Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Louis Martino et Bercy sont démasqués : que va décider la Justice ?

Ce Jeudi 20 Octobre 2016 à 13H30 je suis déféré, par citation directe de Louis Martino, au Tribunal Correctionnel de Paris devant le pôle 2 de la chambre 7, au Palais de Justice sur l’île de la cité.

L’audience dans l’absolu est publique. Dans la réalité, pour des raisons sociologiques diffuses, le Tribunal de Paris est un camp retranché très difficile d’accès pour la population. Une seule porte relativement étroite dessert à la fois une foule de touristes qui vont visiter la Sainte Chapelle et tous ceux qui souhaitent assister à une audience. Tout ce petit monde est fouillé méthodiquement, il s’en suit une file d’attente constante de plusieurs dizaines de mètres qui met à mal le libre accès du public aux audiences.

Sur ce point on ne peut pas dire que la justice soit sereine. Que craint-elle, et pourquoi ? N’est-elle pas aimée, respectée et appréciée de tous ?

En tout cas elle l’est de moi. Même si elle ne me donne jamais satisfaction en me condamnant systématiquement, je continue à avoir confiance en elle. Le contraire amènerait à des conclusions que je préfère ne pas imaginer.

Il est possible que vous ne soyez pas en situation d’affronter le parcours du combattant nécessaire à l’accès aux audiences.

C’est pourquoi, dans le cadre de ce droit d’accès, voici quatre liens qui vont vous permettre de suivre quand même les débats. En les consultant vous pourrez prendre connaissance des conclusions de Louis Martino et des miennes qui seront présentées à l’audience publique. Les quatre liens : Citation directeConclusions MartinoPremières conclusions Dumas Deuxième conclusions Dumas.

Vous pouvez constater que, sous couvert de diffamation d’un de ses agents, en réalité Bercy tente de faire disparaître de ce blog un article de fond essentiel qui évoque les lettres de cachet que Bercy édite journellement par milliers.

Cependant, Bercy et Martino sont démasqués.

-1°- Grâce à Francis Le Poizat nous savons exactement comment fonctionnent les contrôles fiscaux. Donc nous pouvons comprendre l’abus de la venue chez moi d’une brigade d’élite qui n’avait rien à y faire, le redressement falsifié qui a suivi et la servilité de la justice administrative qui l’a entériné.

-2°- Nous avons la confirmation de ces forfaitures à travers l’analyse honnête et objective — en même temps si inhabituelle qu’il faut ici la saluer — de M. Le Rapporteur Public de La Cour Administrative d’Appel de Marseille.

-3°- Et enfin nous pouvons admirer la trajectoire stratosphérique de la carrière de Louis Martino aujourd’hui en charge du contrôle du patrimoine de nos élus. Vaste sujet ….

Ces trois points ne peuvent pas évidemment échapper à la justice.

Va-t-elle continuer, face à ces preuves, à couvrir les exactions de Bercy et nous censurer ?

Au contraire, prenant conscience de la manipulation dont elle est journellement l’objet de la part de Bercy, va-t-elle, comme je le lui demande, condamner lourdement Martino, le complice avéré de la manipulation ?

Je publierai l’arrêt qui va être pris, alors vous saurez.

Cordialement. H. Dumas

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La liberté tue : fadaises

La liberté tue prétendent ceux qui établissent leur pouvoir sur l’asservissement des autres.

Ainsi, il y a quelques jours à la radio, interrogé au sujet d’une dépénalisation des drogues douces dont le marché parallèle alimente la délinquance dure qui empoisonne la vie des quartiers qui vivent de cette économie souterraine, Arnaud Montebourg n’a pas hésité à argumenter à partir de la limitation de vitesse routière.

Après avoir avancé l’argument de la santé publique en évoquant la dangerosité de ces drogues, sans envisager évidemment la responsabilisation personnelle de chaque intervenant — vendeurs et acquéreurs – dans un marché libre, il a  uniquement prôné l’interdit de ce marché.

Il a passé sous silence les conséquences de cet interdit et les violences qu’il entraîne. Pour parfaire sa démonstration bidon il a sorti la tarte à la crème de la vitesse qui tue sur la route, si on la laisse libre.

Pour lui, la limitation — et la répression qui l’accompagne — de la vitesse sur la route  sauve des vies, la liberté sur la route tue, la contrainte totale est salutaire.

Sous-entendu : globalement la liberté est mortifère, seule l’assujettissement sauve les hommes, ici ou ailleurs, en fait partout et toujours.

Vive la fonction publique dont nous sommes les assujettis à vie, en quelque sorte les heureux simples d’esprit protégés par elle de nos sottises personnelles. Vive les contraintes et interdits de toute sorte que pondent nos technocrates à longueur de journée pour le plus grand bonheur de la bande d’incapables que nous serions sans eux.

 Cela mérite réflexion.

D’abord, penchons nous sur la fumeuse limitation de vitesse routière.

N’en déplaise à M. Montebourg, ce n’est pas la vitesse qui tue sur la route mais l’égalitarisme — chose dont il se prétend globalement l’un des champions —

C’est à dire cette idée saugrenue que tout le monde présenterait les mêmes aptitudes à la conduite et serait apte à rouler à toutes les vitesses possibles, à l’aide de tous les engins possibles.

Alors qu’il faut des années pour former un pilote de circuit, tout un chacun pourrait, grâce au miracle de l’égalitarisme, s’installer au volant d’un véhicule et par ce seul fait devenir un pilote efficient.

Rien n’est moins vrai.

C’est ainsi que l’aviation, qui ne saurait pardonner l’incompétence, délivre des brevets différenciés en fonction des capacités des pilotes potentiels. N’ayant pas envie de recevoir régulièrement de aéronefs sur la tète, la population adhère à cette différenciation et n’est pas non plus égalitariste en ce qui concerne le pilotage des avions qu’elle emprunte.

Si nous avions des permis de conduire différenciés, reconnaissables par exemple à la couleur des véhicules, la vie sur la route serait si modifiée que notre perception des déplacements — et de ce fait une partie essentielle de notre vie — serait sans commune mesure avec ce qu’elle est aujourd’hui.

