Archives de catégorie : Société

Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.

L’ordre des choses

Le moment est venu pour moi de pouvoir, très clairement, affirmer où est la priorité. Depuis plus de vingt ans j’ai engagé toute mon énergie et tous mes moyens dans ce but.

Au départ, j’ai pensé sincèrement qu’en sollicitant la justice je pourrais faire cette démonstration. Ma déception a été à la hauteur de ma confiance initiale en cette institution qui s’est avérée complètement inopérante, incompétente, bien plus : vendue (ou achetée, comme on veut).

Soudain, par le plus grand des hasards, ma route a croisé la simple humanité de Francis Le Poizat et tout est devenu possible. Il a déchiré le voile derrière lequel se dissimulait la priorité, il a offert par son témoignage modeste et courageux la possibilité pour tous d’ouvrir les yeux — voir sa vidéo :(Lien vers la vidéo-interview de Francis LE POIZAT)

La question fondamentale est : comment maîtriser les dépenses publiques tout en conservant, pour certaines, leur indispensable utilité ?

Il ne manque pas de bonnes volontés pour détecter et chiffrer les dérives de ces dépenses. Je pense en particulier à des structures comme “Contribuables associés”, l’IFRAP, ou encore à des individualités de tout bord, tous sincères et respectables.

Nous sommes constamment informés de ces dérives, nul ne met en doute ces informations, et pourtant aucun résultat n’est observé.

Année après année, le gouffre des dépenses publiques s’agrandit, quels que soient les tenants du pouvoir.

Cette situation affaiblit dramatiquement le pays sur la scène internationale, et à l’intérieur met à mal le lien social.

Malgré d’incessantes modifications dans le choix de ceux à qui sont confiés les cordons de la bourse, rien n’y fait. A tel point que la France s’apprête, dans une démarche aussi désespérée que suicidaire, à confier le pouvoir, donc ses finances, à un parti extrême dont l’incompétence à ce sujet est avérée, ce qui donnera inévitablement des résultats terrifiants.

Tout cela parce que le problème est pris à l’envers, la priorité masquée.

Tous se focalisent sur les dépenses de l’Etat, alors que le problème se situe dans sa façon de se procurer l’argent qu’il dépense.

Nous ne sommes pas face à un problème de dépenses, mais face à un problème de recettes. C’est dans la moralité des recettes que se situe la solution, pas dans celle des dépenses.

Tout le monde sait que l’argent gagné trop facilement pervertit. Que ce soit les habitants des banlieues qui ont à faire face aux folies dépensières des trafiquants de drogue, ou ceux des beaux quartiers qui observent avec stupéfaction celles des héritiers, rares sont ceux qui n’ont pas été confrontés un jour aux dérives dépensières de ceux pour qui l’argent est facile.

Pour nos décideurs politiques l’argent est facile.

Par une propagande constante et perverse ils ont, depuis des décennies, d’une part exempté de l’impôt plus de la moitié des français qui sont de ce fait leurs véhicules propagandistes, d’autre part stigmatisé et torturé financièrement le reste de la population tel que cela ressort parfaitement des déclarations de Francis Le Poizat.

Cet argent facile leur paraissant inépuisable, ils le dépensent sans compter, sans souci de rationaliser leurs budgets.

La Cour des Comptes se trompe d’objectif, elle ne devrait pas surveiller les dépenses publiques mais les recettes publiques.

Seules des recettes justes, équitables, précises, peuvent générer des dépenses qui seront alors naturellement maîtrisées.

Les compétences doivent être utilisées non pour organiser les dépenses mais pour obtenir des recettes impartiales, efficaces, qui ne nuiront ni à la justice, ni à l’efficacité économique.

La valeur d’une entreprise tient plus à la qualité de ses recettes qu’au détail de ses dépenses.

La folie des dépenses des escrocs prend sa source dans leurs recettes acquises facilement et sans scrupule.

Il s’agit ici d’évidences dont la simplicité tend à provoquer la condescendance de la part ceux qui les écoutent envers celui qui les profèrent. J’en suis conscient.

Et pourtant, qui à ce jour a affirmé que la priorité absolue pour l’avenir économique de la France passe par l’équité dans les ressources fiscales, tout particulièrement lors des contrôles fiscaux ? Qui dénonce la gabegie de ces contrôles, leur folie, leur force destructrice, leur responsabilité directe dans la dérive des dépenses de l’Etat. Personne.

Cette priorité de la sincérité et de l’équité des recettes sur l’idée naïve de la maîtrise des dépenses, je peux enfin l’affirmer.

Le masque tombe sur la médiocrité des contrôleurs fiscaux, sur l’impôt indu issu du contrôle fiscal, sur l’escroquerie en général qui préside à la collecte de l’impôt.

Cette vérité jusqu’alors taboue d’un argent facile pour l’Etat, de prélèvements indélicats,  dévoilée aujourd’hui est l’explication mécanique aux dérives du budget de l’Etat.

Donnons à nos élus des recettes fiscales maitrisées, contenues, justes et rationnelles, aucune échappatoire prenant pour excuse une fraude fiscale inventée par eux, mystique, et ils produiront inévitablement des dépenses équilibrées, maîtrisées.

L’ordre des choses est donc de maîtriser les recettes, d’en rendre chacun responsable par sa participation,  de cesser de faire des contrôles fiscaux un  écran de fumée justifiant les dérives dépensières, ce n’est qu’ensuite que l’on aura à se pencher sur d’éventuels débordements des dépenses, alors peu probables.

De l’intégrité des recettes dépend la maîtrise des dépenses, l’argent facile corrompt, y compris lorsqu’il émane de l’impôt.

Aujourd’hui le contrôle fiscal, sa légende sociétale, sa mise en œuvre, la propagande qui l’entoure, en font une escroquerie d’Etat qui est la source des dépenses inconsidérées de celui-ci. C’est l’ordre réel des choses. Pouvoir enfin le dire m’apporte une sérénité que vous ne pouvez pas imaginer. Merci Francis.

Bien cordialement. H. Dumas

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Avant Francis et après Francis (vidéo)

Bonjour,

La vidéo à laquelle se réfère celle-ci est — et restera — en première page de notre blog, colonne de droite, sous le titre : “Contribuables sensibles : s’abstenir”.

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Bienvenue en France : Etat socialiste policier

L’égalité entre les hommes peut être souhaitée ou imposée. Dans le premier cas il s’agit d’une société humaniste, dans le deuxième d’une société socialiste.

La société humaniste développe l’idée de charité qui reste de la responsabilité de chacun, pendant que la société socialiste entend imposer l’égalité par la force.

L’emploi de la force est un acte de guerre. La guerre — prolongement naturel de la politique selon Clausewitz — prend ici la forme d’une guerre civile.

Cette idée d’égalité imposée par la force parait naturelle lorsqu’il s’agit de vaincre une inégalité issue elle-même de l’emploi de la force, telle par exemple que l’esclavagisme. Dans ce cas, la guerre civile a une justification.

Cela est beaucoup moins évident lorsque nous sommes face à une inégalité naturelle où alors il parait plus judicieux, pour la combattre, de faire tout simplement appel à l’idée de justice qui exclut l’emploi de la force pour recourir à la compassion, à la charité, à l’équité, à l’éducation.

Deux points de vue différents

Le socialisme entend imposer l’égalité économique par la force au motif qu’en ce domaine l’inégalité serait elle-même issue de la force.

Les libéraux au contraire considèrent que l’inégalité économique est une donnée naturelle qui a tendance à se réguler elle-même par le double effet de la charité et de l’intérêt individuel qui inclut celui de la collectivité.

Résultat

Chacun choisit son camp en fonction de ce qu’il croit être son intérêt, mais tous se retrouvent dépendants du système qui finit par s’imposer.

Si le socialisme s’impose, c’est la force qui s’imposera, jusqu’au point où elle sera si présente que la société concernée est en état de guerre civile, éventuellement souterraine, invisible, comme anciennement en URSS.

En France socialiste la force armée déployée contre le peuple pour imposer l’égalité économique s’appelle Bercy. Ses fantassins sont les contrôleurs fiscaux, leur arme létale est le contrôle fiscal.

Clausewitz définit l’acte de guerre comme celui : “d’ôter à l’ennemi tout moyen de se défendre”. C’est exactement à cela que s’emploie Bercy à travers ses moyens qu’il impose par la loi, et ses actes : les impôts et les redressements fiscaux.

Il n’est ni possible ni utile de développer cet évident constat dans ce seul billet, c’est l’âme profonde et constante des auteurs de  “Temoignagefiscal” et de leurs lecteurs.

Regardons plutôt les conséquences de cette guerre civile au départ ciblée sur le capital.

Le socialiste dénonce le capital comme la source de l’inégalité. Il va donc faire en sorte qu’il ne soit pas accessible aux citoyens de son pays. Objectif parfaitement atteint en France où nul ne peut aujourd’hui, face aux exactions de Bercy, constituer un capital significatif.

Il n’en reste pas moins qu’il n’est pas d’économie sans capital, pas de société sans économie, que donc le socialisme, passée la satisfaction de la destruction du capital individuel, se trouve face à la nécessité du capital.

En régime communiste total la problématique se résout par l’éradication de l’économie et l’enfermement, tel qu’en Corée du Nord.

En France socialiste, qui a la prétention d’être une puissance économique ouverte, une tentative de solution plus vicieuse a été mise en place.

Il s’agit de dissimuler à la population le capital et son utilisateur, tout en restant dans un système économique capitaliste pur et dur dont est totalement exclue l’idée d’égalité.

Le capital de substitution au capital privé éradiqué sera ce que l’on appelle le capital institutionnel, c’est à dire les économies individuelles des français regroupées par divers moyens — assurances, banques, fiscalité, etc… — et utilisées dans l’économie de marché à leur insu.

Le principal inconvénient de ce système est la suppression de la base même de l’économie qui est la responsabilité, sans laquelle rien n’est possible.

En effet l’utilisateur du capital institutionnel est comme celui-ci occulte, donc irresponsable.

Cette irresponsabilité rend l’échec plus tardivement visible, et surtout inexpliqué en règle générale, ce qui ne permet pas les ajustements constants qu’impose toute économie vivante.

Ainsi donc le socialisme à la française  installe dans le pays la guerre civile à travers son armée fiscale au motif de l’égalité et, dans le même temps, propage la corruption en tentant de concourir, à travers des opérateurs et des capitaux occultes, à l’aventure économique mondiale.

C’est ainsi que les socialistes nous mènent assurément d’abord à la ruine, puis à la surenchère enfin à la guerre civile totale ou à la guerre extérieure de substitution. Qui s’en soucie ?

Bien cordialement. H. Dumas

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La Justice Française 37ème sur 43 pays européens ?!

La Justice Française 37ème sur 43 pays européens ?!

La Réalité des services judiciaires en France depuis + de 20 années=
La France n’est plus un état de droit c’est un Pandémonium et ce n’est pas un euphémisme = Albert Eisntein disait On ne règle pas les problèmes avec ceux qui les ont créés et comme disait Balzac : La comédie humaine c’est avant tout l’échec du politique. Ce n’est donc pas un signe de bonne santé démocratique que d’être bien adapté à une société profondément malade. “PEUT-ON ENCORE SAUVER LA FRANCE?”
A méditer=Un homme ou une femme qui vient d’être placé ne se sert plus de sa raison et de son esprit pour régler sa conduite et ses dehors à l’égard des autres ; il ou elle emprunte sa règle de son poste et de son état :de là l’oubli,la fierté,l’arrogance,la dureté, l’ingratitude.

Les dysfonctionnements judiciaires et la médiocrité judiciaire détruisent + de 250.000 Emplois par an, il est donc important que mes concitoyens ouvrent les yeux. Je sais aussi que l’administration de la justice en France a des difficultés, à ce sujet La Commission Européenne pour l’Efficacité de la Justice (CEPEJ) avait dévoilé le 25 octobre 2010 son rapport comparatif des systèmes judiciaires européens: la France est classée 37eme sur 43 pays européens… derrière l’Arménie et l’Azerbadjian. Et la situation s’est dégradée depuis cette étude.

Je vous invite à lire :
1) la justice française est classée par le CEPEJ commission de contrôle européenne ,37eme sur 43 pays européens… derrière l’Arménie et l’Azerbadjian La Commission Européenne pour l’Efficacité de la Justice (CEPEJ) a dévoilé le 25 octobre 2010 son rapport comparatif des systèmes judiciaires européens , que voici résumée : au ras des pâquerettes.
-a) Au classement du budget annuel alloué au système judiciaire (tribunaux, ministère public et aide juridictionnelle) rapporté au PIB par habitant, la France a (encore) reculé. 37ème sur 43 pays, elle se situe désormais derrière l’Azerbaïdjan et l’Arménie…
-b) Le budget total annuel de la justice n’a augmenté que de 0,8% entre 2006 et 2008. Dans le même temps, il augmentait en moyenne de 17,7% en Europe.
-c) La France compte 3 procureurs pour 100 000 habitants, alors que ce chiffre est de 10,4 dans les autres pays du Conseil de l’Europe.
-d) La France compte 9,1 juges professionnels pour 100 000 habitants (en 2008, ils étaient 11,9). La moyenne européenne est de 20,6.
-e) La France reste classée 39ème sur 45 au nombre de fonctionnaires alloués à la justice pour 100 000 habitants. Avec 29,1 fonctionnaires de Justice pour 100 000 habitants, l’hexagone est ainsi derrière l’Arménie et la Géorgie…

Ainsi,note l’Union Syndicale des Magistrats ,la France continue à régresser dans les classements européens. Les annonces budgétaires récentes, qui conduisent à une diminution du nombre de magistrats, ne pourront qu’aggraver cette situation“. Le syndicat relève aussi cette critique de la CEPEJ, selon laquelle “la France note un effet de ciseaux sur le budget de la justice judiciaire, entre une évolution négative ou stagnante des crédits et une évolution croissante des besoins“. L’USM dénonce depuis des années l’insuffisance criante des moyens accordés à la Justice. Rapport après rapport, la CEPEJ vient confirmer que le gouvernement français ne donne pas à la Justice française les moyens de fonctionner. L’USM constate avec intérêt qu’au-delà de l’auto satisfaction affichée, la CEPEJ relève que « la France note un effet de ciseaux sur le budget de la justice judiciaire, entre une évolution négative ou stagnante des crédits et une évolution croissante des besoins, qu’il s’agisse des personnels, des crédits de fonctionnement ou des frais de justice ».
Depuis le début de l’année 2010, l’USM avait visité la quasi-totalité des juridictions métropolitaines. Elle a ainsi pu constater les difficultés auxquelles magistrats, fonctionnaires, collaborateurs de justice et justiciables sont confrontés quotidiennement en raison de l’indigence du système judiciaire français. Un bilan détaillé de ces visites, sous forme de livre blanc sera très prochainement publié. L’USM appelle d’ores et déjà le Ministre de la Justice à prendre la mesure de la crise humaine et financière que traverse la Justice française et à mettre en place un plan pluriannuel de rattrapage des retards accumulés depuis ++ 20 ans.
2) Commission d’enquête sur les tribunaux de commerce en 1998 , informations très utiles qui démontrent le fonctionnement mafieux de certains  Magistrats et de l’administration . cliquez sur le lien : http://www.assemblee-nationale.fr/11/dossiers/Tribunaux-de-commerce.asp

3) Le peuple peut agir cliquez ici Article 35 des droits de l’Homme =
http://injustice.blog.free.fr/public/ARTICLE__35_des_droits_de_l_Homme.JPG 
et rappel des Droits de l’Homme que La France ne respecte pas = http://injustice.blog.free.fr/public/Droits_de_l__Homme.pdf

L’excellence n’est plus de mise à quelques exceptions près, en réalité, il n’y a plus d’objectif humain ! La démonstration que La France est  un pays mafieux et corrompu, son administration, judiciaire en particulier fonctionne comme la Mafia. Mais comme d’habitude rien ne change en France, les commissions d’enquêtes et autres contrôles comme la Cour des Comptes ne sont pas suivis d’effets. Beaucoup d’avocats, de politiques, de citoyens et de journalistes naissent donc aveugles, et ils ne s’en aperçoivent que le jour ou une bonne vérité leur crève les yeux. La médiocratie judiciaire est un fait,  et Tout cela nuit à la bonne justice et au développement économiqueCe qui ne se contrôle pas ne progresse pas !
Mais= «les dysfonctionnements judiciaires en France ne favorisent pas le développement économique ! Alors que fait-on ? »
Des dysfonctionnements insupportables sont la démonstration d’un système dépassé et complice d’injustice. Les dysfonctionnements judiciaires et la médiocrité des services judiciaires détruisent +de 250.000 Emplois par an. Tous les jours la réalité le démontre. Un seul exemple parmi de nombreux, en Allemagne pour 100.000 Habitants il y a 2,5 fois plus de juges et Magistrats; donc les affaires sont traités 2,5 fois plus vite, donc les avocats sont plus efficaces et mieux rémunérés et ne sont pas obligés de mentir à leur client. La Justice Allemande traite les dossiers à une vitesse nécessaire au bon fonctionnement de la démocratie et de l’économie pour les entreprises.
La justice française n’est plus un moteur économique. Le Temps pourtant, c’est de l’argent!

«Les Politiques, Les Elus, Avocats, Magistrats Journalistes, Syndicalistes, (..etc) , doivent mettre au banc des accusés les« Loups Hobbistes» qui agissent à l’encontre des normes fondamentales de la morale et des Lois Républicaines. Il faut dire qu’ils sont rares ceux qui possèdent les ressources nécessaires de résister à l’autorité et à l’argent, car quand il y a de l’argent comme par enchantement certains partagent tout à coup la même religion. On a vu souvent que des Hommes de pouvoir paraissent vertueux, faute d’occasion pour se démentir, mais qu’ils ont renoncé à l’Honnêteté dès que leur vertu a été mise à l’épreuve. La France est un des plus grand restaurant du monde, le repas est un des meilleurs, mais le service laisse à désirer. Ce ne sont pas seulement ceux qui font le mal qui rendent notre société infernale. Ce sont aussi ceux qui regardent, laissent faire et n’assument pas leurs responsabilités ( Albert EINSTEIN).= non seulement Madame La Ministre C.TAUBIRA mais tous les Présidents de la république , Ministres et élus ont l’obligation légale de faire régner la bonne justice en France .Celui qui n’a pas le goût de l’absolu se contente donc d’une médiocrité tranquille. Lire mon Blog et le lien ci-dessous, car Tous les responsables politiques ont été prévenus et ils ont laissé faire, donc ils sont complices. Une injustice faite ne fût-ce qu’à une seule personne est une menace pour nous tous. L’article 40 CPP en particulier s’applique à ces personnes. A mon sens, il convient d’œuvrer pour que chacun paie pour ses actes, y compris et surtout quand il s’agit des magistrats qui connaissent parfaitement les lois et sont chargés de les faire appliquer par les administrés. N’est-il pas dit que « Nul n’est au-dessus de la loi »=
Mon histoire :Histoire d’un pillage ; violation des lois , des droits de l’homme, et de corruption en France=
Résumé du combat judiciaire de Richard ARMENANTE en 15 lignes = Cliquez ici :
http://injustice.blog.free.fr/public/Resume_Combat_judiciaire_de_Richard_ARMENANTE_en_15_Lignes.pdf
Interventions auprès des autorités=
http://injustice.blog.free.fr/public/Intervention_aupres_Du_Gouvernement_des_Elus_Justices.pdf

Et pourquoi les magistrats, les élus feraient l’exception dans un Etat de droit ? C’est le contraire qui devrait être appliqué : un magistrat , un élu qui enfreint la loi délibérément (donc en commettant une ou des bavures, un non respect des lois) devrait être condamné plus que les simples administrés qui ne sont pas censés connaître toutes les lois.
Blaise PASCAL (Pensées) disait «  Il est juste que ce qui est juste soit suivi, il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu’il y a toujours des méchants ; la force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force ; et pour faire cela faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste ».

Rappel = Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948 Article 18. Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.
Article 19. Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.

Si nous ne modifions pas le fonctionnement de notre justice, nous nous préparons, ainsi à vivre de nouveaux désordres sociaux et économiques, qui une, fois de plus, nous ferons faire du surplace démocratique et consacrer le gâchis de nos potentiels.

Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin et Si vous ne pouvez pas éliminer l’injustice, au moins racontez-la à tous disait Mr Ali Shariati, sociologue iranien (1933-1977). » C’est donc ce que je fais !
La France n’est plus capable de faire régner la justice, l’injustice est devenue un métier. Je vous prie donc de  lire la  supplique MAJ en deux volets que j’aie adressée « Monsieur Le PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, accordez moi une audience » = Vous pouvez voir à l’adresse suivante sur MEDIAPART :
https://blogs.mediapart.fr/edition/critique-raisonnee-des-institutions-judiciaires/article/030419/monsieur-le-president-de-la-republique-emmanuel-macr

Alors que font, nos Elus, la presse (papiers et TV), Les Syndicats, “ou sont les contres pouvoir”. A méditer “Des caricatures” =
La France :La Justice La Presse la Politique=
http://injustice.blog.free.fr/public/La_Justice_La_Presse_La_Politique.JPG
La Justice en FRANCE,  il faut de l’Humour =
http://injustice.blog.free.fr/public/LA_JUSTICE_il_faut_de__l_humour.JPG

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Réflexion d’un citoyen face à l’injustice

Réflexion d’un citoyen face à l’injustice = La France le Pays qui se dit le berceau des droits de l’Homme et qui donne des leçons au monde entier ?

La Peine de Mort a été abolie en France, mais la justice Française continue à petit feu de tuer des citoyens!
Qui s’indigne ???  #EtatsGenerauxDeLaJustice

Résumé du combat judiciaire de Richard ARMENANTE en 15 lignes = Cliquez ici :
http://injustice.blog.free.fr/public/Resume_Combat_judiciaire_de_Richard_ARMENANTE_en_15_Lignes.pdf
On peut se demander pourquoi des personnes ont eu tant d’intérêt à nuire à Richard ARMENANTE en particulier révélées dans mes plaintes, mes investigations et témoignages. C’est pour cette raison que j’ai tenté de faire  éclater la vérité par tous les moyens possibles afin que les services judiciaires prennent connaissances de la vérité, et la vérité ne peut non seulement être enfermée mais elle est sans pitié. Une injustice faite ne fut-ce qu’à une seule personne devrait-être l’affaire de nous tous. Résumé du complot en Bande organisée =
Je vous prie d’écouter et de visionner la vidéo sur mon combat pour obtenir justice qui a été enregistré le 30 novembre 2015, un témoignage très fort . En France l’injustice est un métier indignez-vous= Vous pouvez voir la suite à l’adresse suivante : https://www.temoignagefiscal.com/la-parole-est-aux-victimes-1-video/

Ma Colère Légitime = Mon interview cash du 3 novembre 2020 par Etiknews, 25 années de combat judiciaire épuisant la colère génère un besoin de justice , cliquez pour écouter, “ETIKEMENT PARLANT CECI N’EST PAS UNE FICTION LES AMIS! L’HISTOIRE INCROYABLE DE RICHARD ARMENANTE SON COMBAT CONTRE LE FISC ET LA JUSTICE.”= 
https://www.facebook.com/Etiknews.fr/videos/1786190424871657/

Le communiqué de presse Maj explicatif, qui résume l’Histoire d’un pillage , violation des lois , des droits de l’homme, et corruption en France=  Cliquez sur cette ligne : http://injustice.blog.free.fr/public/Communique_Presse_Armenante_Vs_Mariani_2013.pdf

Mon combat = Comme disait Mr Nelson MANDELA que j’ai rencontré :”Je ne perds jamais. Soit je gagne , soit j’apprends” et j’ai beaucoup appris.
O EPIMENON NIKA “CELUI QUI PERSISTE VAINCRA !”
« Je vous invite donc à Lire ci-dessous, un résumé de 25 ans de combat judiciaire maj »
Cliquez sur le lien : https://www.temoignagefiscal.com/o-epimenon-nika-celui-qui-persiste-vaincra/

Je veux maintenant vous exprimer quelques sentiments très forts sur ma personnalité qui font partie de mon comportement et qui peuvent être utile pour satisfaire votre sagacité, votre curiosité : « En effet suivant le dicton : avant de connaître les autres connaît toi-même ! » =
Mais Qui est Richard ARMENANTE en une page = http://injustice.blog.free.fr/public/Cv_RA_1_page_Communication_15_MAI_2013.pdf

Qui suis-je , Ma famille…..etc=  http://injustice.blog.free.fr/public/Qui_suis_je.pdf

Mais en détails Qui est Richard ARMENANTE= http://blogs.mediapart.fr/blog/armenante/260513/richard-armenante-le-gout-de-labsolu-mais-qui-est-il

Vous savez qu’on ne gouverne pas sans quelques inimitiés pour le bien Public, bonne maxime que j’ai appliquée pour mon entreprise et mes fonctions d’élus municipal. Les escrocs me détestent, et la justice mais pas seulement a eu une attitude adversative, c’est un orgueil après avoir été un malaise, en particulier pour la Justice. Quand j’étais en activité intensive, mes amis ou collaborateurs se sont contentés de me taxer d’ambition et d’intransigeance, je le revendique ; j’ai toujours été très ambitieux pour le destin de mon entreprise SPMP Riviera, ma Ville de Marseille et intransigeant de la manière pour le voir accomplir. Les rumeurs sur mon entreprise ou ma ville m’ont toujours plus affecté ; mais j’ai toujours eu avec moi le citoyen, la famille, en particulier les actionnaires salariés, dans mon entreprise SPMP Riviera, qui pendant 20 années m’ont voté la confiance. L’ordre m’a toujours convaincu, et j’ai dû choisir et vite ; Le passé ou l’avenir, j’ai toujours choisi l’avenir. Il m’a fallu choisir entre mon capital financier et le capital travail, j’ai toujours choisi le travail. J’ai toujours mis l’intérêt supérieur au-dessus du mien. A partir d’un certain niveau de réussite on fait abstraction de son orgueil et de ses intérêts personnels pour la justice, la morale, l’Honneur de sa Famille. Je ne suis pas un affairiste en quête de fortune ou pour l’intérêt de certains. A mon Age je peux encore manger, rire et Haïr. Personne ne peut mettre en doute mes sentiments élevés au sujet de la démocratie. Mais les immobilismes, les médiocres ont une revanche à prendre et nul-doute qu’ils ne laisseront pas passer l’occasion.

Pour qu’il y ait justice il faut que certains oublient ce qu’ils sont. C’est parce que certains peuvent tout qu’ils ne doivent pas se le permettre. À mes funérailles, je pense que certains me donneront raison, je les remercie d’avance.

Pourquoi je me bats : pour les valeurs qui nous rassemble, que ma famille m’a cédées : la vertu le respect. J’ai toujours préféré le langage des Hommes, car tout le monde parle de la justice mais moi je suis le mieux placé pour en parler. Je dénonce la gabegie judiciaire et surtout j’en ai assez de cette médiocrité judiciaire. Cette France, dont j’étais si fier, qui se prend pour le nombril du monde, qui donne des leçons au monde entier, une vraie «Ripoublique?» Bananière. Incapable de respecter les droits de l’Homme et le droit tout court. Mais il y a un peu d’espoir certains Magistrats ont le courage de dénoncer les dysfonctionnements !

Je lutte donc contre l’humiliation, la soumission, l’esclavage de la classe d’en bas, la dictature de l’état judiciaire et de certains fonctionnaires de la D.G.I., les hédonistiques et les hédonistes de la justice et de la DGI, les réponses dilatoires, les connivences, le corporatisme, les attitudes adversatives …etc.

Dans mes réflexions, il m’a bien fallu admettre que la France n’offre plus d’avenir pour la démocratie. Le fascisme, l’intolérance, la tricherie, le mensonge se sont développés et sont devenus la règle. Le Sophisme est devenu la règle en politique, la pusillanimité est de mise. Comme je l’ai écrit à Monsieur Le Président de La République et son Ministre de La Justice; dois-je avec ma famille, rentrer en résistance armée, pour avoir une justice digne de ce nom? «Ce ne sont pas seulement ceux qui font le mal qui rendent notre société infernale. Ce sont aussi ceux qui regardent, laissent faire et n’assument pas leurs responsabilités ( Albert EINSTEIN) .» Non seulement Madame La Ministre de la Justice C.TAUBIRA mais tous les Présidents de la République, Ministres et élus ont l’obligation légale de faire régner la bonne justice en France .Celui qui n’a pas le goût de l’absolu se contente donc d’une médiocrité tranquille. Lire mon Blog et le lien ci-dessous, car tous les responsables politiques ont été prévenus et ils ont laissé faire, donc ils sont complices. Une injustice faite ne fût-ce qu’à une seule personne est une menace pour nous tous. L’article 40 CPP s’applique à ces personnes en particulier. A mon sens, il convient d’œuvrer pour que chacun paie pour ses actes, y compris et surtout quand il s’agit des magistrats qui connaissent parfaitement les lois et sont chargés de les faire appliquer par les administrés. N’est-il pas dit que « Nul n’est au-dessus de la loi » ? Et pourquoi les magistrats feraient l’exception dans un Etat de droit ? C’est le contraire qui devrait être appliqué : un magistrat qui enfreint la loi délibérément (donc en commettant une ou des bavures) devrait être condamné plus que les simples administrés qui ne sont pas censés connaître toutes les lois.
Lettre ouverte à Monsieur Le Président de la République 17/11/2015=  https://www.temoignagefiscal.com/lettre-ouverte-a-monsieur-le-president-de-la-republique-17112015/
Lire ces liens sur mes interventions= http://injustice.blog.free.fr/public/Intervention_aupres_Du_Gouvernement_des_Elus_Justices.pdf

Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin et Si vous ne pouvez pas éliminer l’injustice, au moins racontez-la à tous disait Mr Ali Shariati, sociologue iranien (1933-1977). » C’est donc ce que je fais !
La France n’est plus capable de faire régner la justice, l’injustice est devenue un métier. Je vous prie donc de lire la supplique MAJ en deux volets que j’aie adressée « Monsieur Le PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, accordez moi une audience » = Vous pouvez voir à l’adresse suivante sur MEDIAPART :
 https://blogs.mediapart.fr/edition/critique-raisonnee-des-institutions-judiciaires/article/030419/monsieur-le-president-de-la-republique-emmanuel-macr

La vérité ne peut se laisser enfermer, Elle me et nous rend Libre! Une injustice faite, ne fût-ce qu’à un seul homme, est une menace pour nous tous. La Justice non contrôlée ne peut plus progresser. Les politiques ne font rien et le juge devient un Maître de l’injustice. Il faut agir et vite, car Une Démocratie sans contrôle est soumise à la médiocrité des Hommes! Ce qui ne se contrôle pas ne progresse pas ! Mais= «les dysfonctionnements judiciaires en France ne permettent pas un développement économique comparable à d’autres pays. Des dysfonctionnements insupportables sont la démonstration d’un système dépassé et complice d’injustice .Tous les jours la réalité le démontre.
La justice française n’est plus un moteur économique. Le Temps pourtant, c’est de l’argent! Il y a + de 40 ans nous pensions local et nous agissions global et maintenant nous devons penser global et agir local. L’administration et la démocratie française n’est plus dans le peloton de tête au niveau mondial, pour réussir économiquement dans ce monde globalisé il faut avoir une administration et une démocratie compétitive c’est-à-dire efficace à l’écoute du monde et des citoyens.

