Je suis né le 2 Août 1944.
Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil.
Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société.
Amicalement à vous. H. Dumas
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La préfectorale c’est l’ENA, c’est-à-dire la haute administration, l’élite administrative.
A ne pas confondre avec la technocratie, qui est le pouvoir des techniciens, lesquels commencent dès l’employé de base des services administratifs. Le responsable des services de la voirie communale – ronds-points et dos d’âne – est un technocrate.
La préfectorale a perdu son pouvoir sous Mitterrand, lors des lois de décentralisation de 1982. Depuis elle rongeait son frein, toute à son idée de reconquête du pouvoir.
Elle a volontairement laissé nos élus de paille s’amuser et claquer tout le fric de la communauté, les technocrates aligner les décisions stupides confiscatoires des libertés fondamentales, jusqu’au point de non-retour qu’elle considère sans doute atteint aujourd’hui.
Elle sort du bois. Et pas discrètement.
Elle met la main sur la police.
La police c’est le terrain. Il y a loin du terrain à la philosophie politique. Poutine en prend conscience, pour l’instant à son désavantage, tout peut changer demain la justice n’existant pas sur le terrain où ne s’impose que le droit de la plus grande violence. Trotski avait compris que quelques hommes violents et déterminés suffisaient pour renverser un pouvoir.
Donc, la police est le pied dans la boue du pouvoir. Victor Hugo en a saisi les états d’âme avec Javert.
La police est populiste et violente, cela va de soi. Pourrait-elle faire autrement ?
La justice, pure projection intellectuelle, ne fonctionne qu’à partir des rapports de police. Ce qui m’a toujours stupéfait, tant ces rapports sont la plupart du temps incompréhensibles et peu fiables.
Mais nos magistrats — peu soucieux de justice et jaloux de l’ordre qu’ils imposent, très éloigné de la pensée de la population — s’accommodaient parfaitement de cet outil qui leur permettait d’imposer un gauchisme depuis longtemps révolu. Le magistrat de base hait le capital, il n’en comprend pas la nécessité, il partage cette idée avec la police, c’est probablement leur seul lien, celui qui les soude.
Les dégâts de cette alliance contre nature sont économiquement énormes en même temps que fatals aux libertés, l’élite s’en émeut.
Elle prend le pouvoir sur la police, elle désarme la magistrature, et certains s’étonnent que Dupont-Moretti, avocat, ne dise rien. Personnellement, je pense qu’il est à la base de l’idée. Comment pourrait-il en être autrement pour un avocat lucide ?
Dans la pratique, en supposant que l’élite soit sincère et démocrate, respectueuse des doits de l’homme, cette reprise en main de la police, cette remise en place de la justice par la maîtrise de ses sources, pourrait être une bonne chose et remettre à sa place les populismes, de droite et de gauche.
Mais, car il y a un mais, et un gros…
Le pouvoir, actuellement un peu dissolu dans la masse, va se retrouver entre les mains de l’élite, d’une petite minorité. Est-on sûr de la qualité humaniste de cette minorité ? Objectivement non.
Alors, comment choisir entre le bordel ambiant installé par nos juges qui neutralise toute organisation efficace, tout progrès, et l’ordre qui sera issu du retour au pouvoir de la préfectorale, de l’élite, avec un risque certain de perte de liberté ?
Qu’importe finalement puisque ce choix : nous ne l’avons pas….
Mais une chose est sûre, cette réforme est tout sauf anodine.
Bien à vous. H. Dumas
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Un an après les faits, nous apprenons qu’un organisme des hommes de l’Etat — la direction interministérielle du numérique (DINUM) — se serait mis en travers de la route de Bercy qui souhaitait recevoir tous les jours nos relevés bancaires.
Pourquoi un an plus tard ?
Comment imaginer objectivement qu’il puisse y avoir des dissensions entre Bercy et n’importe quel service des hommes de l’Etat ?
Bercy est leur employeur à tous, leur patron. Il est les hommes de l’Etat. Il s’agit donc d’une pantomime, même pas d’un complot.
Une question simple : que pourrait faire Bercy d’un tel fatras ? C’est bien beau de recevoir les mouvements de 300 millions de comptes actifs, mettons à 5 écritures par jour en moyenne, donc 1,5 milliards d’infos journalières… et après.
Pas de problème pense la foule, avec ça nos énarques de Bercy sont capables de trouver finement les tricheurs. Mais il faudrait analyser cette masse de données, et surtout ensuite aller sur place pour confirmer d’éventuels soupçons. Un travail monstrueux en temps et en hommes. C’est absurde. Donc ce n’est pas l’objectif.
Je vois pour ma part deux objectifs possibles.
La terreur
Nous en avons souvent parlé, Bercy a besoin de la terreur pour que les Français acceptent de se faire voler le peu qu’ils gagnent, pour rien.
La terreur s’installe en inquiétant des innocents. Inquiéter des coupables s’appelle la justice.
Bercy est le spécialiste de la condamnation des innocents pour voir la panique dans les yeux de tous. J’en suis et vous en êtes des exemples flagrants. Mais la liberté offerte par internet contrarie beaucoup cette méthode, qui a besoin de secret, de discrétion, surtout pas d’informations.
Alors que l’idée d’être nu, visible dans sa nudité par Bercy, est de nature à effrayer tout le monde, et d’englober — donc de dissimuler — tout ciblage de victime. L’idéal, non ?
L’encaissement
Une fois lancés ses fausses condamnations, ses faux redressement, Bercy doit les encaisser, les recouvrer.
Et là, les choses se compliquent, elles ne vont pas aussi vite que Bercy le souhaiterait. L’innocent a tendance à résister plus que le coupable et son compte sera souvent vide quand les ATD le frapperont.
En réalité pour Bercy, recouvrir ses faux redressements c’est un peu la bataille navale de notre jeunesse, Bercy rêve d’une glace pour voir où sont positionnés nos bateaux.
Evidemment avoir nos comptes en banque en mains lui permettrait de les saisir à coup sûr.
Audacieusement mis sur la table, le problème reviendra, c’est sûr.
Car enfin :
Connaissez-vous quelqu’un qui se pose la vraie question, celle des résultats des hommes de l’Etat.
Voilà des gens qui nous prennent de haut depuis plus de quarante ans, qui flattent les plus minables, qui redistribuent aux fainéants l’argent durement gagné par les courageux, qui confondent volontairement oppression et ordre partout, sur la route, dans notre travail, pour notre santé, qui nous désinforment et nous mentent, pour quels résultats ?
Plus moyen de se déplacer normalement, plus de chauffage, plus de boulot, plus de sous, plus de liberté, un harcèlement constant par des minorités dont on ne souhaite pas la disparition mais dont on voudrait bien qu’elles nous lâchent la grappe.
Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a un monde entre la mission que nous leur avons confiée et leurs résultats.
Et, en plus, il va falloir que nous assumions ce carnage, comme s’il venait de nous, comme si nous en étions responsables.
Personnellement je n’ai jamais rien demandé aux hommes de l’Etat, ni faveur ni service, ni pour mon travail ni pour ma retraite, ni pour aider mes parents ni pour élever mes enfants. Cela ne les empêche pas de me piller au nom de la redistribution.
Quelle bande de cons. Car je ne suis pas le seul dans mon cas, je suis en compagnie de tout ceux qui ne leur ont rien demandé, qui faisaient marcher la machine pendant qu’eux faisaient des claquettes pour être élus.
Pour toutes ces raisons, que ce soit clair, les hommes de l’Etat resteront à ma porte, définitivement, quelles que soient les combines qu’ils puissent mettre en place, ils n’entreront pas chez moi. Mon compte en banque, c’est chez moi.
En ce qui concerne l’incantation, Larousse dit ceci : «Emploi de formules magiques visant à produire un charme, un sortilège »
Concernant la magie, Larousse donne deux axes à sa définition : « 1. Ensemble de croyances et de pratiques reposant sur l’idée qu’il existe des puissances cachées dans la nature, qu’il s’agit de se concilier ou de conjurer, pour s’attirer un bien ou susciter un malheur, visant ainsi à une efficacité matérielle.
Puissance de séduction, d’illusion, charme séducteur : La magie de la musique. »
De tout cela il résulte que l’incantation est le fondement de notre vie personnelle et collective, qu’elle s’oppose directement à la réalité.
Nous pensons tous que la maîtrise d’éléments abstraits, nous appartenant ou appartenant aux autres, serait de nature à changer notre réalité pour la transformer en nos rêves, nos envies.
Les hommes de l’Etat pratiquent l’incantation à longueur de journée, elle est devenue le fondement de la politique, au détriment de la réalité.
Nous croyons tous aux pouvoirs de nos rêves, de nos comportements, de nos volontés, de nos stratégies, de nos philosophies, sans complètement percevoir qu’il ne s’agit que de croyances qui ne peuvent aboutir qu’à des incantations que nous finissons par accepter comme guides de nos vies, qui aboutissent à la négation de la réalité, négation qui ne peut finir que par la guerre tant la confrontation des croyances est sans issue.
Comment réguler les incantations des fous du climat, des fous de l’égalité, des fous — tel Poutine — de la grandeur ? C’est impossible.
C’est là que chacun brandit la « Justice ».
Chaque jour un homme de l’Etat est obligé de déclarer solennellement : « laissons faire la justice ». C’est un gag.
Victime des incantations de leurs ennemis, d’aucuns – comme moi – croient pouvoir se tourner vers la justice, on les appelle des légalistes. Ils ne sont que, au mieux, des couillons, au pire des pervers.
Pour que la justice puisse jouer un rôle dans le bal des incantations, il faudrait qu’elle tienne sa force de la réalité, or elle la tient des incantations majoritaires dans les démocraties, de la force pure de celles des autocrates ailleurs. Jamais de la réalité qui, contrairement à ce qui a été cru un certain temps, n’est pas divine.
La réalité, ou vérité, est rarement visible par anticipation, pas plus dans le présent, quelquefois, mais pas toujours, est-elle révélée par l’histoire.
Conclusion la justice n’a aucun rapport avec la réalité, avec la vérité.
Alors, c’est quoi la justice ?
Ce ne peut être que le bras armé du pouvoir qui édite les règles, ses règles, pas les nôtres….
Donc le juge n’a que deux solutions :
Soit il applique la loi, donc il se soumet et nous soumet au pouvoir en place
Soit il est opposé au pouvoir et nous entraine dans son opposition par les jugements qu’il rend.
Le juge n’est jamais indépendant des incantations. Le juge n’est jamais dans la réalité. Le juge ne sert à rien, si ce n’est à attiser les conflits entre incantations ou à renforcer l’incantation au pouvoir.
Seule ne serait possible qu’une justice arbitrale.
Cela supposerait que les juges acceptent de redescendre de leur pied d’estale universaliste. Qu’ils se contentent de la position d’arbitre par rapport aux règles définies ou habituelles de telles ou telles activités.
L’arbitre de football ne peut pas agir lors d’un match à partir les règles du rugby.
Cette condition supposerait que les Palais de Justice s’appellent des maisons de l’arbitrage, vous imaginez le coup porté à la prétention des magistrats. Tout simplement impossible.
Notre destin aujourd’hui est de perdre de vue la réalité, de nous noyer dans les incantations, de finir dans la guerre de Babel qui arrive au grand galop….
Bien à vous. H. Dumas
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Lors du weekend de la liberté, organisé par Le Cercle Frédéric Bastiat à DAX et son dynamique président Patrick de Casanove, j’ai eu le plaisir de rencontrer le professeur François GERVAIS, qui se qualifie de “climato-réaliste”.
Il venait exposer son dernier ouvrage, dont il faut conseiller la lecture.
Très accessibles, les chiffres et l’argumentaire inclus sont imparables et font du bien au moral.
Le professeur s’est aimablement prêté aux questions du néophyte que je suis
Les régions séparatistes de l’Ukraine organisent ce weekend, en pleine guerre, un référendum devant décider de leur avenir Russe ou Ukrainien.
Le résultat n’est pas douteux.
Poutine annexera donc ces territoire, et ceux qui se battent pour qu’ils restent ukrainiens, ainsi que leurs alliés, pourront être considérés comme attaquant la Russie.
Ainsi donc le justicier Poutine, qui venait en Ukraine pour une simple opération de police, se découvre. Il organise, avec la complicité d’une partie quantitativement inconnue des habitants des territoires qu’il occupe depuis 2014, l’annexion pure et simple de cette région de l’Ukraine.
Que dire de ceux qui ne perçoivent pas que s’installe sous notre nez la guerre mondiale.
Guerre qui ne pose pas la question de savoir si on peut la gagner ou la perdre puisqu’on ne peut tout simplement pas la faire, nous en sommes incapables.
Guerre où il n’y a pas lieu de se demander qui elle concerne, puisque c’est affiché en grand : il s’agit de faire rendre gorge à l’occident. L’occident, même pour ceux qui n’aiment pas les Américains, même pour ceux qui sont de gauche ou écologistes, … c’est nous.
Et pendant ce temps, nous allons en venir aux mains pour savoir si l’on doit prendre sa retraite à 55, 60, 62 ou 65 ans…
C’est quoi cette idée de retraite ?
Travailler, être utile, s’assumer et rendre service, ne sont-ils pas les choses les plus extraordinaires qui soient.
J’ai la chance, à 78 ans, malgré les entraves que me collent les hommes de l’Etat, de pouvoir être actif, de travailler. J’en remercie tous les jours la chance.
Je comprends le désarroi de ceux que la santé ou les circonstances empêchent de travailler, ou les condamnent à s’arrêter plus tôt. Ils méritent d’être aidés.
Mais je ne comprends pas ceux pour qui la retraite est l’objectif principal de la vie. Ils vont être surpris par l’ambiance de la guerre mondiale qui se profile, je crains que l’idée de retraite ne soit pas au premier plan dans les temps qui viennent.
Quelle misère. Poutine d’un côté, de l’autre la retraite donc, mais aussi la violence conjugale, le partage des tâches ménagères, le choix de son sexe social, le niveau de vie, la haine du capital, Piketty, les voitures électriques sans électricité, Mélenchon, les privilèges de la fonction publique, les impôts, la faillite de l’Etat, de la Sécu, la BCE qui fait de la cavalerie, la bonne pensée qui permet de tuer, la certitude des écolos qui rêvent de tout détruire de revenir à l’âge des cavernes pour somnoler l’hiver en compagnie des ours et se baigner nus l’été en compagnie des truites, la météo qui elle rêve de catastrophes naturelles, etc… c’est Poutine qui a la main.
On pourrait dire, sans prétention sur ce sujet délicat, que marabouter consiste à jeter un sort à une personne pas vraiment aimée par l’intermédiaire d’un professionnel de la chose.
En fait, un emmerdeur professionnel, qui fait très peur, fait savoir, à celui que vous voulez maitriser en le paniquant, qu’il lui souhaite tout le mal possible, en lui expliquant dans le même temps qu’il est capable grâce à sa puissance déléguée par x divinités de faire effectivement ce qu’il dit.
Toute l’astuce consiste à ce que celui que l’on veut impressionner croit en la version terrible de son avenir que lui sert le marabout.
Les hommes de l’Etat, qui nous veulent naturellement du mal pour leur bien, cherchent à nous persuader que si nous ne nous plions pas à leurs quatre volontés, notamment si nous ne leur donnons pas la plus grande partie de ce que nous gagnons pour qu’ils puissent, eux qui ne savent pas gagner leur vie, payer avec nos sous les gens qui vont voter pour eux, leur assurant ainsi élus une vie facile et confortable, notre vie sera infernale.
Ils utilisent pour cela de multiples marabouts chargés de nous effrayer.
L’huissier fait partie de ces marabouts qui agitent des menaces terribles contre nous, nos biens, et nos familles si nous ne payons pas les sommes délirantes réelles, ou comme pour moi factices, que les hommes de l’Etat réclament.
Usés jusqu’à la corde, du fait de leur suremploi, de leurs saisies et ATD expédiées par dizaines de milliers journellement, les huissiers ne font plus peur.
Bien plus, ils sont l’objet d’un rejet sociétal, ces pauvres marabouts en souffrent. Il leur est très difficile d’arriver en société et de dire qu’ils sont huissiers, messagers de la mort.
Ils se sont probablement plaints de cette situation qui rend leur maraboutage difficile. Comment faire peur lorsque vous n’êtes plus respecté ?
Alors la fourberie « Enarcale » a résolu le problème.
Nous sommes dans l’émotion, donc dans le verbe qui la traduit ou l’anticipe.
Depuis le 1 Juillet 2022, les huissiers ne sont plus des huissiers, ils sont devenus des « COMMISSAIRES DE LA JUSTICE »
C’est fort non ?
Commissaire : parce que c’est l’ordre et l’organisation. Il existe toutes sortes de commissaires, depuis le flic jusqu’au responsable de l’avitaillement d’un bateau, iIs sont sérieux et très organisés. En fait ils sont l’organisation, pas l’improvisation sur ordre chère à nos huissiers.
De la Justice : c’est le coup de génie. La justice, ce mot sacré, n’est pas à une turpitude prés. Que ne peut-on pas faire au nom de la justice ?
On peut voler, tuer, torturer, harceler, endoctriner, etc… C’est imparable, puisque c’est la justice.
Voilà donc nos “marabouts huissiers” devenus “marabouts commissaires de la justice”.
Ça a de la gueule, non ? Ils vont pouvoir nous jeter des sorts en papiers saisies ou papiers contraintes, ou papiers commandements, etc…
Le texte, arrangé, trafiqué, c’est leur tasse de thé, la réalité ne les concerne pas. L’humanité, la compassion, aux oubliettes. Le verbe, le verbe, la menace, le maraboutage, c’est ça leur truc.
Le subterfuge du nom ne change pas la réalité, mais il change tout dans les têtes, le “marabout-huissier” devient grave, crédible, en “marabout commissaire de la justice” c’est son idéal. Ils bichent.
Bien à vous. H. Dumas
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Tout le monde juge tout le monde : c’est la liberté de penser. Tous nos actes, toutes nos idées exprimées, sont disséqués et jugés par ceux qui en prennent connaissance volontairement ou involontairement.
Selon notre notoriété personnelle, ou l’intérêt pour les autres de ce que nous avons rendu public, ce sont une ou quelques personnes qui vont nous juger, ou des milliers voire des millions.
Certes, ces jugements découleront en partie de l’événement dont nous sommes l’auteur, mais de façon beaucoup plus certaine ils seront liés à la personne ou aux groupes qui vont nous juger.
En fonction de leurs croyances, de leurs personnalités, de leurs expériences de vie, de leur traits de caractère, les autres jugent différemment les mêmes faits. Nous ne pouvons pas échapper à ce fonctionnement.
Ce constat est troublant pour qui cherche à trouver un accord entre ce qu’il pense être et ce que les autres pensent qu’il est. En réalité c’est mission impossible.
C’est particulièrement effrayant face à la justice des Etats dont les prétentions annoncées sont toujours caricaturales par rapport aux résultats effectifs.
Il suffit d’être, comme moi, porteur devant les tribunaux de la terreur fiscale, du vol fiscal direct par interventions d’agents fiscaux, pour saisir à quel point la croyance emporte tout lors du jugement, même est surtout dans le cadre de magistrats professionnels qui ont peut-être cru à un moment de leur vie qu’ils étaient capables de « juger objectivement », comme les curés croient un jour que l’on peut vivre sans sexualité… on connait la suite.
Donc, la liberté de penser suppose l’acceptation du jugement des autres, même lorsque nous le considérons comme totalement décalé ou impropre.
Où le problème se corse.
C’est lorsque celui qui juge, inconscient de cette réalité, ce permet de croire en ses propres jugements à un point qui génère pour lui une haine envers les jugements des autres s’ils sont différents.
Nul ne devrait haïr le jugement des autres. Nous devrions tous pouvoir contrer et argumenter contre les jugements que nous considérons erronés, sans jamais introduire la haine.
Ceux qui introduisent la haine par conviction, ou pire par intérêt personnel, sont comptables de tout ce qui suit cette haine.
Car, après la haine, c’est la violence qui entre rapidement en jeu. Et la violence inclut sa propre expansion qui n’a pas de limite, indépendamment de toute raison.
Le décès de la Reine d’Angleterre
Je ne suis pas royaliste, je n’ai pas de sympathie pour ces figurines sociales au coût exorbitant et aux pouvoir pouvant facilement devenir mortel si on le libère.
Pourtant, le décès de la reine Elisabeth m’a ému.
Je l’ai traduit par la perte irréversible de l’acceptation des jugements dans leurs diversités.
C’est l’Angleterre, un siècle avant nous, qui lors de sa deuxième révolution appelée « glorieuse » a inventé la démocratie. Dont la base est justement l’acceptation de tous les jugements et la gestion par les majorités comme moindre mal.
La reine décédée représentait exemplairement ce fondement civique et moral, elle ne jugeait pas les jugements, elle tentait de les accepter dans leurs multitudes. C’était son apparence sociale, peut-être aussi sa réalité humaine mais peu importe.
En cette époque de délations et de haines qui s’étalent au grand jour dans toutes leurs vulgarités, la perte de ce repère est probablement lourde de conséquence. Il est peu probable que « l’enfant vieillard » qu’est son héritier puisse la remplacer dans sa symbolique.
Les magistrats
Ces hommes et ses femmes qui font profession de juger…
Je vous joins par ce lien un arrêt dont la prétention n’a d’égale que l’approximation juridique. Incroyable…
Il est si rare de sortir d’un tribunal avec l’impression que les choses ont été jugées objectivement…
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Quand le jugement se transforme en haine et la haine en violence"
Il n’y a pas un millimètre de nos feuilles de chou qui ne soit rempli d’annonces de pénuries présentes ou à venir, toutes stressantes.
Plus de moutarde, de farine, d’huile, de pétrole, de gaz, d’électricité, de PQ, de lait, de fric, de retraite, d’hôpitaux, de professeurs de lycée, de chauffeurs de bus, de médecins, d’air pur, d’air frais, de pluie, d’eau potable, etc…
C’est terrible. Mais va pour le manque, on essaiera de s’y faire.
En réalité, je pense que la vraie catastrophe ce sont les pénuries que nous sommes surs de ne pas avoir à affronter, voire les surplus qui nous débordent, sans jauge…
Je vous propose d’en répertorier trois.
Les fonctionnaires
Sur ce sujet, il me parait raisonnable de redéfinir le fonctionnaire.
Jusqu’à ce jour ce terme désignait toute personne travaillant pour l’Etat et bénéficiant à ce titre de conditions aux avantages exorbitants payés par les autres.
L’Etat n’existant pas, n’étant que le terme générique désignant une abstraction qui dissimule le pouvoir absolu des hommes de l’Etat, le salarié qui fait réellement son job au service du bien commun ne peut pas être qualifié de fonctionnaire, terme péjoratif s’il en est. Je propose de l’appeler un « opérateur d’intérêt public protégé ». Celui-là, on le garde.
Reste donc tous ceux qui reçoivent des avantages injustifiés de la part des hommes de l’Etat, soit qu’ils sont payés à rien foutre, soit qu’ils perçoivent des avantages indus au titre d’électeurs à séduire. Ce sont eux que nous appellerons « fonctionnaires », car ils ne fonctionnent qu’au crochet des hommes de l’Etat, qui nous ponctionnent pour les payer, les acheter.