Ceux qui ne ressentent pas cela sont gravement atteints par le démon social de l’égalitarisme. Il n’est pas sûr qu’ils soient majoritaires mais il est sûr qu’ils détiennent le pouvoir, qu’ils infantilisent la population en flattant la médiocrité.

Arnaud — nous sommes si égaux que je peux le désigner par son prénom — passe sous silence les contraintes que son égalitarisme routier fait porter sur les individus et sur la société . Il n’a jamais approché le désarroi de ceux qui se croyant égaux sont tombés dans les pièges que les siens tendent aux automobilistes. Il passe sous silence le coût global exorbitant de l’égalitarisme routier, en terme de répression et d’entrave à la liberté de déplacement induite.

Évidemment, il ne se pose pas la question globale de la catastrophe égalitariste pour les sociétés.  Il reste aveugle face à ses conséquences régulièrement visibles ici, mais aussi ailleurs : URSS, Cuba, Venezuela, etc…

Il est de fait aveuglé, comme tous ses condisciples, par le pouvoir que lui procure l’égalitarisme en le mettant à l’abri de toute comparaison désavantageuse.

Le trafic de drogue et toutes les corruptions sociétales imaginables prospèrent sur le terreau de l’égalitarisme et de ses conséquences immédiates : l’inutilité de la compétence et évidemment l’irresponsabilité qui en découle. La pensée égalitariste actuelle n’est pas prête à nous débarrasser de toutes ces tares, tant la liberté individuelle est incongrue de nos jours.

Bien cordialement. H. Dumas

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Gilles GRANEREAU – Weekend de la liberté – Cercle Frédéric Bastiat

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas

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Bercy prend les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Boycottons les Banques Populaires

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas

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Jean Philippe DELSOL – Weekend de la liberté – Cercle Frédéric Bastiat (vidéo)

Bonjour,

Bien libéralement. H. Dumas et E. Bolling

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Évergétisme et libéralisme (vidéo)

Bonjour,

Bien libéralement. H. Dumas et E. Bolling

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Weekend de la liberté – Olivier POSTEL-VINAY (vidéo)

Bonjour,

Bien libéralement. H. Dumas et E. Bolling

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La mort lente mais inéluctable de l’immobilier : les raisons

Avant de développer le sujet il est bon de rappeler trois évidences :

            Elu est devenu un métier, certes prenant et difficile, mais aujourd’hui lucratif et presque stable du fait de l’organisation des partis politiques.

            Urbanisme et immobilier sont les actes sociaux les plus visibles, les plus marquants, éventuellement les plus valorisants.

            Tout salaire, bénéfice ou honoraire ne peuvent être prélevés que sur un acte d’enrichissement, qu’il soit immédiat ou à terme. Tout le monde comprend que s’ils sont prélevés sur une perte ils l’amplifient inexorablement.

Ceci posé, voici l’enchainement de la mort programmée et pratiquement achevée de l’immobilier.

Le neuf

Tout élu souhaite conserver ses indemnités qui, pour la plupart, sont leur seul moyen de vivre confortablement au delà du plaisir et des prébendes que procure le pouvoir.

Pour atteindre ce but ils doivent, en plus de serrer plusieurs centaines de mains inconnues par jour, démontrer à leurs électeurs combien ils sont des décideurs qualifiés et avisés.

L’urbanisme et l’immobilier leur apportent la visibilité à ce sujet. C’est pourquoi ils en maîtrisent la chaine, dès le foncier par les plans d’urbanisme, jusqu’aux réalisations ultimes par leurs propres outils – Sociétés d’HLM ou d’Economie Mixte – ou par la connivence des acteurs privés soucieux d’obtenir les autorisations de construire que ces mêmes élus sont seuls habilités à délivrer.

Il n’est pas d’élu qui n’ait dans son bureau, ou à proximité immédiate, la vue aérienne ou le plan de l’espace qu’il administre, qui est pour lui sa propriété intellectuelle, son terrain de jeu.

En fonction de ces paramètres de base, chacun comprend que l’élu n’autorisera rien sur son territoire sans avoir la conviction que les modifications visibles qu’apporteront ses autorisations lui seront comptabilisées favorablement par les électeurs.

Ici prend place la pensée unique de l’électorat qui, par exemple, fait dire aux électeurs qu’ils sont opposés aux hypermarchés où ils se rendent trois fois par semaine, mais que par contre ils sont favorables aux espaces naturels où ils ne vont jamais ou très rarement. Là nous sommes au cœur de l’apparence et de l’hypocrisie qui rendent la démocratie si fragile.

Quoiqu’il en soit, tenu par l’émotion — même perverse – de ses électeurs, l’élu va la privilégier. Ainsi, tout acte, ou non acte, d’urbanisme ou de construction sera d’abord et avant tout un acte de séduction électorale.

Il est peu probable, même si cela arrive épisodiquement, que cet acte de séduction électorale puisse aussi être économiquement viable. En effet, d’instinct sensible aux plus-values, la population considère comme un sport national de s’y opposer. Elle condamnera systématiquement — comme elle condamne l’hypermarché — l’acte constructif qu’elle soupçonne d’être bénéficiaire.

Voilà donc notre acte constructif ou d’urbanisme privé de bénéfice, condamné à travailler à perte par ceux qui sont les seuls habilités à l’autoriser.

Amen. La messe est dite. Nous arrivons au troisième théorème : tout salaire, bénéfice ou honoraire prélevés sur une perte l’amplifient inéluctablement.

Les pertes sur l’immobilier neuf, à la charge des acquéreurs ou des opérateurs sont aujourd’hui colossales. Lorsqu’elles vont surgir les dégâts seront considérables.

L’ancien

Ici, le problème est identique mais beaucoup plus simple.

Par sa seule présence, évidemment impossible à dissimuler, le foncier ou le bâti immobilier sont synonymes de richesse. En ces temps d’égalitarisme, toute décision politique qui porte atteinte à l’économie de cette pseudo-richesse est acclamée par les électeurs. Sauf évidemment les propriétaires, mais avant de les soumettre à des pertes volontaires — la plupart du temps par l’impôt ou le blocage des loyers — les élus s’assurent de leur minorité politique.

Conséquences globales

Jusqu’à ce jour, l’accumulation des pertes sur l’immobilier neuf ou ancien ont eu tendance à se reporter en fin de chaine, c’est-à-dire sur l’acquéreur. Créant par la même un surcoût injustifié, antiéconomique : une bulle.

