Vacciner ou guérir…

Face à COVID c’est l’échec absolu du modèle technocratique occidental dont la science, pourtant la plus évoluée jamais connue sur terre, est ramenée au pire obscurantisme par la bureaucratie égalitariste qui ronge l’occident.

C’est la négation de la liberté d’entreprendre, l’irresponsabilité et l’impunité revendiquées du pouvoir administratif occidental, donc mondial, qui ont déterminé une voie de combat unique contre COVID : le vaccin.

Le vaccin c’est la vanité.

C’est le rêve d’être sacré “sauveur de l’humanité” pour celui qui trouve le bon vaccin.

C’est l’alchimiste qui transforme le plomb en or. C’est vaniteux et puéril.

Résultat : vacciné on meurt toujours de COVID.

Il eût fallu tout simplement guérir.

C’est à dire que tous les hommes de bonne volonté, chercheurs et soignants de terrain, auraient dû modestement s’efforcer de soulager et de guérir chaque malade.

Mettant alors en commun leurs constats et leurs résultats sans prétention, des solutions auraient probablement vu le jour.

L’époque des chercheurs invisibles, fourmis du progrès, a laissé la place à celle des flamboyants faux-savants fossoyeurs de la science, mais champions de la communication.

Le sinistre est mondial parce que la prétention du pouvoir occidental est mondiale. Mais, contrairement à ce qui sera prétendu, ce n’est pas la mondialisation le problème. Au contraire, elle aurait pu être un extraordinaire facteur d’échange pour l’option “guérison”.

C’est bien le monde occidental, devenu liberticide au service de l’égalitarisme décrété et jaugé par la bureaucratie, souhaité par l’opinion publique envieuse mue par une jalousie exacerbée devenue son seul moteur de réflexion et d’action, qui est le seul responsable du sinistre actuel.

J’en connais qui ne doivent pas dormir tranquille, ce n’est pas étonnant.

Le marché, toujours oublié mais toujours là, est plus porteur pour un médicament qui guérit que pour un vaccin qui se cherche.

Donc le médicament est évidemment dans les tuyaux.

Quand il arrivera, et si le vaccin est toujours en panne, il faudra bien compter les morts.

Ceux qui ont eu la prétention d’interdire les soins au profit du vaccin vont se trouver devant une sacrée facture.

N’imaginons même pas le cas d’effets secondaires aux vaccins.

Bien à vous.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (6 avis)
Loading...

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

3 réflexions sur « Vacciner ou guérir… »

  1. Le Japon : deux fois plus peuplé que la France, deux fois plus de vieux, 13 fois moins de morts. Ses autorités sanitaires ont reconnu que l’ivermectine était un traitement efficace.

    Pour Veran et Delfraissy, ce sont des inférieurs avec des yeux bridés.

    Cherchez l’erreur.

  2. Et Anne Hidalgo qui se présente à la Présidence de la Ri-publique Française, propose de multiplier par 2 le salaires des enseignants, je lui conseille 4 à 6 fois comme cela la france coulera plus vite et en + comment financer cela. Elle fait des comparaison avec d’autres pays cla est absurde car il faut comparer le pouvoir d’achats et les avantages sociaux. La France un pays d’aveugles et sourds dirigé par des mafias ou des imbéciles.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *