Archives de catégorie : Société

Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.

Uber et les taxis, ou le libéralisme et le capitalisme de connivence

 

Je ne pensais pas vivre deux fois dans ma vie une modification totale des paradigmes de l’économie et constater que, in fine, rien ne change.

La première fois

C’était au début des années 1970. Anciennement l’économie, tout particulièrement la distribution, était morcelée, hiérarchisée, en strates gourmandes de commissions.

Des Etats-Unis — déjà eux — nous est venu l’idée révolutionnaire des circuits courts.

Dans la distribution cela se traduisit par la suppression des grossistes et demi-grossistes, l’avènement de ce que l’on a appelé la grande distribution qui généra une baisse immédiate de 30% du prix de vente des produits de grande consommation.

A cette époque, l’ouverture d’un supermarché était un évènement social qui déplaçait les populations de façon stupéfiante.

Petits commerçants, grossistes, demi-grossistes et industriels partageaient alors le pouvoir avec les syndicats. Il n’y avait pas d’oligarchie technocratique. Tout ce petit monde se leva vent debout contre ce bouleversement, ignorant totalement les millions de clients demandeurs.

Un homme au cerveau équipé d’un zoom peu performant, Jean Louis FROT, eut, à Rochefort-sur-mer, l’idée saugrenue de refuser un permis de construire et de faire emprisonner le demandeur ayant construit sans permis qui se trouvait être le propriétaire du centre Leclerc local, dont j’étais l’architecte. La chose fit grand bruit et porta la lutte globale à son paroxysme. Sur le parking de ce magasin, un beau matin, les troupes du CIDUNATI et d’Edouard Leclerc s’étripèrent, cela fit la une de Paris-Match.

A cette époque, je m’étais engagé sincèrement pour cette révolution économique qui, pensais-je, allait profondément modifier la société, en mieux évidemment.

Edouard Leclerc plaçait alors son combat sous le signe de la suppression des “rentes de situation”, je l’ai suivi avec énergie.

Soudain patatras. La loi Royer organisa un monopole encore plus terrible que celui dont disposaient précédemment les acteurs de la distribution. Ainsi, les pourfendeurs des “rentes de situation” devinrent les bénéficiaires de rentes bien plus puissantes que les précédentes, puisqu’entre les mains de beaucoup moins d’acteurs.

Le vent de libéralisme qui avait cru se lever sur la France avec énergie et ambition, s’est alors vautré dans la compromission.

Ce fut d’abord le scandale des pots de vin entre élus et grandes surfaces pour la conquête du graal que représentait l’autorisation d’ouvrir un supermarché. Mitterrand et sa garde rapprochée auraient dû en mourir, mais ils étaient tenaces et leurs sujets peu regardants.

Ainsi, les combattants de la liberté de commercer – Leclerc et consorts — n’étaient que des “tigres de papier”, bien vite ils échangèrent leur foi contre le fric. Ils sont aujourd’hui devenus les notables qu’ils chassèrent.

Le Frot dont je vous ai parlé plus haut a mis sa boutique — il était évidemment boutiquier — dans la galerie marchande de l’hyper-marché qu’il avait combattu. Après avoir ruiné son patelin dont il était le maire, il coule, à nos frais, des jours heureux sous les ors de la république, en bonne intelligence avec ceux qu’il a combattu, c’est un notable.

La grande distribution est actuellement un des éléments clef du capitalisme de connivence. Trop fort.

Et les millions de clients dans tout ça ? Rien, nada, ils n’ont aucune conscience sociale. Il fut facile de transformer leurs économies de distribution en folie d’achats complémentaires inutiles. Eux aussi se sont fait acheter par le monstre.

Aujourd’hui, Internet et les taxis

A Paris il y a une longue histoire d’amour “gainsbourgienne” entre les taxis et les politiques, du type “je t’aime, moi non plus”.

Incapables de prendre les décisions titanesques qui permettraient de se déplacer normalement à Paris, les acteurs politiques, de façon compensatoire, ont tenté de favoriser les transports collectifs, dont les taxis.

Ce qui, au passage, explique la note salée de la mère Agnès Saal, qui n’a rien d’extraordinaire, c’est ça ou la voiture de fonction avec gyrophare pour le gratin qui doit impérativement se déplacer rapidement dans Paris.

Privilégiés pendant des années, les taxis se sont transformés en seigneurs, nous transformant du même coup en serfs. Cette transformation s’accompagnant évidemment de combines économiques alliant monopoles, pots de vin et petits arrangements entre amis partageant le pouvoir. L’ensemble au détriment du client, bien entendu.

S’ils sont aujourd’hui emblématiques, les taxis sont loin d’être les seuls à participer aux délices du capitalisme de connivence qui s’est installé partout, depuis donc la grande distribution, à celle de l’eau, de l’électricité, à l’enlèvement des ordures ménagères, la construction immobilière et automobile,  etc… enfin tout quoi.

Tel Zorro, internet est arrivé…

Prenant tout le monde par surprise, internet a, soudainement, raccourci une nouvelle fois les circuits de l’économie.

Il n’est pas d’activité où producteurs et consommateurs ne peuvent plus directement se rencontrer, clouant au sol tous les intermédiaires.

Les jeunes d’aujourd’hui, tout comme le jeune homme que j’étais en 1970, croient que la vraie liberté est en marche, que le libéralisme économique va enfin vouloir dire quelque chose.

Oui mais, ils oublient le syndrome des taxis.

D’un côté les nouveaux acteurs de l’économie du net, déjà triés à ce jour, gigantesquement puissants pour les survivants, de l’autre les fantômes du passé dont les taxis sont un exemple “exemplaire”.

Il n’y a pas de troisième coté. Les clients, pas plus cette fois que par le passé, ne peuvent être considérés comme une force sociale qui adhèrerait à une économie libérale.

Donc, les deux cotés vont se rapprocher et partager la soupe, consciemment ou inconsciemment, immédiatement ou dans un temps plus indéterminé mais inévitable.

Taxis et Uber vont, sous l’apparence de la contrainte, enfanter avec les politiques une loi d’encadrement de l’économie du net qui s’imposera à tous les autres intervenants.

Ainsi l’aventure économique libérale du net approche de son terme.

L’agonie de l’ancien système va être longue — mais indolore du fait de cette longueur — pour les taxis et apparentés.

Quant aux vainqueurs du net, ils vont mettre les pieds sous la table du grand banquet du capitalisme de connivence, à eux les prochains monopoles, les prochaines rentes de situation.

Et l’économie libérale dans tout ça et, plus globalement, le libéralisme ? C’est une vue de l’esprit.

Aux jeunes gens qui s’en éprendraient, je vais donner un tuyau : faites simple et sans obligation de résultat, soyez “Romantiques”, c’est le seul vrai espace de liberté en périodes d’invasion de l’Etat dans nos libertés fondamentales, périodes dont la durée se compte en siècles.

Bien cordialement. H. Dumas

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Vingt millards de redressements fiscaux, ou ces trophées dont un jour vous aurez honte Monsieur Sapin

En 1994 je fus invité à ce qui était alors la chasse présidentielle de Marly. Nous étions une dizaine de fusils.

Dans la matinée de chasse, mille faisans furent abattus.

Chasse présidentielle

Mauvais tireur, ma participation à ce massacre fut marginale. Cependant, ma responsabilité fut en tout point égale à celle des autres chasseurs.

Lorsque, installés en dix carrés de cent, les dépouilles de ces pauvres bêtes assassinées durent subir l’humiliation ultime de la satisfaction de leurs bourreaux s’exprimant à travers cette exposition morbide et les discours de congratulation l’accompagnant, je fus gêné de me sentir gêné, tant ces trophées de chasse flattaient tous les présents.

Aujourd’hui, vingt ans plus tard, pareille scène ne pourrait pas se reproduire.

Est-ce une prise de conscience des chasseurs ou des organisateurs de cette chasse qui a fait évoluer les perspectives face à un tel massacre animal ? Bien sur que non.

Les raisons de l’évolution sont les suivantes :

– D’abord, la dévastation causée par ce type de chasse imbécile qui n’était pas l’apanage des seuls amis du Président — même si ceux-ci furent les derniers à bénéficier de cette boucherie — a anéanti la faune de nos contrées.

– De ce fait, les chasseurs ont peu à peu disparu, faute de gibier.

– Les générations suivantes se sont légitimement désolées du désert animal de nos campagnes. Elles sont restées interdites face à la souffrance gratuite causée aux animaux pour un résultat aussi stupide.

– Une prise de conscience est apparue quant à la vie de ses animaux, sa nécessité, ses droits, accompagnée d’une révulsion globale de ce type de trophée.

Ceux qui par le passé les avaient organisés où, comme moi, y avaient participés, aujourd’hui n’en sont pas fiers. Rien de plus normal.

Petit à petit, la faune de nos campagnes se reconstruit, mais le déséquilibre a été tel que les nuisibles prennent une part trop importante dans cette reconstruction et l’handicapent.

Monsieur Sapin, il va vous arriver exactement la même chose.

Votre trophée fiscal est indécent pour plusieurs raisons :

– D’abord, parce que nous savons formellement que l’organisation de vos chasseurs de prime est défaillante et aboutit à 50% de redressement irréels qui tuent des innocents, ce qui est inacceptable.

– Ensuite, parce que votre tableau de chasse est établi sur les cadavres de ceux qui sont la dynamique économique de ce pays, que sans eux il ne peut pas y avoir d’économie et que sans économie il ne peut pas y avoir de vie, d’organisation sociale.

– Enfin, parce qu’avant de disparaître économiquement vos cibles — ceux que vous exposez par paquets de milliards – souffrent terriblement, d’une souffrance inutile qui n’a comme justificatif que votre bêtise et votre suffisance, un peu aussi votre cupidité et celle de vos amis.

De tout cela, bien avant vingt ans, vous en aurez honte.

Enfin, je l’espère pour vous, car dans le cas contraire vous ne seriez pas un homme doué de sensibilité mais une brute indigne simplement assoiffée de pouvoir.

Vous pouvez évidemment me rétorquer que l’ensemble de la population pense comme vous, j’en conviens. A l’époque elle pensait aussi comme moi. La population n’a pas le trophée délicat, c’est un fait. C’est ici que, justement, la responsabilité de l’homme d’Etat prend sa mesure, écrasante.

Ce qui va se passer est écrit dans la stupide aventure de la Grèce, dont journaux et télévisions nous beurrent le nez. Qui n’est que la répétition de ce qui est arrivé précédemment à l’URSS.

Le schéma est toujours le même :

– Avec la complaisante faveur des improductifs et des inactifs d’un pays, des hommes de l’Etat indélicats pillent les forces économiques de ce pays en se réclamant en général de l’équité “redistributive”.

– En réalité, Ils ne redistribuent qu’une infime partie de ce qu’ils pillent, soit pour satisfaire leur cupidité personnelle au passage, soit du fait de l’incompétence économique de ceux dont ils s’entourent pour leur sinistre besogne.

– Le pays plonge alors dans la ruine, jusqu’à ce que la population vive cette ruine dans sa chair. Mais avant, il aura fallu tailler dans les libertés pour essayer de faire perdurer le système, jusqu’à épuisement de la moindre parcelle d’énergie.

– Puis, une réaction violente, désespérée, change quelque fois – pas toujours, il est des sociétés qui disparaissent — la donne. L’individu revient au centre du débat, la liberté reprend ses droits, y compris hélas pour les nuisibles.

– L’ensemble de la société reste longtemps instable à la suite de ces périodes.

C’est ce qui attend la Grèce demain, puis notre pays après-demain, quand les pillages vont tarir, ne suffisant plus à combler la rapacité et à apaiser la jalousie des improductifs et des ratés.

Vous savez tout ça, vous le dissimulez, votre responsabilité est totale. Je souhaite que vous en payiez le prix en son temps.

Salutations. H. Dumas

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Vous ne lisez pas le journal Midi Libre ? Quel dommage …

Nous allons pallier à cette déficience

ML 22-6-2015 (2)

ML 22-6-2015 (1)

Nul ne peut rester insensible devant une telle détresse. Il faut comprendre les proviseurs.

Certes, il est toujours des gens mal intentionnés pour faire remarquer qu’ils ont un emploi à vie, pas de souci de carrière, un logement de fonction, des vacances, une bonne retraite à 60 ans, pas d’objectif de résultat, pas de hiérarchie journellement sur le dos, pas d’engagement physique violent ou en milieu agressif pour le corps, un salaire assuré, et sans doute quelques détails que j’oublie par méconnaissance.

La réalité est tout autre, ils doivent affronter :

– Des élèves qui ne les aiment pas, qui se foutent de l’école comme de l’an quarante (ils ont tort, c’était mon cas, maintenant je rame pour l’orthographe).

– Des parents d’élèves qui ne les aiment pas non plus.

– Des collègues professeurs qui ne supportent pas leurs directives, qui aussi ne les aiment pas.

Et bien oui, les proviseurs manquent d’amour, ils font un “burn out” affectif, voilà la cruelle vérité.

Les proviseurs réclament de l’amour, du soutien, de la considération. Je crains qu’ils n’obtiennent pas satisfaction, malgré le dévouement sans limite du SNPDEN.

Aussi je leur propose cette solution évidente :

La privatisation de leur lycée. Le bonheur total est au bout, nous sommes bien placés pour leur en parler, c’est notre lot de tous les jours.

Devenus travailleurs indépendants :

– Ils auront tout l’été pour séduire les élèves, les persuader de s’inscrire dans leur lycée plutôt que dans un autre, la bataille sera féroce.

– Ils seront jugés sur le prix et la qualité de leurs prestations et sur les résultats.

– Devenus des clients, élèves et parents d’élèves auront de nouvelles exigences, soutenus par “40 millions de consommateurs”. Ils devront faire face aux procédures de groupe.

– Ils devront emprunter pour réaliser les lourds investissements que demandera leur entreprise, qu’exigera l’Etat. Leurs banquiers ne leur feront pas de cadeau, au moindre défaut de paiement ils ne pourront pas solliciter la jurisprudence dite “de la Grèce”, ils devront engager leur biens propres et ceux de leurs familles.

– Leurs tarifs seront probablement bloqués et ils devront accepter gratuitement un pourcentage de nécessiteux.

– Leur comptabilité sera passée au crible par le fisc. Celui-ci ne manquera pas de reconstituer leur chiffre d’affaires en fonction du nombre de crayons achetés, de la quantité de papier Q utilisé dans les toilettes de leurs établissements, ou autre calcul savant imparable. Ils seront évidemment redressés.

– Ils devront faire face aux syndicats de leurs salariés enseignants. Plusieurs de ces derniers, payés par eux, se consacreront entièrement, à plein temps,  à leur pourrir leur vie de salaud de patron.

– En cas de difficultés financières, si par malheur ils ne paient pas leur RSI, ils ne seront plus assurés pour la maladie, pareillement pour leur retraite.

– Régulièrement la presse les enfoncera, mettant en exergue ceux d’entre eux qui auront fauté, même de façon minime.

– Ils seront haïs, considérés comme des capitalistes libéraux, mais personne ne souhaitera les nationaliser et payer la facture à leur place. Sauf, pour ceux dont, du fait de leur travail, de leur investissement personnel et de leur génie, le lycée sera réputé et bénéficiaire devenant ainsi une proie nationalisable.

