Archives de catégorie : Zap du Net

Une selection d’articles choisis sur le net par E. Bolling

L’actualité vue par Le Nouveau Journal

Le Nouveau Journal (LNJ) est un média purement numérique qui offre une présentation innovante et différente de l’actualité. Il n’est ni élitiste, ni prétentieux, ni corporatiste, ne propage pas d’idéologie cachée et ne passe pas sous silence les informations qui n’entrent pas dans sa vision du monde et de la société.

Le Nouveau Journal s’adresse au plus grand nombre, couvre de nombreux sujets et essaie d’offrir des perspectives différentes en sélectionnant des informations réellement significatives et pertinentes.

Fiscalité :

Le gouvernement promet des baisses d’impôt, mais les prélèvements obligatoires flambent

Les prélèvements obligatoires pourraient atteindre, voire dépasser les 44,8% du PIB d’ici la fin 2022 contre 43,4% votés dans le budget initial (hors crédits d’impôts et hors cotisations sociales imputées). Si ces anticipations se confirment, la France creusera l’écart avec le Danemark quant au niveau total de prélèvements obligatoires (hors cotisations sociales imputées) qui s’établiraient à 45,2% du PIB pour Paris en 2022 contre 44,1% du PIB pour notre voisin scandinave.

Voir aussi :

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Denis Payre : « Je pense être en mesure de battre Emmanuel Macron »

Pourquoi pas?

https://www.lepoint.fr/technologie/j-ai-l-habitude-de-m-en-prendre-plein-la-figure-01-09-2021-2441053_58.php

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Ce que vous avez toujours voulu savoir sur Macron et ses réseaux. C’est ERobot. (vidéo 2h)

J’ai enfin tout compris.
Et pour l’avenir j’en ai des sueurs froides…
Le Covid c’est un galop d’essai.

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UN TOUR D’HORIZON SUR LES QUELQUES DIZAINES DE PERSONNES QUI ONT DEFILE LE 21.08.2021

https://www.facebook.com/cerveauxnondisponibles/videos/4185683958196465

Plus de 200 manifestations anti-pass en France .

Ouiiii, mais combien ?

175 503 manifestants précisément . Sommes nous déjà tous pucés sans le savoir ou comme pour Bercy, le ministère de Darmanin s’est associé avec Google…

Ce sont les chiffres communiqués par le Ministère de l’intérieur, que les médias ont repris tous en cœur .

Tant d’approximation dans ce qui devrait être précis et tant de précision dans ce qui semble presque impossible à quantifier…

Youpi, c’est magique !

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ce flic dit comme Pompidou « arrêtez d’emmerder les français » (vidéo 5mn)

Pompidou a prononcé cette phrase lorsqu’il était 1er ministre.
Depuis les énarques fonctionnaires ont pris le pouvoir et emmerdent un maximum tous les français surtout pour les dépouiller.

https://www.facebook.com/id629329114/videos/2943644605903960

 

Peut être une image de 2 personnes, personnes assises et plein air

Peut être une image de 1 personne et plein air

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Le fisc français va utiliser un algorithme de Google pour repérer les piscines non déclarées…

 

Le fisc français va utiliser un algorithme de Google pour repérer les piscines non déclarées

La Direction générale des finances publiques va employer des outils numériques de l’entreprise américaine afin de contrôler à partir de prises de vues aériennes si les piscines et bâtis ont été correctement déclarés par leurs propriétaires. Les Gafa à la rescousse de Bercy ? Dans le cadre du projet «Foncier innovant», la Direction générale des finances publiques (DGFiP) va utiliser des algorithmes du géant américain Google afin de vérifier l’exactitude des déclarations fiscales concernant les piscines et les bâtis.  Lire aussi Publicité en ligne : Google condamné à une amende de 220 millions d’euros en France Dans un courrier électronique au Figaro, cette direction dépendant du ministère de l’Economie et des Finances explique qu’elle va «recourir aux technologies innovantes d’intelligence artificielle et de big data pour garantir une meilleure fiabilité des bases de la fiscalité directe locale à partir des prises de vues aériennes de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN)». Les algorithmes de Google vont donc déceler depuis ces prises de vues les contours des piscines et bâtis pour vérifier s’ils «sont correctement imposés aux impôts directs locaux». «A défaut, le propriétaire du bien est invité à régulariser sa situation», précise l’administration. Comme l’indique impot.gouv.fr., une piscine quelle qu’elle soit, si elle ne peut être déplacée sans être démolie, constitue en effet «un élément d’agrément bâti formant une dépendance qui doit être prise en compte pour l’établissement de la taxe d’habitation et de la taxe foncière». En 2019, Bercy avait déjà fait appel aux services de la société privée de conseil informatique Accenture pour débusquer les erreurs de déclarations de cadastre, comme le rappelle Le Parisien. En quelques semaines, le logiciel avait permis de débusquer environ 3 000 piscines non imposées rien que dans le département des Alpes-Maritimes.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/89510-fisc-francais-va-utiliser-algorithme-google-pour-reperer-piscines-non-declarees?fbclid=IwAR1S-od4dFUUJoKdMiq-ZcsdsS_kIbZ9yas4QvTAArxrVgbxU0Z5JOxGaPM

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Maître Reiner Fuellmish. La vérité sort du puit? (vidéo 15mn)

La censure m’a empêché de publier ce lien sur F.B.
Il est vrai que la vérité fait de plus en plus mal.
A vous de juger.

https://crowdbunker.com/v/glgcXl2o5I?fbclid=IwAR1XkcTb_cZ9HcEHxK4AHzXOfxirxHpZApB-KxM4oxYAo-eX4Q10GCHMaoY

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Parodie : la planète des seringues

Une excellente parodie de la politique sanitaire du gouvernement par Dr Alwest.

Tout air de déjà vu est… entièrement voulu.

A regarder avant que ça disparaisse de la toile….

https://www.youtube.com/watch?v=f2LFSljvUSQ

Honnêtement j’ai bien ri et pourtant Dieu sait que la situation est sérieuse.. grave même.

Prendre des forces pour mieux affronter ce qui nous attend ne peut faire de mal….

