer que — en dehors des maladies considérées comme non encore résolues, le cancer par exemple ou les maladies orphelines, en fait une grande quantité de maladies – la médecine guérit tout, particulièrement l’hôpital qui serait le centre de la guérison totale et gratuite.
Aussi, lorsque les technocrates, qui vivent de cette croyance entre autres, comprennent que la grande majorité des personnes touchées par le COVID va se précipiter à l’hôpital et que leur réaction sera inversement proportionnelle à leur croyance si on ne les reçoit pas, que justement on ne pourra non seulement pas les recevoir mais en plus pas les soigner, c’est la panique en technocratie.
Panique qui va générer une suite de décisions inappropriées, grotesques pour certaines.
Au point qu’aujourd’hui le théâtre de l’action est ravagé, le virus s’en va probablement, disparaissant, comme tous ces prédécesseurs. Mais il laisse une vision de désolation dont le point d’orgue va être l’inutile et tardive vaccination.
Le triptyque “croyance, pouvoir et obscurantisme” nous a fait une démonstration de sa capacité de régression, d’abêtissement, de nivellement par le bas, de destruction sociétale massive, telle que nous n’avons pas souvent l’occasion d’en voir.
Les croyants sont douchés à mort.
Croyez-vous qu’ils vont en profiter pour ne plus croire, pour partir à la conquête des connaissances, refuser le pouvoir et les hommes de l’Etat, prendre conscience et se débarrasser de cette fiction “l’Etat”, retrouver leur liberté ?
C’est peu probable, mais ça ne coute rien de l’espérer…
De la réflexion à l’action
La bêtise de la technocratie, le pouvoir induit, sont un poids journalier pour nous tous.
Petite histoire.
Robert Badinter — une icone dont il est exclu de dire du mal — s’est un jour attendri, à juste titre, sur les piétons renversés par les automobilistes. Notamment sur la façon dont les traitaient les assureurs, alors que les dégâts qu’ils subissaient en cas d’accident étaient souvent majeurs.
Donc, il fit voter une loi précisant que le piéton, en matière civile, c’est-à-dire en ce qui concerne son sinistre matériel, a toujours raison, même s’il a complètement tort. Par exemple, s’il s’est couché sur la route la nuit bourré comme un coing, il a quand même raison si vous le télescopez.
Je ne vois pas d’anomalie à cela. Mais, alors que la loi Badinter ne le prévoyait pas, les juges pénaux ont décidé que non seulement le fait d’être piéton annulait toute responsabilité civile, mais aussi toute responsabilité pénale.
C’est-à-dire que quoi que fasse le piéton, c’est l’automobiliste qui sera condamné.
C’est ainsi que j’ai malencontreusement renversé un piéton, complètement bourré, à la tombée de la nuit, dans des conditions météorologiques qui ne me permettaient pas de le voir. J’en ai été profondément meurtri, heureusement la suite n’eut pas de gravité pour ce piéton. Je roulais doucement.
Ce piéton n’a fait l’objet d’aucun alcootest, alors qu’il était au moment des faits en pleine crise de délire, que les pompiers ont signalée, signalement qu’ils ont refusé de me donner dans le cadre de la protection de la vie privé du monsieur, qui lui n’a aucune séquelle de cet accident.
En ce qui me concerne, j’ai été condamné à un mois de prison (avec sursis et infirmé en appel), mais aussi à six mois de retrait de permis de conduire.
C’est-à-dire à six mois de chômage, alors qu’à 76 ans je travaille toujours et fais encore 60.000 Km par an pour mon travail.
Ma vie privée en prend un sacré coup, elle.
Sainte technocratie ne discute pas, elle représente le bien, et elle dispose de la force. Alors, qu’importe les trous du cul que nous sommes, responsables de tout et du reste pour que les technocrates conservent et exercent le pouvoir en laissant croire que c’est pour nous qu’ils agissent, alors que la plupart du temps c’est pour eux et contre nous…
Vous me direz : après s’être attaqué à la voiture, pourquoi ne pas s’en prendre au poids lourd qui pollue tout autant ?
En 2019, environ 80 % des marchandises ont transité par la route, et l’Union Européenne n’est pas la seule dans ce cas. Aux USA, tout est transporté par camions.
Autant dire que le camion détient un quasi-monopole pour le transport de marchandises. Mais ce n’est pas une décision délibérée, c’est juste l’application d’une loi économique :
Il est plus souple que le train,
Il représente le meilleur rapport qualité/prix,
Il permet l’approvisionnement, au plus juste, en flux tendu des entreprises et des entrepôts, puisque désormais toute notre économie fonctionne de cette façon.
On peut certes critiquer ce mode de transport surtout qu’il représente des dizaines de milliers de véhicules sillonnant en permanence nos routes ; à tel point que sur certaines autoroutes, la nuit, il y a plus de camions que de voitures en files ininterrompues de véhicules …
On évalue le nombre de camions et autocars en France à 630.000 (de plus de 5 tonnes).
On sait aussi que les poids lourds dégradent fortement les routes mais c’est aussi la rançon de leur souplesse d’utilisation. Le train ne dégrade pas les routes mais il ne va nulle part ailleurs que dans les gares !
Car, finalement, tout est une question de cout/bénéfice !
Le poids lourd fonctionne au gazole essentiellement pour des raisons économiques.
Compte tenu du rendement du moteur diesel et d’une consommation spécifique assez raisonnable (en moyenne 36 litres aux 100 km pour 40 tonnes soit moins d’un litre à la tonne aux 100 km) il est apparu que c’était la meilleure motorisation possible. Un véhicule équivalent fonctionnant à l’essence SP95 consommerait largement plus de 60 litres aux 100 km !
Alors, oui le diesel pollue mais beaucoup moins qu’auparavant et d’ailleurs il est très rare de voir aujourd’hui des camions émettre des fumées noires ; d’autant plus qu’il existe désormais des technologies qui permettent de les dépolluer presque totalement.
D’ailleurs, les poids lourds étaient aux normes Euro6 avant les voitures …
Néanmoins, nos normateurs bruxellois et français ont décidé de s’attaquer au transport routier pour le contraindre à changer de type de motorisation …
Certains sauront rappeler que le poids lourds le moins polluant est celui qui … ne roule pas et qu’on devrait développer le ferroutage mais notre glorieuse SNCF a été incapable de se lancer dans ce défi pour quatre raisons :
-Le transport de fret est peu rentable car les marges sont faibles et il faut être moins cher et plus rapide que la route pour être compétitif. Elle a préféré se tourner vers le transport de passagers via le TGV à l’image plus valorisante mais en fait non rentable lui aussi sauf … qu’elle reçoit, pour transporter des personnes, des subventions massives de la part de l’Etat (12,5 Md€/an !) qu’elle ne recevrait pas pour le transport de marchandises. Chaque billet de TGV est subventionné à hauteur de 50% de sa valeur (le voyageur ne paie que la moitié du prix réel) et pour les lignes régionales la subvention monte à 80% !
-Il fallait investir dans de nouvelles plateformes (wagons) pour transporter les remorques (de l’ordre de 100.000 wagons) et des infrastructures adaptées (rampes, parkings, grues pour transborder les containers).
-Il fallait modifier des centaines de tunnels pour permettre le passage de ces wagons qui sont (une fois les remorques installées) plus hauts et plus larges,
-Le train manque totalement de souplesse et nécessite des manœuvres compliquées de chargement/déchargement qui prennent du temps. Il pourrait être intéressant sur de longues distances (Calais/Bayonne) mais ne correspond souvent pas à la demande car beaucoup de poids lourds font du cabotage ; c’est à dire qu’ils chargent et déchargent plusieurs fois sur un même trajet … en faisant des détours ; ce que ne permet absolument pas le train.
Quoiqu’il en soit, le terme est fixé à 2040 et il reste donc 20 ans au secteur du transport par poids lourd pour s’adapter. Il devra donc impérativement se tourner vers une autre énergie ; tout simplement … parce qu’on ne peut pas se passer du transport par poids lourds !
Adieu donc le moteur diesel, désormais banni, et vive le moteur vert écologique qui ne consomme pas d’énergie … on peut toujours rêver alors que, visiblement, on omet de prendre en compte les autres facteurs de pollution tels que les pneus (il y a 18 roues sur un ensemble tracteur et semi-remorque) et les plaquettes de frein qui continueront à jouer quel que soit le mode de motorisation adopté.
Quelles sont les possibilités ?
-l’électricité obtenue à partir d’une batterie type Lithium
En l’état actuel de la technologie, c’est impossible à utiliser.
Pour une voiture de classe moyenne, il faut déjà 500 kg de batteries ce qui porte le poids du véhicule à 2.200 kg (poids à vide 1.700 kg), on en conclut que, pour un tracteur poids lourd et sa remorque de 40 tonnes, ce serait donc 23,5 fois plus soit donc 11.800 kg de batteries ; autant dire 12 tonnes de charge utile en moins à transporter et une augmentation prévisible du prix du fret d’au moins 30% (puisque la charge utile diminue dans les mêmes proportions) et pour des distances qui ne peuvent excéder 400 km … pour cause de limite technologique !
-le biocarburant
Cela nécessiterait de consacrer des quantités énormes de terres cultivables à la production d’alcool ou de bio diesel ; au détriment de l’alimentation humaine. Entre rouler et manger, il faudra choisir !
Deux types de carburant sont envisageables :
-L’éthanol obtenu à partir de la distillation de grain qui sera brulé dans un moteur de type « moteur à essence », avec un effet collatéral parfaitement prévisible : la consommation va devenir énorme, de l’ordre de 100 litres/100 km parce que le moteur à combustion brulant de l’éthanol consomme déjà plus qu’un moteur fonctionnant à l’essence (20% de plus) et qu’un moteur à essence sur un tracteur routier apparaît comme une aberration du fait de sa consommation très élevée à pleine charge ! Car, et c’est là le secret du moteur diesel, sa consommation spécifique reste stable malgré le régime moteur alors qu’elle augmente fortement avec un moteur à essence lorsque celui-ci fonctionne à pleine charge. C’est lié à la nature du carburant et au mode de fonctionnement différent des moteurs essence et diesel.
Bien évidemment, une plus forte consommation de carburant entrainera fatalement une augmentation du prix du transport et … des émissions de CO2 c’est à dire exactement l’inverse de l’effet recherché !
-La seule alternative crédible serait le bio diesel obtenu principalement à partir d’huile de colza, de tournesol ou plus probablement du palmier à huile. Ce dernier offre le meilleur rendement mais présente le défaut rédhibitoire d’est d’être honni par les écolos parce que sa plantation massive provoque une … déforestation massive !
La croyance en une énergie alternative avec les agro-carburants est avant tout une impasse écologique !
