Je suis né le 2 Août 1944.
Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil.
Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société.
Amicalement à vous. H. Dumas
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Elle engage un combat perdu d’avance dans l’état actuel de l’opinion publique.
Sa carrière est impressionnante, son intégrité ne fait aucun doute, sa sincérité non plus.
Je ne connais rien au Karaté, mais je connais beaucoup en ce qui concerne la résistance à un pouvoir pervers, corrompu.
Que lui dire ?
D’abord qu’elle se trompe. Elle n’est pas face à un pouvoir politique qui interfèrerait dans sa carrière, elle est face au pouvoir administratif qui, ici comme ailleurs, finit par croire que c’est lui qui fait et défait les compétiteurs. Les politiques, que maladroitement elle accuse, sont dans la même situation qu’elle, dépendant totalement du pouvoir administratif.
L’opinion publique est soumise à l’administration qui fait étalage de compétences en tout, usurpées pour la plus grande part, irréelles, simples fanfaronnades.
L’administration a convaincu la population — et elle-même –, que notre société lui doit tout. Elle est dans la position de la tique qui prétendrait que le chien est sa création puisqu’elle peut le rendre malade quand elle veut.
Alors qu’elle doit tout à la liberté d’entreprendre qui a suivi la dernière guerre mondiale, à la mondialisation de l’économie dont elle n’est qu’un parasite, à la richesse que cette mondialisation a permise. Elle s’est contentée de piller les acteurs de cet élan de progrès au motif d’une meilleure répartition, en réalité pour organiser son pouvoir.
Cette administration perd de vue l’humanité de ses champions et pense qu’elle trouvera toujours des champions qui se soumettront, l’opinion publique est totalement inconsciente de cette situation.
Gwendoline va être mise au banc de son sport, personne ne la défendra. Dans ces conditions elle va perdre l’assurance qui lui est nécessaire pour performer, elle va se laisser fatalement entrainer dans la polémique qu’engagera l’administration — donc la fédération de son sport — elle y perdra son énergie, son équilibre face aux fausses accusations, aux fausses analyses, aux fausses croyances qui altèrent la vérité.
Et pourtant, elle a raison. Totalement raison.
Peut-elle espérer que l’opinion publique actuellement secouée dans sa croyance en l’administration publique change de paradigme ? Qu’elle se débarrasse de ses élites administratives et fasse confiance à ses champions, en toute chose ?
Pour moi, qui vit le même drame qu’elle, pour nombre de ceux qui lisent ce blog et sont dans la même situation, je crains que cette mutation, si elle arrive, arrive trop tard. Pour elle aussi.
Une seule solution, changer de pays.
Bien à vous. H. Dumas
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Ceux qui pensent qu’un Président de La République peut agir, influer leur vie positivement, sont les victimes de la grande escroquerie intellectuelle dite de “l’homme providentiel” ou du “grand homme”.
Un réflexe qui vient sans doute du fond des âges, qui mélange, encore une fois, la part individuelle et la part collective de chaque être humain.
Ce mélange fortuit ou prémédité, naturel ou manipulé, est un drame endémique.
L’affaire du contrôle technique des deux roues est exemplaire.
Des fonctionnaires inoccupés de l’administration européenne cherchent logiquement dans leur espace d’intervention abscons des sujets où introduire des parcelles de règlementation à peu de frais pour eux mais aux contraintes assurées pour leur assujettis.
Chaque petite contrainte supplémentaire mise en œuvre assoit leur pouvoir, augmente la soumission irréversible de la population, permet de l’encarter davantage au profit de Big Data.
Entre deux tasses à la machine à café, entre deux bouffées lors de la pause cigarette, l’un de ces fonctionnaires se dit : “Le contrôle technique des voitures marche comme sur des roulettes, à tous points de vue : financier, création d’emploi, surveillance des véhicules et des propriétaires, alimentation du Big Data, etc…
Pourquoi ne pas faire la même chose pour les deux-roues ?”
Bingo, génial lui dit sa hiérarchie.
Aussitôt dit, aussitôt fait, la circulaire est pondue. Les bons élèves européens adhèrent immédiatement.
Pas la France, chatouilleuse du côté motards, vite en colère.
Oui mais, l’administration c’est l’administration… en France comme ailleurs.
De rouage en rouage, la circulaire européenne roule sa bosse administrative chez nous, puis un peu comme au Loto elle finit par tomber, au hasard, de la boule du tirage.
Personne ne maitrise le hasard des décisions administratives, surtout pas le Président de La République dont l’unique activité est de se montrer, de réciter ce que lui disent ses conseillers et de se précipiter en tout lieu où il est convenable qu’il soit vu.
Macron apprend, comme vous et moi, par la presse qui elle n’y voit aucun mal, l’existence de la circulaire obligeant les deux roues au contrôle technique.
Quand je découvre la circulaire, je me dis : “Putain, ça va pas le faire.”
Les motards qui rejoignent immédiatement les contestataires COVID, c’est la totale insoluble pour les forces de l’ordre. Samedi c’est le carnage.
Macron se dit la même chose.
Adieu circulaire et contrôle technique des deux roues. Intensification du gag du pouvoir sage, utile, plein de bon sens.
Moralité
Je ne sais pas si le vaccin protège de la grippe, mais si la prétention des hommes de l’Etat à se mêler de notre vie personnelle continue à s’intensifier, nous serons tous vaccinés contre l’étatisme. Merci Pfizer et compagnie.
Au passage, merci les motards, seriez-vous les seuls survivants de la liberté qui font peur aux escrocs prétendant représenter un Etat qui n’existe pas.
Conclusion
Ne perdons pas de vue que notre société c’est nous, que nous c’est tout : le pire et le meilleur. Tout se joue lorsque nous plaçons notre confiance : dans le pire ou dans le meilleur.
Pour ce qui concerne nos besoins collectifs, ils seront gérés par ceux à qui nous confions leur gestion.
Actuellement nous confions cette mission à des gugus, des charlots, voire des escrocs, il est urgent de modifier nos critères de sélection.
Mais aussi, comme les hommes sont imprévisibles, de cantonner à l’essentiel l’action collective, de laisser la plus grande part possible à l’initiative et à la liberté individuelle.
L’affaire du contrôle technique des deux-roues est exemplaire de l’impuissance structurelle du figurant habitant l’Elysée, Macron ou autre. Que fait-il là ?
Il est loin le temps où les hommes du pouvoir le prenaient pour rendre service. Si toutefois ce temps a existé. S’il n’est pas une vue de l’esprit, une légende de l’histoire pour éviter une désespérance qui pourrait être fatale à l’humanité.
Aujourd’hui nous constatons que les hommes du pouvoir politique en France, appelés les hommes de l’Etat, exercent leur pouvoir professionnellement. Ils en ont fait un métier.
Mais ils ne considèrent pas que ce métier ait des comptes à rendre à chacun de nous. Ils ne nous considèrent pas comme des clients de leur profession ayant le droit de critiquer voire de ne pas acheter leur produit, mais comme des usagers de leurs services, des assujettis, à qui ils ne rendent des comptes que globalement et périodiquement.
Cette vision de leur activité a fini par dénaturer complètement les rapports entre eux et nous.
Nous sommes les usagers d’un service à la personne qui n’existe pas, pendant que les professionnels de la politique prennent leurs bénéfices en nous déniant le statut et les droits de clients.
Nous voici assujettis à les payer alors qu’ils n’ont aucun respect pour nous en tant qu’individus, qu’ils ne sont pas tenus aux résultats de tout professionnel.
Nous ne sommes qu’un pion esclave de leurs décisions globales qui visent exclusivement leurs intérêts et ceux des fonctionnaires qui les servent sans lesquels ils ne seraient rien.
Cette réalité demande une organisation et une propagande aujourd’hui bien réglées, diffusées à l’école et dans la presse, que globalement les Français acceptent intégralement.
L’organisation
– Pour installer la croyance et l’imposer, il faut un ennemi imaginaire, qui fait peur, que l’on déteste de ce fait naturellement. Ainsi pour faire croire à leur utilité, les hommes du pouvoir ont diabolisé l’économie, qu’ils ont intégralement soumise, à leur bénéfice. Le résultat a été à la hauteur de ce kidnapping scandaleux, c’est-à-dire la plus grande faillite de tous les temps en cours de développement.
Une chance pour eux, qui détourne l’attention : COVID.
COVID fait naturellement peur, il suffit ensuite de se prétendre capable de terrasser COVID, de stigmatiser ceux que cette prétention fait sourire, le tour est joué, le pouvoir conforté.
– La division est l’outil naturel de l’homme du pouvoir, elle affaiblit la masse sous influence et par la même les concurrents que cette masse pourrait générer.
La division s’entretient et se sublime par la délation. Le délateur est l’allié indispensable à tout pouvoir. Plus le délateur est flatté ou sollicité, plus on peut considérer que le pouvoir cherche à s’imposer.
Bercy connait la musique à ce sujet, mais la médecine aujourd’hui n’a rien à lui envier avec COVID et la délation généralisée installée en son honneur.
– l’unicité de leurs solutions, évidemment prétendument réfléchies, est une évidence pour les hommes de pouvoir. Non seulement rien ne doit entraver la mise en œuvre de leurs solutions, mais les résultats doivent impérativement démontrer que leurs solutions étaient les seules possibles.
Bercy, aujourd’hui en coma dépassé, a longtemps eu cette prétention d’infaillibilité dans le cadre de l’économie, du partage obligatoire prétendument productif.
Aujourd’hui c’est la médecine qui reprend le flambeau, qui avale le fait qu’elle n’est pas capable de soigner que seule l’industrie médicamenteuse le peut.
Les origines du mensonge dans lequel nous pataugeons allègrement sont donc définies :
– Des professionnels immuables du pouvoir et non des bénévoles conjoncturels prennent en otage notre pays. Ils nous obligent à croire de force à leur fausse réalité, ils nous dénient le statut de clients tout en nous facturant lourdement leurs prestations.
– Des boucs-émissaires et une masse significative de délateurs qui les pourchassent, pour nous diviser. Pour installer la terreur.
– Une solution à nos problèmes assénée sans relâche avec des arguments simplistes. L’interdiction de toute autre solution.
Bercy a fonctionné ainsi ces cinquante dernières années, combien de temps pour COVID et ses successeurs ?
C’est sur cette organisation mensongère que pousse le mensonge comme le chiendent sur la bonne terre non entretenue.
Celui qui voudrait revenir à une société aux mensonges expurgés devrait d’abord modifier notre organisation et surtout nos croyances et nos mentalités, en profondeur.
Objectivement, je ne crois pas que cela soit possible, mais je suis sûr que la lutte dans ce sens est belle.
Bien à vous. H. Dumas
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D’abord un petit tour sur Wikipédia pour bien définir le mot et éviter de se faire traiter de populiste – mystérieuse insulte réservée aux snobs de la politique, qui peut viser toute personne ayant une opinion différente de la doxa –.
Donc, entre autres, Wikipédia dit ceci :
“La technocratie est une forme de gouvernement (d’entreprise, d’État) où la place des experts techniques et de leurs méthodes est centrale dans les prises de décision…Parmi les traits caractéristiques et récurrents de la notion de technocratie, on trouve la mise en avant de la compétence et des méthodes du technicien et du scientifique, identifiés aux notions de rigueur et de rationalité. Ces notions sont opposées aux caractéristiques supposées de l’homme et du système politique, ou de l’homme d’affaires, considérés comme vénaux, incompétents et soumis aux intérêts privés œuvrant dans un sens contraire aux intérêts de la société. Dans une technocratie, les compétences techniques et de leadership sont davantage sélectionnées par des processus bureaucratiques et méritocratiques basés sur le savoir et la performance, que par des procédures démocratiques.”
C’est clair. Il n’y a aucun doute Macron est un technocrate, il est incontestablement le chef de cette catégorie de personnes.
Le problème tient au fait qu’il est dans le même temps le président de notre pays qu’il entend gérer “technocratiquement”, exclusivement en résonnance avec des techniciens de son obédience, au mépris de la démocratie, de l’avis des autres dans son esprit tous populistes évidemment.
