Tous les articles par Robert Bukinov

Enterrement et confinement

En Finistère, au bout de la Terre, dans un petit village sous la pancarte de Saint-Philibert, j’ai assisté à l’enterrement d’un proche. Le malheureux, de seulement cinquante-six bougies, souffrait depuis près de cinq ans d’un cancer facial, c’est-à-dire visible. Imaginez une bouche qui se dégrade comme une gueule cassée de temps de guerre. Placé un mois avant sa fin de vie en soins palliatifs, il se demandait encore s’il allait mourir, tellement il luttait pour survivre, après toutes les dents enlevées, et de multiples séances de chimiothérapie.

Celui, à qui je rendais visite régulièrement, répondait de moins en moins à mes présences, avec un masque sur le visage, moi-même masqué aussi dans le respect du protocole sanitaire lié au Covid. Le personnel soignant dans ce couloir de la mort – les soins palliatifs – est admiratif. Je me demande encore comment il peut réaliser un tel boulot : Accompagner des condamnés dans toutes leurs intimités dégradées, leur état de putréfaction vivante pour certains.

En déconfinement, tout en étant confiné, l’enterrement civil était la seule option. Et pourtant dans la petite chapelle d’à côté, mes parents s’y sont mariés, des amis aussi. Des choses plus tristes s’y sont évidemment déroulées avec des enterrements de gens ou de proches que je connaissais. Voir cette chapelle fermée, avec des instructions Covid cloutées sur ses portes, me semblait surréaliste. Non que j’ai la foi, mais j’aime l’architecture des lieux catholiques, leur odeur parmi leurs intérieurs, leur air frais de vielles pierres, leur silence, leur souvenir.

Une bonne partie de la famille s’est donc directement donné rendez-vous au cimetière de Saint-Philibert. Une bonne partie, car limitée selon nos nouveaux principes de précaution. Chacun sans masque, mais à distance, laquelle se raccourci très vite quand il faut prendre des décisions dans l’urgence de la célébration des obsèques. C’était en effet la première fois que je vivais une mise en bière pour aller direct vers le cimetière, comme dans un Western sous un profond ciel bleu. Ladite famille est éparpillée à travers le grand-ouest de la France. Passer du trépas le lundi matin pour se retrouver sous terre le mercredi après-midi, alors que le jeudi est férié, c’était court en termes d’organisation contrainte.

Notre famille jeune pour la plupart composée des petits enfants et de leurs pièces rapportées, car les « très vieux » sont déjà partis, est une famille libérée. Nous acceptons la vie et la mort comme des épouses, sans fard, avec tristesse certes, mais sans s’appesantir, sans chercher un coupable, un responsable. J’ai appris à accepter la mort de mes arrière-grands-parents qui reposaient sur leur lit de coucher au quotidien, comme des endormis quand j’étais enfant. Diner auprès du mort dans un recueillement silencieux. Puis le lendemain, se réunir avec d’autres gens comme pour un retour de noces …

Aurait-on pu faire mieux quant aux soins de ce potentiel défunt ? Probablement ! Y-a-t-il à faire des procès ? Et quand bien même aurions-nous gain de cause, qui paie ? L’Etat, c’est-à-dire vous ? Fin de partie, mais de la mémoire et donc de l’expérience. C’est cela la vie, de l’expérience pour mieux faire ensuite.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
Loading...

L’humeur d’un gérant de petite entreprise

Des entreprises en difficultés

Quand des baleines comme Renault ou Air-France commencent à sombrer, il est peut-être temps de s’inquiéter, car avec elles, beaucoup de petits poissons (sous-traitants) pourraient disparaître. Et de toute façon ceux-ci paieront les frais d’une moindre activité, d’une manière ou d’une autre.

Renault faisait 55.537 milliards de chiffre d’affaire (CA) en 2019 et AirFrance-KLM, 27.189 milliards.

La nationalisation de ces institutions du capitalisme de connivence, pour les empêcher de faire faillite, est écartée. Le principe de la création-destructrice de Shumpeter va-t-il s’appliquer ? Bien sûr que non, il faut sauver le Titanic.

Des prêts garantis par l’Etat (PGE) sont actés pour Renault à hauteur de 5 milliards et pour AirFrance-KLM à hauteur de 7 milliards. Ces PGEs représentent 9% et 25,74% de leur CA 2019 pour leur permettre de continuer leur activité.

On passe sur les inepties d’orientation tout électrique pour les industriels automobiles occidentaux, qui fabriquent par-là déjà leurs tombes …

Ces PGEs sont aussi offerts aux petits poissons, sous-traitants de Renault et AirFrance-KLM, mais aussi à tous les autres en souffrance s’ils répondent aux cahiers des charges de nos administrations.

Quid de cet argent qui tombe du ciel

Les gilets jaunes (GJs) initiatiques, avant d’être récupérés par nos collectivistes fédérés, demandaient où passe leur pognon. La réponse, il l’ont actuellement dans l’incurie de leur Etat tout puissant, via un juin 40 sanitaire.

Quand l’économique va reprendre, les GJs collectivistes vont évidemment revendiquer tout ce pognon qui sort de nulle part, et si leur Etat nounou vient à les demander en garantie pour « l’effort de guerre », vous imaginez bien que cela ne va très bien se passer.

Cet argent qui tombe du ciel est de la monétisation, ou plus clairement l’action de rotatives à cash pour palier à des revenus non créés par du travail, de la dette absorbée dans le bilan de la Banque Centrale Européenne. En quelque sorte, on fait circuler de l’argent qui ne circule plus pour combler des trous dans la raquette. Sauf que la BCE ne va pouvoir continuer la cavalerie très longtemps. Car dans la Zone Euro, tous ses adhérents n’ont pas le même discours quant à la gestion des deniers publics, sans compter l’action de sphères économiques et monétaires concurrentes.

Un avenir sombre

Les soldes, les Black Friday ou toutes sortes d’opérations commerciales qui appellent des flux physiques dans les commerces vont être restreints. Les limitations de circulation et les mesures d’hygiène vont enfoncer le clou.

Les services à la personne en souffriront de même. Les transports en commun dans les grandes agglomérations aussi. Puis tout le reste. En fait tout va être impacté en flux de contact et déplacement, ce qui n’est pas une mince affaire parmi les us et coutumes des français.

La décroissance tant rêvée par les écolos encartés va enfin battre son plein. A cet effet, nous serons ravis de mesurer les impacts-carbone dans l’atmosphère et là encore nous pourrions avoir des surprises.

Je n’ai parlé pour l’instant que du secteur privé, mais il y a aussi nos fonctionnaires avec un salaire une carrière, plus une retraite sur leur carte vitale, assis sur la branche. Laquelle ? Celle du financement du secteur privé. Et aller chercher de la dette auprès de la BCE ou des marchés, pour financer notre administration obèse et irresponsable, avec un secteur privé à genoux, cela risque de ne pas bien se passer non-plus.

Vous avez peut-être senti une panique parmi nos représentants de l’Etat. Ils ont probablement compris le vent qui souffle depuis George Pompidou en leur faveur, tel un Alizé dans un Spi de voilier, en train de vaciller.

Nous n’en savons rien actuellement, car le monde de demain qui va se lever après nos résidences forcées, est plein d’interrogations.

Ma petite entreprise qui ne connaît pas la crise

Elle subit sa fermeture administrative depuis près de deux mois. Moribonde, il y a près de six ans, je l’ai redressée pour devenir solide en trésorerie. Sauf que cette dernière ne suffit pas pour payer l’intégralité de son stock à échéances plus des charges fixes récurrentes chaque mois, comme des locations de matériels, des abonnements divers, des assurances ou frais d’expert-comptable etc.

J’ai un découvert autorisé de 100 K€ ou l’option de solliciter un PGE. Comme je suis propriétaire de mes murs via SCI et Holding, j’ai gelé les loyers devers ma société commerciale en détresse. Vers celle-ci encore, j’ai acté via SCI & Holding de faire un apport en compte courant pour soutenir sa trésorerie, plus le gel de ma rémunération de gérant.

Il y a le chômage partiel garanti par l’Etat pour lequel j’ai opté de suite au mois de mars. J’ai avancé les salaires du même mois au début avril, puis cela revient aux aurores du mois de mai, sans avoir vu la couleur d’une prise en charge administrative alors que mon dossier a été validé depuis, depuis, on ne sait plus.

Je suis donc actuellement mon propre banquier, et ce n’est pas une rente de situation, car j’ai été responsable pour me projeter selon des devenirs difficiles.

Par ailleurs, j’ai profité du silence de cette pause générale pour ne pas poser mon cul sur Face Book ou regarder Mickey chaque jour, mais afin de créer ma porte de sortie de cet enfer social et fiscal.

Mon entreprise 2.0 sera définitivement sans salarié et plus particulièrement français avec son Larousse du droit du travail sous le bras. Elle sera mobile et délocalisable. Je n’y suis pas encore, mais sa mise production devrait se faire d’ici quelques semaines, chez les gaulois réfractaires d’abord, puis partir. La mère restant en Gaule pour essai et sacrifice, la fille, répliquée, coupant le cordon ombilical pour prospérer ailleurs. Le cauchemar de Bercy.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (8 avis)
Loading...

Laurent Berger, le berger du collectivisme

Introduction

En confinement dans le dé-confinement, j’écoutais en voiture à la radio une interview d’un journaliste subventionné en devers un syndicaliste subventionné aussi.

L’invité de RTL, le 22 avril dernier avec l’interviewer Thomas Sotto : https://www.rtl.fr/actu/politique/le-coronavirus-maladie-professionnelle-laurent-berger-cfdt-7800432266

Vous infliger cette litanie du collectivisme qui dure près de 10 minutes est un gage que rien ne va décidément changer dans le dé-confinement jusqu’à l’explosion …

Mes commentaires

Le régime du financement du chômage explose en déficit, mais Mr Berger se réjouit qu’il y ait des amortisseurs sociaux non financés, sauf par la dette ou le plus d’impôts. Il compte ainsi sur le dernier payeur, la BCE, et « la redistribution des richesses et la contribution des uns et autres à la solidarité ». Les boucs émissaires sont déjà désignés, les GAFAs qui fuient les enfers fiscaux, car d’autres pays ne voient pas le terrain avec les lunettes de Bercy.

Mr Berger s’insurge contre la logique budgétaire sur le système des soins. Normal, c’est Open Bar par rapport aux non-soignants qui empêchent les soignants de soigner … Je passe sur l’exemple des résultats obtenus face au Covid-19 par l’Allemagne en mode privé – en grande majorité – des soins, en regard des statistiques présentées par Mr Salomon chaque soir et il n’y a pas photo ! Nec plus ultra, l’Allemagne déjà en avance sur nous dans bien des domaines, va redémarrer plus vite que nous, et par là creuser le canyon qui la sépare de ses francs cousins.

Mr Berger encore : « On voit bien qu’il ne faut pas taxer le travail ou la consommation, au sortir de cette crise qui est à la fois une crise de l’offre et de la demande, on peut aller plus loin sur la taxation du capital car cela ne pénalise pas la reprise de l’économie. »

Là, vous avez de facto, l’imbécillité prégnante d’un apparatchik qui ne comprend rien à l’économie sauf à protéger son cul, comme tant d’autres parmi le Pouvoir et ses courtisans.
Le capital, comme l’a tant exprimé, Mr Dumas, c’est le carburant du capitalisme, la chose essentielle qu’il faut préserver, pour créer, développer. Les banques le savent évidemment et agissent ainsi en tant qu’assureurs. Pourquoi financer un canard boiteux ? Pourquoi financer un projet d’avenir sans se garantir ?

Mr Berger insiste encore sur le fait que les GAFAs nous permettent de communiquer entre nous : «Mais ce n’est pas anormal qu’ils contribuent au bien commun dans les pays où se créent de la richesse ». C’est un oxymore, dans le sens où ils créent de la richesse avec des services dédiés, dans des pays où se créent de la richesse. Mr Berger n’a même pas à l’esprit la valeur ajoutée proposée par ces GAFAS à tous ses confinés pour communiquer, c’est-à-dire sortir de manière virtuelle de leurs murs, ou plus clairement leur empêcher de péter les plombs.

