Archives de catégorie : Zap du Net

Une selection d’articles choisis sur le net par E. Bolling

LE PLUS GRAND BAL DES FAUX CULS D’EUROPE. En France le mensonge ne prête pas à conséquence!

 

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Castex : les meilleures blagues COVID de notre national Père Fouettard par Éric Verhaeghe

Alors que les hospitalisations sont reparties à la baisse, Jean Castex multiplie les interventions qui laissent les Français perplexes. Face à autant d’incohérences ou de fantaisies, il n’est pas inutile de dresser un petit catalogue des mesures les plus hilarantes prises par le gouvernement ces derniers jours pour enrayer une épidémie qui joue avec nos nerfs et épuise peu à peu notre capacité de résistance.

Jean Castex, désormais surnommé le Père Fouettard dans les rangs du gouvernement et de la majorité, multiplie les décisions dont les Français peinent à comprendre la survenue ou l’origine. Sa dernière interview dans la presse (sur Europe 1, dont nous citons l’extrait ci-dessus) en a donné un nouvel exemple.

Castex rend l’école subitement facultative

De façon plutôt surréaliste, Jean Castex a profité de son passage sur Europe 1 pour faire la promotion de l’autoconfinement, alors que la France bascule dans le couvre-feu, et pour annoncer que l’école serait finalement facultative jeudi et vendredi. Beaucoup de parents d’élèves se sont émus de découvrir cette mesure au débotté. Beaucoup d’enseignants ont peiné à déchiffrer le sens d’un message où la présence des enfants à l’école semble à la main d’une déclaration sur une antenne de radio.

En matière de déconfinement bien ordonné, on repassera en tout cas, car il ressort de tout cela une absence de ligne directrice compréhensible.

Incertitude sur la politique de test

Alors que le gouvernement lance des dépistages massifs dans plusieurs villes de France, Jean Castex a donc fait la promotion de l’auto-confinement en soulignant la relativité des tests. Selon le Premier Ministre, tout le monde aurait intérêt à s’auto-confiner huit jours avant Noël plutôt que de se faire tester.Mais il s’agit d’une suggestion du Père Fouettard, certainement pas d’une obligation.

Bref, faut-il se faire tester ou pas ? On ne sait plus très bien.

On a perdu le soldat Véran

Une chose est sûre, la rondeur approximative du Premier Ministre tranche fortement avec la rigueur martiale d’Olivier Véran, qui boude officiellement le Parlement depuis son coup de sang à l’Assemblée où il avait ordonné aux députés contestataires de quitter l’hémicycle. Gérard Larcher s’en est même ému et s’est fendu d’un courrier au Premier Ministre où il dénonce Véran et Le Maire pour leurs absences devant les représentants de la Nation. Il semblerait que Jean Castex ait conseillé à Véran de ne pas se soustraire à ses obligations constitutionnelles.

Au passage, un député de la majorité aurait pointé du doigt l’arrogance du ministre de la Santé.

« Véran est irrévérencieux, il a pris le melon. Il est totalement dédaigneux. »

Un député de la majoritéTweet

Catastrophe sanitaire en haute montagne ?

Au fil du temps, la politique sanitaire de Castex paraît en tout cas étrangement contre-productive. On se souvient que le Premier Ministre a annoncé l’ouverture des stations de ski (sans restaurant) mais la fermeture des remontées mécaniques. Mal lui en a pris : les stations de ski connaissent dès maintenant une affluence record. Et comme les pistes sont fermées, les touristes s’entassent dans des stations qui deviennent autant de clusters potentiels. Quelle peut être la cohérence de ce dispositif ? Là encore, le doute est semé.

Mais quand interviendra la fin du confinement ?

Dans ce grand désordre de l’action gouvernementale, le Premier Ministre a commencé à préparer les esprits à un maintien de la fermeture des restaurants et des bars en janvier. Ce flou entretient forcément le doute sur la fin du confinement lui-même. Interviendra-t-elle ou non l’an prochain ? La gestion par l’incertitude continue.

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ENCORE UNE PETITE DOSE DE « COMPLOTISME »

Nous vous le disions nous arrivons dans le monde d’ORWELL, Soleil vert n’est pas loin.
Choisissez votre avenir…

https://www.facebook.com/olivier.probst.9/videos/10223416438103605

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RAPIDE PETIT TOUR CHEZ LES ENARQUES…

https://www.facebook.com/bernjoce/videos/235614877923534

POUR NOUS CE N’EST PAS NOUVEAU…

Bercy, l’Empire du mal et la citadelle de tous les abus !

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POURQUOI LE PROFESSEUR FOURTILLAN A-T-IL ETE INTERNE?

Encore un épisode de la guerre contre big-pharma?

 

https://www.facebook.com/Inedie/videos/10218743856489416

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ENCORE UN COMPLOT CONTRE BIG PHARMA?

https://www.facebook.com/310369155705996/photos/a.463666643709579/3552347958174750/

Une militante anti-vaccin qui a fondé Learn the Risk a été retrouvée morte par son fils de neuf ans.
La nouvelle de la mort de Brandy Vaughan a commencé à circuler mardi, mais la date n’a pas été confirmée.

Brandy Vaughan est morte de causes inconnues

Vaughan était une militante anti-vaccination qui a fondé l’association californienne Learn the Risk.

Sur sa page Facebook, elle se décrivait comme « une ancienne initiée de l’industrie pharmaceutique qui a pour mission de créer un monde plus sain, une personne à la fois, en éduquant sur les risques réels des médicaments et vaccins pharmaceutiques ».

Lorsqu’elle travaillait dans l’industrie pharmaceutique, Brandy a vendu du Vioxx, un analgésique qui, selon sa biographie Learn the Risk, doublait les risques d’accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques.

L’analgésique a ensuite été retiré du marché.

« De cette expérience, j’ai réalisé que ce n’est pas parce que quelque chose est sur le marché qu’il est sans danger », a déclaré Brandy.

« Une grande partie de ce que nous dit l’industrie de la santé n’est tout simplement pas la vérité.

Elle a ensuite passé huit ans en Europe où elle a pu constater que les soins de santé sont très différents de ceux des États-Unis.

De retour aux États-Unis avec un fils non vacciné, elle a été intimidée dans le cabinet d’un pédiatre lorsqu’elle a posé des questions que tous les parents devraient poser, comme « Quels sont les ingrédients de ces vaccins », lit-on dans sa biographie.

« Comment se fait-il que les enfants d’autres pays soient en meilleure santé, mais reçoivent beaucoup moins de vaccins ? »

******

Scandale au laboratoire Merck, Brandy Vaughan avoue tout

Lors du rassemblement en faveur de la liberté vaccinale le 9 Septembre 2017 à Paris, nous avons rencontré Brandy Vaughan, anciennement cadre de haut niveau chez Merck, l’un des plus puissant groupe pharmaceutique de la planète qu’elle a quitté après avoir compris que le Vioxx, médicament qu’elle avait participé à commercialiser, avait finalement causé la Mort de plusieurs centaine de milliers de patients à travers le monde.