-L’hydrogène
Il peut être utilisé soit en tant que carburant (comme du GPL) soit dans une pile à combustible (pour produire de l’électricité qui alimentera un moteur électrique).
Dans les deux cas, cela nécessite de le stocker dans des réservoirs qui devront présenter des caractéristiques bien spécifiques car, du fait de la taille infime de sa molécule, il faut le comprimer énormément pour pouvoir disposer d’une autonomie suffisante.
L’hydrogène présente l’acmé théorique de l’énergie renouvelable parce que c’est l’élément le plus répandu dans l’univers et qu’on le trouve facilement ; notamment dans l’eau (mais aussi dans le pétrole et le gaz).
En plus, si vous brulez de l’hydrogène, dans un moteur à combustion, il en ressort de l’eau et donc a priori il n’y a aucune pollution.
Le monde de l’hydrogène serait donc parfait !
Mais ce n’est pas si simple…
En effet, l’hydrogène est un gaz qui n’existe pas à l’état naturel. Il est toujours associé à une autre molécule (oxygène pour l’eau, carbone pour le gaz) et surtout il est extrêmement inflammable, dangereux à stocker, dangereux à l’usage, très corrosif et sa molécule est tellement petite qu’elle présente la particularité de passer à travers le métal des réservoirs avec un risque évident … d’explosion !
On peut imaginer les conséquences désastreuses lors d’un accident de la route et il suffit pour cela de se rappeler les images du Zeppelin Hindenburg qui s’est embrasé lors de son arrivée à Lakehurst (USA) en 1937 !
Il faut quand même être conscient que les caractéristiques de ce gaz sont connues des industriels depuis au moins cent ans et que si on ne l’utilise pas pour faire fonctionner des moteurs de voitures, de camions, de bateaux ou d’avions c’est qu’il y a bien une raison.
Même si ce gaz est présenté, quelque fois de manière abusivement complaisante, comme étant l’avenir du transport, aucun essai tenté à ce jour ne s’est avéré concluant hormis d’avoir gaspillé de grosses subventions publiques finançant les études de faisabilité !
En plus, ce gaz est très couteux à extraire (du pétrole par craquage pétrochimique ou de l’eau par électrolyse) et faire croire à la population qu’on peut l’extraire gratuitement de l’eau à partir de d’électricité produite par des énergies dites renouvelables (éoliennes ou solaire) relève tout simplement de la supercherie !
-le GPL (gaz de pétrole liquéfié) ou le GNL (gaz naturel liquéfié)
Finalement, la seule alternative pourrait bien être le gaz de type GPL GNL dont on connait bien la technologie mais qui présente un double handicap.
-il est obtenu à partir du pétrole alors que l’on veut sortir du pétrole et des énergies fossiles,
-son rendement est moins bon que celui du moteur diesel et il entrainera une forte augmentation de la consommation de carburant.
Bien évidemment, il faudra aussi prévoir des réservoirs adaptés qui pourraient bien être … gigantesques pour permettre une autonomie correcte des véhicules ; actuellement, plus de 1.000 km pour un tracteur à moteur diesel.
En conclusion :
La seule énergie propre serait l’hydrogène obtenue exclusivement à partir d’électricité par électrolyse de l’eau mais elle n’est pas techniquement envisageable.
La conversion au tout électrique avec des batteries n’est pas possible pour des raisons de poids et d’autonomie ridicule.
La conversion au bio carburant provoquera un accaparement des terres agricoles pour bruler de l’alcool ou de l’huile végétale avec le même effet que le gazole (émission de CO2) voire même en beaucoup plus grandes quantités !
Et finalement, on en arrive au GPL GNL qui émettra du CO2 et dont on ne peut quand même pas affirmer qu’il soit véritablement vert ou écologique …
Encore une fois, un manque total de pragmatisme
Alors, cette décision correspondait-elle à une nécessité pratique ?
Absolument pas !
Le constat qui s’impose est, qu’encore une fois, nous ne faisons preuve d’aucun pragmatisme. Juste prévaut l’idéologie et l’idéologie dominante est juste que le moteur diesel doit disparaître, à tout prix, même si on arrive à le dépolluer aujourd’hui totalement.
Le gazole c’est sale, ça sent mauvais et sa combustion émet du CO2 et l’émission de CO2 est devenue la pire des ignominies bien que ce gaz ne soit nullement un polluant et qu’utiliser des agro carburants aura le même effet tout en coutant plus cher !
Le seul problème est, vous l’avez compris, que la technologie de remplacement n’existe pas, pas plus que les infrastructures ; mais on va quand même le faire et on va mobiliser pour cela des fonds publics (comprendre vos impôts) en quantité fantastique !
La règle de fonctionnement d’une économie, c’est qu’elle a besoin d’une énergie bon marché pour pouvoir fonctionner ; parce que tout est basé sur l’énergie, laquelle doit être abondante, stable et bon marché. Et que nous propose-t-on ? Exactement l’inverse : une énergie rare et chère !
Le pire est qu’il n’y aucune pénurie de pétrole, donc de carburant, à l’échéance d’au moins 40 ans et qu’on va donc remplacer un type de motorisation économique, qui a fait ses preuves, dans le cadre d’une démarche purement idéologique, pour s’orienter vers des solutions moins performantes voire franchement dangereuses.
Evidemment, dans ce cadre psychologique, on ne recherche absolument pas l’efficacité maximum pour le meilleur prix ; on cherche juste à éliminer le moteur diesel quoiqu’il en coute et… ça va couter très cher !
Sous pression des pouvoirs publics, les constructeurs de poids lourds se sont néanmoins engagés à ne plus proposer de tracteur à moteur diesel à partir de 2040 et ont prévu d’investir entre 50 et 100 Md€ pour changer de motorisation.
Mais, pour y parvenir, ils ont surtout prévu de demander l’aide des gouvernements, notamment au niveau des infrastructures (stations disposant de prises électriques ou distribuant des biocarburants sans que l’on sache vers quelle voie on va s’orienter) parce qu’évidemment, un tel changement va nécessiter des dépenses énormes que les constructeurs comptent bien faire financer par les impôts payés par … les autres !
Néanmoins, leur réponse reste ambiguë car ils restent conscients que, tant que le gazole sera compétitif, il ne sera pas possible de changer de type de motorisation ; sauf à augmenter fortement le prix du gazole par le biais des … taxes !
Car, encore une fois, c’est par le biais du « miracle de la taxe écologique » que l’on va fausser le marché et imposer des solutions ruineuses et moins efficaces !
La conséquence la plus immédiate de cette décision sera que le prix du fret routier va couter plus cher, beaucoup plus cher, et que c’est le consommateur final, c’est à dire vous, qui paiera par le biais d’une augmentation du prix des produits achetés !
En France, la démarche est déjà actée puisque le gouvernement français prévoit d’ores et déjà d’accorder des « aides » (comprendre subventions payées par vos impôts) à hauteur de 50.000 € pour un tracteur routier et 30.000 € pour un autocar « vert » qui … n’existent pas à ce jour !
Nul doute qu’il y a des lobbies derrière cette décision mais il relève de la responsabilité des politiques décideurs de ne pas se laisser abuser par des promesses fantaisistes voire farfelues et en tout cas ruineuses alors que l’on sait que le mythe de l’énergie gratuite et renouvelable n’existe pas !
En tout de cause, nous sommes bien en présence d’une aberration administrative de la part de certains individus qui croient pouvoir changer le monde à coup de règlements et de normes dans le cadre d’une démarche purement constructiviste et socialiste (changer le monde et l’homme) !
A Einstein avait eu cette formule devenue célèbre : « la folie c’est de se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent ! » parce que dépenser des dizaines de milliards € pour faire la même chose en moins performant a quelque chose de complètement fou !
Bonnes fêtes à tous !
Licence de publication : la reproduction de cet article est autorisée à condition de le reprendre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.
Partager la publication "La folie écologiste s’attaque aussi au transport routier"
En ce matin de Noël, l’actualité était morne. Les journaux ne paraissant pas, les radios et les télévisions n’avaient à commenter que leurs propres informations, qui étaient maigres. Les éditorialistes repus de friandises offertes par leurs victimes pour se faire mieux voir avaient la digestion difficile et respectaient la trêve des confiseurs. Rien ne se passait. Mais un article vint rompre la paix miraculeuse de ce matin embrumé.
Publié sur Internet par un inconnu, cet article disait que les Français ne toucheraient pas de retraite et devaient s’y préparer. L’auteur expliquait que le système français de répartition exigeait que les cotisants fussent assez nombreux pour payer les pensions des retraités, ce qui n’était plus le cas. Face à ce terrible constat, l’auteur, qui ne manquait pas d’humour, conseillait aux naufragés de la retraite la seule solution qui leur restât, la prière.
L’opinion aurait digéré sans mal ce brûlot si un phénomène anatomique stupéfiant ne s’était produit. De nombreux hommes politiques, des journalistes, des syndicalistes constatèrent que leur nez s’allongeait. Le téléphone se mit à chauffer et les rares pigistes restés en fonction dans les radios lancèrent la nouvelle, non sans avoir beaucoup hésité. Mais que faire quand un ministre vous appelle pour vous signaler l’allongement inexpliqué de son appendice nasal ?
On rechercha l’auteur de l’article pour lui demander s’il voyait un rapport entre son texte et la croissance des nez, sachant qu’une tradition immémoriale, ainsi que « Les aventures de Pinocchio », et, plus récemment un film hilarant intitulé « Y-a-t-il un pilote dans l’avion ? » montraient qu’un menteur risquait fort de voir son nez s’allonger.
L’auteur de l’article se déclara stupéfait de cet évènement, car il n’en était pas à son premier avertissement et que ses écrits précédents, qui annonçaient aussi la fin des retraites, n’avaient rencontré qu’indifférence ou moquerie. Pressé de questions, il finit par avouer que dans le secret de son esprit il caressait le rêve fou de provoquer une réaction de lucidité chez les Français, mais que l’allongement du nez, franchement, non, il ne se l’expliquait pas. Et, ajoutait-il, il fallait tout de même se demander si, au fond, ceux qui étaient victimes du phénomène n’avaient pas en commun de vanter sans modération notre système de retraite par répartition.
Cette remarque provoqua une véritable illumination chez les jeunes pigistes des radios qui, sachant fort bien, par un simple raisonnement, que vu leur âge et les perspectives de la répartition, ils ne toucheraient jamais de retraite, se dirent qu’après tout ceux qui, contre toute évidence, continuaient à prêcher pour un système condamné avaient bien mérité d’être défigurés par un nez pire que celui de Cyrano.
