Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Délinquant face à la dictature fisco-bureaucratique.

Dans « La nature du totalitarisme » Hannah Arendt expose que la différence entre une dictature et un régime totalitaire ne se situe pas dans l’ampleur de l’arbitraire, de la répression et des crimes, mais dans le degré de contrôle du pouvoir sur la société : « une dictature devient « totalitaire » quand et si elle investit la totalité des sphères sociales, s’immisçant jusqu’au cœur des sphères privée et intime (familles, mentalités, psyché individuelle) ».

Je suis en accord avec elle, sauf que je ne pense pas que ce soit le dictateur qui installe le totalitarisme, mais bien la population elle-même. Je ne vois pas la source du malheur au même endroit qu’elle.

Au départ, même si cela n’est pas toujours visible pour un observateur extérieur, il doit y avoir une croyance dans la population — majoritaire intellectuellement — à partir de laquelle un ou plusieurs individus vont installer un pouvoir qui aura inévitablement tendance à devenir totalitaire, s’il ne l’est pas dès le début.

La noblesse a pris le pouvoir à travers l’idée qu’elle donnerait son énergie, voire sa vie, pour défendre les paysans qui n’avaient pas des âmes de guerriers. Les paysans y ont cru, aidés par l’église. Tout cela s’est terminé comme nous savons : « les guerriers nobles » ont fini par exploiter leurs paysans au lieu de les protéger. De guerriers nobles ils se sont majoritairement transformés en escrocs violents, au fil du temps.

Plus tard, l’essor de l’industrie a créé le monde ouvrier qui a généré un réflexe de défense de celui-ci face à son exploitation initiale par le patronat, qui se serait naturellement régulée du fait des intérêts communs en présence. S’en est malheureusement suivi le concept évanesçant de l’égalitarisme, dont une caste s’est déclarée aujourd’hui la garante : BERCY et les fonctionnaires qui ont capté le pouvoir absolu et installé une dictature.

Cela étant dit, je rejoins Hannah Arendt sur l’idée que l’ont peut-être sous un régime totalitaire sans être confronté à la menace physique directe, sans Goulag. La dictature étant alors avant tout psychique, construite sur la croyance à laquelle la population adhère.

Ce n’est qu’en cas de déliquescence de la croyance, ou en son absence, que le dictateur n’a plus à sa disposition que la violence physique pour installer ou maintenir son totalitarisme.

Aujourd’hui Bercy et la bureaucratie ont : « investi la totalité des sphères sociales, s’immisçant jusqu’au cœur des sphères privée et intime (familles, mentalités, psyché individuelle) »

Dans ce blog, à la diffusion confidentielle, j’expose mes voyages, mes incursions, mes explorations, dans les circuits du totalitarisme de Bercy, de la bureaucratie, des fonctionnaires.

Ceux-là même qui ont installé une dictature à partir de croyances séduisantes mais débiles, dont la principale étant que le capital économique serait un ennemi social, alors qu’il n’est que la base de l’économie, comme le capital scientifique est la base de la science, le capital médical celui de la médecine, etc…

Peut-être ce blog sera-t-il utile un jour pour comprendre comment ce pays est allé vers la catastrophe totalitaire, ce n’est plus moi qui serai alors à la manœuvre.

S’approcher du diable sans se cramer

Ce n’est pas facile.

Je vais vous en apporter la preuve. Que ce soit à travers ce blog ou précédemment sans tambour ni trompette, j’ai toujours souhaité aller voir au plus près les manœuvres louches des puissants. Entendons-nous, chacun ne peut aller observer que les puissants qui sont à sa portée, ça commence par le garde-champêtre qui braconne et ça va jusqu’au Président des Etats-Unis, qui braconne aussi. Ce sont partout les mêmes moteurs et les mêmes méthodes, tout n’est qu’une question d’échelle et d’apparences.

Dans un pays libre ces « voyages » sont sans problème, ils sont même conseillés.

Dans une dictature, un régime autoritaire, ils entraînent des conséquences néfastes pour le curieux.

En effet, l’arbitre chargé de faire en sorte que la partie soit honnête : LA JUSTICE, devient un outil au service du pouvoir pour éliminer le curieux.

Un exemple :

Le fichier Cassopiée (Chaine Applicative Supportant le Système d’Information Oriente Procédure pénale et Enfants), qui nous coûte 150M€ par an, est censé servir à la rédaction des différents actes de procédure : commissions rogatoires, ordonnances, interrogatoires et doit faciliter l’échange d’information entre les parquets. Les informations qu’il contient son gardées dix ans et visent la délinquance.

En cliquant sur ce lien vous prendrez connaissance du mien : LIEN

Vous constaterez que sur 24 mentions, 10 ne devraient plus être là. Qu’il ne s’agit que de procédures visant des rapports houleux avec la maréchaussée routière ou sur le blog avec les services fiscaux, des procédures, disons-le : politiques.

C’est donc une utilisation dévoyée de ce fichier et, évidemment, cela impacte lourdement mes procédures en cours ou à venir, en m’enfermant dans un rôle de contestataire stérile à éliminer le plus tôt possible.

Mes adversaires n’ont plus qu’à se cacher derrière leur statut d’élus ou de fonctionnaires en s’intitulant des : « fonctionnaires, des dépositaires de l’autorité publique ou des citoyens chargés d’un service public » et ils n’ont plus de compte à rendre. Facile, non ?

Un autre exemple :

Au pénal l’avocat n’est pas obligatoire. La personnalité des justiciables est fondamentale, j’y suis toujours présenté par les adversaires comme : un « fada », dirait Pagnol.

Comme les plaidoiries sont en grande partie orales, je demande toujours l’autorisation d’enregistrer ma propre plaidoirie, pas les débats globaux qui sont interdits d’enregistrement. A cela on me répond que ce n’est pas possible, mais que la greffière note l’intégralité de ma plaidoirie.

Je vous soumets, par ce LIEN, la note d’audience du 3 Novembre 2022.

Vous consterez d’abord que le tribunal, à ma demande de temps nécessaire pour me présenter pour présenter le contexte, dit : « Le prévenu, via l’huissier audiencé, indique qu’il souhaite un long moment de plaidoirie pour retracer sa biographie. Le tribunal précise au prévenu que l’audience du jour n’a pas un but biographique mais un but juridique »

Il se moque de moi, prétendant que j’ai demandé à exposer « ma biographie », et il ne me donnera pas de temps pour expliquer quoique ce soit….

En revanche, je disposerai de deux heures à la 17ème à Paris plus tard, mais pas pour la même affaire.

Quant aux notes de la greffière concernant ma plaidoirie, la présentation de mes arguments, je vous renvoie au paragraphe : Dumas Henri en sa plaidoirie, page 3…

Il ne reste rien de ma plaidoirie orale, les juges d’appel n’en connaitront rien, ils ne sauront jamais la perfidie du tribunal de La Rochelle. Mais ils s’en foutent probablement, ils vont enchainer sur la même ligne…

Conclusions

Le totalitarisme de la fisco-bureaucratie est avéré. Il n’est pas contestable. Il nous étouffe, nous tue, tue nos libertés jusqu’au plus profond de nous, gâche notre vie en société et la confiance qui devrait nous habiter.

Mais la fin des promesses arrive. Regardez ces pauvres gens qui défilent dans la rue en exigeant de leurs enfants une rente à venir, ils ne vont pas être déçus s’ils aiment vraiment le bordel, comme ils le disent…

N’ont-ils pas compris que ce sont eux, en bout de chaine, qui paient l’impôt ou le carnage du trop d’impôts ?

Nous ne sommes pas en route pour sortir de la dictature fisco-bureaucratique, mais une chose est sure, la liberté ne passe pas par les clubs et les nobles pensées, mais par le terrain et la démonstration des milliers d’actes totalitaires que chacun de nous constate chaque jour et doit dénoncer sans relâche, pour faire reculer la croyance sur laquelle nos dictateurs croient trouver une légitimité.

Il n’y a aucune légitimité à bafouer les libertés individuelles, à ne pas respecter la propriété privée, le capital, l’empathie et l’aide au malheureux pas aux fainéants.

Regardez, constatez, analysez, puis venez publier sur ce blog, c’est la seule solution, celle qui fait tant peur à Fournel… pour retrouver la liberté, sans laquelle être homme n’a aucun intérêt.

Bien à vous. H. Dumas

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FOURNEL le DG de Bercy s’ennuie.

Je l’imagine perplexe derrière la vaste baie de son bureau surplombant la seine. En bas une vedette prête à démarrer pour le transporter sur le plus beau fleuve de Paris, dans la cour une multitude de berlines noires lustrées à la « Nénette » prêtes à fendre les bouchons toutes sirènes hurlantes, sur le toit l’hélicoptère républicain qui d’un coup de retord peut le « retord-porter » en tout lieu à toute heure.

N’est-il pas l’homme le plus puissant de France ? du monde ?

Oui, surement, mais il s’ennuie.

Et pourtant, ce ne sont pas les distractions qui lui manquent. Notamment son « Bowling-red » — « red » pour redressement – un jeu du tonnerre, fait pour lui, qu’il maitrise à la perfection. Il peut choisir n’importe qu’elle cible et la faire attaquer par ses « Bowling-reders », qui la détruisent en deux ou trois coups bien ajustés. Il sait qu’il est le maître du monde, que ce ne sont ni les Chinois, ni les Russes qui peuvent lui faire peur, alors les p’tits Français…

Oui mais il s’ennuie, Fournel.

Enfin, disons plutôt qu’il a une contrariété. Une espèce de démangeaison qui l’agite, récurrente, qui pourrait s’étendre, qu’il ne contrôle pas autant qu’il le voudrait. Pourtant ce ne sont pas les efforts qu’il a fait pour la faire disparaître qui sont en cause.

Il a tout essayé, les plus folles arnaques, les plus violentes agressions, et malheureusement ça le démange toujours.

Aujourd’hui, après avoir bien réfléchi, il a lancé son va-tout.

Vous pouvez en prendre connaissance avec ce LIEN .

Il a fait fort Fournel, mais quand même… réfléchir trois mois, pour ça ? Signifié deux jours avant la prescription.

Si ça se trouve il a réuni une commission d’élite pour pondre le truc, avec des réunions journalières, des brainstormings à gogo. Il faut le dire : le résultat est là.

Enfin, entendons-nous bien, il va falloir des magistrats ouverts à sa rhétorique.

Du genre qui adhèrent à l’idée que les paroissiens sont tous en état de pêché, sommés de se confesser, pendant que les curés sont évidemment parfaits, plus que parfaits.

Des magistrats qui ne savent pas encore ce qu’est le passé décomposé.

Plaisanterie mise à part :

Pourquoi sa citation échoue à Arras ? Que vient faire Arras dans la critique d’un blog national ? La Cour d’Appel saisie donnera peut-être une réponse.

Le pire dans cette citation est que Fournel et sa bande trafiquent tant la langue française, qu’ils finissent par la comprendre de travers est faire dire aux mots l’inverse de ce qu’ils disent.

Sa copie serait amusante à lire si tant de personnes souffrant des folies de Bercy n’étaient pas en suspension de vie, projetées dans la misère par ses sbires, car oui, l’impôt abusif est un acte de guerre, c’est clair, et alors l’impôt indu…

Fournel peut dire ce qu’il veut, se cacher derrières des jugements absurdes, je suis l’exemple des dégâts et des injustices qu’il couvre journellement.

En réalité il veut me faire taire, il n’ose pas me suicider, mais il en a envie si fort que ça fait de la peine pour lui.

Allez Fournel : tout ça va s’arranger, évidemment pour nous, pas pour toi à qui ça va péter au nez. Fallait pas dépenser tous les sous des gens, ils sont pas contents, mets-toi à leur place.

Et ceux que tu pilles, ils ont le droit de te demander des comptes, c’est là tu vois :

« Article 14.

– Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

Article 15.

– La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »

Demande à un vrai magistrat, il te dira que j’ai raison.

Bien à vous. H. Dumas

PS : je dédie ce billet aux courageux qui lisent encore ce blog sous surveillance de Bercy.

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Les retraites ? Quelles retraites ?

Nous pouvons probablement nous mettre d’accord sur un point : la retraite est un revenu perçu sans équivalence travail, c’est une rente.

Déjà ici nous sommes immédiatement au cœur d’une schizophrénique collective : ceux-là mêmes qui haïssent les rentiers exigent de le devenir, c’est même pour certains leur seul but.

Si nous passons sur cette incohérence nous sommes alors confrontés au fait que, quelle que soit la méthode employée pour servir la rente retraite, il va falloir y consacrer un capital qui sortira du circuit économique sans retour.

Qu’il ait été économisé au préalable —capitalisation — ou qu’il soit distrait au moment de sa distribution — répartition—, le capital pour servir la rente retraite doit exister.

Hélas ce capital n’existe pas, n’est pas disponible et ne pourra pas l’être.

C’est le problème caché, que tout le monde fait semblant de ne pas voir.

Alors que tout le monde peut percevoir l’origine de sa disparition.

En effet, il y a belle lurette que Bercy a boulotté ce capital, sans aucune possibilité de retour.

Bercy, de la façon la plus secrète et la plus inique qui soit, a mis en fiche tous les français et transformé le pays en un goulag fiscal incapable de capitaliser.

Bercy est le bras armé de la nomenklatura qui vit au détriment du peuple, dissimulée derrière une propagande la prétendant à son service.

Les dépenses délirantes de cette nomenklatura, politiquement majoritaire puisque les abstentions ne sont pas comptabilisées, ont généré deux conséquences irréversibles : l’emprunt incontrôlé et la terreur fiscale.

L’emprunt incontrôlé

La charge fiscale, directement sur les revenus, ou indirectement sur tous les besoins, ou même encore mieux à partir de règlements se transformant en surcoûts taxables, est telle que nul ne peut constituer le capital nécessaire à sa vie propre ou à la vie de son activité. Bercy lui suggère d’emprunter. Il emprunte effectivement.

Or l’emprunt ne peut pas devenir une obligation de vie. Ses conséquences multiplicatrices sont exponentielles, mais possibles dans les deux sens : l’enrichissement ou la ruine.

Son usage doit être prudent et réfléchi. L’imprudence est ici suicidaire. L’obligation imposée par Bercy meurtrière.

La terreur fiscale.

Elle est fondatrice de l’efficience de Bercy, elle s’exprime à travers les contrôles fiscaux qui sont des zones de non droit, où sont tués volontairement des innocents pour installer une peur panique dans la population. Et ça marche.

Survolons le sujet. Non seulement le fichage de Bercy est secret mais il le reste lors d’une enquête ou contrôle, contrairement à la police qui est tenue à la transparence de ses enquêtes. En réalité Bercy favorise ainsi la délation et empoisonne la confiance nécessaire à la vie collective.

Le contrôle fiscal lui-même est secret, son enregistrement est refusé par les contrôleurs, qui assermentés et armés imposent leurs condamnations.

Lesquelles sont exigibles immédiatement, avant tout jugement. Au tribunal administratif pas de contre-expertise possible, donc des jugements sur les seuls dires de Bercy.

L’exécution passe par des juges civils de l’exécution, qui sont dotés des pouvoirs les plus étendus pour vérifier ou redéfinir une créance, sauf pour celles du fisc où ils deviennent de simples exécutants appuyant sur le bouton déclencheur de la guillotine, du meurtre.

En conclusion

Tous les abrutis qui défilent au nom de leur droit à devenir rentier, qui tentent de bloquer le pays, sont soit des imbéciles, soit des pervers. Il feraient mieux d’aller raser Bercy pour retrouver les moyens d’organiser la rente dont ils rêvent. Chacun, comme la fourmi, doit pouvoir la constituer et non pas la voler au voisin ou pire à ses enfants.

La consolation est que s’il ne rasent pas Bercy, Bercy s’effondrera seul, mais sur eux.

Bien à vous. H. Dumas

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Tout le monde peut être celui qui tue.

Accidentel ou voulu l’acte mortel non naturel est toujours le terme d’une erreur de vision initiale.

Tout est dans la vision initiale, dans la réflexion ou la pulsion qui va engager un processus individuel ou collectif qui se terminera bien ou mal, déterminé inexorablement par la vision initiale.

Nos vies ne sont donc que la conséquence fatale de nos impulsions de départ, tout ensuite n’est que trajectoires sur lesquelles nos moyens d’intervention sont extrêmement limités.

Le problème tient au fait qu’il n’est pas sûr que chacun de nous ait la faculté de choisir les multiples visions initiales qui vont déterminer les différentes trajectoires de sa vie.

Certaines sont liées à notre éducation, d’autres à notre environnement, peu sont un choix strictement personnel pris en toute conscience, qui de toute façon ne peut pas dépasser les limites de nos compétences de vision.

Quand Palmade engage sa vie tel qu’il l’a fait, en ne lui mettant pas de limite, il a mis en marche un outil de mort. À quel point est engagée sa responsabilité ? Il n’y a que lui qui le sait. Certainement pas ceux qui vont le condamner.

Mais il y a bien pire.

L’égalitarisme et sa forme guerrière le communisme ou le fascisme, sont des visions initiales si éloignées de la réalité, où la violence et le pillage annihilent le respect de l’autre, l’empathie due au plus faible, qu’ils ne peuvent finir que dans la mort.

Et aujourd’hui le communisme, dans son expression factuelle la plus perverse et la plus violente, joue sa survie face à l’humanisme mondial que la science pourrait mettre en place grâce à l’informatique et aux réseaux sociaux.

Face à leur disparition probable les prêtres défroqués du communisme regroupent les attardés de la terre et déclenchent en ce moment même la violence qui va tuer des milliards d’êtres humains., que l’on résiste ou non.

Eux même et leurs fidèles ont-ils conscience de la trajectoire qu’ils ont initiée ?

Certains probablement, leur majorité non.

Je ne serai plus là lorsqu’ils verseront leurs larmes de crocodile sur le carnage. Mais je souffre par anticipation et ma souffrance est immense, pleine de rage et de questionnement.

Est-ce si compliqué de comprendre ce qui se passe, où tout simplement la morbidité est-elle finalement la vraie patronne de l’univers ?

Bien à vous. H. Dumas

PS: Lorsqu’un gamin au sortir de ses études choisit la profession d’inspecteur des impôts personne ne lui a dit qu’il devra tuer des entreprise, tuer l’économie Combien sont-ils alors à en avoir conscience ? Peu sans doute.

Mais ensuite quand tous savent, comprennent la gravité de ces meurtres économiques, ils n’ont qu’un seul but : que l’impunité leur soit garantie. C’est la facture que nous payons. C’est la couleuvre qu’avalent les magistrats.

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En admettant que quelqu’un me demande un conseil, un seul.

Bon, la question ne se pose pas, personne ne m’en demande …

Mais, on ne sait jamais, un jeune loufoque, qui ne serait pas convaincu que sa génération a tout compris et les prédécesseurs rien, me dirait : « Monsieur, pouvez-vous me donner un conseil, un seul à l’aide duquel je pourrais bâtir ma vie ? »

Je lui dirais : « oui. Il se résume à ceci : cherche toujours l’origine ».

Tout a une origine dont la compréhension vérifiée permet de connaître toutes les situations intellectuelles ou matérielles qui en découlent.

La société « camembert-sondage » dans laquelle tu vis fait exactement le contraire. Elle ment sur les origines de tout et projette à l’aide de ses mensonges un avenir incompréhensible pour toi et des problèmes pour elle, qu’elle est — et restera — incapable de maîtriser.

Les grandes hésitations de l’homme, son instabilité, ses déséquilibres et ses angoisses tiennent au fait qu’il ne connaît pas son origine, ni celle de son environnement. Tous les mensonges qu’il a bâti à ce sujet lui sont gravement retombés sur le nez.

Un jour il saura, en attendant ce jour il souffre.

Plus prosaïquement, chaque jour nous créons les origines d’avenirs sans que l’on en soit toujours conscient tant ces avenirs peuvent être éphémères ou imbriqués entre eux au point d’occulter leurs origines.

D’où l’importance de reconstituer objectivement, dans un absolu souci de vérité, chaque origine de chaque chose. C’est la seule solution pour maîtriser et comprendre les décisions à prendre à tout moment du déroulement des choses, initié par leurs origines.

Cela vaut pour soi, pour les autres, pour la collectivité, pour le vivant et pour l’inerte.

Évidemment le questionneur pourrait alors me demander : « comment avoir la certitude que l’on va bien découvrir la vraie origine de chaque chose ? » Je lui répondrais : “ jeune homme il était question d’un seul conseil. Je n’en ai pas d’autre. Démerde- toi avec celui-là. En fait, la vérité dépend de toi et de ton travail. Seuls ceux qui l’atteignent valent, les autres m’indiffèrent. Tu comprends pourquoi je ne m’aime pas plus que ça”.

Mais je te rassure, “la recherche génère le doute et le doute protège de l’erreur et du mensonge”.

Mais, au fait.

La recherche de l’origine des choses est-ce de l’histoire ? Non, l’histoire comme son nom l’indique n’est qu’une histoire.

Est-ce de la science ? Non, mais sans elle la science n’existe pas puisqu’elle en explique certaines conséquences.

Est-ce de la croyance ? En partie oui, puisque c’est un des moteurs qui permet l’erreur, donc l’avancée de la recherche vers l’origine des choses.

Est-ce de la philosophie ? Non il manque définitivement à la philosophie le goût pour la preuve.

Est-ce de l’intuition ? Il en faut, mais ce n’est pas suffisant.

L’origine des chose ? C’est la vérité, toute nue. Celle que la plupart du temps nous ne voulons absolument pas voir, lui préférant le mensonge si séducteur.

Nous privons-nous ainsi du meilleur ? A chacun sa réponse.

Bien à vous. H. Dumas

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Coup de mou sur le passé, questionnement sur l’avenir.

L’an dernier j’ai pris position un peu avant l’invasion de l’Ukraine.

Cela s’est traduit par des billets dont les liens sont les suivants :

https://temoignagefiscal.com/certains-me-disent-que-poutine-aurait-raison/

https://temoignagefiscal.com/poutine-cest-fait/

https://temoignagefiscal.com/un-avenir-inquietant-humiliant/

https://temoignagefiscal.com/les-russes-sont-ils-pour-poutine/

https://temoignagefiscal.com/poutine-va-t-il-mondialiser-son-conflit-arme-aujourdhui-strictement-personnel/

https://temoignagefiscal.com/macron-na-pas-la-carrure/

Pourquoi ce dimanche je les ai relus ? Pourquoi ces prises de position ont isolé ce blog ?

Je ne sais pas.

Ce que je sais : la situation n’a pas l’air de s’arranger.

L’idée que ce que l’on appelle la civilisation occidentale, au moins en Europe va basculer vers le néant, l’asservissement, ne parait plus tout à fait farfelue.

Notre faiblesse économique, nos capitaux dilapidés, nous exposent évidemment face à des gens peu scrupuleux et puissamment riches de matières premières ou de main d’œuvre travailleuse et à faible coût.

Ils n’acceptent plus notre domination ? En effet cela parait clair.

Mais nous n’hésitons pas à continuer de nous mentir, à penser que tout cela est moins important que nos haines internes, haine du riche, haine du maghrébin, haine du juif, haine du croyant, haine du politique, haine du fonctionnaire, haine de la profession libérale, haine du consommateur, haine de l’automobiliste, du cycliste, du piéton, du motard, du capital, du travail, haine du jeune, haine du vieux, haine du con, haine du diplômé, haine du va-nu-pieds, haine d’un pour tous et de tous pour un.

