Michel Georgel, né en 1946, licence de lettres, diplômé de l’Ecole Navale, entrepreneur depuis trente cinq ans, navigateur, écrivain.
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Poutine est décidément le plus fort : ce que le covid n’a pas réussi, lui l’a fait ! L’unanimité ! Contre lui d’accord, mais l’unanimité tout de même ! Tout le monde contre Poutine ! Absolument pour les uns, un peu moins pour quelques autres, mais globalement, non, Poutine n’a ni partisans, ni défenseurs.
Les bombardements quotidiens dans le Donbass, avec morts et blessés, oubliés, quand ils ne sont pas niés. Les évidentes manœuvres d’encerclement de l’Otan, du complotisme. Les traités et les accords violés par l’Ukraine, ça n’a jamais existé.
Vous voulez mon avis sur ce sujet ? Dommage, je n’en ai pas. Enfin, pas vraiment. Car il est vrai que poser certaines questions est une forme de prise de position. Mais peu importe.
Ce qui importe, pour moi, c’est cette question : les Russes disposent-ils réellement de vecteurs hypersoniques, comme ils le prétendent, ou bien est-ce seulement du bluff ? Précisons pour ceux que ces questions n’intéressent pas vraiment : un vecteur hypersonique est aujourd’hui indétectable et donc indestructible. L’arme absolue, contre laquelle il n’existe à ce jour aucune défense.
Si c’est du bluff, ils rejouent la partition jouée en son temps par Ronald Reagan avec la guerre des étoiles.
Mais si ce n’est pas du bluff, la partie est en réalité perdue pour les Américains et accessoirement pour nous aussi, le reste n’est que singeries. Il n’y a plus de dissuasion nucléaire, et les armements nucléaires américains (comme les nôtres) sont définitivement obsolètes. Et ce déséquilibre en faveur des Russes durera jusqu’à ce que les ingénieurs américains finissent par rattraper leur retard sur les ingénieurs russes.
Résumons : si les Russes ne bluffent pas, ils ont sur leurs ennemis un avantage quasi indiscutable. Avec ceci, qui aggrave encore la situation : cet avantage, s’ils ne le prennent pas aujourd’hui, demain, il n’existera plus. C’est exactement ce qu’on pourrait appeler une fenêtre de tir. Et le problème, c’est que nous ne sommes pas réellement placés du bon côté de la fenêtre.
Or, il existe un argument fort pour penser que les Russes ne bluffent pas. Les exactions ukrainiennes dans le Dombass ont commencé en 2013. Ces exactions, Poutine les a supportées sans broncher pendant neuf ans. Attendait-il ? Qu’attendait-il ?
Les Russes disposent-ils réellement de vecteurs hypersoniques ? Il faut seulement espérer que les dirigeants du monde qui s’agitent en spectacle aient la bonne réponse à cette question.
Maintenant, si vous avez des informations sur ce sujet, je suis preneur !
M. Georgel
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Au début, ce ne fut qu’un murmure, quelques voix isolées, ici ou là, que personne n’entendait. Puis ça a pris plus d’ampleur. Aujourd’hui, on n’est plus très loin du vacarme. Oui, les injections, pour obligatoires qu’elles soient dans les faits (en France, du moins), non seulement ne protègent personne de quoi que ce soit, non seulement sont contre-productives, mais en outre, se révèlent pour beaucoup un véritable poison, capable d’entraîner les blessures les plus graves, et même la mort. Éteignez les voix corrompues, le « consensus scientifique », tant revendiqué par l’ennemi, est clairement unanime, il faut cesser immédiatement les programmes d’injections mortifères et toutes les relégations sociales.
C’en est au point que dans une majorité de pays, les dirigeants, aveuglés par l’évidence, se rendent à l’évidence, et que, pour éviter un rejet définitif de leurs esclaves administrés, abrogent tout ou au moins partie, de leurs mesures liberticides.
Reste une minorité malheureuse : les pays dans lesquels le poids de l’état est si lourd que leurs peuples n’ont plus que le choix d’obéir et/ou de mourir. La France, non pas « par exemple », mais désormais, comme meilleur exemple.
Pourquoi nos dirigeants s’obstinent-ils en dépit de l’évidence ?
D’aucuns défendent que la population non injectée constituera le groupe témoin de la nocivité des injections, groupe témoin qu’il faut donc absolument supprimer.
D’autres, plus imaginatifs encore, susurrent que les produits injectés pourraient contenir des ingrédients secrets aux propriétés les plus inattendues.
À mon avis, c’est beaucoup plus simple que cela.
Je le radote depuis deux ans : j’ai d’emblée douté du discours officiel, parce que j’y ai reconnu la « patte » des psychologues de « l’économie comportementale ».
Aujourd’hui, c’est officiel, oui, ce que nous subissons depuis deux ans est dicté par le cabinet américain McKinsey. Le cabinet McKinsey est LE cabinet-conseil en marketing des psychologues de l’économie comportementale. Et qui sont ses principaux clients ? Les laboratoires pharmaceutiques ! Que notre ministère ait choisi ces gens-là pour le conseiller, et que ceux-ci aient accepté cette mission est seulement indéfendable. `
Le cabinet McKinsey n’est pas autre chose qu’un cabinet de manipulation des opinions publiques. À partir d’informations, vraies ou fausses, peu importe, appelées « nudges », on conduit les peuples à accepter, ou même à choisir volontairement, les volontés dirigeantes.
Et c’est ici que tout dérape, tôt ou tard. Le nudge ne trompe pas seulement ceux pour lesquels il est construit. Il trompe plus encore ses créateurs. La pratique et l’usage des nudges donnent à ces derniers un sentiment de toute-puissance, d’invincibilité absolue.
Les théoriciens de McKinsey savent manipuler. Mais ils ne savent pas écouter. Mieux, ils sont incapables d’entendre. La sourde impatience qui gronde au sein des populations, ils n’imaginent même pas qu’elle puisse exister. Et voilà pourquoi, Madame, nos dirigeants s’obstinent. Le bruit des défilés, le grondement des camions ? Qu’importe ? Un autre nudge et tout rentrera dans l’ordre.
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais moi, quand je suis malade, je demande un rendez-vous à mon médecin. Pas à mon député.
Pourtant ce sont bien nos députés qui débattent et décident de questions concernant ma santé, et celle de tous nos concitoyens.
Quelle légitimité ont-ils pour cela ? En y réfléchissant, aucune ! Sur ce sujet, ils sont globalement incompétents. Pas plus, pas moins que sur tous les autres sujets, me direz-vous. C’est vrai. Mais dans certains domaines, nonobstant leur incompétence, ils peuvent revendiquer une certaine forme de légitimité : ils ont, de fait, été élus sur des programmes politiques, parfois peu ou prou économiques. Mais jamais sur des programmes sanitaires. Quand les députés s’emparent de questions sanitaires, c’est seulement un abus de pouvoir. Ridicule et monstrueux.
Ridicule ? Voilà que ces gens-là ont voté en masse pour des mesures liberticides, pourtant jugées inutiles et même dangereuses par un nombre toujours plus considérable de spécialistes, eux parfaitement compétents.
Monstrueux ? On va contraindre tout un peuple à subir tous les quatre mois une vaccination pour combattre un virus en voie d’extinction naturelle, vaccination aux effets faussement qualifiés de secondaires, puisque potentiellement mortifères. Des gens vont voir leur système immunitaire naturel définitivement détruit. Ce sont là des faits : qui veut s’en donner la peine, peut vérifier soi-même.
Le vote de nos députés, conforme au caprice de nos dirigeants, nous le démontre une fois pour toutes : le peuple ne peut pas compter sur ces gens-là pour le défendre et le protéger.
Alors que faire ?
Vous voulez mon avis ? Tout autant que l’état, le peuple n’a pas d’existence réelle.
Le peuple, c’est vous, c’est moi, c’est chacun. À chacun de voir !
Si suffisamment de chacun, d’une façon ou d’une autre, disent non…
Quant à moi, pour ma santé, je continue de faire confiance à mon médecin plutôt qu’à mon député. Le premier, je peux encore le choisir…
« Les anticorps induits par les injections intramusculaires ne circulent que dans le sang et n’atteignent pas la surface des muqueuses des voies aériennes supérieures. » En bon français, cela signifie tout simplement que les injections anticovid ne peuvent qu’échouer.
Au mieux, inutiles. Au pire, dévastatrices.
Une information de dernière heure ? Une découverte récente ?
Pas du tout. Mais tout simplement les « connaissances basiques en immunologie, dispensée dans les cours d’initiation pour étudiants en médecine », comme expliqué dans le premier article référencé ci-dessous.
Comment se fait-il qu’une proportion aussi importante de tous les médecins du monde ait oublié, ou accepté de faire semblant d’avoir oublié les savoirs de base ?
Corruption ? Conformisme ? Soumission ? Un mélange de ces trois poisons ? Dispensés en proportions inégales, savamment adaptées à leurs destinataires ? Aucun doute possible. C’est aussi simple que cela (voir les sources référencées in fine).
Corruption, conformisme, soumission, qui ? L’industrie pharmaceutique répondront certains. Mais l’industrie pharmaceutique est certes immensément riche, elle n’a pas de pouvoirs.
Qui alors ? L’état. Les états.
Mais le problème, ce ne sont pas les états. Ce sont les peuples, et eux seuls. Pour les peuples, les états sont leurs protecteurs, et donc leur salut. La conviction des peuples est que les états les aiment.
Folie ! Peuples serviles, les états n’existent pas ; il n’existe que des hommes de l’état. Et les hommes de l’état n’aiment qu’eux-mêmes et qui leur ressemble.
Vous ne leur ressemblez pas. Ils ne vous aiment pas. Toujours, ils vous méprisent. Souvent, ils vous détestent.
Ils vous détesteront de plus en plus. Pourquoi ? Parce qu’ils pensent que nous sommes trop, trop nombreux, bouches inutiles, bientôt et avantageusement remplacées par ce qu’ils osent appeler « intelligence artificielle ».
« Comme finira cette pandémie ? » m’a-t-on demandé un jour.
Quand les peuples se révolteront. Se révolteront-ils ?
Franchement, je n’en sais rien. Affaire à suivre. Votre avis ?
Technique connue de tous les adjudants plus portés vers les manœuvres imbéciles que soucieux de combat rapproché, une telle rafale d’ordres successifs contradictoires pendant plus de trois minutes vous fait une troupe seulement occupée de ne manquer aucun aboiement et donc parfaitement abrutie. Un vrai bonheur d’adjudant.
Ce qui fonctionne avec les humains fonctionne aussi très bien pour les chiens, et si vous voulez un chien mécanique, en voici le mode d’emploi.
