Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Le vernis se craquèle, on approche, on approche…

Il y a déjà fort longtemps que les « bienfaisants », qui se font appeler actuellement la gauche, nous ont mis sous la coupe réglée de leurs croyances et ont perdu de vue notre constitution dont les bases, éditées en 1789, ont protégé, éduqué et enrichi des millions de Français depuis cette date.

Pas plus cette constitution prônant la liberté — et la propriété privée sa traduction matérielle — que les lois qui en découlent ne sont en odeur de sainteté chez les « bienfaisants ».

Ils sont au-dessus de ça. Ils sont au service de leurs croyances quel qu’en soit le prix, ils sont prêts à vous piller pour les faire vivre. Car, sachez-le, ils ne pratiquent pas la « bienfaisance » avec leur argent ou avec leur patrimoine, mais avec celui des autres qu’ils récupèrent par le biais du pillage fiscal.

Ils prétendent que leur croyance étant universelle est au-dessus des lois.

C’est ainsi qu’il suffit que vous soyez déclaré « fraudeur fiscal » pour que la foule et les magistrats des tribunaux d’une même voix vous condamnent, même et surtout si vous ne devez rien aux services fiscaux, aux fermiers généraux.

La vie est très dure face à cette croyance, face aux « bienfaiteurs » qui vous tuent par grandeur d’âme.

En même temps, tout le monde comprend qu’un jour, une nuit, les caisses seront vides. Distribuer ne participe pas à leur renflouement.

Vous vous dites : quand il n’y aura plus d’argent ils cesseront de nous persécuter, de tout nous prendre, ils nous laisseront travailler, ne serait-ce que pour pouvoir ensuite nous plumer…. Eh bien non.

Observez l’actualité.

La souffrance engendrée par le pillage commence à faire réellement des dégâts.

Hélas, s’en apercevant, une partie de la population en fait porter la responsabilité non sur les « bienfaisants » mais sur une partie de ceux qui profitent de leur « bienfaits ». Plus précisément sur les étrangers. Elle légifère pour diminuer les « bienfaits » donnés aux étrangers.

Ce n’est ni malin, ni performant, puisque les étrangers ne sont qu’un petit bout du problème, qui est beaucoup plus vaste. Mais c’est ainsi. Là n’est pas le craquèlement du vernis.

Il est ici : de nombreux départements déclarent qu’ils n’appliqueront pas la loi réductrice des « bienfaits » qu’ils distribuent à longueur de journées avec l’argent et donc le travail ou le capital des autres.

Nous y sommes, nous découvrons que notre démocratie n’existe pas, que la nation est intégralement entre les mains des « bienveillants », qui se la pètent à mort.

Ils détiennent tous les pouvoirs.

Quand vous vous demandez pourquoi la justice vous donne systématiquement tort lorsque l’on vous dépossède illégalement de vos biens, de vos gains, de votre travail, vous avez enfin la réponse.

Les « bienfaisants » se foutent complètement de la loi, de la constitution. Ils sont une secte au-dessus de tout, de la liberté, de la propriété privée, du travail, du mérite, du droit, ils sont des « bienfaisants ». Il faut vous le mettre dans la tête.

Ils avancent masqués, ils peuvent s’appeler gauche ou droite, qu’importe, ils peuvent donner à Pierre, à Paul ou à Jacques qu’importe aussi, l’essentiel est qu’ils pillent pour donner. C’est à cela qu’ils croient.

Donc, sachez-le, si aujourd’hui les départements sont prêts à ne pas appliquer la loi ce n’est pas un évènement. Juste on vous le dit, vous l’apprenez, peut-être…

Mais il y a belle lurette que les « bienfaisants » pillent ce pays, la conscience tranquille, sans aucun respect pour la loi. Ils sont présents et croyants à tous les niveaux, ils se soutiennent, ils vous pillent.

Libre à vous de croire à leur fadaises, de croire que vous retirez un bénéfice à la distribution par eux de votre salaire, de vos biens… qui vous manquent peut-être à vous ou à vos enfants.

Vous faites peut-être partie des ravis qui exultent quand leur voisin, qu’ils pensent plus riche qu’eux, se fait tout piquer par les « bienveillants » ? Alors il va vous falloir encore attendre un peu pour comprendre le piège…

Ne vous inquiétez pas, ça va venir.

Si vous faites partie de ceux qui savent, qui ont compris, vous partagez sans doute mon désespoir en constatant que si les responsables des départements peuvent publiquement soutenir un tel mépris de la démocratie et de la loi, la probabilité que nous sortions autrement que par la violence de la faillite qui nous attend est nulle.

Bien à vous. H. Dumas

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La guerre est sale parce que la violence est sale.

La violence est si répandue que nous vivons dans un état de guerre pour certains, d’acceptation du spectacle de la guerre pour les autres, en tout, et cela dans une indifférence générale. C’est inacceptable.

La violence ce n’est pas d’avoir des pensées violentes, c’est de passer à l’acte.

Aujourd’hui la démonstration de la stupidité et de l’horreur de la violence nous interpelle sans concession.

Trois jeunes juifs pris en otages, évadés ou libérés du Hamas, tentent de rejoindre les leurs qui les abattent.

La boucle est bouclée à l’occasion de ce drame dont tout un chacun ressent au plus profond de lui l’horreur et l’absurdité.

J’ai des amis juifs, ils sont attachants, leur vision de la vie est séduisante et efficace, sauf sur un point : « œil pour œil, dent pour dent », la loi du talion.

Une façon de penser inconcevable pour un chrétien qui tend l’autre joue quand on le gifle et qui aime son prochain quel qu’il soit.

La loi du talion a des siècles de retard, et pourtant elle nous envahit aujourd’hui sous toutes ses formes, y compris les pires.

La liberté de penser admet que tant que les émotions sont au stade de la pensée elles sont libres de s’exprimer, mais le passage à l’acte est, lui, soumis au jugement, à la censure, à l’interdit. La violence ne doit pas échapper à cette règle.

Ainsi l’Etat Juif doit accepter d’être jugé sur son usage immodéré de la violence, tout autant que ceux qui répondent à cette violence par une violence qui tente d’être pire.

Je n’ai jamais adhéré à la pseudo fierté des Israéliens lorsqu’ils se ventent de maintenir leur pays par la violence, je n’adhère pas à la violence ultime de ceux qui s’opposent à eux, tout cela se traduit par des souffrances et des vies détruites stupidement.

Je pense la même chose de Poutine, de Mélenchon, de Le Pen, de tous ceux pour qui la violence est le moyen de conquérir. Je constate que ce moyen leur revient systématiquement en pleine figure, c’est réconfortant, c’est ce qui me maintient en vie.

Je pense évidemment à Le Maire et à sa gueule d’ange, à son coach Fournel et à ses vices profonds, deux hommes qui prônent et pratiquent à outrance la violence fiscale, alors que notre constitution parle, à juste titre, d’un impôt consenti. La différence est de taille.

Quand je les vois, eux et leurs magistrats sadiques, s’acharner sur Adjani, je les plains. Quel spectacle miteux nous donnent-ils à voir…

J’aime beaucoup Claude Reichman, certains lui reprochent sa non-violence, et pourtant il résiste depuis bien plus longtemps et bien plus fort que ceux qui un jour ou une nuit ont cassé des réverbères ou plus sans résultat. Il va gagner. La « Sécu » est en train de crever… Il est la conscience qui va permettre cette disparition sans violence. Il a tout subi et tout accepté de subir pour cela.

J’aimerais juste qu’il en soit de même pour moi face à la terreur fiscale, face à la violence prônée par Le Maire et Fournel. Ils ne méritent pas le statut d’hommes, ce sont des chiens, des animaux sans cervelle, juste avec des crocs. Ils ne savent que mordre.

Ils ne peuvent finir que dévorés.

Tous ceux qui sont du côté de la violence fiscale, de la terreur fiscale, finiront abattus par cette terreur fiscale dont ils attendent des avantages indus.

Ma sympathie va à Mme Adjani, pas à ses tortionnaires Le Maire et Fournel : courage.

Bercy tombera inéluctablement, même si moi et bien d’autres doivent crever avant.

Bien à vous. H. Dumas

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On commence à voir ce que pourrait-être la fin. Et ce n’est pas un baiser…

Poutine, c’est net, se sent mieux.

Il avait démarré en Ukraine, sur les chapeaux de roues — à l’aide d’un faux nez d’opération de maintien de l’ordre — une confrontation avec l’Occident qu’il déteste dans sa globalité. Un peu parce que la notion de démocratie et ses contraintes ne l’inspirent pas, beaucoup parce qu’il se sent humilié par la superbe des Américains.

Il s’est fracassé sur la réaction imprévue des Ukrainiens, mais l’inertie de sa masse et la lâcheté de l’Occident vont lui permettre probablement de passer cet obstacle.

A l’issue d’un sacrifice inutile les Ukrainiens vont sans doute disparaître en tant que nation.

Cet échec de Poutine, qui est sur le point de se transformer en victoire, lui aura permis de prendre la tête de la révolte anti-occidentale.

Tous ceux qui fonctionnent comme lui vont suivre son étendard. Ils sont nombreux et, même s’ils sont largement disparates, leur masse est rédhibitoire pour nous.

La valse est à quatre temps.

Premier temps, l’effort de résistance couplé avec l’inévitable repli nationaliste généré par la violence des affrontements un peu partout dans le monde, parachève la ruine de l’économie occidentale mondialisée, déjà fortement diminuée par les prélèvements fiscaux liés à la mascarade égalitariste. L’Euro et le Dollar s’effondrent alors.

Deuxième temps, du fait de cet effondrement, l’équilibre politique intérieur des démocraties vole en éclat. Manifestations en tout genre, déstructuration industrielle et commerciale, pillages, voire guerres civiles, gangrènent l’Occident. La démocratie ne survit pas.

Troisième temps, la bande à Poutine dirige les migrations vers les frontières de l’Europe pendant que les Américains, armés, explosent leur fédération, s’enferment dans des Etats indépendants qui ne se font pas de cadeau. L’Etat fédéral et ses moyens disparaissent.

Quatrième temps, la bande à Poutine vient remettre de l’ordre, comme en Ukraine.

La boucle est bouclée, notre civilisation occidentale n’est plus.

Certains ne sont pas d’accord ? Effectivement, c’est bien ce que je dis, les désaccords sont profond entre nous, sur tout, alors que pour nos adversaires la logique est unanime et simple, elle se résume en un mot : Pillage.

Ce mot magique réunit, cimente, verrouille, regardez la puissance de Bercy. Ce sera la même à l’échelle du monde contre nous.

Alors peut-être ces milliers de pages que j’ai noircies pour expliquer la responsabilité première de Bercy dans notre malheur à venir auront un sens pour ceux qui les liront, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Peut-être regrettera-t-on le capital détruit par démagogie, sans résultat sauf celui de soupoudrer généreusement les pilleurs au passage ?

