Tous les articles par Robert Bukinov

Sauvegarde actuelle de nos sociétés occidentales qui déboussole

Faux prix administrés soit par des bornes fixées, soit dans leurs arcanes avec par exemple le coût complet d’un salaire, d’une facture de l’EDF, très bien disséquée par Philos dans un de ses précédents billets, ou encore des logements sociaux ou des associations subventionnées qui ne sont plus des marchés. La Croix Rouge ou les Restaus du Cœur ne sont que les artefacts d’une société qui a échoué à élever ses citoyens pour les adapter à la jungle de la vie – chose impossible dans des temps pas si lointains mais qui le sont à notre époque – non par le fait de leur existence mais par l’ampleur des indigents qu’ils se doivent d’accueillir de plus en plus.

Faut-il tout laisser aux marchés ? Oui, du moins au maximum ! Les petites fourmilles qui foisonnent à travers notre territoire et dans d’autres savent et comprennent les enjeux du marché : un libre échange en force de propositions entre acheteurs et vendeurs. Si ce n’était pas le cas, c’est tout simplement une propagande idéologique dont nous pensions avoir fermé les portes avec la chute du Mur de Berlin.

Notre Etat est là ou devrait y être pour faire en sorte que ces marchés soient des plus fluides possibles. Que les choix s’imposent à chacun d’entre nous plutôt que d’être contraints sans rien en échange.

Ce que nous attendons de notre Etat, n’est pas de voler les gens qui réussissent par quelque prise de risque, pour redistribuer leur larcin aux pauvres qu’ils ont préfabriqués avec une culture, une presse et un enseignement idéologique, tout en se servant et se protégeant par des lois infâmes en regard de l’égalité des droits bafouée.

Ce que nous voulons est un Etat impartial qui protège notre liberté de circuler, de jouir de notre propriété acquise honnêtement sans la corrompre et la limiter, de nous protéger physiquement et fermement contre toute atteinte à quelqu’une de nos personnes.

Que ceux qui ne sont pas d’accord pour vivre selon nos règles et us et coutumes pour attenter à nos vies soient pourchassés et exfiltrés.

Notre administration fiscale et sociale devrait être mise hors d’état de nuire par ses avis à tiers détenteur sans jugement de Droit Commun. Blanc sein pour les délinquants du registre ? Non si le pan de la justice, de droit régalien était véritablement indépendant et renforcé dans ses moyens. Le Droit commun implique d’abolir la Cour Administrative ou de la réformer sous l’autorité du premier.

Qu’on cesse enfin avec cette consanguinité de cette aristocratie auto-proclamée qui copule sous une forme d’inceste, découplée du terrain, car Paris n’est pas la France. Les missions des préfets doivent être revisitées, de simple bras séculier de l’Etat à pont de négociation entre localité et représentation de l’Etat.

L’administration des collectivités locales doit aussi être réformée : en finir avec ces doubles ou triples ou quadruples emplois qui ne font que ralentir et nous coûter bien trop cher.

Enfin, pour finir, que l’on supprime le principe de précaution de notre Constitution et qu’on n’y inscrive pas tout ressort de l’écologie politique. Cette dernière est le pire virus qui peut nous être infusé et va clairement à l’encontre de notre expansion.

Bien à vous !

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Il faut se rendre à l’évidence, nos sociétés occidentales changent de nature ou plutôt s’en écartent

Printemps et été

Le modèle Chinois inspire nos élites qui nous gouvernent : tracer tous les individus sous leur administration avec probablement sur un clique souris pour découvrir toute notre vie s’afficher, par nos habitudes, nos addictions, nos transactions, notre santé. Avec nos technologies développées par des créateurs de richesses qui voulaient nous libérer pour le meilleur, le pire va les utiliser contre nous tous.

Les nouvelles normes et règles de droit, évoluent là-dessus, certes avec un train de retard, mais s’inscrivent ensuite dans le marbre. Un effet cliquet en quelque sorte, pour que plus recul ne soit possible face à l’intendance administrative.

Automne

Nos élites suivent des cursus très similaires en termes de formation, et je vous renvoie à l’article suivant : https://www.contrepoints.org/2020/12/13/386466-les-dangers-de-inculture-technique-de-nos-gouvernants

Le bon sens, chose dont j’ai déjà parlé ici sur ce blog n’est plus en mesure de s’exprimer, faute de connaissances basiques parmi nos élites à une prise de décision sur des sujets d’enjeu majeur pour la survie de notre société. Il ne s’agit pas bien sûr de tout connaître, mais je pense que quand nous devons prendre une décision sur une matière, apprendre des tenants et aboutissants nous éclaire.

Ensuite il nous sert de proposer une vision et un délai, avec une stratégie claire : https://www.atlantico.fr/decryptage/3594621/general-pierre-de-villiers—halte-au-feu– .

Nous sommes ainsi en capacité de décider et de se tromper ou de réussir. Mais peu importe, nous avons fait un choix éclairé que nous sommes capables d’expliquer et d’assumer.

Hiver

Nos institutions deviennent délictuelles contre le peuple qu’elles promettent  de servir. Car elles n’ont plus aucun respect du même qui commence à se fâcher.

Nous réciter que nous sommes protégés, égaux devant la loi, n’a plus aucun sens pour bonne partie d’entre nous. Car si nous ne sommes pas d’accord avec cet état de faits, nous n’avons que la rébellion, la dissidence ou l’exil comme contre – pouvoir et non la démocratie, sauf à rester muré dans le silence pseudo-confortable de survie du bon vouloir du roi, de ses courtisans et de son clergé.

Bien à vous !

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Feu d’artifice aux States ?

Le 14 décembre prochain les Grands Electeurs de chaque Etat doivent officiellement désigner le 46è président des USA.

La Campaign Trump s’active pour déposer des recours devant les juridictions des Swing States pour invalider le résultat de leurs élections respectives du 5 novembre dernier. Choux blanc jusqu’à présent : toutes ces tentatives sont systématiquement déboutées, faute de preuves suffisamment étayées pour modifier significativement le sens de ladite élection. Vrai, faux ? En tout cas cela implique des investigations sérieuses qui peuvent durer bien après le 20 janvier 2021, jour de l’intronisation du prochain locataire de la Maison Blanche.

Au début de cette semaine, lundi dernier à sept jours de la réunion des Grands Electeurs, une plainte émanant du gouverneur du Texas, G.W. Abott, est déposée auprès de la Cours Suprême Fédérale – SCOTUS – Supreme Court Of The United States, pour modification des règles de droit d’un processus électoral en regard du Covid-19 en contradiction avec les règles établies par la Chambre des Représentants d’Etat local, c’est-à-dire relevant de celle-ci qui a autorité pour faire les lois. Il ne s’agit donc plus de fraudes relevant du délictuel, mais du respect des règles de Droit Constitutionnel. Cette plainte vise les Etats de Géorgie, du Michigan, de Pennsylvanie et du Wisconsin …

Il faut savoir aussi que G.W. Abott est sous enquête du FBI, mais ce n’est pas le propos.

Evidemment, plusieurs Etats républicains s’engouffrent dans la brèche au motif que la population d’un Etat votant Trump est lésée par le résultat général donnant Biden selon de telles circonstances.

Evidemment, aucun Etat de gouvernance Démocrate ne va se tirer une balle dans le pied pour y souscrire.

Je me pose alors une seule question : Est-ce qu’un Etat peut poursuivre un autre Etat dans son irrespect des lois édictées par sa chambre législative locale, plus celles plus formelles du cadre fédéral au-dessus au sein des USA ? Je pense que oui.

La plainte est apparemment reçue par la SCOTUS qui va devoir trancher rapidement, bien plus que pour les investigations de fraudes aux bulletins de votes. Nous attendons la suite …

Sur les conséquences d’une éventuelle invalidation de ces changements de règles « inopinés », cela dépendra du nombre d’Etats déboutés : 0,1,2,3,4 ? Probablement mi- chèvre, mi- choux, mais en deçà de trois, cela devrait entériner l’affaire Biden.

Il restera encore la loi martiale invoquée par ingérence étrangère dans les élections US, mais c’est un flip-flop qui en principe dépassera largement le cadre du 20 janvier 2021. Peut-être aussi la démission de Trump avant l’investiture pour Pence afin de nettoyer ce qu’il faut ! Bref, conjectures …

Pour finir, je trouve que ce qui se passe aux US actuellement est d’une grande vitalité de la Démocratie, vérolée peut-être, mais avons-nous des leçons à leur donner ?

Chez-nous tout est plié d’avance, dans une soviétisation ambiante.

Bien à vous !

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Cela va péter ?

La première semonce des Gilets-Jaunes

Cela a bien failli le faire avec nos Gilets Jaunes qui se sont coagulés, sans se connaître, à travers tout l’Hexagone pour enfin démontrer une capacité de nuisance rebelle face au pouvoir en place. Nous étions alors habitués aux idiots utiles des syndicats qui eux peuvent bloquer manu-militari le même territoire avec leur propre service d’ordre dédié.

Vous connaissez la suite : répression ferme de l’Etat, injonction de Blocks Ultra pour discréditer le mouvement spontané vis-à-vis de l’opinion et récupération du même par l’extrême gauche. Pschitt …

J’aimerais savoir d’ailleurs le sort réservé aux meneurs de cette jacquerie : Fichés « S » ? Tracasseries administratives de toutes sortes ? Silence radio. L’anonymat dans la souffrance face à la violence administrative est bien connu à travers ce Blog.

La seconde semonce par le Covid

Elle met à bas notre économie et plus particulièrement dans des secteurs bien ciblés, selon peut-être la loi de Pareto 80/20 qui traduirait que 20% de lieux sensibles réunissant du public clos provoquent 80% de contagion.

Quid sur la continuité des transports en commun de service public alors que les mêmes en privé – les bus Macron pour ouvrir la concurrence au trafic ferroviaire, sont à l’agonie ?

Quid sur nos chefs étoilés dans la restauration, plutôt silencieux sur leur pouvoir de fédérer une insurrection dans leur domaine d’activité sinistré par des diktats administratifs ? Pendant le même temps des cantines scolaires restent ouvertes, ainsi que des réfectoires d’entreprises importantes, et encore celle de l’Assemblée Nationale et très probablement l’autre du Sénat, de bonne réputation.

Quid sur nos stations de Ski, mi-ouvertes en proposant juste de l’air « pur » pour se balader ? Quid pour s’y rendre et en repartir ?

Nous pourrions multiplier l’absence de rébellion par tant d’activités qui souffrent, dans le privé bien sûr, tandis que dans le prêt à porter administratif, la vie continue comme si de rien n’était. Car rébellion, ne veut pas dire manifester mais bloquer comme savent si bien le faire nos caciques estampillés rouge ou verts, les tomates ou les pastèques selon.

La troisième semonce par le vaccin

Le vaccin est non obligatoire, car même Mr Macron semble en douter. Mais quand on commande 100 millions de doses d’un produit dont on doute, il n’y a pas de doute, Il sera la norme. Ainsi notre liberté de circuler devrait être soumise à ce nouveau passeport.

Il reste à convaincre nos gaulois réfractaires de se faire injecter ce truc dans les veines. Pas de panique, cela va se poursuivre comme d’habitude avec un feu nourri de notre clergé médiatique pour renverser l’opinion comme pour n’importe quelle élection.

Mais ce n’est pas gagné cette fois, car on touche à l’intégrité de chacun de manière arbitraire et non sensée, et encore moins documentée.

La quatrième semonce par l’article 24 de la loi de « sécurité globale »

L’énoncé « sécurité globale » en tant que tel laisse déjà perplexe. Puis son prolongement me fait penser à un univers carcéral à ciel ouvert qui emprunte aux heures les plus sombres de notre histoire pas si lointaine.

Les envoyés de l’ordre qui soutiennent cette loi ne sont que des lâches, car ils ont peur de leurs actes et veulent se dédouaner ainsi, tout en faisant office de douanes pour leurs concitoyens, telle une Stasi en empruntant celle de Bercy !

Pour terminer mon propos

Ces maux exprimés plus avant sont importants, mais loin de recenser tous les autres de notre société en train de sombrer :

  • Constitution devenue sans contre-pouvoir et fébrile par le plus petit dénominateur commun à protéger qui devient la règle ;
  • Religions parmi le vivre ensemble sans cadre ;
  • Choix verts désastreux pour devenir d’exportateur d’énergie à pas cher à importateur d’énergie cher ;
  • Des marchés qui n’existent plus que par des faux prix administrés ;
  • Une éducation hors-sol loin d’enseigner la responsabilité et encore moins la prise de risque à chacun ;
  • La gangrène du monopole de la sécurité sociale ou de notre service ferroviaire ;
  • La désindustrialisation, la dépopulation de notre socle agricole et de leur impact en terme de création de richesses …

Le problème des Gilets Jaunes primaux étaient qu’ils n’étaient pas structurés. Il n’y avait pas en leur sein des gens sensibles comme ont pu l’être un mouvement de médecins pour s’afficher en pratiquant l’iVG par voie médiatique à l’orée des seventies, ce qui a ouvert le débat sur la loi plus tard impulsée par VGE.