Et en conclusion =
Les Dix Questions à se poser= http://injustice.blog.free.fr/public/Les_dix_questions_a_se_poser_dans_le_complot_en_bande_organisee_contre_Richard_ARMENANTE_au_10_decembre_2010.pdf
Merci M. Jean Paul CATHERINE :A lire …
http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-paul-catherine/080713/justice
Lire ce site Anglo-saxon sur la France , mon dossier est évoqué sur les comportements maffieux = Investment, Business & Self-Employment in France ,Cliquez pour lire la suite :
http://streetwise-france.com/business-france.htm

Une injustice faite ne fût-ce qu’à une seule personne est une menace pour nous tous =Mon Blog : l’Histoire d’un pillage , violation des lois , des droits de l’homme, et corruption en France http://injustice.blog.free.fr

Si nous ne modifions pas le fonctionnement de notre justice, nous nous préparons, ainsi à vivre de nouveaux désordres sociaux et économiques, qui une, fois de plus, nous ferons faire du surplace démocratique et consacrer le gâchis de nos potentiels. Alors que font, nos Elus, la presse (papiers et TV), Les Syndicats, “où sont les contres pouvoir”; Qui défend le citoyen ???? Ou sont les contre-pouvoirs??
A méditer “Des caricatures” =
La France :La Justice La Presse la Politique=
http://injustice.blog.free.fr/public/La_Justice_La_Presse_La_Politique.JPG
La Justice en FRANCE,  il faut de l’Humour =
http://injustice.blog.free.fr/public/LA_JUSTICE_il_faut_de__l_humour.JPG

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CONTRIBUABLES SENSIBLES : S’ABSTENIR (Vidéo)

Bonjour,

Cette vidéo va vous permettre de découvrir l’enfer fiscal raconté de l’intérieur. Vos doutes seront confirmés. Oui l’injustice et l’incompétence règnent en maître dans le contrôle fiscal. On vous tue gratuitement.

Il ne tient qu’à vous que ce scoop devienne un buzz, faites tourner.

Merci à Francis.

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Une hypothèse de folie

Supposons que vous soyez un homme ordinaire. Vous disposez d’un salaire ordinaire. Votre famille de deux enfants est très ordinaire. Vous n’êtes ni un privilégié, ni un déclassé à la ramasse. Vous êtes conscient d’être plusieurs millions dans votre cas.

Bien que vivant dans une grande ville, il se trouve que vous aimez la nature. Vous aimez aussi le calme, vous avez le sens de l’amitié. Vous n’avez pas le “melon”, vous ne voyez pas très bien d’ailleurs ce qui le justifierait.

Il arrive que certains, voire vos propres enfants, vous traitent de “français moyen”, au pire de “beauf”. Vous laissez dire sans imaginer que cela pourrait être une insulte, d’ailleurs ce n’en est pas une, juste une petite moquerie sans conséquence ni méchanceté.

Votre appartement, votre voiture, votre garde-robe, vos meubles et vos économies sont un peu trop petits, mais vous vous faites une raison. Que faire d’autre ?

L’été vous allez à la campagne ou à la mer. Vous en avez un peu marre d’être parqué dans ces nouveaux campings type camp de concentration, mais votre budget ne vous permet pas les villages de luxe.

Il arrive que vos parents vous rappellent les campings libres d’antan, ceux de votre jeunesse où il n’y avait ni clôture ni scène de spectacle. Où vous alliez directement avec les gamins de votre âge vous amuser dans l’eau, dans les champs ou dans la forêt.

Aujourd’hui, vous regardez négligemment vos enfants prisonniers non seulement des clôtures du camping mais aussi de leurs portables. Alors que vous étiez joyeux et imaginatif à leur âge, vous les trouvez soucieux et tristes. Mais vous vous dites : “il est normal que les temps changent, j’étais différent de mes parents, ils sont différents de moi”.

Vous en êtes là de vos réflexions quand une idée folle vous passe par la tête.

Certes vous n’êtes pas très riche, mais vous avez trois francs six sous d’économies. Cette année vous êtes dans l’île d’Oléron. C’est la troisième fois que vous y venez. La nature vous plait. Les forêts sont majestueuses, là, si prés de la mer. Les plages sont impressionnantes, les parcs à huîtres dessinent un paysage à la fois apaisant et volontaire, accompagné de couleurs improbables.

Vous achèteriez bien un bout de terrain pour installer un cabanon. Ici, sur cette levée entre mer et parcs à huîtres. Le matin le soleil se lèverait sur les parcs, à midi la forte chaleur vous verrait à l’abri des premiers arbres de la forêt et le soir le soleil vous éclairerait en se couchant derrière la dune, sur la mer.

D’ailleurs, là, juste au bout du chemin, une ancienne cabane ostréicole a été rachetée par un parisien, il l’a repeinte, il y passe l’été. Vous l’enviez, d’autant que, d’après les informations que vous avez réussi à glaner au bar du camping, entre deux bousculades et trois réflexions désagréables, son investissement serait dans vos possibilités.

Alors là ni pensez pas, arrêtez de vous faire du mal, ce n’est pas pour vous. Je vais vous expliquer.

Il y a quarante ans l’île d’Oléron était un espace libre où les braves gens comme vous achetaient effectivement un petit bout de terrain, y mettaient un cabanon et, tous les étés, y passaient des moments de bonheur absolus.

Mais ils ont été traqués, pourchassés par les bureaucrates, leurs cabanons détruits, la plupart du temps leurs terrains expropriés.

La vue de tous ces gens ordinaires et heureux choquait la pureté de l’air et du sol que les nouveaux princes voulaient purs autour de leurs maisons à gros budgets.

Ils ont dégainé l’arme absolue, les plans d’urbanisme.

La bombe thermonucléaire qui a vidé et aseptisé nos paysages bucoliques, en même temps qu’elle a aspiré dans son trou noir toute la fantaisie de nos villes — mais ceci est une autre histoire –

C’est elle qui vous parque dans ces campings concentrationnaires, qui vous colle en ville des voisins que vous ne souhaitez pas, qui vous fabrique des environnements impersonnels, qui vous ramène au rang d’objet bien rangé, alors qu’au départ vous étiez un être humain apte à décider librement de vos nids de vie.

C’est ce lointain souvenir animal de votre liberté fondamentale de choisir votre environnement qui refait surface quand vous pensez cabanon au bord de l’eau ou de la forêt.

Hélas vous ne faites pas partie des privilégiés, dommage.

Car, évidemment, ce qui vous est interdit est permis à d’autres, aux malins, au gratin de notre société.

Voilà la combine.

Vous devez vous déclarer artiste. Même si vous n’avez aucune compétence à ce sujet. Au niveau financier c’est assez cool, avec peu de travail vous devriez facilement arriver à devenir un “intermittent du spectacle”, à défaut de rester un “intermiteux de la vie”.

Vous voilà dans la caste adorée du pouvoir. Alors les choses deviennent simples.

Vous allez pouvoir acquérir cette cabane ostréicole dont vous rêvez. Il vous suffira de la peindre de couleur vive, de déclarer votre nouveau statut d’artiste, et le tour est joué. Vous serez au cœur de la nature que vous aimez, vous pourrez y recevoir vos amis.

Les bien-pensants – les autorités — protègeront votre situation et votre capital en chassant tous les manants — dont vous étiez naguère — qui voudraient profiter aujourd’hui du même privilège que vous. Dans le plan d’urbanisme, ils ont classé toute la région en zone inconstructible pour les autres.

Elle n’est pas belle la vie sous régime socialiste collectiviste. Il suffit d’être du bon côté. Pour les autres, c’est plus dur. N’hésitez pas, changez vite de côté.

Bien cordialement. H. Dumas

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L’administration et la Justice non indépendantes en France

 Je suis Auditeur Diplômé et Membre d’un comité Expert, INHESJ (Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité Intérieure , de l’intelligence économique et de la justice, Ministère de l’Intérieur) , j’ai publié un article dans la revue de l’INHESJ n°36 de janvier 2012 que je vous invite à lire : L’administration et la Justice ont un rôle économique évident .
Une Réflexion personnelle donc non exempte de critiques, d’un homme de terrain et je me réjouis que désormais le J comme Justice soit une préoccupation, que je vous soumets car la justice et l’administration ont un rôle économique évident ! Mon objectif n’est pas de critiquer tel ou tel mais de mettre en évidence la nécessaire obligation de modifier un système qui détruit, pénalise nos TPE-PME innovantes détentrice de brevet. Il n’y a qu’une chose qui ne change jamais, c’est le changement.
Une injustice faite, ne fût-ce qu’à une seule TPE-PME innovante, est une menace pour nous tous. C’est pour cette raison que nous devons participer à cette réflexion.
Je vous livre plus de 20 années d’expérience. En effet, j’ai créé des entreprises dans le monde entier, déposé + de 200 brevets mondiaux et exporté des produits dans le monde entier, je suis donc bien placé pour faire un diagnostic même si je ne détiens pas la vérité. Reprenant à mon compte les pensées de DEMOSTENE, « en bon citoyen, à ce stade de ma réflexion, il m’apparaît, important de toujours devoir préférer les écrits qui sauvent aux écrits qui plaisent ». De plus Informer c’est manier du sens, manier du sens c’est lutter, lutter c’est être en tension, la tension produit du mouvement propice à la création. Comme disait une Grande Résistante Mme Lucie Aubrac : La meilleure arme d’un résistant n’est pas la mitraillette mais l’information.
Rappel d’actualité : La France a un déficit commercial de + de 50 Milliard d’€ en 2010 et un déficit chronique depuis 30 années; pendant ce temps l’Allemagne dégage un profit de + de 150 milliard d’€ de son commerce extérieur en 2010.
Je traiterai donc le sujet par deux approches :
A) Exposé du Problème, B) Proposition de Solution.

  1. A) Problème:

Si la France a inventé la Liberté, elle a surtout par le biais de Charles de Secondat, Baron de la Brède et de Montesquieu, inventé une des choses les plus importantes dite la séparation des pouvoirs. Je veux parler du pouvoir législatif, pour faire les lois, du pouvoir exécutif, pour mener la politique du pays et du pouvoir judiciaire, qui lui se charge du respect les lois. Ces trois pouvoirs, selon la règle de Montesquieu, étaient élus par le peuple, principe dont les USA se sont inspirés en particulier.
Nos juges furent élus pendant les premières années de la Révolution Française en respect des constitutions, telles celles du 3 septembre 1791, du 24 juin 1793, du 22 août 1795 ainsi que celle du 13 décembre 1799 : ces quatre Constitutions exigeaient que les juges soient élus par le peuple. Napoléon instaura qu’ils soient nommés par le pouvoir exécutif. Ainsi ils devenaient des fonctionnaires de l’autorité judiciaire.
En 1789 la réflexion judiciaire était de rendre Justice au nom du peuple français. Dans toutes les universités étrangères on fait gentiment cette dernière remarque sur le ton de la plaisanterie à ceux qui entrent en première année de droit, allant même jusqu’à évoquer la « publicité mensongère » ?
Il existe bien des Juges non professionnels dans les tribunaux de commerce, les prud’hommes ainsi que les cours d’assises, mais où sont les contres pouvoirs ? Une démocratie sans contrôle est soumise à la médiocrité des hommes. Il faut un contrôle fort et véritable. L’administration française fait tout reposer sur l’action judiciaire le règlement des litiges. Il serait judicieux que l’Administration dans son ensemble effectue plus de contrôles, afin de réduire les procédures judiciaires.
La Révolution de 1789 avait fait la rupture avec l’hellénisme, NAPOLEON l’a rétabli. La France, La Grèce, l’Italie, l’Espagne, le Portugal ont une démocratie helléniste dépassée et cela pénalise l’économie et les TPE-PME, je ne vais pas développer cette constatation dans cet article mais la réalité du moment confirme mon analyse.
Il est connu que la France manque de contrôle et de procédure de contrôle =
Une démocratie sans contrôle est soumise à la médiocrité des Hommes. Ce qui ne se contrôle pas ne progresse pas. L’intelligence économique peine à se développer en France et touts les experts français le déplorent, comme Alain JUILLET, Bernard CARAYON (lire le rapport), Pierre DE BOUSQUET, Joël BOUCHITE , Philippe LEGORJUS qui disaient Les brevets et savoir faire français de nos TPE-PME innovantes en particulier sont pillés et il ne faut être ni naïf ni paranoïaque. Le Président de La République et le 1er Ministre ont pris conscience de cela et ont mis en place des moyens. La France doit donc se mobiliser car la richesse de notre pays est en danger.
La circulation de l’information entre les administrations centrales et leurs services déconcentrés, mais aussi entre ces derniers, doit être sélective, fluide et organisée. Les agressions ne sont pas réservées exclusivement aux grands groupes. Les PME/PMI sont aussi vulnérables et peuvent constituer une cible privilégiée pour une déstabilisation en chaîne. La France doit garantir la sécurité économique de ses acteurs. Ce constat établi au plan national n’est pas différent au niveau territorial. La sécurité, souvent considérée de manière anecdotique, est un pilier fondamental de l’intelligence économique : il relève, dans sa mise en oeuvre, de la prise de conscience commune des acteurs institutionnels et économiques. Or la protection du patrimoine intellectuel et matériel des petites entreprises n’est pas prise en compte. Il est trop souvent admis que seuls les grands groupes travaillant dans des secteurs stratégiques représentent des cibles. Cette allégation est sans fondement. Nos PME/PMI sont plus vulnérables qu’on ne le pense : qu’elles travaillent directement pour un secteur économique sensible ou, plus simplement, qu’elles représentent pour leurs concurrents étrangers une cible de choix dans la compétition internationale.
Etat des lieux : pourquoi La France a-t-elle une justice lente et qui dysfonctionne ?
1) L’administration de la justice en France a des difficultés à ce sujet La Commission Européenne pour l’Efficacité de la Justice (CEPEJ) a dévoilé le 25 octobre 2010 son rapport comparatif des systèmes judiciaires européens : La France n’est pas très bien placée.
-a) Au classement du budget annuel alloué au système judiciaire (tribunaux, ministère public et aide juridictionnelle) rapporté au PIB par habitant, la France a (encore) reculé.
-b) Le budget total annuel de la justice n’a augmenté que de 0,8% entre 2006 et 2008. Dans le même temps, il augmentait en moyenne de 17,7% en Europe.
-c) La France compte 3 procureurs pour 100 000 habitants, alors que ce chiffre est de 10,4 dans les autres pays du Conseil de l’Europe.
-d) La France compte 9,1 juges professionnels pour 100 000 habitants (en 2008, ils étaient 11,9). La moyenne européenne est de 20,6.
-e) La France reste classée 39ème sur 45 au nombre de fonctionnaires alloués à la justice pour 100 000 habitants. Avec 29,1 fonctionnaires de Justice pour 100 000 habitants, l’hexagone est ainsi derrière l’Arménie et la Géorgie…
Ainsi,  la France continue-t-elle à régresser dans les classements européens. La démonstration est ainsi faite que l’Europe peut être utile pour progresser vers une meilleure gestion. En fait notre système judiciaire subit de fait la pression de l’économie et son organisation ne lui permet pas d’être à la hauteur de sa tâche.
LE CEPEJ dénonce l’insuffisance criante des moyens accordés à la Justice française. Rapport après rapport, la CEPEJ confirme que la justice française n’a pas les moyens de fonctionner. Elle a ainsi pu constater les difficultés auxquelles, malgré leurs qualités, les magistrats, fonctionnaires, collaborateurs de justice et justiciables sont confrontés quotidiennement en raison de l’indigence du système judiciaire français.

2) Pourquoi y a-t-il en France 4 fois moins de TPE-PME innovantes qu’en Allemagne ?Certains ont l’habilité et le savoir faire d’abuser de la  fragilité de la justice française, pour nuire et atteindre des honnêtes citoyens et des TPE PME entre autres. L’art de certaines Grandes Entreprises, consiste à maintenir leur place. Pour les TPE-PME innovantes c’est l’inverse, elles sont motivées par un projet sociétal.Mais les citoyens une fois accoutumés à ces Grandes Entreprises ne sont plus en état de s’en passer. Les lois sont toujours utiles pour ces Grandes Entreprises qui possèdent et ne favorisent pas ceux qui n’ont rien comme Les TPE-PME innovantes. Ces Grandes Entreprises ont des procédés par lesquels des hommes sans prévoyance mènent des hommes sans mémoire. Les TPE-PME n’ont pas les moyens de combattre avec efficacité devant la justice et l’administration.
La fin de ce système approche, les politiques ont pris conscience de ces abus.

