Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Les trois inflations.

A ma connaissance trois types d’inflation peuvent être répertoriés.

L’inflation naturelle d’expansion

Elle touche une société en progrès économique dont la richesse augmentée des consommateurs met sous pression un outil productif insuffisant générant une augmentation naturelle des prix.

C’est une bonne inflation qui résistera à une augmentation du taux de l’argent permettant de réguler cette inflation et de maintenir dans le temps la croissance économique en équilibrant consommation et production.

C’est une inflation naturelle, sans intervention extérieure à l’économie.

L’inflation par la fausse monnaie.

Elle est plus une dévaluation monétaire qu’une véritable inflation. La production de monnaie supérieure aux besoins est généralement décidée pour soupoudrer ceux qui souffrent dans une économie en repli.

Notons que le repli économique est une situation naturelle, lié à la vie de toute économie.

Ici donc la fausse monnaie va permette d’alimenter en trésorerie ceux qui souffrent du repli, mais pas que…

En effet, de la même façon que les sommes versées en aide aux pays sous-développés sont en partie captées par ceux-là mêmes qui sont chargés de les distribuer, dans nos sociétés une partie de la fausse monnaie éditée va être captée en amont par les initiés.

Ils vont immédiatement placer cette fausse monnaie, soit dans la bourse, soit dans la pierre, créant ainsi deux sources d’inflation, mais ciblées et accompagnées des fruits du développement de ces deux secteurs.

Le reste de la fausse monnaie sera effectivement redistribué, dissimulant au public les effets de ce type d’inflation.

L’inflation par la corruption politique.

Nous entrons ici dans la surenchère politique, dans le cadre des dépenses injustifiées économiquement dont le seul objectif est l’achat de voix.

Dans la mesure où les clefs de la bourse de l’Etat sont entre les mains des politiques, le risque est grand qu’ils soient tentés par l’achat de voix qui permet l’accès au pouvoir, y compris en pensant qu’il ne s’agit que d’un mensonge d’accès à ce pouvoir et qu’ils seront vertueux une fois en place.

Mais les promesses, contrairement à l’adage, engagent ceux qui les font, l’opposition en démocratie n’omettant pas de leur rappeler.

Ainsi les dépenses politiques sont rapidement supérieures aux moyens disponibles.

Alors arrivent l’imposition abusive et la terreur fiscale son outil de recouvrement.

Les conséquences ne se font pas attendre.

Dans un premier temps la surimposition explose les producteurs fragiles, affaiblissant la concurrence. Puis les solides, ceux qui ont résisté, répercutent sur leur prix de revient l’impôt et les charges abusifs.

Cette augmentation des prix génère une inflation, une situation qui rapidement dépassera les moyens économiques de la population, provoquant alors une contraction de l’économie accompagnée d’une dévalorisation de la monnaie qui accélèrera l’inflation. Le cycle infernal, mortel, est en route.

La population sera exclue de la consommation, fragilisant le marché de la production qui devient alors facilement accessible aux voisins détenant une monnaie forte.

La punition est double, les autochtones sont appauvris, mis à l’écart, obligés d’accepter un travail sous-payé ou de s’expatrier – ce qui n’est pas à la mode – les voisins riches vont s’approprier la production du pays, voire ses outils de productions, au point que les locaux seront carrément mis en esclavage, colonisés.

Notre situation

Nous entrons dans les stigmates de la troisième phase.

Au terme de la deuxième phase, COVID a généré — probablement en toute lucidité de la part des décideurs — une augmentation exponentielle des dépenses, donc de la dérive inflationniste, en nous faisant entrer directement dans la troisième phase des dépenses politiques délirantes.

Cette dérive enclenchée, elle va exploser au plus tard juste après les élections présidentielles.

La population n’a aucune conscience de cette situation, à tel point qu’aucun candidat n’en parle, qu’il n’y a donc aucune chance d’une tentative de rectification de la situation, que de toute façon le corps social ne serait pas en mesure de supporter moralement et pratiquement.

Nous allons à la destruction en chantant, c’est notre tradition depuis Vercingétorix… la seule question qui mérite d’être posée est : qui sera l’envahisseur ?

Il y a plusieurs candidats. Je ne ferai aucun pronostic, ce n’est pas mon fort…

Bien à vous. H. Dumas

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Il vaut mieux rester assis

Les nouvelles qui tombent sont si déstabilisantes, qu’en effet : il vaut mieux rester assis.

Ainsi donc la pandémie COVID n’en serait pas une … Juste une “grippette”, plutôt moins méchante que les autres

https://youtu.be/CiGKgivRj8s

Ça alors, ce n’est pas comme Chirac : ça me secoue vachement les deux…

Mais qu’est-ce qui s’est passé ???

Tout simplement une panique injustifiée, amplifiée démesurément par la fulgurance actuelle de l’information et de la désinformation, l’insignifiance des élus, la prétention des fonctionnaires technocrates. Nous ne sommes pas seuls sur ce coup, nos amis sont grosso-modo dans la même situation. Pas nos ennemis malheureusement …

Il va falloir s’habituer, apprivoiser ce trop-plein d’informations, se débarrasser de la prégnance des élus, et mettre au pas nos employés techno-fonctionnaires.

Tout cela si, avant de plonger dans la barbarie, le temps qui nous reste le permet. Parce que la barbarie ne fera qu’une bouchée de l’information, à la place nous aurons l’obscurantisme.

Hélas, le risque est réel que nous assistions à un concours de connerie entre l’obscurantisme et l’opinion publique ivre de trop de liberté.

Facture salée pour COVID, mais ce n’est rien, une aumône.

Avec le réchauffement de la planète c’est carrément le suicide collectif.

Je cite les infos : “LA FRANCE REJOINT LA COALITION POUR CESSER DE FINANCER LES ENERGIES FOSSILES A L’ETRANGER”

En voilà une sacrée nouvelle = plus de pétrole.

Heureusement on a du charbon, il va falloir ressortir les gazogènes.

Puis, juste attendre un siècle pour vérifier que la planète s’en fout de nous, pauvres petits parasites, que son climat n’est pas lié à nos activités.

Ce sera trop tard, en tout cas pour nous qui allons laisser notre confortable place aux autres.

Que faire ? Demain 500.000 personnes à la frontière : qu’est ce qu’on fait ?

On partage ? Vous n’y pensez pas : on donne ou ils prennent, on n’a pas le choix.

La roue tourne.

Bien à vous. H. Dumas

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François FLEURY : éloge de la folie fiscale

Nul doute que le temps démontrera l’inanité de la folie fiscale qui tue et de la croyance égalitaire sur laquelle elle s’appuie elle aussi meurtrière.

Erasme, en 1509, décrit la folie de l’église et des princes, celle de l’église perdurera jusqu’à aujourd’hui où elle apparait à tous dans toute sa misère.

Une autre folie, celle du racisme, a eu ses heures de gloire aux 19ème et 20ème siècles, pour finir en catastrophe avec la dernière guerre mondiale.

Il est un point commun à toutes les folies collectives, leurs acteurs les imposent par la force, soit parce qu’ils y croient, soit par sadisme et lâcheté, sans qu’il soit possible de déterminer lequel de ces vecteurs est primordial chez eux.

Naïvement, bêtement ou par prétention, j’ai voulu aller voir les limites de la folie fiscale. Figurez-vous qu’il n’y en a pas. Les acteurs de cette folie sont convaincus de faire le bien. Comme Hitler ils y croient et pensent que le monde un jour les remerciera des meurtres qu’ils commettent pour la bonne cause, ou comme Eichmann ils ne se sentent pas responsables se considérant comme de simples serviteurs aux ordres.

Le cas Fleury est impressionnant.

Ce LIEN va vous permettre de lire les conclusions responsives prises par M. Fleury face à la requête que j’ai déposée devant le TA de Montpellier. Cette requête et ma réponse aux conclusions de M. Fleury sont accessibles avec ce LIEN.

Les faits rapidement exposés :

Ma société SCI Le Mirabeau est avertie d’un contrôle fiscal vengeur, lié au redressement de la succession de ma mère, je décide de filmer ce contrôle.

Alors que j’ai pris la peine de faire en sorte que les contrôleurs ne puissent pas être reconnus sur le film, que la comptabilité de la société est sur la table, ils tournent les talons dès leur arrivée, devant un huissier constatant la situation. Puis ils déclarent que je me suis opposé au contrôle fiscal : gonflés…

De là ils établissent, sans vérification, un redressement d’un million d’€ environ, assorti d’une majoration de 100% pour opposition à contrôle fiscal.

Le Rapporteur Public de la Cour Administrative d’Appel de Marseille affirmera la nullité du contrôle, La Cour sans en tenir compte confirmera le contrôle.

La folie fiscale de FLEURY

– 1 – Après avoir relevé que la forme de ma requête n’est pas conforme aux lois créées par son administration, il conclut que la justice est passée.

Puis, magnanime, il évoque le fond, mais alors il ne développera jamais les motifs du redressement, il se contentera d’en faire porter la responsabilité aux juges qui l’ont entériné : ” Les contrôles fiscaux exercés à l’encontre de la SARL Les Hauts de Cocraud et de la SCI Le Mirabeau n’ont pas été démontrés irréguliers”… sous-entendu “par la justice”, ils sont donc réguliers.

La justice est bien le complice qui évite à M. FLEURY de d’expliquer l’inexplicable.

– 2 – Quant à la médiation demandée ? “L’administration considère qu’au regard de la mise en recouvrement débutant il y a plus de dix ans, suivie d’une multitude d’agissements et propos diffamatoires tenus par M. Dumas, une médiation n’est plus de mise et ne serait que purement dilatoire”. Vue par FLEURY, la médiation suppose que l’affaire soit récente, que le contribuable soit gentil, ne se révolte pas. N’est-ce pas vider de sens le principe même de la médiation, qui deviendrait alors une sorte de récompense pour contribuables consentants ? Comme toutes les commissions déjà existantes organisées par les Services Fiscaux.

– 3 – Un peu plus loin l’effarement de M. FLEURY est magique lorsqu’il parle du refus par ses agents de l’enregistrement du contrôle seul générateur de l’opposition à contrôle fiscal : “M. Dumas réclame la nullité de la forme du contrôle fiscal de la SCI Le Mirabeau, du fait que les contrôleurs aient abandonné leur mission vu les conditions que M. Dumas avait décidé de leur imposer. Il s’insurge en sus des pénalités suite à l’opposition à contrôle fiscal dont il est responsable, générée par son comportement”. M. FLEURY ne vit pas dans le même temps que tout le reste du monde. Partout, y compris dans la police ou au football, l’enregistrement est le garant de la vérité, de la justice. Pas pour le fisc. Mais qu’ont donc à cacher les inspecteurs des impôts pour refuser que le débat oral et contradictoire soit enregistré, alors que la moindre conversation téléphonique avec un fournisseur l’est ?

– 4 – Enfin le bouquet : “M. Henri Dumas ne règle pas ses dettes personnelles. Il ne peut entendre condamner l’administration fiscale pour harcèlement, misère et ruine alors que les faits qui lui sont reprochés ont trait à des distributions occultes et insuffisance déclaratives de bénéfices sociaux perçus, impactant le calcul de l’impôt sur le revenu.”

Les distributions occultes, fichtre. Il invente FLEURY. Il veut me faire passer pour un bandit de haut vol ? Il emploie des termes si inadaptés qu’ils seraient ridicules s’ils n’étaient pas susceptibles de correspondre pour les magistrats qui les lisent à de graves délits, ici imaginaires…

Là, nous sommes dans la diffamation, dans l’accusation sans preuve, l’ostracisme, le procès stalinien, le bouc-émissaire, toutes les armes de la terreur, du pillage, du harcèlement, de la torture, tout ce qui fait la différence entre une société libre et démocratique et une société totalitaire.

Car les magistrats vont suivre FLEURY, évidemment. Ils ont suivi Pétain… n’est ce pas ?