Salutations

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L’ÉDITO DE LYDIA GUIROUS :«PASS-SANITAIRE :OK BOOMERS !» (vidéo 5mn)

Elle ne va pas faire long feu…

https://www.cnews.fr/videos/france/2021-08-07/ledito-de-lydia-guirous-pass-sanitaire-ok-boomers-1113476?fbclid=IwAR2MC8IdfVo-JCVDIuffd1LY7Dp21aik6Qm2lBLsTOZrgDdt9PJ0bloIUV4

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Du pass sanitaire aux passe-droits pour les membres du Conseil constitutionne

Le Conseil constitutionnel vient de valider l’essentiel du dispositif gouvernemental et tous les médias ou presque louent à l’unisson l’indépendance et la sagesse de la Rue Montpensier. Pourtant combien de ces éditorialistes enthousiastes, combien de ces journalistes sûrs de leur fait, combien de ces constitutionnalistes péremptoires, combien de ces politiques dithyrambiques connaissent-ils cette « ombre », qui aurait sans nul doute quelque peu nuancé leur jugement ? En effet, c’est depuis une simple lettre ministérielle du 16 mars 2001, soigneusement non publiée, que tous les Gouvernements qui se sont succédé depuis vingt ans – qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre – ont décidé ou continué jusqu’à nos jours et en violation flagrante de la Constitution à majorer unilatéralement et considérablement les rémunérations du Président et des membres du Conseil constitutionnel. Donc durant plus de vingt ans et on se demande bien pourquoi (notamment depuis presque deux ans que l’irrégularité a été rendue publique et que l’Institut de Recherches Économiques et Fiscales y a activement contribué !), aucun Président de la République pourtant tenu de veiller au respect de la Constitution (cf. son article 5), aucun Premier Ministre, aucun Ministre du Budget, aucun parti politique, aucun juge, aucun procureur n’a eu le courage de porter le fer dans la plaie, chacun plaçant sa propre tranquillité et le souci de ménager ses arrières (la fameuse « connivence » qui sévit dans la haute fonction publique) très au-dessus de l’application de la Constitution, de la sauvegarde des deniers publics et de la protection des droits du contribuable. Pour information, actuellement, c’est en rémunérations brutes un supplément d’un peu plus de 900 milliers d’euros que le Président et les huit autres membres actuels du Conseil constitutionnel se partagent chaque année en toute illégalité.

Or ce Gouvernement qui, en dépit de nombreuses alertes, s’obstine à ne rien faire, peut pourtant d’un jour à l’autre et le plus simplement du monde mettre fin à cette résurgence incongrue des épices de l’Ancien Régime. Il lui suffit un jour de grâce de faire son chemin de Damas, en décidant de rejoindre la légalité républicaine, notamment en rapportant sans délai la fameuse lettre précitée du 16 mars 2001. Il est en effet nécessaire d’agir dans l’urgence au regard des délais de prescription qui courent, pour mobiliser sans plus attendre la récupération de l’indu auprès de tous ceux – qu’ils appartiennent ou non au Conseil constitutionnel – qui, durant plus de vingt ans, ont su discrètement canaliser vers la rue Montpensier le cours du Pactole dans lequel les « Sages » ont pu sereinement puiser de confortables enrichissements personnels. En tout cas, plus de quatre ans après la promesse présidentielle, notre République n’est toujours pas exemplaire, loin s’en faut et au moins à quatre titres :

1 – d’abord parce que dans le secteur privé, l’affaire n’aurait certainement pas attendu vingt ans pour qu’un collège de Commissaires aux comptes la fasse émerger en saisissant immédiatement le Parquet, qui aurait su faire tout ce qu’il faut (l’affaire Fillon l’a abondamment montré…) pour qu’une fois l’abus révélé, elle soit rapidement instruite et lourdement sanctionnée ;
2 – ensuite, parce que depuis presque un an, le Ministre des comptes publics, comme les Juges d’une section contentieuse du Conseil d’État, et tout récemment encore le Premier Président de la Cour des comptes, ont été personnellement saisis d’un problème qui a été largement développé depuis septembre dans les colonnes du site public de l’IREF, sans que rien ne bouge, sans que rien ne change, malgré la forte symbolique de l’affaire, l’importance relative et la récurrence sans faille des détournements observés ;
3 – ensuite encore, parce que le complément de rémunération sciemment maintenu par le présent Gouvernement ne viole pas seulement l’article 63 de la Constitution qui exige un texte organique pour fixer la rémunération du Conseil constitutionnel. Il viole également – et comment ! – le principe de la séparation des pouvoirs, puisque l’Exécutif se permet ainsi de s’immiscer indument dans le fonctionnement quotidien du Conseil constitutionnel (à remarquer d’ailleurs que ledit Conseil, d’ordinaire si sourcilleux sur son indépendance et ses prérogatives, n’a durant plus de vingt ans jamais élevé la moindre protestation contre ce genre d’intrusion à caractère permanent !) ;
4 – enfin, parce que cette affaire place volontairement tous les « Sages » dans une position intenable de conflits personnels d’intérêts, tant qu’aucun d’entre eux n’aura pris l’initiative de dénoncer l’avantage indu dont il sait que lui et ses pairs bénéficient illégalement de la part du Gouvernement. Pire encore, collégialement, le Conseil lui-même risque de se trouver de ce fait dans une position de suspicion légitime vis-à-vis des justiciables. Car, il ne faut pas l’oublier, devant le Conseil et sur le plan de la procédure, c’est bien le Gouvernement qui assure comme partie autonome [1] la défense des textes en place face aux autres parties demanderesses qui en contestent la constitutionnalité et qui, elles, sauf à encourir de très graves ennuis, n’ont pas le droit de proposer aux « Sages » le moindre « supplément » de rémunération.

Exceptionnellement, ce billet ne comportera donc pas de conclusion. Il appelle simplement nos lecteurs et plus largement l’ensemble des citoyens libres, qui sont capables de réfléchir par eux-mêmes à l’écart du brouhaha médiatique et du matraquage de la propagande gouvernementale, à se poser une simple question. Compte tenu de l’importance et de la gravité des éléments rapportés ci-dessus et face à l’épidémie en cours, le Conseil constitutionnel a-t-il, oui ou non, assuré en toute indépendance et en pleine conformité tant avec la Constitution qu’avec notre propre Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, la préservation équitable et suffisante des libertés qui nous sont chères ?

Voir aussi:   https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/

 

https://fr.irefeurope.org/Publications/Articles/article/Du-pass-sanitaire-aux-passe-droits-pour-les-membres-du-Conseil-constitutionnel?var_mode=calcul&utm_source=IREF&utm_campaign=4dc0e9dbf8-EMAIL_CAMPAIGN_2021_08_08_06_59&utm_me

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une annonce du courrier des stratèges…

 

https://www.facebook.com/105016638401498/videos/515013912899229

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JE NE PENSAIS PAS ECOUTER CA DE MON VIVANT. (vidéo 3,10mn)

Le mec ne devrait pas tarder a se faire égorger.
Ce que l’on pense tout bas sans pouvoir le dire sans se faire taxer d’Islamophobe

https://www.facebook.com/chantal.marchot/videos/10220492621974361 

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UN PEU DE FRAICHEUR ET DE VERITE avec Pascal Praud.

