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L’État français de plus en plus brutal et autoritaire Par Claude Robert

Emmanuel Macron déplore la contestation de l’autorité parmi ses concitoyens. Une vision de la gouvernance exclusivement verticale.

Il est assez consternant qu’Emmanuel Macron déplore « la contestation de toute forme d’autorité, y compris de l’autorité académique et scientifique » (L’Opinion, 22/12/20). La récente flambée protestataire est parfaitement concomitante des démonstrations d’autoritarisme de son gouvernement.

Fidèle à ses tours de passe-passe rhétoriques, le président tente un parallèle avec la contestation de l’autorité académique et scientifique. Mais cette contestation semble dépendre de causes qui n’ont pas grand-chose à voir. Il s’agit bien sûr, pour le Président, de faire diversion de ses propres fautes.

LA PRÉSIDENCE D’UN QUASI DESPOTE MÊME PAS ÉCLAIRÉ

La présidence de Macron est une longue et douloureuse succession d’atteintes aux libertés individuelles. Tout a commencé dès sa prise de pouvoir par la tentative de choisir les journalistes autorisés à suivre ses déplacements et son actualité présidentielle. Faut-il une solide inculture humaniste pour oser pareil coup, sans même s’en cacher ?

La réaction des médias ne s’est pas fait attendre, avec une pétition intitulée « Monsieur le Président, il n’appartient pas à l’Elysée de choisir les journalistes ». Pétition à laquelle, fidèle à ses acrobaties dialectiques, le président a répondu qu’il s’agissait au contraire d’une « démarche d’ouverture » de sa part (Femmes Actuelles 19/05/17).

L’anachronique limitation à 80 km/h fournit le second exemple patent du dirigisme compulsif de son gouvernement. Cette mesure a été le principal déclencheur d’un mouvement de révolte de très grande ampleur, les Gilets jaunes, contre lequel Macron déploiera sans la moindre honte un dispositif d’une violence inconsidérée.

Ce qui amènera, excusez du peu, Amnesty International et le Conseil de l’Europe à émettre un avertissement, respectivement pour « usage de la violence » et « utilisation abusive des LBD » !

Rien d’étonnant à ce que le mouvement se soit durci et ne poursuive qu’un seul objectif : obtenir la tête du président. N’est-ce pas une réaction naturelle après les cent-quarante blessés graves parmi lesquels quatorze qui ont perdu un œil ? L’arrêt du mouvement n’est bien évidemment que temporaire, simplement dû aux contraintes imposées par la pandémie de coronavirus.

La première vague de cette pandémie fournit également une autre preuve de la violence du gouvernement, celui-ci décrétant le plus brutal des confinements du monde libre, tout simplement pour enrayer les conséquences de son inaction. L’obligation d’un formulaire de sortie, à remplir comme pendant les heures sombres de l’occupation, est révélatrice de cet autoritarisme centralisateur d’un autre âge.

Tout aussi malodorante est l’incroyable directive émanant du ministère de l’Intérieur qui en mars 2020 interdisait aux gendarmes le port du masque, tout simplement parce qu’aucune commande n’avait été passée suffisamment tôt. Cette mesure liberticide et dangereuse a tout naturellement déclenché l’ire de plusieurs syndicats de policiers, ceux-ci menaçant le gouvernement de leur « droit de retrait ».

À côté de ces violences gratuites et injustifiées vis-à-vis des Gilets jaunes et des policiers, la clémence dont ont bénéficié les manifestants de Notre-Dame-des- Landes, les Blackblocs ou encore les grévistes de la SNCF (qui ont pourtant pris en otage la population dans son ensemble) s’additionne au malaise général.

Tout comme les multiples tentatives pour réglementer les échanges sur Internet et les réseaux sociaux. Elles procèdent de cette même pulsion dirigiste et centralisatrice de nature à soulever l’esprit de rébellion parmi les citoyens. Car le gouvernement n’apparait plus comme le garant de l’État de droit, capable de protéger les libertés individuelles, mais au contraire comme une espèce de Léviathan aussi partial que despotique !

LA SCIENCE ET LA CULTURE FACE À L’INCULTURE ET AUX AFFECTS

Dans l’essai Conditions de l’éducation, M. Gaucher, M.C. Blais et D. Ottavi abordent entre autres sujets le recul de l’autorité académique et scientifique. Celui-ci est analysé comme multi-causal. À la baisse lente et progressive du prestige de l’enseignant, induite par l’affaissement des deux piliers : impératif du savoir et légitimité de l’institution, s’ajoutent aux excès d’autoritarisme scolaire d’antan des difficultés plus récentes liées à l’émergence des moyens numériques de connaissance, à la chute du niveau d’instruction ainsi qu’à un retour du religieux.

Toutes ces raisons se cumulent. Il en résulte une société qui semble se détourner de l’esprit scientifique, des raisonnements logiques, en un mot, de l’esprit des Lumières. Une évolution que l’on pourrait qualifier de régressive, la secondarité d’une société nourrie d’objectivité scientifique et de culture humaniste cédant progressivement le pas à la primarité, c’est-à-dire aux instincts, aux impressions purement subjectives et émotionnelles, tout ce qui hélas la rapproche des sociétés dites primitives.

Or, de ces tendances constatées dans de nombreuses régions du monde, seule la chute du prestige des institutions scolaires et universitaires semble commune à la contestation du pouvoir politique que dénonce Macron. Le reste apparaît bien spécifique à la France, et particulièrement lié à la tournure de démocrature violente qu’a subitement imprimé sur notre pays l’actuel président socialiste !

Le plus triste dans cette histoire est qu’il déplore lui-même les conséquences de ses propres dérapages. Tel un pompier pyromane, il s’étonne ou feint de s’étonner de l’incendie. Et comme s’il s’adressait à un peuple de demeurés, il fait miroiter un « monde d’après » tout en imposant au pays une régression autoritariste digne d’une autre époque.

Tout cela en dit long sur ses penchants totalitaires, et sur les révoltes qu’il est en train d’alimenter malgré lui contre l’État et ses institutions les plus représentatives. Institutions parmi lesquelles l’ENA, la matrice infernale capable d’enfanter des diplômés dénués du respect démocratique, la matrice à l’origine de la démocrature qu’est devenu notre pays.

L’État français de plus en plus brutal et autoritaire

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L’ORDRE DES MEDECINS, UN ENTRE-SOI DETESTABLE…

Un ordre corrompu jusqu’à l’os?

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LA DESESPERANCE DE LA JEUNESSE. LA NOTRE…

Même si Matéo se trompe au sujet du libéralisme, ce qui est un point de détail dans ce qu’il ressent, fondamentalement a-t-il raison? C’est la bonne question…

Bonjour Monsieur,
Ce mail n’appelle pas nécessairement de réponse de votre part, je cherchais
simplement à écrire mon désarroi. Ne sachant plus à qui faire part du profond mal-être
qui m’habite, c’est vous qui m’êtes venu à l’esprit. Même si cela remonte à longtemps,
l’année que j’ai passée en cours avec vous a eu une influence déterminante sur les
valeurs et les idéaux qui sont aujourd’hui miens et que je tente de défendre à tout prix,
c’est pour cela que j’ai l’intime conviction que vous serez parmi les plus à même de
comprendre ce que j’essaye d’exprimer.
Ces dernières semaines ont eu raison du peu d’espoir qu’il me restait. Comment
pourrait-il en être autrement ? Cette année était celle de mes 21 ans, c’est également
celle qui a vu disparaître mon envie de me battre pour un monde meilleur. Chaque
semaine je manifeste inlassablement avec mes amis et mes proches sans observer le
moindre changement, je ne sais plus pourquoi je descends dans la rue, il est désormais
devenu clair que rien ne changera. Je ne peux parler de mon mal-être à mes amis, je
sais qu’il habite nombre d’entre eux également. Nos études n’ont désormais plus aucun
sens, nous avons perdu de vue le sens de ce que nous apprenons et la raison pour
laquelle nous l’apprenons car il nous est désormais impossible de nous projeter sans
voir le triste futur qui nous attend.
Chaque semaine une nouvelle décision du gouvernement vient assombrir le tableau
de cette année. Les étudiants sont réduits au silence, privés de leurs traditionnels
moyens d’expression. Bientôt un blocage d’université nous conduira à une amende de
plusieurs milliers d’euros et à une peine de prison ferme. Bientôt les travaux
universitaires seront soumis à des commissions d’enquêtes par un gouvernement qui se
targue d’être le grand défenseur de la liberté d’expression. Qu’en est-il de ceux qui
refuseront de rentrer dans le rang ? Je crois avoir ma réponse. Samedi soir, le
5 décembre, j’étais présent place de la République à Paris. J’ai vu les forces de l’ordre
lancer à l’aveugle par-dessus leurs barricades anti-émeutes des salves de grenades
GM2L sur une foule de manifestants en colère, habités par une rage d’en découdre
avec ce gouvernement et ses représentants. J’ai vu le jeune homme devant moi se
pencher pour ramasser ce qui ressemblait à s’y méprendre aux restes d’une grenade
lacrymogène mais qui était en réalité une grenade GM2L tombée quelques secondes
plus tôt et n’ayant pas encore explosé. Je me suis vu lui crier de la lâcher lorsque celleci explosa dans sa main. Tout s’est passé très vite, je l’ai empoigné par le dos ou par le
sac et je l’ai guidé à l’extérieur de la zone d’affrontements. Je l’ai assis au pied de la
statue au centre de la place et j’ai alors vu ce à quoi ressemblait une main en charpie,
privée de ses cinq doigts, sorte de bouillie sanguinolente. Je le rappelle, j’ai 21 ans et je
suis étudiant en sciences sociales, personne ne m’a appris à traiter des blessures de
guerre. J’ai crié, crié et appelé les street medics à l’aide. Un homme qui avait suivi la
scène a rapidement accouru, il m’a crié de faire un garrot sur le bras droit de la victime.
Un garrot… Comment pourrais-je avoir la moindre idée de comment placer un garrot sur
une victime qui a perdu sa main moins d’une minute plus tôt ? Après quelques instants
qui m’ont paru interminables, les street medics sont arrivés et ont pris les choses en
main.
Jamais je n’avais fait face à un tel sentiment d’impuissance. J’étais venu manifester,
exprimer mon mécontentement contre les réformes de ce gouvernement qui refuse de
baisser les yeux sur ses sujets qui souffrent, sur sa jeunesse qui se noie et sur toute
cette frange de la population qui suffoque dans la précarité. Je sais pertinemment que
mes protestations n’y changeront rien, mais manifester le samedi me permet de garder
à l’esprit que je ne suis pas seul, que le mal-être qui m’habite est général. Pourtant, ce
samedi plutôt que de rentrer chez moi heureux d’avoir revu des amis et d’avoir
rencontré des gens qui gardent espoir, je suis rentré chez moi dépité, impuissant et
révolté. Dites-moi Monsieur, comment un étudiant de 21 ans qui vient simplement
exprimer sa colère la plus légitime peut-il se retrouver à tenter d’installer un garrot sur le
bras d’un inconnu qui vient littéralement de se faire arracher la main sous ses propres
yeux, à seulement deux ou trois mètres de lui ? Comment en suis-je arrivé là ?
Comment en sommes-nous arrivés là ?
Je n’ai plus peur de le dire. Aujourd’hui j’ai un dégoût profond pour cette République
moribonde. Les individus au pouvoir ont perverti ses valeurs et l’ont transformée en
appareil répressif à la solde du libéralisme. J’ai développé malgré moi une haine
profonde pour son bras armé, qui défend envers et contre tout ces hommes et ces
femmes politiques qui n’ont que faire de ce qu’il se passe en bas de leurs châteaux. J’ai
toujours défendu des valeurs humanistes et pacifistes, qui m’ont été inculquées par mes
parents et desquelles j’ai jusqu’ici toujours été très fier. C’est donc les larmes aux yeux
que j’écris ceci mais dites-moi Monsieur, comment aujourd’hui après ce que j’ai vu
pourrais-je rester pacifique ? Comment ces individus masqués, sans matricules pourtant
obligatoires peuvent-ils nous mutiler en toute impunité et rentrer chez eux auprès de
leur famille comme si tout était normal ? Dans quel monde vivons-nous ? Dans un
monde où une association de policiers peut ouvertement appeler au meurtre des
manifestants sur les réseaux sociaux, dans un monde où les parlementaires et le
gouvernement souhaitent renforcer les pouvoirs de cette police administrative qui frappe
mutile et tue. Croyez-moi Monsieur, lorsque je vous dis qu’il est bien difficile de rester
pacifique dans un tel monde…
Aujourd’hui être français est devenu un fardeau, je suis l’un de ces individus que l’État
qualifie de « séparatiste », pourtant je ne suis pas musulman, ni même chrétien
d’ailleurs. Je suis blanc, issu de la classe moyenne, un privilégié en somme… Mais
quelle est donc alors cette religion qui a fait naître en moi une telle défiance vis-à-vis de
l’État et de la République ? Que ces gens là-haut se posent les bonnes questions, ma
haine pour eux n’est pas due à un quelconque endoctrinement, je n’appartiens à l’heure
actuelle à aucune organisation, à aucun culte « sécessionniste ». Pourtant je suis las
d’être français, las de me battre pour un pays qui ne veut pas changer. Le
gouvernement et les individus au pouvoir sont ceux qui me poussent vers le
séparatisme. Plutôt que de mettre sur pied des lois visant à réprimer le séparatisme
chez les enfants et les étudiants, qu’ils s’interrogent sur les raisons qui se cachent
derrière cette défiance.
La France n’est plus ce qu’elle était, et je refuse d’être associé à ce qu’elle représente
aujourd’hui. Aujourd’hui et malgré moi je suis breton avant d’être français. Je ne
demanderais à personne de comprendre mon raisonnement, seulement aujourd’hui j’ai
besoin de me raccrocher à quelque chose, une lueur, qui aussi infime soit-elle me
permette de croire que tout n’est pas perdu. Ainsi c’est à regret que je dis cela mais
cette lueur je ne la retrouve plus en France, nous allons au-devant de troubles encore
plus grands, le pays est divisé et l’antagonisme grandit de jour en jour. Si rien n’est fait,
les jeunes qui comme moi chercheront une sortie, un espoir alternatif en lequel croire,
quand bien même celui-ci serait utopique, seront bien plus nombreux que ne l’imaginent
nos dirigeants. Et ce ne sont pas leurs lois contre le séparatisme qui pourront y changer
quelque chose. Pour certains cela sera la religion, pour d’autre comme moi, le
régionalisme. Comment pourrait-il en être autrement quand 90 % des médias ne
s’intéressent qu’aux policiers armés jusqu’aux dents qui ont été malmenés par les
manifestants ?
Nous sommes plus de 40 heures après les événements de samedi soir et pourtant je
n’ai vu nulle part mentionné le fait qu’un manifestant avait perdu sa main, qu’un
journaliste avait été blessé à la jambe par des éclats de grenades supposées sans
danger. Seul ce qui reste de la presse indépendante tente encore aujourd’hui de faire la
lumière sur les événements terribles qui continuent de se produire chaque semaine.
Soyons reconnaissants qu’ils continuent de le faire malgré les tentatives d’intimidation
qu’ils subissent en marge de chaque manifestation.
Je tenais à vous le dire Monsieur, la jeunesse perd pied. Dans mon entourage sur Paris,
les seuls de mes amis qui ne partagent pas mon mal-être sont ceux qui ont décidé de
fermer les yeux et de demeurer apolitiques. Comment les blâmer ? Tout semble plus
simple de leur point de vue. Nous sommes cloîtrés chez nous pendant que la planète se
meurt dans l’indifférence généralisée, nous sommes rendus responsables de la
propagation du virus alors même que nous sacrifions nos jeunes années pour le bien de
ceux qui ont conduit la France dans cette impasse. Les jeunes n’ont plus l’envie
d’apprendre et les enseignants plus l’envie d’enseigner à des écrans noirs. Nous
sacrifions nos samedis pour aller protester contre ce que nous considérons comme
étant une profonde injustice, ce à quoi l’on nous répond par des tirs de grenades, de
gaz lacrymogènes ou de LBD suivant les humeurs des forces de l’ordre. Nous sommes
l’avenir de ce pays, pourtant l’on refuse de nous écouter, pire, nous sommes muselés.
Beaucoup de choses ont été promises, nous ne sommes pas dupes.
Ne gaspillez pas votre temps à me répondre. Il s’agissait surtout pour moi d’écrire mes
peines. Je ne vous en fait part que parce que je sais que cette lettre ne constituera pas
une surprise pour vous. Vous êtes au premier rang, vous savez à quel point l’abîme
dans lequel sombre la jeunesse est profond. Je vous demanderai également de ne pas
vous inquiéter. Aussi sombre cette lettre soit-elle, j’ai toujours la tête bien fixée sur les
épaules et j’attache trop d’importance à l’éducation que m’ont offert mes parents pour
aller faire quelque chose de regrettable, cette lettre n’est donc en aucun cas un appel au
secours. J’éprouvais seulement le besoin d’être entendu par quelqu’un qui, je le sais,
me comprendra.
Mateo

https://reporterre.net/IMG/pdf/lettre_originale_-_mateo.pdf

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Sachez quoi faire quand un proche bascule dans le complotisme ?

Que faire lorsqu'un proche bascule dans le complotisme ?