FLEURY est l’agent zélé, probablement sadique, le soldat borné de la folie fiscale qui nous tue. Au profit de qui ?…

Pas de ceux qui croient en être les bénéficiaires et baissent les yeux face à cette folie meurtrière, qui vont déchanter sous peu s’ils ouvrent enfin les yeux.

Nous, nous savons que cette folie fiscale n’est pas un hasard, elle est le garant des faux-monnayeurs qui nous gouvernent, qui distribuent de la fausse monnaie pour être élus et jouir du pouvoir. Rien de changer au cours des siècles et des siècles, amen.

Je suis au fond de la caverne, ce que j’y découvre est pire que ce que je croyais.

Bien à vous. H. Dumas

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A la place de Raoult nous héritons de Zemmour.

Jusqu’où serons-nous contaminés par le poison politique “égalitaro-collectiviste” ?

Retour sur le choc COVID.

Peut-on admettre que nous ne sachions toujours pas où et comment est apparu ce virus ?

Peut-on se battre efficacement contre un virus dont on n’a pas encore compris l’origine ?

Ces questions nous amènent à la réponse suivante très simple : un pays collectiviste, donc intégralement politisé, où la liberté individuelle est réservée à une poignée de dirigeants, s’avère incapable de tolérer les questionnements nécessaires à la solution de ses erreurs.

Ce constat établi, nous sommes hélas obligés d’admettre que notre pays fonctionne de la même façon collectiviste que la Chine, et même que le mal est globalement mondial et probablement plus dangereux pour la survie de notre espèce que l’environnement.

Nous nous serons entretués bien avant d’être réchauffés.

Seul l’individu responsable peut gérer le monde qui nous attend, or toutes les organisations politiques connues s’appuient sur la prétention de déresponsabiliser les personnes au profit du groupe, en réalité au profit exclusif des dirigeants du groupe.

La liberté individuelle et son corollaire la responsabilité individuelle sont bannies mondialement de toute proposition d’organisation.

COVID encore.

Il aura été un exemple flagrant de l’inefficacité des dirigeants déresponsabilisant les citoyens.

Pour protéger un outil commun de soins : l’hôpital, déjà en grande difficulté et fatalement inadapté quantitativement à une pandémie, les hommes des Etats ont accepté de croire, et de nous imposer leur croyance, en un vaccin miracle, torché en quelques mois.

Le résultat est navrant, le vaccin n’est pas protecteur.

Pourtant, pour lui, on a déconsidéré ceux qui, tel Raoult, compétents et pragmatiques, pensaient que la lutte contre le virus passait par l’engagement de chacun, malades ou professionnels responsables, et que le cumul des efforts et des idées finirait par ouvrir des solutions.

Raoult a eu un succès d’estime finalement englouti par la masse des irresponsables qui ont vendu leur avenir aux démagogues. On notera aussi que les médecins libéraux ont abandonné leur serment pour n’être qu’une gare de triage vers les hôpitaux, se déchargeant à la fois de toute responsabilité et de toute contrainte, in fine la clientèle prenant d’elle-même la direction des urgences au moindre mal qui la panique.

Ainsi va la lâcheté qui accompagne le souhait d’être un être humain irresponsable.

En contrepartie la lutte pour prendre le pouvoir sur cette masse irresponsable va croissante. La démagogie n’a plus de limite sur ce terreau fertile pour elle. Et nous arrivons inexorablement à Zemmour qui prête à De Gaulle l’organisation suivante : “D’abord la France, ensuite l’Etat, enfin le droit”. Il reproche sa forme actuelle qu’il décrit comme l’inverse : “D’abord le droit, ensuite l’Etat, enfin La France”.

Dans la version Zemmour — prétendue De Gaulle — le droit est en dernier, je suppose hélas qu’il s’agit des droits individuels.

Sont devant, la nation et l’Etat – les hommes de l’Etat, en fait – cela s’appelle le “National-Socialisme”, de bien triste mémoire.

Pour faire passer la pilule, Zemmour flagorne. La France est belle et intelligente, les français sont formidables. Par exemple, ils vénèrent la femme comme personne au monde : ” Le seigneur paillard et sanguinaire met un genou à terre devant sa dulcinée ; le paysan rustaud et illettré supplie la vierge de protéger ses récoltes. La femme n’est ; en terre de France, ni enfermée ni méprisée. La France est femme”.

On croirait lire Cervantès qui prêtait, en plus nobles, ces attitudes au chevalier espagnol Don Quichotte en 1605. Un peu de retard et une erreur d’appartenance pour Zemmour ?

Que penser d’une foule qui finit par négliger Raoult, son pragmatisme, sa recherche de la vérité, son sens des responsabilités, pour adorer un pitre, Zemmour, qui propose aux français : de leur faire oublier leur lâcheté passée en récrivant l’histoire, de les flatter en leur désignant un bouc-émissaire sur qui déverser la responsabilité de leur médiocrité, de décider de tout en se prétendant “Etat” pour que chacun puisse se sentir irresponsable et puisse continuer le partage des biens de ceux qui en créent au profit de ceux qui les dilapident ?

On n’a, au mieux, que ce que l’on mérite….

Bien à vous. H. Dumas

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L’Etat, la fausse monnaie, la justice.

Notre blog est un lieu de réflexions, au départ ciblées sur l’injustice inhérente aux contrôles fiscaux, devenu plus généraliste ensuite, toujours autour de la liberté et de l’économie sans lesquelles il ne peut pas y avoir de liberté.

Nous avons le souci d’accompagner nos réflexions d’actions.

Ce ne sont pas des actions politiques visant à obtenir une masse de pression, le sujet pour le moment ne le permet pas.

Ce sont donc des actions ponctuelles, souvent judiciaires, qui s’efforcent de mettre les hommes du pouvoir face à leurs mensonges, à leurs contradictions, aux dégâts qu’ils occasionnent, au mal qu’ils font en prétextant le bien.

Dans ce cadre, je vous propose de prendre connaissance de l’action que j’entreprends, dont nous aurons le résultat le 22 Novembre. Ce n’est pas loin… : LE LIEN.

Bien à vous.  H. Dumas

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Le trafic de monnaie

Je constate avec plaisir que “Contribuables associés” sort de sa léthargie. Cette association est notre ainée de vingt ans.

On peut dire crument qu’elle a pris beaucoup d’argent à ses adhérents et a dépensé beaucoup d’énergie pour pas grand-chose.

Alors qu’elle s’est battue pendant toutes ces années contre les excès de la dépense publique le résultat n’est pas là, c’est le moins que l’on puisse dire.

Il reste que nous partageons ses ambitions de sagesse et respectons ses efforts. Aujourd’hui la faillite visible de l’Etat Français requinque Contribuables Associés et rend audible sa critique de la dépense publique, tant mieux.

Tout cela me parait quand même un peu distant de la réalité.

L’Etat Français – et il n’est pas le seul — est un malfrat qui se rend coupable du délit de fausse monnaie, en gros c’est un trafiquant de monnaie.

Face au trafic il est, en règle générale, deux solutions :

          – Arrêter le trafic à sa base. Assécher les conditions d’élaboration du trafic, son opportunité — par exemple arrêter la prohibition de l’alcool supprime les trafiquants — C’est la meilleure méthode, mais elle suppose d’en avoir les moyens et d’avoir détecté la base du trafic.

          – En cas d’impuissance à ce sujet, l’autre méthode consiste à s’attaquer à la richesse des trafiquants. Cette deuxième méthode handicape le trafic mais ne l’éradique pas. Même affaiblis, les trafiquants continuent à trafiquer. Au contraire ils s’organisent pour trafiquer davantage et résorber ainsi la gêne produite par les entraves à leur trafic.

La base du trafic de monnaie de l’Etat Français est la recette fiscale, plus précisément la terreur fiscale qui accompagne la recette. Ce ne sont pas les dépenses qui, elles, découlent du trafic.

La réalité de la recette fiscale est dissimulée derrière l’idée égalitaire d’un transfert des gains des actifs responsables vers des inactifs irresponsables qui justifierait des prélèvements indus. En réalité, ces prélèvements indus servent exclusivement à crédibiliser une propagande dont le but unique est d’acheter des voix pour que perdure la situation.

S’attaquer à l’usage des fruits du trafic, ici la propagande, n’a aucun intérêt et passe simplement pour une contre-propagande. C’est ainsi que Contribuables associés est assimilée à un parti politique, ce qui est stupide car lutter contre un trafic n’est pas une action politique mais une action de police, de justice.

Il est donc nécessaire de s’attaquer aux moyens mis en œuvre pour le trafic, c’est-à-dire à la collecte de la monnaie et non au résultat sa dépense.

Car cette collecte abusive de vraie monnaie réellement produite par les Français est la base du trafic qui la suit. C’est sur la base de sa capacité à collecter que l’Etat se procure la monnaie qui va alimenter ses dépenses. Cette dernière ne correspond ni à la richesse présente du pays ni à sa richesse future, c’est en cela qu’elle est de la fausse monnaie.

Chaque français doit comprendre qu’il est l’otage d’un Etat voyou, tenu par des hommes de l’Etat sans scrupule.

Ces hommes de l’Etat sont des trafiquants de monnaie. Ils harcèlent et volent les Français pour obtenir — à partir de leur capacité de pillage — de la fausse monnaie qui ne correspond pas à la richesse du pays mais à la puissance de leurs exactions.

Le jour où la population responsable de ce pays – elle est beaucoup plus nombreuse qu’elle ne le croit elle-même – comprendra que les problèmes que rencontre la France ne sont pas des problèmes économiques mais les conséquences d’un racket mis en place par les hommes de l’Etat pour accéder à la fausse monnaie avec laquelle ils mènent grand train, nous aurons fait un grand pas en avant.

Ce ne sont pas les dépenses qui tuent la France, c’est l’organisation crapuleuse des recettes qui permet ces dépenses par accès à la fausse monnaie.

Si Contribuables Associés prenait ce virage intellectuel, ce serait bon signe.

Bien à vous. H. Dumas

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La vie des autres

Ce film allemand très émouvant, sorti en 2006, se passe en Allemagne de l’Est. C’est important de se rappeler que l’Allemagne de l’Est : ça a existé.

Que des hommes ont pu en aliéner d’autres au point d’inverser toutes les valeurs humaines pour faire de chacun un espion de l’autre.

La propagande communiste avait engendré une croyance isolationniste, dont la protection, soi-disant vitale, devait passer par la dénonciation.

Quand, par hasard, cette croyance a perdu le pouvoir le 9 novembre 1989, les Allemands de l’Est ont ouvert les yeux sur leurs dénonciations. Quel malaise…

Toute la structure sociale de cette société, sa folie, ne tenait que par la délation.

Les Allemands de l’Est auraient-iIs pu en prendre conscience eux-mêmes, autrement que par leur visite impromptue à l’Ouest ? Rien n’est moins sûr.

Les Coréens du Nord n’auront sans doute pas cette chance. Quand sortiront-ils de leur enfer ?

Les Français sont aujourd’hui persuadés que leur survie passe par la dénonciation de tous ceux qui ne croient pas aux deux dogmes forgés par la propagande des hommes de l’Etat : l’écologie et l’égalitarisme.

Doivent être dénoncées les mauvaises pensées et les mauvaises actions, chaque délateur restant libre de définir, avant de dénoncer, ce qui est dans le dogme ce qui est hors du dogme. Le territoire de la délation est ainsi illimité.

Le grand manitou de la délation est évidemment Bercy, dont c’est en gros l’unique activité.

Faut-il que la croyance rende con pour que toute une population accepte de se faire voler 90% des fruits de son travail, et par-dessus le marché dénonce ses voisins au motif que ce qu’iIs possèdent serait mieux dans la poche des délateurs.

Ce délire délateur tue tout.

Peut-on s’en extraire ? Hélas je ne le cois pas. Pourtant, au bout ne sont que la dépendance à la délation et la haine des autres, pire des situations.