D’accord ou pas d’accord, il fait son métier d’interviewer, il laisse parler son invité.
Un exemple pour les crétins de similis journalistes de BFM qui ne sont rien d’autre que des cireurs de pompe du pouvoir…

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UN REPAS DE HYENES CHEZ BFMTV…

Perso je n’aime pas Philippot car c’est un énarque et depuis 40 ans que je les vois en actions je sais que ce ne sont que des menteurs.
Néanmoins cette « table ronde » est un guet apens d’un ramassis de hyènes spécialistes anti liberté.
C’est un monde de parasites qui s’écroule.
Une mention particulière pour le crétin de service, l’interviewer qui veut montrer son intelligence…

https://youtu.be/N8uprJm7WCs

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H1N1 et le Covid même combat. Merci à nos énarques….

Il nous refont le coup de l’énorme pandémie du H1N1 avec en plus la coercition.
Toujours les mêmes mensonges, toujours plus gros, toujours les même recettes  pour provoquer la peur.
Pour le Covid ils ont fait plus fort ce qui donne les manifestations anti pass. qui ne sont que des manifs pour la liberté.

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A VOIR AVANT SON « EVAPORATION ». Ce jeune auteur donne une leçon sur la liberté à une députée LREM (vidéo 4mn)

D’où sort-il, où va t-il?
Très bonne explication de ce que nous avons vécu, de ce que nous vivons et de ce que nous vivrons.
A part lui, tous sont des caricatures de la pensée « bien pensante » officielle , même l’interviewer qui va se faire taper sur les doigts et veut le faire taire…

https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/politique/ce-jeune-auteur-donne-une-lecon-sur-la-liberte-a-une-deputee-lrem?fbclid=IwAR15Y1l-a9W-SmAKu_-FoAITrzjVrbo_tZEtAGN_xzCsFvGj1M_YrtbFEBM

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Les passes sanitaires chez nos voisins européens en un seul coup d’œil par Gaël Savary (IFRAP)

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La France a la définition la plus dure du passe sanitaire pour les activités du quotidien : ni les autotests, ni les tests antigéniques, ni une seule dose de vaccin ne sont valables pour accéder aux lieux de loisirs et de restauration, contrairement à chez nos voisins. A ce stade, 6 pays d’Europe dont la France demandent (ou vont demander) le contrôle du passe sanitaire pour accéder aux restaurants. Pour rappel, depuis le 1er juillet, un passe sanitaire européen ou « certificat Covid numérique de l’UE » est valable dans les 27 pays de l’Union européenne ainsi qu’en Suisse, Islande, Norvège, Monaco et Andorre. Autant de pays que de définitions et d’applications aux paramètres différents. Tour d’horizon en un clin d’œil.

  Passe Sanitaire Obligation vaccinale
Allemagne Pas de passe sanitaire exigé à l’échelle nationale.

Décision au niveau régional en fonction du taux d’incidence.