Pas de risque de pénurie de ces fonctionnaires. C’est clair. A terme il est même possible qu’il n’y ait plus que ces fonctionnaires… que tout le reste de la population de ce pays disparaisse, si j’en juge par ce qui m’arrive en tant que rare non-fonctionnaire.
Les élus
Là aussi nous allons devoir redéfinir le terme.
L’élu n’est pas, comme certains le croient, un mandataire qui serait chargé de gérer au mieux nos intérêts collectifs dans le cadre du mandat que nous lui aurions confié.
Non, c’est un menteur professionnel qui invente des mots et des situations irréelles, qui considère qu’après avoir extorqué une place élective — à l’aide de combinaisons malsaines et d’une fausse majorité – il dispose du pouvoir absolu pour favoriser ses amis, exclusivement ses amis réunis par un intérêt ou une croyance communs. Evidemment tout cela au détriment des autres.
Non seulement une pénurie n’est pas à craindre dans cette catégorie, mais c’est l’abondance. Une abondance probablement mortifère, nous verrons…
La connerie
Alors là, tout le monde sait ce que c’est. Pourtant c’est la surenchère à ce sujet. C’est à celui qui en dira ou fera le plus.
Le nombre de spécialistes qui s’expriment sur des sujets qu’ils ne maitrisent pas, de couillons qui croient devoir se battre avec virulence pour des projets auxquels ils ne comprennent rien, de satisfaits pour pas grand-chose, de jaloux compulsifs, de pervers que seule la démolition motive, est infini.
La connerie étouffe toute discussion, toute raison, favorise les propositions les plus incroyables qui soient en les acceptant comme vraies.
La connerie tue, et pas à petit feu. C’est direct, cash.
C’est elle qui permet le mensonge, les privilèges, l’injustice, le vol, tout ce qui demande un tout petit peu de jugeotte pour y échapper
Son abondance n’a comme concurrente quantitative que sa suffisance.
La pénurie à ce sujet n’est pas à l’ordre du jour.
Conclusion
Ce ne sont pas les pénuries qui vont nous décimer, ce sont les abondances.
Nous sommes en famille dans notre maison de Sète. Il est 2 ou 3 heures du matin.
Notre chien s’appelle “Davidof”, c’est un Bouvier des Flandres, un animal affectueux et d’un calme olympien.
Alors que tout est fermé et que la maisonnée roupille, le chien se déchaine, ses aboiements et son agitation sont d’une violence que je n’avais jamais observée, que d’ailleurs je n’observerai plus jamais.
Tout le monde se réveille en sursaut. Chacun pense à une présence dans la propriété.
A l’époque je possède un révolver Colt avec lequel je pratique le tir sportif, qui depuis m’a été évidemment subtilisé par les hommes de l’Etat indifférents à notre protection personnelle, dont l’objectif est uniquement que leur population soit désarmée, mais cela est une autre histoire dont il n’est, parait-il, pas convenable de parler.
Notre maison, modeste, date des années 1955, c’est ce que l’on appelait alors un rez-de-chaussée surélevé. Notre chambre est à l’étage, la salle de séjour et l’entrée où le chien aboie violemment sont au rez-de-chaussée.
Je prends mon révolver et descends directement dans la cour, au niveau du sous-sol de la maison. Je me trouve face à face avec un cambrioleur, que le chien a surpris, par ses aboiements, sur le balcon du séjour et de l’entrée, et qui en descend.
En réalité, je suis arrivé dans la cour avant lui.
Là, la situation est grotesque. Le type est en short et tee-shirt, pieds nus, avec un chiffon qui pendouille à sa ceinture, un professionnel.
Je suis là comme un con avec mon pétard à la main. Il est exclu que je l’utilise évidemment.
L’homme a garé sa mobylette dans notre chemin très pentu, dans le sens de la montée.
La discussion s’engage :
« Retenez votre chien, dit-il »
N’ayant pas une âme de dresseur, mes chiens ont toujours vécu la vie dont ils avaient envie, je ne les ai jamais obligés à rien et surtout pas à mordre, je ne comprends donc pas très bien la réflexion du mec.
Je lui réponds
« Je n’en ferai rien, déguerpissez vite avant qu’il vous arrive des ennuis » je me dis : paraissons ferme.
Mon fils alerté arrive dans mon dos et me fait peur, je me retourne surpris et je comprends dans le même temps le danger et l’inutilité des armes dans ces cas là.
Concernant le cambrioleur, il prend conscience qu’il va devoir retourner sa mobylette dans la pente abrupte pour partir, que ça ne va pas être facile, il prend sans doute aussi la mesure de mon manque de fermeté.
Alors il commence à remonter le chemin et me dit ceci :
« Monsieur, vous vous trompez, je ne vous veux aucun mal, je me suis réfugié chez vous parce que je suis poursuivi par des voyous… »
Les bras m’en tombent. Heureusement que le chien parait toujours aussi menaçant et pas disposé à la discussion.
Je hasarde : « Partez, vite, avant que je change d’avis », alors que je n’ai aucun avis sur la situation, juste de la sidération. Je me dis : « ainsi donc, ça existe ? »
Finalement le type s’en va….
Aujourd’hui 31/08/2022
Je n’ai plus été cambriolé, j’ai toujours des chiens : des Bouviers des Flandres.
Depuis, mon voisin direct a été saucissonné en compagnie de son épouse. Violentés, menacés de mort pendant des heures, ils ont survécu mais ils sont traumatisés, la police n’a rien trouvé, les agresseurs sont partis avec sa voiture et y ont mis le feu… ils courent toujours.
Conclusion
La sécurité est improbable pour chacun de nous, certes. Mais le plus grave tient au fait que le pillage de nos propriétés est devenu un acte commun des hommes de l’Etat.
C’est principalement à travers l’impôt et plus précisément les contrôles fiscaux de Bercy qu’ils viennent chez nous prendre nos biens par la force .
Puis Bercy, comme mon cambrioleur, a le culot de prétendre que ce n’est pas de sa faute, que c’est à la demande de la nation qu’il vient piller.
Enfin, comme pour mon voisin, la justice est impuissante, Bercy vole et brule nos biens en toute impunité.
Bercy commet chaque jour des délits de droit commun déguisés en bienfaits collectifs.
Bercy nous demande la compréhension pour ses pillages au motif que ces tortures lui sont imposées par notre propre comportement. En quelque sorte Bercy prétend, comme mon cambrioleur, venir chez nous : contre son gré, par notre faute. C’est très fort.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Quand l’agresseur se prétend l’agressé."
Soyons objectifs et honnêtes, nos élus actuels manquent de gaz mais pas de connerie, ils sont à bloc à ce sujet, leurs réserves sont blindées, inépuisables… Ils ne sont pas comme Giscard, ils n’ont ni gaz ni idée.
Le mot d’ordre de La Nupes est l’exemple même de cette surabondance de connerie : « Taxons les superprofits »
Voilà une bonne idée. Voyons, voyons.
Le Maire, notre “Bercyman” en chef, révolté par la déclaration de guerre de Poutine a répondu en taxant les superprofits russes. Ce faisant, il a déclaré : « Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe. »
C’est-à-dire que le ministre des Finances de La France pense qu’en privant les apparatchiks russes de leurs superprofits on provoque l’effondrement général de l’économie de la Russie.
En toute logique, la taxation des superprofits des sociétés occidentales devrait avoir le même effet : un effondrement de l’économie occidentale, une grande souffrance du peuple occidental.
Ah oui mais nous, disent la NUPES, nous kidnappons pour : “REDISTRIBUER”. Là, lourd mensonge, en réalité il ne s’agit pas de redistribuer en capital actif, mais de dépenser le butin, nuance…
Mélenchon n’est ni plus ni moins con que Le Maire, il est clair donc qu’il cherche la ruine du monde occidental en toute lucidité. Sans doute pense-t-il que sa venue au pouvoir doit au préalable passer par la ruine de notre pays. Il est remarquable qu’il vise en premier les superprofits français, puis occidentaux, mais en aucune façon les superprofits chinois…ni les pétrodollars, vénézuéliens ou moyen-orientaux.
Et l’opinion publique en redemande.
A quand la destruction des tracteurs, et tout le monde aux champs sous le règne de Mélenchon XIV, roi des connards. Car enfin, ces tracteurs à plusieurs centaines de milliers d’Euros, ne font rien de plus que ne feraient quelques milliers de travailleurs bien dressés et sont un affront aux binettes et faux diverses.
La NUPES fera beaucoup plus de morts que COVID, c’est une certitude.
L’histoire est pleine des meurtres provoqués par l’envie, par la jalousie. Que dire, comment réagir face à cela ? C’est impossible car il s’agit d’un instinct qui ne répond pas à la raison, d’une pulsion que seule l’éducation pourrait réguler mais alors il est question de paternalisme, de manipulation.
Quand l’absurdité de la haine de classe s’exprime contre toute raison, elle ne rencontre aucun obstacle, ou si elle en rencontre un elle l’explose sans coup férir. Quand elle se retire, comme un tsunami elle laisse voir un champ de désolation.
Les superprofits s’appellent « le capital », et celui-ci est indispensable à l’économie, nous en avons très souvent parlé ici.
Mais Mélenchon s’en fout, il ne cherche pas le bien de notre nation, notre bien commun, il cherche le pouvoir pour lui et ses potes, pour se vautrer dans ce pouvoir comme tous les autocrates.
Il sait qu’il n’obtiendra pas le pouvoir par les urnes, par la raison, il cherche à manipuler les sentiments pour créer une situation qui lui permettrait d’utiliser la force pour arriver à son objectif. Il n’est pas différent de Poutine.
Ils sont tous pareils ces « hommes qui se veulent providentiels ». Hélas, ils surgissent sur les ruines de la raison, de la démocratie, sur la cupidité et l’immoralité des élus et leur manque de courage.
L’intégrité qui nous mettrait à l’abri de ces fous furieux est tellement simple qu’elle parait dérisoire à ceux qui prétendent enseigner, c’est ainsi que le vice, la connivence et finalement la corruption sont enseignés dans nos écoles sous couvert de réalisme.
C’est désespérant.
Qui acceptera d’affronter le ridicule juste pour rappeler à quel point l’intégrité est simple, ordinaire, à la portée de tous….
Bien à vous. H. Dumas
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Les Ukrainiens ont pour président un comique professionnel qui est sérieux dans le cadre de son mandat, alors que nous avons pour président un sérieux diplômé qui est un comique dans le cadre de son mandat.
Chacun fait avec ce qu’il a.
La sémantique des hommes de l’Etat est empreinte de poésie, ainsi la gabegie devient l’abondance, la faillite la fin de l’abondance. Le tour est joué, pas de responsabilité, que de la malchance.
Personnellement ce que j’ai vécu.
Un pays laissé en bon état économique par un soldat accusé d’autocratie, mais qui étonnamment est rentré chez lui à Colombey lorsque les urnes de la démocratie lui ont été contraires. Drôle d’autocrate, pas vraiment comparable à Poutine… indéracinable jusqu’en 2036…
Après lui Giscard, qui prétendait avoir des idées à la place du pétrole, a engagé la France dans la démagogie. Il a participé à la distribution indifférenciée du capital durement gagné, à sa conservation exclusivement au profit d’une élite cooptée en accentuant le corporatisme et les petits partages et cadeaux entre amis.
Il a allumé la mèche de la corruption, Mitterrand en a facilité l’explosion.
Lorsque Giscard, alors ministre de Bercy, applaudit la loi Royer en 1973, il met le ver de la corruption dans le pays.