Par Jean-François Rio (F.B):
Témoignage D’Olivier V*, de Paris : “En mars dernier ma cousine a arrêté de regarder la télé. Elle s’est mise à lire. Des livres vachement bizarres. Philippe Muray. Octave Mirbeau. La Boétie. Bernanos. Tocqueville, ou je sais plus trop quoi. Puis elle a commencé à se moquer de Christophe Barbier. Au début, on a cru que c’était une poussée de fièvre, qu’elle avait le covid. Test négatif. Dans le doute, on l’a quand même isolée, sans ses livres, évidemment. On avait oublié de lui confisquer son smartphone, et elle en a profité pour regarder des vidéos sur YouTube. Des vidéos de dingue : des trucs complètement fachos, qui critiquaient la politique du président Macron, avec des caricatures horribles de Didier Lallement et de Jérôme Salomon. Moi, ça m’a rappelé les années trente. À la fin, elle regardait même en cachette des vidéos d’Adrien Abauzit et ricanait comme une possédée quand on lui proposait de quitter sa chambre une demi heure pour regarder avec nous les infos sur BFMTV, histoire de reprendre un peu contact avec le réel. C’est le soir où on a voulu la détendre en lui parlant du vaccin, et des chances qu’elle avait d’être prioritaire, qu’on a compris. Elle a mentionné des textes délirants, à propos du droit à l’intégrité physique, et autres lubies de l’ultradroite, vous voyez…
Il a bien fallu la faire interner. Pour son bien. Pour le bien de tous.
La trépanation s’est déroulée normalement, la semaine dernière. Elle va déjà beaucoup mieux. Elle envisage même de prendre un abonnement Canal+, Disney et Netflix (à un prix avantageux) et de faire barrage en 2022. Elle ne lit plus du tout. C’est quand même rassurant. On va pouvoir passer les fêtes ensemble, maintenant qu’elle accepte de porter son masque chirurgical à table. “Je prends une bouchée, je remets le masque. Je prends une bouchée, je remets le masque”. C’est difficile pour elle, on se rend bien compte que la trépanation l’a rendue un peu plus lente, mais elle retient, à la longue. Elle trouve même ça amusant. J’espère que mon témoignage servira d’exemple. “
*Le prénom n’a pas été changé.

VERSION FRANCE INTER (la voix de son maître) et des experts.

Aujourd’hui, des conseils sur ce que l’on peut faire lorsqu’un proche bascule dans le complotisme. Tristan Mendès France va essayer en quelques minutes de présenter une série de conseils de bon sens ou avancés par des experts.
Que faire lorsqu’un proche bascule dans le complotisme ? © Getty / gremlin

Et on commence de suite par le plus évident. Il faut bien sûr éviter, du mieux qu’on peut, d’être conflictuel ou agressif.

L’idée c’est de voir ce proche, non pas comme un adversaire, mais comme une victime.

Et ça n’est pas toujours facile, on a parfois en face de soi, un individu désagréable, braqué ou orgueilleux.

Reste qu’il faut essayer de trouver un terrain d’entente, en insistant sur les choses qu’on partage. Et pourquoi pas, lui dire qu’on l’aime, qu’on s’inquiète. Rappeler les bons souvenirs qu’on avait avant qu’il ne bascule.

L’important c’est de garder un lien. Parce qu’on est encore une opportunité de retour au réel. 

Plus facile à dire qu’à faire, non ?

Bien sûr. Il faut bien comprendre que ses croyances font partie de sa vision du monde, voire de son identité. Remettre ça en cause, ça revient à se remettre profondément en question. Et ça prend du temps. 

On peut malgré tout essayer d’engager un échange. Et plutôt en tête-à-tête. Pas en public, encore moins à table en famille, ou pire sur les réseaux sociaux.

L’idée, c’est de placer l’échange dans le cadre de l’intimité, sans regard extérieur, pour que ça ne devienne pas une sorte de spectacle ou un jeu de postures.

On peut lui demander par exemple si quelque chose pourrait lui faire changer d’avis. Et si oui quoi ? Et broder là-dessus.

Lui demander quelles sont ses sources, et si on peut s’interroger sur leur fiabilité, comme il le ferait, avec les médias qu’il appelle “mainstream” ou “officiel”.

Mais on peut aller plus loin, non ?

Il faut tenter de se focaliser sur un point et essayer de ne pas trop se disperser. S’il pense par exemple que les vaccins causent l’autisme, il faudra tenter de lui présenter des contre-arguments spécifiques, quitte à y revenir.

On peut aussi parfois, s’il croit à quelque chose d’improbable qui va survenir, lui proposer un deal. Vous lui dites que si ça se passe comme il le prédit, vous vous remettrez en question, si non, c’est à lui de le faire.

Et si rien ne marche ?

Parfois, il faut savoir mettre un pas de côté. Et lâcher prise. Pour essayer de pas briser ce qui reste de lien entre vous.

Et surtout ne pas oublier, que dans ce type de situation, il faut aussi prendre soin de vous, parce que vous êtes, vous aussi, une victime collatérale de ces dérives complotistes.

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LE TEMPS DES BARBARES…

La gangrène.
Plus le temps passe et plus l’état de notre pays fait songer à une sorte de corps gangrené, s’effritant en bouts moisis, tombant décomposés deci delà en toute occasion.
N’importe quel événement autrefois insignifiant, festif, joyeux ou banal devient l’occasion d’une éruption de pus : un joueur élevé dans le discours constant de la haine des Blancs crache au visage de son adversaire sans que grand monde ne s’en émeuve, -quand les mêmes étaient entrés en convulsions grotesques lors d’une apostrophe en roumain prétendument raciste, ce qui nous avait valu tout le pathos ridicule des genoux à terre et poings levés de multimillionnaires se croyant sans vergogne enchaînés dans des champs de coton.
La soirée des Miss France a vu se déverser une haine antisémite à la fois hallucinante et ordinaire, celle dont Georges Bensoussan avait dit qu’elle se buvait comme le lait maternel, qui passe crème parce que pour des millions d’individus que nous avons complaisamment laissés prospérer impunément, haïr la judéité est une chose normale. La banalité du mal n’a pas dit son dernier mot.
La même semaine, la victoire d’une famille catholique émouvante, exprimant dans un moment de grâce épiphanique toute la chaleur d’une polyphonie de Noël cristalline mais aussi, simplement, de l’amour familial qui souffre tant de la gestion sanitaire, a provoqué pareillement un lynchage insupportable sur les réseaux sociaux.
Mêmes causes, mêmes conséquences. Les autres candidats étaient tous talentueux et la soirée était émouvante dans son ensemble, une soirée de divertissement populaire comme il nous en manque tant désormais dans la vraie vie. Mais non, il fallait encore que les mêmes bubons pesteux viennent encore gâcher la fête.
Dans la «France a un incroyable talent», le mot qui gênait, là, c’était France.
Pendant ce temps, la population continue de subir les délires de l’ordre sanitaire, tandis qu’un président exhibitionniste est à 2 doigts de poster sur tik tok des vidéos de sa prise quotidienne de température comme autrefois l’on assistait aux défécations royales.
Un dîner de baltringues dont on se demande bien à quel moment un quelconque fruit intelligent pouvait sortir fait la une des infos, tandis que dans le silence de ces mêmes médias ineptes, des lois et décrets insupportablement liberticides sont passés comme à la parade les uns après les autres.
Des médecins sont pourchassés pour dissidence, le fichage politique est désormais possible (ne vous y trompez pas, le seul but est la préparation et le verrouillage des présidentielles 2022, et non pas la lutte contre le terrorisme -qui a bon dos- ou les blacks blocs -qui vont en paix-). Après la tentative de dépeçage d’ADP, c’est au tour d’EDF d’être jeté en pâture aux charognards du néo-libéralisme qui, eux, ne confinent pas leurs nuisibles instincts.
Business as usual, sur fond de gangrène sociétale.
Ce pays tombe en ruines, de tous côtés. C’est le seul constat que l’on puisse faire. L’on ne sait même pas s’il restera encore quelque chose à sauver en 2022, après le passage de ce mandat de prédation.
Bon dimanche quand même…😉
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Covid: GUERRE DU BIEN vs LE MAL?

Christian Perronne : cinglante riposte contre l’AP-HP

 Publié le 20/12/2020 à 21:15 – Mise à jour à 21:17
Me Thomas Benages, avocat du Pr Perronne

Auravocats

Auteur(s): FranceSoir

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Nous reproduisons ci-après le communiqué de son avocat Me Benages.

Christian Perronne avait été démis de ses fonctions de chef de service lors de son entrevue avec Martin Hirsch jeudi dernier. Invité de notre Défi de la vérité, il avait annoncé qu’il ne comptait pas jouer les agneaux qu’on mène à l’abattoir. La riposte n’avait pas tardé, avec l’annonce vendredi d’une plainte contre le jeune médecin qui l’accusait, non sans culot, d’avoir manqué de confraternité.

Cette fois, c’est à un adversaire d’un autre calibre que s’attaquent le Pr Perronne et son avocat Me Benages, en publiant un communiqué qui attaque l’AP-HP.

Communiqué que nous reproduisons ici in extenso.

Cette bataille devrait connaître d’autres épisodes et FranceSoir en tiendra informé ses lecteurs.


[COMMUNIQUÉ DE PRESSE]

L’AP-HP a violé la liberté d’expression des enseignants-chercheurs en démettant de ses fonctions de Chef de service le Professeur en Infectiologie Christian PERRONNE.