Si nous avions eu une opposition sensée, pas émanant de Marine le Pen ou de Mr Melanchon, national socialiste d’un côté et Chavez de l’autre, elle avait un boulevard pour réformer notre pays. Vous l’avez entendue ?

Vous avez surtout le parfum de cet âne de Mr Christian Estrosi, maire de Nice et bien moins celui du maire de Cannes, Mr David Lisnard.

Bien à vous !

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Mr Macron ne démissionnera pas !


Nos templiers y veillent. Qui sont-ils ? Ceux qui l’ont mis au pouvoir : notre Etat profond sis Bercy, des grands capitalistes de connivence, et leur clergé, les médias Main Stream.

Car n’imaginez rien de ceux qui ont du pouvoir dans les hautes administrations ou à la tête de grandes firmes dépendant de leurs parchemins ; ou plus sûrement de grandes industries indépendantes qui cherchent à s’ouvrir des voies du Big Business qui n’aient pas voix au chapitre.

Les politiques ont toujours le couteau sous le menton quand un pourvoyeur de gros emplois menace de fermer, de délocaliser, ou encore de s’installer. L’Etat, la Région, le Département, la Communauté de communes, la Ville …

La taxe Gafa de notre ineffable Bruno Le Maire pour ces Big Businness, à vocation de satisfaire les insoumis soumis, est un parfait salto pour que rien ne change sauf pour le consommateur qui va la payer in fine. Simone Wapler en parle très bien ici : https://www.contrepoints.org/2020/11/26/379879-la-taxe-gafa-cest-vous-qui-la-payez

Les choses s’accélèrent pour verrouiller toute notre société. Pendant que le Covid bat son plein, nos libertés fondamentales fondent sous leur soleil en abandonnant toute idée de débat démocratique et contradictoire. Mais de cela nous sommes habitués  …

Rien, absolument rien ne reviendra comme en 2019, Nous vivons dans cette période un moment Minsky : « Chercher à stabiliser une économie instable ».

Nos hommes de Davos, sont à réfléchir puis en train – “Le p’tit train s’en va dans la campagne … ” – de prévoir la suite avec le « Great Reset ». Son chapitre 5 sur le site https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/11/28/great-reset-ou-la-fascination-des-elites-pour-le-modele-chinois/ m’a donné une définition du néo-libéralisme que je n’avais pas imaginée. Si elle s’avère fondée, nous avons tout à craindre du modèle chinois.

Sommes-nous devenus une population servile, en dépit du bon sens ? Pour être aspirée par un tel modèle planificateur qui réveille le plan soviétique qui va réussir ? Déjà, nous sommes le seul pays où le communisme a matché, en comprenant qu’il ne fallait pas éliminer les créateurs de richesses, gage de sa survie, appelé Socialisme, pour les ponctionner et les rendre corvéable à souhait. Mais la farce du Covid boulange un peu le pétrin.

Pas réussi tant que cela, car toujours par ces voies lactées, des fissures apparaissent et finissent par éventrer les fondations et cohésions de quelconque société d’humains, policée, c’est-à-dire qui a connu la liberté. Dernière chose de moins en moins évidente à notre époque …

Mr Macron ne démissionnera pas, il ne peut qu’être renversé, mais par quoi et comment ?

Bien à vous !

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« Angleterre, Angleterre, Thatcher te coûte cher ! »

Le refrain d’un groupe populaire français à l’orée des Eighties, renforcé par notre Renaud national avec « Miss Maggie » quand les socialistes venaient enfin de prendre le pouvoir sur notre paquebot France.

En Angleterre, à la même époque, Madame Thatcher tournait la page de l’incurie socialiste à l’œuvre Outre-Manche depuis trop longtemps, de manière abrupte et définitive : « There is no Alternative ! »

Cette fille d’épicier et de mère couturière obtient une bourse pour étudier à Oxford dans le domaine de la chimie, puis poursuivre dans le juridique et devenir avocate en droit fiscal (SIC).

Comme Mr Dupont-Moretti, elle est sortie d’un « No Man’s Land » pour travailler et s’élever, mais à la différence du premier, elle s’est érigée dans ses convictions comme une Ayn Rand, comprenant la désolation laissée par les collectivistes. Défendre la veuve et l’orphelin ne va pas de pair avec la spoliation fiscale maquillée d’égalité devant l’impôt pour en faire n’importe quoi sans rendre compte.

Quand on pense à primat politique moderne en Angleterre, le nom de Churchill apparaît en tête de gondoles. Churchill n’était qu’une boule d’énergie afin d’organiser, secouer, bouger et motiver des troupes mais sans véritable vision. Il n’était même pas un stratège militaire et encore moins un fin politicien.

Madame Thatcher était tout autre chose. Une femme déjà, face à un monde d’hommes, des prédateurs qui traçaient le pouvoir et par là à la renverser.

Une Dame de fer qui n’allait pas plier devant l’IRA et ses ressortissants emprisonnés en grève de la faim, comme Bobby Sand, devant des syndicats qui allaient jusqu’à détruire leur outil de travail, « jouant » la politique de la terre brûlée. Elle escomptait bien que les ventres se vident afin qu’ils reviennent à la raison.

Ils se sont vidés et se sont remis au boulot sans renverser la table.

Mme Thatcher a remporté 3 élections générales de suite pour rester la première gouvernante d’Angleterre pendant onze ans, un record dans toutes nos démocraties en fréquence de remise en jeu de mandat et de durée.

« Mercredi se sont tenues les obsèques de Margaret Thatcher. Un enterrement en grande pompe, dû à son rang d’ancien Premier ministre, auquel ont assisté la reine Elizabeth II ainsi que 2300 personnes.

C’est tout de noir vêtue que la reine Elizabeth II, accompagnée du prince Philip, a assisté aux obsèques de Margaret Thatcher mercredi. Si elle n’a pas accueilli le cercueil de la dame de fer sur le perron de la cathédrale St. Paul, comme elle avait pu le faire lors de l’enterrement de Winston Churchill en 1965, elle était au premier rang de l’assemblée lors de l’office religieux.

2300 invités étaient présents, parmi lesquels de nombreux représentants de pays étrangers. Aucun membre de l’exécutif français n’avait fait le déplacement, seule Elisabeth Guigou, présidente de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, représentait notre pays. Autres absents de marque: les membres de l’administration de Barack Obama. Les Etats-Unis étaient représentés par Henry Kissinger et de hauts fonctionnaires ayant travaillé avec Ronald Reagan, le fidèle allié de Margaret Thatcher lorsque celle-ci occupait le 10 Downing Street. Mikhaïl Gorbatchev était lui aussi absent, pour des raisons de santé.”

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/photos-_margaret_thatcher_des_obseques_dignes_d_une_reine_288703

Deux citations de Margaret Thatcher

« N’oublions jamais cette vérité fondamentale : l’État n’a aucune autre source d’argent que l’argent que les gens gagnent eux-mêmes. Si l’État souhaite dépenser plus, il ne peut le faire qu’en empruntant votre épargne ou en vous taxant davantage. Il n’y a rien de bon à ce que quelqu’un d’autre paie ; cette autre personne, ce sera vous. L’argent public n’existe pas, il n’y a que l’argent des contribuables. La prospérité ne viendra pas de l’invention de programmes de dépenses publiques de plus en plus somptuaires. Vous ne devenez pas riches en commandant un carnet de chèques à votre banque et aucune nation n’est jamais devenue plus prospère en taxant ses citoyens au-delà de leur capacité. Nous avons la mission de nous assurer que chaque penny levé par l’impôt soit dépensé de manière sage et bonne. Les gens parlent de service gratuit. Ce n’est pas gratuit. Vous devez payer pour !

Margaret Thatcher , (14 octobre 1983, devant des cadres et des militants du Parti conservateur)

« Nous avons besoin d’une économie libre, non seulement pour la prospérité matérielle renouvelée qu’elle apportera, mais parce qu’elle est indispensable à la liberté individuelle, la dignité humaine et à une société plus juste, plus honnête. Nous voulons une société où les gens sont libres de faire des choix, de faire des erreurs, d’être généreux et compatissant. Voilà ce que nous entendons par une société morale ; pas une société où l’État est responsable de tout, et pas une responsable de l’État »

Voir sur https://citations.ouest-france.fr/citation-margaret-thatcher/nous-avons-besoin-economie-libre-105191.html

Quand vous visitez Londres aujourd’hui, abstraction faite de l’étape Covid, vous avez certes le quartier d’affaires de la City, mais aussi l’ultra moderne et bien pensé de Canary Wharf à l’est de la capitale, érigé sous l’impulsion de Madame Thatcher, avec certes des fonds pétro-dollars. Mais pour ce qui est du Paris-Saint-Germain, cela vous pose un problème ?

Bien à vous !

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Le vaccin non obligatoire

Premiers mots (maux)

La dernière allocution de Mr MACRON nous le rapporte. Ce Roi et ses comités Théodule ont bien compris qu’il ne fallait pas forcer les gaulois réfractaires, en « bonne  connaissance » de leur peuple.

Officieusement, cela va se traduire dans les nécessités : Pour prendre une compagnie aérienne et voyager, puis pour passer n’importe frontière par quelque autre moyen de locomotion, mais encore par plus tard afin d’entrer peut-être in situe dans n’importe quel bâtiment qui brasse des gens : musée, théâtre, concert, cinéma, bar, restaurant, discothèque et je passe …

L’idée n’est pas d’imposer la vaccination aux français, mais qu’ils la demandent par choix implicite, pour vivre comme avant, ce qui se traduit par une vaccination obligatoire indirecte.

Rien ne change : Faire accepter à la population un bénéfice impopulaire pour qu’il se transforme en plébiscite populaire.

Seconds mots (maux)

Vous le savez tous, il y a concurrence de vaccins proposés. Ce qui est bien car qui fait concurrence appelle optimisation et efficience.

Dans le domaine de cette recherche, je dirai que nous avons trois blocs géographiques : L’Occident, la Russie et l’Asie. Les processus et les méthodes d’implémentation de ces vaccins devraient pouvoir se comparer entre ces trois zones disparates de recherche, selon une publication documentée claire. Rien, nada ! En Russie, par exemple, on n’applique pas la modification génétique dans la production d’un vaccin.

Donc, il nous sera très probablement inoculé un vaccin certifié, validé, agrémenté par nos caciques de notre « démocratie représentative », dans l’urgence par des choix de laboratoires proches du capitalisme de connivence occidental. Effets secondaires ?

N’oubliez jamais une chose : La nature trouve toujours son chemin, pour éliminer les faibles et imposer les plus forts. Le virus peut aussi muter, donc quid du vaccin ?

Troisièmes mots (maux)

J’en ai assez du complotisme. Notre monde interconnecté est complexe et bouge sans cesse avec de plus en plus d’humains à gérer, avec peut-être « l’Eldorado » de l’Occident.

Quand on s’essaye à l’économétrie, la « science » de prévoir selon des modèles paramétrés sous Software et Hardware puissants via algorithmes, comme pour notre météo, l’évolution d’une quelconque économie de société d’humains, cela part en vrille systématiquement. Il n’y a pas de dieux, mais des forces objectives et diverses non modèlisables avec lesquelles il faut gouverner.

On entend dans le registre Bill Gates, Georges Soros, les Francs-Maçons, Macron ou encore le « Grant Reset » du cercle de Davos, ou plus loin Christine Lagarde à la tête de la BCE. Ceux–ci ne sont que des interprètes d’une réalité qui les dépassent complètement.

Le seul procès que nous pouvons leur faire est de gérer leur pouvoir de représentation, et par là de décision sans contre-pouvoirs pour leur dire qu’ils n’ont pas forcément raison.

Mais à un moment, il faut toujours diriger et décider en responsabilité contre vents et marées, ce qui est loin d’être évident. L’Histoire s’en charge.

Quatrièmes et derniers mots (maux)

Notre paquebot France vieillit dans ses cales qui le tiennent encore un tant soit peu. Les faux prix administrés par les rivets du Trade Mark @Social fondent sous la concurrence d’un océan de forces opposantes.

Ces rivets étaient notre sécurité, nous l’a-t-on répété en boucle depuis des décennies, sans chercher à les modifier, les faire remplacer pour d’autres, sauf pour des causes perdues, l’écologisme punitif et décroissant. C’est tout le verrou de notre société qui coule par ce paquebot.

La France est devenue une vieille dame où ses assujettis sont effrayés de changer, tout simplement parce qu’un Etat totalitaire leur a ouvert les ponts de la servitude pour réfuter l’envers du décor : la liberté.