Non et pas envisagée
Autriche Passe sanitaire exigé pour l’entrée dans les lieux de culture, loisirs, restauration, hôtels et autres commerces, en intérieur comme en extérieur. Le passe sanitaire comprend une preuve de vaccination au Covid-19 (2 doses), une preuve de test négatif (72h pour le PCR, 48h antigénique et 24h auto-test), ou une preuve de guérison du Covid-19. Non
Belgique Pas de passe sanitaire exigé. Non, pour le moment
Bulgarie Pas de passe sanitaire exigé. Non
Chypre Passe sanitaire exigé depuis juin pour l’entrée dans les lieux de culture, loisirs, restauration (en intérieur), hôtel, centres commerciaux…). Le passe sanitaire comprend une preuve de vaccination avec une première dose datant de plus de 3 semaines, un test antigénique ou PCR négatif de moins de 72h ou preuve de contamination au Covid dans les 6 derniers mois). Non
Croatie Passe sanitaire exigé pour l’entrée dans les bars et les discothèques. Le certificat Covid européen est accepté. Non
Danemark Passe sanitaire exigé depuis mai pour l’entrée dans les lieux de culture, loisirs, restauration (en intérieur).. Le passe sanitaire comprend une preuve de vaccination contre le Covid, une preuve de guérison du Covid-19,un test PCR négatif de moins de 96 heures, ou un test antigène négatif de moins de 72h. Non
Espagne Pas de passe sanitaire exigé. Des restrictions en terme d’horaires ou de capacité maximum en place dans certaines régions. Non
Estonie Pas de passe sanitaire exigé. Des restrictions en terme de capacité maximum pour certains lieux. Non
Finlande Pas de passe sanitaire ni de restrictions. Non
France Passe sanitaire est obligatoire pour tous les lieux de loisirs et de culture rassemblant plus de 50 personnes depuis le 21 juillet. Au 1er août, le passe sanitaire deviendra obligatoire dans les cafés, restaurants, centre commerciaux, hôpitaux, maisons de retraite, établissement médico-sociaux, pour les voyages en avions, trains et cars pour les trajets de longue distance. Le passe sanitaire comprend un schéma vaccinal complet (7 jours après la deuxième dose), un test PCR ou antigénique négatif de moins de 48h ou un certificat de guérison du Covid-19. Oui, pour le personnel soignant à partir du 15 septembre
Grèce Passe sanitaire exigé à l’entrée des bars et restaurants (en extérieur, fermés en intérieur), lieux de loisirs et de culture. Le passe sanitaire comprend une vaccination au Covid-19 ou un test négatif (PCR ou antigénique) de moins de 48h. Oui, pour le personnel soignant à partir du 1er septembre
Hongrie Passe sanitaire européen ou carte d’immunité hongroise requis pour les événements sportifs, les spectacles de musiques et de danses dans des salles fermées ou dans des espaces extérieurs accueillant plus de 500 personnes. Pas de restrictions supplémentaires liées au passe sanitaire. Non
Irlande Pas de passe sanitaire exigé. Des restrictions en termes d’activités, de capacité maximum ou d’horaires sont en place. Non
Italie Passe sanitaire (certificazione verde) exigée à partir du 6 août 2021 pour l’accès aux lieux de culture, de loisirs ou de restauration (en extérieur). Il sera disponible dès la première dose de vaccin reçue, pour celles et ceux ayant reçu un test PCR négatif de moins de 48h mais aussi pour les individus guéris du Covid. D’autres restrictions d’activités, d’horaires et de capacité sont en place ainsi que des sanctions pour ceux qui ne respecteraient pas les règles établies. Oui, pour le personnel soignant depuis avril 2021. Pourrait-être étendue au personnel enseignant.
Lettonie Passe sanitaire pas exigé. Des restrictions en termes de capacité maximum sont en place pour certains lieux ou certaines activités. Non
Lituanie Passe sanitaire n’est pas exigé mais existe. La certification nationale peut être demandé pour la participation à certains événements. Des restrictions en termes de capacité maximum sont en place pour certains lieux ou certaines activités Non
Luxembourg Passe sanitaire exigé en fonction du choix de l’établissement. Régime CovidCheck en place auquel les exploitants et gérants d’établissements (lieux de culture, loisirs, restaurants, commerces) et d’événements en tout genre peuvent choisir d’adhérer ou non. Des restrictions supplémentaires pour le personnel et les clients s’appliquent aux établissements qui n’adhère pas à ce régime. Le passe sanitaire peut prendre la forme d’une preuve de vaccination (à compter du jour de deuxième vaccination), de guérison ou de test négatif au Covid-19 de moins de 72h pour un test PCR et de moins de 48h pour un test antigène. Les autotests sont acceptés si proposés par l’établissement sur place. Non
Malte Pas de passe sanitaire exigé. Non
Pays-Bas Pas de passe sanitaire exigé. Le système de laisser-passer permet cependant aux gérants et exploitants qui le décide de ne pas avoir à observer des distances de sécurité de 1.50 mètres entre chaque personne et de ne pas avoir à porter le masque. Que ce système soit appliqué ou non par l’établissement, des réservations et un test de santé sont nécessaires à l’entrée dans les lieux de loisirs, culture et restaurations. Non
Pologne Pas de passe sanitaire exigé. Des restrictions de capacités maximum et d’horaires en place pour certaines activités ou certains lieux. Non
Portugal Passe sanitaire exigé pour l’entrée dans les lieux de restauration, loisirs et culture. Le passe sanitaire européen est accepté. Quatre types de tests sont autorisés en plus de la vaccination complète ou du certificat de guérison : test PCR effectué dans les 72 heures précédant sa présentation, test antigénique effectué dans les 48 heures précédant sa présentation, auto-test effectué en présence d’un professionnel de santé ou dans une pharmacie qui peut attester du résultat dans les 24 heures précédant sa présentation ou encore auto-test réalisé à l’entrée de l’établissement en présence et sous la responsabilité du responsable du site. Non
Roumanie Passe sanitaire exigé pour l’entrée en discothèque et aux évènements culturels et sportifs en intérieur ou en extérieur rassemblant plus de 1.000 personnes. Ce passe sanitaire comprend un certificat de vaccination pleinement effectuée depuis 10 jours, un test négatif (soit PCR datant de moins de 72 heures, soit antigénique datant de moins de 24 heures), ou une preuve d’infection guérie entre 14 et 180 jours avant l’événement. Non
Slovaquie Pas de passe sanitaire exigé mais des restrictions en fonction du taux d’incidence dans chaque district. Non
Slovénie Passe sanitaire exigé pour l’accès aux boîtes de nuit, bars et restaurants, rassemblements de plus de 100 personnes en extérieur, aux évènements culturels et sportifs ainsi qu’au salle de sport et autres lieux de loisirs (casinos, salles de jeux…). Non
Suède Passe sanitaire non exigé. Des restrictions existent concernant des capacités maximales d’accueil. Non
République Tchèque Passe sanitaire exigé pour l’accès aux lieux de loisirs, culture, restauration, et événements culturels et sportifs. Le passe sanitaire comprend une attestation de vaccination complète, un test PCR de moins de 7 jours ou un test antigénique de moins de 48h, ou un certificat de rétablissement du Covid-19. Non
Royaume-Uni Pas de passe sanitaire exigé pour l’accès aux lieux de loisirs, restauration ou culture. Des restrictions seront en place en septembre. Non
Suisse Passe sanitaire exigé pour accéder à tous lieux ou évènements rassemblant plus de 1.000 personnes et pour les discothèques. Dans les autres lieux de culture, de restauration ou de loisirs, seules les coordonnées d’un des participants sont requises pour pouvoir les contacter à posteriori en cas de contamination possible sur les lieux. Passe sanitaire comprend une preuve de vaccination au Covid-19 en schéma vaccinal complet, un test PCR négatif de moins de 72h (48h pour un test antigénique) ou un certificat de guérison du Covid-19.
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Une action en justice fédérale demande l’arrêt immédiat des vaccins COVID…

 

Une action en justice fédérale demande l’arrêt immédiat des vaccins COVID et cite le témoignage d’une dénonciatrice affirmant que le CDC sous-estime le nombre de décès dus aux vaccins.

America’s Frontline Doctors a déposé une motion visant à faire cesser l’autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization – EUA) des vaccins COVID pour toute personne de moins de 18 ans, toute personne ayant une immunité naturelle ou toute personne n’ayant pas reçu de consentement éclairé.

America’s Frontline Doctors (AFLDS) a déposé une requête le 19 juillet, demandant une injonction immédiate devant le tribunal fédéral de district de l’Alabama afin d’arrêter l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) des vaccins COVID – Pfizer/BioNTechModerna et Johnson & Johnson (J&J ) – pour trois groupes d’Américains.

Selon un communiqué de presse, l’AFLDS demande d’arrêter immédiatement l’administration des vaccins expérimentaux COVID à toute personne âgée de 18 ans ou moins, à toutes les personnes qui se sont remises de la COVID et ont acquis une immunité naturelle, et à tout autre Américain qui n’a pas reçu le consentement éclairé défini par la loi fédérale.

La requête de 67 pages demande au juge de délivrer une injonction préliminaire conformément au § 360bbb-3(b)(1)(C) pour les raisons suivantes :

  • Il n’y a pas d’urgence, ce qui est une condition préalable à la délivrance de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) et de renouvellements d’EUA pour les vaccins COVID.
  • Il n’y a « aucune maladie ou condition sérieuse ou menaçante à la vie. »
  • Les vaccins ne permettent pas de diagnostiquer, de traiter ou de prévenir le SRAS-CoV-2 ou la COVID.
  • Les risques connus et potentiels du vaccin l’emportent sur ses avantages connus et potentiels.
  • Il existe des alternatives adéquates, approuvées et disponibles aux vaccins.
  • Les professionnels de la santé et les candidats au vaccin ne sont pas suffisamment informés.

