Ce que vous voulez

Quand vous êtes entrepreneur dans un marché libre, sans subvention, ou aucune aide sauf celle souvent de s’endetter auprès d’une banque, car vous n’avez pas le capital, votre profit est la rencontre d’un public, une clientèle qui vient vers vous et est satisfaite de ce que vous lui proposez. Sinon, il n’y aurait pas de profit possible. Le principe de Shumpeter – La création destructrice, s’appliquerait alors. Le profit est finalement partagé dans la rencontre d’une offre et d’une demande positive.

Nos administrations font des recettes de perceptions sur ceux, qu’il y ait des profits ou pas, sans risque pour les mêmes percepteurs, selon des circulaires de ponctions sur les bêtes, ces esclaves corvéables en laisse, loin d’un quelconque marché libre. Les questions sont : Faut-il laisser toute la place au marché libre avec du risque ? Ou alors : Faut-il élire ces vampires, ces marquis sous couvert de l’Etat, « travailler » à leurs seuls profits, sans risque ?

Ces questions sont déjà tranchées sise France : Le principe de précaution inscrit dans notre constitution par feu Chirac qui n’a jamais su faire autre chose que taper le cul des vaches, et ces nouvelles potentielles « escrologies » qui menacent de s’y ajouter aussi, par cette escouade de représentants qui ne représentent rien par leur désignation, et plus par leur non-élection.

Je suis, comme bon nombre de corvéables ambitieux, et non comme ceux en majorité qui abondent à ce système régressif, l’anti-thèse de cette matrice qui perdure depuis des décennies sur notre sol.

Mon problème, actuellement est le temps. En effet, je dois encore quelques dettes « indues » auprès de Bercy et dues aux banquiers pour payer ces mêmes dettes indues. Ces dernières sont des droits de succession énormes sans tenir compte d’un état successorale véritablement désastreux avec des entreprises en faillite, redressées depuis ; Un immobilier résidentiel plantureux mais dans un délabrement qui appelait des travaux colossaux ce qui est en cours aussi.

Cette succession, je l’ai prise comme un défi, malgré des templiers fiscaux au firmament de leur maturité, pour faire mieux que mon père qui me prenait pour un bon à rien.

Quand il a décidé de se pendre après avoir créé un empire local, en partant de rien, par endettement, pour faire du levier par sa force de travail et son intelligence pragmatique, il avait aussi la possibilité de ne me rien laisser, d’autant que sa famille recomposée, remontée à mon égard, était tout à propos pour lui succéder. Sa concubine était DAF dans une grosse entreprise. Mais il m’a tout laissé. Les chiens ne font pas des chats …

Aujourd’hui, j’ai résolu toutes ces affaires déclinantes : Il m’a fallu trois ans après son décès pour sortir par le haut, et beaucoup moins pour éjecter la famille recomposée.

Dans l’intervalle, j’ai connu un contrôle fiscal, qui a fait choux blanc et un autre de l’URSSAF qui m’a pris près de 7 K€, à cause de mon avocate en Droit Social dédiée pour faire le ménage dans une de mes entreprises et qui a manqué sur un point. Je ne lui en veux pas car elle a fait du bon boulot dans l’ensemble selon mes prérequis.

Le temps. Je vois cette France qui se délite de plus en plus, je dirais presque à vue d’œil si tant est qu’un paquebot vire plus lentement qu’un frêle esquif. Je vois cette soviétisation rampante de tous les éparts de notre société.

Le confinement avait cette chose merveilleuse : On n’entendait plus les écolos, ni même les risques d’attentats ou encore la culture subventionnée … Un havre de paix qui nous laissait écouter le chant des oiseaux.

Bien à vous

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2 réflexions sur « Ce que vous voulez »

  1. l histoire continue est n’est jamais inscrite dans le marc de café
    mais ce qui est fort et devrait nous rassurer

    les templiers (ceux qui ont survécu) se sont terrés derrière un œilleton qui a entrevu un peu de lumières et a l’inverse nous souhaitons tous que les sévices fiscaux finissent aussi son notre fondement

    HAVRE vrai dire les scores électoraux de se jour loin d’
    être glorieux laisse entrevoir des LANDES tenus par des écologiste qui n’ont pas fini de faire l’apologie de la connerie des Shadock qui pompaient …pompaient … pompaient !!!
    Proverbe shadok : “À force de taper dans rien, il finit toujours par en sortir quelque chose. Et réciproquement.”
    https://www.bing.com/videos/search?q=les+shadoks+pompaient+la+pollution&&view=detail&mid=0BA6C4C3B55E886C26EF0BA6C4C3B55E886C26EF&&FORM=VRDGAR&ru=%2Fvideos%2Fsearch%3Fq%3Dles%2Bshadoks%2Bpompaient%2Bla%2Bpollution%26FORM%3DHDRSC3

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