– Ils n’auront plus de vacances et travailleront, toute l’année, 12 heures par jour.

– Ils n’auront plus le temps de penser au “burn out”, mais ils mourront d’un infarctus vers 55 ans.

Bien cordialement. H. Dumas

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Peuple : le mot magique des escrocs.

La lecture des penseurs dit “de gauche” vous fera rencontrer le mot “peuple” pratiquement une fois par page. Prenez par exemple Rosanvallon, il n’y a pas une page de ses ouvrages dont ce mot est absent.

En réalité, le mot “peuple” désigne une abstraction que tous les esclavagistes utilisent pour désigner ceux qu’ils soumettent à leur pouvoir en leur déniant le rang d’individu, d’homme libre et indépendant.

Les rois déjà prétendaient être au service du “bon peuple”. Évidemment les curés, au temps de leur splendeur, s’imaginaient en pasteurs du “peuple des croyants”.

Tous les despotes de la planète, déclarés ou dissimulés derrière la comédie démocratique, prétendent agir pour le bien de leur “peuple”.

N’oublions pas aussi les affairistes qui s’adressent aux “consommateurs”, mot qui en terme économique veut dire “peuple”, contrairement à “client” qui désigne des “individus”.

Ainsi donc, notre personne n’est jamais considérée par ceux qui prétendent nous représenter, penser et agir en notre nom, elle est engloutie, amalgamée, dans ce mot fourre-tout : “peuple”.

Or, le “peuple” n’existe pas. C’est juste un mot qui désigne un regroupement formel ou informel d’individus. Ce mot n’a aucune légitimité pour se substituer au corps et à la pensée de chacun de ceux qui le composent.

Toute personne qui agit au nom de tous en ayant déclaré au préalable être au service du “peuple” ne peut être qu’un escroc.

Seuls comptent, ont une réalité physique et morale, chacun des individus qui composent le groupe. Quand bien même pour des raisons basiques d’efficacité, et ponctuellement, certains membres d’un groupe accepteraient de se plier à une majorité contraire à leur volonté personnelle, cela ne fait pas d’eux une abstraction, un “peuple”.

Cependant

Il n’est pas un jour ou les puissants et leurs outils de propagande ne nous traitent pas de “peuple”.

Personnellement, j’en suis arrivé à considérer qu’il s’agit carrément d’une insulte qui mériterait une nouvelle révolution, identique à celle de 1789, dont c’était déjà le motif. Les membres du soi-disant “peuple” aspiraient, déjà à cette époque, à être respectés en tant qu’individus.

C’est en déclamant ce mot : “peuple”, que les tenants du pouvoir nous pillent à leur profit.

Ici, il est bon de préciser ceci : l’échec est la norme, la réussite est l’exception.

Ceci est une loi naturelle, c’est la loi de la vie.

Le loup passe plus de temps à manquer sa proie que les pieds sous la table à se gaver avec des potes. C’est identique pour nous.

Ceux qui échouent sont largement plus nombreux que ceux qui réussissent.

Dans nos démocraties leurs voix sont convoitées. Pour les flatter nos élus les baptisent “peuple” et nous pillent, eux compris, en ce nom.

Ce pillage va jusqu’à stigmatiser ceux qui réussissent par leur travail ou grâce au hasard, alors qu’ils sont — et seront toujours — une minorité. Minorité dont dépend c’est incontestable — que cela paraisse juste ou non — le progrès et l’avenir de l’humanité.

La Grèce

Aujourd’hui, sous nos yeux, l’Europe est entrainée au bout du bout par des escrocs agitant le mot “peuple”.

Après avoir, par cupidité, laissé certains grecs taper dans la caisse de façon démesurée, la minorité qui en a profité se réclame du “peuple” pour refiler la facture à d’autres.

Criant haut et fort ce mot “peuple”, une oligarchie européenne va signer le Munich de l’économie dans les jours qui viennent.

Que la Grèce fasse défaut ou que l’Europe accepte qu’elle ne rembourse pas, le résultat sera exactement le même. Ceux qui ont bouloté les 250 milliards qui manquent se cachent derrière le mot “peuple”.

Ils mettent sur le devant de la scène une majorité en échec chez eux et présentent la facture à une minorité d’ailleurs pour la tondre, ce qui entraînera la ruine de ceux qui, ailleurs, vivaient  grâce à cette minorité.

En clair, ce n’est pas les “peuples” de l’Europe qui vont être solidaires du “peuple” grec. Ce sont les hommes du pouvoir escrocs Grecs qui se cachent derrière l’abstraction “peuple grec” et qui font mine, avec la complicité d’autres hommes du pouvoir escrocs européens, dans un semblant de bonté généralisée, de faire payer la facture aux autres “peuples” européens, alors que ce sera seulement la minorité dynamique et productrice de richesses des autres qui sera plumée.

Un enfumage dans les règles, à l’aide de cette abstraction qui nous dévore: “le peuple”.

Nous finirons tous à la “soupe populaire”, qui n’a rien de “populaire”, qui est simplement gratuite et suppose donc que quelqu’un puisse la payer.

Bien cordialement. H. Dumas

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Petits vols entre amis, sans se prendre la tête

Chacun peut mettre en œuvre cette petite combine, simple et de bon goût.

Vous prenez un tronçon de ligne droite, bien dégagé, vous limitez la vitesse, vous installez un radar. Si vous avez un peu le sens de l’organisation vous répétez l’opération sur toute la surface d’un pays.

Pas de raison que vous n’arriviez pas à vous faire dans les deux milliards en flashant tous les ans 40 millions de pékins. L’Etat français y arrive, vous n’êtes pas plus con que ses administrateurs, puisque c’est vous qui les avez mis en place.

Mais, là, je vais vous faire part d’une petite finesse qui va vous rapporter dans les 100 millions de bonus.

Le point fort de cette combine est qu’elle s’adosse à la justice, que vous allez vous gaver tout en faisant semblant d’être au dessus de tout soupçon, et même d’être soucieux de la justice.

Bon, on est d’accord, vous ne voulez que le bien et la justice qui va avec.

C’est pourquoi, à tous vos flashés vous proposez de pouvoir passer par la case tribunal moyennant une petite consignation de l’ordre de 68€.

Ils vont y aller de leurs 68 balles en espérant d’abord gagner du temps, ensuite éviter un retrait de point de leur permis, et éventuellement, pour les plus naïfs, expliquer leur bonne foi à des magistrats qui s’en foutent comme de leur première chemise.

Ils sortiront du tribunal environ un an plus tard, avec un jugement incluant une amende plus lourde qu’initialement, il faut bien que vous financiez le fonctionnement du tribunal, y a pas de miracle.

Mais, toujours clean, tous les poils secs et pas un qui dépasse, vous leur ferez savoir en leur adressant la nouvelle facture qu’ils ont droit à une remise de 20% s’ils paient dans le mois.

C’est pas mal ça, c’est chic et l’argent rentre plus vite.

Vous restez gagnant, leur facture a augmenté de bien plus de 20% à la suite du passage devant vos agents — appelés juges pour l’occasion — vous pouvez être large pour que le fric rentre plus vie.

Tout ça est fait dans les règles, ce lien vous amènera sur l’article R 55-3 du Code de Procédure Pénale mis en place en 2005, sous le règne de “machin” l’inventeur du principe de précaution.

Mais, tout d’un coup, ces 20% ça vous turlupine. C’est quand même du pognon. C’est perdu net, ça vous fout le bourdon, mal de crâne et tout et tout.

Heureusement pour vous, il y en a que ça rend encore plus malades que vous, ce sont vos agents. Ceux que vous pourriez faire travailler sans les payer tant ils sont jouasses de voir les pauvres mecs sortir leurs derniers biftons pour casquer leurs amendes, effondrés, la voix et le portemonnaie tremblants.

Ils vous ont trouvé un truc fastoche.

Ils ont pondu un petit alinéa à l’article R 55-3 du code de PP (plantage des pignoufs).

Trop fort, ils n’ont mis que deux ans pour trouver le truc.

Dès 2007, ils ont modifié le décret, tout seuls, comme des grands, ils ont dit : la réduction ne s’applique pas à la consignation.

Alors là, “réfléchir Jean-Pierre”, les 20% c’est pour le cas où on paie dans le mois après la condamnation. OK ?

Mais, la consignation on l’a payée bien avant, dès le début, donc pas après le mois. Vous voyez ce que je veux dire ?

Alors quand vous payez dans le mois, vous êtes “niqué” de 20% sur la consignation, pendant que vous avez clos évidemment toute votre dette dans ce même mois, comme prévu. Voilà le lien pour le décret modifié.

Puis, comme y a toujours des mauvais coucheurs, certains ont dû gueuler, alors les “zélés” ont bétonné le décret une nouvelle fois en 2009, le lien.

Bon, franchement, c’est vachement bancal le truc, à vrai dire c’est même nul à chier.

Vous imaginez Nutella faisant le même coup. Remise sur les dix pots de marron foncé, vous versez un acompte pour bénéficier de la promo, et, à l’arrivée, votre remise ne porte pas sur l’acompte. Alors là, vous allez voir “7 milliards de consommateurs” et Nutella “ils ont du souci à se faire”.

D’accord, mais ce dont nous parlons, ce n’est pas du Nutella, c’est de l’impôt arrangé sauce radar, pourquoi y aurait-il plus de justice que pour les autres impôts ? Pas vrai ?

L’impôt ça n’a pas besoin d’être juste, puisque c’est pour le bien de tout le monde.

Et puis, franchement, qui va gueuler pour 20 à 50 euros, c’est ça la combine. Se révolter pour 50 euros, n’y pensez pas.

Oui mais, multiplié par les 20% qui contestent les amendes et qui consignent, ça frise les 100 millions par an, c’est pas mal comme combine.

Enfin, c’est comme toutes les autres? Faut bien payer les faux frais.

Bien cordialement. H. Dumas

 

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La générosité : un acte difficile.

Dès l’enfance on nous bassine avec l’obligation de générosité. Est-ce si simple d’être généreux ?

Je pense à un ami dont la générosité était réelle, son intelligence et son énergie étaient à la disposition de tous. Beaucoup en profitèrent sans vergogne. Pour d’autres, plus mesurés, il était soit un repère soit une énigme.

Dans tous les cas, il n’était jamais capable de mesurer, de calculer, de calibrer le don de lui-même. Son patrimoine en souffrit, mais raisonnablement car il évoluait dans un système de monopole protégé. Par contre sa santé — exposée, comme celle de tous les hommes — dut encaisser de plein fouet les excès en tout genre provoqués par les conséquences de son incapacité à dire non, à maîtriser sa générosité. Il en est mort.

Son cas n’est pas unique. La générosité, si elle n’est pas régulée, peut affaiblir anormalement le donneur, jusqu’au pire.

Du fait de ces conséquences potentiellement mortelles pour le donneur, la générosité ne peut pas être prêchée, pratiquée, voire imposée, sans précaution. 

Le point de vue de celui qui donne

Chacun sait que donner est valorisant. Au point que nombreux sont ceux qui, comme mon ami, se laissent entrainer à trop donner.

En réalité il y a deux contraintes au don.

La première tient au fait qu’il n’est possible – normalement –  de donner que ce que l’on possède.

La deuxième est liée au temps, le moment du don ne peut être déterminé que par le donneur qui seul sait si ce qu’il possède lui est nécessaire pour assumer demain ou si il peut s’en séparer maintenant sans dommage.

Le point de vue de celui qui reçoit

Recevoir n’est pas aussi agréable qu’il y parait. C’est toujours un peu humiliant.

La conséquence de cette humiliation est, de la part de celui qui reçoit, une sorte de dédain affiché envers celui qui a donné. L’ambiance entre le donneur et le receveur est rarement au beau fixe.

Cependant, il existe des quémandeurs de circonstance qui se donnent comme point d’honneur de rendre “au centuple” ce qui leur a été donné lors d’une mauvaise phase de leur vie. Ils ne sont pas la norme.

Plus couramment celui qui reçoit mime l’indifférence tout en intégrant sur le long terme le don comme méthode répétitive de revenu. Son indifférence apparente ayant pour objectif d’atténuer sa dépendance morale au donneur.

Conclusion

Le don – et son acceptation —  sont des actes particulièrement personnels, qui sont du ressort de l’intimité du donneur et du receveur.

Ce sont des actes dangereux, qui sont loin d’être anodins s’ils sont significatifs.

L’incroyable mystification collective

De tout cela, de toute cette complexité, certaines idées collectives font litière. Elles prétendent alors que la générosité devrait être le ciment social, le but principal, voire unique, du “être ensemble”.

Il s’agit, la plupart du temps d’une escroquerie uniquement destinée à déposséder de son patrimoine celui qui en a acquis un par son propre travail ou par voie de succession. Nous avons vu dans un billet précédent l’importance existentielle du patrimoine.

Cette politique peut avoir deux objectifs.

Le premier vise l’affaiblissement direct des possédants par le biais de leur dépossession obligatoire, au motif de la générosité imposée.

Le deuxième vise l’affaiblissement moral des possédants à travers une culpabilisation collective qui les montre du doigt et les oblige soit à donner soit à se cacher, donc à limiter leurs activités.

Les deux méthodes n’ont qu’un seul but, l’affaiblissement de celui qui possède au profit d’amateurs de pouvoir, par ailleurs incapables d’accéder par eux-mêmes à la possession matérielle seul moyen réel de pouvoir.

L’humanité porte en son sein, depuis la nuit des temps, pléthore de moralistes escrocs qui prêchent la générosité des autres en vue de leur affaiblissement.

Cela va des sorciers ou devins, aux prêtres toutes religions confondues, jusqu’aux élites actuelles de nos démocraties avancées.

La chose est aisée

Il ne manque pas de destinataires pour la générosité. La pauvreté, la misère, la malchance, sont des maux endémiques chez l’homme.

Les possédants sont beaucoup moins nombreux, la plupart du temps enclins à la générosité, mais dans le cadre des restrictions analysées au début de ce billet.

C’est alors qu’apparait la caste de ceux qui donnent ce qu’ils n’ont pas su acquérir par leurs propres moyens, mais qu’ils savent pendre à ceux qui possèdent, au motif d’une redistribution dont les résultats sont le plus souvent curieux ou inexistants.

Aujourd’hui la boucle est bouclée dans nos sociétés.

La propagande des amateurs de pouvoir incompétents a réussi à isoler totalement les possédants et à multiplier exponentiellement les assistés. La liaison directe entre eux, seule garantie d’un fonctionnement réel de la générosité sans risque mortel, a intégralement disparu.

La générosité en tant que telle n’existe plus.

Ses nouveaux prêtres s’en sont assurés l’exclusivité, ils en monopolisent la collecte, sans restriction, entrainant par là même la ruine inconsidérée des donneurs. Pendant qu’ils sont aussi incompétents à assurer une redistribution équilibrée et efficace de leur collecte délirante.

Ils jouent avec la générosité, sans conscience du danger ou, pour le moins, sans respect pour elle.