Les auteurs de la motion ont joint une déclaration d’une dénonciatrice qui a affirmé que les décès survenus dans les 72 heures suivant l’administration d’un vaccin COVID sont largement sous-déclarés dans les rapports des Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) géré par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

Au 9 juillet, les décès signalés dans le VAERS s’élevaient à 10 991. Parmi ceux-ci, 4 593 sont survenus dans les 72 heures suivant la vaccination.

La dénonciatrice – une programmeuse informatique qui a mis au point plus de 100 algorithmes distincts de fraude aux soins de santé et qui possède une expertise dans l’analyse des données relatives aux soins de santé qui lui permet d’accéder aux données Medicare et Medicaid obtenues par les Centers for Medicare and Medicaid Systems (CMS) – adéposé une déclaration sous serment sous peine de parjure alléguant que le nombre réel de décès liés au vaccin COVID est plus proche de 45 000.

La dénonciatrice a allégué que le VAERS, bien qu’extrêmement utile, est sous-déclaré par un facteur conservateur d’au moins cinq.

Dans sa déclaration, elle a dit :

« Le 9 juillet 2021, 9 048 décès ont été signalés dans le VAERS. J’ai vérifié ces chiffres en rassemblant moi-même toutes les données du VAERS, sans me fier à un tiers pour les rapporter. En parallèle, j’ai examiné les données des réclamations médicales du CMS concernant les vaccins et les décès de patients, et j’ai évalué que les décès survenus dans les trois jours suivant la vaccination sont plus élevés que ceux signalés dans le VAERS par un facteur d’au moins cinq. Cela indiquerait que le nombre réel de décès liés aux vaccins est d’au moins 45 000. Mis en perspective, le vaccin contre la grippe porcine a été retiré du marché, ce qui n’a entraîné que 53 décès. »

L’AFLDS a déclaré que les résultats étaient choquants et que le consentement éclairé est impossible lorsque les données de sécurité ne sont pas exactes.

Dans un communiqué de presse, l’AFLDS a déclaré :

« Il est illégal et inconstitutionnel d’administrer des agents expérimentaux à des personnes qui ne peuvent pas prendre une décision éclairée quant aux véritables avantages et risques du vaccin sur une base indépendante. Ces personnes doivent avoir l’âge ou la capacité de prendre des décisions éclairées et avoir reçu toutes les informations sur les risques et les avantages nécessaires pour prendre une décision éclairée. »

L’une des plaignantes nommées, Deborah Sobczak, mère d’enfants de 15 et 17 ans, a déclaré dans le communiqué de presse :

« Mon enfant ne sera pas le sujet d’une expérience. Quel genre de monstres laissons-nous nous contrôler ? Des enfants en parfaite santé ont développé des inflammations cardiaques, des hémorragies cérébrales et sont même morts ! J’en ai assez. Je ne vais pas sacrifier mon enfant pour qu’une compagnie pharmaceutique puisse faire des expériences sur elle. Cette folie doit cesser. »

Selon les plaignants, il n’y a pas d’urgence justifiant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID.

Selon la plainte, le secrétaire du ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), désigné comme l’un des défendeurs dans le procès, a déclaré le 4 février 2020, conformément au § 360bbb-3(b)(1)(C), que le SRAS-CoV-2 créait une « urgence de santé publique ».

Cette déclaration d’urgence initiale a été renouvelée à plusieurs reprises et reste en vigueur aujourd’hui – une condition préalable légale nécessaire à l’émission d’EUA pour les vaccins, indique la plainte. L’EUA a permis l’utilisation massive des vaccins par le public américain avant l’achèvement du régime standard d’essais cliniques et l’approbation de la FDA.

Les plaignants affirment que la déclaration d’urgence et ses multiples renouvellements sont illégaux car il n’y a pas d’urgence sous-jacente. D’après les données sur les décès du HHS COVID, le SARS CoV-2 a un taux de survie global de 99,8 % à l’échelle mondiale, qui passe à 99,97 % pour les personnes de moins de 70 ans. Cela correspond à la grippe saisonnière, selon la plainte.

Les plaignants affirment que le HHS a délibérément gonflé les données des cas de la COVID.

Les plaignants prétendent que les données du HHS sont délibérément gonflées. Le 24 mars 2020, le HHS a modifié les règles applicables aux coroners et aux autres personnes chargées de produire des certificats de décès et de déterminer la « cause du décès » exclusivement pour la COVID.

Le changement de règle stipule : « La COVID-19 doit être déclarée sur le certificat de décès pour tous les défunts où la maladie a causé ou est supposée avoir causé ou contribué à la mort. »

Selon la plainte, les statistiques du HHS ont montré que 95 % des décès classés comme « décès COVID-19 » comportaient en moyenne quatre comorbidités supplémentaires. Les plaignants affirment que le CDC savait que les règles de codage et de sélection de la cause sous-jacente du décès auraient pour conséquence que la COVID serait la cause sous-jacente plus souvent qu’autrement.

Les plaignants ont déclaré que le nombre réel de cas de la COVID est également bien inférieur au nombre déclaré en raison de l’utilisation d’urgence des tests de réaction en chaîne par polymérase (PCR), qui sont utilisés comme outil de diagnostic pour la COVID. Les tests PCR sont eux-mêmes des produits expérimentaux, autorisés par la FDA dans le cadre d’EUA distinctes. La notice d’emballage indique que les tests PCR ne doivent pas être utilisés pour diagnostiquer la COVID.

La plainte allègue que la manière dont les tests PCR sont administrés garantit sciemment un nombre inacceptable de résultats faussement positifs.

Les risques liés au vaccin COVID n’ont pas été divulgués et n’ont pas fait l’objet d’un rapport suffisant, selon une action en justice.

Les chercheurs médico-légaux de l’AFLDS ont analysé les données accumulées sur les risques liés au vaccin COVID et ont constaté la migration de la protéine de pointe pathogène du SRAS-CoV-2 dans l’organisme. Pourtant, les vaccins ont été autorisés sans qu’aucune étude ne démontre où les protéines de pointe se déplacent dans le corps après la vaccination, combien de temps elles restent actives et quel effet elles ont, indique la plainte.

Les chercheurs de l’AFLDS ont analyséle VAERS et ont découvert un risque accru de décès lié aux vaccins COVID. La base de données indique que les décès dus aux vaccins au cours du premier trimestre de 2021 représentent une augmentation de 12 000 % à 25 000 % par rapport à l’année précédente.

