Le temps des vaccinopathes

Ainsi donc, c’est dit, la population française est globalement vaccinopathe.

C’est que pour ces gens qui ne s’informent que sur sentiers battus, se gardant bien de tout chemin de traverse, sites ou réseaux n’appartenant pas aux forces au pouvoir par exemple, le mot vaccin est au sens propre un mot magique. Appelez vaccin ce que vous voudrez, acide chlorhydrique y compris, sans hésiter, ils se l’injecteront. Les vaccinopathes sont aussi vaccinolâtres.

Après tout, c’est aujourd’hui leur droit, en souhaitant sincèrement que cela ne soit pas demain, ou après-demain, leur problème.

Mais c’est acquis, les vaccinopathes ne se contentent pas de l’être pour eux-mêmes, ils veulent l’être pour tous. L’argument : si tout le monde n’est pas vacciné, la maladie ne sera pas éradiquée.

Pourtant, si les vaccins ont les vertus prêtées par les vaccinopathes, que leur importe que la maladie soit éradiquée, ou pas ? Quoi qu’il advienne, elle ne les concernera pas.

Mais c’est qu’il faut « protéger les autres » ! Les personnes « fragiles », surtout !

Avez-vous remarqué que les étatistes utilisent toujours les mêmes arguments ? On nous écrase d’impôts, mais c’est pour le bien des plus démunis. Un système qui fonctionne d’ailleurs très bien, puisque lesdits démunis sont toujours plus nombreux. On vaccine tout le monde, mais c’est pour le bien des plus fragiles ; des personnes à risque, comme ils disent.

Je suis une personne à risque, comme ils disent. Mais je ne leur ai rien demandé. Et je juge particulièrement humiliant de n’être même plus propriétaire du choix de mes risques.

Il se dit ici et là que la rage vaccinale de nos dirigeants a pour source que ceux-ci veulent absolument se garantir du risque de Bachelottage, en se trouvant encombrés de doses dont personne ne voudrait. Possible. Mais selon moi, c’est autre chose : tout le monde sait bien que le virus devrait faire plus ou moins son retour en même temps que la mauvaise saison. Évidemment, le risque, c’est que l’on compare deux populations, la vaccinée et la non-vaccinée. Supposons encore que le pourcentage de malades dans chaque population se révèle à peu près équivalent ! Ou pire, qu’il y ait plus d’atteints du côté des vaccinés ! Imaginez le scandale ! Une seule solution, supprimer une fois pour toutes les non-vaccinés ! On ne pourra alors plus rien comparer.

L’argument massue de vaccinopathes : les vaccins vont nous permettre à tous de retrouver la vie d’avant. Mais dans la vie d’avant, si, si, je m’en souviens très bien, on ne portait pas de masques, on ne se trouvait pas confiné chez soi, ou soumis à de vexatoires couvre-feux. Mais surtout, dans la vie d’avant, personne n’imaginait se voir contrôler à l’entrée des restaurants, des magasins, des cinémas… l’ensemble des lieux publics devenus des lieux de passe sanitaire !

Si c’est cela leur salut par le vaccin, et si en plus, ils sont contents comme cela, je vous le dis comme je le sens, vaccin ou virus, peu importe qui m’aura, le passe n’est décidément pas mon truc !

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Une réflexion sur « Le temps des vaccinopathes »

  1. Nous pourrions aussi imaginer être à la fin du covid, le virus est moins mortel, or comment peuvent-ils procéder pour continuer leur intrusion dans nos vies, si ce n’est en mettant en place cette usine à gaz.

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