LES TUEURS DE BERCY SORTENT DE L’OMBRE POUR TUER CE BLOG

J’ai été en déplacement du 9 juin au 23 Juin. Notamment pour un rendez-vous professionnel le 11 juin à La Rochelle, puis pour assurer ma présence le 18 juin à une soirée officielle toujours en Charente-Maritime pour laquelle je m’étais engagé. Le 20 juin pour être présent devant la 17ème du TJ de Paris nous en avons déjà parlé, et enfin le 21 juin pour une assemblée générale de copropriétaires en Charente-Maritime.

Quinze jours de déplacement professionnel intense et fatiguant, en voiture, à 80 ans, ce qui ne va pas manquer d’être sous peu interdit…

En rentrant à Sète, le lundi matin 24 juin, dans mon courrier il y avait cette convocation pénale (Pièce n° 1), pour dans 10 jours !!!

L’objectif de cette convocation.

Il s’agit pour Bruno Le Maire, lui-même, de mettre ce blog en situation de disparition.

La manœuvre est simple, une condamnation à prison — probablement avec un sursis qui pourra être levé à tout moment à l’aide une excuse fallacieuse — va paralyser la liberté d’expression de ce blog, qui disparaissant va permettre ma suppression définitive par ruine fiscale trafiquée…. Et les vôtres ensuite…

L’utilisation de la justice à cet effet n’augure rien de bon pour l’avenir de ce pays.

Car la réalité est tout autre que celle évoquée par le parquet.

En 2019 et 2020, Le maire de La Rochelle a engagé des travaux pour lesquels il n’était pas compétent. Ces travaux impactaient durablement l’urbanisme de la cité, dont nous reparlerons à la fin de ce billet.

Une association de propriétaires et moi-même avons entamé des procédures devant le Tribunal Administratif de Poitiers dans l’espoir d’obtenir de la justice l’arrêt de ces travaux hors compétence, et désastreux.

Agacés par notre insistance et souhaitant protéger Le maire de La Rochelle, les magistrats du TA de Poitiers, début 2020, nous ont condamnés à des amandes cumulées de 28 000€, soit 14 000€ pour chaque partie.

Pour tout observateur impartial ces amandes destructrices étaient déraisonnables.

Dès le 2 juin 2020 la saisie pour paiement de ces sommes était annoncée (pièce n° 2), puis le 17 juin 2020 la banque m’écrivait, lettre reçue le 19 juin 2020, que pour règlement de ces 14 000€ mon compte était saisi et vidé (pièce n° 3) entrainant des conséquences fatales pour moi.

C’est dans ces conditions que le jour de réception de l’information de la saisie de mon compte, de sa mise à zéro, le 19 juin 2020, sous le coup de l’émotion, je téléphonais au Tribunal Administratif de Poitiers, dans l’espoir de faire cesser cette provocation catastrophique pour moi.

Je ne sais pas qui j’ai eu au téléphone, sans doute le greffier, toujours est-il qu’il a été indifférent et hautain, alors qu’il était en train de me tuer. Il a même paru satisfait de lui-même. Il répondait au téléphone pour le compte des deux magistrats qui me détruisaient volontairement à travers leurs amandes abusives, que je n’ai pas pu avoir en ligne directement.

Sur le même registre, je l’ai averti que j’allais moi-même les tuer, métaphore, parallèle pour évoquer évidemment la même méthode. Car naïvement je pensais que la justice mettrait le holà à ces délires.

J’ai mis immédiatement à exécution mon annonce en citant à comparaître les deux magistrats (Pièce n° 4) pour le 3 septembre 2020.

A la suite de cette comparution, que j’ai évidemment perdue (pièce n° 5), nous sommes en appel. Seule satisfaction, Le Conseil d’Etat a dépaysé mes procédures du TA de Poitiers vers celui de Bordeaux. Où j’ai été fort bien reçu, mais toujours perdant.

La procédure qui me cite inclut des mensonges indignes.

Le premier

Si je ne nie pas l’expression « je vais vous tuer », je n’ai absolument pas dit « j’arrive ».

Cela n’a pas de sens. J’ai téléphoné de Sète à Poitiers, 850 km, on ne dit pas dans ces conditions « j’arrive », c’est ridicule à deux titres, du fait de la distance et du fait de l’usage du mot.

Le second

Je n’ai pas dit « j’arrive je vais vous tuer » à plusieurs reprises. J’ai dit « je vais vous tuer » une seule fois. La personne au bout du fil m’a alors dit : « vous pouvez répéter ce que vous venez de dire », j’ai dit oui et j’ai répété. Cela sans malice, puisque le mot était employé en métaphore. Sans me rendre compte que l’on me provoquait pour m’accuser ensuite d’un « délit ».

Ces deux mensonges sont graves

Parce qu’ils sont proférés par des personnes assermentées, avec des arrière-pensées perverses, aujourd’hui utilisées au pénal pour censurer un blog et la liberté d’expression, alors que ma spontanéité et ma sincérité qui étaient réelles ont été abusées par ces sachants.

De l’usage du mot tuer en politique :

Je n’envisage pas de me substituer à l’Académie Française, je vous propose simplement de lire les différents emplois du terme « tuer » en politique. Or ma lutte et celle de ce blog est politique, elle vise la terreur, la maltraitance et l’oppression de la politique fiscale.

Tout cela ne prête à aucune équivoque en parcourant ce qu’en dit ChatGPT :

« ChatGPT le 24/06/2024. 16H.