Il installe à l’endroit stratégique de l’économie — la distribution, au chiffre d’affaires pharaonique — un décideur politique à qui appartient le droit d’installation commerciale.
C’est un peu comme s’il avait décidé de créer sur l’amazone un barrage en allumettes.
Mitterrand et les socialistes, toujours en mal d’argent, mais très présents en politique locale ont organisé alors la corruption la plus incroyable qui fût.
Placée là, elle ne pouvait que prospérer et gangréner toute la société.
Puis élu, Mitterrand a apporté la stabilité corruptive en décentralisant, sans contrôle, les finances locales.
Et depuis quarante ans, la culture corruptive a crû, au point qu’aujourd’hui tout le monde la trouve normale. Mais elle ne l’est pas.
Il s’agit donc de faire croire que la misère, fille de la corruption, qui nous saute logiquement à la figure, vient d’ailleurs.
Covid a eu bon dos, aujourd’hui c’est l’Ukraine et le réchauffement climatique, les riches et leurs avions, demain ce sera toujours les autres mais leur désignation est encore un peu floue. Sans doute les désignés riches et évidemment l’éternel fraudeur fiscal.
Les organisateurs et profiteurs de la corruption ne seront évidemment pas inquiétés. Les fonctionnaires fainéants, les faux pauvres largement arrosés à rien foutre, les élus dodus et prospères, les faux-culs innombrables qui prétendent n’avoir rien vu, tout ce petit monde va vociférer pour désigner l’autre, celui qui n’est pas entré en corruption et se trouve isolé, marginalisé, parlant d’un monde que plus personne ne connait : celui de l’intégrité.
Heureusement que pour évacuer le sujet nous avons les non-sexués, les trop-sexués, les femmes abusées et les manipulateurs pervers, les calamiteux, les virus, les étés torrides, les voitures électriques, et bientôt les inondations, les vagues de froid, Poutine et Xi Jinping, tout un tas de sujets qui nous permettent de ne pas nous regarder tels que nous sommes.
Une bande de fêtards à la gueule de bois, qui découvre qu’elle a bu le capital commun, que sa monnaie ne vaut plus rien, que sa conscience a perdu pied, que derrière arrivent ceux qui vont prendre sa place, pour qui elle va transpirer et travailler pour une poignée de pois chiches dans les années à venir.
Quelle utilité un tel billet ? Aucune.
Juste que la corruption à ce niveau me donne une nausée qui m’empoisonne la vie, en plus du pillage qu’elle génère qui me touche particulièrement.
On parle beaucoup de la république de Weimar, antichambre de l’incroyable catastrophe que fût la dernière guerre mondiale.
L’idée qu’un petit trou du cul déclarerait tout seul une guerre mondiale étant absurde, il faut bien que pour des raisons rationnelles la situation soit arrivée à un point tel qu’effectivement un petit trou du cul… etc…
Sur le moment ces situations ne sont pas accessibles à l’analyse commune, sans quoi elles ne pourraient pas exister. La compréhension est occultée par les intérêts, les passions, les croyances, qui font écran. Ce n’est plus le cas après la catastrophe, quand l’histoire entreprend à son tour l’analyse des faits.
De ce que j’en sais, effectivement la situation de la république de Weimar était assez semblable à celle d’aujourd’hui.
Une dérive économique qui touche le plus grand nombre, lequel ne s’en sent pas responsable
Pour Weimar ce sont les conditions de l’armistice signée par l’Allemagne, que l’économie du pays ne peut pas assumer.
En ce qui nous concerne c’est la gabegie d’une structure irresponsable, composée de forces en partie inutiles et lourdes à financer, qui fait vivre la majorité du pays et donc ne peut être ni éradiquée ni limitée.
Une élite libérale au pouvoir, qui accepte de discuter de toute position, de toute opinion, jusqu’à un point de nécrose décisionnelle qui laisse le champ libre à la dérive économique et à la violence fiscale qui en découle.
Pour Weimar c’est l’illusion de la relance par la dépense publique qui aboutira à l’effondrement de la monnaie. Nous n’en sommes pas là mais le drame se dessine.
L’impossible maitrise de la dépense publique par des libéraux dont c’est pourtant la religion, crée la confusion en même temps qu’elle paupérise les classes incultes économiquement mais confiantes dans le pouvoir ; pour qui le pouvoir est la seule solution, qui ne sont pas autonomes, à qui d’ailleurs on ne le demande pas au contraire.
Pour ces classes, majoritaires, l’élite libérale est illégitime, seul un pouvoir fort, qui ne discute pas, qui n’hésite pas, qui taille dans le vif, est acceptable. Pure folie…
Ainsi Weimar assiste au discrédit de la démocratie et à l’aspiration à deux régimes violents, le communisme et le nazisme. Les extrêmes qui se rejoignent, parti communiste et parti nazi, pour que finalement l’un tue l’autre pour contrefaçon.
L’arrivée de la violence à Weimar est symbolisée, selon les historiens, par l’assassinat de Rathenau, libéral pacifiste.
La violence est-elle là aujourd’hui sous une autre forme, le Bataclan, Charlie Hebdo ? Nous ne le savons pas, le recul nous manque.
Il faudra dix ans de statu quo, de non-décisions, pour qu’après l’assassinat de Rathenau la violence ait accès au pouvoir, en la forme du trou du cul fauteur de guerre Hitler. Qui agit en réalité sous couvert des allemands.
Il nous reste effectivement un peu de chemin à faire avant de basculer dans la guerre. Avant qu’un de nos trous du cul enflamme le monde avec notre assentiment.
Sauf si sur notre terreau préparé, la guerre arrive d’ailleurs… Si je ne me trompe pas, nombre de français voient Poutine comme l’homme dont ils rêvent pour prendre en main le destin du pays.
Faut-il s’inquiéter ? Probablement. Faut-il espérer une solution ? Sans doute que non.
Alors que faire ? Rien.
L’opinion publique est la seule patronne de notre collectivité, elle peut penser juste ou complètement délirer, chacun de nous n’a aucune prise sur elle quel que soit son niveau décisionnel.
Observons les ravages de l’orage, espérons être encore là au retour du printemps.
Pour cela une seule solution : faire face.
Ne pas avoir peur d’affirmer que la discussion, même si elle peut être stérile ou discrète, reste la seule solution. Soyons convaincus que la démocratie est la seule voie, parce qu’elle fait appel à l’intelligence et non à la force.
Même si nous ne comprenons pas pourquoi sur le moment, défendons la démocratie, de l’intérieur évidemment et de l’extérieur s’il le faut.
Les tricheurs ne me font pas peur, pourquoi feraient-ils peur, que sont-ils face au temps… rien. Ils ne justifient pas le recours à l’autocratie, aux trous du cul capables de déclencher la guerre pour notre compte.
Roberto Saviano rend hommage à Salman Rushdie dont il partage le gâchis d’une vie sous menace depuis 2006, date de la parution de son livre sur la Camorra.
Il comprend la perte de vie d’une telle situation, pendant 16 ans pour lui et 33 pour Rushdie.
Il ne peut pas partager les coups de couteau qui ont atteint l’écrivain, mais il partage les conséquences de la décision qui les a tout deux déclarés cibles à abattre, l’impuissance de la collectivité à les protéger sans affecter leur liberté rendant leur vie insipide.
Je me demande si la vie sous les menaces fiscales qui m’affectent depuis vingt ans est différente de la leur.
Je crois que non.
Vous me direz que les Services Fiscaux ne me menacent pas de mort physique. Je pense que vous avez tort.
La perspective d’une dépossession totale de ses biens, de la misère engendrée, affecte gravement la santé. La mort alors n’a pas la brutalité d’un coup de couteau, mais plutôt l’oppression du poison ou de la longue maladie qui vous dévorent de l’intérieur, lentement, surement et douloureusement.
En réalité la différence tient au fait que dans leurs cas la collectivité les défend, dans le mien elle accélère le processus, prend fait et cause pour la menace, met à son service toute sa puissance pour exécuter la sentence largement aussi délirante que celle des ayatollahs ou des mafieux.
Puisque la preuve est rapportée que la collectivité ne peut pas les protéger sans aliéner leurs libertés, peu importe qu’au contraire elle soit du côté de ceux qui menacent. Finalement, elle devient neutre par rapport à la réalité et aux conséquences de la menace sur la vie.
Vingt ans sous menace fiscale, c’est vingt ans perdus.
Cela se concrétise de la façon suivante :
Plus de compte en banque libre, tous sont saisis au moins une fois par trimestre. Ils ne doivent en aucun cas être créditeurs.
Plus de banquier possible, votre banque sera désignée d’office par la Banque de France
Plus de crédit possible, que ce soit pour travailler ou pour consommer.
Tous vos biens soumis aux hypothèques légales et aux ventes forcées à des prix ridicules. Il vous faudra contrer ces actions dévastatrices, la plupart du temps vous serez face à un juge de l’exécution qui prend son pied à voir la cupidité des acheteurs et l’effondrement des propriétaires lors des ventes qu’il anime avec jouissance.
Vous devrez affronter le regard des autres, dont la grande majorité vous assimilera à un profiteur qui a triché fiscalement, car évidemment aucun tribunal, aucun magistrat, ne fera l’effort de juger objectivement votre cas. Le fisc a toujours raison… point barre.
Vous verrez alors votre psychisme doucement se déliter, vous ne pourrez plus croiser une belle voiture, une belle maison sans trembler pour son propriétaire, dont le calme vous paraitra le comble de la folle insouciance.
La peur sera pour vous une compagne de tous les jours, quand la sonnette de votre maison vous fera immédiatement penser aux huissiers, quand relever votre courrier reviendra à affronter exclusivement les lettres recommandées des services fiscaux qui alimenteront consciencieusement le puit sans fond de votre dette en accumulant les pénalités sur les impayés qu’ils provoquent tous les ans avec leurs impôts que vous ne pouvez plus payer du fait de leur fatwa initiale, ridicule et injustifiée.
Vous serez interdit de travail, votre situation de débiteur fiscal ne vous permettant plus de proposer vos compétences à qui que ce soit.
Alors oui, je ne vois pas de différence entre les fatwas des ayatollahs, des mafieux et des Services Fiscaux.
Je ne vois pas de différence entre l’enfer de ma vie, ou de celles de ceux qui sont dans mon cas et ils sont nombreux, et celle de Salman Rushdie. La fin n’est pas très loin pour moi. Mais elle n’intéresse personne, ne fera pas l’objet d’un communiqué.
Pourtant vous avez plus de chance, si ce n’est déjà fait, de rencontrer les menaces qui empoisonnent ma vie plutôt que celles qui empoisonnent les vies de Rushdie et de Saviano.
Bien à vous. H. Dumas
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La France est un espace de cocagne dont les occupants depuis des siècles se résignent à subir un pillage interne organisé par une minorité adoubée par la majorité.
Cette situation rocambolesque sème le malheur et la misère inutilement.
Le pire étant que les français sont parfaitement conscients de cette particularité qu’ils dénoncent sans succès depuis toujours, spectaculairement depuis 1789.
Hier c’étaient les nobles et l’église qui les pillaient, aujourd’hui ce sont leurs élus, leurs technocrates et Bercy qui s’y collent.
Le système est toujours le même, d’abord la propagande du devoir de solidarité, puis sur cette culpabilisation artificielle l’installation d’une force aveugle qui sème la terreur et récolte principalement à son profit le fruit du travail des français , laissant ceux-ci plus pauvres qu’ils ne le seraient naturellement et reléguant la solidarité à une gesticulation indigne et ridicule.
Tout cela ne se fait pas sans drame.
La force de Bercy est principalement son indifférence au drame, voire son plaisir à répandre la terreur.