Et l’on vit alors se déchaîner l’orage pigistique. De radios en radios, de télévisions en télévisions, les jeunes journalistes prirent le pouvoir et lancèrent à tout vent les accusations les plus graves contre une classe politique et médiatique qui avait trompé les Français et condamné la jeunesse à payer pendant tant d’années des cotisations pour rien.
Pascal Praud qui était en vacances revint en toute hâte à Paris et reprit aussitôt l’antenne en applaudissant la révolution des pigistes, en lançant un appel à la révolution et en donnant rendez-vous au peuple à l’Arc de triomphe pour descendre les Champs-Elysées.
Jamais absent des grands rendez-vous, le peuple de Paris se massa en haut de la plus belle avenue du monde, hissa Pascal Praud sur de solides épaules de manifestants et descendit vers la Concorde où l’on apprit la démission du président de la République. Il ne fallut que quelques secondes pour que l’immense cortège prît la route du palais de l’Elysée et y déposât le bon Pascal, qui murmurait « Non, c’est trop, c’est trop » mais qui ne résista pas à ce qu’on le hissât sur le bouclier de Brennus, tant il savait par les longues années passées au service du sport que rien ne sert de refuser la ferveur populaire.
Tels sont les évènements de cet extraordinaire jour de Noël en France, où les citoyens de ce beau pays béni des dieux se sont comportés en héros dignes de l’Antiquité.
Claude Reichman
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L’arrivée au pouvoir de personnages clonés, tous identiques, interchangeables et décevants. Il ne s’agit ni d’un hasard ni d’une malédiction, mais tout simplement du résultat d’un système dont nous portons collectivement la responsabilité. Ce système, en tout, privilégie la collectivité… qui n’existe pas.
Il existe une capacité des hommes à s’unir ponctuellement pour résoudre un problème précis qui ne peut pas être résolu par un seul individu, mais hors ce cas l’homme est fait pour s’assumer seul, il est seul.
Vous êtes-vous un jour regardé dans la glace en disant : “La France à besoin de moi” ? Essayez et vous prendrez conscience de la situation ridicule dans laquelle se mettent ceux qui font mine de pouvoir le dire pour de vrai, qui ne sont pas différents de vous. Imaginez ce pauvre Macron, avec son nez qui coule, se le disant, à La Lanterne ?
Alors que crier : “Emile, tu viens m’aider à porter ce truc qui pèse un âne mort”, ça c’est possible tous les jours et ne vous met pas dans l’embarras.
Donc, hormis une urgence collective du type guerre de 1939, prétendre s’occuper des affaires des autres à leur place est un horrible mensonge. L’entretenir ne peut qu’amener le menteur et ses complices à des situations insolubles et ridicules.
De Gaulle est parfait quand il lance l’appel du 18 Juin, quand il liquide l’affaire algérienne, il se trompe quand il rabâche ensuite : “La France, La France”, en se mêlant plus qu’il ne fallait de la vie de chacun. Il finira ridiculisé par Mai 1968.
Une fois arrivé là, seul l’usage de la force, encore plus ridicule, peut faire croire à ceux qui pensent que la France a besoin d’eux qu’ils vont sauver la face, qu’ils vont nous empêcher de nous esclaffer. Rendons hommage à De Gaulle qui s’étant mis dans cette situation a su ne pas utiliser la force, puis sortir juste à temps.
Deuxième faux hasard
La déliquescence des hôpitaux. Découlant directement du premier faux hasard, l’idée que la santé de chacun pourrait être un problème dont s’occuperait les autres est absurde.
Pareillement, pour un effort précis, accident par exemple, les bonnes volontés peuvent s’unir, mais globalement la santé est le type même de problématique strictement individuelle.
L’organisation de celle-ci ne peut donc être valablement basée que sur la liberté de décision personnelle, accompagné de la responsabilité des conséquences.
Organisé exactement de façon contraire, les hôpitaux n’ont aucune raison de fonctionner. L’URSSAF et les hôpitaux sont une totale absurdité, dont le volume atteint est tel qu’il met à lui seul la collectivité en danger.
Troisième faux hasard
L’arrivée d’une pandémie. Quoi, en dehors d’une prétention hors du commun, pourrait nous permettre de croire que la santé de l’homme sur la terre est un problème réglé par lui ? Rien, objectivement.
Certainement pas les EHPAD et les hôpitaux dont la vocation principale est de regrouper les éclopés pour les dissimuler et les faire disparaître discrètement.
La maladie et la mort existent depuis toujours, ce n’est ni les hommes de l’Etat ni les GAFA qui nous en délivreront.
Notre malheur
Il découle de la synergie qui s’est installée entre ces trois faux hasards.
Les hommes de l’Etat, ces escrocs qui veulent nous faire croire — avec une telle intensité qu’ils finissent par y croire eux-mêmes — qu’ils pourraient s’occuper de notre vie mieux que nous, finissent par nous imposer des structures qui étouffent nos libertés, dont nous avons si besoin pour survivre.
Pour arriver à leur but ils distillent la peur, ils nous persuadent que ce qu’ils prétendent faire nous ne sommes pas capables de le faire sans eux.
On sait bien qu’ils mentent, mais on se dit : “cause toujours, pendant ce temps ce que tu fais c’est autant que je n’ai pas à faire.”
Alors que l’on devrait se dire : “ce qu’ils ne font pas et moi non plus s’accumule, un jour il faudra bien le faire et ce sera beaucoup plus dur”.
Effectivement, nous sommes à ce jour.
Ce ne serait pas bien grave d’affronter une masse énorme de boulot, mais la difficulté tient au fait que les faux hasards fabriqués à l’aide de mensonges ont fini par décaler le raisonnement.
Les hommes de l’Etat sont devenus intégralement mythomanes, la population qui a joué le jeu en trichant est devenue dépendante, il n’est plus possible de revenir à l’ordinaire raison sans passer par la case “bordel total”.
Allons-y, on verra plus tard, on fera le tri… en espérant qu’ils ne vont pas tenter de nous contrer en utilisant la terreur pour conserver un semblant d’ordre… parce qu’alors là, il ne reste plus que la fuite.
Faux prix administrés soit par des bornes fixées, soit dans leurs arcanes avec par exemple le coût complet d’un salaire, d’une facture de l’EDF, très bien disséquée par Philos dans un de ses précédents billets, ou encore des logements sociaux ou des associations subventionnées qui ne sont plus des marchés. La Croix Rouge ou les Restaus du Cœur ne sont que les artefacts d’une société qui a échoué à élever ses citoyens pour les adapter à la jungle de la vie – chose impossible dans des temps pas si lointains mais qui le sont à notre époque – non par le fait de leur existence mais par l’ampleur des indigents qu’ils se doivent d’accueillir de plus en plus.
Faut-il tout laisser aux marchés ? Oui, du moins au maximum ! Les petites fourmilles qui foisonnent à travers notre territoire et dans d’autres savent et comprennent les enjeux du marché : un libre échange en force de propositions entre acheteurs et vendeurs. Si ce n’était pas le cas, c’est tout simplement une propagande idéologique dont nous pensions avoir fermé les portes avec la chute du Mur de Berlin.
Notre Etat est là ou devrait y être pour faire en sorte que ces marchés soient des plus fluides possibles. Que les choix s’imposent à chacun d’entre nous plutôt que d’être contraints sans rien en échange.
Ce que nous attendons de notre Etat, n’est pas de voler les gens qui réussissent par quelque prise de risque, pour redistribuer leur larcin aux pauvres qu’ils ont préfabriqués avec une culture, une presse et un enseignement idéologique, tout en se servant et se protégeant par des lois infâmes en regard de l’égalité des droits bafouée.
Ce que nous voulons est un Etat impartial qui protège notre liberté de circuler, de jouir de notre propriété acquise honnêtement sans la corrompre et la limiter, de nous protéger physiquement et fermement contre toute atteinte à quelqu’une de nos personnes.
Que ceux qui ne sont pas d’accord pour vivre selon nos règles et us et coutumes pour attenter à nos vies soient pourchassés et exfiltrés.
Notre administration fiscale et sociale devrait être mise hors d’état de nuire par ses avis à tiers détenteur sans jugement de Droit Commun. Blanc sein pour les délinquants du registre ? Non si le pan de la justice, de droit régalien était véritablement indépendant et renforcé dans ses moyens. Le Droit commun implique d’abolir la Cour Administrative ou de la réformer sous l’autorité du premier.
Qu’on cesse enfin avec cette consanguinité de cette aristocratie auto-proclamée qui copule sous une forme d’inceste, découplée du terrain, car Paris n’est pas la France. Les missions des préfets doivent être revisitées, de simple bras séculier de l’Etat à pont de négociation entre localité et représentation de l’Etat.
L’administration des collectivités locales doit aussi être réformée : en finir avec ces doubles ou triples ou quadruples emplois qui ne font que ralentir et nous coûter bien trop cher.
Enfin, pour finir, que l’on supprime le principe de précaution de notre Constitution et qu’on n’y inscrive pas tout ressort de l’écologie politique. Cette dernière est le pire virus qui peut nous être infusé et va clairement à l’encontre de notre expansion.
Bien à vous !
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Il parait que c’est un fait acquis, l’univers est en expansion.
Promis, craché, prouvé, les galaxies s’éloignent indéfiniment, constamment. En conséquence, une pyramide du plus petit au plus grand — de l’atome aux galaxies — multiplie les superpositions. Ce qui au départ n’était qu’un, unique, mêlant l’ensemble juste après le big-bang – qui lui arrive, juste après rien — se complexifie, devient donc multiple et se répand, occupe l’espace.
C’est peut-être ça la finalité de la vie… croitre indéfiniment en occupant l’univers qu’elle créé elle-même du fait de son expansion.
Dans cet espace qu’est le rôle de l’intelligence ?
Enfin je veux dire “notre intelligence”, pour être encore plus précis “celle que nous croyons détenir”.
Nous avons tendance à penser que c’est elle qui crée le mouvement, d’elle que part la vie, elle qui décide.
Eh bien non, parait-il. Ce serait la vie, donc ce truc en mouvement, aujourd’hui en croissance universelle, demain peut-être en repli mais toujours universel, qui solliciterait notre intelligence dont le but unique serait de sauver notre peau face aux hasards de la fameuse vie.
Je suis un peu songeur devant ces hypothèses, je suppose que vous aussi.
Donc nous ne décidons rien, nous nous contentons de survivre, avec pour seul outil à cet effet notre “intelligence”. En clair, ce n’est pas l’intelligence qui créé l’évolution, c’est l’évolution qui s’impose et active l’intelligence en réponse.
Les scientifiques qui arrivent à ces conclusions sont inquiets.
Oui, car ils affirment aujourd’hui que cette intelligence, qui nous a permis de survivre face aux délires de la vie, se retournerait contre nous et, dominant la nature – dont la définition n’est pas très claire –, jouerait contre notre camp en détruisant l’environnement – autre nom de la fameuse nature –.