Questions :

Vous avancez que Merck connaissait parfaitement la dangerosité du Vioxx et que la compagnie a sciemment masqué ces données de létalité, vous confirmez à ce jour ?
Vous avancez que les vaccins sont moins testés que les médicaments avant leurs mises sur le marché ?
Le Président Trump avait promis une enquête fédérale autour du lien supposé entre l’autisme régressif et la vaccination précoce par le ROR, où en êtes-vous aujourd’hui ?
Les USA se débattent avec une controverse scientifique qui fait rage, la pertinence d’une vaccination anti varicelle, la France est provisoirement épargnée qu’en pensez-vous ?

https://www.mondialisation.ca/lactiviste-anti…/5652047

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Les forces de l’ordre en question…

Cela interpelle quand même…

https://www.facebook.com/RTFrance/videos/4669212149820867

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LE « VIEUX » SCANDALE DES PREFETS: Combien de préfets sont ils payés 10.000€ par mois sans travailler ?

Combien de Préfets sont-ils payés à rester chez eux, avec un salaire confortable financé sans contrepartie par le contribuable ? Le député centriste Christophe Naegelen a posé la question au gouvernement en 2020, et la réponse que lui a fournie le ministre de l’Intérieur mérite d’être lue à tête reposée. Nous soutenons ici qu’un préfet sur six environ (voire un sur cinq…), soit de 15% à 20% des effectifs, est en position de chômage déguisé, avec une rémunération d’environ 10.000€ nets par mois. Nous avons interrogé le député Naegelen sur tous ces points.

Pour que la discussion soit parfaitement intelligible, il faut sans doute rappeler ici la réponse du ministre de l’Intérieur à la question posée par le députée Naegelen le 3 mars 2020.

Au 15 septembre 2020, 131 préfets n’exercent pas en administration préfectorale : – 15 sont membres du conseil supérieur de l’appui territorial et de l’évaluation ; – 5 sont conseillers du Gouvernement ; – 12 sont détachés sur des emplois supérieurs (secrétaire général d’un ministère, directeur d’administration centrale, délégué ministériel) au sein du ministère de l’Intérieur ; – 52 sont en services détachés hors du ministère de l’intérieur, en disponibilité ou mis à disposition ; – 7 sont préfets chargés d’une mission de service public relevant du Gouvernement ; – 6 sont affectés en cabinet, soit au sein du cabinet du Président de la République, du cabinet du Premier ministre, soit dans un autre ministère ; – 15 sont chargés d’une mission au sein de l’administration centrale du ministère de l’Intérieur ; – 19 sont en transition professionnelle, dont 3 feront valoir leurs droits à la retraite d’ici la fin de l’année 2020 et 6 retrouveront prochainement une mission, sont chargés de mission auprès du secrétaire général du ministère de l’Intérieur. Ils représentent 7 % des effectifs du corps préfectoral et 5,95 % de la masse salariale.

Petit exercice d’arithmétique sur les Préfets en chômage déguisé

La France compte entre 250 et 300 Préfets, mais la moitié environ ne sont pas affectés « en administration préfectorale ». Selon le ministère de l’Intérieur, ils sont 131 « en dehors » de cette administration.

On remarquera que le ministère de l’Intérieur évite de donner la proportion précise au 15 septembre 2020 de ces Préfets qui ne sont plus Préfets.

Faisons notre exercice d’arithmétique :

  • sur 131 Préfets en « suspension », 6 préfets sont affectés en cabinet ministériel
  • 52 sont « ailleurs », soit hors du ministère (les détachés), soit dans le privé (les disponibilités), soit dans des organismes qui les font travailler sans les payer (des mis à disposition, auquel le Préfet est payé par le ministère avec remboursement ou non de l’organisme qui l’accueille) ;
  • 5 sont « conseillers du gouvernement »
  • 12 occupent des fonctions supérieures au ministère de l’Intérieur, notamment des postes de direction,

75 Préfets (soit un peu plus de la moitié des effectifs qui ne sont plus dans la préfectorale) sont donc réellement employés ailleurs que dans la préfectorale. Ceux-là ne posent pas de problème.

Puis, il y a ceux sur qui on a des doutes. Il s’agit des :

  • 15 Préfets membres du conseil supérieur de l’appui territorial et de l’évaluation. Cet organe obscur est chargé de l’évaluation des Préfets en poste et de sous-préfets. Ce volume de 15 Préfets parait énorme pour cette mission et tout laisse à penser (mais nous voudrons bien admettre le contraire s’il venait à être prouvé) que ces 15 Préfets ne sont pas débordés au jour le jour ;
  • 15 Préfets sont « chargés de mission » au sein du ministère. Le ministre de l’Intérieur ne donne pas plus de détail sur leur activité. Mais enfin, a-t-on besoin de fonctionnaires payés 10.000€ par mois pour assumer des tâches de gratte-papiers ?  Notre conviction est qu’il s’agit là, majoritairement, de tâches occupationnelles destinées à éviter que ces Préfets ne soient payés à ne rien faire.

Voilà donc 30 Préfets dont nous sommes convaincus que l’on pourrait fortement réduire le nombre, tant les effectifs paraissent surévalués par rapport aux besoins réels.

Puis il y a des Préfets qui sont à proprement parler en position de ne rien faire :

  • 7 Préfets sont chargés d’une mission de service public relevant du Gouvernement, appellation pudique bien connue qui cache un chômage déguisé, la mission de service public étant une coquille vide,
  • 19 Préfets sont en transition professionnelle, dont 3 tout au bord de la retraite et 6 en voie de retrouver une affectation.

Ces 26 Préfets sont, pour le coup, des chômeurs déguisés, payés 10.000€ par le contribuable sans affectation correspondant à leur salaire et à leur fonction.

Nous dénombrons donc un total de 56 Préfets dont on voit mal pourquoi ils ne font pas l’objet, dans l’écrasante majorité des cas (c’est-à-dire pour 50 d’entre eux au moins) d’une loi de dégagement des cadres les rendant à la place qui leur revient : demandeurs d’emploi dans ce splendide organisme public que le monde nous envie, Pôle Emploi.

6 millions € gaspillés chaque année

Si l’on fait un rapide calcul, on notera que le coût global d’un Préfet à l’année est d’au moins 120.000€ hors pensions. Nous estimons donc à 6 millions € annuels le gaspillage des fonds publics causés par le recours au chômage déguisé pour des Préfets protégés par leur statut, et donc inamovibles. Comme disait le Préfet Lallemand, nous ne sommes pas dans le « même camp ».

https://www.youtube.com/48d617df-97d7-4336-9c7c-1e7ae3261fcc

Combien de préfets sont payés 10.000€ par mois sans travailler ?

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BIGARD ET LE VACCIN…

Brut de décoffrage!
Perso j’ai 72 ans et je ne souhaite absolument pas me faire vacciner.
Merci beaucoup!

https://www.facebook.com/levraijeanmariebigard/videos/222354069340747

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Violences policières : la confiance des Français envers les forces de l’ordre s’effondre

Le fossé se creuse de plus en plus entre les Français et leurs forces de l'ordreAprès des semaines marquées par des affaires de violences policières qui ont secoué le pays, un sondage est paru ce mercredi, confirmant que la confiance des Français envers leurs autorités s’érodait fortement.

La confiance en la police continue de fortement baisser parmi les Français, tombant à 60% en ce mois de décembre (-9 points en six mois, -16 points par rapport à avril 2019), selon un sondage Elabe pour BFMTV diffusé ce mercredi 2 décembre. Le clivage s’accentue, alors que 39% des personnes interrogées (en hausse de 8 points par rapport à juin, et + 15 points par rapport à avril 2019) disent ne pas avoir confiance en la police, tandis que 1% des sondés ne se prononcent pas.