Soudain, voilà t’y pas qu’il passe aux aveux
S’encanaillant sur les réseaux sociaux, il déclare :
“Je suis tout à fait libre de boire, un verre, deux verres, trois verres quatre verres de vin. De rester chez moi de voir des amis, aucun problème. Par contre, depuis des années on a accepté qu’après avoir bu, je ne suis plus libre de prendre le volant parce que à ce moment-là, ma liberté de prendre le volant peut vous mettre en danger.”
Voilà, c’est dit, sans l’Etat, sa technocratie et lui en temps qu’héritier du concept et leurs lois, les Français continueraient à picoler, notamment au volant, c’est ce que sous-entend “je ne suis plus libre”…
On va un peu lui expliquer ce qu’il ne sait pas, sans doute :
– Les alcooliques picolent toujours, rien ne peut les en empêcher et surtout pas l’Etat, voir la prohibition aux Etats-Unis.
– Petit à petit, une prise de conscience personnelle amène à comprendre les dangers de l’alcool et certains, plus particulièrement ceux que la vie ne bouscule pas trop, arrivent à se passer très bien de l’alcool, y compris donc au volant. C’est un problème personnel, pas de police, ni de technocrate.
– Beaucoup, surtout ceux qui sont mal dans leur peau, continuent à picoler et à conduire, et oui…
Il aurait pu aussi nous parler de la limitation de vitesse et s’attribuer la gloire de la diminution de la vitesse et du nombre de morts sur les routes, en oubliant :
– Comment se comportait sur la route une Renault “dauphine”, qui ne pardonnait rien.
– Comment était le réseau routier en 1960.
– Quel était le rapport à la voiture à cette époque-là.
Comprenez-moi, mon but n’est pas de dénier à la technocratie son existence, ses capacités, son travail et ses engagements, mais bien de la ramener sur terre.
Car, elle a pris, dans des conditions malhonnêtes, avec l’aide de sa milice Bercy, le pouvoir absolu en France. Et aujourd’hui elle veut nous faire croire qu’elle le mérite parce que tous les progrès de notre société lui seraient dus.
Où la technocratie a-t-elle vu jouer ce film ?
Oui, sur de nombreux points la France a progressé pendant de nombreuses années, les technocrates ont fait leur part du travail pour cela, mais pas plus, notamment au niveau décisionnel.
Tous les Français ont participé à cette évolution, sans eux les technocrates ne seraient probablement arrivés à rien, il leur manque quand même, le plus souvent :
– L’imagination
– Le gout du risque
– L’engagement total, qui fait s’oublier soi-même au profit du but.
– L’amour des autres et plus particulièrement de ceux qui ne sont pas dans le moule, voire à la dérive, morale ou matérielle.
– La ferveur du rêve qui fait agir, qu’aucun chiffre ne peut provoquer, bien au contraire.
Alors ces technocrates qui se la pètent – y compris leur chef vénéré Macron qui n’est pas différent d’eux — leur culot de prétendre après coup que toute réussite doit leur être comptabilisée : c’est insupportable.
COVID, notre maître actuel, fait la démonstration des lacunes de ces technocrates. Dans le but de les dissimuler, Macron tend un voile sur la réalité pour nous faire croire que, quand COVID nous quittera pour d’autres espaces, ce sera grâce à lui, que nous devrons le remercier, nous prosterner, et payer un gros bakchich au tenancier de ses troncs : “Bercy”.
Conclusion
Oui, la France a progressé. C’est le résultat de l’effort de tous. Les technocrates s’en attribuent le mérite et captent illégitimement le pouvoir en évoquant leur succès autoproclamé. Hélas pour eux la période tend sans doute vers le déclin. Je n’irai pas inversement jusqu’à dire qu’ils sont les seuls fautifs, quoique…
Mais une chose est sûre, je leur dénie le droit de dire face à ce déclin qu’ils n’y sont pour rien, le droit de nous faire porter le chapeau et la facture, le droit de nous priver de liberté alors que c’est elle, notre liberté, qui permettra au pays de rebondir.
Attention Macron : “ne dépasse pas les bornes des limites…,” ne fait pas comme le propriétaire de Maurice.
Bien à vous. H. Dumas
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Ils défilent dans la rue tous les Samedis avec pour seul point commun le mot “liberté.”
On leur dit “Vous êtes un ensemble hétéroclite, sans attache structurelle, donc vous, n’êtes rien.”
Alors que journellement on leur fait croire que ce qui les rassemblerait serait d’appartenir au “monde libre”, ici on leur affirme que crier “liberté” n’est pas un motif de regroupement valide.
Galéjade, dirait-on en Provence entre deux rafales de mistral.
Depuis la chute du mur de Berlin, depuis 32 ans, les gouvernants des pays “anciennement qualifiés de libres” n’arrivent pas à convaincre totalement leurs ressortissants qu’ils sont les protecteurs, qu’ils prétendent être, de leurs libertés .
Jusqu’à aujourd’hui tout cela était confus, les apparences sauvées, la mise en esclavage compensée par un prélèvement sans précédent sur les richesses — produites par une économie mondiale majoritairement libérale — largement redistribuées en échange des libertés confisquées.
Et puis… COVID est arrivé, sans s’presser…. Le grand COVID, l’affreux COVID…
Et les masques tombent. Enfin… façon de parler.
Reprenons du début.
L’homme, face à la nature beaucoup plus puissante que lui, mortifère, a la nécessité vitale de se regrouper ponctuellement pour affronter des difficultés ou des problèmes qu’il ne pourrait pas solutionner seul.
Lors de chacun de ces regroupements apparait naturellement un chef dont l’évidente nécessité est d’aider à coordonner les efforts. Malheureusement ce chef circonstanciel a tendance à s’approprier le résultat et à constater que celui qui commande et surveille travaille plutôt moins que les autres et qu’il bénéficie des solutions plutôt plus que les autres. Au fil des siècles ces constats sont devenus ataviques chez certains.
La recherche d’un pouvoir artificiel constant a supplanté le pouvoir naturel ponctuel.
L’imagination des fous du pouvoir n’a eu aucune limite.
Chefs du muscle ou sorciers de la tête, ils ont exercé le pouvoir, toujours abusif, par l’épée ou la persuasion perverse.
Mais toujours l’homme soumis a gardé, dans un coin de sa tête plus ou moins reculé, l’idée qu’il a peut-être été libre et qu’il pourrait peut-être le redevenir.
Jusqu’à aujourd’hui cette idée, récurrente, finit toujours par une duperie car parmi les révoltés aléatoires de la liberté se glisse systématiquement un futur homme de pouvoir qui récupère la cinétique libérale à son compte et remet tout le monde en esclavage.
Les deux statuts : liberté et esclavage, ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients. Mais, et c’est le problème, ils ne sont pas solubles. C’est l’un ou l’autre, et non pas l’un et l’autre quelles que seraient les proportions.
Donc aucune comparaison interne n’est possible entre les deux systèmes qui s’excluent l’un l’autre.
Nous en sommes là : COVID arrive.
En France, nous sommes dans un système collectiviste où la liberté est totalement inexistante, où des hommes de pouvoir ont instauré une religion laïque, en conflit avec les autres religions, sans aucun espace de liberté, quand COVID débarque.
Ce qui se serait passé, COVID arrivant chez des hommes libres :
Chacun aurait affronté la maladie selon ses moyens et ses initiatives. L’offre de soins et de guérison aurait été florissante, probablement bidon pour partie évidemment.
La chance et l’intelligence auraient fait le tri, COVID aurait vu son avenir multiplement contrarié. Il est probable qu’à travers les tâtonnements du début une solution efficace serait apparue.
Mais COVID est arrivé chez des hommes mis en esclavage.
Toute initiative a été bannie, au motif de l’intérêt général. Les malades ont été laissés sans soin le temps que les hommes du pouvoir, pris au dépourvu, imaginent ou copient une stratégie.
Cette stratégie adoptée par les hommes du pouvoir est exclusive et s’impose à tous, pas encore par la force mais cela ne saurait tarder.
COVID nous propulse bien au cœur de la gouvernance.
Ce sera sans pitié.
Si la stratégie des hommes de pouvoir s’avère fausse, ce sera ravageur. Déjà, certains de ses aspects sont désocialisants, tels que le masque et le confinement. Mais, si le vaccin s’avère être un tueur direct ou indirect, les hommes du pouvoir — et leur prétention à tout décider pour nous — vont partir en vrille irrécupérable.
Hélas alors, ceux qui défilent au nom de la liberté vont probablement se jeter dans les bras d’autres hommes de pouvoir opportunistes qui montrent le bout de leur nez dans les manifestations, en oubliant que les hommes de pouvoir sont tous les mêmes et que la liberté ne peut s’assumer qu’individuellement.
Si au contraire, COVID meurt, disparait, du fait du traitement, ou même de sa mort naturelle, les hommes du pouvoir vont être emportés par la vanité, c’en est alors fait de nous.
Parce qu’Ils appliqueront leur recette à l’économie, dont nous sommes largement plus malades que du COVID, et la misère nous attend, la liberté indispensable à l’économie passant son chemin pour les décennies à venir.
Le pass sanitaire est-il une simple attestation de vaccination ?
Une marque initiatique destinée à se retrouver entre personnes obéissantes, entre bons élèves.
C’est alors beaucoup de bruit pour pas grand-chose, puisque l’on sait que le vaccin est à effet limité pour son efficacité immédiate et à effet périmant dans le temps.
Ce n’est donc pas le cas.
Le pass sanitaire est-il destiné à débusquer les cas contacts ?
C’est-à-dire que la trace repérée de votre passage au restaurant va permettre de vous contacter et de vérifier votre situation sanitaire, s’il se trouve qu’au même moment était présente une personne qui va être testée positive quelques jours plus tard.
Il semblerait que ce soit le cas.
Or, vous êtes évidemment vacciné, sans quoi vous n’auriez pas pu partager ce moment de bonheur gustatif devenu douloureux du fait de la présence d’un contaminé, lui aussi vacciné, car sans quoi…. etc.
Donc, devenu cas contact, vous devez vous faire tester et, pendant sept jours, éviter les personnes à risque – ce qui vous amène à demander aux autres s’ils sont “à risque”, rien n’étant écrit sur le bout de leur nez –. Pendant ces sept jours vous devez prendre journellement votre température, pour cela vous pouvez obtenir gracieusement les services d’une infirmière diplômée d’Etat – c’est la moindre des choses –. Au bout de ces sept jours re-test.
Je résume
Vous allez au restaurant, un voisin de salle vacciné est testé positif quelques jours plus tard, les emmerdements sévères commencent pour vous, alors que vous aussi êtes vacciné…
Le mieux c’est quand même de ne pas aller au restaurant. Requiem pour les restaurateurs.
Mais attention
Deux tricheries catastrophiques doivent être combattues pour que vive ce plan génial de technocrates essayant de dissimiler les carences stupéfiantes de l’organisation étatique de notre santé que le monde entier nous envie.
D’abord celle des tenanciers.
Elle est maitrisée. Tous les tenanciers de bar, tous les restaurateurs, connaissent la rapidité préfectorale à dégainer les fermetures administratives. Pas de gros problème, c’est une population docile, terrorisée depuis si longtemps par la préfectorale et par Bercy.
Il en est tout autrement de celle des consommateurs — lèche-culs — concernés.
Ils sont vaccinés, ne l’oublions pas. Ils exigent en échange de cette marque de soumission des signes de déférence. Ils risquent donc de ne pas se plier facilement aux injonctions prévues pour cette situation. En un mot ils risquent de tricher, de ne pas se soucier de savoir s’ils croisent ou non des personnes “à risque”, voire de ne pas prendre leur température tous les jours, ou encore de ne pas se soumettre aux deux tests préconisés.
Ce serait bien, convenons-en, une catastrophe.
Donc, comprenez-le, il faut organiser une surveillance appropriée. Probablement qu’un corps de surveillants sanitaires va être mis en œuvre, accompagné des moyens nécessaires : assermentation, port d’arme, etc…
Ils devront-être très nombreux pour pouvoir être efficaces, ils auront évidemment le statut de fonctionnaire, donc l’emploi à vie, donc ils seront là pour toujours.
