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Rendez-nous la liberté

Rendez-nous la liberté

La liberté

La liberté est la valeur suprême. Elle ne peut se diviser, ni se fractionner. Elle ne peut être vendue en morceaux à l’encan, dans les foires à l’achat de voix que sont en France les élections.

La liberté ne peut pas servir à justifier une atteinte à la liberté. La destruction d’une liberté ne peut pas servir à justifier une autre destruction de liberté.

La liberté doit exister dans la vie privée comme dans la vie professionnelle ou publique. Elle doit se manifester dans tous les domaines, économique, politique, social, culturel, spirituel.

Elle existe au sein de la « trinité libérale » des Droits naturels : Liberté, Propriété, Personnalité. Ces droits sont consubstantiels du libéralisme et intimement liés. Porter atteinte à l’un détruit les autres. La liberté consiste à jouir de ses droits naturels tout en respectant les droits naturels d’autrui. Cela entraîne « l’harmonie économique », la justice, et la paix.

Ce n’est pas l’état dans lequel se trouve la société française aujourd’hui.

Libertés rognées

Les libertés ont été méthodiquement rognées depuis la Libération. « La spoliation légale » pour reprendre les mots de Bastiat, s’est accrue très régulièrement et en douceur.

Ce qui a changé depuis deux ans c’est la violence des atteintes aux Droits Naturels des gens.

D’abord il y eut la crise provoquée par le gouvernement au prétexte d’une épidémie, présentée comme grave, alors qu’elle ne l’était pas. Elle fut rendue grave par la mise à l’écart des médecins de première ligne et par des mesures liberticides de coercition sociale, qui était inimaginables dans une société libre. En vérité les mesures de coercition sociale ont fait bien plus de dégât humains, sociaux, psychologiques, économiques que les épidémies de COVID. Y compris en vie humaines puisque les mesures de contrainte sociale, vaccination obligatoire incluse, ont entraîné des décès de personnes qui n’auraient jamais du mourir. (Suicides, retard de diagnostic, retard de soins, complications vaccinales etc.). La société française est sortie traumatisée, encore plus divisée, scindée en partis irréconciliables.

Puis il y eut un nouveau coup d’accélérateur au prétexte de la guerre en Ukraine. Les sanctions prises, paraît-il, pour provoquer « l’effondrement de l’économie Russe »  sont en réalité des sanctions contre les Français. Le gouvernement a délibérément provoqué la crise énergétique et l’effondrement de l’économie française, déjà bien mal en point. Cela pour un conflit dans lequel la France n’a aucun intérêt et tout à perdre. Il eut mieux valu que la France garde une attitude de neutralité et facilite la paix. « Le sang de nos ennemis est toujours le sang des hommes. La vraie gloire est de l’épargner ». Louis XV après la bataille de Fontenoy. Cette guerre sert de prétexte au gouvernement pour accroître les destructions de libertés. Déjà un Conseil de défense énergétique a été réuni. Le Conseil de défense est secret, arbitraire et, en pratique, peu susceptible d’appel.

Ces deux atteintes gravissimes aux libertés des Français ont donné un coup d’accélérateur à un alibi liberticide qui peinait à les effrayer, à savoir le fameux « dérèglement climatique ». Si tant est que quelqu’un puisse définir ce qu’est un climat réglé.

Les outils répressifs sont en place.

Tous les instruments d’un système totalitaire sont en place et sont fonctionnels. L’État d’urgence sanitaire a été testé avec succès et peut être facilement remplacé par un État d’urgence énergétique ou climatique. Le Conseil de défense a été testé avec succès dans la gestion gouvernementale des COVID. Un scientisme dogmatique a remplacé la science qui repose sur le doute. La police a été détournée de sa mission d’assurer la sécurité des biens et des personnes, une police sanitaire a fonctionné dans les faits. Il faudra peu de choses pour instituer une « police des températures »

Macron balaie la proposition mais il n’a aucune parole. Il n’est pas fiable et est habitué à mentir. Les vaccins contre la COVID ne pourraient être administrés que « sous réserve des résultats des essais cliniques ». Dans les faits ils ont bénéficié d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) conditionnelle, sans attendre la fin des expérimentations. La vaccination ne devait jamais devenir obligatoire.