Interrogés sur les violences policières, les sondés considèrent à 64% qu’elles sont « marginales et le fait d’une minorité de policiers qui agissent seuls », alors que 35% pensent le contraire (1% sans opinion). S’agissant de l’article 24 du texte de loi « sécurité globale », ils sont 49% à y être opposés, et 35% à y être favorables. 16% n’ont « pas d’avis ».

L’usage excessif de la violence dans le viseur

Si les personnes interrogées estiment en grande majorité que la police est « régulièrement la cible de violences et d’insultes » (87%), « protège la population »(73%), « fait respecter la loi » (68%) et « fait bien son travail (64%), elles sont partagées sur la question de « l’usage excessif de la violence lors des manifestations » (52% le pensent, 48% pensent le contraire).

Les sondés considèrent en outre à 58% que la police n’est pas « exemplaire », 34% considèrent qu’elle est raciste, quand 65% pensent le contraire (1% sans opinion). Quant à la justice, la défiance est largement majoritaire. 58% des sondés (+ 9 points en six mois) n’ont pas confiance en la justice, 41% (-10 points) ayant confiance (1% sans opinion). Par ailleurs, les deux tiers des personnes interrogées (66%) n’ont pas confiance dans le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, 33% ont confiance (1% sans opinion).

Des résultats qui ne peuvent pas être dissociés des récentes affaires de violences policières, sachant que l’étude a été réalisée par internet du 1er au 2 décembre, soit après la diffusion des images du passage à tabac du producteur de musique Michel Zecler, par des policiers à Paris.

https://www.ladepeche.fr/2020/12/02/violences-policieres-la-confiance-des-francais-envers-les-forces-de-lordre-seffondre-9233960.php?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1606980931&fbclid=IwAR3zX2DpsFxUbTeYQJyEokPCH0Benhy-0O7Cpw

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AU SUJET DU FILM HOLD UP

AU SUJET DU FILM HOLD UP :
Très beau texte publié dans France soir par un psychanalyste :
C’est comme si ce « Hold-Up » avait réveillé les dormeurs et les endormis, agissant comme un catalyseur ou un révélateur, à l’instar d’un cauchemar qui réveille le dormeur pour l’empêcher de continuer son rêve dérangeant trop intense, comme si ce qui est exposé dans le film pouvait tout d’un coup être plausible, envisageable, chose inacceptable et insoutenable pour une conscience formatée et docile.
Car si cette version, qui n’est qu’une hypothèse de travail dans le film puisqu’elle est proposée comme telle dans le but de faire réfléchir autrement, si ce narratif alternatif tient la route ne fusse qu’une seule seconde, alors elle devient crédible. Mais elle fait peur et elle effraye tellement qu’elle provoque chez de nombreuses personnes un rejet violent qui n’est en fait rien d’autre qu’un mécanisme de défense du moi sous forme de déni de réalité, le fameux « je n’en veux rien savoir », trop dangereux à envisager.
Car enfin, restons logiques et sérieux un moment : si ce film n’est qu’un ramassis de délires conspirationnistes complotistes débités par des personnes non crédibles tenant des propos ridicules et mensongers non sourcés, où est alors le souci ? Il eût suffi de laisser pisser le mouton et de l’ignorer.
En réalité, en y regardant bien, il y a un rapport « inversement » proportionnel entre les deux narratifs, plus l’officiel est contesté de manière appuyée, logique et efficace plus les réactions sont « virulentes » et virales, normal en régime covidien, et plus les « complotistes » semblent entendus et suivis, semant la peur et la panique chez les adhérents et les ayatollahs du régime covidien qui se sentent menacés dans leur certitudes et qui n’attendent que le vaccin en étant persuadés de pouvoir revivre comme « avant », ce qui n’est qu’un mensonge et une illusion pour toute personne un peu intelligente et avertie car il n’y aura plus JAMAIS de retour en arrière à une vie « normale telle que nous l’avons connue », c’est un fait avéré et vérifiable, nous avons changé de norme sociale et politique pour une longue durée indéterminée.
Quand on pense que cette presse officielle fabrique et propage la peur et l’angoisse tous les jours en ré-écrivant le cours de cette épidémie, en biaisant les données biostatistiques pour consolider leur narratif effrayant de manière servile, on est en droit de leur demander qui fait réellement peur et qui est vraiment dangereux, eux ou les « complotistes » ? Qui fait du mal à qui ?
N’est pas complotiste qui veut.
Ainsi, dans un subtil retour du boomerang, les complotophobes qui produisent tant d’efforts quotidiens pour construire et alimenter le narratif officiel apocalyptique du covid et qui sont les alliés de ce régime biopolitique-techno-sanitaire autoritaire inique, récoltent ce qu’ils ont semé et reçoivent en pleine figure ce qu’ils ont envoyé depuis plus de six mois.
Qui sème le vent récolte la tempête. Le vent s’est levé et la tempête ne fait que commencer, soulevant une houle et des vagues de raison sur l’océan du Covid-(19(84).
Attention, ça va tanguer.
Michel Rosenzweig
Philosophe et psychanalyste
Merci Rosemarie Richard
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GEORGE ORWELL et ALDOUS HUXLEY, plus que jamais d’actualité! Une réalité?

https://www.youtube.com/watch?v=8lHcq-jaMr0

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VIOLENCES POLICIÈRES : DEUX HAUTS FONCTIONNAIRES DISENT LEURS VÉRITÉS. merci à la prochaine loi sécurité globale!

A vous de juger…

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LE NOUVEL HYMNE A LA LIBERTE.

Va-t-il remplacer la Marseillaise?
A écouter, ça remue les tripes.
Chanson intelligente…

https://www.facebook.com/laurent.duval.37201901/videos/222674365872223

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LA MORT D’UN EX-GEANT: GIBERT JEUNE NE SE RELEVERA PAS.

C’est encore un « pan » du monde d’avant qui est en train de s’écrouler dans l’indifférence générale.
Chez Gibert Jeune j’y acheté, quand je n’avais pas d’argent, des tonnes de livres en occase: les œuvres complètes de Zola et d’Agatha Christie, et combien d’autres…