Mais la liberté, cela se mérite, car son alter ego est la responsabilité avec la prise de risque. Chose qui ne s’enseigne plus depuis bien longtemps à l’EdNat.

Bien à vous.

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La sidération et la lucidité

La sidération

L’image d’Epinal est le lapin au milieu de la route, immobilisé face à une voiture qui fonce vers lui plein phare.

C’est aussi le comportement de beaucoup de nos concitoyens qui ne savent plus réagir face à cette Matrice administrative qui les encercle de plus en plus pour fondre sur eux. On, eux, ils leur ont donné la démocratie pour tenter de s’en échapper ou de s’y opposer par l’ancien monde : Voter, manifester, publier, mais rien ne change, sauf la couleur des rideaux du palais de l’Elysée.

Car un capitalisme de connivence maquillé des phares du néo-libéralisme cherche à poursuivre un ennemi désigné, ledit néo-néolibéralisme, source de tous les maux de notre société, nous dit-on …

Un leurre militaire qui trompe la cible, le peuple abêtie travaillé par une Ednat et un clergé soumis, celui des médias Mainstream, qui ne pose jamais les bonnes questions en regard de la main qui le nourrit, qui n’ouvre jamais de débats contradictoires, sauf avec les inféodés de l’appareil, les mêmes insatiables et « idiots » utiles, qui traduisent des coursives ampoulées, des fois que le pékin moyen ne comprenne pas bien la religion à l’œuvre.

Cette religion, quelle est-elle ? L’égalitarisme, la mère de de tous nos supplices au quotidien, mais pas pour tout le monde. Ceux qui cherchent à nous en convaincre prospèrent sur une population asservie qui met de la lumière parmi leurs palais

En effet, déplacer le débat de l’essentiel est de poser des ancres plus loin afin de frelater toute négociation possible : La stratégie suivie par Mr MACRON pour ouvrir des débats à travers notre Hexagone suite aux manifestions de nos gilets jaunes, ou encore par cette pseudo consultation de référents sélectionnés parmi nous tous, sur la doxa du changement climatique et par ainsi verser de nouveaux diktats en conformité avec le virus qui nous métastase.

Notre Assemblée Nationale en recours ? Elle coïncide en mandature avec l’élection du roi soleil de notre cinquième constitution, depuis la décision de feu Chirac, une consécration d’absence de contre-pouvoir, ce qui n’a pas courre aux USA, par exemple.

La Cour des Comptes, peut-être ? Pas de chance, elle émet un avis mais n’a aucun pouvoir de sanction.

La Cour Constitutionnelle ? Des garants que rien ne change y sont intronisés pour bonne conduite par leurs services au sacro-saint du tout Etat.

Le tribunal administratif ? Une juridiction fantôme qui va d’abord chercher à protéger les siens, des fonctionnaires en litige avec la plèbe.

Nos syndicats alors ? Ces chantres de la protection du peuple ne pensent qu’à leur cul et sont vissés en connivence avec cette Matrice, car leur modèle économique et social n’est que plan pour mettre en batterie tous les poulets humains, de surcroît en leur faisant les poches au passage sur leur fiche de paie, pour eux et par leurs anciens et nouveaux scellés de toute société de croissance. Toutes leurs éructions ne sont que des artifices, des effets de scènes parfaitement organisés avec leurs propres services d’ordre et un pouvoir de nuisance considérable à tout ce qui les dérange ….

Nos médecins libéraux ? L’ordre des médecins, la Sécu et les ARS veillent.

Nos avocats, nos banquiers, nos expert-comptables ou commissaires aux comptes, nos notaires veillent aussi, dans le principe de délation selon le « Know Your Customer », via Tracfin et la CRS – Common Reporting Standard, alter ego de la FATCA des USA.

Nos douaniers ? Bientôt, ils vont avoir la possibilité de retenir tout votre Cash en dessous de 10000 euros, à votre preuve de démontrer la bonne origine des fonds, pour passer notre frontière.

Je passe sur les lois Sapin, pas de Noël, mais à propos d’assurances-vie, véhiculant de l’épargne avec une fiscalité avantageuse promise, qui déterminent des épiphénomènes bloquant de retrait des fonds.

Bref, une liste à la Prévert qui peut se poursuivre dans le domaine énergétique qui va devenir un véritable enjeu de surenchère ou de blackout, sous couvert de nos templiers Kmers Verts, par leur solutions intermittentes et non pilotables. Ou encore sur les BBC – Bâtiments Baise Couillons, expression reprise par un prof en électricité que j’ai retenu, dans le sens où la précaution coûte cher au détriment du bon sens souvent plus pragmatique. et plus rapide.

La lucidité

« La schizophrénie est une maladie psychiatrique caractérisée par un ensemble de symptômes très variables : les plus impressionnants sont les délires et les hallucinations, mais les plus invalidants sont le retrait social et les difficultés cognitives. » https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/schizophrenie

Je rajouterai à titre personnel mais non acté, un sentiment de persécution introverti qui peut exploser en dehors de toute raison gardée dans un moment soudain – L’affaire DAVAL en actualité, jugée à 25 ans de réclusion contre les préconisations de l’avocat général. Des jurés ont donné une bonne décision avec une porte de sortie de taule au condamné d’ici quinze ans avec remises de peine cumulées, car ils ont bien compris qu’il n’était ni un délinquant, ni un Anibal Lector, ni un terroriste, mais un fou dans un instant …

Nous y sommes par le retrait social injecté par ce Covid-19 : Des comportements lémuriens qui n’y comprennent pas grand-chose, sauf le conte versé en boucle par dieu Etat, avec bientôt la vaccination en temps record pour tous. Mais comme le diraient nos ailleux : « Messieurs les Anglais, tirez les premiers ! »

Puisque notre monde doit changer, car il s’agit bien de cela en 2020, année véritable de rupture entre l’ancien et le nouveau, la liberté doit changer de camp, c’est-à-dire oublier le firmament de celle des Sixties, Seventies, Eighties et Nighties, celle des possibles.

A l’orée du millénium 2000, l’analogique a laissé la place au numérique, balbutiant au départ, mais selon le principe de Schumpeter, qui détruit pour remplacer et faire mieux, nouveau Far-West en regard du nœud coulant de toute cette administration qui serpente parmi nos esprits tel un cancer qui cherche à se développer.

Mais nos créateurs de richesse privés avec le Net ont dû faire allégeance aux dieux qui nous gouvernent, car sans ces pontes d’ « Ausweis », plus rien ne peut se développer à grande échelle. D’où le capitalisme de connivence. Et à petite échelle, il n’existe plus rien sauf l’allégeance au Prince et par lui à ses prêtres …

Notre Matrice est à présent parfaitement au fait de toutes ces avancées technologiques, comme elle a toujours su le faire, à son profit, par le passé.

Orwell, tu nous tiens …

Bien à vous

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Année 2020, année de rupture dans l’Occident et particulièrement en France

Rupture entre l’ancien monde et le nouveau. L’ancien était ce que tout un chacun faisait à peu près comme il le voulait malgré des contraintes croissantes : Créer, se déplacer, acheter ou vendre ou conserver, se côtoyer simplement en famille ou ailleurs, se toucher, bref un marché ou non d’échanges certes restreint mais encore existant.

Le Titanic France a heurté l’iceberg Covid-19, fort de ses cloisons supposées étanches qui peuvent s’énumérer ainsi :

– Le meilleur système de santé du monde avec l’un des plus forts budgets de la planète consacré en proportion du PIB ;

– La démocratie qui nomme simplement une autre de ces cloisons étanches où « l’élite entrée sans prévenir » prospère en toute impunité ;

– De meilleurs moteurs à l’énergie « verte » pour remplacer les illustres diesels ou nucléaires pourtant tellement moins coûteux et bien plus performants, y compris en impacte carbone :

– Le meilleur taux de recouvrement de l’impôt au monde, gage des emprunts à l’extérieur, celui des SOS quand tout ne va pas très bien ;

– La formidable batterie de canots de sauvetage manquant, quand tout se déroule si mal …

Cet iceberg Covid-19 a peut-être le mérite de faire prendre conscience aux passagers qu’ils sont peut-être en danger et pourtant pas clairement éveillés de l’impéritie de ceux en qui ils avaient confiance.

Ainsi, une bonne partie des âmes désœuvrées, éduquées par ces « élites entrées sans prévenir » vont couler corps et bien. Dans leur chute, ces dernières leur indiquent :

– Le Canot A : Ceux qui ont des grands commerces doivent fermer des rayons ;
– Le Canot B : Ceux qui doivent fermer ad nutum ;
– Le Canot C : Ceux qui peuvent poursuivre indépendamment ou aléatoirement
en regard du commerce ;
– Le Canot D : L’armée mexicaine de nos fonctionnaires exempte de tout risque ;
– Le Canot E : Les salariés sous contrat, à court terme quand déterminé, à plus long terme quand le Code du Travail épais comme un Larousse entre en scène.

Mr Vérant, un des « élites entrées sans prévenir » sur la passerelle de notre paquebot chancelant est sorti de ses gonds devant ses lieutenants à l’Assemblée Nationale, car il s’agit bien de cela ici : Vous la fermez ou vous dégagez, car j’ai raison. Cette réaction est assez emblématique d’une prise de pouvoir qui n’a plus rien à voir avec la démocratie, comme on a pu le visiter plus avant avec les revendications premières d’un peuple insoumis sous l’étiquette des Gilets Jaunes, et non les autres Insoumis de Mr Mélanchon, qui ne représentent que des idiots utiles, afin que la farce continue, comme nos syndicats inféodés, qui eux, émargent de manière forcée par des cotisations sur chaque salaire et revenu par un véritable abus de bien social !

En l’état, con fini ou confiné, c’est la même chose, car sur des suppositions scientifiques non prouvées de pandémie, on expérimente une euthanasie de notre activité économique avec une assignation à résidence pour tout un peuple, tactile, mobile, inventif.

Principe de précaution nous dit-on – inscrit dans la constitution par feu Chirac. Principe Malthusien et anti naturel de concert avec les Kmers Verts – Apparatchiks de la nature pourtant. Rappelons-le, la nature est l’évolution, on s’adapte et on progresse avec elle, non pas dans un registre de finitude – régression, mais de progression, plus vers le plus haut.

Maintenant, si c’est pour nous dire que nous sommes trop nombreux à l’échelle de la planète pour vivre au mode Occidental, cela peut s’entendre, car à plus de sept milliards d’humains, cela sent un peu l’entonnoir..

C’est pourquoi, nous sommes toujours en recherche d’exo-planètes qui peuvent nous accueillir dans le futur. 

Ces sinistres cons de notre Etat profond, leurs VRPs par la représentation politique, leur clergé par les médias Mainstream subventionnés, leur armée mexicaine de fonctionnaires, ne sont même pas capables de gérer une baraque à frites.

Nous en sommes là sur les différents ponts du Titanic France, et nous attendons la gîte du navire, probablement en 2021, ou un peu plus tard, en se frayant un chemin vers les différents canaux énoncés, ou en prenant l’assaut de la passerelle pour tenter de redresser ledit bateau.

Bien à vous

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Religions politiques

Appéritif

L’Islam en est une, la République une autre qui ne sont pas autre chose que des sociétés parmi tant d’autres pour un vivre ensemble et l’accepter dans un cadre de règles qui deviennent une normalité, pour leurs assujettis respectifs.

En sortir de l’une ou l’autre est possible, comme le font des migrants, à leurs risques et périls mais c’est encore envisageable, quitte parfois à devoir abandonner son passeport d’origine pour en épouser un autre. Car la double nationalité ou multiple ne va pas de soi pour différents pays, selon le principe : Tu nous aimes ou tu nous quittes. Un bannissement potentiel en quelque sorte.

Chaque homme ou femme qui naît dans une de ces matrices, n’a pas le choix au départ. On lui a donné vie dans un cadre ou si vous préférez un environnement. Un même ADN ne va pas grandir de la même manière selon où il évolue, au sein d’une « famille » ou une d’autre, d’une nation ou d’une autre, ou plus prosaïquement, d’un univers ou d’un autre.

A lui ou elle ensuite de l’épouser dans l’acceptation pur et simple ou de la réfuter, si il ou elle en a la possibilité, par conviction, et par là un chemin qui laisse l’individu choisir, ce qu’a permis l’essor de l’Occident.

Religions politiques

Quand on parle d’Islamisme, on parle d’abord de l’Islam dixit le billet d’Eric Verhaeghe – https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/10/19/ces-versets-du-coran-qui-appellent-a-la-haine-et-au-meurtre-des-infideles/

Quand on parle de la République, on oublie un peu trop souvent sa genèse dans le sang dixit le billet de Jean-Batiste Noé : https://institutdeslibertes.org/islamisme-un-filet-inextricable/

Nous sommes donc en présence de chaque côté, de gardiens du Temple, des intégristes, si vous voulez les désigner ainsi.