Quelle énergie perdue, quelle folie et quelle imprudence. Mais malheur à celui qui alerte, qui explique, qui veut être le premier à tolérer. Puisqu’on vous le dit : « Pas de tolérance ».

La haine vaut loi. Il suffit de regarder l’Assemblée Nationale et tous ces pingouins qui se font élire, par moins de la moitie du pays et sur la haine des autres.

Petit écart

En relisant ces billets je suis tombé sur ce passage.

Le 25 février 2022 j’écrivais : « Mais pas plus que l’indigne façon dont me traite ces salopards du fisc ne pourrait justifier que je fasse une descente chez eux pour les abattre, même si j’en avais envie ce qui n’est pas le cas, Poutine n’a pas le droit de pénétrer chez un voisin et d’y perpétrer des assassinats. »

Quand je pense qu’ils m’ont mis un jour en tôle et je ne sais quoi de plus après jugement… pour apologie de meurtre… Pourtant lecteurs assidus, ces enfoirés ne lisent pas ce blog sincèrement…

Revenons à notre civilisation

Ses bases :

  • L’adhésion à la capitalisation, en tout, à travers la propriété, intellectuelle ou matérielle.
  • Les libertés d’expression et de circulation, sacralisées par l’inviolabilité du domicile et la justice sans les lettres de cachet.
  • Le choix démocratique des hommes de l’Etat, donc le refus de l’autocratie.
  • L’idée d’égalité de moyens — pas de résultat —

Non seulement ces idées ne sont pas naturelles, mais elles sont minoritaires dans le temps et dans l’espace, depuis toujours. Aujourd’hui, qu’en reste-t-il chez nous ? Rien. Pourtant elles ont été le moteur du progrès… dont plus personne ne veut

Evidemment, ce n’est pas ainsi que fonctionne la nature. D’un autre côté les écologistes n’y adhèrent pas non plus…

En ce qui me concerne, je m’efforce de défendre ces idées, je me demande bien pourquoi ? Notez, je ne me suis jamais posé la question, tant tout cela me parait humainement naturel.

Mais aujourd’hui, où elles ne sont plus à la mode, défendre ces idées est devenu compliqué, et demain je pense ce sera tout simplement dangereux.

Nous verrons bien.

Bien à vous. H. Dumas

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L’inacceptable coup d’Etat

Une nation est un groupe de personnes réunies géographiquement et moralement entre lesquelles s’est établie une confiance — fondation du consentement sans lequel rien n’est possible — qui permet à ces personnes de se regrouper ponctuellement pour affronter les difficultés que seule une action collective peut régler.

Les deux points constitutifs d’une nation sont donc :

  • la confiance, fondation du consentement.
  • La définition du champ d’action de la nécessité des actions communes.

La confiance

Elle résulte exclusivement du respect que chacun porte à l’autre. Elle est la traduction en retour de ce respect.

Ce respect n’est pas toujours immédiatement défini, il demande souvent un échange préalable d’opinions ou d’explications. D’où la nécessité de la liberté d’expression qui est la seule voie possible pour arriver au respect de chacun.

La définition du champ des actions collectives.

Elle est essentielle. Sans elle la nation court le risque de négliger les libertés constitutives du respect, de devenir un ensemble oppressif constamment en mode collectif. Lorsque le mode collectif s’étend à des sujets où il n’est pas essentiel, il se transforme en contraintes lourdes, inutiles, contre-productives, opposées à son avantage initial. Il débouche alors le plus souvent sur une oppression matérielle et morale constante qui détruit la confiance sans laquelle aucune nation ne peut exister.

Nous en sommes là.

Pourtant la déclaration des droits de l’homme avait balisé le sujet de façon pragmatique et largement accessible, au point qu’elle est toujours le repère théorique de notre constitution.

Mais, à la suite d’un coup d’Etat, dont les causes et les moyens sont connus mais seraient trop longs à développer dans ce billet, une bureaucratie de techniciens, au service exclusif d’eux-mêmes, a trahi la liberté d’expression en l’étouffant par la propagande et l’imposition de croyances en lieu et place de la raison.

Puis, les mêmes ont inlassablement prétendu pouvoir intégrer toutes les activités humaines dans un cadre impérativement collectif, imaginant une conscience collective qui se substituerait aux consciences individuelles.

Résultat : la confiance a disparu, égoïsme et corporatismes l’ont remplacée anéantissant l’idée même de nation, que des charlatans dangereux se proposent de rétablir par la force au lieu du consentement, ce qui serait le pire.

Que faire ?

Prendre pacifiquement le pouvoir pour redéfinir le périmètre collectif et du même coup réinstaller les libertés et la confiance.

Cela passe par les élections présidentielles, nous en avons déjà parlé.

Alors, qui s’y colle ?

Un homme ou une femme, d’une cinquantaine d’années, nécessairement ouvert, qui annoncera ce chantier, démolitions et reconstructions détaillées sans ambiguïté.

Je lui ouvrirai ce blog pour commencer. C’est dire à quel point il va partir de loin, de très loin… Bien à vous.

Henri Dumas

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Les détours de la violence fiscale

Ce billet pour ceux qui s’interrogent sur le fonctionnement de notre justice, sur sa propension à coller à la société mercantile, que par ailleurs elle dénonce et sanctionne à tour de bras.

Ce LIEN pour accéder à un arrêt de La Cour d’appel de Montpellier

Les faits sont simples :

  • J’ai réalisé la promotion d’un immeuble à Sète en 1989, je me suis payé la crise de 1990, les ventes n’ont pas été possibles, la plupart des lots me sont restés sur le paletot.
  • De 1990 à 2015, j’ai de ce fait assumé une grande partie des frais de copropriété, je n’ai jamais failli. Soit pendant 25 ans. Je suis resté toujours disponible pour la copropriété, à qui je me suis efforcé de rendre service pendant tout ce temps. Je n’ai jamais poussé à la sanction de ceux qui pour des raisons diverses ont été à ces époques en difficulté de paiement des charges.
  • Puis le fisc a redressé artificiellement et indument cette société qui est devenue insolvable et a vu son stock paralysé.
  • C’est là que les autres propriétaires et le syndic se sont sentis des ailes pour me poursuivre sans vergogne, alors que ma société ne pouvait pas être insolvable au regard des lots qu’elle possédait.
  • Dès que cela a été possible, j’ai vendu des lots pour payer la copropriété.

Je passe sur les intrigues nées des concupiscences qui ont affecté certains, sur la joie morbide de me voir mis à terre par la violence fiscale et espérer en retirer un profit. L’histoire, pas si ancienne, connait bien le sujet.

L’affaire se termine par une condamnation à 10.000 € pour avoir demandé un peu d’humanité, de ne pas être traité comme un poulet déchiqueté par une meute de chiens. Oui mais,  comment ai-je pu oublier que la justice est débordée et sélectionne par le fric ceux qui font appel à elle, surtout si elle se considère dérangée pour rien. Et un réputé fraudeur fiscal qui se bat pour son honneur et sa survie n’est-il pas moins que rien ?

La justice pour tous ? La justice recours contre la sauvagerie, l’irrespect ? Ben voyons…

Bonne lecture. Bien à vous. H. Dumas

 

 

 

 

 

 

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Opinion publique et violence fiscale

L’opinion publique est la maitresse incontestée de l’organisation sociale. Nul ne peut exercer le pouvoir sans elle.

Ceux qui croient que l’opinion publique n’est qu’une facette ou un privilège de la démocratie se trompent lourdement.

Les pires dictateurs savent qu’ils ne sont rien sans elle, c’est pourquoi ils la manipulent ou la terrorisent pour la maitriser. Car l’opinion publique peut être élégamment séduite ou vertueusement conquise, comme elle peut être abusée, voire violentée. Mais elle doit donner son accord expressément, tacitement ou lâchement. Sans lui, nul ne peut exercer le pouvoir.

Ceci exposé, on comprend aisément que dans une société matérialiste, comme la nôtre, l’opinion publique puisse être séduite ou achetée par le biais d’une économie généreuse pour tous. D’où l’idée de l’égalitarisme.

Idée farfelue que les vidéos sur la nature sauvage, abondantes sur le net, faites d’animaux qui s’entredévorent gaillardement, ramènent à sa réalité universelle…

Le réflexe de l’homme de pouvoir, lorsque l’opinion publique lui échappe, est de la récupérer par la force. La première arme qui lui vient à l’esprit est la propagande, accompagnée de la censure qui élimine celle des opposants.

Si cela n’est pas suffisant la contrainte contre les opposants pointe rapidement le bout de son nez, en même temps que les cadeaux aux fidèles partisans. En gros la corruption.

Nous en sommes là.

Plus loin viendrait l’agression physique, la torture, puis l’élimination totale par emprisonnement ou assassinat des opposants, de ceux qui pourraient convaincre l’opinion publique que le pouvoir n’est pas en de bonnes mains, risquant ainsi de le renverser.

La violence fiscale : le stade intermédiaire.

Elle possède de nombreux avantages, dont le principal est de rencontrer l’adhésion de l’opinion publique que le décideur cherche justement à flatter. Elle s’appuie sur le plus grand des dénominateurs communs : la jalousie.

Donc, plus le pouvoir est faible, plus la violence fiscale va monter en puissance.

On le constate tous les jours. La faiblesse des élus, des juges enfermés dans leurs bunkers, anciennement palais de justice ouvert à tous, est significative ? Plus ils ont peur, plus ils font place à la violence fiscale.

Ils vont continuer, jusqu’à ce que l’opinion publique comprenne que c’est pour elle un marché de dupe. Car, comme le démontre très bien Pascal Salin, c’est toujours le plus petit qui paie l’impôt. En effet l’entrepreneur ou producteur rajoute toujours à son prix l’impôt, car il doit avoir une marge sans quoi il disparait, et in fine le consommateur paie son achat augmenté du prix de tous les impôts.

Dans ce marché de dupe c’est le salarié de base qui finit, comme c’est le cas aujourd’hui, par ne percevoir qu’une infime partie de la valeur ajoutée par son travail, le solde étant dévoré par la fiscalité.

Cette violence fiscale est structurelle, elle frappe la plupart du temps aveuglément et par hasard. Alors que ceux qui la cautionnent ou la subissent sont persuadés qu’elle a ses raisons et s’imaginent personnellement décideurs ou victimes. Non, ce n’est pas le cas, c’est encore plus con que ça…

C’est un peu comme la torture au stade supérieur de la violence, quand les tensions sont arrivées jusqu’à la guerre. La torture accompagne inévitablement la guerre, alors qu’elle n’a aucun effet sur son déroulé. Mais elle évacue la pression sans risque pour le tortionnaire, elle tue la victime qui est rapidement passé du stade d’homme à celui de tas de bidoche qui n’intéresse personne. La torture se croit utile, ce n’est pas le cas, elle n’est pas à la mesure du problème. Même le pillage, la torture et la mort de six millions de juifs n’a pas eu d’effet sur le déroulement de la guerre de 39-45. Pourtant quel drame. Comment ont pu vivre après ce drame ceux qui s’étaient aussi lourdement trompés ?

Revenons à la violence fiscale

Donc la violence fiscale, sorte de torture matérielle et psychique, moins violente mais bien plus longue que les violences physiques, est inutile pour régler l’échec global inévitable de l’égalitarisme et pour permettre aux hommes du pouvoir, à la ramasse, de se refaire une santé dans l’opinion publique.

Tout faux, c’est ce que l’on peut affirmer.

En revanche, les dégâts de la violence fiscale sont monstrueux.

Ce sont les meilleurs qui morflent, les moins bons, les plus lâches, sont dans la connivence et y échappent.