GIBERT JEUNE va fermer …
Un crime ordinaire d’une légende .
Un voyage vers le cimetière des éléphants
Chronique annoncée de la mort d’un temple élevé à la vertu du savoir, du pourquoi en échange de pistes cyclables…
Nous y allions chercher, écouter au casque une galette posée sur une platine à courroie Lenco. Nous croisions et saluions des 33 T rarissimes , des imports, fouillant les bacs et nous interpellant d’un coin à l’autre de ce temple baroque dévolu à une seule déesse, une seule muse , la culture ….
Et puis il y avait toutes ces petites librairies thématiques , dont une où je me régalais , l’ésotérisme et les sciences humaines .
Je suis aussi longtemps descendu dans cet hôtel qui jouxtait la place Saint Michel, passage des Hirondelles connu par les jeunes citoyens du monde et les routards. Les émotions et les les caresses, les questions. Les réponses avant même les questions !
Francoise en était la grande prêtresse.
Dans ma mémoire, du fond de ma mémoire , cet hôtel particulier fut un cadeau de François premier fait à sa maîtresse …
J’ai souvent flâner – d’une échoppe en papier et encre à l’autre – à Saint Michel passant tout prêt de jeunes femmes et hommes qui s’essayer au hip-hop, je posais un regard sur le dragon de pierre terrassé par Saint Michel . De cette lutte naquit une fontaine hausmanienne et grandiloquente ! Mais finalement cette perspective cavalière lui donne un sens.
Cette mythique devanture jaune et ses étalages de livres et de disques sur lesquels s’arrêtent toujours les chalands font de la librairie Gibert Jeune un lieu merveilleux du quartier latin.
Je dis merveilleux, mais n’est-ce pas une étape sur le chemin de Compostelle , une marche de la quête du Graal, un arrêt, un refuge sur la route taillée dans l’hostile modernité, vers la connaissance et le savoir. Il s’agit pas d’un savoir perfusé par les mêmes canaux, les mêmes logiciels, la même pensée unique « totémisée » par le peuple abêti. Il s’agit d’une soif, d’un plaisir , d’odeurs de vélins et de vinyles qui chatouillent nos narines et nos papilles impatientes. Qui ne se souvient de cette escalier kitch et jaune qui montait aux étages ?
Ici les étudiants et les brocanteurs, les chercheurs et les chats perchés avaient l’habitude de se presser pour dénicher des livres d’occasion ou pas, des albums improbables , à deux pas des quais de Seine investis par les bouquinistes mais aussi par la librairie anglophone Shakespeare & Company.
Vous l’aurez compris, l’amour du livre, c’est ce qui fait l’âme de Saint-Michel mais aussi du quartier latin. Les amoureux aussi se pressaient se serraient , échangeaient leurs lèvres et leurs envies de corps de musique et de littérature. Leurs mains se baladaient dans les bacs et sur les rayonnages et sur les corps doucement, apeurées et pressées.
Jacques Servia
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A PROPOS DE HOLD UP…

Même si ce film n’est pas sans tache, il n’empêche qu’il met la macronie en panique. C’est déjà ça.

L’image contient peut-être : une personne ou plus

Covid-19(84) saison 3 épisode 1: l’empire des complotophobes contre-attaque.
Depuis la première vague du tsunami thanatophobe qui n’en finit pas de submerger nos vies, voilà une nouvelle vague qui déferle à présent depuis la sortie du film Hold-Up : celle des complotophobes qui se déchaînent en meutes depuis la sortie du documentaire le 11/11à 11h.
En France comme en Belgique, les chaînes de propagande sortent leurs arsenaux et leurs contre-mesures à coups de ré informations et de débunking. Chacun y va de sa plume acérée, style infantilisant et scolaire proverbial en Belgique avec ses copistes promus au rang de covid-commissaires toujours friands de métaphores stupides à deux balles promulguant leurs conseils aux pauvres âmes égarées avec des modes d’emploi et des notices boîte anti complotistes prêts à être utilisés en famille autour du sapin virtuel, dans le sillage de la lettre adressée par deux ministres (santé et intérieur) à Saint-Nicolas sans oublier le déjà très célèbre virologue Van Laethem qui nous a gratifié d’un sketch viral hallucinant que ne renieraient pas les inconnus.
En France le style a toujours plus de panache et France Culture nous a gratifié de deux minutes d’entretien dans lequel l’universitaire Tristan Mendès France essaye de discréditer le film à coups d’accusations parsemées du mot « complotiste » comme autant de perles enfilées comme un chapelet en guise d’antidote.
Vade retro satanas, les cohortes de prêtres guerriers sanitaires sont lâchées dans une croisade anti complotiste, chassant sur les terres des mécréants et des apostats qui refusent obstinément de rentrer dans le rang, résistant de toute leur raison et de toutes leurs facultés de juger, refusant d’abdiquer leur sens critique, leur bon sens et leur intelligence, rejetant avec obstination l’abjuration qui leur est réclamée avant l’excommunication et la mort sociale et professionnelle définitive.
On se croirait vraiment entre Star Wars et Lord of the Ring en se demandant si le sénateur Palpatine et le Jedaï Skywalker ne vont pas croiser bientôt Gandalf et Gollum en sortant de la pellicule numérique dans un combat entre le Bien et le Mal où la lumière lutte contre les ténèbres.
Complotiste.
Ils n’ont que ça à la bouche depuis la sortie du film, ils, les détenteurs de la vérité du récit, les chiens de garde du narratif officiel du Covide et Ils ont peur, et leur peur les pousse à sortir du bois jusqu’à en perdre leur sang-froid pour certains, comme Mme Ilana Cicurel, eurodéputée et porte-parole de LAREM qui décompensait hier en mode hystérique sur le plateau de CNEWS face à la journaliste Sonia Mabrouk qui l’a fermement recadrée.
Mais de quoi ont-ils peur au juste et pourquoi tant de réactions épidermiques exacerbées, oui pourquoi tant de haine même, comme si il y avait réellement le feu au lac, péril en la demeure?
De quoi donc cette peur est-elle constituée et de quoi nous parlent les croisés enragés de la foi du Covide qui tiennent tant à défendre leur dogme incontestable, ne supportant aucune contradiction ni aucune remise en question.
C’est là où il est utile de convoquer l’inconscient, car quoi qu’on puisse en penser, nous sommes encore tous et toujours gouvernés par ce continent immergé décrit par le père Freud il y a un siècle.
Ce qui est frappant depuis ces dernières 24h, c’est l’embrasement des réactions des complotophobes et leur acharnement parfois violent contre les protagonistes du film.
On a vraiment le sentiment que ce documentaire les a atteints au « bon » endroit, au lieu-même de leurs conflits névrotiques, au centre de leur QG stratégique, au cœur du réacteur nucléaire de leurs émotions contradictoires inconscientes, inavouables, indicibles, refoulées.
Comme si leur discours et leurs convictions avaient été frappés de plein fouet par un missile conceptuel dangereux, cet autre narratif du Covide qui aurait atteint sa cible, touchée coulée, comme si leur logiciel avait été infecté par un virus dangereux mettant en péril l’édifice conceptuel officiel, pulvérisant leurs croyances en générant un sentiment d’insécurité allant même jusqu’à la panique et la crise d’angoisse.
Comme si ce Hold-Up avait réveillé les dormeurs et les endormis, agissant comme un catalyseur ou un révélateur, à l’instar d’un cauchemar qui réveille le dormeur pour l’empêcher de continuer son rêve dérangeant trop intense, comme si ce qui est exposé dans le film pouvait tout d’un coup être plausible, envisageable, chose inacceptable et insoutenable pour une conscience formatée et docile.
Car si cette version, qui n’est qu’une hypothèse de travail dans le film puisqu’elle est proposée comme telle dans le but de faire réfléchir autrement, si ce narratif alternatif tient la route ne fusse qu’une seule seconde, alors elle devient crédible. Mais elle fait peur et elle effraye tellement qu’elle provoque chez de nombreuses personnes un rejet violent qui n’est en fait rien d’autre qu’un mécanisme de défense du moi sous forme de déni de réalité, le fameux « je n’en veux rien savoir », trop dangereux à envisager.
Car enfin, restons logiques et sérieux un moment: si ce film n’est qu’un ramassis de délires conspirationnistes complotistes débités par des personnes non crédibles tenant des propos ridicules et mensongers non sourcés, où est alors le souci?
Il eut suffi de laisser pisser le mouton et de l’ignorer.
En réalité, en y regardant bien, il y a un rapport « inversement » proportionnel entre les deux narratifs, plus l’officiel est contesté de manière appuyée, logique et efficace plus les réactions sont « virulentes » et virales, normal en régime covidien, et plus les « complotistes » semblent entendus et suivis, semant la peur et la panique chez les adhérents et les ayatollahs du régime covidien qui se sentent menacés dans leur certitudes et qui n’attendent que le vaccin en étant persuadés de pouvoir revivre comme « avant », ce qui n’est qu’un mensonge et une illusion pour toute personne un peu intelligente et avertie car il n’y aura plus JAMAIS de retour en arrière à une vie « normale telle que nous l’avons connue », c’est un fait avéré et vérifiable, nous avons changé de norme sociale et politique pour une longue durée indéterminée.
Quand on pense que cette presse officielle fabrique et propage la peur et l’angoisse tous les jours en ré écrivant le cours de cette épidémie en biaisant les données biostatistiques pour consolider leur narratif effrayant de manière servile, on est en droit de leur demander qui fait réellement peur et qui est vraiment dangereux, eux ou les « complotistes »? Qui fait du mal à qui?
N’est pas complotiste qui veut.
Ainsi, dans un subtil retour du boomerang, les complotophobes qui produisent tant d’effort quotidien pour construire et alimenter le narratif officiel apocalyptique du covide et qui sont les alliés de ce régime biopolitique techno sanitaire autoritaire inique, récoltent ce qu’ils ont semé et reçoivent en pleine figure ce qu’ils ont envoyé depuis plus de six mois.
Qui sème le vent récolte la tempête. Le vent s’est levé et la tempête ne fait que commencer, soulevant une houle et des vagues de raison sur l’océan du Covid-(19(84).
Attention, ça va tanguer.
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LA CENSURE DE LA VERITE EST EN MARCHE…