Peut-être que je ne serai plus là. Ouf…

Bien à vous. H. Dumas

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D’abord la chienlit, puis la violence et enfin la terreur et la guerre.

La guerre peut venir d’une invasion, mais aussi d’un dérèglement interne de la société qui ne trouve plus alors comme solution que la violence aboutissant à la dictature, voire à la guerre civile.

Au départ est un refus des règles qui sous-tendent la société, diffus ou contraint, au point de ne pas trouver de solution par l’échange.

Cela peut venir de la résistance du système en place, comme de l’incohérence des changements souhaités :

*            les femmes et les hommes ne sont pas différents, c’est la société qui les différencie arbitrairement. Oui, oui.

*            Tous comme les bons élèves les cancres doivent avoir le bac, car il n’y a pas de cancre, il n’y a que des élèves mal motivés, mal encadrés. Oui, oui.

*            La prime au risque est inégalitaire. Ceux qui en prennent n’ont aucune raison d’en retirer un bénéfice. Oui, oui.

*            Le bénéfice en général doit être également réparti, sans liaison avec l’engagement participatif. Oui, oui.

*            Le respect doit être attaché à la fonction pas à la personnalité ou aux actions entreprises. Oui, oui.

*            L’érudition compte plus que l’expérience. Oui, oui.

*            Toute notoriété est bonne à prendre. Oui, oui.

*            Les riches sont des voleurs, les miséreux des malchanceux, personne n’est responsable de son état. Oui, oui.

*            D’ailleurs personne n’est responsable de façon générale. Oui, oui.

*            L’homme ne doit pas son existence à une lutte acharnée contre la nature qui lui est hostile. Oui, oui.

*            En revenant à l’état de nature l’homme progressera. Oui, oui.

*            L’univers connu doit l’absence de vie que l’on y constate aux Mercedes diesel. Oui, oui.

*            La laïcité n’est pas une simple croyance découlant du refus des religions, elle n’inclue pas elle-même mille autres croyances. Oui, oui.

*            Le climat linéaire au cours des siècles s’est mis brusquement à changer il y a peu. Oui, oui.

*            Les cultures ou les croyances étant superficielles, il n’y a pas de différence entre les hommes. Oui, oui.

*            Chacun est naturellement bon, ce sont les autres qui nous rendent mauvais, car le plus souvent ils le sont eux-mêmes. Oui, oui.

*            Pour avoir une bonne médecine il suffit d’augmenter le nombre de médecins. Oui, oui.

*            Pour avoir une bonne justice, il suffit d’augmenter le nombre de magistrats. Oui, oui.

*            Identique en tout, la qualité est une question de nombre. Oui, oui.

*            Aucun mystère ne peut résister aux algorithmes qui peuvent tout expliquer. Oui, oui.

*            Les hommes doivent se mettre au service de l’Etat, et non le contraire. Oui, oui….

Cette liste est sans fin.

Chaque paragraphe justifie des regroupements qui éructent, défilent, drapés dans leurs certitudes, prêts à aller jusqu’au coup de poing.

Pas de consensus possible.

« Et par-dessus tout ça, on vous donne en étrennes,

Le fric qui se promène et qui n’en finit pas ».

Il n’y a pas d’issue.

Bien à vous.

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Une France clanique, corporatiste, corrompue jusqu’à l’os.

Nous avons tous une sensation de malaise, un mal-être indéfinissable, dès qu’il s’agit d’user de nos droits naturels, pourtant listés et défendus par notre constitution à travers son préambule « la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ».

L’introduction de celle-ci commence ainsi «…considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements… »

Puis elle liste en 17 articles ce qu’elle considère comme étant ces droits de l’homme.

Ils sont :

  • l’égalité en droit, naturelle, inaliénable, même par la hiérarchie sociale qui, elle,  ne peut dépendre que du mérite face à l’intérêt commun.
  • L’espace des politiques y est limité à la défense de la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.
  • La liberté de chacun est bornée uniquement par celle des autres.
  • Quant aux interdits de la loi ils doivent être limités aux actes nuisibles à la société.
  • La hiérarchie sociale ne peut être construite que sur le talent et les vertus de chacun.
  • Parlant de la justice, l’arbitraire y est condamné et l’innocence s’impose avant toute condamnation. En gros le « mur des cons » c’est grave.
  • Évidemment la liberté de pensée, d’opinion, y est sanctifiée, y compris dans ses différents type d’expression vers les autres.
  • La fonction publique est acceptée, nécessaire, mais «…pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée… » !!!
  • Chacun à le droit de vérifier le coût de la dépense publique et chaque membre de la fonction publique est responsable de ses actes devant tous.
  • En fin, l’article 17 clos ainsi cette Déclaration : « La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. »

Nous avons tous été élevés selon ces principes. On nous a même fait croire qu’ils doivent être notre fierté car ayant déterminé le monde d’aujourd’hui.

Ce n’est pas tout à fait vrai car cent ans plutôt l’Angleterre s’était déjà organisée sur leur modèle et, pendant que nous nous entretuons à leur sujet, l’Amérique était la première à les mettre vraiment en application démocratiquement dans sa constitution.

Mais il est vrai que le monde occidental a prospéré et conquis la planète en appliquant ces principes.

Sont-ils obsolètes aujourd’hui, comme en leur temps ceux de la chevalerie?

Ceux qui comme moi y croient encore sont-ils les nouveaux « Ingénieux Noble Don Quichotte de la Manche » ?

C’est possible, je n’ai pas de blocage à ce sujet. Mais je suis en revanche convaincu que le corporatisme, le clanisme, et la corruption qui les accompagnent, ne peuvent pas servir de base au grand remplacement de ces principes. Je suis convaincu que la présence de ces dérives dans le diagnostic d’une société annonce sa mort et non son renouveau.

Comme Saint Thomas je ne crois que ce que je vois. Et… malheureusement… j’ai vu…

Je vous raconte régulièrement ici ce que j’ai vu et ce que je vois chaque jour. Cela ne met pas encore ma vie en danger physiquement, mais cela a détruit ma vie sociale et matérielle et je ne suis pas optimiste pour la suite.

À m’approcher trop près des nouveaux fermiers généraux basés à Bercy j’y ai laissé mon énergie, ma joie de vivre et le fruit de ma vie de travail. Ce sont des brutes tortionnaires, des vicieux qui aiment tuer, qui ont ruiné le pays, ils sucent les derniers euros des Français avant faillite. Ils ne comptent plus.

Aujourd’hui, allons plus loin encore, je vais vous donner un exemple de l’état de la magistrature, plus globalement de l’institution judiciaire et de ses satellites que je ne qualifierai pas sous peine de me voir interné immédiatement, ce que je ne souhaite pas évidemment.

Donc traité indûment de « fraudeur fiscal », j’ai vu cette néfaste image constamment et sans vergogne confirmée par la justice au mépris de tous les faits et vérités qu’elle a volontairement écartés pour complaire à Bercy, aux hommes de l’Etat, au mépris du droit et de la simple justice.

Cette image a détruit ma réalité professionnelle qui pendant 40 ans a été d’une droiture que je prétends exemplaire. Je n’ai accepté aucun  “don” de l’Etat, je n’ai couvert aucune connivence, participé à aucune corruption, dans un métier très exposé. Elle a déchainé contre moi les rapaces, les pillards de toutes sortes, les délateurs, les colporteurs de rumeur, les fumiers de lapin inclus dans toute société.

Je me suis ainsi retrouvé sur le «Mur des cons », qui existe bel et bien et sert de code procédural à bien des magistrats. C’est pour eux plus rapide et plus confortable pour leur carrière.

Voici l’affaire :

Mis sous l’eau par le fisc, j’ai dû me résoudre à ne pas pouvoir payer certaines charges pour garder les moyens de me battre, pour ne pas finir clochard, dans la rue.

Les charges de copropriété, intégralement payées depuis, en firent partie.

Croyez-vous que les autres copropriétaires aient eu de l’empathie pour moi, aient été compréhensifs et patients ?

Non évidemment, les raisons en sont simples :

  • la majorité des humains aiment la délation et le lynchage et sont des naufrageurs qui guettent la misère des autres pour en profiter.
  • Structurellement les copropriétaires ont été, par la loi, dépossédés de leur prérogatives par les syndics et les juristes, qui la plupart du temps sont aussi agents immobiliers, donc en situation évidente de conflits d’intérêts. Qui leur concoctent des charges du double de ce qu’elles devraient être. Ils sont les otages des syndics.

C’est dans ces conditions qu’un huissier s’est permis de saisir mes loyers pour des montants inexistants. Soient qu’ils aient déjà été versés au syndic, soit qu’ils concernent sa facture personnelle qu’il refuse de faire vérifier comme le prévoit légitimement la loi.

J’ai donc saisi la justice.

J’ai reçu hier le jugement, le voici : LIEN. Il faisait suite à ma saisine du juge : LIEN, aux conclusion bizarrement du syndic et non de l’huissier LIEN et à ma réponse à ces conclusions LIEN.

Pas mal, non ?

La magistrate a tout compris, c’est ça le pire.

Délibérément, et son jugement n’est pas élégant, elle utilise une argutie visant à prétendre que l’objet du litige porte sur plus de 10.000€, ce qui rendrait l’avocat obligatoire — entre parenthèse : corporatisme et entrave au libre accès à la justice au seul profit des avocats et des magistrats —, alors que les deux parties affirment qu’il ne porte que sur un peu plus de 4.000€.

En réalité l’objet de ma saisie du juge était la poursuite invraisemblable par l’huissier d’une somme indue de 10.000€, payée, et non du solde dû, d’environ 4.000€ sous réserve de sa vérification légale.

Cette somme de 10.000€ est inexistante puisque non due, fait non contesté par les parties en présence, elle ne peut pas reprendre vie uniquement pour les besoins d’une annulation de procédure.

Il s’agissait  de juger le fait de saisir des loyers directement pour l’huissier, sans demande préalable, juste par sadisme « huissieral », et pour une somme indue. Quand même…

Aussi de l’image pour moi que cette saisie véhicule….

Mais, laissons la suite de cela à La Cour d’appel puis à La Cour de cassation.

Il y a plus grave.

La magistrate émet une opinion personnelle, basée sur rien de crédible, non motivée, comme quoi je chercherais à nuire à la copropriété en poursuivant un huissier qui me saisit pour des sommes que je ne dois pas. Et, elle me colle plusieurs milliers d’€ de condamnation.

Ça, c’est l’effet « mur des cons ».

Oui, notre société est clanique, corporatiste et corrompue, au cœur profond de sa conscience.

Bien à vous. H. Dumas

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L’arrogance, ce poison social

L’arrogance est la compagne inséparable du pouvoir, que l’on possède ou que l’on croit posséder.