Mais, aujourd’hui, ces surcoûts ne sont plus supportables, même avec la défiscalisation ou les prêts à 1% d’intérêts. La raréfaction de l’offre raisonnable est la règle. Urbanisme, construction et immobilier ancien sont durablement sinistrés, et seront même complètement morts sous peu. Les nouvelles générations n’ont plus accès à l’immobilier.

Encore un dégât du néo-libéralisme vont stupidement et malhonnêtement dire ceux-là même qui génèrent factuellement cette situation. Comme la majorité leur emboitera le pas, ce n’est pas demain que les choses vont s’arranger, que l’acte constructif et l’immobilier vont se libéraliser. Or, ces activités ont besoin de libéralisme, exclusivement de libéralisme.

Bien cordialement. H. Dumas

PS : Plus largement, avant d’accepter de percevoir quelque émolument ou rétribution que ce soit, chaque français devrait se poser la question suivante : cette somme est-elle ma part en retour sur ma participation à un acte économiquement bénéficiaire pour la France ?

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Le Weekend de la liberté – Yves DURAND-RAUCHER (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Ecologie : combien de morts à venir ? (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Solidarité et pillage : sont-ce deux synonymes ?

C’est objectivement une question lancinante.

J’y pense souvent, notamment quand je n’arrive pas à trouver la trésorerie nécessaire pour payer les impôts ou charges diverses qui me tombent sur le paletot comme la mitraille à Gravelotte.

J’y pensais hier sur la route entre La Rochelle et Paris.

Une nouvelle ligne de TGV longe maintenant cette route, qu’elle coupe en plusieurs endroits. Elle n’est pas encore en service. Elle doit mettre Bordeaux à deux heures de Paris.

Passant sous un ouvrage d’art qui porte cette ligne de TGV, j’ai été interpellé par la qualité apparente de cet ouvrage. Par une impression de solidité, de rigueur, de grandeur, accompagnée d’une émotion esthétique en partie liée aux qualités précitées.

Et là je me suis dit : “n’est ce pas cela la solidarité ?”

C’est-à-dire la réalisation d’un ouvrage nécessaire à la collectivité, pour lequel les hommes se regroupent solidairement car seuls ils ne pourraient pas le réaliser.

N’est-ce pas ce type de solidarité qui justifie la communauté, qui lui permet de progresser, de s’enthousiasmer, d’être plus forte, plus riche, plus utile à tous ? Alors que, dans le même temps, ceux qui participent à cet acte solidaire conservent leur indépendance d’homme, leur liberté, tout en participant à ces ouvrages dont le but est un usage commun.

Bref, l’aménagement du territoire et ses ouvrages collectifs me paraissent être des actes solidaires.

Au même moment — parce que le bon côté de la limitation de vitesse est que l’on s’emmerde sur la route et que l’on a donc le temps de se poser toutes sortes de questions – je me disais : “Mais il y une éternité que je ne vois plus de grands travaux collectifs sur nos routes”.

Je ne vois à l’occasion de mes multiples trajets que dos-d’âne, rétrécissements, interdits de toute sorte, stops contre-nature, radars, flics embusqués, etc…

Plus aucun de ces grands travaux facilitant les déplacements que seule la solidarité permet de réaliser, alors que dans ma jeunesse ils pullulaient.

Il me semble que payer des impôts pour ces grands travaux me serait relativement supportable.

Ce n’est pas le cas pour la solidarité à laquelle on me convie de force

En fait, on m’assure qu’être solidaire serait prendre dans ma poche ce que j’ai gagné pour le donner à d’autres qui ne gagnent rien. Ceci sans qu’à aucun moment il ne me soit démontré que ceux qui vont bénéficier du fruit de mon travail aient eux-mêmes une raison valable de ne rien avoir autre que celle de n’avoir rien foutu.

La solidarité donc se résumerait à une charité obligatoire qui n’apporterait rien à la collectivité dont je fais partie mais uniquement aux individus percevant personnellement mon argent.

Cette solidarité est un peu l’idée que j’ai du pillage pour le compte d’autrui.

Il me parait, qu’ainsi vu, solidarité et pillage seraient donc synonymes.

Une nouveauté dont il est urgent que l’Académie Française s’empare. Enfin, je dis cela mais je ne dis rien.

J’imagine que financer des grands travaux est probablement moins efficace en retour de voix que distribuer des billets tout neufs à ceux qui n’en ont pas.

Est-ce pour cela que nous ne voyons plus, ou très peu, de grands travaux solidaires?

Je vous laisse le soin d’en juger.

Bien cordialement. H. Dumas

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Quand le peuple se trompe

La chose qui m’amuse le plus, ce sont ces déclarations enflammées qui vantent l’infaillibilité du peuple.

Tous se réclament de la volonté populaire lorsqu’ils souhaitent accéder au pouvoir, tout en n’hésitant pas à mentir au dit peuple dans le but d’influencer cette fameuse infaillibilité.

C’est dire qu’ils n’y croient pas beaucoup tous ces candidats au pouvoir plus pervers les uns que les autres. Sur ce point, ils ont bien raison. Le peuple se trompe, pas qu’un peu et si souvent que cela en est démoralisant.

L’admirable qui confine au miracle est que le peuple arrive toujours à faire porter sa faute sur un pauvre type qui passait par là. Le peuple s’en tire vierge de toute responsabilité. Prêt à remettre immédiatement le couvert pour une connerie plus énorme que la précédente.

Si vous avez lu “Mein Kampf”, vous avez pu constater la débilité profonde du personnage Hitler. Un tel individu ne peut être l’initiateur d’aucune idée, même pas du nazisme. Ce sont donc les allemands, le peuple allemand, qui a inventé le nazisme et qui en a fait, pour l’histoire, porter le chapeau à Hitler. Ce dernier ne fut pas le porte drapeau du nazisme, il n’en fut que le porte chapeau. Un chapeau bien trop volumineux pour ce petit bonhomme. Il est logiquement parti très vite en sucette, avec tous les dégâts que nous connaissons.

