Je vous propose une première mouture de la plainte que nous envisageons de déposer devant la CJUE (Cour de Justice de l’Union Européenne).
Merci de nous faire part de vos remarques.
Bien à vous. H. Dumas
1 142 vuesJe vous propose une première mouture de la plainte que nous envisageons de déposer devant la CJUE (Cour de Justice de l’Union Européenne).
Merci de nous faire part de vos remarques.
Bien à vous. H. Dumas
1 142 vuesLes hommes – j’allais dire les êtres humains, puis je me suis ravisé, je ne crois pas que les femmes soient atteintes du même mal, sauf celles qui perdent leur sophistication pour singer l’intellect primaire et binaire du masculin – les hommes donc sont les adeptes irraisonnables de la démesure.
Si vous avez un doute à ce sujet achetez le “Guinness world records” et il sera levé.
La démesure peut paraître amusante, faire effectivement l’objet d’un répertoire, mais, plus prosaïquement, elle soumet son environnement à des contraintes inutiles et difficiles à vivre.
Aujourd’hui, la dette de la France est entrée dans la démesure, si ce n’est encore dans le Guinness.
Dépassant, en instantané, 2.000 milliards d’Euros, elle n’inclut pas les engagements pris qui ne peuvent être dédits, comme la retraite des fonctionnaires, les participations mondiales, les cautions, etc…
En 2020, la France pour vivre a emprunté un montant équivalant aux impôts prélevés, soit, pour parler en chiffres ronds, 250 milliards d’Euros.
Donc, conclusion :
Les impôts, rien que pour payer le train de vie actuel de la France, devraient être le double de ce qu’ils sont, et pour rattraper le retard : le triple, voire plus selon la cadence.
Vous ne trouvez pas que cela mérite d’y réfléchir ?
Première question :
Avez-vous l’impression d’avoir donné l’autorisation à quelqu’un de souscrire de tels emprunts ? Dont vous êtes la caution.
Vous aurez sans doute à vous exécuter, je crains que vous ayez de grandes difficultés à vous procurer les conditions prévues lors de votre acte de caution, qui pourrait n’être que le vote auquel vous n’avez peut-être pas pas adhéré, voire pas participé.
Un peu léger pour une telle caution.
Deuxième question :
Qu’avez-vous personnellement retiré de ces emprunts ? En quoi ont-ils changé votre vie ?
Difficile sans doute à définir sans répéter bêtement les phrases toutes faites de ceux qui ont emprunté en notre nom, et espérer que le voisin en a profité, parce que vous probablement pas…
Troisième question :
Savez-vous qui sont les emprunteurs ? Connaissez-vous ceux à qui ils empruntent et sous quelles conditions ?
Savez-vous que vous faites partie des préteurs par le biais de votre assureur, qu’une partie importante de vos primes d’assurances ne sert pas vos risques mais les emprunts de l’Etat, à hauteur de 18% de la créance : soit 45 milliards d’€.
Alors, qu’est ce qu’on fait ?
On ne peut pas continuer comme ça, comme si de rien n’était.
Il y a deux angles d’attaque, avec pour l’acte d’accusation : escroquerie en bande organisée, sur personnes vulnérables.
On peut faire citer à comparaître deux responsables emblématiques, d’un côté le DG de Bercy, de l’autre la DG de la BCE.
L’un répondra symboliquement de l’emprunt, l’autre tout aussi symboliquement du prêt.
Comme chacun le sait, le taux maximum autorisé d’emprunt par rapport aux revenus est de 30%.
La France dont les revenus annuels sont de 250 milliards d’€, n’est éligible à l’emprunt que pour 75 milliards d’€.
Le supplément de 175 milliards d’€ est délictuel, les responsables doivent être recherchés et sanctionnés.
Nul français, en votant, ne peut imaginer qu’une bande d’escroc va abuser de sa confiance et emprunter sans limite, avec pour objectif unique l’intérêt direct ou indirect de la bande en question.
Donc, ces emprunteurs et leurs complices préteurs doivent être appelés à la barre de la Cour Européenne, et sanctionnés.
La constitution doit être révisée, tout emprunt dépassant les fameux 30% des revenus ne pourra, à l’avenir, n’être mis en place qu’après référendum.
Si nous ne faisons pas cela, nous connaissons la suite.
Les français refuseront de payer la facture, mais ils devront alors, comme les allemands en 1930, confier la soutenance de cette défaillance à des voyous, à des individus sans vergogne, sans parole.
Une fois au pouvoir, on sait aussi ce qu’iIs en font, car ils n’ont pas plus de morale pour gouverner que pour effacer des dettes certaines.
Tout cela est très grave.
Comme il faut bien que quelqu’un s’y colle. Nous allons, dans les jours qui viennent, déposer une plainte devant la Cour Européenne, nous vous la mettrons en copie.
Qu’importe si, dans l’instant, elle n’obtient pas de résultat, nous travaillons pour l’avenir.
Bien à vous. H. Dumas
1 304 vuesBon, je vous vois venir.
Mais qui c’est ce mec pour prétendre nous faire des prévisions ? A-t–il seulement une boule de cristal, un jeu de tarot ? Est-il un gourou, un énarque, un prévisionniste ? Un polytechnicien, un prix Nobel ? Non ? Alors de quoi il se mêle ?
Je n’ai aucune réponse à ces questionnements, mais je vais quand même vous donner mes prévisions pour 2021, et nous en reparlerons le premier Janvier 2022. Ok ?
le 9 Novembre 1989 le mur de Berlin s’est écroulé. Certains ont cru que c’était le communisme, qu’ils n’aimaient pas, qui s’effondrait. En réalité c’est la bureaucratie communiste qui se vautrait.
Le communisme est une idéologie, en tant que telle sa vie est éternelle, à la mesure des hommes, il y aura toujours quelqu’un pour y croire et la perpétuer.
Cette idéologie, comme toutes les autres, ne peut devenir réalité qu’au détriment des libertés naturelles. Elle doit donc s’appuyer sur une bureaucratie coercitive, alliée à la force des armes, qui bloque les libertés naturelles. Mais cela ne peut jamais durer très longtemps, ou du moins indéfiniment.
La France est un peu le berceau de l’idéologie communiste, qu’elle a aménagé en égalitarisme, peu différent, lui aussi nécessitant une bureaucratie coercitive paralysant les libertés naturelles.
Les blocages des libertés naturelles sont destructeurs à tous les niveaux, tout particulièrement au niveau économique.
Un jour, inévitablement, ces verrous sautent. C’est fait. Macron l’a dit.
Il s’est réjoui du fait que la science a été capable de mettre en place un vaccin contre COVID en quelques mois. Or ce n’est pas la science qui a fait un exploit, les chercheurs sont capables de prouesses tous les jours, sur tous les sujets, c’est la bureaucratie qui a dû plier bagage et laisser le champ libre aux chercheurs sous la contrainte de l’urgence et de ses propres errements.
Vaincue ici, elle va être vaincue partout. Ce sera en 2021.
Tout simplement parce que pour elle Macron a dû emprunter largement au dessus de nos moyens et que les créanciers exigeront la mort de notre bureaucratie. Son compte est bon. Paix à son âme, ce n’est pas moi qui la pleurerai.
Il n’y a pas de différence générationnelle entre les sociétés. Chaque jour naît le même pourcentage de personnes honnêtes, droites, compréhensives, tolérantes, jalouses, cyniques, vicieuses, perverses, malhonnêtes, lâches, courageuses, etc…
Le hasard construit des organisations sociales qui appellent au pouvoir, à tour de rôle, toutes ces personnalités, produisant des structures vivables et efficientes ou invivables et destructrices.
Nous arrivons au terme d’une organisation cynique, hypocrite, malhonnête, corrompue qui va sauter avec la chute de sa bureaucratie.
En 2021, une personne, sans doute une femme, inconnue à ce jour, va se révéler.
Elle sera porteuse tout simplement des libertés naturelles, et elle sera élue en 2022.
Mais elle ne sera que la cerise sur le gâteau, car dès 2021, les êtres entreprenants auront pris le pouvoir, tout comme les chercheurs dans le cadre du COVID, car la pression de l’échec va rapidement exploser la bureaucratie et libérer l’initiative individuelle, les libertés naturelles.
On en reparle donc le premier Janvier 2022.
Bonne année, bien à vous. H. Dumas
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C’est le graal, la recherche de tous ceux qui voudraient que leur vie laisse une trace.
Pour ceux de ma génération, le champion du coup d’avance le plus célèbre fût De Gaulle. Enfin, plus précisément, son départ en Angleterre à l’occasion de la guerre déclarée à l’Allemagne le 3 Septembre 1939, et son fameux appel du 18 Juin 1940.
Ce ne sont ni les mathématiques, ni la science, ni la philosophie et encore moins la politique qui permettent l’accès au coup d’avance.
Ce sont les circonstances et la personnalité de son auteur qui seules donnent, par hasard, un jour non prévisible, les clefs du coup d’avance.
Il est possible que cette opportunité passe à la portée de tous les hommes une fois dans leur vie, si c’est le cas très peu savent ou peuvent la saisir.
Il faut accepter qu’une des particularités du coup d’avance c’est justement que seul l’histoire peut le définir, il n’existe qu’après, aucunement au moment des faits. Donc quand il passe nul ne le sait, même pas celui qui le joue.
Certains imaginent que le coup d’avance demande des qualités particulières et qu’ils les possèdent. C’est ce dont a fini par se persuader justement De Gaulle. C’est faux.
Malheureusement, malgré ses qualités et convictions objectivement exceptionnelles, il n’a jamais pu recommencer un coup d’avance. L’Algérie fut un fiasco qui n’a satisfait ni les français ni les algériens, ses positions anti-américaines ou timidement européennes ont isolé la France, sa gestion rigoureuse mais trop administrative du pays nous a et nous coûte encore cher, etc… Il n’a pas, malgré sa conviction à ce sujet, réussi un autre coup d’avance dans sa carrière dense d’homme d’Etat, ne nous laissant que Giscard, puis Mitterrand, comme punition à ses tentatives de coups d’avance avortées.
Particularité qui ne facilite pas la tâche, au moment où son opportunité se présente le coup d’avance a l’opinion publique contre lui, puisque factuellement son existence est due au différentiel entre la marche de la société et la sienne décalée, c’est là qu’il prend de l’avance.
Le coup d’avance n’est donc non seulement pas prévisible, mais même pas visible au moment de son opportunité, et pourtant certains le jouent et gagnent.
D’autres ne le jouent jamais, ignorent de ce fait qu’il est passé à leur portée.
Dans tous les cas il reste l’objectif, voire l’obsession, de beaucoup d’êtres humains qui l’imaginent par procuration — ou l’ont déjà personnellement vécu — et s’évertuent à tenter de le créer ou de le reproduire.
Peine perdue.
Un des pièges mortels qui entourent le coup d’avance est d’imaginer qu’il serait le produit d’informations particulières que devrait posséder celui qui va le tenter. Cette folle pensée génère des dégradations qui vont de la rétention d’informations à l’espionnage et au complotisme, autant de poisons mortels pour la vie en société.
Le coup d’avance peut être annoncé sans aucune réalité, puisque tant qu’il n’est pas enregistré par l’histoire il n’existe pas. C’est par exemple le cas des religions qui prétendent que le coup d’avance offert à leurs fidèles est la connaissance du paradis.
L’idée du coup d’avance est à la vie ce que le loto est à la misère, le truc qui permet de la supporter.
D’ailleurs les bénéficiaires d’un coup d’avance ont ensuite des trajectoires souvent comparables à celles des gagnants du loto. Ils se croient élus, perdent le sens de l’humilité et des réalités, pour finalement se retrouver dépourvus au terme de l’aventure. Sauf que, le loto mène toujours à l’anonymat alors que certains coups d’avance propulsent leurs bénéficiaires au panthéon de l’histoire des hommes, certes pour un temps limité par rapport à celui de l’univers.
Alors ce soir de la Saint Sylvestre, au moment des vœux, je vous souhaite de rencontrer en 2021 le coup d’avance et de le jouer.