Le jeudi 17 décembre, l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) a annoncé démettre de ses fonctions de Chef de service le Professeur en Infectiologie Christian PERRONNE.

Depuis, les médias relatent une « Affaire PERRONNE », sans que les faits reprochés à celui-ci n’aient été précisés et sans qu’il ait pu répondre aux accusations dont il est l’objet.

Il m’appartient donc, en ma qualité d’avocat du Pr PERRONNE, de présenter les arguments qui seront exposés devant le Tribunal Administratif de Paris afin de contester la décision de l’AP-HP.

Tout d’abord, il convient d’exposer précisément les raisons mises en avant par l’AP-HP à l’appui de sa décision.

Ainsi l’AP-HP expose, dans sa décision du 17 décembre que le Pr PERRONNE  a « depuis plusieurs mois, pris des positions publiques en contradiction très régulière avec ce qui est enseigné dans le cadre du DES de maladies infectieuses », soulignant ainsi le fait que les propos contestés ont été tenus par un universitaire, professeur en infectiologie.

Par ailleurs, l’AP-HP expose :

« Le Pr PERRONNE a depuis plusieurs mois dans un contexte de crise sanitaire tenu des propos contraires à l’obligation de dignité, alors même qu’il est praticien hospitalier »

 « il a mis clairement en cause la compétence et la qualité des services de certains hôpitaux de I’AP-HP, les accusant implicitement d’être à l’origine du décès de patients, »

« ces propos, tenus par un chef de service, jettent un discrédit important sur l’AP-HP et sur la qualité de service public hospitalier, »

« et qu’enfin, en ne faisant pas preuve de retenue, le Pr PERRONNE s’est départi de son devoir de réserve qui s’impose à tout fonctionnaire, »

L’AP-HP fait ainsi référence aux propos tenus par le Professeur PERRONNE dans le cadre de son ouvrage « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? », de la reprise de ces propos dans les médias, et par lesquels le Pr PERRONNE livre son regard personnel sur la gestion de la crise sanitaire actuelle.

Enfin, l’AP-HP justifie également sa décision par le fait que « dans le cadre d’un film, intitulé « Hold Up», le Pr PERRONNE a tenu publiquement des propos non confraternels à l’égard d’un médecin en formation lesquels ont été largement repris sur les réseaux sociaux et alimentent à présent des insultes, attaques, et menaces à l’encontre de ce dernier le mettant gravement en danger » (…) Considérant au demeurant que ces faits ont donné lieu au dépôt d’une plainte par l’ AP-HP auprès du Conseil départemental de l’ordre des médecins en date du 16 décembre 2020 ».

En cela, l’AP-HP fait référence aux propos tenus par le Pr PERRONNE dans le cadre du documentaire Hold-Up, propos qui ont également donné lieu au dépôt d’une plainte par l’AP-HP auprès du Conseil départemental de l’ordre des médecins.

Il est donc nécessaire, avant tout développement, de revenir précisément sur les propos qu’il est reproché au Pr PERRONNE d’avoir tenu dans ce documentaire :

Après avoir souligné les contradictions de communication du gouvernement concernant le port du masque, le Pr PERRONNE va revenir sur le « scandale du Lancet », à la 56ème minute du documentaire Hold-Up, scandale qui avait été dévoilé par l’ensemble de la presse nationale :

 « Vous vous rendez compte de la gravité, moi je pensais que tout allait être réglé quand il y a eu le « Lancet Gate » comme on dit, que ça y est la communauté internationale  allait voir qu’il y avait une gigantesque supercherie mondiale. Et bien non les gens ont continué à publier des articles contre la chloroquine totalement délirants comme tout récemment en France (il n’y avait pas que des Français, il y avait des Suisses dans l’affaire), un article a été publié avec notamment Nathan Peiffer Smadja, qui est un interne à Bichat, qui est un élève de Yazdan Yazdanpanah, qui travaille aussi à l’Imperial College à Londres, université à l’origine du plus grand canular disant qu’il allait y avoir plus de 500 000 morts du Covid en Angleterre, même dans d’autres pays européens. Ils ont fait soit disant une méta-analyse, une analyse de tout ce qui a été publié, mais c’est affligeant quand on lit cet article, comment il a pu être publié dans un grand journal ! Qu’on fait les relecteurs de cet article ? Ils ont analysé 800 articles soit disant, ils en ont gardé 29, tout ce qui ne les arrangeait pas ils l’ont écarté, ils ont inclus des donnés qui n’avait pas encore été publiées ! Cette étude est totalement bidon ! Mais elle a fait la « une » des médias pendant trois jours en disant « maintenant ça y est la messe est dite,  la chloroquine ne marche pas ».

Ainsi, dans son intervention, le Pr PERRONNE ne fait que revenir sur le scandale du Lancet, dévoilée par les plus grands médias français. Il ne fait que souligner que suite à ce scandale, des personnes « ont continué à publier des articles contre la chloroquine », en prenant la peine de citer ses sources.

Ainsi, rien, dans l’intervention du Pr PERRONNE dans le documentaire Hold-Up, ne saurait être considéré comme une fausse information ou bien comme des propos «non confraternels à l’égard d’un médecin en formation», comme le soutient l’AP-HP.

Dans ces conditions, il ne saurait être reproché au Pr PERRONNE d’avoir alimenté, sur les réseaux sociaux, des insultes, attaques, et menaces à l’encontre de Nathan Peiffer Smadja.

A contrario, il est important de rappeler que le 16 décembre, le Professeur PERRONNE a déposé une plainte ordinale à l’encontre du Dr Nathan Peiffer-Smadja, qui, sur une période de 6 mois, entre les mois de mai à octobre 2020, a publié de façon récurrente des tweets injurieux, diffamatoires et menaçants, à l’encontre du Pr PERRONNE, par lesquels il n’hésite pas à convoquer l’opinion publique et à interpeller la twittosphère pour que soit signée et diffusée une pétition contre le Pr PERRONNE, ou bien en lançant des appels à agir à son encontre. Il a été signalé au Conseil de l’Ordre des Médecins que de tels faits sont qualifiés par les juridictions de harcèlement moral en ligne.

Ainsi, alors que le Pr PERRONNE ne fait que citer  ses sources en mentionnant le Dr  Nathan Peiffer-Smadja, le même Dr Nathan Peiffer-Smadja s’est livré à une forme de cyber-harcèlement proche de celui qui a été récemment sanctionné par de la prison ferme dans le cadre de l’affaire « Marvel Fitness ».

Paradoxalement, l’un a été sanctionné par l’AP-HP, tandis que l’autre se fait passer pour une victime !

Concernant ce point, il y a un « deux poids/deux mesures » totalement insupportable dans le traitement infligé au Pr PERRONNE.

Ainsi le Conseil de l’Ordre des Médecins de Paris va jouer sa crédibilité dans son traitement des plaintes ordinales qui ont été déposées par le Pr PERRONNE puis par l’AP-HP : s’il devait transmettre la plainte concernant le Pr PERRONNE à la chambre disciplinaire, tout en épargnant le Dr Nathan Peiffer-Smadja, il perdrait toute crédibilité dans la gestion des différents ordinaux !

Il convient à présent de revenir sur  les autres raisons mises en avant par l’AP-HP afin de motiver sa décision de démettre de ses fonctions de Chef de service le Professeur Christian PERRONNE.

Cette décision est motivée, d’une manière générale par des propos tenus par le Pr PERRONNE pour lesquels il n’aurait pas fait  « preuve de retenue », et pour lesquels il se serait « départi de son devoir de réserve qui s’impose à tout fonctionnaire ».

Ainsi, outre le fait qu’il appartiendra au Tribunal Administratif, que va saisir le Pr PERRONNE, de se prononcer sur les vices de procédures qui ont entaché la prise de décision de l’AP-HP, le Tribunal sera en particulier amené à se prononcer sur la question de la liberté d’expression des enseignants-chercheurs.

Il appartiendra ainsi au juge administratif  de sanctionner la décision de l’AP-HP s’il devait apparaitre que celle-ci, comme nous le soutenons, n’a pas respecté le juste équilibre entre les droits et libertés d’un enseignants-chercheurs et le bon fonctionnement du service public.

Il sera soutenu, devant le juge, que les universitaires bénéficient, en France, d’une liberté d’expression et de recherche quasi-absolue que ce soit dans le service ou en dehors du service.

En l’espèce, ce qui est reproché au Pr PERRONNE, se sont les propos tenus dans son ouvrage « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? », ainsi que la réitération de ce qui est exposé dans cet ouvrage dans certains médias. Or, il convient de soulever que, en France, les écrits des enseignants-chercheurs bénéficient d’une grande liberté car il est considéré que les tribunaux n’ont pas à se faire juge de la vérité scientifique.