Quand l’Islam et la République se rencontrent sur, non pas des Terres de colonisation, mais sur celui de la République, nous avons un problème. Non pas que nous ayons raison dans les principes de vie en communauté parmi nous, mais c’est notre culture qui se confronte à d’autres intégristes d’un autre régime politique tout aussi conquérant que le nôtre. J’ai presque envie de dire que c’est le Cheval de Troie que nous avons accueilli dans nos murs. Inutile de porter la responsabilité de cet état de fait à quelques-uns chez nous, c’est fait et il faut trouver des solutions.

Les solutions chez nous dans la religion dominante

Elles sont très simples. La règle de la République doit s’appliquer à tous, indépendamment de ses origines. La règle en la matière devrait être pour notre Etat, ne pas baisser son froc devant des communautarismes étrangers. En clair, chaque étranger ne doit pas être favorisé par rapport à un français de souche !

Vous allez me dire quel est le Français de souche ? Le camembert que nous allons interviewer en Normandie et puis le Champagne en Alsace et encore plus par tous les corps de métier et de savoir-faire qui sillonnent à travers notre hexagone parmi nos templiers.

Macron le bref, bombe le torse de la République en relation avec le dernier martyre de la même pour nous dire : « La peur doit changer de camp ! »

En a-t-il les moyens ? Bien sûr que non ! Car il lui faudrait être beaucoup plus ferme pour diligenter police, gendarmerie, armée et justice, via des services opaques du renseignement, pour éradiquer ces « 11 septembre 2001 » de notre territoire.

Pensez-vous que Youssouf Fofana, emprisonné aux frais du contribuable à près de 100 € la journée, va devenir un contribuable de notre République, une fois sorti de prison ? Ce bonhomme a commis des actes de barbarie sur un homme, pour aller se réfugier sur ses terres d’Afrique avant d’être repêché par la justice française.

Les éradiquer veut dire aussi les martyriser, comme on a su le faire dans nos geôles de notre histoire, puis les exécuter pour qu’ils ne reviennent pas !

Cette autre religion installée sur notre sol ne fait pas de quartier, en faisons de même !

Conclusion

Vous allez me prendre pour un gros facho pédo-nazi par mes propos ci-dessus, mais sachez que je suis un homme non-belliqueux et très ouvert à la discussion. Mais quand j’en ai assez d’un débat stérile, provoquer les sensibilités ne me fait pas peur. Je n’ai pas peur !

Bien à vous

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Terrorisme de la stupidité

Le terrorisme par l’Action Directe

Le terrorisme vient par l’action in fine, comme on a pu le voir par les actes de Mohamed MERHA, les frères KOUACHI.

En 2016, nous avons connu le camion fou sur l’esplanade de la Promenade des Anglais à Nice, mais aussi Mr CONARA, chef d’entreprise décapité par un de ses salariés.

Plus avant en 2014 à Nantes, un véhicule fonce sur un marché de Noël !

Et je m’arrête là pour les faits divers qui peuvent se poursuivre à la Prévert. Laurent OBERTONE sera plus à propos que moi pour réciter les désastres

La triste actualité nous rappelle ces faits avec l’enseignant PATY pour l’éveil des consciences, dans sa religion à lui, la laïcité, en opposition à des « insoumis » de l’Islam. Par insoumis, il faut entendre des radicaux …

Le terrorisme peut prendre une autre mouture

La laïcité se voudrait affranchie des reliques barbares de quelconque religion, mais elle épouse aussi une autre qui a pris corps par nos caciques de la Socialie : Le contraire de celle que nous dénonçons à corps et à crie sur ce blogue : L’Etat défaillant pour protéger la propriété privée et la création de richesses qui sont les seuls moteurs d’une vie prospère.

D’autres insoumis chez nous sous couvert de la République s’affirment ainsi, mais de manière plus policée avant de rendre la liberté individuelle caduque et par là installer le « Plan soviétique », avec le contingentement, puis la pénurie. Nous commençons à vivre ses contours. De nouveaux radicaux !

Le terrorisme est déjà là de manière insidieuse par des règles et des lois qui s’empilent les unes par-dessus les autres, pour contraindre, forcer, sans possibilité de débat contradictoire, car la règle, la norme s’impose à tous, même si elle est débile.

Rappelez-vous ? Les Gilets-Jaunes primaux et non les racoleurs issus des gilets rouges, voulaient un débat officialisé entre le peuple et le pouvoir sur des questions centrales de démocratie. Car on peut avoir des questions à poser dans un débat démocratique ouvert qui ne se résume pas à celui de l’Assemblée Nationale, certes élu par le peuple, mais qui s’en démarque de plus en plus pour se maintenir dans une cour du Roi Soleil.

Les lois qui s’imposent à chacun d’entre nous, nous composons avec elles, pour nous réduire et trouver encore la possibilité de prospérer, non par assistance, mais par création. Mais pour combien de temps ?

Le terrorisme par le peuple

Quand les ventres se vident par des voies légales, ils vont chercher de plus en plus l’illégale. Ce que nos politiques cherchent à éviter par-dessus tout alors qu’ils l’ont développé par clientélisme électoral de la pauvreté encensée par l’assistanat, et plus par des associations encouragées et favorisées, histoire de continuer à faire n’importe quoi sous les radars de la vérité, car elles ont bon dos ces « assoces » au plus proche de « la veuve et de l’orphelin ».

Nous sommes dans un déni de prise de conscience orchestré par une EdNat aux abois, et un Etat tout aussi délétère et ferme qui imprime sa rébellion contre celle de ses administrés.

Attendons que les ventres se creusent, de plus en plus nombreux, pour réagir ! Que nos écologistes patentés nous fasse passer de la lumière à la lampe à huile, pour nous insurger !

Bien à vous

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Cette histoire de Covid qui dure dans le temps

Le Covid est présent dans toutes les consciences via l’assommoir des médias en boucle ! Imaginez un instant couper toutes les infos : Pas de journaux, ni de radios ou télévisions, bref coupés du monde. Qu’est-ce qui changerait votre quotidien ? Malade ? Vous iriez vers votre médecin généraliste. Si vous êtes son client depuis un certain temps, il vous connaît.

Il pourrait vous dire aussi qu’il y a une grippe mauvaise qui circule et surenchérir par des principes de précautions à entreprendre. Comment le sait-il ? Croyez-vous que les médecins soient désoeuvrés de tout ce qui est lié à la médecine et de ses réseaux de connaissance évolutive ? Ces gens sont constamment en veille pour apprendre en plus d’avoir appris leur métier comme le font par exemple des informaticiens sortis de leur école pour eux aussi évoluer. Du moins, on le souhaite …
Ces médecins, par des numérus clausus, deviennent de plus en plus rares comme des spécialistes, ce que l’on traduit par des déserts médicaux ou des délais d’attente. Les informaticiens, eux, ne sont pas rares. D’un côté, vous avez l’Etat qui gère, de l’autre vous avez le marché.

Je me suis toujours demandé pourquoi ce numérus clausus vis-à-vis des médecins ? A partir du moment où le candidat obtient son diplôme certifié pour exercer, il devrait pouvoir exercer et s’installer. Puis le marché dira s’il est bon ou mauvais comme pour n’importe quelle entreprise. La loi devrait juste alors intervenir pour sanctionner les charlatans ou les insuffisances professionnelles dans un cadre facile à préciser selon des règles de droit commun, mais aussi dans celui proche de cette activité, comme pour n’importe quels autres corps de métier.

Le marché, ce n’est pas la jungle comme on l’entend trop souvent. C’est un cadre de négociation entre acheteurs et vendeurs avec des règles claires qui protègent des malversations, ou plutôt qui devrait, car malheureusement il est perverti souvent par abus de position dominante et avec elle, la connivence. Et c’est tout notre problème.

Un exemple de connivence ? La médecine du travail. Chaque salarié embauché doit suivre le parcours de son registre, puis un peu plus tard en exercice. Ce « service » me facture en tant que gérant d’entreprise 84 € par salarié à l’année systématiquement, sans même avoir vu un candidat. Vous connaissez sans doute le prix de votre médecin généraliste qui vous connaît et qui fait la même chose et souvent mieux, car il a votre dossier, plus vous y allez quand cela vous semble nécessaire. Mieux, quand un salarié ne s’est pas présenté à un rendez-vous du même « service », celui-ci vous envoie une facture de 20 € HT pour l’avoir dérangé.

La réaction primale par rapport à ces vautours est de les déranger vraiment, mais évidemment, vous connaissez le topo : Mise en demeure puis ATD, et l’URSAFF sur le dos, cette Gestapo qui ne dit pas son nom.

Que faire ? Attendre que tout s’écroule ? Car c’est inévitable en toute logique … Ou bien chantons la Marseillaise et la traduisons en actes pour bannir l’occupant intérieur.

Bien à vous

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Gloubiboulga de questions qui appellent des réponses

1.) Pourquoi fermer nos centrales nucléaires ?

Le danger ? Le que faire des déchets radioactif ? Une inefficience économique et d’approvisionnement à bas coût ?

La décision politique est de les fermer les unes après les autres sans faire évoluer la technologie sous-jacente pour les rendre plus sûr – alors qu’elles le sont déjà. En effet le processus développé à travers le monde qui maîtrise cette technologie est de les démultiplier en unités plus réduites et plus performantes.

2.) Soutenir la population par l’Etat quoiqu’il en coûte dans une crise sanitaire ?

Avec quel argent ? L’endettement « Open Bar » qui appelle le soutien de la BCE ?

La décision politique, forte de l’imposition maximale et du taux de recouvrement le meilleur au monde rassure, mais pour combien de temps vis-à-vis de l’extérieur qui comprend bien notre écosystème en route vers celle de la servitude.

3.) La route de la servitude et de la décroissance ?

La « vertitude » doit-elle devenir notre nouvelle attitude ? Nous réduire pour connaître la pénurie et l’indigence ?

La décision politique a acté dans ce registre pour nous limiter dans nos moyens, c’est-à-dire réduire l’individu qui était autrefois le ferment naturel de notre évolution exponentielle : Le quidam qui cherchait à dépasser sa condition pour lui et ses enfants

4.) Le Transgenre via des féministes radicaux (radicales) ?

Cette haine des hommes que vous trouverez dans l’ouvrage de Pauline Harmange fait le lit d’une rivière entre les hommes et les femmes en confondant tout, c’est-à-dire l’exploit d’imbéciles et de gens sans histoire.

La décision politique est de s’adapter à cette liberté d’expression. Et cette femme a le droit de dire ce qu’elle pense et soutient, ce que permet notre « démocratie », sans contrepartie.

5.) Une Presse en mode propagande ?

La Presse doit nous informer, et avec elle tous les moyens pour cela. Sa déontologie devrait être l’objectivité : Rapporter les faits tels qu’ils se présentent.

La décision politique est de passer de l’objectivité à la subjectivité : Comprendre que personne n’est responsable mais qu’eux ils on vont agir quand le désastre a passé avant ! Inopérant et le « juste » circonstanciel, sans vision, sans rien sauf l’échec du vide de ce socialisme ambiant !

6.) Le Covid ?

Les jeunes, notre avenir, sont cantonnés et parqués alors qu’ils s’ébrouent sans rien contre nous entre eux, sauf peut-être pour leurs aînés, dont la propagande nous le sert en ligne et en boucle – Spot TV actuel via France Télévision.

La décision politique est de les sacrifier dans leur avenir pour protéger les élites et les « Papy Boomers » qui partent avec la caisse !

Ces jeunes devraient se révolter ! Pas pour des bourses, mais pour avoir des opportunités de prendre un quelconque ascenseur social !

7.) Le Gang de l’administration

On ne sait plus qui fait quoi dans cette mafia qui a pignon sur rue, mais nos œuvres technologiques développées dans le privé leur ouvrent des espaces de pouvoir sans commune mesure.

La décision politique est de formater chaque individu sous son empire par des Data Basis recoupées sans faille.

Conclusion de ces sept

J’ai envie de dire que le meilleur est devant nous, tant j’ai la foi en l’intelligence humaine, et non en quelconque religion dont le socialisme fait partie. Ces régulateurs de la pensée se veulent des avocats contre la liberté d’aimer de penser et d’entreprendre, ce qui a fait pourtant le lit par lequel ils se babinent en toute impunité.

Leur seule légitimité est qu’ils annoncent sans fard leurs destins à leurs citoyens, sans les prolongements qui vont s’ensuivre, car incapables de poursuivre, sauf devant leur miroir  aux alouettes qui prononce à un peuple qu’il doit manger de plus en plus de pain plutôt que de la  brioche.