Elle est le moteur du pouvoir et l’adrénaline qui fait le convoiter d’abord, le capter ensuite.

C’est elle que les tortionnaires cherchent à éradiquer de toutes sortes de façons, qui peuvent aller de la simple humiliation jusqu’à la torture physique en fonction du niveau de civilisation d’une société ou de sa situation ponctuelle.

L’arrogance touche les individus aussi bien que les groupes.

La plupart du temps elle s’abrite derrière la force et l’impunité.

C’est contre elle que se battent, avec un certain succès, les femmes aujourd’hui qui connaissent bien l’arrogance millénaire des hommes à leur encontre.

En tant que signe essentiel du pouvoir il est classique de voir des oppositions arrogantes, elles espèrent faire ainsi la démonstration de leur capacité à accéder au pouvoir qu’elles convoitent.

Aussi est-il succulent de voir Mélenchon, qui s’efforce à longueur de journées de paraître arrogant pour légitimer ses prétentions d’homme de pouvoir, reprocher à un Larcher énervé de laisser soudain apparaître son arrogance que jusque là il dissimulait astucieusement sous couvert d’une façade de faux-cul particulièrement sophistiquée.

L’arrogance n’a ni limite sociale ni le sens du ridicule. Elle est inconsciente des dangers qu’elle génère pour ceux qu’elle envahit.

Ainsi, sur la route, les automobilistes sûrs de leur pouvoir étaient arrogants face aux piétons. Ils ne risquaient pas grand chose. Le législateur a donné le pouvoir aux piétons. Ils sont devenus arrogants par rapport aux automobilistes, ils les défient. Mais ils risquent gros.

En réalité l’arrogance ne se maîtrise pas. Nul n’y échappe sur tel ou tel point de sa personnalité, sauf à lutter contre elle volontairement après y avoir beaucoup réfléchi, et encore… Sans cela l’arrogance est instinctive.

Que penser d’une société comme la nôtre qui la traque en certains endroits et qui la vénère dans d’autres ?

Qu’elle ne peut que se noyer dans une injustice qui va particulièrement toucher ses membres évidemment hypersensibles aux jeux de l’arrogance.

Le seul antidote à l’arrogance est l’humour. On ne peut pas dire que notre société en ait beaucoup, si comme il se doit on ne confond pas humour avec rire gras.

Ce n’est pas Fournel qui me contredira sur ce billet.

Bien à vous. H. Dumas.

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Petite pensée face au tsunami de l’image et des réseaux sociaux.

Nous sommes nombreux à penser — ou à avoir pensé – que notre vison de l’environnement, nos doutes, nos questions, pourraient trouver des réponses, des solutions, en regardant assidument les explications des spécialistes — ou de leurs opposants – largement répandues sur tout ce qui peut se regarder ou s’écouter.

Quelques temps plus tard, force est de constater que non seulement ce n’est pas le cas mais, qui plus est, plus on regarde, plus on écoute, plus ce qui était relativement simple devient horriblement compliqué.

Allons bon. Où est le problème ?

Sommes-nous collectivement complètement abrutis ? Incapables soudain de comprendre notre environnement, nos alter egos : les hommes ? Notre destin est-il de rester bouche bée devant des explications savantes de tout et de n’importe quoi ? De perdre toute confiance en nous et de nous contenter de croire tout ce qui nous est raconté, en l’assimilant plus ou moins bien ?

Ma petite pensée

Il s’agit d’une simple question. Que nous devons nous poser constamment.

Celui qui se produit en public est-il passionné par ce qu’il explique ou par l’idée de se produire en public ?

Dans le premier cas il mérite d’être écouté, même en cas de désaccord avec son discours.

Dans le deuxième cas il ne mérite rien et surtout pas que l’on continue à le regarder, à l’écouter ou à le lire.

Oui me direz-vous, mais comment savoir s’il est passionné par ses idées ou agité d’une soif de notoriété inextensible ?

Eh oui, c’est le problème et il n’est pas simple. D’autant qu’il est rare que le vrai passionné accepte de perde son temps à faire le pitre pour partager sa passion.

Force est d’admettre que la plus grande majorité de ceux qui se produisent sur les supports publics ne sont pas sincères.

Conclusion : ils sont prêts à raconter n’importe quoi pour augmenter leur notoriété, y compris à mentir — ou à broder sur toute contrevérité — uniquement pour être reconnus.

Après ce constat, nous ne sommes pas beaucoup avancés.

En effet, c’est comme dans la vraie vie, donner sa confiance est problématique. La voir trahie rend malheureux, la placer avec bonheur est valorisant. Le mieux restant d’être méfiant, de bien réfléchir avant de l’accorder, d’essayer de juger plus celui qui s’adresse à nous que les situations sur lesquelles il va s’appuyer, pour lesquelles nous n’avons pas toutes les données et un fort risque de mal interpréter.

En ce qui me concerne je trouve la position de spectateur difficile et celle d’acteur, pour toute ces raisons, ingrate.

Et pourtant quelle passion de la population tant pour paraitre sur les réseaux sociaux ou autres moyens modernes de communication que pour les regarder.

Nos rapports humains vont-ils être impactés durement par cette situation ? Peut-être, particulièrement le jour où les prises de position de chacun engageront sa vie, comme c’est toujours le cas lors d’une guerre.

Bien à vous. H. Dumas

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Nous sommes sur la bonne voie

Nous prétendons, ici sur ce blog, que régler le problème des dépenses inconsidérées des hommes de l’Etat qui ruinent notre pays — et nous tous par la même occasion — ne passe pas en priorité par l’analyse des dépenses mais par la justice des recettes, par la suppression de la terreur fiscale, de la propagande qui accuse d’avantages fiscaux, voire de fraude fiscale, des Français innocents, souvent moteurs économiques du pays, pour pouvoir les piller avec l’approbation de la population.

Nous affirmons que les dégâts humains liés à cette politique sont incommensurables.

Nous sommes dans le vrai, la preuve : Lien

Il n’y a rien à rajouter.

Bien à vous. H. Dumas

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Bruno, faut qu’on discute…

Je propose que l’on passe direct au tutoiement, on partage tellement de choses ensemble – enfin, c’est surtout toi qui partages mes affaires –.

D’abord, saches que j’ai une certaine admiration pour toi. Tu m’impressionnes avec tes affirmations complètement invraisemblables, que tu assènes avec cet air abruti qui te disculpe immédiatement. Que ce soit naturel ou travaillé, c’est fort.

Par exemple, quand tu affirmes que tu vas ruiner la Russie, alors que tu es en faillite et que Poutine est pété de tunes. L’intention est bonne, mais tu ne te vois pas comme tu es, dommage, surtout pour nous.

Quand même, toi et tes potes, vous êtes prétentieux comme des poux et si peu compétents. C’est à peine croyable.

Tu as eu le culot de me jeter en prison pour rien, alors qu’il est probable que tu vas y finir tes jours et pour des motifs réels.

Car, ne te trompes pas, les Français vont s’apercevoir, rapidement maintenant, que tu les as volés, trompés, ruinés, pour rien.

Par exemple, tu devrais faire le total du coût de tous les transports en commun, trains et bus locaux, rapportés à la part de personnes transportées, et tu verrais qu’il y a un sacré problème. Que tu pourrais mettre en balance avec l’absence d’investissements sérieux dans les infrastructures routières.

Inutile de te rappeler que nous avons le système de santé le plus couteux du monde et qu’aujourd’hui il n’est pas rare d’attendre un an pour un rendez-vous chez un spécialiste, sans compter les dysfonctionnements des hôpitaux.

Ne parlons pas de l’éducation nationale, de sa facture et des 35 à 75% d’illettrés après le bac, selon les zones d’éducation.

Notre armée, notre police, rien ne marche.

Et notre justice. Alors là, c’est le pompon. Les petits juges — pas par la taille, par le QI — ont pris le pouvoir. Ils se moquent de la loi, de la constitution. Ils obéissent à leur religion, à leurs croyances, c’est énorme.

Tout ça c’est de ta faute. Tu es le responsable de toute cette chienlit, puisque tu pilles le pays pour eux, pour leur permettre de s’épanouir, de se multiplier, sans contrainte et sans limite.

Alors je vais te dire, l’an prochain j’ai 80 ans.

Par ta faute je suis obligé de travailler pour vivre. La société, à qui j’ai beaucoup donné, n’envisage pas de me renvoyer l’ascenseur, qu’importe…

Mais, et c’est plus grave, depuis vingt ans ta boutique non seulement me pille, mais fait tout pour que je ne puisse pas travailler, pour que seuls ses amis se partagent le boulot en exclusivité.

De tout côté ce ne sont que copinage, corporatisme, corruption…comment comptes-tu t’en sortir. Quand la faillite va être prononcée, demain, tu vas sauter, loin et longtemps…

En ce qui me concerne, un rapide tour d’horizon.

Quand, il y a vingt ans, ta boutique m’a qualifié de « fraudeur fiscal », elle l’a fait déloyalement, mensongèrement. Mais ce mal fait, rien n’a pu le guérir.

J’ai donc subi l’indicible…

Je me suis battu, sans succès. Les juges étaient vendus, je l’ai compris trop tard.

Le temps a passé, tu m’as obligé à disloquer mon capital, celui que j’aurais aimé transmettre à ma famille pour que mes enfants, qui sont courageux et travailleurs, puissent partir de plus haut et arriver plus loin, pour eux mais aussi pour le pays.

Une fois ce capital perdu, tu continues, tu me harcèles. Chaque jour qui passe tu ponds une loi qui avantage les inutiles — que tu câlines continuellement dans le sens du poil – qui me complique la vie, qui réduit mes revenus.

Pour tout te dire, j’en ai marre.

Notamment j’en ai marre des complications artificielles que tu accumules pour m’obliger à te déclarer mes maigres revenus selon des systèmes comptables hermétiques et sans rapport avec la modestie de ma comptabilité.

Je t’explique. A 80 ans, soit on vit au crochet des autres, soit on gère, à son rythme, ses propres affaires, ce qui est mon cas.

En gros, malgré tout ce que tu m’as pris indument, il me reste quelques biens, acquis depuis plus de trente ans, donc hors plus-value.

Situés dans des copropriétés, ils sont d’un rapport ridicule et sans valeur parce que loués. Il y a déjà longtemps qu’en complicité avec les syndics tu as fait de leur métier une machine à ruiner les copropriétés. Puis qu’avec les élus locaux tu as parachevé ces ruines par un délire fiscal foncier.

Mais je n’ai plus que ça pour vivre. Le « ça » se résume en une comptabilité de ménagère. Tant de loyer et tant de factures d’entretien, un point c’est tout.

Or ta boutique me demande une comptabilité équivalente à celle d’une multinationale du CAC 40.