Cette technique parfaitement connue est dite des « injonctions contradictoires », un mode d’action habituel des psychologues de l’économie comportementale, qui après avoir ruiné la santé d’une bonne moitié de la planète en faisant la fortune de sociétés criminelles telles que Coca-cola, et autres fabricants de sirops de la mort, comme d’autres saloperies alimentaires, ont diversifié leurs activités, en direction des industries pharmaceutiques d’une part, et politiques d’autre part. Coup de chance, la proximité imprévue, mais bien réelle de ces deux univers parallèles a permis de réduire de manière drastique les coûts de prospection et de marketing, économies transférées sans autre forme de procès au chapitre bénéfices des sociétés de conseil concernées, et notamment le cabinet McKinsey, qui conduit de fait la (non-)politique française (mais pas seulement) depuis maintenant deux ans, pour le plus grand malheur du contribuable français, qui non seulement subit, mais aussi finance…
« Ils disent tout et le contraire de tout ! », « Vaccinez-vous les uns les autres, et le cauchemar pandémique ne sera plus qu’un mauvais souvenir ! », « Les vaccinés sont contagieux comme les autres, vaccinés, vous devez respecter les gestes barrière ! », « Troisième dose et on n’en parle plus, quatrième, cinquième dose, sixième… centième dose… et… », « confinement, oui, non, pas confinement, oui, non, les vaccins, ça marche, oui, non…, couvre-feu partout, couvre-feu nulle part, couvre-feu à la demande…, masques, pas de masques, remasques…, passe sanitaire, passe vaccinal, non sanitaire, non vaccinal… », ils sont incompétents, serait tenté de penser l’observateur.
Erreur grossière. Ils savent parfaitement ce qu’ils font et maîtrisent leur art à la perfection. Assommé d’incantations et d’affirmations contradictoires, le gogo, abruti, fait tout pour devancer les désirs de ses manipulateurs.
Véran dit qu’il faut vacciner les enfants. Blachier dit qu’il ne faut surtout pas vacciner les enfants. En tout cas pas les siens. Le gogo pense : Véran et Blachier ne sont pas d’accord entre eux. Qui croire ?
J’ai bien peur de ne pas me tromper (une fois de plus) : Véran et Blachier sont parfaitement d’accord entre eux, et jouent ensemble la même partition, celle des « injonctions contradictoires en Macron majeur ». L’orchestre (médiatique) fait le reste, et le français moyen passe ses soirées sur Doctolib pour décrocher un rendez-vous d’injection pour lui-même, sa femme, sa maîtresse, et, ce qui est le plus déconcertant, ses enfants… McKinsey se frotte les mains, sans même trace de gel hydroalcoolique…
Bon, je suis d’accord avec vous. Véran et Blachier ne sont pas d’accord sur tout. Blachier rêve de prendre la place de Véran, qui lui rêve de garder la sienne.
Mais pour ce qui nous concerne, Véran ou Blachier, quelle différence ? Et vous, qu’en pensez-vous ?
Vous l’aurez noté : tout contradicteur de la politique oligarchique mondiale disparaît à tout jamais de tous les relais médiatiques en quelques heures (sauf à avoir pris de saines mesures de salut numérique, comme c’est le cas de ce site). Tous, sauf… quelques-uns. Et pour tout vous dire, cela m’interpelle. Ces rescapés sont-ils les acteurs (conscients ou inconscients) de la politique des injonctions contradictoires du cabinet McKinsey ? Et de fait, l’appel à de saines marches au grand air, n’a tout compte fait rien pour gêner le pouvoir, bien au contraire : marcher évite de penser ou de tenter autre chose !
Et vous, avez-vous un avis à ce sujet ?
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Tout le monde connaît l’histoire de cette personne, qui s’étant cassé le bras, décide de se soigner… en prenant de l’aspirine. Comme prévisible, le bras ne guérit pas, c’est même tout le contraire, et à chaque aggravation, notre bras cassé prend… une plus grande quantité d’aspirine. Finalement, se retrouvant à l’article de la mort, juste avant de trépasser, il s’écrie… « J’aurais dû prendre plus d’aspirine ! »
Les croyants covid se sont fait injecter. L’injection n’a pas marché. Donc ils se refont injecter. Ça ne marchera pas, peu importe, ils se referont injecter. Bien sûr, à chaque dose, ils se fragilisent un peu plus, réduisant à rien leur immunité naturelle. Espérons une issue qui ne sera pas fatale. Et qu’ils seront dispensés d’avoir à s’écrier, dans un ultime sursaut de lucidité : « J’aurais dû me faire injecter plus, j’aurais dû demander plus de doses… »
Hier, on avait des malades et des morts. Beaucoup moins qu’on ne l’a dit, mais bon, on en avait tout de même assez pour faire croire qu’on en avait beaucoup plus. Problème, ce mensonge d’état devient de plus en plus difficile à soutenir. Plus malades, plus de morts, plus de véranattitude tenable.
Sauf si… sauf à remplace les malades par… des « cas » ! Ce qui fut fait, avec le succès que l’on constate.
Les cas, c’est une trouvaille géniale ! Pour multiplier les cas, la recette est simple, il suffit de multiplier les tests. Plus il y a de tests, plus il y a de cas. Les cas, c’est bien, ça n’encombre pas les hôpitaux, même pas besoin de les soigner. Et auprès des gogos, ça marche tout aussi bien. De plus en plus de cas répètent en boucles les médias du mensonge. Le gogo ne vérifie rien. Se précipite sur Doctolib pour sa troisième dose aujourd’hui, la quatrième demain, la cinquième ensuite…
Danger, craignent certains : les effets indésirables des injections expérimentales, d’abord facilement cachés sous le tapis médiatique tant qu’ils sont peu nombreux, seront plus difficiles à déguiser quand ils seront trop nombreux. Ne risque-t-on pas de voir des injectés gravement touchés se rebeller en nombre ?
Rien à craindre, pourtant, pensent nos oligarques, sans doute avec raison. Le gogo injecté puis touché par quelque « accident de vaccination » n’en tirera nulle leçon, et continuera d’aller répétant : « Ce qu’il me faut, désormais, c’est une nouvelle dose, une dose de plus ! »
Et comme le disait un mien ami, en parlant d’autre chose : « N’en mourront que les plus malades ! »
Et vous, où en êtes-vous de votre compte de doses ?
Je résume. La proposition « se vacciner pour protéger les autres » est une absurdité, puisque les injectés peuvent être infectés et se trouvent magnifiquement bien placés pour précisément contaminer les autres.
La proposition « il faut vacciner les enfants » est plus qu’une absurdité, elle est peut-être criminelle : les enfants ne contractent pas le covid et ne le transmettent pas. Comment justifier de les vacciner ?
La seule utilité des injections, c’est de vous préserver des formes graves de la maladie, nous ressasse-t-on. Mais nombre de traitements font exactement la même chose. Sans le moindre risque d’effets secondaires.
Je radote, je sais. Mais je n’y peux rien ! Ce n’est pas que je vieillisse, quoiqu’en effet je vieillisse. C’est que l’environnement ne change pas. Devant une imbécillité qui dure, comment se renouveler ?
Donc je radote (Haut les cœurs, bas les masques !) : je n’ai absolument jamais cru, même pas une seconde au mensonge pandémique, et je n’y ai aucun mérite. C’est seulement qu’ayant longuement travaillé ce sujet, j’ai immédiatement reconnu, et sans le moindre doute possible, les techniques de manipulation développées par les psychologues dits de « l’économie comportementale ».
De quoi s’agit-il ? J’ai décrit toute cette affaire, plus que par le détail, dans un article publié sur le net, mas je ne peux pas y renvoyer mon lecteur… Le site sur lequel je publiais ayant été totalement et paraît-il, irrémédiablement anéanti (plus de trois cents pages évaporées au plus profond des limbes numériques).
Tant pis. Mais retenons que ces dangereux manipulateurs ont commencé par murmurer à l’oreille des groupes alimentaires (responsables de l’obésité et donc de la mort prématurée d’un bon quart de l’humanité). Mais comme l’appétit (pour ne pas changer de registre) vient en mangeant, et que le potentiel de la (mal)bouffe a tout de même ses limites, ces monstres manipulateurs ont très vite choisi de donner à leurs compétences des horizons bien plus à la hauteur de l’opinion qu’ils ont d’eux-mêmes : la pharmacie d’abord, la politique ensuite (ou en « même temps »).
Croyez-le ou non, mais c’est un fait que je suis en mesure de vous prouver, si vous et moi-même en prenons le temps, mais le « discours covid » est typiquement un discours de l’économie comportementale, et comme j’en suis « vacciné », j’ai tout de suite détecté qu’il s’agissait d’un énorme mensonge.
En effet, ces « spécialistes » (qui ont tout de même fait l’élection d’Obama, de Hollande, et de Macron[1]) ne mentent pas tout le temps, et ils peuvent parfois mettre leurs compétences au service de la vérité. Seulement voilà : si leur soi-disant pandémie avait si peu que ce soit à voir avec la vérité, quel besoin y aurait-il eu de manipulation ? Les gens ne sont pas des imbéciles, et les morts auraient parlé d’eux-mêmes.
Quand cessera cette mascarade ? Quand vous, vos proches, vos voisins, vos amis et tous les autres auront compris qu’il s’agit d’une manipulation, pas avant. Ah si, peut-être avant.
Aujourd’hui, la précitée manipulation parvient encore à cacher sous les tapis les effets délétères des poisons injectés, cadavres y compris.
Mais le pourra-t-elle encore longtemps ? Toujours ? Et vous, qu’en pensez-vous ?
Et de la sorte, garantir, sans doute possible, sa réélection.
Plus : les vaccinés, nouveaux « malgré-eux » des temps modernes, appelés désormais « anti-passes sanitaires » vont voter comme les vaccinés.
Comme je le sais ? Élémentaire, mon cher Watson !
Résumons : de toute évidence, nous avons pris un abonnement pandémique permanent. Et donc, le prochain 10 avril, nous y serons toujours.
Bien sûr, d’ici là, les vaccinopathes pourraient avoir gagné, avec une vaccination rendue obligatoire.
Mais de vous à moi, cela m’étonnerait beaucoup ; ce serait en tout cas une erreur tactique majeure de Monsieur Macron : si tout le monde est vacciné, tout le monde pourra se rendre dans les bureaux de vote, ce que ne manqueront pas de faire tous les mécontents, dont les « malgré-eux » de la vaccination, et cela risque de faire beaucoup de monde.