Tout ceci constitue des précédents dangereux et peu contestés par les Français. La jurisprudence a été créée. Ni le Conseil d’État, ni le Conseil constitutionnel n’invalideront ce mode de gouvernement. Ils ne l’ont pas fait pour les COVID. Nous sommes devant un gouvernement totalitaire : une Autorité centrale gouverne par le peur, met à mal la liberté d’expression, décide seule avec un cabinet secret,sans réel recours.

À cause de cela, l’hiver s’annonce terrible pour les Français, sur tous les plans.

Le libéralisme est le seul rempart contre le totalitarisme.

La pensée libérale, originale et puissante, existe et mûrit depuis plusieurs siècles. Les idées libérales de Bastiat sont libres de Droits. Elles constituent un précieux outil pour comprendre la société humaine. Elles sont une éthique de vie.

Le Libéralisme consiste à respecter les Droits Naturels de tout être humain, à savoir : Liberté, Propriété, Personnalité. Il consiste également à se défendre, y compris par la force, si ces droits Naturels sont attaqués. « Chacun de nous tient certainement de la nature, de Dieu, le droit de défendre sa Personne, sa Liberté, sa Propriété, (…) Si chaque homme a le droit de défendre, même par la force, sa Personne, sa Liberté, sa Propriété, plusieurs hommes ont le Droit de se concerter, de s’entendre, d’organiser une Force commune pour pourvoir régulièrement à cette défense. » La loi (1850)

C’est uniquement parce que la loi défend les Droits Naturels qu’elle est juste. Elle ne porte tort à personne, en particulier elle ne vole personne. Elle assure la sécurité des personnes et des biens. Chacun à la certitude que nul ne viendra voler son bien, attenter à sa liberté, à sa personne, à sa famille ou à ses proches. Elle protège les incitations productives, les incitations à l’innovation de chaque individu. Chacun poursuit son projet de vie. C’est parce que le Libéralisme est juste qu’il est économiquement performant. Avec lui nous arrivons à ce que Bastiat appelle les harmonies économiques. Harmonies qui font tant défaut à notre pays.

Le libéralisme est incompatible avec le capitalisme de connivence, les achats de voix, le mal investissement, les gaspillages, les rentes de situations, les monopoles et les privilèges. C’est pour cela que les étatistes le combattent.

C’est pour cela que les Français doivent se battre pour leur liberté !

Il est aisé de comprendre que le respect des Droits Naturels individuels est essentiel à une bonne santé économique et sociétale de la France. C’est pourquoi « Rendez-nous la liberté » est le cri de ralliement du 11ème weekend de la Liberté qui se déroulera du 23 septembre au déjeuner, au 25 septembre au déjeuner.

Vous rencontrerez en un même lieu, en un seul week-end, un panel de conférenciers de grande qualité, par ordre alphabétique :

Pierre Bentata, Patrick de Casanove, Philippe Fabry, François Facchini,Thierry Foucart, Jacques Garello, Pierre Garello, François Gervais, Claude Goudron, Yorick de Mombynes, Pierre Schweitzer, Pierre-Marie Sève.

Les sujets abordés seront multiples : la monnaie y compris le Bitcoin, la fiscalité, la libre entreprise, la légitime défense, la liberté, le système politique, la démocratie, l’Europe, le libéralisme, les modélisation, l’internet, le CO2, la transition énergétique, le libre choix, la liberté d’acheter, les soins, la COVID et le système de santé.