Admettons tout cela acquis, vrai.
Une telle complexité a un avantage, elle simplifie l’accès à la compréhension de notre “intelligence”, dont le rôle, somme toute marginal, peut alors être analysé de façon décomplexée.
Allons-y.
Notre intelligence, consciente et inconsciente, organiserait constamment des plans de survie, n’hésiterait pas à éliminer, tuer, les mauvais plans au profit des bons, pour nous permettre de survivre. Jusque-là, ça va.
Traduit en formule que je peux comprendre, je me dis que face aux hasards de l’évolution les atouts de l’humanité seraient le risque et le profit qui alerteraient son intelligence. Laquelle en retour échafauderait des plans dont seuls les bons survivraient, les autres seraient engloutis et ceux qui y ont cru avec.
Mais alors.
Si l’évolution est aveugle, inexorable, si notre survie ne dépend que des plans élaborés par notre intelligence qui prend tous les risques pour que nous puissions profiter de l’évolution et non la subir, ceux qui prônent la suppression du risque et du profit nous exposent à tous les malheurs possibles issus d’une évolution qui se fout complètement de nous.
Donc : l’écologie ne protège pas notre avenir, elle l’entrave en nous paralysant, en nous immobilisant, face à l’évolution qui continue sa marche inexorable et ne peut que nous écraser.
Comment se fait-il que notre société des hommes puisse adhérer globalement à une telle attitude, mortelle ?
Là, je vous donne une combine, un truc.
Tout au long de sa vie on se bât terrorisé par la crainte de mourir, puis un jour cette crainte disparait… on sait qu’on va mourir…
C’est peut-être ce qui arrive à l’humanité, enfin au moins à une partie de l’humanité… la nôtre.
Bien à vous. H. Dumas
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Depuis longtemps, nous tirions la sonnette d’alarme en disant que les choses finiraient mal parce que certains Etats, et en particulier la France, du fait d’un trop grand endettement, se trouvaient en situation de fragilité et qu’on courait à la catastrophe … à plus ou moins long terme à la faveur d’un évènement fortuit et imprévisible.
Le constat concernant la France est bien connu : Une structure étatique, trop rigide et trop couteuse, impossible à réformer avec pour corollaire une pression fiscale qui, bien que trop élevée et qui malmène l’activité économique, n’arrive pas à compenser une progression inexorable de l’endettement.
En outre, on savait que les ferments de la crise actuelle étaient déjà là après un premier krach en 2007-2008 avec la crise des subprimes puis une crise de l’€ en 2012 du fait, déjà, du trop grand endettement des Etats et une récession latente masquée par un excès de dépense publique !
On ne pouvait évidemment pas prévoir ce terme compte tenu des aléas économiques et géopolitiques qui peuvent entrer en jeu et servir de déclencheur à une crise, mais on pouvait l’estimer à 5 ou 10 ans.
Est alors arrivé le Covid qui joue bien ce rôle de déclencheur fortuit de crise et d’accélérateur de l’histoire car, désormais, le terme, qui n’est rien d’autre que le mur de la dette, pourrait bien se rapprocher beaucoup plus rapidement qu’on pouvait le penser.
En effet, lors de ces dix derniers mois, l’endettement s’est violemment accéléré et le blocage de l’économie a augmenté les défaillances d’entreprises et le chômage et tous ces ingrédients mis ensemble sont explosifs !
Ne manque plus que le dernier élément pour provoquer l’explosion qui fera sauter tout le système : le retour de l’inflation ou pire de l’hyper inflation !
Pour l’instant, nous tenons grâce à l’émission monétaire de la BCE dont le plan de financement vient d’être porté à 1.850 Md€, mais tout cela ne peut être que temporaire. Les autorités ont prétendu qu’on relance les économies des pays du sud mais il s’agit, en fait, essentiellement d’un soutien financier pour éviter que ces pays ne s’effondrent sous le poids de leurs dettes dont les montants sont tels qu’elles ne sont désormais plus remboursables !
Certains imputent la responsabilité de la situation à la BCE et à l’€ mais il faut être conscient que la BCE ne fait que gérer les conséquences des mauvaises pratiques gouvernementales des pays surendettés ; c’est à dire qu’elle essaie de compenser, par l’émission monétaire, la mal gouvernance et les dérives budgétaires de certains pays !
Le problème est que cette émission monétaire massive ne ressort pas de la mission originelle de la BCE dont la fonction essentielle est de contrôler l’inflation pour la limiter, au plus, à 2% l’an.
Il ne faut pas oublier non plus que l’argent, pour un Etat, c’est soit vous l’imprimez, c’est ce que l’on fait pour l’instant, soit vous le volez aux autres par le biais des impôts. Il n’y a pas d’autre solution et nous ferions mieux de méditer les exemples historiques (République de Weimar en 1923, l’Argentine, le Venezuela, le Zimbabwe) qui démontrent que, contrairement à ce que pensent certains, un Etat ne peut pas s’endetter à l’infini et imprimer du papier monnaie dans les mêmes proportions.
La France vit à crédit depuis 1974 en augmentant sans cesse le montant de ses emprunts à la fois pour rembourser ses dettes antérieures (ce qu’on appelle rouler sa dette) mais aussi pour en souscrire de nouveaux pour faire face à ses dépenses non financées par l’impôt.
Le recours à l’emprunt massif n’a donc été, pour nos « grands dirigeants » de tous bords qu’une technique destinée à masquer à la population la dégradation de la situation en affirmant de manière un peu légère que « la dette n’est pas un problème » !
Autrement dit, l’emprunt massif et constant a été un expédient permettant de distribuer du pouvoir d’achat qu’il était impossible de générer par le biais du mécanisme de la création de richesse.
L’effet induit de cette mauvaise gestion est évidemment une fragilité financière qui ne fait que s’aggraver d’année en année… jusqu’au krach !
Toutefois, avec l’épisode Covid, l’histoire s’est violemment accélérée puisque l’année 2020 sera à marquer d’une pierre noire avec un emballement du processus puisque, désormais et pour la première fois, les dépenses de l’Etat sont d’avantage financées par l’emprunt (260 Md€) que par les recettes fiscales (250Md€) !
La situation de la France s’est donc fortement aggravée en cumulant désormais tous les superlatifs. Plus gros contributeur de la dette publique de la zone €, numéro deux de la plus forte baisse d’activité dans l’industrie, plus forte récession dans les services mais aussi plus forte pression fiscale !
Normalement, la capacité d’un Etat à emprunter sur les marchés est liée à son aptitude durable à prélever l’impôt sur une population captive et à sa capacité à rembourser. Bruno Le Maire affirme d’ailleurs que les dettes colossales accumulées seront bien remboursées lorsque la croissance économique sera revenue ; sans qu’il y ait de hausses d’impôts !
On peut se permettre d’en douter alors que l’on pourrait penser que tout va bien puisque l’Etat français n’a pas de difficultés à emprunter et que les taux d’intérêts restent toujours bloqués aux alentours de zéro.
Néanmoins, il faut être conscient le crédit illimité et infini n’existe pas et que le système consistant à emprunter toujours plus va forcément finir par trouver sa fin !
Il est d’ailleurs probable, qu’après l’effondrement de 2020, nous n’ayions, malgré les promesses de Bruno Le Maire, que le retour d’une croissance économique durablement molle ou nulle après ce qu’on appelle un rebond technique prévisible en 2021 (du fait d’un rattrapage des commandes en cours et retardées en raison du confinement).
Cette opinion est confortée par le fait que les conditions pour une forte croissance sont totalement absentes du fait de trop de taxes, d’impôts et de prélèvements. Il faut en effet pour cela une profitabilité suffisante des entreprises pour qu’elles puissent engager des dépenses d’investissement qui créeront de l’embauche et permettront de distribuer des revenus.
Le risque le plus probable est que nous nous retrouvions dans une « trappe à dettes » ; c’est à dire qu’avec un taux de croissance économique inférieur au taux de progression de la dette, la dette va se creuser mécaniquement et inexorablement … quoique l’on fasse !
Et si les taux d’intérêts repartent à la hausse, comme cela est prévisible, ce sera à terme l’impasse budgétaire et le défaut ; situation pour l’instant contenue pour la simple raison que c’est la BCE qui assure le financement de notre dette à des taux imbattables … qui ne reflètent évidemment en aucun cas les taux du marché !
En fait, la situation va continuer à se dégrader et la seule croissance que vous pourrez constater sera la croissance de la dette.
A ces considérations, il faudra ajouter le risque de défaillance des entreprises ayant bénéficié de PGE (prêts garantis par l’Etat) et qui ne pourront pas rembourser parce qu’elles n’arriveront pas à redresser une situation trop dégradée (entreprises zombies).
Les banques créancières se retourneront vers l’Etat afin de faire jouer sa garantie et celui-ci devra rembourser 90% des sommes dues (montant de sa garantie) ; autant dire qu’il faut s’attendre à un nouveau cataclysme qui ne pourra être compensé que par l’interdiction faite aux banques de réclamer leur dû avec un risque de défaillance de celles-ci qui devront alors être nationalisées !
Quelle que soit l’option envisagée, tout cela ne pourra se terminer que par une nouvelle crise de la dette ; c’est à dire une crise de défiance des investisseurs à propos de la crédibilité budgétaire ou, faute pour l’Etat de pouvoir obtenir les ressources nécessaires, par un épisode d’hyperinflation lié à une monétisation abusive de dettes étatiques qui contraindra la BCE a stopper l’émission monétaire et nous acculera au défaut ou une sortie de la zone € pour pouvoir continuer à monétiser la dette publique par la banque de France au prix d’une hyper inflation à la vénézuélienne (10.000% l’an) qui ruinera tout le monde !
Evidemment, l’élite au pouvoir aura ses explications qui n’auront pas d’autre but que de masquer son incompétence et sa mauvaise gestion. Ce seront, en vrac, le libéralisme, le capitalisme, la mondialisation, la spéculation boursière, la fraude fiscale … et ce sera d’autant plus facile qu’aux yeux d’une population complètement endoctrinée, le seul impôt juste est celui qui est payé par les autres ; lequel s’accompagne d’un deuxième mythe : celui de l’argent gratuit distribué par un Etat bienfaiteur et protecteur !
Ce mêmes personnes vous expliqueront, la main sur le cœur, qu’ils ont consciencieusement ruiné des centaines de milliers de petits commerçants et artisans mais qu’ils l’ont fait pour nous protéger d’une abominable maladie …même s’ils vont avoir du mal à nous faire croire que c’est pour notre bien qu’ils ont creusé, malgré une fiscalité située au sommet des pays de l’Union Européenne, un trou de 2.600 milliards€ qui devrait atteindre rapidement 2.800 Md€ en 2021 !