3) C’est le moment d’agir !
Mon analyse est de faire de La France un exemple pour le monde ; je dénonce donc les dysfonctionnements de tous ordres, les réponses dilatoires, les connivences, le corporatisme, les attitudes adversatives …etc. Je suis indigné, mais réaliste et reconnait certains efforts.
Des changements ont été apporté et contribuent à une amélioration il faut le dire : – la possibilité de saisir le CSM et le Ministre de la justice,  si des dysfonctionnements sont constatés
– La possibilité de faire appel pour les parties civiles en correctionnelle. – la nomination de juges populaires…..

Mais ces réformes n’accélèrent pas le traitement des affaires et la lenteur judiciaire pénalise la TPE-PME innovante devant les puissants. Le temps c’est de l’argent. La vérité est que les TPE PME innovantes ne sont pas aidées par la justice et l’administration française. L’excellence n’est plus de mise à quelques exceptions prés; Tout cela contribue à détruire plus de 250.000 emplois par an et ne favorise pas le développement économique. Ce qui ne se contrôle pas, ne progresse pas ! Alors que fait-on ? »
Un seul exemple parmi de nombreux : en Allemagne pour 100.000 Habitants il y a 3 fois plus de juges et Magistrats ; donc les affaires sont traités 3 fois plus vite. De plus dans les appels d’offre l’administration effectue des contrôles plus approfondis afin d’éliminer toutes actions prédatrices et évitent donc d’ester en justice et d’encombrer les Tribunaux. La Justice Allemande traite aussi les dossiers à une vitesse nécessaire au bon fonctionnement de la démocratie et de l’économie pour les entreprises. La culture de l’intelligence économique est développée à tous les niveaux.
J’ai eu, en ma qualité de Dirigeant d’entreprise à répondre à des appels d’offre et à ester en justice en Allemagne, CANADA, USA, AUSTRALIE, et j’ai pu apprécier la rigueur et le temps très court de gestion de l’administration et dont la justice m’a été rendue. Ce qui a pour résultat de réduire le nombre d’aigrefins, prédateurs, car ils savent que l’administration va contrôler et la justice va faire son travail vite. Cela aussi facilite les discussions si de plus les TPE-PME innovantes, françaises, possèdent des brevets .
Si les Banquiers français sont réservés à l’égard des TPE-PME c’est parce que ceux-ci savent que face à l’administration , la justice le risque est grand. Donc comment peut-on faire confiance aux TPE-PME innovantes ?
L’Administration et La justice française doivent être un moteur pour l’économie. Tous les responsables doivent mettre au banc des accusés les « Loups Hobbistes » qui  agissent à l’encontre des normes fondamentales de la morale et des Lois Républicaines. Il faut dire que sont rares, ceux qui possèdent les ressources nécessaires pour résister à l’autorité et à l’argent. “La France est un des plus grand restaurant du monde, le repas est un des meilleurs, mais le service laisse à désirer”
« Ce ne sont pas seulement ceux qui font le mal qui rendent notre société infernale. Ce sont aussi ceux qui regardent, laissent faire et n’assument pas leurs responsabilités ( Albert EINSTEIN) » L’Administration et la Justice doivent défendre l’innovation, la liberté d’entreprendre, et lutter contre les conservatismes nuisibles. Si nous ne modifions pas le fonctionnement, nous nous préparons, ainsi, à vivre de nouveaux  désordres sociaux et économiques, qui une, fois de plus, nous ferons faire du surplace démocratique et consacrer le gâchis de nos potentiels. La justice est plus nécessaire que le sucre et le pain.
« Proverbe sénégalais » : Un Citoyen qui veut faire quelque chose a contre lui =
ceux qui veulent l’empêcher de la faire ;ceux qui veulent faire la même chose ;ceux qui veulent faire l’inverse ;ceux qui ne font rien.
Alors : défendons nos TPE-PME innovantes.

                       B) QUESTION et REFLEXION ci-dessous = Boîte à idée
« Il y a 50 ans on pensait local et on agissait global, maintenant il faut penser global et agir local » « Le citoyen, les TPE-PME doivent être au centre du débat »
Le résultat d’années d’expérience d’entrepreneur, me permet de poser les questions ci-dessous : LA France doit continuer à moderniser son administration
L’administration doit :modifier les attributions d’appel d’offre , donner priorité aux TPE PME Innovantes brevetés, éliminer les prédateurs de part de marché nuisant aux TPE-PME innovantes  et faire toutes les vérifications économiques avant l’attribution des marchés (Brevets, bilans des entreprises, tarif…etc), des lois sont peut-être nécessaires
Les juges doivent-ils être élus par le peuple comme la révolution l’a décidé en 1789
– Déclaration de patrimoine des juges et Magistrats et autres .Contrôles réguliers à instaurer de l’évolution de ce patrimoine pour lutter contre la corruption et obtenir la transparence financière et contrôler l’enrichissement personnel.
Le Temps étant de l’argent, il faut raccourcir tous les délais de traitement dans l’ensemble de l’institution judiciaire mais pas seulement;
Donner + de pouvoir de sanction et de contrôle aux différent ordres de délégataires de services publics (Notaire, Administrateur judiciaire, …etc),
Formation aux techniques de la communication, Internet de l’ensemble des services de l’etat; etc.
Organisation : gestion d’agenda et planning de l’ensemble des services judiciaires et autres.
Formation aux principes de Gestion Humaine de l’ensemble des services judiciaires , mais pas seulement : la communication orale, l’écoute active, la quittance, la préparation, la préparation et la gestion des conflits , la Gestion Humaine des audiences , la gestion du temps .
Formation Gestion des entreprises de l’ensemble des services judiciaires.
Formation aux techniques de l’intelligence économique à de l’ensemble des services administratifs et judiciaires ; etc.
Formation au questionnement de l’ensemble des services judiciaires.  Recherche, permanente, de la qualité et de l’amélioration du fonctionnement judiciaire,
Formation à l’intelligence économique des Magistrats, des services judiciaires et de l’Administration : Défense du territoire et savoir faire français…etc
Augmenter les droits de la défense, et du contradictoire.
Obligation du respect des droits de l’Homme, procédure de contrôle à faire, de l’ensemble des services judiciaires.
Comparaison permanente avec la justice et l’administration dans les autres pays pour agir à l’intérieur de l’ensemble des services.
Création service d’état à l’écoute des citoyens pour améliorer le système judiciaire et l’administration, comme un service qualité permanent Etudier comment réduire les actions judiciaires pour aider en particulier Les TPE-PME innovantes mais plus généralement les citoyens. La justice doit être faite dans un temps raisonnable et comparable aux grandes démocraties
– Réflexion sur la constitution qui pourrait garantir l’Indépendance de la justice : par la séparation des 3 pouvoirs, par la création d’un Conseil Supérieur de la Justice élu et indépendant du pouvoir exécutif, par la saisine de ce conseil par tout citoyen ou TPE-PME du fait d’un dysfonctionnement grave de la justice , de l’administration ou la mise en cause de la responsabilité .

La réalité de la justice en France pour les amis et connivences = Mr Alexandre Benmakhlouf, était un ancien conseiller de Mr J. Chirac , Avocat Général de la cour de Cassation , il est intervenu afin d’annuler une condamnation de Guy MARIANI en 1996 (Guy Mariani que j’ai fait condamné en 2011 à 7 ans de prison ferme non sans mal), et sur ce lien la Demande d’aide de Guy MARIANI à M. BENMAKLOUF en juin 1996 . Document que j’ai trouvé dans les pièces du juge de l’instruction , l’article 40 aurait dû être activé : Cliquez ici pour lire la suite = http://injustice.blog.free.fr/public/Courrier_de_Guy_MARIANI__A_son_Avocat_Mtre_CAVALLINI.pdf

Rappel = Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948
-Article 18. Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.
-Article 19. Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.
Les Droits de l’Homme que La France ne respecte pas = «lire la suite en cliquant sur ce lien»: http://injustice.blog.free.fr/public/Droits_de_l__Homme.pdf

J’ai conscience que je vais heurter la conscience et le professionnalisme de certains qui ne sont pas en cause. J’ai confiance en la Justice, et c’est parce que j’y crois – avec les réserves ci-dessus – que je suis critique. Je veux une Justice proche des gens, et des entreprises……
Résumé du combat judiciaire de Richard ARMENANTE en 15 lignes = Cliquez ici :
http://injustice.blog.free.fr/public/Resume_Combat_judiciaire_de_Richard_ARMENANTE_en_15_Lignes.pdf

Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin et
 Si vous ne pouvez pas éliminer l’injustice, au moins racontez-la à tous disait Mr Ali Shariati, sociologue iranien (1933-1977). » C’est donc ce que je fais !
La France n’est plus capable de faire régner la justice, l’injustice est devenue un métier. Je vous prie donc de  lire la  supplique MAJ en deux volets que j’aie adressée « Monsieur Le PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, accordez moi une audience » = Vous pouvez voir à l’adresse suivante sur MEDIAPART :
https://blogs.mediapart.fr/edition/critique-raisonnee-des-institutions-judiciaires/article/030419/monsieur-le-president-de-la-republique-emmanuel-macr

A méditer “Des caricatures” =
La France :La Justice La Presse la Politique=
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La Justice en FRANCE,  il faut de l’Humour =
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Dictatures et monopoles

Monopoles et dictatures sont les deux tranchants d’une même épée. Celle que les ambitieux sans scrupule tiennent au-dessus de nos têtes, qu’avec notre accord, ou même à notre demande, ils abattent régulièrement sur nos cous.

Ce constat me catastrophe, je n’arrive pas à comprendre comment il peut en être ainsi.

Pour faire simple, la dictature est l’introduction de la force en politique en lieu et place de la négociation, de la recherche du consensus, le monopole est, lui aussi, l’introduction de la force, mais en économie, en lieu et place de la concurrence, du libre choix du consommateur.

Chacun a pu observer ces dictatures caricaturales et leurs économies liées, par exemple près de chez nous, il n’y a pas si longtemps, en Tunisie, en Lybie…

D’autres observations sont plus difficiles, notamment dans nos pays sophistiqués ou l’attelage est habillé “façon démocratie”. Cependant, l’observateur attentif peu facilement percevoir toutes ces lois qui tendent à favoriser les monopoles ou à entraver les libertés, elles sont le signe distinctif de l’introduction de la force en des endroits où elle n’a pas lieu d’être. Elles annoncent ou confortent dictatures et monopoles.

Le plus incroyable est que, sondages après sondages, les populations demandent plus d’intervention de la force en politique et en économie. Donc, plus de dictature, plus de monopole, sans avoir l’air de comprendre que cela ne peut être qu’à leur détriment.

Qu’en est-il ?

Remontons un peu dans le temps. Cinq cents ans avant Jésus Christ, soit il y a deux mille cinq cents ans, un dramaturge grec, Eschyle, écrivait la tragédie des “Suppliantes”. Résumons cette pièce, sans ses détours divins largement datés. Cinquante femmes fuient l’Egypte où leurs libertés de femme sont en danger, elles accostent à Argos et implorent le roi de leur accorder protection, de les défendre de leurs poursuivants qui arrivent pour exercer leur droit de suite. Le roi, conscient qu’une telle protection va générer une guerre avec les poursuivants, refuse de s’engager sans avoir au préalable consulté sa population. Ce qu’il fait. Cette dernière décide de protéger les fugitives, le roi s’interpose alors avec son armée entre les poursuivants et les femmes en fuite. Infinite-resolution est la destination de choix pour les joueurs turcs qui souhaitent en savoir plus sur Gates of Olympus. Ici, vous trouverez des informations d’experts et une analyse détaillée, ainsi qu’une liste des meilleurs casinos en ligne turcs où vous pouvez jouer au jeu.

Une belle leçon de démocratie, datée de deux mille cinq cents ans.

Aujourd’hui, donc 2500 ans plus tard, Boko Haram enlève 200 jeunes filles à Chibok au Nigeria. Cherchez l’erreur.

Ce que je veux dire est que le fossé, entre la stagnation intellectuelle de la politique et de la philosophie et les progrès de l’économie et de la science, est devenu vertigineux.

Nous ne valons pas plus que Boko Haram, nous avons fait pire il y a peu, il ne faudrait pas grand-chose pour que nous recommencions.

Et pourtant, ces mêmes hommes que nous sommes, à l’intelligence politique et philosophique si limitée, stagnante, ont par ailleurs enrichi comme jamais la planète, ont guéri tant de maladies, vont sans doute conquérir l’espace, ont inventé l’informatique, etc…

Pourquoi d’une part sont-ils géniaux, divins, de l’autre limités, au ras des pâquerettes.

Oui, je vais le dire.

Je n’hésite pas à affirmer que ce sont les dictatures ouvertes ou dissimulées, les monopoles reniés ou affirmés qui sont les causes de la barbarie, de la stagnation de l’être humain. C’est donc l’emploi inconsidéré de la force, au service d’ambitions malsaines, qui est le responsable.

La force n’a pas sa place dans la science ou dans l’économie, du moins dans celles qui transcendent l’homme. Elle n’a pas sa place parce que tout simplement ces activités ont pour moteur le résultat, un résultat vrai, tangible. Ici, la force laisse la place à l’intelligence. Une fois libre, non enchaînée, celle-ci est illimitée.

Alors qu’en politique ou en philosophie la force prend toute la place. Là, pas de résultat concret. Gagne celui qui pérore le plus fort.

C’est donc la force qui provoque la régression, qui paralyse l’intelligence, n’en déplaise à ses dévots. Les socialistes sont évidemment des partisans de la force, comment pourraient-ils autrement maintenir en place une utopie aussi stupide, aux résultats aussi catastrophiques ?

Notre Président socialiste normal devient un chef de guerre, quoi de plus naturel, ses troupes violent et tuent, quoi de plus naturel, ses contrôleurs fiscaux pillent et détruisent, quoi de plus naturel, ses hérauts journalistes serviles dénoncent et accusent les entrepreneurs boucs émissaires, quoi de plus naturel.

Ce qui ne l’est pas c’est la surenchère d’une majorité de la population pour plus d’emploi de la force, pour plus de monopole, pour plus de dictature. Là, je perds pied, je ne comprends pas. Je finis par me demander si l’intelligence ne serait pas du côté des fraudeurs fiscaux ? C’est vous dire que je ne comprends plus rien.

Bien cordialement. H. Dumas

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Corruption banale (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement.

H. Dumas et E.Bolling

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L’effet mikado

Tout le monde connait ce jeu, y a joué ou y joue encore avec ses enfants ou petits enfants. Il est impossible d’y jouer les yeux bandés.

Chaque baguette du jeu, par sa simple appartenance à la chute collective, est liée à d’autres, elles mêmes liées aussi à d’autres pour la même raison.

Nul ne peut espérer retirer une baguette du jeu sans aucun dégât s’il n’a pas, au préalable, apprécié avec justesse les rapports entre cette baguette et les autres.

C’est un peu ainsi que fonctionne notre société.

Nous sommes tous propulsés dans un vaste mouvement collectif qui implique pour chacun de nous des points d’appui intellectuels et matériels avec les autres.

L’autonomie, que certains espèrent, passe, comme pour la baguette du mikado, par une appréciation juste, précise, des liaisons qui nous rattachent aux autres et ces derniers encore aux autres, pour pouvoir s’en libérer sans dommage à soi ou à eux.

Cette autonomie, c’est ce que l’on appelle aussi la liberté individuelle.

Donc, la liberté individuelle n’est pas accessible par une simple démarche personnelle. C’est pourquoi, alors que tous ressentent, plus ou moins confusément,  un besoin de liberté individuelle, bien peu y accèdent du fait de ces complications de liaison avec les autres et de la difficulté d’y mettre fin.