L’esprit est indépendant et hors pensée unique. L’ambiance est conviviale et sympathique, les moments de détente alternent avec les moments de travail. Le lieu, l’hôtel Sourcéo de Saint-Paul-lès-Dax, est un havre de tranquillité et de bien-être.

Tout est organisé pour des échanges de bon aloi dans ce cadre agréable. Chaque intervention de 45 minutes est suivie d’un débat de même durée, libre et courtois, entre le conférencier et l’assistance. Le weekend de la liberté est un refuge pour la liberté d’expression. C’est un espace culturel où les personnes éprises de libertés découvriront des arguments et des idées pertinentes pour ensuite les défendre.

Lors de la foire aux livres les associations, les conférenciers et les auteurs présents se feront un plaisir de dédicacer leurs ouvrages.

Profitez de ce moment de convivialité ! Réclamez le retour des libertés ! Inscrivez-vous au 11ème weekend de la liberté.

Programme

Bulletin d’inscription à renvoyer par courrier ou en pièce jointe. Règlement par chèque ou virement : INSCRIPTION AU 11ème WEEKEND DE LA LIBERTÉ

Inscription par internet.

 

Patrick de Casanove

Président du Cercle Frédéric Bastiat

Article paru sur Contrepoints


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Les va-t-en guerre ont réussi leur coup.

Les va-t-en guerre ont réussi leur coup.

Plaidoyer pour les populations

 

 

On entend dans les médias que les Européens, les Français en particulier, vont subir les conséquences de la guerre en Ukraine. Ce n’est pas exact. Ils vont subir les conséquences des décisions prises par leurs gouvernants suite à la guerre en Ukraine.

Nous avons eu le même abus de langage avec la crise dite « sanitaire » prétendument due au coronavirus. En réalité la crise dite « sanitaire » est due aux mesures de coercition sociale, aussi aberrantes que dangereuses, prises par ces mêmes gouvernants.

Les politicien sont nocifs

Ce sont les États, donc les politiciens, qui déclenchent les guerres, pas les gens. Les gens aspirent à vivre en paix.

Le conflit que nous vivons aujourd’hui entre la Russie et l’Ukraine est dû à une succession de décisions prises, au fil de l’Histoire, par les dirigeants de ces pays, et par les dirigeants d’autres pays ayant un intérêt géopolitique, économique, stratégique à intervenir dans cette région.

Le « débat » chez les politiciens, dans les médias et sur les réseaux sociaux, tourne depuis le début de la crise, sur qui a tort et qui a raison, qui est le gentil qui est le méchant. Chaque camp appelle à la rescousse l’Histoire et la présente à son avantage pour justifier son action. Les images terribles diabolisent l’ennemi. La manipulation et la propagande battent leur plein. Le but étant que son camp soit reconnu dans son bon droit et que l’opinion publique bascule de son côté.

Les politiciens doivent toujours « faire quelque chose ». Leur grand problème est d’être accusé de ne rien faire. C’est la pire insulte. Ils sont en place pour « faire ». L’État ne sais pas « ne rien faire ».

À partir de là les politiciens et leurs affidés font n’importe quoi, perdent leur sang froid, succombent à l’émotionnel, s’agitent, l’œil rivé sur les réseaux sociaux, les médias, leur popularité. Ils sont dans leur monde. Ils se tirent la bourre. Il n’y en a pas un pour calmer l’autre. Ils suivent leurs propres intérêts : asseoir leur pouvoir, obtenir la gloire, être réélu, assouvir leur soif de puissance. Sans oublier les profits mutuels que tirent l’État et le capitalisme de connivence de leur collaboration.

Les sanctions économiques

Les sanctions économiques ce n’est pas du courage, c’est de la lâcheté. C’est l’absence du courage nécessaire pour mettre sa peau au bout de ses convictions.