D’un côté un pass-sanitaire qui dit tout de nous et sait en temps réel où nous sommes, de l’autre une escouade inévitable de fonctionnaires pour surveiller les tricheurs potentiels face à ces lourdes contraintes, bon sang mais c’est… bien sûr… on connait, c’est Bercy, l’identique, le jumeau.
Décidemment, c’est décidé pour moi : plus de restaurant, plus de ciné, plus de dehors, je reste chez moi en attendant que ça passe le pass….
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Si j’ai bien compris la règle du jeu… je passe."
On sent bien que la tension est forte, que la violence extrême est là, à notre porte.
Les différents attentats passés, évidemment absolus pour les victimes, sont très relatifs pour la masse, je dirais même insignifiants.
Il ne faut jamais perdre de vue que le ressenti individuel lors de sa propre mort, notamment lorsqu’elle est injuste, est une souffrance et une douleur majeures pour l’être humain. Tous les compassionnels se foutent de la gueule du monde quand ils prétendent partager l’horreur de ces instants, qui n’est pas partageable.
Cependant, il est des temps où la mort et la souffrance sont distribuées sans limite, où chacun peut en ressentir la proximité, où un grand nombre les rencontrent, où peu en réchappent.
Ces périodes laissent des traces indélébiles, malheureusement exclusivement à ceux qui les ont vécues, les autres ne sont pas en mesure d’imaginer l’inimaginable.
Moyennant quoi, un jour, tout recommence. C’est une certitude.
Mais comment savoir quand et pourquoi ?
De ce qui est dit, Il y aurait d’abord une sorte de désespérance qui s’empare de la société, une perte de confiance en l’avenir. Puis un manque de confiance dans les autres et en soi. Une désorganisation. Une démesure des égoïsmes.
Mais cela ne suffit pas.
Il faut un moteur à la violence. La faim ou la peur d’avoir faim, de manquer. Le lion vit à quelques mètres de la gazelle qu’il laisse en paix tant qu’il est repu. S’il a faim, il lui saute dessus et la dévore violemment.
L’homme n’est pas différent. A partir de ce constat les choses se précisent.
On aurait pu imaginer que la faillite de Bercy allait entrainer la guerre, la violence ultime, je l’ai cru, j’en doute fortement aujourd’hui.
En France, comme dans les autres pays où cela est arrivé, où les hommes de l’Etat ont fait faillite, c’est le système démerde qui se mettra en place et palliera leur incurie. Donc les petits meurtres entre amis de Bercy ne sont pas un détonateur suffisant pour entrainer le chaos, juste le bazar, supportable pour les démerdards, mortel que pour ceux qui auront eu la malchance d’être entre les mains de Bercy agonisant.
En revanche, lorsque de pseudo-scientifiques nous annoncent que la terre, le 29 Juillet, a épuisé ses ressources… grave danger.
Le message est clair, nous sommes trop nombreux, il va falloir partager la misère, ou… être moins nombreux…
Si ça ce n’est pas un appel direct au meurtre, qu’est-ce ?
Dire aux hommes qu’ils sont responsables, par leur nombre, leur attitude, leur progrès, de leur future disparition, ne peut que les dresser les uns contre les autres. C’est comme crier au feu dans un cinéma bondé.
Résultat, les plus forts marchent sur la tête des plus faibles, soit par la force brute, soit par la fourberie, mais sans exception.
Les écolos sont de grands malades.
Napoléon a liquidé, au nom de la révolution, quelques millions d’européens, Hitler a vu plus grand, il en a liquidé mondialement quelques dizaines de millions, Lénine et Mao ont fait plus fort ils ont atteint à minima la centaine de millions, les écolos devraient atteindre avec leur stratégie fatale un désordre gigantesque qui côtoiera probablement le milliard .
Le venin qu’ils distillent flatte l’égo des “initiés”, qui montrent du doigt ceux qui tentent de se hisser à hauteur de la vie, en les dénonçant comme sans respect pour la nature qu’ils tentent en effet de combattre pour vivre, tout simplement.
L’Europe est en tête de l’écologie, l’Europe est toujours en tête quand il s’agit d’éliminer les autres… c’est sa spécialité.
Après le meurtre pour l’égalité, voilà le meurtre pour la planète, tout un programme.
Au fait, ne comptez pas sur moi, je m’en vais… tué anonymement et sans gloire par le fisc.
M. X est un cadre moyen évoluant bureaucratiquement dans le monde de la santé.
C’est un homme excessivement sérieux, qui croit ce que dit sa hiérarchie, il est même payé pour le relayer.
Vous imaginez que dès que cela lui a été possible, dès la livraison des premiers vaccins, un peu même avant sa catégorie, en Mars, il s’est fait piquer deux fois, comme tout le monde.
Le voilà vacciné et frétillant, fier d’être un bon français, responsable pour lui et pour la France, à la limite de l’autosatisfaction dérangeante pour les autres moins chanceux ou moins téméraires.
Il part fin Juillet en vacances avec sa compagne et les enfants de cette dernière.
Il arrive dans son appartement de location, cannes à pêche, épuisette, vélos et badminton, sur le toit de sa voiture de petite cylindrée – l’électrique se sera pour l’an prochain –, compagne et enfants tassés à l’intérieur. Heureusement cette année le réchauffement climatique sévit ailleurs et oublie la France donc le voyage ne s’est pas fait par une chaleur accablante.
Soudain, le lendemain de son arrivée, il toussote et a un léger mal de tête.
Sûr de lui, il va se faire tester, il en rajoute le bougre.
Et Paf, il est positif. A quoi ? Mais à COVID évidemment.
Ah bon, mais le vaccin ? Effectivement quelque chose n’a pas marché, le vaccin ou le test, nul ne le sait, et surtout pas lui.
En revanche la bureaucratie marche à fond.
Immédiatement sa compagne est détectée “cas-contact”, c’est SHS “Sherlock Holmes Sécu” qui l’appelle en direct.
Elle, son Julot, ses mouflets, tout cela est enfermé dans l’appartement pour 17 jours. Et dit SHS “Attention, nous viendrons contrôler, pas question de sortir”.
Demain probablement le petit rhume de M. X ne sera plus qu’un souvenir, mais sa condamnation à la prison d’été restera bien présente.
C’est à vous dégouter d’être un bon français, quand on pense à tous ces antivaccins qui se la coulent douce à la plage…. Il en est même qui se bécotent sur les bancs publics.
Enfin ce n’est pas très grave, la même bureaucratie d’Etat, en d’autres temps, aurait pu l’envoyer croupir dans les tranchées de Verdun ou, un peu plus tard, travailler dans une usine Messerschmitt loin de chez lui.
Ça boume… évidemment cette histoire n’existe pas, comment pourrait-elle exister ? Notez que… Enfin, bon.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Oyez l’histoire désopilante de M. X"
C’est la question qui me vient à l’esprit lorsque je vois fleurir les pancartes affichant le mot “liberté”, portées par des personnes qui demandent certes un autre Etat mais surtout autant — voire plus — d’Etat.
L’exigence ne doit pas se résumer à être libre, mais à pouvoir jouir du droit d’être responsable de soi.
C’est la responsabilité qui mène à la liberté, sans elle la liberté est au bon vouloir des autres, de ceux qui se prétendent responsables. Elle est donc limitée, semblable à celle que l’esclavagiste concède à ses esclaves.
Nos maîtres n’ont qu’une idée en tête : nous déresponsabiliser. La majorité est d’accord, c’est ainsi qu’elle perd, jour après jour, sa liberté.
La révolution avait pour ennemi les corporations. Aujourd’hui, la nouvelle révolution à faire passe évidemment par l’anéantissement de Bercy, la priorité des priorités, mais aussi par la fin des corporatismes que Bercy a indirectement installés.
Nous avons tous conscience que toute responsabilité nous est refusée.
Sur les choses essentielles de notre vie, notre pouvoir de décision, notre prise de responsabilité, nous ont été volés.
C’est ainsi que :
– Vous ne pouvez pas défendre vos droits vous-même devant la justice, vous devez passer par la corporation des avocats.
– Vous ne pouvez pas bâtir vous-même votre environnement, en être responsable, vous devez passer par la corporation des architectes.
– Vous ne pouvez-pas commercer librement, vous devez passer, dès un seuil de surface modeste, devant des commissions corporatistes pour ouvrir boutique.
– Vous ne pouvez-pas choisir vos soignants et vos soins vous-même, vous devez suivre vos référents et les protocoles décidés par la corporation de la santé.
– Vous ne pouvez pas choisir les études que vous souhaitez, vous devez suivre la voie tracée pour vous par la corporation des enseignants réunie sous le vocable de l’Education Nationale.
– Vous ne pouvez plus vous déplacer librement, organiser sans contrainte vos rencontres, vous devez subir la surveillance de l’Etat, de la corporation de ses fonctionnaires…
– Vous n’êtes plus libre d’exprimer votre pensée. Les outils dédiés sont peu à peu assujettis à la maîtrise de la corporation des informateurs, maitres de la propagande, seule admise.
La liste est illimitée….
La population a-t-elle, en échange de toutes ces restrictions à ses libertés, obtenu le statut d’irresponsabilité dont elle rêve majoritairement ?
Non, évidemment.
Car la somme des décisions prises dans ces conditions, c’est à dire sans responsable, ne peut qu’amener à une situation de catastrophe dont la population, et elle seule, paiera la facture.
Marché de dupe ces pancartes exigeant la liberté et non le droit d’être responsable.
Bien à vous. H. Dumas
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Lorsque j’étais jeune nous étions vaccinés contre la poliomyélite pour éviter d’attraper cette maladie.
Aussi contre la tuberculose, encore pour ne pas la contracter.
Pareillement pour la rage, le tétanos, etc…
Lorsque nous partions vers des pays tropicaux, nous nous vaccinions pour ne pas revenir avec les fièvres qui y prospèrent.
Le vaccin était, pour le public, synonyme de protection personnelle.
L’optique n’était pas de protéger les autres de la rage, du tétanos, de la poliomyélite, etc…
Aujourd’hui
Nous devons nous vacciner pour protéger les autres !!!!
C’est quoi ça ? Une bonne explication serait la bienvenue.
Pourquoi les autres ne se vaccineraient-ils pas pour être protégés, et s’ils le sont quels risques courent-ils si je ne le suis pas – ce qui n’est pas le cas, je suis vacciné –.
C’est d’autant plus difficile à comprendre que deux paramètres sont contrariants :
– Les vaccinés peuvent être porteurs et transmettre la maladie, parait-il …
– Les vaccins ne sont pas une maladie bégnine injectée nous classant dans la catégorie des “touchés-pas-coulés” qui génèrerait l’immunité collective liée à un COVID repu, ils sont un rideau artificiel d’anticorps qui laisse COVID sur sa faim. Que devient un COVID mort de faim ? Le sait-on ?
Alors
Quand on nous accuse d’irrespect pour les autres en cas de non-vaccination, alors que le vaccin que nous avons reçu ne protège que nous puisqu’il nous laisse porteur et transmetteur sain, que ce vaccin est déjà ou sera rapidement périmé face aux mutations de COVID, j’ai l’étrange impression d’être anormalement pris pour un con.
Ça commence à faire beaucoup
– L’éducation nationale qui a tenté de me faire croire qu’en suivant ses conseils je serai à l’abri du besoin.
– La justice qui a tenté de me faire croire qu’elle était capable de rendre… la justice
– La police qui a tenté de me faire croire qu’elle était là pour veiller sur la sécurité de ma personne et de mes biens.
– Bercy qui a tenté de me faire croire qu’ils prélevaient un impôt juste au profit des déshérités.
– Maintenant l’hôpital qui tente de me faire croire que la vaccination n’est pas une tentative désespérée pour camoufler la misère de ses moyens, de ses capacités.
Je suis vacciné pour les autres, ruiné pour les autres, endetté jusqu’au trognon pour les autres, soupçonné d’indiscipline pour les autres, assigné à résidence pour les autres, victime de la propagande pour les autres, venu sur cette terre exclusivement pour les autres…
J’en ai largement marre… marre… marre… des autres.
Sous nos yeux le pays se délite, exactement comme pendant les années 1930.