Tandis que s’il n’y a pas d’obligation vaccinale, je vous parie cent contre un qu’il y aura obligation de passe – sanitaire pour se rendre dans les bureaux de vote.
Ce qui mettra les anti-passes dans une situation tout à fait embarrassante ! Dont, dans un élan de grande générosité, ne manquera pas de les sortir le pouvoir en place, leur proposant le vote par correspondance complété sans doute par n’importe quel système de vote numérique, sur le modèle de ce qui a si bien réussi aux démocrates américains !
Et donc, vous pourrez toujours voter ce que bon vous semblera, la ou les machines auront le dernier mot.
Au final, ce sera comme je vous l’annonçais, un vote massif des anti-passes et des anti-vaccins… en faveur d’Emmanuel Macron.
La démocratie dans tout cela ? Boaf, pour ce qu’il en reste…
Cela dit, comme on dit chez les « Frères de la Côte », je « retourne dans la brume »…
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D’abord, il fallait se faire piquer pour « se protéger et protéger les autres ». En donc, comme on dit, pour retrouver un monde normal, sans contraintes sanitaires, sans confinements, sans masques…
Et puis, malgré les censures de toutes sortes, ici, là, des informations ont transpiré : les injections ne protègent pas tant que cela, et ne protègent pas du tout les autres, puisqu’un injecté peut être contaminant.
Au point que le discours a encore évolué. Oui, les injectés peuvent être contaminés et contaminants ; et donc, seule solution évidente : vacciner encore plus !
Avec cet argument massue : « les injections vous évitent les formes graves de la maladie ». La preuve ? Cent pour cent des personnes hospitalisées sont non vaccinées.
Cent pour cent ? Cela signifie que les pays qui ont fortement injecté ont leurs hôpitaux vides ?
Euh… il semble pourtant bien que ne soit pas le cas. Bien au contraire ! Mais si, insistent les vaccinopathes, même dans les pays qui ont injecté jusqu’à cent pour cent de la population, on trouve tout de même des non-vaccinés. En nombre suffisant pour saturer les hôpitaux ? Franchement, cela devient de plus en plus difficile à croire.
Je viens d’écouter un débat entre Maître Di Vizio et un médecin ultra vaccinopathe (pléonasme : cent pour cent des médecins qui peuvent encore s’exprimer sont vaccinopathes).
Maître Di Vizio pose une question simple : comment expliquer qu’aujourd’hui, Israël connaisse une flambée de cas graves, tandis qu’il ne se passe rien dans des pays limitrophes, dont cependant la population injectée est moins quinze pour cent ?
Réponse extraordinaire du vaccinopathe : « Ça ne m’intéresse même pas. »
Le Professeur Raoult répète souvent : « La vérité finit par s’imposer. » Je l’ai déjà dit, je trouve le professeur bien optimiste.
Aujourd’hui, et malgré les censures, qui veut savoir peut en quelques clics trouver au moins de quoi se poser des questions au sujet du discours officiel. Mais le problème est exactement celui-là : ça ne les intéresse même pas.
Et au point où nous en sommes, je me répète encore, je trouve que ça devient franchement rigolo. Bon, on s’amuse comme on peut ! Même sans passe…
Quelques liens au hasard pour les personnes… que « ça intéresse » :
Les gens se sont fait vacciner pour être protégés de la maladie. Mais non. Ils découvrent peu à peu que non, ils ne sont pas protégés. Ils peuvent être contaminés et pire contaminants.
Ce n’est pas moi qui le dit, mais le pape du covid, l’américain Fauci en personne !
C’est un fait avéré maintenant. Les vaccins covid protègent de tout… sauf du covid.
Les vaccinés peuvent être contaminés, et contaminer les autres. Pas grave dit le vaccinopathe, ils peuvent tomber malades, c’est vrai, mais moins gravement que s’ils n’avaient pas été vaccinés. Ah bon ! Petite question, comme ça en passant : comment le savez-vous ? Quel moyen auriez-vous de le savoir ?
Et les vaccinopathes de réciter en litanie : : il faut que cent pour cent de la population soit vaccinée ! Trouvez-moi un début de justification rationnelle à une telle affirmation, et je prends mes deux doses d’un coup demain matin.
Les non-vaccinés sont par nature le groupe témoin permettant de mesurer l’efficacité des vaccins. Petit problème : et s’il s’avérait que les vaccinés soient plus souvent contaminés et malades que les non-vaccinés ? Ou seulement autant ? (Ce qui semble bien être le cas dans certains pays !) Vous voyez d’ici la tête des vaccinopathes ! Une seule solution pour eux : supprimer le groupe témoin ! Vacciner tout le monde !
Mais ce qui passe le moins, pour moi, c’est le passe, précisément. Et pour une raison bien précise. Parce qu’ils sont vaccinés, les vaccinés pourront circuler comme bon leur semblera. Et bien qu’ils soient vaccinés, les vaccinés peuvent être contaminés, mais surtout, contaminants. Donc de vraies bombes virales en pleine liberté. Avec la bénédiction de tous les vaccinopathes.
Avec cette petite dernière : il semble de plus en plus probable que pour les moins de 60 ans, les vaccins soient bien plus dangereux que le covid…
Bon, maintenant, si vous êtes accroc, vous pouvez vous offrir une dose de plus…
Partager la publication "Un vaccinopathe, ça ose tout, c’est même à ça qu’on le reconnaît !"
Comment ? Monsieur Macron a inventé le passe sanitaire, bien compliqué et qui fâche bien du monde. On pourrait faire beaucoup plus simple.
Un non-vacciné qui tombe malade, même un tout petit peu, première punition, on lui interdit le Doliprane, sous toutes ses formes.
Et on lui impose, immédiatement, et sans attendre, un traitement précoce de son choix : protocole Raoult, Ivermectine…
Et puis, si ça ne passe pas, interdiction d’être pris en charge par quelque structure hospitalière que ce soit, à la seule exception d’un certain institut à Marseille (19-21 Boulevard Jean Moulin, 13005 Marseille).
Avec un tel programme, tenez le pour certain, plus personne ne songera à éviter la vaccination !
Il est d’autant plus urgent de mettre en place mon système qu’il devient de plus en plus évident que le passe sanitaire est aussi un passe maladie. En effet, un vacciné peut malgré son vaccin contracter la maladie, même sans le savoir, puis, fort de son passe, contaminer tout le monde autour de lui, sans frein ni problème.
Michel Georgel
Partager la publication "Donc, c’est entendu, les non-vaccinés sont très vilains et très dangereux."
Ainsi donc, c’est dit, la population française est globalement vaccinopathe.
C’est que pour ces gens qui ne s’informent que sur sentiers battus, se gardant bien de tout chemin de traverse, sites ou réseaux n’appartenant pas aux forces au pouvoir par exemple, le mot vaccin est au sens propre un mot magique. Appelez vaccin ce que vous voudrez, acide chlorhydrique y compris, sans hésiter, ils se l’injecteront. Les vaccinopathes sont aussi vaccinolâtres.
Après tout, c’est aujourd’hui leur droit, en souhaitant sincèrement que cela ne soit pas demain, ou après-demain, leur problème.
Mais c’est acquis, les vaccinopathes ne se contentent pas de l’être pour eux-mêmes, ils veulent l’être pour tous. L’argument : si tout le monde n’est pas vacciné, la maladie ne sera pas éradiquée.
Pourtant, si les vaccins ont les vertus prêtées par les vaccinopathes, que leur importe que la maladie soit éradiquée, ou pas ? Quoi qu’il advienne, elle ne les concernera pas.
Mais c’est qu’il faut « protéger les autres » ! Les personnes « fragiles », surtout !
Avez-vous remarqué que les étatistes utilisent toujours les mêmes arguments ? On nous écrase d’impôts, mais c’est pour le bien des plus démunis. Un système qui fonctionne d’ailleurs très bien, puisque lesdits démunis sont toujours plus nombreux. On vaccine tout le monde, mais c’est pour le bien des plus fragiles ; des personnes à risque, comme ils disent.
Je suis une personne à risque, comme ils disent. Mais je ne leur ai rien demandé. Et je juge particulièrement humiliant de n’être même plus propriétaire du choix de mes risques.
Il se dit ici et là que la rage vaccinale de nos dirigeants a pour source que ceux-ci veulent absolument se garantir du risque de Bachelottage, en se trouvant encombrés de doses dont personne ne voudrait. Possible. Mais selon moi, c’est autre chose : tout le monde sait bien que le virus devrait faire plus ou moins son retour en même temps que la mauvaise saison. Évidemment, le risque, c’est que l’on compare deux populations, la vaccinée et la non-vaccinée. Supposons encore que le pourcentage de malades dans chaque population se révèle à peu près équivalent ! Ou pire, qu’il y ait plus d’atteints du côté des vaccinés ! Imaginez le scandale ! Une seule solution, supprimer une fois pour toutes les non-vaccinés ! On ne pourra alors plus rien comparer.
L’argument massue de vaccinopathes : les vaccins vont nous permettre à tous de retrouver la vie d’avant. Mais dans la vie d’avant, si, si, je m’en souviens très bien, on ne portait pas de masques, on ne se trouvait pas confiné chez soi, ou soumis à de vexatoires couvre-feux. Mais surtout, dans la vie d’avant, personne n’imaginait se voir contrôler à l’entrée des restaurants, des magasins, des cinémas… l’ensemble des lieux publics devenus des lieux de passe sanitaire !
Si c’est cela leur salut par le vaccin, et si en plus, ils sont contents comme cela, je vous le dis comme je le sens, vaccin ou virus, peu importe qui m’aura, le passe n’est décidément pas mon truc !
Partager la publication "Le temps des vaccinopathes"
Nous sommes au lendemain du premier tour des élections régionales, qui démontrent de manière éclatante que près de 75 % (et non pas 60 comme le prétendent les radoteurs professionnels, qui s’obstinent à ne pas prendre en compte les non-inscrits) se moquent complètement de savoir comment les oligarques oppresseurs se partagent les sinécures.
Ils s’en moquent, tout comme moi, et donc parlons d’autre chose.
En effet, la seule vraie question n’est pas qui gagne le loto prétendument électoral, mais comment se débarrasser de tous ces coûteux inutiles.
Mais pour en arriver là, il faudra, tôt ou tard, commencer par le commencement. Et le commencement est la révolution de notre appareil judiciaire.
Le Professeur Raoult se dit persuadé que la vérité finit toujours par s’imposer. Je ne sais pas d’où il peut tirer cette certitude : c’est presque toujours le contraire qui s’observe et l’Histoire est surtout un énorme mensonge construit sur les cendres de la vérité.