Laurent Berger encore : « A la santé, on a vu ce que cela a donné, quant aux retraites, ce n’est peut-être pas le moment. Je crois qu’il faudra investir massivement dans le sanitaire mais aussi dans l’écologique. Avant de se poser la question de l’argent, qu’est-ce qu’on veut comme modèle de société ? »

Mais Mr Berger, il faut savoir tenir un budget comme le tient n’importe quel chef d’entreprise, non subventionné. Vous savez très bien que nous avons le budget santé alloué par multiples ponctions sur la propriété privée des revenus du travail parmi les plus percepteurs au monde, pour le résultat en l’état, ce qui démontre votre inefficience à gérer une entreprise.
Par ailleurs, votre mode écolo logique, quand les gens auront faim, volera en éclat. Et même sans avoir faim, nous avons bien compris que vos taxes écologiques ne sont que chimères pour protéger votre cul, par des règles supplémentaires, des taxes supplémentaires.

Mr Berger, vous êtes la négation du bon sens, pour l’intelligence qui vous sert, car vous avez compris vos intérêts qui ne servent que vous-même et vos affiliés que vous cherchez à multiplier.

Vous et vos maîtres sont au pouvoir actuellement, mais nous espérerons renverser la table, ici-bas. Et nous nous en donnerons les moyens bientôt, quoiqu’il nous en coûte ! Que vous débarrassiez de notre horizon !

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (3 avis)
Loading...

Le porte-avions CDG, un cas d’école ou un secret-défense

Comme vous le savez

Ce navire a fait une excursion à Brest à la mi-mars, la ville qui l’a vu naître – je peux même vous dire que j’y ai assisté car je faisais mes footings matinaux chaque jour sur les bords de l’Arsenal de Brest quand je préparais mes futures compétitions à l’époque.

Le CDG a été rappelé, d’urgence, pour revenir vers son port d’attache à Toulon, alors qu’il avait appareillé depuis Brest pour sa mission. Des cas de Covid y ont été décelés par la médecine du bord.

Le relâchement à terre sis Brest, comme pour tous les marins qui arrivent au port, serait l’indice d’une contamination au Covid. L’enquête poursuit son chemin parmi les arcanes administratifs. Soit …

Un cas d’étude de laboratoire « In Vivo »

Apparemment il en ressort que la moitié du Staff présent sur le bâtiment serait touché par le Covid.

Il y a aussi la médecine civile et celle militaire.

Lorsque j’ai fait mon service militaire dans un RIMA proche du « Chemin des Dames », j’ai eu un problème de genoux qui m’a immobilisé un certain temps pour revenir en Bretagne. J’ai été pris en charge à l’hôpital militaire Clermont Tonnerre à Brest – Tonnerre de Brest ! – de manière parfaite, ce qui m’a permis de remporter des Cross régimentaires par la suite.

Là où je veux en venir, est que ces militaires pris en charge par les services médicaux de l’Armée ne seront pas moins bien traités, sinon mieux que pour ce qui est du civile. Et puis :

– Le personnel militaire est aguerri pour faire face à la souffrance ;
– Il est aussi en responsabilité, avec des cadres bien précis, en regard constant de ses moyens à disposition, pour s’adapter aux situations présentes et à évoluer ;
– Les citoyens pourraient s’en inspirer non pour vivre par des casernes mais comprendre un peu mieux où passe leur pognon …

Dans la cadre du CDG, face à cette infection au Covid, nous pouvons obtenir des statistiques très intéressantes :

– Pyramide d’âge du personnel ?
– Relativement à cette pyramide, qui est touché ou pas ?
– Parmi ceux qui sont touchés, examen clinique pour comprendre des pathologies sous-jacentes ?
– Comprendre le circuit des personnes touchées en vase-clos – confinées en quelque sorte ?
– Advenir des ordres de l’encadrement qui ont été faits lorsqu’il y a eu des personnels défaillants – pour les non-avertis, le document unique d’équerre à présenter à l’URSSAFF pour toute entreprise en cas de contrôle, à nos assurances en cas de problème ?

Et puis en fin de comptes, les statistiques de Mr Salomon : Combien d’infectés, combien d’hospitalisés, combien en réanimation, combien de décédés ?

Connaîtrons-nous la vérité sur le CDG ?

Les statistiques «effrayantes » qui ont permis de mettre notre économie à l’arrêt, par ce qui concerne le personnel du CDG, confiné, pourraient être très différentes.

Le Président Macron l’a probablement compris aussi pour la population civile, mais pour d’autres raisons :

– Son économie à l’arrêt pèse sur les finances de Bercy ;
– Bercy est à la peine pour suivre des voisins qui traitent différemment ce Covid, pour remettre leurs moteurs en marche au plus vite ;
– La nationalisation des salaires en chômage partiel du secteur privé par des rotatives de monnaie créée à partir de rien va durer un temps. Un Open Bar qui va se terminer vis-à-vis de la concurrence d’autres économies plus efficientes et plus particulièrement dans la Zone Euro.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (4 avis)
Loading...

Aller à la cause et vers les effets

Préambules

Pour la cause, nous la connaissons très bien ici, mais quand elle n’existe pas pour une bonne partie de notre population, il reste les effets de scènes qu’on joue au théâtre.

Ces effets sont effectivement un jeu de scénarios à présenter à la plèbe. Des coursives préfabriquées pour ne pas expliquer l’explicable, et par là tenter d’être en responsabilité , avec des voies lactées, non pour les citoyens, mais plus pour leurs représentants élus et non-élus.

Le cygne noir était pourtant probablement blanc. Le blanc dans le registre du Covid qui émettait des alertes depuis de nombreux mois. Nous n’allons pas dire des années car nous savions après tout que les mœurs culinaires et de marchés parmi une partie de la culture asiatique prêtaient à des précautions sanitaires de notre part. Je dis une partie car j’exempte le Japon qui est tout sauf un bordel.

La cause et les effets

La cause pourrait être ce Covid. Dans son prolongement il fallait s’en prémunir. Sauf que nous n’avons pas compris la matière de cette cause et de surcroît comment s’en effacer. Alors quand on ne comprend pas grand chose à la cause, les effets deviennent un peu compliqués à gérer.

Ce Covid  s’impose ainsi comme un « Blob », un « Gloubiboulga » qui nous déstructure dans nos rapports sociaux, nos us et coutumes, et nos échanges.

Traiter les effets ou la cause

Pour l’instant, nous ne sommes que dans le traitement des effets, mais plutôt dans la peur de l’excès d’effets.

Quand à traiter la cause, nous n’en savons encore décidément rien.

Viennent des questions

Puisque dans le néant des causalités à effets, que faire ?

Attendre de pouvoir traiter la cause, par un vaccin idoine ?

Et si ce Covid pouvait muter ? Le même vaccin ou un autre à trouver ?

Courir le risque

Nos sociétés vont devenir très vite intenables si nos activités ne reprennent pas. Peu importe la casse que fera ce Covid, mais nous devons prendre ce risque avec tous nos moyens disponibles et à venir pour reprendre nos labeurs.

Nous trouverons des actions contre ce Covid en travaillant, mais certainement pas dans le confinement et l’immobilité.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (5 avis)
Loading...

L’Astrologie mondiale

Introduction

Dans mes jeunes années, je m’étais intéressé à l’Astrologie pour comprendre. En effet lire mon horoscope dans mon journal préféré ou l’écouter sur une radio, ce n’était que du passif. J’avais donc acheté des éphémérides pour me rendre capable de dresser une carte du ciel d’une naissance selon le lieu et l’heure de ladite naissance, à la main, car à l’époque, je ne pouvais le faire sur un ordinateur.

Je me suis vite rendu compte, que ce n’était qu’une grille de lecture psychologique comme tant d’autres, avec ses points de repères comme pour le Myers-Briggs (https://www.16personalities.com/fr/types-de-personnalite ).
Mais vous en retrouverez encore dans le domaine du RH.

M’en étant complètement désintéressé depuis, j’ai reçu ce lien par hasard, vraiment : https://youtu.be/Dl1omoSNjYo

Mes réflexions par rapport à cette vidéo

– Faire correspondre l’histoire à des aspects planétaires rares, pour nous dire que ceux-ci prévoyaient des chamboulements sociétaux relève d’un prisme d’observation virtuel ou subjectif dans la tentative d’être objectif, mais qui est indémontrable sur le plan scientifique et rationnel, sauf qu’on cherche à donner par là un lieu de causalité à effet ;

– Que ces planètes alignées prévues en avance – Septembre 2019, pour l’année 2020, sont bien vues de par la prévision – l’anticipation du futur immédiat, mais ne font encore que réciter une équation qui n’a aucun sens pour moi ;

– Que l’aboutit de cette présentation par la description ainsi faite du Néo-libéralisme et de la loi des marchés, est une supercherie. Le bouc émissaire est désigné d’emblée, mais sans comprendre les arcanes qui l’ont perverti : Capitalisme de connivence et impérialisme socialiste adossé dessus pour fabriquer des moutons en batteries ;

En effet, à toute personne qui m’interpelle sur la cause de ses malheurs par rapport au « Néo-libéralisme », Je lui pose deux questions :

– Pourquoi « Néo » devant « libéralisme », ce dernier ne suffit-il pas en lui-même ?

– Pouvez-vous me définir ce qu’est le «Libéralisme » ?

Poser ces deux questions à vos gens, mais plus vers vos journaleux ou à vos ministres, va vous surprendre par leurs réponses, ou plutôt vous faire comprendre comment nous prêchons ici par ce blog et par ailleurs dans un désert.

Je voudrais vous présenter une autre vidéo, visitée sur le site Objectif Eco par le taulier qui est un peu sulfureux et décalé. Je n’ai aucune action chez lui, mais le site reste intéressant, et d’autres comme Cédric Froment, Charles Sannat ou Samuel Rondot y ont longuement séjourné avant de voler de leurs propres ailes – vous trouverez leurs sites facilement. Mr Dumas y est même référencé : http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/un-berger-qui-s-amuse-a-decrire-les-francais-qui-en-ont-d-ailleurs-pour-leur-argent-avec-leur-macron.html

Je vous laisse vous faire votre opinion sur la matière.

Des religions toujours en place

Les idéologies sont des religions. Le libéralisme n’en fait pas partie, pour la bonne et simple raison qu’il n’oblige pas qui que ce soit, sauf à respecter la propriété privée, l’échange dans le respect de contrats librement choisis avec tous leurs risques, avec une responsabilité assumée, puis un cadre pour protéger la sécurité des personnes, des biens, à l’intérieur comme vis-à-vis de l’extérieur.

Les peuples adhèrent par inculture, propagande, instruction dévoyée, à des prébendes de manipulation pour dénoncer le doigt qui leur est montré, sans jauger celui qui porte ce même doigt, sauf par des sondages sans intérêt qui ne valent que parce qu’on peut les manipule. Churchill s’était d’ailleurs exprimé en la matière : « Je ne crois aux statistiques lorsque je les ai moi-même falsifiées. »

Sauf par encore une pseudo-culture orientée qui détruit la réflexion. Coluche nous disait aussi : “Si voter changeait quelque chose, il y a longtemps que ce serait interdit.”

Le syndicalisme français est aussi une religion, et est aussi un rentier. Il vit non pas des cotisations de ses adhérents, mais du versement opaque de toute la population qui travaille sans être capable, pour bon nombre, de faire la correspondance entre une ligne de réduction de sa fiche de paie et son devenir.

Car voyez-vous, même si vous n’êtes pas syndiqué, voir même en total opposition avec un quelconque syndicat, sur votre fiche de paie, vous allez abonder pour leurs non services, voir des services qui vous desservent. Vous pourrez lire dans le registre le Rapport Péruchot – https://www.lepoint.fr/html/media/pdf/rapport-perruchot.pdf . C’est magique ! Et ces suppôts dénoncent les rentiers ! Pffff … Pathétique !

Conclusion

Notre pays, la France, souffre de toute l’incurie de ces rentiers qui dénoncent à longueur de temps d’autres rentiers. Sauf que ces derniers ont souvent pris des risques pour vivre dans l’incertitude de créer de la richesse, alors que ces autres les pillent, sans prendre le moindre risque.

Ces mêmes rentiers incompétents par leurs offices rêvent encore du grand soir pour certains, avec l’appui des gauchistes et affiliés, très organisés, afin de profiter de l’actuelle faiblesse très claire de nos institutions et d’enfoncer le clou dans les mois qui viennent, profitant du désœuvrement d’une bonne partie de la population – bruits de couloirs qui remontent au Ministère de l’Intérieur.