L’histoire a prouvé que les hommes de cette époque n’étaient ni faibles, ni sots, ils ont su en cinq ans sortir du piège dans lequel ils s’étaient fourrés en 1939. Certes les alliances de l’époque les ont aidés, mais n’est-ce pas le but des alliances ? Rien donc de dévalorisant.
Il est stupéfiant de constater que la dérive d’aujourd’hui, qui nous rapproche du chaos, possède les mêmes fondamentaux que celle d’hier : la croyance fatale.
Cette croyance fatale est la suivante : “les hommes doivent être — ou sont — tous égaux.” (je ne parle pas de l’égalité en droit évidente, mais de l’égalité en fait)
Cette croyance est marquée au fer rouge dans nos esprits depuis deux mille ans, elle porte en elle l’irrespect des faibles — ils n’existent pas puisque nous sommes tous égaux –, l’irrespect des différences pour la même raison, et elle sacralise le règne de l’hypocrisie qui permet d’occulter la vérité.
A moins que vous ayez les yeux et les oreilles bouchés, que vous habitiez en un lieu ou internet ne vous est pas accessible, vous ne pouvez pas être passé à côté de la diversité des hommes.
Il n’est pas un blog, un journal du net, un site marchand, qui ne soit inondé de commentaires, et leur diversité — du plus intelligent au plus con — n’est pas une vue de l’esprit mais un constat inévitable.
Oui, non seulement les hommes ne sont pas égaux dans leurs corps, mais ils ne le sont pas non plus dans leurs têtes.
C’est un fait, aller contre est mensonger, stupide et nocif pour tous.
Ajoutons que ces différences, sur une vie, génèrent des surprises. Ce n’est pas fatalement le plus fort qui est le moins malade, qui vit le plus vieux, ni le plus intelligent qui réussit le mieux, etc… tout cela est brassé par la vie. Modifier ces différences, tenter de les gommer au lieu de les assumer, fait plus de mal que de bien.
Etes-vous conscient que votre vie est conditionnée par cette croyance ? C’est peu probable.
Et pourtant, c’est par rapport à elle que vous vous situez, que vous pensez, que vous agissez, soit en accord avec elle, soit en réaction contraire à elle. Elle ne vous lâche pas, vous n’êtes pas libre. Nous ne sommes pas libres.
Pour imager mon propos, je vous propose quelques lignes de Sylvain Tesson, prises dans “Le téléphérique”
Il s’amuse à décrire les types de Russe qu’il pense déceler dans ce peuple, et notamment : “Le Businessman arriviste enrichi par la chute de l’URSS : parasite qui doit sa prospérité au dépeçage de l’Union soviétique, individu flasque, blanc et gros, cachant son manque d’éducation et sa crasse culturelle sous des vêtements lamentablement assortis, un amas de gadgets prétentieux et la satisfaction de soi-même, possède davantage le sens du kitsch que du beau, souvent moscovite, considère la nature comme un parc d’attraction et les bêtes sauvages comme des cibles pour le tir à la carabine”.
Sylvain Tesson est agréable à lire. Fils de bourgeois, il a fait normale sup, sa vie d’enfant gâté de pays riche l’a amené se promener courageusement dans les contrées reculées de la terre où l’homme vit misérablement. Il fait de cette misère une star intellectuelle. Béatifiée elle alimente ses livres et son compte en banque.
Chez le Russe qui prend son destin en main, qui sort ce pays de la folie égalitaire qui a tant tué, ruiné, écrasé, il ne voit que l’inélégance. Il passe à côté de l’intelligence, du travail, de la vérité, de la vie, tant il a été biberonné à l’idée que les hommes étant tous égaux, l’économie, ses lois dures, implacables, serait un espace inférieur.
Il est proche de Balzac décrivant la provinciale, illisible aujourd’hui.
Il est la pensée commune, l’hypocrite égalitariste qui dévalorise les différences, nivèle les compétences, notamment en économie où elles sont criantes, terriblement visibles.
L’égalité, pour tuer l’économie, a inventé la fonction publique et sa bureaucratie.
Le gag COVID, qui fait rire jaune la France comme la misère économique faisait rire jaune l’URSS, est l’avatar de l’égalitarisme.
La bureaucratie Macron tente de mettre en perspective égalitaire une maladie, ses victimes. La tentative est pathétique, les mensonges engendrés grotesques.
Le résultat va être à la hauteur de la bêtise qui anime cette utopie égalitaire face aux virus.
Mais qui va prendre conscience de cette situation, de son origine, de son mécanique développement, du résultat à venir.
Personne, car la croyance est là, toujours là, elle défigure la réalité, empêche toute remise en perspective, toute solution, elle amplifie un dialogue de sourds où tous sont d’abord et avant tout des croyants en l’égalité, incapables d’agir objectivement en respectant les hommes et leur liberté.
Les Français sont-ils capables de la regarder en face ou vont-ils lui claquer la porte au nez ? C’est la question du moment.
COVID apporte la lumière.
C’est une maladie, un peu plus qu’une simple grippe. Personne n’en doute aujourd’hui.
C’est une maladie individuelle, transmissible, qui impacte donc la collectivité. Nos compétences scientifiques à son sujet sont tirées de l’observation, sans réelle capacité d’intervention en dehors du classique vaccin, ici modernisé mais toujours impuissant devant les mutations multiples et imprévisibles du virus.
L’expérience prouve qu’un problème individuel impactant la collectivité peut être traité de deux façons :
– Librement, par chacun, en responsabilisant alors chaque individu quant aux conséquences de ses décisions sur tous.
– Collectivement, par la bureaucratie étatique, en déresponsabilisant alors au préalable chaque individu pour éviter toute dissonance dans l’action.
Ce sont deux méthodes aux antipodes l’une de l’autre.
Ces deux méthodes sont induites le plus souvent par l’éducation sociétale du groupe, et par l’organisation structurelle qui en découle.
La France est devenue collectiviste, volontairement ou involontairement, c’est donc la deuxième solution qui s’est appliquée pour COVID.
Les incohérences induites sont si fortes que le Premier Ministre dit faire appel au “bon sens” pour tenter de sortir des multiples situations ridicules que le traitement collectif de la crise soulève.
Ainsi au moment de condamner lourdement tout bistroquet surpris avec des clients non vaccinés, la stupidité du concept apparait. C’est donc la police qui, à l’occasion de descentes inopinées dans les bistroquets, vérifiera les vaccinés. Oui, mais la police étant dispensée de vaccin de quel droit peut-elle entrer ? Qui acceptera de voir débouler dans le bistroquet visé des agents non vaccinés ? Un problème laissé à l’appréciation du “bon sens”.
A partir de quelle surface de supermarché le virus s’excite et passe à l’attaque, pendant qu’en dessous il se promène sagement ? Encore une question à régler grâce au “bon sens”.
Les jeunes qui passent COVID sans difficulté doivent-ils être vaccinés de force ? Seul le “bon sens” peut apporter la solution.
Pas de non-vacciné dans les trains, mais pour le métro ? Le “bon sens” …
Il n’est dans cette affaire qu’une seule certitude, le virus meurt de sa belle mort au terme des contaminations. Est-ce judicieux de gêner ces contaminations par le confinement et de repousser ainsi la date de disparition du virus ? Encore un problème de “bon sens”.
L’usage journalier des chiffres pour nous parler de COVID entretient la confusion, tant ils sont discutables. Malheureusement ils ignorent le “bon sens”, c’est même le principal ennemi des chiffres.
Mais attention
Nous ne parlons pas de n’importe quel “bon sens”. Il ne s’agit ni du mien ni du votre. Il s’agit exclusivement de celui de M. Macron et de ses amis qui gouvernent sous le sceau du “bon sens”, qui n’ont pour cela ni besoin de vous : la rue, ni de vos représentants : l’Assemblée Nationale.
En réalité
Nous assistons à l’échec total, et programmé pour les initiés, de la gestion collectiviste de nos problèmes individuels.
L’économie rencontre la même problématique, l’éducation nationale aussi, l’assurance maladie, la recherche, etc… en réalité tout ce qui n’est pas régalien, qui dépend de décisions individuelles, est envahi et réduit en cendre par la démesure “bureaucrato-collectiviste” qui nous tue à petit feu.
Le “bon sens” de M. Macron, élevé à la couveuse ENA, n’est d’aucune utilité contre le fléau.
La France a besoin de libertés individuelles, de responsabilités individuelles, d’un traitement antiparasitaire de choc pour exploser sa bureaucratie et ses fonctionnaires communistes – gardons les autres, ils sont peu nombreux mais très efficaces, ils sont nécessaires –.
Face à COVID Macron, non pas sa personne mais le concept collectiviste qu’il représente à la perfection, va dans le mur, c’est imminant.
On peut faire semblant de ne pas le voir, le laisser en place ou élire pire que lui dans la même veine.
On peut aussi se débarrasser de toute la clique, se prendre en main. Nous savons ce qu’est la liberté dans la démocratie, c’est nous qui l’avons inventée.
Face à un tel échec, si j’étais Macron, je partirais… ou je prendrais le virage de la liberté, il lui reste 9 mois pour cela… tout un symbole.
Bien à vous. H. Dumas
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Les chemins suivis par Macron sont impénétrables à toute personne raisonnable.
La conclusion majoritaire est qu’il fomenterait je ne sais quel projet, plus ou moins mondial, dont le but serait de nous mettre en esclavage, de prendre aux hommes leur liberté.
Il est abondamment comparé à Hitler.
Il suffit de se pencher un peu sur le parcours d’Hitler pour constater une chose : le type était complètement abruti. Il n’a existé que parce que les Allemands l’ont souhaité. Une bande de gangsters a agi en son nom, ils ont tué et pillé pour son compte, uniquement parce qu’ils étaient naturellement des tueurs et des pillards et que l’opportunité de l’insondable connerie d’Hitler leur a permis d’accéder au pouvoir, rien de plus. Pas de grand projet, pas de philosophie, pas d’ambition, rien, le néant. Au bout le carnage, l’écrasante responsabilité des Allemands, qui finalement n’ont jamais payé la facture.
Nous sommes pris, aujourd’hui en 2021, entre deux conneries du même tonneau.
D’un côté Macron, dont on peut raisonnablement douter des capacités intellectuelles. C’est probablement un gros travailleur à forte mémoire, doté d’un fort égo et d’une ambition illimitée, mais il n’a jamais surpris par ses analyses ou ses projections.
Depuis qu’il dispose du pouvoir il n’a cessé de tergiverser, de chercher à s’entourer d’ambitieux à son service, sans aucun résultat à ce jour.
Il piétine, et visiblement il en est très contrarié. Cela ne l’empêche pas, au contraire, d’utiliser la force publique à tout instant, sans raison objective.
Sur ce terreau COVID est arrivé, une histoire rocambolesque, de la même veine que le délire écologique. La raison aurait-elle quitté l’humanité ?
Sommes-nous déstabilisés par l’abondance de communication qui permet à toutes les pensées de se regrouper, d’exister ? Y compris les pires, pense chacun de celles des autres.
Il est clair que Macron n’a pas l’envergure pour affronter cette pagaille intellectuelle et nous aider à y voir clair, au contraire il s’y noie lui-même.
Alors une armée de prétendants aux solutions voit le jour, ce qui n’est pas pour éclaircir le débat puisque chacun parle de lui, mais au nom de tous, ce qui est mortifère.
D’un autre côté la liberté, mise à toutes les sauces par des activistes.
Le plus souvent la liberté évoquée se limite à celle de celui qui en parle. Celle des autres est un peu comme le chien des autres ou leurs enfants : insupportable et mal élevée.
Donc la rue est pleine de panneaux vantant la liberté, mais bien peu pour évoquer les responsabilités qui vont avec.
Nous sommes probablement repartis pour un tour de manège du délire collectif, de la critique de cette collectivité à qui l’on reproche de ne pas être capable de régler des problèmes pourtant strictement individuels.
Alors oui, les incohérences s’accumulent.
Le bal des vaccinés et des non-vaccinés risque fort, comme bien des bals de campagne, de finir dans une bagarre générale.
Le bal actuel cache une incompréhension qui s’accumule de jour en jour entre les Français, il cache une faillite économique directement liée à la corruption morale et matérielle de ceux qui se prétendent les hommes de l’Etat, du sommet au plus bas exécutant, il cache un égoïsme qui se prétend solidaire, il cache un pouvoir absolu qui se dit démocratique et à l’écoute, il cache le mensonge poussé à son paroxysme.