La pandémie est la grande manipulation des temps modernes, mais la croyance en la pandémie est une Religion : peu importent les évidences (nombre réel de décédés, inutilité, inanité et perniciosité des politiques liberticides occidentales), ses adeptes ne la remettront jamais en question.
L’affirmation : « Il n’y a pas de traitement ! » est une falsification. Mais c’est ce que vont continuer de croire et de répéter les adeptes de la pandémie. Et les traitements vont continuer de rester interdits !
Pasteur doit faire des sauts dans sa tombe, s’il sait qu’ils ont l’impudence d’appeler « vaccins » les produits qu’on injecte, au sens propre, à tour de bras, qui pourtant, bons ou mauvais, sont tout ce qu’on voudra, sauf des vaccins : il n’importe ! Au Moyen-âge, les croyants décapitaient les hérétiques et brûlaient les « sorcières » ou prétendument telles. Aujourd’hui, les croyants ne se contentent pas de se faire piquer eux-mêmes, ils font piquer sans hésitation leurs vieux parents comme leurs enfants, même les plus jeunes !
Sourds aux plaintes de ceux que les vaccins ont rendus malades, aveugles au spectacle de ceux qui sont morts, sans souci de ceux qui pourraient bien mourir demain. Et vouant aux gémonies quiconque émet et semble émettre le moindre doute à propos de la sainte religion vaccinale.
Le Professeur croit en la vérité, il croit aussi en la Justice. Il a, semble-t-il, déposé plainte contre plusieurs de ses détracteurs. Bon vent ! La preuve est apportée que le bon Professeur n’est jamais sorti de son hôpital et de ses chères études. Car nous sommes nombreux sur ce site, pour l’avoir éprouvé à nos dépens, à savoir qu’il n’y a pas grand-chose à attendre de la justice, sinon souvent le pire, et que tout ce que son action risque de faire gagner au Professeur est une inscription définitive sur un certain mur, qui pour s’être fait plus discret, n’en est pas moins toujours bien réel…
Il y a des années de cela, portant un foulard bleu, entouré de manifestants portant un foulard bleu, j’écoutais, sous la pluie, un orateur, arborant un foulard bleu, un certain Monsieur Reichman, un homme pour lequel j’ai toujours éprouvé une grande admiration. Monsieur Reichman a fini son discours, je m’en souviens comme si c’était hier, et d’ailleurs c’était hier, en invoquant la dissolution immédiate et définitive de l’ensemble de notre appareil judiciaire et son remplacement par des hommes débarrassés de toute idéologie et seulement soucieux d’accomplir et respecter la volonté du peuple.
Et c’est bien vrai que pour bien faire les choses, il faut commencer par leur commencement !
Bon ! Faisons malgré tout le pari du « bon juge », souhaitons tout de même bonne chance au Professeur Raoult !
Bormes les mimosas, 20 juin 2021
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J’ai souvent répété ceci : pour moi, l’essentiel des malheurs du monde est le fait d’un peu moins de deux cents organisations criminelles, parfaitement identifiées et connues de tous, organisations criminelles appelées états.
Quand les peuples sont malheureux, c’est-à-dire presque tout le temps, ils rêvent leur salut dans un changement des hommes de l’état dont ils sont les esclaves. C’est bien sûr complètement idiot : au sein d’une mafia, les parrains se succèdent (vieillesse, maladie, assassinat, ce que vous voudrez…), mais la mafia reste, intacte et toujours aussi nocive. Éliminer un parrain ne sert à rien, il est immédiatement remplacé par un autre, le plus souvent pire que son prédécesseur. Ce ne sont pas les dirigeants qu’il faut combattre, c’est la mafia en tant que telle qu’il faut mettre au pas.
Et c’est exactement la même chose pour les organisations criminelles que sont les états.
Quand les hommes d’un état ont pris trop de pouvoir, le peuple de cet état ne peut tout simplement pas faire l’économie d’une forme de révolution, qui consiste à prendre ou reprendre le pouvoir extorqué. Plusieurs anthropologues ont montré que le pouvoir est contraire à la nature humaine : il n’y avait pas de pouvoir dans les sociétés primitives. Il y avait bien des chefs, désignés d’une manière ou d’une autre, mais ces chefs étaient sans pouvoir. Malheur au chef qui prétendait à quelque forme de pouvoir : il se trouvait mis à mort, ou à tout le moins, chassé de la tribu, ce qui revenait d’ailleurs au même.
Dans beaucoup de pays occidentaux, sans doute, et en France, à coup sûr, il est temps, plus que temps, de remettre les hommes de pouvoir à leur place : celui qui paye, c’est celui-là qui doit avoir le dernier mot.
Peuples, vous ne pouvez plus l’ignorer, pas de cerveau humain qui résiste à l’hybris : le pouvoir sur autrui étant par nature contre nature, rend fou et ne connaît pas de limites.
Le pouvoir, contre la société. Les hommes de pouvoir contre les peuples. [1]
Ouvrons les yeux ! Nous avons cru que nous avions « touché » le fond : folie fiscale devenue fureur fiscale, invasions criminelles massives, extrême insécurité érigée en mode de vie ordinaire… nous étions en train d’en mourir, toujours plus pauvres face à nos prédateurs toujours plus riches, étalant avec insolence leurs richesses et leurs fastes, volés à nos économies. Nous ne le savions pas, mais non, nous n’avions pas touché le fond !
En marche pour le pire, et disons-le plus simplement, en marche pour la mort : sous prétexte d’une pandémie qui n’a jamais existé que dans l’imaginaire de quelques furieux et d’un nombre plus considérable de désinformés, on nous a confinés, déconfinés, masqués jusque dans nos bois les plus retirés ou sur nos plages de plus grand vent, imposés couvre-feux et laissez-passer les plus humiliants… et bien tout cela n’était rien encore ! Voilà désormais pour tous l’obligation de se faire injecter des produits totalement inutiles, puisque la maladie est rare et qu’on peut la traiter, des produits dont on ne sait à peu près rien, sinon qu’ils sont le fait de criminels multirécidivistes, au casier judiciaire lourd comme un corps mort de grand cargo ! Des gens que les gens normaux se gardent bien de fréquenter, de près ou de loin. Mais des gens qui sont les relations intimes de nos hommes de pouvoir. On ne sait pas bien qui tient le plus l’autre par la barbichette, mais on sait qui paye le barbier !
L’injection obligatoire, proprement injustifiable. Ou bien l’injection est effectivement un vaccin et protège l’injecté du risque de maladie, et dans ce cas, comment justifier une obligation ? Ou bien l’injection ne protège pas du risque de maladie (comme l’a d’ailleurs affirmé l’homme de pouvoir Olivier Véran), et dans ce cas, comment justifier l’obligation ?
L’injection ne protège pas, mais évite les formes graves, nous dit-on. Parfait. Mais des médicaments beaucoup moins coûteux et sans risques font exactement la même chose. Dans un espace de liberté, je devrais pouvoir choisir ma solution.
Je ne peux plus ? Signe certain qu’il plus que grand temps, non de changer les hommes de pouvoir, mais de les remettre à leur place.
Ce qui ne peut se faire que si le peuple se réveille. Se réveillera-t-il ? Pour vous le dire franchement, je nourris les plus grands doutes à ce sujet. Mais peu importe, je suis partisan de faire comme l’a dit en son temps le prince d’Orange[2].
Et puisque nous en sommes aux références, cette légende que je crois indienne et que j’adore :
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : «Colibri! Tu n’es pas fou? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu!»
Et le colibri lui répondit : «Je le sais, mais je fais ma part.»
Mon billet ? Bien d’accord avec vous : même pas la goutte d’eau apportée par l’oiseau mouche. Mais comme lui… je fais ma part.
Bormes les mimosas, 7 juin 2021
[1] Voir « La Société contre l’état » de Pierre Clastres : http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-La_Société_contre_l’État-1999-1-1-0-1.html
[2] « Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre… »
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Ceux qui me connaissent, qu’ils m’aiment un peu ou me détestent beaucoup, pourront en témoigner : je n’ai jamais cru, même pas une seule seconde, à la légende de la pandémie. Dès le début, absolument seul contre tous, ce tous incluant tous mes proches, famille, amis…
Mais pourquoi ai-je été complètement persuadé, dès les premiers instants, qu’il s’agissait d’une monstrueuse manipulation ? Intuition, instinct, autre chose ? Figurez-vous que je viens seulement de découvrir la réponse à cette question. Et certains pourront trouver intéressant que je livre ma découverte.
En fait, je n’y suis pour rien, et je n’y ai aucun mérite. Pour des raisons professionnelles, j’ai passé une partie de ma vie à étudier ce qu’il est convenu d’appeler le « comportement ». Le comportement animal, bien sûr, à condition d’admettre que l’humain n’est finalement qu’un animal comme les autres.
J’ai même fini par pondre un ouvrage sur ce sujet, dont la modeste ambition est d’être une synthèse des manières parfois complémentaires, mais le plus souvent parfaitement opposées, d’aborder ce sujet, ouvrage dont je ne puis que recommander la passionnante lecture… Mais si, mais si…
Passons. Ces recherches m’ont conduit à étudier ce dernier avatar du comportementalisme, désigné généralement par « économie comportementale », une étude des techniques permettant de manipuler l’opinion publique pour conduire les peuples à adopter d’eux-mêmes des comportements souhaités par une oligarchie parfaitement cynique. Les « spécialistes » de ces techniques ne se contentent pas de décrire leurs « découvertes » dans des ouvrages somme toute assez peu lus, et donc très peu rémunérateurs, ils proposent leurs « services » aux dirigeants de la planète, ce qui est, d’évidence, nettement plus rentable. Et savez-vous de toutes les méthodes suggérées, laquelle est décrite comme la plus sûre et la plus efficace : la peur ! Terreur populaire, sinécure oligarque !
Bien sûr, me direz-vous, la gouvernance par la terreur est aussi ancienne que l’humanité, ou au moins, que l’apparition des religions. Mais aujourd’hui, les religions ne faisant plus recette, il fallait passer à autre chose. La terreur climatique, ça marche plutôt bien, cela permet de magnifiques escroqueries comme les éoliennes ou les voitures électriques, mais bon, le climat s’obstinant à se réchauffer beaucoup moins vite que partout claironné, cela finit par refroidir nombre d’enthousiasmes. La terreur sanitaire, nettement mieux, bien plus efficace, une invention de génie. Un problème sanitaire, bien entendu, je ne revendique aucune compétence pour en juger la réalité. En revanche, les méthodes et les techniques de l’économie comportementale, dès les premiers instants, je les ai immédiatement reconnus et identifiés, sûr de ne pas me tromper. Ce qui m’a fait, dans le même temps, fortement douter de la gravité annoncée de la situation : si celle-ci était ce qu’on voulait nous faire croire, quel besoin d’utiliser pour convaincre, les plus grosses ficelles de la manipulation de masse ?