Cet usage indélicat d’une émotion qui vient des profondeurs de chacun, qui ne peut souffrir aucune interférence entre les parties sans être dénaturée — pendant que son expression est fondamentale — est d’une grande gravité.

La générosité est galvaudée par ceux qui en font un outil d’accès au pouvoir, au point de ne plus vouloir rien dire.

Leur responsabilité est gigantesque, ils en paieront le prix.

Bien cordialement. H. Dumas

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La France ne peut être sauvée que par les insoumis

La corruption et l’extrémisme sont le médicament de confort d’une société française qui s’achemine vers sa propre fin. La France ne peut être sauvée que par les insoumis !

Je souhaite me présenter plus intimement à vous au préalable de ma publication=
Ma maman a perdu son 1er mari assassiné par la Gestapo pour fait de résistance et mon Papa a été 5 ans prisonniers en Allemagne. Mes oncles et tantes ont été tous des résistants à l’occupant Nazi, à l’appel du Général De GAULLE. Ma Maman (Anaïs ROUSSEL épse Léon LACHAMP) a reçu pour son 1er époux à titre posthume la Grand-Croix de la Légion d’Honneur à la libération (c’était un Héros) ; des noms d’Avenue et de Rues témoignent du courage, du sacrifice de ma famille. Mes Parents m’ont appris l’art de rester soi-même : Conscience, honnêteté, intégrité : trois valeurs pour affronter demain.
Pour mes grands-parents et parents, on était honnête ou on ne l’était pas. Ils avaient d’ailleurs affiché cette devise sur le mur de leur salon : «  La vie est comme un champ couvert de neige toute fraîche ; chacun de mes pas révèle mon chemin.» « Ce n’est pas le problème qui est important mais la recherche de la solution ». Instinctivement, ils avaient compris qu’être intègre, c’est avoir un certain sens moral et éthique qui ne varie pas selon tel intérêt ou telle situation. L’intégrité est un critère personnel qui permet de juger son propre comportement. Malheureusement, cette qualité se fait de plus en plus rare aujourd’hui. Elle est pourtant indispensable à tous les niveaux de la société, et nous devons l’exiger de nous-mêmes.
Lire + en détails sur mon blog =
– Qui suis-je=
 http://injustice.blog.free.fr/public/Qui_suis_je.pdf
– Résumé en 1 page Qui est Richard ARMENANTE =
http://injustice.blog.free.fr/public/Cv_RA_1_page_Communication_15_MAI_2013.pdf

En préambule :” La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l’amour de leur  servitude.” Aldous Huxley (1864-1963), écrivain britannique, auteur du livre “Le Meilleur des Mondes

En France le fascisme est sournois et l’injustice est un métier, pourquoi = La France n’est pas une démocratie mais une oligarchie.

L’oligarchie a un bras long et l’autre court : le long sert à prendre, et il arrive partout ; le bras court sert à donner et il n’atteint que les plus proches, les amis. L’art de gouverner des oligarques consiste à prendre le plus d’argent à une catégorie de citoyens afin de le donner à une autre.
L’oligarchie c’est aussi la dictature de la loi, l’abus de droit, le non-respect des lois dont les bras armés sont des Magistrats et l’Administration. Toute opinion est indifférente aux oligarques, à condition qu’ils gouvernent. Les peuples une fois accoutumés à des oligarques ne sont plus en état de s’en passer tant le système les protège. La différence entre un oligarque et un démocrate est la suivante : le premier pense à la prochaine élection, le second à la prochaine génération. L’esclavage de la classe d’en bas que nous sommes a été rétabli par les oligarques.
Si nous ne modifions pas le fonctionnement oligarchique de notre « démocratie », nous nous préparons, ainsi à vivre de nouveaux désordres sociaux et économiques, qui une, fois de plus, nous ferons faire du surplace économique, démocratique et consacrer le gâchis de nos potentiels. Les Oligarques, le fonctionnement des partis politiques, les élus sont devenus les Maîtres et les complices des injustices au sens le plus large.
Je vous invite à écouter ces deux vidéos qui corroborent mon analyse, la vérité, l’information nous rend plus libre d’agir. A méditer, dans ce monde Il faut plus de courage de dire ce que nous pensons que de se taire=
 Edifiant ! L’oligarchie conséquence de la corruption de tous bords = https://www.youtube.com/watch?v=XbBFo3Wat6I

En conclusion : Le langage politique actuellement est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres et à donner l’apparence de la solidité, à ce qui n’est que du vent. Chers concitoyens si vous ne pouvez et ne voulez pas participer à la lutte, vous participerez obligatoirement à la débâcle. Mobiliser vous, c’est l’avenir de nos enfants et de votre quotidien qui sont en jeux. Chers concitoyens, retrouvez le goût de l’absolu ne vous contentez pas d’une médiocrité tranquille !
Je pointe mon doigt vers la lune, n’écoutez pas ceux qui vous conseillent de regarder le doigt. Car me semble-t-il Il vaut mieux vivre un jour comme un lion que cent ans comme un mouton.

Je ne vous propose pas le Paradis, mais d’éviter que ce soit un enfer, une Vie bien remplie c’est  ‘Tu es ce que tu fais, pas ce que tu dis’.
Chers concitoyens je vous invite à ouvrir les yeux, ne soyez plus aveugles, n’attendez pas que les médiocrates vous ouvrent les yeux, c’est peine perdu. Nous avons un pouvoir, c’est celui de refuser la médiocrité.
Dans la vie : Il faut frapper le premier si l’on peut, et ensuite s’organiser pour frapper si fort comme un fleuve en crue, que votre adversaire ne se relèvera pas.  

Un rappel du Chant des Partisans à méditer, c’est le moment=
Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines, Ami entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne,Ohé partisans, ouvriers et paysans, c’est l’alarme, Ce soir l’ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes,Montez de la mine, descendez des collines, camarades, Sortez de la paille, les fusils, la mitraille, les grenades,Ohé, les tueurs, a la balle et au couteau, tuez vite, Ohé, saboteur, attention à ton fardeau, dynamite.C’est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères. La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère , Il est des pays ou les gens, aux creux des vies, ont des rêves , Ici nous vois-tu, nous on marche ,et, nous on tue, nous on crève , Ici chacun sais ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il trace , Ami si tu tombes , un Ami sort de l’ombre à ta place , Demain du sang noir séchera au grand soleil , sur les routes ,Chantez ,  Compagnons Dans la nuit,  la Liberté, vous écoute ,    Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ,   Ami entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne.

L’espérance doit nous fait marcher plus loin que la peur, nous aurons ainsi les yeux levés pour résister.

Rappel = Pour compléter votre réflexion et votre sagacité sur ce sujet , je vous prie de trouver ci-dessous 6 articles que j’ai publiés au mois de mai et juin 2015=
1) Réflexion d’un citoyen face à l’injustice =
https://www.temoignagefiscal.com/reflexion-dun-citoyen-face-a-linjustice/
2) Les contre-pouvoirs médiatiques n’existent pas en France =
https://www.temoignagefiscal.com/les-contre-pouvoirs-mediatiques-nexistent-pas-en-france/
3)  Une démocratie qui n’évolue pas, est soumise à la médiocrité des Hommes =
https://www.temoignagefiscal.com/une-democratie-qui-nevolue-pas-est-soumise-a-la-mediocrite-des-hommes/
4) La  Justice Française  37ème sur 43 pays européens ?! =
https://www.temoignagefiscal.com/la-justice-francaise-37eme-sur-43-pays-europeens/
5) L’administration et la Justice non indépendante ont un rôle économique évident =
https://www.temoignagefiscal.com/ladministration-et-la-justice-non-independantes-en-france/
6) Le Mensonge et la tricherie en France détruisent à petit feu l’économie=
https://www.temoignagefiscal.com/le-mensonge-et-la-tricherie-en-france-detruisent-a-petit-feu-leconomie/

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Patrimoine et pillage

Le patrimoine est nécessaire au pillage, il est même sa raison d’exister.

Pour que les uns pillent, il faut que les autres accumulent. Situation finalement cocasse puisque le pillard moderne ne manque pas de dénigrer celui qui accumule alors que sans lui il ne pourrait pas piller.

Tout comme le paysan engraisse son cochon pour en faire du boudin, le pillard – Bercy – devrait enrichir ses cibles pour mieux les tondre. Mais, bon, restons clean.

L’accumulation qui amène au patrimoine est-elle réellement critiquable, au-delà de la propagande indécente des pillards qui la fustigent ?

Nous allons démontrer que non.

En premier lieu, chassons l’idée – actuellement répandue – que l’homme serait une individualité unique, autonome, un tout à lui seul.

Cette idée est fausse, l’homme n’est qu’un maillon, une partie d’un ensemble multiple qui commence dès l’idée de famille, pour aller jusqu’à la globalité de l’humanité.

L’homme n’existe qu’en référence aux ensembles auquel il appartient. La réalité de ces ensembles lui est transmise par leurs patrimoines, intellectuels, moraux, matériels, culturels, etc…

Le fait qu’untel ou tel autre, partie de cet ensemble, soit le dépositaire de ce patrimoine n’a aucune importance. Le fait essentiel est que ce patrimoine existe. Qu’il soit entre les mains du roi, du riche, du camarade du parti, peu importe, mais il doit être pour qu’existe l’ensemble auquel nous sommes rattachés.

J’entends bien que cet impératif qui légitime le patrimoine ne désigne pas qui doit en être le détenteur. Certains pensent que ce devrait être la collectivité, d’autres que ce doit être les plus riches, pour ma part je pense que le mieux est que le patrimoine référent soit entre les mains des plus efficaces, d’abord pour le créer, le faire fructifier et ensuite pour le conserver.

Sur ce sujet la discussion reste ouverte, si l’on accepte en préalable l’absolue nécessité du patrimoine.

Ceci admis, peut-on créer un patrimoine sans accumuler ?

Si cela était possible, j’imagine que mon chien aurait un capital. Il n’en n’a pas.

Je ne vais pas trahir un secret en vous disant que mon chien, quand il n’a pas faim dort ou s’amuse. Quand il a faim, il remue la queue et vient me demander à manger. A aucun moment ne lui vient l’idée de mettre des croquettes de côté pour le repas du lendemain. Mon chien n’a aucun patrimoine parce qu’il n’accumule pas.

La différence entre mon chien et moi n’est pas au niveau de l’intelligence – pour certaine choses il est plus intelligent que moi — elle au niveau de la capacité à accumuler un patrimoine, donc à devenir un être social, le maillon de la chaine des hommes.

Dénigrer celui qui accumule, alors qu’il est la base même de notre humanité est stupide.

De quoi se compose le patrimoine social ?

De tout ce qui reste et peut se transmettre. La particularité du patrimoine, ce qui en fait un marqueur, c’est justement que sa durée de vie est supérieure à celle de celui qui le créé. C’est ainsi qu’il sert de greffon à l’arbre de vie de tel ou tel groupe.

En ce qui concerne sa composition citons, pêle-mêle et de façon non exhaustive, la culture, les sciences, la philosophie, les monuments, les grands évènements et leur histoire, et, bien évidemment, celui sans qui tout cela aurait du mal à s’articuler : le capital.

Qui le créé, qui le détient ?

C’est ici que les choses se compliquent. Enfin, seulement dans la tête des collectivistes.

Ils prétendent que le patrimoine ne peut être conservé et généré que par ce qu’ils appellent l’Etat, dont la définition est pour eux, il faut le dire, à géométrie variable.

L’Etat, cette abstraction, devrait donc créer et gérer le patrimoine. Le peut-il ?

Sachant que déjà il le pille, peut-il être celui qui le créé ? Le beurre et l’argent du beurre en quelque sorte ?

Tout le monde s’accorde à penser qu’en ce qui concerne les arts, la philosophie, la culture en règle générale : la liberté est meilleure conseillère que l’Etat.

Par contre, pour le pillage, les siècles passés ont apporté la preuve que l’Etat est un opérateur privilégié.

Concernant la science, les monuments et les grands évènements l’histoire prête à confusion. Ici, l’Etat collectiviste n’accumule pas les performances, mais lorsqu’il est conduit par quelque individu éclairé — despote ou non — la puissance de feu de l’Etat permet quelque fois l’accumulation patrimoniale.

Cependant, en termes de résultat global, la somme issue des patrimoines privés des sociétés libérales dépasse largement le patrimoine accumulé par les sociétés collectivistes.

Disons, de façon tout à fait pragmatique, sans porter de jugement personnel,  que du fait d’un important patrimoine, les sociétés libérales sont un meilleur terreau pour l’épanouissement de la vie que les sociétés collectivistes.

Et le pillage alors ?

Pour les mêmes raisons, les sociétés libérales sont un excellent terrain de jeu pour les pillards.

Les collectivistes sont donc pris dans leur propre système. Ils doivent favoriser les sociétés libérales s’ils veulent pouvoir les piller. Reconnaissons-le, ce n’est pas un exercice facile.

S’ils se laissent aller à installer le collectivisme, le patrimoine s’étiole, les voilà dépourvus de n’avoir plus à plumer que des pauvres. Mais où sont donc les riches d’antan ? Finiront-ils par dire.

La conclusion de tout cela est que le patrimoine est essentiel, que ceux qui l’accumulent non seulement ne méritent pas les sarcasmes des pilleurs, mais au contraire le respect de tous, car sans eux pas de patrimoine et sans patrimoine pas de société.

Bien cordialement. H. Dumas

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LE BILAN DE TÉMOIGNAGEFISCAL .COM

 

Ces deux dernières années notre blog a triplé le nombre de visites quotidiennes.
Pour chacune, le nombre d’abonnement a progressé d’environ 15% l’an.
Cela indique que les français, petit à petit, prennent conscience d’un certain « malaise » concernant les contrôles fiscaux.
Notre blog, petit ruisseau, malgré l’indifférence de nos politiques et des médias classiques, continue à grossir.
Merci internet !
Nous ne sommes pas devenu un torrent et encore moins un fleuve, mais qui peut savoir…
Gandhi ou Mandela, à leurs débuts n’étaient rien, mais rien ne les a arrêtés dans leur quête de justice et de liberté.
Et comme vous le savez, ils ont fini par gagner.
Pour nous, ces deux exemples nous montrent la voie à suivre et surtout les difficultés, en plus de celles que nous vivons, celles qui nous attendent.
Demander à être traité avec justice dans  notre France corrompue, où chacun pense à sa gamelle, ressemble à un vœu pieux.
N’empêche notre combat est juste et notre foi, car il faut avoir la foi, finira par renverser les montagnes.
Un lanceur d’alerte, il mérite ce nom, Francis, nous a rejoint.
Cet ancien inspecteur principal des impôts (37 ans de carrière) témoigne en nous racontant, en nous décrivant les méthodes de Bercy pour faire du chiffre.
C’est apocalyptique !
Seul Bernard Zimmern de l’IFRAP, en 2009, avait eu le courage de les dénoncer. Rien avant, rien après…
Il manquait dans son étude le témoignage d’un agent du fisc.
Il décrivait dans son livre des situations qui ne pouvaient que 
découler que de telles méthodes. Malheureusement sans témoignage  direct, donc sans preuves. CQFD

Nous, pour avoir vécu en directe ces abus fiscaux, nous le savions aussi, sans pouvoir le démontrer.
Personne ne voulait nous croire, nous n’étions que des fraudeurs qui s’étaient fait pincer.
Il ne fallait pas essayer de frauder, c’était bien fait pour nous. Salauds de mauvais français !
Allant contre la propagande officielle, nos affirmations sans preuve nous envoyaient au fond du trou, dans cette fameuse méprisante et moqueuse indifférence générale.
Coup de théâtre pour nous, vint Francis.
Ce coup de théâtre ne devrait pas être que pour nous.
Un tel témoignage qui dévoile les dessous peu ragoutants de Bercy,  le mot est faible, et qui concerne tous les français aurait dû faire la une de tous les médias.
Et bien non, le silence de ceux-ci est assourdissant, malgré nos envois. Ils préfèrent des sujets bien plus importants comme le vol Paris/Berlin !
Silence total, aussi du côté de nos chers députés.
Ce secret était un des secrets les mieux gardé. Caché aux français depuis des dizaines d’années. Personne, inspecteur des impôts ou fiscaliste issu de Bercy (et ils sont nombreux), ne le trahissaient. Tout le monde pratiquait l’auto-omerta…
Tout le monde faisait son beurre. Bercy en atteignant ses fameux objectifs programmés par nos politiques et les tous autres en en vivant confortablement (voir plus).
La vidéo de Francis a été vue plus de 12 000 fois. Un record pour notre petit blog. Rien ne pourra plus l’arrêter.
La graine est semée.
Croyez-moi et souvenez-vous de ce que nous vous disons aujourd’hui :
il y a un avant Francis, et il y aura un après.