Qui dénonce cette délation devenue institutionnelle, essentielle dans l’esprit de la majorité ? Personne.

Et pourtant, la délation est l’arc-boutant du pillage, c’est elle qui le dissimule. Pendant qu’il dénonce, l’abruti de service n’a pas conscience qu’il est plumé, tout à la joie qu’il est de dénoncer.

Tout tourne autour de la délation, tout est fait pour la faciliter, la provoquer, voir l’inventer. La paix intérieure, l’équilibre lui seraient liés. Pour faire le deuil de nos frustrations rien ne vaut une bonne petite délation. C’est même pour certains la recette magique, c’est exclusivement à partir d’elle que Piketty imagine l’économie.

La délation est pourtant un poison social extrêmement toxique, les Allemands de l’Est peuvent en témoigner. Les souffrances provoquées par la délation sont extrêmes, d’abord pour celui qui est dénoncé évidemment. Mais aussi pour celui qui dénonce, qui va inconsciemment se dévaloriser d’avoir dénoncé.

Je n’hésiterai pas à voter pour le candidat qui réinstallerait le secret professionnel pour les banquiers, les avocats, les médecins, etc… qui établirait une loi sévèrement punitive qui viserait délation et dénonciateurs.

Quant à Bercy, si on lui enlève son droit de dénoncer n’importe qui pour n’importe quoi, les hommes de l’Etat seront bien obligés de se contenter d’un impôt raisonnable que tout le monde paiera avec plaisir, qui éradiquera la délation, par exemple plafonné à 30% des revenus de chacun, payable par tous.

Oui mais me direz-vous : sur ce blog, vous ne dénoncez pas ? Si, mais nous dénonçons les méfaits de la dénonciation… Ah bon, alors…

Bien à vous. H. Dumas

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Passion, pouvoir et soumission…

Hier, je participais à une séance en plein air de notre ineffable justice, celle que l’on va “remettre à plat”.

Réduits à l’égalité d’apparence, dépourvus de leur estrade, des apparats de leurs palais, de leurs robes et de leur rituel, les magistrats sont peu de chose.

J’aime bien quand la théorie rejoint la pratique, quand l’ordinaire s’impose à l’utopie.

Il s’agissait d’une visite sur place dans le cadre de la préemption d’un terrain destiné à la construction. Il y avait le préempteur, les préemptés et la magistrate.

Aussi évidemment le terrain. Mais lui n’avait pas le droit à la parole. Préférerait-il rester terrain ou est-il heureux de devenir ville ?

Les berges de la Seine se préfèrent-elles en Paris ou auraient-elles été plus heureuses vierges de tout pont, de toute construction ? Il n’est qu’une certitude : tout avant était terrain et il est probable que tout après redeviendra terrain, le reste est peu de chose à l’échelle du temps, juste vanité du moment.

Donc hier il y avait lors de cette réunion toutes les caricatures de la société.

D’un côté la passion

Elle habitait les préemptés. Ils se dessaisissaient de leur patrimoine. D’un bien issu du temps, hérité pour la plupart, donc marque matérielle de leur filiation, de leur appartenance, repère de leur réalité. Certains l’assument, d’autre feignent l’indifférence, mais tous sont imprégnés par la passion liée à ce type de situation.

Elle m’habitait, puisque sur le site je suis porteur depuis quinze ans d’un projet qui ne peut continuer à vivre que par passion, que le pouvoir local cherche à neutraliser, pour des raisons que j’ignore mais qui me paraissent au moins ordinaires si ce n’est bassement vulgaires.

D’un autre côté le pouvoir

Il se nomme l’Etat — c’est pompeux — mais il n’est que celui des hommes qui prétendent le représenter. Ici un organisme mandaté qui exécute pour le compte de la collectivité locale, là encore en réalité pour celui de ceux qui prétendent la représenter, qui se sont auto-proclamés urbanistes un lundi matin lendemain de leur dimanche d’élection.

Qui, depuis ce jour, considèrent que le territoire de la ville leur appartient. Qui pour justifier cette énormité font appel à “l’intérêt collectif”, en fait à l’égalitarisme bien ordonné, c’est à dire organisé à leur profit exclusif et à celui de leurs amis.

L’Etat donc prenait la forme d’un représentant de Bercy, muet et rasant les murs, d’une discrétion égale à sa puissance.

Puis, d’un représentant de l’organisme préempteur, haut fonctionnaire ou “déguisé en”, silhouette fragile enserrée dans des vêtements étriqués donnant l’apparence de la modestie “au service de”, allant et venant téléphone collé à l’oreille, suroccupé, mais redoutable d’intelligence et de lucidité, donc parfaitement conscient de son pouvoir et du dol en cours contre les propriétaires, de sa position d’exécutant.

Enfin, toujours côté pouvoir, un avocat arrogant car se sachant du bon côté, heureux d’avoir sans doute de bons honoraires, agressif gratuitement et manipulateur pervers pour se faire mousser. Vendu en quelque sorte… aucun intérêt.

Du côté de la soumission

Une pauvre magistrate, en fin de carrière, petit bout de bonne femme, habillée en soixante-huitarde, un peu négligée, croyante sans doute en tout ce qui passe, égalitarisme, écologie. Peut-être végane, dans tous les cas envieuse de tout, frustrée.

Et, évidemment, soumise au pouvoir. Totalement incompétente du sujet, incapable de se repérer dans l’espace. Laissant voir au fond d’elle, ou n’arrivant pas à dissimuler complètement, une bonté naturelle que l’on imagine mise à mal par le contact journalier de son métier avec les dérives humaines.

Tentant d’écraser définitivement cette lueur de bonté par une soumission aux croyances, notamment à celles qui entourent son activité. De ce fait une magistrate zélée immergée dans l’horreur de l’injustice liée au pouvoir, devenue la servante de ce pouvoir au mépris de la vertu qu’elle prétend représenter : la justice.

Bref une magistrate ordinaire. Hélas, ici, pour un sujet extraordinaire…

Ainsi va la vie

Les jours se suivent et se ressemblent. Le pouvoir est entre les mains de gens indélicats ou faibles, il ne va nulle part, il n’a aucune idée.

Il ne lui reste pour exister qu’à humilier et contraindre ceux qui sont porteurs d’idées, d’énergie, de valeurs naturelles, qui ont permis, au fil des siècles et malgré les harcèlements dont ils sont toujours l’objet,  l’éclosion de l’humanité dans laquelle nous vivons.

Assister à ce spectacle, en première ligne, est intéressant si l’on fait abstraction des conséquences inévitables…

Bien à vous. H. Dumas

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Les Etats généraux de la justice

Une remise à plat totale ces Etas généraux ? Il est objectivement permis d’en douter.

Cernons le problème, définissons-le.

Rendre la justice, qu’est-ce ?

C’est dénouer un conflit en recherchant la vérité afin de définir qui est la victime et qui est le coupable, puis de proposer et d’imposer les justes conditions de sanction et de réparation.

Immédiatement surgit le premier problème : Comment trouver la vérité ?

Elle se trouve dans les règles du jeu, elle n’est pas immanente comme chacun le ressent, mais transcendante puisque découlant des règles que le groupe s’est donné ou se voit imposer. Ou pire, des règles que des croyances irrationnelles lui suggèrent.

Donc, la justice prend sa source dans des règles collectives, mais s’applique à des individus. La voilà prise entre deux antipodes. C’est objectivement insoluble.

On ne peut viser que le moins pire, être le plus modeste possible face au problème. Ce n’est pas l’impression que donne la mise en orbite en fanfare des Etats généraux de la justice et le discours d’ouverture du bien peu modeste Macron.

La France serait mondialement réputée pour les lumières, qui ne sont que des réflexions de bon sens fruit de millénaires de servitude, qui ont inversé le sens naturel de la justice allant du bénéfice du plus fort vers la contrainte du plus faible.

La royauté, prétendant représenter l’Etat, cette fameuse abstraction, a perdu lors des lumières son pouvoir judiciaire au profit de la recherche par les révolutionnaires d’un équilibre individuel qui s’appuyait sur la propriété privée morale et matérielle et sur le principe de la présomption d’innocence. Cette perte royale et cette avancée individuelle se sont faites au prix d’un siècle d’immenses désordres.

Comment la fonction publique, élus et fonctionnaires réunis, qui prétendent aujourd’hui représenter l’Etat cette toujours abstraction, serait-elle en situation de rétablir une justice protégeant l’individu ? Franchement cela n’a aucun sens, est inimaginable.

Mais bon. Faisons comme si, et définissons les points essentiels qui aujourd’hui font défaut à la justice.

La transparence

La justice doit la transparence à la population qu’elle prétend juger. Cela suppose de pouvoir enregistrer et critiquer tout jugement, sans exclure qu’il s’impose quand il est prononcé. C’est ce qui se passe au football ou l’arbitre — juge des règles du jeu absolument identiquement aux juges des tribunaux — est visionné et critiqué, mais ses décisions sont indiscutables. Simplement, la critique en permet une évolution salutaire.

Ce n’est pas trop le discours officiel d’ouverture des Etats généraux de la justice : « Une démocratie, où on laisse la défiance s’installer, la justice être attaquée, est une démocratie qui sape ses propres fondements ».

La transparence suppose la connaissance des règles, la justice ne peut donc pas être captée par des spécialistes. Les règles – le droit – doivent être enseignées dès l’enfance et tout au long de la scolarité. Nul adulte ne doit les ignorer. J’ai eu l’occasion de proposer un service civique de la justice.

Il est donc impératif, de retirer aux avocat le monopole de l’action judiciaire, de rendre la justice directement accessible à tous. Les avocats n’intervenant alors que pour autant qu’ils démontrent à leurs clients leur utilité…

La vérité

Elle est certes inséparable des règles, mais consubstantielle aussi des faits. Ceux qui rendent la justice ne peuvent s’en affranchir. Or, aujourd’hui le mensonge n’est pas sanctionné à la barre des tribunaux, rien n’est fait pour que la vérité des faits soit appréhendée avec rigueur. La recherche de la vérité est pourtant essentielle, aucune justice ne peut s’en passer.

L’égalité

Sur ce point aujourd’hui il n’est que des discours, aucune réalité, au contraire une fiction destructrice a éradiqué l’égalité judiciaire.

Cette fiction c’est l’Etat. C’est-à-dire une caste de personnes prétendant le représenter face à qui la justice perd toute logique, toute mesure. Soit elle vénère et protège cette caste, soit elle la hait et la massacre.

Or, l’Etat n’existant pas, tous ceux qui parlent en son nom devraient être considérés comme parlant au leur et donc responsables personnellement de leurs actions. C’est évident.

Cette égalité judiciaire impose la suppression de tous les tribunaux d’exception, tout particulièrement du plus sinistre et du plus partisan d’entre eux, le Tribunal Administratif.

Que dire de Bercy ?

C’est le comble de l’inégalité judiciaire puisque Bercy pratique encore la lettre de cachet, la condamnation et son exécution édictées directement par sa police, sans passer devant le juge.

Le temps

La justice demande du temps. Encore un point difficile à assimiler. Chacun face aux injustices qu’il ressent voudrait une réponse rapide, une lapidation en quelque sorte.

La justice doit être le contraire de cette émotion et seul le temps permet la mise en perspective qui permettra de rendre la justice.

La responsabilité

Le juge doit être responsable, c’est une évidence tant ses décisions sont graves de conséquences.

Mais responsable devant qui ?  Certainement pas devant les hommes de l’Etat, encore moins devant ses condisciples. Peut-être devant la population, par l’élection ? Ce n’est pas si sûr.

Devant sa conscience, évidemment, mais encore faudrait-il qu’il en ait une…

Conclusions

Ces quelques réflexions n’ont pas la prétention de régler les problèmes que pose l’idée de rendre la justice. Nous ne serons évidemment pas conviés au grand cirque des Etats généraux de la justice. Nous regarderons par le trou de la serrure et nous donnerons notre opinion au jour le jour. Nous avons tant à dire… à vos plumes.