Si vous avez lu “Le Capital”, vous avez aussi pu constater que Marx n’était pas une flèche. Ces explications laborieuses n’expliquent rien du tout. Ses analyses sont puériles et ses propositions inexistantes. Ce n’est pas Marx qui a inventé le marxisme. Ce sont les peuples qui se sont entichés d’une haine stupide pour la richesse et le capital, qui ont appelé cette haine le marxisme, pour finir dans la misère et le meurtre. Le chapeau du marxisme est lui aussi beaucoup trop grand pour le petit esprit laborieux et vindicatif qu’était Marx.

Les peuples se trompent beaucoup et souvent. Malheureusement ces erreurs n’ont pas d’autre limite que l’anéantissement tant le peuple a confiance en lui, ne doute pas, et trouve toujours des ambitieux pour lui faire croire qu’il a raison.

Aujourd’hui le peule de France se trompe lourdement. Il se trompe tout particulièrement sur deux points :

– 1 – La haine du capital

Il ne peut pas y avoir d’économie sans capital. Ce ne sont ni le crédit ni la consommation qui peuvent remplacer le capital comme outil de base de l’économie. Lui seul permet l’adaptabilité, la réponse rapide aux évolutions qu’exige toute entreprise économique.

Aujourd’hui la haine et la chasse fiscale au capital commencent à faire leurs effets, tout le monde casque. Si les salaires patinent, si le chômage augmente, c’est l’appauvrissement du capital qui en est la cause. Libérons le capital, il se transformera immédiatement pour partie en salaires et en entreprises, c’est son destin naturel. Il n’existe pas de capital dormant. Par contre, il existe un capital inquiet, ou même terrorisé, qui se replie sur lui-même ou s’évade à titre conservatoire.

Ce ne sont pas les charges, même mal gérées, qui entravent les salaires. Laissez ce qu’ils gagnent aux entrepreneurs, ils paieront charges et salaires et embaucheront.

C’est l’Etat dispendieux qui ruine la France, or c’est le peuple qui veut cet Etat dispendieux.

– 2 – La bureaucratie et les fonctionnaires.

Le véritable pouvoir est entre leurs mains. Aujourd’hui les bureaucrates ont une immunité totale. Agents du fisc, policiers, magistrats, ou plus simplement chauffeurs de bus, pompiers, agents territoriaux et tous les autres sont intouchables. Leurs faits et gestes sont par essence irréprochables. Ils sont inamovibles, irresponsables, sans imagination, inutiles.

Ils inventent des projets sans intérêts pour valider leur existence, le vélib’, les éoliennes, les radars routiers, les imprimés à remplir, les déclarations à leur faire, les examens qui servent à rien, les boulots qui eux aussi ne servent à rien, les statistiques, la gratuité généralisé, les promesses de luxe et de confort pour tous, la santé, la retraite, la vieillesse et la mort soi-disant toujours repoussées mais là quand même, les vacances, les vacances et les vacances et encore les vacances.

Tout cela justifiant leur espionnage de nos vies, de nos intimités, leur racket, leur pillage pour le bien commun, leurs protocoles débiles qui éradiquent toute initiative.

Ils sont la plaie biblique de notre époque. Mais le peuple les veut, il en redemande, il n’a confiance qu’en eux. A chaque pet de travers, il exige un bureaucrate de plus.

Donc, sur ces deux points, le peuple de France se trompe lourdement.

Connaissez-vous quelqu’un qui le lui dit ? Et si quelqu’un le lui disait, croyez-vous qu’il l’écouterait ?

Non, le peuple ira jusqu’au bout de la destruction du capital et de l’excroissance bureaucratique, puis il mourra dans d’atroces souffrances. Puis il renaitra. Puis il recommencera à se tromper.

Le peuple est ainsi. Hélas, ceux qui voudraient le priver du pouvoir pour s’en occuper à sa place sont pires. Il n’y a donc pas d’issue, la chance seule décide, le jour de votre naissance, que vous vivrez en compagnie d’un peuple raisonnable ou d’un peuple en plein délire. Vous n’avez pas la main sur ce coup.

Bien cordialement. H. Dumas

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KATEL COUHE : une magistrate qui n’a pas peur des mouches (vidéo).

Bonjour,

Bien cordialement.

H. Dumas et E. Bolling

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Tragique disparition.

Notre ami Philos nous adresse ce billet un peu long mais plein de sagesse et de perspicacité, c’est avec plaisir que nous le publions :

“Après nous être demandés avant les vacances si un € valait bien un € en cas de dissolution de la zone €, voici encore quelques réflexions sur la monnaie et plus spécialement sur les billets de banque …

Nous allons donc essayer de faire le tour de la question afin de voir quelles sont les motivations qui peuvent justifier une suppression des billets de banque et quelle serait l’incidence de cette suppression dans la vie courante ?

Nous avons tous remarqué que les banques et l’administration étatique font des efforts considérables pour nous dissuader d’utiliser d’autres moyens de paiement que la fameuse carte bancaire (bleue ou pas) présentée comme l’outil idéal de paiement ; même pour de petites sommes (Mais surtout pas le chèque dont le traitement est jugé trop coûteux par les banques !).

Nous nous rappelons tous l’expérience de Monéo … qui n’a pas abouti …. Et maintenant nous avons droit aux cartes permettant le paiement sans contact et je suis sûr d’ailleurs que nombre d’entre-vous utilisent de manière quasi systématique leur carte bleue pour le moindre de leurs achats sans y voir autre chose qu’une simple commodité !

Dans certains pays (Japon) il est même possible de payer avec son smart phone et Visa (l’organisation qui gère la carte bleue) vient de mettre sur le marché une bague permettant le paiement sans contact.

La monnaie électronique semble donc avoir le vent en poupe … alors pourquoi s’embarrasser avec des billets de banque !

Par ailleurs, on nous dit que l’utilisation des billets de banque (principalement de 500 € pour l’instant) est essentiellement le fait des fraudeurs, des trafiquants ou pire des terroristes et qu’au nom de la sécurité que l’Etat doit assurer à chacun d’entre-nous il faut supprimer ces billets maudits …. Tout en oubliant au passage que seuls les billets de banque et les pièces émises sous contrôle de la BCE ont cours légal ; tous les autres procédés de paiement n’étant que des moyens de paiement !

Comme 98 % de la population ne fraude pas ou ne trafique pas et souhaite bénéficier de la sécurité publique ; soit personne ne se sent concerné soit tout un chacun donne son assentiment au moins tacite à de telles mesures !