Aujourd’hui il se trouve que l’avènement massif de l’information par internet découvre, telle la marée du siècle, les zones habituellement inaccessibles des meurtres fiscaux.
Ce blog, objet d’une fatwa fiscale par Bercy, permet à ceux qui le désirent de justement débusquer le pillard Bercy.
C’est ainsi que nous avons pu à l’occasion de la guerre en Ukraine souligner la dimension meurtrière de la dépossession matérielle pratiquée journellement en France par Bercy sur les français, puisque c’est cette arme qui a été la réponse de notre pays aux canons russes dans le cadre de l’aide à l’Ukraine considérée comme agressée.
Aujourd’hui un lecteur dénonce une des pires exactions de Bercy : la prise d’otage.
Maxime M. dans « Témoignage », sur ce blog le 12/08/2022, nous explique que dans le cadre du fameux «foyer fiscal » il est poursuivi par Bercy pour une dette fiscale qui concerne exclusivement son épouse. S’il décédait demain se sont ses enfants qui en répondraient devant Bercy.
Le plus souvent ce sont des épouses ou des héritiers qui sont dans ce cas.
Cette situation s’appelle : une prise d’otage. Elle consiste à faire payer par un autre les conséquences des fautes dont on accuse une personne.
La prise d’otage est un acte interdit par la convention de Genève, que les différentes armées du monde pratiquent évidemment dans le cadre de leurs exactions.
Bercy en est le champion toute catégorie. Bercy pratique la prise d’otage journellement et à grande échelle.
Merci à Maxime M. de nous en donner un exemple clair. En même temps, cette dénonciation devrait amener Bercy, qui a horreur des projecteurs, à le désolidariser de son foyer fiscal dans le cadre de son affaire.
Nous lui souhaitons bonne chance.
Bien à vous. H. Dumas.
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Que ce soit au service d’une idée ou d’une action, les structures construites pour « servir » finissent toutes par « se servir » et détruire ce pourquoi elles ont vu le jour.
Ce cannibalisme n’a aucune exception, seules varient l’intensité, la rapidité et la violence de ce cycle immuable, donc parfaitement prévisible.
L’exemple que nous avons tous à l’esprit est l’Eglise. Créée par des hommes de bonne volonté pour répandre le monothéisme dans l’empire romain, elle l’a fait avec conviction fort peu de temps. Elle s’est ensuite consacrée largement à ses intérêts personnels, au point de devenir un monstre meurtrier et voleur qui a trouvé le moyen de survivre deux millénaires.
L’objet de ce type de structures est du domaine de la pensée, elles n’ont donc pas de résultat palpable à fournir pour continuer à exister. Elles peuvent ainsi traverser les siècles, il leur suffit d’un pourcentage de gogos suffisants, la plupart achetés donc fidèles par intérêt.
Il est d’autres types de structures qui prétendent à un résultat matériel.
Alors, l’absence inévitable de résultat pérenne entraine plus rapidement soit leur disparition, soit leur imposition par la force, porte ouverte à la violence gratuite.
L’exemple de la médecine en France est remarquable.
La médecine, après avoir longtemps hésité entre la sorcellerie et la science, a globalement penché du côté de la science dans son exercice, tout en restant un peu sorcière sociologiquement.
Tout le monde a présent à l’esprit cet homme simple qui se signe devant l’autel en s’adressant à Dieu pour un menu service, lui disant « Seigneur, j’ai tant de respect pour vous que j’ai failli vous appeler Docteur… »
Pour ces deux raisons, l’importance de la médecine est telle qu’évidemment se sont dressés des « désintéressés » pour prétendre réguler la médecine et la rendre égale et accessible à tous.
Notons que précédemment était née naturellement une médecine où, ravis de faire part de leurs récentes capacités, les médecins soignaient les gens en fonction de leurs compétences et de leurs affinités.
C’est sur ce terreau d’humanité, qui pouvait être merveilleux ou sordide comme toute humanité, que les fameux « on s’occupe de tout pour vous » sont entrés en action pour construire une structure de rêve : « La Sécurité Sociale et son bazooka l’URSSAF. »
Au départ la mutualisation des dépenses a principalement bénéficié aux médecins.
Est ainsi arrivée une génération de professionnels grassement payés du fait de la multiplication infinie de leur clientèle.
Alors la structure, forte de ses résultats s’est disons : « étoffée ». A tel point que, comme toujours dans ces cas-là, elle est devenue obèse et dispendieuse.
Les médecins n’ont pas osé alors reprendre leur liberté qui leur paraissait synonyme de perte de potentialité de patients.
Petit à petit la structure a couté à tous beaucoup plus que ses apports.
Alors ce sont les médecins qui ont payé et payent de plus en plus la facture. C’est ainsi qu’un généraliste qui devrait vous recevoir une demi-heure pour bien faire son travail se trouve à gagner brut : 50 € de l’heure, soit après frais un gros 25 €.
Après quinze ans d’études, c’est le bide.
Aussi aujourd’hui, pendant leurs études, les jeunes médecins suivent des cours sacrificiels où il leur est expliqué qu’ils ne sont là que pour rendre service, pas pour gagner leur vie en fonction de leurs études épouvantablement difficiles…
Les médecins généralistes se font rares parait-il…
Mais ce n’est rien par rapport aux hôpitaux. Les praticiens ont besoin de cet outil dont le coût est devenu si cher que pour qu’il survive ils doivent travailler comme des brutes pour une poignée de pois chiches.
C’est un peu comme si les porte-avions coutaient si cher à l’armée que les pilotes seraient payés au smig et devraient voler principalement pour le plaisir, pas pour le salaire. Nous aurions alors (des) un porte-avion sans pilote d’avion…
Tout cela passerait cul par-dessus tête sans la contrainte.
Il faut dire qu’elle se surpasse la contrainte. L’URSSAF n’hésite pas à tirer dans tous les sens. Plus gros pourvoyeur de dépôts de bilan, l’URSSAF terrorise le français actif et engraisse l’inactif qui ainsi peut narguer et effrayer l’actif, bien joué.
Le vice de la structure est inépuisable. La destruction est au bout.
Je dirais : « s’il n’y avait que la santé… »
Mais ce n’est pas le cas, on peut même dire que la santé est la dernière venue. Il y a bien longtemps que toutes les autres activités ont été avalées et digérées, chacune par la structure administrative qui s’occupe d’elle : l’agriculture, la construction, la distribution, l’automobile, l’éducation, la police, etc…
Que restera-t-il de nous demain ?
Pace qu’objectivement, l’armée… c’est pareil.
Bien à vous. H. Dumas
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Quelle que soit la presse qu’on lit, qu’on regarde ou qu’on écoute, il est toujours question de groupes qui considèrent que leur survie ou leur épanouissement passe d’abord par la suppression d’un autre groupe, voire de tous les autres.
Il est rarement écrit noir sur blanc qu’il s’agit de les tuer, mais la pratique nous apprend que le groupe visé par la vindicte d’un autre en paie le prix de la vie le jour ou cet autre en a les moyens.
Aujourd’hui les proportions prises par ce travers humain sont, à minima, très inquiétantes.
Les occidentaux verraient bien le reste de la planète diminuer en nombre pour limiter la pression sur les matières premières. Le reste de la planète verrait bien les occidentaux disparaître complètement pour compenser l’époque où ceux-ci sont venus les exploiter et prélever leurs richesses.
Les entrepreneurs rêvent de la disparition des fonctionnaires et des quémandeurs de toutes sortes, pendant que ceux-ci ne cachent pas leur volonté de déposséder les entrepreneurs de leurs richesses, et même de les pendre haut et court.
Les femmes prétendent détester les hommes, qui se méfient d’elles et cherchent des solutions pour limiter leurs contacts au strict minimum.
Le bouquet se sont les écolos qui haïssent tout le monde y compris eux-mêmes et n’ont de respect que pour les animaux sauvages, puces et moustiques compris. Une terre sans humain leur paraissant le comble de la beauté. Ils nous refont le coup des cathares dont le seul but était de quitter la terre qui était pour eux entre les mains du démon.
Je pourrais multiplier les exemples, l’affrontement ayant remplacé partout la séduction, le désir de convaincre, de prouver, d’aimer… de vivre.
Les rappeurs terrifient, les films inquiètent, les romans nous laissent désespérés. Mêmes les vacances tétanisent. Elles ne sont que bouchons, trop de chaud ou trop de froid, trop de monde, trop chères, trop de bruit, pas assez d’assistance, une angoisse profonde qui commence dès le printemps, qui annonce après elles le retour au travail qui n’est plus supportable en présentiel, mais frustrant de solitude à la maison, etc…
Le rire n’explose que pour se moquer, jamais pour souligner une joie gratuite, inutile. Vous serez cassé si vous ne cassez pas le premier.
Poutine est le héros du jour, Robocop de pacotille il ment et tue sans problème, il est dans l’air du temps et va faire des émules en tant qu’idole pour ceux qui rêvent d’en faire autant.
Enfin, la naïveté est en cours d’éradication.
Aimer sa situation, son travail, vivre d’espoir, de rêve, de futur, c’est être soi-disant naïf et ne pas percevoir que pendant ce temps les salauds s’enrichiraient, alimenteraient nos rêves pour encore mieux s’enrichir. Notre bonheur ne pourrait exister qu’au détriment de celui d’un autre ou falsifié par plus malin que nous qui sait transformer en apparence de bonheur le pire de l’humanité.
Heureusement les « hommes consciences » sont là.
C’est une variété de bipède qui ne rigole jamais, qui sanctionne pour le bien de tous. Qui se sacrifie dans la douleur, pour qui aimer vivre est un crime. Pas question pour eux d’aimer les voitures, les avions, le progrès en général, le chauffage, la climatisation, la beauté des hommes, des femmes, des choses. Tout ce qui est beau et bon est mal, la seule présence de ces conditions est une insulte à la vie, telle qu’ils la définissent.
Le néant
Aujourd’hui, c’est le statut que chacun imagine pour ceux qui ne pensent pas comme lui. Il n’y a pas une grande différence — ou du moins il n’y a pas de différence connue — entre le néant et la mort.
Ceux qui rêvent encore en sont réduits à tenter de conquérir l’espace, nulle place sur terre pour les « rêveurs bâtisseurs ». Et j’ai bien peur que dans l’espace ils ne trouvent rien…
Est-ce l’âge qui me turlupine ? Est-ce l’époque que j’ai connue qui était exceptionnelle ?
Je ne sais pas. Mais, rire de bon cœur, au dépend de personne, simplement par plaisir de vivre, être optimiste, penser que tout est possible, partager cet état avec ses amis sans se défoncer à coup d’internet, d’alcool ou de hachich, ne me parait plus être d’actualité.
Rêver et accéder à ses rêves sans avoir de compte à rendre aux espions sociaux, juste en travaillant à ce que l’on désire, sans que « Parcoursup » se mêle de choisir à votre place, est-ce irresponsable ?
Je ne sais pas non plus, et finalement je m’en fous.
Même si pour justifier leur connerie tous ces « hommes consciences » m’ont volé jusqu’au dernier sou, ont cassé mes projets professionnels, tant qu’ils ne viennent pas me tirer dessus à la kalachnikov je les emmerde… et même…
La nation est un ensemble d’êtres humains, Wikipédia la qualifie ainsi : « Une communauté humaine qui se reconnaît des traits communs, culturels ou ethniques, au nom desquels elle veut constituer une entité politique souveraine. »
J’adhère à cette définition, les hommes de l’Etat y rajoutent la notion de « frontières ».
Ils prétendent que les frontières nous protègeraient. Alors là, je n’adhère plus du tout.