Bien à vous. H. Dumas

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L’humanité a-t-elle un destin ?

C’est la vraie question politique. Désolé, elle n’est pas franchouillarde, elle est universelle, mondiale. Ceux qui, en 2022, vont prétendre au poste de Président du patelin France en passant â côté sont des jean-foutre.

Les écologistes pensent que l’humanité n’a pas de destin, que l’homme est définitivement soumis à la nature, en l’état où il l’a comprend aujourd’hui. En cela ils ne sont pas différents de tous les obscurantistes qui les ont précédés. Porteurs de haine, de mort et de déclin.

En ce qui me concerne je fais le pari que l’homme est supérieur à la nature, que la détermination qui l’anime, de son fait ou de celui d’une énergie inconnue, est plus forte que la terre et ne mourra pas avec elle s’il advenait qu’elle meure.

Évidemment cela change tout.

La perspective politique change de dimension.

Mais, objectivement, est-il une autre façon d’appréhender l’incroyable accélération du progrès ?

Peut-on le ramener au mercantilisme des commerçants, des syndicats, des assistés, des polémistes, des religieux, des chercheurs autoproclamés qui ne trouvent rien, etc… de tous ces égoïstes qui se prennent pour le nombril du monde, alors qu’on chercherait vainement leur apport au destin de l’humanité.

Comment expliquer — autrement qu’en croyant au destin des hommes — le mystère de l’accélération des découvertes, de la projection illimitée de la pensée qui déborde largement l’homo sapiens et tend à autre chose qui nous est inconnue ?

Dans ces conditions quel serait le devoir du prochain président ?

De quelles propositions devrait-il être porteur ?

De la tolérance. Seule la tolérance peut abriter la paix, la liberté et le mérite qui sont les trois facteurs qui permettront l’épanouissement et la mutation de l’homo sapiens en ce qu’il est écrit qu’il soit pour que l’humanité perdure, s’il le faut au delà de la terre.

À ce jour, on ne le tient pas ce candidat.

Bien à vous. H. Dumas

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Lettre ouverte à Irène Frain

Madame, vous êtes une écrivaine connue, que je ne connaissais pas, je vous rencontre pour la première fois en lisant “Un crime sans importance”, qui vous a valu Le Prix Interallié 2020.

Ce livre m’a touché profondément.

Votre sœur, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, a été assassinée dans des conditions de violence et donc de souffrance révoltantes.

Elle a fait partie des dix sept agressions de personnes âgées, dans la même cité, avec les mêmes modes opératoires, toutes massacrées, mais seule votre sœur est morte après plusieurs semaines de coma.

Vous vivez sa souffrance tant vous étiez proches, tant vos sensibilités étaient concordantes, les autres victimes la vivent elles-mêmes, ayant survécu.

Vous constatez :

          – Que cette violence est sociétale. Vous pensez que l’assaillant, un jeune non retrouvé, serait un frustré de la consommation, un désorienté de notre société trop trépidante. Pourquoi pas ?

          – Mais aussi et surtout vous êtes abasourdie par l’indifférence qui entoure ces agressions, le fatalisme qui les accompagne. L’incapacité de la justice à apporter une réponse à tant de violence. Ce que tout le monde sait, ce que tout le monde tait.

En quelque sorte vous arrivez à la conclusion que cette société, qui prétend vous défendre, vous assurer le calme et la prospérité, peut agresser par personne interposée et ensuite vous laisser morte ou souffrante sur le bord de la route, sans émotion, sans compassion, sans état d’âme.

Oui, vous avez raison. C’est bien cela.

Mais êtes-vous capable d’aller plus loin ?

De ressentir que cette société peut aussi porter le mal directement, sans passer par la case sale gosse de banlieue ? Qu’elle peut elle-même tabasser jusqu’à ce que, pour certains la mort s’en suive, pour d’autres les dégâts soient tels qu’après leur disparition ils s’étalent sur plusieurs générations.

Car c’est bien de cela qu’il s’agit lorsque des contrôleurs fiscaux, dans l’indifférence générale, massacrent un contribuable, volontairement et sans justification autre que celles qu’ils inventent pour les besoins de leur forfait.

La souffrance n’est pas différente pour ceux qui survivent, ni pour ceux qui en meurent, juste un peu plus longue dans le temps en règle générale.

Pas facile de comprendre cela, non ?

Et pourtant la justice, la presse, l’opinion publique, sont ici encore plus absentes que pour les personnes âgées agressées.

Oui, cette société n’est pas propre. Nous pouvons en parler si vous le souhaitez.

Car je vous vois, comme nous tous, faire fausse route, vous culpabiliser en pensant que la société, c’est-à-dire vous et moi, déraillent.

Que progrès et consommation seraient nos ennemis.

Détrompez-vous, ce n’est pas le cas. Ce sont simplement quelques hommes, les hommes de l’Etat, avides de pouvoir, débordants de vanité, qui nous entrainent dans ce bal maudit du faire semblant, car c’est en faisant ainsi qu’ils sont élus et jouissent de leur pouvoir, satisfont leur orgueil.

Votre ami a raison : “Ces morts ne peuvent pas rester sans voix”.

Hélas, je n’ai pas votre talent et donc aucune chance d’obtenir Le Prix Interallié.

Bien à vous. H. Dumas

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Grace à eux…

Grace à l’église

Nous sommes assurés, après notre mort, de rejoindre le paradis, lieu de tous les plaisirs où sont bannis tous les soucis. Sous réserve de quelques contraintes.

Les hommes de l’église ayant tout pouvoir pour décider si nous avons rempli ou non les conditions d’accès.

Cela va de notre comportement sociétal à notre vie individuelle, et les chausse-trapes ne manquent pas. Mais les hommes de l’église sont là pour nous remettre dans le droit chemin, nous conseiller, voire nous contraindre pour notre bien.

Jusque-là, pas de problème.

Mais qu’en est-il d’eux-mêmes. Qui leur montre le chemin ?

Dieu lui-même. Ils ont la foi qui les tient sur la bonne route.

Mais soudain il apparait que leur comportement ne serait pas exemplaire. Passons sur les abus de la bonne chère, du laxisme professionnel, de l’hypocrisie, etc… reste le problème crucial, l’étendard imparable : la chasteté.

Le fiasco est monumental, il s’étale sur deux mille ans et sur toute la planète !!!

Voyons voir ça.

Il y a deux hypothèses :

          – L’homme de l’église est un croyant

Alors, lorsqu’il faiblit, il se confesse. Lui et son confesseur partagent alors le secret de la déviance. Pour finir, avec le temps, l’ensemble des hommes de l’église partagent ce secret. Ils sont liés par ce secret. Il devient leur lien initiatique, privilégié. Quel vertige…

          – L’homme de l’église n’est pas un croyant

Il n’a alors aucune raison de se confesser. La croyance devient alors pour lui un simple outil de pouvoir. Il se fout comme d’une guigne de votre avenir post mortem, ainsi que de votre vie ici-bas.

Je vous laisse choisir l’hypothèse qui vous convient face au scandale de la pédo-criminalité ecclésiastique. Vous pouvez aussi la relativiser… c’est vous qui voyez.

Grace à l’Etat

Nous sommes protégés. Nous sommes tous égaux en revenus et en droits. Que ce soit pour notre santé, notre travail, nos loisirs, etc…

Les hommes de l’Etat ont tout pouvoir pour qu’il en soit ainsi.

Ils disposent de la loi qu’ils fabriquent à volonté et des outils qui l’imposent, justice et forces armées. Pendant qu’ils ont décidé de nous désarmer.

Ils se chargent de notre bonheur ici-bas. A charge par nous d’obéir aveuglément à leurs ordres, toujours donnés dans notre intérêt.

A la différence des hommes de l’église, ils ne sont pas soumis à l’Etat puisque ce sont eux l’Etat. L’Etat ne leur parle pas, ne s’adresse pas à leur conscience, ils s’en chargent eux-mêmes.

En réalité, ils n’ont pas d’autres règles que celles qu’ils se donnent eux-mêmes.

Sont-ils liés par celles qu’ils nous imposent pour atteindre l’objectif qu’ils nous promettent ? Ils disent que oui.

Mais dans le cas où ils n’atteignent pas cet objectif ?

D’abord, qui le sait ? Personne, puisque c’est cette finalité qui justifie leur présence, tant qu’ils sont là c’est que tout le monde pense qu’ils réussissent, que donc nous sommes protégés et égaux.

Il n’y a pratiquement qu’eux qui savent que non seulement l’objectif n’est pas atteint, mais qu’ils sont incapables de l’atteindre.

Alors ils en parlent entre eux. C’est un peu comme confesse, le fait qu’ils en parlent les rend complices.

A partir de là, ils n’ont objectivement aucune raison de s’appliquer des lois qu’ils savent inutiles, qui sont juste là pour leur assurer le pouvoir. Attitude qu’il leur suffit de partager avec ceux qui l’ont compris et sont d’accord pour ne rien dire.

Et voilà… c’est simple, non ?

Vous vous sentez-mieux ou moins bien ? Possiblement libres ?

Bien à vous. H. Dumas

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Chaine d’incompétence ou vice absolu, l’exemple rochelais.

Drapés dans leur fausse dignité nos fonctionnaires égalitaristes ne valent pas mieux que nos curés catholiques anciens donneurs de leçons sexuelles.

Au mépris de notre constitution — fille de l’expérience de soumission millénaire qui a abouti aux lumières, qui a généré l’essentiel de l’humanité, de son progrès par la liberté et la propriété privée — nos fonctionnaires égalitaristes ont inventé la suppression du droit de propriété des autres.

Oui, parce qu’il ne s’agit plus, comme cela a pu être le cas dans le passé communiste, d’éradiquer la propriété individuelle au profit de l’Etat propriétaire de tout.

Non, il s’agit juste de déposséder les autres, ceux dont il est convenable de penser que ce qu’ils possèdent n’est pas légitime, puis de se répartir entre-soi les fruits de cette dépossession, de ce vol.

Car, entendons-nous bien, la propriété est incontournable, qu’elle soit dévolue nommément à celui qui possède, ou à celui qui occupe, ou à l’Etat – abstraction visant le groupe constitué, par la force, au service des “hommes de l’Etat” –, elle est.

Rien n’est vacant, là, sur le bord de la route, qu’il suffirait de ramasser pour en jouir. Même les gorilles, qui vivent encore de la cueillette, considèrent que les lieux de leurs cueillettes sont à eux et en interdisent l’accès aux autres, sauf aux plus forts évidemment.

La Rochelle, ses élus, ses juges, son administration donnent une leçon pratique remarquable de la suppression de la propriété des autres au profit des initiés.

On va constater les étapes clefs de la combine :

          – fabrication de la loi dolosive

          – dévalorisation de la victime

          – Intervention du juge en protection du pillard.

-1- Fabrication de la loi dolosive

Profitant de cette impression populaire que la loi serait, plus ou moins, d’expression divine, donc absolue et nécessairement bonne, applicable sans discussion, les 80 conseillers communautaires de La Rochelle ont débattu puis voté un document de plusieurs milliers de pages : le PLUI (Plan Local d’Urbanisme Intercommunal).

Ce document est la loi qui s’impose aux propriétaires rochelais. Le principe étant que ceux-ci, s’ils disposaient librement de leurs biens, feraient montre de cupidité, d’irresponsabilité, de sabotage de l’environnement, autant de défauts que les 80 poilus votants n’ont évidemment pas, proches qu’ils sont de Dieu signataire de toutes les lois.

Sauf que, malheureusement pour eux, le dimanche de l’onction élective qui les a mis en place ne les a pas transformés en urbanistes, qu’ils ont dû avouer publiquement avoir voté ce PLUI sans rien n’y comprendre.