De 2009 à 2019, 1529 décès associés à tous les vaccins ont été signalés au VAERS, selon la motion. Au cours du premier trimestre de 2021, plus de 4 000 décès ont été signalés, 99 % de tous les décès signalés en 2021 étant attribués au vaccin COVID. Seul 1 % a été attribué à d’autres vaccins du système.

Les plaignants ont également divulgué des preuves de mal à la reproduction, de maladies vasculaires, de maladies auto-immunes, de dommages neurologiques et ils ont mis en avant un risque accru de mal pour les enfants avec les vaccins COVID pour soutenir leur position.

Pourquoi le secret sur les données V-Safe ?

La plainte a attiré l’attention sur le caractère secret du système V-Safe du CDC – un système parallèle utilisé pour suivre les événements indésirables signalés via une application pour smartphone contrôlée exclusivement par le CDC.

Les plaignants se sont inquiétés du fait que les informations contenues dans V-Safe dépassent celles du VAERS. Ils affirment que le VAERS est inexact parce qu’il inclut potentiellement moins de 1% de tous les événements indésirables liés aux vaccins, et que le gouvernement fédéral ne fournit pas de données provenant d’autres sources de surveillance telles que V-Safe, CMS et le militaire.

Les plaignants ont déclaré qu’un consentement éclairé ne peut être donné sans comprendre les risques. Ils ont déclaré qu’ils ne pouvaient s’empêcher de se demander pourquoi le HHS ne divulguait pas au public des informations essentielles relatives aux risques provenant de ses systèmes de notification, « en particulier à la lumière du fait qu’ils ont eu le temps et les ressources nécessaires pour étudier et prolonger les autorisations des vaccins, construire une énorme machine de marketing des vaccins et déployer des cliniques de vaccination dans tout le pays. »

La plainte a été déposée par plusieurs cabinets d’avocats, dont RENZ Law. La plainte et la déclaration de dénonciation peuvent être lues ici.

https://childrenshealthdefense.org/defender/une-action-en-justice-federale-demande-larret-immediat-des-vaccins-covid-et-cite-le-temoignage-dun-denonciateur-affirmant-que-le-cdc-sous-estime-le-nombre-de-deces-dus-aux-vaccins/?lang=fr&fbclid=Iw

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L’INVITE SURPRISE DE BFMTV…SUPER GAG!!!

Ils attendaient un « enfermiste » béni oui oui dans la pure ligne gouvernementale  et tombe sur un médecin épris de vérité.
Ils ne l’avaient pas vu venir.
La vidéo avait été supprimé de you tube.
Je l’ai retrouvé ce matin en mauvais état mais préservée par un anonyme.
Elle est toute fraîche mais certainement appelé à re-disparaître…
A vous de juger.

 

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PANIQUE A L’ELYSEES APRES LES MANIFS? la minute de Ricardo.

La minute qui fait du bien. Un peu de fraîcheur et surtout de vérité.
Vous pouvez la trouver tous les jours sur F.B

https://www.laminutedericardo.com/LMDR/panique-a-lelysee-apres-manifs/?fbclid=IwAR2mb5JMhQj8D_2wV8aqnmXnPUpslKCZ3n50T54fZmlDPDevcuYy9cxz4rM

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LA BOMBE DU W.E par la députée Martine Wonner: La Garde Républicaine a démissionné et ne protège plus Macron…

Ou ce député a implosé ou c’est un tremblement de terre.
Je vous livre l’info …

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CES RALENTISSEURS ILLEGAUX QUI NOUS POURRISSENT LA VIE.

Qui,  en conduisant tranquilou n’a pas failli se viander sur un de ces ralentisseurs illégaux dont les maires abrutis sont friands…

 

https://www.facebook.com/LigueDeDefenseDesConducteurs/videos/143215597922049

https://www.liguedesconducteurs.org/actu-1/emissions-de-co2-et-consommation-de-carburant-qui-s-envolent-inconfort-bruit-nous-avons-mesure-toutes-les-nuisances-des-ralentisseurs-illegaux?fbclid=IwAR34PF-pUxC_c2N6EZZMnPJsEm8FRUb0Pky9

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3 PHOTOS CONCERNANT LES INONDATIONS DE CES DERNIERS JOURS « PROVOQUEES » PAR LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE …

 

Peut être une image de mur de briques et texte qui dit ’1795 Bp6: Exssanfiet Herbert Herbert-Eulenberg-Weg Weg 1784 Hochwassermarken. in Düsseldorf- Kaiserswerth (10 km nördl. v. Düsseldorf) 1882 1926 1920 1995 1993 1948 1983 1955 Phoo:H. Thieme’

 

 

 

 

Peut être une image de plein air

 