Vous pouvez aussi vous contenter d’observer qui sera le bénéficiaire du coup d’avance qui sera peut-être dévoilé par COVID : Raoult, le Conseil Scientifique, Macron, le couple d’immigré allemand découvreurs du vaccin à la mode, ou un encore inconnu qui va surgir ? Les paris sont pris, attendons de voir qui désignera l’histoire et s’il y a aura ou non un coup d’avance à l’occasion de COVID.
Bien à vous. H. Dumas
971 vuesCherchez l’erreur.
Nos hommes de l’Etat fonctionnent au sondage, hors les français, majoritairement disent les sondages, sont antivaccins.
Donc pédale douce pour les hommes de l’Etat. Et ça tombe bien, la boutique aurait-elle pu aller vite ? Rien n’est moins sûr.
La santé problème particulièrement individuel ne peut fonctionner qu’avec une organisation libre et personnalisée. Seul son coût peut faire l’objet de réajustement ou d’aide pour les impécunieux.
La pandémie a touché également tous les pays.
Mais les conséquences, physiques et économiques, vont être très différentes selon les organisations et les mentalités de chaque pays.
C’est le bilan qui va être le verdict, et il y aura fatalement des conséquences, sans doute sans concession, enfin…
L’affaire suit son cours, nous en reparlerons lorsque les éléments à notre disposition seront plus concrets.
Bonnes fêtes quand même. H. Dumas
803 vuesQui pourrait croire qu’il n’y aura pas de comptes à rendre ? L’incertitude n’est pas là.
La vraie question est : comment les comptes vont-ils être rendus ? Qui va payer ? Les fautifs ou les victimes ?
Il faut d’abord prendre conscience du fait que les auteurs du cataclysme qui nous attend sous peu ne sont peut-être pas ceux que nous désignons.
Né en 1944, j’ai probablement été profondément marqué par la guerre, en réalité surtout par la catastrophe psychologique collective qui l’a accompagnée, puisque j’en suis issu.
La curiosité sur le sujet m’a amené à lire beaucoup d’ouvrages sur Hitler. J’en suis arrivé à la conclusion que cet homme était un débile plus que léger, pas loin d’être profond. Ceux qu’il avait choisis — ou subis — pour l’entourer étaient du même tonneau.
Donc, en toute logique, ce n’est pas un débile qui a pu manœuvrer l’Allemagne et les allemands, et si ce n’est pas cela c’est donc l’inverse.
Et oui, je crois finalement que ce sont les allemands qui ont fabriqué Hitler. Disons qu’ils l’ont couillonné, qu’il a payé de sa vie sa stupidité, sa vanité, qui l’ont amené à se mettre au service d’un peuple pris de folie, de prétention mal venue.
En effet, je ne crois pas à la manipulation de l’opinion publique; je crois que, à l’exact inverse, ceux qui se pensent les manipulateurs de la masse sont en réalité manipulés par elle.
Cela me parait être une simple résultante de la force des corps, la masse est toujours plus forte que l’unité, s’impose à elle, un point c’est tout. — L’exception type c’est Lénine, mais dans ce cas pas de manipulation, juste des fusils, de la violence absolue et constante, sans jamais d’adhésion, c’est différent –.
Cet angle de vision modifie profondément l’idée de demain et de la remise des comptes.
D’abord de quoi sera fait demain.
Tout bêtement de la faillite de la France. Nulle personne, nul groupe, ne peut durablement dépenser plus qu’il ne gagne, boulotter son capital, sans faire faillite, c’est à dire sans se retrouver démuni, ruiné, sans le sou.
Il n’y a aucune hypothèse à opposer à ce fait d’une grande simplicité, quelle que soit la complexité apparente de la comptabilité du défaillant.
Aujourd’hui il est possible d’affirmer que l’état de faillite des français est pour demain, c’est-à-dire pour 2021.
Je prends donc pour base de ma réflexion que c’est la masse des français qui a généré la faillite et non les “hommes de l’Etat” qui ne sont que des poupées désarticulées entre les mains de la masse. Rassurez-vous je m’inclus à la masse, je ne me dérobe pas.
Pourquoi et comment la masse des français s’est-elle transformée en un groupe irresponsable et prodigue ?
Probablement un problème éducatif spontané, débuté vers les années 1960, au moment où les collaborateurs de la guerre reprenaient de l’épaisseur. Les résistants ou proclamés tels étant alors repus de vengeance et de profits, peu enclins à se battre encore.
La pensée du collabo de base : du profit sans risque, du gain sans travail, de la soumission grassement rémunérée, est devenue la pensée éducative majoritaire. D’abord dans les familles.
Puis elle a gagné, petit à petit, tout le système, tant la fortune faite et la puissance acquise par le gain de la guerre permettaient toutes les insouciances.
C’est ainsi que l’élite a été transformée par la masse, elle s’est mise au service de cet idéal, si l’on peut qualifier ainsi ce type de comportement.
Donc, ce n’est pas l’ENA qui nous impose sa pensée, mais nous qui avons généré l’ENA et sa pensée.
Cette hypothèse change l’angle de vue.
S’acharner sur l’élite ne sert à rien, le mal est en profondeur. Débusquer les responsables est impossible tant ils sont nous tous.
La solution est donc d’abord conceptuelle, puis éducative, sans qu’il soit possible d’imaginer que la facture des dégâts pourra être présentée à tel ou tel responsable politique, qui ne sont que nos projections.
Nous devons changer nos projections, et cela n’est pas possible autrement que par des prises de conscience personnelles.
Donc, il n’y a pas de solution.
Que faut-il à l’opinion publique pour qu’elle ouvre les yeux ? Pour qu’elle s’interroge sur l’idée de capital, sur la nécessité de ne pas saborder l’économie par des prélèvements inconsidérés ?
Personne ne le sait. Au contraire, il semble qu’elle ne souhaite en aucun cas ouvrir les yeux, qu’elle se cherche quelques mensonges pour continuer sa dérive.
L’environnement, fol orgueil qui ne résiste pas à l’observation de l’univers ; le bien des animaux, qui eux n’envisagent pas de réciprocité ; le mélange outrancier des genres et des pensées ; l’abandon de la raison au profit des croyances ; toutes ces choses qui permettent à la masse de ne pas affronter la réalité.
Mais la réalité est là, toujours, rien ne la plie.
La distorsion entre elle et nous est telle que l’instabilité créée ne peut finir que par une immense explosion.
C’est le moment de serrer les fesses.
Bien à vous. H. Dumas
PS: pour sourire
Que penser du haut conseil scientifique, composé de hautes personnalités scientifiques, qui après une journée de profondes réflexions aboutit à la conclusion qu’il y aura peut-être une troisième vague de la pandémie ou… peut-être pas !!!
Quand on n’a rien à dire, comme le disait Coluche, on ferme sa gueule.
1 160 vuesL’obscurantisme consiste à empêcher l’homme d’accéder à la connaissance en général, y compris donc, par conséquence, à la connaissance de lui-même.
La transmission et l’accumulation des connaissances, leur capitalisation, sont les moteurs qui ont permis à une variété d’êtres vivants d’accéder, à coup de millions d’années, à nos sociétés humaines avancées. Ces dernières sont aussi la somme de nos évolutions personnelles qui, elles encore, sont liées à l’accès vers la connaissance globale qui, nous servant de repère, nous a permis de nous construire en tant qu’êtres humains, selon le fameux adage attribué à Socrate : “Connais-toi toi-même” considéré à juste titre comme la clef de tout.
Donc l’obscurantisme non seulement détruit la société qui l’abrite, mais il détruit aussi individuellement les hommes qui la composent.
L’obscurantisme est plutôt la règle sur terre.
La lumière est rare, peu partagée, car elle peut donner le vertige tant alors la responsabilité devient lourde pour celui tente de voir et de comprendre.
L’obscurantisme et le pouvoir sont étroitement liés.
Ils ont une base commune, la croyance. Les périodes les plus obscures sont celles où les croyances sont les plus tenaces.
Donc, d’abord et avant toute chose il est une croyance. Cette particularité est fondamentale. Le point délicat est qu’une croyance active est une croyance inapparente. Par essence la croyance détruit toute capacité d’analyse, puisque justement elle impose de croire, donc elle dénie le questionnement ou le vide de son sens.
Rajoutons que le pouvoir va naturellement au plus fort, le problème pour ceux qui en sont friands n’est pas tant de le conquérir que de le garder.
C’est ici que la croyance va servir de jauge et de juge, celui qui croit est accepté par et dans le pouvoir, celui qui ne croit pas est rejeté, son incrédulité étant susceptible de fragiliser le pouvoir.
Ce théorème se vérifie au fil des siècles, quel que soit le lieu et les hommes.
Aujourd’hui nous sommes sommés de croire.
Nous devons croire en la technocratie, à ses projections divinatoires, à ses analyses infaillibles, à la qualité de ses serviteurs : “les fonctionnaires”, à son indispensable utilité sans laquelle nous ne saurions vivre.
L’affaire du COVID est de cette nature.
Une sorte de grippe hivernale se répand rapidement. Sa particularité est que contrairement à la grippe classique les victimes ne meurent pas d’un discret excès de fièvre, mais de spectaculaires étouffements.
Tous se précipitent alors à l’hôpital. Ils sont en effet habités par une croyance qui se résume à imaginer que — en dehors des maladies considérées comme non encore résolues, le cancer par exemple ou les maladies orphelines, en fait une grande quantité de maladies – la médecine guérit tout, particulièrement l’hôpital qui serait le centre de la guérison totale et gratuite.
Aussi, lorsque les technocrates, qui vivent de cette croyance entre autres, comprennent que la grande majorité des personnes touchées par le COVID va se précipiter à l’hôpital et que leur réaction sera inversement proportionnelle à leur croyance si on ne les reçoit pas, que justement on ne pourra non seulement pas les recevoir mais en plus pas les soigner, c’est la panique en technocratie.
Panique qui va générer une suite de décisions inappropriées, grotesques pour certaines.
Au point qu’aujourd’hui le théâtre de l’action est ravagé, le virus s’en va probablement, disparaissant, comme tous ces prédécesseurs. Mais il laisse une vision de désolation dont le point d’orgue va être l’inutile et tardive vaccination.
Le triptyque “croyance, pouvoir et obscurantisme” nous a fait une démonstration de sa capacité de régression, d’abêtissement, de nivellement par le bas, de destruction sociétale massive, telle que nous n’avons pas souvent l’occasion d’en voir.
Les croyants sont douchés à mort.
Croyez-vous qu’ils vont en profiter pour ne plus croire, pour partir à la conquête des connaissances, refuser le pouvoir et les hommes de l’Etat, prendre conscience et se débarrasser de cette fiction “l’Etat”, retrouver leur liberté ?
C’est peu probable, mais ça ne coute rien de l’espérer…
De la réflexion à l’action
La bêtise de la technocratie, le pouvoir induit, sont un poids journalier pour nous tous.
Petite histoire.
Robert Badinter — une icone dont il est exclu de dire du mal — s’est un jour attendri, à juste titre, sur les piétons renversés par les automobilistes. Notamment sur la façon dont les traitaient les assureurs, alors que les dégâts qu’ils subissaient en cas d’accident étaient souvent majeurs.
Donc, il fit voter une loi précisant que le piéton, en matière civile, c’est-à-dire en ce qui concerne son sinistre matériel, a toujours raison, même s’il a complètement tort. Par exemple, s’il s’est couché sur la route la nuit bourré comme un coing, il a quand même raison si vous le télescopez.
Je ne vois pas d’anomalie à cela. Mais, alors que la loi Badinter ne le prévoyait pas, les juges pénaux ont décidé que non seulement le fait d’être piéton annulait toute responsabilité civile, mais aussi toute responsabilité pénale.
C’est-à-dire que quoi que fasse le piéton, c’est l’automobiliste qui sera condamné.
C’est ainsi que j’ai malencontreusement renversé un piéton, complètement bourré, à la tombée de la nuit, dans des conditions météorologiques qui ne me permettaient pas de le voir. J’en ai été profondément meurtri, heureusement la suite n’eut pas de gravité pour ce piéton. Je roulais doucement.
Ce piéton n’a fait l’objet d’aucun alcootest, alors qu’il était au moment des faits en pleine crise de délire, que les pompiers ont signalée, signalement qu’ils ont refusé de me donner dans le cadre de la protection de la vie privé du monsieur, qui lui n’a aucune séquelle de cet accident.
En ce qui me concerne, j’ai été condamné à un mois de prison (avec sursis et infirmé en appel), mais aussi à six mois de retrait de permis de conduire.
C’est-à-dire à six mois de chômage, alors qu’à 76 ans je travaille toujours et fais encore 60.000 Km par an pour mon travail.
Ma vie privée en prend un sacré coup, elle.
Sainte technocratie ne discute pas, elle représente le bien, et elle dispose de la force. Alors, qu’importe les trous du cul que nous sommes, responsables de tout et du reste pour que les technocrates conservent et exercent le pouvoir en laissant croire que c’est pour nous qu’ils agissent, alors que la plupart du temps c’est pour eux et contre nous…
Ma lettre de demande d’aménagement
Le rejet empreint d’humanisme et de compréhension…
Bien à vous. H. Dumas
1 061 vuesPremier faux hasard
L’arrivée au pouvoir de personnages clonés, tous identiques, interchangeables et décevants. Il ne s’agit ni d’un hasard ni d’une malédiction, mais tout simplement du résultat d’un système dont nous portons collectivement la responsabilité. Ce système, en tout, privilégie la collectivité… qui n’existe pas.
Il existe une capacité des hommes à s’unir ponctuellement pour résoudre un problème précis qui ne peut pas être résolu par un seul individu, mais hors ce cas l’homme est fait pour s’assumer seul, il est seul.
Vous êtes-vous un jour regardé dans la glace en disant : “La France à besoin de moi” ? Essayez et vous prendrez conscience de la situation ridicule dans laquelle se mettent ceux qui font mine de pouvoir le dire pour de vrai, qui ne sont pas différents de vous. Imaginez ce pauvre Macron, avec son nez qui coule, se le disant, à La Lanterne ?
Alors que crier : “Emile, tu viens m’aider à porter ce truc qui pèse un âne mort”, ça c’est possible tous les jours et ne vous met pas dans l’embarras.
Donc, hormis une urgence collective du type guerre de 1939, prétendre s’occuper des affaires des autres à leur place est un horrible mensonge. L’entretenir ne peut qu’amener le menteur et ses complices à des situations insolubles et ridicules.
De Gaulle est parfait quand il lance l’appel du 18 Juin, quand il liquide l’affaire algérienne, il se trompe quand il rabâche ensuite : “La France, La France”, en se mêlant plus qu’il ne fallait de la vie de chacun. Il finira ridiculisé par Mai 1968.
Une fois arrivé là, seul l’usage de la force, encore plus ridicule, peut faire croire à ceux qui pensent que la France a besoin d’eux qu’ils vont sauver la face, qu’ils vont nous empêcher de nous esclaffer. Rendons hommage à De Gaulle qui s’étant mis dans cette situation a su ne pas utiliser la force, puis sortir juste à temps.
Deuxième faux hasard
La déliquescence des hôpitaux. Découlant directement du premier faux hasard, l’idée que la santé de chacun pourrait être un problème dont s’occuperait les autres est absurde.
Pareillement, pour un effort précis, accident par exemple, les bonnes volontés peuvent s’unir, mais globalement la santé est le type même de problématique strictement individuelle.
L’organisation de celle-ci ne peut donc être valablement basée que sur la liberté de décision personnelle, accompagné de la responsabilité des conséquences.
Organisé exactement de façon contraire, les hôpitaux n’ont aucune raison de fonctionner. L’URSSAF et les hôpitaux sont une totale absurdité, dont le volume atteint est tel qu’il met à lui seul la collectivité en danger.
Troisième faux hasard
L’arrivée d’une pandémie. Quoi, en dehors d’une prétention hors du commun, pourrait nous permettre de croire que la santé de l’homme sur la terre est un problème réglé par lui ? Rien, objectivement.
Certainement pas les EHPAD et les hôpitaux dont la vocation principale est de regrouper les éclopés pour les dissimuler et les faire disparaître discrètement.
La maladie et la mort existent depuis toujours, ce n’est ni les hommes de l’Etat ni les GAFA qui nous en délivreront.
Notre malheur
Il découle de la synergie qui s’est installée entre ces trois faux hasards.
Les hommes de l’Etat, ces escrocs qui veulent nous faire croire — avec une telle intensité qu’ils finissent par y croire eux-mêmes — qu’ils pourraient s’occuper de notre vie mieux que nous, finissent par nous imposer des structures qui étouffent nos libertés, dont nous avons si besoin pour survivre.
Pour arriver à leur but ils distillent la peur, ils nous persuadent que ce qu’ils prétendent faire nous ne sommes pas capables de le faire sans eux.
On sait bien qu’ils mentent, mais on se dit : “cause toujours, pendant ce temps ce que tu fais c’est autant que je n’ai pas à faire.”
Alors que l’on devrait se dire : “ce qu’ils ne font pas et moi non plus s’accumule, un jour il faudra bien le faire et ce sera beaucoup plus dur”.
Effectivement, nous sommes à ce jour.
Ce ne serait pas bien grave d’affronter une masse énorme de boulot, mais la difficulté tient au fait que les faux hasards fabriqués à l’aide de mensonges ont fini par décaler le raisonnement.
Les hommes de l’Etat sont devenus intégralement mythomanes, la population qui a joué le jeu en trichant est devenue dépendante, il n’est plus possible de revenir à l’ordinaire raison sans passer par la case “bordel total”.
Allons-y, on verra plus tard, on fera le tri… en espérant qu’ils ne vont pas tenter de nous contrer en utilisant la terreur pour conserver un semblant d’ordre… parce qu’alors là, il ne reste plus que la fuite.
Bien à vous. H. Dumas
PS : https://temoignagefiscal.com/macron-est-le-gorbatchev-du-communisme-a-la-francaise/
1 122 vuesIl parait que c’est un fait acquis, l’univers est en expansion.
Promis, craché, prouvé, les galaxies s’éloignent indéfiniment, constamment. En conséquence, une pyramide du plus petit au plus grand — de l’atome aux galaxies — multiplie les superpositions. Ce qui au départ n’était qu’un, unique, mêlant l’ensemble juste après le big-bang – qui lui arrive, juste après rien — se complexifie, devient donc multiple et se répand, occupe l’espace.
C’est peut-être ça la finalité de la vie… croitre indéfiniment en occupant l’univers qu’elle créé elle-même du fait de son expansion.
Dans cet espace qu’est le rôle de l’intelligence ?
Enfin je veux dire “notre intelligence”, pour être encore plus précis “celle que nous croyons détenir”.
Nous avons tendance à penser que c’est elle qui crée le mouvement, d’elle que part la vie, elle qui décide.
Eh bien non, parait-il. Ce serait la vie, donc ce truc en mouvement, aujourd’hui en croissance universelle, demain peut-être en repli mais toujours universel, qui solliciterait notre intelligence dont le but unique serait de sauver notre peau face aux hasards de la fameuse vie.
Je suis un peu songeur devant ces hypothèses, je suppose que vous aussi.
Donc nous ne décidons rien, nous nous contentons de survivre, avec pour seul outil à cet effet notre “intelligence”. En clair, ce n’est pas l’intelligence qui créé l’évolution, c’est l’évolution qui s’impose et active l’intelligence en réponse.
Les scientifiques qui arrivent à ces conclusions sont inquiets.
Oui, car ils affirment aujourd’hui que cette intelligence, qui nous a permis de survivre face aux délires de la vie, se retournerait contre nous et, dominant la nature – dont la définition n’est pas très claire –, jouerait contre notre camp en détruisant l’environnement – autre nom de la fameuse nature –.
Admettons tout cela acquis, vrai.
Une telle complexité a un avantage, elle simplifie l’accès à la compréhension de notre “intelligence”, dont le rôle, somme toute marginal, peut alors être analysé de façon décomplexée.
Allons-y.
Notre intelligence, consciente et inconsciente, organiserait constamment des plans de survie, n’hésiterait pas à éliminer, tuer, les mauvais plans au profit des bons, pour nous permettre de survivre. Jusque-là, ça va.
Traduit en formule que je peux comprendre, je me dis que face aux hasards de l’évolution les atouts de l’humanité seraient le risque et le profit qui alerteraient son intelligence. Laquelle en retour échafauderait des plans dont seuls les bons survivraient, les autres seraient engloutis et ceux qui y ont cru avec.
Mais alors.
Si l’évolution est aveugle, inexorable, si notre survie ne dépend que des plans élaborés par notre intelligence qui prend tous les risques pour que nous puissions profiter de l’évolution et non la subir, ceux qui prônent la suppression du risque et du profit nous exposent à tous les malheurs possibles issus d’une évolution qui se fout complètement de nous.
Donc : l’écologie ne protège pas notre avenir, elle l’entrave en nous paralysant, en nous immobilisant, face à l’évolution qui continue sa marche inexorable et ne peut que nous écraser.
Comment se fait-il que notre société des hommes puisse adhérer globalement à une telle attitude, mortelle ?
Là, je vous donne une combine, un truc.
Tout au long de sa vie on se bât terrorisé par la crainte de mourir, puis un jour cette crainte disparait… on sait qu’on va mourir…
C’est peut-être ce qui arrive à l’humanité, enfin au moins à une partie de l’humanité… la nôtre.
Bien à vous. H. Dumas
1 006 vuesAinsi donc, COVID a attrapé Macron. Aïe, fallait pas.
Si le jeune Macron est très malade, les crocodiles qui l’entourent vont le bouffer ne laissant que sa carcasse aux vautours communs.
Si le jeune Macron n’est pas malade, COVID se réduit à pas grand-chose, un truc qui flingue les vieillards et les malades d’autre chose, ne justifiant alors aucunement l’arrêt de la vie qui frappe la société, dont Macron est l’artisan.
Dans ce cas, les complotistes marquent un point, lourd de conséquences.
Et pendant ce temps-là le bitcoin crève le plafond.
Le bitcoin, vous savez, c’est cette monnaie virtuelle, qui n’appartient qu’à ceux qui la détiennent, dont on prétend que la masse prédéfinie ne peut pas et ne pourra jamais être augmentée, interdisant de fait toute fausse monnaie.
Vous voyez la problématique.
D’un côté des hommes de l’Etat qui fabriquent de la fausse monnaie tout en crachant sur le capital pour acheter les voix des naïfs; de ceux qui veulent croire que l’économie est secondaire, que leurs caprices sont l’essentiel.
Ils existent depuis la nuit des temps, ce sont eux dont le parcours finit toujours par une guerre ou une révolution tant les distances qu’ils prennent avec la vérité deviennent à un moment irrattrapables autrement.
Les hommes de l’Etat agitent cette abstraction “l’Etat” pour le simple plaisir de posséder le pouvoir sur une masse prisonnière artificiellement d’un espace défini par des frontières, dont les frontaliers vivent tous les jours le ridicule.
Anciennement, ils accédaient au pouvoir par la force. Par le miracle de la démocratie, ils y accèdent aujourd’hui par la séduction dont la carte majeure est la vénalité.
Il reste une vérité immuable, l’économie, comme le reste, ne vit que par l’augmentation de son capital, par l’accumulation et la transmission, finalement comme la génétique ou le savoir. Comme la vie quoi.
L’économie dépend de l’échange, qui n’est possible qu’avec la monnaie, qui le rend périlleux si elle est instable.
Or, pour séduire, les hommes de l’Etat n’hésitent pas à déstabiliser la monnaie, d’une part en fabriquant de la fausse monnaie, d’autre part en pillant le capital.
Ils se heurtent à la mondialisation qui a généré des entités économiques plus puissantes que la plupart des États, elles ont besoin d’une stabilité économique, donc d’une monnaie sure et d’un capital puissant.
D’où le bitcoin qui monte et Zuckerberg qui se fait flinguer parce qu’il veut à son tour créer une monnaie virtuelle stable, qui détruirait l’arme de séduction des hommes de l’Etat : le trafic de la monnaie, qu’ils considèrent comme leur prérogative.