Mais tu n’auras que ma comptabilité de ménagère chaque année, juste, mais simplifiée. Je refuse de payer l’expert-comptable, ton complice, pour te refiler des pages de chiffres irréels, juste destinés à assoir tes futurs contrôles fiscaux bidons, mensongers.

La vie c’est simple Bruno.

Toi et tes potes vous avez la grosse tête, vous voulez laisser une trace dans le firmament de l’humanité. C’est con.

Regarde les dégâts de l’affaire COVID. Là vous y avez cru, vous vous êtes pris pour les sauveurs de l’humanité : Pasteur découvrant la rage.

Pas de pot, c’est le fiasco, et ce n’est qu’un début. Là aussi tu vas devoir rendre des comptes. Tu n’as pas fini, Bruno…

Bon je te laisse Bruno. Ce n’est pas que je m’ennuie avec toi, au contraire tu me fais marrer, mais j’ai du boulot, moi…

Sans rancune. A la 17ème. Bien à toi. H. Dumas

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Bonjour misère

Comment dire ? J’ai conscience de ne pas avoir la légitimité pour philosopher ou pontifier. Aussi, pour tenter de convaincre, j’accumule des preuves, des faits, des vérités avec l’espoir de partager ainsi une réalité. Hélas, je ne convaincs pas.

Cette réalité c’est le poids du pillage d’une partie de ce pays par l’autre. C’est une guerre où le règne du plus fort, des plus nombreux, se fout de la morale, de la vérité et de l’humanisme. C’est grave.

Il me semble que chacun devrait être lucide sur la chance que nous avons que nos ainés aient, à grand peine, instauré : la démocratie — c’est à dire la faiblesse du pouvoir, ramené au minimum nécessaire –, la propriété privée — qui nous protège de l’arbitraire et de sa violence –, la liberté de penser — dont la garantie tient essentiellement à la laïcité qui protège des croyances religieuses aveugles, tout en les laissant exister pour ceux qui en ont besoin –, le droit à l’échange libre — qui permet en toutes choses de capitaliser, donc de progresser par l’accumulation des biens et des connaissances –. Or, ce n’est pas le cas.

Alors je vous propose de lire le livre ci-dessous :

Normalement à l’issue de cette lecture, on acquiert une vision objective et raisonnée des notions de pouvoir, de domination, d’environnement de vie, on se vaccine de toutes les idées de complot, de forces occultes, de surhommes, etc…

On voit très bien que l’organisation des groupes humains est naturelle, elle répond à des stimuli simples, dont la grandeur de l’homme serait de les maitriser, la folie de croire pouvoir les modifier.

Si la sagesse vous aborde à la suite de cette lecture, alors je vous propose de lire ces deux documents :

  • Le premier est ma requête déposée devant le TA de Montpellier. Je la crois simple, vraie, compréhensible facilement, accompagnée du temps nécessaire à l’analyse objective des évènements.
  • Le deuxième est le jugement rendu par le TA de Montpellier. Il est Stalinien. Totalement insensible à la vérité, à la réalité humaine décrite et vécue. Il évite d’affronter l’ignominie, il se contente de débiter des arguties pretentieuses à l’air savantes pour couvrir les pillards et le pillage.

En réalité, le monde occidental est en train de se mutiler lui-même, il court à la ruine en clamant haut et fort qu’il est fier de piller ceux qui le portent économiquement, les enfants de ceux qui ont tant souffert pour le mettre au monde.

Les Etats-Unis sont en faillite, la plus grande partie de l’Europe aussi, vidés de leur capital et de leur énergie par des pillards internes à eux-mêmes.

C’est complètement démoralisant. Quel gâchis. Quelle bêtise. Illimités.

Bien à vous. H. Dumas

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Une contravention ordinaire

Ma lettre à l’Officier du Ministère Public

CONTRAVENTION 6635221784

Sète le 24/11/2023

Bonjour,

Ce courrier est destiné chez vous à aller directement à la poubelle, il est destiné chez moi à aller sur mon blog.

La contravention est payée, donc mon droit de contestation est clos, pas mon droit de discussion lié à l’article 15 de la convention des droits de l’homme et du citoyen : « La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »

Les faits sont les suivants :

Je suis convoqué au Tribunal Judiciaire de Montpellier, place Pierre FLOTTE, le 06/11/2023 à 9H.

A 80 ans bientôt et quelques problèmes cardiaques, je souhaite m’approcher le plus près possible du TJ, pour éviter une marche de plus de 100 mètres. Je pourrais sans doute avoir une carte d’handicapé, mais par principe je ne souhaite pas solliciter la collectivité si je peux l’éviter, et je peux encore l’éviter.

Premier problème, le TJ a été construit sans parking. Enfin ce n’est pas tout à fait juste, il y a bien un parking, mais strictement réservé aux jeunes et fringants magistrats et au personnel du TJ. Absolument rien pour les justiciables…

Les rues adjacentes en revanche ne sont pas très encombrées et jusqu’à ce jour on arrivait, plus ou moins bien, à se garer à proximité du TJ.

Mais le 6/11/2023, la principale rue d’accès, la rue Clapies, est fermée, en travaux dont l’objectif est, clairement, de supprimer les possibilités de stationnement dans cette rue.

Je suis à l’heure, mais pas au point de partir contourner cette rue barrée et d’aller je ne sais où pour trouver un stationnement proche, probablement inexistant.

Donc je me gare sur un espace inutilisé, face aux barrières du chantier, baptisé pompeusement « Place Giral », qui n’est pas une place, mais un simple délaissé ni trottoir ni lieu de passage ou de promenade, où je ne gène personne. Il est 8h55.

A 9h04, l’agent verbalisateur N° 49309, m’épingle. Il était donc caché derrière un arbre du Pérou, dans l’attente du gibier. Un piège excellent. Félicitations…

Mais quand même. Quelle pantalonnade !!!

Jusqu’où ira le pillage des braves gens par les hommes de l’Etat et leurs complices. Ici la liaison est nette entre eux et les magistrats. Ailleurs elle est identique, implacable et constante.

Monsieur l’Officier du Ministère Public, votre fonction est pleine d’humour, finalement même carrément comique, les sommes en jeu étant modestes.

Les mêmes principes de pillage, avec les mêmes acteurs, en d’autres lieux et d’autres sommes, ne prêtent pas à rire ou à sourire, car ils tuent.

Portez-vous bien M. l’Officier.

Respectueusement.  H. Dumas

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Les Argentins vont-ils sortir de la caverne de Platon ?

C’est la grande question.

Ils ont élu Javier Milei, sur un programme qui, d’après ce que l’on nous dit, est d’une grande simplicité et désarmant de logique. Il s’agit de remettre l’activité économique au centre du débat, de terrasser l’hydre égalitariste et ses thuriféraires. De récompenser la valeur, le risque et le travail. De dégager les fainéants et les allumés en tout genre. En clair de redonner le goût de la vie aux honnêtes gens et de remettre à leur vraie place les pillards.

Oui mais voilà,

Les pillards du monde sont à la manœuvre. Les esclavagistes ont plus d’un tour dans leur sac pour déposséder ceux qui accèdent à la propriété économique et à son aventure pleine d’aléas, qui font marcher la machine, qui les font vivre.

Par un invraisemblable tour de passe-passe, les pillards ont réussi à répandre mondialement une idéologie qui tend à prouver que celui qui gagne doit donner son gain à celui qui ne gagne pas, comme si gagner dans la vie était une simple loterie et non le résultat d’un travail et d’un engagement total.

Evidemment ce retournement des valeurs n’existe qu’en économie, pas question de donner sa place de meilleur de la classe, de grand footballeur, de belle gueule ou de bau parleur.

Les Argentins en avaient mare de se faire piller. Pas par leurs voisins, pas par des envahisseurs, pas par des barbares. Non, par les membres de leur communauté.

Par leurs faibles, leurs lâches, leurs fainéants, par tous ceux qui ne veulent prendre aucun risque, qui multiplient les faux emplois, les fausses hiérarchies, les fausses valeurs, qui vivent largement au-dessus de leurs moyens et ont le culot de le faire payer à leur voisin, qui plus est en le diffamant, en le traitant de « fraudeur fiscal » s’il ne veut pas donner tout ce qu’il a gagné à la sueur de son front.

Face à la faillite induite, les Argentins ont fait le ménage. Enfin disons qu’ils pensent avoir fait le ménage.

Ce n’est pas vraiment le cas encore. Pourront-ils le faire ?

Rien n’est moins sûr.

L’amicale mondiale des pillards est à la manœuvre. Elle commence à répandre son venin.

Ainsi apprenons-nous que cet homme, M. Milei, que nous ne connaissons pas, serait un psychopathe. Un fasciste d’extrême droite, alors qu’objectivement son programme parait être totalement à l’inverse du fascisme dont la doxa est l’Etat.

C’est un peu l’église qui, du poids de ses usurpations morales, condamnait et faisait tuer les protestants, qui ne voulaient qu’un peu de raison et d’honnêteté dans la croyance en Dieu.

Les pillards s’enflamment, les nôtres en premier. Ils sont démocrates comme je suis pape. Peu leur importe que les Argentins aient voté, ils ne respectent rien, surtout pas la propriété privée donc le vote qui est un des éléments moral de cette propriété.

Tous les pillards du monde — et ils sont nombreux, démocrates ou assujettis à une dictature — vont évidemment s’ingérer dans la politique argentine. Ils vont tenter de paralyser les actions du nouveau président.

Il ne manquerait plus qu’il réussisse à redresser le pays, à rendre les Argentins heureux.

Milei aura de la chance s’ils ne l’assassinent pas, tout simplement.

Les pillards sont au taquet, nous allons avoir à la fois la danse des canards et le bal des maudits, le spectacle va être total d’insincérité, d’inversion des valeurs et du vocabulaire. Qui pourra garder son flegme, sa raison ?

N’allez pas croire que l’Argentine va s’en sortir, la croyance égalitariste et son cortège de catastrophes, sa faillite chronique et les malheurs qu’elle induit, est une croyance aussi tenace que celle qui fait vivre l’église depuis deux mille ans.

Précisions 

Je ne parle pas de Dieu, ni du respect dû à tout être humain ou à la nature, je parle des usurpateurs, de ces « hommes de… » qui prétendent nous dresser les uns contre les autres, nous abuser en affirmant avoir compris ce que personne ne comprend, mais qui en réalité ne visent qu’à nous contraindre, à faire de nous leurs esclaves, à assouvir à n’importe quel prix pour nous leur goût du pouvoir.

Alors les Argentins

Face à cette pression, je ne sais pas si leur nouveau Président aura les épaules, mais je sais qu’il va être seul et eux aussi.

Je leur souhaite de réussir.

Bien à vous. H. Dumas

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Modestes propositions face à l’effondrement du pays

Ce peut-il que la France s’écroule d’un coup ?

