Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

La disparition du marché ou l’incroyable coup d’Etat mondial

Le marché nous parait une évidence, mais il ne l’est pas. La politique, qui ne l’aime pas car il soumet tous les pouvoirs, a souvent eu raison du marché au cours des siècles.

Le dernier exemple en date est le communisme soviétique, qui n’a jamais été le régime égalitariste qu’il prétendait être, bien au contraire, mais qui a réussi à éradiquer le marché un certain temps, sans pour autant que cela ait été une réussite.

La chine, qui n’est qu’un parasite du marché mondial, n’a pas encore d’économie propre, elle ne peut pas être classée dans ou hors une économie de marché.

Rappelons que l’économie de marché est une économie dont l’acheteur — libre de ses choix — est l’arbitre, car le producteur — lui aussi libre de ses choix — dépend exclusivement de la vente de ses produits.

Dans une économie de marché, la monnaie permet le troc différé et la division du travail, qui sont les éléments essentiels du progrès et de la prospérité.

Pour cela la monnaie doit avoir la confiance des opérateurs, et uniquement cette confiance, toutes les autres émotions qui entourent la monnaie ne sont qu’apparences.

Cette confiance a été longtemps matérialisée à l’aide d’un produit dont la rareté assurait la valeur : l’or.

Tout cela est balayé le 15 Août 1971 quand Nixon décide que le dollar n’est plus convertible en or, alors que le dollar était devenu la monnaie de référence mondiale, en qui le monde entier avait confiance.

Ce que l’on appelle la crise part de là.

Au fil du temps la monnaie a échappé définitivement à toute matérialité, passant de l’or au papier, puis aujourd’hui à une simple ligne sur des ordinateurs.

Les hommes de l’Etat, partout dans le monde, ont continué à imposer leur monopole créatif de la monnaie. Alors que, par essence, ils sont les ennemis du marché ce pouvoir qu’ils honnissent, qui domine le leur.

Mais, la monnaie est si essentielle et le marché si adaptatif que les populations ont continué à accorder leur confiance à la monnaie politique “dollar” alors qu’elle n’était plus rattachée à une réalité. L’Europe s’est dotée aussi d’une monnaie politique “l’Euro” sous-produit du dollar, en dépendant entièrement.

Tout cela n’ayant aucune existence sauf la confiance, non consentie mais réelle, des opérateurs économiques et de la population.

Mais voilà

Depuis 1971, les politiques n’ont cessé de fabriquer de la fausse monnaie, d’abord discrètement, puis massivement, enfin aujourd’hui hyper massivement avec pour excuse le Covid19

La monnaie n’est donc plus créée par le marché, elle n’est plus la résultante d’une organisation saine du dit marché, un bénéfice ou un crédit remboursable, elle est créée artificiellement sans limite et sans raison.

Sa distribution est arbitraire, entièrement entre les mains des hommes de l’Etat.

Le marché n’existe plus.

C’est cette mort du marché qui crée l’angoisse qui nous habite, dont nous cherchons tous la cause.

Le marché disparu, il reste son imitation, ses outils, mais dénués de sens.

Le marché constate la réussite ou l’échec. La vie ou la mort économique sont avec lui accrochées au mérite, au succès, à l’engagement, au risque, toutes ces choses qui ont façonné l’homme occidental, qui justifient la monnaie et la confiance qui va avec, sans laquelle il n’est plus de troc différé et de division du travail.

A partir du moment où la monnaie vraie cède la place à la fausse monnaie, tout change, mais imperceptiblement.

Dans un premier temps, la fausse monnaie n’est constituée que de crédits non remboursés. L’outil économique, production et consommation, reste en l’état, continue à fonctionner.

Puis, décomplexés, les hommes de l’Etat fabriquent et distribuent directement la fausse monnaie, sans passer par l’excuse du prêt non remboursé.

C’est là que le système social mute.

Sans l’arbitre qu’est la vraie monnaie liée à la réussite, qui est plus difficile à capter que la fausse monnaie distribuée en connivence, la société se modifie.

La “monnaie connivence” ou fausse monnaie s’acquiert par la séduction ou la soumission, elle génère une autre attitude sociale, d’autres réflexes du groupe que ceux que nous avons acquis pour accéder à la vraie monnaie, celle que le marché génère, soit : travail, engagement, risque, initiative, confiance, etc… C’est cette mutation qui nous met mal à l’aise.

Mais, à travers la fausse monnaie, la population finit par être dépendante de ceux qui la fabriquent et la distribuent. La population devient accroc à la fausse monnaie, elle ne perçoit pas la différence avec la vraie. Ceci tant que la monnaie ainsi trafiquée est en situation de monopole, car alors elle feint d’avoir les mêmes utilités que la vraie.

En conclusion : pas de révolution en Septembre.

Arrosés de fausse monnaie les français seront calmes, la pression pour “gagner sa vie” donnera l’illusion de s’atténuer.

Les plus malins, les plus cyniques, pas les plus honnêtes ou les plus courageux, sont déjà convertis à la fausse monnaie distribuée par les hommes de l’Etat.

C’est ce qui explique toutes ces industries sans résultat et sans clientèle, financées par la fausse monnaie publique – voitures électriques, éoliennes, faux outils de santé, etc… —

Le nouvel homme social qui va sortir de cette organisation ne sera pas très intéressant. Il sera peureux, soumis, faux jeton, cynique… Il a déjà existé et il existe encore dans tous les groupes et Etats où le marché n’existe pas.

L’effondrement de la production et la pénurie suivent inévitablement cette transformation des individus.

Le temps du scénario

Il peut être long, il dépend de la crédibilité de la fausse monnaie. Tant que celle-ci reste la monnaie du monde, l’illusion peut s’entretenir, le détenteur de cette monnaie vit alors au crochet des autres.

Mais, ce qui est probable, une autre monnaie, vraie donc plus crédible, voit le jour. C’est alors pour la fausse monnaie le décrochage. Il peut être immédiat, en quelques jours.

La population, droguée à la fausse monnaie, sous dépendance de cet enrichissement sans effort, n’a pas alors l’énergie et la compétence pour faire front, pour entrer en concurrence.

Tout cela n’est assurément pas pour Septembre, mais ce n’est pas si lointain sans doute…

La responsabilité politique des hommes de l’Etat, qui participent à ce massacre de la monnaie vraie en éradiquant le marché, en éditant et favorisant la fausse monnaie pour asseoir leur pouvoir, est colossale, immense, incroyable.

Ils le paieront très cher eux et leur complices technocrates. Ils croient faire un bon coup, en fait ils creusent leur tombe, mais aussi la nôtre dans le même temps, hélas.

Bien à vous. H. Dumas

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Hervé BRABANT : suite 2 – Le pouvoir occulte.

Comment vous décrire mon vécu ?

Comment rester digne, précis, convainquant, quand des tonnes d’immondices vous écrasent ? Que faire lorsque l’on découvre ce que je vais vous faire découvrir ?

D’abord l’accusation de fraudeur fiscal, totalement injustifiée, uniquement liée à un effet de corps des Services Fiscaux, partisan et aveugle.

Puis, la suite ininterrompue de procès, où l’on présente son affaire en toute sincérité, où l’on perd systématiquement. Où les magistrats se gaussent de votre “maladresse”, et vous canardent à bout portant, alors qu’ils n’ont ni lu ni compris votre dossier qu’ils trouvent trop long, indigeste, pas à la mode, contraire à la pensée commune.

Il n’existe pas de victime du fisc assurent-ils, il n’est que des fraudeurs fiscaux, dont vous êtes puisque le fisc le dit. Vous n’êtes pour eux, au terme du parcours, qu’un procédurier vicieux qui tente d’échapper à une légitime sanction pour ses fraudes.

Vient enfin l’exécution, apothéose de votre chemin de croix qui a commencé dès la notification de redressement puisque, dès ce moment-là, tous vos biens sont bloqués pour des années, vous mettant au bord du chemin, infirme social sur lequel tout le monde crache sans se gêner, avec délectation.

Vous êtes une merde, un sous-homme, tout le monde vous le fait sentir.

Vous avez beau savoir, au fond de vous, que votre vie a été faite de travail, d’intégrité, de charges énormes payées malgré leur disproportion, vous êtes obligé de constater que le fruit de votre travail va vous être volé, que vous êtes projeté vers la misère, que tout le monde s’en fout.

Vous prenez alors la mesure de cette énormité, vous êtes puni d’avoir réussi au profit de ceux qui n’ont rien fait. Car, vous, c’est votre faute, eux, ils ne l’ont pas fait exprès.

A la fin de la fin, vous pensez avoir droit à une dernière parole, celle du condamné.

C’est dans ces conditions que j’ai demandé et obtenu un rendez-vous avec Brabant.

Je me suis expliqué pendant une heure, pour rien.

A-t-il écouté ? Compris ? Je le crois. Mais il n’a rien fait, alors qu’il en avait le pouvoir.

Pouvais-je imaginer la vérité ? Pouvez-vous l’imaginer ? Je pense que non.

La voilà toute crue, la vérité.

J’ai fait il y a quelques jours un billet d’humeur – de mauvaise humeur évidemment, il y a si longtemps que je n’ai pas pu être de bonne humeur – expliquant exactement pourquoi et comment je ne dois rien des 1 M€ que Brabant me dérobe, drapé dans sa dignité de fonctionnaire irréprochable des Services Fiscaux qui lui sert de déguisement pour ses rapines, au nom de l’Etat évidemment.

Figurez-vous que ce billet n’a évidemment pas arrangé mes affaires. Brabant ne bouge pas, souriant sans doute à mon agonie, conscient qu’il me fait payer ce qu’il sait que je ne dois pas, j’espère pour lui qu’il y prend du plaisir…

Mais ce billet aura eu un énorme avantage, il a mis à jour la bête immonde, ce pouvoir occulte qui nous espionne et nous tue, dont les ramifications sont nationales, dont l’action n’est pas accidentelle mais planifiée, de la façon la plus cynique qui soit.

Voici le commentaire que mon billet a provoqué

Voici l’origine de ce commentaire

C’est donc le gouvernement central, parisien, Bercy soi-même, qui va au charbon pour me salir et soutenir son exécutant.

Nous n’avons donc pas à faire au hasard, à une erreur humaine couverte hiérarchiquement par nécessité.

Non, nous avons affaire à une institution de pillage, parfaitement organisée, qui se tient les coudes, qui nous espionne, nous dévalorise, nous jette en pâture à une opinion publique préalablement conditionnée pour nous accuser, pour que nous soyons son bouc-émissaire, pour que notre mort soit une joie pour elle.

Il n’y a plus rien à dire, plus rien à voir, ces pillards ne peuvent que détruire ce pays, car, hélas, je ne suis pas un cas isolé, je ne suis qu’un parmi des milliers, des centaines de milliers.

Ce commentaire à mon billet est en réalité une menace claire à destination de tous ceux qui se révolteraient au moment où il s’agit d’être dépouillé. Une menace face à la liberté d’expression d’internet qui entrave – si légèrement – le vol d’Etat.

J’adresse au procureur le la république la lettre ci-dessous, en ne doutant pas une seconde qu’il va se précipiter pour lui donner une suite et nous faire connaître le nom et le service exact qui menace, qui distille la terreur contre ceux qui tentent de résister.

Bien à vous. H. Dumas

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Hervé Brabant : suite 1, les fonctionnaires courtisans.

Je suis au cœur de l’antre du monstre. Je ne cherche à en tirer ni gloire ni compassion. Je ne sais pas si je m’y trouve volontairement ou involontairement. Je peux juste prendre acte que j’y suis et essayer de rapporter ce que j’y trouve, ce que j’en comprends.

Quinze ans ont passé pour que j’en arrive là, c’est-à-dire pour que j’ai en main toutes les preuves que les hommes de l’Etat me volent sciemment un million d’Euros (Lien). En clair que ce sont des voleurs, preuve rapportée.

Aujourd’hui

J’ai passé ma journée à tenter de joindre au téléphone la Présidence de la République, Matignon et le Ministère de l’Economie. Il me semble que mon devoir est d’informer ces autorités du pouvoir politique du dysfonctionnement de leur administration. Je suis convaincu de ma compétence à ce sujet, de mon expérience, de mon analyse, je crois qu’elle pourrait leur être utile.

C’est dire que je ne me présente pas en quémandeur.

Je considère, au terme de mes quinze ans de recherche et de lutte, que ma victoire morale et intellectuelle est totale. Pour le reste, finalement, ce n’est pas moi qui suis en première ligne, mais eux.

Mes coups de téléphone n’ont pas dépassé les standards.

A l’Elysée. Accueil avenant, avec la contrition qui se doit pour vous expliquer que personne ne peut vous répondre dans la boutique. Mais qu’évidemment vous pouvez écrire, y compris par mail. J’informe que la chose a été faite. Alors la personne me demande la date de mon mail, le recherche, trouve que mon appel est trop proche de mon mail et qu’il faudra que je rappelle. Sans doute alors me lira-t-elle simplement le mail en réponse, que probablement j’aurai déjà reçu. Échec total.

Au Ministère de l’Economie. Accueil hautain et glacial. Un standard inaudible, un homme au bout du fil, qui me demande si je suis en voiture… Lui aussi me dit d’écrire, car personne ne répond au téléphone dans cet établissement, il raccroche.