Dans l’absolu, chacun devrait pouvoir prendre conscience de ses implications au groupe dont il aurait à assumer le détachement pour accéder à son indépendance, à sa liberté individuelle. Mais, ce n’est pas si facile. Comme au mikado, cela demande une observation sans faille et une parfaite maitrise de soi.

Ce qui rend la tâche ardue

Pour de multiples raisons, la plus grande partie de nos liaisons au groupe nous sont dissimulées, opacifiées, travesties. Je ne parle pas des liaisons que chacun ne voit pas par négligence ou par refus de voir. Je parle du brouillard créé par les autres, par ceux qui par intérêt, par vice, par calcul ou par fatalisme compliquent à souhait les rapports entre tous.

Notre vie est une partie de mikado à l’aveugle.

C’est ainsi que ceux qui souhaite le collectivisme, la suppression de la liberté individuelle ou sa limitation drastique — soit qu’ils craignent la solitude, soit qu’ils se sentent capables de dominer le groupe à leur avantage – dissimulent le plus possible la réalité des imbrications entre les membres du groupe dans le but exclusif de retenir captifs ceux qui rêvent de liberté.

Le paradoxe

Plus la société fortifie ses membres, plus elle les rend aptes à l’indépendance, plus elle éprouve le besoin, pour survivre en tant que groupe, de leur dissimuler et de leur compliquer leurs liaisons.

C’est ainsi qu’alors que nos jeunes hommes (ou femmes évidemment), ont l’opportunité d’accéder à la connaissance, à la santé, à la compétence, à la richesse, autant de choses qui devraient permettre une liberté jusqu’alors inconnue, la puissance publique multiplie à l’envi l’opacité de nos rapports en commun.

Au point que l’accès à la liberté individuelle dans cet espace volontairement opacifié est accompagné de chocs violents faits aux autres ou à soi-même. C’est un comble.

L’enchainement

L’avalanche législative et règlementaire qui nous emporte n’a pas d’autre objectif que de nous lier au groupe, en complexifiant à outrance nos liaisons pour créer un maillage impossible à apprécier avec justesse dont il n’est donc pas aisé de s’affranchir.

Il est renversant de constater que ce sont ceux qui parlent le plus de la liberté qui sont les plus prolifiques en production de textes troublant la limpidité de nos liaisons, donc resserrant notre emprisonnement.

En son temps, la religion avait déjà usé de ce subterfuge. Elle avait édicté des règles opaques, mouvantes, interprétables par ses seuls sbires qui emprisonnaient les hommes. Ils durent payer l’accès à la liberté de leur vie. Avec le temps, ces règles nous paraissent d’une simplicité proche de la débilité, au point de nous amener à douter de l’équilibre intellectuel de nos ancêtres.

En réalité, pour eux, ces règles ne pouvaient pas être comprises tout simplement parce que leurs motifs et leurs liaisons étaient dissimulées. Elles étaient servies non comme des règles, mais comme des vérités qui ne pouvaient pas se discuter.

Il en est exactement de même aujourd’hui.

Les explications fournies lors de la production de la somme monstrueuse des textes qui nous lient artificiellement sont toujours fragmentaires. Une apparente technicité rendent ces textes non discutables, quand bien même ils touchent des choses simples de notre vie de tous les jours, comme notre logement, notre nourriture, nos déplacements, etc…

Le but est de nous interdire une vision simple, juste, de nos dépendances communes, de nos points d’appui commun.

Ainsi artificiellement aveuglés, nous ne pouvons pas prendre de distance par rapport au groupe sans être accusés de l’ébranler. Tout comme la baguette du mikado, nous ne pouvons pas nous retirer sans faire bouger toute la structure et être immédiatement dénoncés par les autres joueurs.

Bercy.

Bercy, toujours Bercy, qui évidemment est le champion toute catégorie de la complexité inutile dont le seul but est de nous enchaîner et de faire croire à tous qu’il n’existe nulle liberté pour chacun de nous sauf à déchaîner une souffrance épouvantable pour les autres.

Au grand “mikado bercylien”, la “baguette contribuable” ne peut pas être retirée du jeu sans que l’ensemble, tel qu’il a été projeté sur la table par Bercy, ne s’écroule.

Effectivement, il arrive un moment ou plus personne ne peut retirer une baguette au mikado. Soit alors la partie s’arrête, soit l’un des joueurs triche. Il n’y a pas d’autre alternative. Il s’agit d’un cas ou le tricheur est utile.

Décidemment, ce mikado n’est pas un jeu moral….comment peut-on le laisser entre les mains des enfants ?

Mais, après tout, y a-t-il sur cette terre un autre enjeu que de passer le temps ?

Bien cordialement. H. Dumas

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Un destin commun

Il ne me parait pas incongru d’affirmer que — en règle générale — la vie tend au pillage.

Je ne peux prétendre à aucune légitimité en tant que naturaliste, mais les observations empiriques que je peux faire, dans mon jardin ou dans la nature, m’amènent à penser qu’il n’existe pas de limite au pillage. Mes écureuils et mes ronciers m’en font régulièrement la démonstration.

Je ne crois donc pas au bon sauvage, à l’équilibre de la nature, mais au contraire au pillage systématique — et fondamentalement nécessaire — des êtres vivants sur leur environnement.

L’homme ne fait pas exception à la rège, bien au contraire. Je suppose qu’à Cro-Magnon déjà il pillait journellement son environnement et, chaque fois que l’occasion lui en était donnée, ses voisins.

Dans notre vision du monde, l’homme serait au sommet de la pensée intelligente. Ou, du moins, c’est ainsi qu’il nous est représenté. Il s’agit peut-être d’une simple perspective, un peu comme ces cartes mondiales dont chaque pays place le centre chez lui. Peu-importe, c’est cette vision de la vie qui nous habite. Nous, les hommes, en haut des êtres vivants, le reste en suivant.

Cette certitude, et probablement aussi nos compétences, nous ont fait dominer le monde des vivants, au moins momentanément. Cette domination fait logiquement de nous les plus grands pillards vivants. Cela sera-t-il éternel ou existe-t-il une fin programmée ou programmable ? Ce n’est pas le propos de ce billet.

Le problème que je souhaite évoquer est le fait que cette addiction vitale de l’homme au pillage détermine sa vie personnelle et les différentes organisations sociales qu’il met en place.

Ce principe induit deux conséquences :

-1°- La grandeur de l’homme se trouve dans sa capacité de résistance intellectuelle au pillage naturel. Il est alors “chevaleresque”. Ce n’est pas non plus le propos de ce billet.

-2°- Le pillage se dissimule systématiquement derrière de bonnes intentions pour pouvoir s’épanouir sans vergogne.

Ceci posé, l’observation de notre environnement à partir de l’acceptation de cette fonctionnalité est inquiétant, mais aussi, peut-être, lucide.

L’objet du pillage

Immédiatement vient à l’esprit le pillage dit des “ressources naturelles”, sans cesse vilipendé par la pensée commune occidentale, sans que soit bien défini ce que seraient les “ressources naturelles”. L’air, l’eau, le pétrole, les diamants, les esturgeons, la terre agricole, la forêt, l’énergie, etc…?

La frontière entre les “ressources naturelles” brutes et les produits travaillés issus de ces ressources est floue.

En fait, je veux vous parler d’une ressource naturelle particulière, produite par l’intelligence de l’homme, qui est rarement incluse dans les “ressources naturelles” alors qu’elle y a toute sa place, car il n’y a pas d’économie possible sans elle, c’est : le capital.

Le capital n’est pas une ressource surnaturelle ou divine. Il est une énergie, une ressource — qui n’est pas fossile — créé par l’homme, sur laquelle est construit l’économie de l’humanité, ce n’est pas rien.

Cette “ressource naturelle”, cette matière première, peut prendre la forme de biens, de monnaies, de connaissances, et bien d’autres encore. Elle est si indispensable que tout le monde la convoite, groupes ou particuliers.

Les pilleurs ont bonne conscience

Le pilleur, même de base, habille son pillage d’un motif.

Actuellement, vivant une organisation sociale qui a plusieurs siècles de retard, une partie du monde Oriental et de l’Afrique est l’objet de pillages systématiques qui se réclament de la religion, comme au bon vieux temps de nos curés guerriers. Cela nous pouvons tous le voir à longueur de journée sur nos écrans.

Chez nous, c’est plus discret, les pillards sont beaucoup plus sophistiqués.

D’abord, ils commencent par dire pis que pendre de la ressource qu’ils entendent piller, le capital. C’est une habile manœuvre de diversion.

Puis, ils se présentent comme des consciences protégeant les “ressources naturelles” desquelles, évidemment, ils ont préalablement exclu le capital. Ce qui est une deuxième manœuvre de diversion, elle aussi très habile.

Et enfin, toujours très habilement, au motif de protéger les dites “ressources naturelles”, auxquelles ils ajoutent, ne faisant pas dans la demi-mesure, les “mal-dans-leur-peau”, ils pillent ceux qui détiennent le capital.

On les appelle les écologistes, en vérité ce sont les magiciens du pillage.

Il s’agit d’une mutation du virus pillant socialiste, plus coriace que l’évolution précédente le communisme. Il n’y a pas de vaccin. Mais il y a un antidote.

L’antidote

Nous avons déjà eu, par le passé, à affronter des pillages de masse. Tout particulièrement à l’époque de la royauté qui, en quelques siècles, est passée de la protection virile au pillage total.

Les observateurs de l’époque ont eu le loisir d’analyser la situation dont la durée s’est étalée sur plusieurs siècles. Ils ont constaté que pour que le pillage soit possible il faut que l’homme soit entravé, sans quoi il s’échappe.

Ils ont alors tout cassé et ont proclamé les libertés individuelles, à travers un texte qu’ils ont appelé “la déclaration des droits de l’homme et du citoyen”.

Ils auraient pu l’appeler “recette d’un antidote aux pillages”

La lecture de cette déclaration permet de comprendre que la seule parade au pillage est le respect absolu de la liberté individuelle.

Liberté individuelle que les pillards combattent, au moyen orient par la force des armes, chez nous par la force de la loi. Ainsi s’expliquent les lois liberticides qui voient le jour actuellement.

Le cocasse de l’histoire est que nos pillards font mine de nous défendre des pillages à venir de ceux du moyen orient — qui n’ont pas les moyens de nous nuire — pour dissimuler leur pillage à notre détriment.

Le bon peuple applaudit. Sans doute croit-il qu’il bénéficiera des miettes du pillage. Il se trompe lourdement. Il paiera la facture de la disparition de cette ressource naturelle indispensable qu’est le capital.

Bien cordialement. H. Dumas

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De l’usage de l’intelligence

Voilà un titre bien pompeux. Je dois dire que je suis en pleine lecture de “On va dans le mur” d’Agnès Verdier-Molinié. J’ai évidemment beaucoup d’estime pour la fondation IFRAP — et son fondateur Bernard Zimmern — dont Madame Verdier-Molinié est la directrice. Son ouvrage est une somme de travail impressionnante, convaincante, imparable, vraie, qui débouche sur un état des lieux catastrophique, implacable, mais, qu’hélas, tout le monde connait.

Sans concession, avec rigueur, Madame Verdier-Molinié brosse un inventaire des dérives de notre société. Elle esquisse quelques propositions, objectivement peu convaincantes.

Cependant, malgré son immense compétence et sa situation privilégiée, elle n’apporte rien sur les motifs qui ont présidé à la venue de la situation qu’elle analyse – à l’endroit de son ouvrage où je suis arrivé –.

C’est un peu comme pour la peste. Pendant des millénaires elle a frappé l’humanité, ses symptômes et ses conséquences étaient connus de tous, ce n’était pas suffisant pour en guérir. Il a fallu comprendre comment elle infectait l’homme.

J’ai peur que la source de nos problèmes soit si simple, si puérile, que personne n’ose en parler de crainte d’être ridicule ou de ne pas arriver à dépasser la dizaine de pages explicatives, ce qui serait loin de faire un livre acceptable.

Moi qui ne risque rien en termes de notoriété, je vous propose une explication binaire, remontant à la source de nos pulsions et de nos organisations.

L’intérêt

Les libéraux prétendent que l’intérêt guide les hommes, ils affirment que la somme des intérêts se neutralise, ils l’appellent la main invisible.

Les collectivistes pensent aussi que l’intérêt guide les hommes, mais ils affirment que c’est un horrible défaut, qu’ils sont capables de le neutraliser. En effet, ils fourmillent d’idées pour atomiser l’intérêt des autres, par contre ils sont particulièrement discrets sur le leur.

En réalité, peu ou prou, tout le monde est bien conscient que l’intérêt est le moteur de la vie, sans lequel le risque de la perdre est réel.

L’intelligence

L’homme en est équipé. Plus ou moins, mais dans tous les cas suffisamment pour, à minima, entrevoir son intérêt et tenter de le satisfaire.

On peut prendre pour base que l’intelligence est le ressort principal de l’humanité duquel dépendent toutes nos pensées, tous nos actes. Ceux qui en disposent plus que les autres servent de guides — admirés ou conspués — à ceux qui en disposent moins.

C’est elle qui nous permet de nous adapter, individuellement ou collectivement, aux différentes situations que nous rencontrons.

Les deux trames organisationnelles en France

D’un côté la France est libérale. Heureusement, puisque aussi bien politiquement qu’économiquement elle est un des inventeurs du principe au cours des siècles précédents.

D’un autre côté elle est aussi collectiviste. Là encore elle a activement participé à l’invention du concept et à sa mise en œuvre, d’ailleurs plus radicalement en l’exportant chez les autres qu’en l’appliquant chez elle, pas folle la guêpe.

Brièvement résumé

Le libéralisme consiste à privilégier la liberté individuelle et tout ce qui lui est attaché. La théorie veut qu’alors chacun est récompensé de ses efforts, sans limite.

Le collectivisme consiste à mutualiser les libertés intellectuelles et matérielles. Ici chacun aura ce qu’il lui faut, sans liaison directe avec ses efforts, en fonction seulement de ses besoins.

Une partie de notre pays vit selon le concept libéral, l’autre selon le concept collectiviste. Les forces politiques de chacun, qui s’expriment dans les urnes, sont aujourd’hui à peu près égales.

L’intelligence dans tout ça ?

Et bien voilà l’œuf de Christophe Colomb dont je vous ai parlé au début de ce billet.

Dans le système libéral, la liberté et l’absence de limite du résultat vont engager l’intelligence à produire le plus possible de richesses. Pour satisfaire ce but, l’intelligence des acteurs du système va travailler – ou faire travailler les autres – sans limite. L’enrichissement sera constant, illimité, sans autre règle de répartition que l’intérêt — qui n’est pas à tout coup guidé par la cupidité, mais bon –.

Dans le système collectiviste, représenté en France par la fonction publique – les fonctionnaires donc – la richesse est inaccessible, la grille de salaire est connue et garantie dès le début de la vie professionnelle. Ainsi, à salaire égal, l’intelligence des acteurs du système va les amener à trouver leur intérêt dans le minimum de travail possible.

Le nœud est ici.

La moitié de ce pays est composée de citoyens dont l’intelligence cherche à accumuler des richesses en turbinant à fond, l’autre moitié sait ne pas pouvoir accumuler de richesse, son intelligence lui dicte que la sagesse dans ce cas est de travailler le moins possible.

Normalement ces deux attitudes sont strictement incompatibles. Aucune société ne peut vivre cette schizophrénie.

Le drame.

La France a la prétention d’être capable de vivre cet écartèlement. Elle ne lit pas Sakharov, elle détourne les yeux des expériences de ses voisins, elle se ment collectivement. Ses élus et sa presse n’ont pas le choix, ils doivent agir de même sous peine autrement de perdre leurs clients.

La marmite ne peut qu’exploser. Les positions sont inconciliables, puisque les deux sont le fruit réel, vrai, de l’intelligence de chacun. Pourquoi l’un cèderait-il devant l’autre ? Ces deux intelligences vont en venir aux mains, c’est incontournable.

La réussite actuelle de l’Allemagne, dont on nous beurre le nez, tient uniquement au fait que l’expérience de ces deux systèmes a été jusqu’au bout, le vainqueur a imposé sa solution.