Bien à vous

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L’héritage et le Droit de succéder


Le Droit de succéder ? Il n’y en aucun sauf celui donné par le potentiel défunt pour qui pourrait lui succéder. Cela appelle l’intelligence et le cœur de la filiation. L’intelligence va dire qui est capable de succéder ? La filiation est un peu importe en respectant le droit commun. Une manière de botter en touche.

L’intelligence s’enquière d’une survie de ses affaires ou de ses prolongations. La filiation simple ne s’en n’inquiète pas.

Advient l’Etat pour réglementer ce type d’affaires et fixer des règles à son grand profit.

Tout le monde sise France connaît un Notaire, un notable assermenté pour travailler dans des registres au profit du grand inquisiteur, capable de dénonciation selon Tracfin.

Mais pas toujours. Le mien a été capable de contourner les lois, ou plutôt de les interpréter pour faire en sorte que son client s’en sorte du mieux possible, ou plutôt un peu plus que beaucoup moins.

Reprenons notre propos sur le Droit de succéder. Vous n’êtes pas sans savoir que l’Etat a inventé à son profit, les droits de successions. C’est en toute logique car on, ils, eux encouragent une politique familiale pour financer un système collectiviste de retraites. Ainsi les enfants paient toute leur vie pour leurs ailleux – pas seulement les leurs mais aussi les autres, et repassent à la caisse pour succéder cette fois à leur arbre génétique. N’est-ce pas le principe la double Gabelle ou du rasoir « Gilette double lame », ne trouvez-vous pas ?

Pour ma part, j’ai 650000 € de droits de succession à payer sur dix ans, soit 65000 € à trouver en cash chaque année au premier janvier, une dette créée de nulle-part qui repose sur ma tête du jour au lendemain, selon le fameux Droit de succéder.

Pour payer un tel cachet, il faut créer beaucoup et payer les impôts et taxes récurrents en plus au fur et à mesure de la genèse de ces revenus, ou décider de vendre à l’encan pour ne pas être redressé sur une plus-value réalisée par rapport à l’évaluation notariale. L’enfer fiscal dans ses grandes œuvres !

Comprenez-moi bien ! Je n’ai pas fait un emprunt de 650 000 € pour développer ou restructurer une affaire, acheter une maison, ou payer des artisans pour la rénover et par là offrir du travail à des gens qui ont besoin de travailler pour gagner leur pain. Non c’est une dette créée de nulle part pour le bénéfice de l’Etat qui va bien entendu en faire tout ce vous savez : Du clientélisme, des salaires de fonctionnaires inutiles, des investissements dans des causes perdues bref jeter cet argent pour une bonne partie par la fenêtre, car le rendre compte n’existe pas pour ces affairistes quand ils font mine d’être responsables alors qu’ils ne le sont en aucun cas, sauf devant leur carrière et des effets de scènes .

Vous allez me rétorquer que si Bercy a estimé ma dîme ainsi, c’est forcément que je pouvais la payer en regard du patrimoine acquis. Mais un tel raisonnement est un quitus pour la spoliation en série que surenchère notre « ami » Mélenchon, l’afficionado du régime de Maduro sis Venezuela par l’inquisition, la nationalisation, la spoliation et la réquisition.

La chose que ne regarde pas Bercy, c’est l’état du patrimoine dans lequel je l’ai trouvé. Il ne faut attendre aucun audit sérieux de l’administration fiscale en la matière : Elle va se baser sur les dires du Notaire et peut-être vérifier ensuite dans des délais sous prescription, susceptibles d’être reconduits, non pas pour diminuer la sanction mais l’amplifier, avec sa grille de lecture iconoclaste. Le diable est dans les détails des lois d’inquisition édictée à cet effet. N’oubliez jamais que le système fiscal français est le plus performant au monde pour recouvrer l’impôt et ses prolongements de taxes en tout genre, ce qui rassure évidemment les prêteurs internationaux, mais pas les créateurs de richesses pour se développer sur le même territoire.

Le but de Bercy est de prendre, de rogner sur la propriété privée autant que possible non pas pour la protéger comme inscrite dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, mais pour installer sa prédation irréductible par ATDs, par la peur comme il est en train d’agir avec le Covid-19.

Ce qui me sidère dans cet état de fait est l’indifférence générale : Tu dois et tu paies, point barre, sans réfléchir. Personne ne se révolte collectivement, sauf les affiliés collectivistes patentés pour défendre leurs murs qui se fissurent. Les primal Gilets Jaunes ont fait une tentative de se grouper enfin pour une action divergente, mais vous avez bien remarqué l’assommoir du pouvoir en place, des collectivistes rameutés en bandes de pré-carrés, des agitateurs de seconde zone pour finir de réfuter toute rébellion sensée et crédible.

Monde sans lendemain qui va se fracturer de plus en plus dans l’incompréhension généralisée par la sous-culture économique et financière professée parmi nos écoles et nos médias subventionnés.

Par ce désastre qui arrive à toute vitesse, je ne vois vraiment pas comment un tel système peut survivre à moyen terme. Le Covid est peut être leur dernière tentative de dresser un rideau de fer, mais je doute qu’ils y parviennent à moins d’un vaccin promis et rendu obligatoire pour y infuser leur contrôle et « en même temps », la disparition des masses, selon la partition de la décroissance de nos écolos radicalisés. Un peu théorie du complot cette chute, mais quand on lit Orwell ou Ayn Rand, ils avaient écrit depuis bien longtemps ce qui est en train de se produire. On ne peut guère qualifier ces auteurs de complotistes devant la réalité de leurs prédictions, contrairement à l’astrologie et la Française des jeux qui ne sont que des opiums parmi d’autres pour ne rien faire.

Bien à vous.

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La France Insoumise Vs la France soumise

La France Insoumise

Sa tête de gondole est Mr Mélenchon, le Maduro français qui prône une rupture complète avec le capitalisme « sauvage », qui pourtant le nourrit, avec ses émoluments plantureux dont il ne parle guère, et qui l’équipe aussi, car sans capitalisme, pas beaucoup de choses à bas coût disponible parmi tout son quotidien.

Le capitalisme « sauvage » qu’il évoque est en fait un autre de connivence dont il fait partie. Celui qui n’est pas autre chose qu’une entente entre la politique et les savoir-faire, et dénonce alors le marché en pur concurrence, car ils, eux, on le déroute vers des rivières de travail de laborieux pour servir des ruisseaux, ou si vous préférez, des Sprinklers à pognon pour une élite qui tient la matrice avec sa batterie de soldats, les fonctionnaires, la bureaucratie.

Cela ne suffit pas à Mr Mélenchon : Car il s’agit pour lui de répliquer des modèles collectivistes qui ont échoués, systématiquement, dans toute l’histoire de l’humanité. Nous pensions être guéris de ce syndrome de Stockholm à la chute du Mur de Berlin, mais non, le conservatoire du régime de Vichy perdure décidément parmi l’Armor et l’Argoat de nos territoires malgré tout.

La faute de cet état de fait incombe à l’EdNat : Cet état dans l’Etat qui fabrique des élèves en batteries, des poulets qui vont pondre des œufs au profit de ladite Matrice. Une prise de pouvoir qui a appelé VGE puis Mitterrand et s’ensuive.

Mr Mélenchon l’a parfaitement compris et s’aligne sur ces légions de désespérés sans futur pour les capter, mais aussi sur un No Man’s Land des banlieues de métropoles et disséminées ailleurs dans le Landerneau des villages.

Mr Mélenchon est un con intellectuel fini, qui représente un danger absolu pour notre démocratie, si tant est qu’elle existe encore. Le fait que nos micros mous des médias puissent lui donner encore la parole n’est pas une objection, mais une subjection militante, gardienne du temple si vous préférez. En contrepartie, vous n’aurez jamais la même audience avec de vrais Libéraux.

La France soumise

Le « Couillanavirus » est un bon exemple. La population se teste, se méfie. Les femmes regardent beaucoup plus dans les yeux des hommes car leurs atours de maquillage disparaissent sous leurs masques. Le lien social de la rencontre de la vie ou d’une vie s’efface par des Burqas improvisées mais rendues obligatoires.

Nos gilets jaunes étaient pauvres avant cet événement surgi dans leur quotidien. Ils vont encore devenir plus pauvres ensuite, et plus nombreux dans le registre.

La violence, l’incivilité prospèrent. Les « sauvageons » de la Novlangue de Mr Chevènement deviennent hors de contrôle.

Sur les routes, je n’ai jamais roulé aussi vite. Les « Keufs » sont aux abonnés absents. Leurs radars fixes sont vampirisés.

En fait, j’ai un peu l’impression d’être plongé dans l’univers d’« Atlas Shrugged ». Un délitement lancinant d’une société d’hommes comme tant d’autres qui ont fini par disparaître par le collectivisme, toujours et encore.

Mais comme le cite Emmanuel Todd : « En bas l’intelligence progresse, tout comme le taux de diplômés en haut ».

Ceci veut dire, à mon sens, que des intelligents exclus ou restant délibérément en bas travaillent à renverser la table bientôt.

Nous verrons bien, mais comme se conclut souvent les articles de H16 : « This will not end well ».

Bien à vous

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« La France est la patrie des chiens et non des loups… »

Ce titre me vient d’un des derniers articles d’Eric Verhaeghe ici :
https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/08/12/masque-obligatoire-protection-sanitaire-ou-controle-social/

Chiens et félidés

Mon chien est d’une lignée de chasseurs, Springer Spaniel anglais, avec un papa estampillé « Champion de France », si cela veut dire quelque chose. C’est un fait, il a le nez toujours par terre, en regard de son maître pour trouver un objectif pointé.

Mon chat, il est arrivé de nulle-part sur ma propriété. Il est resté dehors à tourner autour de ma maison en hivers comme en été pendant plus d’une année avant de se laisser approcher. Il était déjà castré, donc il a appartenu à quelqu’un. Peut-être s’est-il libéré d’un joug éventuel mais plus sûrement ce dernier l’a affranchi par l’abandon.

La balance du chien et du chat. Le chien l’a accueilli et s’est soumis sous son autorité, alors qu’il aurait pu le terrasser avec ses crocs, son poids, ses muscles.

Mon chien est un socialiste parmi tant d’autres alors que mon devenu chat est un loup pour lui.

Est-ce l’apanage du chat ? Dans ma prime jeunesse, j’ai vu un chat se faire agresser par deux chiens, pas par des molosses, mais des standards. Je n’ai pas réagi assez vite pour sauver ce chat, sauf pour le recueillir et l’expédier vers le vétérinaire le plus proche qui lui a donné l’extrême onction..

Une société qui permet l’individualité

Ce que l’on nous apprend à l’école et plus après, est la route de la servitude pour la collectivité. Car il n’y a pas d’individu sans société. Et béni soit cette société qui s’organise pour nous libérer de notre condition d’animal : La lumière, l’eau courante et l’évacuation de nos déchets parmi nos domiciles, cela ne va pas de soi. Un pompier ou un policier pour nous protéger ou nous sauver, ce n’est pas non plus l’apanage de la nature. Se faire soigner ou se faire accompagner dans ses derniers instants, avec le moins de souffrance possible, n’est pas la condition de n’importe quel animal sauvage et avant nous celle de nos aïeux.

Des enfants gâtés

Vous l’avez sans doute remarqué, nous vivons en paix depuis la seconde guerre mondiale, après s’être foutu sur la gueule à nos frontières dans toute notre histoire. Pourquoi ? Parce que nous avons compris non pas qu’il fallait faire la paix entre nous, mais que nous avions accédé à des pouvoirs de destruction massive. Et depuis, n’importe lequel de nos sous-marins à propulsion nucléaire et armés d’ogives nucléaires parmi les Etats les plus avancés dans le registre, comme en France, en Grande-Bretagne, aux US, en Russie et en Chine, et que sais-je, l’intention est capable de rayer de la carte n’importe quel Spot ciblé.

L’humain à présent est un individu que la collectivité de sociétés évoluées cherche à protéger, peu importe qui il est.

Et c’est tout le problème à présent. La collectivité pèse de plus en plus sur nos épaules. Car la libération de l’individu assumée par nos trente glorieuses trouve de nouveaux murs. La population grandit, elle vieillit aussi. Beaucoup d’entre nous n’ont plus envie de faire le lit de leurs vieux parents. Il nous est alors possible par nos sociétés occidentales de s’en débarrasser ou tout du moins de ne plus vivre avec eux et subir leurs souffrances au quotidien. Mais tout dépend des cultures encore. En Russie, par exemple, il est très fréquent de vivre avec ses vieux au quotidien. Mais cela change aussi, car les nouvelles générations là-bas s’émancipent à l’Occidentale.