Il y a d’ailleurs quelque chose d’hallucinant à constater que les dirigeants d’un Etat puissent, au moins en apparence, considérer cette situation comme normale !
Essayez d’imaginer un ménage dont les dépenses seraient, pour plus de la moitié, financées par des emprunts !
Avec une dette totalement hors de contrôle et une situation générale dans le même état, ce qu’il faut comprendre c’est qu’il n’y a plus d’argent et la réalité est très simple ; même si beaucoup n’en ont pas conscience : nous sommes ruinés … même si les mesures d’aide aux entreprises et le paiement des salaires par l’Etat masquent pour l’instant une dégradation de la situation qui se révélera avec ampleur au deuxième semestre 2021.
Vous le constaterez lorsque vous verrez que les disfonctionnements vont augmenter dans les prochaines années, et plus on avancera dans le temps et plus la gestion sera opérée à court terme ; le but ultime n’étant finalement que de gagner du temps.
Dans cet esprit, l’Etat distribue une prime de noël, comme son rôle était de distribuer des primes, mais on passe sous silence le fait que l’INSEE vient de constater une diminution de l’indice du cout du travail de 3,4% !
Cela veut dire que les salaires à l’embauche, dans le secteur privé, diminuent et ce phénomène n’en est qu’à son commencement car la dégradation de la situation va opérer une pression à la baisse sur les salaires du privé du fait d’un effondrement de l’emploi mais aussi de la profitabilité des entreprises qui chercheront, par tous les moyens, à réduire les couts pour échapper à la faillite !
Et quelle sanction à cette duplicité ?
Bien évidemment, aucune … bien qu’il s’agisse d’une véritable trahison envers une population largement inconsciente mais qui va quand même devoir en subir les conséquences ; tôt ou tard !
Que restera-t-il alors à nos élites pour sauver leur peau ?
Se vendre aux allemands pour payer la dette ?
C’est une technique bien connue des élites françaises puisqu’elles n’avaient pas hésité, en 1940, à se vendre aux nazis en espérant en retirer un avantage ; ce en quoi, n’ayant pas compris la nature du régime nazi, et tout à leur narcissisme, elles sont entrées, selon l’expression consacrée, dans la voie de la collaboration sans en retirer un quelconque bénéfice … mais il n’est pas sûr que les allemands veuillent s’encombrer du boulet français surtout que les structures et les modes de pensée sont très différents. Enfin, Mme Merkel va quitter ses fonctions de chancelier fin 2021 et son remplaçant pourrait être beaucoup moins complaisant …
Certains proposent d’annuler purement et simplement les dettes accumulées au sein de la BCE mais cela est interdit par ses statuts ; mais on peut être assuré qu’elle n’en demandera pas le remboursement.
Néanmoins, comme la situation ne fera que se dégrader, il ne restera alors plus qu’à espérer un financement à perte de vue par la BCE des pays qui ne seront absolument pas en mesure de restaurer leur solvabilité budgétaire ; car tout le monde sait que si la BCE arrête le financement, plusieurs Etats seront en faillite et que, par effet domino du fait de l’imbrication des économies, ils entraineront les autres dans leur chute !
L’inconnue, à l’heure actuelle, sera l’attitude de la BCE lorsque l’inflation va dépasser les 2% l’an puisque toute restriction du crédit provoquera la faillite des Etats !
C’est la première fois dans l’histoire, hors épisode de guerre, que des Etats se lancent de manière coordonnée dans le suicide financier et, finalement, la politique est le seul secteur d’activité où vous pouvez mentir, trahir, tromper, truquer impunément la présentation des choses et la réalité, puis ruiner les populations tout en vous enrichissant vous-même et être ensuite célébré par vos pairs comme étant un grand homme !
Bien cordialement à tous !
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L’affaire est de plus en plus évidente, la survie de l’humanité sera très dépendante de la science et de sa bonne utilisation. On ne pourra pas se permettre de faire des erreurs sans déclencher des conséquences dramatiques. La population mondiale est si importante dans ses besoins et ses rejets polluants de toutes natures qu’une bonne gestion est nécessaire pour tous vivre des générations dans des conditions correctes et heureuses, l’alternative étant un retour à la barbarie à laquelle personne ne réchappera, qu’il vive dans un palais ou dans la boue. Nous ne sommes pas loin d’un dérapage fatal. L’espoir est porté par la science, dans toutes ses branches, qui peut nous dire ce qu’il vaut mieux faire probablement, et ce qu’il ne faut sûrement pas faire, pour que la vie sur terre reste « vivable ».
L’actualité nous montre à quel point nous sommes sur la mauvaise voie, et comment des intérêts particuliers, financiers et politiques, basés sur l’égoïsme, sont capables d’œuvrer contre la science si celle-ci contrarie leurs lubies.
La science normale est faite d’abord de curiosité, d’observations, d’idées, de rêves, qui débouchent sur des hypothèses, qui demandent à être validées par des expérimentations, des calculs, des statistiques, des débats, des comparaisons, avant d’être considérées comme des vérités acquises en passant par la phase « théorie » qui peut durer fort longtemps.
Cette démarche est la seule qui aboutit par la connaissance au progrès de la condition humaine.
Comme dit Jancovici, nos moyens sont limités en énergie et en matières premières. On ne peut plus se permettre de faire n’importe quoi, de gaspiller des moyens financiers, de l’énergie et du temps sur des actions irrationnelles. Seule la science nous permet de nous orienter.
Il est bien évident que la science évolue sans cesse, qu’elle se divise en multiples branches, chacune extrêmement complexe, que plus personne n’arrive à en acquérir une connaissance globale et que l’image qu’elle peut donner ressemble à la tour de Babel.
Même si cette situation est désorientante et déstabilisante, il reste dans le monde suffisamment d’individus très impliqués voire passionnés de leur domaine pour représenter les « phares » qui pourraient nous permettre de naviguer le mieux possible, sinon correctement.
C’est là que l’humanité rencontre un sérieux problème. Le scientifique expert d’un domaine va rencontrer une difficulté considérable à transmettre son savoir à la population et aux gouvernants, parce que l’écart de formation de base est trop grand. La transmission se fera positivement non pas par compréhension des déductions scientifiques mais par des critères subjectifs.
Ce que l’on observe en France est que devant un fait scientifique, le pouvoir politique ne va pas l’utiliser en tant que tel, mais selon l’influence que le message porté est susceptible d’entraîner sur les tenants du pouvoir, leur situation financière, mentale et juridique, sans aucun égard pour la population.
S’il est contrariant, la tactique est de solliciter des scientifiques de troisième zone, donc forcément frustrés vis-à-vis des vedettes, pour semer la confusion dans les médias et chez les citoyens. Ainsi, ils prennent les mauvaises décisions avec des risques personnels relativement limités. Mais cela ne suffit plus, et les hauts fonctionnaires passent aux attaques administratives directes et variées contre les personnalités médicales dont les propos rendent ridicules toutes les mesures gouvernementales prises cette année.
C’est ce que l’on observe à l’égard du Pr Christian Perronne que Martin Hirsch directeur de L’APHP veut démettre de son titre de chef de service, ou bien du Pr Jean-Bernard Fourtillan, universitaire en pharmacologie, brillant chercheur sur les mécanismes du sommeil, mais qui s’était opposé aux vaccins imposés aux enfants contre onze pathologies simultanément, qui contenaient une dose excessive d’aluminium pour les potentialiser, et qui a participé au documentaire « Hold-up », qui finallement s’est fait interner d’office dans un hôpital psychiatrique, avec des arguments mensongers ou sur des paroles sortis de leurs contextes, méthodes devenues courantes. Tout le monde a pu également constater les attaques contre l’IHU de Marseille et le Pr Didier Raoult, et les tentatives de priver son hôpital d’hydroxychloroquine. S’il y a encore des français qui pensent que le pays est encore une démocratie et respecte la « déclaration des droits de l’homme et du citoyen », et notamment la liberté d’opinion et d’expression publique, ces français devraient réfléchir un tout petit peu et s’informer un peu plus pour passer dans le camp de ceux qui veulent que cela change.
La fin du film « hold up » montre bien le désarroi de vrais scientifiques devant la gestion aberrante de la crise sanitaire et la conscience qu’ils en ont des conséquences à tous points de vue, mais aussi si on peut dire, de la prise de conscience de l’inconscience de ceux qui donnent des ordres dans ce pays.
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Le complotisme serait le mal frappant de nombreux esprits qui voient des complots partout. Ceux-ci sont-ils réels ou imaginaires ? En fait la plupart de ceux que dénoncent les réseaux sociaux, qui en sont les vecteurs principaux, ne sont que des fantasmes, car les personnes qu’ils impliquent sont exactement du même type que celles qui figurent depuis des siècles dans les rumeurs.
La mondialisation a permis aux rumeurs d’aller chercher des aliments au-delà de nos frontières. Jusqu’aux années 1950 la rue Royale a appartenu à tous les présidents du conseil successifs de la République. Elle avait en effet l’immense mérite, outre d’être une des rues les plus cossues de la capitale, de porter un nom qui la rattachait à l’ancien régime et à tous ses sortilèges défunts mais encore présents dans le subconscient populaire.
On ne parle plus aujourd’hui de la rue Royale, mais de Bill Gates, George Soros et quelques autres milliardaires tous américains, car les Etats-Unis portent à présent le poids presque unique de la malfaisance. Ce en quoi la rumeur a su se moderniser, car le président du conseil français, devenu le premier ministre, n’a plus le pouvoir de nuire sérieusement à quiconque.
Les complots attribués à l’Amérique n’en sont pas, car les actions de ces milliardaires n’ont rien de secret. Le gouvernement du monde, dont ils sont censés avoir le désir, est un rêve qui surgit de temps à autre dans des cénacles internationaux et qui se brise aussitôt sur la réalité des peuples et des Etats. Et sitôt le colloque terminé, ces grands financiers s’en retournent à leurs affaires et à leurs parties de golf.
Brassens disait que « le brave type qui regarde le spoutnik ne s’aperçoit pas qu’on lui fauche son portefeuille ». De même, celui qui n’a d’yeux courroucés que pour les complots des milliardaires ne s’aperçoit pas qu’on lui dérobe son argent et ses libertés, et que les auteurs de ces agressions sont des Français bien d’ici et qui se dissimulent sous les allures de l’Etat et du bien public.
La meilleure façon de voler quelqu’un sans risquer d’aller en prison consiste à baptiser son larcin de prélèvement obligatoire. Et quand l’institution d’un prélèvement se heurte aux principes constitutionnels, on fait dire officiellement à ceux-ci le contraire de ce qu’ils disent.