Par ailleurs, la Cour européenne des droits de l’homme a déjà souligné « l’importance de la liberté académique, qui autorise notamment les universitaires à exprimer librement leurs opinions sur l’institution ou le système au sein duquel ils travaillent ainsi qu’à diffuser sans restriction le savoir et la vérité » (CEDH, 23 juin 2009, n° 17089/03, Sorguç c/ Turquie, § 35).

Il ne saurait donc être rapproché au Pr PERRONNE de jeter « un discrédit important sur l’AP-HP et sur la qualité de service public hospitalier » a moins de vouloir revenir sur la liberté fondamentale que constitue la liberté d’expression des enseignants chercheurs.

En conclusion, il est également possible de soulever que, pour la Cour Européenne des Droits de l’Homme, un professeur ne peut être condamné suite à des propos tenus dans la presse dès lors qu’il a agi avec bonne foi et soulevé un problème d’intérêt public sans émettre des critiques de nature personnelle gratuite (CEDH, n° 12138/08, 19 janv. 2016, Aurelian Oprea c/ Roumanie).

En l’espèce, quoi que l’AP-HP puisse penser des propos tenus par le Pr PERRONNE, dans son ouvrage et dans les médias, il est incontestable que celui-ci a agi, et continue d’agir, avec bonne foi pour tenter de soulever des problèmes, liés à une crise sanitaire majeure, dont l’intérêt public n’est pas à démontrer.

Maitre Thomas BENAGES

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LE PLUS GRAND BAL DES FAUX CULS D’EUROPE. En France le mensonge ne prête pas à conséquence!

 

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Castex : les meilleures blagues COVID de notre national Père Fouettard par Éric Verhaeghe

Alors que les hospitalisations sont reparties à la baisse, Jean Castex multiplie les interventions qui laissent les Français perplexes. Face à autant d’incohérences ou de fantaisies, il n’est pas inutile de dresser un petit catalogue des mesures les plus hilarantes prises par le gouvernement ces derniers jours pour enrayer une épidémie qui joue avec nos nerfs et épuise peu à peu notre capacité de résistance.

Jean Castex, désormais surnommé le Père Fouettard dans les rangs du gouvernement et de la majorité, multiplie les décisions dont les Français peinent à comprendre la survenue ou l’origine. Sa dernière interview dans la presse (sur Europe 1, dont nous citons l’extrait ci-dessus) en a donné un nouvel exemple.

Castex rend l’école subitement facultative

De façon plutôt surréaliste, Jean Castex a profité de son passage sur Europe 1 pour faire la promotion de l’autoconfinement, alors que la France bascule dans le couvre-feu, et pour annoncer que l’école serait finalement facultative jeudi et vendredi. Beaucoup de parents d’élèves se sont émus de découvrir cette mesure au débotté. Beaucoup d’enseignants ont peiné à déchiffrer le sens d’un message où la présence des enfants à l’école semble à la main d’une déclaration sur une antenne de radio.

En matière de déconfinement bien ordonné, on repassera en tout cas, car il ressort de tout cela une absence de ligne directrice compréhensible.

Incertitude sur la politique de test

Alors que le gouvernement lance des dépistages massifs dans plusieurs villes de France, Jean Castex a donc fait la promotion de l’auto-confinement en soulignant la relativité des tests. Selon le Premier Ministre, tout le monde aurait intérêt à s’auto-confiner huit jours avant Noël plutôt que de se faire tester.Mais il s’agit d’une suggestion du Père Fouettard, certainement pas d’une obligation.

Bref, faut-il se faire tester ou pas ? On ne sait plus très bien.

On a perdu le soldat Véran

Une chose est sûre, la rondeur approximative du Premier Ministre tranche fortement avec la rigueur martiale d’Olivier Véran, qui boude officiellement le Parlement depuis son coup de sang à l’Assemblée où il avait ordonné aux députés contestataires de quitter l’hémicycle. Gérard Larcher s’en est même ému et s’est fendu d’un courrier au Premier Ministre où il dénonce Véran et Le Maire pour leurs absences devant les représentants de la Nation. Il semblerait que Jean Castex ait conseillé à Véran de ne pas se soustraire à ses obligations constitutionnelles.

Au passage, un député de la majorité aurait pointé du doigt l’arrogance du ministre de la Santé.

“Véran est irrévérencieux, il a pris le melon. Il est totalement dédaigneux.”

Un député de la majoritéTweet

Catastrophe sanitaire en haute montagne ?

Au fil du temps, la politique sanitaire de Castex paraît en tout cas étrangement contre-productive. On se souvient que le Premier Ministre a annoncé l’ouverture des stations de ski (sans restaurant) mais la fermeture des remontées mécaniques. Mal lui en a pris : les stations de ski connaissent dès maintenant une affluence record. Et comme les pistes sont fermées, les touristes s’entassent dans des stations qui deviennent autant de clusters potentiels. Quelle peut être la cohérence de ce dispositif ? Là encore, le doute est semé.

Mais quand interviendra la fin du confinement ?

Dans ce grand désordre de l’action gouvernementale, le Premier Ministre a commencé à préparer les esprits à un maintien de la fermeture des restaurants et des bars en janvier. Ce flou entretient forcément le doute sur la fin du confinement lui-même. Interviendra-t-elle ou non l’an prochain ? La gestion par l’incertitude continue.

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ENCORE UNE PETITE DOSE DE “COMPLOTISME”

Nous vous le disions nous arrivons dans le monde d’ORWELL, Soleil vert n’est pas loin.
Choisissez votre avenir…

https://www.facebook.com/olivier.probst.9/videos/10223416438103605

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RAPIDE PETIT TOUR CHEZ LES ENARQUES…

https://www.facebook.com/bernjoce/videos/235614877923534

POUR NOUS CE N’EST PAS NOUVEAU…

Bercy, l’Empire du mal et la citadelle de tous les abus !

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POURQUOI LE PROFESSEUR FOURTILLAN A-T-IL ETE INTERNE?

Encore un épisode de la guerre contre big-pharma?

 

https://www.facebook.com/Inedie/videos/10218743856489416

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ENCORE UN COMPLOT CONTRE BIG PHARMA?

https://www.facebook.com/310369155705996/photos/a.463666643709579/3552347958174750/

Une militante anti-vaccin qui a fondé Learn the Risk a été retrouvée morte par son fils de neuf ans.
La nouvelle de la mort de Brandy Vaughan a commencé à circuler mardi, mais la date n’a pas été confirmée.

Brandy Vaughan est morte de causes inconnues

Vaughan était une militante anti-vaccination qui a fondé l’association californienne Learn the Risk.

Sur sa page Facebook, elle se décrivait comme « une ancienne initiée de l’industrie pharmaceutique qui a pour mission de créer un monde plus sain, une personne à la fois, en éduquant sur les risques réels des médicaments et vaccins pharmaceutiques ».

Lorsqu’elle travaillait dans l’industrie pharmaceutique, Brandy a vendu du Vioxx, un analgésique qui, selon sa biographie Learn the Risk, doublait les risques d’accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques.

L’analgésique a ensuite été retiré du marché.

« De cette expérience, j’ai réalisé que ce n’est pas parce que quelque chose est sur le marché qu’il est sans danger », a déclaré Brandy.

« Une grande partie de ce que nous dit l’industrie de la santé n’est tout simplement pas la vérité.

Elle a ensuite passé huit ans en Europe où elle a pu constater que les soins de santé sont très différents de ceux des États-Unis.

De retour aux États-Unis avec un fils non vacciné, elle a été intimidée dans le cabinet d’un pédiatre lorsqu’elle a posé des questions que tous les parents devraient poser, comme « Quels sont les ingrédients de ces vaccins », lit-on dans sa biographie.

« Comment se fait-il que les enfants d’autres pays soient en meilleure santé, mais reçoivent beaucoup moins de vaccins ? »

******

Scandale au laboratoire Merck, Brandy Vaughan avoue tout

Lors du rassemblement en faveur de la liberté vaccinale le 9 Septembre 2017 à Paris, nous avons rencontré Brandy Vaughan, anciennement cadre de haut niveau chez Merck, l’un des plus puissant groupe pharmaceutique de la planète qu’elle a quitté après avoir compris que le Vioxx, médicament qu’elle avait participé à commercialiser, avait finalement causé la Mort de plusieurs centaine de milliers de patients à travers le monde.

Questions :

Vous avancez que Merck connaissait parfaitement la dangerosité du Vioxx et que la compagnie a sciemment masqué ces données de létalité, vous confirmez à ce jour ?
Vous avancez que les vaccins sont moins testés que les médicaments avant leurs mises sur le marché ?
Le Président Trump avait promis une enquête fédérale autour du lien supposé entre l’autisme régressif et la vaccination précoce par le ROR, où en êtes-vous aujourd’hui ?
Les USA se débattent avec une controverse scientifique qui fait rage, la pertinence d’une vaccination anti varicelle, la France est provisoirement épargnée qu’en pensez-vous ?

https://www.mondialisation.ca/lactiviste-anti…/5652047

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Les forces de l’ordre en question…

Cela interpelle quand même…

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LE “VIEUX” SCANDALE DES PREFETS: Combien de préfets sont ils payés 10.000€ par mois sans travailler ?