La violence fiscale tue l’économie, elle crée des reflexes d’évitement qui prennent le pas sur la raison et l’investissement, sur l’ambition et le risque, sur la liberté des décisions économiques sans laquelle il n’y tout simplement pas d’économie possible.

Le jour ou l’opinion publique se révoltera contre la violence fiscale, que se passera-t-il ? Demandez à Louis XVI ou à Charles Ier d’Angleterre.

Vous pensez peut-être que ce jour n’arrivera pas. Qu’est-ce qui vous fait penser cela ? Il est TOUJOURS arrivé…

Bien à vous. H. Dumas

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Les escrocs de la bureaucratie vendent mon bien familial pour une bouchée de pain.

Jour après jour la bureaucratie française, ses irresponsables et ses escrocs, se découvrent. Ce n’est pas très ragoutant. La France a été la servile de Rome, elle en a sans doute gardé le goût, elle en incarne la décadence.

Certains pourraient penser que c’est la frustration qui dicte ma plume. Qu’ils le pensent puisque mes dénégations à ce sujet ne serviraient à rien. En résistant j’ai accepté d’être jugé.

Un point sur la situation générale.

Le 06/08/2019 l’Assemblée nationale a autorisé le gouvernement à procéder par ordonnance pour mettre en place la législation du Code Général de la Fonction Publique.

Le 24/11/2021 le gouvernement a édité l’ordonnance précitée du nouveau CGFP, entrée en vigueur le 01/03/2022.

Voici le premier article du CGFP : « Le présent code définit les règles générales applicables aux fonctionnaires civils. Il constitue le statut général des fonctionnaires.

Ceux-ci sont, vis-à-vis de l’administration, dans une situation statutaire et réglementaire. »

Les fonctionnaires, c’est-à-dire les troupes de la bureaucratie, ne sont pas dépendantes de la nation donc de nous comme cela paraitrait naturel, mais de l’Administration, c’est-à-dire d’eux-mêmes.

Ils sont comme Louis XIV, Napoléon ou Bokassa 1er, l’Etat c’est eux, point barre.

Les choses s’éclaircissent, on commence à comprendre.

Donc la bureaucratie a le pouvoir absolu, nous sommes ses sujets.

Mais, comme elle va d’échec en échec et que cela coute un bras, même les deux, il lui faut un bouc-émissaire, ce sont : Les riches, soupçonnés ou carrément accusés de fraude fiscale, c’est-à-dire de ne pas assez donner pour combler le trou que creusent avec détermination, pour leur confort personnel, les bureaucrates.

Sachant que nous sommes tous le riche d’un autre, il n’y a pas de limite à la dénonciation salvatrice pour les bureaucrates.

Mon cas particulier, pour l’exemple.

Je précise que la vente d’une partie de mon terrain familial étant une escroquerie, que je peux démontrer, cela me met en situation de légitime défense.

Je ne vais pas tirer dans le tas, ce n’est pas ma tasse de thé. Mais je me considère en droit de juger ceux qui m’escroquent, dans les termes adaptés à leur réalité, sans me sentir lié par quelque mesure que ce soit.

Rappel des faits

Profitant de la chasse intense liée au vol autorisé des personnes privées par les pouvoirs publics, une folle de pouvoir, inspectrice des impôts, Mme Jourdes, invente en 1998 une taxe successorale sur le jardin de la maison de ma mère.

Pour cela elle obtient un certificat d’urbanisme positif par la ruse, qui sera retiré rapidement par le maire, les terrains n’étant pas constructibles.

Choqué je la poursuis, ainsi que sa hiérarchie, pour faux et usage de faux. Résultat : néant.

Non seulement cet ignoble personnage utilisera, sans vergogne, ces faux certificats d’urbanisme pendant vingt ans pour justifier sa taxe indue devant les tribunaux, mais elle fomentera deux contrôles fiscaux mortels sur mes deux entreprises, pour se venger de mes poursuites. Cela en accord avec sa hiérarchie, au plus haut niveau.

Je gagnerai, au terme de vingt ans de bagarre, le redressement successoral, mais sans aucune indemnité. Vingt ans de harcèlement…

Il restera les deux contrôles fiscaux, mis en œuvre par deux inspecteurs minables, serviles et vicieux : Martino et Garcia.

Le premier est un jeune ambitieux, pas très malin, qui éditera un faux constat d’opposition à contrôle fiscal. Un peu gêné par ce faux, il mettra deux ans à éditer son redressement. Quelles promesses l’ont convaincu ? Je ne sais pas. Mais il était, il y a peu, le patron fiscal de la cellule qui analyse les biens des élus… sacrée planque…

Le second était un vieux kroumir, usé et cynique, péteux, qui a quitté le contrôle dès son arrivée dans mes bureaux, sans aucune raison, prétextant que l’enregistrement du débat oral et contradictoire nuirait à la sérénité de son travail. Incroyable… Pour lui, sérénité égale absence de trace.

Les deux ont donc édité des redressement basés sur des constats d’opposition à contrôle fiscal inexistants.

Comme sœur Anne, j’attends le magistrat honnête et courageux qui déclarera, comme il se doit, ces constats inexistants, et je ne vois rien venir. Quelle lâcheté…

Il est possible qu’il n’existe même pas…ce fameux magistrat honnête et courageux.

La vente de mon terrain familial.

Alors là, c’est le pompon. Le magistrat chargé de cette sale besogne s’appelle COMBARET.

Ce magistrat, comme tous, est inamovible. Personne ne peut l’empêcher de nuire.

Or, il n’est pas assez intelligent pour prendre conscience des conneries qu’il accumule ou, s’il l’est, c’est alors une crapule hors du commun.

Il a tout d’abord refusé de constater l’irréalité des factures indues présentées par le fisc pour engager la vente du terrain.

Il a mis en vente un terrain dont personne ne sait s’il est ou non constructible, pour se couvrir il a décidé une mise à prix de 15 000 € !!! Un terrain de 1 500 m² plein Sud sur  Saint Clair à Sète… Le résultat a été catastrophique cet après-midi, le tiers de la valeur d’un terrain constructible.

Il a refusé la vente amiable. Il n’a pas appliqué la loi, pourtant très stricte, qui annule le commandement valant saisie-vente en cas de non-réalisation de la publicité, et cela par deux fois.

Cet après-midi il a passé outre le fait que la fameuse dette fiscale serait professionnelle ce qui interdit la saisie d’un bien privé, avec la réserve que la loi a une dimension rétroactive, à discuter dans l’esprit… encore faut-il en avoir.

Ce même après-midi le fisc a présenté un faux certificat d’affichage par huissier, incroyable…il l’a cru, et non le certificat d’huissier de non-affichage que j’ai fourni… lui vrai.

Enfin, il tente — et réussira sans doute — d’obliger la Cour de cassation à modifier l’interprétation de la loi sur la nullité des commandements de saisie-vente pour absence de publicité. Il a mis volontairement les parties, dont l’Etat, face au fait accompli et à ses conséquences si maintenant la loi était appliquée.

Finalement, effectivement, c’est peut-être plus une crapule qu’un con…

Je suis détruit

Perdre cet espace de nature, ces restanques protégées, cette partie secrète du jardin de notre maison familiale où tous les enfants sont allés rêver, c’est très dur. Pour une bouchée de pain, alors que les poursuites du fisc pour des redressements imaginaires – je le rappelle désapprouvés par le Commissaire du Gouvernement de la CAA de Marseille – vont donc perdurer et que revenir sur cette injustice va devenir de plus en plus problématique.

Être obligé de supporter, à chaque audience, les avocats mercenaires du fisc qui n’ont pas d’autres arguments que de cracher sur ma personnalité, faute de réelle dette fiscale à démontrer, voir les magistrats acquiescer benoitement et servilement, cela donne une piètre image de notre pays.

Quelle bande de minables. Combien vont-ils tuer de personnes avant d’admettre qu’ils ont perdu 9000 Md€ à ce jour et demain bien plus ?

Quelle bande de pingouins. La seule consolation c’est que quand tout va s’effondrer, ils seront les premiers touchés, et ce n’est pas leur médiocrité et leur absence totale de courage qui vont les sauver.

Je n’irai donc pas leur tirer dessus à coups d’armes à feu, ils peuvent dormir tranquilles. Mais, s’il y a des correspondances et un cortex universel, qu’ils sachent que toute ma volonté est qu’ils paient très cher toutes leurs saloperies, faites à moi et à bien d’autres.

Bien à vous. H. Dumas

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A la poignée de fidèles lecteurs de ce blog

La Russie a envahi l’Ukraine le 24 Février 2022.

Voici ce que dit le Point : https://www.lepoint.fr/debats/guerre-en-ukraine-l-aveuglement-des-specialistes-etait-stupefiant-03-02-2023-2507271_2.php

Ce que nous disions le 13 Février 2022 : https://temoignagefiscal.com/pourquoi-poutine-nenvahirait-il-pas-lukraine/

Bien à vous. H. Dumas

 

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Aujourd’hui c’était la 17ème

On se rappelle que le Ministre Le Maire et son DG ont déposé une plainte contre moi pour apologie de meurtre.

Ceci à la suite du suicide de M. Théron, brocanteur à Bullecourt, qui poursuivi par le fisc a, avant son suicide, assassiné l’inspecteur qui le poursuivait, ce qui est objectivement inacceptable. Il y a d’autres moyens de se battre contre une éventuelle injustice fiscale que le meurtre.

J’avais, comme toute la presse nationale, évoqué cette affaire sur ce blog, mais je suis le seul à demander que nous soyons informés de la situation fiscale exacte de M. Théron pour pouvoir évaluer le niveau de violence fiscale impliquée dans ce drame, pour éviter sa reproduction.

Je me demandais si M. Théron pouvait s’être senti en état de légitime défense, ce qui dans mon esprit ne justifiait pas le meurtre perpétré, mais permettait peut-être de comprendre son coup de folie.

La violence fiscale que nous constatons sur ce blog nous laisse supposer que ses conséquences ne peuvent être que dramatiques, sans préjuger de leur déroulé dans la forme et dans le temps. Elle a eu la tête de Charles I en Angleterre au 17ème siècle, de Louis XVI au 18ème siècle en France, elle a généré l’indépendance des USA, etc…

Mais, tout le monde en France aujourd’hui nie cette violence fiscale.

C’est dans ces conditions que j’ai découvert ce jour le nouveau Tribunal Judiciaire de Paris. J’ai trouvé ce bâtiment séduisant, épuré et fonctionnel.

Le justiciable s’y sent plus humain, plus proche en humanité des magistrats. Ce qui pour moi est un plus évident : moins de pompe, plus d’écoute. L‘architecture n’est pas étrangère à cette impression, félicitations aux architectes.

Le rappel des articles de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen sur tous les murs est peut-être une facétie de la part des architectes, mais c’est rassurant pour ceux qui y croient.

L’audience

A cette audience l’avocat habituel de Bercy représentait soudain L’Agent Judiciaire de l’Etat, dont on se demande ce qu’il venait faire là ?

En réalité, il était l’avocat déguisé de Bercy surveillant le parquet. Il s’est contenté de répéter en boucle que je considère l’impôt comme un vol et que je légitime le meurtre de l’agent fiscal.

Cette méthode Coué intensive n’étant basée sur aucune déclaration de ma part, mais uniquement sur les déductions fumeuses du dit avocat. Sans intérêt.

J’ai dû préciser que toute dépossession par la force est un acte de guerre, comme l’a déclaré M. Le Maire face à la Russie. Que l’impôt n’est pas une dépossession par la force tant qu’il est consenti par le vote, mais que tout dépassement illégitime de son assise, y compris lors d’un contrôle fiscal, est un acte grave, très grave, et … très courant.

Puis vint le tour du Parquet, représentée par une toute jeune procureure. Aux ordres de Bercy, ayant mené une enquête strictement à charge, m’ayant mis déjà une journée en prison, elle ne m’a pas paru très à l’aise.