Notre combat pour la justice fiscal en France est entré dans une nouvelle phase.

E.Bolling

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Lanceur d’alerte (vidéo)

Bonjour,

La vidéo de Francis Le Poizat  :  LIEN

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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LE FISC FRANÇAIS N’EST PAS CONCERNE PAR LE “NON BIS IN IDEM”!

LE NON BIS IN IDEM:

WIKIPEDIA : La règle « non bis in idem » (ou « ne bis in idem ») est un principe classique de la procédure pénale, déjà connu du droit romain, d’après lequel nul ne peut être poursuivi ou puni pénalement à raison des mêmes faits. Cette expression désigne donc l’autorité de la chose jugée au pénal sur le pénal qui interdit toute nouvelle poursuite contre la même personne pour les mêmes faits. Cette règle qui interdit la double incrimination (en) répond avant tout à un souci de protection des libertés individuelles de la personne poursuivie.

En droit français, le principe est nettement affirmé à l’article 368 du Code de procédure pénale qui dispose qu’« aucune personne acquittée légalement ne peut plus être reprise ou accusée à raison des mêmes faits, même sous une qualification différente »1. Le Code pénal prévoit également ce principe à l’article 113-9 qui dispose qu’« (…) aucune poursuite ne peut être exercée contre une personne justifiant qu’elle a été jugée définitivement à l’étranger pour les mêmes faits et, en cas de condamnation, que la peine a été subie ou prescrite. »2. Enfin, l’article 6 de ce même code fait de la chose jugée une cause d’extinction de l’action publique.

 

En avril 2001 nous passons, à la demande du fisc, devant la 11eme Chambre Correctionnelle de Paris pour le délit de « dissimulation de recettes ».
Dans la notification du redressement pour ma société cette « dissimulation de recettes » correspond à environ 90% du montant de celui-ci.
C’est dire si ce délit est important. Sur lui repose presqu’entièrement la somme faramineuse qui est exigée de la société et par incidence directe aux associés, dont moi !

Le 2 juin 2002, le Tribunal Correctionnel rend son jugement : Pour lui, le délit de « dissimulation de recettes n’est pas prouvé et il nous en exonère.
Il réduit donc de 90% le montant du redressement.
Nous attendons, dans l’angoisse, car de passer devant un Tribunal Correctionnel, même si l’on  est certain de son innocence, n’a rien de franchement rigolo, nous attendons donc  de savoir si le fisc fait appel de cette décision.
Pour la petite histoire, coup de théâtre, lors de l’audience, le Procureur de la République, n’a rien requit contre nous et s’en est « remis au tribunal », c’est dire si le dossier d’accusation du fisc sentait le faisandé…
Bref, le fisc ne faisant pas appel, ce jugement est donc définitif.
Nous sabrons le champagne.
Nous pensons naïvement que c’est la fin de nos soucis, de nos saisies, de nos cautions etc…Que nous allons pouvoir recommencer à travailler sereinement, ce que nous ne faisions plus depuis 1997, occupés (le mot est faible) que nous étions à essayer de nous défendre contre cet abus fiscal.

Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps : cela n’a rien changé pour Bercy qui a continué
à nous poursuivre allègrement et a fini par couler notre entreprise.

En résumé, et pour faire court, le fisc a donc continué, sans tenir compte du jugement définitif du Tribunal Correctionnel nous relaxant.
Le Tribunal Administratif a fait de même, et nous a condamné, en contradiction absolue avec le jugement définitif précédent.

Conclusion: Le Non Bis In Idem ne s’applique pas à Bercy.
Bercy est donc bien au-dessus des lois.
Cela ne vous rappelle- t- il  pas de vieux souvenirs concernant d’autres régimes?
Et il parait que nous sommes toujours en “démocratie”…

E.Bolling

 

Quelques dates de notre chemin de croix : 
6 juin 2002 : jugement du Tribunal Correctionnel.
17 janvier 2008 : jugement perdu à 100% devant le Tribunal Administratif.
29 juin 2010 : jugement de la Cour d’Appel administrative. Il rejoint celui du Tribunal
Correctionnel. Notre société a été liquidée en 2009 !
13 décembre 2012 : Repassage une nouvelle fois devant une 2eme Cour D’Appel Administrative.
Jugement Ex Aequo et Bono, c’est-à-dire 50/50…Rapporteur Public
Il faut constater que la fameux Rapporteur Public nous a, à chaque fois, été  à charge (voir la vidéo sur notre blog Contribuables Sensibles : s’abstenir)

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Les contre-pouvoirs médiatiques n’existent pas en France

Les contre-pouvoirs médiatiques n’existent pas en France =
Une réflexion non exempte de critiques que je soumets à votre sagacité. La vérité est sans pitié. La colère m’a fait crier justice pour tous, j’avais le cœur blessé. Alors je peux lutter avec les opprimés.

Si pour une fois Internet pouvait servir à servir la France, les français, déclencher une prise de conscience collective, assainir la politique, réveiller les médias, pourquoi pas ?? Utopie ???

Les Médias, la presse, les journalistes qui devaient contrôler, se sont endormis sur la complaisance. Quand la souffrance fera pleurer des larmes de sang aux médias, les Médias auront les yeux lavés. Alors les médias défendront leurs frères de sang.

Préambule= Georges ORWEL disait « Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire », alors qu’attendent les journalistes et les médias. Un pessimiste voit une difficulté dans chaque opportunité et un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté.
A méditer, « Un homme qui n’a pas d’ennemi n’a rien fait de sa vie ! (Winston Churchill)  Deux très grands journalistes qui nous apportent la réponse=
« 
Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie » Albert Londres
« Il n’est pas un crime, pas un truc, pas un sale coup, pas une escroquerie, pas un vice qui ne perdure sans le secret qui l’entoure. Exposez ces faits au grand jour, décrivez-les, attaquez-les, ridiculisez-les dans la presse et, tôt ou tard, l’opinion publique les chassera. Informer n’est peut-être pas la seule chose nécessaire mais c’est une chose sans laquelle toutes les autres démarches resteront vaines » Joseph Pulitzer

Où est la force de l’indignation de la presse en France car ce que dit Blaise PASCAL (Pensées) devrait s’étendre aux médias « Il est juste que ce qui est juste soit suivi, il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu’il y a toujours des méchants ; la force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force ; et pour faire cela faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste ». La presse devrait être un contre-pouvoir, une force démocratique importante pour tous les citoyens, les TPE-PME , à conditions que la presse les défendent et fasse éclater la vérité et l’injustice.

Développement =
Le désamour des français à l’égard des médias et des politiques s’explique aisément.
En fait en France les médias comme les politiques ne se préoccupent pas des abus de pouvoir et des injustices quotidiennes que subissent les citoyens, TPE-PME…etc , la classe d’en bas en fait . Comment peut-on apprécier les médias et les politiques dans cette situation ?
Pourtant la loi permet non seulement aux journalistes mais aux politiques d’intervenir et de défendre la vérité, le respect des lois , combattre les abus de pouvoir ..etc. Les médias et les partis politiques traditionnels s’étonnent de perdre des lecteurs et des électeurs ; mais ils sont aveugles ou sophistes et certainement pusillanimes !
Cet article sur ce sujet est donc très important pour l’équilibre démocratique des pouvoirs. Les Médias sont importants et c’est la raison 1ere des puissants de les posséder pour abuser, défendre leur puissance et pouvoir. Les médias français font des généralités et sont devenus les portent paroles des politiques aux pouvoirs. De plus la Presse aussi est soumise aux changements de la pensée, il y a 40 ans les médias pensaient local et agissaient global mais maintenant les médias doivent penser global et agir local pour les citoyens les plus faibles, les TPE-PME et faire régner la justice au sens le plus large.
Le Journal MEDIAPART a entrepris ce chemin de croix de la recherche de la vérité, et de réaliser cet acte révolutionnaire, mais qui se préoccupe des injustices, les abus de pouvoir subis au quotidien par les TPE-Pme et les citoyens de la classe d’en bas ; qui les dénonce, qui fait éclater la vérité, qui investigue, qui écoute le citoyen??? Les puissants, l’Etat Français, les multinationales sont les propriétaires des médias et ont affaibli peu à peu le pouvoir et le rôle des médias dans la démocratie. La vérité est enfermée, et réduit les libertés des plus faibles tous les jours : TPE-PME, Citoyens.

Il faut tourner la page ? Non Il faut changer de livre!   La liberté n’est pas une faveur c’est un combat quotidien.
Voltaire disait « Pour être libre il faut être informé’ “je ne suis pas d’accord avec vous mais je suis prêt à mourir pour que vous puissiez vous exprimer « 

Nos concitoyens ont le sentiment que les médias ne font pas ce que l’on attend d’eux. Je pense que non seulement nos concitoyens ont compris ce qu’est le journalisme mais les journalistes doivent comprendre ce que veut dire être journaliste. En fait nos concitoyens ont raison, la presse n’est que le reflet aussi d’une société française corrompue et mafieuse, médiocrate, un pandémonium et ce n’est pas un euphémisme. Les évènements et dénonciations diverses, en particulier du média MEDIAPART et sur les médias qui commencent à ouvrir les yeux, corroborent mon affirmation. Encourageant, la presse est en train de se réveiller, face à cette crise démocratique et il faut l’aider à ouvrir totalement les yeux et les oreilles. Albert Eisntein disait “On ne règle pas les problèmes avec ceux qui les ont créés” et comme disait Balzac ” La comédie humaine c’est avant tout l’échec du politique“. Ce n’est donc pas un signe de bonne santé démocratique que la presse française soit bien adaptée à une société profondément malade. C’est la réalité sauf si les médias, la presse et les journalistes cessent d’être aveugles, avant que de bonnes vérités leurs crèvent les yeux.

Prenons l’affaire de M. Jérôme KERVIEL qui fait la démonstration du fonctionnement mafieux et inéquitable de la justice. En réalité M. Jérôme KERVIEL  demande la vérité et  à nos politiques, Président de la République de la défendre. Je salue le courage de Mme la Commandante Nathalie Leroy pour son témoignage. Il faut aussi protéger les témoins qui mettent à nue les dérives de la justice parce que des pressions ont été faites sur des personnes qui font parties de l’appareil judiciaire pour faire obstruction à la vérité . Ces témoins dans ces affaires mettent en causes des intérêts mafieux.
M. Jérôme KERVIEL ne demandait pas de passe-droit, il demandait LE DROIT ET LA Vérité!

Une information sur le fonctionnement des médias en France qui devraient être à la pointe de la recherche de la vérité, Information pour votre sagacité= Quelques liens démonstratifs et explicatifs, à voir absolument :
L’investigation un métier perdu, Une réflexion humoristique , Tant que l’on ouvre pas une huitre l’on croit que c’est un caillou , =
https://www.facebook.com/photo.php?v=836529933043290
Liberté de la presse : la France descend à la 39e place sur 180 =
http://www.les-crises.fr/reprise-liberte-de-la-presse-la-france-descend-a-la-39e-place-sur-180/
Aides à la presse, un scandale qui dure :Sébastien Fontenelle | monde-diplomatique.fr | novembre 2014 . Instaurées en France dès la fin du XVIIIe siècle pour « encourager la libre communication des pensées entre les citoyens », les aides de l’Etat à la presse n’étaient destinées qu’aux publications d’intérêt général. Elles profitent désormais aux groupes puissants, sans que leur contribution au débat démocratique saute aux yeux. Pourtant, les procureurs les plus inflexibles de la réduction des dépenses publiques restent cois…la suite :
http://www.monde-diplomatique.fr/2014/11/FONTENELLE/50945
La Réalité de La France un journaliste et un Magistrat dénoncent : https://www.dailymotion.com/video/x2evw9p_un-magistrat-et-un-journaliste-en-activite-temoignent-a-visage-masque-la-france-big-brother-laurent_news?start=194

La démocratie, médiocratie, française a atteint ses limites, il faut impérativement apporter les changements nécessaires. Tout cela nuit au développement économique. La démocratie qui reposait sur le contrôle, s’est endormie sur la complaisance, rien d’autre. La France a besoin “de contre-pouvoir” que nous n’arrivons pas, nous citoyens dotés de réflexions, et bon sens à créer ; c’est hélas navrant et très grave pour ce Pays. Pour ma part, il y a longtemps que j’ai pris la décision de dénoncer TOUS LES TRAVERS DE LA SOCIÉTÉ…“PEUT-ON ENCORE SAUVER LA France ?”