Nous en sommes là, les couteaux sont sur la table.
Pas de paix possible entre les hommes de l’économie et les hommes de l’Etat, leur accès au pouvoir et son organisation sont incompatibles.
La population, qui n’y comprend rien, est sollicitée par les deux ennemis.
Si elle prend le parti des hommes de l’Etat c’est la faillite et la misère.
Si elle prend le parti des hommes de l’économie c’est la guerre et la misère.
Le pire est donc certain.
Bien à vous. H. Dumas
1 071 vuesEn 2014, j’ai fait citer à comparaitre une magistrate du Tribunal Administratif de Montpellier.
J’avais fait l’objet d’un redressement rocambolesque, en 2011, concernant la SCI Le Mirabeau, société m’appartenant.
Averti régulièrement d’un contrôle de cette société, j’avais organisé la salle de réception des contrôleurs – venus à deux, pour faire bonne mesure – de telle sorte que le contrôle soit filmé, mais qu’eux apparaissent de dos pour ne pas bousculer leur droit à l’image. J’avais averti par courrier les contrôleurs de ces dispositions avant leur venue.
Malgré ces précautions, les deux zèbres ne se sont même pas assis. Face à l’huissier que j’avais commis pour constater la situation, mes précautions et ma bonne foi, ils ont déclaré qu’ils parlaient au nom de leur administration centrale — au plus haut niveau, donc Bercy soi-même — et qu’ils refusaient que le contrôle soit filmé.
Alors que toute la comptabilité de la société était sur la table, ils sont donc partis — comme des voleurs c’est bien naturel – puis, rentrés chez eux, ils ont établi un redressement délirant, accompagné d’une opposition à contrôle fiscal !!!
L’intégralité de leur redressement était d’une nullité crasse et inapproprié, ce qui a été démontré plus tard par le rapporteur public de La Cour Administrative d’Appel de Marseille.
L’opposition à contrôle fiscal était dans leur tête, aucunement dans la réalité.
Confiant, j’ai donc saisi le Tribunal Administratif de Montpellier en nullité de ce contrôle fiscal pour lequel j’étais accusé d’opposition à contrôle fiscal imaginaire.
La magistrate en charge du dossier Mme Bertinchant, née BOUISSAC PEYRE, a zappé ma demande et en a inventé une autre, me faisant passer pour un contribuable qui cherchait à ne pas payer l’impôt. Elle n’a même pas dégrévé les 100% liés à la fausse opposition à contrôle fiscal.
Je l’ai immédiatement fait citer à comparaitre pour déni de justice, tellement j’ai été choqué.
Cela a entrainé la confirmation de son jugement par La Cour d’Administrative d’Appel de Marseille, les magistrats n’ont de compte à rendre à personne, sauf entre eux.
Depuis je me bombe les pitbulls du fisc qui n’hésitent pas à tenter de recouvrir ces sommes qu’ils savent parfaitement indues.
Ainsi va la vie. Ce n’est pas le cœur de ce billet, mais nous y arrivons.
Après bien des péripéties, que vous pouvez lire dans l’arrêt joint, je me suis donc retrouvé, en audience publique dans une salle vide où j’étais seul, devant trois magistrats de La Cour d’Appel de Montpellier, le 21 Septembre 2020.
Voici ma plaidoirie :
Après s’être un peu fait tirer l’oreille, les magistrats m’ont écouté. Bien écouté.
L’arrêt ci-dessous en rapporte la preuve.
Je ne pouvais pas gagner. Il eut fallu, pour avoir une chance d’obtenir satisfaction, que j’engage une action en “mise en danger d’autrui” ou “non-assistance à personne en danger.”
En effet le déni de justice suppose évidemment qu’un magistrat ne juge pas , mais il faut en plus qu’au préalable sa hiérarchie lui ait imposé de juger. Cela ne peut pas arriver au Tribunal Administratif, les juges n’y ont pas de supérieur hiérarchique, explication donnée par le Conseil d’Etat.
Donc mauvaise pioche. Mais c’est en faisant que l’on apprend, inutile de compter sur un avocat pour aller au charbon dans de telles conditions.
En appel, le procureur n’ayant pas suivi mon appel, Mme Bertinchant ne risquait plus rien.
Sauf 800€ de dommage et intérêts que le tribunal de première instance lui avait accordés, qu’elle a perdus.
Mince satisfaction pour moi qui, dix ans plus tard, suis toujours harcelé par les Services Fiscaux du fait de la défaillance de cette magistrate, pour des sommes que je ne dois pas.
Bonne lecture de cet arrêt, si vous avez du temps à perdre.
Merci aux magistrats pour leur correction.
Reste quand même une déception et la continuité, depuis vingt ans, de la torture fiscale, du harcèlement, de l’impossibilité de vivre correctement. Pas grand-chose…. dit la population, notre confort vaut bien quelques bavures fiscales.
Bien à vous. H. Dumas
1 349 vuesChacun n’a, pour forger son opinion, que son angle de vision, souvent appeler “croyances”. Celui-ci peut dépendre strictement de notre vécu, tout aussi strictement de nos acquisitions scolaires et autres, ou encore être un mixte des deux.
Quelle que soit son origine, notre angle de vision pollue inévitablement les constats à partir desquels se construit notre vérité.
Comment y échapper ? En évitant de commencer la réflexion par un constat, qui sera inévitablement biaisé. Bon d’accord, on commence comment alors ?
On tente l’accès immédiat à l’universel, à l’absolu. Rien que ça ? Pas modeste !!!
Prenons notre copine COVID.
Les constats les plus répandus : – c’est une épidémie hors du commun; – ce n’est qu’une grippe un peu sévère qui touche surtout les vieillards; – c’est un leurre politique; – c’est une histoire de fric, d’intérêts cupides; – tout se règlera par un vaccin; – il ne s’agit pas de guérir mais de soulager, puisque nous ne pouvons pas faire plus; – les vaccins seront plus nuisibles qu’efficaces; – c’est le cygne noir qui détruit notre économie, donc nos sociétés; – c’est un acte volontaire, une création d’hommes ourdant un complot; – chacun chez soi, un minimum de contact et éloignés, COVID périra de ne pouvoir se reproduire; – c’est le chamboulement du siècle naissant; – c’est la redistribution des cartes mondiales, donc des privilèges; – etc…
A partir de ces constats une foule de rhétoriques s’épanouit jusqu’à la cacophonie, le désordre, l’inconfort, peut-être demain la bagarre.
Tentons un regard sans constat préalable, un accès immédiat à l’absolu.
Premier absolu : la vie est strictement individuelle.
L’arrivée sur la planète ne se fait pas en groupe, sauf pour les jumeaux. Le départ non plus, même s’il peut être accidentellement inclus dans une catastrophe partagée.
Donc COVID est une ennemie strictement personnelle, tout comme je le suppose chaque virus qui la compose est lui aussi unique.
Pas de solution collective à un problème personnel, mais pour l’homme son habituelle posture associative face à une infériorité personnelle mettant son existence d’homme en danger. Cette solution collective n’est opérationnelle que face à une agression définie et exclusivement dans le cadre de cette agression.
Deuxième absolu : tout regroupement à l’objectif non ciblé est donc contraire à la vie.
Cela n’est écrit nulle part, mais se déduisant du premier absolu serait donc universel. Ce qui ne veut pas dire qu’une tendance aux regroupements n’existe pas, simplement que l’individualité intrinsèque de la vie est affaiblie par le regroupement sans objectif précis.
Le tableau sous nos yeux
Il y a un désordre entre les dégâts occasionnés par COVID et sa réalité. Peut-on imaginer que ces dégâts détruisent des regroupements non essentiels ? Que sans ces regroupements non essentiels COVID ne pourrait exister ? COVID vit du rassemblement des hommes.
Le réflexe
COVID ne serait qu’un prétexte, un accélérateur de la fuite individuelle face à une société trop envahissante.
L’homme ne supporterait plus sa propre accumulation, l’abondance de solutions collectives, injustifiées, non essentielles, auxquelles il est soumis.
Aujourd’hui j’ai fait la queue à la Poste, j’ai été stupéfait de ressentir une haine à fleur de peau, une joie chez les postières détenant le pouvoir d’ouvrir la porte à leur convenance, une servilité accompagnée d’un souhait de délation chez ceux qui faisaient la queue. Tout cela n’est qu’un constat, je suis peut-être le seul à l’avoir fait, peut-être est-ce une impression personnelle.
Revenons, laborieusement, à l’absolu.
Donc le reflexe de l’homme serait de retrouver son individualité, et COVID lui permettrait cette démarche, qui lui est même imposée par ceux-là même qui ont un intérêt personnel à le regrouper inutilement : les hommes de l’Etat. Le pied… non ?
COVID serait un amplificateur de réflexe.
Mais alors
Le message de COVID serait la nécessité de revenir à l’individualité de l’homme et à son regroupement ponctuel uniquement en cas d’un besoin précis et alors volontairement.
Si c’est le cas, touts les prévisions sont fausses.
Ce n’est pas l’Occident qui est en retard et l’Asie collectiviste qui est sur le point de dominer le monde. C’est l’inverse.
Le symbole COVID annonce l’implosion de toutes les sociétés regroupant les hommes artificiellement — au seul bénéfice des organisateurs de regroupement — et l’avènement des sociétés ou chacun bénéficierait du taux maximum de liberté individuelle, chacune de ces libertés renforçant la possibilité de regroupement ponctuels, vitaux.
Un peu à contre-courant…
Bien à vous. H. Dumas
1 354 vuesLe choc des civilisations n’est pas dans une concurrence culturelle entre religions, mais dans un unique — et fondateur — conflit binaire mondial, universel.
D’un côté le collectivisme bureaucratique, de l’autre la liberté individuelle.
Clairement les religions sont collectivistes, leurs bureaucraties ou “églises” sont redoutables, capables d’oppresser les individualités en toute “bonne conscience”, avec l’adhésion paradoxale des croyants eux-mêmes.
Rome, fille ploutocrate de la Grèce, fut l’apogée du développement des individus, basée sur la formule de Socrate : “Connais-toi toi-même”.
Le christianisme, collectivisme de la croyance où les dieux individuels disparaissent au profit d’un Dieu global dont chacun est une partie, a généré une église bureaucratique qui a oppressé l’individu pendant deux mille ans, qui continue sous des formes déviantes.
Le christianisme a eu raison de Rome.
Lorsque L’URSS s’est effondrée, son poison collectiviste — lié à la puissance de l’Occident — s’est répandu à travers tous les continents, alors que pourtant Soljenitsyne avait signalé la nuisance bureaucratique du communisme.
Le Christianisme était la collectivisation des dieux, de l’esprit, le communisme celle des biens, de la matière.
Le problème commun à ces deux collectivismes est qu’en détruisant l’individu au profit de leurs bureaucraties ils détruisent tout simplement la vie qui, par essence, ne peut qu’être individuelle ou ne pas être.
L’idée collectiviste de la croyance, le christianisme, en broyant les individualités a apporté la misère intellectuelle, la pénurie de la pensée.
L’idée collectiviste des biens, l’égalitarisme communiste, broie aussi les individus et porte irrémédiablement vers la pénurie matérielle, son apogée paraissant être l’écologie.
Il n’est que deux choix pour l’homme :
Un juste milieu pourra-t-il exister ?
COVID ne nous en montre pas le chemin, qui dans sa résonance mondiale exacerbe le conflit entre attitude collectiviste et individuelle, toutes nations ou organisations confondues.
Le collectivisme ne peut exister qu’à travers la force, l’individualisme à travers l’étique, la morale. Peuvent-elles s’imposer, elles, autrement que par la force ?
C’est tout le problème. Disons qu’il est circulaire, voire sphérique. Il cherche sa quadrature.
Bien à vous.
974 vuesIl était évident qu’après avoir joué les grands seigneurs, les sauveurs, les pompiers du feu qu’ils ont allumé, nos technocrates, nos élus — plus les profiteurs qu’ils entretiennent et protègent, leur cour, leur réservoir de vote, leur garantie de bien vivre, largement — n’avaient pas d’autre solution que piller les quelques détenteurs de fonds, ou pseudos-détenteurs, encore en vie dans ce pays.