Quant à la violence fiscale, elle en pense ce qu’aurait pensé ma mère si on lui avait appris que nombre de curés étaient pédophiles ou très actifs hétéro ou homo sexuellement…elle ne l’aurait tout simplement pas cru. La violence ecclésiastique était une notion impossible pour elle, et pourtant…

Notre jeune procureure n’a aucune idée de la violence fiscale, elle s’est crue obligée à la fin de son réquisitoire de dire la vérité. M. Dumas ne doit pas aller en prison pour les faits reprochés, mais il doit savoir que la prochaine fois il ira. Donc on le condamne pour qu’il ne puisse plus écrire librement, qu’il soit à notre merci.

C’est bien. Bercy sera content. C’est ce qu’ils cherchent : que personne ne parle de la violence fiscale. A mon avis c’est une mauvais idée, ça leur pétera au nez plus fort, tout simplement.

Restent les trois magistrats

Personne ne peut nier qu’ils étaient à l’écoute, attentifs et normalement curieux.

Mais, comment en une heure expliquer que la dette de la France est de 3000 Md€ au bilan de 3500 Md€ hors bilan, de 2500 Md€ chez les particuliers, en tout environ 9000 Md€ ?

Disons 130 000 € par personne, enfants et clochards compris.

Comment expliquer que la France ne vit encore que grâce à la terreur fiscale, liée à la violence fiscale, qui lui permet d’emprunter toujours plus, que tout cela va mal finir, surtout pour les plus modestes ?

Comment expliquer la responsabilité de Bercy dans ce drame collectif, comment convaincre alors que l’on est accusé de fraude fiscale, d’apologie de meurtre, de diffamation envers les tortionnaires ?

Comment expliquer que les entrepreneurs, dépossédés de leurs gains par le fisc, sont obliger d’emprunter pour investir, fragilisant ainsi à l’extrême leurs entreprises.

Comment expliquer les drames sociaux de la violence fiscale, du harcèlement fiscal ?

Ce n’est pas encore l’heure. Aujourd’hui la violence apparait en beaucoup d’endroits où elle était ignorée, mais pas encore dans sa version fiscale, qui est pourtant la pire et la plus répandue.

Comment expliquer que ce sont ces raisons qui poussent Bercy à vouloir à tout prix faire fermer ce blog et que la méthode employée à l’occasion du drame de Bullecourt est la plus sordide ?

Je me demande jusqu’où ira Bercy pour me faire taire ? Alors que, quoiqu’il en soit, les forfaitures économiques de cette administration lui retomberont sur le nez, avec ou sans Dumas.

Le délibéré est pour le 28 Mars.

Bien à vous. H. Dumas

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Ils ne sont pas Charly : Mrs Bruno Le Maire ministre des Finances et Fournel Directeur General de Bercy — excusez du peu — mouillent leurs chemises pour atomiser ce blog et son auteur.

Ils vont bien sûr y arriver et personne ne lèvera le petit doigt. La majorité des Français bien-pensants gardant leur énergie pour faire payer leurs retraites à leurs enfants et à M. Arnaud.

Ce sera à l’audience de la 17ème Chambre du Tribunal judiciaire de Paris, le premier Février à 13h, voici le LIEN pour prendre connaissance de la défense que je m’efforcerai de présenter.

Je vous rappelle le billet où je vous ai fait part des reproches qui me sont adressés : Tout va très bien Madame La Marquise

Nous sommes au terme de la logique de ma journée de garde à vue — en réalité d’emprisonnement — à laquelle le parquet m’a déjà condamné, ce qui doit l’amener à requérir contre moi une peine de prison justifiant cette garde à vue, en lieu et place des excuses que dans une démocratie normale ils me devraient lui et Bruno Le Maire.

Le goulag de la bureaucratie est en route. Les pillards sont à la manœuvre et ils ont bien plus de 3 000 Md€ de dettes, alors…

Adieu à vous, je ne pense pas que nous nous reverrons. H. Dumas

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Sciences Po interdit l’usage de ChatGPT.

Nous y sommes, les masques tombent. Le Directeur de Sciences Po condamne fermement ChatGPT et menace du pire tout utilisateur dans sa boutique.

La raison invoquée est le plagiat.

Que fait-on à Sciences PO ? On apprend les pensées précédentes, évidemment. Mais surtout on vous apprend comment utiliser ces pensées, partant du principe que connaître ces pensées, pouvoir les citer, va vous donner un tel avantage sur les autres qu’ils se sentiront obligés d’admettre que l’utilisation que vous en faites est la bonne.

En clair Sciences Po impose sa vision des choses à ses étudiants, chargés de la répandre. L’effort de mémorisation devient une garantie d’intelligence. C’est une escroquerie intellectuelle.

C’est ce privilège de l’enseignant que l’application ChatGPT explose. D’où la colère des enseignants de Sciences PO et leur réaction primaire régressive.

Les argumentations de nos penseurs, aux grands renforts de citations — apprises ou déjà copiées –, vont faire face à une concurrence elle aussi outillée. Seule l’intelligence personnelle des protagonistes fera la différence lors de discussions politico-philosophiques.

Enfin, c’est de cela qu’ont peur les responsables actuels de l’enseignement à Sciences Po. Rien ne dit que c’est ce qui va se passer… l’avenir ayant une capacité à surprendre illimitée.

Mais en définitive :

L’action est beaucoup moins complexe que la pensée et ses cohortes de débateurs.

Il est tout bêtement possible que ChatGPT ramène les choses à leurs dimensions réelles, permette des synthèses rapides et justes. Qu’alors les prises de décisions matérielles, débarrassées des discussions pédantes interminables, puissent être plus vives et plus pragmatiques.

Ce serait cela le progrès. Un avenir débarrassé des pédants, des sachants usurpés.

Ce qui hélas ne supprimera pas les cons… mais c’est un autre sujet. N’est-on pas tous le con d’un autre ?

Bien à vous. H. Dumas

PS : Deux exemples des réponses de ChatGPT pour éclairer le débat

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Les 3000 milliards de dettes des joueurs étatistes.

Il suffit dans une famille d’un seul joueur ayant accès au patrimoine familial pour la ruiner.
Le joueur croit à ses martingales qu’il assimile à l’intelligence, qui lui permettent d’imaginer qu’il maîtrise le temps autrement que par la qualité de son travail.
Il croit que le jeu va réduire le temps et la distance entre lui et le capital. Il n’a pas compris que le capital n’a pour accès que l’accumulation et la transmission, comme seuls outils la compétence et l’intégrité.
Tout ce que possède sa famille sera transformé en mise potentielle dans la tête du joueur, puis en perte irréversible jusqu’à la ruine totale débouchant souvent sur le suicide.
Le joueur ignore ses pertes qu’il ne doute pas de régler — et bien au-delà — avec ses martingales.
Le joueur est indécrottable. Le malheur qu’il génère l’indiffère.
Pour le joueur la dette n’existe pas, elle est la contrainte éphémère justifiée par l’avenir paradisiaque que préparent ses martingales.
Pour l’observateur, la réalité économique du joueur est le résultat entre ses mises et ses pertes. Mais pas pour le joueur, pour qui elle résulte du potentiel familial restant pour miser et du gain espéré transformé dans sa tête en certitude.
Cette vision déformée de la réalité n’a pour le joueur qu’une limite : la ruine totale et irréversible.
Que dire face à un pays dont les hommes de l’Etat sont des joueurs et où la majorité du pays adhère au jeu, en est l’acteur ?
Qu’espérer pour ceux qui dans ce pays ne sont pas joueurs, respectent le capital, le travail, le mérite et l’intégrité ?
C’est la situation de la France.
L’emprunt est la mise de jeu. Peu de personnes en ont conscience.
L’emprunt pour consommer est une perte certaine. Le gain, dans ce cas, se résumant à la satisfaction de l’usage du bien acquis, rarement aussi intense qu’espérée. Emprunt remboursé, la voiture payée 20 000 € ne vaut plus que 10 000 €. Le joueur a perdu la moitié de sa mise.
L’emprunt pour investir est pire. L’investissement est un pari sur l’avenir que peu de parieurs sont capables de faire. Si l’intuition n’est pas particulièrement aiguisée, les pertes sont vites abyssales.
Ce qu’il ne faut pas perdre de vue.
La dette de 3 000 milliards d’Euros de la France, version Maastricht, explique la psychologie prédatrice des hommes de l’Etat, puisque pour faire face à cette dette l’état ne dispose que de sa fiscalité, de la violence fiscale.
Cette somme est nettement inférieure à la réalité, elle ne tient pas compte des engagements hors bilan, de provisions telle que la retraite des fonctionnaire, etc.. .
En réalité la France est composée de plus de 50% de joueurs qui misent l’argent public en espérant des gains illusoires. C’est leur majorité qui permet de jouer avec l’argent public. Ils attendent du jeu la même chose que tous les joueurs, l’accès à la félicité sans effort personnel. Ils croient dur comme fer à leur martingale, au point que nul n’est audible s’il leur dit la vérité.
Les deux conséquences
La ruine certaine du pays et, la précédant, le pillage par la force publique de tous ceux qui possèdent.
In fine, le suicide collectif par la guerre extérieure ou civile.
Ça tombe bien, les deux choix sont possibles aujourd’hui.
Conclusions
Tous ceux qui sont pris, conscients ou inconscients, dans les filets de la fiscalité, normale ou exceptionnelle, qui se sentent personnellement visés, qui croient que leur dossier peut faire l’objet d’une appréciation personnelle et trouver une solution, se trompent lourdement.
Ils sont en réalité pris dans un engrenage collectif de dettes de jeu, dans lequel ils encourent la ruine, comme tout le monde. Il n’y a pas d’issue personnelle.
C’est aussi simple que cela. La majorité des Français et la totalité de leurs hommes de l’Etat jouent au casino avec l’argent public. Nous encourons tous la ruine.
Bien à vous. H. Dumas

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Est-il quelque chose de plus personnel que la retraite ?

Concernant ce sujet, mon décalage avec la pensée qui parait être majoritaire, si l’on en croit la presse officielle, est abyssal.

Je n’arrive pas à comprendre que l’on puisse avoir envie que l’Etat fourre son nez dans les retraites. Je le pensais déjà à vingt ans, je le pense encore plus aujourd’hui.

En ce qui me concerne, je voulais travailler jusqu’à la fin de ma vie. Je suis servi, emmerdé plus que de raison mais servi. Je connais des personnes qui en revanche ont pris leur retraite très tôt.

En fait, lorsque j’étais jeune mon père avait pris sa retraite un peu avant 60 ans, fortune faite. Dès cette date il s’est emmerdé chaque jour consciencieusement, puis sont arrivés des revers de fortune, il a fini très péniblement. Pendant que ma grand’mère est restée à la tête de son entreprise jusqu’à plus de 70 ans, elle est morte dans la rue d’un AVC, elle n’a jamais eu le temps de s’emmerder.

Alors, que l’Etat ait un fond de sécurité pour une retraite minimale couvrant ceux qui n’ont pas été foutus de penser ou d’organiser leur retraite d’accord, mais les autres…

Car, si nous étions libres, nous pourrions soit constituer nous-même notre retraite, soit participer à une capitalisation mutualisée.

Tout vaudrait mieux que la pyramide de Ponzi qui nous est servie par un Etat kleptomane.

La réforme des retraites devrait passer par un arrêt net du système actuel qui cumule des tares mathématiques et morales.

Mathématiques parce que les cotisations d’aujourd’hui servent les retraités d’aujourd’hui, ce qui introduit une inconnue de taille : la richesse globale, sur place, des cotisants demain. Leur paupérisation possible — sinon probable — dans le temps ne pousse pas à l’optimisme.