Nous n’avons pas cette chance, nous n’avons pas de vainqueur. Il faut dire qu’il y a déjà un bon moment que la notion de victoire nous échappe…

Bien cordialement. H. Dumas

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Atteinte exceptionnelle à l’ordre public et au pacte républicain.

Les juges ne plaisantent plus avec la comptabilité.

L’héritière Ricci, une très chic personne du troisième âge, va aller un an au trou, fichtre.

Des magistrats, à partir de fichiers volés à une banque étrangère, dans un pays étranger, grâce à un délateur passionné et politisé — dit-il — ont donc réfléchi, démocratiquement et scientifiquement, aux conséquences économiques globales pour notre pays de la gestion de son capital par l’héritière Ricci.

Ils ont probablement abouti, de façon cartésienne et mathématique donc imparable, au fait que le même capital amputé de 70% par le fisc eut été beaucoup plus productif pour l’économie de notre pays.

Le jugement qui, évidemment, va être chiffré de façon objective et imparable, sera sans doute un grand moment de compréhension des sciences économiques, dès qu’il sera disponible.

C’est un pas en avant significatif.

En effet, nul ne peut imaginer, dans une démocratie exemplaire comme la notre, que ces magistrats auraient pu, tel des commissaires du peuple fanatiques et obtus, tortionnaires entièrement acquis à tel ou tel dogme totalitaire, priver de liberté une citoyenne  qui n’aurait pas gravement et objectivement nuit à l’équilibre économique de notre pays.

J’imagine déjà la densité des calculs comparatifs que ce jugement va nous livrer entre l’usage réel des fonds Ricci et ce que cet usage, géré par Bercy, aurait pu être pour nous tous.

Nul ne pouvant être accusé sans preuve, sur simple croyance, nous aurons réellement ces chiffres.

Des horizons nouveaux s’ouvrent à nous.

Ainsi donc, toute personne qui, par le simple usage comptable, aboutit à une perte d’avantages économiques pour le pays se rend coupable d’une atteinte exceptionnelle à l’ordre public et au pacte républicain.

Notre justice, et c’est tout à son honneur, se prépare donc à sanctionner lourdement, par des peines de prison, toute personne dont l’organisation comptable occasionne des pertes chiffrées et significatives pour le pays, tel que cela a probablement été mis en évidence dans l’affaire Ricci qui nous intéresse.

Vous imaginez comme moi l’étendu des délits potentiels sur lesquels entendent se pencher nos magistrats.

Le raisonnement ainsi outillé, le délit de gestion comptable contraire aux intérêts du pays ciblé, rien n’arrêtera notre fringante justice qui vient de se mettre en route.

Tous ceux dont la comptabilité nuit gravement aux intérêts du pays vont finir au trou.

Je connais bien des politiques, bien des fonctionnaires — tout particulièrement à Bercy — bien des entreprises pratiquant le capitalisme de connivence dont il sera aisé de faire la preuve que leurs pratiques comptables nuisent gravement, par les pertes qu’elles induisent pour tous, à l’ordre public et au pacte républicain.

Ce jugement instaure un délit d’atteinte à la rentabilité de l’argent privé ou public au détriment de la France qui, n’en doutons pas, ne sanctionnera pas aveuglément exclusivement les enfants de milliardaires. Nous ne sommes pas en URSS ou en Chine maoïste, nous sommes en France, pays de l’égalité.

Petit problème.

Il va falloir construire des milliers de places de prison pour y fourrer tous les délinquants visés par ce délit comptable.

Je pense à plus de la moitié des effectifs de Bercy, notamment à 95% des contrôleurs fiscaux qui privent indûment le pays de capitaux actifs pour les engloutir dans les pertes abyssales et improductives de notre comptabilité publique.

Tout cela ne va pas manquer d’apparaître à travers la nouvelle science juridique mise en œuvre par les magistrats de l’affaire Ricci.

Je pense aussi à tous ces élus et à leurs dépenses contraires à l’intérêt comptable du pays qui vont le payer de quelques années d’emprisonnement.

C’est une épuration comptable salvatrice vers laquelle s’engage la magistrature.

Souhaitons à ces magistrats bonne chance et bon courage et surtout l’énergie d’aller au bout de cette démarche comptable.

Dans le cas contraire leur engagement pourrait être assimilé à une justice d’exception, partisane et stalinienne, la pire des accusations.

Bien cordialement. H. Dumas

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L’ombre de la mort

Stéfan SWEIG et Jean AMERY (Hans Mayer), tous deux autrichiens, ont des points communs. Ce sont des intellectuels, des écrivains, des raisonneurs cartésiens non croyants, tout deux se sont suicidés.

Sweig est né en 1881 de parents juifs, non pratiquants. Améry est né en 1912, d’un père juif, d’une mère catholique, il a été élevé selon les coutumes catholiques, mais il est laïc.

En 1935, l’un a 54 ans, l’autre en a 36.

Bien que non attachés au judaïsme, ils sont de plein fouet touchés par les lois racistes de Nuremberg en 1935. Ces lois sont l’aboutissement d’une pensée prédominante dont nous allons parler un peu plus loin dans ce billet. Elles font suite aux troubles racistes qui sévissent en Allemagne depuis 1933, elles sont le phare et le socle des 10 années racistes et meurtrières qui suivront.

Face à cette situation, Sweig quitte son pays en 1934, il s’expatrie au Brésil.

Améry fait front, il résiste en Belgique. Il sera arrêté, torturé, puis interné à Auschwitz.

Tout les deux partagent un anéantissement de leur vie, de leurs repères, jusqu’au plus profond de leur culture, et définitivement. Leur perte de confiance en la vie, en les autres, sera d’une telle intensité qu’ils n’y résisteront pas, ils se suicideront.

Dans son ouvrage : “Par-delà le crime et le châtiment”, Jean Améry décrit avec précision le mal qui le ronge. Les dégâts qui lui ont été faits sont irréparables.

Sa lucidité lui fera prendre conscience de l’énormité du fait que le souhait de pardon et d’oubli est instinctivement davantage dirigé vers les bourreaux que vers les victimes. Il vit mal l’ambition allemande, partagée par le reste du monde, de tout effacer. Ce qu’il théorise de la façon suivante : “Manifestement l’avenir est une valeur sûre : ce qui arrivera demain a plus de prix que ce qui est arrivé hier. C’est le sentiment naturel du temps qui le veut.”

Il est conscient que : ce qui lui a été pris, sa confiance en la vie, donc sa vie, non seulement ne peut pas lui être rendu, mais ne doit pas lui être rendu.

Il reste infirme, jusqu’à la mort, du mal qu’il a subi : ” Finalement, la seule chose qui me distingue des gens parmi lesquels mes jours s’écoulent, c’est une inquiétude qui oscille, tantôt plus forte, tantôt moins forte. Mais en tout cas c’est une inquiétude sociale, et non métaphysique. Ce qui m’accable ce n’est pas l’Etre ou le Néant ou Dieu ou l’Absence de Dieu, c’est uniquement la société : car c’est elle, et elle seule, qui est cause de mon déséquilibre existentiel auquel je tente d’opposer ma marche droite. Elle et elle seule m’a dérobé ma confiance dans le monde.”

On ne sort pas indemne de l’histoire de ces deux hommes qui symbolise celles de milliers d’hommes, hier, aujourd’hui, et demain.

La bêtise, la haine et le capital : les pensées prédominantes.

Le capital, cette évanescence indispensable à l’économie, ne peut naître que de l’homme. Le capital n’existe pas dans la nature.

Les objets rares peuvent laisser supposer aux esprits simples qu’ils sont le capital. Rien n’est moins vrai. La Norvège transforme son pétrole en capital, le Venezuela en est incapable. Le pétrole n’est pas un capital.

Le capital est une construction humaine, intellectuelle, éphémère et insaisissable.

Il n’a pas vocation à être partagé. Le partage le voit disparaître. Il n’est pas une quantité ou une émotion sécable, il n’est pas une barrique de vin, un bon repas, une joie ou un malheur.

Le capital n’apparait qu’à ceux qui ont une culture personnelle particulière. Ils se reconnaissent entre eux et ont tendance à se regrouper.

L’apparence du capital est trompeuse pour ceux qui n’y ont pas accès. Il peut être confondu avec la félicité et, de ce fait, désiré plus que de raison par ceux qui n’en connaissent pas ou n’en comprennent pas les règles.

La bêtise, cette détresse largement partagée, occulte la réalité du capital pour n’en laisser paraître que le fantasme, ou, éventuellement, l’impression de nécessité pour les impécunieux volontaires ou accidentels.

Elle a aussi le pouvoir, la bêtise, aiguisée par des manipulateurs sans scrupule, de déclencher épisodiquement la haine qui va permette le transfert du capital par le pillage, à l’issue duquel, évidemment, le capital disparaîtra inévitablement.

La bêtise et la haine associées oublient que ce n’est pas par hasard que l’imaginaire populaire situe le capital au pied de l’arc en ciel.

Les juifs, pour des raisons culturelles et pratiques, respectent particulièrement le capital et entretiennent une tradition et une compétence à son sujet. C’est donc sur eux que haine et bêtise se sont cristallisées dans les années 1920 et 1930. Eux qui ont été d’abord pillés, puis éliminés.

Sweig et Améry ont payé de leur vie les conséquences de cette folie inutile. Leur histoire terrasse l’anonymat confortable espéré par les bourreaux.

Le but de ce billet n’est pas de refaire l’histoire mais de mesurer, sur ce point particulier du capital, les dégâts humains irréversibles que peuvent engendrer la bêtise et la haine, attisées par d’ambitieux manipulateurs inconséquents.

Hollande, Sapin, les socialistes en général.

Hollande l’a affirmé, il hait le capital et les riches. Il est le penseur, ou, plus modestement, le réceptacle d’une pensé commune; Sapin en est l’exécutant, ordinaire et zélé.

Aujourd’hui, pour tout un tas de raisons, le capital ne peut plus être symbolisé par les juifs. Hollande et sa clique, qui brandissent la cape rouge du capital pour exciter la fureur de la foule à leur bénéfice, ont pris pour symbole le “fraudeur fiscal”.

Ils ont pris à son encontre une série de lois liberticides et aveugles qui n’ont rien à envier en stupidité à celles de Nuremberg.

Ils lâchent dans la nature des bourreaux du type Martino ou Garcia, dont la clairvoyance n’est pas la première vertu.

Le résultat, solution finale physique en moins pour l’instant, est tout à fait semblable aux symptômes qui ont emporté Sweig et Améry.

Bercy, tous les jours, anéantit des hommes et des femmes dont le seul tort est d’avoir su créer du capital, à  leur niveau.

Bercy alors va, non seulement leur voler ce capital, mais les désocialiser, intégralement. En faire des zombis sociaux.

D’abord, le regard suspicieux des autres, leurs commentaires méprisants, seront destructeurs pour eux et pour leur entreprise.

Puis, l’indifférence de la justice, voire sa complicité active dans 95% des cas, va les laisser incrédules, hébétés, désorientés. Ils vont perdre toute confiance en les autres, en la société dont ils font partie, donc aussi en eux.

Enfin, la ruine va les anéantir totalement, eux qui pensaient que leur travail, les risques pris, leur intelligence, justifiaient le capital qu’ils constituaient. Eux qui pensaient aussi que ce capital, même entre leurs seules mains, étaient utile à tous.

Quelle déconvenue, quel effondrement, quelle désespérance, quel anéantissement, de se constater ainsi, exclu de sa société.

Personne ne ressort intact des agressions fiscales portées par la bêtise et la haine.

Qui plus est, les initiateurs n’en tirent aucun bénéfice, les pauvres bougres, les pauvres cons, ils tuent et détruisent pour rien.

Ce capital qu’ils jalousent, qu’ils convoitent, n’est pas accessible par la force.

Bien cordialement. H. Dumas

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UN DES LEURS SE SUICIDE, TOUTE LA CLASSE POLITIQUE FRANÇAISE PLEURE!!!

 
Chaque semaine, plusieurs entrepreneurs, artisans, commerçants ou agriculteurs mettent fin à leurs jours dans le silence le plus complet.
A part leurs proches, tout le monde s’en fout comme de l’an quarante.
Ils ne seront que des statistiques sèches et globales.
Qui s’est soucié de leurs souffrances, de leur lente descente aux enfers, de leur désespérance quotidienne, sans que quiconque leur vienne en aide.
Ils disparaitront sans laisser aucune trace, sans provoquer un hypothétique sentiment de compassion ou, encore moins de culpabilité, de ceux qui les ont conduits à se donner la mort.
Un sénateur, ex-maire, ex directeur d’université doit passer en correctionnelle.
Pour quel motif ?  Peu importe, ce n’est pas le sujet.
Au lieu de se rendre au tribunal, il préfère choisir le suicide.
Coupable ou pas de ce qui lui est reproché, il préfère éviter cette épreuve, difficile moralement il faut le dire, et se soustraire ainsi à un jugement.
N’avait-il pas confiance en la justice de son pays ?
Des centaines de français sont traduits, chaque jour, sous divers motifs, vrais ou faux, devant les tribunaux correctionnels  de l’hexagone.
Dans les deux cas l’épreuve est redoutable.
Je suis bien placé pour le savoir, je l’ai vécu.
La vérité souvent occultée ou déformée par votre adversaire,  vous pensez qu’elle ne pourra pas être reconnue par ces juges qui ont tellement d’affaires à traiter dans la journée, vous mouillez réellement votre chemise.
C’est un peu la roulette russe.
Si votre affaire a été compliquée à loisir, que l’on vous présente comme un bandit de grands chemins, qu’il faut empêcher de nuire, comme ce fut le cas pour moi, vous avez vraiment du souci à vous faire. Il faut serrer les fesses et prier très fortement.
J’ai vraiment prié et j’ai gagné.
Pour la petite histoire, le fisc étant mon adversaire, ce jugement définitif rendu n’a rien changé pour lui et il a  continué à me poursuivre avec la même hargne.
Il ne doit pas connaître le « no bis item ».
Revenons à notre histoire.
Ce sénateur, certainement un brave homme, se tire un coup de fusil de chasse, parait-il, pour ne pas comparaître.
Comme un seul homme, toute la classe politique, debout, le pleure à chaudes larmes.
Le Président de la République en tête, suivi du premier ministre et de tous nos autres chers élus.
C’était un homme ceci, c’était un homme cela, et tout le monde en remet une couche, relayés par  nos médias à l’unisson.
Enfin, comprenez bien que je n’ai rien contre lui et que je ne veux porter aucun jugement sur son affaire.
Moi, je préfère pleurer ces français qui toute leur vie d’entrepreneurs, d’artisans, d’agriculteurs ou de commerçants, ont créé de la richesse,  travaillé sans compter leurs heures, qui ont pris des risques, qui pendant des mois n’ont plus fermé l’œil pour faire face à leurs échéances et leurs charges, qui se sont battus jusqu’au bout pour nourrir leur famille et qui ont fini par se tuer.
Qui pleure ces hommes détruits lentement par le RSI, par un contrôle fiscal, par un crédit …
Ce sénateur, ex maire, ex directeur d’université, à la vie confortable et sans véritable mauvaise surprise (je ne pense pas qu’il ait jamais eu des problèmes de fin de mois!) n’a pas voulu se confronter à une épreuve de la vraie vie. C’est son choix.
De là à observer des minutes de silence dans tous les coins, à mettre des drapeaux en berne, c’est un peu beaucoup.
A quand le deuil national ?
Messieurs François Hollande et Manuel Valls, si un jour, fatigué par ma  ruine injustifiée, par la pression infernale que me font subir des fonctionnaires sans état d’âme pour me dépouiller, ma famille et moi, et nous mettre à la rue, si donc un jour dans un accès de déprime plus fort que d’habitude, je décidais de me tirer une balle dans la tête, qui va me pleurer à part ma femme et mes enfants ?
Et mamie Loto, poussée au suicide ?
Et tous ces anonymes chaque semaine ?
Qui va les pleurer ?
Vous ?
J’en doute !
S’il vous plait un peu de retenue.
 