Refusons d’entrer dans cette chienlit.
Il devient difficile de parler de liberté tant elle est mise à toutes les sauces sans précaution.
Alors parlons de responsabilité
De celle de ceux :
Qui répandent la peur pour conquérir le pouvoir.
Qui nous font croire que nous serions responsables des sautes d’humeur de la terre, de son climat. De chaque vague de chaud, de froid. De chaque tempête ou inondation. Alors que les traces des catastrophes climatiques sont bien antérieures à notre évolution humaine.
Qui nous font croire que chaque tousseur doit générer l’enfermement de ceux qui ne toussent pas.
Qui nous font croire qu’il faut prendre à ceux qui réussissent pour donner à ceux qui échouent.
Qui nous font croire que notre bonne santé est un péché, que notre bonne fortune en est un autre, que notre sexualité est condamnable, que l’ordinaire que nous sommes ne peut-être que le signe de la bêtise puisque l’intelligence est évidemment élitique.
Tout cela fait beaucoup de responsables pour ce qui arrive à grand pas : le chaos.
Paieront-ils un jour pour les dégâts qui vont suivre ? Non, et c’est ça le drame.
Bien à vous. H. Dumas
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Il me semble que ce simple constat devrait mettre un peu d’humilité dans la tête des vaccinés.
Les inventeurs du nouveau vaccin ne me paraissent pas différents de leurs prédécesseurs puisqu’iIs annoncent aujourd’hui qu’ils préparent une troisième dose, dont iIs assurent qu’elle est nécessaire.
Donc le virus les déborde, comme tous les ans.
Alors pourquoi tout ce cirque de la part de Macron ?
La situation devient suspecte. Récapitulons : à coup de milliards la population du pays est vaccinée, les non-vaccinés sont ostracisés, bannis, mais le vaccin fait long feu, le virus mute.
Passons sur les effets inconnus à venir du fameux vaccin, étant inconnus ils peuvent aussi bien être fastes que néfastes, chaque vacciné prend ses risques, c’est ce que j’ai fait.
Quant à COVID, il est probable qu’aujourd’hui le vaccin est sans effet ou peu , du fait des mutations du virus, de tous les virus d’ailleurs.
Macron prend un gros risque. Si le vaccin pose problèmes, genre sang contaminé, il ne pourra pas recourir à l’excuse de l’ignorance. Selon les dégâts, il va droit vers le crime contre l’humanité en usant de la contrainte, de la force, pour ce vaccin devenu, de la propre bouche de ses inventeurs, obsolète.
Quelle histoire. Et tout cela pourquoi ?
Pour protéger le mensonge de la sécu, sa pompe à pognon électoral : la légende d’une médecine gratuite, d’une compétence extraordinaire nous mettant à l’abri de toutes les maladies, sauf celles que nous contractons par notre faute : le cancer lié à nos excès, la crise cardiaque liée à notre cholestérol lui-même dépendant directement de notre amour des sucreries et du gras, etc…
En réalité, le COVID c’est l’échec ridicule du collectivisme, de Bercy et de ses tortures et harcèlement fiscaux, dont la sécu est responsable à hauteur de 50%. Rappelons que la sécu collecte au nom de la médecine gratuite pour tous, alors que chacun doit avoir en plus une mutuelle, que l’argent collecté est utilisé pour des aides diverses à visées principalement électorales.
C’est monstrueux.
Ce virus se répand, quelles que soient les pitreries de Macron les hôpitaux seront débordés l’hiver prochain, c’est chronique, le vaccin de cette année ne vaudra pas pour l’an prochain et celui en préparation ne sera peut-être pas adapté aux mutations du virus à venir. Enfin, je ne sais pas, mais cela me parait possible.
En tout cas, une chose est sure, les agissements actuels de Macron sont incohérents et n’ont pas le but annoncé : notre santé, mais bien uniquement la survie de la sécu.
Si Macron, son énarchie et la majorité de la population de ce pays pouvaient comprendre que chacun doit s’assumer, se prendre en charge, que la liberté de s’organiser est nettement plus performante que l’organisation collective imposée par la force, nous aborderions COVID calmement, avec l’aide de la médecine libérale, sans tout ce bazar qui finit de terrasser une économie subclaquante du fait de sa collectivisation…
Bien à vous. H. Dumas
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On ne va pas ressasser que les virus, passée leur arrivée violente, s’organisent parait-il pour vivre avec nous en bonne intelligence et muteraient pour ne plus être mortels, tout en devenant plus contagieux. J’ignore si c’est vrai.
Par ailleurs, certains prétendent que les pics de mortalité constatés ne seraient que l’encombrement mathématique de la ligne d’arrivée – ou de départ selon les croyances — par les babyboomers.
Surinformés, nous n’avons pourtant aucune information fiable, scientifiquement vérifiée, pour parfaire notre opinion sur ces sujets. C’est comme pour le climat…
En revanche, nous ne manquons pas d’informations farfelues et de décisions tout aussi farfelues.
Je regarde le Tour de France, enfin les étapes de montagne, et là des dizaines de milliers de personnes crient et postillonnent à la figure des coureurs en plein effort. C’est émouvant quand on se dit qu’ils crachent inévitablement du Delta sur les “forçats de la route”, qui n’ont pas besoin de ça.
Pendant ce temps Macron nous dit que nous devons garder masques et distanciation dans les restaurants, lesquels sont d’accord à condition qu’il continue à leur abouler du fric sans qu’ils travaillent. Je connais bien des restaurateurs qui ont travaillé comme des bêtes de somme, qui ont été jetés sans ménagement dans la misère par Bercy qui aujourd’hui utilise leur fric pour payer leurs confrères à ne rien foutre…. Tout cela est loin d’être clair.
C’est même salement obscur.
Ce vaccin ? Sait-on s’il sert vraiment à quelque chose ?
Pourquoi doit-on fournir un “pass sanitaire sur site”, donc un fichage, et non la simple attestation de vaccination électronique qui nous est remise après la deuxième dose ?
Après des millions de doses injectées, aucun retour scientifique crédible dans la presse concernant les effets indésirables, pas plus d’ailleurs que pour les effets désirés.
Et Macron qui continue à nous fourguer de force ses vaccins.
Je dois à la transparence de vous dire que personnellement je me suis fait vacciner, j’ai reçu mes deux doses de Pfizer. Je me vaccine chaque année contre la grippe depuis plus de vingt ans. Donc, je suis habitué à recevoir des doses de “je ne sais quoi”, dont on me dit certaines années, après injection, que cela va me servir à rien parce que malheureusement, cette année-là, ce n’est pas le bon produit pour le bon virus.
J’ai donc été dressé au vaccin relatif, j’ai du mal à imaginer que celui de COVID serait absolu.
J’ai parfaitement le souvenir du “Bachelot-Sarko” reçu aussi en deux doses juste au moment où il n’avait plus d’utilité, le virus avait muté et disparu des tablettes. J’étais un des rares vaccinés, Bachelot avait gardé son stock sur les bras. Bien meilleur camelot, il semble bien que Macron va fourguer le sien, un peu à la traine quand même par rapport à Boris Johnson qui lui a déjà tout placé.
Bien élevé comme il l’est, je suis sûr que Macron aux kermesses de l’école devait être de ceux qui vendent tous les gâteaux de leur stand. Il faudrait demander à un de ses anciens professeur.
Explication
Au-delà de toute suspicion, d’idée de complot, de machination, restons simples.
Tout le bordel ambiant n’a qu’une origine, c’est l’incroyable vanité de ceux qui se prennent pour l’Etat, qui n’existe pas, et croient pouvoir gérer des problèmes individuels par des solutions de masse, sans passer par les cases individuelles.
Et pourtant dès le groupement familial cette solution est un échec. Le nombre de parents qui échouent du simple fait qu’ils s’octroient le droit de décider pour leur progéniture est incalculable.
Nul ne peut décider pour les autres des choses de leur vie.
Quand peut-on imaginer que les hommes en prendront conscience ?
Car, ne nous y trompons pas, les hommes de l’Etat savent, depuis la nuit des temps, que ce qu’ils décident pour les autres n’a d’intérêt que pour eux-mêmes, que les fameux autres sont les cocus de service, toute l’astuce réside à faire en sorte qu’ils ne s’en aperçoivent que le plus tard possible, voire jamais.
Aujourd’hui la masse met son masque, se vaccine et dénonce les non vaccinés comme elle est partie à la guerre de 14, comme elle a suivi Hitler et Pétain, à fond.
Attendons la suite…
Bien à vous. H. Dumas
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Décidemment COVID est un maître pour nous dans l’aide à la compréhension du fonctionnement de la bureaucratie collectiviste. Il nous procure des cours accélérés qui valent leur pesant de cacahuètes.
Or donc le jeune Macron, tel Bonaparte au pont d’Arcole, fait face publiquement à la mitraille des postillons de COVID, à qui il déclare in petto la guerre sainte.
Il pense tenir là son appel du 18 Juin, ses taxis de la Marne, sa tortue romaine, son symbole historique. Il oublie ses classiques, notamment “L’Ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche”, dommage.
Au cri de “A moi l’énarchie”, il organise un consulat scientifique de haut vol, et… il s’envole.
Le virus qu’il défie est un malin. Raoult qui sait le lui souffle. Peine perdue, il a sonné le tocsin, pas de retour possible. C’est son affaire, celle de ses fonctionnaires, de son énarchie.
Première étape
On élimine la médecine privée, interdiction de soigner pour elle. Avec ce coup il pense réhabiliter l’hôpital… bien vu.
Deuxième étape
On enferme tout le monde, on arrête de travailler, de se déplacer, de respirer évidemment. On imprime des billets de Monopoly, on les distribue, c’est la fête à Neu-Neu — toujours dans les pas de Napoléon –.
C’était donc vrai ? Le collectivisme c’est : des sous sans travailler, pas d’obligation, grasses matinées à volonté, on reste chez soi pénard.
La majorité est ravie, elle a bien fait d’y croire.
Troisième étape
On innove. On cherche l’atout maître pour une victoire totale, l’amour du peuple et sa reconnaissance pour mille ans. Y a du Saint Louis dans tout ça.
Le vaccin est cet atout.
Brillante invention, on défonce la porte blindée de la modification génétique.
Et hop, Macron sort sa carte Platine et achète, avec nos sous, des millions de doses de vaccin.
Il se trouve bien quelques grincheux ou complotistes pour déboiser sur le concept, mais l’opinion publique, l’intelligence démocratique, ne sont pas pour eux, alors…
Quatrième étape
Aïe, ça coince.
Le virus change de costard, tenue camouflée, le vaccin ne le reconnait plus, ou mal.
L’économie s’effondre, la misère se pointe à l’horizon.
Pas de panique. Quelques réunions de commissions plus tard… on attend.
Cinquième étape, demain
Les vaccinés sont contaminés par le nouveau virus, mais comme ils possèdent un passeport vaccinal et qu’ils ont le droit d’aller partout, ils provoquent cluster sur cluster, dès les premiers froids.
A contrario les non-vaccinés sont plus prudents, mais comme ils n’ont pas de passeport vaccinal, ils ne peuvent aller nulle part, ils ne servent donc à rien.
Les hôpitaux se remplissent de vaccinés, ce qui ne change rien pour eux. Vacciné ou pas un client est toujours indésirable à l’hôpital, qui a d’autres chats syndicaux à fouetter.
Le fabriquant de vaccin ne perd pas le nord, il propose des doses complémentaires.
Comble de malheur les chiffres annuels tombent, pas ou très peu de surmortalité.
Suite et fin
Ceux qui savent ne sont pas surpris, toute cette pantalonnade opportuniste n’avait aucun avenir.
Ceux qui ne savaient pas ne savent toujours pas, puisqu’ils sont croyants. La croyance et le savoir sont incompatibles.
Ils sont un petit peu plus pauvres qu’ils n’étaient avant COVID, mais bien moins pauvres qu’ils ne vont être bientôt du fait de leur croyance égalitariste.