A Matignon. C’est mon troisième coup de téléphone, je suis entraîné et plus tenace. La standardiste à du tonus. Même chanson, on ne répond pas au téléphone. A la question : “- pourquoi ?

– Mais voyons Monsieur, vous imaginez le nombre de personnes qui téléphoneraient.

– Oui et alors ? Amazon a sans doute plus de réclamations que vous et répond au téléphone.

– Ce n’est pas pareil, répond la standardiste, outrée que je puisse me permettre une telle comparaison.”

Et pourtant je ne paie Amazon que quand je m’en sers, quand j’en ai besoin, je paie Matignon tout le temps, alors que je n’en ai pratiquement jamais besoin, non ?

On ne peut pas dire que la conversation dégénère, mais le fossé se creuse et la distance devient condescendante à mon égard. Nous raccrochons.

Depuis, je suis songeur.

Je constate qu’il n’y a donc aucun lien entre la population, son expression instantanée, et le pouvoir. Est-ce possible ?

Aujourd’hui, avec les moyens techniques disponibles, si j’étais un responsable politique j’aurais un standard visuel, type Face Time, pour voir et écouter ma population, la comprendre.

Nos élus n’ont donc aucun contact direct avec nous.

Peut-être est-ce là l’explication de la folie de la pandémie ?

Car il n’est pas d’explication raisonnée au fait que la médecine libérale ait été exclue de la lutte contre le Covid19. Sauf à imaginer que l’ego des élus se contente des villages Potemkine dans lesquels ils vivent.

L’hôpital ne marche pas, c’est un fait avéré, sauf pour ceux qui sont protégés. C’est-à-dire la famille et les amis des soignants, les tenants du pouvoir, plus une minorité d’inconnus par hasard.

Donc, effectivement, un député, un maire et à fortiori un ministre y sont reçus royalement. De là à penser que c’est le fonctionnement habituel de la machine, il faut une dose de naïveté ou un manque de clairvoyance hors du commun.

Ainsi donc il serait possible que Macron ait cru que les hôpitaux étaient en état de fonctionnement ? Incroyable.

Cela rejoint l’idée non résolue par l’histoire : Staline, ou les dictateurs en règle générale, ont-ils l’esprit si encombré par leur ego et leur démesure qu’ils croient sincèrement qu’ils rendent service à leur peuple, que les détails mortels qui accompagnent ce service sont insignifiants, sinon inexistants, évidemment dissimulés par les courtisans. Pourquoi ?

L’histoire

En 1678, La Fontaine publie “Les animaux malades de la peste”, on peut y lire :

” Selon que vous serez puissant ou misérable,

Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir “

Cette réalité provoquera intellectuellement les lumières, qui finiront sur la barbarie inutile de la révolution.

La Cour, qui inclut le dispositif des charges, fonctionnaires de l’époque, dissimule à Louis XIV les réalités de son peuple. Colbert, l’exploitant, finance guerres et constructions pharaoniques. Le peuple alors souffre terriblement.

Aujourd’hui les fonctionnaires sont la Cour, Bercy est Colbert.

Mais le temps s’accélère, la boucherie n’est pas pour dans un siècle, hélas.

Conclusions

Irresponsables et protégés les fonctionnaires ne doivent leur statut et leur carrière qu’au pouvoir politique, qu’ils courtisent inévitablement.

Ils font écran entre la population et le pouvoir. Ils martyrisent la population et flattent le pouvoir. Ils nous avilissent, mais ils trompent les élus.

Ceux-ci sont-ils dupes ou consentants ? C’est la seule question qui vaille.

S’ils sont consentants, ils sont morts. S’ils sont dupes, il est grand temps qu’ils ouvrent les yeux et cassent le statut malsain des fonctionnaires, suppriment ce filtre déformant, pour qu’entre eux et nous le courant se remette à passer.

Les “Brabant” nous tuent, tuent notre démocratie.

Bien à vous. H. Dumas

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Violence policière et violence fiscale

Le chamboulement mondial de l’information, son accès immédiat sous des formes différenciées adaptées aux convictions de chacun, que ce soit pour l’information instantanée ou approfondie, change la donne du pouvoir, implique la transparence.

Or, la transparence ne facilite pas l’ordre imposé : le pouvoir — notamment quand ce dernier se veut moral —

Il faut en effet distinguer le pouvoir factuel lié à une compétence reconnue, à une force acceptée, et le pouvoir politique lié lui à une organisation artificielle qui répond à des règles initiatiques habillées de moralité.

Dans le premier tout le monde constate – et éventuellement conteste – la réalité du pouvoir. Par exemple tel sprinter possède le meilleur temps du monde, tel homme d’affaires possède tant de milliards, tel chanteur déplace tant de spectateurs, etc…

Dans le deuxième nul ne sait exactement pourquoi l’évêque est évêque, l’imam est imam, le flic est flic, le président est président, etc…

Il est facile d’adhérer ou d’entrer en concurrence avec le premier des pouvoirs, il est beaucoup plus difficile d’admettre le second et d’imaginer sa consistance.

Or le second a des prétentions hégémoniques, considère qu’il s’impose à nous, que nous devons le respecter, il codifie notre vie et revendique la force en cas de manque de respect.

Evidemment la situation se corse si l’information rapporte que celui qui exerce le pouvoir est un tricheur.

Il est peu probable que l’on apprenne que Christian Coleman court en réalité le 100 m en 30 secondes. Une telle nouvelle serait de nature à perturber l’ordre chez les amateurs d’athlétisme et à faire virer immédiatement Coleman de son statut de meilleur sprinter du monde.

De la même façon, savoir qu’Anne Hidalgo ne prend jamais son vélo, le bus ou le métro pour aller travailler pendant qu’elle cherche à nous l’imposer, déstabilise immanquablement le pouvoir qu’elle revendique. Elle doit donc l’imposer autrement que naturellement.

Pour se faire elle et les siens utilisent la police, dont ce n’est pas la fonction, qu’ils détournent de son objectif : la protection des individus, pour l’occuper à imposer leur pouvoir, leur ordre.

Cette méthode a des limites. Protéger un pouvoir que l’information rend objectivement contestable implique que :

– soit le maintient de l’ordre devient de plus en plus violent et fait ainsi face à une contestation qui se renforce,

– soit l’information est censurée puisque c’est elle qui alimente la contestation.

Nous en sommes là avec la police… du maintien de l’ordre, que nous ne devons pas confondre avec l’autre, celle qui protège tout le monde, enfin qui devrait….

En réalité

Il est peu imaginable que nos hommes politiques puissent aujourd’hui censurer l’information, peu probable aussi qu’ils puissent devenir plus violent dans le maintien de leur ordre. Donc la situation leur pète à la figure et ce n’est qu’un début.

Les violences policières sont en butée, n’en déplaisent à ceux qui veulent conserver l’ordre actuel, maintenir en esclavage la plus grande partie de la population, légiférer à tour de bras pour étouffer inutilement les libertés des autres au profit des leurs.

N’écoutons pas les pessimistes qui prétendent que tout cela finira mal.

Se battre pour la liberté ne peut pas mal finir, il faut soutenir ceux qui luttent contre la police du maintien de l’ordre, dont une politique ouverte, transparente, honnête, n’a nul besoin.

Seuls les régimes pervers, inadaptés, esclavagistes ont besoin d’une police du maintien de l’ordre puissante.

Allons plus loin

Espérons que l’information se développant permette aux plus simples de comprendre que détruire le capital et taxer fortement l’économie ne leur est pas profitable.

Que les taxes de toute nature finissent en négatif sur leur feuille de paie, car l’économie se doit de réaliser un bénéfice, sans quoi il n’est plus d’économie, il n’est que faillites. L’élément d’ajustement est toujours le salaire.

Chaque avancée sociale, chaque dépense publique est payée in fine par le salarié, même si elle est facturée à l’entreprise.

Cette prise de conscience mettra en évidence la violence fiscale actuelle qui — comme la violence policière — s’exprime chaque jour au hasard des coups de matraque fiscaux balancés par les agents du fisc. Ces tortionnaires psychopathes, intouchables.

Le jour où cette prise de conscience mettra debout 500.000 personnes pour partir à la conquête de l’hydre Bercy, de son nid…. L’espoir sera permis. La France sera sauvée.

Bien à vous. H. Dumas

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Hervé BRABANT ou l’éloge du pillage

Hervé Brabant est le sous-directeur des Services Fiscaux de la Charente-Maritime.

C’est un personnage considérable, ayant droit de vie ou de mort sur l’économie du département. Il présente bien.

Sa spécialité : il est administrateur des finances publiques de 3ème échelon, affecté à la direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF).

Sa compétence : est avérée pour les litiges concernant l’assiette et le calcul des impôts ainsi que les pénalités, qu’elles soient ou non rattachées à un impôt. Il est habilité aux fins de présenter les défenses et observations sur les requêtes introduites contre l’administration devant les cours administratives d’appel lorsque l’affaire a été suivie en première instance. C’est un spécialiste du contrôle fiscal, de haut niveau.

J’ignore son âge, ses origines et sa situation familiale, mais en même temps cela ne me regarde pas. Je lui donne la cinquantaine.

Ce qui me regarde

C’est lui qui a le pouvoir de décision en ce qui concerne le million d’€ que le fisc me réclame, que je ne dois pas, pour lequel il met en vente mes biens immobiliers.

Très bref rappel des faits :

Une brigade d’exception, parisienne, spécialisée dans les grands comptes fiscaux – stars, personnalités et entreprises internationales, etc… — est venue, en avion, à deux, à Sète, contrôler ma société qui possède un reliquat de promotion, invendable depuis vingt ans, d’un rapport de moins de 50.000€ annuel.

Cette brigande venait pour tuer, sur ordre des Services Fiscaux de Sète embarqués dans un redressement foireux dans le cadre de la succession de ma mère, où ils ont multiplié les faux et perdu in fine en Cour d’appel, sur renvoi de la Cour de Cassation.

Stupéfait de cette visite, j’ai demandé au contrôleur mon dossier fiscal en échange de la comptabilité de la société se résumant en gros en une page A4.

Il a refusé de me donner mon dossier fiscal et a assimilé ma demande à une opposition à contrôle fiscal. La CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs) saisie lui a donné tort.

Pour autant le contrôleur, Martino le bien nommé, n’a pas modifié son PV d’opposition à contrôle fiscal, alors que c’était lui qui avait fait opposition à la transmission d’un document transmissible. Pas mal déjà.

Je ne revois pas le contrôleur Martino, l’affaire finit par un contrôle sur pièce, puisqu’il ne revient pas avec mon dossier fiscal comme le lui intime la CADA. La notification de redressement tombe… deux ans plus tard.

Les abus de cette notification seront relevés par le rapporteur public de Marseille – seul magistrat honnête rencontré en vingt ans, je me demande ce qu’il est devenu — qui considèrera que le redressement est injustifié.

Résumé :

Je suis donc poursuivi par Hervé Brabant pour un million d’€ qui se répartissent en gros de la façon suivante :

          – 400.000 € d’un redressement contestable et contesté par un Rapporteur Public de Cour d’Appel Administrative

          – 400.000 € de pénalité pour une opposition à contrôle fiscal fabriquée de toutes pièces, alors que c’est le contrôleur qui a fauté en refusant de produire un document qu’il devait produire.

          – 200.000 € de frais de procédure, à la louche.

L’éloge du pillage

La beauté du vice, du harcèlement et de la destruction est ici totale, proche de l’absolue perfection. Le pilage est assumé.

D’abord une succession de magistrats dont pas un ne posera un regard sur les réalités de cette affaire, pas un ne trouvera dérangeant tous ces manquements, sauf le rapporteur public de Marseille vite renvoyé dans ses cordes.

Ce sont donc les premières questions : ces magistrats sont-ils incompétents ? Sont-ils sadiques ou jaloux et heureux de participer à la ruine d’un individu ? Sont-ils insensibles à l’injustice ?

Rien de tout cela, je pense tout simplement qu’ils ont peur et savent que contrarier Bercy est contrarier sa carrière, et que seule leur carrière les intéresse. En cela ils sont parfaitement semblables à 99% des français d’aujourd’hui pour qui la morale, l’équité et la justice ne sont que des accessoires inutiles, qui ne servent à rien dans le cadre du culte du Dieu Communication, seule valeur acceptée.

Ensuite donc Brabant, l’exécuteur.

L’exécuteur dont la compétence fait qu’il sait parfaitement que la dette qu’il poursuit n’existe pas. Il sait qu’il n’y a pas opposition à contrôle fiscal, donc pas de légitimité aux 400.000 € de pénalité.

Mais aussi, non seulement il connait la relativité du redressement, mais il sait parfaitement qu’il doit à ma société la TVA de la livraison à soi-même, qu’il a remboursée à tous les autres copropriétaires sauf à ma société, et qui représente plus de 400.000 €.

Donc il n’ignore pas que les sommes, dont il poursuit le recouvrement avec violence en saisissant mes biens et en les vendant de force, n’existent pas, ne sont pas dues.

Alors.

Oui, alors ? Eh bien c’est un peu compliqué.

D’abord, évidemment, Brabant se retranche derrière la lâcheté des jugements que j’ai évidemment tous perdus. Les magistrats se foutent éperdument du fond des dossiers, éventuellement ils vont se donner bonne conscience en dégrevant une notification mal signée où présentant un défaut matériel, mais jamais, jamais, ils ne traitent du fond, de la réalité de l’escroquerie fiscale, de la concussion.