Pour l’autre catégorie de rentiers issus de la technostructure, il s’agira de tenir la Bastille – Bercy en l’occurrence.

Pour nous autres, je n’en sais rien, il nous restera juste à prendre des fusils puisque ne nous ne devrons compter que sur nous-mêmes …

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (5 avis)
Loading...

Des fonctionnaires responsables

Je rebondis sur la dernière vidéo de Mr Dumas.

Préambules

Le fonctionnaire n’est pas responsable selon la bonne description de Mr Picot. Tout dépend un peu du type de fonctionnaire dont on parle. L’IGPN a le devoir d’enquête et de sanction contre un policier qui serait sorti de ses gonds pour agir. Le cadre militaire a aussi les mêmes prérogatives. La diplomatie aussi, mais il reste la justice.

Cette dernière, nous le savons, par ce blog et bien par ailleurs, se décline par le « mur des cons », sa dualité entre le Droit Administratif et le Droit Privé …

J’ai cité les droits régaliens essentiels de la tenue d’une nation, mais il en manque encore un :  Privilégier l’initiative privée autant que possible, qui doit être favorisée autant que possible, tout en la régulant sans l’empêcher.

Les fonctionnaires inutiles

Comme je l’ai déjà écrit dans un précédent article, il y a ce qu’on appelle des « Bullshit Jobs », c’est-à-dire des gens qui ont du travail et qui ne produisent rien, sauf à emmerder les français, par des employeurs subventionnés – dixit administrations, par nos impôts et ponctions diverses qui bouclent en cycles futiles.

En biologie, les cycles futiles sont une énergie qui brûle sans mode apparent. Par exemple, un sportif de haut niveau va brûler bien plus de calories qu’un sédentaire au repos.

Sauf que ces cycles futiles dans le cadre qui nous occupe ne sont pas dédiés à la performance, mais nous poussent à nous confiner dans une médiocrité.

Ce que nous vivons actuellement est un désastre, non pas par le coronavirus, mais par l’incurie de cette administration omniprésente, qui pour une bonne partie ne devrait plus être nécessaire.

Tout a été déjà écrit pour le découvrir, sur ce Blog et par ailleurs, sur Contrepoints ou encore l’Institut des libertés et encore plus par ce qu’on appelle la culture, ce qui semble faire défaut à notre Education Nationale.

Mais s’il n’y a pas de culture, alors que le bon sens prenne ses décisions. La meilleure politique dans le registre pour les français se résumerait en une seule phrase de Feu Président Pompidou : « Arrêter d’emmerder les français ».

La ligne Maginot à l’œuvre

Personne ne comprend ce qu’il se passe actuellement dans notre pays. Des statistiques pondent de partout, mais l’action reste une stratégie de position plutôt que celle de mouvement.

Le chantre du mouvement était Napoléon dans une situation de guerre, décrite ainsi par Mr Macron qui bloque sur une Ligne Maginot qui n’est autre que son armée de fonctionnaires, incapable de réveiller les forces vives de notre nation, mais plus utile pour les réduire.

Réveiller ces force vives, c’est leur faire confiance, ce génie français qui est capable de tout, qui n’a pas besoin de Cerfas, d’autorisations, de validations, pour comprendre ce qui le sert.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
Loading...

Sanitaire Vs Economie

Introduction

Le Covid-19 met à l’arrêt quasi-total toutes les économies non préparées à lutter face à cet Alien d’un nouveau genre, identifié certes par sa carte génétique, mais sans encore être en mesure de s’en vacciner, c’est-à-dire de l’éradiquer.

Nos barrières actuelles contre lui, sont :

– De révéler sa présence en nous précocement, d’où la disposition de tests nécessaires qui existent, et parmi les plus performants, ceux qui visitent la sérologie qui nous indiquent entre autre la production d’anticorps auto-immunes ;
– De peut-être prendre de la Chlora Quinine plus antibactérien sous avis médical précoce ;
– De reconnaître des précautions d’hygiène – masques et gels hydro-alcooliques, et de distanciation parmi toutes les personnes qui se croisent ;
– De confinement de la population pour qu’elle arrête de circuler, sauf à le faire pour des besoins fondamentaux listés par des autorisations précises ;
– D’utiliser des moyens de traçage des personnes en contact avec l’Alien et aussi avec qui celles-ci ont été en relation.

Ainsi, nos sociétés policées, c’est-à-dire développées et optimisées dans leurs échanges réciproques, à l’intérieur des frontières comme de par devers elles, sont à l’arrêt.

L’épicentre de cette épidémie est à scruter au niveau des Etats-Unis, le cœur et le là de tout ce qui décide à travers le monde. Le Dollar US est la devise de cotation pour bien des produits sensibles comme le pétrole, l’Or…

Les US ont façonné aussi le « Know Your Customer » vis-à-vis des systèmes financiers, qui ressemble étrangement à un contrôle des flux de capitaux pour les gueux, mais qui reste aussi opaque au service de bien de nos élites – La référence est la lutte contre les paradis fiscaux « Out of US » pour les citoyens US contre la banque UBS en Suisse.

Notre économie s’arrête donc

Notre population est confinée, c’est-à-dire à rester chez soi, disons 20 heures sur 24.

On n’entend plus Marlène Chiappa sur les voies lactées de la non-violence parmi les couples confinés, pour une bonne partie dans des lieux aussi très confinés. Appelez le 15 ou le 36 du Quai des Orfèvres qui a déménagé, au cas où ?

On n’entend plus non plus les préoccupations de Greta Thumberg et ses affiliés sur le réchauffement climatique. Les préoccupations de nos journaleux sont ailleurs, bien qu’ils s’immiscent encore parfois sur le thème de la décroissance et de la dépollution ;

On ne sait pas par avenante ce qui se passe sur les territoires hors sol de notre République ;

On n’a plus de nouvelles des terroristes qui nous menacent dans notre quotidien ;

On ne parle plus de nos retraites non finançables, mais peut-être répudiables par l’Alien Dame Nature ;

Comme quoi tout peut basculer très vite dans une société réputée optimisée par l’emprise du plus petit dénominateur commun – l’apanage des sociétés collectivistes, ou par l’excès de capitalisme hors sol des Etats-Unis d’Amérique.

Quand notre économie va reprendre

Elle va se remettre lentement. Les Us et coutumes seront bousculés pour converser et échanger entre nous. La reprise de nos activités sera poussive, ce qui fait préfigurer une reprise en « L », à l’encontre de Mr Roubini, que certains connaissent – ou alors tapez sur Google, qui prévoit un chaos en « I ».

Le scénario en « I » serait un arrêt des chaînes logistiques, entre autres pour approvisionner l’alimentaire ou l’énergie, ou le retrait des personnels des sites de ces mêmes alimentations. Bref un arrêt total.

Le « I » que Mr Roubini prévoit est plus celui lié à la Méta-Finance gonflée à l’hélium à partir de rien, avec un dénominateur commun : Une dette obligataire d’un Etat réputé fiable qui fait office de garantie par sa résilience au « Defeasance ». C’est-à-dire la confiance dans une garantie – la capacité de faire face à ses échéances de remboursement vis-à-vis de créanciers, principalement extérieurs pour la France. Quelques avertis auront remarqués quelques pics sur le rendement attendu de nos emprunts obligataires récents.

Notre France est un formidable candidat à la banqueroute dans le registre d’une économie de marché normal, c’est-à-dire libre d’apprécier la juste valeur.

Nos magiciens des banques centrales

Nos banques centrales sont capables de créer de la monnaie à partir de rien, sans création de richesse sous-jacente. Elles vont donc imprimer des signes faciaux en guise de valeur pour soutenir toutes nos économies. Et par là, aucune de nos banques systémiques ne feront faillite, comme elles auraient déjà dû le faire pour partie d’entre elles dans un marché normal.

Ce nouvel argent injecté, contrairement à la crise de 2008 puis 2012 – le « Whatever It Takes » de Mr Draghi, va être un « Helicopter Money » vers nos contribuables, les salariés placés en chômage partiel, les indépendants etc.

Pourquoi pas après tout, car le facial de la monnaie offre encore le loisir de payer ce que nous devons à tiers et consorts.

Vient la grande question : Peut-on créer de l’argent à partir de rien ? Si c’est oui, cela réfute toute hypothèse de travailler pour vivre ou s’enrichir, ce que soutient la Théorie Monétaire Moderne dans ses arcanes.

Le problème de l’inflation

Le syndrome de la République de Weimar nous guette-t-il avec de brouettes de billets de banque pour payer nos courses ?

L’inflation ne viendra que par une réduction de l’offre de biens et services, que bon nombre d’entre nous pourront ou sont prêts à payer pour y souscrire.

L’inflation ne viendra pas de la quantité de monnaie déversée, mais elle se manifestera d’un surplus de demande par rapport à l’offre. Ce qui fera l’inflation …

Quid de notre déficit budgétaire Etatique

Il va se creuser, c’est une évidence, par le fait de soutiens monétaires et de moindres recettes fiscales. Nos templiers de Bercy cherchent une mutualisation des dettes au niveau de la Zone Euro avec en tête de gondole, leur mal-élu, Mr Macron pour sauver leur cul.

Leur coursive est clairement un risque quant au maintien de la zone Euro. Nos partenaires de celle-ci, pour certains respectueux de la charte de se lier entre nous, verront, par nos carences de plus en plus de circonspection. A moins que tout reste décidément anormal …

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,50 sur 5 (6 avis)
Loading...

Covid-19 et la fermeture administrative d’entreprise

Quand il nous est interdit de travailler

Franchisé d’une très grosse structure de vente de produits et de services, moi et elle sont à l’arrêt. La structure est mon unique fournisseur. Ce dernier doit payer ses stocks commandés pour nous les fournir auprès de fabricants.

Cette structure possède aussi des points de vente en propre, qui sont eux aussi à l’arrêt.

Son échéancier devient donc tendu vis-à-vis de sa trésorerie disponible. Alors, elle ne peut faire aucun cadeau vis-à-vis de ses franchisés, comme par exemple des reports d’échéances.

Je ne m’insurge absolument pas contre ce fait, car c’est normal par la voie du Business.

Ce qui veut dire, que franchisé parmi tant d’autres, je vais devoir payer mes échéances sans aucun aménagements. En clair, cela va me faire régler l’intégralité de mon stock sans le moindre chiffre d’affaires.

Autant vous dire qu’il me faille avoir de la trésorerie qui ne suffira pas, malgré la prospérité de ma petite entreprise d’avant cette fermeture.

Je dispose auprès de ma banque une autorisation de découvert de 100 K€.

Une option de cette crise

J’ai opté pour la possibilité de mettre en chômage partiel l’intégralité de mes salariés. La plupart sont à revenus fixes avec des heures supplémentaires qui ne seront plus dues. Il y aura donc des baisses de salaires sensibles à hauteur de 85% de leur salaire net fixe. Ce qui veut dire que des vendeurs qui émargent en plus de leur net fixe, ne toucheront plus leurs primes de rendement qui l’amélioraient de façon singulière.

Je m’attends évidemment à des retours des salariés concernés qui ne vont pas s’y retrouver. Il existe pour eux deux options de préserver leur salaire selon la convention collective d’activité : Poser des congés payés ou se mettre en arrêt maladie.

Evidemment, en tant que chef d’entreprise, je préférerais l’option de se mettre en congés payés, mais c’est un sacrifice pour les concernés de ne plus disposer de leurs vacances au bord de la plage ou ailleurs plus tard. Alors vient le risque de l’arrêt maladie de convenance, en période de confinement ou pour plus tard, histoire de se venger sur le patron qui n’a pas voulu compenser la perte de salaire.

Quand un arrêt maladie survient dans une petite entreprise, c’est un schéma d’organisation des plannings de travail à revoir, car il faut compenser par à trouver un ou des candidats de remplacement à former.

Le reste des charges fixes comme par exemple par la facture d’EDF, continuera de courir même si nous ne consommons plus rien – dixit le billet de Philos sur les taxes sur une facture d’EDF …

Je passe sur tous les frais fixes d’abonnement qui vont continuer de se servir sur la bête hors circuit.

Notre Nany State

Il prendra peut-être en charge la sauvegarde des emplois à maintien de salaire avec de l’argent qu’il n’a déjà pas et encore moins par une baisse de ses recettes par une économie à l’arrêt.

Face à cela, je me demande si l’argent a encore de la valeur, car apparemment il suffit de l’imprimer par une Banque Centrale quelconque.

En fait il n’a que valeur par la confiance qu’on lui donne pour payer nos transactions. Il ne se passera rien depuis ce point de vue là, car c’est malgré tout un système monétaire déséquilibré qui à force de tout est maintenu en équilibre. Un “Trompe l’oeil” qui n’a pas encore fait défaut.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (5 avis)
Loading...

Coronavirus : Sanitaire versus Economique

Première interrogation

Le sanitaire doit-il être préservé au détriment de l’économie qui façonnait jusqu’alors nos habitudes, notre « Rat Race » – un genre de boulot-dodo et superflus que l’on peut se payer en quelques sortes ?

Quand on compare les différents épisodes épidémiques de Dame Nature à travers notre histoire. L’économie prévalait, que les plus faibles disparaissent et que : Les chiens aboient et la caravane passe. C’est ainsi que cela a fonctionné à travers les âges.

Et ceci révèle toute la fragilité de nos sociétés policées et optimisées, car plus elles le sont, plus elles se révèlent fragiles.

La France est un parfait exemple dans le domaine avec son principe de précaution inscrit dans sa 5ème Constitution, l’antithèse de la non-règle de l’évolution qui nous préconise de nous protéger tout en nous empêchant.

Notre France en a fait d’autres par le Droit du Travail épais comme un Larousse, toutes les normes écologiques qui ralentissent et qui même détruisent des évolutions technologiques majeures qui nous assuraient une énergie à bon marché. Je pense ici au Nucléaire.

Bref, on peut dresser une liste dans le registre aussi longue que des kilomètres d’autoroute.

Alors le sanitaire doit-il prévaloir sur l’économie ?

Vous observez différentes réactions à travers des pays développés et comparables suite à ce phénomène de Covid-19 : Blocage de l’économie partiel ou total ?

L’épicentre du capitalisme est les Etats-Unis. Son devenir va être très intéressant à observer.

Deuxième interrogation

Le protectorat de l’Etat français dérivant très loin de ses seules prérogatives régaliennes – Sécurité de nos citoyens à l’intérieur et vis-à-vis de l’extérieur, justice des mêmes intra et extra-muros, et plus par notre diplomatie pour nous compromettre ou pas, où nous entremettre ou pas vis-à-vis tout ce qui dépasse nos frontières.

Cet Etat français, une abstraction d’élites zélotes qui a franchi les limites d’une démocratie déstructurée, abêtie, sevrée par des slogans récités par les anathèmes de ses coursiers, la presse aux ordres et son EdNat.

Le paquebot France coule mais pas tout de suite. La plupart de nos concitoyens continuent de danser encore sur ce pont lustré de cette musique de l’orchestre officiel, malgré une gîte vers un fond sensible.

Ce qui a de bien dans cette histoire de Covid-19, c’est deux choses :

– Il est le catalyseur d’une industrie financière gonflée à l’hélium qui ne devait que s’effondrer par tant de tangibles intangibles ;

– Il est le catalyseur aussi de ce qui nous occupe, c’est-à-dire le super Etat français dont nous sommes les contribuables, pour enfin par son effondrement, nous permettre de le soumettre à la question.

Sommes-nous capables de faire table rase de ces incompétents et incapables qui nous dominent de plus en plus et que nous détestons de plus en plus ?

Troisième interrogation

L’après cette crise, car il y aura un après. « Usual as Business ? » C’est très probable. Car je ne suis pas du tout convaincu que les soumis reprendront le dessus sur les prédateurs.

Sauf si l’indigence et la première strate de la « Pyramide de Maslow » s’installe et s’étale.

Mais pour lesdits prédateurs, il y a encore la théorie du complot pour effrayer un peu plus, voir éradiquer. Car les chemins de notre histoire génocide non par la nature mais par les hommes sont plus légions.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
Loading...

Vie en province avec des cartes rebattues

Introduction

La mise à l’arrêt de tout un tas d’activités économiques à l’annonce du 1er Ministre dès samedi dernier est un basculement de notre société. Quand on est chef d’entreprise qui n’est plus autorisé à poursuivre, c’est en quelque sorte l’assommoir d’un autre genre. Ce n’est pas le Tribunal de Commerce qui m’empêche, mais une décision administrative par un Cygne Noir propice à toucher la santé de tout ou partie de notre population. Du moins, c’est ce qu’on nous dit. Nous n’allons pas invoquer la théorie du complot pour mettre à bas un système économique et financier aux abois par des faux prix, mais quand même :

– L’Euro qui a permis de sortir du Serpent Monétaire Européen qui permettait encore des politiques monétaires pour tenir compte des différences de compétitivité des nations avant leur intégration à la Zone Euro ;

– Les politiques de la Banque Centrale Européenne qui ont permis à des pays comme le nôtre de continuer à ne pas se réformer afin de préserver les acquis sociaux non financés par la réduction des Spreads de taux entre économies non compétitives entre elles de ladite Zone, ceci pour emprunter à l’extérieur à bas coût en déconnexion totale de fondamentaux ;

– Par ailleurs le principe de Ricardo s’est imposé avec le fait d’importer des produits de pays à avantage compétitif et nous permettre de consommer dans nos moyens par des délocalisations et des distributions de nos savoir-faire ;

– La boussole des bourses financières depuis la dernière crise de 2008 nous indiquait le Nord, dérèglée par l’action de nos banques centrales, ne faisant ainsi plus la différence entre les canards boiteux et les sociétés prospères.

Warren Buffett, gestionnaire de fonds, nous disait en 2008 : « C’est quand la mer se retire qu’on voit ceux qui se baignent nus ».

« Ma petite entreprise qui ne connaît pas la crise »

Quand j’ai récupéré cette boîte ou plutôt la structure d’entreprises par le décès de mon père, je ne faisais pas le malin tellement la situation était tendue, en plus collé par des droits de successions hors normes, une dette qui se rajoute dans la dette histoire de vous faire comprendre que quand vous avez les pieds dans la merde, Bercy et sa consœur l’URSSAF vont vous enfoncer un peu plus.

J’ai redressé tout çà et continué de payer cette nouvelle dette indue vis-à-vis de Bercy, un autre débat qui n’a jamais eu lieu parmi notre République « Démocratique » Populaire.

J’ai tellement bien redistribué les cartes au niveau de ma structure d’entreprises, que je suis en excédent de Trésorerie partout. Mais en désespoir, car j’ai dû opter pour des options qui sont un non-sens au niveau économique et de création de richesses. J’aurais pu faire tellement mieux sans ces communistes.

A présent que tout est à l’arrêt, ma trésorerie accumulée va pouvoir payer mes fournisseurs mais ne suffira pas. J’ai une ligne d’autorisation de découvert de 100 KE qui va pouvoir s’exercer.

J’ai aussi la possibilité d’abonder par d’autres ressources personnelles la trésorerie de ma société commerciale. Mais c’est un peu pointu et j’ai l’impression que mon expert-comptable est à l’ouest dans le registre.

L’idée est de dépendre le moins possible de la solution de reports de charges ou de facilités d’endettements supplémentaires. Je préfère réinjecter du Cash dans ma société, ceci pour trois raisons :

– Car elle est prospère ;
– Car elle va redémarrer à un moment ou à un autre ;
– Car je ne veux qu’aucun intermédiaire ne me tienne par les « Bollocks » …

Maintenant, il nous faut bien prendre conscience comment notre économie va se réveiller. Et ce que je viens de dire ci-dessus pourrait s’infirmer.

Notre tout Etat est un désastre

Il est en retard sur tout, comme on le voit par sa communication en regard des faits. C’est de la gestion à la petite semaine en se dédouanant de toutes ses responsabilités. Etre en responsabilité est une chose, être responsable en est une autre. Nos élites sont habitées par la faute ou l’incivisme de nos citoyens alors qu’ils en en sont les précurseurs par leurs injonctions déconnectées de la vie des de nos territoires si divers à agir sur notre propre sol.

Notre médecine couine

Forcément, elle plie devant tant de carences de moyens, pour acter en masse face à un Cygne Noir. Mais comment voulez-vous qu’elle fasse son travail avec cette armée mexicaine de fonctionnaires sur le dos, plus nombreux que son personnel soignant ?

On passe sur le Numerus clausus imposé, la charge administrative des médecins libéraux et les faux prix de la thérapeutique administrés.

Quid aussi de la fabrication de toutes nos machines médicales ? Il n’y a plus d’industrie autonome sur notre territoire pour les fabriquer. Même registre pour les médicaments.

Nec plus ultra, nous avons même des déficits de gels hydro alcooliques pour se nettoyer les mains ou de masques pour protéger plus l’autre que nous-même.

Les militaires viennent à la rescousse. J’aime bien les militaires, car c’est carré, pragmatique et en général plutôt efficace. Je l’ai mesuré par expérience. Mais cela risque de ne pas être suffisant, non plus, car leurs moyens aussi limités.

Le confinement

Je promenais mon chien de chasse, sans être chasseur, dans une forêt reculée au bord de la mer. Cette option était choisie pour un chien qui a besoin d’activité avec des allées larges qui offraient des distances de sécurité. Je ne croisais personne ou un ou deux quidams. En revenant de la promenade pour rejoindre ma bagnole, je vois une autorité à distance de 50 mètres regarder vers moi sur le parking. Je suis le contour de celui-ci pour enfin me faire arrêter par un Lieutenant de la Gendarmerie motorisée, lieutenant car je connais au premier coup d’œil le grade de celui qui m’interpelle dans le registre.

Je me prépare à présenter le formulaire téléchargé avec l’option adéquate.

– Vous habitez à 3 kilomètres d’ici !
– Ah, je vois que vous en savez déjà (par l’immatriculation de mon véhicule) …
– C’est un peu loin de votre domicile, vous ne trouvez pas ?
– Vous trouvez ? Quelle est la distance de son domicile pour promener son chien ?

Silence et flou, qui voulait dire je n’en sais rien.

– Oui mais si on autorise à vous promener ici, cela va faire plus de monde ;
– Je trouve que le confinement est bien respecté par chez nous, peu de voitures, gens …
– Oui mais il y a toujours des irréductibles ;
– Vous avez conscience que ce n’est pas une crise sanitaire, mais la crise économique à venir à craindre !
– Je n’en sais rien vers où on va …

Un aveu d’impuissance. Il me laisse filer et n’a même pas repéré que je n’étais pas à jour de mon contrôle technique. Ou alors cela n’avait plus d’importance …

Conclusion

Les violences conjugales, les incivilités, les problèmes des voisins, les rancœurs etc vont probablement s’exacerber. Vivre en promiscuité quand on n’a pas compris qui était son voisinage intérieur ou extérieur peut être révélateur. Et dans notre monde d’autrefois Open Bar, c’est peut-être une chose que nous avons oubliée.

Un autre monde va peut-être se dessiner, non plus dans la globalisation tous azimuts, mais sur un repli sur soi, ce qui flinguerait l’Euro.

A l’échelle de notre nation, nous pourrions retrouver beaucoup de degrés de liberté.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...

Covid-19, Armageddon ?

Petites apartés pour commencer

Ce virus est apparu en Chine, l’usine du monde à bas coûts. Les autorités chinoises ont réagi vivement pour mettre leur économie administrée en quarantaine. Ce qui leur permet d’afficher des statistiques en pertes humaines probablement bien moins importantes que le tout venant de toutes les causes de leurs décès récurrentes : Pollution, environnement sanitaire, accidents de la route et que sais-je … On parle tout de même d’une population de 1.386 milliards d’individus recensés en 2017.

La carte du ciel des chinois s’est subitement éclaircie avec des photos satellite d’une économie à l’arrêt. Nos écolos encartés vont probablement rebondir sur le ciel bleu enfin ouvert aux chinois par la décroissance …

Nous étions effectivement accoutumés à voir les quidams chinois porter des masques pour se prémunir d’un air vicié. Ils ont, eux, effectivement des masques qu’on nous a retirés, par notre sacro-saint Etat toujours en retard d’une ou deux guerres par ses coursives administratives du genre Ligne Maginot.

Ce virus comme on nous l’annonce n’est que la nature qui fait son office : Eliminer les plus faibles.

Le paradoxe de nos sociétés policées est que nous n’acceptons plus les réactions de notre Nature, car nous avons opté par choix de préserver le PPCM – le Plus Petit Commun Multiple, le standard de notre religion délétère depuis quelques décennies, le Socialisme : Souffrir en nombre pour s’aligner sur la protection du maillon faible. C’est plein de bonne intention, mais qui se soucie de payer l’ardoise ?

Ce qui m’inquiète

Nos élites auto-proclamées pilotées par Bercy prennent le risque de mettre notre économie à l’arrêt. Pas de problème, « on-eux-ils » feront «Tapis » pour mettre tout l’argent nécessaire qu’ils n’ont pas pour préserver notre protection sociale et nos créateurs de richesses, les branches sur lesquelles notre armée mexicaine de fonctionnaires est assise, plus les pensionnés, les allocataires, les subventionnés.

Soit ! Mais la facture de toutes ces largesses de notre « Nany State », au bout du compte, il faudra bien la payer. Qui ? Par ceux qui ne paient rien ou pas grand-chose en spoliation directe par voie déclarative ? Evidemment non. Nos coursiers de la presse subventionnée en service commandé sont en train de nous faire comprendre que l’heure est à la mobilisation générale, une déclaration de guerre en sorte. Ce qui ouvre la porte pour un futur pas si lointain à des mesures exceptionnelles : Ceux qui peuvent encore payer sur leur épargne ou leurs revenus pourraient connaître la divine surprise d’une contribution exceptionnelle pour l’effort de guerre.

N’oublions pas les lois SAPIN I & II votées il n’y a pas si longtemps. N’oublions pas aussi, pour sauver nos banques dont le « Core Tier One » fait pâle figure en regard de celui de leurs consœurs US qui se sont clairement restructurées suite aux événements de la crise de 2008, la protection des comptes à concurrence de 100 K€. Au-dessus, on peut implicitement tout prendre. Evidemment, le contrôle des sorties de capitaux vers des cieux meilleurs peut être renforcé, mais il l’est déjà, soyez en sûr – expérience vécue à titre personnel.

Il y a aussi l’emprunt international, l’apanage de nos Traders du Trésor Public pour placer notre dette auprès de clients acheteurs. Mais dans une situation de collapse économique mondiale, tant les pertes seront considérables, malgré tous leurs talents et leur notoriété qui ne tient qu’au taux de recouvrement de l’impôt de leur administration qui est là encore championne du monde, leur situation pourrait être tendue …

Il y a encore la solution du Reset Monétaire. Là c’est du ressort de la théorie du complot.

En effet, une économie mondiale percluse de dettes, avec des actions monétaires de Banques Centrales de plus en plus ténues en moyens d’actions pour sauver le Titanic qui dérèglent complètement nos économies avec des faux prix de l’argent. Entendez par ceci comment un prêteur qui perd de l’argent pour financer un emprunteur sans défaut de ce dernier, une chose absolument iconoclaste que vous ne trouverez nulle-part parmi toute nôtre bibliothèque de littérature économique au service de notre essor depuis l’âge de pierre, puisse perdurer, ce qui est le fondement du capitalisme. Les socialistes sont en train de nous effondrer …

Pour conclure

Si je devais partir à la guerre sous les ordres de Mr MACRON et de sa clique de généraux, estampillés ministres et des Sous-Offs de Bercy en trompe l’œil, car les vrais généraux, l’issue se rapproche des Pétain qui vont nous conduire au désastre, je déserterai ou je serais résistant à leurs offices.

Il est grand temps de faire table rase de toute cette armée mexicaine pour nous concentrer sur notre génie français, avec les coudées franches issues de la Pléiade et des lumières qui ont suivies. Nous sommes un peuple brillant par notre culture, par notre histoire, par nos savoir-faire. Petit pays pourtant en superficie, mais reconnu à travers le monde.

Profitons de cette crise pour virer ces incapables qui ne pourraient même pas gérer une baraque à frites, avec toutes les normes, les taxes et les impôts qu’ils ont voté par leurs assemblées de connivence avec le pourvoir présidentiel et vertical, renforcée sise le quinquennat présidentiel adoubé par feu CHIRAC faisant coïncider l’esprit des lois avec les poursuites du pouvoir en Roi Soleil …

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...

Le César du meilleur réalisateur 2020

Prolégomènes

Il est attribué à Roman Polanski pour son film « J’accuse », l’affaire Dreyfus racontée du point de vue du Colonel Picquart, qui au péril de sa carrière et de sa vie, n’aura de cesse d’identifier les vrais coupables et de réhabiliter Alfred Dreyfus.

« Condamné par la justice américaine dans une affaire d’abus sexuel sur mineur en 1977, Roman Polanski est considéré par Interpol comme un fugitif : à la suite de sa condamnation, après avoir purgé une première peine aux États-Unis, il a fui le pays avant d’y être à nouveau condamné dans la même affaire. Dans les années 2010, plusieurs autres femmes l’accusent de violences sexuelles qui se seraient produites dans les années 1970. Roman Polanski nie ces accusations, hors celle de 1977. » Source – Wikipédia.

Cette session des Césars était manifestement très animée par des messages qui relèvent plus d’un débat de société, que de ce qui a trait à l’art.

On peut aussi reconnaitre ce genre de cérémonies de distinctions des prix comme de l’écume par-dessus la mer des talents épars. Car tant de films ou de livres que j’ai pu découvrir, me captivaient bien plus que ceux parmi les Césars ou Goncourt décernés et proposés. Mais elles peuvent aussi avoir l’œil fin quand elles ont invitées « Les nuits fauves » de Cyril Collard en 1992 sur la question du HIV, que viendra reprendre le cinéma US avec « Philadelphia » sorti en 1993 avec la musique de Bruce Springsteen sous le même intitulé.

Mais le débat était alors tout autre car il s’agissait des rapports sexuels à protéger, car menaçant toute notre reproduction.

L’art ou notre société

Mozart était un génie mais aussi un dépravé au désespoir de Salieri, intelligent et instruit mais dépourvu de ce même talent. Nous continuons de jouer du Mozart ou tout du moins de l’écouter par toutes ses interprétations. Faisons un sondage parmi notre population : Qui connaît Salieri ? Qui connaît Mozart ?

Tous les potentiels « avocats », c’est à dire acteurs, metteurs en scène, réalisateurs du film « J’accuse » se sont désistés de leur présence à la cérémonie des Césars. Et ils ont eu tort. Car leur séant et leur soutenance à leur œuvre n’aurait servi que leur art pour dénoncer un sujet qui n’a effectivement rien à voir avec l’autre pamphlet des femmes violées. Ce qui n’est pas enterrer les plaintes des dites femmes, mais les porter là où elles doivent être traduites : Devant la justice.

Imaginons que Louis Pasteur ait violé sa femme ou sa voisine. Faudrait-il jeter le bébé avec l’eau du bain ?

Adèle Haenel, remontée comme un coucou suisse, était bien présente lors de ladite cérémonie. Elle connaissait forcément son effet de scène : Partir avec une robe en V vers son séant dans le dos pour crier « La honte ! ». Précieuse ridicule !

Une réalité

Peut-être par les médias, aux détours d’une illusion, d’un mirage. La femme doit devenir l’égal de l’homme.

Derrière un homme il y a une femme, et derrière une femme, il y a un homme.

Mais il faut bien reconnaître ou accepter que les femmes vivent dans un monde façonné par les hommes et dirigé par eux. Les hommes sont les artisans de nos sociétés, avec l’aide des femmes évidemment. Et c’est pour cela qu’elles les épousent, car sans eux elles ne seraient rien, et sans elles, ils ne seraient rien non plus …

Alors pourquoi les femmes à ne pas tenter de s’affranchir de la condition des hommes, comme le proposent tant de nos nouvelles Suffragettes, avec des poils sous les aisselles et la non-épilation ?

Alors pourquoi les hommes à ne pas se mesurer à traduire la Virtual 3D pour se passer des femmes, si elles n’ont plus besoin des hommes…

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,83 sur 5 (6 avis)
Loading...

La fin de partie du tacheté de gris et de blanc

Préambules

Celui-ci visait la Mairie de Paris pour renverser Anne La Dingo, mais son gris lui a coupé les ailes vers son blanc.

Mais que s’est-il passé finalement ? Notre homme, bienséant dans les arcanes des socialo-pétainistes qui dirigent son pays, a fini par être lynché sur place publique.

Un nouveau Ravaillac, estampillé Russe et réfugié politique de l’emprise du Tsar de toute la Russie a dénoncé le gris. Notre presse Mainstream s’est évidemment insurgée contre cet excommunié devant de telles facilités de moyens pour agir de la sorte, et aussi les interférassions de la Russie dans notre « bon débat démocratique. »

Pauvre victime, celui qui n’aimait ni les clopes et le diesel de ceux qui le payaient et manifestaient sur les ronds-points à se geler les côtes.

Disparaît !

Prolongements

La plupart d’entre nous qui glissons un bulletin de vote pour tous ces VRPs de la politique, sont des culs serrés avec des hémorroïdes attenantes : Le conservatisme et la peur de changer :

– Aujourd’hui, Madame Michu, vous allez devoir payer plus !
– Ah bon ? Bon si c’est comme ça …

La plupart d’entre nous ne comprennent pas que ces VRPs sont là pour amuser la galerie avec leurs copains journalistes employés par des Big Boss en connivence avec le pouvoir, le réel pouvoir.

Ce réel sceptre, c’est qui ? Il y a deux connexions. La première est celle de Bercy avec ces technocrates non-élus, inamovibles qui ont cerné notre pays, petit à petit avec l’entremise de VGE et qui ont prospéré ensuite sous tous ces faux culs de représentation de la coure.

La deuxième connexion est cette Europe mal vissée avec des perdus incompétents comme Mr Barnier qui a le charisme d’une huître et l’intelligence d’un soldat de plomb pour négocier la sortie de l’Angleterre de L’Europe. Ou cette nouvelle Lagarde qui ne comprend rien à l’économie pour revitaliser la zone Euro…

Je ne vais pas faire plaisir à Philos, mais que les anglais se soient détachés de l’Europe est le premier signe d’une démocratie du peuple respectée. Et dans le fond, c’est très bien ainsi, car l’Angleterre par ses réseaux Commonwealth et sa City, une mairie dans une mairie a l’opportunité de pouvoir alors engendrer un Singapour sur la Tamise de l’autre côté de la Manche et attirer nos réfractaires au socialisme.

Peut-être pour cela que nous emmagasinons du Brexit Bashing à foison par nos pseudos journalistes Mainstream.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
Loading...

L’entrepreneur percepteur bénévole

Préambules

Je rebondis sur l’article publié par Mr Dumas – https://temoignagefiscal.com/lentrepreneur-ce-percepteur-benevole-battu-vole-viole-dont-la-parole-ne-se-libere-pas/

L’entrepreneur n’est pas un bénévole, ou il l’est par son libre choix. En aucun cas, face aux coursives de Bercy et de toutes les administrations y adossées. Il est leur esclave en prenant tous les risques pour gagner sa vie et faire vivre avec lui et par lui un écosystème.

Le bénévolat est une action positive et non une autre réduite, où il s’agit de charité choisie et non de solidarité imposée.

Prolongements

La fatigue d’un petit entrepreneur qui est sur le terrain, les pieds dans la glaise, ne peut se reconnaître parmi ces crotales et ceux qui en dépendent. Tout l’art de ponctionner les forces vives au profit d’une clientèle qui en vit est sciemment organisé par une nouvelle religion : La solidarité, l’apanage du socialisme …

Le Parti socialiste, sise France, est en déconfiture, mais pensez-vous que ses jalons et métastases tels un cancer n’existent plus ? Le socialisme et ses échafauds de rééducation prospèrent et ont gangrenés toute notre société. Même ses opposants politiques ne sont que des faire-valoir qui épousent leurs codes.

La supercherie continue avec les écolo-scientistes, car le pognon vient à manquer pour servir leurs œuvres. Ces derniers radicaux sont parmi les pires : Le Marxisme décroissant. Marx n’était pas contre la croissance, comme pour nos inféodés syndicats car ils ont besoin de faire les poches de leurs administrés dévoyés.

Ces Kmers verts sont les idiots utiles pour réduire un peu plus nos possibles et nous ponctionner plus dans une impasse, une régression …

La Gourde

Ou plutôt Lagarde à la tête de la BCE. Avocate de talent, donc forte en communication, nous dit grosso modo que pour notre épargne, elle s’en fout, mais que l’emploi est la priorité. Ce qu’elle oublie, la championne des vélos plutôt que la voiture pour se déplacer, est que l’épargne est le fondement du capitalisme sur laquelle elle émarge avec tous ses affiliés. Placée à la tête de cet Etat dans l’Etat, elle nous promet une économie verte. CQFD …

L’intérêt

Nous avons tous des assurances que nous payons pour nous prémunir. Elles nous sont imposées dans la plupart des cas et c’est une bonne chose pour éviter le « passager clandestin ». Chacun parmi nous choisit celle qu’il peut s’offrir, à la carte, comme pour aller dîner en ville.

Mais ce n’est pas le cas pour notre santé et nos vieux jours. Ni non plus pour notre sécurité des biens et des personnes. Les français continuent d’adorer la suprastructure dans toute sa verticalité qui ne cesse de provoquer des déserts dans leurs besoins fondamentaux, celle à bout de ressources malgré l’artefact de se hisser en champions du monde de prélèvements obligatoires et de taux de recouvrement via l’inquisition par les impôts, les taxes et leurs tribunaux administratifs.

Des manants

Notre société est pourtant en tension. Effectivement une partie de notre population se réveille et pose la bonne question : Ou passe notre pognon ?

Mais se la poser revient souvent à trouver des faux coupables. L’entrepreneur par exemple. Celui qui exploite et qui ne paye pas ses subordonnés, alors que ceux-ci perclus de droits par un Code du Travail qui s’approche de l’épaisseur du Larousse.

L’EdNat et les préposés de la communication Mainstream ont farci l’esprit des dindes à tondre, éparpillées autant que possible pour ne pas se coaguler en fronde, ou plutôt fondre vers les mêmes autoroutes tracées : A bas le capitalisme, le libéralisme ! Sans même comprendre que ces derniers sont la source de leur émancipation, de leur individualité, de s’être affranchis, de leur propension à aboyer …

Conclusion

Je n’en ai pas. Pour moi, c’est la fin de partie – plus positive que celle de S. Beckett. Je prépare une machine à pognon portable et dé localisable qui va me permettre de sortir de cet espace Schengen et faire un Fuck à toutes ces administrations françaises qui m’ont violé en tournantes …

C’est peut-être cela ma conclusion …

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...

Les mots d’un président

“Aujourd’hui s’est installée dans notre société – et de manière séditieuse, par des discours politiques extraordinairement coupables -, l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’une forme de dictature se serait installée…
Mais allez en dictature ! Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décident des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France c’est cela, essayez la dictature et vous verrez !
La dictature, elle justifie la haine. La dictature, elle justifie la violence pour en sortir. Mais il y a en démocratie un principe fondamental : le respect de l’autre, l’interdiction de la violence, la haine à combattre. “

Introduction

Quand on écoute ou lit ces propos, nous avons l’impression d’un type complètement hors sols. Celui qui épouse le mode autoritaire de notre cinquième constitution à la tête de l’Etat, une hiérarchie verticale dans l’entregent de toute son administration à son service, de toute une Presse, inféodée et servile.

La Sédition

« La sédition » est une invocation à l’émeute, à la révolte et au soulèvement contre la puissance établie. Nous en sommes très loin actuellement en France, car c’est le fait de décérébrés marginaux en proportion de la population, qui continuent de pousser dans le « Nany State », celui qui nous doit tout sans rendre compte de rien.

A l’inverse, le mouvement des Gilets Jaunes, dans sa primale activité nous interpellait sur : « Ou passe notre pognon ? ». Réponse par exemple : Dans les hôpitaux publics où vous avez plus d’administratifs que de personnels soignants – article sur le site « Courrierdesstratèges », que vous trouverez sans difficulté, corroboré avec mon médecin de famille en fin de partie.

La vraie sédition serait de couper les vives à toutes ces administrations, par une coagulation de toutes les forces vives des Landernau de créations de richesses, loin de Paris. Ils ne tiendraient pas huit jours ….

En bémol, pourquoi croyez-vous qu’ils ont mis en place le prélèvement à la source des impôts sur le revenu ? Pour doper leur meilleur taux de recouvrement de l’impôt au monde, selon le mode Orwell.

La dictature

“Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décident des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France c’est cela, essayez la dictature et vous verrez ! “

Mais Mr Macron, vous représentez qui ? Vous avez été élu sur un coup d’Etat pour évincer votre principal adversaire, Mr Fillon. Car j’aurais préféré un débat de second tour entre vous et Mr Fillon. Peu importe qu’on aime ou pas, mais cela aurait été d’une autre facture que celle proposée avec Mme Le Pen où vous aviez la certitude d’être élu par une minorité de nous tous.

En fait, par cette forfaiture d’élection démocratique, on n’a pas changé les dirigeants, mais renouvelé les figures imposées depuis plusieurs décennies pour métastaser à travers notre pays. Nous sommes dans la continuité de ce socialisme repeint écolo qui nous impose votre dictature. Celle-ci est un non-choix, vous vous rappelez ?

La haine

” La dictature, elle justifie la haine. La dictature, elle justifie la violence pour en sortir. Mais il y a en démocratie un principe fondamental : le respect de l’autre, l’interdiction de la violence, la haine à combattre. “

Mais qui vous respectez par vos administrations à tiers détenteurs ? Vous avez votre droit administratif pour vous protéger et requérir en mode privé sous toutes vos façons. Vous êtes dans l’injonction et non dans la négociation. Vous êtes dans la négation et non la proposition. Vous êtes parmi les crotales qui tiennent vos templiers. Vous êtes une parodie de justice.

La haine, vous l’avez par les miséreux que vous avez créés. Et elle se répand aussi par de petits créateurs de richesses comme moi que vous spoliez à foison …

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (8 avis)
Loading...

L’affaire Ghosn

Préambules

Homme puissant, patron du n°1 de l’industrie automobile issue du couple Renault-Nissan, se fait arrêter sur le tarmac de l’aéroport japonais Haneda le 19 décembre 2018.

Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que chez nous, au plus profond de notre Etat omniprésent on a laissé faire, ce qui veut dire lâcher les chiens sans agir en amont par tous nos services dédiés aux renseignements, pour le débarquer.

Était-il gênant pour notre suprastructure ? Un empêcheur de tourner en rond, en dehors des canons du développement des services au lieu de l’industrie ? Le repoussoir du respect de la mainmise de l’Etat issue de la nationalisation de Renault par l’envers du CNR dès le 16 janvier 1945 ?

La conférence de presse de Carlos Ghosn post-évasion

Une version à charge à l’encontre de l’Etat Japonais qui par l’intermédiaire de Nissan veut reprendre la main sur un fleuron industriel, c’est-à-dire s’affranchir des diktats de notre suprastructure de Bercy. Nissan est dorénavant prospère et il pouvait être temps pour les nippons de changer les règles du jeu.

Curieusement rien sur le pourquoi l’Etat français a déboulonné Carlos Ghosn dans cette affaire alors que c’était leur meilleur templier pour préserver le leadership français d’une telle fusion ?

L’évasion de Carlos Ghosn

Surveillance omniprésente dans une espèce de goulag à ciel ouvert, un peu comme le nôtre mais plus sournoise, et pourtant il réussit à sortir. Peu importe les moyens, cela fera l’occasion de scénarios pour des fictions à venir.

Il possède trois passeports recensés : Libanais, Français et Brésilien. Une chance, car souvent dans bien des pays, pour obtenir un nouveau passeport, il faut abandonner celui du pays d’origine, comme en Russie, sauf pour Gérard Depardieu. Mais vous l’avez compris, les mêmes règles ne fonctionnent pas pour tout le monde.

Les japonais s’insurgent évidemment, pour ne pas perdre la face. Mais ne sont-ils pas non plus complices de trouver des petits arrangements diplomatiques afin que les choses qui fâchent ne le fassent plus …

Conclusion

La moralité de toute cette cavale ou cabale, est que vous ne trouverez aucune investigation de presse sise France et ailleurs pour démonter ces jeux de pouvoirs avec des personnes puissantes, car protégées. Pour elles, transférer des millions à travers le monde ne pose aucun problème. Vous, si vous souhaitez virer votre propre argent hors espace Schengen, vous allez comprendre toute votre misère par rapport à eux …

Merveilleuse année à vous tous qui publiez et nous lisent.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...

Quand tout était facile

Préambules

La France d’autrefois pas si lointaine, inscrite sur la période des Seventies et Eighties, respirait la joie de vivre et des possibles : Une époque que je qualifierai de « Far West », une liberté « Open Bar ».

Sur les plateaux de télés, ça fumait et s’engueulait. Nous avions des Desproges, Coluche, Le Luron, Gainsbourg, Polac et les nuls de Canal Plus naissant, etc. Pour dire sans fard ce qui leur passait par la tête avec tous nos accusés réceptions.

Une période où la création musicale était à foison chez nous, comme à l’international car tout avait été écrit et projeté durant cette période pour les années futures.

N’oublions jamais que Michael Jackson avec son album « Thriller » sorti en 1982 s’est vendu à plus de 65 millions d’exemplaires. ACDC, groupe de Hard Rock, je dirais Blues-Rock amplifié qui déménage un peu les tympans a signé plus de 50 millions d’albums payés avec son fabuleux « Back’n Black » livré en 1980. Aucun de nos artistes à travers le monde ensuite n’a pu enregistrer de telles performances. Vous me direz que c’est la faute au téléchargement « Underground » via notre Web. Je vous répondrais : Croyez-vous que nous avons attendu l’internet pour nous passer des cassettes de main à la main …

Sur les routes, il y avait moins de véhicules à l’époque et plus de morts. Là effectivement, nous avions à être recadrés : Car essayer la nouvelle GTI ou le dernier Turbo en pleine bourre en sortie de boîte de nuit n’était pas vraiment une bonne idée. Les gendarmes nous connaissaient et nous pouvions alors discuter avec eux.

Sur les plages de la fin de la Terre, le « Finistère », en face de l’Amérique, nous faisions brûler des buchers avec des pneus à l’occasion de feux de Saint-Jean, mais plus souvent avec des merguez arrosées à la bière, dans une relative tranquillité …

Que sommes-nous devenus ?

Tous mes potes, issus pour la plupart du milieu rugueux de la mer, ont continué ainsi ou trouvé d’autres métiers, ont fondés pour la plupart des familles et n’ont rencontrés aucun problème. Nous étions fous, mais aussi responsables.

Avec nos parents, comme référents sûrement et nos écoles d’alors, nous étions élevés pour devenir garants de nous-mêmes.

Procès d’aujourd’hui

Quand nous regardons chaque fronton de mairie, nous voyons : « Liberté, Egalité, Fraternité ».

Asseyez-vous devant une quelconque de ces mairies et respirez calmement afin de traduire une connexion entre « Liberté, Egalité, Fraternité ».

Qu’est-ce que cela représente pour vous ? Posez-vous vraiment cette question au fond de vous-même, sans syndicat, sans presse, sans rien ?

Et vous allez comprendre ce qu’est le socle de notre démocratie avec des mots non-dévoyés …

Mais, je ne suis pas sûr que vous allez saisir et c’est toute ma crainte pour l’ensuite …

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,78 sur 5 (9 avis)
Loading...

La retraite

Apéritifs

Autrefois elle se passait en famille, les jeunes prenant soin de leurs aïeux dans le giron d’un clan.

L’émancipation de nos individualités, permise par notre Etat-providence, a offert de nous affranchir de vivre au quotidien avec nos vieux.

Puis quand nous devenons, nous aussi vieux, nous n’avons peut-être plus de famille, ni pour la plupart d’entre nous de revenus, sauf la solde en récompense de notre vie d’activité et pour ainsi ne pas peser sur nos descendants proches, qui doivent être compris plutôt comme des ascendants de notre évolution humaine.

Le Papy-Boom

Ce système a très bien fonctionné avec les Baby-Boomers, qui s’inscrivent probablement dans la meilleure période de prospérité qu’ait connu toute l’humanité passée. Ils se retirent aussi avec la caisse alimentée par les corvéables d’aujourd’hui, avec une espérance de vie bien meilleure que celles de leurs grands-pères ou grands-mères.