L’avenir s’annonce somptueux pour les adorateurs de Néron, le feu couve.
Tout ce qui m’a fait rêver, que j’ai en partie obtenu par mon travail, est devenu un cauchemar universel. Etrange non ?
Jusqu’à aujourd’hui je mettais cela sur le compte d’une mauvaise conjoncture, d’un quiproquo passager, d’un caprice de société riche, ou d’autres explications tout aussi boiteuses.
En réalité, je m’efforçais de ne pas accepter, de ne pas voir, cette désaffection globale pour ce que j’aime à seule fin de pouvoir croire au retour en grâce de mes rêves.
J’étais dans l’erreur, ce billet est l’aveu public de cette erreur – non là je rigole –.
Je ne crois pas du tout être dans l’erreur et je suis effondré par la connerie universelle qui nous vaut cette inversion des valeurs. Je vais vous livrer mon analyse, qui ne vaut que ce que vous voudrez bien lui accorder.
Par exemple la voiture.
Quoi de plus extraordinaire qu’une voiture. Nous autres hommes ne pouvons pas nous déplacer comme le guépard à 60 km/h, nous avons un côté laborieux sur nos deux pattes. Avec la voiture les distances sont absorbées dans le plus grand confort, quel que soit le temps, seul ou avec nos amis, en silence ou en musique. Les paysages lointains sont découverts sans effort. Aujourd’hui la même voiture est interdite de séjour, fait parait-il courir tous les risques à la planète, à cause d’elle nous allons mourir asphyxiés.
Autre exemple, le superflu.
Quoi de plus extraordinaire que de travailler, d’acquérir la confiance des autres qui décident alors de payer vos prestations. De constater que plus vous êtes performant plus ils vous gratifient de salaires ou d’honoraires conséquents, au point que vous devenez aisé et capable de procurer, à vous et aux vôtres, non seulement l’essentiel mais aussi le superflu. Et quoi de plus agréable que le superflu ? Aujourd’hui le superflu est criminel…
Internet
Quoi de plus extraordinaire qu’internet, sa liberté de parole et d’action, ses possibilités mondiales de rencontres, ses ouvertures sur les autres civilisations ? Dans les années 1980, l’arrivée d’internet a été l’espoir fou d’un monde nouveau de fraternité humaine, de liberté, de suppression des frontières. Aujourd’hui la haine s’est emparée d’internet, la censure arrive au galop. Le repli et la propagande en lieu et place de la liberté en sont les suites logiques. Sacré échec.
L’avion
Partir à New-York et en revenir aussitôt avec seulement sa brosse à dents était une des facéties de Jean-Luc Godard. Orly faisait rêver Gilbert Bécaud le Dimanche. Puis l’avion a mis le monde à la portée de tous, pour le plaisir ou pour le travail. Aujourd’hui les jours de l’avion sont comptés, parait-il…
La libération sexuelle
Aux enfants que nous étions, élevés dans le péché de nos pulsions tordues par l’ignorance, elle a apporté la connaissance et la maîtrise du plaisir liée, la liberté de nos corps. Elle a été engloutie dans l’excès, débordée par les minorités, au point de ne plus vouloir rien dire et de refaire le lit de la défunte pudibonderie qui a pourtant nombre de vies brisées à son actif.
La nature
Qui a soumis l’homme aux pires humiliations depuis des millénaires, limitant sa vie, le mortifiant, le détruisant à petit feu, était en partie maitrisée. Toujours présente évidemment, mais nous pouvions profiter de ses bons côtés et terrasser certains de ses mauvais côtés. Aujourd’hui on nous apprend que nous devons accepter tout d’elle, nous devons la mettre au rang de Dieu, la vénérer, et nous flageller sous peine d’essuyer son courroux.
Je pourrais prendre encore bien des exemples. Mais, arrivons au but de ce billet.
Mon analyse
Tous ces rêves n’étaient pas accessibles à tout le monde.
Chacun d’eux demande des compétences particulières pour le conquérir, puis pour en profiter.
Tout le monde ne peut pas conduire avec aisance, voyager facilement à travers le monde, libérer raisonnablement sa sexualité, surfer habilement et élégamment sur le net, etc…
Toutes ces choses sont, directement ou indirectement, issues de l’ère industrielle, en grande partie du 19ème siècle.
Cette époque, exceptionnelle pour l’humanité, fut une époque de conquête accompagnée d’une réflexion collective qui a engendré la démocratie, mais une démocratie tournée vers le progrès, vers le mieux.
Donc une démocratie aux discours et aux méthodes conquérants, tournée vers un avenir radieux, intellectuellement liée aux lumières, à l’idée de la liberté imaginée par les pères de la révolution après deux millénaires de servitude.
Puis est arrivé le 20ème siècle.
Ce fut le siècle de la désillusion pour ceux qui n’avaient pas les qualités nécessaires pour bénéficier des profits du progrès.
C’est ce point de bascule qui a tout déclenché.
La jalousie
L’être humain a une de ses composantes mortifère. Il est naturellement jaloux, plus ou moins, mais plutôt plus que moins.
La jalousie est la principale plaie de l’humanité.
Les amateurs de pouvoir ont pris conscience, au 20ème siècle, qu’ils pouvaient transformer la démocratie en outil de fédération de la jalousie.
La séduction des envieux est devenue le programme exclusif de toute ambition politique, c’est un carnage.
Tous les programmes politiques du monde occidental ont le même dénominateur commun de séduction, de conquête : la jalousie.
Je pense que c’est irréversible, au moins jusqu’à une phase de destruction complète.
Eradiquer la jalousie est-il du ressort de l’éducation, ce qui permettrait d’imaginer une solution ? Non, la jalousie est le plus animal de nos reflexes.
Hélas, au niveau où nous en sommes je pense que la possibilité de retour est dépassée, que seule l’analyse, la psychiatrie, pourrait permettre une prise de conscience de notre dépendance à la jalousie, peut-être de la mettre en perspective et ensuite de la combattre.
Mais cela n’aura pas lieu, trop tard, seule la destruction totale nous mettra face à nos réalités et fera ressortir le bon côté des hommes, leur énergie de bâtisseurs de sociétés.
En ce qui me concerne, je ne le verrai pas. Bien à vous. H. Dumas
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Il n’est jamais trop tard, parait-il, pour comprendre ce que l’on n’a pas encore compris. Je ne suis pas convaincu par cette litote. Le temps suit son cours irrémédiablement et chaque minute perdue est définitivement perdue.
Il est donc probable que ce que je viens de comprendre ne va me servir à rien, parce que trop tardif. Si ça peut vous servir… si vous avez vingt ans.
La pensée naïve
Je croyais, et je crois toujours, que tous les hommes sont les mêmes, qu’importe l’apparence, l’éducation, l’environnement.
Ils sont différenciés par les stimuli qui les font réagir, mais à stimuli égaux ils seraient tous identiques, chacun en fonction de leur personnalité évidemment.
D’où, pour moi, l’importance de l’organisation structurelle de la société dans laquelle ils évoluent. C’est à partir de cet axiome que j’ai bâti ma réflexion, que j’ai pensé que la raison peut analyser la structure, en comprendre les conséquences inévitables, et en modifier l’organisation pour influer sur le résultat.
Il me paraissait aisé d’analyser la nécessité de l’économie, de comprendre que son progrès, comme en toute chose, passe par le capitalisme, c’est-à-dire l’acquisition, la possession et la transmission. Comme l’instruction, la science, etc… passent par le même cheminement, acquisition, possession et transmission.
Chacune de ces trois étapes demande des qualités particulières, tout spécialement l’acquisition – ou création – dont l’accès ne demande pas les mêmes qualités pour un enseignant, un scientifique, un manuel ou un opérateur économique.
Il me paraissait évident que l’organisation bureaucratique de notre société, par sa difficulté à décider, à risquer, n’était pas apte à l’acquisition économique, que donc les résultats sur ce point seraient négatifs, que le marché en ferait rapidement la preuve et que la démocratie porterait au pouvoir de nouveaux hommes – ou femmes – aptes à modifier la structure bureaucratique pour permettre l’épanouissement indispensable de l’économie.
Le fiasco est là, et rien ne se passe.
L’erreur.
L’opinion publique, maîtresse de tout, fait mine d’être indifférente à l’économie, d’avoir d’autres priorités. Elle fait semblant d’être attachée à l’égalité, exclusivement en économie.
Elle se fait peur en s’imaginant capable d’exercer une influence sur la planète, ce qui est objectivement ridicule, aussi en diabolisant les virus qui l’accompagnent depuis des millénaires, en les imaginant en tueurs aveugles qu’elle prétend d’abord esquiver puis carrément terrasser, alors que de tout temps ils se fondent naturellement dans la vie globale.
Je pensais que la pression de l’échec économique, que tout le mode peut constater, amènerait inévitablement l’opinion publique à repenser son organisation structurelle.
C’est tout le contraire qui se passe.
La découverte
L’opinion publique hait les initiateurs – ou décideurs — en règle générale, tout particulièrement ceux qui sont efficients en économie. Je n’avais pas évalué cette haine à sa juste mesure.
Je constate, à l’échelon mondial, que l’opinion publique adhère à l’idée d’éradiquer les initiateurs, tous, pour les remplacer par des bureaucrates qui prétendent décider infailliblement, au motif qu’ils le font à travers des spécialistes proclamés et des commissions.
En réalité la bureaucratie tire sa légitimité décisionnelle de la mise en place de structures qui de tout temps ont été utilisées pour ne pas décider.
Personnellement
Je prends soudain conscience que mes luttes sont vaines.
Contrairement à ce que j’imaginais, je ne suis pas harcelé, torturé, ruiné, parce que j’aurais vexé un tel ou tel autre, parce que mon franc-parler aurait déplu, parce que ma vie légèrement blingbling aurait manqué de discrétion, non, tout cela n’est que l’écume.
S’il s’était agi de cela, effectivement un retournement de situation aurait été possible.
Mais, c’est ma personnalité d’initiateur économique libre, indépendant des connivences, qui est devenue inacceptable, qui ne doit en aucun cas survivre.
Je suis une survivance inacceptable, que l’opinion publique rejette.
Je n’aurai sans doute pas le temps de voir si ce rejet est légitime, si l’avenir doit être écrit par de faux décideurs bureaucratiques et exécuté par des créateurs castrés et soumis.
Si c’est le cas, pas de regret pour moi et bonne chance à l’opinion publique.
Si ce n’est pas le cas, que les petits gars de banlieue ne se désespèrent pas, c’est à eux et à leurs rappeurs que l’avenir appartiendra après la faillite des culs serrés de la bureaucratie.
Bien à vous. H. Dumas
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Pour vous permettre de prendre connaissance d’une plainte annoncée comme déposée devant La Cour Européenne : LIEN
Je n’adhère pas à la totalité du contenu de cette plainte et ses initiateurs ne sont pas dans la transparence ce qui me gène. Mais elle vaut la peine d’être lue.
Je ne partage pas l’idée du complot économique, ni celle de la défense de ceux qui merdent sur le front de l’économie qui a un grand besoin de liberté et non de je ne sais quel nouvel interventionnisme, enfin je trouve absurde de réfuter le mondialisme qui est à la fois le bien et le mal selon ce que l’on fait de cette avancée humaine indéniable.
Seule l’opinion publique m’intéresse, ainsi que ceux qui sont capables de l’affronter, de la dompter, de la convaincre et non de la séduire.
Dans le cadre de la mondialisation l’opinion publique a été largement influencée par l’Occident. Lequel Occident est entré dans une phase négative par rapport à ses propres valeurs ou ambitions.
Après avoir défié la mort, l’Occident en a soudain une peur panique, après avoir sacrifié à la richesse, l’Occident en a soudain honte. Deux réactions inutilement négatives.
Ses dirigeants, sans autre objectif que le suivisme électoraliste, sont dépassés par la bipolarité globale engendrée par cette peur et cette honte, ils sont ridicules, ils amènent du chaos au chaos.
Sous ces réserves, la lecture de cette plainte a des formules qui font mouche. Dommage qu’elle ne prenne pas le sujet du crime contre l’humanité à sa base, à Bercy.