Nous avons tous les jours la preuve que, hors un mur gardé infranchissable, les frontières sont des passoires physiques. Ce ne sont ni les Italiens de Lampedusa ni les Ukrainiens, dont les frontières ont laissé passer les hordes de la misère ou de l’ambition, qui me contrediront.
Soyons raisonnables, les frontières servent aux hommes de l’Etat à retenir captifs ceux à qui ils entendent imposer leur pouvoir. Un point c’est tout.
Tous ceux dont l’ambition est d’imposer aux autres leur façon de vivre sont adorateurs des frontières, bien plus ils dévalorisent et caricaturent ceux qui voudraient que la terre soit un espace de circulation libre pour tous.
Pour eux la frontière va au-delà de sa forme physique, elle est aussi intellectuelle, morale. Ici l’on pense comme ceci, ailleurs on pense comme cela, il n’est pas question que la pensée passe impunément la frontière sous peine de délit d’opinion.
Ramené aux lois des hommes de l’Etat cela s’appelle l’interdiction d’ingérence.
Chaque trou du cul se prétendant homme de l’Etat exige des frontières, leurs affidés aussi et ils sont souvent la majorité.
Les hommes de l’Etat sont lucides sur le sujet et savent pertinemment, à partir d’un certain niveau, que les frontières n’ont aucune réalité pratique, ne sont que des vues de l’esprit administratif à leur service.
La population non. Elle croit à la protection apportée par les frontières, au point que face à un franchissement non autorisé elle est prête à sanctionner et même à donner bêtement sa vie, tellement elle s’imagine que sans les frontières elle serait en danger.
Alors que la réalité est l’exact contraire. La plus grande partie des misères des hommes viennent des frontières, de la captivité générée, imposée. Des limitations de l’échange qu’elles occasionnent.
Depuis que les frontières ont été supprimées en Europe nul n’imagine une guerre avec les voisins, cette évidence s’impose même si les hommes de l’Etat font tout pour dresser les populations les unes contre les autres. Ils n’y arriveront pas, sauf à remettre en place les frontières.
Beaucoup pensent que sans les frontières les hommes se précipiteraient tous au même endroit, ils pensent que cet endroit serait celui où ils vivent.
Il ne se rendent pas compte que justement une des particularités de l’homme est la dépendance à son biotope. Chacun est persuadé qu’il vit dans l’endroit le plus séduisant de la terre, sa conviction est bâtie sur bien plus que le lieu géographique, elle dépend de la globalité de son environnement, on pourrait dire de sa « NATION ».
Ainsi si chacun était libre de se déplacer, sans frontière, il est probable que des organisations différentes s’implanteraient en des lieux différents et que chacun irait vers l’organisation qui correspondrait le mieux à sa personnalité.
Les miracles de l’économie, qui n’a pas et n’a jamais eu de frontière sauf celles auxquelles on la contraint régulièrement, irrigueraient l’humanité en tout lieu.
L’avenir
Il n’est peut-être pas désespérant. Le reproche que tous les hommes de l’Etat font à Internet est justement de ne pas s’encombrer des frontières.
Or, il se trouve que l’opinion publique — dont vous le savez je pense qu’elle est le vrai pouvoir qui nous dirige – semble être plus séduite par Internet que par les hommes de l’Etat.
Alors peut-être que, passant d’abord par une suppression intellectuelle des frontières, nous arriverons assez vite à leur suppression physique.
Il en sera alors fini des hommes de l’Etat à l’égo hypertrophié qui, tel Poutine, veulent agrandir le territoire de leur influence personnelle, de leur pouvoir, en déplaçant leurs frontières, les limites de la cage de leurs assujettis, de leurs esclaves.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "L’absurde problème des frontières"
Par une de ces incroyables coïncidences dont la vie nous gratifie abondamment, j’ai croisé hier la route de Barreault.
C’est l’homme par qui, pour moi, la torture fiscale c’est intensifiée.
Le retrouver m’a procuré l’émotion qui a sans doute envahi le cœur de ceux qui, après la guerre, ont retrouvé les pillards nazis. Sauf qu’en ce qui me concerne le pillard Barreault n’est pas encore en fuite, au contraire il est confortablement installé dans le système qui nous tue, il a même pris du galon puisque de directeur des Services Fiscaux de l’Hérault il est devenu directeur des Services Fiscaux de la Région Nouvelle Aquitaine.
Ce système qui nous tue
L’opinion publique prend conscience, doucement, que rien de ce qui nous tombe sur la figure n’est lié au hasard.
Un pays est comme une famille, il y a ceux qui l’enrichissent et ceux qui la ruinent. Pendant qu’elle est entre les mains de ceux qui l’enrichissent elle est la plupart du temps protégée et en paix, au contraire ceux qui la ruinent l’exposent aux agressions et aux pillages.
En façade au service de l’égalitarisme, de la juste répartition, Bercy est en réalité au service des profiteurs qui pillent les forces vives de ce pays.
Ces pillards sont pervers, ils agissent directement par la force sur les plus exposés , ils utilisent au contraire la ruse contre les plus forts. Le résultat est uniforme, il favorise et enrichit les pillards au détriment de la maison France, qui se trouve alors exposée aux prédateurs.
C’est ainsi que, contrairement à ce qui nous est vendu, ce n’est pas Covid ou Poutine qui nous ruinent, mais bien la ruine provoquée par Bercy qui nous a jeté hier dans les bras de la folie administrative de la gestion Covid et qui aujourd’hui excite les rêves expansionnistes de Poutine et nous amène la guerre.
La perversion du pillage
Face aux gens simples comme moi Bercy ne s’embarrasse d’aucune précaution, l’attaque est directe, couverte par la justice et approuvée par l’opinion publique elle-même abondamment intoxiquée par la propagande égalitariste.
Il suffit de désigner la victime par le terme ridicule de « fraudeur fiscal » et toute la panoplie de la torture fiscale peut être déployée sans limite.
Face aux puissants c’est différent. Il va falloir d’abord stigmatiser le capital. Oublier que rien n’existe sans capitaliser – accumuler et transmettre — que l’économie n’échappe pas à cette règle universelle.
Puis il faut organiser une pseudo comptabilité unifiée au nom du prélèvement fiscal. Elle va obliger les contribuables à mettre leur patrimoine et leur outil de travail en flux de trésorerie tendu. En réalité le capital devenant le mal, il est éradiqué, dissimulé, derrière l’emprunt qui va jouer le rôle dangereux de reporter artificiellement à plus tard la constitution et la détention du capital. Mais, ce faisant, les aléas indissociables de la vie économique deviennent destructeurs au premier degré puisque le capital qui permettrait de les absorber est absent pour cause de discrétion, de non-exposition au prédateur fiscal insatiable.
Du coup les entreprises sont d’une fragilité systémique, elles sont exposées gravement et ne peuvent absorber aucune chute de consommation. Résultat, le consommateur est sommé de consommer….
C’est le cycle infernal que nous vivons, qui va générer la guerre civile déjà en cours dans nos instances politiques, qui occupe toute leur énergie au détriment du pays et de la vie de ses habitants que nous sommes tous.
BARREAULT dans tout cela ?
Il est un acteur du pire, particulièrement zélé. D’où sa réussite…
En ce qui me concerne il est un des chefs qui — pour couvrir les saloperies de la Jourdes falsifiant la réalité de l’indissociabilité du jardin de la maison de ma mère pour imposer lourdement sa succession — couvre l’utilisation des Services Fiscaux pour générer de faux redressements sur mes sociétés et faire taire ma contestation.
Pas un tribunal, pas un magistrat, pas un supérieur hiérarchique n’ont accepté de constater et de condamner les turpitudes, les intrigues, de Barreault devenu Directeur Régional dans la boutique…
Ma lettre ouverte d’hier :
« Bande de connards, ceci est une lettre ouverte.
Mon petit fils a eu un accident de la circulation.
Je ne peux même pas me rendre à son chevet.
Je n’ai plus un sou, plus de voiture, vous m’avez ruiné par pure vanité.
Vous êtes pire que les pires : Hitler, Pol Pot, Mao, Staline, etc…
Vous tuez pour rien, votre impunité et vos mensonges liés sont inhumains.
Vous m’avez dépossédé des fruits de 40 ans de travail parfaitement intègre sans l’ombre d’une connivence ou d’une corruption, alors que vous n’êtes que mensonge, corruption et pillage.
Vexés d’avoir échoué à classer des terrains inconstructibles en terrains constructibles pour piller ma maison familiale, vous vous êtes ligués pour créer artificiellement de faux redressements fiscaux, pour me refuser un remboursement de TVA important, tout cela en toute connaissance de cause, avec la complicité active d’une justice qui se vautre à vos pieds.
Vous vous drapez dans une dignité dont pourtant vous manquez cruellement.
Vos harcèlements constants attentent à ma vie, à celle de tous ceux à qui vous réservez le même sort, vos tortures sont du niveau de l’aryanisation des années 40.
La terreur que vous répandez vous conduira au destin de Robespierre. Jouissez vite, la facture sera dure pour vous.
Je vous hais, ma haine est impuissante ici-bas, mais elle vous poursuivra au-delà, sachez-le : j’en ai les moyens.
Jourdes, Pierre, Martino, Garcia et toute la clique, magistrats compris, vous en répondrez, la justice est universelle, elle vous présentera la facture au moment où vous vous y attendrez le moins, j’y veillerai. La société que vous avez pillée y veillera aussi, nul doute que les jours de votre pouvoir sont comptés.
Connards. H. Dumas »
Tout ça pour finir par tomber sur Barreault.
Désespéré je cherchais à trouver un responsable hiérarchique pour tenter de desserrer le nœud mortel qui asphyxie ma trésorerie, et… je tombe sur Barreault.
La boucle est bouclée, ce pays devra descendre au fond du trou pour au moins des années, peut-être des décennies ou des siècles, voire pour toujours quand d’autres auront pris sa place de société bien gérée sur terre.
Bien à vous. H. Dumas
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( Le grand bon en avant, 1958 à 1961, 36 millions de morts, La révolution culturelle, 1966 à 1976, 20 millions de morts).
Le principe est simple, une bande d’allumés se propose de fabriquer un homme strictement collectif, au comportement normalisé répondant à des besoins prédéfinis dont l’objectif est prétendu si génial que le bonheur serait au bout pour tous.
Las, l’homme restant ce qu’il est dans ses extrêmes diversités, notamment son sens de l’intérêt personnel, le système échoue gravement.
Pour sauver leur peau, faisant ainsi la preuve qu’ils sont aussi mus par leur intérêt personnel, les organisateurs du fiasco lancent une gigantesque opération de punition visant ceux qui auraient profité du premier délire ou qui n’auraient pas joué le jeu.
Bilan global pour la Chine, un peu plus de cinquante millions de morts.
Sans espérer atteindre de tels chiffres notre pays est bien parti et peut viser un résultat honorable dans la course à la connerie collectiviste sous excuse du bonheur égalitariste.
Depuis cinquante ans nos différents dirigeants, au service d’une bureau-technocratie totalitaire, ont laminé la personnalité des français au profit d’un idéal grégaire supposé leur apporter bonheur et égalité.
Le résultat, prévisible, est hélas irresponsabilité et déchéance. C’est à dire la résultante des intérêts personnels et de l’idiotie du système collectiviste.
Le refus du constat de l’échec par les associés organisateurs de ce qui aurait pu être appelé « Le grand bon en avant français » les amène aujourd’hui à lancer « La révolution culturelle ».
C’est ainsi que les deux extrêmes de notre système, Mélenchon et Le Pen, exigent la création d’une commission parlementaire, qui va être adoptée n’en doutons pas, pour rechercher — et donc châtier — ceux qui profitent de l’inflation.