Peut être une image de plein air

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ORWELL ET BELLAMY

Je reproduis ici plus bas le texte intégral de la tribune que François-Xavier Bellamy a signée il y a une semaine dans Le Figaro, et qui n’est apparemment toujours pas en accès libre.
Je n’ai pas voté pour lui aux dernières élections européennes, mais je considère que c’est l’un des très rares élus, au sein de ce qui reste de la droite parlementaire (avec Henri Guaino, mais ce dernier n’a pas de mandat électif), qui aura su sauver l’honneur à l’occasion de cette crise.
L’abaissement ou l’attentisme de la plupart de ses amis, notamment les sénateurs LR et UDI du palais du Luxembourg, est tellement honteux et révélateur de ce que sont devenus les anciens partisans du libéralisme conservateur (ne parlons même pas du gaullisme) qu’il ne fait que confirmer ce que l’on sait d’eux depuis longtemps.
Partout, ces derniers jours, on vient l’air sévère nous expliquer que nous ne sommes pas en dictature ni à l’époque du IIIe Reich, ce qui est l’évidence même, commodément ressassée par tous les ânes du conformisme ambiant.
Mais il n’empêche que la pandémie de covid-19 et le quinquennat d’Emmanuel Macron nous auront quand même permis de donner une certaine actualité aux slogans imaginés par George Orwell dans sa peinture romanesque des mondes totalitaires du XXe siècle, notamment : « La liberté, c’est la servitude, et la servitude c’est la liberté. »
C’est du moins le sentiment que j’ai lorsque je vois les réactions qu’adoptent pas mal d’élites – et même certains de mes amis que j’aurais cru moins influençables – depuis huit jours.
Merci donc à François-Xavier Bellamy d’avoir eu le courage de l’exposer publiquement.
« Depuis l’apparition du coronavirus, nous sommes passés par bien des expériences inédites, et nous avons vu vaciller, de confinement en couvre-feu, la rassurante et illusoire évidence de nos libertés publiques. Mais il ne faut pas se méprendre: la vraie rupture historique pour notre modèle de société date de lundi dernier, avec les mesures annoncées par le président de la République. Si nous nous sommes opposés, il y a plusieurs mois déjà, à la création du pass sanitaire par le Parlement européen et le Parlement français, c’est parce que nous refusons absolument le monde qui se dessine sous nos yeux.
Une précision d’abord, dans la confusion et les caricatures du moment: s’opposer au pass sanitaire n’est pas être antivaccins. La vaccination est un progrès scientifique prodigieux, et l’une des plus belles pages de l’histoire de notre pays est sans doute d’y avoir largement contribué à travers l’œuvre de Pasteur. Mais comment comprendre que cette tradition scientifique aboutisse à la déraison que nous constatons aujourd’hui? Avec dix-huit mois de recul, nous connaissons désormais le coronavirus: nous savons chez quels sujets il provoque des formes graves. 93 % des victimes du coronavirus en France avaient plus de 65 ans; 65 % avaient un facteur de comorbidité. En dessous de 40 ans, sans facteur de comorbidité, le risque de mourir du coronavirus est quasi inexistant.
Pourquoi alors ne pas adopter la même stratégie de vaccination que celle qui a lieu chaque année face à la grippe saisonnière? Rappelons que, sans susciter aucune opposition, plus de 10 millions de vaccins ont été administrés l’an dernier contre cette épidémie, majoritairement pour les personnes vulnérables, âgées ou présentant une fragilité particulière. Le nombre de morts est ainsi contenu chaque année, sans qu’il soit jamais question de vacciner toute la population tous les ans au motif qu’il faudrait éviter la circulation du virus. On ne traite pas les plus jeunes d’irresponsables égoïstes parce qu’ils ne se font pas vacciner contre la grippe! Ce débat doit être mené sans simplisme et sans leçons de morale: oui, on peut être favorable aux vaccins, y compris à une campagne très large pour vacciner les personnes vulnérables face à cette épidémie, et affirmer que la stratégie de masse actuellement choisie semble hors de toute mesure: pourquoi faudrait-il vacciner un adolescent, qui ne risque absolument rien du coronavirus, au motif qu’il faut protéger les personnes âgées, si celles-ci sont vaccinées? C’est faire complètement l’impasse sur le nécessaire arbitrage entre bénéfice et risque, y compris du point de vue collectif.
L’accès à un espace public sera différencié selon nos données de santé. Comment une telle révolution peut-elle s’opérer avec une justification si faible, sans vrai débat parlementaire, et en caricaturant tous ceux qui osent s’en inquiéter ?
Mais là n’est même pas le problème essentiel, en un sens. Ce que nous n’acceptons pas, et n’accepterons jamais, c’est la transformation de nos vies quotidiennes, de nos relations humaines, de notre modèle de société, qui s’accomplira de manière certaine et potentiellement irréversible par la mise en œuvre du pass sanitaire. Pour la première fois dans notre histoire, il faudra présenter un document de santé pour effectuer les actes les plus simples du quotidien – prendre un train, entrer dans un magasin, aller au théâtre… L’accès à un espace public sera différencié selon nos données de santé. Comment une telle révolution peut-elle s’opérer avec une justification si faible, sans vrai débat parlementaire, et en caricaturant tous ceux qui osent s’en inquiéter? Rappelons pourtant combien ces contraintes inédites paraissaient inimaginables il y a encore quelques mois: quand certains redoutaient que le vaccin puisse devenir le critère d’une existence à deux vitesses, on les traitait de complotistes. Lorsque le pass sanitaire a été créé, le gouvernement jurait que jamais il ne conditionnerait l’accès à des actes quotidiens – seulement à des événements exceptionnels réunissant des milliers de personnes. C’est d’ailleurs à cette condition explicite qu’un tel dispositif avait été accepté par les autorités administratives compétentes pour la protection des libertés ou des données privées. Le fait que l’État méprise à ce point la parole donnée, sur des sujets aussi graves et en un temps aussi court, a de quoi inquiéter n’importe quel Français sur l’avenir de la liberté.
Car c’est bien tout notre modèle de société qui est aujourd’hui menacé. Si le gouvernement a la certitude que la vaccination générale est absolument indispensable, alors il devrait en tirer toutes les conséquences, et la rendre obligatoire. Nous ne pensons pas cela; mais ce serait au moins, du point de vue démocratique, une décision plus loyale que l’hypocrisie de cette contrainte déguisée. Ce serait surtout éviter de basculer dans ce nouveau monde où l’État contraindra chaque citoyen à contrôler son prochain pour déterminer ses droits. Le serveur d’un bistrot sera sommé de vérifier la vaccination et la pièce d’identité d’un client pour pouvoir servir un café; les mariés devront demander un QR Code à leurs invités avant de les laisser entrer… Et la police viendra sanctionner ceux qui n’auront pas participé efficacement à ce contrôle permanent. Qui peut prétendre qu’un tel dispositif permet de «retrouver la liberté»? Il constitue au contraire un précédent redoutable en matière de contrôle permanent et de droits différenciés, en particulier au regard des enjeux majeurs touchant la santé et la bioéthique dans les années qui viendront. Ne pensez surtout pas que, parce que vous êtes vacciné, vous aurez «une vie normale»: quand on doit présenter dix fois par jour un document de santé et sa carte d’identité, pour acheter une baguette ou faire du sport, on n’a pas retrouvé la liberté. Quand chacun doit devenir le surveillant de tous les autres, on n’a pas «une vie normale».
On nous dira qu’il faut choisir entre le pass sanitaire et le confinement généralisé: mais ce chantage est absurde. Dès lors que les plus vulnérables sont vaccinés, il n’y a aucune raison de revenir au confinement, aucune raison en particulier de fermer les amphis et d’enfermer les adolescents. Nous n’avons pas à choisir entre deux manières inutiles et dangereuses d’abandonner la liberté. Ce combat n’est pas individualiste, au contraire: c’est se sentir vraiment responsables d’un bien commun essentiel que de défendre cette liberté aujourd’hui gravement menacée. Il y a là un défi de civilisation: face aux modèles autoritaires qui triomphent ailleurs dans le monde, l’Europe et la France doivent montrer qu’une action publique efficace, même en période de crise, n’impliquera jamais d’abandonner les règles intangibles qui fondent nos démocraties. Les libertés fondamentales, l’égalité des droits, l’amitié civique, ne sont pas des privilèges pour temps calmes, mais des principes qui nous obligent. »
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C’est officiel, Israël reconnait publiquement que les vaccins ne protègent pas contre les variants.