Cet homme est naturellement ravi. Mais aujourd’hui son ravissement saute hors de son masque, il est visible jusqu’à la pointe de ses cheveux. Qu’en est-il ?
Le G7 — c’est 7 pays comme son nom l’indique alors que le monde c’est 195 pays — donc sept pays se sont mis d’accord pour imposer identiquement les sociétés mondialisées, pour créer un impôt qu’iIs espèrent mondial. En réalité pour tenter de limiter la puissance et la liberté qu’internet — qu’ils ne maitrisent pas — a créées et que les GAFA représentent symboliquement.
Bruno Le Maire c’est la bureaucratie, la flamboyance malsaine de la défunte URSS, la planification, l’esclavage.
Il oublie que les progrès de la technique ont donné en France collectiviste le Minitel, que c’est la liberté qui a créé internet. Cet internet qu’évidemment il combat, qui n’est pas compatible avec le pouvoir politique, le seul pouvoir que le ravi Bruno Le Maire ait su accaparer.
Il est clair qu’il partage sa joie avec la totalité de notre presse, peut-être avec la majorité de nos concitoyens.
Personnellement cela m’épate que, lorsqu’il annonce : “Ce sera 4,3 milliards de plus pour la France”, des français puissent en déduire que ce sera pour eux, alors qu’évidemment c’est exclusivement pour lui et ses amis.
Qu’il soit encore des êtres humains capables de penser que ce qui est volé aux autres est bon pour eux — sans prendre conscience que le vol finit par s’imposer à tous lorsqu’il est autorisé, légalisé — me parait être le comble de la connerie.
Il est pourtant aisé de comprendre qu’une bande de voleurs, après avoir volé les autres, se volent entre eux, c’est mécanique.
Alors échanger sa liberté pour une poignée de dollars, quelle erreur.
Les GAFA n’ont pas eu le courage de défendre la liberté qui les a enrichis, ils sont entrés en connivence depuis longtemps, devenant eux-mêmes des censeurs, croyant ainsi protéger leur gain sans lutter, par la corruption, au prix de la liberté.
Ils ont trahi cette liberté dont ils tirent leur pouvoir et leur richesse, ils perdront les deux.
L’Occident a enfanté le communisme, l’égalitarisme, en réalité la religion bureaucratique, la planification, l’esclavage intellectuel, l’Occident ira au bout de cette religion, rien ne lui sera épargné de la chute à venir.
D’autres pays dans le monde profiteront-ils du formidable vecteur de progrès qu’est la liberté, comme a pu en profiter en son temps l’Amérique, en prenant la place que va laisser vacante l’Occident et ses bureaucrates majoritaires ?
C’est toute la question.
Bien à vous. H. Dumas
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A l’origine, généralement, il y a peu de monde. Puis, si l’évènement initié prend de l’ampleur, petit à petit quelques autres, puis une foule, voire l’humanité s’intéressent au déroulement de la situation issue de l’origine.
Mais alors ils perdent de vue l’origine, et toutes les incompréhensions sont possibles.
Je prends un exemple personnel.
Nous sommes en 1970, la grande distribution prend son envol. Il se trouve qu’à Rochefort sur mer je deviens alors l’architecte et l’ami du créateur du centre Leclerc local. Dans le même temps, à travers la Jeune Chambre Economique dont je suis membre, je suis proche d’un homme qui s’appelle Jean Louis Frot. Celui-ci est président de la Chambre de Commerce de la ville, opticien tonique il a des ambitions politiques. Il deviendra maire de Rochefort et le restera plus de vingt ans.
J’avais personnellement pris fait et cause pour la grande distribution, dont l’évidence pour moi s’imposait, qui a mis la consommation à la portée du plus grand nombre à cette époque en éradiquant les grossistes et demi-grossistes issus de la pénurie et de la pauvreté. Jean-Louis Frot était de l’avis contraire, il souhaitait entraver la grande distribution.
Un soir nous en avons débattu et, connaissant mes convictions, il m’a déclaré : “Tant que j’aurai une influence à Rochefort sur mer, il n’y aura jamais d’extension du Centre Leclerc.”
Je fus alors confondu par cette conclusion que je considérais comme un manque total de lucidité.
Cette conversation, où nous n’étions que deux, doit être considérée comme l’origine d’une tenace animosité publique entre nous, dont avec le temps je fus rendu seul responsable, qui a eu des conséquences sur la vie politique de la cité.
Cet homme aujourd’hui décédé n’a jamais progressé quant à sa lucidité, mais il a grimpé les échelons du pouvoir.
Toutes ses décisions ont été malheureuses, maladroitement je l’ai signalé. Du haut de son pouvoir il m’a stigmatisé, tout le monde m’a donné tort. J’ai quitté Rochefort par hasard, heureusement.
Ceux qui jugeaient ne connaissaient pas l’origine de la brouille, ils en jugèrent les apparences sans prendre conscience de l’insoluble dilemme visionnaire qui se reproduisait inlassablement, presqu’en tout.
Le final vaut son pesant de cacahuètes. D’abord le gars Frot a fini par mettre une succursale de son magasin d’optique dans la galerie marchande du Centre Leclerc qui n’a cessé de s’agrandir, puis sa dernière ineptie, le péage maladroit du pont de Rochefort sur la Charente, toxique à la cité, l’a renvoyé aux oubliettes des maires de cette petite ville.
Son animosité contre moi a duré jusqu’à sa mort récente. Puisqu’invité à déjeuner en ma compagnie chez un ami commun, il a refusé.
A l’échelle du patelin et de ma modeste personne, cette histoire image parfaitement, il me semble, ce que peuvent devenir les choses lorsque l’origine est perdue de vue.
Objectivement
Nous ne connaissons que très rarement l’origine des choses.
Et pourtant, si nous savions par exemple exactement l’origine de COVID nous pourrions probablement beaucoup mieux nous en défendre, n’est-ce pas ?
En règle générale, connaître l’origine pourrait apporter de telles simplifications que la plupart de nos grands centres d’intérêts se dégonfleraient comme les soufflets sortant du four.
Le tout petit nombre d’initiés présents à l’origine, la peur de la masse — qui pérore sur les conséquences — de se retrouver possiblement dépourvue par la simplicité originelle qui démotive cette masse de la rechercher, font que nous ne connaissons pratiquement jamais l’origine de nos grands débats collectifs ou de nos grandes aventures sociétales.
La difficulté
Chaque instant est à l’origine du prochain, comment détecter celui de ces instants dont le développement va croitre de celui où il va s’éteindre ?
Comment ensuite, lorsque l’embrasement est devenu mondial, revenir à l’origine impliquant une ou deux personnes ?
C’est cette difficulté qui permet aux menteurs de falsifier l’origine des choses et d’empêcher les honnêtes gens d’en comprendre la simplicité, voire la stupidité.
L’origine n’est accessible qu’à nous-mêmes et uniquement si nous étions présents. Hélas, même là, ceux qui se mentent alors sont plus nombreux que ceux qui se souviennent lucidement.
Que faire ?
J’ai passé la plus grande partie de ma vie à m’arc bouter pour expliquer l’origine des tempêtes dans lesquelles j’ai été pris, sans aucun succès.
La manipulation de l’opinion n’est possible que parce que l’origine des choses est ignorée. A ceci près que justement l’opinion ne souhaite pas connaître l’origine des choses, l’opinion préfère la polémique à la vérité et la connaissance de l’origine éteint presque toujours la polémique.
La raison d’Etat ne sert qu’à ça : masquer l’origine des fiascos de l’Etat.
Allons plus loin, comment réagirait l’humanité si elle connaissait son origine, probablement très ordinaire ?
Que deviendraient les commerces de tous les vendeurs d’histoires des origines de l’homme ?
Encore plus fort, si vous avez le malheur de défendre votre peau devant un tribunal, vous constaterez que, dès que vous voulez expliquer l’origine du conflit dans lequel vous êtes pris, les magistrats vous coupent la parole. Ils préfèrent ne pas connaître l’origine, tout pour eux est basé sur le développement qu’ils vont soumettre au corset de la loi, alors que l’origine est rarement concernée par la loi, plus souvent par la morale qui n’est pas leur tasse de thé.
Si vous avez la mémoire des origines juste… je compatis.
Quelle soit désirée ou rejetée la mondialisation est effective.
Les jeunes générations pensent et agissent mondialement, même ceux qui croient s’y opposer. S’opposer suppose d’admettre l’existence de ce que l’on conteste.
C’est dans ce cadre que le monde — ou du moins ceux qui prétendent le représenter — est parti en guerre contre la grippe. Cette maladie hivernale qui saute tous les six mois d’un côté à l’autre de l’équateur.
Bien d’autres maladies circulent dont nous sommes les cibles, il faut bien que les microbes vivent… mais c’est la grippe aujourd’hui qui occupe le terrain.
Peut-être connaîtrons-nous un jour les raisons de cet avatar, peut-être pas.
Les hypothèses possibles sont nombreuses, pas question de s’y égarer.
Cependant, deux ou trois vérités sont incontestables. Les pays riches sont en pointe face à l’ennemi, les moyens mis en œuvre sont colossaux au point de fragiliser les combattants les plus puissants et probablement de jeter les plus faibles dans la misère pour un bon moment.
Pour l’instant les virus paraissent plus malins que nous.
Cette passion soudaine pour la grippe intervient au moment où justement les plus puissants trouvent leur statut mondial épuisant. Épuisant à maintenir, à assumer, à éviter de remettre en jeu.
Je ne saurais expliquer exactement les passerelles psychologiques entre l’avènement de la mondialisation, le profit que les plus forts en tire, l’angoisse qu’ils ont de se faire piquer la place, l’envie de débauche que cette place provoque en eux, et la diabolisation de la grippe.
Mais, bref, toujours est-il que, majoritairement, les peuples les plus puissants ce sont enfermés volontairement à double tour au motif de la grippe, chacun dans leur espace privilégié, en ignorant le reste du monde, tout particulièrement les plus faibles qui ont d’autres chats à fouetter que la grippe.
Il y a plus de 18 mois que tout cela a commencé et tout laisse supposer que la continuité est d’ores et déjà assurée, probablement pour des années.
Nous allons vivre masqués, surveillés, dénoncés, incités voire obligés, isolés, finalement prisonniers… de la grippe.
Soyons optimistes, imaginons qu’un jour la grippe redevienne ce qu’elle a toujours été, une maladie hivernale violente qui va jusqu’à tuer les plus faibles, qui se disperse en fonction du hasard des rencontres. Imaginons que nous l’acceptions, comme c’est le cas depuis toujours, ou même mieux que nous la terrassions.
Alors se posera la question : où sont passées nos libertés ? Ou, plus exactement, ceux qui étaient libres avant la phobie grippale se poseront cette question.
Première surprise, ils s’apercevront qu’ils sont une infime minorité, que la grande majorité n’a pas pu perdre une liberté qu’elle n’a jamais eue, jamais voulue. Donc pas de questionnement pour les ignorants de la liberté, pour les adeptes de la soumission, pour la majorité.
Deuxième surprise, les soumis n’ont pas la même vie dans une société sous liberté et dans une société sous contrainte. S’ils ne sont pas capables de se battre pour la liberté, ils sont parfaitement capables de se plaindre de son absence.
Là sont le paradoxe, la complexité, la politique.
Donc l’après-grippe fera face à la perte des libertés occasionnée au motif de la “lutte” contre la grippe.
Sans anticiper sur ce qui se passera, en reconquête ou non des libertés, une chose est sûre l’histoire analysera l’événement … un jour ou l’autre.
Qui sera pour l’histoire “l’homme de la grippe”, donc le responsable devant elle de tout le bordel que nous vivons, du résultat pragmatique qui en découlera : éradication ou échec et conséquences attribuées à l’événement.
Ce sera Macron.
Voilà un jeune homme qui va sans doute porter un chapeau largement plus grand que son tour de tête, et pas que celui-là …
Ce garçon va effectivement occuper une importante place dans l’histoire de France, non pour ce qu’il aura fait — il n’a pas fait grand-chose — mais parce que c’est lui qui est là.
Voilà un jeune homme de bonne famille, sage et travailleur, qu’une bifurcation culottée – ou déculottée – a d’abord prédisposé au théâtre, puis aux affaires et enfin à la politique, probablement par inconscience et vanité.