C’est ainsi, qu’à la suite des attentats de janvier 2015, les règlements en espèces ont été ramenés de 3.000 à 1.000 € ce qui, on en conviendra, est une mesure tout à fait efficace pour dissuader les trafiquants de drogue et autres marchands d’armes de continuer leur petit business !

Il y a donc lieu de se demander si les arguments et justifications avancées sont bien réelles ou si elles ne relèvent pas plutôt d’une certaine idéologie voir d’un enfumage ?

Examinons ensemble les avantages du sans cash :

– la carte bancaire évite de se promener avec des quantités importantes d’espèces et limitent donc les risques de perte et de vol,

– la carte bancaire est un moyen sûr et garanti,

– les frais sont peu élevés ou même gratuits pour l’utilisateur.

– Elle permet des règlements internationaux et c’est vrai qu’on peut faire le tour du monde avec seulement son passeport et sa carte bancaire.

La vérité oblige à dire, qu’en fait, les banques détestent l’utilisation des billets de banque, quels qu’ils soient, car cela les oblige à utiliser des distributeurs bancaires, à les entretenir, à faire appel à des sociétés spécialisées pour remplir ces appareils, et à conserver du personnel pour effectuer la comptabilité et trier les billets ; tous services qui pourraient être économisés avec la suppression des billets de banque ; cette vieille relique !

De plus, le mythe de la gratuité ne résiste pas à l’examen des faits car si les commissions sont bien mises à la charge exclusive des commerçants (location d’un TPE – terminal de lecture sur lequel vous tapez votre code, commissions de transactions, frais de transmissions) il est évident que ces frais sont répercutés sur le prix final de ce qui vous est vendu et donc, finalement, c’est quand même vous qui les payez à un moment ou un autre !

Par ailleurs, sauf quelques banques en ligne, chacun paie pour disposer d’une carte bancaire et cela peut aller jusqu’à plusieurs centaines d’€ par an pour certaines cartes dites  privilégiées » (gold, platinum …) ; sans compter les frais de tenue de compte dont on se demande bien à quoi ils correspondent …

Examinons maintenant les inconvénients de la carte bancaire ; inconvénients que tout le monde connaît plus ou moins :

– toutes vos opérations deviennent traçables c’est à dire que tout ce que vous achetez avec la CB apparaît sur un listing informatique, or il peut y avoir des achats que vous ne souhaitez pas faire apparaître … (sans qu’il s’agisse d’armes ou de drogue) ;

– il existe, quoiqu’en disent les banques, des risques de fraudes non négligeables mais évidemment tant qu’on n’a pas rencontré le problème, on accepte d’autant plus facilement le discours officiel. Pourtant, un banquier m’a dit un jour : «  la carte bancaire : c’est une bombe dans votre poche »

– certaines personnes ont quelques difficultés à appréhender le montant réel de leurs dépenses avec une CB et ne savent pas se contrôler (tout le monde donnait l’expression « faire chauffer la carte bleue ») alors qu’avec le cash « quand y’en a plus, y’en a plus ! »

– les opérations de paiement sans contact présentées comme sécurisées ne le sont pas vraiment puisque j’ai demandé à titre personnel à ce que ma carte bleue soit désactivée sur ce point ; ce qui a été fait. Et, bizarrement, ma banque (Caisse d’Epargne) s’est mise à distribuer peu de temps après des coques blindées destinées à empêcher la captation frauduleuse, au moyen d’un simple smart phone, de votre code  d’émission …. qui était sécurisé … mais pas tant que ça !

Mais, il y a d’autres inconvénients qu’on ne vous dit pas !

– Régulièrement on découvre des fraudes massives liées à la collecte de données confidentielles des cartes bancaires (mais pas toujours …) mais là-dessus les banques, pour des raisons de crédibilité faciles à imaginer, restent évidemment très discrètes !

– si le cash est supprimé, vous n’avez plus aucun autre moyen pour vos économies que de faire aveuglément confiance aux banques qui, entre nous et spécialement en France, ne sont que la courroie de transmission plus ou moins contrainte du fisc ! La France n’est pas la Suisse et le secret bancaire n’y existe pas !

– si votre banque fait faillite, la formule du bail-in a été formalisée dans les textes au début de cette année ; ce qui veut dire qu’elle peut se servir sur vos dépôts pour boucher les trous de sa mauvaise gestion. Vous n’êtes plus propriétaire de votre argent mais juste un créancier de votre banque …. Et il suffit de consulter la loi sur les faillites pour savoir quel est le sort réservé aux créanciers surtout lorsqu’ils ne bénéficient d’aucun privilège (garanties) !

– Bien sûr on vous dira : pas d’inquiétude les dépôts sont garantis jusqu’à 100.000 € ! en oubliant de vous donner un petit détail non négligeable : c’est que le fonds de garantie s’élève à 5 milliards d’€ et que le total des dépôts des français dans les banques s’élève à 10.000 milliards d’€. autrement dit : le fonds de garantie ne garantit rien du tout ou pas grand-chose !

– Evidemment, à partir du moment où toutes vos transactions sont connues, le fisc peut suivre les moindres de vos dépenses, et comme les services de Bercy nous considèrent tous comme des fraudeurs, c’est la porte ouverte à toutes les dérives sans échappatoire possible ; notamment si vous êtes en conflit avec l’administration fiscale pour des raisons tout à fait autres !

– si le cash est supprimé, finis les petits billets glissés aux petits enfants par les grands parents, finis les dons manuels, finis les petits arrangements hors TVA ou hors charges sociales pour des petits travaux, pour la baby Sitter, la tonte de la pelouse, la femme de ménage …

– A l’époque du Franc, les politiques avaient trouvé un moyen simple de lessiver des dettes trop encombrantes : l’inflation et la dévaluation mais aujourd’hui, avec l’€ cela n’est plus possible puisque cette monnaie n’est pas contrôlée par un état. Néanmoins, si le cash est supprimé, rien n’interdit, comme on en prend actuellement le chemin du fait des pratiques récentes des banques centrales, de vous appliquer des taux d’intérêts négatifs sur vos avoirs bancaires ; intérêts négatifs qui ne seront alors qu’une inflation déguisée permettant de lessiver à bon compte et sur votre dos les dettes faramineuses d’un Etat français qui se limite à gérer une dette qui ne fait qu’enfler …. Alors que si vous avez la possibilité de retirer du cash, les banques ne peuvent pas vous appliquer cet intérêt négatif sous peine de voir les dépôts bancaires disparaître (notamment vers les banques ne pratiquant pas le taux d’intérêt négatif ou au moyen de retraits massifs en espèces) et avec le risque de provoquer l’effondrement du système bancaire !