Ainsi, la famille n’est plus forcément le socle de notre individualité. C’est peut-être aussi la genèse de cultures importées sur notre sol avec des religions bien différentes de la nôtre. Leurs parents ont émigré et se sont fondus dans une république d’accueil tandis que leurs enfants la réfutent. Leur rue devient la libération permise et promise …

Quand la collectivité pèse

La société fait tout ce qu’il faut pour nous permettre de vivre en tant qu’individu, mais elle comprend le plus petit dénominateur commun pour ériger un principe de précaution, gravé déjà dans le marbre de notre constitution. Vient alors la chape de plomb administrative qui s’interroge sur chacun pour le surveiller.

Quand la collectivité s’effrite

A force d’être puissance sur l’individu, elle finit par le rétrograder en dessous de là où notre histoire nous avait affranchi : L’essor de l’Occident qui a façonné notre monde d’aujourd’hui.

Elle le réduit à présent comme son esclave corvéable à souhait : « Tu paies ce que je t’ordonne de me payer, sinon je t’exécute ! »

Et l’étau se resserre de plus en plus, d’où l’ambiguïté de liberté de chaque individu qui se cogne à cet état de réalité.

Mais quand le joug devient omnipotent, nous ne sommes plus en démocratie, mais dans le monde d’Orwell. Nos gilets jaunes l’ont compris, mais ont eu peur. Ils ont eu peur parce qu’ils n’étaient pas vraiment déterminés. Quand ils le deviendront, ils ne se débarrasseront pas de Bercy, car c’est leur templier, leur phare, leur tour de Babel. Et ce sera toute leur erreur …

Bien à vous


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En réponse à lol-lol

Bonjour à vous

Lol-lol a placé un commentaire assez long en réponse de mon dernier article du 2 août dernier – Le Communisme 2.0. Je constate que sur le fond, il ne remet pas en cause mon propos, mais je vais essayer de préciser certaines choses.

« J’ai toujours été étonné de la façon dont les gens de droite peuvent s’acharner à défendre le nucléaire et EDF et en disant cela je précise que je n’ai absolument aucune sympathie pour la gauche et j’ajoute aussi que pour moi le réchauffement de la planèt »e dû au CO2 c’est de la foutaise. »

Je vous réponds d’abord que je ne suis ni de droite et encore moins à gauche. Mais si vous voyez une différence entre ces deux étiquettes, cela relève du jeu des sept anomalies à repérer sur une carte qui est la même.

Pour ce qui est de la théorie du réchauffement de la planète, à mon sens c’est cyclique, non pas en fonction de nos activités humaines mais de choses qui nous dépassent comme la météo que nous ne sommes pas capable de prévoir à 15 jours sur un Spot précis. Dans le registre, j’aurai beaucoup plus confiance dans des carottes glaciaires effectuées pour mesurer des taux d’isotopes en relation avec ce qui s’est passé pour l’expliquer par rapport à des mesures conduites dans l’atmosphère et la stratosphère. N’oubliez jamais que dans des temps pas si anciens, on a pu traverser le lit de la Seine à pieds.

« EDF est une saloperie collectiviste, un repère de rouges qui ne fait que coûter de l’argent aux contribuables : comité d’entreprise pléthorique, construction calamiteuse de l’EPR de Flamenville, idem pour le fameux surgénérateur Superphénix qui a été abandonné (un circuit de refroidissement au sodium fondu : une pure folie tellement le sodium est explosif au contact de l’eau), je passe sur ITER juste bon à enrichir les marchands de cuivre et qui ne fonctionnera jamais et je n’en rajouterai pas sur Framatome et Areva et Lauvergeon. »

J’ai un pilonne sur une de mes propriétés d’où s’est décoché le câble d’alimentation toujours en service. J’ai appelé l’EDF et ils sont intervenus dans l’urgence deux jours après pour sécuriser la situation.

Ce que vous contestez, en fait, c’est le statut des agents de l’EDF, et c’est un autre sujet qui nous occupe sur ce blog. Ce que vous ne savez pas, c’est que l’EPR fonctionne en Angleterre et en Chine. En France, ce qu’il faut comprendre parmi tous ces développements est que nous avons été pilotes d’innovations en la matière, et qui dit pilote dit aussi échec et succès, mais surtout perverti en surcoût par nos ineffables responsables politiques, responsables de rien, sauf de leur cul. Et d’autre pays l’ont très bien compris pour en tirer bénéfice d’une énergie à bas coût et pérenne.

« Les ingénieurs des grandes écoles parce que cela leur donne de confortables pantoufles. Je ne vous cache pas que j’ai une profonde détestation pour les grandes écoles qui ne sont pour moi que des machines à décérébrer et formater les individus. L’ENA forme des individus obtus mais Polytechnique, les Mines et Centrale aussi. L’Allemagne se passe de grandes écoles, elle forme ces ingénieurs dans les universités, on ne peut pas dire pour autant que ceux-ci soient mauvais. »

Pour aller dans votre sens, la décérébration des cerveaux dans notre pays part de bien plus tôt, dès le collège. Les cours d’économie qui sont relatés, parfois là-bas, mais plus souvent au Lycée, sont des antichambres aux marchés. L’Etat providence y est alors érigé comme le gardien du temple face à toute concurrence.

« 80% des reçus au concours de Polytechnique sont issus de Louis le Grand. Cherchez l’erreur, il n’y aurait que des imbéciles dans les classes de maths sup maths spé en province ? Non en fait certains professeurs enseignent à la fois à Louis le Grand et à Polytechnique : perméabilité entre les deux structures, concours plus ou moins bidonné, là est la réalité. »

Madame Thatcher est fille d’épicier et de mère couturière à Grantham, un trou du cul du monde en Angleterre. Elle entre à Oxford avec une bourse. Puis vous connaissez la suite, elle réforme son pays en cognant sur des syndicats bien plus virulents que chez nous qui sabordaient leur outil de travail, non pas en le bloquant mais en le mettant hors état de fonctionner.

« Techniquement la formation est mauvaise, des ingénieurs de papier qui ne connaissent rien à un atelier et qui pour la plupart ne sont même pas fichus de tenir une lime ou un fer à souder. »

L’ingénieur c’est le mec ou la fille qui cherche. Il est payé pour cela, mais il va rarement entreprendre. En principe, il doit connaître tous les reliquats du métier. Bien sûr qu’il ne va pas souder, mais pour se faire accepter de ses subalternes, il doit leur démontrer qu’il en est capable.

« Peut-on se passer du nucléaire ? Assurément oui puisque l’Italie s’en passe depuis toujours et que l’Allemagne s’en écarte.
Le nucléaire est-il rentable ? Certainement pas lorsqu’on inclut le risque de catastrophe radioactive. Il faut vraiment avoir une paire d’oeillères pour ne pas comprendre cela après Tchernobyl et Fukushima. »

L’énergie nucléaire est notre meilleur garde-fou pour continuer de nous alimenter à bas coût et de façon non aléatoire en s’adaptant à nos pics ou nos reflux de consommations, mais de toute façon dans un Trend croissant du fait du consumérisme émergeant. Non seulement cette source d’énergie est rentable et sécurisée, mais elle épouse la loi du marché qui la rendra moins cher que toutes les utopies de nos Kmers Verts. Tchernobyle et plus sur Fukoshima, cela a été géré.

« Les déchets gérables vraiment ? Il n’y aurait qu’à les enterrer et les oublier ? L’Allemagne l’a déjà tenté dans une mine de sel à Asse, une catastrophe : fuites et pollution de la nappe phréatique : »

Fatigué après les deux points ? Cela sent l’alcool infusé quand écrit ces lignes : Les enfouissements sont parfaitement gérés, en sachant que le nucléaire est déjà proéminent parmi les entrailles de la Terre, sous forme de coques ou gangues de retenues. Il ne suffit juste que comprendre ce pourquoi et de le répliquer.

« Michel Gay ? Voilà quelqu’un dont je n’avais jamais entendu parlé mais qui n’attire pas ma sympathie. Ingénieur issu de Supélec, lieutenant colonel et pilote d’avion de chasse, son opinion sur le nucléaire ne m’étonne guère. Le genre qui aurait pu sans sourciller se retrouver aux commandes de L’Enola Gay (d’ailleurs il en porte le nom , quelle coïncidence). »

Vous n’en avez jamais entendu parler par ce que je vous l’ai cité. Vous êtes alors à vous enquérir d’un « Who’s who » pour dire absolument n’importe quoi ! Vous pensez vraiment ce que vous dites de cette personne, qui a son parcours propre, qui n’a aucune intention de vos évolutions.

J’en termine là, mais je pourrais continuer…

Bien à vous

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Le Communisme 2.0

Le Communisme 1.0

Il a commencé sous le régime de Vichy, puis par le CNR. Les socialo-communistes s’égayaient alors à poser leurs prébendes. Les intellectuels de Saint-Germain des Prés de l’époque d’après-guerre avaient compris qu’il fallait conquérir et tenir la Culture et l’Education Nationale, avant de parvenir au Pouvoir Suprême. Leur rêve s’est matérialisé en 1981, grâce rendue à un pur format de notre ENA, Mr Valérie Giscard d’Estaing qui ne leur a pas savonné la planche, mais précipitée.

Le contexte de l’époque des années 80 était des Etats en concurrence, par les marchés, les mieux à même de traduire ce qui fonctionne ou pas. Reagan et Thatcher étaient à la manœuvre pour libérer leurs créateurs de richesses et cogner en même temps sur tous les pantouflards du socialisme, décroissant et pervers, pour réveiller les consciences vers un avenir de prospérité parmi toutes leurs individualités.

Nos socialo-communistes intra-muros se sont réveillés après l’expérience Mauroy pour virer en 1983, c’est-à-dire arrêter la sauterie, car alors toujours en concurrence entres nations, pour reculer mais ne pas sauter !

Nos socialo-communistes ont déjà conquis le pouvoir et aussi celui de ne plus le lâcher. La voie lactée pour eux va devenir l’Europe de Maastricht et ce qui s’ensuit …

Un doute par ces patentés du nouveau colonialisme de l’intérieur est intervenu avec la chute du Mur de Berlin, mais si peu car ils sont déjà aux manœuvres et ont quelques kilomètres au pouvoir et devant eux un pacte du diable qu’ils vont graver dans le marbre avec l’Allemagne qui cherche à ne plus avoir Bonn, mais Berlin comme capitale.

Le Communisme 2.0

L’Europe pour Bercy, c’est le sauveur, le garant de la mutuelle des dettes de nous tous ! Le Graal ouvert depuis la création de l’Euro qui permet d’emprunter à foison à bas coût, sans concurrence, car avec des faux prix de marché.

La France vit au-dessus de ses moyens depuis déjà longtemps, avec une EdNat et une culture qui a dévitalisée la prise de risque, l’économie de marché, et favorisé l’indigence en pur clientélisme pour une nation qui foisonne plus par le bas de la condition humaine, et la maintenir sous un nouvel esclavage.

Vient le communisme 2.0, l’écologie, ce dont se foutent 90% des sept milliards d’humains de la planète. Mais en France « Eux, on » ont décidé de l’utiliser pour pousser le curseur du collectivisme encore plus loin. Avant cela, il avait déjà atteint un point de non-retour. Mais peu importe pour ces irresponsables, on accélère pour foncer dans le mur, en attendant – gérant si je puis dire, l’effondrement. Car aucune société collectiviste dans l’histoire n’a prospéré ainsi, jamais, peu importe les cultures qui l’ont embrassée.

L’écologie doit se comprendre dans le bon sens, c’est-à-dire l’éducation des gens, les responsabiliser naturellement, par l’interdit, mais pas toujours, et certainement pas par la taxation. Ceci veut dire apprendre comment faire la même activité avec les mêmes résultats, voir meilleurs, mais différemment. Nous sommes alors toujours dans un acte positif de croissance qui nous est nécessaire à tous et non dans un registre dégressif, qui perdra bien d’entre nous.

Un exemple. Il n’y a pas si longtemps, tout le monde pouvait fumer ses clopes n’importe où : Dans l’avion, le train, au sein de n’importe quel bâtiment et bureau. On l’a interdit et cela n’a pas empêché de fumer mais ailleurs. Le chiffre d’affaires de tous ces fumoirs potentiels s’est-il effondré ? Bien sûr que non. Les bureaux de tabac ont-ils périclité ? Non. C’est le principe de l’éducation positive.

Interdire n‘est pas forcément une bonne idée non plus. Fermer la centrale nucléaire de Fessenheim qui pouvait encore durer pour au moins vingt ans, alors qu’elle ne pollue pas et fournit une énergie à bas coût et pérenne contrairement à développer des Spots d’éoliennes non pilotables et non gérables dans notre réseau électrique qui est de l’inconscience. Ne me parlez pas des déchets nucléaires à stocker. C’est peanuts et on sait parfaitement traiter cela. Je vous renvoie à un auteur sur le site de Contrepoints, Michel Gay, qui connaît très bien le sujet.