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Lettre d’encouragement à nos bureaucrates  Par Michel Richard

Distances, horaires, jauges, protocoles, règles et dérogations, la bureaucratie donne à plein. La crise lui profite. Mais à qui la faute ?

Distances, horaires, jauges, protocoles, regles et derogations, la bureaucratie donne a plein. La crise lui profite. Mais a qui la faute ?
Distances, horaires, jauges, protocoles, règles et dérogations, la bureaucratie donne à plein. La crise lui profite. Mais à qui la faute ? 
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Limiter la diffusion d’images des forces de l’ordre : une idée liberticide par Pierre Farge

La dernière loi de « sécurité globale » en discussion au Parlement prévoit un article 24 interdisant la captation d’images sur le terrain lors des opérations de maintien de l’ordre. Pierre Farge, avocat, nous explique pourquoi cette idée est liberticide.

Dans le contexte de restrictions des libertés lié à la crise sanitaire, cet amendement n’est-il pas préoccupant ? Est-il prévu de mettre un couvercle définitif sur les violences policières ? Nos libertés civiles sont-elles en danger ?

Une loi ne doit jamais être votée pour obéir à l’urgence de l’actualité. Encore moins suivre une tendance générale comme en témoigne ces jours-ci l’intitulé lui-même de cette proposition de loi de « sécurité globale ».

Ces mots à la mode placés en titre d’un texte de loi sont en effet à l’image de l’amendement prévoyant rien de moins que la modification d’une loi existant depuis près d’un siècle et demi, à savoir la loi de 1881 sur la liberté de la presse.

À l’occasion des mouvements sociaux actuels et de l’engagement des forces de l’ordre pour tenter de préserver l’ordre public, certaines d’entre elles ont été filmées durant leur mission avant d’être menacées jusqu’à leur domicile.

Et pour cause. Les menaces envers les forces de l’ordre suite à la diffusion d’images sur les réseaux sociaux les rendent facilement identifiables, et les transforment, elles et leur famille, en cibles potentielles générant une inquiétude légitime. Cela dit, pour répondre à cet état de fait, l’interdiction de prendre toute photo ou vidéo n’est pas la solution.

RISQUES ET DÉRIVES MULTIPLES

1) Tout d’abord, rappelons que rejoindre les forces de l’ordre requiert un engagement hors du commun, un serment, et un goût du risque obligeant d’accepter une certaine menace, qu’on le veuille ou non, autorisant à ce titre le port d’une arme pour se défendre. Il y a donc dès le départ un risque assumé, et un pouvoir exceptionnel pour y faire éventuellement face.

2) L’amendement est ensuite critiquable en tant qu’entrave à la liberté d’informer, qui n’est pas le privilège des journalistes, mais de chacun ; ainsi un moyen légal d’empêcher la captation d’images de violences policières revient à limiter ce droit à l’information, voire les sources mêmes de nos journalistes.

Dans ce sens, la Défenseure des droits, Claire Hédon, s’est dit « particulièrement préoccupée » par cette disposition qui ne doit pas « entraver ni la liberté de la presse, ni le droit à l’information ».

Et de rappeler que « l’information du public et la publication d’images relatives aux interventions de police sont légitimes et nécessaires au fonctionnement démocratique ».

3) Cette pénalisation souhaitée provoquerait des inégalités entre les forces de l’ordre et le commun, interdisant par exemple à un justiciable de faire valoir sa bonne foi devant un tribunal grâce à une vidéo face à un débordement policier ; combien de bavures ont pu être révélées grâce à un enregistrement vidéo ou quelques photos de violences ? Combien de prévenus ont pu être relaxés grâce à des images faisant bénéficier du doute ?

4) Inversement, combien de policiers ont pu être mis hors de cause grâce aux vidéos de témoins filmant sur le vif car ils n’avaient pas à craindre de poursuites pénales pour des images qu’ils prenaient dans l’urgence d’une situation de crise, et de légitime défense ?

5) Si l’on suit le raisonnement du législateur, cet amendement remettrait aussi en cause le principe selon lequel la preuve au pénal est libre, autorisant tout moyen de preuve quel qu’il soit ; il interdirait donc par exemple l’exploitation d’une vidéo déterminante dans l’issue d’un procès au prétexte qu’un policier y figurerait à un moment ou un autre.

6) Il est aussi complètement paradoxal d’équiper nos villes de millions de caméras, « pour notre sécurité », et de refuser l’utilisation de celles de nos téléphones, encore plus proches des faits.

7) Il est encore plus paradoxal de généraliser l’usage de la dashcam : cette caméra embarquée dans les voitures se généralise de plus en plus en France, et est devenue la norme dans certains pays asiatiques.

Elle peut réduire le montant de votre assurance dès lors qu’elle permet de trancher la responsabilité dans le cadre d’un accident de la route. Peut-on imaginer que cette vidéo soit inexploitable en justice au prétexte que les services de police sur les lieux de l’accident seraient identifiables ?

8) Quel contre-pouvoir reste-t-il face au monopole de la violence légitime théorisé par Max Weber : les policiers étant assermentés, leur verbalisation fait foi, notamment face au Code de la route prévoyant qu’un agent verbalisateur puisse relever le numéro d’immatriculation d’un véhicule dont le conducteur a commis une infraction et dresser un procès-verbal, sans procéder à une interpellation ?