Que, par exemple, nous ne puissions plus retirer librement notre argent des banques, que Bercy fasse défaut sur la dette, que l’Euro rende l’âme et que nous nous trouvions seuls face à notre dette, donc face à un franc qui redeviendrait notre monnaie et ne vaudrait rien ?

Oui, je crois tout cela non seulement possible mais imminant.

Alors le chao aurait tendance à s’installer et pour le contrer les Français pourraient accepter de perdre leur liberté. Les hommes de l’Etat actuels, ou à venir, trichant comme des malades pour leur dissimuler la situation et leur faire croire qu’ils seraient incapables de sortir de ce drame sans eux… alors que ce sont eux qui l’ont provoqué.

Ce serait grave. C’est évidemment exactement le contraire qu’il faut faire.

Car il s’agirait d’une grave crise économique, de la faillite logique d’un système à bout de souffle, que seuls les Français pourraient affronter et solutionner.

Comment leur donner le pouvoir ? Très simplement en deux temps.

D’abord revoir la constitution pour qu’ils puissent se gouverner eux-mêmes

Plus de Président de la République-roi. Donc le pouvoir au parlement élu à la proportionnelle.

Organisation d’un gouvernement simplifié ne comprenant que les ministères suivants : Justice, Police, Armée, Impôt et Dépense Publique, Concurrence, Aide aux indigents.

Toutes les autres fonctions seraient privatisées, rendues aux Français.

Réorganisation du maillage administratif et politique dans le sens de la simplification et de la réduction des personnels, autour de l’idée de la commune.

Simplification de la fiscalité ne reposant que sur : un impôt, non progressif, payable par tous de l’ordre de 15%, une TVA de l’ordre de 10% et un impôt sur les sociétés de l’ordre de 10%. Aucune autre taxe ou impôt.

Donc le fonctionnement économique de la nation ne serait plus entre les mains de l’Etat mais des Français.

Il serait nécessaire de contrôler la moralité de ce fonctionnement économique, ce serait l’objectif du ministère de la concurrence.

Aucun monopole accepté, donc au minimum trois entreprises par type de service ou de production.

Une transparence de ces entreprises visible par tout consommateur indiquant chaque année : le chiffre d’affaires, le bénéfice, la distribution aux actionnaires, les investissements, spécifiquement l’investissement dans la recherche, les dons aux indigents. Aussi les produits proposés par l’entreprise et le nom d’au moins deux concurrents proposant les mêmes types de produits.

Toutes ententes ou corruptions devant être très gravement sanctionnées, recherche à la charge du ministère de la concurrence.

Les travailleurs indépendants doivent être soumis aux mêmes conditions.

Les rapports entre employeurs et salariés seraient de l’ordre du contrat privé, les deux ayant un intérêt naturel à s’entendre.

On pourrait appeler cette organisation : le libéralisme. Non ?

Il n’y a pas beaucoup d’effort d’imagination à faire pour comprendre que ça marchera.

Oui mais, que fera-t-on de tous nos tricheurs, nos planqués, nos irresponsables, nos bateleurs, nos vedettes de paille ? Rien, on les nourrira.

Le ministère des Indigents leur donnera la possibilité de vivre dignement, sans travailler, mais ils n’auront pendant ce temps plus le droit de vote et devront retourner dans leur pays s’ils ne sont pas Français.

Il va de soi que : La liberté individuelle sera sacrée ainsi que la propriété privée intellectuelle et matérielle. Ce sera le rôle de la Justice, de la Police et de l’Armée de les protéger.

Désolé si vous trouvez mes propositions simplistes. Ayant eu largement l’occasion d’aller me promener au plus haut de l’apparente complication de notre organisation politique et sociale, je peux vous affirmer qu’elle est totalement bidon.

Bien à vous. H. Dumas

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Voici venu le temps du pillage

La possession est universelle, sa nécessité est consubstantielle à la vie pour tous les êtres vivants.

Il y a deux voies d’accès à la possession, l’échange ou la force.

On appelle la première l’économie, la seconde le pillage.

Il n’existe rien d’autre de vrai. Tout le reste n’est que faux-nez pour posséder, pour vivre, pour repousser la dépossession totale, la mort.

L’échange, qui ne peut-être que volontaire, suppose pour pouvoir le pratiquer des prédispositions naturelles qui vont permettre de créer des valeurs ajoutées qui feront que nul ne soit lésé.

Ce n’est évidemment pas le cas, bien au contraire, lorsque la possession est acquise par la force.

Jusque là tout est simple, transparent, accessible à tous les raisonnements.

Où les choses se compliquent c’est quand la possession acquise par l’échange s’allie à la force pour éliminer le risque. En effet, l’échange consenti ne se fait jamais sans risque puisqu’il s’appuie sur un bénéfice futur, or le futur, qui n’est pas maîtrisable par l’homme, est porteur d’une inconnue qui peut évidemment être négative.

Le mariage entre l’échange et la force qui tend à éliminer l’inconnu négatif est donc en réalité un mariage entre l’économie et le pillage. Il va aboutir à une possession illégitime. Car toute possession par la force est illégitime de la possession.

Le possédant illégitime ouvre la porte à toutes les forces, des plus primaires au plus sophistiquées, pour accéder à la possession.

Par exemple, l’empathie amène naturellement à la charité, à l’aide au plus démuni, alors que la force amène à la redistribution.

L’aide et la charité sont une des équations de l’échange volontaire, de l’économie, alors que la redistribution par la force n’est qu’une facette du pillage.

La lecture de l’histoire des hommes, passée ou présente, à partir de ces réalités incontournables permet de comprendre que nous sommes entrés dans l’ère du pillage, donc de la guerre, qui ne peut être que mondiale.

En effet de façon concomitante les sociétés de l’échange arrivent au terme de leurs alliances malsaines entre libre-échange et force alors que des sociétés en devenir pensent gagner du temps en accédant à la possession par la force plutôt que par l’échange, par le pillage plutôt que par l’économie.

Rien donc ne peut entraver le temps obscur du pillage qui arrive.

Les fausses pistes, les mensonges avérés qui ont pour mission de nous dissimuler cette situation banale, animale, remplissent parfaitement leur but qui est de magnifier les morts à venir, de donner bonne conscience aux pillards.

Pauvres de nous.

Bien à vous. H. Dumas.

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L’impôt non consenti

Nous connaissons par cœur les deux articles clefs visant l’impôt dans le cadre de notre constitution. Ils découlent de la déclaration des droits de l’homme de 1789.

Article 14

Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

Article 15

La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.

L’impôt outil de redistribution n’existe pas, il est une vue de l’esprit, un outil de domination politique.

Le consentement est la base de la démocratie.

Rappelons que la démocratie est le moindre mal qui oblige toute forme d’obligation sociétale à avoir au préalable obtenu au moins une majorité.

La démocratie a la prétention de défendre l’individu, c’est-à-dire ce qui le construit : sa vie et ses libertés.

Les libertés sont globales, elles recouvrent les libertés de penser et de posséder librement son corps et ses biens. En fait le droit de vivre.

Il ne suffit pas de le dire, il faut l’appliquer, cela ne coule pas de source.

Les démocraties devraient être directement en opposition avec tous les autres régimes qui, pour des motifs toujours prétendument excellents, donnent à quelques’uns le droit de contraindre leur population.

Or, ce n’est pas le cas, une grande partie des démocraties ont perdu de vue leur raison d’être et soumettent violemment leurs citoyens. Elles n’échappent pas à certaines croyances liberticides. Elles fraternisent avec les dictatures.

La plus destructrice est la croyance égalitariste.

Elle prétend légitimer la force pour déposséder autrui de ses biens au profit de ceux qui auraient été lésés lors de la répartition naturelle par l’intelligence et le travail. Evidemment, alors que les biens sont multiples, matériels ou immatériels, seul l’argent, appelé péjorativement « le capital », est visé par l’égalitarisme.

Nul n’envisage de répartir également, la connaissance, la maladie, la hiérarchie administrative, la gloire, la notoriété, la beauté, la sexualité, le sport, toutes ces choses où, au contraire, le meilleur et le plus fort sont respectés et admirés.

Nous arrivons au bout du concept.

Le pillage légalisé des possédants, leur destruction systématique, les alliances malsaines à ce sujet, ont eu raison de l’économie de notre pays.

L’impôt et son système de collecte, aussi ceux qui l’animent, sont devenus les tortionnaires de la société finissant par violer les consciences économiques à leur seul profit.

Paradoxalement, c’est par ce biais que les démocraties risquent de disparaître durablement et ce ne sera pas la première fois.

Finalement les régimes dictatoriaux, qui ne sont absolument pas concernés par la liberté de leurs sujets, qui n’ont pas besoin d’acheter des voix pour accéder au pouvoir, finissent par obtenir des résultats économiques supérieurs aux démocraties, ce qui est stupéfiant… mais lié à leur fiscalité plus douce sur le capital.

C’est-à-dire que le non-respect de l’initiative privée finit par leur couter moins cher que la ponction fiscale des démocraties sur cette même initiative privée, qu’elles sont censées protéger…

C’est un non-sens vertigineux.

Et pourtant, chaque jour qui passe voit augmenter la pression fiscale, le pillage.

L’observation de cette situation est sidérante.

Par exemple, les hommes de l’Etat inventent un parquet spécialement dédié à la fiscalité, le « parquet financier ».

On se dit que dans notre système judiciaire inquisitoire, ces professionnels vont enfin sanctionner les abus des contrôles fiscaux, vont enquêter à charge et à décharge

Que nenni, ce parquet financier a zéro dossier contre la terreur fiscale, il n’a même pas conscience qu’au mépris de toute justice il participe au pillage fiscal. C’est un comble…

Il n’y aura donc pas de prise de conscience du pillage destructeur en cours. Il va falloir attendre ses conséquences, avec la probabilité qu’elles seront attribuées à autre chose, à une chimère politicienne égalitariste.

Je me suis toujours demandé comment les résistants avaient pu se mobiliser en représentant 1% de la population en 1939… Je connais aujourd’hui la réponse.

C’est uniquement leur conscience qui les faisait agir, sans aucune aide de la collectivité qui pourtant a récupéré leurs engagements et leurs morts quand c’est devenu avantageux pour elle…

Tout cela est moche.

Je n’ai aucun respect pour ces fonctionnaires qui me harcèlent, pour ces magistrats qui les couvrent, pour ces politiques qui nous mentent et induisent le pillage, mais aucune haine non plus. J’en ai eu, mais je n’en n’ai plus, ils sont justes sots…et bassement intéressés. Pauvres mecs…ils se croient pourtant supérieurs…

Bien à vous. H. Dumas

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Elle est là…

Elle arrive, seule. Personne ne la déclare, contrairement à ce que veut faire croire l’histoire.