Finir de tuer le capital quoi.
L’article de Capital qui vient de paraître annonce la couleur.
Tous ceux qui possèdent sont présumés “fraudeurs fiscaux”, puisque c’est bien à la recherche de la “fraude fiscale” que les chiens loups de Bercy débarquent chez nous.
Le ton est donné. Un peu comme quand Sarkozy parlait de passer la banlieue au Karcher et qu’il est pris immédiatement au mot par les forces de l’ordre qui tuent dans l’instant un gamin qui ne leur obéit pas. Constat-sanction au bout du pistolet, ça fait du bien ?… Très peu pour moi.
Il y aurait eu des profiteurs à l’occasion du bordel occasionné par la gestion de la pandémie. Donc, il faut renforcer les contrôles fiscaux sur les entreprises.
Sacré raccourci.
Moi, j’ai surtout vu des fonctionnaires se planquer chez eux, ne plus rien foutre, notamment dans les Services Fiscaux, et toucher l’intégralité de leur salaire.
N’était-ce pas de la fraude fiscale ? C’est-à-dire un profit indu pris sur l’argent public, pendant que les indépendants s’exposaient et se démerdaient avec les moyens du bord pour survivre et faire marcher leur boutique. Et, demain, on leur promet le génocide fiscal en les accusant déjà de “fraude fiscale”.
Vous savez-quoi ? Moi je les exempterais d’impôt pour 2021 et plus, pour avoir sauvé le pays pendant que la grande masse des fonctionnaires se planquait, l’avait déserté.
Mais ce n’est pas tout, lorsque Macron et Castaner se lâchent dans leurs culottes, ils appellent en renfort le préfet Lallement. Un violent qui fait savoir qu’il n’est pas dans le même camp que les français qui souffrent, qui rouspètent, qui manifestent. Il dit que ceux qui ne sont pas dans son camp sont ses ennemis. Ils donnent des ordres en conséquence. Résultats, des doigts et des mains arrachés, des yeux crevés, le massacre, la cogne sauvage, la baston sans trace pour ceux dont le tort était de manifester leur détresse.
Et cependant, ici nous sommes dans une zone de droit, il y a une police des polices, des tribunaux entre les arrestations et les condamnations, etc…
Imaginez ce que va être le génocide fiscal dans la zone de non-droit où évoluent les contrôles fiscaux.
Ce blog prend tout son sens, devient une nécessité aigue. Il doit permettre que se réunissent les condamnés à souffrir, à affronter l’injustice. Ceux que la masse, cupide et égarée, veut lyncher pour les piller.
Nous allons créer une structure de lutte en Janvier. Vous serez convoqués, il faudra venir. Nous allons nous organiser nationalement, par région et par département.
Nous avions prévu ce génocide, nous avons une plainte en cours, sous la forme d’une citation directe pour crime contre l’humanité, qui vise les hauts responsables de Bercy.
Nous devons lutter unis pour obtenir :
– D’abord que soit banni avant toute condamnation l’expression “fraudeur fiscal”. Nous exigeons que Bercy ne soit pas à la recherche de “fraude fiscale” mais de “divergences fiscales”, ce n’est pas pareil au niveau de la communication et de la compréhension.
– Ensuite nos réclamations légitimes sont connues : pas de dossiers cachés toutes les informations et motivations des services fiscaux transparentes; autorisation de filmer le débat oral et contradictoire; suppression des lettres de cachet donc interdiction pour le contrôleur d’éditer la notification qui ne peut être qu’issue d’un jugement après audience publique et défense libre; pas de poursuite avant un jugement définitif rendu au terme des recours habituels; responsabilité personnelle des contrôleurs fiscaux engagée dans leur activité.
Le combat sera rude
La propagande gouvernementale lue dans “Capital”, qui sera largement relayée par la presse, pue.
Elle consiste à mettre en cause ceux-là même qui ont le plus souffert de la crise artificiellement attribuée au COVID, alors que cette crise découle du laxisme et du “je-m’en-foutisme” de la fonction publique, des connivences qu’elle impose à l’aide d’une législation délirante.
Objectivement c’est honteux. Les mots me manquent pour définir l’horreur absolue, le machiavélisme, de cette propagande, des vols et meurtres à venir.
Nous serons là…
Bien à vous. H. Dumas
2 006 vuesAinsi parle Libération :
“Affaire Michel Zecler : Didier Lallement accorde un soutien financier aux policiers mis en examen
Les quatre policiers mis en examen dans l’affaire Michel Zecler peuvent compter sur le soutien financier de leur administration. Si la condamnation des faits qui leur sont reprochés est ferme sur les plateaux de télévision, la situation est différente en coulisses.
Le 26 novembre, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, annonçait vouloir demander la «révocation» des agents du commissariat du XVIIe arrondissement de Paris mis en cause dans le tabassage du producteur de musique noir.
Dans le même temps, le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a octroyé le bénéfice de la protection fonctionnelle aux quatre policiers mis en examen, selon un tract du syndicat Unsa Police, dont les informations ont été confirmées à Libération par le cabinet du ministre de l’Intérieur et la préfecture.
Cette décision assure aux agents une prise en charge de leurs frais de justice par la collectivité publique et symbolise l’expression de la solidarité nationale.”
Qu’on se le dise : il y a en politique le discours et la réalité. Deux choses qui, même s’exprimant sur le même sujet, n’ont aucun point commun.
Le plus souvent cette spécificité est invisible, inodore et sans saveur. Indétectable en quelque sorte.
Mais là, tout le monde savait que Darmanin mentait. D’abord son allure mielleuse qui n’inspire pas confiance. Mais aussi la terreur dont ce gouvernement a besoin pour se maintenir au pouvoir, dont on comprend qu’elle passe par la violence injuste, son acceptation par le gouvernement, et évidemment l’impunité accordée aux exécutants.
Tout le monde se doutait que la “révocation” des flics violents était un effet d’annonce de Dramanin, peu susceptible de se transformer en réalité.
Libération le confirme, pas question de sanctionner les tortionnaires, bien plus leur défense est assurée par nos impôts. L’homme noir tabassé doit s’estimer heureux, il n’ira pas en prison pour outrage.
Mais il est “Wanted” dans tous les commissariats, malheur à lui au moindre faux pas. Qu’il mesure bien que le temps joue pour les flics, série longue durée, pas pour lui. Être en règle en tout et de façon illimitée, sacré défi qui l’attend.
Tous les français comprennent cela. Il y a ceux qui ne l’acceptent pas, qui sont révoltés. Puis, ceux qui l’acceptent, s’en accommodent, ne se sentent pas concernés. Enfin ceux qui, en plein déni, font mine de ne pas le voir, nient cette réalité ou la trouvent conforme à l’idée qu’ils se font de la bonne marche du pays.
La violence fiscale fonctionne exactement comme la violence policière.
Elle est sous-jacente à la terreur fiscale dont le gouvernement a besoin pour rentrer l’impôt, largement excessif. Elle n’est pas franchement visible, la plupart du temps c’est le violenté qui est condamné, affublé préalablement du qualificatif de “fraudeur fiscal” qui correspond à celui de racaille, délinquant, agitateur. Autant de mots qui vous transforment en “présumé coupable”.
Les agents fiscaux violents se cachent, refusent d’être filmés. Si vous les dénoncez, l’Etat leur paie avocats de prestige et Tribunaux à l’écoute bienveillante. Pendant que vous, évidemment “présumé coupable”, vous ne trouverez même pas un avocat pour dénoncer la violence fiscale que vous subissez. Vous serez bombardé d’ATD et d’hypothèques sur vos biens jusqu’à vous amener à l’indigence, à l’impossibilité matérielle de vous défendre.
Si vous insistez, les tribunaux ont la botte secrète de l’article 700 et des dommages et intérêts, l’ensemble si couteux qu’il n’est pas question que vous puissiez payer, donc pas d’appel possible puisqu’il est lié à leur paiement. Vous êtes échec et mat, dès la première instance.
Quant à “Libération” et ses confrères, n’espérez pas une ligne sur la violence fiscale, ce serait contraire à leur religion. Même “Médiapart”, qui vient pourtant de prendre une baffe fiscale de plus d’un M€, n’accorde pas un mot à la violence fiscale.
Le meurtre fiscal est impuni, c’est pourtant lui qui est à la base de la catastrophe qui nous guette, de notre capitulation en rase campagne face à l’Europe qui capitalise.
Non seulement le meurtre fiscal est impuni, mais les meurtriers fiscaux sont félicités récompensés, honorés.
Alors que toute la dérive économique de notre société est liée au pillage fiscal, dont le contrôle fiscal et ses violences sont la base essentielle, pas à la COVID.
Ce pillage ravit les profiteurs, les déculpabilise, les désinhibe, ils pillent toujours plus, ils pilleront jusqu’au dernier sous – on y est presque – ensuite ils tueront – on y arrive –.
Bien à vous. H. Dumas
989 vuesNos amis américains sont à la finesse ce que la nuit est au jour, ce sont les Botero de l’information.
Leur site d’information Businessinsider, prévoit trois scénarios-catastrophes mondiaux, attribués à la Saxo banque, qui n’auraient que 1% de chance de se réaliser.
La Saxo banque est une banque trader danoise, des gens du nord – c’est ce que dit Wikipédia – qui ont du temps à perdre, suffisamment en tout cas pour plancher sur, et produire, des prévisions qui ont 1% de chances de se réaliser, disent-ils.
La première
La France en faillite va demander assistance à l’Allemagne.
Ce qui en gros reviendrait à imaginer que nos hommes de l’Etat seraient prêts à capituler en rase campagne dans la guerre économique mondiale. Que nous sommes tout proches de l’exode massif, de la fuite irraisonnée. Que notre personnel politique évoque plus Vichy en 1940 que Londres à la même époque.
La responsabilité des “irresponsables” qui nous ont amené à ce point d’explosion est immense, vertigineuse, sidérale. Ceux qui ont détruit méthodiquement les acteurs économiques par leurs actes et leur propagande, qui ont formé des générations de négationnistes de l’économie, qui ont chanté et glorifié l’irresponsabilité, le principe de précaution, la suspicion envers tous les acteurs économiques, la haine du capital, portent une responsabilité écrasante.
Croient-ils vraiment que les Allemands, et plus largement tous les habitants responsables de cette Europe qu’ils haïssent ne souhaitant que la piller, vont leur envoyer la monnaie pour leurs beaux-yeux ?
Ils rêvent et vont déchanter quand ils comprendront qu’un créancier, déterminé et légitime, est largement aussi dangereux qu’une escadrille de Junkers en piquet.
La deuxième
Elle surprend. Le principe est de dire qu’un vaccin va sauver l’Amérique, que la conséquence sera la faillite de la même Amérique.
J’avoue que j’ai eu la flemme de relire cette deuxième hypothèse, mal assimilée à la première lecture. Mais j’ai du mal à imaginer ce pays, si riche, si immense, en difficulté profonde. Il va falloir que les ricains se donnent du mal pour dépérir dans cet espace de cocagne, à la fois riche et isolé, position extrêmement confortable.
A part un suicide collectif, je ne vois pas de prédateur pouvant les inquiéter.
La troisième
Alors là, c’est du Spielberg et James Bond réunis.
Jeff Bezos, dont, c’est bien connu, l’obsession est uniquement de faire chier les petits commerçants franchouillards, aurait eu une idée du tonnerre.
Il s’achète Chypre. Pourquoi pas Malte ? Il doit y avoir un truc avec les turcs qu’on sait pas…
Donc va pour Chypre. On suppose qu’il y met une base sous-marine et un aéroport adroitement dissimilé derrière des fougères, une tour géante et son bureau au sommet.
De là partent des drones à panneaux solaires.
Les entendez-vous dans les campagnes mugir ces féroces objets volants qui viennent jusque dans nos bras livrer à vos fils, vos compagnes, des objets par milliers qui vident nos portemonnaies, et sans même le papa Noël ?
Bon résumons-nous.
J’ignore si, comme à moi, cette étude vous colle le fou rire.