Face aux prérogatives dont disposent les forces de l’ordre et qui constituent donc un risque d’arbitraire, il semble légitime qu’elles ne puissent pas s’opposer à l’enregistrement de leur image permettant au citoyen de prouver sa bonne foi.

9) Si les services de police ne souhaitent pas être reconnus, rien n’interdit qu’ils utilisent une cagoule anti-feu. Depuis 2016, à la suite de jets de cocktail molotov à Viry-Châtillon, les forces de l’ordre disposent en effet de cagoules utilisées en général contre les gaz lacrymogènes lors des manifestations.

Pour d’autres raisons, tenant notamment à la sensibilité de sa mission antiterroriste ou de contre-espionnage, le GIGN, pourtant objet de la protection des forces spéciales en matière de diffusion d’image conformément à l’arrêté du 7 avril 2011 relatif au respect de l’anonymat, procède déjà à l’usage de la cagoule.

UN AMENDEMENT SANS AUCUN SENS

Cet amendement va donc aux antipodes de l’engagement même des forces de l’ordre.

Il s’inscrit exactement à l’inverse du sens de l’Histoire, et notamment de la digitalisation inéluctable de nos vies.

Il se révèle même dangereux pour les libertés publiques et il est liberticide comparé au monopole de violence légitime dont dispose déjà l’État, que ce soit face aux risques d’abus policiers lors de manifestations, ou d’arbitraire pour faire appliquer le Code de la route.

Il est donc tout simplement absurde.

Dans ces conditions, les parlementaires à l’origine de cette fantaisie feraient mieux de veiller à ce que la justice

  • applique la circonstance aggravante déjà prévue pour les violences commises sur une personne dépositaire de l’autorité publique,
  • mais aussi raccourcisse les délais d’audiencement des forces de l’ordre qui sont victimes,
  • de même que revoie leur barème d’indemnisation, à ce jour complètement décorrélé de la réalité du préjudice.

En tout état de cause, prétexter ainsi la sécurité illusoire des forces de l’ordre pour éloigner les preneurs d’images et sacrifier la liberté d’information au prétexte de la sécurité des forces de l’ordre, rappelle ce mot de Benjamin Franklin : « Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité n’est digne ni de l’un ni de l’autre, et finit par perdre les deux. »

https://www.contrepoints.org/2020/11/07/383802-limiter-la-diffusion-dimages-des-forces-de-lordre-une-idee-liberticide
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Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose. Nous sommes tous manipulés pour obéir.

Réveillez-vous.
Les élites gouvernementales vous bernent depuis des mois pour le covid.
Les fonctionnaires nous dirigent et installent une véritable dictature.
Réveillez-vous:

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LES VRAIS CHIFFRES SELON L’INSEE. SANS DISCUTION…

Historique de mortalité des mois de janvier à septembre pour la France métropolitaine (source Insee).
Je suis enfin tombé sur une page du gigantesque site de l’Insee où figurent les données que je voulais découvrir. J’ai regroupé les années 2012 à 2020 dans le tableau joint (les valeurs 2020 sont visiblement encore des estimations puisque l’Insee les a arrondies à la centaine près). Lien vers la source Insee : https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/000436394
Remarque préliminaire : Du fait du vieillissement de la population consécutive au baby boom de l’après Seconde Guerre mondiale, la mortalité tend à notre époque à augmenter naturellement comme le montre les cumuls du tableau ci-dessous qui, pour les années 2012 à 2019, affichent une hausse moyenne des décès de 4 100 par année sur la période cumulée de janvier à septembre.
Ainsi la valeur 2020 devrait être le plus probablement d’environ 450 000. On observe en réalité environ 20 000 décès de plus que ce nombre, ce qui représente une surmortalité de 4,5%. Y a-t-il de quoi affoler les foules, confiner deux fois, mettre l’économie, les petits commerces, etc. à terre ? Le remède doit certainement être bien pire que le mal.
En avril, la mortalité 2020 est en effet un très net record par rapport au même mois des années précédentes. Mais si l’on regarde la mortalité de janvier 2017 elle était encore supérieure d’un millier. Je ne me souviens pas que l’on y ait apporté une attention particulière à l’époque et encore moins affolé la population.
S’il y a une mortalité hors norme, ces chiffres semblent montrer que ce n’est pas vraiment du côté de la Covid, mais plutôt du côté des décès de lits d’hôpitaux. Alors que, encore une fois, la population est vieillissante et demande donc plus de soins, on a diminué les moyens hospitaliers sur des décennies. Quand par dessus il arrive une épidémie plus agressive qu’en général, on n’a plus les moyens de prendre en charge les formes graves.
On est confinés non pas à cause de la Covid, mais à cause des gouvernements successifs qui ont massacré l’hôpital.
Aucune description de photo disponible.
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une lettre de Charlélie Couture adressée aux moutons que nous sommes devenus…