Cependant, tout ignares qu’ils sont en urbanisme, ils ont compris une chose, somme toute assez simple, quand ils classent un terrain en zone agricole, ils peuvent ensuite se l’approprier par le jeu des expropriations ou préemptions, pour trois fois rien.

En clair, ils peuvent voler impunément les propriétaires. Ce que j’explique dans un document pour lequel ils m’ont poursuivi pour diffamation. L’affaire suit son cours, parallèlement le vol dénoncé aussi.

-2- Dévalorisation de la victime

Ces législateurs improvisés — en réalité bandits de grands chemins – ont, astucieusement pensent-ils, classé en zone “inconstructible maintenant mais constructible bientôt, plus tard” une zone de vingt hectares, particulièrement convoitée et nécessaire au développement de la ville.

Evidemment ces terrains trouvent preneurs, à leur prix, et tout aussi évidemment nos urbanistes-voleurs se pointent.

Ils préemptent et, là, la situation devient cocasse. Perdreaux de l’année, puisqu’élus l’an dernier, ils vont accumuler les niaiseries.

Ne sont-ils pas la loi ?

Ils votent donc des résolutions donnant pouvoir à un organisme — filiale dissimulée de Bercy, receleur attitré de ce type de vol : l’EPFNA (Etablissement Public Foncier Nouvelle Aquitaine), dont le personnel est peu regardant et convaincu du bienfondé de sa mission dolosive — de préempter les terrains.

Dans ces résolutions ils prétendent construire immédiatement 700 logements, sans se soucier du fait que, quelques mois plus tôt, ils ont eux-mêmes voté l’inconstructibilité du site !!! Ils sont effectivement la loi….

Oui mais, ils se déclarent remparts contre la spéculation, contre les malfaçons, contre la cupidité, contre l’architecture bâclée, contre l’affairisme, pour justifier leur activisme législatif désordonné. Ils accusent tous les autres opérateurs de la construction de tous ces maux dont ils protègent, eux les élus éclairés lors d’un dimanche miraculeux.

Et, chose exceptionnelle, leur vote unanime (80 gus), leur ouvre immédiatement la constructibilité du site, mais laisse les terrains inconstructibles pour les vendeurs. N’est-ce pas aussi miraculeux ?

La délation a du bon. Bénéfice 17 M€. A partager entre eux. Opérateurs où acquéreurs, car la spéculation qu’ils dénoncent tient exclusivement à la pénurie, elle-même exclusivement liée à leurs lois… donc, les appartements finis rejoindront le prix du marché en retournant à la libre propriété, oui mais la bonne, la leur.

-3- Intervention du juge, protection du pillard.

Deux juges vont intervenir : un vrai et un hologramme.

Le vrai s’appelle le Commissaire du Gouvernement, nous l’appellerons CG. C’est un émissaire de Bercy. Il ne va pas faire dans le détail.

Les résolutions votées ? Il en connait l’insignifiance, il s’en fout. Dans une dizaine de pages dévalorisant les terrains il n’en dira pas un mot, il a bien peu de respect pour les 80 zombies.

Donc, sourd et aveugle au projet immobilier de 700 logements voté par les élus de la CDA de La Rochelle pour justifier la préemption, le CG ne voit toujours que du terrain agricole.

Trop fort le CG. Trop fort Bercy. Trop forts les voleurs du droit de propriété des autres.

L’hologramme. Elle s’appelle, c’est une femme, la Juge de l’Expropriation. Tout un programme quand on se rappelle qu’il ne s’agit pas d’une expropriation pour cause d’utilité publique, mais d’une transaction immobilière libre… Vue par ceux qui se donnent le droit, voire le devoir, de voler la propriété des autres.

Voilà donc l’histoire ordinaire, qui se répète à longueur de journées, partout en France, initiée par les tenants de notre société dont la devise est : la suppression de la propriété des autres au profit de soi.

J’attends avec gourmandise la suite de cette affaire et mes condamnations au titre de lanceur d’alerte. Pour fausse alerte ? A vous de voir….

Bien à vous. H. Dumas

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Que se passe-t-il dans la tête des magistrats ?

Si vous avez un peu de temps devant vous, prenez la peine de lire l’arrêt rendu par La Cour d’Appel de Poitiers, accessible avec ce LIEN.

Il faut reconnaître que c’est du boulot cet arrêt.

Les magistrats Franco, Brieu et Chiron ont passé beaucoup de temps à s’imprégner du dossier pour le pondre. Peut-être plusieurs jours.

Et pourtant.

Je signale en rouge dans la marge, les trois mensonges qui anéantissent tout le raisonnement. Ces trois mensonges collent depuis vingt ans, depuis le début, à cette affaire, ruinent ma société, dans l’indifférence des magistrats qui se succèdent et la joie des pisse-vinaigre obsédés par l’argent des autres.

Le premier mensonge

C’est très simple, dès la fin de la construction de ce programme, village de 92 maisons dans l’île de Ré, il a été exploité intégralement en hôtel.

De ce fait, il a été soumis à la TVA, puisque c’est la destination de l’immeuble qui décide du régime de TVA, indépendamment de la nature du propriétaire.

Qui plus est, la livraison à soi-même est tacite dès la mise à disposition des constructions. Donc la société de construction, la SCI Les Hauts de Cocraud, était en droit de récupérer la TVA de la livraison à soi-même, dès l’ouverture de l’hôtel.

Tous les propriétaires de cette copropriété hôtelière ont effectivement récupéré leur TVA, sauf la SCI !!!

Les magistrats transforment la vérité dans leur arrêt en déclarant : ” …la gestion des 13 lots vendus ayant été confiée à une société en participation (à laquelle elle ne participait pas) … la société civile immobilière les Hauts de Cocraud a ensuite mis à la disposition de la société Maeva…”, ainsi ils couvrent le fisc qui refuse la récupération de TVA à la SCI.

De façon très perverse le mensonge initial est donc pris en compte par les magistrats qui laissent supposer que les lots de la SCI n’auraient pas été, dès leur livraison, utilisés à usage hôtelier. Ce qui est totalement faux.

Le deuxième mensonge

Les magistrats prennent pour argent comptant le procès-verbal d’opposition à contrôle fiscal de l’agent Martino, que ce dernier a produit deux ans après le contrôle, qui ne rime à rien, qui est un acte de folie ne correspondant pas aux faits, que la justice a toujours couvert. Ce faisant ils crédibilisent le résultat délirant d’un contrôle fiscal ou les droits de la SCI ont été bafoués.

Nous sommes face à un cas typique d’abus de droit fiscal, réprimé par l’association de l’article 432-1 du Code Pénal et de l’article L-64 du Livre des Procédures Fiscales.

L’article L-64 qui dit : “Afin d’en restituer le véritable caractère, l’administration est en droit d’écarter, comme ne lui étant pas opposables, les actes constitutifs d’un abus de droit, soit que ces actes ont un caractère fictif, soit que, recherchant le bénéfice d’une application littérale des textes ou de décisions à l’encontre des objectifs poursuivis par leurs auteurs, ils n’ont pu être inspirés par aucun autre motif que celui d’éluder ou d’atténuer les charges fiscales que l’intéressé, si ces actes n’avaient pas été passés ou réalisés, aurait normalement supportées eu égard à sa situation ou à ses activités réelles.”

L’abus de droit fiscal consiste à interpréter de façon fictive ou anormalement bénéfique la loi fiscale par rapport à la réalité factuelle, cela s’appelle aussi l’optimisation fiscale.

Le fait que le législateur ait pris pour hypothèse une faute à sens unique, exclusivement vue du côté du contribuable, n’implique pas que la même faute dans l’autre sens, commise par l’administration fiscale, fasse cesser le délit.

Ici nous sommes dans le cas où c’est le fisc qui pratique ce qu’il reproche au contribuable, c’est-à-dire la transformation de la réalité factuelle par des artifices pour inventer une situation fiscale fictive à son avantage.

Les magistrats dans leur arrêt couvrent ce délit. C’est grave.

Le troisième mensonge

Les magistrats prétendent que tout a été jugé, qu’ils n’ont pas la compétence pour juger autrement que ce qu’ont jugé, en complicité, le fisc et les Tribunaux Administratifs.

C’est faux. Le juge de l’exécution, et c’est légitime, a tous les droits pour juger d’une créance, quelle qu’elle soit.

C’est pour cela que nos magistrats se sont tant appliqués à pondre un arrêt si touffu, si hermétique, même pour eux sans-doute.

Alors, que se passe-t-il dans la tête des magistrats ?

C’est une question que je me pose depuis longtemps.

Nous ne pouvons pas vivre sans l’organisation judiciaire qui est l’arbitre de notre vie sociale, ce match incontournable qui nous engloutit, auquel nous ne pouvons pas échapper. Voir mon billet : https://temoignagefiscal.com/la-societe-ideale/, qui prouve à quel point je respecte la justice, je la crois essentielle.

Je conviens que juger est difficile, ceux qui s’engagent dans cette voie ne se facilitent pas la vie. Mais quand même, comment peut-on arriver à un tel dysfonctionnement de l’administration judiciaire, que tous les Français ressentent puisqu’ils n’ont majoritairement plus confiance en leur justice ?

La pression, le manque de sérénité

C’est une hypothèse. Il est clair que l’administration judiciaire ne possède pas les moyens matériels pour répondre à ce que la population attend d’elle.

Au football, les moyens de l’arbitre ont été, au fil du temps, largement améliorés. Ce n’est pas le cas pour le sport de la vie.

Les limites intellectuelles

C’est inévitable. Rendre la justice est la chose la plus difficile qui soit. Du bandeau de Thémis à Saint Louis, les hommes s’efforcent de symboliser que c’est possible, mais aussi que c’est exceptionnel. Comment accepter l’idée que nos 9000 magistrats puissent être tous des génies du niveau des espoirs mis en eux ?

Il est plus probable qu’ils soient majoritairement des gens ordinaires au service d’une cause extraordinaire. Problème…

L’égalitarisme  

Nous touchons là le fond du problème qu’est le disfonctionnement profond de notre organisation de la jurisprudence.

Chaque jugement doit être conforme à ce qui a été déjà jugé sur le problème posé. Ce n’est pas égalitaire, c’est juste ridicule.

De ce fait l’évolution de la justice est à la ramasse, les juges ne jugent plus, ils recherchent comment le problème qui leur est posé a déjà été jugé.

Or aucune cause n’est identique, donc le résultat de cette méthode ne peut qu’échouer, à minima partiellement.

En réalité, il s’agit ici d’un manque de confiance du pouvoir envers les juges, qui ainsi les cantonne à être de simples applicateurs du passé ou du pouvoir.

En contrepartie leur impunité est garantie, ils n’ont de compte à rendre à personne, et surtout pas à la population, alors pourtant qu’ils sont à son service. Le fait qu’ils ne soient pas élus est très grave. Que leur liberté de juger soit ainsi canalisée dévalorise leur activité.

Le corporatisme

Cette quête de jurisprudence, avec l’accumulation des lois et des jugements, est devenue démentielle. Les juges craignent les avocats qui ont des armées de collaborateurs pour dégoter la jurisprudence qui mettra le juge échec et mat. Aussi les deux pactisent, ce qui est malsain.

Le justiciable est directement éjecté du processus, ce qui est un comble.

La déviance intellectuelle

Le plaisir de condamner, de faire du mal à ceux que les magistrats estiment hors de la vraie croyance, celle à laquelle eux-mêmes croient. L’inquisition de type religieux. Le sadisme, voire la vengeance personnelle. Ou encore l’appartenance et sa connivence initiatique avec ses pairs.

Cela existe évidemment, mais je ne le ressens pas comme majoritaire.

Conclusion

Le plafond intellectuel des juges, seraient-ils tous des génies, est au taquet, voir pire. Cela les rend au mieux craintifs, au pire indifférents, fatalistes.