Si vous voulez voir le refuge des sorcières, avec ses balais volants, ses chaudrons fumants et ses fioles, rendez-vous au ministère des affaires sociales et demandez à visiter les lieux. Vous n’y verrez rien que de petits hommes gris assis à leur bureau. Mais si vous pouvez jeter un œil sur leur ordinateur, vous verrez à l’écran des mentions bizarres, comme décret du tant, arrêté du tant, circulaire du tant. Ne passez surtout pas votre chemin, et ne croyez pas que ces textes se réduisent à leur banalité. Ils transforment tous votre vie. Chacun vous prend de l’argent, réduit votre liberté, viole votre droit, jalonne la route de votre servitude.
N’hésitez pas non plus à visiter Bercy. Les mêmes petits hommes gris s’affairent à votre perte. Et si pris de vertige, vous vous précipitez à la Cour de cassation pour émettre une solennelle protestation, vous y rencontrerez des hommes et des femmes à la stricte banalité, ne revêtant l’hermine que lors de la visite du président de la République, qu’ils méprisent et exècrent quel qu’il soit, et qui s’occupent à faire dire aux lois le contraire de ce que vous avez compris.
Les vrais comploteurs, les voilà ! Nous les nourrissons dans notre sein et ils nous rongent le sang impudemment. La République, telle que les Français devraient l’exiger, c’est celle du peuple et de ses droits, et non celle des petits hommes gris. Si nos compatriotes veulent continuer à s’exciter sur les complots des milliardaires américains, libre à eux, mais il leur en cuira chaque jour un peu plus. Car c’est chaque jour qu’on nous maltraite et qu’on nous vole notre vie.
Les révolutionnaires de 1789 ont écrit un texte magnifique qu’ils ont appelé la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Elle comporte un article 2 qui dit que « les droits naturels et imprescriptibles de l’homme sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression ». En quelques mots tout est dit. Et nous n’avons besoin d’aucun autre viatique pour vivre en république. Alors plutôt que de rêver d’un parti politique qui viendrait faire respecter ces droits en ne songeant qu’à s’en défaire, créons une simple et vaste association de citoyens pour le respect des droits de l’homme. Aucun politicien ne pourra y résister, car elle sera le peuple !
Ainsi donc, COVID a attrapé Macron. Aïe, fallait pas.
Si le jeune Macron est très malade, les crocodiles qui l’entourent vont le bouffer ne laissant que sa carcasse aux vautours communs.
Si le jeune Macron n’est pas malade, COVID se réduit à pas grand-chose, un truc qui flingue les vieillards et les malades d’autre chose, ne justifiant alors aucunement l’arrêt de la vie qui frappe la société, dont Macron est l’artisan.
Dans ce cas, les complotistes marquent un point, lourd de conséquences.
Et pendant ce temps-là le bitcoin crève le plafond.
Le bitcoin, vous savez, c’est cette monnaie virtuelle, qui n’appartient qu’à ceux qui la détiennent, dont on prétend que la masse prédéfinie ne peut pas et ne pourra jamais être augmentée, interdisant de fait toute fausse monnaie.
Vous voyez la problématique.
D’un côté des hommes de l’Etat qui fabriquent de la fausse monnaie tout en crachant sur le capital pour acheter les voix des naïfs; de ceux qui veulent croire que l’économie est secondaire, que leurs caprices sont l’essentiel.
Ils existent depuis la nuit des temps, ce sont eux dont le parcours finit toujours par une guerre ou une révolution tant les distances qu’ils prennent avec la vérité deviennent à un moment irrattrapables autrement.
Les hommes de l’Etat agitent cette abstraction “l’Etat” pour le simple plaisir de posséder le pouvoir sur une masse prisonnière artificiellement d’un espace défini par des frontières, dont les frontaliers vivent tous les jours le ridicule.
Anciennement, ils accédaient au pouvoir par la force. Par le miracle de la démocratie, ils y accèdent aujourd’hui par la séduction dont la carte majeure est la vénalité.
Il reste une vérité immuable, l’économie, comme le reste, ne vit que par l’augmentation de son capital, par l’accumulation et la transmission, finalement comme la génétique ou le savoir. Comme la vie quoi.
L’économie dépend de l’échange, qui n’est possible qu’avec la monnaie, qui le rend périlleux si elle est instable.
Or, pour séduire, les hommes de l’Etat n’hésitent pas à déstabiliser la monnaie, d’une part en fabriquant de la fausse monnaie, d’autre part en pillant le capital.
Ils se heurtent à la mondialisation qui a généré des entités économiques plus puissantes que la plupart des États, elles ont besoin d’une stabilité économique, donc d’une monnaie sure et d’un capital puissant.
D’où le bitcoin qui monte et Zuckerberg qui se fait flinguer parce qu’il veut à son tour créer une monnaie virtuelle stable, qui détruirait l’arme de séduction des hommes de l’Etat : le trafic de la monnaie, qu’ils considèrent comme leur prérogative.
Nous en sommes là, les couteaux sont sur la table.
Pas de paix possible entre les hommes de l’économie et les hommes de l’Etat, leur accès au pouvoir et son organisation sont incompatibles.
La population, qui n’y comprend rien, est sollicitée par les deux ennemis.
Si elle prend le parti des hommes de l’Etat c’est la faillite et la misère.
Si elle prend le parti des hommes de l’économie c’est la guerre et la misère.
Le pire est donc certain.
Bien à vous. H. Dumas
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En 2014, j’ai fait citer à comparaitre une magistrate du Tribunal Administratif de Montpellier.
J’avais fait l’objet d’un redressement rocambolesque, en 2011, concernant la SCI Le Mirabeau, société m’appartenant.
Averti régulièrement d’un contrôle de cette société, j’avais organisé la salle de réception des contrôleurs – venus à deux, pour faire bonne mesure – de telle sorte que le contrôle soit filmé, mais qu’eux apparaissent de dos pour ne pas bousculer leur droit à l’image. J’avais averti par courrier les contrôleurs de ces dispositions avant leur venue.
Malgré ces précautions, les deux zèbres ne se sont même pas assis. Face à l’huissier que j’avais commis pour constater la situation, mes précautions et ma bonne foi, ils ont déclaré qu’ils parlaient au nom de leur administration centrale — au plus haut niveau, donc Bercy soi-même — et qu’ils refusaient que le contrôle soit filmé.
Alors que toute la comptabilité de la société était sur la table, ils sont donc partis — comme des voleurs c’est bien naturel – puis, rentrés chez eux, ils ont établi un redressement délirant, accompagné d’une opposition à contrôle fiscal !!!
L’intégralité de leur redressement était d’une nullité crasse et inapproprié, ce qui a été démontré plus tard par le rapporteur public de La Cour Administrative d’Appel de Marseille.
L’opposition à contrôle fiscal était dans leur tête, aucunement dans la réalité.
Confiant, j’ai donc saisi le Tribunal Administratif de Montpellier en nullité de ce contrôle fiscal pour lequel j’étais accusé d’opposition à contrôle fiscal imaginaire.
La magistrate en charge du dossier Mme Bertinchant, née BOUISSAC PEYRE, a zappé ma demande et en a inventé une autre, me faisant passer pour un contribuable qui cherchait à ne pas payer l’impôt. Elle n’a même pas dégrévé les 100% liés à la fausse opposition à contrôle fiscal.
Je l’ai immédiatement fait citer à comparaitre pour déni de justice, tellement j’ai été choqué.
Cela a entrainé la confirmation de son jugement par La Cour d’Administrative d’Appel de Marseille, les magistrats n’ont de compte à rendre à personne, sauf entre eux.
Depuis je me bombe les pitbulls du fisc qui n’hésitent pas à tenter de recouvrir ces sommes qu’ils savent parfaitement indues.
Ainsi va la vie. Ce n’est pas le cœur de ce billet, mais nous y arrivons.
Après bien des péripéties, que vous pouvez lire dans l’arrêt joint, je me suis donc retrouvé, en audience publique dans une salle vide où j’étais seul, devant trois magistrats de La Cour d’Appel de Montpellier, le 21 Septembre 2020.
Voici ma plaidoirie :
Après s’être un peu fait tirer l’oreille, les magistrats m’ont écouté. Bien écouté.
Je ne pouvais pas gagner. Il eut fallu, pour avoir une chance d’obtenir satisfaction, que j’engage une action en “mise en danger d’autrui” ou “non-assistance à personne en danger.”
En effet le déni de justice suppose évidemment qu’un magistrat ne juge pas , mais il faut en plus qu’au préalable sa hiérarchie lui ait imposé de juger. Cela ne peut pas arriver au Tribunal Administratif, les juges n’y ont pas de supérieur hiérarchique, explication donnée par le Conseil d’Etat.
Donc mauvaise pioche. Mais c’est en faisant que l’on apprend, inutile de compter sur un avocat pour aller au charbon dans de telles conditions.
En appel, le procureur n’ayant pas suivi mon appel, Mme Bertinchant ne risquait plus rien.
Sauf 800€ de dommage et intérêts que le tribunal de première instance lui avait accordés, qu’elle a perdus.
Mince satisfaction pour moi qui, dix ans plus tard, suis toujours harcelé par les Services Fiscaux du fait de la défaillance de cette magistrate, pour des sommes que je ne dois pas.
Bonne lecture de cet arrêt, si vous avez du temps à perdre.
Merci aux magistrats pour leur correction.
Reste quand même une déception et la continuité, depuis vingt ans, de la torture fiscale, du harcèlement, de l’impossibilité de vivre correctement. Pas grand-chose…. dit la population, notre confort vaut bien quelques bavures fiscales.
Bien à vous. H. Dumas
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Chacun n’a, pour forger son opinion, que son angle de vision, souvent appeler “croyances”. Celui-ci peut dépendre strictement de notre vécu, tout aussi strictement de nos acquisitions scolaires et autres, ou encore être un mixte des deux.
Quelle que soit son origine, notre angle de vision pollue inévitablement les constats à partir desquels se construit notre vérité.
Comment y échapper ? En évitant de commencer la réflexion par un constat, qui sera inévitablement biaisé. Bon d’accord, on commence comment alors ?
On tente l’accès immédiat à l’universel, à l’absolu. Rien que ça ? Pas modeste !!!
Prenons notre copine COVID.
Les constats les plus répandus : – c’est une épidémie hors du commun; – ce n’est qu’une grippe un peu sévère qui touche surtout les vieillards; – c’est un leurre politique; – c’est une histoire de fric, d’intérêts cupides; – tout se règlera par un vaccin; – il ne s’agit pas de guérir mais de soulager, puisque nous ne pouvons pas faire plus; – les vaccins seront plus nuisibles qu’efficaces; – c’est le cygne noir qui détruit notre économie, donc nos sociétés; – c’est un acte volontaire, une création d’hommes ourdant un complot; – chacun chez soi, un minimum de contact et éloignés, COVID périra de ne pouvoir se reproduire; – c’est le chamboulement du siècle naissant; – c’est la redistribution des cartes mondiales, donc des privilèges; – etc…
A partir de ces constats une foule de rhétoriques s’épanouit jusqu’à la cacophonie, le désordre, l’inconfort, peut-être demain la bagarre.
