Les nouvelles qui tombent sont si déstabilisantes, qu’en effet : il vaut mieux rester assis.
Ainsi donc la pandémie COVID n’en serait pas une … Juste une “grippette”, plutôt moins méchante que les autres
https://youtu.be/CiGKgivRj8s
Ça alors, ce n’est pas comme Chirac : ça me secoue vachement les deux…
Mais qu’est-ce qui s’est passé ???
Tout simplement une panique injustifiée, amplifiée démesurément par la fulgurance actuelle de l’information et de la désinformation, l’insignifiance des élus, la prétention des fonctionnaires technocrates. Nous ne sommes pas seuls sur ce coup, nos amis sont grosso-modo dans la même situation. Pas nos ennemis malheureusement …
Il va falloir s’habituer, apprivoiser ce trop-plein d’informations, se débarrasser de la prégnance des élus, et mettre au pas nos employés techno-fonctionnaires.
Tout cela si, avant de plonger dans la barbarie, le temps qui nous reste le permet. Parce que la barbarie ne fera qu’une bouchée de l’information, à la place nous aurons l’obscurantisme.
Hélas, le risque est réel que nous assistions à un concours de connerie entre l’obscurantisme et l’opinion publique ivre de trop de liberté.
Facture salée pour COVID, mais ce n’est rien, une aumône.
Avec le réchauffement de la planète c’est carrément le suicide collectif.
Je cite les infos : “LA FRANCE REJOINT LA COALITION POUR CESSER DE FINANCER LES ENERGIES FOSSILES A L’ETRANGER”
En voilà une sacrée nouvelle = plus de pétrole.
Heureusement on a du charbon, il va falloir ressortir les gazogènes.
Puis, juste attendre un siècle pour vérifier que la planète s’en fout de nous, pauvres petits parasites, que son climat n’est pas lié à nos activités.
Ce sera trop tard, en tout cas pour nous qui allons laisser notre confortable place aux autres.
Que faire ? Demain 500.000 personnes à la frontière : qu’est ce qu’on fait ?
On partage ? Vous n’y pensez pas : on donne ou ils prennent, on n’a pas le choix.
La roue tourne.
Bien à vous. H. Dumas
Plus c’est con, plus ça ose :
https://www.lesoir.be/406092/article/2021-11-12/confinement-obligatoire-des-volailles-ordonne-en-belgique-ce-que-cela-implique
Et la conclusion de l’article vaut son pesant de plumes d’oisieaux :
“L’Agence rappelle enfin que le virus H5N1 n’est pas dangereux pour l’homme. La viande de volaille et les œufs peuvent être consommés en toute sécurité.”
On a bien convoqué un coq au tribunal de Rocherfort. Circulez, il ya plus con ailleurs.
De toute façon les errements des politiques sont payés par les Français et la majorité “vote” pour toujours + d’impôts et taxes. La France est devenue le plus grand restaurant du monde mais le service laisse à désirer.
Nous n’en sommes qu’au début…mais la vérité finira par se frayer un passage dans le fratras des mensonges et de la propagande de Macron et ses sbires – Malheur au peuple qui se choisit un gamin pour roi…- parfaitement orchestrés et tambourinés encore aujourd’hui (!) par le quasi unanimisme des journalistes et des BFM &Cie, avec même une PQR qui a apporté sa constante contribution, oubliant à la fois son indépendance et son code déontologique !
Une honte qui blesse chaque citoyen libre
Un jour viendra…où il faudra solder les comptes: il faut redouter que l’addition soit salée car la faim fait sortir les loups des bois !
« Quoi qu’il en coûte »Monsieur Macron…chiche ?!
Ne jamais oublier, ni omettre, de citer le seul et unique responsable : MACRON, un chef d’état, certes aux pieds d’argile, mais pourvu de tous les attributs de la domination par le système institutionnel actuel …et qui ne s’en prive pas
N’oublions jamais ses propres mots « Qu’ils viennent me chercher ! »
VERAN, CASTEX et Cie ne sont que des sbires aux ordres
Le gamin les a choisis et les a nommés…ce qui n’excuse en rien leur responsabilité personnelle mais qu’attendre de cette clique dont les circonvolutions pariétales sont totalement amidonnées par le goût et la jouissance d’un pouvoir ?
Parfaitement dit.
Il avait des prédispositions, mais le pouvoir rend fou. Et le délire est contagieux. La science est ré-inventée selon les besoins du fou et la propagande n’a plus de limite. Reste-t-il une option démocratique ?
Il ne faudrait pas oublier les vingt millions de complices du pervers narcissque.