Bennett :

« Les vaccins à eux seuls ne résoudront pas le problème »

La protection des vaccins « plus faible que nous ne l’avions espéré » contre Delta, déclare le Premier ministre ; les inoculations aident, mais « considérablement moins » qu’avec les souches précédentes ; Le gouvernement cherche à approuver les kits de test à domicile.

Lors d’une évaluation de la situation à Tel Aviv vendredi, le Premier ministre Naftali Bennett a déclaré que la protection offerte par les vaccins COVID-19 était « plus faible que nous ne l’avions espéré » contre la variante Delta en plein essor.

« Tous ceux qui espéraient que les vaccins à eux seuls résoudraient le problème – ils ne le feront pas », a déclaré Bennett lors de la réunion à laquelle ont assisté des ministres, des responsables de la santé, des membres du conseil de sécurité nationale, des policiers et des militaires.

« Le delta est en train de monter » partout dans le monde, a-t-il déclaré. « D’une part, les vaccins sont efficaces contre le virus, et nous nous assurons donc d’avoir les stocks nécessaires. Mais les vaccins seuls ne suffisent pas.

Il a ajouté : « Nous ne savons pas exactement dans quelle mesure le vaccin aide, mais il est nettement moins » contre Delta que les souches précédentes. « Nous espérons tous voir un ralentissement, mais les faits pour le moment sont qu’il n’y a pas de ralentissement – ni ici ni dans le monde. »

Pourtant, le premier ministre a déclaré : « Notre objectif est de permettre à la vie de routine de se poursuivre avec des ajustements au coronavirus. »

Bennett a déclaré que l’objectif du gouvernement était de fournir au public des directives claires avec suffisamment d’avertissement à l’avance pour se préparer, « sans surprises, sans panique et principalement grâce à une planification prospective ».

Lors de la réunion, les responsables ont décidé d’approuver rapidement l’utilisation de kits de test à domicile, d’augmenter l’application, en particulier du « Revelry Pass » qui devrait entrer en vigueur la semaine prochaine pour les mariages, fêtes et autres rassemblements intérieurs festifs, et de procéder à un examen des voyages politiques à l’aéroport Ben Gourion.

Pendant ce temps, un haut responsable de la santé a déclaré vendredi que le ministère de la Santé n’envisageait pas de verrouillage à ce stade.

« Je ne sais pas comment nous en sommes arrivés à parler de verrouillage », a déclaré Sharon Alroy-Preis, responsable de la santé publique au ministère, à la Douzième chaîne. « Nous ne sommes pas à un endroit où [considérant] un verrouillage pendant la période des vacances [en septembre]. »

Elle a déclaré qu’au lieu de cela, les responsables de la santé faisaient pression pour une large utilisation du système Green Pass pour permettre uniquement aux personnes vaccinées et récupérées ou à celles dont les tests sont négatifs d’entrer dans divers lieux.

Ses commentaires semblaient contredire ceux faits jeudi par Nachman Ash, le nouveau directeur général du ministère de la Santé, qui a déclaré que les fermetures restaient une possibilité pour la période des grandes vacances qui commence avec Rosh Hashana et s’étend sur une grande partie du mois de septembre.

« Je pense qu’il se pourrait que nous arrivions au point où nous dirons » nous avons besoin d’un verrouillage «  », a déclaré Ash à Channel 13. « J’ai peur que nous y arrivions… dans quelques semaines, il est possible que nous y arrivions. »

À partir de vendredi, tous les voyageurs, y compris ceux qui sont vaccinés ou qui se sont rétablis du COVID-19, ont dû s’auto-isoler pendant 24 heures à leur arrivée en Israël, ou pendant une période plus courte s’ils reçoivent un résultat de test négatif.

Pendant ce temps, ceux qui reviennent de 15 pays réputés avoir des taux d’infection élevés seront tenus de se mettre en quarantaine pendant sept jours avec un résultat de test négatif, selon les directives mises à jour du ministère. La période de quarantaine complète a récemment été raccourcie par rapport aux 10 à 14 jours précédents.

Les pays considérés comme ayant des taux d’infection élevés vendredi sont les Émirats arabes unis, les Seychelles, l’Équateur, l’Éthiopie, la Bolivie, le Guatemala, le Honduras, le Zimbabwe, la Zambie, la Namibie, le Paraguay, le Chili, la Colombie, le Costa Rica et la Tunisie.

À partir de vendredi 23 juillet prochain, les pays suivants seront ajoutés à la liste : le Royaume-Uni, Chypre, la Turquie, la Géorgie, l’Ouganda, le Myanmar, les Fidji, le Panama, le Cambodge, le Kenya et le Libéria.

Le ministère de la Santé a également déclaré que vendredi prochain, l’Espagne et le Kirghizistan seront ajoutés à la liste des pays présentant des taux d’infection extrêmes vers lesquels les Israéliens sont interdits de vol, à condition qu’un comité gouvernemental approuve la demande du ministère.

Les pays actuellement interdits aux Israéliens sont l’Ouzbékistan, l’Argentine, la Biélorussie, le Brésil, l’Afrique du Sud, l’Inde, le Mexique et la Russie.

Les chiffres du ministère de la Santé ont montré que 855 nouveaux cas ont été confirmés jeudi, le chiffre le plus élevé depuis le 22 mars. Cela est survenu après que les infections quotidiennes aient dépassé 750 chacun des trois jours précédents. Sur les 65 125 tests effectués jeudi, 1,52% sont revenus positifs – un taux légèrement supérieur à celui de ces derniers jours.

Il y a 5 817 cas de virus actifs dans le pays, selon les données du ministère de la Santé, tandis que le nombre de morts s’élevait à 6 443.

Les responsables de la santé ont lié le récent pic d’infections en Israël aux voyageurs qui ont ramené de nouvelles variantes du virus de l’étranger et ne se sont pas correctement mis en quarantaine après leur arrivée.

La résurgence du coronavirus en Israël a été largement attribuée à la propagation de la variante Delta, qui a été détectée pour la première fois en Inde et serait deux fois plus contagieuse que la souche COVID d’origine.

C’est officiel, Israël reconnait publiquement que les vaccins ne protègent pas contre les variants.

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