Des exemples ? Un seul pour les résumer tous.
Nombre d’observateurs n’ont pas manqué de souligner les contradictions dans les directives successives. Et ont mis cela sur le compte de l’imprévoyance ou de l’incompétence. Pas du tout impossible, mais là n’est pas le fond de la question. Des instructions successives se contredisant le plus complètement possible sont un moyen certain et connu de sidération des esprits (animaux et donc aussi humains), le stress engendré rendant impossible une analyse objective de la situation. L’individu se soumet alors, sans réfléchir, aux ordres (fussent-ils débiles et contradictoires) reçus.
Après cela, étonnez-vous que ce choix de la terreur ait été celui de tant de dirigeants, de gouvernements !
Quand cessera ce cauchemar, demandent certains ? La réponse est malheureusement certaine : jamais ! Pourquoi ? Une raison très simple : les dictatures ne démissionnent pas. Pour s’en débarrasser, il faut les renverser. Le cauchemar ne cessera que lorsque les peuples comprendront qu’on leur a menti et qu’on les a manipulés.
Pour cela, nul besoin ni de fusils ni de sang : il suffit seulement qu’un beau jour, des citoyens en grand nombre décident en même temps de crier : « Maintenant, ça suffit ! », et joignant le geste à la parole, s’arrachent leurs masques, refusant toute forme de contraintes stupides, masques en extérieur, confinements, couvre-feu, obligations vaccinales…
Bien sûr, c’est une certitude, cela finira par se produire. Est-ce que j’aurai le bonheur de connaître ces jours heureux ? Beaucoup moins sûr.
Pourtant, ici, là, des indices redonnent un peu espoir. Ici, là, on jette les masques et on chante et danse. Une sorte de vent vivifiant de révolte est peut-être en train de se lever ?
Au point, en tout cas, de manifestement inquiéter certains manipulateurs, ou tout au moins leurs complices.
Par exemple, Florian Philippot vient de nous faire partager le plus incroyable, le plus extraordinaire des scoops ! Plus que des aveux, les remords et la honte affichée par des membres du « SPIB », l’équivalent britannique de notre « conseil scientifique », dans un article publié ce dernier 14 mai par le Daily Telagraph.
Le titre de l’article est très clair : « L’utilisation de la peur pour contrôler le comportement pendant la crise du Covid était totalitaire »
Ce groupe avait pourtant proposé en mars 2020 que les ministres britanniques fassent en sorte d’augmenter le niveau de ressenti de menace pour chacun. Ils ont dit : Faites en sorte que les gens soient de plus en plus terrifiés pour se sentir de plus en plus menacés.
Gavin Morgan, un psychologue de l’équipe déclare : « Clairement, utiliser la peur comme moyen de contrôle n’est pas éthique, ça sent le totalitarisme. En mars 2020, le gouvernement était très préoccupé par la conformité et pensait que les gens ne voudraient pas être enfermés, il y a eu des discussions sur la nécessité de la peur pour encourager la conformité, et des décisions ont été prises sur la manière d’augmenter la peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique. L’utilisation de la peur a été définitivement discutable sur le plan éthique.
Outre les avertissements manifestes sur le danger du virus, le gouvernement a nourri le public avec un régime continu de mauvaises nouvelles telles que le nombre de décès et d’hospitalisations, sans jamais remettre les chiffres en contexte, avec des informations par exemple sur le nombre de personnes guéries, ou si le nombre quotidien de morts est inférieur ou supérieur aux moyennes saisonnières. »
Un autre membre du SPIB a déclaré « avoir été stupéfié par la militarisation de la psychologie comportementale pendant la pandémie et que les psychologues n’ont pas semblé remaquer quand elle a cessé d’être altruiste et qu’elle est devenue manipulatrice. Ils ont trop de pouvoir, et cela les enivre. »
Steve Baker déclare : « S’il est vrai que l’état a pris la décision de terrifier le public pour qu’il se conforme aux règles, cela soulève des questions extrêmement sérieuses sur le type de société que nous voulons devenir. Si nous sommes vraiment honnêtes, est-ce que je crains que la politique gouvernementale d’aujourd’hui puise ses racines dans le totalitarisme, oui, bien sûr que c’est ça ! »
Le dicton populaire n’a jamais été aussi vrai : la peur est mauvaise conseillère ! N’ayez pas peur est-il répété dans les Saintes Écritures au moins autant de fois que l’on compte de jours dans une année. N’ayez pas peur, a redit l’un des derniers papes à mériter encore l’appellation de pape !
Qu’on se le dise : la fin de la terreur populaire, c’est la fin de la dictature sanitaire !
Pas d’autre solution.
Bromes les mimosas, mardi 18 mai 2021
Quelques sources :
Un partout, des citoyens se révoltent : https://www.youtube.com/watch?v=ry6-BKB0bb0
Sur l’effet des vaccins : https://www.youtube.com/watch?v=UVmXvo1FMOc
« Il nous reste au moins une liberté, celle de ne pas être dupe » : étude très complète de l’économie comportementale, et de ses méthodes, sur le site « C’est-à-dire ! » de votre serviteur. Ah mais non, j’oubliais, mon site « C’est-à-dire ! » s’est trouvé définitivement et brutalement rayé de la carte numérique, sans laisser aucune trace, cet article avec une dizaine d’autres sur le même sujet y compris… (cependant, j’ai les originaux de ces textes, qui je transmettrai volontiers à qui me le demanderait).
Cela dit, qui lit encore ? Si les gens lisaient, ne serait-ce qu’un peu, il y a déjà longtemps que le monde en aurait fini avec le cirque covid.
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Bon, je vous le dis tout de suite : vacciné ou pas vacciné, je ne vous le dirai pas. Parce que, comme l’a fort bien dit le professeur (Raoult), ça ne regarde personne. Au fond, que je sois vacciné ou pas, et que vous le sachiez ou pas, quelque part, je m’en moque. Mais question de principe. Je ne divulgue de ma vie privée que ce que je veux bien ! Bravo, vous avez compris, ne pas répondre au sujet du vaccin, c’est ma façon de dire non au passeport sanitaire.
Bon, je vous le dis tout de suite : oui, j’ai signé la « tribune des généraux », en précisant ma situation d’ancien officier d’active. Je l’ai fait par loyauté, et bien que je considère cette démarche comme parfaitement stupide : s’adresser au pouvoir comme l’ont fait les généraux, et donc moi aussi avec eux, c’est croire, ou faire semblant de croire que ce même pouvoir pourrait changer quoi que ce soit à sa mortelle trajectoire. Pour reprendre une formule usée jusqu’à la corde, pour avoir tant servi, ce qui n’empêche pas qu’elle soit tellement vraie : c’est seulement folie d’attendre des personnes qui ont créé les problèmes qu’elles y apportent des solutions.
Bon, vous le savez. Les Français sont contents. Aujourd’hui, on les détache. Les détacher ? Non, pas vraiment. Seulement rallonger plus ou moins les laisses. Seulement dans la journée. Et à condition que tout le monde obéisse, bien sagement. Et que les gilets jaunes restent rangés dans les vestiaires. Sinon, punition, on raccourcit les laisses. Et pour les muselières ? Pas encore très clair, mais en principe, si, on garde les muselières. Pourquoi ? Parce qu’avec l’extrême droite qui rôde partout, on ne sait jamais, il pourrait se trouver des mordeurs. Donc muselière pour tous.
– Et puis le virus, et ses variants. Il n’est pas vaincu !
– Vaincre le virus ? Mais c’est comme de prétendre vider la mer avec une petite cuiller !
– Parfaitement. Mais on a les vaccins !
– Les vaccins ? Qui ne protègent de rien, n’empêchent ni d’être contaminant, ni de se trouver contaminé. Impuissants devant les variants. Tous plus ou moins risqués… Pourquoi ne laisse-t-on pas tout simplement les médecins prescrire et soigner ?
– Ah non ! Impossible !
– Mais pourquoi ?
– C’est pourtant simple, les traitements restent interdits, et les prescripteurs sont poursuivis par le conseil de l’ordre.
– Mais que ferez-vous lors de la prochaine explosion de la prochaine épidémie ?
– Inévitable !
– Nous sommes bien d’accord. Donc, que ferez-vous ?
– Simple ! On remet les laisses à zéro, en attendant de nouveaux vaccins.
– Mais alors, cela ne s’arrêtera jamais ?
– Jamais ! C’est cela le monde d’après ! Facile à comprendre tout de même !
J’ai atteint un âge où tout à fait normalement je pense avoir autant de connaissances dans ce monde que dans « l’autre ».
Pourtant, j’ai fait l’autre jour une incroyable découverte : j’ai beau forcer ma mémoire, je ne connais personne, je ne dis bien personne, qui soit « mort du Covid ». Ni « du », ni même « avec ». Personne ! Bon, je m’excuse bien sûr auprès des personnes endeuillées, mais c’est ainsi. Le hasard ?
Mais cette affirmation est peut-être fausse. Faisant abstraction d’une nouvelle catégorie de décédés : les morts-vivants du Covid. Car des morts-vivants du Covid, cela oui, j’en connais, sinon des foules, du moins des bataillons ! Des personnes de mon âge, ou plus âgées. Mais d’autres aussi plus jeunes, parfois beaucoup plus jeunes.
Terrées de peur, ne fréquentant plus personne, pas même ou surtout pas leurs proches, se faisant livrer les courses qu’on dépose à leur porte, ne sortant que masquées et à condition de ne croiser que des masqués… Bien entendu, enragées de se faire vacciner, le plus tôt, le plus vite, et bientôt, le plus souvent possible…
Conversation… téléphonée, cela va de soi :
– Mais pourquoi parler de morts-vivants ? Puisqu’ils ressusciteront sitôt la pandémie finie ?
– Non.
– Comment cela, non ?
– Je suppose que tu as lu le dernier livre de Klaus Schwab ? Le patron du forum de Davos ?
– Pas lu.
C’est ce que je comprends le moins, chez les morts-vivants du Covid. Confinés, et en principe plutôt cultivés, ils devraient avoir le temps de lire. A priori, c’est non.
– Moi je l’ai lu. Il avait annoncé la pandémie. Bon, il s’est trompé d’un facteur 100 quant au nombre de morts. Il n’empêche, il l’explique très bien. La pandémie est une occasion, sinon un prétexte. Il n’y aura plus jamais de retour à la vie d’avant. Et Véran vient de le faire confirmer par le Conseil d’État.