Combien de Préfets sont-ils payés à rester chez eux, avec un salaire confortable financé sans contrepartie par le contribuable ? Le député centriste Christophe Naegelen a posé la question au gouvernement en 2020, et la réponse que lui a fournie le ministre de l’Intérieur mérite d’être lue à tête reposée. Nous soutenons ici qu’un préfet sur six environ (voire un sur cinq…), soit de 15% à 20% des effectifs, est en position de chômage déguisé, avec une rémunération d’environ 10.000€ nets par mois. Nous avons interrogé le député Naegelen sur tous ces points.

Pour que la discussion soit parfaitement intelligible, il faut sans doute rappeler ici la réponse du ministre de l’Intérieur à la question posée par le députée Naegelen le 3 mars 2020.

Au 15 septembre 2020, 131 préfets n’exercent pas en administration préfectorale : – 15 sont membres du conseil supérieur de l’appui territorial et de l’évaluation ; – 5 sont conseillers du Gouvernement ; – 12 sont détachés sur des emplois supérieurs (secrétaire général d’un ministère, directeur d’administration centrale, délégué ministériel) au sein du ministère de l’Intérieur ; – 52 sont en services détachés hors du ministère de l’intérieur, en disponibilité ou mis à disposition ; – 7 sont préfets chargés d’une mission de service public relevant du Gouvernement ; – 6 sont affectés en cabinet, soit au sein du cabinet du Président de la République, du cabinet du Premier ministre, soit dans un autre ministère ; – 15 sont chargés d’une mission au sein de l’administration centrale du ministère de l’Intérieur ; – 19 sont en transition professionnelle, dont 3 feront valoir leurs droits à la retraite d’ici la fin de l’année 2020 et 6 retrouveront prochainement une mission, sont chargés de mission auprès du secrétaire général du ministère de l’Intérieur. Ils représentent 7 % des effectifs du corps préfectoral et 5,95 % de la masse salariale.

Petit exercice d’arithmétique sur les Préfets en chômage déguisé

La France compte entre 250 et 300 Préfets, mais la moitié environ ne sont pas affectés « en administration préfectorale ». Selon le ministère de l’Intérieur, ils sont 131 « en dehors » de cette administration.

On remarquera que le ministère de l’Intérieur évite de donner la proportion précise au 15 septembre 2020 de ces Préfets qui ne sont plus Préfets.

Faisons notre exercice d’arithmétique :

  • sur 131 Préfets en « suspension », 6 préfets sont affectés en cabinet ministériel
  • 52 sont « ailleurs », soit hors du ministère (les détachés), soit dans le privé (les disponibilités), soit dans des organismes qui les font travailler sans les payer (des mis à disposition, auquel le Préfet est payé par le ministère avec remboursement ou non de l’organisme qui l’accueille) ;
  • 5 sont « conseillers du gouvernement »
  • 12 occupent des fonctions supérieures au ministère de l’Intérieur, notamment des postes de direction,

75 Préfets (soit un peu plus de la moitié des effectifs qui ne sont plus dans la préfectorale) sont donc réellement employés ailleurs que dans la préfectorale. Ceux-là ne posent pas de problème.

Puis, il y a ceux sur qui on a des doutes. Il s’agit des :

  • 15 Préfets membres du conseil supérieur de l’appui territorial et de l’évaluation. Cet organe obscur est chargé de l’évaluation des Préfets en poste et de sous-préfets. Ce volume de 15 Préfets parait énorme pour cette mission et tout laisse à penser (mais nous voudrons bien admettre le contraire s’il venait à être prouvé) que ces 15 Préfets ne sont pas débordés au jour le jour ;
  • 15 Préfets sont « chargés de mission » au sein du ministère. Le ministre de l’Intérieur ne donne pas plus de détail sur leur activité. Mais enfin, a-t-on besoin de fonctionnaires payés 10.000€ par mois pour assumer des tâches de gratte-papiers ?  Notre conviction est qu’il s’agit là, majoritairement, de tâches occupationnelles destinées à éviter que ces Préfets ne soient payés à ne rien faire.

Voilà donc 30 Préfets dont nous sommes convaincus que l’on pourrait fortement réduire le nombre, tant les effectifs paraissent surévalués par rapport aux besoins réels.

Puis il y a des Préfets qui sont à proprement parler en position de ne rien faire :

  • 7 Préfets sont chargés d’une mission de service public relevant du Gouvernement, appellation pudique bien connue qui cache un chômage déguisé, la mission de service public étant une coquille vide,
  • 19 Préfets sont en transition professionnelle, dont 3 tout au bord de la retraite et 6 en voie de retrouver une affectation.

Ces 26 Préfets sont, pour le coup, des chômeurs déguisés, payés 10.000€ par le contribuable sans affectation correspondant à leur salaire et à leur fonction.

Nous dénombrons donc un total de 56 Préfets dont on voit mal pourquoi ils ne font pas l’objet, dans l’écrasante majorité des cas (c’est-à-dire pour 50 d’entre eux au moins) d’une loi de dégagement des cadres les rendant à la place qui leur revient : demandeurs d’emploi dans ce splendide organisme public que le monde nous envie, Pôle Emploi.

6 millions € gaspillés chaque année

Si l’on fait un rapide calcul, on notera que le coût global d’un Préfet à l’année est d’au moins 120.000€ hors pensions. Nous estimons donc à 6 millions € annuels le gaspillage des fonds publics causés par le recours au chômage déguisé pour des Préfets protégés par leur statut, et donc inamovibles. Comme disait le Préfet Lallemand, nous ne sommes pas dans le « même camp ».

https://www.youtube.com/48d617df-97d7-4336-9c7c-1e7ae3261fcc

Combien de préfets sont payés 10.000€ par mois sans travailler ?

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BIGARD ET LE VACCIN…

Brut de décoffrage!
Perso j’ai 72 ans et je ne souhaite absolument pas me faire vacciner.
Merci beaucoup!

https://www.facebook.com/levraijeanmariebigard/videos/222354069340747

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Violences policières : la confiance des Français envers les forces de l’ordre s’effondre

Le fossé se creuse de plus en plus entre les Français et leurs forces de l'ordreAprès des semaines marquées par des affaires de violences policières qui ont secoué le pays, un sondage est paru ce mercredi, confirmant que la confiance des Français envers leurs autorités s’érodait fortement.

La confiance en la police continue de fortement baisser parmi les Français, tombant à 60% en ce mois de décembre (-9 points en six mois, -16 points par rapport à avril 2019), selon un sondage Elabe pour BFMTV diffusé ce mercredi 2 décembre. Le clivage s’accentue, alors que 39% des personnes interrogées (en hausse de 8 points par rapport à juin, et + 15 points par rapport à avril 2019) disent ne pas avoir confiance en la police, tandis que 1% des sondés ne se prononcent pas.

Interrogés sur les violences policières, les sondés considèrent à 64% qu’elles sont “marginales et le fait d’une minorité de policiers qui agissent seuls”, alors que 35% pensent le contraire (1% sans opinion). S’agissant de l’article 24 du texte de loi “sécurité globale”, ils sont 49% à y être opposés, et 35% à y être favorables. 16% n’ont “pas d’avis”.

L’usage excessif de la violence dans le viseur

Si les personnes interrogées estiment en grande majorité que la police est “régulièrement la cible de violences et d’insultes” (87%), “protège la population”(73%), “fait respecter la loi” (68%) et “fait bien son travail (64%), elles sont partagées sur la question de “l’usage excessif de la violence lors des manifestations” (52% le pensent, 48% pensent le contraire).

Les sondés considèrent en outre à 58% que la police n’est pas “exemplaire”, 34% considèrent qu’elle est raciste, quand 65% pensent le contraire (1% sans opinion). Quant à la justice, la défiance est largement majoritaire. 58% des sondés (+ 9 points en six mois) n’ont pas confiance en la justice, 41% (-10 points) ayant confiance (1% sans opinion). Par ailleurs, les deux tiers des personnes interrogées (66%) n’ont pas confiance dans le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, 33% ont confiance (1% sans opinion).

Des résultats qui ne peuvent pas être dissociés des récentes affaires de violences policières, sachant que l’étude a été réalisée par internet du 1er au 2 décembre, soit après la diffusion des images du passage à tabac du producteur de musique Michel Zecler, par des policiers à Paris.

https://www.ladepeche.fr/2020/12/02/violences-policieres-la-confiance-des-francais-envers-les-forces-de-lordre-seffondre-9233960.php?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1606980931&fbclid=IwAR3zX2DpsFxUbTeYQJyEokPCH0Benhy-0O7Cpw

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LE FISCALCIDE

Après le féminicide qui définie le meurtre d’une femme et après le génocide qui définit l’assassinat d’un peuple voila l’écocide dont la définition reste pour le moment assez vague et qu’on pourra donc transformer tout à loisir en fonction des événements.
Je suggère deux nouvelles définitions créé grâce à l’action sans faille de nos fonctionnaires, que évidemment le monde entier nous envie, comme les records de taxes et d’impôts, qui grâce à leurs efforts répétés et désintéressés nous ont valu un record du monde, jamais ni dépassé ni égalé.
Bravo à tous les fonctionnaires de Bercy, petits ou grands qui ont collaboré à ce noble projet ! Le peuple français vous doit une reconnaissance éternelle.