Emmanuel Bolling
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Où va Valls ?

“Houvavalls” pourrait rythmer l’incantation hallucinatoire d’une danse du scalp. Ou encore être repris par les All Blacks à l’occasion de leur Aka ésotériquement menaçant.

Ce qui est formidable avec les socialistes, c’est cette façon qu’ils ont de décliner une organisation politique au parfum de bonheur pour tous, dont les impasses face à la réalité vont précipiter tous les adeptes dans un merdier inextricable.

Arrivés là, ils n’auront de cesse de prétendre que c’est de la faute des autres et non la leur. Stigmatisant alors les rescapés, s’il en reste, ils les traitent de riches, les accusent et les pillent sans vergogne. Tout un programme.

Contentons nous de regarder autour de nous.

Personnellement, très empiriquement, je ne vois pas, au maximum, plus d’une personne sur deux ayant une activité économique digne de ce nom. Je veux dire qui se demande combien elle coute et combien elle rapporte, qui en tire des conclusions, adapte ses activités et sa vie en conséquence. Je ne parle que des actifs, j’exclus les enfants et les retraités.

Tous les autres, qu’espèrent-ils ?

Ils coutent. Qui doit payer et pourquoi ? Se posent-ils seulement la question ?

Objectivement, rien dans leur attitude ne le laisse supposer. Ils paraissent totalement indifférents à la charge qu’ils font porter à ceux qui assument les risques économiques.

Ils paraissent trouver tout à fait normal de les piller par l’impôt. Ils sont totalement hermétiques aux abus des hommes de main qu’ils envoient lever cet impôt.

Chacun de ceux qui s’efforcent d’être en équilibre économique doit compenser au moins un actif ruineux et évidemment plusieurs inactifs. Cet handicap est mortel.

Le plus étrange est que les responsables de ce surpoids destructeur sont par ailleurs plein de compassion pour tout. Par exemple, ils s’insurgeraient si l’on installait 10 personnes sur un cheval, ils souffriraient autant, sinon plus, que l’animal.

Tout pour eux est sujet à empathie, sauf les hommes qui tentent d’être économiquement responsables. Ceux-là peuvent crever, ils s’en foutent, voire même y trouvent quelque plaisir.

Leur inertie, leur coût destructeur, se reportent sur le prix des choses. Pensent-ils à diminuer leur empreinte débitrice ? Certainement pas, au contraire.

Ils ont deux parades

La première, ancienne, usée, éculée même, est l’emprunt qui consiste à faire payer à leurs enfants cette empreinte débitrice.

La deuxième, récente, en plein boum, qu’ils appellent l’économie collaborative ou partagée. Ce sont aussi leurs enfants qui paieront la facture finale, mais de façon plus insidieuse.

Prenons par exemple “blablacar”.  Pour 45€ par personne, soit 135€ au total, un automobiliste va emmener 3 passagers de Montpellier à Paris. Il lui en coutera 84 € d’essence et 55€ de péage, soit 139 €. Il aura transporté 3 personnes qui n’auront pas participé aux frais réels comprenant l’amortissement de la voiture, son entretien, le temps passé, autant de choses qu’il faudra bien que quelqu’un paie… un jour.

Tous les autres exemples touchant cette économie arrivent au même résultat. Il s’agit d’une économie dont le coût global réel est dissimulé, repoussé à plus tard, pour ne laisser apparaître que le coût apparent immédiat. Ce sont les autres, plus tard, qui devront acquitter le coût réel, car celui-ci est inéluctable.

Les socialistes ne tarissent pas d’éloge pour cette nouvelle économie.

Formidable.

Oui, c’est le mot. Formidable le socialisme.

Le troupeau socialiste avance comme le troupeau de moutons, derrière lui l’herbe économique est rase. Tout est brouté, y compris les bourgeons de l’avenir. Pas de place pour les fleurs ou les fruits.

Alors : où va Valls ?

Il ne peut aller nulle part. Il broute avec les autres depuis si longtemps qu’il ne connait plus l’état de nature. C’est un état qui lui fait peur. Il oblige les autres à partager cette peur. Valls prône la médiocrité pour tous, qu’il appelle habilement la sécurité.

Seul lui et quelques élus seraient autorisés à sortir du troupeau.

Ceux qui le croient pervers, manipulateur, se trompent. Je suis convaincu qu’il est réellement socialiste, qu’il croit que le monde peut être plié à sa volonté, qu’il s’occulte la réalité.

Je suis sûr que, comme le berger, il finit par croire que son troupeau est  voué au bonheur grâce à lui, alors que le but ultime est quand même l’abattoir, ce que le berger et lui font mine d’oublier.

Valls amène, paisiblement, tout son petit monde socialiste à l’abattoir. Il se persuade que, pour nous, l’abattoir collectif est plus adapté à notre destin qu’une lutte dans laquelle nous risquerions d’être plus rapidement une victime.

Vu par Valls, le choix pour nous se résumerait à être une victime isolée immédiate ou une victime collective ultérieure. Il nous déconseille vivement  de réussir. Bien mieux il fait en sorte que cela ne nous soit pas possible. Car, prétend-il, se serait au détriment des autres, du troupeau dont il prétend avoir la charge.

Valls n’a pas appris cela tout seul, il n’est que le porte-drapeau de la pensée générale qu’il partage avec tous ses confrères, de Mélenchon à Le Pen.

Si vous voyez Jean Jacques Annaud, dites lui que pour les loups…les carottes sont cuites.

Bien cordialement. H. Dumas

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BIENVENUE AUX CENTAINES DE MILLIERS DE PRIMO-ACCÉDANTS AU LABEL DE FRAUDEURS FISCAUX.

Bercy dans sa quête perpétuelle et insatiable d’argent frais a fait, d’un coup de baguette magique, classer tous ceux qui ont pratiqué « l’optimisation fiscale » dans la catégorie des fraudeurs fiscaux, ce qui va lui permettre de les ratisser, à bras raccourci, sans contrôle d’aucune sorte.
C’est ce même scénario qui était employé, avec le succès qu’on connait, pour les redressements fiscaux et qui avait fait ses preuves durant des décennies.
Il ne faut surtout pas changer une formule gagnante…

En deux mots, les français qui payaient des impôts et qui avaient, encore, après cette ponction, deux sous devant eux, conseillés, qui par son comptable, qui par son conseiller fiscal les plaçaient dans l’optimisation fiscale.
Pour les préserver.

C’est fini, n i, ni !

Le tonneau des Danaïdes bercynien en a un besoin urgent pour saupoudrer son électorat et surtout pour faire fonctionner les innombrables usines à gaz des copains qui commencent à manquer de combustible.

Du jour au lendemain, des centaines de milliers de français, voire des millions, sont jetés en pâture, avec le label imparable de fraudeurs fiscaux, à la vindicte nationale.
Cela ne vous rappelle rien ?

Pour un coup de maître, c’est un coup de maître !
Le gentil personnel de Bercy va pouvoir tondre à tour de bras, sans restriction et surtout sans contrainte.
Que du bonheur pour ce personnel dévoué à la justice et à l’équité.

Que de juteux contrôles perso, avec des pénalités bien grasses, en perspective.
Plus personne ne sera à l’abri d’un redressement laissé à « l’appréciation » de Bercy.
Et nous, on la connaît cette fameuse  « appréciation » de Bercy !
Ça, c’est vraiment top.
Et cerise sur ce beau gâteau : Aucun recours possible, comme d’hab, hors tribunal administratif, c’est-à-dire, je peux vous le certifier d’expérience, aucun recours réel, car, comme vous le saurez vite, le tribunal administratif est le bras armé de Bercy et en matière fiscale, notre cher  Rapporteur Public ne connait qu’un seul mot : Rejet !
Nos primo-accédants vont connaître, enfin, l’ultime et magnifique bonheur de montrer leur solidarité nationale.

Allez, c’est promis, demain grâce à notre lâcheté collective et à celle de nos élus, on rasera gratis.

Elle n’est pas belle la vie en France dans notre grande démocratie?

Emmanuel Bolling

 

Si vous voulez avoir un aperçu sur la manière dont « travaillent » avec justice et équité ceux qui vont avoir le plaisir de s’occuper de vous, je vous conseille de lire, comme mise en bouche, le livre de Bernard Zimmern : « Contrôle fiscal, le piège. »…
Vous saurez tout 

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Insatiable, la bête dévore ses troupes

Enfin, nous y sommes.

Jusqu’à ce jour, il y avait :

–  d’un côté ceux qui ne paient pas d’impôt. Mais aussi,  avec eux,  ceux qui en paient, mais comme il faut. Tout le monde quoi.

– de l’autre les pauvres cons comme nous, boucs émissaires appelés “fraudeurs fiscaux”, pris dans les griffes de “contrôleurs-kapos” violents, rusés et serviles. Humiliés, stigmatisés, ruinés, pour qui il ne restait que l’imprécation stérile ou la fuite, l’émigration.

Les premiers regardaient les seconds de façon très condescendante. Ils ne manquaient pas de leur dire : “Mais comment avez-vous pu en arriver là ? Faut-il que vous soyez, soit d’intenses tricheurs, soit de parfaits abrutis. Regardez, nous, nos avocats et nos comptables sont parmi les meilleurs, nous optimisons la charge fiscale, qui, finalement, n’est pas si terrible, pas mortelle.”

Mais “Bercy-Stasi”, la bête immonde, se retourne et mord ses zélotes.

Les premiers surpris sont tous ceux qui ont pactisé avec le diable. Avocats fiscalistes, conseillers de tout poil et leurs clients huppés, vont passer à la trappe.

Ils vont rejoindre la cohorte des gueux, ceux sur qui tous crachent, les “fraudeurs fiscaux”.

Déjà, il y a quelque temps, Ernest-Antoine nous avait rejoint sans tambour ni trompette. Il parait que ce fut un choc pour lui. On parle de 40 millions de redressement… allez savoir.

Evidemment, il ne lui est pas venu à l’idée d’œuvrer avec nous, de dénoncer la bête immonde et ses ravages. Non, comme tous les autres, il a sans doute pensé qu’il s’en sortirait mieux seul, sans s’encombrer de “fraudeur fiscaux”, qui ne peuvent qu’être coupables, alors que lui….

Malgré tous ses conseillers, il n’a pas perçu qu’il n’était que la première victime, aujourd’hui devenue exemplaire donc assurément bientôt condamnée, des nouvelles sources de revenus de la bête immonde.

Assoiffée d’argent, en déroute totale, “Bercy-Stasi” légalise la fraude fiscale qui n’en n’est pas, la condamnation sur simple interprétation de ses agents.

Evidemment, pour les vieux routiers comme nous, la nouvelle n’est pas nouvelle. C’est ainsi que nous avons été exécutés. Mais, jusqu’à présent, l’interprétation des contrôleurs devait prendre pour base une fraude, même inexistante, ce qui aujourd’hui n’est plus le cas. Le simple fait d’essayer de payer légalement le minimum d’impôt devient une fraude.

Pour faire clair, disons que, ramené à la répression routière, ce serait la suppression de deux points du permis de conduire pour tout achat d’un véhicule de plus de 120CV, puisque cet achat induirait fatalement une infraction d’excès de vitesse à venir. Est-ce que vous percevez mieux, la situation ?

De vous à moi, ce n’est pas une surprise. La dette devra bien être payée. Dans un premier temps, il faut que toutes les économies soient ponctionnées.

Malgré la tronche que vont tirer les professionnels de l’optimisation fiscale, leurs clients et leurs économies vont y passer, qui les plaindra ? Dès qu’ils auront été qualifiés de “fraudeurs fiscaux” leur compte sera bon. Qu’ils s’estiment heureux de ne pas avoir à porter un brassard avec mentionné leur nouvelle condition.

Nous connaissons le fardeau. S’ils veulent quelques tuyaux, pas de problème, nous les accueillerons respectueusement, avec compassion, sans trop nous marrer, juste un peu, un léger sourire classe, pas vulgaire (type Dujardin dans OSS 117).

A quelque chose malheur est bon, cette nouvelle folie fiscale légitime, s’il en était besoin, notre QPC (Question Prioritaire de Constitutionnalité).

Je vous en rappelle le principe. Nul ne peut être condamné sans être, au préalable, passé devant un juge indépendant, en audience publique. Ce n’est pas le cas en matière fiscale, nous demandons à La Cour Constitutionnelle de se pencher sur cette anomalie.

Jusqu’à présent, “Bercy-Stasi” prétendait que les contrôles fiscaux n’étaient que des interprétations comptables, donc non discutables, non interprétables. Les Tribunaux Administratifs s’en remettaient d’ailleurs totalement aux chiffres donnés par “Bercy-Stasi”, se contentant de ne juger que sur la forme et jamais sur le fond.

Cela a généré une jurisprudence ridicule et a ramené au niveau zéro l’intérêt de la profession d’avocat fiscaliste. Tout en ouvrant grande la porte aux abus des contrôleurs fiscaux, mais accompagnés d’un déni total sur ce sujet.

Aujourd’hui, l’aveu est terrible pour “Bercy-Stasi”.

Les français peuvent être poursuivis pour fraude fiscale, pour une simple intention de vouloir payer légalement le moins possible, intention que les agents du fisc pourront librement apprécier et transformer en fraude.

Comment, dans ces conditions, accepter que ces mêmes agents puissent exécuter la sanction sans l’avoir, au préalable, soumise à un juge libre et lors d’une audience publique. C’est IMPOSSIBLE, enfin, en démocratie. Dans un Etat totalitaire, type “Bercy-Stasi”, c’est évidemment possible.

Un dernier mot pour ceux qui se marrent encore parce qu’ils ne paient pas d’impôt. Patience, après le pillage, qui ne suffira pas, viendra l’inflation mortelle par dévalorisation de la monnaie, c’est là que, eux aussi, paieront la dette.

Bien cordialement. H. Dumas

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Cravatés (VIDEO)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Le pilote : fou ou très ordinaire ?

Le Mardi 24 Mars 2015, un Airbus de la compagnie allemande Germanwings s’écrase à 10H48 sur les Alpes du Sud.

Dans la soirée, la boite noire enregistrant les conversations dans le cockpit est retrouvée. Elle est immédiatement acheminée au BEA.

Dès le Mercredi matin, il est clair que le BEA a pu écouter l’enregistrement et sait exactement ce qui s’est passé. Probablement ne sait-il pas les motifs qui ont guidé la folle décision du co-pilote.

Hollande est immédiatement informé, c’est évident. Il ne pipe mot. Il se contente d’aller moissonner l’émotion suscitée par cet accident. Où est le respect dû aux 149 morts ?

Jeudi midi, le procureur de Marseille, maîtrisant sa colère, a la charge de dévoiler ce que tous les initiés savent depuis 24 heures. Il se sent humilié.

Peu de procureurs assument leur charge professionnelle sans désordre psychologique lourd. En effet, ils passent leurs temps à accuser des délinquants dont ils perçoivent évidemment la détresse intellectuelle, qui sont plus proches de la maladie cérébrale que de la volonté de nuire à la société. Cette tâche, déjà moralement éreintante, est compliquée par des ordres hiérarchiques dont la cohérence n’est pas la première vertu, tant leurs motivations sont plus tournées vers la politique politicienne qu’attachées à la justice.

En fin de semaine, le voile est levé sur cet accident, le pilote est déclaré fou, il est l’assassin fou de 149 personnes. Pas de responsable, il est fou.

Ici commence la réalité de cette catastrophe, notre devoir de mise en perspective, notre responsabilité collective.

Quel poids réel représente ces 149 morts pour le groupe social ? La compassion due touchera-t-elle durablement la société dans son ensemble ou sera-t-elle circonscrite aux proches et à ceux qui partagent les mêmes émotions, les voyageurs aériens ?

Ce sont les victimes et elles seules qui devraient animer notre pensée. Mais alors, la simple folie du co-pilote ne suffit plus, il faut chercher plus loin.