Pas de retour à la vie d’avant. Jamais.
De temps en temps, bien sûr, par temps d’été sans doute, comme on soulève le bouchon de la cocotte-minute, et pour la même raison, on rallongera un peu les laisses. Mais le problème, ce ne sont pas les laisses. Ce sont les colliers, et eux, pas question qu’on vous permette jamais de ne plus les porter.
Sauf si, par hasard, les peuples finissaient par comprendre tous ensemble et tous en même temps que la peur est une mort anticipée. Si tous ensemble et tous en même temps, ils décidaient de jeter par-dessus le bord de la vraie vie, masques, vaccins, confinements délétères et autres monstrueuses distanciations sociales. De reprendre le risque de vivre. Le risque de vivre, qui est aussi celui de mourir. Une vraie mort, condition même de la vraie vie.
Tout de même infiniment mieux qu’une réclusion de mort-vivant, à tout jamais confiné.
Enfin, bon, c’est mon avis.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Paris, 22 avril 2021
Nota : histoire de travailler à ma propre gloire, puisque personne ne le fait pour moi, je me permets de citer ces deux dernières lignes du prologue de l’un de mes romans, « La fille sans prénom » :
«… parce que l’on peut tout oublier, sauf la vie même. La douleur de la vie. À la mer, au vent, et au désespoir joyeux!»
Quel rapport ? À vous de voir…
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Difficile aujourd’hui d’envisager une conversation qui ne comprenne cette question (si tant est que ce n’est pas ainsi qu’elle ait commencé) :
– Et vous ? Vous vous êtes vacciné ?
Avec ce résultat parfaitement prévisible, si vous répondez non : passer pour un parfait crétin.
Pourquoi tout le monde veut-il ainsi sa et ses doses de vaccin, le plus tôt possible ? Pour « retrouver la vie d’avant ! ».
Quand tout le monde sera vacciné, retour à la vie d’avant pour tous, ou en tout cas pour les vaccinés. Promis, certain, juré ?
N’essayez pas de dire que ce n’est pas si sûr. Que d’aucun mauvais plaisant a souligné :
« une efficacité partielle des vaccins, »
« une efficacité particulièrement contingente du fait de l’apparition de nouveaux variants. »
Et ajouté les arguments suivants :
« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »
« Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu. »
Arguments de complotistes, me dites-vous ? Si vous voulez. Enfin non. Puisque l’auteur de ces affirmations, mot à mot retranscrites, est un certain… Olivier Veran, soi-même, qui répondait à une consultation du Conseil d’État !
Conclusion : le retour à une vie « normale », pas pour demain…
Bon, nombreux vont me dire que je ne leur apprends rien, et qu’ils avaient déjà noté cette information.
Mais, petite curiosité, après les arguments ci-dessus, un vaccin, quelle utilité ?
Je sais, je radote, mais le moyen de ne pas radoter quand désespérément, tout reste immobile ? Je radote donc une fois de plus : les mesures « sanitaires » ne cesseront pas faute de combattants ! Des combattants (des malades), les gouvernements à force de variants, et d’inventions mensongères, trouveront les moyens d’en inventer toujours d’autres nouveaux, ou les mêmes, pourquoi pas. La tyrannie sanitaire ne prendra fin que si les peuples se réveillent.
Mais pour tout vous dire, je désespère que cela ne se produise jamais.
Je ne vois partout que visages accrocs à leur masque, y compris dans les voitures ou en plein air, voire sur les plages, même par grand vent, et bien loin des « forces de l’ordre », et partout encore des bras nus se bousculant, hystériques, vers des seringues en nombre insuffisant…
Bien sûr, les propagandes gouvernementales tournent à plein régime, les cas pris comme malades, morts en sursis, les hôpitaux déshabillés très normalement saturés dès les premiers hoquets de quoi que ce soit…
Mais non, ce n’est pas une excuse ! Comment prendre encore pour argent comptant les discours de pouvoirs qui ne vivent qu’à crédit ? Foin de bêtise masquée, un peu de curiosité, que diable ! Oui, c’est vrai, la censure totalitaire tourne à plein régime pour rayer des mémoires les discours de bon sens, il n’empêche, il reste encore possible, au moins pour quelques jours, de s’évader encore et de se faire une opinion personnelle frappée au coin du bon sens !
De découvrir par exemple que les vaccins pour lesquels vous vous bagarrez comme chiffonniers en foire aux chiffons ne se contentent pas de vous rendre souvent bien malades, mais semblent tuer nettement plus qu’ils ne protègent, des vaccins incertains dont vous êtes les cobayes inconscients, aux effets à court terme assez peu rassurants, à long terme, proprement affolants, aux prix délirants[1], à renouveler… tous les six mois (un vrai jeu répété de trompe-la-mort), des vaccins qui ne protègent de rien, pas même des prochaines contraintes sanitaires liberticides, des vaccins d’autant plus criminels que strictement inutiles, puisqu’au contraire du Grand Mensonge, si, des traitements existent, de plus incroyablement bon marché, mieux, une prévention intelligente est à la disposition de tous !
Bon, je vous lasse ? Vous avez raison, les paroles valent toujours moins que les chansons ! Je vous en dédie deux, qui à mon avis, vous en diront beaucoup plus long et mieux que moi…
Désespérément, les masques continuent de ne pas tomber. Au contraire, ils sont désormais comme chevillés aux visages de leurs porteurs. Avec ce corollaire : qui porte le masque veut à tout prix se faire vacciner, s’il ne l’est pas déjà. Avec cet autre corollaire, avec un porteur de masque provaccin à tout prix, ne cherche pas le dialogue, il n’y en a pas de possible. Penser autrement que le prêt-à-penser délivré par les gouvernements et les médias aux ordres, c’est immédiatement mériter l’étiquette « complotiste ». Et mériter l’étiquette complotiste, c’est comme d’être mort : plus droit à la parole.
Le nombre de « cas » explose ? Peu importe, ce qui compte, c’est le taux de létalité, qui lui reste désespérément stable et bas, depuis le dernier mois de mars. Mieux, depuis quelques semaines, il continue de baisser. Qui dit cela ? Par exemple, la généticienne, reconnue pour la qualité de ses travaux dans le monde entier, Alexandra Henrion Caude.
– Alexandra Henrion Caude ? Une complotiste. Circulez, rien à entendre.
La scientifique Astrid Stückelberger, docteur et auteur, qui a collaboré à l’ONU comme à l’OMS, démontre que la pandémie Covid n’existe pas, et que les mesures restrictives de liberté sont absurdes et les vaccins très dangereux ?
– Encore une complotiste, aucun intérêt.
Dans un entretien tout à fait récent, le professeur Raoult fait part de plusieurs avis proprement renversants :
Les mesures de confinement, de distanciation, de lavage des mains et autres désinfections ont peut-être joué un rôle bénéfique sur la quasi-disparition des affections respiratoires et digestives, mais n’ont eu strictement aucun effet sur le Covid : toutes les mesures pour contrôler le Covid sont inefficaces.
Des travaux réalisés par les Chinois sur le SARS 1, virus fort proche du Covid ont montré que la contamination ne se faisait ni manuellement, ni par contact direct, mais qu’elle s’était produite sur des distances de plus de 200 mètres.
L’inutilité des mesures de confinement, même les plus strictes, est démontrée par… les élevages de visons : tous confinés de manière individuelle dans leurs cages, et malgré cela, tous atteints par le virus…
Conclusion : lutter contre la propagation du virus est à ce jour aussi inutile qu’absurde, tout simplement parce qu’on ne sait pas comment cette propagation se produit. Il ne faut pas lutter contre le virus, mais soigner les gens.
– Le professeur Raoult ? Non seulement un personnage « contesté », mais en outre, un complotiste.
Exit le professeur Raoult.
Les deux pays qui ont le plus vacciné leurs populations, Israël et la Grande-Bretagne, ont des résultats qui au minimum posent question. Une spectaculaire augmentation de la mortalité après vaccination en Israël, rien de rassurant pour ce qui concerne le Royaume-Uni. Pardon, qui dit cela ? Le professeur Gérard Delépine.
– Gérard Delépine ? Encore un complotiste ! Tout comme sa femme, Nicole Delépine, en pire peut-être ! À éliminer.
Le collectif United Health Professionals lance une campagne d’alerte internationale sur l’épidémie de Covid-19 : un courrier extrêmement documenté, adressé à tous les chefs d’état demande l’arrêt immédiat de toutes les mesures sociales coercitives en vigueur, confinement, port du masque, vaccinations obligatoires…
– Le collectif United Health Professionals ? De dangereux conspirationnistes complotistes !
Vous l’auriez deviné.
Pourtant ce collectif conspirationniste cite… pas moins que le patron du conseil scientifique français, le professeur Delfraissy qui s’est inquiété dans une lettre au BMJ : « des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus… voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »
– Delfraissy, un conspi…
Non, cette fois, ça ne marche pas, il faut autre chose.
– Une phrase sortie de son contexte, et qui signifie en fait le contraire de ce qu’elle signifie !
Ah bon. Expliqué comme cela…
Des textes, des interviews, de la même veine que ceux que je viens de citer, on pourrait en présenter des pages entières, mais en vain…
– Tous des complotistes, je vous dis !
Pourtant, je vous pose une question assez simple : qui a le plus de chance d’être de fait un complotiste : le chercheur indépendant de toute oligarchie financière, ou la personne dont les mains sont toutes collantes de la confiture de conflits d’intérêts ?
Dis-moi qui te paye, je te dirai si je te crois !
Cela dit, une croyance majoritaire inconditionnelle en une pandémie qui n’existe plus, guérie par des vaccins qui ne protègent pas des confinements sociaux indéfiniment prolongés par les états, je ne vois pas très bien où cela mènera…
Maintenant, vous ferez comme vous voudrez…
Bormes les Mimosas, 27 février 2021
Quelques sources (parmi tant d’autres, facilement disponibles sur le Net) :
Ce qui va se produire dans les semaines qui viennent est bien intéressant.
Bien, sûr, nul ne peut garantir l’avenir, pas même le professeur Raoult, c’est du moins ce qu’il dit, mais partout dans le monde, la pandémie Covid semble marquer le pas (et cela quoiqu’en dise nos alarmistes professionnels).
Ce qui est intéressant, c’est ceci : comment les gouvernements occidentaux, qui ont tant usé et abusé de la terreur covidienne pour imposer leurs dictatures, comment vont-ils s’y prendre, si la pandémie disparaît, pour maintenir intacts leur pouvoir et la terreur ?