Donc Brabant dit : “mais vous avez perdu toutes vos procédures truquées“.

Au fond de lui il pense : “Ce con de Dumas va en faire tout un plat sur son blog, c’est bon pour nous. Avec ça c’est la terreur qui se consolide, il récoltera des larmes de crocodile et nous le pognon des armées de pétochards composant ce pays. Ce ne sont pas eux qui iront protester à vingt mille devant le tribunal de Paris, ni devant Bercy.”

Brabant légitime sa pensée par sa croyance. Il croit à sa propre propagande.

Grace à nous, pense-t-il, la répartition du capital est plus juste. L’égalité avance.

Alors que justement elle recule. La pandémie a apporté la preuve que la puissance publique est le contraire de la mutualisation, juste l’exercice du pouvoir.

Brabant sert le pouvoir, exclusivement, un pouvoir aveugle, au service de lui-même, dont les besoins financiers sont extrêmes sans que la population en bénéficie.

Brabant sert une dictature économique en pleine déconfiture, il le fait sciemment, il se retranche derrière son idée du devoir, il se trompe.

Le sait-il ? Je pense que oui. Prend-il du plaisir à écraser ? Je pense aussi que oui.

Pourrait-il agir autrement ? Là ce n’est pas sûr, il mettrait peut-être en jeu sa carrière.

Cela l’empêche-t-il de dormir ? Là je suis sûr que non, il ne se sent pas plus responsable que tous ceux qui acceptent d’exercer de sales besognes pour les seigneurs à travers les siècles. Paiera-t-il un jour ? Je crois que oui, juste je ne sais pas comment et quand, mais il paiera. Tout simplement parce qu’Henri Dumas n’est pas seul en cause. Brabant pratique ces méthodes sur des centaines de gens et ses collègues et amis sur des dizaines ou des centaines de milliers, cette masse un jour présentera la facture.

Attendons. Bien à vous.

PS : Si vous voulez une maison pas chère dans l’île de Ré, venez à la vente de mes biens le 2 Décembre 2020.

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Le trouillomètre de la magistrature

Pour ceux qui ont du temps à perdre et qui aiment le langage particulier de la justice voici deux liens. Celui-ci – LIEN — qui vous amènera à des conclusions d’appel dont je suis l’auteur, non académiques mais sincères et rapportant la vérité; celui-là – LIEN — qui vous permettra de prendre connaissance de l’arrêt rendu par La Cour d’Appel de Poitiers dans cette affaire.

Si vous n’avez ni le temps ni le goût de lire ces deux documents nul souci, ce billet ne leur est pas consacré.

Son objet est, comme l’indique le titre, de débattre du trouillomètre de la magistrature.

Je vais vous confier ce que j’ai mis vingt ans à comprendre, vous allez saisir pourquoi j’en suis à me demander si la nature ne m’aurait pas doté d’un système cérébral défaillant.

Première erreur

Je suis parti du principe que la vie est une victoire universelle, dont la conquête passerait par l’accès à la vérité, qu’accompagneraient l’éthique et la morale.

Lourde erreur, c’est le néant qui est universel. La vie n’est qu’une lutte contre ce néant, où tous les coups sont permis pour peu qu’ils retardent le retour au néant.

La terre vue de l’espace est d’une beauté qui nous touche, vue des favelas de Rio la perspective est différente. C’est la deuxième vision notre lot, le reste n’est qu’accident.

Chaque beauté de la nature n’est que mensonge qui cache une lutte désespérée et sans vergogne contre le néant, en cela les écologistes contemplateurs de la nature sont absolument nihilistes.

L’esprit seul permet de s’évader, mais existe-t-il ?

Deuxième erreur

Il n’est aucune limite aux saloperies que l’homme est capable de faire pour un instant de vie. Aucune limite aux croyances qui le persuadent que sa soumission lui vaudra un instant supplémentaire.

Absorbé entièrement par ces deux monstruosités, l’homme ordinaire ne laisse aucune place à la raison, à la réflexion, à la sagesse. Seule la passion, cette folie indomptable, peut  momentanément l’animer au-delà de sa peur du néant.

C’est cela qui explique par exemple que, imprégnés de racisme, de l’idée de la supériorité blanche, les hommes du 19ème et du 20ème siècle ont pu déboucher sur le nazisme, après s’être fait la main sur le colonialisme et l’invasion de terres peu occupées.

Le nazi était un homme ordinaire, majoritaire, habité par une croyance stupide qui lui faisait apparaître l’innommable comme naturel….

J’ai cru que cette catastrophe était une parenthèse accidentelle, peu susceptible de se reproduire. Lourde erreur, cette horreur est une constante, sans cesse renaissante, toujours sous des formes nouvelles difficiles à débusquer.

Troisième erreur

J’ai cru que l’élite était indépendante de ces folies et accessible à la sagesse, notamment la magistrature.

J’ai vraiment cru que les magistrats se passionnaient, comme moi, pour la recherche de la vérité, de la justice.

Or non, ils sont à 90% des êtres insignifiants, gorgés de prétention du fait de leur statut, fermement croyants — même croisés — de la doxa du moment : l’égalitarisme.

Cette règle qui permet d’éliminer ceux qui sont faits pour vivre au profit de ceux qui n’étaient pas faits pour vivre. Simple inversement sans importance le lot de tous étant le néant, mais qui complique évidemment la vie de ceux qui s’accrochent.

Quatrième erreur

Je n’ai pas compris, mais alors absolument pas compris, que certains ont compris…

C’est ainsi que Bercy sait. Que Bercy calcule. Que Bercy exerce un pouvoir total sur tout.

Bercy c’est La Schutzstaffel.

La force devant laquelle tout le monde plie, s’incline, voûte le dos, regarde ailleurs, se fait tout petit.

Car si Bercy pose un regard sur vous, qui que vous soyez, vous êtes perdu, fussiez-vous le meilleur ami du Président de la République.

Alors les magistrats

Devant Bercy, ils chient dans leurs frocs. C’est ça ma grande découverte.

Il m’arrive, pas systématiquement, mais pas non plus rarement, de rencontrer au détour d’une audience, ou d’une demande de renseignement, des magistrats aimables, visiblement intelligents, probablement compétents, avec qui le débat parait ouvert. Puis, sans aucune exception, et alors qu’ils ont visiblement compris que je leur dis la vérité, ils prennent des décisions qui me donnent systématiquement tort. Ils n’hésitent pas alors à tordre le droit et la vérité pour me liquider

LES MAGISTRATS ONT PEUR DE BERCY

Ils sont prêts à toutes les bassesses par peur de Bercy : faire semblant de ne pas comprendre les dossiers, refuser de les lire, absoudre les pires infractions des agents du fisc, sanctionner lourdement la moindre erreur du contribuable, tuer et ruiner sans vergogne.

Ils sont tels qu’étaient les allemands sous la férule de la Schutzstaffel.

Ils ont le trouillomètre à zéro.

Le pire

C’est que, contrairement à ce que chacun pris dans cette folie croit, rien n’est personnalisé.

Ce ne sont ni moi ni vous qui sommes visés. C’est le système qui s’autoalimente par la destruction, par le saccage, au nom de l’égalitarisme, dieu glouton qui exige des sacrifices constants.

Cette démence est contraire à la vie. Elle est au service du néant maître de l’univers. Elle a ses zélotes, la raison n’y peut rien. Il faut attendre que le feu s’éteigne de lui-même, par manque de combustible, de victime.

C’est pour bientôt….

Bien à vous. H. Dumas

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L’ennemi de l’intérieur : BERCY

La France, comme toutes les structures gérées par des irresponsables économiques de droit que sont les chefs d’Etat — rois ou présidents — est une grande amatrice de la dette.

C’est son ennemi de l’intérieur, que régulièrement la population sanctionne gravement. Elle a, en partie, raison puisque ce n’est pas elle qui décide alors que c’est elle qui paie.

Ne remontons que jusqu’à Louis XVI :

           –  Juste avant la révolution la dette est de 80% du PIB, le roi le paiera de sa tête.

          –  La révolution fait carrément faillite et un défaut sur les deux tiers de la dette.

          – Napoléon doit son succès au pillage qu’il entreprend de son voisinage. Il provoquera la mort d’un million de français et du double chez les autres. Mais il laissera le pays peu endetté, 20% du PIB. Cela suffira à effacer ses monstruosités, son génocide. Il a sauvé économiquement la révolution et son cortège d’horreurs. Sans lui et ses rapines, c’était la faillite totale du communisme d’alors. Rien de nouveau.

          –  Après la guerre de 1914, la dette est de 150% du PIB

          –  En 1945, la dette est de 110% du PIB

          –  De Gaulle en 1969, a redressé la France, il quitte le pouvoir avec une dette à hauteur de 13,5% du PIB.

Cinquante ans plus tard l’ennemi de l’intérieur aura très bientôt engagé la dette à 120 ou 150% du PIB !!! Un score “d’après-guerre”.

Cette malédiction est-elle inexorable ? Non évidemment.

Nous pensons tous que les dettes royales étaient strictement liées aux folies des cours royales. Ce qui n’est pas vrai, évidemment, les fautives sont les guerres.

Certains pensent aujourd’hui que la dette du pays est elle aussi strictement liée au train de vie des hommes de l’Etat. Ce n’est pas vrai non plus, la fautive est la démagogie.

La réalité est prosaïque et nous implique tous.

La politique tend à acheter la paix sociale. Les hommes politiques n’ont aucune formation économique pour la plupart, et dans tous les cas rarement les moyens de s’opposer à la fringale de dépenses, toujours bien intentionnée, de la population.

Le char de la dette roule donc à bride abattue, accompagné d’un enthousiasme communicatif qui n’épargne que ceux qui paient, enfin disons ceux qui voient qu’ils paient, car in fine tout le monde paie.

Le politique, grand seigneur de tous les temps, ne s’abaisse pas à connaître le quand, le comment et le combien de l’impôt, la population qui le sollicite non plus.

Un seul est lucide, c’est le l’ordonnateur et le collecteur de l’impôt. En France : BERCY.

Lui sait comment il va lever l’impôt, comment il va être dépensé, il est donc le seul, l’unique, responsable face à la dette.

Depuis cinquante ans BERCY est la malhonnêteté personnifiée.

Il fabrique de faux bilans, de faux projets d’endettement, des prélèvement pervers dont la réussite dépend soit de leur invisibilité soit au contraire de leur visibilité vers une cible au préalable diabolisée.

Au-dessus de toutes les lois, qu’il bafoue sans vergogne, Bercy se permet tout. Bercy achète les consciences en finançant grassement la fonction publique, en la laissant croître indéfiniment dans une société finie, en désignant des boucs-émissaires, en répandant la terreur.

Mais Bercy a perdu.

Bercy a généré une dette de bientôt 150% du PIB, la dette normale après une guerre ou une révolution, une dette de souffrance, que notre société depuis 1969 n’a aucune raison objective d’avoir contractée.

Bercy doit être dénoncé et condamné, seul un ennemi redoutable peut augmenter ainsi la dette d’un pays. Il ne faut pas s’y tromper, ne pas viser la mauvaise cible.

Si l’on ne veut pas se retrouver face à une guerre civile, fille de l’incompréhension, de la fin du lien social, il ne faut pas que chacun se rejette la responsabilité de la dette qui, devenant écrasante, va impacter notre vie de tous les jours de façon terrible.

La tentation sera grande de dénoncer le voisin et gageons que Bercy ne sera pas le dernier à mettre de l’huile sur le feu pour sauver sa peau.

Aidé par les politiques qui sont ses débiteurs, par les magistrats qui n’ont pas le courage d’affronter un tel démon, il est probable que Bercy va se présenter comme un monsieur bons offices prêt à emprunter plus et à taxer plus. C’est-à-dire à approfondir le gouffre qui va nous engloutir.

Bercy est le vice, la perversion, le mensonge, la trahison, le pouvoir dans toute son exécration, ne l’oublions jamais. Ces agents sont parfaitement lucides, sadiques et gonflés par la drogue de l’impunité.

Cela peut-il s’expliquer et convaincre ?

Hélas le doute est grand à ce sujet, mais la dette est là…. et bien là….

Ne nous trompons pas de responsable.

Bien à vous. H. Dumas

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L’opinion publique

Voilà un sujet sensible, objet de milliers d’études, qu’il convient donc d’aborder avec humilité.

L’opinion publique : chacun à la sienne. Voilà bien l’oxymore dans lequel on se trouve pris dès que l’on évoque ce sujet.

Donc, je pose immédiatement mon analyse personnelle : l’opinion publique est une émotion, pérenne ou éphémère, vraie ou fausse, résultante émotionnelle d’un groupe à tous les stimuli qu’il reçoit, matériels ou immatériels, que nul ne peut diriger, qu’il est inutile de juger, voire de connaître, qui impacte consciemment ou inconsciemment l’action des individus composant le groupe.  Que l’on ne peut contraindre que par la force, ce qui ne l’empêche pas d’exister seulement de s’exprimer. Elle emporte tout, jusqu’à manipuler ceux qui se croient ses manipulateurs.

A partir de cette analyse je pense que vous comprenez mes réserves face à l’opinion publique, mais pour que votre information soit complète quant à ma position il faut que je rajoute qu’elle est pour moi le plus captivant des spectacles.