Alors que tout devrait fonctionner à partir d’un placement des cotisations géographiquement illimité pour arriver à moins de dépendance possible par rapport aux aléas futurs locaux.

Morales parce qu’imposer à ses enfants la charge de sa vieillesse est une façon de faire totalement passéiste. Et alors, l’imposer aux enfants des autres, c’est encore pire.

Finalement,

Qui sont ces gens qui, parait-il, vont défiler par centaines de milliers en exigeant d’aller vers le pire du pire actuel, au lieu de revendiquer l’honneur d’assumer eux-mêmes leurs retraites, avec les fonds de leur génération, en choisissant leur méthode, personnelle ou mutualisée, mais à l’aide de leur capital, pas de celui de leurs enfants.

On me dit que ce sont des croyants. Ils croiraient que l’Etat existe et possèderait une sorte de machine à fabriquer du pognon et à le leur donner. Au pire, l’Etat le prendrait aux autres, à ceux qui sont là pour fabriquer le miel qui les nourrit.

On me dit aussi que la France est un Etat de droit qui protège toutes les croyances, y compris celle-là.

OK, OK, d’accord… Mais quand même, je n’en reviens pas.

Bien à vous. H. Dumas

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Tout va très bien Madame La Marquise

Les enquêtes pénales sont secrètes, le but est clair : il s’agit de préserver la présomption d’innocence.

« Le secret de l’enquête et de l’instruction permet de protéger la présomption d’innocence des mis en cause et de ce fait garantir au justiciable un procès équitable au sens de l’article 6 CESDH, c’est-à-dire le droit à « un procès équilibré entre toutes les parties (aequus = équilibre) dont les principales manifestations, dans la jurisprudence de la Cour EDH, sont : le droit à un recours effectif devant un tribunal, le droit à un tribunal indépendant et impartial ; le droit à un procès public, respectant l’égalité des armes et conduisant à un jugement dans un délai raisonnable ; le droit à l’exécution effective de la décision obtenue.(Village de la Justice) »

Donc, à contrario, lorsqu’il s’agit de faire échec à une présomption de culpabilité : il n’y a plus de secret possible. Le procès étant public, les intrigues négatives de l’enquête ne peuvent que l’être.

Voici donc le lien pour l’enquête publique concernant les poursuites engagées contre moi pour apologie de meurtre : LE LIEN.

Probablement, tout comme moi, vous allez être surpris par la consultation de ces documents.

D’abord, évidemment, je suppose que la dépersonnalisation de l’enquête, le fait que les hommes et les actions sont déshumanisés, alors qu’il s’agit justement ici de beaucoup de sentiments, vous paraîtra un peu affligeant.

Bien que… l’émotion transparaisse où on l’attend le moins, quand le commissaire de police n’hésite pas à déclarer (P 10), au terme de son enquête :

Où cet homme, probablement respectable, a-t-il vu que « j’expliquais que ce meurtre était totalement légal » ???

Globalement on ne peut pas dire que la sensibilité et l’équilibre soient les maîtres mots de cette enquête concernant des faits pourtant si humains.

Ce qui surprend aussi c’est la réactivité de la justice :

Saisie par une plainte le 25 novembre 2022, au sujet d’un billet paru le 22 novembre 2022, le parquet requiert le commissariat de Sète pour enquête le 29 novembre 2022.

J’en connais quelques’uns que cette rapidité va décontenancer.

Le parquet ajoute la garde à vue aux motifs que :

N’était-ce pas un peu excessif ???

Attardons-nous sur le corps de la plainte de M. Jerome Fournel (P 45), que nous connaissons bien, qui est l’impunité personnalisée.

D’abord il faut constater que Fournel est vexé, il met en pièce jointe le billet https://temoignagefiscal.com/transparence-et-opacite-pouvoir-et-soumission/ , qui n’a aucun rapport avec le sujet de sa plainte. Il tente sans doute, dans son esprit, de faire la démonstration de ma désocialisation…

Il voit, dans mon billet sur le drame de Bullecourt, le délit de « provocation non suivie d’effet à commettre une atteinte volontaire à la vie ». Franchement si la situation n’était pas si grave je me demanderais si Fournel ne fume pas la moquette de son bureau… ou si ses études en français ont été laborieuses.

C’est à partir de cette base qu’il dévie sur « l’apologie de crime. »

Puis il parle de « Jacques » qu’il connait bien puisqu’il s’agit d’un de ses anciens inspecteurs des impôts…. Auquel d’ailleurs je réponds très en retrait de son commentaire. Je n’aime pas les menaces directes ou les affirmations sans preuve sur les commentaires, mais… je suis tant opposé à la censure…

Enfin, il fait dire à mes propos des choses qui n’y sont pas, il nous gratifie d’une crise de paranoïa sans rapport avec mon blog en général et le billet incriminé en particulier.

Il croit utile d’engager l’apologie de l’impôt, sans mesure, sans retenu, sans décence, en oubliant qu’il est excessif, que le pays est en faillite, pas à cause de nous mais à cause de lui, que nous le ressentons, qu’il frôle l’hystérie quand nous l’exprimons. Il veut nous faire croire que tous ses inspecteurs sont justes, impartiaux, à notre écoute. Il rêve ou il se moque de nous… Il n’a aucune police pour sanctionner les abus de ses troupes, parce qu’il ne souhaite pas les sanctionner. La violence fiscale est sa tasse de thé, la terreur fiscale son outil de tous les jours, sa menace de tous les instants.

Tout cela n’est pas digne d’une démocratie, et son mot de la fin : « J’ai chargé Kamal Nebhi chef de bureau Affaires juridiques et Contentieux, joignable au 01 53 18 12 70, pour suivre la procédure ouverte par votre service » est significatif.  

Fournel ne dépose pas une plainte. Il n’envisage pas que le parquet ait le libre choix des poursuites. Il ordonne à un de ses « services », le parquet de Paris, d’agir et de poursuivre Dumas. Il a même nommé quelqu’un pour surveiller que tout cela fonctionne comme il l’a décidé.

Tout va très bien Madame La Marquise…

Bien à vous. H. Dumas

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Ils dénoncèrent les juifs pour avoir leur appartement… ils n’ont pas changé.

L’homme est parfois une raclure qui ne connait pas de limite.

Dans son délire de meurtre économique, son harcèlement constant, le fisc n’hésite pas à me poursuivre pour des sommes que je ne dois en aucune façon. En rapporter la preuve ne m’a servi à rien. Personne ne me croit ou tout le monde fait semblant de ne pas me croire. On me traite juste de « fraudeur fiscal » et le tour est joué, le pillage consommé.

La prétention illimitée de notre justice fait barrière, justement à la justice. Ne comprenant rien au fonctionnement de l’économie, de l’entreprise, les magistrats pensent remplir leur devoir en entérinant les pillages de Bercy, en en couvrant les acteurs.

Ils sont solidaires… avec la mort des autres qu’ils provoquent sans état d’âme.

Bien plus, le JEX de Montpellier est saisi du vertige de l’écrasement d’autrui. Planqué sur son estrade, un marteau à la main, il jouit sans retenu lorsqu’il frappe la fin d’une enchère où le saisi voit partir son patrimoine pour une bouchée de pain. Sa satisfaction est totale quand il voit les naufrageurs, les rats, se jeter à l’eau pour s’arracher entre eux les dépouilles de celui qu’il vole, qu’il tue, qui est là, qui souffre, qui meurt.

Je suis l’exemple lucide de sa jouissance à venir du 6 Février 2023.

Ce jour-là, il a mis aux enchères publique une partie du jardin de ma propriété familiale, pour des sommes soit déjà payées au fisc soit réclamées indument par le fisc.

Il sait tout cela, il s’en fout.

Le sommet de son vice tient en quatre points :

  • Il met en vente un terrain de 1 500 m², au prix de 15 000 €…
  • Il met en vente un terrain personnel pour une dette, prétendue mais indue, qui est professionnelle, c’est interdit, il s’en fout.
  • Il a refusé la possibilité de vendre à l’amiable.
  • Il a accepté une publicité légale dont voici les termes :

J’espère que cela vous fait au moins sourire…

Figurez-vous que j’ai mis sur le site un panneau, avec mon numéro de téléphone.

Je reçois un coup de téléphone par demi-heure, Dimanche compris. Tout ce que la ville, la région, le pays comprend de raclure accourt pour la curée.

Je n’en reviens pas. Sauf rare exception, pas un ne se présente, ne dit son nom, tous veulent des informations pour participer au pillage.

Pas un ne s’insurge contre le fait qu’un terrain à bâtir posant autant de questions ne peut pas être vendu sans avoir au préalable obtenu le permis de construire et épuisé le recours des tiers. Ils se disent sans doute que la vente judiciaire, organisée par le fisc, leur garantit, par fraternité, l’octroi du permis par les fonctionnaires de la mairie… entre fonctionnaires…

Et puis, 15 000 balles. N’est ce pas équivalant aux bonnes affaires de l’aryanisation, ce n’est pas tout les jours qu’une telle situation se présente, non ?

L’appartement du chapelier juif pour une bouchée de pain vaut bien quelques sacrifices. Il ne manque pas de chacals. Pas plus aujourd’hui qu’hier. C’est objectivement démoralisant…

A lire, en cliquant dessus : la demande de référé d’heure à heure… on ne sait jamais, un sursaut de la justice. La victoire de la vérité sur le mensonge, du bien sur le mal ?

Ils poussent le bouchon un peu loin, non ?

Bien à vous. H. Dumas

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Chaque jour qui passe apporte sa dose de haine de violence et de meurtre en devenir

Ce cycle infernal est sans fin. Seul le dégoût pourra l’arrêter. Hélas nous sommes encore, et pour longtemps probablement, dans la phase jubilatoire de la haine de l’autre, dans l’attente impatiente de l’opportunité de le violenter, de le tuer.

L’exemple du jour

Il y a un demi siècle les architectes se sont fait confier le monopole de l’acte constructif. Ce qui, pour ce noble art qu’est l’architecture, a été un scandale, dont on commence à voir la trace aujourd’hui signée par la monotonie et par le manque de créativité de la majeure partie des constructions réalisées sur tout le territoire national.

Il faut dire qu’avant d’obtenir ce monopole les architectes avaient déjà sévi en bâtissant un peu partout les cités dortoirs HLM honnies, qui relevaient déjà de leur monopole.

A l’occasion de ce monopole « artistique » une organisation corporative s’est surajoutée : Le Conseil de l’Ordre des Architectes, organisé au profit de ses organisateurs.

Cette docte assemblée, qui se pousse du col, qui n’en peut plus, gère l’asservissement des architectes, de leur créativité, au pouvoir politique et bureaucratique. Logique retour du monopole consenti.

Pour ce faire l’Ordre émet une cotisation.

Qui ne la paie pas perd son titre d’architecte, enfin plutôt son droit d’exercer en France… Quel moyen de persuasion… pas vraiment tendre, plutôt violent…

Je suis en désaccord avec cette cotisation, que je paie régulièrement mais en la limitant à la case « sans activité en cours », ce qui est mon cas.

L’Ordre se prétend légitime à percevoir sa cotisation non sur les seuls revenus liés à l’architecture mais sur tous les revenus. C’est stupide.

Nous nous retrouvons au tribunal où je perds, sans avoir les moyens alors d’aller en cassation.

La problématique sociétale me parait importante puisqu’elle touche la notion de monopole d’un art majeur et de sa censure engendrée, ainsi que la légitimité de lever finalement un impôt en lieu et place d’une cotisation professionnelle.

Du bonheur pour un magistrat qui s’intéresserait à la marche de son pays et à son métier, non ?

Eh bien non, malheureusement.