La France a donc besoin de contre-pouvoir médiatiques pour dénoncer tous les dysfonctionnements et abus de pouvoir, car une injustice faite ne fût-ce qu’à une seule personne est une menace pour nous tous, la raison pour laquelle avec quelques Amis nous avons décidé de créer un journal ci-dessous, mais avec peu de moyen financier. Le but était d’être à l’écoute du citoyen et de l’aider à faire éclater la vérité pour faire respecter le droit et combattre les abus de droit , les abus de pouvoir d’où qu’ils viennent (ETAT, Administration, …etc) . Nous voulions obtenir une présence nationale Papier, Internet, TV internet…etc. Force est de constater que cet objectif n’est pas encore atteint. Mais cela nous a permis de mieux comprendre la réalité de la médiocratie française. Ce JOURNAL a été appelé « TOP ALERTE » le journal qui fait éclater la vérité. J’ai compris aussi qu’Il est inutile de compter sur le gouvernement, nos élus, actuellement, pourtant la loi les obligent, car ils sont les garants d’une bonne justice. Informations de ce que nous essayons de faire avec le journal TOP ALERTE=
1) Journal TOP ALERTE octobre 2011 n°19 (affaire Richard ARMENANTE) :
http://injustice.blog.free.fr/public/Journal_Top_Alerte_octobre_2011_n_19.pdf
2) Info sur le Journal TOP ALERTE, Business plan Français, Pourquoi ce journal : http://injustice.blog.free.fr/public/PROJET_charte_et_business_plan_journal__top_alerte.pdf
3) Info des journaux TOP ALERTE :
http://injustice.blog.free.fr/public/Edition_journal_TOP_ALERTE.pdf

Information complémentaire = La réalité des médias en France, une information sur le fonctionnement de certains médias qui devraient être à la pointe de la recherche de la vérité, à voir absolument= http://www.dailymotion.com/video/xpj5bo_les-nouveaux-chiens-de-garde-les-10-premieres-minutes_shortfilms

Les citoyens ne doivent compter que sur leur propre détermination pour faire respecter le droit et combattre les abus de pouvoir. Aidez-vous, en vous soutenant les uns les autres, fortifiez ceux qui, parmi vous, sont faibles, unissez-vous, organisez- vous et vous ferez gagner La France. Les citoyens doivent être plus exigeants des élus, de la presse, des administrations, des syndicats…etc. La Presse doit rentrer en résistance et arrêter la collaboration à la médiocratie ! La presse doit retrouver le gout de l’absolu et ne plus se contenter d’une médiocrité tranquille.

La France est devenue peu à peu un pandémonium et ce n’est pas un Euphémisme !Payons-nous des impôts en France pour avoir une Médiocratie et une injustice de qualité??

Conclusion : La vraie faute, c’est celle que l’on ne corrige pas. “Confucius”

Pour  votre réflexion et votre sagacité « et Vous pouvez partager » Autres Publications que j’ai faites sur Témoignage Fiscal =
1) Réflexion d’un citoyen face à l’injustice =
https://www.temoignagefiscal.com/reflexion-dun-citoyen-face-a-linjustice/
2) Une démocratie qui n’évolue pas, est soumise à la médiocrité des Hommes = https://www.temoignagefiscal.com/une-democratie-qui-nevolue-pas-est-soumise-a-la-mediocrite-des-hommes/
3) La  Justice Française  37ème sur 43 pays européens ?! = https://www.temoignagefiscal.com/la-justice-francaise-37eme-sur-43-pays-europeens/
4) L’administration et la Justice non indépendante ont un rôle économique évident = https://www.temoignagefiscal.com/ladministration-et-la-justice-non-independantes-en-france/
5) Le Mensonge et la tricherie en France détruisent à petit feu l’économie= https://www.temoignagefiscal.com/le-mensonge-et-la-tricherie-en-france-detruisent-a-petit-feu-leconomie/

Richard ARMENANTE

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PILLAGE : premier acte d’une révolte

Après vingt cinq ans de galère fiscale, quinze ans de lutte et cinq ans de témoignage et d’intense réflexion, je suis arrivé à la conclusion que le problème fiscal de la France n’est pas la dépense mais la collecte.

Cette vision des choses n’est pas dans l’air du temps. Pourtant j’entends non seulement la démontrer mais engager dans ce sens la lutte indispensable à la survie de ce pays. Insensible à l’isolement, le défi ne me rebute pas.

Lorsque l’on réfléchit à la collecte, lorsque l’on a la chance d’avoir rencontré un inspecteur principal des impôts qui enfreint la loi de l’omerta fiscale et que l’on comprend que 50% des redressements sont dénués de tout fondement, lorsque l’on vit dans sa chair les conséquences de ces redressements abusifs, lorsque l’on compare ces 200 ou 300.000 redressements indus aux 300.000 cambriolages annuels pour toute la France, le mot pillage vient à l’esprit.

Alors, pour y voir plus clair, direction Google, “pillage”, résultat : presque rien. Les livres sur Amazone à partir du même mot “pillage”, rien du tout.

Finalement, les précisions viendront d’une thèse de doctorat, publiée en PDF sur le net, émanant du professeur Xavier PERROT, juriste à Limoges, datée du 7/12/2005 donc récente, intitulée : ” De la restitution internationale des biens culturels aux XIXème et XXème siècles : vers une autonomie juridique…”

Pour les besoins de sa thèse, l’auteur explique comment les biens matériels forment l’ensemble culturel d’une société, comment ils la situent dans le temps et dans l’espace, comment ils sont pour elle un repère indispensable constitutif de son existence. Le patrimoine, explique-t-il, est le produit d’une longue histoire, il est unique, il n’est pas neutre.

Cette définition des biens, généraux ou plus spécifiquement “artistiques”, non seulement me convient parfaitement mais s’adapte aussi au patrimoine et aux biens familiaux ou personnels.

Priver une société de son patrimoine revient à la priver de son existence même, pareillement pour une famille ou un individu.

De tout temps, cette privation, cette confiscation : le pillage, a été l’attribut du vainqueur au détriment du vaincu. C’était la conclusion logique de l’acte terrible qu’est la guerre.

Quatre cents ans av.J.-C. le militaire-philosophe Xénophon déclarait : “loi universelle et éternelle que dans une ville prise…tout, les personnes et les biens, appartiennent au vainqueur”.

Le pillage, qui paraissait déjà éternel 400 ans av.J.-C., resta la base de la guerre jusqu’au siècle dernier en Europe et l’est encore aujourd’hui en d’autres lieux sur la planète.

Pendant des milliers d’années le pillage parut légitime. Portant sur les biens ou sur les territoires, il était en réalité le moteur économique de la guerre, sa justification.

Ce n’est que récemment au siècle dernier que, les guerres étant devenues de telles machines destructrices aux objectifs plus vastes que la possession des biens puisque visant directement la possession des hommes, la notion de reconstruction de l’esprit après la guerre s’est posée et, dans le même temps, celle de la restitution du patrimoine sans lequel il n’y a pas d’esprit.

L’Allemagne en 1940, par son pillage total, systématique, qui l’a entrainée au pire, a déclenché face au néant ainsi créé une réaction mondiale de protection des patrimoines des sociétés.

Aujourd’hui, le pillage est condamné par la loi de la guerre. Alors qu’il a perduré pendant des temps immémoriaux.

Cette condamnation — convention de La Haye du 14 Mai 1954 — d’une part n’a pas mis un terme aux pillages de guerre, d’autre part n’a pas pu complètement régler le retour aux situations d’origine pour les pillés. C’est dire l’intégration du pillage comme donnée naturelle pour l’homme.

Larousse nous dit que le pillage c’est : “S’emparer des biens qui se trouvent dans un lieu en causant des dommages, en usant de violence”.

Le pillage est évidemment différent du vol, qui lui a toujours été interdit. La différence tient en ce que le pillage est autorisé, accepté, comme ce fut le cas pendant des milliers d’années à l’occasion des guerres.

Les excuses sont multiples. Notons initialement la raison du plus fort, puis les nécessités territoriales (USA), religieuses, politiques ou autres.

Aujourd’hui, chez nous, l’excuse en vogue est la pauvreté et sa jambe de bois : l’égalité.

C’est au nom des pauvres, au motif de l’égalité, que l’Etat français pille ses administrés, y compris d’ailleurs les dits pauvres au travers des taxes indirectes.

La chose parait naturelle, admise, c’est ce que nous devons combattre.

Nous le ferons par la loi.

-1- Réfléchissons d’abord à formuler le mieux possible la liaison entre notre être et notre patrimoine, l’aspect indissociable que cela représente. Combattons la propagande de honte ciblant celui qui possède un patrimoine personnel ou familial.

-2- Répertorions les méthodes de Bercy qui portent atteinte à notre patrimoine avant même que nous ayons l’opportunité de nous défendre.

-3- Répertorions la masse de ceux qui se sont vus dépossédés de tout, pillés, par Bercy. Réalisons une liste de ces victimes.

-4- Déposons une plainte pour pillage contre le Directeur de l’organisme pilleur : Bercy.

-5- Allons jusqu’au bout de toutes les ressources judiciaires qui nous sont offertes par la justice française et européenne.

-6- Et enfin, battons nous in fine pour que l’Etat restitue leurs biens à ceux qu’il a pillé, une fois que ses pillages auront été actés.

Je souhaite mener ce combat avec vous, mais quoiqu’il arrive je le ferai, s’il le faut seul.

Ce que les hommes ont fini par ressentir comme inacceptable dans le cadre du pillage des sociétés, pourquoi ne le ressentiraient-ils pas dans le cadre du pillage des individus ?

Ce billet engage une lutte nécessaire, qui sera longue, mais qui vaut la peine d’être menée.

Bien cordialement. H. Dumas

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Un espoir si ténu (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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TRIBUNAL ADMINISTRATIF et TRIBUNAL DES AFFAIRES DE SÉCURITÉ SOCIALE: C’EST LE MÊME COMBAT!

Même connivence entre Bercy et le Tribunal Administratif qu’entre le TASS et la Sécurité Sociale.
Chaque jugement en apporte la preuve…

Ci-dessous un article de Claude Reichman.

 

Nous récusons les tribunaux de la honte !

Le MLPS et les organisations qui, comme lui, exigent l’application des lois supprimant le monopole de la sécurité sociale ont pris la décision de récuser désormais les tribunaux des affaires de sécurité sociale (TASS).

La situation des requérants est en effet devenue insupportable : non seulement ces tribunaux, qui sont juge et partie, n’appliquent pas les lois, mais certains, comme celui de Paris, en sont venus à infliger des amendes de plusieurs milliers d’euros à des citoyens qui ne demandent rien d’autre que de bénéficier des lois de leur pays.

Il faut savoir que les TASS sont financés par la Sécurité sociale, et que deux juges sur trois sont désignés par les syndicats qui dirigent la Sécurité sociale. A qui croyez-vous qu’ils donnent toujours raison ? A la Sécurité sociale ! Vous avez dit impartialité ?

Le TASS ne respecte ni l’article XVI de la Constitution, aux termes duquel « toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée n’a point de Constitution », ni l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme et des libertés fondamentales, qui donne droit à tout citoyen à « un tribunal indépendant et impartial ».

Au TASS, la connivence entre les juges et les représentants des caisses de sécurité sociale est flagrante. Il n’est pas rare qu’un magistrat demande publiquement au représentant de l’URSSAF de transmettre ses amitiés à son directeur ! Entre gens de bonne compagnie, il faut savoir se comporter de façon civile ! Il faut les voir échanger des clins d’œil et des sourires entendus !

Ces tribunaux sont une tache sur le visage de la France. Ils déshonorent notre pays. Nous exigeons leur suppression immédiate.

Nous tenons à la disposition du public des centaines de jugements plus honteux les uns que les autres rendus par les TASS. Et cela se passe en France, pays des droits de l’homme ! Mais il n’y a rien d’étonnant à cela : une affaire scandaleuse comme celle d’Outreau s’est terminée sans qu’un seul des 60 magistrats qui ont eu à en connaître et à en juger ait reçu la moindre sanction ?

Il y a tous les jours des travailleurs indépendants qui se suicident à cause de jugements scandaleux du TASS. Le TASS, c’est Outreau à la puissance mille. Quand des salariés harcelés se suicident, leur entreprise est poursuivie. Quand un travailleur indépendant se suicide, nulle émotion, nulle poursuite : il n’est qu’un esclave destiné à travailler douze à quinze heures par jour pour nourrir le racket social et les juges qui le valident au mépris des lois de la République.

Nous appelons les travailleurs indépendants, les chefs d’entreprise, les professionnels libéraux à manifester massivement leur refus d’un système qui les traite en parias, les juge illégalement et les condamne.

Le début de la révolution des entreprenants, c’est la suppression des TASS. D’autres revendications suivront. Cette fois, c’est fini. Le peuple qui travaille a repris le pouvoir !

Dr Claude Reichman
Président du Mouvement pour la liberté de la protection sociale
(MLPS).      Lien d’accès au site de Claude Reichman

 

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L’Etat : cette abstraction qui nous tue

Le titre de ce billet induit la question fondamentale : jusqu’où pouvons-nous accepter l’inacceptable ? C’est-à-dire : quelles contraintes peut supporter l’homme que nous sommes tout en restant un homme ? Ou encore : à quel moment ce qui nous est pris est tel que ce qui nous reste ne nous permet plus d’être des hommes, des êtres vivants libres ?

Petit détail, j’ai oublié de préciser la différence, pour moi, entre un homme et un animal ou tout être vivant. Cette différence c’est la liberté, la conscience que l’homme en a, l’usage qu’il peut en faire.

Ce qui implique que, ne jouissant pas de la liberté, certains hommes n’accèdent pas au statut d’homme, soit de leur fait, soit du fait de leur environnement. Constat gênant, j’en conviens, mais il en est ainsi. Sans cette prise de conscience, son acceptation, nulle réflexion raisonnable n’est possible sur la condition humaine et ses contraintes.

Ceci posé, quels sont les éléments de liberté auxquels aspire l’homme. Je dirais : la liberté de vivre, la liberté d’aimer, la liberté de penser, la liberté de posséder.

Trois obstacles se dressent devant celui qui aspire à jouir de ces libertés dans sa course existentielle : l’environnement naturel, les autres, lui-même.

Les autres, ce sont eux qui nous intéressent dans ce billet.

Ils peuvent être des obstacles individuels, voire des groupuscules, constants ou ponctuels.

Génétiquement l’homme fonctionne en meute. Face aux difficultés, ou pour atteindre certains objectifs, il se regroupe naturellement.

Ce reflexe collectif n’a en réalité qu’un but : pallier la faiblesse naturelle des hommes face à la nature, obtenir par l’effet de groupe une force globale d’équilibre, voire de combat ou de domination.

Naturellement, ces épisodes collectifs sont conjoncturels et ponctuels, ils s’effacent lorsque le but pour lequel ils se sont créés est atteint. Leur objectif est toujours positif. Il n’est pas d’effet de regroupement ayant pour objectif avoué une perte, une régression.

L’Etat

Lorsque ces regroupements sont structurés globalement, que leur structure s’impose à nous sans possibilité de lui échapper, qu’ils ont la prétention de nous inclure de force dans leur structure, ils se font alors appeler : l’Etat.

C’est là que les choses se corsent.

La pérennité de ce type de regroupement lui ôte la ponctualité des regroupements naturels et, conséquemment, la clarté de l’objectif poursuivi.

On peut dire à partir de ce moment là que le but devient une abstraction.

C’est le point pivot quand le réflexe grégaire qui nous regroupe n’a plus un objectif ponctuel, simple, naturel, mais au contraire un objectif constant, abstrait, prétendument à définir en cours de route.

On peut alors affirmer que l’Etat lui-même est une abstraction.

Il se passe à ce moment précis une chose extraordinaire, alors que jusqu’ici l’idée de regroupement ne voyait le jour qu’au service d’individus regroupés pour affronter une difficulté, le regroupement qui se fait appeler Etat a la prétention d’imposer aux hommes qui le composent de le servir, sans pour autant s’engager à leur apporter en retour un avantage visible, déterminé.

Dans ces conditions, d’où vient le fait que des Etats existent ?

Mauvaise question : l’Etat n’existe pas.

Ou plutôt, il n’existe pas d’Etat issu de la volonté unanime de ceux qui les composent, contrairement à ce qui se passe pour les regroupements spontanés et ponctuels initiés par les hommes pour pallier à leur faiblesse face à la nature.