Investir

Vous n’apprendrez jamais à l’école à investir. Dommage, car tout un chacun qui y passe pourrait construire sa vie d’une manière bien différente.

Pour emprunter au livre de Robert T. KIYOSAKI – Le Quadrant du Cashflow, vous allez vous situer par vos émotions dans un des quatre cadrants pour générer votre gagne-pain : Employé (salarié), Travailleur autonome (artisan, médecin généraliste, avocat, commerçant …), Propriétaire d’entreprise (actionnaire en l’occurrence sans y travailler mais en déléguant avec du personnel qualifié), et Investisseur (être votre propre banquier).

Ce livre n’est pas à mon chevet depuis des lustres mais m’a permis depuis peu de comprendre comment je fonctionnais. Je suis quelqu’un d’inemployable, malgré de grosses études. Donner un CV pour rechercher un boulot n’a aucun intérêt pour moi. Je n’ai jamais eu envie de bosser pour quelqu’un, ce qui ne veut pas dire que vous ne devez pas le faire, mais vous avez le choix ou pas dans ce domaine.

Mon père, qui a fui l’école dès le collège, était un bâtisseur et un travailleur autonome dans l’esprit jusqu’à la fin de sa vie. Quand j’ai repris ses affaires à son décès, qu’il avait créé en partant de rien, j’étais dans le costume d’un laborieux autonome comme lui mais très vite mué en propriétaire d’entreprises. Pour ne pas faire comme lui en changeant de business model, et restructurant ses activités en déclin : Licencier à tour de bras pour embaucher du personnel plus réduit qui me convient. Fermer deux entreprises en perdition avec des salariés à problèmes et pour l’une d’entre elle libérer un espace de bâtiment pour le louer à une grande enseigne qui prend ses risques et me paiera un loyer conséquent. Bref, couper les branches pourries, revitaliser et réduire la charge de travail et le risque ! Et rassurez-vous, tout mon personnel restant et nouveau est heureux et gagne bien sa vie.

Aujourd’hui je travaille comme je veux et quand je veux. Mais le pays communiste dans lequel je vis ne me plaît pas pour deux raisons : 1 – Il va s’effondrer et je reste dépendant de cela et 2 – je n’ai pas envie de me retrouver sur les chemins, vieux à fuir, spolié de mes propriétés privées. Donc je dois travailler encore sur un projet IAM – Indépendance, Autonomie, Mobilité. C’est-à-dire être capable de repartir de zéro, avec un modeste capital qui va croître de manière exponentielle très vite avec une mobilité, qui signifie délocalisation quelques soit la culture d’accueil . Ce n’est pas du rêve, mais existe bien …

Conclusion

N’ayons pas peur comme le répétait Jean-Paul II. Et je rajouterai que notre sécurité est l’envers de notre liberté. Alors composons avec une balance entre l’une et l’autre, mais donnons toujours la priorité à la liberté !

Bien à vous !

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Les salaires en France sont élevés


Je me permets de rebondir sur le dernier billet de Claude Reichman.

Avant-propos

Excusez-moi de vous interpeller ainsi Mr Reichman, mais votre nom pourrait se disséquer en Reich, pour ce que l’on sait de l’histoire, et Man qui en langue anglaise veut dire évidemment homme. Beaucoup de noms en terminaison « Man » font allusion à la diaspora juive. Ainsi par là vous réunissez votre persécuteur et votre individualité.

Vous qui se terminez en « Man » font le plus souvent partie des élites, dans tous les domaines d’activité humaine à valeur ajouté, c’est-à-dire créateurs de richesses, souvent exceptionnelles.

C’est peut-être pour cela que les égalitaristes des résultats et non des moyens vous ont pourchassé autant que ce peut.

Les salaires élevés en France

Bien sûr qu’ils le sont car sur n’importe quel bulletin de salaire correctement établi, vous avez le coût global qui s’affiche pour l’employeur à payer.

Ce bulletin de paie est une vaste fumisterie, car déjà il dissocie les charges salariales et patronales qui ne sont en fait que la même chose, sauf pour dire que quelqu’un paie et un autre aussi, afin de calmer les esprits assurément et légitimer nos syndicats patentés qui ne représentent rien, mais qui abondent dans le registre – Le rapport Pénuchot n’est pas si loin …

Derrière cette fenêtre de paie, nous voyons clairement le Communisme 1.0 issu du régime de Vichy puis percuté par le CNR. Celui de nourrir des organisations de plus en plus pléthoriques, inscrites dans un modèle bureaucratique verticale à la Weber qui décide in fine, avec une batterie de fonctionnaires qui s’établissent parmi tout cela.

Un bulletin de paie complet d’un français coûte très cher à n’importe quel employeur français. D’où la réflexion d’un quelconque d’entre eux : « Est-ce que je peux me passer d’un salarié français pour faire la même chose ? Si la réponse est oui, c’est bonus et un cas aux Prud’hommes en moins, puis un cortège d’emmerdements réduit au quotidien.

Redonner ce salaire complet

Cela ne me pose aucun problème de payer le même salaire en coût complet actuel pour un quelconque de mes salariés. Mais il faut que cela réponde derrière :

– Que cette administration qui survie et se graisse de son pouvoir établi, disparaisse ;

– Qu’il y ait plus de gens du terrain – et surtout pas urbains, qui décident dans le domaine publique ou Public ;

– Que les gens reprennent leurs responsabilités pour veiller à leur protection par des choix offerts en concurrence, comme pour aller au restaurant pour choisir sa carte ou son menu ;

– Qu’on se débarrasse de cette écologie punitive dont le fonds de commerce est de la décroissance alors que la nature est croissance ;

–  Que le Tribunal Administratif n’ait plus lieu d’être au profit du Droit commun :

– Qu’on arrête de m’emmerder, car c’est dangereux de monter sur une échelle de plus de deux mètres, alors que d’autres ont monté des cathédrales avec tous les risques, ce que nous sommes à admirer aujourd’hui parmi, nos RTT, nos CPs, nos ponts ou nos viaducs.

L’homme qui monte a peur de tomber, et il va alors chercher à ne pas tomber pour s’élever naturellement.

Bien à vous

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Jean Moulin Reload

Jean Moulin est un résistant et non un fournisseur de farine, comme on pourrait l’entendre par un bêtisier de cancres de l’histoire.

Je passe sur sa biographie qu’il est simple de s’enquérir pour alléger mon propos.

J’ai fait une recherche sur le WWW pour repérer des sites DGFIP sis quelque endroit où Jean Moulin, le résistant, apparaissait. A ma grande surprise, j’ai relevé ceux-ci parmi tant d’autres :

– sie.rouen-est@dgfip.finances.gouv.fr 21 quai Jean Moulin BP 1002 76037 Rouen Cedex1 ;

– spf.vienne@dgfip.finances.gouv.fr 12 rue Jean Moulin BP 113 38209 VIENNE Cedex ;

– sie.versailles-nord@dgfip.finances.gouv.fr 1 Place Jean Moulin. 78201 MANTES LA JOLIE Cedex

– sip.hyeres@dgfip.finances.gouv.fr Avenue Jean-Moulin

– sie.la-cote-saint-andre@dgfip.finances.gouv.fr Centre des finances publiques de Vienne Jean Moulin.

L’occupant, comme vous pouvez le lire, foule du pied notre histoire. Celle qu’on n’apprend plus par les cahiers de L’EdNat.

Etre Jean Moulin à notre époque est bien plus compliqué, car le communisme 2.0 est en marche par toutes ces technologies développées via les créateurs de richesses du privé qui passent dans le domaine public, qui les épouse allègrement pour ses offices « et nous servir ».

Etre Jean Moulin, depuis déjà un bon moment c’est inutile car la force d’occupation se renforce d’une population de plus en plus servile, perdue dans un cénacle de survie et non dans la prise de risques.

Etre Jean Moulin, tout dépend un peu de nos volontés. Ou bien rassembler autour de soi pour lutter contre cet activisme qui n’a plus rien de démocratique, ou jouer à cavalier seul, c’est-à-dire de s’exfiltrer de ce mouroir à feu lent tant qu’il est temps.

Etre Jean Moulin, c’est un état d’esprit résilient contre une oppression pervertie qui prospère dans la chute de la propriété privée …

Hélas, notre société mal formée dans sa majorité va continuer de se dresser contre Jean Moulin, car il n’est pas question de renier une décision de majorité qui est force de loi …

La résistance n’a plus lieu, sauf celle de pacotilles pour préserver ses acquis, qui sur ses ergots, lambine sur un champ de merde.

Alors, être Jean Moulin ou Jean Castex ?

Bien à vous

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Ce que vous voulez

Quand vous êtes entrepreneur dans un marché libre, sans subvention, ou aucune aide sauf celle souvent de s’endetter auprès d’une banque, car vous n’avez pas le capital, votre profit est la rencontre d’un public, une clientèle qui vient vers vous et est satisfaite de ce que vous lui proposez. Sinon, il n’y aurait pas de profit possible. Le principe de Shumpeter – La création destructrice, s’appliquerait alors. Le profit est finalement partagé dans la rencontre d’une offre et d’une demande positive.

Nos administrations font des recettes de perceptions sur ceux, qu’il y ait des profits ou pas, sans risque pour les mêmes percepteurs, selon des circulaires de ponctions sur les bêtes, ces esclaves corvéables en laisse, loin d’un quelconque marché libre. Les questions sont : Faut-il laisser toute la place au marché libre avec du risque ? Ou alors : Faut-il élire ces vampires, ces marquis sous couvert de l’Etat, « travailler » à leurs seuls profits, sans risque ?

Ces questions sont déjà tranchées sise France : Le principe de précaution inscrit dans notre constitution par feu Chirac qui n’a jamais su faire autre chose que taper le cul des vaches, et ces nouvelles potentielles « escrologies » qui menacent de s’y ajouter aussi, par cette escouade de représentants qui ne représentent rien par leur désignation, et plus par leur non-élection.

Je suis, comme bon nombre de corvéables ambitieux, et non comme ceux en majorité qui abondent à ce système régressif, l’anti-thèse de cette matrice qui perdure depuis des décennies sur notre sol.

Mon problème, actuellement est le temps. En effet, je dois encore quelques dettes « indues » auprès de Bercy et dues aux banquiers pour payer ces mêmes dettes indues. Ces dernières sont des droits de succession énormes sans tenir compte d’un état successorale véritablement désastreux avec des entreprises en faillite, redressées depuis ; Un immobilier résidentiel plantureux mais dans un délabrement qui appelait des travaux colossaux ce qui est en cours aussi.

Cette succession, je l’ai prise comme un défi, malgré des templiers fiscaux au firmament de leur maturité, pour faire mieux que mon père qui me prenait pour un bon à rien.

Quand il a décidé de se pendre après avoir créé un empire local, en partant de rien, par endettement, pour faire du levier par sa force de travail et son intelligence pragmatique, il avait aussi la possibilité de ne me rien laisser, d’autant que sa famille recomposée, remontée à mon égard, était tout à propos pour lui succéder. Sa concubine était DAF dans une grosse entreprise. Mais il m’a tout laissé. Les chiens ne font pas des chats …

Aujourd’hui, j’ai résolu toutes ces affaires déclinantes : Il m’a fallu trois ans après son décès pour sortir par le haut, et beaucoup moins pour éjecter la famille recomposée.

Dans l’intervalle, j’ai connu un contrôle fiscal, qui a fait choux blanc et un autre de l’URSSAF qui m’a pris près de 7 K€, à cause de mon avocate en Droit Social dédiée pour faire le ménage dans une de mes entreprises et qui a manqué sur un point. Je ne lui en veux pas car elle a fait du bon boulot dans l’ensemble selon mes prérequis.

Le temps. Je vois cette France qui se délite de plus en plus, je dirais presque à vue d’œil si tant est qu’un paquebot vire plus lentement qu’un frêle esquif. Je vois cette soviétisation rampante de tous les éparts de notre société.

Le confinement avait cette chose merveilleuse : On n’entendait plus les écolos, ni même les risques d’attentats ou encore la culture subventionnée … Un havre de paix qui nous laissait écouter le chant des oiseaux.

Bien à vous

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L’argent créé de nulle-part

Facto

L’argent ne vaut que par la confiance qu’on lui donne ce qui est le cas actuellement parmi nos sociétés matures.

Lors d’un arrêt d’économies comme les nôtres, que nous venons de connaître, cette confiance en la monnaie perdure tout de même. Pour le quidam quand il va acheter son pain, mais plus haut quand on s’intéresse à l’évolution des paires Forex majeures pour comprendre qu’il n’y a rien de systémique, plus quand les marchés Indices ont décroché vivement pendant près de trois semaines en mars dernier : De la volatilité, certes sur le Forex aussi mais sans commune mesure, je dirais même presque imperturbable, contrairement aux indices CAC, DAX, SP500 ou encore le DOW.