Merci encore à nos nombreux (trop nombreux, voire en grand surnombre) fonctionnaires toujours à la recherche d’un monde parfait, style 1984, et qui essayent par tous les moyens d’éradiquer les gens qui travaillent.
Ces gens qui travaillent se trouvent dans un secteur honni car eux ils sont responsable de leurs actes: les travailleurs du privé.
Grâce à l’appui de covid nos courageux fonctionnaires ont avec l’excuse absolu du “bien commun” trouvé le moyen de les supprimer par fournée entière et sans que les français, dont le cerveau a bien été lavé auparavant par de longs mois d’une propagande à faire pâlir de jalousie Goebbels, ne lèvent le petit doigt pour protester.
Ils ont promulgué, toujours comme dans 1984, une loi contre les images qui pouvaient leur faire tort. Cette loi est passé comme une lettre à la poste.
Ils leur reste à éradiquer quelques îlots de résistance qu’ils vont annihiler avec la complicité bienveillante de la majorité des français prêts à reprendre la plume dont ils s’étaient tant servi pendant l’époque bénie de Vichy.
Ils ont donc créé le petitcommerçantcide qui s’adresse aux commerçants et artisans qu’ils sont en train d’étouffer à vif. Peu en réchapperont.
Ils avaient créé, mais là en toute discrétion, car le fiscalicide s’adressait à toute la population active et il ne fallait surtout pas les faire fuir si Bercy voulait les nasser. Méthode bien connue et qui a fait ses preuves avec les forces de l’ordre du régime.
Avec ces français haïs de la population française pas besoin de prendre des gants. Bercy peut les opérer à cœur ouvert sans les endormir. Ils peuvent crier, hurler, se rouler par terre, il suffit de les affubler du titre de “Fraudeurs Fiscaux” tout le monde regarde ailleurs. C’est l’étoile jaune du délit. Cette étoile jaune avait en d’autres temps fait ses preuves.
Encore une fois Merci Monsieur Goebbels.
Malheureusement beaucoup de ces victimes avaient vu le coup venir et étaient déjà parti. Ce qui occasionna un nouveau record mondial, celui de l’immigration. Proportionnel au nombre d’habitant.
Peu importe, ceux qui sont restés prendront pour les autres.
La France n’a-t-elle pas changé de nom pour l’Abursdistan?
Ne soyez pas inquiets mes chers con-citoyens, vous pouvez respirer, vous êtes et serez toujours dirigés et conduits par vos chers  énarques et leur armée de fonctionnaires.
Cool, non?

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »
Pasteur Martin Niemöller

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AU SUJET DU FILM HOLD UP

AU SUJET DU FILM HOLD UP :
Très beau texte publié dans France soir par un psychanalyste :
C’est comme si ce “Hold-Up” avait réveillé les dormeurs et les endormis, agissant comme un catalyseur ou un révélateur, à l’instar d’un cauchemar qui réveille le dormeur pour l’empêcher de continuer son rêve dérangeant trop intense, comme si ce qui est exposé dans le film pouvait tout d’un coup être plausible, envisageable, chose inacceptable et insoutenable pour une conscience formatée et docile.
Car si cette version, qui n’est qu’une hypothèse de travail dans le film puisqu’elle est proposée comme telle dans le but de faire réfléchir autrement, si ce narratif alternatif tient la route ne fusse qu’une seule seconde, alors elle devient crédible. Mais elle fait peur et elle effraye tellement qu’elle provoque chez de nombreuses personnes un rejet violent qui n’est en fait rien d’autre qu’un mécanisme de défense du moi sous forme de déni de réalité, le fameux “je n’en veux rien savoir”, trop dangereux à envisager.
Car enfin, restons logiques et sérieux un moment : si ce film n’est qu’un ramassis de délires conspirationnistes complotistes débités par des personnes non crédibles tenant des propos ridicules et mensongers non sourcés, où est alors le souci ? Il eût suffi de laisser pisser le mouton et de l’ignorer.
En réalité, en y regardant bien, il y a un rapport “inversement” proportionnel entre les deux narratifs, plus l’officiel est contesté de manière appuyée, logique et efficace plus les réactions sont “virulentes” et virales, normal en régime covidien, et plus les “complotistes” semblent entendus et suivis, semant la peur et la panique chez les adhérents et les ayatollahs du régime covidien qui se sentent menacés dans leur certitudes et qui n’attendent que le vaccin en étant persuadés de pouvoir revivre comme “avant”, ce qui n’est qu’un mensonge et une illusion pour toute personne un peu intelligente et avertie car il n’y aura plus JAMAIS de retour en arrière à une vie “normale telle que nous l’avons connue”, c’est un fait avéré et vérifiable, nous avons changé de norme sociale et politique pour une longue durée indéterminée.
Quand on pense que cette presse officielle fabrique et propage la peur et l’angoisse tous les jours en ré-écrivant le cours de cette épidémie, en biaisant les données biostatistiques pour consolider leur narratif effrayant de manière servile, on est en droit de leur demander qui fait réellement peur et qui est vraiment dangereux, eux ou les “complotistes” ? Qui fait du mal à qui ?
N’est pas complotiste qui veut.
Ainsi, dans un subtil retour du boomerang, les complotophobes qui produisent tant d’efforts quotidiens pour construire et alimenter le narratif officiel apocalyptique du covid et qui sont les alliés de ce régime biopolitique-techno-sanitaire autoritaire inique, récoltent ce qu’ils ont semé et reçoivent en pleine figure ce qu’ils ont envoyé depuis plus de six mois.
Qui sème le vent récolte la tempête. Le vent s’est levé et la tempête ne fait que commencer, soulevant une houle et des vagues de raison sur l’océan du Covid-(19(84).
Attention, ça va tanguer.
Michel Rosenzweig
Philosophe et psychanalyste
Merci Rosemarie Richard
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GEORGE ORWELL et ALDOUS HUXLEY, plus que jamais d’actualité! Une réalité?

https://www.youtube.com/watch?v=8lHcq-jaMr0

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VIOLENCES POLICIÈRES : DEUX HAUTS FONCTIONNAIRES DISENT LEURS VÉRITÉS. merci à la prochaine loi sécurité globale!

A vous de juger…

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LE NOUVEL HYMNE A LA LIBERTE.

Va-t-il remplacer la Marseillaise?
A écouter, ça remue les tripes.
Chanson intelligente…

https://www.facebook.com/laurent.duval.37201901/videos/222674365872223

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LA MORT D’UN EX-GEANT: GIBERT JEUNE NE SE RELEVERA PAS.

C’est encore un “pan” du monde d’avant qui est en train de s’écrouler dans l’indifférence générale.
Chez Gibert Jeune j’y acheté, quand je n’avais pas d’argent, des tonnes de livres en occase: les œuvres complètes de Zola et d’Agatha Christie, et combien d’autres…

GIBERT JEUNE va fermer …
Un crime ordinaire d’une légende .
Un voyage vers le cimetière des éléphants
Chronique annoncée de la mort d’un temple élevé à la vertu du savoir, du pourquoi en échange de pistes cyclables…
Nous y allions chercher, écouter au casque une galette posée sur une platine à courroie Lenco. Nous croisions et saluions des 33 T rarissimes , des imports, fouillant les bacs et nous interpellant d’un coin à l’autre de ce temple baroque dévolu à une seule déesse, une seule muse , la culture ….
Et puis il y avait toutes ces petites librairies thématiques , dont une où je me régalais , l’ésotérisme et les sciences humaines .
Je suis aussi longtemps descendu dans cet hôtel qui jouxtait la place Saint Michel, passage des Hirondelles connu par les jeunes citoyens du monde et les routards. Les émotions et les les caresses, les questions. Les réponses avant même les questions !
Francoise en était la grande prêtresse.
Dans ma mémoire, du fond de ma mémoire , cet hôtel particulier fut un cadeau de François premier fait à sa maîtresse …
J’ai souvent flâner – d’une échoppe en papier et encre à l’autre – à Saint Michel passant tout prêt de jeunes femmes et hommes qui s’essayer au hip-hop, je posais un regard sur le dragon de pierre terrassé par Saint Michel . De cette lutte naquit une fontaine hausmanienne et grandiloquente ! Mais finalement cette perspective cavalière lui donne un sens.
Cette mythique devanture jaune et ses étalages de livres et de disques sur lesquels s’arrêtent toujours les chalands font de la librairie Gibert Jeune un lieu merveilleux du quartier latin.
Je dis merveilleux, mais n’est-ce pas une étape sur le chemin de Compostelle , une marche de la quête du Graal, un arrêt, un refuge sur la route taillée dans l’hostile modernité, vers la connaissance et le savoir. Il s’agit pas d’un savoir perfusé par les mêmes canaux, les mêmes logiciels, la même pensée unique « totémisée » par le peuple abêti. Il s’agit d’une soif, d’un plaisir , d’odeurs de vélins et de vinyles qui chatouillent nos narines et nos papilles impatientes. Qui ne se souvient de cette escalier kitch et jaune qui montait aux étages ?
Ici les étudiants et les brocanteurs, les chercheurs et les chats perchés avaient l’habitude de se presser pour dénicher des livres d’occasion ou pas, des albums improbables , à deux pas des quais de Seine investis par les bouquinistes mais aussi par la librairie anglophone Shakespeare & Company.
Vous l’aurez compris, l’amour du livre, c’est ce qui fait l’âme de Saint-Michel mais aussi du quartier latin. Les amoureux aussi se pressaient se serraient , échangeaient leurs lèvres et leurs envies de corps de musique et de littérature. Leurs mains se baladaient dans les bacs et sur les rayonnages et sur les corps doucement, apeurées et pressées.
Jacques Servia
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A PROPOS DE HOLD UP…

Même si ce film n’est pas sans tache, il n’empêche qu’il met la macronie en panique. C’est déjà ça.