Le hasard fait qu’il se trouve juste là au moment d’un gigantesque changement dont personne, et surtout pas lui, ne peut imaginer la tournure et les conséquences.
Tout est mêlé, mondialisation, mal-être sociétal, âpreté générale, jouissances culpabilisatrices, frustrations, explosion des repères, novation des croyances, peurs vitales irraisonnées, faillite, et… grippe…
Il ne peut rien contre ce déluge biblique, mais il est là, juste pour l’histoire.
Quel étrange destin !!! Quel sacrifice accidentel, non désiré…
Ne nous acharnons pas sur ce garçon, épargnons-lui immédiatement ce que l’avenir lui prépare de terrible, c’est charité humaine…
Qui eût cru que la science puisse devenir une religion, une croyance et, finalement, un pouvoir aveugle fauteur à venir de haines et de guerres ?
En réalité, de nombreux penseurs avaient prévu cette issue, mais ils ont été peu ou pas entendus, peu ou pas enseignés, même les géants comme Victor Hugo.
Nous, nous vivons cette issue, et c’est pire que ce qu’ils imaginaient.
La fin du 19ème et la totalité du 20ème siècle ont consacré l’idée que la connaissance scientifique, exclusivement composée de découvertes prouvées, devait permettre à l’homme d’échapper aux croyances, dont on admettait que leurs confrontations étaient le générateur principal, voire unique, des conflits intellectuels qui se transformaient en conflits guerriers.
En gros, la croyance étant la base des haines, la science, supposant prouver ce qu’elle avançait, éradiquait du même coup tout conflit puisqu’il ne s’agissait plus de croire mais de constater.
Après avoir condamné au bucher ceux qui affirmaient que la terre était ronde, avoir appliqué la saignée à toute personne malade ou dépressive, avoir interné les scientifiques pratiquant l’autopsie et mis en œuvre bien d’autres sanctions obscures au nom de Dieu ou du pouvoir, les hommes ont découvert la science, qu’ils ont pris pour le Graal.
Jusqu’à récemment le scientifique devant apporter la preuve de sa découverte était face à la difficulté de la démonstration, tout particulièrement du fait de la surveillance attentive par ses opposants de ses calculs, longs et laborieux, figurés par des tableaux noircis de chiffres et de formules.
Puis l’informatique est arrivée.
La complexité possible des formules, calculées en une fraction de seconde par les ordinateurs, a désarçonné la critique tant toute modification immédiate des paramètres peut étouffer indéfiniment ladite critique. Une fausse preuve pouvant être rapportée sans limite, légèrement modifiée mais fondamentalement identique, finit par devenir une vraie preuve par essoufflement de la critique.
Donc la science s’est débarrassée de la nécessité de la preuve, ou du moins lui a enlevé sa réalité.
Aujourd’hui on peut dire que seul le chercheur sait s’il ment, affabule, l’observateur lui est noyé sous les formules infinies, modifiables infiniment.
Science et preuve ont divorcé, ne sont plus un couple uni, inséparable.
Face à cet affaiblissement de la science, voire ce désaveu, les hommes du pouvoir se sont emparés d’elle. D’une opposante réfléchie, ils en ont fait une complice déterminée, vénale.
Nous en sommes là. Les charlatans sont complices des hommes du pouvoir, voire le captent eux-mêmes.
Qu’opposer aux fausses preuves scientifiques ?
Qu’opposer aux fous de l’écologie, aux obsédés de la grippe, qui assènent en rafale chaque jour des vérités plus fantasques les unes que les autres, qui immédiatement sont remplacées identiquement, sans que jamais le temps permette d’en connaître l’invraisemblable fausseté.
L’impression d’être échec et mat nous étouffe.
Et pourtant, tout cela n’est qu’artifices. Tout cela n’est possible que si l’on accepte le principe de base qui consiste à prétendre que la foi et les conflits intellectuels entre les croyances sont la base des haines et des guerres, qui en découleraient.
Or, rien n’est moins vrai.
Sciences ou croyances ne sont à leur base que des vues de l’esprit, des pensées et, contrairement à l’idée répandue, peu acceptent de “mourir pour des idées” comme le chante Brassens.
Or, nous sentons tous la violence se développer, nous la craignons, ne nous parle-t-on pas de révolution ?
Ne nous trompons pas.
Oui la violence arrive ou la guerre, oui elles sont probablement plus proches que nous ne l’imaginons, mais elles ne devront rien aux fausses sciences, aux croyances, qui ne sont que des faux nez.
Elles devront tout au pillage.
L’homme n’est un penseur d’accessoirement, il est avant tout un pillard. Ce constat manque de romantisme, j’en conviens, mais il est implacable.
Si vous réintroduisez cette dimension de l’homme dans la lecture des évènements, si vous ne vous laissez pas happer par les fausses pistes mises en avant par les pillards, vous allez prendre conscience qu’effectivement le pillage total, en libre-service, par les hommes de l’Etat ou leurs concurrents, c’est-à-dire par ceux qui prétendent s’occuper de vous au mieux de vos intérêts, n’est pas loin.
Laissez de côté les réflexions sur l’écologie, les religions, la politique, concentrez-vous sur cette question existentielle : allez-vous rejoindre le groupe des pilleurs ou celui des pillés ?
Là est la question qui doit nous interpeler.
Bien à vous. H. Dumas
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Ce blog fait ce qu’il peut pour être à la hauteur de ses ambitions. Elles sont modestes, puisqu’il s’agit simplement de réfléchir au vivre ensemble, de dénoncer les disfonctionnements que l’on constate, d’essayer de les comprendre, d’en tirer des conclusions, de se forger une idée, de proposer des solutions, l’ensemble visant la liberté, la responsabilité, la compassion, l’universel. Tout cela en plaçant l’économie à sa place, c’est à dire devant.
C’est dans ces conditions qu’observer le tribunal de La Rochelle est riche d’enseignements.
Le tribunal de La Rochelle a eu de très gros problèmes, il y a quelques années. Les organismes de surveillance du Ministère ont mis de l’ordre en son temps.
Des magistrats de haut-niveau ont été dépêchés, Madame Brunet-Ludet en fait probablement partie.
Mais La Rochelle est une ville particulière. L’appartenance, les solidarités de classe, de clocher et de pensée, y font la loi.
Malheur à celui qui vient d’ailleurs et n’est pas l’ami du maire ou de son administration. Il n’a pas sa place, il doit être adoubé ou passer son chemin.
L’ambiance est lourde pour celui qui ne met pas un genou en terre face aux monarques des lieux.
Cette ambiance, finalement assez répandue dans nos campagnes, a un lourd défaut : folklorique au départ elle se transforme en prison des libertés avec le temps et ruine la société touchée.
C’est ici que l’observation de La Rochelle rejoint les préoccupations de ce blog, au simple titre d’exemple pratique, rien de plus.
L’exemple
Le hasard m’a amené à affronter cette organisation locale rochelaise défaillante, ou pour le moins en conflit avec notre constitution, avec ce que la majorité des Français croit être leurs lois, leur justice.
C’est ainsi que depuis une quinzaine d’années je lutte aux côtés de propriétaires d’un territoire magnifique, en plein centre de la ville, que les possédants du pouvoir tentent de s’approprier pour… “le franc symbolique”.
Dans le cadre de ce combat j’ai tout vu. Il se trouve que récemment — les lecteurs habituels ont suivi le psychodrame – j’ai pu résumer ces quinze ans de lutte en une plainte contre le Maire et son administration pour escroquerie, sous la forme d’une citation directe pour demain 24 Juin 2021, délivrée aux intéressés fin Mars début Avril.
Cette plainte impliquant indirectement le conseil communautaire, c’est-à-dire tous les représentants élus de l’agglomération, j’ai pensé qu’il était juste de les en informer. Je leur ai donc adressé un exemplaire de la plainte, le 16 Février 2021.
Un peu déstabilisé, le maire président de la CDA, pour rouler les mécaniques et regrouper son petit monde d’élus marqués à la culotte à l’aide de la répartition du budget communautaire, a cru utile de déposer contre moi une plainte en diffamation, devant le Tribunal de Police, s’agissant d’une accusation limitée à la diffamation privée.
Le 4 Avril 2021, dans un billet large qui traitait du pillage initié par l’égalitarisme, je mettais, à titre d’exemple, un lien pour accéder à la plainte rochelaise, bon exemple de pillage.
Ce qui ouvrait la porte au maire — qui considère que toute critique est diffamatoire — pour une plainte plus large au niveau du tribunal correctionnel.
Oui mais
Il n’est pas possible de poursuivre la même affaire devant deux juridictions différentes, cela génère la nullité pour litispendance.
Donc la diffamation, au titre du même motif, ne peut pas être poursuivie à la fois devant le tribunal de police et devant le tribunal correctionnel, même si les conséquences de cette diffamation sont différentes.
Précisons que de mon point de vue il n’y a nulle diffamation dans mon action à rendre publique une procédure qui l’est par essence. Qu’encore de mon point de vue, qui plus est les faits exposés étant avérés il n’y a évidemment aucune diffamation. Il y aura éventuellement procédure abusive si la justice me donne tort, nous n’y sommes pas encore, il faudrait que le maire patiente.
Donc
Convoqué hier devant le Tribunal de Police, en une phrase si alambiquée que je ne me crois pas convoqué pour plaidoirie, mais pour constatation de consignation.
Voici la phrase ” Attendu qu’il convient d’ordonner le renvoi de l’affaire pour consignation de la partie civile … Ordonne le renvoi pour consignation de la partie civile de l’affaire à l’audience du 22 Juin 2021 à 14H devant le Tribunal de Police de La Rochelle”
J’ai appris hier que je ne savais pas lire, qu’il fallait comprendre qu’il s’agissait de l’audience de plaidoirie…
N’étant pas prêt à plaider, j’ai demandé un report, qui ne m’a pas été accordé par La Présidente Mme Brunet-Ludet, juge unique.
J’ai alors expliqué à la magistrate que le motif diffamatoire était aussi présenté par le Maire devant le Tribunal Correctionnel, qu’il y avait donc litispendance.
Elle a évacué le problème, le reportant, à juste titre selon les textes, devant le Tribunal Correctionnel, puisqu’elle avait été saisie la première.
Le résultat fut qu’un lourd dossier, englobant 15 ans de vie, plusieurs milliards d’intérêts, des principes essentiels, l’avenir de la ville, a été évacué au tribunal de police, en cinq minutes, entre deux PV routiers et trois baffes alcoolisées…
J’ai été condamné le soir même.
A 500 € d’amende, 1 € de dommages et intérêts pour le maire et son acolyte, plus 1 500 € pour les frais de justice.
Et aussi à publier le jugement, ce que de toutes les façons j’aurais évidemment fait. D’ailleurs je me demande bien comment il va être motivé ce jugement, et je ne dois pas être le seul à me le demander…
Je le publierai quand je l’aurai… un mois environ parait-il.
Aujourd’hui je vais au tribunal déposer mon appel.
Et là, j’apprends que mon appel ne pourra pas porter sur mon exception de nullité pour litispendance, la magistrate ne considère pas que ce qu’elle a dit à l’audience en évacuant mon incident est officiel !!!
Pas mal pour une magistrate de haut-niveau. Non ?
Résumons
Un lourd problème de société évacué entre deux misères judiciaires, par une magistrate unique, une remarque légitime pour litispendance prise par-dessous la jambe.
Conclusions
La dérive déjà constatée du tribunal judiciaire de La Rochelle n’était donc pas un problème d’hommes, mais un problème structurel d’ambiance, puisqu’elle se reproduit, et avec des magistrats de haut niveau.
La justice est sujette à la connivence. Celui qui dénonce cette connivence est indésirable, tout particulièrement à La Rochelle.
Inutile de vous dire que je n’y suis pas en “odeur de sainteté”, mais plutôt “attendu au virage”.
Entre le régime de Poutine et celui de Macron, pas de grande différence pour celui qui s’oppose à la technocratie, à la bureaucratie, que les deux autocrates vénèrent, adorent, protègent. Celui qui souhaite la liberté pour tous n’est pas le bienvenu.
A demain. Bien à vous. H. Dumas
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