Tentons un regard sans constat préalable, un accès immédiat à l’absolu.
Premier absolu : la vie est strictement individuelle.
L’arrivée sur la planète ne se fait pas en groupe, sauf pour les jumeaux. Le départ non plus, même s’il peut être accidentellement inclus dans une catastrophe partagée.
Donc COVID est une ennemie strictement personnelle, tout comme je le suppose chaque virus qui la compose est lui aussi unique.
Pas de solution collective à un problème personnel, mais pour l’homme son habituelle posture associative face à une infériorité personnelle mettant son existence d’homme en danger. Cette solution collective n’est opérationnelle que face à une agression définie et exclusivement dans le cadre de cette agression.
Deuxième absolu : tout regroupement à l’objectif non ciblé est donc contraire à la vie.
Cela n’est écrit nulle part, mais se déduisant du premier absolu serait donc universel. Ce qui ne veut pas dire qu’une tendance aux regroupements n’existe pas, simplement que l’individualité intrinsèque de la vie est affaiblie par le regroupement sans objectif précis.
Le tableau sous nos yeux
Il y a un désordre entre les dégâts occasionnés par COVID et sa réalité. Peut-on imaginer que ces dégâts détruisent des regroupements non essentiels ? Que sans ces regroupements non essentiels COVID ne pourrait exister ? COVID vit du rassemblement des hommes.
Le réflexe
COVID ne serait qu’un prétexte, un accélérateur de la fuite individuelle face à une société trop envahissante.
L’homme ne supporterait plus sa propre accumulation, l’abondance de solutions collectives, injustifiées, non essentielles, auxquelles il est soumis.
Aujourd’hui j’ai fait la queue à la Poste, j’ai été stupéfait de ressentir une haine à fleur de peau, une joie chez les postières détenant le pouvoir d’ouvrir la porte à leur convenance, une servilité accompagnée d’un souhait de délation chez ceux qui faisaient la queue. Tout cela n’est qu’un constat, je suis peut-être le seul à l’avoir fait, peut-être est-ce une impression personnelle.
Revenons, laborieusement, à l’absolu.
Donc le reflexe de l’homme serait de retrouver son individualité, et COVID lui permettrait cette démarche, qui lui est même imposée par ceux-là même qui ont un intérêt personnel à le regrouper inutilement : les hommes de l’Etat. Le pied… non ?
COVID serait un amplificateur de réflexe.
Mais alors
Le message de COVID serait la nécessité de revenir à l’individualité de l’homme et à son regroupement ponctuel uniquement en cas d’un besoin précis et alors volontairement.
Si c’est le cas, touts les prévisions sont fausses.
Ce n’est pas l’Occident qui est en retard et l’Asie collectiviste qui est sur le point de dominer le monde. C’est l’inverse.
Le symbole COVID annonce l’implosion de toutes les sociétés regroupant les hommes artificiellement — au seul bénéfice des organisateurs de regroupement — et l’avènement des sociétés ou chacun bénéficierait du taux maximum de liberté individuelle, chacune de ces libertés renforçant la possibilité de regroupement ponctuels, vitaux.
Un peu à contre-courant…
Bien à vous. H. Dumas
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Le sous-entendu officiel à cette déclaration était que vous, français, n’alliez pas payer les conséquences de la crise sanitaire, du blocage de l’économie par les hommes de l’Etat.
Bon, il ne faut pas prendre ce genre de déclaration au pied de la lettre sinon on ne s’en sortirait pas !
Alors, juste pour votre information, le journal officiel vient de publier, ce mardi 15 décembre, le texte d’une loi N°2020-1576 du 14 décembre 2020 pour le financement de la sécurité sociale.
Elle prévoit que le montant des taxes sur votre mutuelle santé obligatoire va augmenter de 2,6%.
Ces taxes étaient à ce jour de 13,27% … Elles vont donc passer à 15,87%
Vous le verrez sur vos appels de cotisations pour 2021 !
La santé n’a pas de prix sauf pour celui qui paie surtout lorsque ce sont des taxes qui ne financent en aucun cas les organismes de prévoyance et vont s’engouffrer dans le tonneau des danaïdes des dépenses publiques !
Mais rassurez-vous ce n’est ni un impôt ni un prélèvement, c’est juste une contribution et en plus elle est exceptionnelle !
Le problème est qu’en droit français, il n’y a aucune différence entre impôts, taxe et contribution ! Ce sont juste des mots différents pour parler d’un prélèvement obligatoire !
En outre, on connait le principe selon lequel les mesures exceptionnelles deviennent permanentes !
Article 3 – Il est institué, au titre de l’année 2020, une contribution exceptionnelle à la prise en charge des dépenses liées à la gestion de l’épidémie de covid-19. Son produit est affecté à la Caisse nationale de l’assurance maladie. Cette contribution est due par les organismes mentionnés au I de l’article L. 862-4 du code de la sécurité sociale en activité au 31 décembre 2020. La contribution est assise sur l’ensemble des sommes versées en 2020, au titre des cotisations d’assurance maladie complémentaire, au profit de ces organismes selon les modalités définies au I et au dernier alinéa du II bis du même article L. 862-4, à l’exception des garanties mentionnées au 4o du même II bis. Le taux de la contribution est fixé à 2,6 %. La contribution est recouvrée par l’organisme désigné pour le recouvrement de la taxe mentionnée à l’article L. 862-4 du code de la sécurité sociale, concomitamment au recouvrement de cette même taxe. Elle est déclarée et liquidée au plus tard le 31 janvier 2021. Elle peut faire l’objet d’une régularisation annuelle selon les mêmes modalités que la contribution mentionnée au même article L. 862-4, au plus tard le 30 juin 2021. Elle est recouvrée et contrôlée selon les règles, garanties et sanctions prévues au premier alinéa de l’article L. 862- 5 du même code.
Article L862-4 – Il est perçu une taxe de solidarité additionnelle aux cotisations d’assurance maladie complémentaire versées pour les personnes physiques résidentes en France, à l’exclusion des réassurances.
La taxe est assise sur le montant des sommes stipulées au profit d’une mutuelle régie par le code de la mutualité, d’une institution de prévoyance régie par le livre IX du présent code ou par le livre VII du code rural et de la pêche maritime, d’une entreprise régie par le code des assurances ou un organisme d’assurance maladie complémentaire étranger non établi en France mais admis à y opérer en libre prestation de service.
Les sommes stipulées au profit de ces organismes s’entendent également de tous accessoires dont ceux-ci bénéficient, directement ou indirectement, du fait de l’assuré.
La taxe est perçue par l’organisme mentionné au deuxième alinéa ou son représentant fiscal pour le compte des organismes chargés du recouvrement des cotisations du régime général de sécurité sociale territorialement compétents. Toutefois, un autre de ces organismes ou l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale peut être désigné par arrêté ministériel pour exercer tout ou partie des missions de ces organismes. La taxe est liquidée sur le montant des cotisations émises ou, à défaut d’émission, recouvrées, au cours de chaque trimestre, nettes d’annulations ou de remboursements. Elle est versée au plus tard le dernier jour du premier mois qui suit le trimestre considéré.
Un arrêté des ministres chargés de la sécurité sociale et du budget précise les documents à fournir par les organismes mentionnés au deuxième alinéa à l’appui de leurs versements.
Le taux de la taxe est fixé à 13,27 %.
Ce taux est applicable aux contrats d’assurance maladie complémentaire relatifs à des opérations individuelles et collectives à adhésion facultative, sous réserve que l’organisme ne recueille pas, au titre de ce contrat, d’informations médicales auprès de l’assuré ou des personnes souhaitant bénéficier de cette couverture, que les cotisations ou primes ne soient pas fixées en fonction de l’état de santé de l’assuré et que ces garanties respectent les conditions prévues à l’article L. 871-1.
Autant vous prévenir de suite …
Nous ne sommes qu’au début de ce genre d’opérations car la vérité est que vous n’avez pas fini de payer les conséquences de cette crise générée par les hommes de l’Etat !
Et encore, vous avez échappé pour l’instant à une augmentation de vos primes d’assurances (auto et maison) … les compagnies d’assurance ayant capitulé devant les exigences de Bercy ; mais ce n’est que partie remise …
L’Etat fonctionnaire adore ce genre de taxes incorporées dans des services obligatoires.
C’est une forme d’impôt sur le revenu qui ne dit pas son nom et surtout qui présente l’immense avantage, aux yeux de l’administration, d’être relativement opaque ; car combien de français vont s’en rendre compte et vont attribuer l’augmentation de leurs cotisations de mutuelle à une hausse de la fiscalité ?
Bien cordialement à tous !
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Partager la publication "Bruno Le Maire a promis « pas de hausse des impôts » et … vous l’avez cru ?"
Les services fiscaux enquêtent … à propos de la question de savoir si sa domiciliation aux Pays-Bas correspond à une réalité ou s’il ne s’agirait pas plutôt d’un arrangement commode avec la fiscalité.
On ne parle pas encore de fraude fiscale mais l’esprit y est néanmoins … et il y en a quand même pour 13 millions € ; rien que ça !
Evidemment, le fisc a ses raisons … que la raison populaire ignore.
Néanmoins, on apprend quand même que le fisc prend d’ores et déjà des mesures de sureté qui aboutissent à immobiliser son patrimoine situé en France, sans aucun jugement et sans même le début d’un commencement de preuve, puisqu’on en est à ce stade, selon les mêmes services fiscaux, à de simples conjectures qui ne reposent sur aucune preuve tangible !
Voilà ce qui tue la France au regard des entrepreneurs !
L’Etat français, et son bras armé Bercy, sont capables d’engager des mesures de confiscation (une saisie conservatoire n’est rien d’autre qu’une confiscation) sans que cette décision repose sur quelque jugement que ce soit !
Autrement dit, les mesures engagées reposent sur la décision d’une administration qui fait ce qu’elle veut et se moque de l’état de droit !
En bon français, cela s’appelle de l’arbitraire !
Que croyez-vous que vont en penser les dirigeants de grands groupes industriels étrangers ?
Qu’il faut surtout tout faire pour éviter la France; ce qui n’est pas nature à permettre un climat de nature à favoriser la création d’emplois dont on manque dramatiquement !