Mais plutôt que de gérer les Inputs et les Outputs dans un modèle à l’équilibre, notre « Nanny State » a botté en touche en filant dans la cavalerie avec à présent sur les bras, des gens actifs qui voudraient au moins les mêmes revenus à l’aube de leur vie que leurs prédécesseurs. Sans tenir compte de la pyramide des âges actuelle avec de moins en moins de cotisants pour de plus en plus de retraités et de surcroît une croissance de PIB qui ne suffit plus même à entretenir les droits régaliens : Justice, Police, Armée et Diplomatie.

Quand la cause de la redistribution sociale stratosphérique échoue elle aussi dans les registres de l’égalitarisme forcené, avec des redevables de l’assistance publique qui se plaignent et des agents administratifs qui se cabrent quant à leur servitude contrainte et sans avenir.

L’emprise de notre Etat profond

Le Web est vu comme un nouveau Far West par bon nombre de nos concitoyens, par lequel on peut s’épancher sur tout ce que l’on a à dire et tout ce que l’on pourrait y faire. Projet mort-né, car la Matrice qui nous épuise en déni de démocratie y a trouvé son intérêt, avec certes un temps de retard sur les primo-utilisateurs dudit Web, pour enfin pouvoir chasser tout ce qui bouge dans ses radars. Le paradoxe de cette histoire du Web démocratisé, est que ce sont des créateurs de génie en mode privé qui ont donné les moyens à cette pieuvre inquisitrice de nous chasser de notre vie privée.

Je passe sur les encore possibilités de s’exfiltrer de ces inquisiteurs qui ne sont malheureusement pas à la portée de la grande majorité d’entre nous …

Off-Shore State

Notre avenir de créateurs de richesses est de dégager ces templiers de l’Etat omniprésents depuis de trop nombreuses décennies. Ils nous vendent la démocratie par l’élection pour des gens qui ne sont que des non-choix pour perdurer dans un système de corruption généralisé.

Les gilets-jaunes du 17 novembre 2018 ont voulu les chasser. Ceux qui se sont ralliés à eux ensuite, sont les mêmes qui supportent cette Matrice, car ils sont devenus tellement serviles, qu’ils ne comprennent plus rien à la cause de leur condition humaine. …

En conclusion

N’importe quel chef d’entreprise sérieux partirait en courant devant une telle gabegie de ressources pour produire aussi peu, avec en plus ou plutôt en moins un déficit récurent sur plus de quarante années d’exercice. La Cour des Comptes, qui n’a de nom que la Cour, une exégèse de Tribunal qui ne pourra jamais sanctionner, parmi cette promiscuité de Tartuffes qui s’épanchent. Une même Cour qui oublie sciemment de s’intéresser à la pérennité du financement des retraites  en autonome du service publique, par les salaires versés à ses agents, financés par le privé sur lequel, seules les contraintes pèsent. De vrais artificiers qui tromperont  l’illusion encore un temps.

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
Loading...

Black Friday

Préambules

Comme je suis encore un peu dans le business via une grosse machine qui pousse au commerce, je voulais vous en parler un peu de l’intérieur. Mais commençons ainsi.

Le Black Friday vient des States au lendemain du quatrième jeudi du mois de novembre, le même qui marque le Thanksgiving, honoré par un repas traditionnel autour de la dinde. Mais pourquoi remercier d’avoir obtenu quelque chose – traduction de Thanksgiving ? Afin de pouvoir manger de la dinde ?

Le fin mot de l’histoire remonte au 15ème siècle quand des colons de l’Amérique avaient admis de partager leurs productions sans propriété pour un quelconque d’entre eux, le communisme en l’occurrence, qui allait être théorisé et expérimenté à plus grande échelle bien plus tard.

Nos aventuriers ont finis par devenir des crève-la-faim. Mais leur promiscuité avec les indiens autochtones qui leur ont donné des dindes pour enfin survivre, les ont aussi éveillés quant à revoir l’organisation de leur société, c’est-à-dire renverser la table et offrir une propriété à chacun pour produire sur ses terres. « Bizarrement », le quotidien de chacun s’est grandement amélioré …

De quoi s’agit-il exactement avec ce Black Friday aujourd’hui ?

Dans les faits il y a aussi un pré Black Friday, décalé, c’est-à-dire qui débute dès le lundi de la semaine de l’événement, avec des offres promotionnelles. Les consommateurs le savent. Le chiffre d’affaires se réveille déjà.

Les traditionnels surveillants aux aguets des fausses promotions vont nous dire que les commerçants augmentent leurs prix de vente avant de les barrer avec des moins X pourcents, et poursuivre le même débat à l’occasion des diverses périodes autorisées de soldes, la petite musique de nuit jouée par nombre de nos traditionnels journaleux, mais pas toujours.

Dans l’émission « C’est dans l’air » – https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/1110927-black-friday-des-soldes-a-tout-prix.html, Fanny Guinochet, journaliste économique à l’Express, magazine qui n’est pas vraiment ma tasse de thé, nous dit après 4 minutes 50 : Je vous laisse écouter.

Là où la journaliste fait erreur, est quand elle nous annonce que les gens anticipent un blocage de possibles achats pour la fin d’année. Non ! Ils n’anticipent rien par rapport à cela sauf à verser en mode survie en regard de stations-services en rupture de carburant pour leurs voitures, car c’est déjà le cas dans l’ouest de le France. Je parle évidemment pour les français de la périphérie, les plus nombreux et épars, qui ne seront pas forcément les plus démunis quand les urbains seront vraiment bloqués.

Là, où elle a raison, est que nombre d’entre nous ont des problèmes de pouvoir d’achat, et que de tels prix fracassés leur offrent une opportunité de s’acheter quelque chose ou de remplacer un autre équivalent en usage.

Est-ce que ces prix sont effectivement sabordés ? Pour ce qui concerne mon commerce, oui ! Vraiment !

Le volume exponentiel de ventes à faible marge compensera sans doute l’inverse de l’équation, mais sans tenir compte des coûts de logistique supérieurs. Par ce fait, le chiffre d’affaires du mois de décembre, le plus fort de l’année, sera forcément impacté, à la baisse.

En effet, en termes de commerce, nous passons ainsi d’un profil de ventes en chameau, avec deux bosses, au lieu du traditionnel dromadaire avec une seule pour la fin d’année.

Globalement et statistiquement, le chameau laisse un delta de marge commerciale un peu supérieur à celui du dromadaire, mais pour une unique raison : Car nos fournisseurs rattrapent notre taux de marge perdu à hauteur de près 6% sur la première bosse du chameau vendue à perte en terme d’EBITDA, terme anglo-saxon qui n’est ni plus ni moins que le reflet de notre EBE – Excédent Brut d’Exploitation dans notre tableau des SIGs – Soldes Intermédiaires de Gestion.

Ce Black Friday pourrait ainsi faire oeuvre d’accès au plus grand nombre d’entre nous pour profiter du marché. Une oeuvre presque sociale … Ce qu’est de toute façon l’essence même du capitalisme non dévoyé.

Arrivent nos Block Friday

Les ayatollahs de la décroissance décident de manifester pour bloquer ce type de commerce. C’est un peu dans l’air du temps, nous l’avons tous remarqué à tel point que l’on s’interroge parmi nos députés pour peut-être mettre un bémol à cet « Open Bar ».

Le paradoxe français parmi les élites de Bercy, parce que c’est là que cela se passe, est qu’il faut faire de la croissance, mais en même temps y renoncer. Mais aussi se payer sur la croissance comme sur la décroissance.

Peut-être que ces mêmes ayatollahs n’ont plus besoin de leurs Smartphones, de leurs ordinateurs, ni même d’électricité ou du moins à pas cher.

Quand je regarde la jeunesse encartée écolo à attendre un bus, ils ne communiquent que derrière leur écran. Quand j’avais leur âge, j’étais bien plus en osmose avec la nature, car nous nous n’avions rien. Nous étions dehors à nous écorcher les genoux, à chercher parmi le paysage tout ce qui pouvait nous intéresser. Et quand ma grand-mère nous voyait devant la télévision après avoir déjeuné, elle nous chassait : « Allez-voir si je danse sur la dune ! » Une chose que ces générations nouvelles ne comprendront jamais. Car nous et nos parents et grands-parents avions en ligne de mire le progrès, c’est-à-dire prendre l’ascenseur pour monter des étages de l’humanité entre nous.

Ces ayatollahs veulent prendre un autre ascenseur pour descendre à la cave, au profit de nôtre planète.

On peut lutter contre la pollution, j’adhère totalement à cela, mais si c’est pour ne plus faire de la croissance, alors il faudra éliminer une bonne partie de l’humanité ….

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (5 avis)
Loading...

Liberté de penser

Pour rebondir à la dernière publication du taulier du site

Effectivement nous sommes seuls dans nos têtes, comme pouvait le chanter feu Johnny Hallyday par « Diego » et quand on passe à un quelconque acte qui sort de nos cervelles, nous devenons de facto responsables … Par rapport à quoi ? Une société dans laquelle on vit et qu’on accepte ou pas, qui légifère à foison pour recadrer notre liberté de penser. Bref entre une société liberticide et qui se meurt et une autre qui fait confiance à ses citoyens. Un choix “démocratique” qui n’existe plus en France.

Il y a par ce constat trois solutions :

– S’y conformer ;
– Y résister ;
– Ou fuir.

Notre taulier a décidé de s’y conformer, mais aussi d’entrer en résistance contre un mur qui s’est dressé en amont devant lui : Bercy. Donc y demeurer et lutter, avec des problèmes vis à vis de l’administration fiscale,  que j’aurais réglés rapidement, au vu de leur teneur. C’est le chapitre “S’y conformer” car quand on n’est pas du bon côté du flingue, inutile de se rebeller à sa merci. Mais une fois lesdits problèmes résolus, peu importe le prix on peut agir ! Vous allez me dire : Collabo ! Je vous répondrai rusé, car on peut leur faire payer plus que ce qu’ils nous prennent ou plutôt leur payer bien moins que ce qu’ils nous pourraient prendre …

Il résiste mais il n’a plus les moyens ni l’âge, ni probablement l’envie de quitter la terre de ses aïeux, comme la majorité d’entre nous qui sommes sous le même joug, bien plus jeunes, les pieds vissés à de telles chaînes, les préfabriqués de hamsters qui courent dans un tunnel sans fin …

Notre liberté de pensée

Une divine concurrence par le Web nous permet de nous exprimer en dehors des diktats formatés pour nos journaleux qui prêchent dans la religion de leur sociale-démocratie. Celle qui réduit tout individu au lieu de le servir.

Tous les abrutis qui nous sont présentés en termes de témoignage par cette propagande servile sont les véhicules pour jouer sur la peur de tout et ne rien comprendre de quoi il s’agit, le fameux principe de précaution qui va à contrario de Dame Nature et de notre évolution. Utiles pour masquer les errances de notre ploutocratie au pouvoir qui en jouit. .

Résistance

Comme le taulier de ce site, je n’adhère pas à cette société communiste en devenir et qui va sombrer comme n’importe quelle expérience de la sorte.

Je n’irai pas manifester avec les Gilets Jaunes aux côtés de ceux qui coulent notre pays en toute impunité, par des circuits fléchés. Je n’irai pas non plus me recueillir au pied de Bercy sur les tombes de ceux qui sont tombés sous leurs offices, mais pour … C’est là que cela se passe, au même endroit, et qui devra changer, bien plus sûr que la doxa du dérèglement climatique !

Bien à vous.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (4 avis)
Loading...

« Giletjaunisation » de l’opposition

Pour faire court en  préambules 

L’horizontalité de l’expression permise par les réseaux sociaux, les Blogs etc ouvrent une liberté d’attribution du débat à quiconque veut réagir sur quelconques sujets. Comme une boîte de Pandore qui s’ouvre enfin pour court-circuiter les canaux Mainstream d’informations, et se ré-informer par un flow d’autres sources …

Pourquoi cette recherche de l’horizontalité ?

Car une bonne frange de notre population laborieuse ne comprend plus rien à cette verticalité de nos institutions.

Rappelons-nous : La 5ème République, celle qui court toujours en exercice depuis 1958, a voulu rompre avec l’instabilité parlementaire de ses précédentes. L’exemple flagrant d’une telle instabilité est sous nos yeux, avec la question du Brexit au sein de la Chambre des Communes anglaise – en aparté, élue selon le suffrage uninominal majoritaire à un tour. Mais il y a débat, même si cela dure.