Faisons-leur confiance : guidés par les cabinets-conseils les plus chers et les plus pervers de ce monde, ils trouveront. Voyez pour le(s) vaccin(s). Les naïfs qui se sont précipités pour être les premiers à jouir du plaisir de l’aiguille ont partagé cette certitude : le vaccin, le passeport sans restriction pour le monde d’avant.
Seulement non ! Très vite, on leur a expliqué que le vaccin ne les protégeait peut-être pas tant que cela, et qu’en plus d’être vaccinés, il leur faudrait donc continuer de subir toutes les mesures en cours, pour eux, pour les autres…
Et puis, il y aura les variants, et les variants des variants, ou peut-être, juste à temps pour sauver nos dirigeants, un nouveau virus, tout neuf, encore plus féroce que l’ancien…
Avec ces questions à ce jour sans réponse : pourquoi est-ce dans les pays qui pratiquent la vaccination avec le plus de conviction que la pandémie recule le moins, ou même connaît une aggravation ?
Pas de problèmes, vous répondent les vaccinocroyants : les nouveaux atteints ne se recrutent pas du tout chez les personnes vaccinées. Ah bon. Ont été vaccinées en priorité les « personnes à risques », en fait, mes collègues, les hommes de mon âge. Et d’un autre côté, de consensus public, ne meurent réellement de la pandémie chinoise que les hommes… de mon âge ! Alors, les nouveaux morts, on les prend où ?
Un jour, un de mes proches m’a posé cette question : « Comment cette histoire finira-t-elle ? » Ma réponse : « Pas avant que les peuples ne se réveillent ! ». Mon interlocuteur, interloqué, m’a tourné le dos, sans commentaire.
Pourtant, c’est aujourd’hui l’évidence. Ce n’est pas l’éventuelle conclusion de la pandémie qui mettra fin aux actuelles dictatures sanitaires. C’est le réveil des peuples, s’il finit par se produire, et rien d’autre. Tout le reste est bavardage.
Mais si la pandémie, malgré tout, venait à disparaître, insistez-vous ! À mon humble avis, de fait, le pire est devant nous : une crise financière mondiale venant en quelques heures à bout de toutes les monnaies…
Nota : aux personnes qui me font l’amitié d’apprécier mes écritures, je me permets de signaler une de mes nouvelles, nouvelle précisément, trop longue pour un billet sur ce site, mais néanmoins sur le même sujet : http://michel-georgel.com/textes/2021/02/15/le-masque-ou-la-vie/
Soudain, plusieurs intervenants que j’avais l’habitude de suivre ont disparu des écrans YouTube. Morts ? Malades ? Plus rien à dire ?
Ou tout simplement éliminés ?
Perplexe.
Et puis, en quelques jours, à nouveau celui-ci, puis celui-là, puis cet autre… Que se passe-t-il au royaume du politiquement correct ?
Ça commence par un étrange interview de Laurent Toubiana, pas vraiment, pas du tout, politiquement correct, si vous êtes curieux, jugez vous-même : https://www.youtube.com/watch?v=up5DxgvdBsM
On continue avec une incroyable vidéo du professeur Peronne, à cet instant toujours pas effacée, ce qui me paraît admirable. Pourtant, quel florilège d’affirmations « incorrectes » ! Absurdité des tests PCR pratiqués sur des personnes sans symptômes, illégalité de la présence au sein du « conseil scientifique » de personnes en situation de conflits d’intérêts, manque d’éthique de l’industrie pharmaceutique, illégalité de prétendre limiter la liberté de parole des médecins, contre-productivité des politiques de confinement (l’Espagne qui a mis fin à toute forme de limitation des libertés n’a plus de malades, tandis que le nombre de malades augmente en France) ! https://www.youtube.com/watch?v=K1bfbl-QD-U
Plus loin, c’est le docteur Louis Fouché, qui n’y va par quatre chemins : confinement et masques dangereux et absurdes, vaccins incertains, préférence pour les traitements, notamment à base d’hydroxychloroquine… : https://www.youtube.com/watch?v=kpDx76SbQN4,
Dans un autre entretien (a priori toujours pas censuré), le docteur Louis Fouché expose la vérité sur ce les « vaccins » à ARN, qui dans l’état actuel des connaissances, sont surtout un jeu d’apprentis sorciers…
Notez encore cet entretien avec le professeur Toussaint : un troisième confinement sera une catastrophe, la situation actuelle n’a rien à voir avec celle que nous avons connu en février dernier : https://www.youtube.com/watch?v=fW1TRxEA_6k
Mais là, non, l’entretien a bel et bon été censuré, comme vous pouvez le constater vous-même, il suffit de cliquer !
Bon, tout n’est pas (encore) perdu, l’entretien est encore visible (pour le moment) ici : https://vimeo.com/500933141
Ouvrez le lien et vous comprendrez la censure YouTube ! Jugez vous-même :
Alexandra Henrion Caude est précisément une spécialiste de l’ARN, reconnue comme telle dans le monde entier (sauf semble-t-il, dans notre pays).
La vaccination est susceptible d’aggraver sérieusement le risque d’infection pour les personnes de plus de cinquante ans.
Les plus de 75 ans n’ont pas été testés : les vaccinations actuelles de cette population sont donc des tests « grandeur nature ».
Administrer de l’ARN à des individus sains est de la folie dans les circonstances et au niveau des connaissances actuelles
Le protocole Pfizer précise sur des pages que les personnes qui se vaccinent ne doivent en aucun cas se trouver en projet de procréation ! Contraception nécessaire pour les femmes, vasectomie recommandée pour les hommes ! (Aucun risque que l’ARN n’intègre l’ADN ? Alors pourquoi ces précautions ?)
Autre vidéo YouTube : un entretien particulièrement décoiffant avec le professeur Raoult, et notamment un moment très fort (instant 14 : 46). Un argument répété en litanie par les partisans des traitements à ARN est que le flux ADN vers ARN puis protéine ne peut être inversé, ou dit autrement, il ne peut y avoir de transformation inverse « ce qui est faux (nous dit Raoult), et l’on sait cela depuis 1989, soit depuis 32 ans ». Et donc oui, l’ARN introduit peut s’intégrer au génome et devenir un caractère transmissible : https://www.youtube.com/watch?v=9LA6Jmf2IzQ&t=602s
Insupportables, de telles prises de position ? Vous restez un inconditionnel de la vaccination pour tous, vous y compris ? Bravo. Cependant, juste avant de « sauter le pas », vous devriez, au moins par curiosité, parcourir cet article du pofesseur Delepine, https://ripostelaique.com/et-si-le-vaccin-pfizer-augmentait-la-mortalite-du-covid.html…
Stop ! Je vous arrête, définitivement ! Je n’entends discuter avec personne des arguments et démonstrations ci-dessus exposés. En effet, à quoi bon ? Les populistes sont vulgaires, les personnes qui mettent en doute une quelconque urgence climatique trichent sur les chiffres, et dans la foulée, il n’y a pas mieux à penser de toutes les personnes citées dans le présent billet, qui d’ailleurs, de fait, partagent cette caractéristique : tous si mauvais que pas un seul d’entre eux n’a jamais été jugé digne de toucher même un centime d’aucun laboratoire, c’est vous dire, ma bonne dame ! Pas un seul corrompu ! Quelle bande de nuls !
Non, mon seul propos, ici, YouTube ! Pourquoi, depuis quelques jours, laisser passer à nouveau ces vidéos ? Hasard ? Négligence ? Autre chose ? Combien de temps durera tant d’apparente bienveillance ?
Je cherche. Plus de temps que celui que je vais prendre à éliminer erreurs de style et fautes d’orthographe ? Je crois que pour une fois, je ferais mieux de me hâter…
Et franchement, quel misérable spectacle que vos corps décharnés, plus nus que nus !
Un homme, une voix !
Soyons francs avec vous ! Il y a déjà bien longtemps que nous autres, le peuple, les populistes, comme vous dites, nourrissions de sérieux soupçons.
Vos maquillages plus ou moins bâclés nous trompaient de moins en moins.
Mais bon, vous aviez la pudeur de conserver certaines apparences, suffisamment en tout cas pour que nous puissions faire semblant d’y croire.
Mais nous imposant vos masques, vous avez jeté les vôtres.
Le slogan « un homme une voix ! » apparaît pour ce qu’il est en effet, un slogan cache-misère.
Car, nous le savons désormais, pour vous, toutes les voix ne se valent pas.
Celles du peuple peuvent être écornées, rognées, et même effacées.
Tandis, que dans le même temps, les voix dominantes peuvent se voir multiplier par deux, par quatre, par plus encore, elles peuvent même être celles de chers disparus, qu’importe ! Preuves filmées, témoignages sous serment… Circulez, rien à voir !
Certains, encore naïfs, se murmuraient entre eux : qu’importe, après tout ! À la fin, les juges jugeront, et tout rentrera dans l’ordre.
Problème : du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest des États-Unis, du haut en bas de la hiérarchie judiciaire, pas trouvé un seul juge ! Pas un seul !
Normal, pensent les majorités de ce côté-ci de l’Atlantique : une histoire américaine, où un personnage, pourtant « vulgaire » et même « grossier », a pu s’imposer, l’espace d’un instant de quatre longues années. Ça n’arriverait pas chez nous : chez nous, les dirigeants sont personnages raffinés et délicats. Bon, c’est vrai que depuis les Américains se sont enfin mis au pas, avec un nouveau président tout plein de qualités et de bonnes manières.
Et puis, autre différence, chez nous, l’espèce juge n’est pas du tout en voie de disparition. Pas de problème de ce côté-là. C’est du moins ce que semblent croire des hommes comme Fabrice Di Vizio, l’avocat du professeur Raoult, qui a répondu à la question : « Que risque votre client des procédures en cours contre lui ? » : « Moi vivant, rien. » Ce qui ne manque pas de panache. Mais panache et réalisme font-ils nécessairement si bon ménage ?
Conviction partagée, peut-on penser, précisément par ce même professeur Raoult, lequel défend dans un entretien : « Non, je ne suis pas inquiet ! Nous sommes dans un État de droit, et in fine, le droit finira par s’imposer ! »
Confiance admirable ! Pas nécessairement partagée par les auteurs et les lecteurs du présent site… d’autant plus que sauf erreur, les juges qui auront à se prononcer sont… des juges administratifs…
Mais parlons d’autre chose, pour en finir. Voilà des années que tout seul contre tout le monde, je démontre les manipulations des spécialistes de « l’économie comportementale ». Des pages de preuves et de démonstrations, de références et de citations, toutes également et rapidement balayées par une accusation de « complotisme »…
Pourtant, nous sommes en train d’assister à un véritable tour de force de manipulation, bien dans la ligne précisément de « l’économie comportementale » : cette question de la vaccination.