Bien plus puissante que la nature si convenue, que les philosophies si trompeuses, que la science si laborieuse, que les croyances si décevantes, plus dangereuse que la mort elle-même : elle me fascine.

Il m’est arrivé dans le cours de ma vie d’être dans son sens, ou de lui être au contraire farouchement opposé. Evidemment ces positionnements impactent fortement le cours de la vie, vous vous en doutez.

L’opinion publique n’est pas fatalement majoritaire, en réalité elle ne l’est jamais avant de l’être. Encore une formule étrange, une fausse Lapalissade, car elle peut ne jamais le devenir alors qu’elle l’est, majoritaire.

Drôle de truc insaisissable l’opinion publique. Bien des malins s’y sont cassés les dents. Même l’histoire est hésitante à son sujet.

Alors aujourd’hui.

Figurez-vous que le spectacle s’intensifie, c’est magique et prometteur.

L’opinion publique doute de ce qu’elle croyait vrai hier. L’action débute, fort, pas qu’un peu, pas sur des sujets marginaux : sur la santé et sur le fric.

Elle avait pris pour argent comptant la propagande des fonctionnaires prétendant l’aimer, la cajoler, et l’assurant de leur fiabilité. Cette propagande était basée sur deux pivots : la santé et l’égalitarisme.

Confiante, l’opinion publique s’est laissé enfermer matériellement et moralement pendant deux mois de pandémie.

Au terme de ces deux mois elle prend conscience de plusieurs choses :

          – L’enfermement n’était peut-être pas la meilleure solution, un original à Marseille a eu d’excellents résultats autrement.

          – L’hôpital n’est structurellement pas fiable, au-delà du sacrifice de ses acteurs, car son organisation qui nie la responsabilité ne sanctionne pas l’incompétence et la désorganisation. D’où le fiasco.

          –  L’économie du partage est illusoire, le pillage qu’elle entraîne affaiblit les acteurs économiques de base — qui ne peuvent pas vivre deux mois sans travailler tant leur trésorerie est taxée — au profit des gros poissons de la connivence.

          –  Les fonctionnaires sont en grande partie inutiles, on peut parfaitement vivre deux mois sans la majorité d’eux.

Pour l’instant cette prise de conscience n’a aucune traduction dans l’expression de l’opinion publique.

Cependant

Je constate que ce blog — qui, contre sa volonté, ne fut au départ qu’une litanie d’exemples personnels non structurés, trahissant une immense douleur et un désespoir à sa mesure — se transforme en tribune d’opinion publique.

Je suis aux anges.

Les derniers billets et commentaires prouvent une compréhension globale, largement partagée, qui analyse causes et conséquences, où l’on entrevoit ce que serait la sagesse : la suppression du statut d’irresponsabilité et de sécurité aveugle sur le dos des autres du statut des fonctionnaires.

Un retour à la liberté, au mérite, à la fin du monopole de l’éducation Nationale comme seul outil d’organisation sociale.

Si ainsi ce blog prend un virage dans son expression, je suis convaincu que cela est lié à l’impact de l’opinion publique en mutation, qui touche préférentiellement ceux qui sont les plus exposés, mais qui touchera tout le monde demain.

Alors je rêve

Va-t-on revenir à la liberté individuelle accompagnée du respect de la liberté des autres ? Va-t-on jeter aux orties le fatras de textes et de lois qui nous étouffent ?

Va-t-on éradiquer l’injustice fiscale, la servitude fiscale, la terreur fiscale ?

Va-t-on voir fleurir des tribunaux équitables pour juger les pillards fiscaux qui nous ont torturés ?

L’opinion publique, si elle n’est pas emprisonnée, forcée, violentée, soumise artificiellement, c’est-à-dire si les fusils des hommes de l’Etat sont laissés dans leurs râteliers, est parfaitement capable de répondre favorablement aux questions ci-dessus.

Dans ce cas je me porterai volontaire comme magistrat, non pour me venger aveuglément, mais pour sanctionner durement ceux qui ont été consciemment actifs dans la ruine actuelle de notre pays et des hommes qui le composent.

Bien à vous. H. Dumas

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Réflexion 1, à 107.000 km/h entre deux chaudières atomiques

Bien à vous. H. Dumas

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Dans quel monde vit-on ?

Il y a quelques jours un magistrat refusant d’écouter ma plaidoirie au motif que je n’étais pas là pour raconter ma vie — et donc lui pour l’écouter – m’a, dans la foulée, demandé si je n’avais pas l’impression d’être paranoïaque.

La question pouvait paraître étrange venant de quelqu’un refusant au préalable la connaissance de l’autre par le récit de son histoire. Mais bon…

Je dois à la vérité de préciser que je vais facilement devant les tribunaux demander l’arbitrage de la justice. En un mot je suis légaliste. Je crois que vivre en société implique des conflits et que la meilleure manière de les régler est de les soumettre à la justice. Le plaideur évite ainsi de tenter de se faire justice lui-même et la justice y gagne en jurisprudence, source inépuisable d’évolution pour une société.

Ne croyez pas qu’il s’agisse de lâcheté de ma part, je sais fort bien me défendre seul et piéger s’il le faut ceux qui tentent de me nuire illégitimement, mais je trouve cette façon de faire égoïste et inélégante.

Malheureusement, je rencontre systématiquement un problème lourd.

Les magistrats n’aiment pas être sollicités. J’ignore s’ils n’aiment pas leur travail ou s’ils considèrent qu’ils en ont trop, mais un fait est certain, ils font systématiquement sentir au justiciable qu’il est de trop.

Le plaideur est dans la position de la femme battue ou violée à qui, dans les sociétés arriérées, on conseille la discrétion.

Ne me faites pas dire que nous vivons dans une société à la justice arriérée. Je ne le pense pas. Mais la société sophistiquée, où tout est réglementé, dans laquelle nous vivons devrait être accompagnée d’une justice attentive, seule à même de nous permettre d’affiner nos droits et nos devoirs.

Ce n’est pas ainsi que cela se passe.

Alors que je suis dans cet état d’esprit légaliste, je suis violemment percuté aujourd’hui par un jugement troublant, que je soumets à votre appréciation.

Le lien de mon assignationLe lien du jugement.

Je fais partie d’une copropriété où la majorité s’affranchit de toute raison. Je soumets une assemblée générale que je trouve délirante au Tribunal de La Rochelle.

Le syndicat des copropriétaires ne prend pas la peine de se constituer, il n’oppose donc aucun argument à mes demandes, il n’est pas présent à l’audience.

Il a bien raison, à croire qu’il avait des motifs de ne pas se faire de souci.

Alors que je demande au juge de constater la nullité évidente de plusieurs résolutions et donc d’en prononcer la nullité, il fait mine de rester bloqué sur les mots “constater la nullité” qui n’impliqueraient pas pour lui de la “prononcer”…

Savamment tiré par les cheveux.

Enfin, alors que ce tribunal a déjà jugé, contre moi, des conflits entre ce syndicat des copropriétaires et ma société propriétaire de lots, sans jamais réclamer de titres de propriété, le juge me reproche de ne pas les avoir produits cette fois. Alors que ma propriété n’est contestée par personne dans cette instance, que les pièces fournies, convocation à l’AG et PV de cette dernière incluant l’adresse de la copropriété, démontrent que je suis bien copropriétaire.

Quant à l’annulation globale de l’assemblée générale, il est aisé de constater que je n’en faisais pas un apriori, puisque je me contentais de dire que “probablement” le tribunal jugerait que l’ensemble de l’AG méritait l’annulation.

Alors, qu’en pensez-vous ? Étrange non ce jugement ?

Est-ce de la paranoïa d’imaginer un manque de clarté ? De se demander qui a pu dire ou faire quoi pour en arriver là ?

Quoiqu’il en soit, il reste un malaise difficile à dissiper à la lecture de ce jugement.

Nous verrons bien ce qu’en pensera La Cour d’Appel.

Bien à vous. H. Dumas

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Les indécrottables (vidéo)

Bonjour,

Bien à vous  H. Dumas et E. Bolling

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14 Août 2070 à Sorèze (La dépêche du midi 18 Août 2070).

Le 14 Août 2070, le professeur Ahmed SALIN animait un colloque sur la révolution du 2 Août 2020, dont c’est le cinquantième anniversaire.

Ahmed SALIN est un économiste libéral, homonyme du renommé Pascal SALIN, lui aussi économiste libéral mais de la fin du siècle dernier et du début de celui-ci, décédé en 2039.

Le professeur Ahmed SALIN a choisi l’amphithéâtre de l’université de Sorèze — considérée comme l’une des plus performante du monde — pour évoquer la révolution libérale du 2 Août 2020.

L’Université succède en ces lieux à une école prestigieuse, très en avance pédagogiquement aux 19ème siècle, fermée en 1991, rouverte par la grâce et les finances de Bill Gates dans les mois qui ont suivi la révolution libérale de 2020 ; il voulait marquer son admiration pour l’économiste Frédéric Bastiat, élève de l’école au temps de sa splendeur de 1814 à 1818.

Le professeur a d’abord rappelé l’ambiance avant la révolution :

A cette époque les hommes de l’Etat étaient omniprésents, interventionnistes, la population très infantilisée.

Cette attitude avait un coût important et besoin de nombreux relais pour contraindre la population, qui autrement aurait naturellement aspiré à un développement personnel. Pour contrer cette aspiration de développement personnel, les hommes de l’Etat avaient mis moralement en exergue l’idée de solidarité, qui impliquait un égalitarisme inapplicable et réducteur.

Dans la pratique, à l’aide d’une avalanche de lois, de décrets, de circulaires, chaque geste ou chaque pensée de chaque homme étaient rendus si difficiles que tous pouvaient être à tout moment taxer d’illégalité, de délit par rapport à la loi, de fraudeur.

Un corps social privilégié, les fonctionnaires et leurs garants les élus, était chargé de surveiller l’application de cette avalanche de textes auxquels eux-mêmes avaient la faculté d’échapper à l’occasion de complicités de corps rarement dénoncées ou, dans tous les cas, non sanctionnées par une justice aux ordres.

Cette organisation avait un coût très élevé. Par ailleurs les relais de contrainte, les fonctionnaires, bénéficiaient d’un statut personnel qui paraîtrait invraisemblable aujourd’hui. Ils avaient la garantie à vie de leur emploi, une retraite payée sur l’impôt et une carrière statutaire à l’ancienneté sans lien avec leurs performances. Au surplus, ils étaient irresponsables des conséquences de leurs décisions.

Cette situation eut pour résultat de les rendre arrogants, aveugles à leurs échecs, dispendieux inépuisablement.

Une cassure irréversible apparaissait dès la fin du 20ème siècle, vers les années 1990, entre la population et cette caste de privilégiés. Pour la dissimuler les hommes de l’Etat durent financer d’énormes compensations, saupoudrer des avantages, jusqu’à affaiblir durablement le capital économique et pousser les acteurs économiques vers le crédit.

Une crise en 2007 et 2008, liée à l’augmentation exponentielle du crédit, a failli dès cette époque mettre à bas ce système économique bancal, imposé à tous depuis le 15 Août 1971 du fait de la décision dérangeante du Président Nixon au sujet de l’or. La fabrication intensive de fausse monnaie a toutefois permis de le faire perdurer.

Ce n’était que reculer pour mieux sauter. Le tissu économique était doublement fragilisé par le crédit. Les entrepreneurs en flux économique tendu ne pouvaient affronter aucun affaiblissement de la consommation, les consommateurs étaient psychologiquement fragilisés par la pression exercée sur eux pour les contraindre à consommer en leur offrant des crédits quasiment gratuits, mais quand même remboursables.

Des dénis politiques de réalité apparurent sous la forme de croyances irrationnelles, la plus marquante fut l’écologie.

La France fragilisée par l’interventionnisme illimité des hommes de l’Etat, et l’incompétence de ses fonctionnaires détenteurs du pouvoir réel, s’est trouvée dans une grande fragilité.

En Octobre 2018, la pression fiscale devenue insupportable, une jacquerie est soudainement apparue, elle prit le nom de révolte des gilets jaunes.

Le pays était alors gouverné, depuis à peine plus d’un an, par un jeune homme sous influence depuis l’âge de 16 ans de sa professeure de français. Il prit peur, durablement. Il se jeta dans les bras de spécialistes, tous fonctionnaires, comme lui.

Comme le disait Marc Bloch : “Mais rien, précisément, ne trahit plus cruellement la mollesse d’un gouvernement que sa capitulation devant les techniciens”.

La politique de la France fut alors faite de commissions et de collèges sans vision, sans but. Mais avec une constante : la méfiance envers le peuple, tout particulièrement ses éléments charismatiques (voir l’affaire Raoult).

Chaque difficulté, chaque trouble intérieur ou extérieur touchant le pays furent un motif pour limiter les libertés individuelles, soumettre et surveiller la population.

Le jeune président connaissait son histoire. Il avait en mémoire évidement comme tout le monde la révolution spectaculaire et régicide de 1789, mais aussi les trois autres : Les trois glorieuses en Juillet 1830, la révolution des libéraux en Février 1848 et enfin celle de Mai 1968. Trois révolutions qui en quelques jours ont fait table rase de la politique du moment, en ont imposé une autre.

La France à du mal à se transformer autrement que par ces chocs tectoniques.