Une fois passé cet agréable moment, La réflexion s’impose.
Que la Saxo banque soit un peu Jazz ou Rock’n’roll, normal. Mais quand même…
Deux prédictions objectivement hilarantes, ne serait-ce pas une première étape pour annoncer en douceur la troisième qui est plus que crédible, probablement déjà décidée, “En Marche” comme ils disent à l’Elysée ?
Oui, la France est à vendre à la bougie. Les allemands sont bien placés. Mais ils se méfient, à juste titre.
La gestapo administrative, les collabos habituels, leur ont ouvert la porte, mais attention, derrière : un De Gaulle peut en cacher un autre.
Il va manquer les américains… certes. Mais ils manquent toujours au départ, alors…
Bien à vous. H. Dumas
1 595 vuesToute la boutique s’effondre. Les sous-vêtements sont de sortie, tout le monde se retrouve en slip. Les vernis s’écaillent.
La solidarité ? A la poubelle, vive le chacun pour soi.
La probité ? Plus personne n’y croit, si tant est qu’il y eut des croyants sur ce point.
Le courage ? Fuyons.
L’avenir ? Insignifiant, tant le passé encombre les esprits. L’heure des comptes, le grand soir, sont la pensée dominante. Chacun se prépare, selon ses raisons profondes, à liquider son voisin honnis, à qui il sourit pourtant mécaniquement le matin dans l’escalier commun.
L’Amitié ? En souffrance, vaincue par la distance ou plutôt “distanciation” aujourd’hui.
Il nous reste une chose, définitivement, irréversiblement, profondément implantée en chacun de nous : le communisme. Sous sa forme la plus primaire : la haine absolue du capital, de ceux qui le possèdent ou savent le gagner.
C’est ainsi que tous analysent les gestes, les projets, les actions de la façon suivante : si les fabricants de voitures, et leurs ingénieurs qualifiés, nous fabriquent des voitures aux progrès incomparables, ce n’est pas par passion mais par rapacité. A chaque instant de leur engagement, seul compte l’argent qu’ils vont gagner.
Il en est de même pour les agriculteurs, les médecins, les industriels de l’électroménager, de la vidéo. Idem pour ceux qui fabriquent des chaussures, des vêtements, des articles de sport, etc…
Evidemment les acteurs du net sont les pires, ils n’apportent rien. Chacun peut s’en rendre compte plusieurs heures par jour, les yeux rivés sur son écran
Nul ne peut aimer son travail, apporter sa pierre au progrès, puisqu’il ne le fait que pour gagner de l’argent, par cupidité. Le travail doit être honni, il n’est que le suppôt de la cupidité, sauf s’il permet de dépenser de l’argent sans en gagner ou sans en faire gagner, genre ONG.
Le monde est divisé en deux, ceux qui produisent et sont des fumiers de lapin, qui ne pensent qu’à l’argent, et les autres qui ne foutent rien et sont parfaits, puisqu’ils ne pensent jamais à l’argent. Il leur est donné en remerciement de la perfection de leur pensée, de leur grand cœur, de leur sagesse dans la lecture de l’avenir.
Je suis au cœur de cette problématique. Depuis quinze ans je porte un magnifique projet indispensable à l’avenir de La Rochelle, ceux qui l’interdisent n’ont qu’un motif à mettre en avant : il pourrait me faire gagner de l’argent. Pendant qu’eux n’en gagnent pas, ou plutôt n’en font pas gagner à la ville éreintée par les prélèvements qu’ils opèrent sur toute chose et les nullités induites sur leurs choix par ces prélèvements.
Mieux vaut rouler en Traban pourrie qu’en Peugeot 308, au moins on est sûr que personne n’a jamais gagné de l’argent avec la fabrication des Trabans, tandis que sur la famille Peugeot… il y aurait tant à dire… Et ne parlons pas des Michelin. Quant à Jeff Bezos, non je n’ai rien dit, j’ai juste éternué, vous avez confondu…
Et revoilà COVID, toujours au petit trot, c’est son rythme.
Ceux qui prétendent lutter contre elle ne sont que des êtres abjects, cupides.
Qui peut imaginer que des hommes ou des femmes se passionneraient pour la chimie, la biologie, alors que Dieu ou La Terre nourricière ont tout prévu. Que ceux-là auraient pour passion la recherche médicamenteuse ? Quelle supercherie.
Non mais, pour qui nous prend-on ?
Halte là, vous voyez bien que leur seul but est de gagner de l’argent, ce sont des bandits dont, heureusement, nous nous méfions.
D’ailleurs de quoi se mêlent-ils puisque COVID ne tue que les vieux ou les malades, laissons-la faire, nous ne sommes ni vieux ni malades, donc pas concernés.
Nous aurons rapidement la preuve, par les catastrophes qui vont tomber sur la tête des vaccinés, que la cupidité et le capital sont les deux plaies de l’humanité, auxquelles, grâce à Dieu, notre éducation nous a rendu complètement hermétiques.
Si le vaccin était une réussite ? N’y pensez pas. Il ne manquerait plus que ça, que ces fumiers de capitalistes aient de la chance. Que leur cupidité se retourne contre nous.
Finalement, ce ne serait qu’une souffrance de plus, être communiste demande une acceptation de la souffrance, du partage de celle-ci, nous sommes habitués.
Nos élites savent ce qu’est la souffrance, Mélenchon, Staline, dans une moindre mesure Mendes France, Hollande, Jean Paul Sartre, etc… nous ont aidé à souffrir en silence. La souffrance est notre ciment, peu de chance que nous en sortions, à cause de ces fumiers d’industriels, de fabricants, de prestataires de tout poil, qui ne pensent qu’au fric, alors que nous le fric… basta…. on s’en fout complètement.
Pourquoi on ne parle que de ça ? Ben…
Bien à vous. H. Dumas
1 321 vuesPendant vingt ans je me suis adressé à l’intelligence, à l’objectivité, à la sollicitude, à l’honnêteté des Services Fiscaux, de l’administration et de la justice.
Quelle folie, quel délire, que ne m’a-t-on enfermé et soigné.
J’ai un temps caressé l’idée que j’étais intelligent, mais incompris. Funeste erreur.
Je suis juste un con dont tout le monde, à juste titre, se moque.
Grande nouvelle, je suis guéri. J’ai ouvert les yeux.
Je sais maintenant que ces trois organisations : les Services Fiscaux, l’administration et la justice son inintelligents, partisans, cyniques et véreux pour ne pas dire carrément malhonnêtes.
– Qu’est-ce que cela change pour vous ?
Rien, effectivement. Absolument rien dans la pratique.
– Comment avez-vous pu mettre si longtemps pour le comprendre ?
Là, je suis en difficulté pour vous répondre. Disons que je ne croyais pas que toutes ces saloperies pouvaient prospérer sans que le “peuple” ne finisse par se lever contre elles.
– Mais n’est-ce pas vous qui disiez : le “peuple” n’existe pas, il n’est que la “foule” ?
Vous avez bonne mémoire. En effet je disais cela. Donc, je n’ai pas d’explication. Il me semblait qu’une espèce d’intelligence collective devait exister, qu’elle portait fatalement une morale sans laquelle l’homme n’aurait pas eu ce destin de domination du monde animal, n’aurait pas régné sur la planète.
– Non, vraiment, vous avez cru ça ?
J’ai l’impression. Sinon comment expliquer mon erreur.
– Mais c’est stupide, c’est le vice qui a construit l’humanité, le pillage, le mensonge.
Vous avez raison. Depuis que j’ai ouvert les yeux, je constate que le mal triomphe partout, plus particulièrement chez ceux qui affirment représenter le bien.
– Les cocos et les écolos ?
Entre autres. Mais aussi les donneurs de leçon, les affairistes, les mondialistes, tous.
– Vous déconnez, vous allez trop loin. Dire du mal de ceux que l’on n’aime pas, d’accord, c’est de bonne guerre. Mais de tout le monde, sans exception, c’est impossible.
Je reconnais que c’est un problème, une réelle difficulté. Mais objectivement, vous connaissez le truc : “citez-moi un honnête homme et je sauverai cette ville”. Vous pouvez m’en citer un, vous ?
– Pas vraiment, effectivement.
Alors, vous voyez bien.
– Mais attendez, ce n’est pas parce que je ne le connais pas qu’il n’existe pas. Et puis, votre propos visait au départ les services Fiscaux, l’administration et la justice. Ce n’est pas tous les hommes ça.
C’est vrai aussi. Décidemment, vous me contrariez constamment.
– Parce que chercher les failles de vos délires c’est vous contrarier ?
Non bien sûr. Ce doit être la fatigue qui paralyse mes neurones, ou la désespérance.
– Voilà qui me parait plus raisonnable. Alors on recommence à zéro. Oui les Services Fiscaux, l’administration et la justice sont pourris jusqu’au trognon. Mais ils ne sont pas représentatifs de toute l’humanité et il reste chez eux quelques originaux en bon état, peut-être rongent-ils leur frein en attendant des jours meilleurs.
Vous croyez vraiment ce que vous dites ?
– En règle générale oui, je crois ce que je dis, dans le cas contraire je la ferme.
Donc vous pensez que j’ai tort, que j’ai un coup de mou, que c’est la disparition du père Noël pour cause de COVID qui me travaille.
– Exactement, et je vous propose quelques jours de vacances pour recharger les batteries et reprendre le combat où vous l’avez laissé. Il y a beaucoup plus de gens de qualité que vous croyez. Ils sont justes moins cinglés que vous.
Que voulez-vous dire par là.
– Que se faire tirer comme un lapin, ce n’est pas la meilleure idée. Il y a des luttes qui demande de la discrétion.
Je vous signale que si j’avais été comme vous le dites discret, voire secret, on ne se connaitrait pas.
– Qu’en savez-vous ?
Vous m’intriguez
– Et ce n’est qu’un début. La victoire n’est jamais au début, ne l’oubliez pas.
1 150 vuesQu’importe que COVID soit masculin ou féminin, au point d’intimité où nous en sommes j’ai décidé de l’appeler COVID tout court, au titre de nom où de prénom.
Voici donc la vie de COVID, telle que je la ressens.
COVID est ordinaire, une grippe un peu plus tonique que les autres, sans plus.
Et pourtant, quelle notoriété : mondiale, le buzz…
En même temps, COVID n’est pas la seule figure ordinaire que les réseaux sociaux, pour des motifs toujours énigmatiques, expédient au firmament de la célébrité.
Née en Chine, COVID est donc asiatique, gage de sérieux, un peu moins que si COVID avait pris son essor en Espagne.
Nul doute que COVID doit sa notoriété à la fulgurance des réseaux sociaux, Bill Gates en avait fait une star bien avant son apparition. Accompagnée par les réseaux chaque jour, chaque heure, chaque minute, il ne pouvait en être autrement.
Oui — petite digression — je ne suis pas d’accord avec le fait que qui que ce soit puisse appuyer sur la souris à notre place, je crois au contraire que tous les puissants courent derrière nos clics de souris… Ce n’est pas une question de croyance, c’est une question d’angle d’observation. Je me sais isolé, j’accepte les autres hypothèses que je ne partage pas. Je ne crois absolument pas au souhait de manipulation des puissants, je sais pour les avoir intimement fréquentés qu’ils ont d’autres moteurs…, aussi qu’à un moment de richesse, assez rapide, l’intérêt matériel s’efface complètement.
Revenons à notre amie COVID. En France la star a bénéficié de conditions particulièrement favorables.
D’abord la Sécurité Sociale
Cette organisation, spécifique à la France, a fait des médecins une sorte de fonctionnaires à leur compte, traduisant les défauts réunis de la fonction publique et du libre marché. C’est à dire un coût élevé, non différencié par la qualité, donc une motivation limitée, suivie d’une disponibilité relative.
C’est ainsi que l’imprévu, l’urgence, ont peu à peu quitté les cabinets médicaux pour se recentrer sur l’hôpital. Lui-même totalement étatisé, donc inefficient.
COVID, arrivée par surprise, à été aiguillée vers l’hôpital, immédiatement débordé, immédiatement dans le déni.