L’Etat est une vue de l’esprit imposé par une minorité de dominants.

Une abstraction basée sur un mensonge qui consiste à récupérer le reflexe grégaire des humains en affirmant que sa pérennité ainsi formulée va permettre d’éviter les contraintes liés à des regroupements successifs fatalement accompagnés de leur part d’improvisation et de surprise.

Les dominants à la manœuvre, après avoir affirmé posséder un mandat — toujours douteux, qu’il vienne de Dieu ou des urnes – considèrent qu’ils peuvent utiliser la force pour contraindre à rester dans le groupe constitué qu’ils appellent “Etat”  tous ceux qui ont le malheur de se trouver à leur portée.

Nous voilà inclus, sans doute contre notre gré, dans un groupe qui n’a ni objectif précis, ni de ce fait de durée déterminé, mais qui va exiger de nous une limitation de nos libertés.

Ce groupe, l’Etat, a la prétention de pouvoir disposer de nos vies en cas de guerre décidée par lui, de nos biens qu’il pense mieux gérer que nous, de nos pensées dans les secteurs où il considère que les siennes doivent être uniques.

Ces libertés — qui font de nous des hommes — ainsi amputées, valent-elles les promesses que nous font les dominants avant de nous en priver ? Assurément la réponse est non.

Et que dire quand ils nous en dépossèdent sans même nous proposer quoique ce soit en échange. Ce qui n’est pas rare, chez nous ou ailleurs.

L’Etat, qui pourrait avoir une raison d’être uniquement en tant que groupement conjoncturel de défense face à des agressions injustifiées, est une abstraction scandaleuse dans sa réalité de tous les jours.

Chacun de nous paie du prix de ses libertés la facture de cette ineptie, de cette machine à servir les dominants qui la gèrent.

Aujourd’hui il n’est pas incongru de se poser objectivement la question : devons-nous nous débarrasser de cet abstraction qu’est Etat, qui tue nos libertés fondamentales pour le seul bénéfice de ses seigneurs, qui nous ramène au rang d’esclave par rapport à eux ?

Je vous laisse juge en ce qui vous concerne, pour moi c’est clair, l’Etat, en sa forme actuelle, cette abstraction qui nous tue, doit disparaître. Et, pas pour plus d’Etat, mais pour plus de libertés individuelles et très peu d’Etat.

Bien cordialement. H. Dumas

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Comme un traquenard (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Une démocratie qui n’évolue pas, est soumise à la médiocrité des Hommes

Ce que j’ai à vous dire est très important sur la Démocratie Française , mais pas seulement = Drôle démocratie que la nôtre, l’esclavage de la classe d’en bas est rétabli. Pourquoi ?
La France n’est pas une démocratie mais une oligarchie!

La démocratie française a été construite sur des bases démocratiques Hellénistes très anciennes et aujourd’hui dépassées. De plus Beaucoup de nos dirigeants sont pusillanimes par conservatisme et sophistes par corporatisme. Les privilèges ont la vie dure en France.
Ainsi, je formulerais quelques remarques quant à la nécessité de modifier le fonctionnement et l’organisation de notre démocratie, du système politique et de notre Justice (la justice est aussi nécessaire que le sucre et le pain), car, notre démocratie et le fonctionnement judiciaire ne sont plus adaptés à la Globalisation de l’économie. La France n’est pas une démocratie, tous nos maux en sont le résultat. Lorsqu’on commence à se poser de vraies questions, plusieurs pistes de réflexions surgissent que vous pourrez lire ci-dessous et dans mon expertise »alerte » détaillée en lien joint pour ceux qui veulent satisfaire leur curiosité. La Démocratie française devrait reposer sur le contrôle mais s’endort sur la complaisance et s’abandonne à la facile médiocrité des Hommes. Ce qui ne se contrôle pas ne progresse pas. Notre devoir c’est ce qui fait que les citoyens suivent les règles définies par la société, mais la colère et l’injustice, c’est ce qui doit nous pousser à non seulement changer les règles de la société, mais aussi à les faire respecter à n’importe quel prix surtout quand elles sont bafouées.

Francis Blanche disait non sans humour : »Il y en a qui pensent au changement, et, d’autres qui changent les pansements ! ». Et disait Georges Orwell : » Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire », c’est le moment.
La Médiocratie c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent.
J’ai conscience que je vais heurter la conscience de certains de mes concitoyens qui ne sont pas en cause. J’ai confiance en l’avenir et c’est parce que j’y crois avec les réserves ci-dessous que je suis critique.
« Rappel historique et analyse » =
Tant que l’on n’ouvre pas une huitre l’on croit que c’est un caillou. On nous rappelle souvent la démocratie grecque (qui date de + de 2500 ans) comme référence à la démocratie et valeur immuable. Mais certains oublient que c’est celle-ci qui a amené à l’échec la Grèce car elle n’avait pas évolué. Il est temps de faire des progrès.
En fait le problème est culturel, La France est donc une société démocratique Helléniste, dont la base repose sur les privilèges (dont l’esclavage), comme les grecs les avaient établis il y a 2500 ans. La France n’a pas fait la rupture avec l’Hellénisme, ou plutôt, la rupture a été faite en 1789 à la révolution et a durée 10 années, NAPOLEON a rétabli l’Hellénisme (dont l’esclavage) en 1799. La politique est devenue l’art de se servir des citoyens et de les diviser. Il n’y a pas le pouvoir, il y a l’abus de pouvoir maintenant, rien d’autre. Des pays comme L’Allemagne, Le CANADA, l’Australie….etc. , ont fait la rupture avec l’Hellénisme. Il me semble impératif de faire cette rupture culturelle, un progrès considérable, supérieur selon mon point de vue aux problèmes financiers car les problèmes financiers, économiques viennent de cette culture. D’autres pays Hellénistes, comme l’Espagne, le Portugal, l’Italie, la Grèce doivent faire aussi cette révolution pour retrouver une dynamique économique, certains l’ont compris.
La mondialisation c’est quoi ? : Il y a + de 40 ans nous devions penser local et agir global mais maintenant et pour l’avenir il faut penser global et agir local. Et le développement Durable, c’est connaître le Global et le détail pour décider. La technologie nous a ouvert de nouvelle responsabilité sur le monde et sur nos actes. Si tu votes tu es responsable mais si tu ne votes pas aussi. C’est en cela que le vote est important et responsabilise les citoyens sur les choix. D’où l’intérêt de connaître parfaitement les futurs élus, ce qui n’est pas le cas en France. La France est un pandémonium et ce n’est pas un euphémisme, de plus son administration fonctionne comme la maffia, la vérité est sans pitié les faits tous les jours en apportent les preuves. La France n’a plus le goût de l’absolu, les citoyens se contentent souvent de la médiocrité tranquille. On est passé aussi du monde du visionnaire à celui de gestionnaire. Il faut donc une autre démocratie, mais les conservateurs de tous les bords ont le pouvoir. Le cumul des mandats politiques, le temps des mandats trop long développent les connivences…etc. IL faut donc interdire le cumul et limiter les mandats dans le temps (2 fois), pour permettre un renouvellement des Femmes et des Hommes politiques et éviter les dérives pour s’adapter. Il faut aussi réorganiser la gouvernance du pays, des régions des villes, et consulter plus les citoyens. Il faut aussi supprimer le sénat, les conseils généraux et donner plus de pouvoir à l’assemblée nationale et à l’opposition, mais avec humour : »un Grand Homme, visionnaire voulait le faire me semble-t-il ». Les politiques sont donc le résultat d’un fonctionnement inadapté de la démocratie.
Payons-nous des impôts pour avoir une médiocratie, une injustice de qualité ?
Quand une République a les mains sales la Démocratie est en danger !

Quelques exemples démonstratifs, tous les jours la presse s’en fait échos=
– Un Exemple de La corruption en Grèce  en 2012 = http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/04/03/20002-20120403ARTFIG00560-grece-l-ile-aux-aveugles-un-recit-de-corruption-ordinaire.php

– Parlement français : des retraites en or massif=
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/sophie-coignard/parlement-des-retraites-en-or-massif-19-05-2015-1929342_2134.php#xtor=CS1-31

– Les commentaires en dessous sont révélateurs d’une envie de révolte pour faire oublier cette comédie qu’a été 1789. Ou pour terminer le travail=
http://www.lepoint.fr/societe/bmw-duplex-salaires-de-pdg-les-folies-depensieres-des-academies-01-05-2015-1925631_23.php

– La France un pays maffieux et son administration fonctionne comme la maffia ??: cette vidéo va vous permettre de découvrir l’enfer fiscal , judiciaire et règlement de compte racontés de l’intérieur. Vos doutes seront confirmés. Oui l’injustice et l’incompétence règnent en maître dans le contrôle fiscal et les services judiciaires. On vous tue gratuitement. Il ne tient qu’à vous que ce scoop devienne un buzz, faites tourner.
https://www.temoignagefiscal.com/contribuables-sensibles-sabstenir-video/

– Mensonge du Ministre Michel SAPIN «vidéo taxe Tobin de l’engagement au désengagement»=
http://blog.francetvinfo.fr/oeil-20h/2014/12/15/video-taxe-tobin-de-lengagement-au-desengagement.html

– En France l’injustice est un métier indignez-vous=
https://youtu.be/nbwPLB7a0Zs

– Edifiant ! Révélateur de la corruption de tous bords !
https://www.youtube.com/watch?v=XbBFo3Wat6I

Devant les faits, les arguments adverses deviennent sans valeurs. Autant de sujets pour lesquels, faute d’une vision claire de l’adhésion des français(e)s à la règle républicaine qui exige le respect de l’équilibre entre les droits et les devoirs, et en prenant en compte les effets de la mondialisation , si nous ne modifions pas le fonctionnement de notre justice et notre démocratie nous nous préparons ainsi à vivre de nouveaux désordres sociaux et économiques, qui une fois de plus, nous ferons faire du surplace démocratique et consacrer le gâchis de nos potentiels..
La Démocratie, et la justice doivent être un moteur de l’économie et non un frein !

Donc Il y a 30 ans l’on pensait local et l’on agissait global, maintenant et pour les siècles à venir il faut penser global et agir local avec les citoyens. Le fonctionnement, de nos institutions en particulier judiciaire françaises, n’a pas évolué et il pénalise les plus faibles donc les PME et les TPE, en particulier les innovantes. La France a besoin “de + contre-pouvoir” que nous n’arrivons pas, nous citoyens dotés de réflexions, et bon sens à créer ; c’est hélas navrant et très grave pour ce Pays. Pour ma part, il y a longtemps que j’ai pris la décision de dénoncer TOUS LES TRAVERS DE LA SOCIÉTÉ POLITIQUE, de DROITE OU DE GAUCHE.” PEUT ON ENCORE SAUVER LA France ?”

Vous pouvez lire mon EXPERTISE , une alerte , INHESJ 2007, ou j’ai proposé , Pourquoi il y a moins de TPE PME et article revue l’AUDITEUR INHESJ n°30 de 2009 :
http://injustice.blog.free.fr/public/Resume_expertise_INHES_dans__journal_AUDITEUR_INHES_du_30_janvier_2009__1_.pdf

http://injustice.blog.free.fr/public/Expertise_economie_securite_TPE_PME_de_Richard_ARMENANTE_INHESJ_Aout_2007.pdf

En conclusion = La politique actuelle est l’ensemble des procédés par lesquels des hommes sans prévoyance mènent des hommes sans mémoire. La corruption et l’extrémisme sont le médicament de confort d’une société qui s’achemine vers sa propre fin. La politique doit être l’art de servir et de rassembler les citoyens et non l’inverse. Il faut être UN COLIBRI ? : « Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : “Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu !”   Et le colibri lui répondit : “Je le sais, mais je fais ma part.” « 

Rappel = J’ai rencontré M. Nelson MANDELA, en 1992 , homme exceptionnel. Un témoignage en toute modestie pour M. Nelson MANDELA « MADIBA », Il te change ta vie. Il était l’art de servir et de rassembler les citoyens, il n’a jamais eu l’impression d’être trop petit pour pouvoir changer les choses. Sa vie a été faite de courage, il fait partie des rares citoyens qui méritent cet hommage. Avec Nelson MANDELA le verbe résister se conjugue au présent . Mon témoignage sur Le Monde.fr « Merci encore du temps que vous m’avez consacré ainsi que l’autorisation de reproduire la photographie ». L’article sur votre témoignage est ici=  http://rezonances.blog.lemonde.fr/2013/12/06/mort-de-mandela-en-1992-jai-rencontre-cet-homme-exceptionnel/

Et pour mémoire Ma Réflexion face à l’injustice = https://www.temoignagefiscal.com/reflexion-dun-citoyen-face-a-linjustice/

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Le Malbrough planétaire

Sa bombe atomique en bandoulière, à bord de son unique porte-avions, notre grassouillet Hollande part en guerre.

La foule applaudit.

Les sondages, paraît-il, donneraient une majorité — des vieillards qui composent la France — favorable à une intervention en Syrie. Fichtre.

Ce ne serait pas la première fois que ce peuple de Gaulois chamailleurs partirait à la guerre dans la joie, pour y prendre une pâtée d’enfer.

Sous nos yeux se déroule le scénario implacable du livre de Samuel Huntington “Le choc des civilisations”.

Je n’ai évidemment aucune sympathie pour Daech et sa violence inacceptable. Mais, sommes-nous sûrs de son isolement mondial, tel que nous le vend notre “presse-propagande” ?

Imaginons que Malbrough s’en aille en guerre contre une poignée de voyous nomades, resquilleurs de musées, et qu’il se retrouve face à une coalition de la moitié du monde qui rêve d’en découdre et le verrait arriver avec délectation, ce serait ballot, non ?

Une bonne occasion perdue de rester neutre.

Mourir pour des vestiges en très mauvais état — qui dans tous les cas auront disparu dans deux mille ans, et deux mille ans c’est demain à l’échelle du temps — je ne souhaite pas ça à mes petits enfants ou à ceux de mes voisins.

Je peux comprendre la pensée simplette de notre Malbrough dont l’objectif unique – nous l’avons vu dans l’affaire Charlie, dans celle de l’avion allemand – est de coller à l’émotivité du plus grand nombre pour tenter absurdement d’en faire un ciment politique, visant à faire oublier la médiocrité de son mandat et de sa philosophie.

La guerre ne se justifie que défensive, porter le fer chez le voisin, quelque soit le motif, reste une invasion, n’en déplaise aux ardents défenseurs du droit d’ingérence.

Il est facile de se poser en défenseur de la veuve et de l’orphelin avec le sang des autres, ce peut même être momentanément valorisant.

Sans remonter très loin dans le temps, le même Malbrough nous a fait le coup en Afrique – intervention au Mali (lien) — aujourd’hui il y est encalminé — avec en plus des affaires scabreuses sur le dos — pour une période indéterminée.

Lorsqu’il a engagé ce conflit africain, il a effectivement fait la une des journaux. Il est possible que nous touchions des royalties pour cette intervention africaine, je n’en sais rien, mais, si c’était le cas, il faudrait que nous soyons arrivés bien bas pour vendre nos jeunes comme mercenaires.