Hier en audience de conciliation, précédant les abominations dont on m’a averti pour les 2 000 balles que je devrais, la juge m’a regardé droit dans les yeux pour bien me faire comprendre que ne pas payer sa cotisation, telle qu’elle est demandée par le conseil de l’ordre des architectes, est un acte de contestation inadmissible.

L’architecture, elle s’en fout comme de sa première guigne, elle n’est pas là pour ça.

Elle est là pour bien faire sentir la haine de ceux qui sont au pouvoir contre ceux qui se rebellent, surtout s’il s’agit d’une révolte contre la symbolique de ce pouvoir. Ce qui est le cas ici.

La haine, transmise par procuration, de la juge était accompagnée d’une jouissance des violences à venir dans les yeux de l’huissier qui représentait l’Ordre des Architectes. Pensez, ils vont saisir ma retraite : un exploit.

Pauvre bande de pieds plats, qui ne comprennent même pas que ce sont eux qui cassent tout en distillant ainsi la haine, sans même réfléchir aux situations.

Plus largement

Bercy fait journellement l’apologie de la haine du « fraudeur fiscal » sans que personne ne sache ce que représente cette qualification, y compris Bercy…

Les écolos font journellement l’apologie de la haine pour l’homme qu’ils imaginent négatif — tous les hommes, eux compris, il faut le faire –, de la haine pour le progrès, le capital, la confiance…

Les musulmans font journellement l’apologie de la haine pour tout ce qui n’est pas musulman.

Ces haines et d’autres sont synergiques, elles génèrent une violence qui se manifeste actuellement par le verbe, mais qui languit de se manifester physiquement.

Nous sommes aux portes de la guerre, dont la stupidité est avérée, mais qui ressurgit régulièrement malgré l’immensité des douleurs qu’elle génère.

Je suis sidéré, ce qui ne change pas grand-chose à la situation… et vous ?

Bien à vous. H. Dumas

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Quelle violence fiscale ? Quelle légitime défense ? Circulez, il n’y a rien à voir.

Vous et vos enfants avez passé deux mille ans à vous faire baiser par l’église, vous passerez bien quelques siècles à vous faire niquer par Bercy, me disait un inconnu que j’ai connu.

La méthode est toujours la même, ils flattent les humbles, les gentils, ils leur disent que leur misère est imputable aux autres, tout particulièrement aux riches, qu’ils vont réaménager tout cela à l’aide de l’amour, de la fraternité, de la bonté naturelle des hommes, plus celle des loups, des ours, des moustiques, enfin de tous les êtres vivants du plus grand au plus petit.

Après avoir installé dans les rêves de tous ce paradis – en devenir – ils prennent le commandement, le pouvoir… il faut bien agir pour aboutir aux promesses.

Mais c’est dur, alors il leur faut une police, une armée, pour imposer le bonheur promis.

Regardez, ce pauvre Poutine qui a promis, à ceux qui le croient, la grandeur, la prestance, et les honneurs attachés … Il a besoin d’une armée évidemment, mais ça merde un peu, non ? On verra.

Ils finissent tous par patauger dans la violence, et le comble c’est qu’ils la dirigent finalement vers les humbles qu’ils prétendaient servir, qu’en réalité ils exploitent, qu’ils tuent ou font tuer.

Ci-dessous, une belle histoire de violence gratuite de mort financière volontairement programmée.

Ceci est l’affiche de la mise en vente d’une partie de mon jardin, qui n’est pas constructible, duquel avec mon chien nous voyons la mer et les Pyrénées, assis sur des restanques plusieurs fois centenaires, auprès d’un olivier peut-être millénaire, entourés de chênes verts protégés.

Quinze mille balles, c’est pas cher, pour le gogo qui va se laisser couillonner, parce qu’il imagine qu’il va construire sur ce terrain que les Services Municipaux se sont arrangés à rendre inconstructible à l’occasion de la réalisation du PLUI, en lui réservant des contraintes insurmontables. Alors… à moins peut-être de payer un arrangement, mais sans doute n’est-ce pas possible.

Comment en sommes nous arrivés là. Mais par la violence fiscale, évidemment.

Rappelez-vous, tout est dans ce blog.

Une pétasse des Services Fiscaux redresse la succession de ma mère. Elle estime, sur le même lieu, la continuation du terrain mis à la vente aujourd’hui comme terrain à bâtir — continuation alors et toujours non constructible –, pour la somme de 2 168 000 Frs, en mars 2000, en gros, avec l’inflation, un million d’Euros d’aujourd’hui. Pour cela elle utilise un faux certificat d’urbanisme, qui a été rapporté par le maire.

Elle perdra vingt ans plus tard, sur renvoi en appel par la Cour de cassation. Aucune indemnité ni pour moi ni pour mes enfants alors étudiants et poursuivis sur leurs premiers salaires. Pas violent ça, vingt ans de harcèlement, saisies, ATD, lettres RAR constantes, etc… Non, juste un erreur d’estimation a dit le juge d’appel…

Bon d’accord, je ne m’étais pas couché.

On m’avait dit — publicité mensongère — que j’étais un homme libre dans une société de droit… ouaf, le gag…

Crédule, je me suis tourné vers la justice pendant ces terribles vingt ans pour faire acter l’usage de ce faux certificat d’urbanisme, qui était le seul élément mis en avant par la pétasse pour inventer une taxation supplémentaire de cette succession.

J’ai perdu, partout.

Non seulement je perds, mais la bande se venge — car elle n’est pas seule la pétasse — et elle me colle deux touristes qui viennent faire semblant de vérifier mes deux sociétés SARL Cocraud et SCI Mirabeau.

Ils ne vérifieront rien du tout. Ils profiteront de ma naïveté, de ma spontanéité, pour rédiger deux faux. Deux procès-verbaux inexistants d’une opposition à contrôles fiscaux elle-même inexistante.

Rebelotte, je sollicite la justice, les hiérarchies, en pure perte.

La violence est lancée, rien n’est en mesure de l’arrêter, elle est vitale pour ceux qui veulent faire croire qu’ils sont la justice au service des hommes, mieux que Dieu…

Bercy est au-dessus de tous et de tout, donc des juges et des lois. Je veux bien aller en prison pour avoir clamé cette vérité.

Seul un magistrat, le Commissaire du Gouvernement de la Cour d’Appel Administrative de Marseille traitera dans ses conclusions ces deux redressements de non-sens. Mais il ne sera pas suivi par le juge. Quand même, quel courage cet homme, il y a peu de chance qu’il devienne ministre de la Justice.

Et voilà.

Au final, une fausse facture de plus de 2 M€ qui aura amené la vente de la plus grande partie du stock de la SARL Cocraud et d’une grande partie de ma propriété familiale.

Mais ce n’est pas tout, les conséquences vont entrainer ma ruine et, au moins, ma mort sociale. Si, avec tout ce bordel, on peut dire que j’ai eu une vie sociale.

Mais alors, vu par Bercy, la pétasse à l’initiative de tout ce bordel, devrait être décorée de la légion d’honneur. Non ?

Elle vaut bien tous les héros breloqués, dont la grandeur dépend directement du destin du camp dont ils étaient. Car si tous ont d‘abord donné la mort, la célébrité n’est que pour les vainqueurs… les perdants ont tué pour rien.

Et tous ces évêques qui n’osent plus sortir de peur qu’on les reconnaissent…

Quel foutoir !!!

Enfin, en ce qui me concerne, tout ce en quoi j’ai cru n’existe pas, je me suis trompé, sur toute la longueur.

J’ai pris des risques, faut pas, j’ai travaillé plus que nécessaire, faut pas, j’y ai pris du plaisir, faut pas, j’ai gagné de l’argent tout en faisant en sorte de ne léser personne, faut pas, j’ai refusé les compromis les connivences, faut pas, j’ai donné gratuitement de mon temps à la collectivité, faut pas… Oui, c’est beaucoup d’erreurs.

Résultat, aujourd’hui je suis tout en haut du mur des cons des magistrats, qui évidemment existe toujours ; la population servile me hait, il lui tarde que je sois pendu haut et court, qu’elle puisse honorer la pétasse.

Elle ne comprend pas, la population, que je suis elle, tout simplement, que c’est donc son tour, à grande échelle, pas le mien, je suis là par ma connerie d’idéaliste, je pourrais être ailleurs, pas avec elle…

Elle est aveugle et sourde, elle accepte de se faire traiter de gilet jaune alors qu’elle porte un espoir et une révolte juste en elle, si juste et si forte que tous les maquereaux qui souhaitent le pouvoir se disent plus gilet jaune qu’elle.

Tout ça est formidable, le banni que je suis devenu, fraudeur fiscal, procédurier, quérulant comme l’a très bien rapporté un de mes rares lecteurs, observe cette situation avec beaucoup de tristesse. Tout ça pour ça…

Bien à vous. H. Dumas

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Macron entre phantasme et réalité

Ce garçon m’intrigue.

Aucun doute sur le fait qu’il est gonflé. Son adolescence en témoigne.

Est-il gonflé au gré des circonstances, simplement pour épater la galerie en exploitant n’importe quelle situation scabreuse, ou est-il lucide sur ces situations et parfaitement conscient des suites de ses exploits, qui l’indiffèreraient ?

Là est la vraie question quand sa personnalité interfère avec notre vie commune du fait de sa position d’homme de l’Etat en chef.

Son discours de fin d’année peut être reçu simplement comme issu de la pensée d’un camelot de foire exposition, qui ratisse large pour fourguer sa camelote.

N’est-ce pas trop simple ?

Réalisé en contrepoint de tout ce qui ne va pas, et la liste est longue, il laisse supposer que tout va aller. Il suffirait de travailler et de s’engager…

Rien sur les causes, rien sur les responsables du désastre que nous allons — grâce à notre engagement et à notre travail, aussi un peu au fric qu’il va nous piquer – solutionner.

Donc se pose les questions :

  • Est-il un simple frimeur qui n’a aucune idée quant aux causes et qui s’en fout ?
  • Où est-il parfaitement lucide, ancré dans le système techno-égalitariste qui nous broie, nous tue et nous amène surement au pire ?

Dans le premier cas il n’est pas bien dangereux,

Il fait partie de la masse de ceux qui vont dérouiller quand la vérité va pointer son nez.

Dans le deuxième cas il est très dangereux,

Il serait un croyant de la pire espèce, de ceux qui imposent leur croyance à tout prix, au prix de la mort des autres.

C’est-à-dire qu’il ferait sienne la croyance techno-égalitariste, en réalité communiste primaire pour parler comme avant, déjà partagée par une majorité. Il la consoliderait, en ferait un dogme total, un enfermement définitif, liberticide, destructeur, socle de la violence fiscale qui emporterait tout de façon pire qu’aujourd’hui.

Hélas, je crois que le deuxième cas est le plus proche de la vérité. Nous verrons, très vite.

H. Dumas

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Peut-on faire un vœu, un seul ?

Notre époque est si désespérante pour ceux qui sont lucides, si fausse pour ceux qui sont crédules, si propice aux cyniques, que la tradition des vœux de la nouvelle année parait bien désuète, puérile, naïve…

La faillite et la guerre — qui va toujours avec elle — sont à nos portes. Si probablement chez nous, dans l’année à venir…

Alors, pourquoi espérer, faire des vœux, voire un seul vœu ?

Parce qu’un seul vœu suffirait : l’éradication de la violence.

Une conscience collective cherche, un peu partout, à éradiquer la violence.

Je pense que cette conscience est mondialement majoritaire dans la population de tous les pays ou races confondus. Il n’y a que dans l’esprit des hommes de pouvoir, des hommes des Etats, que secrets et violences sont encore les bases de leur fonctionnement.

Face à eux le monde s’organise par le biais des réseaux sociaux.

Les femmes sont au sommet de cette organisation, elles luttent avec de nombreux succès contre les violences millénaires qui leur sont faites. Leur victoire est probable, elle changera tout. A condition qu’après avoir vaincu la violence elles n’en deviennent pas le vecteur, ce qui serait catastrophique mais peu probable pour de multiples raisons.