L’indice NASDAQ100 qui recense les sociétés technologiques à forte valeur ajoutée reste positif depuis le début de l’année, ce qui est un signe de la mutation de nos sociétés avancées vers de plus en plus de Digital : Dommages à venir pour bon nombre de métiers traditionnels qui vont disparaître.

Infacto

Vous ne travaillez pas mais vous recevez de l’argent à ne rien faire. D’où provient cet argent ? Rentier ? Pour la plupart de nos concitoyens, ce n’est évidemment pas le cas. L’Etat ? Bien c’est l’Etat qui paie comme nous l’avait annoncé notre inénarrable François Hollande : « C’est gratuit ! »

Que ce soit ainsi pour une frange de population de plus en plus étoffée par nos Kmers pastèques, rouges à l’intérieur et verts sur la périphérie, et qu’il nous faille nous endetter vis-à-vis de l’extérieur, car nos créateurs de richesse intramuros sombrent, faute à une courbe de Laffer qui les laboure par des sommets.

Refacto

Cet argent qui vient de nulle-part pour combler des trous dans la raquette d’une création de richesses à l’arrêt, celle qui ne produit plus pour payer des impôts et taxes à foison vers des gens qui ne souffrent en aucun cas de quelconque marché à l’arrêt, nos « ponctionnaires ». Il se trouve où ? Via la Banque de France avant Maastricht et après via la BCE.

Cette création monétaire ex-nihilo pose-t-elle un problème en soi ? En aucun cas, tant qu’il n’y a pas de pénurie sur l’offre de biens de productions dans le principe de Ricardo et de frontières ouvertes, avant de se fermer peut-être ce qui retirerait la marée devant ceux sans paniers.

Alors que craindre de ces tombereaux de pluies de milliards qui arrosent l’avenir des français ? Absolument rien ! Rien tant que tout le monde fait pareil ou un peu moins mais l’accepte ! Et c’est tout l’enjeu. Quand cet entre soit viendra à être rompu, cela va devenir pour nous bien plus compliqué, et c’est peu de le dire …

Bien à vous

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L’ambiance du temps et ses prolongements

Tout le monde ici connait sans doute « Télématin » sur France 2. Un réveil matin qui débute à 6h30 pour se prolonger jusque vers 9h00 – pendant longtemps, c’était plié à 8h30. Cette émission a introduit le JT insipide et répété toutes les 30 minutes. Chose reprise par les BFM TV, CNews ou encore LCI.

Je ne sais pas combien sont payés les journaleux pour faire ce travail d’usine, sans valeur ajoutée à chacune de leurs interventions, mais peu importe, je ne voudrais vraiment pas être à leur place.

Avant Télématin sur France 3, ante l’ère Macron, il y avait Euronews, de 6h00 à 6h30. Avec leurs informations, on sortait un peu des sentiers battus pour s’ouvrir sur le monde en décalé, avec un panel relatif aux marchés financiers. Cet entracte a disparu pour laisser place à un pré-Télématin sur France 2 pour faire la revue de presse des copains, se faire filmer dans l’entre soit en vrai-semblant de s’affairer : Le néant. Samuel Etienne pour sa revue de presse du matin est même rappelé sur le JT de 13h00 pour nous réciter encore la leçon.

Vous allez me dire que beaucoup de gens n’en ont rien à foutre de tout cela, probablement parmi les plus jeunes et dieu merci. Mais combien encore de leurs aînés s’y perfusent pour une opinion de l’instant T, en boucle pour bien infuser. N’oubliez pas que ces mêmes gens sont des bulletins de vote comme vous et moi.

Malheureusement, l’abêtissement des jeunes en masse sise France par ce gauchisme édulcoré en vert, pour la sauvegarde de la planète, fait qu’ils ne comprennent plus le marché, la prise de risque et son acceptation. Il est clair qu’en sous-entendu, dans notre culture, l’échec est suspect, mais la réussite aussi.

Le plus dérangeant est que les soixante-huitards qui ont connus la prise de risque pour tenter d’élever leur condition, sont à présent pour la plupart en retraite et à sauver leur cul avant la grande faucheuse.

On a donc un problème : Une génération qui paie de moins en moins pour une autre de plus en plus nombreuse qui crée certes une valeur ajouté non marchande – garder les mômes des enfants qui bossent encore, etc, mais qui reste quoiqu’on en dise une charge, car vous l’avez compris les caisses de précaution sont en partie vides.

Le phénomène de ce dernier problème est sans doute la dernière allocution de Mr Macron 1er : Il n’est même plus dans la décision mais l’incantation selon l’hypothèse que l’Europe, unanimement solidaire sans condition va épouser son plan de vol. Un plan qui n’est pas une remise en cause d’un système franco-français qui ne marche plus, mais qui est pour le poursuivre en contraignant toujours plus ses concitoyens.

Aux jeunes qui ont encore un peu de cervelle, de l’ambition et l’envie de bosser : Barrez-vous hors espace Schengen en laissant cette hydre soviétique derrière vous, pendant que vous le pouvez. Il n’est plus question de patriotisme, tant la déraison ambiante galvaude cette notion. Cassez-vous !

Bien à vous

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Avis à Tiers Détenteur et huissier

« Les commerçants ont l’obligation d’informer précisément leur clientèle sur les modes de paiement acceptés et refusés. Si un commerçant refuse un règlement par chèque, sa décision doit s’accompagner d’une information claire et précise, par le biais d’un affichage, d’un marquage ou d’un étiquetage dans les locaux commerciaux, à l’endroit où la clientèle est reçue. »

https://droit-finances.commentcamarche.com/faq/7350-refus-de-paiement-par-cheque-par-un-commercantva

Refuser le paiement par chèque, c’est limiter notre Business. Et pourtant celui-ci n’est qu’une promesse d’achat, contrairement au paiement par carte ou par virement bancaire ou encore en espèces. En effet, quand la banque vous retourne ce chèque pour impayé, avec ses frais de services, à vous de vous débrouiller avec le client.

Le petit entrepreneur face à cet impayé, doit poursuivre le client pour récupérer le solde de sa vente. Il le rappelle et celui-ci ne répond pas. Il n’a bien sûr pas pris la précaution de s’assurer auprès d’une société d’affacturage, qui n’est qu’un coût d’assurance supplémentaire sur une pile qui prospère.

Vient l’option de l’huissier qui évidemment, par ses émoluments, va réduire à néant la marge-produit pour son intervention. Déposer plainte auprès du commissariat local est hors objet ou auprès du Procureur de la République, sans réponse.

La chute de mon huissier référent quant à une affaire de la sorte a été la suivante : « Mr Intel a déménagé et se trouve « Là-bas » en France. Je peux transmettre le dossier à mon confrère, « Là-bas », selon votre décision. » Donc on peut imaginer un nouveau tour de manège avec un préposé qui va émarger pour sans doute le même résultat.

Ce que je veux exprimer par-là sont plusieurs choses :

– Les Big Firms ont leurs services juridiques propres pour gérer les impayés avec efficacité ;
– Nos services au profit de l’Etat et de ses collectivités subsidiaires associées ont tous les moyens de nous réduire avec une plus grande efficacité ;
– Les gueux, doivent se démerder, sans fusil, pour réclamer leur dû, avec des coûts qui les impactent plus sûrement.

Nous sommes parfaitement non dans le capitalisme, mais celui qui prospère par la connivence, l’entre-soi ou que sais-je ? 

Vous connaissez sans doute les avis à tiers détenteurs, un rouleau compresseur, qui vous suit sans limite. Celui de vous mettre dans l’indigence jusqu’à  la fin de vos jours, histoire de vous réduire par des parchemins de règles, de normes qui se confondent en matrice pour ne plus requérir votre avis. Alors, pourquoi n’aurions-nous pas ce même bénéfice d’action, automatique, pour nous qui tentons de créer de la richesse ?

C’est votre Etat pour lequel vous votez à chacun des propos d’options de démocratie sans demander aucun compte à ceux qui vous l’offre.

Je voudrais encore revenir sur la notion de chèque, et plus particulièrement sur les chèques cadeaux que bon nombre de clients proposent en guise de leurs achats. Pure invention dans le style Keynésien pour soutenir la demande au détriment de l’offre.

Ces chèques seront effectivement payés, mais à des taux d’intérêt pour le commerçant de 5% ou plus. De plus, ce même impétrant devra faire un travail administratif quant à ces « œuvres » de paiement : Editer une fiche de renvoi des chèques, comptabiliser les mêmes, vérifier leurs dates de validité, les tamponner avec le cachet de l’entreprise, couper leurs bords, les enregistrer dans un Tableur « Excel » pour leur suivi de paiement et les expédier par recommandé, bref encore une usine à gaz qui fait vivre un tas de parasites. Connerie à l’état pur !

On peut surenchérir avec tous ces tickets Resto qui prolifèrent dans le même sens, celui d’une économie administrée, aux confins du soviétisme. La monnaie, en sonnante et trébuchante, cela existe, non ? 

Finalement, nous comprenons que nous vivons ainsi à payer un tas de chacals qui ne servent strictement à rien, sinon qu’il serait si simple, par nos moyens actuels de les liquider pour du pragmatisme, fluide et en toute sécurité.

Bien à vous

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La Grève, celle de s’extirper de la Junte

Résister quand on est sûr d’être laminé n’a aucun sens, sauf pour avoir peut-être l’épitaphe du courage estampillée sur sa pierre tombale, plus tard pourquoi pas … Ne comptez pas sur la Légion d’honneur, elle est devenue aussi conne que ceux qui la distribuent …

La junte, une de ses définitions dans le Larousse est la suivante : « Autrefois, dans les pays ibériques, conseil politique ou administratif, régulier ou révolutionnaire. »

Nous retiendrons pour ce qui nous concerne sise France, le conseil politique et administratif régulier. Le désespoir de Mr Dumas dans sa dernière vidéo sur ce blog me semble tout à fait à propos dans le registre. Inutile de résister, laissons le paquebot France couler, et tenter de s’en sauver en anticipation du naufrage annoncé.

Notre paquebot France a heurté l’iceberg avec le confinement de son économie déjà chancelante sur bien de ses structures opérationnelles, le reste est à suivre … Le Carpathia sous le drapeau Allemand viendra ou pas malgré les SOS lancés par notre chef de passerelle, Mr Macron.

D’autres navires plus loin sous les étendards danois, hollandais ou autrichiens sont aussi appelés à notre rescousse et vont peut-être se dérouter vers nous ou pas.

Pendant ce temps, dans les cales de notre navire vacillant, nous avons les rouges vifs de la CGT ou moins vifs tel que cet imbécile de Berger, qui semble avoir pignon sur cale à la tête de la CFDT, ou encore les lobbies des écolos encartés, pour finir d’anéantir toute entreprise de sauvetage : En clair, saboter les moteurs et ouvrir plus grand les brèches.

Soit ! Puisque les passagers de notre junte définie plus avant, déguisée en démocratie, semblent y adhérer, qu’ils coulent avec elle. Leur désespoir viendra quand leur navire va prendre de la gîte vers les abysses. Les lumières des subventions, des allocations, des pensions s’éteignant les unes après les autres. Le navire coule …

J’ai l’impression de vivre un été 1936, celui des congés payés – la libération par le dé-confinement, dans la plus totale insouciance, alors que des périls cognent à ma porte.

Comme l’a conseillé, Mr Dumas, il m’est temps de quitter le bateau, si je le peux. Non par manque de courage pour résister, mais par un plus grand pour quitter mes racines par lesquelles j’ai grandi.

Chef d’entreprise en plus-value sur la passerelle de notre vaisseau France, je me prépare depuis quelque mois à l’abandonner.

Je l’ai déjà écrit dans un précédent billet : Essai d’entreprise indépendante, autonome, c’est-à-dire sans aucun salarié et surtout français avec son Larousse du Droit du travail sous le bras, parfaitement exportable, avant de répliquer la fille ailleurs loin des coursives de Bercy, de l’Urssaf et de leurs consorts aussi médiocres, qui ne sont pas à autre chose que la négation de notre évolution pour le meilleur, celle de Dame Nature, en ne faisant pas confiance aux marchés, aux vrais prix pour pousser ainsi leur pions vers leur camp de concentration à ciel ouvert pour leurs seuls profits. La Junte …

Si vous voulez vous défouler, vous écouterez « La Junte » de l’album « Marche ou crève » du groupe Trust, en lisant entre les lignes, objectivement, même en vous posant en opposant contre Bernie Bonvoisin, le poseur de ces mêmes lignes, qui se plante en partie, mais qui découvre quelques observations propres à notre Junte à courre de notre chasse.

Bien à vous

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