Le professeur Ahmed SALIN a ensuite évoqué les faits

Alors qu’une pandémie, virulente mais sans plus, touchait le monde, Macron le jeune président de l’époque, suivant ses conseillers, a pensé opportun d’enfermer sa population, interdisant de ce fait tout rassemblement qui aurait pu lui être défavorable. Du même coup, il fragilisait son opposition particulièrement exposée à l’enfermement, alors que ses alliés fonctionnaires n’en subissaient aucun dommage, au contraire, c’était plutôt pour eux un air de vacances anticipées.

Mais, acculée, la faction des gilets jaunes, attisée par la nonchalance des amis du pouvoir “les fonctionnaires”, vit arriver en renfort une partie importante de la classe moyenne, les médecins en souffrance face aux fonctionnaires, les commerçants, les artisans et les petits entrepreneurs, pas mal de monde.

Des réseaux de résistance occultes s’organisèrent à partir du “blacknet.”

Ces réseaux lancèrent l’idée d’une grande manifestation pour le 2 Août 2020 à Paris. La présidence n’était pas en mesure de l’interdire. Des réunions de concertation établirent un parcours et l’autorisation fut donnée.

Mais en réalité le mot d’ordre caché était de monter à Paris la veille au soir. C’est ainsi que des centaines de camions dès le 1 Août en fin d’après-midi s’installèrent devant les portes des casernes de CRS, leur interdisant toute sortie, et que la foule des manifestant pu envahir Paris, pratiquement librement.

Elle se dirigea vers l’Elysée, qui était le point de ralliement secret.

C’est ainsi qu’un million de manifestants se retrouva rue du Faubourg Saint Honoré, face à une poignée de gardes républicains en faction.

Avec un certain courage, il faut le dire, le jeune Macron sortit du Palais de l’Elysée pour haranguer la foule. Mal lui en a pris, il ne dut son salut qu’à la vive protection des meneurs du premier rang et à une exfiltration rapide de ses gardes du corps par les jardins du palais de l’Elysée et les Champs Elysées.

C’est ainsi que la foule s’empara, à l’occasion de cette quatrième révolution, du symbole du pouvoir : le palais de l’Elysée.

Dès le lendemain un pouvoir provisoire était instauré avec pour mission l’organisation d’élections immédiates pour installer une chambre chargée sous trois mois de remettre un projet de constitution, qui fera dans les faits l’objet d’un référendum approuvé à 90% des suffrages exprimés.

Pour le professeur Ahmed SALIN,

Cet épisode de notre histoire est la preuve que la France pratique la procrastination politique, remettant toujours au lendemain les réformes jusqu’au jour où elle doit les réaliser dans l’urgence et la violence.

Cette révolution a vu la disparition de Bercy, de l’URSSAF, du corps spécifique des fonctionnaires.

Ce qui a permis de reconstituer le capital du pays, de retrouver les libertés individuelles, un impôt unique et proportionnel payé par tous à la hauteur de ses moyens, le respect de chacun, la propriété privée et l’aide aux plus démunis.

Les hommes de l’Etat ont été réduits en nombre de 70%, il n’y a plus qu’une élection pour tous nos représentants tous les quatre ans. Les fonctionnaires ont le même statut que tout le monde, ils ont été eux aussi réduits de 70%, le budget de l’Etat est bénéficiaire, l’armée et la justice sont les deux piliers d’un Etat qui se fait discret mais prêt à tout moment à rendre le service qu’il doit rendre en cas de nécessité.

Le plus remarquable est que la nouvelle constitution, avare en poste de pouvoir, a permis, depuis son installation en Décembre 2020, de constantes évolutions qui laissent penser que la France pourra dans l’avenir s’adapter aux changements nécessaires sans révolution.

Le colloque s’est conclu sur un débat libre où il fut question de l’école de Sorèze, de son étonnant destin, de Frédéric Bastiat, de son époque, elle aussi libérale… mais seulement intellectuellement.

Ce qui a fait dire au professeur Salin : “Nous avons peut-être accompli le rêve de Bastiat.”

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Comment dire…

Souvent je suis allé en forêt chercher des champignons ou chasser le sanglier, jamais je n’ai compris l’expression qui évoque l’arbre qui cacherait la forêt. C’est plutôt l’inverse que je peux facilement imaginer, c’est-à-dire la forêt qui cacherait l’arbre que l’on chercherait.

En réalité, Wikipédia consulté, j’apprends que l’arbre ne cache la forêt que pour le con qui fait une fixation sur un arbre au point d’en perdre de vue la forêt qui l’entoure. Ce n’est donc pas l’arbre qui cache la forêt mais bien l’esprit borné et obscurci de l’observateur.

C’est le coup du taureau qui cherche à encorner le chiffon rouge au lieu de transpercer de sa masse son tortionnaire.

Voilà qui me ravit et s’adapte parfaitement à notre monde politique où tout andouille de service à telle ou telle émission ou prestation publique arrive à cacher sa médiocrité et celle de l’ensemble de ses coreligionnaires, mais… grâce à notre complicité.

Alors que les mensonges répétés de nos élus, peaufinés par des communicants de haut niveau – oxymore –, devraient nous sauter aux yeux tant ils sont simplistes, pourquoi font-ils l’objet d’exégèses — qui finalement les valident — sur tous les supports possibles et imaginables, médias officiels ou réseaux sociaux.

Car enfin, ces hommes de l’Etat en sont irrémédiablement réduits à n’avoir qu’une seule et unique activité : nous mentir.

Ils se sont mis dans une situation matérielle totalement inextricable, ils ont distribué des cadeaux immérités, se sont attribués des faveurs tout aussi imméritées. Ils nous ont mis en faillite. Ils préféreraient crever, ou mieux nous voir crever, que de l’avouer.

La question lancinante, qui tourne en boucle sans réponse : comment cela est-il possible ? aura-t-elle un jour une réponse.

L’Absence de réponse à cette question est le nœud du problème et la combine qui sauvent les hommes de l’Etat. Ils s’accrochent comme des malades à l’entretien de ce mystère.

Or, la réponse est simple, c’est la suivante : L’arbre c’est l’Etat, la forêt c’est nous. Et l’arbre nous cache la forêt.

Voici comment cela fonctionne :

La crise économique ? L’Etat s’en occupe – La misère ? L’Etat s’en occupe – Les handicapés ? L’Etat s’en occupe – Les indigents ? L’Etat s’en occupe – Les geignards qui se trouvent insuffisamment riches ? L’Etat s’en occupe – Les fainéants dépressifs ? L’Etat s’en occupe – Les incompétents ? L’Etat s’en occupe – Les vieillards ? L’Etat s’en occupe – Le coronavirus ? L’Etat s’en occupe – Le confinement et la ruine qui va avec ? L’Etat s’en occupe – Le redémarrage de l’économie ? L’Etat s’en occupe, etc…

Dans ces conditions l’observateur naïf ne voit que l’Etat, l’observateur ambitieux aussi mais pas pour les mêmes raisons.

Tout le monde perd de vue : NOUS, qui est moi, vous… nous, quoi…

Incroyable, chacun y va de son petit avis sur l’Etat, qui n’existe pas, et perd de vue sa propre personne et les autres.

Pendant que nous nous penchons sur les problèmes de l’Etat, qui ne peut pas en avoir puisqu’il n’existe pas, nous oublions de nous pencher sur nos problèmes.

Le cerveau obscurci, nous croyons utile de disserter sur les mensonges des hommes de l’Etat, comme s’ils correspondaient à une réalité, et cela nous cache notre forêt : nous-mêmes.

C’est ainsi :

-Que nous oublions la faillite permise par l’indélicatesse de ceux à qui nous avons confié les clefs de notre destin, bien imprudemment.

-Que nous allons jusqu’à croire qu’ils sont en mesure de gérer une pandémie, que nous seuls subissons.

-Que, bien plus, nous faisons mine de croire que ce sont eux qui auraient le pouvoir de faire redémarrer l’économie, que nous avons arrêtée en nous confinant volontairement à une majorité de 90%.

Quand nous serons au fond du trou, dans quelques jours, et qu’ils nous diront : “il faut sauver l’Etat”, nous sommes capables de croire à cette situation abstraite, à cette allégorie.

Pour être plus précis : ceux qui seront alors autorisés à piller y croiront, ceux qui seront pillés un peu moins, mais pas au point de se révolter.

Les hommes de l’Etat sont les roseaux qui cachent les sables mouvants.

Bien à vous. H. Dumas

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Comme un seul homme

C’est pour moi toujours un étonnement sans cesse renouvelé de constater que les hommes de l’Etat nous traitent comme un bloc homogène.

Ils sont si présomptueux qu’ils croient connaître la solution en tout et s’estiment en droit de nous l’imposer uniformément. Pauvre de nous.

Malheureusement, chacun étant un cas à part — ce qui fait notre charme et celui de notre vie – les solutions universelles ne nous conviennent que très rarement.

Qu’à cela ne tienne, les hommes de l’Etat ont inventé un truc fourretout qu’ils appellent “la démocratie”. Vous connaissez évidemment cette escroquerie qui consiste à prétendre qu’une majorité serait en droit d’imposer ses vues à la minorité.

Mais en réalité cette majorité n’existe pas.

Les hommes de l’Etat, à l’aide de combines, d’associations de circonstance, fabriquent une pseudo majorité qui n’a d’existence que mathématique, qui plus est éphémère la plupart du temps. Elle ne correspond à aucune majorité morale, intellectuelle, politique, qui pourrait fixer un cadre ou des règles de vie et justifier une dictature de la majorité.

L’affaire du coronavirus est exemplaire à ce sujet.

Voilà donc un virus qui se pointe, il provoque une maladie pouvant être grave, voire mortelle. Le sujet est éminemment individuel, il ne concerne que les malades, qui doivent se soigner et éviter de coller leur maladie aux autres.

Admettons que les hommes de l’Etat, pris d’une soudaine empathie – ce qui serait inhabituel – décident d’aider les personnes concernées. Que peuvent-ils faire ?

Cela parait assez simple :  aider les contaminés à savoir qu’ils le sont, alors à se soigner, et protéger les autres d’une possible contamination.

Au lieu de cela, les hommes de l’Etat ont surjoué leur rôle, dramatisé la situation, imposé une solution globale inadaptée.

Le tout ayant entraîné la ruine d’un pays qu’ils avaient préalablement mis en faillite à l’aide de ces méthodes globales, qui tuent inutilement toute initiative personnelle.

Ils n’ont aucune conscience de leur folie.

Bien plus, ils traitent de fous ceux qui s’insurgent contre cette massification intellectuelle, morale et pratique.

Je me demande si leur délire est cynique, ou s’ils finissent par croire à la nécessité d’imposer par la force leur fausse utilité, qui n’est pourtant que la résultante de leur plaisir personnel à exercer le pouvoir.

Comment peuvent-ils ne pas percevoir que leur pouvoir est illégitime puisqu’ils l’exercent en refusant la responsabilité de ses conséquences ? Sont-ils aveuglés, mythomanes, ou de sales cons, véreux, sans vergogne ?

Bien que les fréquentant depuis des décennies, je n’ai toujours pas la réponse à cette angoissante question.

Mais force est de constater qu’ils massacrent nos libertés.

Le confinement a bon dos, mais la réalité c’est que nous sommes fliqués comme jamais et que la justice est aux abonnés absents.

Jusqu’où peuvent-ils aller ?

Je dois avouer que le magistrat, qui m’a demandé hier si je n’étais pas un poil parano pendant je lui expliquais que le Fisc est malhonnête, m’a troublé gravement.

Ceci est la pancarte que ce même magistrat a fait mettre à la porte de la chambre criminelle qu’il présidait ce jour-là.

Virus aidant, la justice redécouvre la joie des audiences occultes, comme avant la révolution. La justice rendue publiquement a fait long feu.

Je peine à imaginer de la part de ce magistrat, et des autres, un désir d’expédier rapidement les affaires sans témoin… bien que cela se dise dans les salles des pas perdus.

En réalité et tout simplement, cette pancarte n’évoque-t-elle pas une angoisse sanitaire un peu parano ?

Les masques

Inutiles, devenus obligatoires, on apprend qu’ils sont synthétiques, faits à base de dérivés de pétrole et mettent 450 ans à se dissoudre dans la nature.

Il nous en faut quatre par jour, par personne, soit 280.000.000/j !!!

Les éboueurs ne veulent plus les ramasser. La masse, hélas non homogène, a en son sein des individualités qui jettent les masques dans la rue… ça alors !!!

Que font les flics et les caméras de surveillance ? Voilà un gisement économique. 450 ans de pollution, ça vaut bien une amende de 1.000 €. Non ?

A vos carnets à souche les pandores, suite et fin du confinement….

Bien à vous. H. Dumas

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S’il vous plait… dessine moi un magistrat.

Ça tombe bien, cet après-midi j’étais à la Chambre Correctionnelle de La cour d’Appel de Montpellier, j’en ai rencontré un : typique, plus vrai que vrai.

Malheureusement, je ne dessine pas très bien. C’est dommage, il aurait été un excellent modèle. Un ogre, avec chaque partie de son visage surdimensionnée, l’ensemble organisé de façon relativement harmonieuse, mais prenant tout l’espace. Une voix forte, un regard franc. Le genre droit au but, mais uniquement le genre, en réalité provocateur déstabilisant, enfin le joue-t-il ainsi.

Sûr de sa puissance, de sa condition, de son privilège, mais sans affectation. S’il fallait résumer en un mot : dangereux. La prétention de l’efficacité, donc expéditif.

Convoqué à 14h, je passe le dernier, à 17h30, parce que je n’ai pas d’avocat. Je rappelle le litige : en première instance, alors que je poursuis par citation directe pour concussion le cadre supérieur des Services Fiscaux Flory, qui tente de me piller, la magistrate m’a dit lors de l’audience de consignation : “C’est grave ce que vous faites M. Dumas” et m’a collé une consignation de 4.000 € pour me dissuader d’aller au bout de ma citation. D’où l’appel.

Après avoir brièvement résumé la situation, le magistrat me donne la parole.

Je commence en essayant d’expliquer qui je suis et pourquoi je suis là. Le magistrat m’arrête immédiatement en m’informant que je ne suis pas là pour raconter ma vie. Que je suis là, suppose-t-il, parce que je trouve la consignation trop élevée. Allons droit au but, dit-il.

J’explique donc que la consignation habituelle pour ce type d’affaire est de l’ordre de 500 à 800€.

Il me demande combien de citations j’ai engagées dans mes conflits fiscaux. Je lui réponds une dizaine sans doute, mais parfois de mon fait parfois de celui des agents fiscaux.

Voilà donc la première explication pour lui, cette consignation élevée serait due à ma situation de plaideur compulsif. Pas mal non ?

Si le fisc vous tue, si vous demandez à la justice de se pencher sur la question, une fois ça va, mais n’y revenez pas, vous dérangez. Alors que cette même justice a mis vingt ans et des dizaines de procédures pour admettre que le fisc tentait de me voler à l’occasion de la succession de ma mère.

J’explique au cours du débat, où le magistrat parle plus que moi, que le fisc est au-dessus de tout soupçon. Il m’arrête immédiatement : “personne n’est au-dessus de tout soupçon, pas même moi”. Mais il fait une exception pour le fisc “qui est une administration respectable”

Je ne vais pas engager le débat sur ce point, je me contente d’affirmer qu’au moins un contrôle fiscal sur deux est abusif, et je suis gentil. Alors le magistrat, positionnant son coude comme un bras de fer, me dit que les chances que j’ai de gagner la partie sont nulles. Pas mal… alors que mon avenir dépend de lui…

Fin de la partie, frustration maximum, délibéré au 12 Juin.

Mais quand même.

Il n’habite pas la même planète que moi cet homme. Il n’assiste pas aux mêmes drames que moi. Il est dans sa bulle.

Quand, pour finir, je lui ai dit qu’en ces temps de folie fiscale ayant détruit tout le tissu économique, il se pourrait que sous peu son salaire ne lui soit plus payé pour cause de ruine de cet Etat glouton, il m’a demandé si je me considérais comme paranoïaque.

Cela alors qu’il a refusé que je lui expose ma vie, qui je suis.  Il me juge à partir de ses aprioris, en me déniant au préalable le droit de me présenter.

Enfin, rien de nouveau sous le soleil. Toujours la même misère, le déni de justice dès qu’il s’agit du fisc, le financier de leurs salaires…les magistrats sont tous les mêmes.

Pourtant celui-là n’était objectivement pas si mal…

Résister est inutile, sauf pour l’histoire, quand la fin sera connue, il sera temps de comprendre pourquoi, peut-être y aiderons-nous un peu.

Le petit Prince a eu bien raison de demander le dessin d’un mouton.

Bien à vous.

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Merkel et Macron interdits bancaires

Il n’est pas d’autre solution.

Voilà deux impécunieux qui contractent un prêt de 500 milliards d’Euros, pour jouer au casino. Est-ce bien raisonnable ?

Ils ont fait la démonstration, un peu plus l’un que l’autre, de leur incapacité chronique à gérer leurs placements. Il suffit qu’ils investissent quelque part pour qu’aussitôt l’investissement se transforme en échec. Tout ce qu’ils touchent se transforme en pertes abyssales.

Face à leurs échecs, ils décident de remettre ça, juste à une plus grande échelle. C’est impressionnant.

N’importe quel acteur économique qui agirait comme eux serait immédiatement interdit bancaire, verrait ses possibilités de crédit disparaître.

Leur combine est la suivante :

– Ils appellent leurs pertes de la solidarité.

– Ils empruntent sur le compte d’autrui, qu’ils peuvent ensuite piller pour lui faire payer la facture.

C’est d’une grande facilité. La difficulté pour eux est simplement de trouver des mots compliqués, des attitudes solennelles, pour annoncer leur projet en dissimulant l’ordinaire médiocrité de leur combine.

Une fois le crédit accepté, ils vont le distribuer à leurs amis à partir de considérations liées à leurs seuls intérêts politiques.

Les pauvres cons que nous sommes, qui paieront un jour la facture de force, au prix de leur peine et de leur sang, applaudissent majoritairement.

C’est tout simplement incroyable.

Ainsi donc il n’y a pas d’issue, pas de contrition, plus ils s’enfoncent, plus ils gigotent pour s’enfoncer davantage.

Était-ce bien la peine cette déclaration commune pour une si vilaine escroquerie, une demande d’argent de poche pour continuer à jouer au casino ?

Quand la famille est dans la misère, les chefs de famille qu’ils prétendent être devraient donner l’exemple du travail, du sens des responsabilité, de la reconstitution du capital, de la récompense aux preneurs de risque, à l’imagination des créateurs de richesses.

Rien de cela, retour aux vieux démons, au crédit, à la fausse monnaie, afin d’en inonder les amis avec qui l’on est en connivence.

Ils ne nous laissent pas beaucoup de choix.

Ils ne nous voient pas, ils nous prennent pour une masse compacte, qu’ils pourraient pétrir à leur guise. Quelle erreur.

Exigeons qu’ils soient privés de chéquier, interdits bancaires, signalés à la banque européenne, et finalement déclarés en faillite personnelle, avant qu’ils prétendent en bons escrocs nous rattacher à leur foyer fiscal et nous faire payer la facture.

Personnellement je ne connais pas et ne veux pas connaître ces deux personnes.

Bien à vous. H. Dumas

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La Justice post-confinement

Les magistrats ont-ils pris le temps de réfléchir, de prendre du recul, pendant ces semaines de confinement ? La justice envisage-t-elle d’être juste ? Indépendante de tout pouvoir, de toute croyance ? Pourquoi pas…

Les apparences matérielles sont négatives.

La fierté de la justice est d’être rendue publiquement. Le juge juste n’a pas à avoir peur de la population qu’il juge.

Ainsi Saint Louis, qui a posé les bases de notre justice, est réputé l’avoir rendue au pied de son chêne, entouré de la population.

Sancho Panza, nommé gouverneur par le Duc, rend aussi la justice publiquement, il fait des prodiges et étonne.

Ce n’est pas ainsi que cela se passe dans nos tribunaux. Depuis déjà un certain temps ils ne sont plus accessibles qu’après avoir vidé ses poches, posé sa ceinture, et passé sous le joug électronique du détecteur.

Depuis la pandémie, la justice est carrément rendue à huis clos, le public n’est plus admis.

Les magistrats s’enferment, ils fabriquent la justice entre eux, n’y tolérant que les avocats et les plaignants dans les rares procédures où l’avocat n’est pas obligatoire.

La réalité intellectuelle a-t-elle évolué ?

Les magistrats ont-ils pris conscience de l’énormité des mensonges des politiques et de leurs complices technocrates à la faveur de la pandémie ?

S’apprêtent-ils à en tirer les conséquences ? Eux à qui d’autres que nous vont demander, comme nous, justice.

Je vais pouvoir en juger Mardi.

Je me présente devant la Cour d’Appel, à la suite d’une condamnation préventive en première instance — avant tout jugement — à une amende, délicatement appelée consignation, dans le cadre de ma poursuite légitime contre mon tortionnaire actuel, Flory.

LE LIEN pour prendre connaissance de mes conclusions, publiques.

Bien à vous. H. Dumas

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La haine de la vie

La haine de la liberté, c’est la haine de l’autre qui découle de la haine de soi-même et entraîne la haine de la vie.

On va le faire autrement.

Si pour une raison majeure, ou mineure, un homme — ou une femme, considérons que le féminin est automatiquement associé – perd l’estime de lui-même, culpabilise, un effet de déni, égoïste et salvateur, lui fera reporter ce rejet sur l’autre.

Il sera saisi du mépris des autres.

Ce mépris a de grande chance de s’exprimer par une atteinte à la liberté des autres, car le mépris entraîne de facto l’idée de domination qui s’exprime par l’exigence de soumission.

Hélas ce mépris des autres générera une distanciation par rapport à la vie, qui a de grande chance de finir en haine de la vie, ou au moins en manque de respect pour celle des autres.

Chaque liberticide cache un culpabilisé qui se reproche, presque toujours inconsciemment, une transgression ou une humiliation.

L’église catholique romaine, avec la confession, fabriquait des armées de culpabilisés –qu’elle humiliait — qui, vent debout, dénonçaient la liberté comme le danger absolu.

Le cas Macron

Sans porter de jugement, il est clair que la transgression du jeune Macron et de sa professeure de philosophie n’a pu que laisser des traces, dans son conscient et dans son inconscient.

Traces que la fulgurance de son ascension sociale a probablement amplifiées à la plus forte intensité de conséquences possibles.

Macron est un névropathe, dominateur et liberticide, probablement incurable puisque la société a fait de sa transgression l’explication de sa réussite, ce qui le met dans un dilemme insoluble.

La vie personnelle des autres l’indiffère.

Il n’est pas armé pour comprendre que l’univers est multiple, puisque entièrement inclus en chacun de nous. Sans lequel il n’existe pas. Puisque qu’il n’existe qu’à travers notre regard. Lui seul, sans notre regard, n’est rien, que néant.

L’équilibre uniquement — auquel il ne peut accéder — permet un regard libre qui se nourrit de la liberté des autres, de leurs différences. Équilibre jamais donné, jamais définitivement acquis, qu’il faut toujours conquérir, inlassablement.

Macron recherche chez ses proches les mêmes névroses. Castaner chef des fics est un ancien voyou. Benalla son ancien garde du corps de même. Avia, sa chienne de garde s’exprime comme un corps de garde au complet, elle est chargée de la délicatesse dans la critique, de la mesure dans la contestation, de la bien séance du verbe.

Au sujet de la loi Avia, au risque de me faire censurer, je crois qu’il s’agit d’un coup de poker menteur qui n’a rien à voir avec la liberté d’expression. Facebook et consorts refusent toute taxe spécifique, qu’à cela ne tienne, on va faire d’une pierre deux coups. Une petite menace de censure — qui plait aux prudes — donc de perte complète d’audience pour ces défouloirs indispensables, ils vont probablement devenir plus conciliants….

Revenons à Macron

Peut-il être dangereux ? Jusque là je ne le crois pas, mais je commence à être moins sûr de moi. Peut-il se désolidariser du monde des fonctionnaires ? Dont il n’est pas d’éducation, dont il est de formation.

C’est là que tout va se jouer.

Le monde des fonctionnaires ne lâchera pas l’os sans un échec électoral de leurs soutiens politiques. Or, si ce monde garde le pouvoir c’est la faillite.

Donc, des élections sont incontournables pour préserver la paix.

Toute autre solution c’est l’affrontement, et dans ce cas Macron ne peut être que du côté de ceux qui vont tenter de garder le pouvoir par la force.

Tout se joue contre l’Urssaf et Bercy.

Si ces deux fous, pilleurs compulsifs, gagnent la partie et tentent d’encaisser de force ce que la population n’a pas, y compris chez “les riches”, c’est la violence qui l’emporte, Macron devient de facto un despote.

Si les français se libèrent par l’opportunité d’un vote, c’est au contraire l’URSSAF et Bercy qui disparaissent et la France a toutes les chances de remonter le courant.

C’est le bon sens et l’honnêteté contre la technostructure et le vice….

A suivre. Bien à vous. H. Dumas

 

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La poussière sous le tapis

S’il est une chose qui tue assurément c’est la continuation dans l’erreur.

Heureusement l’homme est résistant à l’erreur, en règle générale. Il partage cette particularité avec la plupart des êtres vivants. Les erreurs qui tuent immédiatement ne sont pas légion.

C’est ainsi que, paradoxalement, l’erreur est le moteur de la vie, du progrès. C’est par l’analyse de ses erreurs que l’homme progresse.

L’erreur est l’arbitre de notre vie, ceux qui feignent de l’ignorer sont engloutis par elle, ceux qui l’avouent, l’analysent et évitent de la reproduire, vivent et avancent.

Dans le rapport aux autres le déni de l’erreur – mensonge à soi-même — conduit évidemment au mensonge à tous. Une posture due à la bêtise ou à la vanité, ou aux deux.

Enfin, l’absence d’erreur n’existe pas. Nul ne peut prétendre, quelque soit son niveau de compétence, ne pas faire d’erreur.

Il fallait préciser tout cela avant de revenir à nos préoccupations du jour, qui toutes tournent autour de l’erreur.

La politique de la poussière sous le tapis

Au moment où nous posons la question du devenir, il est nécessaire de se remémorer le passé d’hier, le presque encore présent.

Hier nous étions en faillite. La haine aveugle du capital, la consommation frénétique appuyée sur le crédit remplaçant le capital honni, des décideurs fonctionnaires irresponsables et dépensiers, des élus inexistants, ont généré cette faillite de façon irréversible.

Là-dessus, la pandémie apparaît comme la peste du XXIe siècle, difforme, effrayante pour une population qui sait son avenir déjà largement obéré par la fin programmée de sa belle vie de tricheuse.

C’est dans ces conditions que notre démocratie et ses représentants, élus ou moralement accrédités, sont chargés par la majorité de mentir. Cela tombe bien, c’est justement leur fonds de commerce : le mensonge.

Ils avaient déjà menti hier en prétendant que la crise n’existait pas, puis ce matin en affirmant que la pandémie est la cause de tout.

Ils rêvent là, maintenant, de nous faire croire que tout va bien se passer, qu’ils sont capables de créer les richesses nécessaires au rachat de nos dettes, voire de ne jamais les rembourser.

La poussière dissimulée sous le tapis, ils font mine de n’avoir rien vu.

Alors qu’ils ont été incapables de vérité et de décisions, ils se posent encore en dirigeants.

Cette posture, ils croient nous l’imposer par la force, par la limitation de nos libertés fondamentales, par le mensonge qu’ils appellent la communication. Par le pillage qu’ils appellent la redistribution.

La vanité et leurs intérêts immédiats les aveugles.

Ils ne sont pas — aussi peut être la plus grande part d’entre nous – capables d’avouer leurs quarante ans d’erreurs. Dans ces conditions nulle analyse n’est crédible, donc nulle décision n’a des chances d’être valide.

La tare de notre société est le déni de l’erreur

C’est le déni de l’erreur qui ouvre la voie à la croyance, seule possibilité pour ne pas devoir affronter les conséquences de l’erreur.

La population de ce pays est profondément croyante, elle croit en tout et en n’importe quoi. Sur ce point elle est, à la limite, attachante pour l’anthropologue.

Ces différentes croyances sont catastrophiques.

Elles permettent au plus grand nombre de se dissimuler les erreurs dont tous ont été complices. Elles ne permettent pas l’analyse de ces erreurs.

Dans ces conditions, non seulement il n’y a aucune chance pour que la situation se modifie, revienne à la normale, mais un conflit entre ces croyances multiples me parait incontournable.

C’est donc la guerre civile que je vois arriver quand la pression économique va générer un inconfort menaçant la vie même du plus grand nombre.

Ce sera le grand jour des survivalistes, le comble de la déraison.

Bien à vous. H. Dumas

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Le tribunal. Le petit Macron.

“Qu’est ce qui s’est passé ?… Qu’est ce qui s’est passé ? …” disent Tournesol et le Docteur dans les Bijoux de la Castafiore. Ils sont victimes d’un enchaînement de circonstances qui les dépasse. Je me sens dans une situation identique, et probablement quelques millions de français aussi.

Ainsi donc un virus inconnu, dans un premier temps marginalisé, puis ensuite annoncé comme terriblement mortel, nous attaquait. Contre lui rien n’était possible hormis compter inlassablement les morts. Bien plus, il attaquait l’humanité. Un cauchemar.

J’ai d’abord été sidéré, puis paniqué. Au point de trouver normal que les hommes de l’Etat confirment par la loi mon enfermement volontaire. Puis régissent ma vie de tous les jours, mon comportement, mes soins, mes achats, le choix de mes épiceries, etc…

Ce n’est pas encore fini, loin de là, ils légifèrent maintenant sur ma façon de saluer, de me déplacer, et toujours de me soigner, de travailler… y aura-t-il des limites ?

Hier j’étais au tribunal de Montpellier.

C’était entre Guignol et le Ku Kux Klan. Guignol pour les dialogues, le KKK pour les déguisements.

Je me suis présenté devant la porte du tribunal avec mon épouse, avec qui je partage le combat que nous menons contre les fous du fisc, pour survivre, pour retrouver notre dignité.

Nous allions à une audience faisant suite à la citation directe que j’ai engagée, sans espoir, contre un de mes bourreaux fiscaux.

La double grille du parvis du tribunal était fermée. Nous avons dû nous présenter à une grille de service sur le côté du parvis, tels que nous y incitaient des panneaux.

Là, le cerbère de garde, après nous avoir observés et interrogés avec la suspicion qui sied à un détective avisé, spécialiste du coronavirus, nous dit : “-Vous pouvez entrer, mais pas Madame”. “- Allons bon, pourquoi ?” “-Parce que le public n’est pas admis”.

Là c’est Guignol. Mon intuition est que tout cela n’est pas légal. Les juges doivent, sauf exception du huis clos, officier en audience publique.

Peut-être suis-je mal informé, mais je n’ai pas entendu parler d’une modification de la loi à ce sujet.

Je m’en ouvre au cerbère et lui demande si tout cela est bien légal. Il me répond qu’il s’en fout. Je lui fais remarquer que nous sommes dans un tribunal. Il s’en fout toujours.

Dont acte.

Je rentre donc seul. Quel dommage. Que des avocats et avocates en robes noires et masqués. Torride.

La salle d’audience avait été enturbannée, saucissonnée, de ruban de chantier blanc et rouge pour ne laisser libre qu’une place sur deux. Des marques au sol pour faire la queue et… pas de public.

Les magistrats n’ont pas hésité à donner de la sonnette en entrant, afin que chacun se lève en les voyant. Ils étaient tous masqués, style KKK des grands soirs.

La salle était vide. Dommage. Je n’ai pas eu le culot de faire une photo, encore dommage.

Mais quand même, ils ont donc rendu la justice à huis clos, incroyable. Je rappelle que l’audience publique est un des acquis fondamentaux de la révolution. A la trappe, pour cause de virus. Visiblement sans état d’âme, tant la loi est relative pour les magistrats par rapport à leur pouvoir.

La panique et le populisme

J’ai enfin compris comment les allemands sont devenus Nazis. La panique s’est emparée d’eux, ils ont eu peur de la misère, de la malnutrition, de la mort.

Face à cette panique nul n’a été capable de canaliser leur angoisse, au contraire Hitler a surfé dessus.

C’est probablement ça le populisme, aller dans le sens de la panique populaire, l’exacerber, en profiter, au lieu de la calmer. C’est trouver les mots et les attitudes qui l’amplifient au lieu de ceux qui la maîtrisent.

Il n’y a aucun complot derrière ce bazar.

Ceux qui dénoncent un complot ne cherchent qu’à dissimiler leur responsabilité, la responsabilité de leur panique.

Je ne suis pas fier d’avoir paniqué, au point même de me demander si je n’aurais pas été un bon collaborateur pendant la dernière guerre. Tout cela fait peur. Merde alors.

Le petit Macron

Il a été plus populiste que les populistes qu’il fustige et contre lesquels il se prétend un rempart.

Il a menti, puis quand la panique liée à ses mensonges a pris le dessus il l’a théâtralement utilisée, effectivement tel Hitler. L’horreur.

Il favorise maintenant la délation, il met en place des lois d’exception, il a perdu toute considération, l’histoire va le pendre. Il est tout petit.

Il eut fallu à la France un homme de l’Etat fort, qui explique la situation, donne aux français le gout du courage et de la responsabilité personnelle. Des milliers de morts auraient sans doute été évités.

Mais c’est Macron que les français ont choisi, et je ne lis pas à droite ou à gauche qu’ils auraient honte d’avoir paniqué. A contraire je les crois dans le déni, dans la recherche du complot.

Et vous, avez-vous paniqué, où êtes-vous restés lucides et sereins, spectateurs effondrés de la débâcle ? Pas comme moi, qui suis choqué et un peu honteux, mais prêt à me reconstruire, à ne pas fuir, à ne pas succomber à ma faiblesse passagère, à retrouver mes forces, ma lucidité, mon jugement, enfin j’espère…

Bien à vous. H. Dumas

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Quand même…

Je suppose que nous sommes tous dans le même état d’esprit, la question tourne en boucle dans notre tête : que va-t-il se passer maintenant ?

Car nous le savons intimement, il va se passer quelque chose… de grave. La suite logique ou illogique de tout ce qui s’est passé… qui est grave.

Je ne suis pas dans votre tête et je n’ai pas la prétention d’y pénétrer, juste l’envie de vous inviter dans la mienne, ce dernier jour de confinement… après se sera chacun pour sa peau, probablement.

Ce qui se passe dans ma tête est résumé dans le titre de ce billet : “quand même…”

A vingt ans je me suis installé à mon compte. Dans l’immobilier. Evidemment, je me suis tout de suite posé la question de la difficulté qu’il y aurait à être intègre moralement tout en rentrant dans le monde des affaires.

Finalement c’était une fausse angoisse.

Il est très facile d’être un homme d’affaires honnête. Il suffit de limiter sa rémunération à un pourcentage de ce que l’on fait gagner à son client. Ainsi nul mécontent, nul appauvrissement.

Je dirais en fait que c’est le principe même du monde des affaires d’être honnête. Les brebis galeuses ne font pas long feu. Sauf, sauf si elle possède un pouvoir de négocier quelque chose sans valeur ajoutée, mais indispensable, tel que par exemple une autorisation administrative.

Je ne suis jamais rentré dans la connivence ou la corruption, pas même à l’occasion d’un repas ou d’un avantage payé par une entreprise, alors que j’étais architecte.

Par ailleurs, peut-être bien pourvu en sens de l’organisation j’ai eu l’occasion de le mettre au service de la collectivité dans des activités bénévoles, où j’ai été vraiment bénévole, qui m’ont même coûté en temps et en argent.

Et enfin j’ai toujours été un bon payeur, payant rubis sur l’ongle factures, charges et impôts.

Au terme de tout cela j’ai donc rencontré, pour mon malheur, une cinglée du fisc – pléonasme –, Madame Jourde, qui au moyen de falsifications a tenté de me déposséder de plusieurs centaines de milliers d’Euro à l’occasion de la succession de ma mère, laquelle était entièrement à ma charge depuis vingt ans quand elle est décédée.

Au bout de vingt ans de résistance, récemment, la justice — à contre cœur — a dû me donner raison, mais sans indemnité.

Jourde, vexée par ma résistance, avait appelé à l’aide d’autres véreux du fisc, en est-il qui ne le sont pas ? C’est ainsi que j’ai vu débarquer Martino, puis Garcia, qui ont monté de toutes pièces des redressements indus qui m’ont ruiné.

Donc, soudain, je suis devenu un paria.

D’abord socialement puisque traité de “fraudeur fiscal”, puis professionnellement lorsque tous mes biens ont été saisis, mes comptes en banque bloqués puis fermés m’obligeant à aller quémander à la Banque de France un compte forcé dans une banque que je n’ai pas choisie – qui s’avère plutôt sympathique – la SMC.

Privé de revenu, je suis devenu un mauvais payeur, un tricheur, pour survivre.

Jusqu’à ce jour j’ai eu la chance de ne pas être envahi par la haine, alors que franchement il y aurait eu de quoi. La merde dans laquelle ils m’ont mis après quarante-cinq ans de droiture de vie l’aurait justifiée.

J’ai ouvert ce blog et, au fil du temps, j’ai pu constater que nous sommes des centaines de milliers dans mon cas.

C’est là que : quand même…

Voyons un peu. Nous avons été pillés par des personnes au-dessus de tout soupçon. Nous savons bien les mensonges ou contorsions auxquelles elles se sont prêtées pour arriver à leur fin. Nous en connaissons la grossièreté, la fausseté, la perversion.

Force est de constater que nul ne nous a écouté, rendu justice ou même simplement compris et réconforté.

Tout cela parce que le pillage était motivé. Il s’agissait de solidarité. De juste répartition des richesses. Une évidence, qui s’imposait à tous.

Entendez par là que les richesses que j’ai créées n’ont aucune raison de m’appartenir, qu’il n’est pas légitime que je les utilise pour aider ma mère lors de sa fin de vie, pour aider mes enfants lors de leur entrée dans la vie, pour assurer ma propre fin de vie, pour me faire aussi un peu plaisir.

Non, je devais mettre mes gains dans le pot commun, intégralement, ne conservant que le strict minimum pour continuer à produire des richesses. Et pour ma mère, l’Etat s’en occuperait, pour mes enfants idem, tout pareil pour ma vieillesse, pour la vie courante à peine plus que le smic devait être suffisant.

Mes angoisses, mes risques, mon énergie, mon travail de 20 heures par jour, sans jour férié ? Si c’est ce que j’ai choisi, c’est que cela me plait, ce plaisir est suffisant, inutile de l’accompagner d’une récompense. A la limite, je dois m’estimer heureux de pouvoir le faire, alors que l’Etat pourrait parfaitement le faire à ma place, d’ailleurs aujourd’hui il le fait. Voir cette vidéo, 1h18 : LE LIEN

Nul ne peut aller contre cette magnifique organisation collective dont se portent garants les fonctionnaires. Ma résistance et mes plaintes pour conserver ma propriété, les fruits de mon travail ou pour tout simplement continuer à travailler, sont obscènes, c’est le syndicat unifié des impôts qui le dit et l’imprime en première page de son journal.

Je suis plaqué au sol avec vous, bâillonné, inaudible, ridicule, ruiné, dans la misère après une vie de travail et de réussite, rien de plus normal, de plus solidaire.