Elles sont les plus nombreuses, mais elles ne sont pas les seules à lutter contre la violence. De nombreuses minorités font entendre leurs voix et s’insurgent contre la violence dont elles sont l’objet, certaines sont audibles, d’autres moins.

Mais tout le monde comprend que l’éradication de la violence est la seule réponse possible à l’augmentation de la population mondiale, accompagnée — cela va de soi – du respect dû à l’intégrité morale et matérielle de chaque individu.

Dans le cadre de ces réflexions, la lutte contre la violence fiscale est essentielle.

Les hommes de l’Etat font l’apologie de la violence fiscale, comme ils font l’apologie de la délation, du chauvinisme et de la guerre, autant de bases à leur pouvoir.

Mais leurs fusils et leur fausse justice pèsent bien peu face à la conscience universelle qui peut s’exprimer à travers les réseaux sociaux.

Pour l’instant ils ont su imposer une croyance absurde qui consiste à prétendre que déposséder autrui par la force, quels que soient les moyens employés, serait bénéfique à la population.

Oui mais, ils sont en faillite. Ce fait est incontournable.

Face à cette faillite ils devront retourner leur machine à piller contre tous, y compris les plus humbles, et alors la vérité apparaitra : ils pillent au seul profit de l’exercice de leur pouvoir. Cela se suffit dans leurs têtes.

Alors, dans ces conditions et face aux enjeux, ma journée de prison — et peut être celles à venir — pour faire taire ma dénonciation de la violence fiscale, sont bien peu de chose.

Je vous souhaite donc une année de liberté et de lutte contre la violence fiscale dont nous reparlerons, souvent — en fait constamment — et longtemps.

Bien à vous. H. Dumas

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La violence fiscale n’est pas inéluctable

Bonjour,

Nous allons nous structurer pour combattre la violence fiscale qui empoisonne la vie de tous les français.

La fiscalité doit être la même pour tous, proportionnelle et maitrisée, il en va de la santé économique du pays et du bonheur de ses habitants.

Bien à vous. H. Dumas

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Quand La Cour d’Appel de Montpellier fait l’apologie de la violence fiscale

En cliquant sur ce LIEN vous pouvez prendre connaissance de l’arrêt de La Cour d’Appel de Montpellier, rendu le 14/12/2022.

En cliquant sur cet autre LIEN vous pouvez prendre connaissance du problème que je soumettais à cette Cour.

Survol abrégé de l’idée de retraite

Son économie est constituée des sommes que l’on perçoit sans être actif, c’est donc une rente. Pour disposer d’une rente il faut avoir accumulé un capital.

Certains ne prennent pas la précaution, ou ne sont pas capables, de constituer un capital. D’où l’idée de mutualiser l’effort à ce sujet.

Hélas un capital c’est fragile, on peut se le faire voler où il peut perdre sa valeur brusquement. C’est ce qui est notamment arrivé, plusieurs fois, à ceux qui s’étaient regroupés ou avait fait confiance à une tierce compagnie pour créer un capital en vue de la perception d’une rente à la fin de leur vie de travail.

Alors les hommes de l’Etat, jamais à court d’idée pour prétendre être capables de faire ce que personne ne sait faire, ont inventé la « retraite par répartition ».

Il s’agit d’une escroquerie banale, type pyramide de Ponzi, qui consiste à faire payer les entrants au profit des sortants. Elle a été mise en œuvre par le régime de Vichy.

A sa base la ficelle était juteuse. L’espérance de vie courte, la retraite fixée à 65 ans, les marges entre les cotisations entrantes et les rentes réparties étaient somptueuses.

Plus de cinquante « bidules », privés, créés entre copains ont vu le jour et brassé pendant des années des sommes mirobolantes, les copains se servant au passage.

Mais, dès les années 1970, la durée de vie, le chômage, et la baisse globale de la puissance économique de la France ont mis à mal la combine.

Certaines caisses aux affiliés riches se sont contentées d’augmenter les cotisations, donc rien de visible tant que les affiliés ne cassent pas tout. Pour les autres ont est allé voir les copains aux commandes des pouvoirs publics.

Et, la bureaucratie des hommes de l’Etat s’est substituée, plus ou moins vite, aux acteurs initiaux défaillants. Doucement, ces escrocs se sont fait la malle. La combine a été étatisée, mais elle reste toujours une escroquerie. La différence est que, garanties par l’Etat les recettes ne sont plus des cotisations mais un impôt.

Et cela change tout :

D’abord, votre cotisation devient une acte de solidarité, un impôt social, elle n’est plus attachée à un contrat. Votre contrat initial a été rompu par votre prestataire, mais pour autant vous n’avez pas retrouvé votre liberté, vous êtes solidairement responsable de son escroquerie.

Ensuite, devenant le contribuable de votre retraite et non plus le client initial que vous étiez d’une caisse privée, vous subissez de plein fouet la violence fiscale liée à votre nouvelle situation.

L’audience d’appel du 17/11/2022 a été suivie en délibéré d’un arrêt du 14/12/2022. Dans cet arrêt, La Cour fait l’apologie de la violence fiscale.

A l’audience, quand même troublé en découvrant une retraite ridicule après 40 ans de cotisations et des demandes de taxes de retraite — le terme de cotisations n’étant plus adapté – plus importantes annuellement que la retraite versée, le magistrat s’était retranché derrière l’idée qu’il n’avait pas à en juger, puisque ce n’était pas de cela qu’il était saisi mais d’une simple contestation de « cotisation ».

Mais il n’a pas résisté à la pulsion de faire état de la légitimité de la violence fiscale :

En lisant cet extrait de l’arrêt, on ne perçoit aucun rapport avec la réalité de la situation.

Que la société privée initiale soit devenue une administration de l’Etat, pourquoi pas ? Mais que mon contrat initial, sans mon avis, me soit imposé dans de nouvelles conditions aboutissant à me faire payer un impôt, Non, ce n’est pas possible.

Que le résultat soit que le contenu de mon contrat initial le transforme en obligation illimitée pour moi et en aucune obligation pour l’autre contractant est une escroquerie.

Qu’en plus, on me raconte des conneries habillées du titre de « solidarité » alors que je n’ai rien et que l’on me vole pour donner à d’autres qui ont plus que moi, c’est fort de café.

Qu’enfin la violence fiscale, telle que décrite par le magistrat : payez et fermez votre gueule, ce qui est fait de votre argent étant de la solidarité ne vous regarde pas… me soit appliquée dans le cadre de mon contrat vieillesse, que je n’ai jamais demandé, dont l’assureur privé m’a été imposé en son temps, c’est gonflé.

Nous allons voir ce que dit la Cour de cassation et, sans doute plus tard, La Cour Européenne.

Bien à vous. H. Dumas

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L’apologie de la violence fiscale

Enfin je comprends tout. J’ai juste mis vingt ans. On ne peut pas dire que je sois un génie, peut-être un besogneux, un tenace…

Depuis les années 1970, les hommes de l’Etat, la presse et les fonctionnaires – pas tous, seuls les affidés –, font l’apologie de la violence fiscale. L’objectif étant de capter la plus grande quantité possible des richesses créées par les acteurs économiques, par les autres.

Cette apologie s’est adossée à l’idée maitresse d’une redistribution plus juste de la richesse, allant jusqu’à l’égalitarisme.

Tout cela est machiavélique, si finement joué que l’effet grotte de Platon a été total. Je fais partie des victimes, j’ai adhéré au concept, jusqu’au jour où j’ai été touché dans ma chair par la violence fiscale, il y a vingt ans. Depuis j’essaie de comprendre l’incompréhensible.

Pour comprendre le concept observons la guerre en Ukraine.

Poutine fait, depuis des années, l’apologie du droit à la grandeur et à l’espace du peuple russe, au développement d’une armée de conquête. Ceci allant jusqu’à l’annexion de voisins, déclarée légitime. Inévitablement, à terme, il devait rencontrer une résistance intellectuelle, à laquelle il a répondu par la force, par la guerre. On en voit aujourd’hui les résultats.

L’apologie de la violence fiscale

Même méthode, mêmes effets, mêmes résultats.

Au départ l’impôt est une contribution volontaire et proportionnelle répondant aux besoins des dépenses collectives. Ce sont les termes notre constitution.

Des besoins en dépenses collectives nous sommes passés à l’idée de répartition du capital économique plus juste que la répartition naturelle des jeux de l’économie — on notera que cette idée est millénaire et n’a jamais abouti autrement que par la faillite, puis la guerre ou l’inverse –.

Les organisateurs de ce concept ont alors engagé une apologie de la violence fiscale, justifiée par le but égalitariste proposé.

Cette apologie de la violence fiscale a été reprise par tous ceux qui pensaient en profiter ou qui cherchaient à se placer dans ce système.

Une fois installée, cette violence a offert l’opportunité de prélèvements illimités à ceux qui levaient l’impôt, toute résistance étant brisée par la violence.

Nous n’allons pas refaire dans ce billet le descriptif des zones de non-droit dans lesquelles évolue notre droit fiscal, nous les connaissons et sommes capables de les lister sans problème. Pareillement pour les drames liés à la violence fiscale.

Ce que nous pouvons dire c’est que, in fine, la catastrophe générée par cette stratégie touche — à l’exception de quelques apparatchiks privilégiés – tous les Français qui se voient amputés de plus de 80% des revenus de leur travail, alors qu’en face les mirobolantes promesses égalitaristes ne sont pas du tout au rendez-vous.

La majeure partie des fonds levés grâce à la violence fiscale – l’impôt — est engloutie pour l’achat de voix électorales.

L’exemple le plus actuel de ce drame est largement éclairé par l’interrogatoire de M. Henri Proglio devant la commission de l’Assemblée nationale. Arrêtons-nous un instant sur ce morceau d’anthologie :

M. Proglio a été le DG de Véolia, puis celui de l’EDF. En fait, à cheval sur le public et le privé, il s’avère être un grand spécialiste de la connivence, de l’interférence entre l’économie et la politique. Il est donc parfaitement crédible lorsqu’il évoque devant la Commission de l’Assemblée nationale ces interférences et les dénonce. Lorsqu’il affirme que c’est pour des raisons strictement politiques — visant plus particulièrement les alliances avec les verts nécessaires à la survie de la Chancelière Angela Merkel — que le nucléaire d’EDF a été sacrifié, qu’aujourd’hui nous payons l’électricité, compris les coupures à venir, la peau du cul. L’économie et la technique n’ayant aucune place dans cette catastrophe.

La moralité des politiques ne répond pas aux règles de l’économie qui sont la capitalisation, la vérité, le résultat, la qualité, le respect de la concurrence et des consommateurs. On peut même affirmer que les qualités demandées à un politique sont l’exact inverse, puisqu’il est nécessaire qu’il ne soit pas riche en capital, qu’il mente pour plaire, qu’il écrase la concurrence par tous les moyens possibles y compris les plus bas, qu’il n’accorde aucun crédit aux électeurs autres que les siens.

Revenons à nos moutons

L’apologie de la violence fiscale légitime cette violence.

Or, de façon formelle on sait aujourd’hui — et Bruno Le Maire l’affirme — la captation des biens d’autrui est un acte de guerre, de violence absolue.

Donc, la violence fiscale ne peut qu’aboutir à la violence, à la guerre.

C’est ce que, parfaitement conscients de la situation, les hommes de l’Etat veulent dissimuler, c’est pour cela qu’ils s’acharnent sur ce blog. Ils ont certainement perçu, qu’un jour ou l’autre, nous comprendrions la vérité.

C’est fait… nous affirmons que l’apologie de la violence fiscal est meurtrière.

Nous allons débusquer cette apologie de la violence fiscale.

Bien à vous. H. Dumas

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