Elle résulte d’un besoin de pillage, si prégnant qu’il devient évident. Alors elle arrive.

Il y a ceux qui savent s’inclure dans l’économie, qui savent en capturer les fruits, il y a les autres qui ne savent pas. Les premiers s’activent puis deviennent des possédants, les seconds, en manque, les trouvent alors arrogants.

Les premiers craignent le pillage, ils ne partagent pas, partageraient-ils rien ne changerait.

Les seconds se font à l’idée que leur position est injuste, qu’ils ont une légitimité à prendre ce que personne ne veut leur donner, à piller.

L’histoire touche aussi bien les individus que les groupes d’individus, elle n’a pas de frontière, elle est universelle.

Elle est là, sous forme de braise, elle n’attend que les circonstances favorables pour s’embraser, elle n’a besoin de personne pour prendre, pour devenir un brasier qui dévorera les hommes.

La guerre éclate soudain, en apparence. En réalité, tout le monde la voit arriver depuis toujours.

Elle surprend, dit-on. C’est complètement faux, tout le monde la connait, en connait le fonctionnement, mais nul ne pouvant changer quoique ce soit à sa réalité, il vaut mieux faire mine de ne pas la voir, c’est moins désespérant.

Elle est arrivée par la Russie, persuadée que ce n’était pas elle, elle se répand au Moyen-Orient, toujours persuadée que ce n’est pas elle.

Mais c’est bien elle. Erdogan la sent, il la veut. Il va l’avoir. Quel sot…

Elle va gagner le monde, le temps du pillage est arrivé, total, destructeur, vital malheureusement.

Il y aura des vainqueurs et des vaincus, les premiers auront raison, les seconds auront tort. Ce sont les pillards qui perdront, à terme le pillage s’autodévore.

Face à elle, la nature fait profil bas. Elle est la nature…

Nous aurons connu toutes ces belles choses d’avant-guerre, serons-nous là pour en parler ? C’est peu probable en ce qui me concerne.

On aurait pu tous s’aimer ? Vous croyez ? Et le fisc ?…

Bien à vous. H. Dumas

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Arrive le temps de l’inversion totale

Je hais une chose, en plus du fisc, c’est le mensonge.

Inversement, j’ai une passion dévorante pour la vérité. Non pas celle prétendue révélée, qui me fait toujours l’effet d’un gros mensonge. Mais celle que l’on cherche, sincèrement, laborieusement, en toutes choses, dont la découverte est valorisante, qui ne se découvre pas à tous, uniquement à ceux qui ont le courage, la patience, l’intelligence et la tolérance nécessaires pour la découvrir.

Cette vérité en réalité se construit pas à pas, beaucoup ne la voient jamais. Elle est souvent masquée par le mensonge et il faut que le temps le déchire pour que soudain elle apparaisse, avant qu’un autre voile de mensonge plus épais la dissimile de nouveau.

L’allié le plus sûr pour découvrir la vérité est le temps.

Or arrive une époque où le temps va nous être compté, alors la vérité se confondra avec l’immédiat, quel que soit cet immédiat.

Le temps c’est la vie, lorsque la vie est éphémère que le temps nous manque la vérité nous quitte, c’est le réel qui devient vrai. Dans ce cas la vérité peut-être hideuse.

Il faut le temps d’une éducation pour que celui qui vaut en fasse la démonstration par rapport à celui qui ne vaut rien, sauf si ce dernier tire une balle dans la tête de celui qui s’éduque, alors la vérité est hideuse.

La barbarie est une compression du temps interdisant la recherche et la découverte de la vérité. Tout ce qui compresse le temps engage vers la barbarie.  La lenteur de la démocratie est ce qui lui permet, parfois, d’approcher au plus près la vérité.

On voit bien qu’aujourd’hui les forces instantanées tentent partout de prendre le pouvoir ne laissant aucune place à la recherche de la vérité. Cette situation est-elle réversible ?

Non. Le mensonge a déjà gagné, l’idée même de vérité n’existe plus, elle a été laminée. L’égalitarisme est passé par là, nulle valeur ne peut se détacher, tout devant être égal en soi, mensonge et vérité font la course sans démarcation.

La suppression du temps par la violence laissera donc l’humanité face au mensonge qui tire toujours le premier, c’est sa spécialité.

Nous ne pourrons même pas bénéficier des leçons qu’auraient dû nous laisser la retentissante faillite économique et morale dans laquelle nous ont entrainés nos élites. Dommage, la vérité va exploser, mais elle sera invisible…

Finalement, la vérité, c’est peut-être une vue de l’esprit.

En tout cas, les magistrats s’en foutent, ne parlons pas des politiques, des bureaucrates, des affairistes, des prédicateurs, des flics, etc…ça fait beaucoup de monde…

Alors, les pauvres « chercheurs de vérités » que nous sommes, dont le matériel de recherche est vétuste et peu fiable, les intuitifs, quelle désespérance, que va-t-il leur rester ? Rien.

Je ne vous cache pas que ça me fout le moral à zéro.

Bien à vous. H. Dumas

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La démocratie n’est pas outillée pour la guerre

Clausewitz nous dit que la guerre consiste en « un acte de violence dont l’objectif est de contraindre l’adversaire à exécuter notre volonté », qu’ainsi elle est donc « la continuation de la politique selon d’autres moyens ».

C’est en effet ainsi que se comporte la majorité des hommes politiques dont le but est d’imposer au groupe leur vision sociétale.

En réalité la politique n’est pas ou ne devrait pas être cela.

La politique c’est l’art de faire en sorte que tous puissent vivre ensemble en paix, quand bien même leurs idées seraient opposées. C’est Voltaire qui donne la clef « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire ».

Cette politique Voltairienne a existé avant Voltaire, c’est la base de la démocratie dans laquelle le conflit se tempère par la discussion.

La discussion permet de tout envisager, sans limite, elle ne suppose pas fatalement de trouver des solutions. La démocratie non plus.

Donc, être démocrate c’est permettre que tout puisse être dit, et contredit. Ce n’est pas trouver des solutions à tout.

La raison est d’admettre que pour leur plus grande partie les problèmes humains sont d’abord personnels, leurs solutions aussi. La collectivité est impuissante à les régler.

En conséquence, pour que chacun puisse évoquer ses problèmes avec tous, encore faut-il qu’il les assume.

Donc la démocratie ne peut réellement exister que si elle réunit des êtres responsables, dont chacun pourra soutenir ses opinons et écouter celles des autres.

Convenons que, pour diverses raisons, nous en sommes loin.

Nos pseudos démocrates collent à la définition de Clausewitz, ils cherchent à nous imposer leur volonté. La démocratie pour eux consiste à prendre le pouvoir pour imposer aux autres leurs visions, leurs manières de voir la vie. C’est là le contraire de la démocratie.

Oui mais, disent-ils : « si nous ne décidons jamais rien, c’est l’anarchie ».

Où ont-ils vu jouer ce film ? Ne pas décider pour les autres ne les empêche pas de décider eux-mêmes pour eux. La nation pourrait parfaitement se contenter du rôle d’arbitre, qui n’est pas obligatoirement intervenant, qui peut laisser jouer si les joueurs ne trichent pas. On peut même dire que pour l’arbitre s’emparer du ballon n’est pas la règle…

Oui mais les fauteurs de guerre sont abondants.

On entend par là ceux qui ne se contentent pas d’exposer et de défendre leurs opinions, mais qui entendent en faire la règle qui s’imposera à tous.

Ceux là sont pris en premier lieu par un vertige législatif qui exige une armée de bureaucrates pour le mettre en application.

Ils enclenchent ainsi le processus de la guerre puisque leurs lois surabondantes vont « contraindre leurs adversaires à exécuter leur volonté », ceux-ci résisteront fatalement, et tout aussi fatalement les législateurs fous devront « continuer cette politique selon d’autres moyens ». 

C’est ainsi depuis toujours.

Ce sont les « y-a-qu’à » qui enfantent la guerre, ceux qui veulent des solutions à leur problèmes personnels applicables à tous. Ceux à qui la démocratie, la simple discussion pourtant si porteuse de réflexions et de profondes motivations, ne suffit pas à combler leur soif de gain sur le dos des autres, qu’ils soient moraux ou matériels.

De tout cela il ressort,

que le premier signe de la proche survenance de la guerre c’est quand le groupe aspire à entendre le discours de ceux qui proposent « La solution », qui s’imposera à tous. Quand il n’est plus capable d’écouter et de respecter les opinons des autres, quand ses membres se sont déresponsabilisés au point d’attendre tout d’une recette collective qui ne peut pas exister.

Aujourd’hui, partout dans le monde ce sont des déchainements de ce type.

Pouvez-vous me citer une seule nation où l’on peut discuter de tout, sans retenue, et sans mettre en avant une solution bidon prétendant faire le bonheur de tous, mais au détriment de la liberté de chacun ? Non.

Si l’on y rajoute l’attrait fantasmagorique du pillage, qui sous-tend toutes ces postures, objectivement la prochaine guerre mondiale est pour tout à l’heure.

Bien à vous. H. Dumas

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La légitimité du pouvoir

Le pouvoir est naturellement expansif, donc terriblement dangereux.

Dans le même temps il est une composante incontournable de la vie.

Comment en être digne, le gérer profitablement, sans faire de dégât au détriment des autres.

C’est le problème.

Doit-on le laisser gérer par ceux qui sont capables de le conquérir, ou au contraire doit-on le confier artificiellement à ceux qui ne sont pas en position d’en bénéficier ?

A ce stade de ma réflexion je ne me prononce pas, je cherche.

Juste un exemple d’actualité : le pouvoir récemment donné aux piétons par le code de la route.

Le piéton est devenu en tout lieu et à tout moment prioritaire sur la voie publique.

Cela part d’une bonne intention du législateur, le piéton étant le plus exposé, le moins protégé, lui donner un réel pouvoir par la loi peut paraître protecteur.

Mais, prenant conscience de ce pouvoir, le piéton aujourd’hui défie très souvent les autres acteurs de la circulation, notamment les automobilistes.

Cela aboutit à une situation stupide et dangereuse.

En ville l’attention du conducteur automobile est intégralement absorbée par les provocations des piétons au point qu’il en perd ses capacités de concentration globale.

Or, que ce soit matériellement ou écologiquement, arrêter et redémarrer sans cesse une masse d’une tonne ou plus a des conséquences négatives incomparables avec l’arrêt d’un simple piéton, et finalement le piéton finit par s’exposer plus que si sa protection supposait quelques contraintes, telles que l’usage obligatoire des passages piétons.

Chaque jour qui passe voit les piétons s’enhardir, sans qu’ils mesurent les risques auxquels ils s’exposent, tout à l’excitation qu’ils sont de l’usage de leur pouvoir artificiel.