Hôpital qui a exigé l’exclusivité de cet apport soudain pour que sa déliquescence avérée ne saute pas aux yeux de la population, dont il vit grassement et qui est dans l’ignorance de son état de décrépitude.
Disons-le, ce fût une catastrophe sanitaire et économique en même temps qu’une suite de gags politiques mémorables.
Donc ensuite le personnel politique
Ce passage “ouragantesque” de COVID laisse la France sens dessus dessous.
Il faut dire que les touristes au pouvoir ont fait très fort. Dans le genre, le premier ministre refusant publiquement de se faire vacciner est un grand moment.
Décisions et contre-décisions se sont succédées pendant des mois, et ce n’est pas fini.
Pendant que COVID bat de l’aile, est proche sans doute de sa fin naturelle.
Tout ce cirque pour cacher la misère d’une société égalitariste à la dérive, mais dont la population réclame à corps et à cri non seulement le maintien mais le renforcement, saccageant le capital seul socle possible d’une économie si indispensable, si fragile.
Rappelons la nouvelle devise du pays : “Liberté, égalité, fraternité… des fonctionnaires”
Dans le monde
Les effets mortels de COVID ont inquiété partout, leur réalité a été moins différenciée qu’imaginé. La relativité des informations nuit à une compréhension universelle.
Le résultat.
Il peut paraître grotesque, uniquement caricaturé par l’effet loupe et Hollywood des réseaux sociaux.
Mais il peut aussi être la base d’un progrès fondamental.
En effet COVID a ouvert des accès interdits et généré un vaccin génétique.
Soit ce vaccin sera un échec désespérant aux conséquences désastreuses, soit ce sera une découverte extraordinaire qui éradiquera les mortelles grippes annuelles.
Petite appréhension, alors : “Messieurs les Anglais, vaccinez les premiers”… c’est fait.
Nous verrons.
Bien à vous. H. Dumas.
1 354 vuesM. Brabant,
Vous me tuez, mais vous ne me briserez pas.
Je représente la France, sa population. Vous ne représentez rien.
Vous n’êtes que le factotum d’une bande d’escrocs qui se prétendent les « hommes de l’Etat »
Cette bande indélicate modélise des données qu’ils décrètent comme étant celles de notre vie, comme ils le font pour l’élevage intensif des poulets ou du saumon.
Ma vie — pas plus que celle des autres français — ne peut pas être mise en équation, d’autres ont essayé avant vous au cours des siècles, sans succès.
Vous n’êtes pas une nouveauté dans la servilité et dans la démesure au profit des malades du pouvoir.
Vous ne pouvez pas nous transformer en objets soumis à vos intérêts et vos caprices.
Je n’ai pas l’âge de me soumettre, ma vie professionnelle est modeste, non exempte d’erreurs, mais exemplaire de droiture, je peux en rapporter la preuve.
La propagande, les calculs, l’organisation et les mensonges des hommes de l‘Etat d’aujourd’hui reproduisent le régime de Vichy, qui a tant fait de mal à notre pays et à son image dans le monde.
Je rapporte la preuve absolue de vos méthodes, de la terreur que vous répandez, de la délation et de la soumission que vous obtenez en retour.
Vous torturez les français, ils en souffrent, votre propagande leur fait croire que cette souffrance viendrait d’eux.
Vous les empoisonnez en faisant mine de les soigner.
Clairement, Mercredi 2 Décembre 2020, devant un tribunal de La Rochelle terrorisé par vous, à vos ordres, vous m’avez proposé la levée d’hypothèques sur trois maisons en échange d’une acceptation de la facture que vous tentez de recouvrir sur moi, alors que vous savez pertinemment que cette facture est non seulement indue mais qu’elle ne représente qu’une basse vengeance de vos services dans le cadre de la mise en échec d’un redressement successoral délirant, volontairement falsifié.
Sans aucun motif, même pas celui de recouvrir votre créance indue largement garantie, vous me refusez la vente de ces trois maisons, il s’agit d’un chantage.
Chantage si habituel, si journalier dans votre exercice de la torture fiscale, que vous finissez par le faire machinalement, sans prendre de précaution.
Vous entrainez — par la crainte que vous inspirez et l’utilité que vous prétendez avoir, issues de votre propagande, de votre lavage des cerveaux, de la terreur que vous répandez — l’anéantissement cérébral de la majorité.
C’est ainsi que le syndicat des propriétaires, en paiement duquel je vends ces maisons, prend votre parti et ânonne à l’audience qu’il va faire vendre aux enchères publiques les maisons qui sont déjà vendues pour le payer, dont vous seul entravez la vente.
C’est ainsi que le magistrat se croit obligé de s’excuser auprès de vous de ne pas pouvoir donner suite à vos exigences illégales, ici une demande de report de la vente forcée que vous avez engagée, que votre absence de publicité légale a rendue caduque. Il s’agit, d’après vos dires au notaire : d’une stratégie. Qui ne peut être que de me maintenir dans un état de ruine….
Ce même magistrat vous a, avec empressement, rassuré sur le fait qu’évidement il ne vous condamnera à aucun dommage et intérêt… dormez tranquille…
Rien — sauf le désir de torturer, de chasser, de tuer, les animaux, les sous-hommes, que nous sommes pour vous — ne justifie que vous ne leviez pas l’hypothèque que vous détenez abusivement sur les trois maisons vendues, que vous paralysiez ces ventes, que vous décrétiez ainsi ma ruine.
Vous me direz que c’est votre travail de tous les jours, certes, c’est bien là que se situent le problème et l’indignité.
Vous me donnez l’occasion d’éclairer les français, de lever un bout du voile de vos méthodes, craignez leur réaction quand ils comprendront tout. Ce n’est aujourd’hui qu’une question de jours.
Disons, premier semestre 2021. A bientôt donc…
969 vuesLe sapeur Camember, à la fin du 19ème siècle, vivait des situations cocasses liées à sa difficulté à comprendre les ordres qu’il recevait. Il était le maillon faible et risible de l’organisation militaire, alors entièrement basée sur l’accomplissement strict des ordres donnés, qu’il ne comprenait pas.
Aujourd’hui, ses alter égos sont à la tête du pays. Nous vivons sous le règne du “nouveau Camember”.
De jeunes et fringants mathématiciens se sont lancés à corps perdu dans la modélisation des données et la mise en équations forcenée, partout et en tout.
Je ne suis pas dans le saint des saints, mais j’imagine aisément que quelques olibrius ont dû inventer des algorithmes visant les possibilités de rencontres et de transmissions du virus qui nous affole.
Ils ont dû calculer le nombre de personnes, le taux de renouvellement d’air, le temps passé, la proximité, le niveau social, l’âge moyen, l’attractivité géographique, etc… de tous les lieux accessibles au public, aussi de tous les lieux privés
Puis ils ont rentré ces données dans leurs algorithmes, ce qui leur a donné de ces courbes ou camemberts qui abondent dans toute présentation de dossier qui se veut sérieuse.
De là est sorti un catalogue des endroits classés à forte possibilité de contagion en fonction de ces camemberts. Puis en mettant en parallèle le taux de gravité de la maladie et les disponibilités en lits offertes par la Sécu et les hôpitaux, ils établissent des directives pour que les chiffres concordent.
Or, les limites de ces méthodes sont vites atteintes, que ce soit parce qu’il manque fatalement certaines données inaccessibles ou paraissant marginales, ou parce que l’algorithme est défectueux, ou encore à cause de l’arrivée impromptue d’un cygne noir.
Le résultat est alors possiblement comique, selon l’humeur du moment, du même comique de situation que celui du sapeur Camember. Il peut aussi être terriblement oppressant selon l’endroit où se trouve l’observateur du désastre.
Notre sapeur Camember en chef, locataire éphémère du Palais de l’Elysée, a été élevé au camembert et à la statistique, ce sont ses compagnons, se sont eux qui lui ont permis d’accéder à son poste.
Il n’en connait pas les limites, il les découvre aujourd’hui, et il ne les comprend sans doute pas.
Ces limites sont le hasard et les résiduels inconnus, l’opinion publique. Pour y palier quelques outils qui ne sont pas donnés à tout le monde : la passion, la clairvoyance, l’intime conviction, le bons sens, le charisme, etc… tant de choses inaccessibles aux courbes et camemberts.
La crise du COVID aura démontré que sa génétique n’a pas équipé le cerveau bien fait de Macron des outils permettant de juger et de décider hors camemberts.
C’est un fait.
Reste à voir les résultats. Fallait-il à l’occasion de cette crise être un manipulateur adroit de camemberts ou ce que l’on appelait avant un chef, un homme d’Etat ?
Du coup, ce sont les camemberts statistiques mondiaux, à l’issue de la crise, qui nous donneront le résultat, c’est en gros leur seule qualité : dire l’avenir quand il est passé.
Notre sapeur Camember joue son avenir sur les camemberts de demain, le bilan chiffré de la crise du COVID.
Bien à vous. H. Dumas
1 522 vuesMatch serré, Emmanuel rase gratis et casque pour que personne ne bouge, pendant ce temps Boris vaccine.
Une compétition de titans, un des deux va perdre. Ils sont tous les deux “tapis”, lequel va ramasser la mise.
La COVID19 est politique. Tout est politique, puisque tout nous implique en ce que nous sommes personnellement, mais aussi, le plus souvent, en ce que nous sommes collectivement et, là, c’est la politique qui prend ses droits.
Des choses personnelles et intimes comme l’avortement, l’homosexualité, le mariage, etc… sont politiques dans leur dimension touchant la collectivité.
Donc la COVID19 est personnelle lors des combats internes qu’elle provoque en nous, elle est politique quand on en parle collectivement où quand ses effets ont des conséquences collectives.
Notamment, la peur qu’elle a exacerbée collectivement est politique, terriblement politique, au point d’avoir supplanté tous les problèmes de la terre, au moins en apparence et pour nous.
Dans sa dimension politique la COVID19 interfère avec tous les autres problèmes à dimension politique.
Nous arrivons, au petit trot, au Brexit.
Boris est dans le dur pour le Brexit, alors que Macron est lui dans le dur pour son organisation sociale et ses dérapages économiques.
Le premier a un besoin immédiat de sa population, le second essaie de gagner du temps en espérant que la conjoncture va s’améliorer et qu’il ne sera pas obligé de faire face à sa faillite.
En vaccinant contre une maladie qui parait s’affaisser Boris joue gagnant, sauf effets secondaires violents et c’est là qu’il se met tapis. Si tout se passe bien, il aura risqué le premier, sa population lui en sera reconnaissante et prête à affronter un Brexit sans accord. Bien joué.
Macron ne gagne que si Boris perd, mais dans tous les cas trop tard.
Le vaccin de Boris n’inocule pas la maladie, aucune raison donc pour que des effets secondaires se présentent rapidement, cela se verra sur plusieurs mois ou années. Donc s’il y en a c’est plus tard, s’il n’y en a pas c’est une première médicale mondiale que Boris signe, pas mal. Gros joueur.
Donc tout de suite Emmanuel perd. Pouvait-il faire autrement ? Non, les franchouillards ne sont pas pour le risque, un vaccin innovant à risques : c’est niet. De toute façon il ne pouvait pas rendre sa liberté à la population, elle en aurait profité pour tout casser, tant la peur de devoir rembourser toutes ses dettes la turlupine. C’est pour ne pas rembourser ses dettes que l’Allemagne a confié les clefs de sa maison aux voyous nazis. Mêmes causes, mêmes effets.
Avec ce coup, au terme des discussion sur le Brexit, fin Décembre, Boris est à son apogée COVID19, Emmanuel est à la ramasse.
Boris obtient probablement tout ce qu’il veut, Emmanuel tout ce qu’il ne veut pas. Emmanuel se rappelle que pendant le blocus napoléonien l’anglais a commercé à tout va avec l’Europe du nord. Il se dit que l’histoire recommence, que Boris va copiner dans son dos avec les allemands, la hollande, la Pologne et autres.
Il se dit qu’il va se faire baiser, qu’il n’obtiendra rien des nordiques, qu’il va se retrouver avec les sudistes, qui ont autant de dettes que lui.