– le but d’une telle pratique des taux négatifs peut d’ailleurs être aussi tout simplement d’orienter votre comportement et de vous contraindre à dépenser vos économies plutôt que de les stocker à ne rien faire sur un compte (car avoir des économies ne sert à rien, c’est bien connu !) ; toute consommation entraînant d’une part une certaine forme d’activité économique mais aussi et surtout la possibilité de vous appliquer une taxe à la consommation (une TVA à 20% par exemple et dans ce cas 100 € dépensés en rapportent 16.67 € à l’Etat !)

– la suppression du cash vous retirera toute liberté de choisir un mode de thésaurisation de votre épargne (si cela vous plait de mettre des billets dans votre matelas parce que n’avez pas confiance dans votre banque ou dans l’Etat pour des raisons qui ne regardent que vous), vous n’avez plus le choix ; vos avoirs sont bloqués en banque à la merci d’un évènement malheureux comme celui qui est arrivé à Chypre !

– Car, si le cash est supprimé, rien n’interdit à un Etat impécunieux de faire une petite razzia appropriée sur les comptes bancaires (le programme informatique existe déjà à Bercy : il n’y a plus qu’à appuyer sur la touche RETURN !) : ce que dans un jargon imagé on appelle la répression financière et certains journalistes « l’extrême ponction » ! surtout que … on n’est jamais à l’abri d’un accident de parcours à la suite d’un évènement international imprévu ou d’une vilaine crise financière internationale mettant brutalement fin au système de l’argent à taux zéro (comme par exemple la sortie de l’Allemagne de la zone Euro car c’est bien le seul pays qui pourrait en sortir sans dommage … ce qui mettrait fin immédiatement à la crédibilité de l’€)! Car alors, il est tout à faire naturel pour la caste qui dirige la France que sa mauvaise gestion des deniers publics ait pour conséquence d’aller piocher dans vos économies !

Evidemment, il y aurait bien quelques petits effets pervers à une telle suppression car il existe toute une petite économie fonctionne à partir du cash (petits travaux …) et qui n’aurait pas lieu s’il fallait y rajouter des charges sociales, dont tout le monde connaît le montant beaucoup trop élevé; sans compter que cet argent qui circule le fait en général assez vite c’est-à-dire qu’il n’est pas conservé par leurs bénéficiaires mais est immédiatement réutilisé pour financer autre chose !

Le problème réel des cette volonté de supprimer les billets de banque est que le fisc y voit surtout, dans sa logique bien à lui, un « manque à gagner » qui n’est rien d’autre qu’un « manque à taxer » et une économie souterraine qu’il voit énorme et susceptible de lui rapporter un maximum de nouvelles recettes fiscales ; sans se rendre compte que du jour où il n’y aura plus de cash, il n’y aura plus cette économie souterraine et que tout le monde y perdra ou alors mutera vers une forme différente (troc) car on ne peut pas lutter contre une adaptation ou un contournement de règles administratives à la fois trop contraignantes et inutiles !

A cela s’ajoute un fantasme récurrent de l’administration fiscale : il y a des milliards planqués dans les lessiveuses, fantasme déjà exprimé en 2002 lors du passage à l’€ et à l’occasion duquel les « autorités » voyaient déjà un déferlement de monnaie à convertir (les gens allaient faire des queues énormes aux guichets avec des valise pleines à craquer de billets) ;

Ce déferlement n’a curieusement pas eu lieu … on se demande encore bien pourquoi !

Il ne faut pas non plus oublier que le montant des billets de banque en circulation est bien moins important que le total des dépôts (entre 5 et 10%) ce qui veut dire que déjà 90% des dépôts sont constitués par de la monnaie scripturale et ne sont déjà plus qu’une ligne informatique dans les réseaux bancaires !

C’est aussi un fantasme du fisc que de vouloir contrôler tout le monde pour être bien certain que personne ne fraude ; d’autant plus que, selon la doxa officielle de Bercy, la fraude fiscale s’élèverait à 80 milliards d’€ par an et que sans fraude le déficit budgétaire se trouverait ipso facto comblé. Formidable raisonnement qui permet d’affirmer, sans sourciller, aux termes d’une affirmation sophistique que c’est à cause des fraudeurs que l’Etat français se trouve en déficit et non à cause de la mauvaise gestion des deniers publics à propos de laquelle personne n’est jamais responsable et aucun politique ne veut rien changer !

M Dumas dans un article du 19 août dernier a rappelé fort justement les pouvoirs de TRACFIN en la matière !

Or, la vérité oblige à dire que l’Etat n’est rien d’autre qu’un prédateur fiscal qui veut en savoir le plus possible sur vous pour pouvoir vous tondre au maximum et la mise en place du prélèvement à la source entre dans cette démarche.

On comprend vite que l’argument prétendument sécuritaire (dont on a pu mesurer toute l’efficacité : environ 250 morts et 800 blessés), des bandits, trafiquants, terroristes et autres utilisateurs du cash n’est que le faux nez des méthodes inquisitoriales du fisc !

D’ailleurs, on retrouve curieusement ce même argument à propos des nouvelles monnaies numériques (Bitcoin et autres) qui sont elles aussi « aux mains des trafiquants » parce qu’elles ont surtout le gros défaut de ne pas être contrôlées et contrôlables par les Etats !

En fait, la suppression des billets de banque n’est rien d’autre qu’un empiètement supplémentaire sur votre liberté, une forme de totalitarisme rampant destiné à accroître le contrôle de l’Etat et de ses fonctionnaires sur les populations alors que chacun devrait pouvoir être libre de pouvoir disposer comme il l’entend de son argent, la plupart du temps fruit de son travail ou résultat d’une vie d’économies !

Avec un système sans cash vous devenez l’usufruitier contraint de votre propre argent dont l’Etat veut même pouvoir en contrôler l’usage !