Alors qu’une seconde d’inattention, où le cumul de circonstances imprévisibles, peuvent à tout moment surprendre un conducteur automobile qui va alors les écraser.

Le jeu en vaut-il la chandelle ?

En perspective on ne doit pas perdre de vue l’excitation de la foule en cas d’accident qui, soutenant le pouvoir artificiel du piéton, est ravie d’exiger le sacrifice de l’automobiliste représentant le pouvoir naturel qu’elle haït.

Cette situation consistant à donner le pouvoir aux faibles au détriment des naturellement forts n’est-elle pas globalement la source des situations de violences exponentielles qui se créent autour de nous ?

Je vous propose de réfléchir à cette question, l’actualité nous y invite de tous côtés.

Bien à vous. H. Dumas

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Le temps long

Ce qui s’est passé en Israël dépasse l’imagination dans l’horreur et la barbarie.

Et pourtant… si j’étais Israël je ne me vengerais pas.

Non pas que je sois un adepte forcené de tendre l’autre joue à celui qui me colle une baffe, mais parce que ce qui a été fait mérite de rester en l’état, dans toute son horreur, de ne pas pouvoir être étalonné à une réponse qui sera fatalement sanguinaire et, au moins en partie, aveugle.

Donc effectivement je couperais tout contact avec ce voisin fou.

Puis j’exigerais qu’il soit présenté à un Tribunal des hommes, qu’il soit condamné.

Qu’il assume sa condamnation, et après, après seulement, j’envisagerais de participer à des discussions d’avenir à deux.

Je n’ai pas l’impression que c’est ce qui va se passer.

Il semblerait que Tsahal va se venger. Elle aura des pertes, qui sont hélas les jeunes représentant l’avenir d’Israël.

Il est probable que Tsahal éradique le Hamas actuel. Mais ne repoussera-t-il pas sur ses décombres ?

Et puis, que se passera-t-il si d’autres fous sanguinaires viennent à la rescousse du Hamas, il n’en manque pas… ?

Ce sera l’embrasement du Moyen Orient, dont Israël n’est qu’une infime partie, donc un avenir difficile pour Israël, peut-être une disparition totale.

Alors que la connerie et la folie du Hamas a ouvert un avenir légal mondial pour Israël, ce sera dommage de ne pas le saisir.

Le temps est à la confiance dans l’humanité, c’est ce que je tenterais si j’étais Israël.

Mais je ne suis qu’un trou du cul, acculé par les pillards et les clochards du monde qui ne sont pas regroupés uniquement dans la bande de Gaza, qui ont une armée qui fait semblant de les considérer à Bercy et qui vit grassement sur leur dos.

Bien à vous. H. Dumas

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On rentre dans le dur…

« Les morts sont tous les mêmes », c’est l’argument de ceux qui hésitent à qualifier l’incroyable barbarie du weekend en Israël.

Plus qu’un argument il s’agit d’un questionnement auquel la réponse est évidemment non, mais pas pour tous les observateurs, il faut en convenir… et c’est le fond du problème.

Les morts ne sont pas plus tous les mêmes que les vivants.

C’est ainsi et c’est normal.

Cela s’entend par rapport à leur poids social évidemment et non par rapport à leur souffrance personnelle, laquelle est aussi importante pour chaque mort.

Prenons l’exemple historique : un tortionnaire SS mort, a-t-il le même poids sociétal ou moral qu’un résistant mort ?

La mort d’un assassin d’enfant récidiviste doit-elle engendrer la même compassion que celle qu’un parent attentif et responsable ?

Ceci établi, la transposition aux morts Juifs ou Palestiniens ne coule pas de source.

On voit que le jugement sur le ou les morts n’est pas indigne, il est juste difficile et susceptible d’erreurs redoutables. Il est étroitement lié à l’opinion que l’on a du mort dans sa trajectoire de vivant, il court le risque d’être enfermé dans un jugement global attaché au groupe dont le mort fait partie, c’est là aussi un problème de conscience terrible.

Doit-on pour autant feindre de ne pas avoir d’opinion ? Car dans ces morts établies ou à venir de part et d’autre de la frontière israélienne le jugement est périlleux ? Je ne sais pas.

En ce qui me concerne, j’ai tendance à accepter que les conflits rangent les hommes en fonction du groupe auquel ils adhèrent, que donc l’émotion de leur mort à cette occasion est impactée par l’attitude de leur groupe dans le cadre du conflit qui les tue. Bien sûr je sais que ce n’est pas absolument vrai, on peut être pris dans un conflit auquel on n’adhère pas. N’est-ce pas d’ailleurs à cette occasion que la fuite est un acte de courage ? Qui génère alors le droit d’asile politique ?

Je n’attache pas beaucoup d’importance au fait que celui-ci ou celui-là aurait été le premier sur un site. C’est toujours faux. Où que ce soit sur terre, il y a toujours eu quelqu’un avant. C’est le principe même de la propriété, qui ne trouve jamais sa légitimité dans la primauté mais dans la conquête, qui peut toujours être remise en question par l’échange ou par la possession (occupation trentenaire), voire la force. La propriété ça se défend…ce n’est pas un acquis.

Mon émotion

La culture juive me parait sophistiquée. Même si ses religieux ne me séduisent pas plus que les autres, globalement l’éducation juive, qui est un peu la base de la nôtre, produit des hommes et des femmes libérales avec qui je me sens bien, avec qui il n’est pas désagréable de faire avancer le progrès et la société.

Leur pays, conquis de haute lutte, est une vraie démocratie où les libertés sont réelles. Ce sont des bâtisseurs en tout. On les prétend cupides. Et alors ? Je ne vois que cupidité autour de moi, ils ne sont pas les pires alors que le simple respect du capital passe aujourd’hui pour de la cupidité ce qui est ridicule et destructeur, j’ai déjà évoqué de nombreuses fois ma position sur ce sujet.

Les Palestiniens de leur côté ont une religion qui prétend régenter leur vie, leur société, c’est au moins deux siècles de retard sociétal. On a déjà donné.

Il est indéniable qu’ils sont parqués sans ménagement dans un site exigu où ils sont maintenus par la force.

Est-ce rédhibitoire ? De mon point de vue non.

Si j’étais palestinien, je me mettrais au défi de battre les Juifs sur leur propre terrain. Je transformerais la bande de Gaza en un paradis fiscal ouvert particulièrement aux occidentaux, j’attirerais leurs capitaux. Ce serait immoral ? Laissez-moi rigoler…

Ce serait moins grave que d’accepter de vivre dans la désespérance, et de n’avoir pour seul exutoire que l’idée de tuer son voisin faute de pouvoir imiter sa manière de vivre. Ce serait devenir sur-civilisé plutôt que barbare.

Laissons de côté les convenances bureaucratiques, les fonctionnaires suceurs de sang, les moralistes à quatre sous. Les Palestiniens valent bien les Maltais ou les Monégasques qui vivent en paix avec leurs voisins, non ? Enfin, pas en ce moment, c’est sûr. Ils sont tombés du côté de la barbarie.

Bien à vous. H. Dumas

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Quand j’y pense…

Est-ce le début où la fin ?

Convenons que les ressentis et les perspectives ne sont pas les mêmes selon que l’on est au début ou à la fin d’une époque, d’une action, de circonstances.

Or chaque moment est à la fois la fin de quelque chose et le début d’autre chose.

Ce qui nous amène à considérer le présent différemment en fonction de notre positionnement à ce sujet.

Ces positionnements peuvent arriver à des points de tension extrêmes qui dégénèrent en violence.

C’est ainsi que chaque jour qui passe je suis persuadé que Bruno va s’étaler comme une merde écrasé par la dette générée par sa prétention à conforter son pouvoir bureaucratique paralysant notre économie et nos vie, que sa chute nous ouvrira un espace de liberté dont je rêve.

De son côté Bruno pense que tôt ou tard il va neutraliser les gens qui pensent comme moi, qu’une fois éradiqués ces emmerdeurs son organisation égalitariste ouvrira la porte au bonheur collectif dont le pays lui sera pour toujours reconnaissant en l’inscrivant définitivement dans son histoire.

Il en va ainsi irréversiblement, alimentant un conflit sans issu et sans limite : je pense que sa fin est mon début, il pense l’inverse.

On rajoutera que, dans le même temps et sur le même sujet, que ce soit dans nos deux visions ou dans celles de différents observateurs, d’autres paramètres de réflexion sont confrontés au même problème : est-ce leur début ou leur fin ?

J’aurais tendance à conclure que si à chaque instant tout peut être vu selon ces deux perspectives , elles s’annulent et n’existent donc pas.

Or ce sont elles qui définissent le temps. Donc le temps pourrait ne pas exister, n’être que le fruit de notre instabilité par rapport à l’idée de début et de fin.

Évacuons de nos têtes, pour chaque pensée qui s’y trouve, ces deux perspectives : alors tout s’écroule, disparaît.

Nous voilà transformés en astéroïde qui glisse silencieusement et intemporellement vers nulle part et partout.

Il reste les émotions, physiques ou intellectuelles, mais n’affrontent-elles pas la même situation ?

Tout cela me paraît objectivement inquiétant.

Vous me direz, à juste titre : que le temps existe ou n’existe pas qu’importe si nous le ressentons.

Un peu comme la température dont les météorologues, qui décidément n’en ratent pas une, nous disent qu’elle est deux, celle qu’ils relèvent et celle que l’on ressent. En fait, il y en même a une troisième : celle qu’ils ressentent.

Finalement, j’adhère effectivement à l’idée que l’existence du temps n’a aucune importance, seul son ressenti nous intéresse et nous sert de leurre pour nous faire croire que nous existons.

Bien à vous. H. Dumas.

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L’intelligence artificielle de nos élites.

Il y a déjà longtemps que notre Éducation Nationale a robotisé l’intelligence de notre élite.

Quand le monde entier s’interroge à propos de l’impact sur l’humain de l’IA, il suffit d’observer le parcours de nos énarques pour comprendre les dégâts d’une intelligence sans humanité.

A ceci près qu’il n’est pas impossible que l’intelligence artificielle ne puisse pas exclure toute l’humanité incluse dans les références sur lesquelles elle se base. Nos énarques disposant à cet effet de ce dont elle ne dispose pas, c’est à dire trois axes fondamentaux chez eux : la vanité, l’ambition et la cupidité.

Permettez moi de vous conseiller de lire l’article de Vanity Fair évoquant Jean – Charles Naouri, le défait de Casino.

Voilà un prototype parfait de nos énarques robotisés.

Il a nagé comme un poisson dans l’eau dans les réseaux, le pouvoir et le cynisme mathématique, le tout finissant dans un grand bruit de vaisselle cassée qu’il dissimule par une fausse attitude de responsable sociétal se sacrifiant pour le bien collectif de ses salariés, ce qui est évidemment totalement faux et serait de toute façon anormalement tardif.