« En avant les moutons, retour à la bergerie. Après avoir affirmé à plusieurs reprises qu’il n’y en aurait pas, pour faire face à ce qu’il appelle un « bond exponentiel » de l’épidémie de Covid-19, le chef de l’État vient d’imposer un re-confinement national jusqu’au 1er décembre 2020 (minimum). C’est dire à quel point toutes les mesures vexatoires dites «mesures barrières», «distanciations sociales» et autres couvre-feux n’ont servi à rien. Tous ces efforts ont été juste inutiles, la faute à qui? Aux impies, aux sceptiques, aux fauteurs de troubles, ceux par qui le Mal est revenu.
Les enfants et ceux qui sont en pleine santé ne suffisent plus, «chacun doit se sentir vulnérable et infecté» Ah! champion la rhétorique ! « Vous êtes faibles, je suis fort, j’écraserai la vermine, je vous sauverai contre vous-mêmes ! »
Jusqu’au 1er décembre et plus si affinité. Break pour Noël ? Et ensuite, sera t-on puni d’avoir partagé une bûche ?
Le confinement promis en Mars dernier comme une mesure « exceptionnelle », devient donc une « méthode ». Les lapins au clapier ! Puisque c’est si facile alors pourquoi se gêner et confiner pour un oui pour un non.
Ils ont continué à supprimer des lits dans les hôpitaux, ils n’ont pas embauché de personnel et n’ont même pas versé toutes les primes promises, mais ils se voient contraints de prendre cette décision «difficile». Navigation à vue. Ces gens ne sont pas crédibles. Après avoir été tenus en haleine par les déclarations aussi fétides que quotidiennes du ministre de la santé, tant de choses ont été dites, tant de spécialistes en meute invités pour asphyxier les dubitatifs devant les caméras.
Ils disent qu’ils ne savent pas, mais qu’ils n’ont pas le choix. Il s’agit de « prudence ».
Mais si le virus a muté, c’est qu’il s’agit donc d’un AUTRE virus. Sommes-nous passé au Corona vingtième du nom ?
Quoi qu’il en soit, ça s’est passé sous nos yeux, sous leurs yeux, on pouvait difficilement être plus concentrés sur le sujet.
Des dizaines de milliers de chercheurs, tous concentrés sur leurs microscopes et qui ne trouvent rien ??? Damned. Et le gouvernement qui se dit surpris…
– Surpris ? Hein? Surpris de quoi ?
Sommes-nous des jobards, des jobelins, des zozos, des gogos, des gobe-mouches, trop niais pour déchiffrer ce qui se trame en filigrane ? Quand je suis rentré à huit heures et demi hier soir, il y avait tellement de cars de gendarmes mobiles au cœur de Paris… Que craignent-ils tous ces hommes en armes, que veulent-ils, eux dont on parle à tour d’émissions louant leur travail difficile, doit-on leur accorder encore plus d’autorité, eux, qui sont déjà à cran… (j’en ai fait la pénible expérience, il y a deux jours, roulant en scooter j’ai été interpelé « par erreur» par un jeune uniforme bleu et armure carbone qui, fumant, sans masque, au bord du trottoir, décida soudain de me faire stopper. Sans raison apparente. Clairement il s’ennuyait et voulait se « faire » quelqu’un, n’importe qui, pour se distraire j’imagine. Manque de pot, c’était ma barbe blanche. Après avoir vérifié mes papiers en règle, sa collègue lui a suggéré de me laisser filer à l’hôpital où j’avais rendez-vous pour autre chose (…) Bref.
N’en déplaise aux obéissants, citoyens pacifiques de nature conciliante, les gentils qui ne veulent pas d’embrouille et qui obéiront quoi qu’on leur demande de faire, n’en déplaise aux autruches qui se mettent la tête sous le sable et qui refusent l’évidence, quand on entend qu’aucun des ministres n’était au courant de ce qu’il adviendrait le lendemain puisque la décision revenait au seul et unique qu’on vient d’entendre, on peut craindre qu’après avoir étouffé toute forme de contestation, icelui ait pris un méchant goût pour la dictature. C’est le même autocrate qui décide, il décide seul, c’est le même qui anima comme un camelot fanfaron ces rencontres du « Grand Débat » qui n’ont servi à rien, le même qui a fait voter ses lois polluantes par 53 députés sur 500 au milieu de la nuit, le même qui suggérait aux Sénateurs de venir le chercher si l’on voulait s’en prendre à Alexandre Benalla, le même qui suggère de traverser la rue pour trouver du travail ou suggère aux artistes de changer de métier et devenir éducateur dans les écoles, le même qui a nié les violences et blessures infligées aux «gilets jaunes», le même qui s’est autoproclamé en guerre contre un Corona virus insaisissable.
Depuis qu’il est au Pouvoir, seul Bernard Arnaud s’est enrichi en rejoignant le peloton de tête des hyper milliardaires, pour autant le pays tout entier a perdu confiance en l’avenir. Paroles en l’air, promesses non tenues, celui qui s’est pris pour De Gaulle au mois de Mars semble être plutôt un manipulateur opportuniste qui change d’avis comme de chemise blanche, habité par un complexe de supériorité qui le rend terriblement dangereux. Le Petit Prince qui éructait à perdre haleine dans ses discours de campagne a depuis appris à utiliser à tire larigot les mots «solidarité» et «conscience nationale» en faisant des sourires pour séduire son auditoire avec autant d’aplomb que son ami Américain.
Et pendant ce temps, certains deviennent fous de vouloir travailler,
tandis que ceux qui doivent le faire, se sentent eux, sacrifiés.
Je m’interroge juste : quand reviendras-tu ma Liberté chérie ?
Charlélie Couture. »
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Les coulisses de la réa à Marseille – Dr Fouché

Un peu long mais instructif pour ceux qui veulent savoir.

https://www.youtube.com/watch?v=dYjusoOgw3w&feature=youtu.be&ab_channel=REINFOCOVID&fbclid=IwAR3wFge50iTmdrqiYGwJHikGGK6nxlDb_0ZozqCaCr2Y7Dj3n5CTd-7tJa8

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Conférence sociale de Castex : un bide Par Simone Wapler.

Il est urgent d’arrêter de croire que tout s’obtient sans effort, par le miracle d’une solidarité qui n’est qu’une charité bidon faite d’abord avec l’argent des autres.

Face à la récession économique, il faudrait laisser l’ordre spontané émerger plutôt que de poursuivre un dialogue social factice reposant sur l’idéologie obsolète de lutte des classes.

Lundi 26 octobre 2020, Jean Castex tenait sa première « conférence sociale ». Dans notre pays tout doit être qualifié de social pour être bien vu. Ainsi, les autorités et les médias nous parlent sans cesse de distanciation sociale au lieu de parler simplement de distance physique (ou de prophylaxie). Mais revenons à nos moutons (sociaux).

CONFÉRENCE SOCIALE ET DOSSIERS EXPLOSIFS

À cette conférence sociale assistaient les partenaires sociaux, autrement dit les syndicats dont on sait qu’ils ne représentent pas grand-monde : 8,4 % des salariés du privé sont syndiqués, 19,1 % dans le secteur public. Et ils n’ont la confiance que d’une minorité (à peine 35 % des salariés) même si leur pouvoir de nuisance reste massif. Faute de syndiqués volontaires, ces syndicats survivent grâce à des cotisations sociales obligatoires.

Côté employeur, trois instances sont reconnues comme représentatives : MEDEF, CPME, U2P. Pour être estampillé représentatif, un syndicat patronal doit rassembler 8 % des entreprises de son secteur ou les entreprises adhérentes doivent représenter 8 % des salariés dudit secteur. Les discussions entre ces groupes constituent ce qui est qualifié de « dialogue social ». Moins de 10 % des personnes concernées prennent des décisions dont 90 % vont subir les effets.

Les trois gros dossiers sociaux de cette première conférence étaient la réforme des retraites, la réforme de l’assurance chômage et la formation. Deux de ces trois dossiers sont des grandes catastrophes plus ou moins larvées. Pas étonnant que ne soient sortis de cette conférence que des atermoiements verbeux.

Les régimes des retraites par répartition et de l’assurance chômage sont en réalité des zombies financiers. Ce qui est majestueusement qualifié de réformes ne sont que de petits maquillages pour tenter de donner une apparence humaine à ces zombies qui dévorent la rémunération du travail.

Rappelons que la France détient le record des pays développés du poids des cotisations sociales. Une partie du chômage de masse qui sévit en temps normal est imputable à ce surcoût.

LE SEUL PLAN DE RELANCE POSSIBLE CONSISTE À LAISSER LES GENS TRAVAILLER

La mise à l’arrêt de l’économie décidée par le gouvernement français lors du confinement est incompatible avec un système dit de répartition où ceux qui travaillent financent les pensions de ceux qui ne travaillent plus. Si plus personne ne contribue, les pensions reposent sur la création monétaire pure.

Les plans de relance à 100 milliards d’euros (et pourquoi pas 1000 milliards, tant qu’on y est) ne changeront rien à l’affaire.

En premier lieu, l’État ne peut décider quelles entreprises sont viables et lesquelles ne le sont pas. Ce tri est normalement fait par le marché et la concurrence. Est viable une entreprise qui gagne de l’argent en fournissant des produits et services choisis par des clients solvables.

En deuxième lieu, une étude de McKinsey effectuée en août auprès des PME indiquait que 13 % des 502 entreprises interrogées anticipaient une faillite dans les six prochains mois et que 17 % pensaient ne pas pouvoir rembourser les prêts d’État souscrits. Rappelons que la majorité des gens travaillent dans des petites entreprises. Le cabinet de conseil précise :

« Plus de la moitié [des patrons interrogés] estimait que leur entreprise ne survivrait peut-être pas plus de 12 mois, malgré le fait que 20 % des entreprises participant au sondage avaient déjà profité de diverses formes d’aide gouvernementale visant à atténuer leurs difficultés financières. »

LES LIMITES DE LA CRÉATION MONÉTAIRE

La Banque centrale peut prêter tout ce qu’elle veut à qui elle le veut et distribuer toutes les allocations qu’elle veut à qui elle le veut, cela ne change pas le problème. La vraie richesse provient du travail et non pas de la dépense.