Chez nous cette verticalité du pouvoir s’est exprimée frontalement en 2005 par le dernier référendum proposé au peuple que permet notre Constitution, sur le Traité de Lisbonne. Inutile de rentrer dans la foire de si ce projet est bien pour nous ou pas. Mais vous le savez, le « Non » du peuple a été transformé en « Oui » de par nos institutions. Il n’y a pas eu de débats … On décide et vous exécutez ….

Et c’est tout le problème aujourd’hui, sise France, de qui veut s’opposer à cette lecture verticale du terrain, pour ceux qui ont les pieds dans la glaise. Qui va les représenter dans nos institutions ? Des de nos députés ? Font-ils partie de la majorité au pouvoir ? Ont-ils eux-mêmes un sceptre dans leurs fonctions ?

La radicalité de la rue

La rue crève de ne pas trouver de boulot, car le coût du travail avec toutes ces normes et charges sur un salaire coûte décidément cher.

Le petit patron crève de payer pour toutes ces normes et ces charges pour un temps plein, et quand il peut faire le travail lui-même, moins de problèmes il aura.

La rue par ces biais se paupérise et s’énerve.

Logique. Quand notre démocratie travaille en cavalerie pour déshabiller Pierre au profit de Paul, sans assurer les droits régaliens d’une quelconque sécurité physique ou de droit de propriété privée …

Quand en toute « «Socialie », les fontaines de valeur ajoutée vont se rétrécir au profit de rien …

Quand, la rue va peut-être monter vers les avenues, puis par les boulevards et enfin les routes. Mais hélas, en tant qu’aliénés de la “Socialie” avec laquelle ils ont convolés en noces …

En conclusion

La verticalité des décisions va se traduire par de plus en plus de répression pour se légitimer. Chant du cygne, pas sûr et même pas du tout. Nos élites vont tout faire pour nous réduire ….

Quoiqu’il en soit, évitons-nous la barbarie, car c’est clairement ce qui nous menace … Et j’ai envie de dire, si c’est la cas, faisons y face ….

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (5 avis)
Loading...

Une citation intéressante

En apéritif

« Laissez-moi vous donner ma définition de la justice sociale : je garde ce que je gagne et vous gardez ce que vous gagnez. Vous n’êtes pas d’accord ? Alors expliquez-moi quelle part de ce que je gagne vous revient, et pourquoi ? » – Walter E. Williams.

Vous trouverez sur le net qui est Walter … Merci à Goufio de le citer en réponse à l’article de Dominique Philos « Retraites : le rêve fantasmé de l’égalitarisme », ce qui va me permettre de rebondir sur ladite citation.

Préambules

« Je garde ce que je gagne et vous gardez ce vous gagnez». Non ! C’est impossible à moins de vivre au fond des bois, mais pas dans une société d’échanges régulés avec toutes les infrastructures nécessaires pour les multiplier, les sécuriser … Pour tout cela, nous aurons au moins un manque à gagner pour des services rendus. C’est comme cela que nous nous sommes tirés de l’âge de pierre pour vivre nos individualités.

Prolongements

La deuxième partie de la citation est beaucoup plus intéressante : « Vous n’êtes pas d’accord ? Alors expliquez-moi quelle part de ce que je gagne vous revient, et pourquoi ? »

Difficile de répondre à cette question d’emblée, ne trouvez-vous pas ?

Est-on dans un lien de subordination dans une relation de travail ? Est-on dans une relation de qui peut le moins peut le plus, dans le même cadre de subordination ou en dehors vis-à-vis de tiers ?

Malheureusement, une telle question posée parmi la majeure partie de notre population, ne trouvera en réponses que : Colère, envie, orgueil, gourmandise, paresse et luxure. Un peu moins pour l’avarice qui est plus le propos des Bigoudens et des Auvergnats, dans une image d’Epinal, mais pas tant que ça …

L’Etat a alors décidé de prendre les choses en main pour caper ces villages d’ « Astérix » et répondre à cette dernière question posée par : « Tout dans l’Etat, rien hors de l’Etat, rien contre l’Etat ! » Cela ne vous rappelle rien ?

L’Etat, par lui et ses corps intermédiaires, Etat profond, Syndicats, Presse, s’oblige à spolier une partie de la population, mais pas que, toute la population à l’insu de son plein-gré pour ne pas répondre à la question essentielle : « Expliquez-moi quelle part de ce que je gagne vous revient, et pourquoi ? »

Et alors, si je me refuse à devenir votre prostitué(e), est-ce le bannissement de la Terre de mes ancêtres, étant entendu encore que vous allez me pourchasser bientôt à l’extérieur pour vous fuir, par ce passeport français fiscal, ou alors me devoir y renoncer ?

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,86 sur 5 (7 avis)
Loading...

Bonne nouvelle !

Prolégomènes d’une inquisition fiscale

Pendant que les français se dirigeaient vers les plages, le chef d’entreprise que je suis encore, recevait un courrier de la brigade de vérification fiscale pour contrôler nos activités qui touchent à la TVA. Point sensible forcément, car la TVA est l’impôt le plus rémunérateur parmi toutes les offices de Bercy.

Comme j’avais liquidé la fonction comptable de ma société pour des raisons de Cheval de Troie et de malversations découvertes à posteriori mais non produites devant la justice ; Vous connaissez peut-être le sort des employeurs devant les Prud’hommes avec sous le bras un Code du Travail qui rivalise avec l’épaisseur du Larousse. Mon expert-comptable a donc pris toute ma gestion comptable ce qui s’est d’ailleurs révélé bien moins cher qu’un poste équivalent dans l’entreprise et beaucoup plus « Secure ».

J’héritais d’une entreprise qui perdait de l’argent et j’en ai fait une pompe à cash à présent.

Je reçois donc au sein de mon bureau, le vérificateur de la DGFIP en présence de mon expert-comptable. Il est peut-être à souligner que je suis moi-même comptable par mes affaires en sciences économiques orientées sur les mathématiques financières et l’économétrie, plus un cursus un peu trop prolongé vers l’expertise comptable, mais inachevé et dieu merci. Cela pour dire qu’en face de l’opposition en présence, je ne suis pas le dernier perdreau de l’année.

Le vérificateur traduit sa mission de vérification, inopinée bien sûr, pour le motif de la TVA à éventuellement redresser, mais pourquoi pas poursuivre plus loin, car je détiens des SCIs qui louent des locaux occupés par des professionnels. L’enjeu devient de facto une vérification approfondie …

La genèse

Facile contrôle fiscal. Le vérificateur a tapé dans nos factures par sondages sur le navire amiral, mais rien d’autre. Il a relevé toutes nos pièces en détaxes de TVA pour des entreprises qui travaillent Off-Shore. Il nous fallait lui produire des attestations d’exonération de TVA desdites firmes afin d’en justifier la cause. J’ai pris mon téléphone pour contacter les intéressés pour les documents qui pouvaient me manquer. Tout est arrivé.

Je suis par ailleurs franchisé d’un grand groupe qui a pignon sur rue. J’ai très vite compris que mon “contradicteur”, soit cherchait à me piéger, soit il ne comprenait rien aux implémentations Business dudit Grand Groupe. Ou encore, que des conséquences pouvaient le dépasser via les services juridiques du Grand Groupe. Car il lui aurait fallu démonter le système de facturation alors en place. Autant dire, sûrement pas une partie de plaisir pour lui.

Concernant l’activité de mes SCIs, j’ai effectué des cessions et acquisitions entre elles à coup d’emprunts pour obtenir du compte courant, c’est à dire du cash disponible. J’ai aussi passé l’une de ces SCIs de l’IR à l’IS, c’est à dire d’assujetti au barème progressif de l’impôt sur le revenu, à celui de l’impôt sur les sociétés. L’idée était de couper l’hémorragie d’impôts à payer immédiatement  pour gérer ladite SCI avec un IS qui venait de baisser sous Macron. Cerise sur le gâteau, ce dernier a posé une Flat Taxe de 30% sur la distribution de dividendes.

Je tiens à souligner que dans un climat serein d’impositions tous azimut, je n’aurais jamais procédé ainsi.

Le vérificateur a alors très bien compris l’objectif de tous ces mouvements au sein des SCIs : Pouvoir payer selon un échéancier admis par l’administration fiscale une somme colossale de droits de succession. Ceux-ci représentent ni plus ni moins qu’un coût de non-opportunité. C’est à dire qu’avec cet argent qu’on m’aurait laissé, j’aurais pu faire du business en plus avec des gens en plus. J’aurais pu faire travailler des artisans en plus pour la restauration de domaines privés insalubres. En fait, ces artisans, je les ai remplacé par ma force de travail pour faire tout ce que je pouvais faire par moi-même.

Conclusion

Finalement, Je n’ai vu ce vérificateur qu’à l’introduction de sa procédure, mais pour sa conclusion que par un courrier qu’il n’y a rien à prendre de plus … Comme quoi, les contrôles fiscaux ne se passent pas toujours si mal.

Un contrôle URSSAF est intervenu simultanément sur ma société “Commerce”. Quand le président Macron vient nous réciter devant un parterre de chefs d’entreprises, qu’elle est l’amie des entrepreneurs, tout intelligent qu’il est, soit il ne sait pas de quoi il parle, soit il fait de la politique au service de l’Etat profond qui dirige ce pays, soit ce n’est ni plus ni moins qu’un imbécile.

Bien à vous

PS : La dernière vidéo publiée par Mr Dumas avec Simone Wapler, que je lis très souvent, parle exactement de ce que je pense : “Redonner le salaire complet aux gens qui travaillent”. Et comme les gens ne sont pas aussi nigauds, tels que notre presse Mainstream nous les présentent, ils comprendront les boulets avec lesquels on les a ferrés, quand on va leur expliquer de quoi il s’agit vraiment …

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (5 avis)
Loading...

Droits de succession, art de dépouiller (suite)

Le terme « Droit » me pose un véritable problème. La succession testamentaire ou naturelle est inscrite dans le Code Civil, afin de protéger la propriété privée et sa transmission.

De nouvelles règles ont été mise en place par nos législateurs pour orienter d’abord ce droit. Le principe de prévalence en direction d’une filiation directe. L’enfant doit hériter avec une réserve incompressible, devant les cousins, les nièces voir les oncles ou encore la pièce rapportée, un nouveau mariage. Pourquoi ? L’enfant serait-il meilleur pour succéder au(x) défunt(s) que l’un de ses cousins, l’une de ses nièces ou qui que ce soit ?

Il y a déjà un vice légiféré dans le consentement du défunt.

Cette orientation est conduite par la recherche d’une spoliation plus ou moins importante du patrimoine du défunt par des « droits de successions » en regard de ses choix ou non-choix au profit du ou des destinataires de ses œuvres.

Mais quand bien même, dans le favoritisme de la filiation directe du père ou de la mère vis-à-vis de son ou de ses enfants, il y a un aussi un droit de succéder qui doit se payer au profit d’une suprastructure qui nous l’impose. Comme si celle-ci était capable de comprendre une transmission de témoins entre générations, qui ont les pieds dans la glaise.

Mais il nous faudra rendre comptes à cet inquisiteur, cette pieuvre administrative, cette Matrice. Ce sera un inventaire du patrimoine successoral, susceptible d’être retoqué par ladite administration selon ses propres règles du jeu auxquelles elle nous force, pour éventuellement nous poursuivre vers la réduction du fruit du travail, issu d’une génération antérieure, pour réduire encore le potentiel d’une génération future.

« Droit de succéder » ? Les seuls qui peuvent me dire si j’ai le droit de leur succéder sont ceux qui ont confiance en moi. Et quand des illustres se sont acharnés à créer de la richesse et de la réussite, ils ont évidemment un quelconque discernement pour adouber leur(s) successeur(s).

Peu importe pour les collabos de l’administration en place, l’artefact du soviétisme à la mode Orwell : « Tu paies ce tu nous dois ou alors on te raye de la carte ! »

Nous l’avons bien compris et rasons les murs, mais pour combien de temps encore ? Car la rage monte crescendo en nous et cela se paiera, et cette fois pour vous, les collabos, les courtisans, les affiliés !

Bien à vous

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...