La question principale aurait dû être : une vaccination pour quoi faire ? Une pandémie pratiquement sans morts, voire sans vraiment de malades. Des malades qui pris à temps sont faciles à isoler et soigner.
Mais non, répondent les têtus de la pandémie : il n’y a pas de traitement ! Ce qui devient pourtant de plus en plus difficile à défendre. Le seul moyen pour s’en sortir : la vaccination ! Des vaccins dont on ne sait pas grand-chose, sinon ce qu’en disent leurs vendeurs, ce qui n’est pas la meilleure des garanties
– Mais que voulez-vous dire par « s’en sortir » ?
– Justement, « sortir » à nouveau, comme on voudra, sans confinement, sans gestes barrière…
Pourtant non. Heureux ces optimistes, car ils ne savent pas lire. S’ils savaient lire, ils découvriraient que leur vaccin salut diminue au mieux les risques de contracter une forme grave de la maladie. Ni plus ni moins qu’avec les traitements disponibles. Pour le reste, le vacciné pourra toujours se trouver contaminé, puis contaminant. Ou encore contaminé par quelque variant du virus. Et donc plus du tout protégé, différence essentielle avec les traitements.
Donc ce sera vaccin ET prolongation indéfinie des mesures sanitaires en vigueur.
Quant aux effets à moyen et long terme de la vaccination, on verra quand on y sera…
Mais ce débat, l’avez-vous noté : escamoté, vidé de tout contenu, plus personne n’en parle.
Remplacé par un autre : le vaccin, tout de suite, ou plus tard ? Parce que, comprenez-vous, des vaccins, on ne pourra pas en avoir tout de suite pour tout le monde…
Le vendeur vicieux qui veut imposer sa marchandise finit toujours par questionner le client indécis : « Vous préférez payer comment ? Chèque ou carte bleue ? » ou encore « vous préférez la solution emporté ou livré ? », ce qui élimine de fait le débat acheter – ou ne pas acheter.
Et voilà, vaccin aujourd’hui, ou demain, c’est devenu le seul sujet de conversation, les vaccins qui n’arrivent pas assez vite, en assez grand nombre…
Admirable manipulation ! Le débat traitement ou vaccin complètement escamoté. Mais on disserte à longueur de temps le degré de compétence des hommes du pouvoir, qui, très habilement, laissent plus ou moins dire… quant aux marchands de vaccins, ils ont les mains rouges à force de se les frotter de contentement…
Jusqu’à quand ? Jusqu’à toujours. Avec ce virus ou ses variants. Ou ses successeurs.
Sauf si, un jour, les peuples se décident à ouvrir les yeux (pandémie inexistante, traitements parfaitement connus, vaccinations inutiles, aux effets inconnus, et qui ne résoudront rien… et pour finir mesures « sanitaires » aussi inefficaces que parfaitement inutiles) mais pour l’instant, sœur Anne, je ne vois rien venir. Dans une telle situation, à quoi bon débattre, je retourne dans la brume, comme disent les marins.
Nota : ne me demandez pas mes « sources ». Elles restent encore un peu disponibles, quelques instants de recherche suffisent. Mais aucune raison de les signaler plus que cela à ceux-là mêmes qui vont bientôt les effacer.
Partager la publication "Un dernier mot, monsieur le bourreau ?"
Et vous en avez entendu dire ou lu tout le mal qu’il fallait (obligatoirement) en penser.
Et sa qualification qui dit tout : document « complotiste ».
À peu près aussi mortel, sinon plus, que d’autres étiquettes du genre : « populiste », « climatosceptique »…
Avec cette conséquence vraisemblable, que sagement, vous vous êtes bien gardés d’en prendre connaissance.
Pourtant, on doit signaler, ici ou là, quelques (rares) avis venant peu ou prou en discordance avec le concert collectif.
Par exemple, l’excellent billet d’Henri Dumas, « La dictature sanitaire » du 12 novembre 2020, qui reconnaît en tout cas avoir apprécié les « deux premiers tiers » de ce reportage et la qualité des intervenants. Tout en rejoignant, pour ce qui concerne le tiers ultime, l’avis général et l’estampillage du complot.
L’avouerais-je ? Je suis le plus souvent en complète harmonie de pensée avec les billets de Monsieur Dumas, mais là, non, ou disons moins que d’habitude : une analyse (uniquement pour ce dernier tiers, donc) qui me laissait quelque peu mal à l’aise. Mais comme je suis entravé par une sorte d’esprit d’escalier, qui m’empêche souvent non seulement de clarifier mes idées, mais aussi de trouver « les mots pour les dire », j’ai remis à plus tard… Trop tard ? Hé bien non ! Mieux, j’ai bien fait de me taire, car il se trouve que Monsieur Guy Millière (Dreuz info) a commis, le 30 novembre, une analyse du reportage qui pourrait être (mais ce n’est pas le cas), une manière de réponse aux réserves de Monsieur Dumas.
Ce que note Monsieur Millière : le documentaire ne fait aucune supposition, n’imagine aucune « action cachée ». Et donc, il ne suppose aucun complot. Tantôt, il relate des faits, tous avérés, incontestables. Mais le plus souvent, il rapporte des discours ou des écrits.
Une poignée de milliardaires, tous parfaitement identifiés, ont dit ou écrit ce qu’ils avaient l’intention de faire ou d’encourager. Aujourd’hui, on constate que c’est effectivement ce que les mêmes font ou encouragent. Nul complot de leur part, tout est au contraire parfaitement affiché, au moins pour quiconque veut se donner la peine de savoir.
La réalité est qu’on ne peut donc pas parler de complotisme, et cela pour une raison extrêmement simple : il n’y a pas de complot. Un complot implique que des personnes agissent de manière concertée, certes, mais dans le plus grand secret. Ici, un groupe identifié de ploutocrates agit de manière concertée, c’est incontestable, mais pratiquement pas dans le secret. Donc, pas de « complot ». Quelques clics, quelques heures d’analyse, et tout est transparent.
Pas de complot, mais un projet, oui, et cela est su depuis longtemps, comme sont sus les outils les moyens de ce projet.
Outils et moyens que l’auteur de ces lignes a beaucoup étudiés, produisant par exemple et entre autres en… septembre 2015 cette synthèse : « Il nous reste au moins une liberté : celle de ne pas être dupes ! »
Le courant de pensée analysé dans cette synthèse, c’est celui dit de « l’économie comportementale ». Les moyens de ce courant ? La production de « nudges », des « coups de coude ». Définition de nudge : une rumeur, vraie ou fausse, peu importe, habilement propagée, de nature à modifier dans le sens souhaité, le comportement des masses. La gouvernance par les nudges, voilà ce qui pourrait résumer la préconisation des économistes comportementaux.
La pandémie actuelle restera dans l’histoire comme le plus réussi et le plus accompli de tous les nudges : cette « maladie » dont la létalité est tout à fait officiellement de l’ordre de 0,05 %, c’est-à-dire un peu moins qu’une grippe un peu sévère, a jusqu’à ce jour permis à l’ensemble des gouvernements occidentaux de mener leurs peuples sur la route de la servitude extrême…
Le problème ? Le problème, c’est que désormais, les dirigeants et leurs peuples sont comme les acteurs d’une tragédie grecque : plus d’échappatoire pour aucune des parties.
Les dirigeants sont condamnés au toujours plus. Plus de restrictions, plus de contraintes, plus de restrictions de libertés… Il faut absolument que les peuples continuent de croire vrai le nudge. Que pourraient en effet 5 à 15 % de ploutocrates contre des peuples dont les yeux se trouveraient enfin dessillés ?
Mais la situation présente n’est pas un équilibre, et les peuples sont à leur tour prisonniers de leur destin. Ils continuent de se laisser sidérer, et ce sera, irréversiblement, toujours plus de misère et de malheurs pour eux.
S’ils s’éveillent ? Alors tout redeviendrait possible, en effet. Avec pourtant cette incertitude : et si le réveil s’avérait trop tardif ?
Je vais vous dire : je ne vois tout simplement personne parmi mes amis, mes proches ou même mes très proches qui semble être influencé, même de manière infinitésimale, par mes prises de position. Tout le monde admire le président, tout le monde se masque, tout le monde se confine, personne n’oppose le moindre doute, le moindre questionnement…
Foin des paroles, donc, juste une petite « ballade », dont chacun fera ce qu’il voudra, y compris d’en imaginer la musique. Ou la poubelle. Ce sera comme vous voudrez.
Ballade de la chloroquine
Les spadassins tueurs en marche
Les sans pitié, hommes d’En Marche
Vrais assassins, mais faux marcheurs
La dictature des dictateurs
Ont interdit la chloroquine
Véran devant, mufle masqué
Vrai croque-mort empaqueté
Le peuple meurt anesthésié
Le peuple meurt à l’étouffée
Le peuple meurt sans chloroquine
Moi, rescapé du Corona
D’l’internement dans un ehpad
Des tripotages au fond du nez
À leur vaccin, j’veux échapper !
Vaut mieux mourir sans chloroquine
Confinement, couvre-feu, masques,
Tout ça, c’est pour la populace
Mais les planqués dans les palaces
Menant grand train, orgies et frasques
Ils ont tous eu leur chloroquine
Oui, la sorcière de l’Élysée
Museau fardé, museau masqué
Jupes levées, genoux au vent
Se moque bien de nous manants
Aura aussi sa chloroquine
Et non contents de nous priver
De traitement, pour nous aider
En guise de médicament
C’est le très grand confinement
Confinement sans chloroquine
Tant de naïfs d’imaginer
Le cauchemar se terminer
Mais les tyrans n’vont pas céder
Bien trop contents de tant régner
Ça durera sans chloroquine
Où es-tu donc ma liberté ?
La joie de vivre et de mourir
La liberté nous est volée
En suffoquant pour en finir
En suffoquant sans chloroquine
Le peuple doit se rebeller
Mais le peut-il emprisonné ?
Mais que peut-il, désespéré ?
Le peuple meurt, volé, ruiné
Le peuple meurt sans chloroquine
Dans les Ehpad les vieux sont morts
Liquidés au Rédemsivir
Pas de regrets pas de remords
Car Bigpharma doit s’enrichir
On interdit la chloroquine
Que sur les tombes, morts en errance
Le croque-mort vienne graver
En lettres d’or sans sourciller
La vérité : morts par la France
Car ils sont morts sans chloroquine !
Vlà les parol(es) de ma chanson
Sans prétention, votre attention
Pour la musique des couplets
Ce sera comme vous voudrez
Mais ce sera sans chloroquine
Partager la publication "Ballade de la chloroquine"
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