On retrouve d’ailleurs les mêmes dérives à propos des différents projets de lois et lois votées concernant le secret des communications et la cryptographie avec la volonté d’imposer aux éditeurs de logiciels des « back doors » en français « portes dérobées » permettant aux administrations étatiques, à partir de critères variables et fumeux, de violer impunément le secret des communications !

Les présidents de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) et du Conseil national du numérique (CNNum) ont d’ailleurs publié dans le quotidien LE MONDE une tribune selon laquelle « le chiffrement – et les libertés fondamentales dont il permet l’exercice – constitue un rempart contre l’arbitraire des États. Il nous protège aussi contre le contrôle croissant des acteurs économiques sur nos vies ». sic !

Il ne faut pas de faire d’illusion, nous vivons dans une société où le contrôle de l’Etat est de plus en plus pesant et intrusif, la liberté qui nous reste n’est que celle qui nous est autorisée par ce même Etat !

Alors, que nous reste-t-il si on ne veut pas que tous ses avoirs soient seulement sous forme de monnaie scripturale ?

Bien entendu, à notre niveau, nous n’avons aucun moyen d’action sur les agissements de la caste qui dirige le pays … nous ne pouvons que réagir et nous organiser pour prendre des mesures préventives telles que l’achat de biens tangibles (immeubles mais taxés de plus en plus surtout si c’est pour les mettre en location), les matières premières (comme l’or mais très taxé en France, l’argent métal ne vaut plus rien), vous lancer dans l’achat d’actifs financiers (obligations d’Etat à taux 0 donc qui ne rapportent rien, actions ce qui est très risqué à ce jour, assurance-vie – mais les taux sont à la baisse aussi puisque l’assurance vie est investie en obligations d’Etat qui désormais tangentent avec le taux 0 et le projet de loi Sapin 2 en cours d’étude contient des dispositions inquiétantes visant à bloquer les taux et les remboursements, sans oublier que les 1.600 milliards d’E d’encours de l’assurance vie sont à la merci d’une petite prédation fiscale) ou encore dépenser comme acheter une voiture neuve (les grecs l’on fait en masse en 2015 lorsqu’ils ont pensé que leur pays allait sortir de la zone € et qu’ils allaient se retrouver avec une nouvelle drachme ne valant pas plus qu’un billet de Monopoly) ou autres mesures telles que l’ouverture d’un compte à l’étranger (révélé à l’administration fiscale bien entendu) dans un pays qui ne prétend pas abolir le cash ou enfin utiliser les crypto monnaies telles que le Bitcoin mais très spéculatives et à la sécurité pas toujours assurée !

Notre seule « chance » pour l’instant est de faire partie de la zone € au sein de laquelle plusieurs pays sont ouvertement contre la suppression des billets de banque qui sont chez eux beaucoup plus utilisé qu’en France !

De ce fait, le risque immédiat apparaît pour l’instant limité … mais rien n’interdit par contre à un Etat (comme la Grèce par exemple) de faire facturer par les banques une taxe sur l’usage du cash notamment lors du retrait au guichet bancaire !

Nous savons bien, de toutes les façons, que l’imagination de la caste au pouvoir est sans limite sur ce plan-là ….

Bien cordialement à tous !”

Cette lecture vous aura probablement rassuré sur les mauvaises intentions de nos dirigeants, et oui ils ne vont pas tarder à nous entuber sévère.

H. Dumas et E. Bolling

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Le sens du combat (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Il n’y a pas d’organisation naturelle. Les règles du jeu sont essentielles.

L’enflammement post-électoral du Gabon, entre autres, nous démontre que la démocratie n’est pas naturelle, qu’elle demande une adhésion à ses règles : honnêteté de l’organisation du scrutin, acceptation du résultat.

Conclusion : la démocratie n’est pas un besoin universel, ce n’est qu’un moyen de satisfaire un besoin universel.

Plus globalement, il y a lieu de différencier les besoins naturels et universels de l’homme des moyens qu’il met en œuvre pour les assouvir.

Ainsi, se regrouper pour affronter les difficultés et palier à ses faiblesses individuelles est un besoin universel pour l’homme. Choisir les motifs de regroupement et les façons de se regrouper font partie des moyens mis en œuvre. Ces moyens demandent  un consensus autour des règles du jeu ponctuellement nécessaires lors des regroupements. Sans ce consensus la guerre, en lieu et place du regroupement, n’est pas loin.

Plus largement, on peut résumer l’universalité pour l’homme en un seul mot : vivre.

Vivre, non seulement dans l’instant en tant qu’individu, mais plus globalement dans la continuité du temps en tant qu’humanité.

Ainsi les besoins basiques et universels pour l’humanité se résument à : ne pas mourir et se reproduire.

Chaque homme, dans la mesure de ses possibilités, est porteur d’une fraction de ces besoins basiques.

Où les choses se compliquent c’est qu’autant d’hommes sur terre autant de solutions individuelles imaginées par chacun d’eux pour remplir, ou ne pas remplir, sa part des besoins basiques.

D’où la complexité à regrouper les individualités, pourtant seule solution pour affronter la vie, préserver l’humanité, tant l’homme est fragile et très peu outillé physiquement.

Consciente ou inconsciente, la pensée des hommes tourne gyroscopiquement  autour du service basique de la vie, rien de plus malgré les apparences ou les prétentions.

Dans ce cadre, ici sur ce blog, c’est l’économie qui nous intéresse.

Est-elle indispensable ? S’insère-t-elle et comment dans l’universalité de l’humanité ?

Aie!!! Bon, d’accord, le sujet est peut-être réel mais tellement étudié… tout a été dit, alors pourquoi en rajouter

Et bien justement, optons pour la fraîcheur et la sincérité depuis longtemps submergées dans ce débat.

Le principal point d’interrogation, lorsque l’on parle d’économie, est la rencontre systématique et cyclique avec une croyance spécifique, exclusive à cette activité humaine : l’égalitarisme.

L’égalitarisme est l’inverse de l’idée de performance, de la recherche de l’excellence.

Peut-on me citer une seule activité humaine qui pourrait survivre sans la recherche de l’excellence ? Je suis preneur.