Et encore, pas de n’importe quel travail, un travail efficace, produisant des biens ou des services que les ménages désirent échanger parce qu’ils leur sont utiles ou agréables.

Par exemple, l’implantation d’éoliennes qui sont des intermittentes de l’énergie et la fermeture d’une centrale nucléaire demandent du travail et occupe du monde mais à la sortie le bilan sera moins d’électricité et plus chère et donc un appauvrissement.

La vraie prospérité provient du travail utile.

À l’époque où on ne parlait pas de redistribution et de dialogue social, l’ascension sociale et l’insertion se faisaient par le travail : celui des parents et le travail scolaire des enfants.

L’industrialisation a conduit à augmenter à la fois l’offre de travail et sa productivité. Le capitalisme a permis à la classe moyenne d’émerger.

Ce ne sont pas les dialogues sociaux, les allocations, la redistribution mais bien l’industrialisation puis le capitalisme qui ont permis :

  • De proposer du travail à plein temps à de plus en plus de monde, contrairement à ce qui existait dans un monde agricole. Dans le monde d’avant, le travail restait saisonnier condamnant en hiver à l’errance, à la faim et au froid de nombreux ouvriers. Ceux qui prônent le retour à une économie de subsistance feraient bien de lire les contes régionaux qui décrivent ces situations précaires.
  • L’émergence d’une classe moyenne qui a pu profiter des gains de productivité, le travail devenant de mieux en mieux payé et du plus en plus qualifié.
  • Cette classe moyenne a pu épargner, cette épargne a permis des investissements qui ont à leur tour donné lieu à des gains de productivité.

Ce processus vertueux a disparu. Nous avons du chômage, des allocations au lieu de revenus du travail ; l’épargne n’a plus d’intérêt, au sens propre avec les taux négatifs. Nous parlons maintenant de capacité d’endettement au lieu de parler de capacité d’épargne comme autrefois. La classe moyenne s’appauvrit et rétrécit ; en France, son épargne ne lui permet même plus de profiter des gains de productivité.

LA CRÉATION MONÉTAIRE EUTHANASIE LA CLASSE MOYENNE

Nous avons atteint les limites de la création monétaire et de la création de crédit. Avec les retraites par répartition, la classe moyenne est injustement privée des gains qu’elle aurait pu avoir avec un système par capitalisation. Les systèmes d’assurance chômage et d’assurance maladie ne reposent que sur de la dette dont il est patent qu’elle ne sera jamais remboursée.

Le coupable n’est pas la méchante mondialisation ou le vilain libéralisme avide de profits. Le coupable est le capitalisme dévoyé engendré par un système monétaire frelaté. Lorsque la création de crédit et le prix de l’argent – les taux d’intérêt – sont contrôlés par des entités gouvernementales ou supranationales nous ne sommes pas dans un système libéral. Nous sommes dans un système de contrôle total.

La concurrence ne joue plus son rôle de régulation. Nous sommes dans un capitalisme de copinage où les banques sauvent les États et, inversement, les États sauvent les banques à grand renfort de monnaie factice.

La faillite de ce système devient tellement visible que le FMI en appelle à un nouveau Bretton Woods tandis que le prochain Forum économique mondial méditera sur une « Grande Réinitialisation ».

Si vous attendez de ces instances un retour au bon sens et au réalisme, oubliez.

LE GREAT RESET, LA GRANDE RÉINITIALISATION

Du côté du FMI, on aborde la restructuration des dettes publique :

« Lorsque la dette est insoutenable, elle doit être restructurée sans tarder. Nous devons accroître la transparence de la dette et renforcer la coordination des créanciers. Je juge encourageants les entretiens du G20 concernant un dispositif commun de résolution de la dette souveraine et notre appel à améliorer l’architecture de la résolution de la dette souveraine, y compris la participation du secteur privé. »

Mais ce n’est pas pour renoncer à la dette et au crédit surgi du néant, loin de là.

« La meilleure manière d’honorer la mémoire de tous ceux qui ont perdu la vie au cours de cette crise est, pour reprendre les mots de M. Keynes, de construire « quelque chose de plus grand » : un monde plus durable et plus équitable. »

Et cher lecteur, quand vous lisez « durable » ou « équitable », attendez-vous à des tombereaux d’emprunts verts et de gaspillages, des myriades de plans, de subventions et bien sûr de taxes.

Du côté du Forum économique mondial on nage aussi dans le constructivisme échevelé et romantique :

« Il est de notre devoir de rétablir un système fonctionnel de coopération mondiale intelligente, structuré pour relever les défis des 50 prochaines années. La Grande Réinitialisation exigera que nous intégrions tous les acteurs de la société mondiale dans une communauté d’intérêt, d’objectif et d’action communs.[…]
Nous devons changer de mentalité, passer d’une réflexion à court terme à une réflexion à long terme, passer du capitalisme actionnarial à la responsabilité des parties prenantes. La gouvernance environnementale et sociale et la bonne gouvernance doivent être des éléments mesurés de la responsabilité des entreprises et des gouvernements. »

Avec là aussi, beaucoup de sauce verte, de « décarbonisation », etc.

Aucune des grandes avancées de l’humanité n’a été obtenue par des planificateurs, des bureaucrates, des « systèmes fonctionnels de coopération mondiale ». AUCUNE.

La généralisation six siècles avant Jésus-Christ de l’or et de l’argent en tant que monnaies marchandises pour remplacer le crédit (auparavant géré par les autorités politiques ou religieuses) a permis un essor considérable des échanges autour du bassin méditerranéen.

L’émergence de ces monnaies universelles n’est pas le fruit du jus de crâne d’un planificateur omniscient. Ces monnaies se sont imposées car elles étaient honnêtes, n’étaient la dette de personne et n’avait besoin d’aucune contrepartie pour exister. Le simple fait qu’elles existent a permis d’étendre et multiplier les échanges.

Il est urgent d’arrêter de croire les constructivistes planificateurs qui nous ruinent. Au contraire, il faudrait :

  • libérer la monnaie, la rendre au peuple,
  • retrouver les vertus de l’épargne,
  • faire jouer la concurrence hors de tout circuit taxation-subvention débouchant sur le capitalisme de connivence,
  • libérer les prix et les taux d’intérêt dont le niveau donne une mesure fiable du risque,
  • laisser l’ordre spontané émerger.

Il est urgent d’arrêter de faire croire que tout s’obtient sans effort, par le miracle d’une solidarité qui n’est qu’une charité bidon faite d’abord avec l’argent des autres, puis lorsque celui-ci s’est tari, avec de la fausse monnaie et du crédit sans contrepartie.

Ni la rage de l’impôt, virus bien français, ni la monnaie factice ne déboucheront sur la prospérité.

Conférence sociale de Castex : un bide

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LA MANIPULATION EST UN ART (BIEN CONNUE DE NOS ELITES).

https://www.facebook.com/franceinfovideo/videos/650190812555417

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