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Covid-19(84) saison 3 épisode 1: l’empire des complotophobes contre-attaque.
Depuis la première vague du tsunami thanatophobe qui n’en finit pas de submerger nos vies, voilà une nouvelle vague qui déferle à présent depuis la sortie du film Hold-Up : celle des complotophobes qui se déchaînent en meutes depuis la sortie du documentaire le 11/11à 11h.
En France comme en Belgique, les chaînes de propagande sortent leurs arsenaux et leurs contre-mesures à coups de ré informations et de débunking. Chacun y va de sa plume acérée, style infantilisant et scolaire proverbial en Belgique avec ses copistes promus au rang de covid-commissaires toujours friands de métaphores stupides à deux balles promulguant leurs conseils aux pauvres âmes égarées avec des modes d’emploi et des notices boîte anti complotistes prêts à être utilisés en famille autour du sapin virtuel, dans le sillage de la lettre adressée par deux ministres (santé et intérieur) à Saint-Nicolas sans oublier le déjà très célèbre virologue Van Laethem qui nous a gratifié d’un sketch viral hallucinant que ne renieraient pas les inconnus.
En France le style a toujours plus de panache et France Culture nous a gratifié de deux minutes d’entretien dans lequel l’universitaire Tristan Mendès France essaye de discréditer le film à coups d’accusations parsemées du mot “complotiste” comme autant de perles enfilées comme un chapelet en guise d’antidote.
Vade retro satanas, les cohortes de prêtres guerriers sanitaires sont lâchées dans une croisade anti complotiste, chassant sur les terres des mécréants et des apostats qui refusent obstinément de rentrer dans le rang, résistant de toute leur raison et de toutes leurs facultés de juger, refusant d’abdiquer leur sens critique, leur bon sens et leur intelligence, rejetant avec obstination l’abjuration qui leur est réclamée avant l’excommunication et la mort sociale et professionnelle définitive.
On se croirait vraiment entre Star Wars et Lord of the Ring en se demandant si le sénateur Palpatine et le Jedaï Skywalker ne vont pas croiser bientôt Gandalf et Gollum en sortant de la pellicule numérique dans un combat entre le Bien et le Mal où la lumière lutte contre les ténèbres.
Complotiste.
Ils n’ont que ça à la bouche depuis la sortie du film, ils, les détenteurs de la vérité du récit, les chiens de garde du narratif officiel du Covide et Ils ont peur, et leur peur les pousse à sortir du bois jusqu’à en perdre leur sang-froid pour certains, comme Mme Ilana Cicurel, eurodéputée et porte-parole de LAREM qui décompensait hier en mode hystérique sur le plateau de CNEWS face à la journaliste Sonia Mabrouk qui l’a fermement recadrée.
Mais de quoi ont-ils peur au juste et pourquoi tant de réactions épidermiques exacerbées, oui pourquoi tant de haine même, comme si il y avait réellement le feu au lac, péril en la demeure?
De quoi donc cette peur est-elle constituée et de quoi nous parlent les croisés enragés de la foi du Covide qui tiennent tant à défendre leur dogme incontestable, ne supportant aucune contradiction ni aucune remise en question.
C’est là où il est utile de convoquer l’inconscient, car quoi qu’on puisse en penser, nous sommes encore tous et toujours gouvernés par ce continent immergé décrit par le père Freud il y a un siècle.
Ce qui est frappant depuis ces dernières 24h, c’est l’embrasement des réactions des complotophobes et leur acharnement parfois violent contre les protagonistes du film.
On a vraiment le sentiment que ce documentaire les a atteints au “bon” endroit, au lieu-même de leurs conflits névrotiques, au centre de leur QG stratégique, au cœur du réacteur nucléaire de leurs émotions contradictoires inconscientes, inavouables, indicibles, refoulées.
Comme si leur discours et leurs convictions avaient été frappés de plein fouet par un missile conceptuel dangereux, cet autre narratif du Covide qui aurait atteint sa cible, touchée coulée, comme si leur logiciel avait été infecté par un virus dangereux mettant en péril l’édifice conceptuel officiel, pulvérisant leurs croyances en générant un sentiment d’insécurité allant même jusqu’à la panique et la crise d’angoisse.
Comme si ce Hold-Up avait réveillé les dormeurs et les endormis, agissant comme un catalyseur ou un révélateur, à l’instar d’un cauchemar qui réveille le dormeur pour l’empêcher de continuer son rêve dérangeant trop intense, comme si ce qui est exposé dans le film pouvait tout d’un coup être plausible, envisageable, chose inacceptable et insoutenable pour une conscience formatée et docile.
Car si cette version, qui n’est qu’une hypothèse de travail dans le film puisqu’elle est proposée comme telle dans le but de faire réfléchir autrement, si ce narratif alternatif tient la route ne fusse qu’une seule seconde, alors elle devient crédible. Mais elle fait peur et elle effraye tellement qu’elle provoque chez de nombreuses personnes un rejet violent qui n’est en fait rien d’autre qu’un mécanisme de défense du moi sous forme de déni de réalité, le fameux “je n’en veux rien savoir”, trop dangereux à envisager.
Car enfin, restons logiques et sérieux un moment: si ce film n’est qu’un ramassis de délires conspirationnistes complotistes débités par des personnes non crédibles tenant des propos ridicules et mensongers non sourcés, où est alors le souci?
Il eut suffi de laisser pisser le mouton et de l’ignorer.
En réalité, en y regardant bien, il y a un rapport “inversement” proportionnel entre les deux narratifs, plus l’officiel est contesté de manière appuyée, logique et efficace plus les réactions sont “virulentes” et virales, normal en régime covidien, et plus les “complotistes” semblent entendus et suivis, semant la peur et la panique chez les adhérents et les ayatollahs du régime covidien qui se sentent menacés dans leur certitudes et qui n’attendent que le vaccin en étant persuadés de pouvoir revivre comme “avant”, ce qui n’est qu’un mensonge et une illusion pour toute personne un peu intelligente et avertie car il n’y aura plus JAMAIS de retour en arrière à une vie “normale telle que nous l’avons connue”, c’est un fait avéré et vérifiable, nous avons changé de norme sociale et politique pour une longue durée indéterminée.
Quand on pense que cette presse officielle fabrique et propage la peur et l’angoisse tous les jours en ré écrivant le cours de cette épidémie en biaisant les données biostatistiques pour consolider leur narratif effrayant de manière servile, on est en droit de leur demander qui fait réellement peur et qui est vraiment dangereux, eux ou les “complotistes”? Qui fait du mal à qui?
N’est pas complotiste qui veut.
Ainsi, dans un subtil retour du boomerang, les complotophobes qui produisent tant d’effort quotidien pour construire et alimenter le narratif officiel apocalyptique du covide et qui sont les alliés de ce régime biopolitique techno sanitaire autoritaire inique, récoltent ce qu’ils ont semé et reçoivent en pleine figure ce qu’ils ont envoyé depuis plus de six mois.
Qui sème le vent récolte la tempête. Le vent s’est levé et la tempête ne fait que commencer, soulevant une houle et des vagues de raison sur l’océan du Covid-(19(84).
Attention, ça va tanguer.
1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
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LA FRANCE D’AVANT…

Nous avons tous connu la France d’avant la “fonctionnocratie”, la France d’avant 1984 à la française.
Cette vidéo est un morceau d’histoire.
Elle parle d’une époque que nos enfants ne connaîtront certainement pas grâce à l’asservissement heureux et consenti des français.
Faîtes vous plaisir une dernière fois.
5 minutes…

 

Un bref résumé:

CONSEILS A MON FILS…

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LA CENSURE DE LA VERITE EST EN MARCHE…

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