Là où la population ne prend pas conscience de toute la gravité de la question, c’est que chacun peut se retrouver un jour dans la même situation car, le jour où le fisc aura décidé de vous faire la peau, rien ni personne ne pourra l’arrêter et vous ne trouverez de secours auprès de personne parce que vous serez présumé être un abominable fraudeur fiscal !
Et on connait en France, le traitement réservé aux fraudeurs fiscaux, vrais ou supposés, mais jetés impitoyablement à la vindicte populaire !
Parce que c’est bien de cela dont il s’agit !
De ce que j’en sais, C Ghosn voyageait beaucoup et était constamment entre le Japon et la France. Il aurait donc pu mettre son domicile aux Pays bas mais aussi au Japon ou ailleurs !
Est-ce que cela en fait un fraudeur fiscal avéré ?
Non surement pas … sauf aux yeux du fisc qui cherche par tous les moyens à récupérer facilement de l’argent pour boucher les trous d’un budget apocalyptique !
Et pourtant, en novembre 2018, quelques jours après son arrestation au Japon, l’administration fiscale française n’avait rien à dire ; Bruno Le Maire ayant même assuré « qu’il n’y a rien de particulier à signaler sur la situation fiscale de M. Ghosn en France ».
Conclusion qui s’impose : en France on peut exécuter n’importe qui, sans jugement, et de simples soupçons sont suffisants pour l’Administration !
Petite précision pour les lecteurs …
C Ghosn a eu le malheur de déplaire en 2015 à un certain ministre des finances devenu depuis président !
En effet, C Ghosn avait eu la mauvaise idée de s’opposer à la prise de contrôle indirecte de Renault par l’Etat français par le biais de l’obtention d’un droit de vote double ; intrusion à laquelle Nissan était aussi fermement opposée et qui a provoqué une longue crise.
Et qui était ministre des finances à l’époque ?
E Macron !
La vengeance est un plat qui se mange froid…
Bien cordialement à tous !
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Partager la publication "Carlos Ghosn, Bercy a encore frappé !"
Le choc des civilisations n’est pas dans une concurrence culturelle entre religions, mais dans un unique — et fondateur — conflit binaire mondial, universel.
D’un côté le collectivisme bureaucratique, de l’autre la liberté individuelle.
Clairement les religions sont collectivistes, leurs bureaucraties ou “églises” sont redoutables, capables d’oppresser les individualités en toute “bonne conscience”, avec l’adhésion paradoxale des croyants eux-mêmes.
Rome, fille ploutocrate de la Grèce, fut l’apogée du développement des individus, basée sur la formule de Socrate : “Connais-toi toi-même”.
Le christianisme, collectivisme de la croyance où les dieux individuels disparaissent au profit d’un Dieu global dont chacun est une partie, a généré une église bureaucratique qui a oppressé l’individu pendant deux mille ans, qui continue sous des formes déviantes.
Le christianisme a eu raison de Rome.
Lorsque L’URSS s’est effondrée, son poison collectiviste — lié à la puissance de l’Occident — s’est répandu à travers tous les continents, alors que pourtant Soljenitsyne avait signalé la nuisance bureaucratique du communisme.
Le Christianisme était la collectivisation des dieux, de l’esprit, le communisme celle des biens, de la matière.
Le problème commun à ces deux collectivismes est qu’en détruisant l’individu au profit de leurs bureaucraties ils détruisent tout simplement la vie qui, par essence, ne peut qu’être individuelle ou ne pas être.
L’idée collectiviste de la croyance, le christianisme, en broyant les individualités a apporté la misère intellectuelle, la pénurie de la pensée.
L’idée collectiviste des biens, l’égalitarisme communiste, broie aussi les individus et porte irrémédiablement vers la pénurie matérielle, son apogée paraissant être l’écologie.
Il n’est que deux choix pour l’homme :
L’individualisme porteur de progrès et d’abondance, mais aussi de dominations individuelles qui peuvent être dramatiques pour les dominés
Le communisme porteur d’égalité, mais aussi d’une bureaucratie générant oppression individuelle et pénurie destructrice.
Un juste milieu pourra-t-il exister ?
COVID ne nous en montre pas le chemin, qui dans sa résonance mondiale exacerbe le conflit entre attitude collectiviste et individuelle, toutes nations ou organisations confondues.
Le collectivisme ne peut exister qu’à travers la force, l’individualisme à travers l’étique, la morale. Peuvent-elles s’imposer, elles, autrement que par la force ?
C’est tout le problème. Disons qu’il est circulaire, voire sphérique. Il cherche sa quadrature.
Bien à vous.
Partager la publication "Samuel Huntington s’est trompé, COVID en est la preuve"
Le modèle Chinois inspire nos élites qui nous gouvernent : tracer tous les individus sous leur administration avec probablement sur un clique souris pour découvrir toute notre vie s’afficher, par nos habitudes, nos addictions, nos transactions, notre santé. Avec nos technologies développées par des créateurs de richesses qui voulaient nous libérer pour le meilleur, le pire va les utiliser contre nous tous.
Les nouvelles normes et règles de droit, évoluent là-dessus, certes avec un train de retard, mais s’inscrivent ensuite dans le marbre. Un effet cliquet en quelque sorte, pour que plus recul ne soit possible face à l’intendance administrative.
Automne
Nos élites suivent des cursus très similaires en termes de formation, et je vous renvoie à l’article suivant : https://www.contrepoints.org/2020/12/13/386466-les-dangers-de-inculture-technique-de-nos-gouvernants
Le bon sens, chose dont j’ai déjà parlé ici sur ce blog n’est plus en mesure de s’exprimer, faute de connaissances basiques parmi nos élites à une prise de décision sur des sujets d’enjeu majeur pour la survie de notre société. Il ne s’agit pas bien sûr de tout connaître, mais je pense que quand nous devons prendre une décision sur une matière, apprendre des tenants et aboutissants nous éclaire.
Ensuite il nous sert de proposer une vision et un délai, avec une stratégie claire : https://www.atlantico.fr/decryptage/3594621/general-pierre-de-villiers—halte-au-feu– .
Nous sommes ainsi en capacité de décider et de se tromper ou de réussir. Mais peu importe, nous avons fait un choix éclairé que nous sommes capables d’expliquer et d’assumer.
Hiver
Nos institutions deviennent délictuelles contre le peuple qu’elles promettent de servir. Car elles n’ont plus aucun respect du même qui commence à se fâcher.
Nous réciter que nous sommes protégés, égaux devant la loi, n’a plus aucun sens pour bonne partie d’entre nous. Car si nous ne sommes pas d’accord avec cet état de faits, nous n’avons que la rébellion, la dissidence ou l’exil comme contre – pouvoir et non la démocratie, sauf à rester muré dans le silence pseudo-confortable de survie du bon vouloir du roi, de ses courtisans et de son clergé.
Bien à vous !
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Des passagers sur une passerelle attendent d’embarquer dans un avion. Mais il n’y a pas d’avion. Cette image trouvée au hasard d’une navigation sur Internet illustre à merveille la situation française. Nous faisons tous la queue pour embarquer vers quelque part, mais nous ne savons pas pour où.
Normalement, il devrait appartenir au président de la République de nous fixer la destination de notre voyage. M. Macron en est bien incapable, n’ayant jamais réfléchi à un tel problème. Il est arrivé au pouvoir par un coup d’Etat judiciaire avec pour tout viatique le petit catalogue du parfait énarque, fait d’impôts, de taxes et de réglementations. Et bien entendu cela ne fonctionne pas, car il n’y a rien dans sa trousse pour combattre une épidémie de coronavirus.
Affolé par l’extension de l’infection, il en est réduit à la solution moyenâgeuse consistant à enfermer les Français chez eux. La conséquence inévitable est l’arrêt presque complet de l’activité économique du pays et de la vie sociale. L’arrivée d’un vaccin permettra peut-être d’arrêter l’épidémie, mais on nous dit que ce n’est pas certain. Et de toute façon le vaccin ne réparera pas les dégâts économiques, pour lesquels il va falloir chercher d’urgence des solutions. Entassés sur la passerelle de l’aéroport, les Français ne savent toujours pas où ils vont.
La seule hypothèse qui soit formellement exclue est celle qui nous ferait rester sur place. Il ne s’agit pas du sol français, que le peuple ne souhaite pas quitter, mais de tout ce que le soldat romain appelait l’impedimenta, c’est-à-dire l’attirail de campagne qui lui permettait de vivre et de combattre. Chez nous, ce lourd bagage est fait pour l’essentiel de charges, d’impôts et d’allocations diverses et variées. Les outils de production sont réduits à la portion congrue, et les principales entreprises du pays sont d’immenses hangars appelés supermarchés où la population dite active (ce qui en français moderne signifie inactive) circule entre des kilomètres de rayonnages et se laisse docilement conduire vers des caisses où elle dépense la fausse monnaie qu’on lui a distribuée pour prix de sa courageuse paresse.
Tout cela, c’est terminé. Pour une raison des plus simples. Même la fausse monnaie va manquer. Notre fournisseur en effet est la banque centrale européenne, dont les principaux actionnaires sont les seuls pays sérieux de l’Union qui ne vont pas tarder à fermer les robinets pour ne pas être entraînés à leur tour dans la faillite qui se profile.
Du coup, nos magnifiques palais de la solidarité, caisses d’assurance maladie, de retraite, d’allocations familiales, vont devoir fermer leurs guichets et laisser sans ressources tous les bénéficiaires de leurs largesses. La France ne sera plus qu’un immense attroupement de citoyens démunis, habités selon les cas de résignation ou de fureur, et qui se chercheront un chef pour guider leurs rapines et leur violence.
Dégagez la passerelle, tout le monde descend ! Plus aucun avion ne décollera d’ici longtemps. Le dernier a emporté vers des pays civilisés l’élite de nos hommes politiques et de nos artistes de gauche. Il va falloir apprendre à vivre sans eux. C’est la seule chose facile qui nous attend.
On a retrouvé dans une forêt vierge lointaine une tribu préhistorique dont on pu observer les mœurs attentivement. Ayant réussi à apprendre leur langue, nos ethnologues ont pu comprendre leur philosophie de la vie. Même si la nature de leur jungle était prodigue de ressources alimentaires, ils prenaient toujours la précaution de faire des réserves au cas où le refroidissement climatique viendrait à les en priver. « Nous capitalisons, disaient-ils dans leur langue, c’est l’honneur de notre société et de notre peuple. Un peuple qui ne se soucie pas de son avenir est un peuple mort. »
Quand nos télévisions nous rapportèrent ces propos, un immense découragement s’abattit sur les Français. Un ancien général prit la parole et déclara solennellement : « Je vous ai compris ! ». Les Français hochèrent la tête et beaucoup d’entre eux murmurèrent entre leurs dents : « Inutile, mon Général, nous aussi nous avons compris ! ».
Claude Reichman
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