 

La guerre est une spoliation et les sanctions économiques sont une spoliation légale. Elles privent des gens, qui n’y sont pour rien, de leur projet de vie, de leurs libertés, de leur Propriété, de leur Personnalité. « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric Bastiat, La Loi (1850)

Les sanctions économiques sont un moyen de coercition, comme les armes. Elles sont un véritable acte de guerre. Mais les gouvernants ont peur de la vérité et mentent à leurs populations. « Nous ne sommes pas en guerre avec la Russie »  Comme s’ils étaient effrayés et refusaient d’assumer les conséquences possibles, ultimes, eschatologiques de leurs décisions. C’est une tentative d’exorciser le caractère belliqueux de leurs actes hostiles.

 

« Nous devons tous, tous, faire un effort. Nous devons tous prendre conscience que nous entrons dans un monde nouveau, » a dit Bruno Le Maire Un sacrifice forcé est une spoliation, ce n’est pas de la solidarité. La véritable solidarité ne peut être que libre.

Les sanctions ont des conséquences néfastes sur toutes les populations des pays concernés. Ce sont elles qui trinquent. Les sanctions économiques ajoutent du malheur au malheur. Faire « crever de froid » les Européens, ruiner les Français, les Européens, les Russes ne sauvera pas un seul Ukrainien, ni un seul Russe d’ailleurs. Plonger les gens dans la misère ne mettra pas fin à la misère, ni aux souffrances dans les pays en guerre.

Au final, il n’y a pas de différence entre une usine détruite par des bombes ou des obus ennemis et une usine détruite par les sanctions économiques de son gouvernement prises, dit il, contre ses ennemis. Dans les deux cas l’usine est détruite.

Dans le premier cas c’est un acte de guerre de l’ennemi. Il y a une logique, il vous veut du mal. Dans le second cas c’est aussi un acte de guerre, mais de votre propre gouvernement. Officiellement contre l’ennemi, mais surtout contre sa propre population. En vérité c’est elle qui est sanctionnée.

Dans les faits le gouvernement qui prétend vous protéger fait plus de mal que l’ennemi qui est censé vouloir vous détruire. Votre gouvernement est plus nocif que vos ennemis. Avec un gouvernent protecteur pareil vous n’avez pas besoins d’ennemis. Votre gouvernement vous prend pour des imbéciles.

 

Par pitié ne nous protégez plus !

Protéger les Français relève de la propagande, comme lors la crise dite « sanitaire ». C’est le leitmotiv du gouvernement. « Nous avons débloqué 17 milliards d’euros de dépenses publiques pour protéger les Français » dit Bruno Le Maire 17 milliards que nous n’avons pas, pas plus que nous n’avions les 460 milliards du « quoi qu’il en coûte ». La vérité est qu’il prétend protéger les Français contre les conséquences des mesures nocives qu’il prend à leur encontre. Le mieux aurait été qu’il ne prenne pas ces mesures.

Des conséquences imprévisibles

L’Europe est dans la morale, c’est sa spécificité. Partant de là, l’Europe, est en pointe dans les sanctions mais elle n’en a pas les moyens.

Les gouvernements ont désarmé, dépensé des centaines de milliards pour « sauver la planète », rendu l’énergie rare et chère, arrêté l’économie et dépensé encore des centaines de milliards au prétexte du coronavirus. La France est un des pays européens les plus mal en point. Elle est complètement ruinée, croule sous les déficits, la dette, le chômage, son secteur marchand est faible, son industrie moribonde, une grande partie de sa population est misérable ou pas loin, sa société se délite. La France est en état de faillite totale économique, sociale et culturelle.

Le reste du monde, États-Unis en tête, est très en retrait parce qu’il est dans la réalité géostratégique. Gouverner à la moraline a des conséquences finales bien plus dramatiques que de gouverner géo-stratégiquement.

Les conséquences des sanctions économiques sur les populations iront bien au-delà que de les faire avoir froid, d’augmenter le prix des carburants ou de la nourriture. Les conséquences des sanctions économiques sont inconnues. Elles ne sont jamais circonscrites. Elles sont d’emblée mondiales. Toute l’économie risque de s’effondrer. L’Europe sera en première ligne si cela arrive. Elle est le maillon faible de ce conflit.