Les fascistes de gauche et de droite, dont le rêve et l’activisme consistent à embrigader les français dans une dévotion unique envers leurs chefs éclairés sensés leur apporter bonheur et égalité collective, engagent de fait la « révolution culturelle ».
Au lieu de poser la bonne question : pourquoi l’inflation ?
Qui n’aurait pas manquer d’apporter la preuve qu’ils en étaient les seuls responsables, par leur démagogie qui a entraîné la disparition du capital nécessaire à toute économie et donc apporté l’inflation compagne de la pauvreté.
Ils tentent de sauver leur peau en posant le principe qui tue : « ne pas se remettre en question, plutôt dénoncer le voisin et lui faire payer nos propres errements ». C’est un principe qui a fait ses preuves, qui marche à tous les coups.
Oui, mais les morts ?
Chacun étant naturellement assez con pour penser que le mort sera l’autre, pas de problème.
Nous entrons démocratiquement dans le fascisme pur et dur. Tout pour et par les hommes de l’Etat, servitude et esclavagisme pour les autres. Délation et arbitraire pour tous.
Ça va être très dur.
Bien à vous. H. Dumas
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(Il est régulièrement lu et objet de commentaires justifiant sa rediffusion)
Article imaginaire écrit à la suite de la mise en examen imaginaire d’un inspecteur des impôts imaginaire qui s’appellerait Sardino et serait accusé de harcèlement fiscal.
“Contribuables, voici comment distinguer impôt et harcèlement fiscal”
Dans sa défense, Sardino invoque des “situations de redressement fiscal incompris” et assure ne pas être le “Harceleur de Bercy”.
Mercredi, l’inspecteur fiscal Sardino niait en bloc les accusations de harcèlement et agressions fiscales en invoquant des situations de “Déclarations fiscales confuses”.
De plus en plus souvent, l’actualité, française mais aussi mondiale, est secouée par des affaires de harcèlement, d’agressions fiscales, de vols d’Etat, de violences fiscales… Pourquoi? Non pas parce que le nombre de scandales augmente, mais parce que la parole se libère, et les contribuables y sont pour beaucoup, tout particulièrement Temoignagefiscal.
Nous, contribuables victimes de comportements fiscistes, cessons peu à peu de les considérer comme une fatalité, et dénonçons de plus en plus fort le rapport de domination qui nous est imposé. Certains contrôleurs fiscaux commencent eux aussi à comprendre l’ampleur du problème, mais, hélas, pas tous, même bien peu…
Succédant à celle de Cahuzac, l’affaire la plus récente met en cause le contrôleur Sardino, et nous fournit une illustration parfaite de notre sujet : 13 entrepreneurs l’accusent de harcèlement et d’agression fiscale. On parle donc de notifications salaces, de placage financier avec contraintes, de redressements déplacés, d’oppositions à contrôles fiscaux injustifiées, et autres comportements inacceptables.
Sardino se défend en utilisant des arguments déjà bien connus, que l’on pourrait résumer en un seul : selon lui, ce n’est pas du harcèlement fiscal, mais du contrôle inopiné naturel. “Contrôle” dont il reconnaît qu’il puisse être ressenti “dans la vie d’un entrepreneur comme quelque chose de pénible”.
Or, si le contrôle est vécu de la sorte, c’est qu’on a déjà basculé dans le cadre du harcèlement. La différence, toute simple et basique, réside dans le consentement : le contrôle fiscal se pratique à deux. Si Sardino affirme lui-même qu’il peut être “ressenti comme quelqu’un de lourdingue”, c’est bel et bien qu’il harcèle, “lourdingue” étant l’expression la plus courue pour minimiser la gravité d’un comportement menaçant.
Un seul critère pour l’impôt: le consentement, défini par les droits de l’homme et du citoyen.
Alors, quelle différence entre impôt et harcèlement? Si cette question peut sembler désuète, il est néanmoins utile de rappeler sans cesse sa réponse. Pour beaucoup d’entrepreneurs, les lettres recommandées, rappels insistants, ATD et demandes déplacées sont très fréquents, voire quotidiens.
Trois critères caractérisent principalement le harcèlement. D’abord, la teneur des propos: interpeller un entrepreneur, même une seule fois, avec des propos fiscistes, humiliants, ruineux, menaçants ou à caractère abusifs constitue déjà une forme de harcèlement.
Ensuite, aborder un entrepreneur sans tenir compte de ses réactions: s’il refuse le dialogue, qu’il n’en a pas le temps, n’y consent pas, insister relève du harcèlement.
Enfin, espionner un entrepreneur ou lui imposer sa présence, voire un redressement : en l’absence de réponse ou face à un refus, c’est que la personne ne souhaite pas payer un impôt supplémentaire. Point. Cette attitude est forcément ressentie comme menaçante.
Un critère, un seul, caractérise l’impôt: le consentement. Les deux personnes échangent mutuellement de façon volontaire. L’impôt est un échange collectif, qui n’en est plus un dès lors qu’une des deux parties ne souhaite pas/plus jouer.
“L’absence de réponse est aussi un ‘non'”
La fiscalté, invoquée par Sardino dans son interview (parue dans l’Abs ce jeudi, NDLR), obéit d’ailleurs aux mêmes règles: sans consentement, ce n’est plus de la fiscalité, mais une forme de harcèlement voire de vol. Et, contrairement à ce qu’il affirme, la société n’est pas “moins open”. À l’époque post soixante-huitarde chère à son coeur, la fiscalité se pratiquait, déjà, dans le respect du consentement mutuel des partenaires. (là, ça colle pas vraiment)
Autre point important souvent invoqué comme c’est le cas aujourd’hui, la qualité du refus ou l’absence de “non, clair et précis”. On considère bien trop souvent qu’en l’absence d’un “NON” ferme et définitif, la personne exprime en fait un “peut-être” ou un “oui mais je suis timide”. On voit aussi dans la résistance une façon de se laisser fiscaliser à outrance : “Tu me résistes, tu paieras plus.”
L’absence de réponse, elle aussi, est un “non”. Un “non” timide, reste un non. Bref, toute forme de refus, même simplement gestuel, est à prendre au pied de la lettre. Si un contribuable veut dire oui, il dit “OUI”. Si si, nous en sommes capables. Voici un petit récap’ à afficher sur le frigo ou dans le bureau en cas de doute:
Un point primordial de la lutte contre ces comportements est la prise en charge et l’écoute des victimes. À l’heure actuelle nous observons trop souvent une vague de décrédibilisation s’abattre sur quiconque dénoncera la violence qu’on lui a fait subir.
Quand il s’agit d’un entrepreneur isolé, particulièrement si celui-ci a un statut professionnel modeste, sa parole est systématiquement remise en question, et la violence à laquelle il doit faire face est destructrice.
In fine, c’est toujours la victime qui voit ses agissements décortiqués: un bilan mal conçu, une attitude, une déclaration tardive, une pression quelconque, une faiblesse particulière, un historique, une situation familiale particulière… Tout y passe. Quid du contrôleur fiscal, de l’agresseur, dans tout ça? Il est grand temps que la culpabilisation change de camp. Si nous soutenions réellement les victimes, en commençant par reconnaître leurs souffrances et colère comme légitimes, il serait plus facile pour elles de dénoncer et de témoigner.
Il est important de savoir que 95% des entrepreneurs qui dénoncent une agression fiscale dont ils ont été victimes perdent leur procès au Tribunal Administratif. Dans le cas des vols sur entrepreneur, moins d’un vol sur cinquante aboutirait sur un dégrèvement. Voilà de quoi expliquer en partie comment si peu de dénonciations sont faites, et de quoi se pencher enfin sur les vrais problèmes. Ces actes doivent être punis, systématiquement et de manière ferme. Pour que le message soit clair: nous ne tolérons, ni ne tolérerons ces comportements. Que ce soit dans les hautes sphères politiques, en entreprise, dans l’espace public ou dans les foyers, il ne doit y avoir de place nulle part pour les violences et abus fiscaux.
Nous devons pousser les institutions et les entreprises à se remettre en question sur ces sujets. Plus personne ne doit ignorer ces problèmes, et nous devons nous positionner: veut-on être une part du problème, ou de sa solution? Et refuser unanimement d’entretenir cette impunité qui a trop duré.
“Suis-je un harceleur fiscal?”
Vous vous demanderez, peut-être, en tant que contrôleur fiscal, si vos agissements tombent sous le coup du harcèlement ou non, posez-vous alors cette simple question: “Me suis-je préoccupé du consentement de l’autre?” Et vous aurez votre réponse.
Essayez ensuite d’imaginer comme il peut être difficile de faire avancer les choses, quand d’éminents représentants de notre société dépassent sciemment cette limite, tout en légiférant sur ce sujet, posant des bases morales qu’ils ne respectent pas eux-mêmes. Nous sommes solidaires de toutes les victimes, d’où qu’elles viennent, où qu’elles soient, et condamnons tous les harceleurs fiscaux, d’où qu’ils viennent, où qu’ils soient.
Nous allons lutter, sans relâche, jusqu’à ce que nous obtenions le respect auquel tout individu peut prétendre. Nous montrerons les limites à chaque agresseur ou harceleur fiscal, un par un s’il le faut. Nous ferons en sorte que notre société cesse d’en fabriquer. Nous sommes debout, nos enfants le seront après nous, jusqu’à ce que la véritable égalité soit installée, puis nous la défendrons avec passion.
Il y a trois façons de voir les rapports entre les hommes et les femmes, sachant qu’ils sont incontournables.
L’homme soumet la femme
La femme soumet l’homme
Les deux vont de concert dans un accord commun.
Sont-ce des problèmes d’ordre public ou d’ordre privé ?
Socialement, j’ai connu les trois versions.
Lorsque j’étais jeune, nul ne trouvait inconvenant que Claude François et ses pairs fassent monter dans leurs loges, avec ou sans son consentement, en abusant ou non de sa crédulité, une groupie choisie dans la masse pour satisfaire leurs besoins d’affection ou de sexe d’un soir.
Cela ne touchait pas que les dominants du spectacle. Tous les pouvoirs permettaient d’accéder à ce genre de « privilège », mais de façon moins visible. Où étaient le consentement, le quiproquo et l’abus de pouvoir ? A l’époque je me le suis toujours demandé, sans trouver la réponse.
Après les années 70, dites de libération y compris sexuelle, la prise de pouvoir n’a plus été une exclusivité masculine, si tant est qu’elle le fut un jour.
Dans leur marche vers le pouvoir, les femmes ne m’ont pas paru beaucoup plus délicates que les hommes. Beaucoup ont torturé les hommes jusqu’à obtenir d’eux une soumission complète et destructrice, à l’exclusion de la pénétration sexuelle évidemment.
Les corps des hommes ont été bousculés autrement, anéantis plutôt par le mépris. Ce n’est pas la même approche mais c’est le même dégout de soi, la même trace psychologique en résultat.
Les traces physiques disparaissant dans tous les cas.
Aujourd’hui, je ne suis plus directement concerné, mais la situation me parait compliquée.
Les forces et les émotions en jeu restent les mêmes.
L’égalité serait atteinte entre les hommes et les femmes ? Peut-être. Mais entre les dominants et les dominés, tous sexes confondus ? Sûr que non.
Le débat aurait quitté la référence sexuelle, grâce à la justice qui colle des prunes de dizaines d’années de taule aux hommes, rien encore aux femmes mais, connaissant la justice telle que je la connais, dès que ce sera possible, donc sous peu, il en sera de même pour elles.
Les comptes se règleront ailleurs, les dominants et les dominés pratiquant leur inlassable danse autrement.
Tout cela n’est pas sérieux.
Pendant ce temps on découvre la guerre pourtant toujours existante, qui en fait ne fait que se rapprocher, devenir probable chez nous…
S’il est un lieu où les problèmes de domination sont exacerbés, n’est-ce pas là ?