L’incohérence de nos actions militaires est angoissante, même pour un profane.

Toute idée de racisme écartée, l’afflux de populations extérieures non maîtrisé ne peut pas être sous-estimé, pendant que notre engagement sur des théâtres d’opérations lointains éparpille nos ressources armées. La force, particulièrement dans son expression ultime la guerre, ne peut pas être galvaudée, sous peine de voir sa puissance diminuer et risquer alors de faire défaut.

Le monde en gestation est-il un havre de paix universelle ou au contraire une poudrière qui n’attend que l’étincelle pour exploser ?

Bien malin celui qui pourrait se prononcer, sans douter, pour l’une ou l’autre de ces hypothèses. Le devoir du chef est donc de se préparer aux deux.

En ce cas, je propose à Malbrough de relire Clausewitz. Celui-ci démontre de façon irréfutable que, évidemment, la guerre est une épreuve de force, mais aussi que la défense est une position plus solide que l’attaque.

Si donc nous prenons l’hypothèse qu’une partie du monde en a soupé de la domination multiséculaire occidentale et souhaite en découdre, le mieux pour nous n’est pas de lancer chez les autres des attaques pusillanimes et affaiblissantes, mais bien d’organiser rationnellement et efficacement la défense de notre territoire, que ce soit aujourd’hui face à une invasion d’allure pacifique ou demain face à une invasion militaire.

Alors, “mironton, mironton, mirontaine”, pour revenir de guerre autrement que “mort et enterré”, la solution la plus sage est de ne pas y partir.

Si par contre, nous prenons pour hypothèse que le monde va devenir un paradis de paix, un vaste ensemble économique de bonheur et de prospérité, il serait dommage d’y participer en queue de peloton.

Le devoir d’Hollande serait alors de libérer les forces vives du pays, de rendre aux français leur compétitivité, la liberté d’être et d’agir qu’un Etat obèse leur a confisquées au fil des années.

Objectivement, quelque soit l’angle d’où l’on regarde le fonctionnement de ce garçon, que nous avons élu président, sans y impliquer de sectarisme il a tout faux.

Et cependant, il ne doute pas… c’est mauvais signe pour son QI.

Bien cordialement. H. Dumas

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Le vertige du néant

Face au néant qui l’enveloppe et l’absorbe — ou l’absorbera — l’homme n’a que deux attitudes possibles : lutter avec son petit corps et sa petite tête ou se laisser engloutir.

William Shakespeare l’a synthétisé d’une formule jamais égalée “être ou ne pas être”.

La lutte est perdue d’avance. Ce ne sont pas la richesse, la notoriété ou le pouvoir, ni même la jouissance ou encore la connaissance, qui protègent du néant.

Malgré ce constat — que nous pouvons tous faire — la vie s’empare de nous et lutte. Nous-même, vecteurs de sa lutte, objectivement nous ignorons pourquoi elle lutte.

Puis, soudain, à chaque génération, assez rapidement las de cet effort peu concluant, la plus grande majorité abandonne. Peut-on le lui reprocher ? Bien sur que non, puisqu’il n’y a pas d’issue.

Mais, et c’est sur ce point précis que les choses dérapes, au lieu d’accepter le néant contre lequel elle ne lutte plus, cette majorité générationnelle fait mine de confier cette lutte à une ou plusieurs tierces personnes. Elle se dérobe, simule une acceptation de lutte par délégué interposé, n’affronte pas le néant. Elle a le vertige du néant.

C’est ici que tout bascule : ceux qui acceptent – voire revendiquent — cette mission de lutte contre le néant pour le compte des autres ne peuvent être que des escrocs.

Ce que je veux dire c’est que “être ou ne pas être” relève exclusivement d’un choix individuel, sans possibilité de délégation à quiconque.

A partir de ce constat, il est utopique et malsain d’imaginer qu’une organisation collective pourrait se substituer à la responsabilité individuelle.

Or, depuis des millénaires, il se trouve toujours quelque escroc pour prétendre gérer pour le compte d’autrui la lutte contre le néant. Ces aigrefins réclament systématiquement un blanc-seing de ceux qui ont abandonné la lutte, alors qu’ils savent pertinemment que cet abandon les a définitivement engloutis dans le néant dont ils ne pourront en aucun cas les sortir.

Promettre ce que l’on sait ne pas pouvoir donner est le b.a.-ba de l’escroquerie.

Toute organisation sociale qui prétend éviter aux hommes leur propre néant est une escroquerie.

Une fois cette conclusion posée et admise, les perspectives changent du tout au tout. Il apparait de façon claire que la seule politique qui vaille est celle qui laisse à l’homme le choix d’assumer seul le fait de décider s’il veut  “être ou de ne pas être”, se battre contre le néant ou se laisser engloutir.

Ce choix est si fondamental, si respectable, qu’à lui seul il légitime la protection due à l’individu pour qu’il puisse le faire.

Toutes les forces d’une société doivent donc contribuer à protéger la liberté de l’individu pour qu’il soit en mesure de faire ce choix existentialiste, seul hochet que lui accorde l’univers.

On voit ici que le respect de la personne, de son individualité, dépasse largement la notion d’égoïsme, elle est au centre de la vie. Il en ressort que le collectivisme est une escroquerie philosophique indéniable.

Rien ne peut justifier le collectivisme, rien ne peut lui être pardonné, en ceci qu’il masque à l’homme son destin, la décision qu’il doit prendre face au néant, sans laquelle il n’est pas.

Et pourtant, tous ces escrocs de l’assistance par la collectivité portent beau, convaincus qu’ils font semblant d’être de leur efficacité, alors qu’elle ne peut être.

Tout au plus peuvent-ils déstabiliser ceux qui tentent d’affronter le néant au profit de ceux qui s’y abandonnent, mais dans quel but ?

Puisqu’au final tous seront logés à la même enseigne, qu’il ne s’agit que d’un jeu dans lequel le néant sort toujours vainqueur, quel est l’intérêt de tricher ?

Même leur propre intérêt est éphémère. A ne pas comprendre, ou à faire semblant de ne pas comprendre cette réalité d’un choix exclusivement individuel et de ses conséquences, peuvent-ils récolter un avantage ? Même pas.

Leur tricherie déroute les joueurs sincères qui ne voulaient que jouer, elle créé dans la partie en cours une instabilité favorable au néant qu’ils prétendent sottement maîtriser.

La vanité est leur seul moteur, comment peuvent-ils espérer, ainsi affublés, remplir leur vie, leur médiocre vie ?

L’univers et l’absolu sont des données qui leur sont étrangères, pourtant leur mystère les rattrapera…

Depuis toujours des hommes se lèvent face au néant, pour le fun, sans autre prétention que de dominer leur peur. Cet acte solitaire doit être respecté, au diable tous ces escrocs du collectivisme qui est l’antichambre de l’esclavagisme, de l’acceptation de la servilité, le prix à payer pour tenter de fuir le vertige du néant.

Laissez-nous l’affronter, nous n’avons pas besoin de vous. Nous savons le combat perdu, mais laissez-nous le mener.

Bien cordialement. H. Dumas

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Pour ne pas mourir idiot

Bonjour,

Ouvrir les yeux c’est possible, sortir de la caverne de Platon quel soulagement…

Capture

Pour accéder à ce petit guide: Lien pour le petit guide…

Bien cordialement. H. Dumas

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LA FIN DE GOLIATH/BERCY?

Dans plusieurs précédents papiers, j’affirmais certaines vérités que j’avais vécues.

A part certaines personnes qui avaient eu le malheur de les subir, ces vérités n’intéressaient vraiment pas grand monde (POURQUOI LES FRANÇAIS NE VEULENT PAS CROIRE AUX ABUS FISCAUX du 15 septembre 2014). Elles tombaient dans une indifférence quasi générale.
Il y a ceux qui ne payent pas d’impôts, environ 50% des français, qui profitent en partie de notre pillage, ceux qui sont contrôlés et qui ne s’en sortent « pas trop mal ».
Les premiers ne cherchent pas à connaître la vérité et ils applaudissent des deux mains à ce « rééquilibrage social ».
Pour les seconds, nous sommes des crétins qui n’avons pas sus nous défendre. Eux ont été plus malins que nous…
Bref, ruinés, nous pouvons hurler jusqu’à l’extinction de voix à l’abus fiscal, tout le monde s’en fout.
On peut le démontrer en produisant des preuves de sa bonne foi, on ne vous écoute même plus : malheur au vaincu ! (LA MORT SOCIALE 1 du 20 avril 2014))
Vous êtes le pot de terre qui combat le pot de fer…
Vous allez vous heurter à la puissance monstrueuse de Bercy, à la cohésion sans faille  de ses membres à tous ses échelons, jusqu’au célèbre Tribunal Administratif.
De A à Z, tout est verrouillé.
La seule possibilité de victoire devrait résider dans la justice civile, le TGI, mais là encore, même si vous gagnez, cela ne sert à rien et n’arrête Bercy en aucune façon qui continue à vous poursuivre.
Je le sais je l’ai vécu. (L’INQUISITION AU SERVICE DU FISC : LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF du 4 février 2014)
Bernard Zimmern de l’IFRAP dans son livre « Contrôle Fiscal : Le Piège » démontre le  fonctionnement insensé de nos fonctionnaires des impôts. Ce livre n’ayant pas été attaqué en diffamation par Bercy, nous pouvons considérer qu’il contient une part importante de vérité.
Et alors, me direz-vous, qu’est-ce que cela a changé ? Rien !
Il sait, nous savons, et alors ? Rien !
Un jour, pur hasard, nous rencontrons Francis (CONTRIBUABLES SENSIBLES : S’ABSTENIR vidéo du 6 mai 2015) et tout devient lumineux.
Son témoignage, qu’on ne pourra balayer d’un geste méprisant, nous révèle, nous confirme ce que depuis des années nous savions par notre vécu et notre ruine.
C’est la première fois, même si le son n’est pas top, qu’un inspecteur (principal) ose parler et nous décrit par le menu la face très cachée et très obscure de Bercy.
Son témoignage remet en question bien des redressements abusifs…
Emmanuel Bolling

 

Dans mes futurs papiers, je reprendrai point par point le témoignage de Francis.

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Le Mensonge et la tricherie en France détruisent à petit feu l’économie

Le Mensonge en France est plus fort que la Vérité! Le mensonge est donc le plus grand danger qui  guette  La France ! Pourquoi ?
Nous avons un pouvoir, c’est celui de refuser le mensonge.
La justice et la France ne seront sauvées de la médiocratie que par les insoumis que nous sommes ! Les services judiciaires sont devenus l’art de se servir des citoyens. Ceux qui refusent à d’autres la justice ne la mérite pas eux-mêmes ; cela vous dit-il quelque chose ? « Il n’y a pas le pouvoir mais l’abus de pouvoir rien d’autre (Henri de Montherlant) ».

En effet le plus grand danger qui guette la France n’est pas de viser un but  trop élevé et de le rater, mais plutôt de choisir une cible trop modeste et l’atteindre. Il n’y a rien de parfait dans ce monde, seulement les intentions mensongères des politiques sont parfaites. Pourtant la recherche de la vérité et la vérité sont des sources de progrès évidentes. N’ayons donc pas peur des lendemains. Parce qu’au fond, ne demandons pas aux autres ce que nous devons faire. La cause des difficultés de La France est le fonctionnement médiocre de sa démocratie, et de ses institutions, les chiffres sont là, triste classement. La France n’a pas su tirer les leçons de la période des lumières il y a + de deux siècles et n’a pas su faire la rupture avec les privilèges. L’histoire est souvent un éternel commencement, ou recommencement. Mais on a l’impression avec certains politiques que l’on reprend tout à zéro, le peuple ayant soit la mémoire courte ou pas de mémoire. La France est comme L’aveugle qui tourne en rond, il s’imagine qu’il marche vers son but parce qu’il avance.
En fait c’est le travail c’est la vérité que l’on reproche à certains français=
– ceux qui travaillent beaucoup  commettent beaucoup d’erreurs. – ceux qui travaillent moins commettent moins d’erreurs,
– ceux qui ne travaillent pas  ne commettent pas d’erreurs,
– ceux qui  ne commettent pas d’erreurs montent en grade.
– La France, une réalité qui fait peur, une culture de l’ambition et pas du talent. « Mais  une personne qui n’a jamais commis d’erreur n’a jamais tenté d’innover » Albert Einstein.

L’heure n’est plus au discours sans passage à l’acte !
La vitesse de l’activité économique et l’âpreté de la concurrence mondiale imposent à tous les dirigeants et cadres d’entreprises, administrations réactivité audace, innovation permanente afin d’améliorer sans cesse la compétitivité et la rentabilité. Plutôt que de relever seul le défi du « toujours plus de performance dans la compétition mondiale », “En France ”  toutes ses administrations et les Entreprises doivent mettre en place un management d’alliance qui reconnait à chacun sa part de valeur ajoutée. La Qualité c’est TOUT et TOUT Le Monde. Eh dans la vie il y a des gens qui ont de l’ambition et du talent, moi je préfère ceux qui ont du talent.

En conséquence= La France n’encourage pas les citoyens  à dire la vérité et à prendre des risques. Le mensonge, la tricherie, le vol sont de mises en France, l’exemple vient d’en haut. IL faut tenir les gens à distance de la réalité et ça ne rend pas fort. Au contraire. Parce que c’est de la peur du risque, de la vérité que l’on véhicule dans l’esprit des citoyens, et les enquêtes démontrent depuis+ de 20 ANS que 80% des jeunes ont comme seul  rêve d’être fonctionnaire. Tout est dit !
Mais Peur de quoi?
De prendre un risque. Le risque que des choses arrivent, le risque de se laisser emporter… Mais le risque c’est la vie. Refuser d’essayer, par peur, c’est du gaspillage. D’accord  personnellement j’ai fait des erreurs, beaucoup même, mais je n’ai pas de regrets. Parce qu’au moins, je ne suis pas resté sur le bord de la route à me demander ce que vivre veut dire. A méditer à nouveau le « Proverbe » : Un Citoyen qui veut faire quelque chose a contre lui = Ceux qui veulent l’empêcher de la faire ; ceux qui veulent faire la même chose ; ceux qui veulent faire l’inverse ; ceux qui ne font rien.

Comme disait un avocat, la vérité est dans les injustices, cette vérité là est la seule qui compte, elle est même à l’origine du mot Avocat « ad vocatus – Au secours ! », elle en est le moyen « ad vocare- parler pour ! ». La vérité judiciaire n’existe pas, car la justice n’a pas pour but de dire la vérité, la justice doit seulement la rechercher. Mais trop peu de fois les services judiciaires, l’administration recherchent la vérité .Enfin, un grand avocat ne va pas à la facilité, il cherche la vérité non l’intérêt, quand le malade est grave le médecin est grand.