Il ne faut pas oublier que deuxième guerre mondiale fut une conséquence du repli sur soi, de l’autarcie et de l’effondrement des échanges internationaux.

 

Épargner les populations.

De toutes façons combats il y a, combats il y aura. Autant limiter les dégâts. Autant épargner les plus possible les populations. Les sanctions économiques n’ont pas d’efficacité sur les combats, elles ne mettent pas fin à la guerre non plus. Le moindre mal est de circonscrire le champ de bataille. Il est bien plus cohérent une fois que l’on a choisi son camp, de lui envoyer des armes…, des volontaires…, des troupes, et de préserver la liberté économique. (L’Histoire le montre Corée, Vietnam, Afghanistan….) Tout en ne cessant jamais de discuter. D’autant que des médiateurs sérieux et discrets existent Chine, Turquie, Israël, Allemagne…

La guerre c’est atroce. Mettre en jeu la vie d’un homme est une acte grave. Le seul sacrifice qui vaille est volontaire.  » Or, quand la force intervient légitimement, ce n’est pas pour sacrifier la liberté, mais pour la faire respecter. Dans quel cas l’emploi de la force est-il légitime? Il y en a un, et je crois qu’il n’y en a qu’un: le cas de légitime défense. (…) Le droit de celui dont on attaque la liberté, ou, ce qui revient au même, la propriété, les facultés, le travail, est de les défendre même par la force » Services privés, service public. (1850) Pour se battre il faut une motivation personnelle, défendre sa patrie, sa terre, sa famille. C’est pourquoi les Ukrainien nationalistes se battent bien. Les russophones en font autant.

Les politiciens changent, leur politique change avec le vent ou leur intérêt propre. Ils considèrent les gens comme des pions. Se battre pour des politiciens ne viendrait à l’idée de personne. Pourtant c’est ce qui se passe. Par patriotisme, pour défendre leur terre ou leur famille, ceux qui se défendent… se battent pour les politiciens …et sauveront peut être leur régime.

Les politiciens ne supportent jamais les conséquences de leurs actes. Ce sont toujours les populations qui subissent les répercussions de décisions qui leur échappent et à laquelle ils n’ont aucune part. Ce sont les gens qui paient la facture des fautes des politiciens. Ce sont les populations qui morflent, soit directement de la guerre, soit des sanctions économiques.

C’est pourquoi quand les gens subissent la première cause, il faut ne pas aggraver leur sort en ajoutant la seconde.

 

Trop de « grands hommes »

Ces dernières années ont été néfastes pour les libertés individuelles. L’État gouverne par la peur. Plus les gens ont peur, plus l’État les manipule, comme des marionnettes, et plus il s’étend.

Pour créer et accroître l’effroi il a fabriqué trois puissants leviers afin d’accentuer son emprise sur les individus. Ces puissants leviers sont : le réchauffement climatique, les COVID, et maintenant la guerre…la vraie.

Tous reposent sur une doxa, tous impliquent la suppression de la liberté d’expression, tous entraînent une destruction des Droits Naturels individuels universels, tous anéantissent le projet de vie des gens, tous entraînent la destruction de l’économie, en particulier du secteur marchand spécifiquement visé. Ces leviers sont complémentaires et synergiques. La peur engendrée par l’un nourrit la peur créée par l’autre. Le résultat est la soumission des populations. Le résultat est le totalitarisme.

Pour s’en sortir il faut que les gens recouvrent la responsabilité de leur vie et la liberté d’échanger.

« Il faut le dire: il y a trop de grands hommes dans le monde; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l’humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s’occuper d’elle. » Frédéric Bastiat La Loi. (1850)

 

Article paru dans Contrepoints sous le titre « Les va-t-en guerre ont gagné au détriment des populations » 

 


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