Or, nul ne l’ignore, à la guerre ne sont condamnés que les vaincus.
Le dominant qui écrase le dominé a donc raison.
L’accord commun ? le consensus ? La discussion ouverte et constructive ? Le respect de l’Autre ? Aux oubliettes.
Alors, l’amour de son prochain ? La prochaine fois.
Finalement, baisser un peu le son sur ces faux problèmes me paraitrait judicieux, un peu de modestie raisonnable.
Bien à vous. H. Dumas
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Être « insoumis » exclut une appartenance obligée. En quelque sorte toute soumission.
L’inverse serait un pervers détournement de langage.
Vous présentant comme insoumis, vous ne pouvez être que du coté de la propriété privée, seul outil vers la liberté, seule protection contre l’esclavagisme dont les puissants usent contre les plus faibles, souvent sans même s’en rendre compte. La propriété privée concerne évidemment notre corps, nos pensées et nos biens.
Il a été rapporté que vous serez « marqué par la lutte contre l’évasion fiscale ».
C’est parfait, nous sommes faits pour nous entendre.
Il se trouve que la propagande fiscale utilise la fraude fiscale comme leitmotiv dans le seul but de valider la terreur fiscale nécessaire au pillage fiscal, lui-même indispensable au budget délirant des hommes de l’Etat.
Je suis contre l’évasion fiscale, tout comme je suis contre une anormale pression fiscale.
Mais je suis aussi contre le pillage fiscal déguisé en lutte contre la fraude fiscale.
En résumé, je suis depuis vingt ans un « insoumis » face aux injustices fiscales.
Tout particulièrement face à l’impunité des contrôleurs fiscaux et au déséquilibre des droits de la défense dans le cas d’accusation de fraude fiscale.
C’est dans ce cadre que j’ai l’honneur de vous demander audience, espérant vous convaincre des projets de réorganisation de la fiscalité que je porte.
Vous pouvez constatez mon insoumission et ma connaissance du sujet sur mon blog www.temoignagefiscal.com
Dans l’attente du plaisir de converser avec un autre insoumis, respectueusement.
Rien. Mais au moins, maintenant tout le monde le sait.
Ceux qui rêvent de continuer à vivre aux crochets de ceux qui inventent l’avenir n’ont aucune chance de voir leur souhait s’accomplir, puisqu’ils ont déjà dépossédé ceux-là du capital sans lequel rien n’est possible et que leur programme consiste à continuer de le dilapider.
Ceux qui rêvent de remettre la machine en route en diminuant l’impôt pour recréer le capital ne peuvent pas non plus espérer y parvenir, la population qui souffre déjà descendrait dans la rue tout casser, pour tout simplement survivre.
Ceux qui ont vraiment tout cassé sont toujours au pouvoir, rien ne laisse supposer qu’ils envisagent de l’abandonner.
Ce sont les bureaucrates, ou technocrates pour les snobs.
Une démonstration est en cours : contre eux, la démocratie ne sert à rien.
Je reconnais que le constat est décevant, révoltant, explosif.
Les bureaucrates sont objectivement soutenus par l’opinion publique, qui les hait, mais qui les adore…
Ils ont réussi le tour de force de mettre dans les esprits cette croyance absurde : la bureaucratie nous protège.
Grace au fameux camembert statistique, au dévoiement des chiffres par des algorithmes invérifiables, les bureaucrates de tout poil ont envahi — bien plus surement que les puces électroniques qui font si peur sans pourtant exister – le cerveau de l’homo-sapiens franchouillard.
Le Français croit en la bureaucratie. L’idéal social, la quête du graal, est d’être ou de devenir fonctionnaire, c’est le plus haut niveau de la bureaucratie. Notons, c’est important, que cette dernière peut se déguiser en acteur actif tout en restant au fond d’elle une bureaucrate convaincue et militante.
Le carburant du bureaucrate c’est la loi. Pas celle qui définit les bases d’une société libre, celle au contraire qui règlemente et ficelle toute activité, qui impose la bureaucratie comme gendarme de ses propres lois construites autour de ses avantages exclusifs.
Le drame est que la bureaucratie a un coût.
Ce coût n’est jamais chiffré mais il est colossal. En capital évidemment, mais aussi en temps, en blocages et paralysies diverses, en humiliation, en cynisme, en injustices, en décalage par rapport à la vraie vie, en fausses perspectives, en mensonge, en hégémonies, en abus de tout genre, finalement en esclavagisme au profit de ladite bureaucratie.
Pas de parlement : la bureaucratie est au service du prince. Un parlement : la bureaucratie est à son service. Pas de parlement, pas de prince, la démocratie est alors à son seul service.
Dans tous les cas elle est le pouvoir, qu’elle exerce à son profit et à notre détriment, tout en nous persuadant du contraire, et ça marche….
Donc, ces élections sont un coup d’épée dans l’eau, elles n’effleurent même pas le pouvoir de la bureaucratie.
Serait-il un député élu avec l’idée de faire bouger les choses, il serait bien vite digéré par la bureaucratie de l’Assemblée Nationale.
C’est cette situation qui est à la base de cette drôle de période d’immobilité que nous constatons aujourd’hui.
Rien ne se dit, rien ne se fait, tout est bloqué et va le rester probablement un certain temps.
Jusqu’à l’explosion.
Car cette organisation bureaucratique n’est pas viable, elle demanderait des contraintes aux libertés et aux habitudes de vie inacceptables. La bureaucratie est au bout de sa prédation, comme le virus lorsqu’il a usé le corps qui l’héberge au point d’entrainer sa mort.
Il y a deux formes de final : la guerre civile ou la guerre extérieure, voire les deux ensembles, comme en 1789.
La croyance ouvre la porte aux excès. C’est assez contrariant, mais c’est le sort de toutes les croyances. Les français croient en la bureaucratie, ils ne votent que pour la mettre au service de leurs idées pas pour s’en débarrasser.
Sans elle ils ont peur. C’est leur maman…, elle les protège des méchants, des pollueurs, des voleurs, de la maladie, de la misère, et surtout elle promet de tuer ceux qui les dépassent… Pauvres croyants, ils ne vivent qu’à travers ce qu’ils croient. En fait, il ne vivent pas. Ils passent sur terre sans rien voir….
Le trou de la perversion fiscale est infini. Alors que l’on pense avoir touché le fond, il suffit de gratter légèrement et l’infernale descente reprend de plus belle.
L’organisation de La Royale, notre Marine Nationale, prend en compte cet adage : « Le pire n’est pas certain, mais il est toujours possible ». Pour l’organisation fiscale ce serait plutôt : « L’impossible pire est toujours certain », l’impossible pire étant le pire du pire marqué du signe de l’infini.
Il faut que je vous raconte l’horrible journée que je viens de passer.
J’étais convoqué à 9h à La Cour d’Appel de Montpellier.
Il s’agissait à la base des contrôles fiscaux qui ont affecté mes deux sociétés, sur ordre, pour me tuer, et pour venger l’horrible Jourdes responsable des Services Fiscaux de Sète qui avait levé un impôt successoral à l’aide de faux certificats d’urbanisme en 2000. Elle a été déboutée vingt ans après.
Pour cela je me suis battu sans retenue, mais depuis vingt ans je me heurte à l’amicale des fonctionnaires. C’est une pensée informelle qui englobe une sorte de compassion feinte pour les déshérités et une haine farouche contre ceux qui s’en sortent. Au nom de cette pensée les fonctionnaires agissent au service des demandes de leurs collègues sans retenue et sans critique ni limite.
Ma faute pour devenir la victime désignée de l’amicale des fonctionnaires ? M’être battu contre Jourdes, l’avoir mise face à ses responsabilités, crime de lèse-majesté. Et avoir gagné…
Cette amicale vous apostrophe, vous traite de fraudeur fiscal et s’autorise à vous diffamer, à vous humilier, partout où elle existe. Pire, elle vous empêche de travailler par ses réseaux qui colportent à l’infini votre infamie.
Evidemment la justice, pas toute, celle du « mur des cons », fait partie de cette amicale.
A 9h, j’ai appris qu’en fait je n’étais convoqué qu’à 14H. A 14h que mon affaire passerait dans les dernières, je suis sorti à 17H.
Le problème était le suivant :
Pour m’obliger à payer les redressements indus, fantasmés par le fisc, celui-ci a décidé de vendre aux enchères publiques une partie du jardin de ma maison, dont nous sommes propriétaires depuis 1955. C’est donc un gros sinistre affectif.
Mais ce terrain n’est pas constructible. Du moins sans se soumettre, d’une façon que je préfère ne pas connaître, aux services municipaux de la ville de Sète seuls habilités à délivrer les permis de construire, ce qu’ils font régulièrement à des endroits où cela paraissait impossible…
L’huissier a eu beaucoup de mal à établir un cahier des charges pour la vente à cause de cette situation ambigüe.
Le résultat fut que la mise à prix a été ridicule, 15.000 € pour une fausse dette de plus d’un million d’Euros. Donc une mise en vente inefficiente, mise en œuvre uniquement pour faire du mal. Un acte de pur sadisme, de torture fiscale.
A cela il faut rajouter que l’huissier a intégré au cahier des charges un document non essentiel mais illisible.
Donc je vais devant le JEX (le Juge de l’Exécution), signaler ce cahier des charges illisible, et demander une autorisation de vente amiable avec fixation du prix par ce juge. La loi simplement.
Il me refuse tout. Je fais appel, d’où ma présence devant La Cour aujourd’hui.
Je suis strictement dans la loi. Mais là deux évènements me tuent.
1° – Je ne peux pas me défendre seul, je dois avoir un avocat.
Je n’en connais pas à Montpellier. J’en choisis un, en partie au hasard mais connu comme ancien avoué.
Je suis pris en main dans ce cabinet par une jeune avocate, dont je perçois qu’elle ne pige pas très bien la dimension nationale du débat et de l’affaire.
Et patatras, à l’audience je constate qu’elle ne s’est pas impliquée dans le dossier. Elle va être incapable de remonter à la source du dossier, n’oublions pas que le Juge de l’exécution a tout pouvoir pour analyser la créance et son contexte.
Elle ne fait pas état de l’irréalité de la créance, de ses conséquences sur notre vie, sur la misère qu’elle a entrainée me transformant en mauvais payeur forcé à la fin d’une vie au contraire de payeur sûr.
Elle ne va pas anticiper sur la mauvaise foi de l’avocat du fisc. Elle va laisser un boulevard à l’amicale des fonctionnaires.
L’obligation de l’avocat est mortelle. Il peut rester indifférent à votre dossier n’étant là que par obligation. S’il devait gagner sa présence, il faudrait bien qu’il s’investisse.
Mais bon…
2°- L’avocat du fisc va s’engouffrer dans ce boulevard, à fond.
Pendant une demi-heure il ne sera pas question de droit, mais d’un appel direct à l’amicale des fonctionnaires en diffamant Dumas, présenté comme procédurier, fraudeur fiscal et mauvais payeur, qui engagerait des actions non pas pour prouver sa bonne foi, mais par mesure dilatoire.
Je suis sorti abasourdi. J’ai passé mon écœurement sur cette jeune avocate. Le méritait-elle ? Je ne sais pas, elle a agi en fonction de son environnement.
Je crois qu’elle n’a pas cru à mon dossier, je ne la crois pas mauvaise, ni en pensée ni en compétence. Mais le mal est fait.
Quelle horrible journée…
Nous reparlerons en son temps de l’arrêt qui sera issu de cette audience où j’ai été otage à mon corps défendant. Mourir sans pouvoir se battre, c’est la pire des choses.
Bien à vous. H. Dumas
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