Ce garçon, qui s’enferme dans le cockpit et entame calmement une descente mortelle, pense-t-il a ses passagers ? Non évidemment.

Habituellement, les pilotes pensent-ils à leurs passagers ou les imaginent-ils comme du bétail, se moquant de leur méconnaissance aéronautique en comparaison d’eux, les initiés. Pour faire simple, le conducteur de bus parisien qui vous brasse sans ménagement dans les embouteillages, vous obligeant à des prouesses de marin par force 7 pour rester debout dans le bus, pense-t-il à ses passagers, ou les considère-t-il comme du bétail ?

La plupart du temps, notre statut d’usagers nous ramène, pour les professionnels, au rang de paquet à traiter. Notre condition d’homme ne les émeut pas plus que ça.

Cela tient à deux dérives suicidaires, le collectivisme et le corporatisme. Deux dérives qui annihilent le respect dû à l’individu pour privilégier l’irresponsabilité et les connivences de groupe. Sur ce point, ce garçon n’est pas fou, il n’est que très ordinaire.

Ce garçon reste calme jusqu’au bout. On remarque qu’il ne prend pas les commandes, il se contente de déclencher une descente automatique. Il est donc le spectateur de l’action qu’il a commandée. Il s’agit d’une sorte de roulette russe, l’issue est inconnue, bien que probablement fatale, mais…

La proximité de ce comportement avec les exploits de l’extrême que l’on peut visionner à longueur de journée sur le net est évidente. Sur ce point ce garçon est très ordinaire, bien que particulièrement déraisonnable quant aux chances de s’en sortir, mais pas beaucoup plus que les “hommes-volants”.

Ce garçon a fait part de son souhait de notoriété. Pour parler clairement il cherche le buzz. Quoi de plus ordinaire ? La notoriété est un piège mortel, aussi bien pour ceux qui l’atteignent que pour ceux qui la recherchent. Chercher le buzz, quoi de plus ordinaire ? N’est-ce pas la démarche constante, dans le pire de Daech, dans le comique d’Hollande et de Sarkozy ?

La folie de ce garçon me parait toute relative. Par contre sa bêtise et son manque de personnalité, d’originalité, sautent aux yeux. C’est un con. Mortel, comme tous les cons.

Ce drame devrait nous déciller sur un point essentiel : comment la société peut-elle engendrer un type si ordinaire, complètement imperméable à la compassion, à l’empathie ?

Comment les antagonismes (voir J.L. Vullierme) peuvent-ils avoir envahi notre société au point que tous sont contre tous, chacun roulant strictement pour lui ou son camp, au mépris du respect individuel et de l’estime dus aux autres.

Le pire

Je ne vois pas de différence entre la psychologie ordinaire, devenue suicidaire par trop de banalité, de ce pauvre type et celle des contrôleurs fiscaux qui sont venus descendre volontairement mon aéronef personnel. Sauf que dans mon cas il n’y a que deux morts, moi et mon épouse, contre 149 dans cet airbus, dont, et c’est le pire, de très jeunes gens.

Bien amicalement. H. Dumas

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Qui peut m’empêcher de leur dire merde ?

Les jours passent et l’espace se rétrécit.

Inexorablement, je vais vers ma ruine, vers la vente aux enchères de tous mes biens, vers l’anéantissement de cinquante ans de travail, de prise de risque, de passion, d’intégrité, de sincérité sans compromis ni corruption d’aucune sorte.

Il a suffi de sept bureaucrates, bornés, prétentieux, obtus, imbus de leur pouvoir, nourris d’une propagande prônant la prédation de l’entrepreneur dogmatiquement haï, présumé coupable, pour tout détruire.

Alors que je n’ai plus rien, qu’après une vie intense qui a, objectivement, enrichi la collectivité, je suis précipité dans l’indigence, à la veille de ne plus pouvoir m’exprimer, me chauffer, me laver, me nourrir, me soigner, comment qui que ce soit pourrait m’empêcher de dire merde à ces connards.

Merde à Wolff, à Jourdes, à Jean Pierre, à Martino, à Giugleur, à Garcia, à Blazy et à tous les autres qui les ont approuvés, soutenus, dans leur tâche indigne pour lever un sur-impôt indu et mortel.

Je pense à leur hiérarchie, aux magistrats lâches, indifférents et fainéants, qui, sans jeter un œil sur mes dossiers, fidèles à l’esprit de corps, m’ont hypocritement condamné à verser des primes à ces bourreaux, que ceux-ci ont eu le culot d’empocher en saisissant mes comptes en banque, sans se soucier du tort immense qu’ils faisaient à moi et à ma famille.

Je pense aussi aux politiques et à leurs mensonges, à tous ces français qui approuvent ces meurtres économiques avec délectation.

Je suis atterré par ce carnage. Des milliers d’entrepreneurs vivent la même situation.

Pourtant, cette cohorte de cadavres économiques est invisible, dissimulée derrière une propagande primaire mais compatible avec la lâcheté de la majorité, qui la trouve préférable au constat de sa médiocrité, de son manque de courage et de sa cupidité.

Il me reste la possibilité de leur dire merde, je le fais ici.

Ruiné, je ne suis plus accessible à une condamnation financière.

Iront-ils jusqu’à prendre ma liberté, jusqu’à m’interner pour dissimuler leur forfaiture, sauver leurs apparences ?

Puis-je me satisfaire à l’idée qu’ils creusent leur tombe en agissant ainsi, qu’ils en mourront eux-mêmes, comme meurent tous les bourreaux ? Même pas.

Aussi douloureuse soit-elle, l’agonie du bourreau ne rend jamais justice à sa victime.

Alors, savoir que, ruinant ce pays, ils seront les premiers à en payer le prix ne m’apporte aucun soulagement. Au contraire, tant de connerie ajoute à ma souffrance.

Le contrôle fiscal, actuellement pratiqué sans respect pour les droits des contribuables, verra, demain, en son nom, bafouer les libertés fondamentales les plus essentielles.

Flicage et espionnage fiscal sont l’avenir de la France.

Les vingt millions de “flashés” sur la route ont une petite idée de ce qu’est la répression aveugle assise sur la bonne conscience populaire, et pourtant ce n’est que le millième de ce qui les attend fiscalement.

Ils n’ont plus de plaisir sur la route, ils n’auront plus de plaisir à vivre et à travailler.

Ils ont adoré les radars, ils adoreront les contrôles fiscaux modernisés.

Sauf s’ils rasent Bercy à l’aide de leur carte d’électeur, s’il se présente un jour un candidat libéral.

Bien cordialement. H. Dumas

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Le droit de savoir

Un avion s’écrase en France. La catastrophe est la même pour ceux qui ont la malchance d’être à l’intérieur de l’appareil mais, pour nous, elle est plus évocatrice de malheur que s’il s’était perdu en mer de chine. La proximité de la souffrance, de la mort, les rendent plus prégnantes, plus terrifiantes.

Puis, soudain, ce grand malheur devient particulièrement épouvantable.

Une indiscrétion fuite par l’AFP — ceux-la même qui ont cru Martin Bouygues décédé il y a peu – un pilote serait sorti de la cabine, son collègue se serait alors enfermé et aurait soit eu un malaise, soit se serait suicidé entrainant dans sa mort 149 personnes innocentes, dont le seul tort est de lui avoir accordé leur confiance.

Cette information, nous la tiendrions des enregistrements vocaux de la boite noire de l’appareil, découverte en état d’être exploitée.

Des points sont extrêmement troublants.

En premier lieu, les enregistrements de la boite noire sont, il me semble, entendus en temps réel par les tours de contrôle. Donc, les coups dans la porte, les invectives échangées probablement entre le pilote bunkérisé dans son cockpit et les autres membres de l’équipage étaient connus dès le départ.

On comprend immédiatement que le sort des passagers qui ont vécu cette situation dépasse les pires normes de l’horreur.

On comprend aussi que le gratin politique qui s’est hâtivement déplacé savait tout et ne nous a rien dit. Nous ne savons toujours pas qui est le fameux pilote, d’ailleurs nous ne le saurons jamais, puisqu’il n’y aura aucun témoin.

Par contre, nous devrions savoir qui étaient les deux pilotes et nous ne le savons pas. Et là, quelle qu’en soit la raison, elle est inadmissible.

Le suicidé est un dépressif et un sacré fumier de lapin, personne n’en doute.

La vraie question est la suivante : Le pilote suicidaire était-il inféodé à ces religieux débiles qui font de leurs dépressifs, de leurs simples d’esprit, des bombes humaines?

Si jamais il s’avérait que ce soit le cas, la comédie des élus au plus haut niveau en France, en Allemagne et en Espagne serait inacceptable. Leur dissimulation de la réalité, à but strictement électoral, serait, pour eux et pour nous, suicidaire.

Les conséquences à en tirer seraient terrifiantes. L’avenir serait pour l’Europe encore plus sombre qu’il ne l’a été pour les américains après le 11 Septembre 2001.

J’espère me tromper lourdement.

Avant de clore ce billet, une pensée profonde, intense, définitive, pour ceux qui ont vécu l’indicible, dix minutes avant de rencontrer la mort.

Bien cordialement. H. Dumas

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La solidarité : jusqu’où ?

Au nom de la solidarité nous sommes taxés, pillés, dépouillés, nous devons vivre l’insécurité pour le compte de ceux qui se vautrent dans la sécurité. Notre calvaire, nos meurtrissures, notre asservissement, notre esclavagisme ont pour fondement la solidarité que nous devons.  A qui ? Aux autres, à eux…

Mais au fait, la solidarité, c’est quoi ?

Wikipédia dit ceci :

“La solidarité est un lien social d’engagement et de dépendance réciproques entre des personnes ainsi tenues à l’endroit des autres, généralement des membres d’un même groupe liés par une communauté de destin”

C’est clair, la solidarité est une communauté de destin.

C’est donc le médecin qui se doit de mourir avec son patient, Hollande qui doit aller s’écraser avec un mirage de l’armée sur le site du crash de l’airbus allemand. La solidarité c’est du concret, du dur. C’est le partage d’un destin. La caution solidaire paie les échéances à la place de l’emprunteur s’il est défaillant. Est-ce bien clair ?

La solidarité implique la suppression de la liberté, puisque son engagement pour l’autre nous lie au-delà de notre propre volonté.

La solidarité limite l’égalité au malheur, dans lequel elle précipite les parties solidaires à l’infini.

La solidarité suppose que la fraternité manque de séduction, puisque la solidarité s’impose par la force du contrat, ce qui n’est pas le cas de la fraternité.

Une telle contrainte peut-elle raisonnablement découler d’autre chose que de la volonté personnelle de celui qui accepte d’être solidaire ? Peut-elle être imposée par d’autres, individus ou sociétés, à l’encontre d’un homme ? Où est alors la liberté si chèrement conquise, affirmée dans notre constitution ?

Il me semble évident que la solidarité est totalement anticonstitutionnelle.

La révolution dont notre constitution est issue fut la conquête de la liberté individuelle, pas de la dépendance aveugle à un destin commun partagé avec des inconnus.

Tous ceux qui nous rabâchent en boucle que nous devons être solidaires, à seule fin de nous tondre, sont des escrocs.

En réalité, une confusion sémantique s’est installée entre la solidarité et la compassion ou l’empathie. Ce n’est pas la même chose.

Comme dit plus haut, la solidarité c’est du concert, du dur, la compassion c’est du vent. La compassion et l’empathie autorisent toutes les escroqueries.

Ce sont elles qui font, par exemple, la fortune de Lourdes depuis 150 ans. Hollande n’est pas solidaire des victimes de Charlie Hebdo, du crash de l’airbus, des pauvres et des sans-abri. Il a peut être pour eux, au plus, de la compassion, et encore….

Ceci posé, l’impôt redistributif de solidarité est parfaitement illégal, puisqu’il revient à imposer un partage de destin non désiré, ce qui, objectivement, dépasse largement le cadre de ce qu’un Etat est en droit d’exiger de ses citoyens.

La solidarité et les implications matérielles et morales qu’elle engendre ne peuvent être qu’un choix personnel, nul ne peut les imposer, si l’on veut bien revenir aux sources philosophiques de notre société.

Le prochain qui vous parlera de solidarité, s’il n’est pas en mesure de vous opposer un contrat signé de vous en toute connaissance de cause à son profit, vous avez le droit de lui foutre votre poing dans la gueule s’il se montre trop insistant.

Vous pouvez aussi garder votre calme et lui expliquer qu’il confond solidarité et compassion et que vous entendez rester libre d’offrir votre compassion aux causes et aux personnes que vous décidez.

Quoi de plus personnel qu’un destin ?

S’il est une chose au monde que nul ne peut partager, c’est bien le destin. Alors, prélever un impôt avec comme excuse un tel partage est une monstruosité.

L’exemple qui vient à l’esprit lorsque l’on évoque un partage de destin est le mariage. Outre que cette institution n’est plus à la mode, force est de constater que les échecs sont plus nombreux que les réussites. Et, surtout, qui aurait le culot aujourd’hui de plaider pour les mariages arrangés, qui ne sont ni plus ni moins que des partages de destins obligatoires.

Conclusions

Seuls les obscurantistes peuvent, à l’aube du XXIème siècle, envisager d’imposer, par la force, un destin unique obligatoirement partagé par tous, solidairement.  Les obscurantistes… mais aussi Bercy.

Le combat pour la liberté et pour la dignité contre l’obscurantisme, contre les destins solidaires imposés, ne se situe pas qu’en Irak, il est aussi à mener sur les berges de la Seine, en plein cœur de Paris.

Bien cordialement. H. Dumas

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LETTRE OUVERTE A MADAME ANNE BEOT

Chère Madame,

Je vous accuse réception de la citation à comparaître devant la 17eme chambre correctionnelle du TGI de Paris, le jeudi 21 mai 2015, que vous m’avez envoyé.

Dans cette citation vous expliquez, ou plutôt votre avocat explique que je dois répondre d’injures et diffamation à votre encontre dans un billet intitulé « certain de leur impunité, rien n’arrête les agents du fisc » paru sur ce même site le 12 décembre 2015.

Je ne vais pas ici, présenter ma défense et invoquer, entre autre,  la liberté d’expression (voir l’affaire Charlie…), je la réserve pour ce tribunal où vous m’avez convié, ce n’est donc pas le propos de ce billet.

Toute personne a son libre arbitre et agit selon sa conscience.
Même les fonctionnaires.
Se réfugier derrière le sacro-saint « je ne savais pas, je ne suis là que pour exécuter les ordres de ma hiérarchie ».
Cette excuse toute faite, pour détourner les yeux, et garder sa « bonne conscience » a depuis longtemps fait long feu.

Voilà maintenant, quasiment 20 ans que je me bats contre un véritable abus fiscal.
Cet abus a liquidé mon entreprise, a ruiné ma famille et moi-même.
Vous ne pouvez ignorer que le tribunal correctionnel de Paris par un jugement définitif m’a exonéré de votre principale accusation : « la dissimulation de recettes », soit 90% du montant  du redressement initial de vos services.
Lien vers : (Requête devant la T.A du 19 mars 2015)
Dans mon cas « le non bis item » ne s’est pas appliqué.
Il n’était pas encore, pour la justice française, d’actualité.
Avec l’arrêt concernant EADS, cela est en train de changer…
Peut-on me présenter, sans aucune mauvaise conscience, 20 ans plus tard,alors que je suis au fond du trou, une « addition » aussi astronomique en complet décalage avec la réalité actuelle.
C’est beaucoup trop tard.
Même en vivant encore 150 ans…
Vous ne pouvez, non plus ignorer, que vos saisies permanentes sur ma retraite (ma seule et , unique ressource), nous poussent  inexorablement  ma famille et moi vers le bas du tableau.
Pour rien ou si peu pour le Trésor Public.

20 ans passés à essayer que l’on me rende justice.
20 ans passés à me battre contre cet abus fiscal.
La foi peut soulever, dit-on, des montagnes.
Malgré toutes ces épreuves, je l’ai toujours.

 

Emmanuel Bolling

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