La foule applaudit le pouce vers la terre, elle jubile, elle hurle en cœur : vive la solidarité, la vraie, pas la fausse limitée à sa famille, aux siens. Non l’autre, l’anonyme, que seuls les fonctionnaires sont habilités à répartir — mais limitée uniquement aux autres franchouillards évidemment —

La foule adule les fonctionnaires, tout le monde veut en être. Ne sont-ils pas les hérauts de la répartition, les justiciers de l’égalité ? Leurs privilèges mérités leur confèrent le statut qui va avec la très grande compétence et la très grande sagesse. Ils sont la perfection, et ne se gênent pas pour le dire, voire le faire entrer de force dans nos têtes.

Nous sommes des sous-hommes, des reliquats d’une ère primitive en voie de disparition. Ils sont l’avenir de la France et notre éradication est parfaitement justifiée.

Les bourreaux chargés de nous éliminer le font sans état d’âme, en ce qui me concerne ils s’appellent Brabant et Flory, ils sont intelligents, parfaitement conscients de ce qu’ils font, mais ils le font. Un point c’est tout.

Arrive de CORONAVIRUS

Non seulement les fonctionnaires font la démonstration, visible pour tous, de leur incompétence, mais aussi de leur manque de courage, de leur irresponsabilité.

Passons rapidement sur ce que nous avons tous constaté, leur infinie prétention à gérer seuls le problème avec leur hôpitaux pourtant largement en déshérence, à paralyser par des lois de circonstance la médecine de ville, à mentir comme des arracheurs de dents.

Mais voyons le résultat.

Les morts ? Pas plus que ça… de toute façon il en faut, surtout les vieux…

Les fonctionnaires auront été le plus gros bataillon des confinés. Et pourtant ils vont toucher l’intégralité de leur salaire, pendant ces vacances imprévues mais bienvenues.

Les salariés du privé ne toucheront que 80% de leur salaire, ceux qui le toucheront.

Les indépendants les plus heureux sortent de là avec un crédit sur le cul pour ceux qui vont s’en sortir ou essayer, pour les autres c’est la faillite, la misère.

Une nouvelle race de fonctionnaire est née “les espions de la santé”, organisée en brigades volantes qui vont directement venir espionner chez chacun de nous, préalablement dénoncé par son médecin, qui touchera un petit bakchiche pour la peine.

Les fonctionnaires et leurs employés en communication : les élus, se sont votés une loi dégageant leur responsabilité du bordel qu’ils ont foutu.

Une grande ferveur nationale, un immense chagrin collectif est prévu, accompagné probablement d’un gouvernement d’intérêt national composé exclusivement de fonctionnaires, c’est “la passionata”.

Le crédit ? Quel crédit ? Ah, vous voulez parler sans doute de la fausse monnaie ?

Où est le problème, répondent les fonctionnaires, puisque tout le monde croit qu’elle est vraie ? Cessez de vous faire de la bile. Nous ne sommes pas allés au bout du pillage. Il reste du gras.

Nous allons déplacer tous les indépendants, donner leurs biens à des fonctionnaires ou à des nécessiteux, qui engagés collectivement les géreront mieux et au bénéfice de l’Etat. Ne vous inquiétez pas. C’est gagné.

Oui mais, quand même… à moins que…

Bien à vous. H. Dumas

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Vincent Lindon (vidéo)

Bonjour,

Bien à vous. H. Dumas

 

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L’Aveu brutal

Les cinq consignes des hommes de l’Etat dévoilées le 7 Mai par le Ministre Véran, à observer à partir du 11 Mai en cas de symptôme grippal :

– Contacter un médecin

– Qui vous fera faire un test et vous isolera préventivement s’il le juge nécessaire.

– En cas de positivité du test au coronavirus vous devrez rester isolé.

– Toujours en cas de positivité, les personnes en contact avec vous pendant votre période contagieuse seront recherchées.

– Ces personnes, appelées “cas contacts”, seront à leur tour isolées.

Voilà donc mis en œuvre les moyens raisonnables pour combattre la pandémie du coronavirus.

Il y manque un détail : quid des soins ?

On peut supposer, pour l’instant, que le médecin contacté vous conseillera le protocole du professeur Raoult, si vous êtes positif au coronavirus.

Bien, parfait.

Ces consignes simples auraient parfaitement pu être mises en œuvre à partir du 24 Janvier, date de l’apparition connue du coronavirus en France. Maladie présente en Chine depuis fin 2019, dont les paramètres et la dangerosité étaient parfaitement connus.

Rappelons-nous. Au lieu de cela, à cette époque les hommes de l’Etat étaient absorbés par les élections municipales dont le premier tour avait été fixé au 15 Mars, qui ont eu lieu, précédées de nombreuses réunions publiques contraires à toutes les règles de protection face à une pandémie.

Bien plus, pendant cette période les hommes de l’Etat ont publiquement, avec les énormes moyens de communication en leur possession, menti sur la réalité de la maladie, qu’ils connaissaient. Puisque le 17 Mars ils ont déclaré le confinement.

A partir du 17 Mars et donc jusqu’au 7 Mai, ils ont imposé des moyens collectifs inadaptés en réponse à la pandémie.

Pour finir, le 7 Mai, par cette déclaration logique de mesures personnalisées pour faire face au coronavirus.

Ce délai a été tueur. Leur responsabilité est probablement de l’ordre de 10 à 15.000 morts évitables.

Cette responsabilité est le fait d’une organisation collectiviste, égalitariste, imposée par la force de la loi.

Elle est à rapprocher des 100 millions de morts du communisme.

Mais ce n’est pas tout.

Arrive la crise économique, ne venant pas de la nature mais de leur fait.

Pour laquelle, après avoir eux-mêmes inoculé le virus de la pauvreté en détruisant le capital, ils se proposent d’appliquer les mêmes méthodes collectivistes, égalitaristes, par la force de la loi, au lieu de laisser le marché réguler l’économie, ce qu’il fait parfaitement depuis des milliers d’années.

Ici nous sommes dans le mensonge, toujours plus séduisant que la vérité, ce qui est la plus intolérable des souffrances.

Le communisme, puisque c’est bien ainsi qu’il faut appeler le socialisme, l’écologie, l’égalitarisme, et tous les sous-groupes qui lui sont rattachés qui vont des républicains au front national, a envahi la pensée de la France, réduisant à néant le libéralisme qui n’a plus aucun représentant.

La liberté, si hypocritement défendue, présente uniquement sémantiquement sur les documents et bâtiments officiel en France, n’existe pas dans la réalité économique.

Pire, les français ne connaissent pas la liberté économique, ils n’en ont ni le souvenir, ni l’enseignement.

Depuis des siècles tous les systèmes politiques qui les ont dirigés ont flatté leur jalousie, leur haine de la réussite du voisin, ont attisé leurs peurs, ont annihilé leur personnalité au point que ce soient eux qui quémandent leur statut d’esclaves, qui admirent leurs maîtres.

Les français sont dans un rapport sado-maso avec leur organisation collective, qui les étouffe, qui les tue.

Bercy est le dominant incontesté, brutal, violent, qu’ils vénèrent, qui les avilit, qui les réduit à rien, qui leur prend tout pour ce rien, qui entretient sur leur dos une armée de parasites, qui fait du mensonge la norme, du crime la règle, de la connivence et de la corruption l’aspiration nationale.

Dénoncer cette situation, comme je le fais depuis quinze ans, ne rime à rien, est vain.

Alors que cinq consignes simples permettraient de vivre paisiblement dans ce pays aux avantages naturels multiples.

– Supprimer le statut des fonctionnaires.

– Supprimer l’impôt sur le capital. Capital qui est la base du progrès et de la sécurité en toute chose, y compris en économie. Qui doit donc être privilégié ici comme ailleurs.

– Rendre les hommes politiques responsables de leurs promesses et de leurs actes.

– Garantir la propriété privée et supprimer Bercy son principal parasite.

– Réduire l’Etat à ses deux prérogatives essentielles, l’armée — exclusivement pour la défense du territoire –, et l’aide aux plus faibles, aux accidentés de la vie, pas aux fainéants.

Peut-on espérer le même retour au réel de la part des hommes de l’Etat pour la crise de l’économie que pour celle du coronavirus ? NON.

C’est l’opinion publique qui a eu raison de la stupidité face à la pandémie, c’est l’opinion publique qui désire la mort du capital, donc de l’économie. Rien ne peut aller contre l’opinion publique.

Bien à vous. H. Dumas

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Le cancer (vidéo)

Bonjour,

Bien à vous. H. Dumas

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Profil de la crapule URSSAF

Il se trouve que j’ai une récente analyse, par un arrêt de La Cour d’Appel de Montpellier en date du 29 Janvier 2020, sur ce que prétend être l’URSSAF – LE LIEN —

Parallèlement, la pandémie du Coronavirus nous a permis de voir en grandeur nature ce qu’est effectivement l’URSSAF

La comparaison est instructive.

Mon appel devant La Cour était extrêmement simple.

  • 1 – Ruiné indûment par le fisc, je prétendais que si l’URSSAF est une branche de l’Etat cet organisme devait attendre le résultat de mes conflits fiscaux que — naïvement sans doute – j’espère in fine positif pour moi, puisque j’ai toujours payé mes impôts et suis simplement pris dans une infernale vendetta corporatiste d’agents fiscaux vexés de s’être fait contrer par moi sur les faux qu’ils ont réalisés, pour lesquels ils ont été déboutés sans conséquence pour eux, avec de graves conséquences pour moi.
  • 2 – Dans ce cadre, je prétendais que si en revanche l’URSSAF n’était pas l’Etat, mais une compagnie privée, je devais alors pouvoir exiger de prendre connaissance de l’appel d’offre qui lui aurait permis de se voir confier par l’Etat une mission d’assurance.
  • 3 – Je prétendais ensuite que cette mission d’assurance devait avoir un coût vérifiable et j’exigeais l’intervention d’un expert pour le comparer au marché.
  • 4 –  Enfin, l’URSSAF me devant de l’argent pour des déductions légales non prises en compte, une balance de ces déductions devait être réalisée, quand bien même l’URSSAF aurait établi me concernant plusieurs comptes à sa guise, notamment un compte professionnel et un compte particulier, ce qui n’avait pas à m’être opposé puisque j’étais le seul et même payeur.

Rien que de très logique.

A la première question, La Cour répond ceci :

L’Etat est bien un assureur. L’assurance maladie est donc un service public. Il est bon de le savoir, définitivement.

Nous n’avons donc pas le droit pour cette prestation de négocier nos cotisations, au motif de la solidarité nationale. Pas plus que les prestations.

On notera que je ne demandais pas à “échapper” au paiement des cotisations d’URSSAF, mais à ne les payer qu’après que mon conflit fiscal soit réglé, puisque le créancier ne peut pas créer artificiellement votre insolvabilité et exiger dans le même temps sa créance. Il n’y a que la mafia qui peut monter une telle organisation…

A la deuxième et troisième question, La Cour s’indigne

Mais enfin, la solidarité de l’URSSAF est immense et n’a pas un but lucratif, qu’on se le dise. Les employés de l’URSSAF sont des bénévoles, leurs salaires, leurs avantages ne sont pas à prendre en compte, pas plus que les prestations qu’ils apporteraient ne seraient critiquables, puisqu’il s’agit uniquement de solidarité. SOLIDARITÉ, vous comprendre ?

Alors, appel d’offre et coût de la prestation ? Passez-votre chemin, il n’y a rien à voir, espèce d’escroc mauvais payeur….

Estimez-vous heureux de la chance que vous avez d’avoir l’URSSAF, que le monde entier vous envie. Casquez et arrêtez de pinailler… sale engeance.

Concernant la quatrième question, c’est le pompon :

Effectivement, l’URSSAF vous doit de l’argent, mais ce ne peut pas avoir de rapport avec ce que vous lui devez. C’est clair ? Pas vraiment…?

Et alors, le fait que l’Etat, Bercy, vous ruine impunément et sans motif ne peut en aucun cas concerner l’URSSAF, cette société de droit privé charger d’encaisser une sorte de “denier du culte”, solidaire et miraculeux, qui n’a pour but que de vous permettre d’accéder au paradis de la solidarité.

Décidément Dumas, vous êtes bouché ou quoi ?

Oui mais, pour l’assurance maladie ? – Enfermez-vous chez vous et démerdez-vous.

Deux questions alors se posent :

Ils les trouvent où ces simplets ou cyniques qu’ils nomment magistrats ?

Comment tout ce petit monde peut-il se regarder dans la glace et parler de solidarité quand ils foirent tout ?

Ils sont restés chez eux, les magistrats, pendant la pandémie. Ils ont fermé la boutique.

Ils ne sont donc pas indispensables à la nation. Sans quoi ils auraient été au boulot comme les agriculteurs et les caissières des épiceries où ils sont allés se ravitailler.

Ils ont touché leur salaire complet les magistrats, les mecs de l’URSSAF aussi, pas moi. Et c’est moi qui les fais vivre, solidairement…

Ils ont fait la démonstration qu’ils n’avaient rien préparé pour cette pandémie prévisible, ces assureurs d’Etat de pacotille. Ils ont confiné tout le monde, de force. Sauf les vieux dans leurs EHPAD, qu’on leur avait confiés, qu’ils ont tués par milliers.

Ces raclures vont vendre mes biens, me mettre sur la paille, dans la misère, mais eux, ils se sont voté une loi d’amnistie.

Et ils comptent s’en sortir comme ça ? Quelque chose me dit que ça ne va pas le faire…

Bien à vous. H. Dumas

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