En conclusion= Mettez-vous en colère ! Seuls ceux qui risquent sont libres ! Le Mensonge et la tricherie en France détruisent à petit feu l’économie et l’innovation des entreprises. Une démocratie sans contrôle est soumise à la médiocrité des Hommes et ce qui ne se contrôle pas ne progresse pas. De plus la vérité est sans pitié pour les corrompus, la vérité ne peut se laisser enfermer, elle nous rend libre, car la conséquence est qu’une injustice faite ne fût-ce qu’à une seule personne est une menace pour nous tous. La Vérité est la seule arme que possèdent les citoyens et la justice serait grande si les citoyens la contrôlaient. Alors ?
Certains trop nombreux utilisent les services de l’état Français pour nuire en inventant des fraudes imaginaires et mensongères en allant jusqu’à ne pas respecter la loi et les droits de l’Homme.
Actuellement la bonne conscience en France se définirait plutôt par la mauvaise foi. Quand il y a de l’argent, certaines personnes partagent tout à coup la même religion. Les Politiques et les médiocres les plus adroits ne viendront pas à bout d’assujettir tous les citoyens. Crions donc la vérité car personne n’entend, tellement nos concitoyens sont éloignés de la vérité, perdus dans des quêtes superficielles que la médiocratie leurs impose. Tout ce qui est nécessaire pour que le mal et le mensonge triomphent, est que les hommes bons taisent la vérité et ne fassent rien, dans la vie, il y a des combats qui en valent la peine !
Une information sur le fonctionnement des médias en France qui devraient être à la pointe de la recherche de la vérité, à voir absolument =
http://www.dailymotion.com/video/xpj5bo_les-nouveaux-chiens-de-garde-les-10-premieres-minutes_shortfilms

L’esclavage de la classe d’en bas serait-il rétabli ????

Mon combat pour la vérité = Je crie la vérité mais personne n’entend tellement mes concitoyens sont loin de la vérité, perdus dans des quêtes superficielles. Cliquez :
Résumé d’un complot en Bande organisée : le communiqué de presse Maj explicatif, qui résume l’Histoire d’un pillage ,violation des lois ,des droits de l’homme, et corruption en France =
Réflexion face à l’injustice que je subis=
https://www.temoignagefiscal.com/reflexion-dun-citoyen-face-a-linjustice/

Une vie bien remplie : « Tu es ce que tu fais pas ce que tu dis ! » Richard ARMENANTE

A méditer “Des caricatures” =

La France :La Justice La Presse la Politique=
http://injustice.blog.free.fr/public/La_Justice_La_Presse_La_Politique.JPG
 
La Justice en FRANCE,  il faut de l’Humour =
http://injustice.blog.free.fr/public/LA_JUSTICE_il_faut_de__l_humour.JPG

Errare humanum est ; Perseverare diabolicum est . Veritas Thesaurus est . Ad astra per aspera …Vulnerant Omnes , Ultima necat ! « Res Gestae »

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Le Pen : vieux et arabes, même combat

L’effondrement du menhir de l’intolérance face aux apparences, qu’a été Jean Marie Le Pen, ne manque pas de saveur.

Voilà un homme qui a fait de l’intolérance son fond de commerce. Visant ceux qui se différenciaient de l’image qu’il colportait du français parfait, il les abreuvait d’insultes et promettait ni plus ni moins que leur disparition.

Il y avait, pour lui, d’un côté l’apparence rassembleuse et de l’autre la différence excluante.

Comme tous les intolérants, ses capacités intellectuelles et son imagination limitées ne lui ont pas permis de percevoir avec justesse l’impact de la modification naturelle de sa propre apparence.

De ce fait, aujourd’hui, ceux là mêmes qu’il a formés à l’intolérance le dévorent tout cru. Il est vieux, cela leur suffit pour le déclasser, le reste n’est que boniment.

Ils ne savent pas que la vieillesse n’obère en rien l’homme tant que la maladie ou un choc psychologique ne lui imposent pas l’évidente proximité de sa mort. Alors que pour ceux qui le regardent, sa simple apparence de vieux évoque justement cette insupportable proximité et leur fait peur. Ils la rejettent, et le vieux avec.

Le Pen se sent jeune dans la tête, mais il est pathétiquement vieux dans  son apparence. C’est un vieillard déguisé en chaperon rouge que nous avons vu s’agiter vainement le premier Mai face au loup garou de l’intolérance qu’il a lui même engendré.

Il y a peu, j’ai été personnellement, à l’occasion d’une situation qui ne tournait pas à l’avantage de mon contradicteur, accusé par celui-ci d’être victime du “naufrage de la vieillesse”. Que répondre à une telle intolérance face à l’apparence ? Rien, il n’y a rien à répondre.

Il n’y a jamais rien à répondre à l’intolérant. Tendre l’autre joue ? À votre bon cœur.

Le temps, tout seul, se charge de l’affaire.

Pensez à ces allemands errant dans les décombres de leurs cités emportées par l’immensité de la vague d’intolérance qu’ils avaient mondialement provoquée.

La particularité de l’intolérance est qu’elle crée en retour une force de la même puissance visant à l’équilibrer, voire à la dépasser, cette force est elle aussi intolérante, c’est un cercle vicieux qui finit systématiquement en guerre.

Les musulmans qui aujourd’hui ne le comprennent pas vont le payer très cher.

Puis, in fine, le temps ayant fait son ouvrage, la paix et son ciment, la tolérance, sont alors de retour.

Les intolérants sont ce que l’humanité porte de plus destructeur en elle.

Hollande est un sectaire intolérant. Pour la parité, citons Duflot qui en est une autre. Leur intolérance est globale, ils l’alimentent régulièrement en prétendant à des idéaux minoritaires de perfection leur permettant de dénoncer tous ceux qui s’écartent involontairement de ces carcans ridicules.

Dans la réalité, tout cela n’est qu’apparence.

Leur intolérance fondamentale, fondatrice, n’a qu’une origine : le capital.

Il faut dire que l’écrasante majorité des intolérances, quelque soit leur habillage, a pour origine réelle la haine du capital.

Le capital est la “quéquette” de l’économie, cette chose indispensable à l’humanité dont hélas l’usage est si jouissif qu’il déborde largement sa seule utilité.

Ainsi, ceux qui détiennent le capital, par vocation personnelle ou par le hasard d’un concours de circonstances, ne sont pas foutus d’en limiter leur usage à sa seule réelle utilité : l’économie.

Tous, sans exception, en jouissent abondamment, sans précaution, la plupart du temps avec démesure. En face d’eux, la jalousie des observateurs, lorsqu’elle s’allie à une personnalité intolérante, ne pense que représailles, au mieux vicieuses au pire mortelles, pour se venger de la vision de cette jouissance qui les rend malades.

L’intolérance est le poison mortel des sociétés, pendant que la tolérance en serait le remède universel.

La difficulté tient au fait que la tolérance peut ressembler à la faiblesse, à la lâcheté, voire à l’indifférence. Cela pourtant n’est qu’un effet d’optique, la résultante d’un angle de vision dans le temps.

En effet, la tolérance est une attitude forte qui doit impérativement précéder la réflexion ou l’action. Après la réflexion ou l’action, elle se transforme inexorablement en faiblesse, voire en lâcheté.

C’est cette situation dans l’espace du temps qui complique l’usage de la tolérance, qui demande à ceux qui souhaiteraient être tolérants des capacités de prévoyance sans lesquelles cela n’est pas possible.

Conclusion :

Disons que Le Pen, Hollande et Duflot ont probablement une imagination défaillante qui ne leur permet pas de maîtriser l’idée de tolérance, ce qui expliquerait leur intolérance, leur sectarisme, seules solutions pour eux d’éviter la lâcheté ou la faiblesse. Gageons qu’ils ne sont pas isolés dans cette configuration.

Bien cordialement.

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OPTIMISATION FISCALE: MICHEL SAPIN FAIT DES MOULINETS DU MENTON! par h16

La chose est maintenant sûre : l’État français perd de l’argent à gros bouillon parce que ses concurrents fiscaux sont meilleurs. Et ça, mes petits amis, scrogneugneu de nom d’une pipe en bois, ça ne se passera pas comme ça ! Le gouvernement, se rendant subrepticement compte de ces fuites massives de capitaux, va donc agir pour corriger cette situation inique !

Et par « gouvernement », on entend ici Michel Sapin, l’actuel ministre de nos actuelles finances, ce qui, quand on voit la bobine rebondie du premier et la tronche émaciée des secondes, donne à réfléchir. Le Michel, il ne s’en laissera donc plus compter : « Je serai intraitable » aurait-il même déclaré jeudi dernier (peut-être sous le coup d’un vin un peu trop capiteux), lançant ainsi une offensive en règle contre les sociétés françaises qui auraient eu l’idée saugrenue de faire de l’optimisation fiscale par l’intermédiaire de filiales à l’étranger ou de rescrits fiscaux (tax rulings) accordés par d’autres pays de l’Union européenne.
sapin et le consentement à l'impôtEt en avant, voilà notre joufflu politicien juché sur sa Rossinante à l’assaut de moulins fiscaux qu’il ne maîtrise pas mais se fera fort de démanteler de ses petits bras agités. Il est tout remonté, notre homme, et il compte bien parvenir à quelques résultats. D’après plusieurs études, le fisc français serait (avec l’allemand) l’un des plus grands perdants de ces rescrits fiscaux. De surcroît, le mois dernier, les 28 gouvernements de l’Union se sont entendus pour une règle de transparence totale entre administrations nationales, couplée à un échange automatique des informations sur ces tax rulings. Ceci devrait déboucher sur une nouvelle directive européenne, pilotée par cet as de Moscovici qui a fait tant de bien à la France et dont on imagine sans mal qu’il va faire des étincelles dans le domaine. D’ailleurs, les discussions en cours portent sur la durée de la rétroactivité du coup de matraquage fiscal qu’il faudra appliquer (oui, oui, rétroactivité légale, en droit fiscal, c’est possible), et que le brave commissaire, toujours aussi lucide sur le plan économique, entend porter à 10 ans.

On attend déjà avec gourmandise les effets de bords débiles et crisogènes que ces belles intentions vont provoquer. En attendant, vilains évadés fiscaux, vos jours sont comptés, et vos portefeuilles surveillés ! Tremblez, mauvais contribuables félons !

Ceci étant dit, intéressons-nous deux minutes au fond de l’affaire pour mesurer l’ampleur des dérapages à venir. Cela nécessite d’être un peu technique, mais le jeu en vaut la chandelle, ne serait-ce que pour dissiper les épais nuages de pignouferie que les articles produisent autour du sujet.

Passons rapidement sur la différence entre évasion fiscale et optimisation fiscale, on a maintenant l’habitude de la confusion journalistique éhontée qui permet de faire passer les utilisateurs chevronnés de la seconde pour des malandrins habitués de la première. L’optimisation, rappelons-le, consiste à limiter son impôts en utilisant tous les moyens légaux mis à sa disposition, que ce soit par des montages juridiques plus ou moins complexes (mais légaux) ou des investissements dans certaines niches fiscales (légales). L’évasion, par définition, consiste à fuir d’une prison fiscale vers un pays de moindre tabassage en soustrayant autant que possible l’opération aux yeux des gardes-chiourme fiscaux.

Passons également sur cette logique socialiste assez typique qui veut que l’impôt est un dû et qu’il est formellement interdit de chercher à le réduire, même par des dispositions pourtant légales. Dans la belle idée de nos collectivistes, comme tout ce que vous faites leur appartient (la réciproque étant fausse, soyons sérieux), tenter d’en garder un peu pour vous constitue un vol. Implacable comme un goulag de Sibérie en plein hiver.

tax manRentrons plutôt dans le vif du sujet : ces fameux rulings. Qu’est-ce que c’est exactement ? Pour le résumer dans un format raisonnable, il s’agit d’une entente entre un contribuable et une administration fiscale (dans la mesure où ce dernier a confiance dans l’administration) qui consiste à faire valider des hypothèses de travail par les services fiscaux compétents. Essentiellement, il s’agit de prendre contact avec eux pour leur expliquer un cas spécifique, en leur présentant la façon dont on l’interprète, et en leur expliquant le calcul qu’on espère voir appliqué pour ses impôts. Dans la foulée, on attend donc de cette administration une confirmation ou une explication de la façon dont elle va réaliser ses opérations. Bien évidemment, à aucun moment il ne s’agit d’une discussion de marchand de tapis dans laquelle le contribuable négocierait avec l’administration pour obtenir un rabais, un abattement ou que sais-je. En somme, il s’agit avant tout de bien s’approprier les règles fiscales locales.

Dans le cadre de sociétés multinationales, se pose alors la question de cette application à l’échelle du groupe. On peut en effet être juste au niveau local mais avoir tort au niveau de toute la holding. C’est ainsi que s’introduit le concept d’abus de droit, qui revient en l’espèce à mettre en place un mécanisme à visée exclusivement fiscale. Le mot-clé ici est exclusivement. Et dans ce cadre, le fisc français doit être en mesure de prouver que le montage n’a pas d’autres buts que d’échapper à l’impôt. Une bonne optimisation fiscale consistera donc à « fournir de la substance » c’est-à-dire, à créer une filiale dans un autre but que celui d’échapper à l’impôt, ce dernier bénéfice ne devenant alors qu’un sous-produit pratique de l’opération, et non recherché en premier lieu.

À partir du moment où ces deux éléments, le ruling et la substance, sont réunis, le mécanisme d’optimisation fiscale est inattaquable. A contrario, vous vous exposez ou bien à des risques dans le pays de défiscalisation (en cas d’absence de ruling) ou bien dans le pays d’origine (en cas d’absence de substance).

En pratique, la loi française couvre déjà tous les abus. D’ailleurs, les employés du fisc ne se privent absolument pas de contrôler les sociétés systématiquement dans les trois ans qui suivent la mise en place d’un tel mécanisme. Et bien sûr, le fisc est au courant de ces pratiques puisqu’au moment du montage, la création de la filiale entraîne automatiquement le paiement d’une « exit tax » sur la valeur de l’apport.

taxer c'est volerPour revenir aux dernières déclarations de Sapin, il faut donc comprendre que, tant que la directive n’est pas votée et transposée en droit fiscal français, tout est déjà en placepour encadrer cette optimisation. Oui, vous l’avez compris : le petit ministre est dans l’incantatoire, les moulinets de menton, les agitations de petits bras et l’enfumage de journaliste. La volonté de dissuasion pour effrayer le contribuable (qu’il soit particulier ou société) est ici assez claire, et vise sans doute à ralentir ou geler ces montages complexes dans l’attente de la loi définitive, mais c’est à peu près tout.

Enfin, on ne peut que déplorer ces nouveaux petits pas sur la route de la servitude, petits pas marqués par de nouvelles limitations de mouvements des capitaux, et la réduction de la concurrence fiscale entre les États en se calant, bien évidemment, sur les plus gourmands, en tuant les avantages comparatifs de petits (Luxembourg, Suisse, Belgique, Irlande, …) qui misent sur une politique fiscale accommodante comme outil d’attractivité. Faire le contraire, transformer la France en relâchant les contraintes fiscales, en offrant aux investisseurs un paysage fiscal à la fois stable et doux, n’était pas envisageable. Pensez donc : si ça marche pour le Luxembourg ou la Belgique, ça ne peut pas marcher pour la France !

Décidément, Moscovici d’un côté, Sapin de l’autre, de concert pour entraîner toute l’Europe dans la spirale fiscale française … Forcément, ça va bien se passer

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