Ayant eu la folie illimitée d’exercer ses compétences dans le secteur privé il paie une facture symbolique. Il lui en restera plus que s’il avait eu une vie de préfet.

Ceux de ses congénères qui sévissent dans le secteur public, ou public-privé, arrivent au même résultat, sauf que ce ne sont pas eux qui paient les dégâts mais nous.

En réalité rien n’existe — et surtout pas l’intelligence — qui puisse s’éloigner de l’humanité, de ses défauts, de ses manques, de ses travers oppressants, mais aussi de ses passions nobles, de la forces de ses sentiments, de sa conscience du bien et du mal, de la vie et de la mort.

L’élite de nos intelligences façonnées par l’EN, transformée en singes équipés de puces bourrées d’IAENA, a créé le réseau de pillage le plus extraordinaire que le monde ait jamais connu : Bercy.

Tout comme de La Boétie se demandait en 1576 pourquoi les hommes acceptaient le pouvoir délirant de la noblesse, on est en droit de se demander aujourd’hui pourquoi les Français acceptent le pouvoir, tout aussi délirant, de Bercy, bien plus en redemandent — en général surtout pour les autres, pas pour eux —.

Bien à vous. H. Dumas.

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La manipulation : ça marche

Vous m’arrêtez si je me trompe. Le 24 février 2022, l’armée Russe pénètre en Ukraine, direction la capitale Kiev. Le nom donné par Poutine à cette manœuvre militaire est : « opération militaire spéciale de démilitarisation et de dénazification ». Son but est donc que l’Ukraine n’ait plus d’armée et plus de nazi, sacré programme…

Quelles que soient les raisons invoquées, sans prendre parti, il est clair qu’il s’agit d’une invasion territoriale. Ce fait est incontournable, chacun peu le légitimer ou le dénoncer en fonction de ses croyances ou de ses convictions, il n’en reste pas moins une invasion.

Puis, on peut aussi le dire, rien ne se passe comme prévu pour la Russie.

Mais la Russie a fait peur à l’occident qui pourtant a pour elle les yeux de Chimène, même si apparemment la Russie n’a pas la noblesse et le cœur de Rodrigue.

Un peu parce que le droit international ne permet pas de pénétrer avec son armée chez le voisin et un peu parce que cette action militaire russe si proche inquiète, l’occident va fournir les armes nécessaires aux ukrainiens pour leur défense.

L’opération militaire spéciale se transforme en guerre. A partir de là les informations objectives nous échappent. Chacun lit celles qui vont dans le sens qu’il préfère, comme dans toutes les guerres où finalement seul le vainqueur a raison.

Tout cela n’empêche pas cette guerre de s’attiser comme nos bons vieux feux de l’été.

Le brasier prend de l’ampleur, les comptoirs de bistrot chauffent : guerre totale ou pas guerre totale ?

Réponse dans les coulisses de l’ONU où Sergueï LAVROV, l’inamovible Ministre des affaires étrangère de la fédération de Russie, vient de déclarer : « Le fait est qu’ils (les occidentaux) combattent de facto contre nous en se servant du corps des ukrainiens ».

C’est objectivement gonflé, toujours selon les points de vue. Mais c’est dit.

La continuité inévitable de la Russie à cette assertion c’est d’étendre la guerre à tous les belligérants, donc à l’occident.

Pour en arriver là, ce qui ne va pas être une sinécure, il faut que sur le terrain les affaires de la Russie ne marchent pas fort.

La suite sera donc une communication mondiale clivante destinée à séparer les pour la Russie et les pour l’Ukraine, pour ensuite allumer le feu global. Disons six mois… avant la première bombe atomique tactique rasant Kiev… Puis…

Il n’en restera pas moins qu’au départ il s’agissait d’une invasion, légalement illégitime.

En dehors de l’avenir extrêmement désagréable qui nous est promis, je suis stupéfait par la force de la mauvaise foi et par sa concrétisation : la manipulation.

Comment d’agresseur aux excuses diverses, la Russie peut-elle se faire passer pour la victime d’une agression de l’Occident ?

Tout simplement en vertu du théorème très simple que je vous propose : Tout violent qui n’a pas le dessus accuse de violence celui qu’il a amené à se défendre et qui le terrasse. 

C’est ainsi que les flics qui ont pensé que la violence d’Etat, dont ils sont les dépositaires, pourrait ramener le calme dans les secteurs en ébullition de notre société n’ont récolté qu’une intensité de violence qui les a contrés au point qu’ils soient obligés aujourd’hui de se faire passer pour des saints agressés, des victimes.

Y compris lorsque, morts de trouille, ils pointent directement sur la foule une arme, ce qui est objectivement inacceptable pour toute personne responsable qui a eu un jour une arme entre les mains.

L’Etat ne peut s’imposer que par sa force de persuasion, pas par ses armes. On ne peut pas sortir de là sans sortir de la démocratie.

Je finirai ce billet sur la force et la mauvaise foi par un rappel aux méthodes des Services Fiscaux.

Ils crament l’argent gagné par les Français, ils les pillent de force pour tenter d’éponger la facture, pour que les Français n’aient pas le temps ou le loisir de réfléchir à la situation ils installent la terreur fiscale, la force, les fusils, la justice stalinienne.

La révolte est en route, elle va les emporter, ils anticipent et accusent de tous les mots ceux qui tentent de sauver leur peau, leurs capitaux, leur propriété, leur vie. Dont moi…

Toujours le même schéma.

Les hommes de pouvoir sont des violents chroniques, ils haïssent l’échange qui fatalement partage le pouvoir, ils haïssent la paix qui réduit leur utilité, ils haïssent l’économie qui respecte l’autre, le consommateur, ou n’existe pas.

Ils aiment la guerre, les médailles, la patrie, le clocher, leur pouvoir qu’ils jugent parfait.

Nous n’avons pas besoin d’eux, or nul ne veut s’en passer….

Bien à vous. H. Dumas

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Les prémices

Nous y sommes.

Les hommes de l’Etat ont mis la nation en faillite, ils cherchent à faire diversion.

La cible est toute trouvée : c’est la grande distribution.

Qui leur doit sa richesse, qu’elle a tiré non de ses compétences économiques, non de la liberté d’entreprendre, non de la libre concurrence, non de la dure mais constructive loi du marché, mais de la loi Royer, de sa protection corporatiste, du privilège concédé par le prince, de l’absence de vraie concurrence, de la rente de situation combattue par Edouard Leclerc qui donne les moyens aujourd’hui à son fils de jouer le grand seigneur de l’économie.

Ceux qui ont conféré ces privilèges rémunérateurs à la grande distribution, les hommes de l’Etat, exigent un retour d’ascenseur.

Ils souhaitent qu’une perte significative sur le litre d’essence — dont le surcoût est lié à la faiblesse économique globale de la France, directement liée aux gabegies des hommes de l’Etat, à leurs erreurs économiques stupéfiantes, à leur lavage de cerveau de la population pour lui faire croire que l’économie est peu de chose, que l’on peut s’en passer, s’assoir dessus au profit de beaux sentiments autrement valorisants – soit absorbée par cette grande distribution, qu’ils considèrent comme redevable.

En fait, ils souhaitent que la grande distribution paie aujourd’hui les privilèges reçus hier.

Oui mais.

D’une part la grande distribution n’a pas les moyens de payer cette facture sociale. Les privilèges accordés, qu’elle a cru éternels, ne l’ont pas préparée à la dure loi universelle du commerce, elle a pris des habitudes de riches, elle dépense sans compter.

Elle est donc fragile, au point elle-même de se trouver en difficulté dès les premiers signes insignifiants de la crise qui va devenir terrible, par laquelle elle sera emportée.

D’autre part, ne pouvant pas, contrairement aux hommes de l’Etat, dépenser plus que ce qu’elle gagne sous peine de faire immédiatement faillite, toute perte sur l’essence doit être équilibrée par une augmentation sur les autres produits à la vente. C’est-à-dire que les clients qui sont à l’intérieur d’un magasin pairaient le bonus offert aux automobilistes de passage, ce qui est absurde et suicidaire pour un commerçant.

Ainsi les hommes de l’Etat stigmatisent la grande distribution, leur amis d’hier qu’ils ont protégés, qui leur ont rendu cette protection au centuple par les pots de vin versés dans le cadre de la loi Royer, qui auraient, dans un Etat démocratique, emporté la classe politique, alors que la fin fut une soi-disant « moralisation » de la vie économique des partis, qui sont depuis financés directement par les hommes de l’Etat eux-mêmes, à l’aide de nos impôts. On n’est jamais mieux servi que par soi-même…

En conclusion le torchon brûle ou va brûler entre la grande distribution et les hommes de l’Etat.

Avec ou sans les hommes de l’Etat la grande distribution n’est pas outillée pour survivre à une crise de la consommation. Or, elle arrive cette crise.

Le conflit entre la grande distribution et les hommes de l’Etat, du fait de la lâcheté, des compromissions, de la première et de la mauvaise foi, du refus de l’aveu, des seconds ne peut que finir par la nationalisation de la grande distribution, ce que je prédis depuis vingt ans.

Il en a été ainsi dans le bâtiment où les opérateurs ont tout accepté. Où de façon hypocrite et rampante, à travers les textes sur l’urbanisme, sacrés parce que prétendant lutter contre les « supers bénéfices » des opérateurs, l’initiative privée a été poussée dehors au profit du règne de l’Etat, de la nationalisation de l’acte constructif.

Nationalisé, le monde de la construction est devenu erratique, dénué de sens, allant au gré des intérêts politiciens, des fantasmes d’huluberlus dotés de pouvoirs improbables couverts par une justice totalement incompétente.

Aujourd’hui le monde de la construction est incapable de répondre aux besoins qu’il devrait couvrir, c’est-à-dire servir ceux qui peuvent le payer. Au contraire il fait mine de se mettre au service de ceux qui ne peuvent pas le payer. Ce faisant il se met en dehors de l’économie, du marché. La sanction est là, rapide, implacable : le monde de la construction se meurt.

Avec lui une multitude de français qu’il faisait vivre, qui sont aujourd’hui à la merci des hommes politiques dont ils espèrent l’aumône…Quelle folie.

Ainsi va la bureaucratie d’Etat dont les noms dans l’histoire fluctuent au point qu’il est difficile de la voir arriver, tant elle est masquée. Hier communistes ou fachistes, aujourd’hui socialistes, lepénistes ou écologistes, ceux qui réfutent le marché, l’économie, ne manquent pas de sobriquets pompeux. Ils manquent de courage, de vérité, de pragmatisme, de bon sens.

Quant à la grande distribution qui va disparaitre, victime de ses compromissions : dommage. Ce fut une belle aventure, cela aurait pu le rester sans la lâcheté et la cupidité, qui finissent par toujours gagner.

Bien à vous. H. Dumas

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