Pour démontrer que l’expression « tuer » en politique est une image courante sans implication de violence réelle, il est utile de rassembler des exemples d’articles de presse où les hommes politiques sont qualifiés de tueurs ou se traitent mutuellement de tueurs. Voici une liste d’exemples trouvés dans des articles de presse :

  1. « Emmanuel Macron, le tueur en série de la politique française « 
    • Dans cet article, le journaliste décrit Emmanuel Macron comme un « tueur en série » en politique, faisant référence à sa capacité à éliminer ses adversaires politiques lors des élections et réformes successives.
  2. « Nicolas Sarkozy, le tueur de la droite française »
    • Cet article présente Nicolas Sarkozy comme un « tueur » en politique pour illustrer sa manière implacable de gérer les rivalités au sein de son propre camp.
  3. « François Hollande, le tueur à gages de la gauche »
    • François Hollande est qualifié de « tueur à gages » en politique, signifiant sa capacité à éliminer ses opposants au sein du Parti Socialiste et à mener des politiques impopulaires malgré les critiques.
  4. « Jean-Luc Mélenchon, le tueur des débats télévisés »
    • Jean-Luc Mélenchon est décrit comme un « tueur » lors des débats télévisés pour souligner son aptitude à dominer ses adversaires par la force de ses arguments et son éloquence.
  5. « Marine Le Pen, la tueuse des Républicains »
    • Marine Le Pen est appelée « la tueuse des Républicains » en raison de sa stratégie visant à affaiblir le parti Les Républicains et à attirer leurs électeurs vers le Rassemblement National.
  6. « Angela Merkel, la tueuse de l’austérité »
    • Angela Merkel est mentionnée comme une « tueuse de l’austérité » pour illustrer sa politique stricte en matière de finance publique et de contrôle budgétaire en Europe.
  7. « Donald Trump, le tueur du politiquement correct »
    • Donald Trump est qualifié de « tueur du politiquement correct », mettant en avant son style provocateur et son rejet des conventions politiques traditionnelles.
  8. « Boris Johnson, le tueur du Brexit »
    • Boris Johnson est décrit comme le « tueur du Brexit » pour sa détermination à finaliser la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne, malgré les obstacles.
  9. « Barack Obama, le tueur des espoirs républicains »
    • Barack Obama est désigné comme le « tueur des espoirs républicains » pour sa victoire électorale et ses réformes qui ont contrarié les Républicains.
  10. « François Mitterrand, le tueur de l’ombre »
    • François Mitterrand est parfois évoqué comme un « tueur de l’ombre » pour ses tactiques politiques subtiles et sa capacité à manipuler les dynamiques de pouvoir en coulisse.

Ces exemples montrent que l’expression « tuer » en politique est fréquemment utilisée comme une métaphore pour décrire l’élimination ou la neutralisation des adversaires politiques, sans aucune implication de violence réelle. »

En lisant directement un article du point visant M. Pierre Charon et d’autres personnes que je ne connais pas (pièce n° 6)

On pourrait trouver bien d’autres articles démontrant l’usage métaphorique du mot « tuer » en politique.

Ma citation pénale par le parquet ne fait donc pas honneur à ce dernier, tant elle est primairement stalinienne.

Traiter de la sorte un homme de 80 ans qui ne fait que signaler la dérive de nos hommes de l’Etat, leurs abus d’argent public qui les entrainent à la terreur fiscale qui « tue » nos enfants, nos familles, notre lien social, est une lourde responsabilité.

Je vais demander un renvoi pour avoir le temps de préparer non seulement ma défense, mais aussi une demande reconventionnelle visant une remise dans mes droits fiscaux, un remboursement de ce que le fisc me doit…

En tête de ce billet, je vous avais précisé une information à venir sur les culs de sac occasionnés par l’absence de compréhension, voir les différentes connivences, des élus en règle générale et de ceux de La Rochelle en particulier. Où, par leur stricte faute, l’hôpital va être transféré sur un site inadapté (pièce n° 7). Ceci n’a pas de lien direct avec ce billet, mais avec le sujet qui me tient à cœur : « Le troisième pouvoir, celui des sachants ». Prochains billets à venir.

Bien à vous. H. Dumas

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A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

3 réflexions sur « LES TUEURS DE BERCY SORTENT DE L’OMBRE POUR TUER CE BLOG »

  1. Au sens restrictif et premier du terme (qui d’ailleurs est tombé depuis en désuétude), le verbe « tuer », selon les anciens dictionnaires, était un synonyme du verbe « assommer », et ne « tuait » autrefois que celui qui ôtait la vie en frappant. De telle sorte qu’un empoisonneur, par exemple, bien que coupable d’un crime, ne « tuait » par formellement. En revanche, il était dit d’une mort d’origine naturelle (par maladie ou autre cause) qu’elle tuait quelqu’un. Au dix-neuvième siècle, le « tueur » de métier n’était pas un « assassin en série », c’était tout bonnement l’employé des abattoirs (et de surcroît, le spécialiste chargé des porcs) ! En comparant des éditions diverses du « Dictionnaire de l’Académie Française » avec d’autres du « Dictionnaire de la langue française », d’Emile Littré, on s’aperçoit que dans l’usage, « tuer » et « tueur » ont majoritairement été employés dans des sens figurés. Exemple tiré du « Dictionnaire de l’Académie » (édition de 1814) [tome II, page 710, colonne 3] : « TUEUR, s.m. : Celui qui tue. Il n’est guère d’usage qu’en cette phrase de style familier : C’est un tueur de gens, qui se dit par plaisanterie, d’un homme qui fait le brave. On dit aussi, c’est un tueur, en parlant d’un homme qui a tué beaucoup d’hommes dans des affaires particulières ».

  2. Comment faites-vous pour rebondir aussi rapidement apres chaque attaque et revers devant les tribunaux ?
    Ce serait bien qu’un de ces jours prochains vous nous annonciez enfin une victoire,
    Avec autant de ténacité, ce serait hautement mérité !

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