Tout est à refondre, la situation est pire qu’elle ne l’était lorsqu’en 1789 la DDHC a posé les règles simples du droit pour les hommes à être jugé équitablement. Nous en sommes si loin.

Et chaque jour nous nous en éloignons un peu plus. J’aurais sans doute d’autres jugements ou arrêts à vous faire partager qui couvriront les escroqueries des hommes du pouvoir, leurs délires, leur soif de nous soumettre… pour notre bien, cela va de soi.

Bien à vous. H. Dumas

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Les Tribunaux Administratifs : la “darkjustice” et la “deepjustice” réunies.

La France est une dictature administrative. Peut-être la plus sophistiquée du monde.

Les deux piliers de cette dictature sont Les Tribunaux Administratifs et Bercy. Ils sont l’épicentre de la dictature, c’est là que sont organisés la surveillance de la population, sa terreur, son harcèlement, sa torture morale et financière, qui vont soumettre cette population.

Certains se croient en démocratie et pensent avoir la liberté de désigner tel ou tel dirigeant de leur choix. Rien n’est plus faux. Tout élu fait dès son élection allégeance à l’administration, qui a complexifié l’organisation sociale au point d’être la seule à pouvoir y prendre des décisions, sans quoi il est détruit.

Pour arriver à ce but l’administration se prétend protectrice et juste, et désigne la liberté comme le comble de l’injustice, la comparant à la jungle.

Il est remarquable de constater que, n’osant réclamer la liberté, une partie de la population étouffée réclame la nature, donc la jungle. Il s’agit là d’une forme sociale intéressante du syndrome de Stockholm qui touche tous les otages, ici ceux de la dictature administrative.

Les Tribunaux Administratifs sont une spécialité française.

Ils sont totalement dépendants de l’administration et chargés de donner une apparence de justice —  présente uniquement dans leur appellation — aux diktats administratifs.

Leur fonction principale est de couvrir les excès administratifs, mais aussi les cafouillages de l’administration liés à l’hypercomplexité qu’elle a créée pour s’assurer le pouvoir absolu et dans laquelle elle-même se prend régulièrement les pieds.

Les magistrats qui composent ces tribunaux sont généralement semblables à tous les magistrats de toutes les justices dictatoriales du monde : secrets, insensibles à la vérité, fanatiques, hermétiques à la compassion, à l’idée même de justice, enfermés dans un carcan auquel ils font mine de croire, lâches, hypocrites, et corporatistes.

Y a-t-il des exceptions ? Peut-être… n’hésitez pas à nous le faire savoir, nous publierons…

Comme il ne faut jamais affirmer sans preuve, en voici une.

Harcelé par Bercy pour une somme indue d’un million d’Euros, ce harcèlement prenant des proportions mortifères, je décidai le 4 mars 2021 de déposer une requête raisonnable devant le Tribunal Administratif de Poitiers, dans laquelle je demandais simplement que mon conflit avec Bercy soit analysé par un expert, le lien.

Pour être sûr d’être bien compris, le 11 mars je déposais une requête en médiation, telle que la loi en donne la possibilité, le lien.

Eh bien, figurez-vous que le 30 septembre 2021, le Tribunal Administratif de Poitiers a pris une ordonnance de rejet au motif que je n’étais pas assez clair dans ma demande, le lien.

J’ai fait appel, le lien.

Ces gens, les magistrats des TA, savent parfaitement que le fisc me rackette sans motif autre que la vengeance de l’inspectrice Jourdes, dont Bercy a couvert les faux que cette personne a établis pour taxer indument la succession de ma mère.

Cela ne les gêne pas….

C’est émouvant, non ?

Nous ne sortirons jamais de cette dictature. Si vous êtes jeune, compétant et en bonne santé : fuyez.

Bien à vous. H. Dumas

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Quand les informations rejoignent enfin ce que nous disons depuis si longtemps

D’abord RAOULT

Voilà un homme pour qui j’ai de l’estime, je peux même dire que je l’adore quand il tombe directement dans la boue qui est ma vie de tous les jours. Je trouve formidable sa stupéfaction.

Vivant dans le milieu du pouvoir administratif, carrément en haut, il ne pouvait pas percevoir que la haine de l’administration pour les assujettis qui voudraient se croire libres est abyssale, illimitée.

Le voilà qui froisse son administration, il pense en avoir le droit. Catastrophe, il apprend sur le tas que ce n’est pas possible.

Il subit la haine de cette administration, il prend conscience qu’elle a des zélotes, il est le proscrit du nouveau siècle, le bouc émissaire, alors qu’il se pensait libre…

Il va jusqu’à dire qu’il faudrait que la justice… et patati et patata… il lui reste encore à découvrir que la justice n’est pas de son côté, mais du côte de ceux qui ont toujours été ses ennemis, justes discrets tant qu’il n’a pas fait mine d’être libre.

Puis l’Eglise

Le journal Le Monde titre : Il y a eu « entre 2 900 et 3 200 pédocriminels » dans l’Eglise catholique en France depuis 1950, selon le président de la commission d’enquête, Jean-Marc Sauvé.”

Et pourtant ce sont les prêtres qui régissaient notre sexualité lorsque j’étais enfant. Qui nous obligeaient à nous confesser de nos petits plaisirs naturels.

Je pense que les chiffres du Monde ne sont pas à la hauteur du problème, il en manque…beaucoup.

Conclusion

Ces problèmes sont directement liés au pouvoir, aux attitudes liberticides liées qui permettent aux censeurs, aux donneurs de leçons, de maintenir la population dans la servitude.

Ici, nous combattons cela, Bercy est le fer de lance, le bataillon avancé, de tout ces esclavagistes.

Il faudra bien les pendre, ils ne se remettront jamais en question, car il ne faut pas perdre de vue que harceler, torturer, soumettre, ils aiment ça, ils n’aiment que ça.

Tout le reste de leurs discours, l’égalité, la protection de la planète, etc… n’est que l’excuse qui leur permet d’assouvir leur passion de pouvoir, leur satisfaction de contraindre, de faire du mal.

Bien à vous. H. Dumas

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Le pouvoir délégué

Hier matin, je pars de l’île de Ré où j’ai des activités professionnelles, pour rejoindre Sète où j’habite.

Il est un peu plus de huit heures, le soleil se lève.

Il se lève dans l’axe de ma route, légèrement sur la gauche et juste à la hauteur de mon tableau de bord, je l’ai en plein dans les yeux les pare-soleils sont inefficaces.

Je n’ai aucune visibilité, je roule au pas. J’ai l’impression d’une présence entre le soleil et moi, je m’arrête. Et là, quasiment sur mon capot, surgit un flic municipal qui s’est mis sur la chaussée pour protéger de tout-petits enfants qui traversent pour aller à l’école.

Dans le doute je m’étais arrêté, donc pas de problème.

Je baisse ma vitre et dis au flic : “On ne vous voit pas dans le soleil, c’est dangereux”.

Je voulais juste lui communiquer une information à partir de laquelle il pouvait déduire qu’il eut été plus judicieux pour lui d’opérer du côté droit de la chaussée pour être visible, plutôt que du côté gauche dans l’axe du soleil.

Cet abruti me répond : “Vous n’avez qu’à rouler doucement.”

Où est le rapport ? Je roulais au pas, il l’a constaté évidemment…. Mais là n’est pas la question. La question le dépasse, aveuglé qu’il est par son pouvoir délégué.

La priorité ou le pouvoir ne sont pas faits pour ouvrir la faculté de se faire écraser — ou de faire écraser des enfants — dans son droit… l’a-t-il compris ?…

Quand le flic de service n’a pas les facultés intellectuelles nécessaires – objectivement modestes – pour analyser la situation à partir des contraintes qui la définissent, qu’il ne peut qu’extérioriser le pouvoir qu’il lui a été délégué, jusqu’à l’absurdité, la civilisation capote.

Lorsqu’Hitler, qui n’était pas la finesse personnifiée — mais pas plus que beaucoup aujourd’hui — intoxiqué par la science du racisme, vaniteux de ses exploits dans les tranchées de 14/18, lance ses réflexions imbéciles en 1924 dans son ouvrage puéril, il n’est pas dangereux sur l’instant.

C’est lorsqu’il donnera les pleins pouvoirs à une administration vérolée que la situation va lui échapper, que le pire va voir le jour, mais lui, d’accord ou pas d’accord, n’aura plus la main sur rien.

Donc le trouble social devient immaitrisable, ne connait plus de limite, quand c’est la faiblesse intellectuelle du pouvoir délégué qui le génère.

Tout découle donc de la capacité à organiser une chaine de délégation du pouvoir tout en gardant jusqu’à son niveau ultime une parcelle d’intelligence suffisante pour que celle-ci prime lors de l’exercice du pouvoir délégué.

Ce n’est pas une mince affaire.

En fait c’est le flic con, l’inspecteur des impôts con, le juge con, le fonctionnaire con, détenteurs du pouvoir délégué qui sont les vecteurs de la rupture sociale, de l’effondrement des sociétés, personne d’autre.

Ce n’est ni l’économie, ni l’écologie, ni les religions, sous réservent qu’elles n’accaparent pas le pouvoir, qui sont un danger sociétal. En cela tous les apprentis candidats aux différentes élections n’apportent jamais de réponse, ils ne se posent même pas la question, tant pour eux devenir les esclaves des tenants du pouvoir qu’ils délèguent leur parait naturel.

Aujourd’hui en France les pouvoirs délégués sont désespérants de médiocrité intellectuelle, d’humanité, c’est irréversible.

La solution passe par l’éradication des pouvoirs délégués, donc par une période de bazar inévitable, d’où, il faut l’espérer, sortira une nouvelle chaine de pouvoir dans laquelle l’intelligence sera présente en quantité inverse de la modestie du nouveau pouvoir.

Plus le pouvoir est modeste, plus il doit être intelligent, plus il est fort plus il peut se permettre d’être con.

Ceux qui souhaitent un pouvoir fort devraient réfléchir à ce théorème.

Il y a donc urgence à enlever tout pouvoir aux fonctionnaires, puis à réfléchir à une chaine de pouvoir délégué fragile mais géniale, et hop, la France est sauvée.

Qui propose cela déjà ?

Ah, oui, je vois….

Bien à vous. H. Dumas

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La justice alliée objective du pillage

Le pillage, le pillage sans cesse renouvelé…

Je suis aujourd’hui convaincu que Freud a fait fausse route, le moteur de l’humanité n’est pas la sexualité mais le pillage.

Bien avant d’être sexué le petit enfant déjà est prêt à piller pour ses besoins ou son plaisir personnel. Et sa sexualité, justement, sera marquée par cette caractéristique. Ici aussi le premier réflexe sera de piller l’objet de son désir.

La civilisation serait peut-être l’outil de la maitrise de cette pulsion viscérale du pillage, nous en sommes loin.

Comment fonctionne le pillage ?

“Le pillage est un acte de banditisme de masse qui tient de la destruction et du vol massif, souvent accompagné de viols”, dit Wikipédia.

Ses moyens primaires sont l’épée et le fusil, la violence pure et dure, mais ils exposent à la vengeance immédiate, ils sont donc éphémères. Laissons cela.

Pour les sociétés plus avancées le principe est assez simple :

          – Un motif, scientifique ou moral

          – Des victimes potentielles visées par le motif, de ce fait dévalorisées aux yeux du groupe pillard ainsi déculpabilisé.

Exemple de motif scientifique

Pendant un siècle, de la moitié du 19ème à la moitié du 20ème, les scientifiques furent majoritairement persuadés de l’existence de races humaines distinctes, certaines plus avancées ou supérieures aux autres. Ils rationalisèrent le racisme latent des groupes primaires.

Ainsi la colonisation, initialement issue de la seule force, devenait acceptable puisque se transformant en apport de civilisation. Alors qu’en réalité, le fond de l’affaire se résumait au pillage des colonisés, nous le savons aujourd’hui.