Pauvre de nous. Que n’a-t-il engagé des économies, supprimé le statut des fonctionnaires, réhabilité le capital, diminué les impôts, en fait remis la France au travail. Trop dur, il n’est ni Reagan, ni Thatcher, il n’est ni vieux ni ridé, ni plouc ni frustre, il est énarque, il est snob, il est élitiste, il est chic c’est son mantra.
Oui mais, il en train de se faire avoir par la COVID qu’il courtise monstrueusement depuis des mois.
Sacré Boris, très gros joueur. Champagne chez Pfiser et BioNtech.
Bien à vous. H. Dumas
1 185 vuesTout le monde perçoit la dérive de la chanson française, tout particulièrement le Rap dont on peut objectivement se demander s’il s’agit bien de chanson et de français.
Les députés, à la demande du Premier Ministre, lui-même sollicité par le collectif de la chanson française de l’ENA, se sont emparés du sujet.
La loi BAF — pour Brassens, Aznavour, Ferré, Brel ayant été exclu en raison de ses origines belges et parce que deux B dans le sigle étaient déconseillés par la société communicante en charge de la présentation publique de la loi — est en première lecture à l’Assemblée Nationale.
L’article 2 de la loi en préparation prévoit la création d’un diplôme de parolier-compositeur, délivré au terme de quatre ans d’études dans une section à créer de l’ENA.
Seuls les paroliers-compositeurs diplômés pourront produire et chanter des chansons qui devront être crées exclusivement par eux.
L’article 3 parle de l’ordre des paroliers-compositeurs qui sera créé et auquel tous les paroliers-compositeurs devront être affiliés.
L’article 4 évoque les règles de composition des paroles de toute chanson. Les parolier-compositeurs devront s’assurer, avant toute création, de la compatibilité de leur projet avec le bonheur affectif et écologique des futurs auditeurs. Pour cela des équations sémantiques seront mises à leur disposition.
Un énorme travail à été réalisé sur ce point par l’ENA.
Les mots de chaque sujet évocable ont été classés en fonction d’un coefficient d’utilisation et de ressenti populaire.
Des équations, à partir de ces classements, sont proposées en rapport avec le sujet choisi par le parolier-compositeur, qui peut jouer avec ces équations, dans la limite des acceptations par l’ordre.
L’article 5 traite des sanctions en cas d’inobservation de la loi. Plus sévères pour celui qui divulguera une chanson non conforme à la loi, elles touchent aussi ceux qui les reprendront publiquement, qu’ils soient professionnels ou amateurs.
Les sanctions vont de l’amende à la prison ferme pour les cas les plus graves.
Un sondage Le Figaro-Mediapart indique que 75% des français sont favorables à la loi en préparation.
Le haut conseil scientifique du COVID saisi a donné son accord au projet.
C’est une étape importante pour la paix et le bonheur dans notre pays a déclarée l’épouse du Président de la république à Télérama très en pointe sur ce projet de loi.
Le Président de La République l’évoquera à l’occasion de son discours de fin d’année. Il insistera sur la volonté de son gouvernement d’éviter, à travers cette loi juste et progressiste, les demandes d’instauration d’une censure, qu’il qualifie de passéiste.
Voilà une sacrée bonne nouvelle, bien à vous. H. Dumas
1 055 vuesOui, Macron ne pourra pas objectivement finir son mandat.
Dès Septembre 2017 j’avais écrit ce qui se passe aujourd’hui. J’avais fait une erreur, je ne croyais pas que tout irait aussi vite.
Donc, Claude a raison, il y a urgence à retourner aux urnes.
En revanche je ne partage pas son adjectif concernant Macron, ce n’est pas un factieux – est factieux celui qui se retourne par les armes contre le pouvoir légitime – Macron est légitimement au pouvoir.
Je pense que l’on pourrait se mettre d’accord sur le terme totalitaire, car effectivement Macron s’avance dangereusement vers un pouvoir totalitaire, il pourrait devenir un dictateur.
– D’abord par l’énormité de ses mensonges devenus aujourd’hui une vraie propagande, attribut indissociable de la dictature.
La COVID à ce sujet est incroyable.
La sécu n’était pas prête, malgré ses cotisations stratosphériques, pour une pandémie de coronavirus, alors que le monde scientifique savait et disait qu’elles sont et seront inévitables.
La pandémie arrive, Macron est en plein déni exclusivement lié à l’impréparation de la Sécurité Sociale. Pour masquer la déroute il lance les élections municipales, il provoque le bon sens.
Puis, toujours pour cacher la déroute, il interdit à la médecine libérale d’intervenir, elle serait devenue le miroir grossissant de l’incurie de l’hôpital. Conséquence, l’impréparation de la Sécurité Sociale tue à grande échelle, à l’hôpital et dans les EHPAD. C’est très grave, il devra en répondre.
Pour reprendre la main il se lance dans une opération de confinement qui va tuer ce qui reste de l’économie déjà massacrée par la fonction publique.
Il semble aujourd’hui que le virus mutant est en difficulté, ce qu’avait largement prédit le professeur Raoult, Macron tente de faire croire que cela est à mettre sur le compte de son confinement.
Pour parachever la propagande il devra vacciner à tour de bras, avec des produits dont personne ne connait encore les performances.
– Puis, par la gestion de la nation.
Les hommes de l’Etat-qui-n’existe-pas — lui, ses collègues élus et toute la fonction publique — martyrisent, torturent et pillent la population.
Par exemple, les fonctionnaires sortent enrichis de chaque confinement, ils ne travaillent plus ou peu, ils ne dépensent plus et touchent l’intégralité de leur salaire, ils sont donc plus riches au déconfinement, pendant que leurs sujets, nous, sommes ruinés et devront assumer le salaire qu’ils ont touché par des impôts à venir.
Mais ils sont chagrins lorsque l’on dit ces vérités, surtout si on le dit avec vigueur.
Alors ils décident de nous couper le sifflet, ils votent une loi qui terrasse les images d’eux nous martyrisant. Alors qu’elles sont bien peu de chose, puisqu’elles ne révèlent que les abus de pouvoir de la police, or c’est toute l’administration française qui abuse de nous.
Manque de pot, les abus de la flicaille sont constants, journaliers, lire à ce sujet le livre de Valentin Gendrot : “Flic, Un journaliste a infiltré la police” , c’est un fait que Macron ne peut ignorer, ou alors c’est grave.
Et donc, immédiatement, par réaction à ce projet de museler, sort une affaire parmi tant d’autres, c’est un éditeur de musique qui en prend plein la gueule pour rien, comme nous tous.
Macron fait alors mine de découvrir la situation violente de servage dans laquelle nous sommes maintenus, il jure ses grands Dieux qu’il s’agit d’une exception inadmissible, il joue l’effarouché.
Pour parfaire le tableau il laisse, magnanime, se dérouler une manifestation qui va voir défiler des gens sincères, familles et enfants réunis pour certains, jusqu’à ce que ses CRS arrivent à exciter une petite minorité, venue d’on ne sait où, qui va suffisamment casser pour que Macron puisse prétendre que la liberté est dangereuse.
Tout cela est pathétique, lamentable.
Alors, oui Claude, il faut aller aux urnes avant qu’il ne soit trop tard.
Elus et fonctionnaires ont dénaturé notre constitution, en tout. Alors qu’elle prône la liberté individuelle, la responsabilité de chacun, la propriété privée, ils l’ont transformé en une machine à déresponsabiliser et à piller à leur avantage.
Mais à cette élection, y aura-t-il un candidat qui représentera les valeurs de la constitution et, s’il est là, y aura-t-il les voix pour qu’il soit élu ?
Rien n’est moins sûr tant la propagande est puissante et les achats de voix massifs.
Bien à vous. H. Dumas
PS : aparté sur l’Etat qui n’existe pas.
Une image pour plus de clarté. Le 3° Reich était un Etat, l’Allemagne est une nation. Le 3° Reich n’existait pas, ce n’était qu’un ramassis de voyous, auquel cependant les allemands ont cru pendant dix ans. Pendant que la nation allemande existe toujours. La nation est réelle, l’Etat est une fiction.
1 960 vuesLa réponse est simple, nous sommes une très petite minorité visionnaire face à une écrasante majorité de pillards aveugles.
Reprenons depuis le début.
Une idée abstraite, sans géniteur connu, a inventé le principe d’une autorité paternaliste, bienveillante, effective, à la morale irréprochable, qui s’appellerait l’Etat.
Cet hologramme s’est construit seul à partir d’un périmètre géographique artificiellement délimité, qui a créé un territoire incluant des intérêts communs âprement défendus, quelques fois au prix de la vie.
Pour nous, appelé France cet espace a vu toutes les envolées lyriques possibles le conforter, alors qu’initialement, comme tous les autres modèles équivalents, il est le fruit du pillage.
L’Etat n’est qu’une idée dissimulant un pillage initial, cette prise de conscience est essentielle pour qui veut comprendre la suite.
Là dessus arrivent les hommes de l’Etat, ces marionnettistes qui veillent à ce que le personnage “Etat” du grand guignol de la vie ne quitte pas le castelet qui les dissimule et garantit leur impunité.
On appelle “hommes de l’Etat” les élus et les fonctionnaires.
Ils disposent de la force publique et de la justice. Avec ces deux puissants outils ils lèvent l’impôt pour acheter l’âme de ceux qu’ils abusent en confortant l’idée que l’Etat existerait.
Ce tour de magie, bien que très simple, qui consiste à piller une population et à lui restituer, de façon ciblée, une petite partie du pillage pour lui faire croire à l’existence d’un État que les pillards seraient censés représenter, est énorme.
Pourtant ça marche. Qui peut dire qu’il n’a jamais bénéficié du pillage des hommes de l’Etat, qu’il n’a jamais reçu, sous une forme ou une autre, une part du butin ?
Personne et c’est là qu’est le piège : le pillé lui-même croit profiter du pillage. C’est génial.
Génial, mais mortel à deux titres.
D’abord par le fait qu’en échange de la redistribution d’une infime part du pillage les hommes de l’Etat exigent l’obéissance, la servitude au nom de l’appartenance.
Ensuite parce que le pillage est tel qu’il dévore les énergies individuelles au point de ne plus leur permettre de servir l’individu dont elles émanent.
En clair, l’énergie nécessaire au bon fonctionnement de notre liberté individuelle nous est volée, avec le consentement du plus grand nombre, par les hommes de l’Etat et le système démoniaque qu’ils ont mis en place.
La perte de son individualité est la chose la plus horrible qui puisse arriver à l’homme.
Jusqu’à aujourd’hui, depuis la révolution, cette perte était toujours le résultat de la force, de la guerre. On connaissait donc l’ennemi et le vaincre n’était qu’un problème d’effort, de volonté.
Aujourd’hui, comme avant la révolution, notre individualité nous est dérobée par la ruse, par l’inspiration d’une croyance mortelle : l’Etat, qui n’a même plus de représentant identifié que nous pourrions décapiter pour nous libérer.
Et pourtant nous sommes au bout du bout.
Quand les hommes de l’Etat tabassent pour le fun, puis incarcèrent le tabassé qui ne doit la remise dans ses droits qu’au hasard d’une caméra, quand ce fait divers est traité comme une exception alors qu’il est la réalité journalière de tous, sous des formes différentes mais aux résultats identiques, rien ne va plus.
Le naufrage du paquebot n’est pas loin.
Mais le brouillard est dense.
Hier des centaines de milliers d’hommes, de femmes, d’enfants, ont manifesté symboliquement pour leur liberté d’expression, en réalité inconsciemment pour leur liberté tout court.
Sont alors sortis, d’on ne sait où, des “black-machins” bien utiles aux hommes de l’Etat pour faire la démonstration que toute révolte est imprudente, mettrait l’Etat, qui n’existe pas, en danger.
Récupérer nos libertés individuelles, le fruit de notre travail, la possibilité de construire notre patrimoine, ne va pas être facile, peut-être même impossible.
Le pillage est attaché à l’homme, seule l’éducation peut le juguler, alors… lorsqu’elle le professe … où pourrait-être l’espoir ?
Même en cas de naufrage inévitable des responsables actuels, les suivants leur seront identiques.
Bien à vous. H. Dumas
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