Quand la démocratie a fini par s’emparer majoritairement de ce scientisme primaire, ce fut la guerre mondiale et ses 50 millions de morts.

Exemple de motif moral

Lorsque Clovis est sacré à Reims, il pose les bases d’une association morale avec l’église qui va piller la France pendant 14 siècles au nom de l’amour du prochain.

Cela débouchera sur la révolution de 1789.

Aujourd’hui

Le pillage prend sa source dans la morale : intérêt collectif et égalitarisme ; mais aussi dans la science : écologie et Big Data.

Nous avons perdu de vue la solution — pourtant réfléchie pendant 14 siècles — mise en œuvre par les élites de la révolution issues de l’époque des lumières.

Elle est entièrement contenue dans l’article 2 de la DDHC : “Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.”

Contre le pillage, la solution est donc la liberté, la propriété, la sûreté c’est à dire la justice et le droit de résister à l’oppression encore la justice.

Notre liberté est actuellement entravée par l’Etat, ses politiques et son administration qui à travers leur avalanche de lois et leurs délirantes impositions nous soumettent sans limite.

Notre propriété matérielle ou intellectuelle est attaquée de tout côté, dévalorisée, atrophiée.

Quant à la justice, comme d’habitude elle n’est pas du côté de ceux qui résistent à l’oppression, mais du côté du pouvoir qui nous pille.

Elle est même indispensable au pillage qu’elle couvre en le justifiant.

Mon expérience du jour, le 23/09/2021.

Parce qu’acteurs d’une escroquerie, actuellement de 17 M€, au détriment de multiples propriétaires à La Rochelle, j’ai fait citer pour ce délit le maire de La Rochelle et ses comparses.

L’affaire venait pour plaidoirie, hier jeudi 23 septembre, devant le Tribunal correctionnel de La Rochelle.

Le cabinet SEBAN, fleuron des avocats parisiens, a obtenu la nullité de la citation, je vous laisse découvrir avec ce LIEN la combine.

Je ne suis pas sûr que cette demande en nullité ait été formulée à temps, il me semble qu’elle aurait dû être présentée avant l’audience de consignation, c’est en tout cas la position du Tribunal de police de La Rochelle, mais là nous sommes devant le Tribunal correctionnel, alors….

Quoiqu’il en soit, ces faits de pillage sont énormes, avérés. Vous les connaissez, j’ai en son temps publié la citation, pièce de procédure publique, elle est toujours sur le blog.

Il est clair que dans un monde conforme à la DDHC, le Procureur de La République se devait de reprendre à son compte les accusations claires découlant des faits avérés et se ranger aux côtés de ma citation, lui donnant alors toute sa force.

Non seulement cela n’a pas été, mais le Procureur de La République a adhéré à la version les prévenus et m’a directement pris à partie, sous-entendant que je suis un emmerdeur nuisible, incompétent, inconséquent….

Finalement

Je tente de toutes mes forces, au prix de conséquences dramatiques, de me mettre en travers du pillage généralisé de notre société, sur les points que je connais parfaitement qui sont le vol par détournement de finalité des lois sur l’urbanisme et la terreur fiscale à travers les contrôles fiscaux.

C’est une dépense d’énergie inutile, mais que faire ? Participer à la connivence qui permet ce pillage ?

Oui mais la fin inéluctable sera la misère, type Liban. Pour tenter de l’éviter, cela vaut bien un combat.

Bien à vous. H. Dumas

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Douce France

Serons-nous dans la compétition engagée entre le monde libre et le monde sous croyance — communiste, écologique, musulmane ou autres — du côté du second, en compagnie des allemands, des Russes et des Chinois, ou du côté des premiers, en compagnie des anglais, des Australiens, des Américains, probablement des Japonais et d’une partie importante de l’Asie ?

C’est la première question que pose l’affaire des sous-marins Australiens.

La deuxième question est de savoir si la chamaillerie entre ces deux mondes restera diplomatique et intellectuelle ou si malheureusement elle débouchera sur la prochaine guerre mondiale ?

Évidemment je n’ai pas de réponse à ces deux question. Comment le pourrais-je ?

Par contre, puisque l’on me prend à témoin, j’ai un ressenti.

D’abord, je trouve insupportables ces annonces politiques de “contrat du siècle” lorsque l’on signe un partenariat industriel et commercial. Elles donnent l’impression que le client du contrat est le pigeon que l’on vient de plumer. Impression injuste et évidemment fausse, nul à ce niveau ne signant un contrat non équilibré. Pourquoi alors laisser penser à la population que l’on a bien eu les Australiens ? Parce que c’était le cas ? On peut le croire avec ce type d’annonce factice.

Objectivement, vus les enjeux, choisir entre des sous-marins ordinaires fournis par un pays en faillite morale et financière et des sous-marins de catégorie supérieure fournis par un pays qui fonctionne normalement ne me paraît pas scandaleux.

Dans ces conditions, faire tout un ramdam pour le fournisseur tapageur — que s’avère être la France ici — au moment de la rupture du contrat me paraît être la signature de l’absence de sincérité de celui-ci.

Normalement, l’industriel sûr de son produit a de la compassion pour le client qui passe à côté de ses propositions et non cette espèce de hargne mesquine qui nous est donnée à voir. Qui plus est, l’industriel trahi peut motiver, si nécessaire ,les raisons de sa compassion, c’est ce que nous attendons ici.

En revanche, que les dédits prévus, ou légitimement dus, soient exigés de celui qui casse le contrat qu’il avait signé — s’il l’a signé — rien de plus normal.

Enfin, je ne vois pas l’intérêt de prendre la population à témoin lors de ce genre de contrat industriel. Quel serait son rôle dans l’esprit de ceux qui l’impliquent ? D’aller défendre ce contrat, casquée et armée, dans des tranchées face aux Anglais ?

Très peu pour moi.

Bien à vous.

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De qui Macron se moque-t-il ?

Si nous avions encore des doutes, ils sont levés.

Le jeune Macron est bien un jeunot qui ne connait rien de la vie. Gardons lui encore l’hypothèse de l’incompétence et de la bonne volonté, car s’il s’agissait de cynisme ce serait horrible parce que synonyme de violences assurées à court terme.

Il vient de se pencher, probablement par avidité électorale, sur le sort des trois millions de travailleurs indépendants qui font, seuls contre tous, marcher la France.

Il leur propose :

De protéger leur patrimoine personnel.

De qui ? Du fisc, qui en gros est leur principal prédateur ? Donc de lui-même ?

Il ne s’étend pas sur le sujet.

          – De rendre l’assurance complémentaire obligatoire.

Il s’étonne que seul 45.000 couillons y adhèrent sur trois millions. Alors il promet une remise en échange de l’obligation de s’assurer à sa boutique. Il ne parle pas de libérer le secteur des assurances maladies.

          – De leur offrir le chômage et une bonne retraite.

En ce qui me concerne pour la retraite, après 40 ans de cotisation c’est 450€ par mois, saisis par le fisc. Pour le chômage pour cause de manque de revenu, il va être surpris tant vont y avoir droit. Il va vite être obligé de faire semblant… ses poches sont vides.

          – De leur donner des formations.

Il n’a jamais vu un travailleur indépendant. La grande différence entre un travailleur indépendant et un fonctionnaire c’est justement… qu’il travaille. Et qu’il vit de la vente de son travail. Dans ces conditions il est obligé d’évoluer chaque jour qui passe. Le travailleur indépendant s’auto-forme constamment.

Alors là, Macron au chevet des travailleurs indépendant c’est l’aveugle qui veut faire traverser la route au borgne.

N’a-t-il pas compris que les travailleurs indépendants ne lui demandent rien, n’attendent rien de lui, au contraire le font vivre ?

Inutile qu’il la fasse parrain mafieux qui protège, ça ne va pas passer.

Ce que veulent les travailleurs indépendants c’est que cesse le racket fiscal qui les tue, que cesse le poids d’une administration débile qui les étouffe.

Les travailleurs indépendants veulent être libres, c’est pour cela qu’ils sont indépendants.

C’est ce que leur a promis la révolution, c’est ce que leur promet la constitution, c’est ce que Macron et ses amis leur volent  : la liberté.

Ils ne font pas l’aumône, ils n’ont pas besoin du fric que Macron n’a pas, qu’il leur promet et qu’il ne donnera pas, où alors en le prenant au préalable dans leur poche, ce qui est un comble.

Jeune Macron, foutez-nous la paix. Allez jouer dans votre beau jardin de l’Elysée tant qu’il y a un peu de soleil. Vous n’êtes pas obligé de vous mêler de la vie de ceux qui ne vous demandent rien, qui ont juste besoin de la liberté qu’on leur rogne chaque jour un peu plus, y compris vous et vos promesses.

Vous perdez votre temps, ils ne sont pas achetables.

Occupez-vous de vos chiens de Bercy, achetez-leur des muselières, éloignez-les des travailleurs indépendants, le pays sera alors vite remis debout, vous pourrez partir en vacances en famille. Libérez les travailleurs indépendants de l’URSSAF.

Vous avez du pain sur la planche, mais pas comme ça…

Bon, un billet pour rien… mais il fallait le faire.

Bien à vous. H. Dumas

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L’ÉTAT

Lorsque Louis XIV pense et agit selon la formule qui lui est attribuée “L’Etat c’est moi” il pose les bases de la révolution à venir, même dans le cas où il n’aurait pas réellement prononcé cette phrase.

Parce que nul ne peut prétendre imposer aux autres sa volonté à quel titre que ce soit.

L’Etat, s’il existait, ne pourrait être que la volonté commune et unanime d’un groupe.

Toute la difficulté consiste à recueillir et à exprimer cette volonté.

Une chose est sûre, les frontières qui enferment les individus en un lieu donné ne prédisposent pas ceux-ci à une unité de pensée.

C’est même probablement le contraire puisqu’alors il faudrait admettre que la géographie, les montagnes, les fleuves, l’herbe, les plages et les plaines seraient des autorités spirituelles s’imposant à l’homme, or on ne leur connaît pas cette faculté.

L’idée d’Etat présuppose un projet de pensée partagé.

Quelle est la meilleure façon de compiler un projet de pensée à travers lequel un groupe d’êtres humains pourra agir et vivre, chacun se considérant comme membre d’un État ?

C’est le problème.

Il y a plusieurs tentatives de solution.

La croyance.

C’est un ciment susceptible de créer un État. Staline l’avait compris lorsque provocateur il déclarait “Le Pape, combien de divisions ?”. Ne gouvernait-il pas lui-même un État en partie basé sur la croyance ?

Mais il faudrait que la croyance soit librement partagée, ce qui n’est jamais le cas. Il faudrait aussi qu’elle puisse être évolutive, dans le même sens pour tous, ce qui parait irréalisable.

Le territoire

Nous avons vu que c’est absurde.

La démocratie.

Elle est au terme de son utopie. Lorsque les frontières sont apparues, avatar de la propriété privée généré par le passage de la cueillette à l’agriculture, elles ont donné l’impression de pouvoir regrouper une pensée commune.

Rapidement les faits s’avérèrent contraires à cette idée. Les plus forts alors contraignirent les plus faibles. Cette contrainte pris abusivement le nom “d’Etat”.

Puis, difficilement, on passa du pouvoir individuel au pouvoir majoritaire en prenant le nom de démocratie. Pour autant les élus de la démocratie peuvent-ils revendiquer le droit d’employer la force sur un opposant, même unique ? Non. Cependant ils le font, la démocratie n’est donc qu’un pis-aller.

L’Etat se cherche.

Le regroupement par conviction est la solution, tous les jours les réseaux sociaux nous en font la démonstration. Mais, ils sont virtuels.

Reste à les répartir géographiquement de façon équitable par rapport aux ressources naturelles, puis à faire en sorte qu’ils s’acceptent dans leurs différences, qu’ils n’entrent pas en guerres, et enfin qu’au fil de ses réflexions chacun puisse passer de l’un à l’autre.

Le chantier est là. Je n’ai pas entendu dire que les hommes de bonne volonté soient déjà en route pour le mettre en œuvre. Attendons…

Pendant cette attente il est probable que nous devrons affronter quelques guerres, à moins que les réseaux sociaux, qui font si peur aux hommes de l’Etat traditionnels, s’engagent dans la voie de l’organisation des “ÉTATS DE PENSÉE”.

Alliés aux jeunes générations ils en ont peut-être les moyens.

Bien à vous. H. Dumas

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Vacciner ou guérir…

Face à COVID c’est l’échec absolu du modèle technocratique occidental dont la science, pourtant la plus évoluée jamais connue sur terre, est ramenée au pire obscurantisme par la bureaucratie égalitariste qui ronge l’occident.

C’est la négation de la liberté d’entreprendre, l’irresponsabilité et l’impunité revendiquées du pouvoir administratif occidental, donc mondial, qui ont déterminé une voie de combat unique contre COVID : le vaccin.

Le vaccin c’est la vanité.

C’est le rêve d’être sacré “sauveur de l’humanité” pour celui qui trouve le bon vaccin.

C’est l’alchimiste qui transforme le plomb en or. C’est vaniteux et puéril.

Résultat : vacciné on meurt toujours de COVID.

Il eût fallu tout simplement guérir.

C’est à dire que tous les hommes de bonne volonté, chercheurs et soignants de terrain, auraient dû modestement s’efforcer de soulager et de guérir chaque malade.

Mettant alors en commun leurs constats et leurs résultats sans prétention, des solutions auraient probablement vu le jour.

L’époque des chercheurs invisibles, fourmis du progrès, a laissé la place à celle des flamboyants faux-savants fossoyeurs de la science, mais champions de la communication.

Le sinistre est mondial parce que la prétention du pouvoir occidental est mondiale. Mais, contrairement à ce qui sera prétendu, ce n’est pas la mondialisation le problème. Au contraire, elle aurait pu être un extraordinaire facteur d’échange pour l’option “guérison”.

C’est bien le monde occidental, devenu liberticide au service de l’égalitarisme décrété et jaugé par la bureaucratie, souhaité par l’opinion publique envieuse mue par une jalousie exacerbée devenue son seul moteur de réflexion et d’action, qui est le seul responsable du sinistre actuel.

J’en connais qui ne doivent pas dormir tranquille, ce n’est pas étonnant.

Le marché, toujours oublié mais toujours là, est plus porteur pour un médicament qui guérit que pour un vaccin qui se cherche.

Donc le médicament est évidemment dans les tuyaux.

Quand il arrivera, et si le vaccin est toujours en panne, il faudra bien compter les morts.

Ceux qui ont eu la prétention d’interdire les soins au profit du vaccin vont se trouver devant une sacrée facture.

N’imaginons même pas le cas d’effets secondaires aux vaccins.

Bien à vous.

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L’homme est le problème…

Cet extrait est tiré de la vidéo : “Afghanistan : au cœur de l’enfer” visible sur Youtube.

Ce marine dit la vérité. Il pense probablement mourir dans les jours qui viennent…

Effectivement, la plupart du temps, c’est bien le but du groupe auquel il se donne que poursuit celui qui le rejoint.

Ainsi l’inspecteur des impôts est bien là pour voler, même s’il prétend être là pour redistribuer.

Le Juge est là pour condamner, même s’il prétend le faire avec justice.

Mélenchon est là avant tout pour casser, il n’attache pas trop d’importance à ce qu’il reconstruira ensuite.

Le flic est là pour soumettre, même s’il prétend le faire au motif du maintien de l’ordre.

L’homme de l’Etat est là pour exercer le pouvoir, indifféremment des conséquences sur nous.

Ou est l’humanisme dans tout ça ?

Il est très rare. J’y ai cru. Quelle erreur.

Bien à vous. H. Dumas

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François FLEURY : no limit

François FLEURY, directeur départemental du recouvrement de l’Hérault n’a aucune limite dans le harcèlement et la torture fiscale, dans l’abject.

C’est lui qui, poursuivit par mes soins devant le tribunal correctionnel pour concussion, se contente de déclarer à la barre : “je me demande ce que je fais là”, sans autre explication. Il se pense assuré de la complicité des juges et considère que cette déclaration est suffisante. En première instance elle le fût.

Il n’est pas le premier tortionnaire dans ce monde à se persuader que tous les moyens sont bons pour sa mission qu’il croit indispensable, cette croyance lui permettant d’occulter à bon compte les conséquences terribles de ses décisions iniques, prises sans vergogne, ses meurtres.

Je vais vous prouver ce que je vous rapporte.

L’administration à laquelle appartient Fleury est appelée populairement Bercy.

Cette administration se voit fixer comme fonction principale le vol pour le compte d’autrui. Les élus de tous bords vivent du vol de la moitié du pays au profit de l’autre. In fine, ils finissent par voler les deux, il y a même surenchère à chaque élection sur la méthode et les moyens.

Passe encore pour ce vol lorsqu’il a été voté légalement sous la forme d’impôt direct ou de taxe par le législateur, à chaque français de comprendre la situation et de l’assumer.

Mais, pour que ce vol ne fasse pas l’objet de contestation Bercy l’accompagne de l’installation de la terreur fiscale, à travers les contrôles fiscaux. Il s’agit d’une zone de non droit dans laquelle est lâchée une milice vouée à la torture et au meurtre fiscal, à partir d’élucubrations sans lien avec la vie économique de ceux qui sont pris dans ses filets. Ils sont ostracisés, jetés en pâture au lynchage social, et torturés jusqu’à que leur mort économique s’en suive. Evidemment, plus ils sont innocents et en font la démonstration, plus la terreur est efficace. C’est ainsi que fonctionnent toutes les milices du monde.

Vous l’imaginez, ma résistance désespérée fait de moi le prototype idéal pour donner toute sa force à la terreur fiscale, au harcèlement fiscal, au meurtre fiscal, auxquels chacun souhaite échapper.

Pas malin de ma part, direz-vous. Vous avez raison. Mais bon, d’une part on ne se refait pas, d’autre part je me croyais dans un pays de droit… Ce n’est pas le cas, dont acte.

L’objet de ce billet

Flory cherche à recouvrir un redressement fiscal irréel, dont l’irréalité a été rapportée et prouvée. Il ne l’ignore pas. Le fait que la justice administrative ait couvert ce redressement est sans valeur objective. La preuve en est rapportée par ma poursuite devant le tribunal correctionnel de la magistrate à l’origine de cette scandaleuse couverture où, malgré sa pression sur ses collègues magistrats, je n’ai pas été condamné. Certes, elle non plus, mais c’est un autre problème puisqu’en réalité le déni de justice n’existe pas pour les magistrats des tribunaux administratifs…

Passons aux preuves

Dans le cadre de son harcèlement, de sa torture fiscale, FLEURY a décidé de vendre le fond de mon jardin. Ce viol d’une propriété familiale est pervers mais efficace, nous en sommes très malheureux.

Face à cette attaque perverse, j’ai déposé un recours gracieux, accompagné d’une demande de discussion en PS. Le lien.

Comme vous avez pu le lire les arguments que j’ai présentés sont simples et de bonne foi.

Lisez maintenant la réponse signée Fleury. Lien.

Terrible, non ?

D’abord, la milice se retranche sans vergogne derrière la complicité qu’elle a obtenue des juges administratifs. Alors que ceux-ci ont menti. Je souhaitais filmer le débat oral et contradictoire du contrôle fiscal, rien ne me l’interdisait. Les agents du fisc ont refusé et m’ont accusé d’entrave au contrôle fiscal, ce qui est absolument faux.

Ils m’ont, à partir de là, privé du débat oral et contradictoire et ont majoré leur redressement au motif d’une opposition à contrôle fiscal inexistante. Pour pouvoir couvrir cette énormité les magistrats ont été obligés de prétendre que l’image des contrôleurs était en jeu. Alors qu’un constat d’huissier prouvait le contraire, ils étaient filmés de dos. Tout cela impunément pour les juges…

Ensuite, la milice fait bien comprendre que rien ne peut entraver ses meurtres.

Enfin, la milice se fout éperdument de savoir si le terrain qu’elle prétend mettre aux enchères publiques comme constructible l’est vraiment. C’est l’exacte répétition de sa position lors de la succession de ma mère, qui a vu les services fiscaux condamnés, vingt ans après leurs mensonges et sans dommage pour eux.

Pour finir, la milice ignore superbement ma proposition de dialogue. Dialogue devenu, par la loi, une composante essentielle de tout conflit judiciaire. Mais une milice, par essence, se fout de la loi. N’est-ce pas ?

“Tout est mal qui finit mal”, telle est la devise de la milice de Bercy.

Devise “no limit” elle aussi, dont les conséquences ravageuses commencent à se faire sentir, pendant qu’elle exige toujours plus de pouvoir, toujours plus d’impunité…

Une seule consolation : FLEURY signe là le justificatif à mes poursuites, notamment pour l’appel de son élargissement en première instance.

Bien à vous. H. Dumas

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La société idéale

Nul doute que la société dans laquelle nous vivons a peu de supporters. Si l’on fait la somme des abstentionnistes et des opposants, chaque hypothèse proposée ne regroupe que 10 à 15% de suffrages. C’est bien peu.

L’apparence est sauvée par l’hypocrisie des deuxièmes tours, qui ne sont plus des résultats de votes mais des additions de carottes et de choux-fleurs que les mathématiques réprouvent.

Pourtant la problématique est simple.

L’homme du 21ème siècle souhaite la sécurité, la liberté, la solidarité et, évidemment, la justice qui elle seule permet l’existence des trois premiers souhaits.

Je me permets “l’œuf de Christophe Colomb”…

D’abord la sécurité

Intérieure ou extérieure, elle est du ressort de l’armée et de la police.

Je propose de la confier au Président de la République, dont ce serait le seul mandat. Il serait nommé par le parlement, dont ce serait aussi le seul mandat, pour deux ans, sans renouvellement possible. Les parlementaires seraient eux élus pour cinq ans, sans possibilité de renouvellement, leur fonction donc limitée à la sécurité.

Puis notre vie en commun

C’est ici que la justice est essentielle. Donc, faisons-en le pivot de tout.

Définissons les interdits, qui peuvent se résumer à :

          – Le meurtre

          – Le vol

          – le non-respect de tout engagement consenti librement.

          – L’abus du pouvoir dont on dispose

Tout le reste étant autorisé, sous le regard attentif de la justice qui serait l’arbitre de la vie sociale.

Reprenant la division départementale déjà existante, un tribunal par agglomération, une cour d’appel par département, une cour suprême pour le pays.

Puis, des juges issus de la “conscription pour la justice”, c’est la grande novation, essentielle.

Tous les jeunes gens, filles et garçons, devraient deux ans de service judiciaire.

Ce sont eux, librement, qui rendraient la justice, sous le contrôle de magistrats professionnels dont les principaux responsables – présidents de tribunaux et de cours — seraient élus. Pour cela ces jeunes gens seraient formés dans le même temps que leur scolarité.

Nous aurions ainsi une foultitude de juges conscrits, capables de gérer l’immense besoin d’arbitrage d’une société souhaitant être juste.

Chaque tribunal étant libre, une abondante jurisprudence deviendrait l’axe sociétal. Chaque humain qui s’est penché sur la justice et les façons de juger possède en lui un plus qui ici touchera toute la société. Ce ne sont pas les magistrats qui me contrediront, pour une fois…

C’est évidemment à la justice qu’incombera, dans ces conditions, la levée et la répartition de l’impôt.

Plus besoin d’Etat, sauf pour la sécurité.

C’est la seule façon de générer liberté et solidarité, étroitement dépendantes de la justice. Il y aura lieu de modifier légèrement la constitution.

Réfléchissez, ne rejetez pas l’idée immédiatement…

Bien à vous. H. Dumas

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