Non, évidemment, il n’est nulle activité qui peut prospérer sans la recherche de l’excellence, qu’elle soit sportive, culturelle, scientifique, esthétique, religieuse et dogmatique, etc…

Comment l’économie pourrait-elle échapper à la règle et pourquoi ?

Voilà la question que je me pose, alors que par ailleurs il me parait acquis que justement l’économie est la base nécessaire à toutes les autres composantes de la vie. Sans elle, l’affaiblissement puis la mort ne tardent pas à frapper.

A tort ou à raison, j’en déduis que l’égalitarisme n’est pas un besoin universel, mais un simple moyen.

Force alors est d’admettre, puisque ce moyen nous l’avons vu est erroné, qu’il s’agit donc d’un piège, d’une manipulation.

Qui dit manipulation dit victime et bénéficiaire.

Premier constat, les sociétés à prétention égalitaire, sauf à faire faillite, ne le sont pas. Elles s’affublent de ce qualificatif, mais c’est un leurre. Dans ces sociétés l’économie est captée par une minorité qui se cache. L’inégalité économique y est bien plus forte que dans les sociétés ouvertes, compétitives, mais la preuve ne peut pas en être rapportée, il n’y a pas de statistique concernant ces minorités occultes.

Pas de statistique au Vatican du temps de sa splendeur, pas de statistique au Kremlin. M. Piketty est prié de passer son chemin.

Les bénéficiaires des sociétés égalitaristes sont donc leurs économistes occultes.

Les victimes, paradoxalement, sont ceux qui seraient prétendument les bénéficiaires du système égalitariste, c’est-à-dire ceux que l’on appelle “le peuple”. Tous ceux à qui l’on fait croire, et qui le croient dur comme fer, que la recherche de l’excellence en économie leur nuirait.

Alors que la réalité est l’exact inverse. Le différentiel apparent entre le riche et le pauvre dans un système où l’économie est libre cache la réalité de la pauvreté dans une société où, inversement, l’économie égalitariste se traduit par une paupérisation globale.

Ces deux types de société sont si opposés qu’ils ne peuvent pas vivre ensemble et que donc la comparaison objective entre les deux n’est jamais possible.

C’est ainsi que l’égalitarisme se permet de tricher avec les règles de l’économie en prétendant imposer sa loi, comme ces dictateurs, au Gabon ou ailleurs, qui trichent avec les règles de la démocratie.

Les moyens nécessaires à l’économie sont : la propriété sous toutes ses formes que l’on appelle “le capital”  et la liberté d’en user dans l’intérêt de son développement.

Ce sont ces moyens que dénoncent et mettent à mal les égalitaristes.

Or, sans ces deux bases fondamentales, il n’y a pas d’économie possible, comme il n’y a pas de démocratie sans scrutin libre, honnête et  accepté.

Il est possible, mais ce n’est pas sûr, que l’on puisse se passer de démocratie, mais il est encore plus difficile de se passer d’une économie forte.

Tout donc doit être mis en œuvre pour éradiquer la croyance égalitariste qui a envahi notre société et tue notre économie.

Cordialement. H. Dumas

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Pillage en vue (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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J’AI PEUR.

J’ai peur pour moi, j’ai peur pour mon épouse, j’ai peur pour mes enfants, j’ai peur pour vous, j’ai peur pour nous tous, j’ai très peur.

Quelques jours après le jugement que j’ai publié ici le 23 Août, Je viens de recevoir du Procureur de La République de Montpellier la décision que vous pouvez visionner avec le lien suivant : ICI LE LIEN

J’apprends que je suis :

            – Quelqu’un de menteur

            – Quelqu’un qui fuit ses responsabilités

            – Quelqu’un de méprisant

            – Quelqu’un de méprisant de l’intégrité d’autrui

            – Quelqu’un de méprisant de la personnalité d’autrui

            – Quelqu’un qui pratique la dénonciation calomnieuse

            – Quelqu’un qui pratique la diffamation

            – Quelqu’un qui se rebelle et outrage les agents de la force publique

Que, dans ces conditions, il est normal que je sois assimilé à un gangster, à un terroriste, que ma photo soit incluse dans le fichier des délinquants. Un tel personnage mériterait probablement aux yeux de ce procureur d’aller dans un camp de rééducation, voire d’être interné dans un établissement psychiatrique ou même directement en prison.

Cependant, je ne me reconnais pas dans cette description, ma famille et mes amis ne me reconnaissent pas non plus, pas plus que mes relations sociales.

Dois-je en conclure que moi-même et mes proches vivons sans le savoir à proximité d’un monstre qui se dissimulerait adroitement à nos yeux ?

Eux qui me croient ouvert, généreux, courageux, responsable, ni envieux ni sectaire, disponible, serviable. Ils me reprochent d’être un peu trop entier, procédurier dans mon désir d’un respect exigeant de la loi, tenace, englouti par mes activités, idéaliste, rêveur, anticonformiste, inconscient de mon âge, toujours entreprenant, trop réactif à l’injustice en règle générale.

Ce différentiel d’opinion gigantesque nécessite une explication.

Commençons par détailler objectivement les condamnations qui sous-tendent le jugement des magistrats :

            – Dénonciation calomnieuse. Je me suis permis de poursuivre pour faux des agents du fisc qui avaient réellement trafiqué et falsifié des documents d’urbanisme pour lever un impôt indu contre moi. Mal m’en a pris, la solidarité bureaucratique des fonctionnaires a joué à plein, j’ai effectivement été condamné pour dénonciation calomnieuse. Mais, depuis, La Cour de Cassation a cassé l’impôt en question, démontrant la réalité de mes accusations. Il faudra bien qu’ultérieurement il me soit donné raison sur l’usage de ces faux par les agents du fisc.

            –  Diffamation. Là il s’agit des dénonciations, dans ce blog, visant les méthodes inacceptables utilisées par les contrôleurs fiscaux. J’étais un peu en avance sur mon temps. Les magistrats ont estimé qu’il ne s’agissait pas d’un problème de société. Ils ont fait bloc avec le fisc. De lanceur d’alerte que je croyais être, je me suis retrouvé diffamateur vu du côté de l’amicale des bureaucrates fonctionnaires.

            – Outrage et rébellion. Ici c’est le pot de terre contre le pot de fer. Le pouvoir pur et dur qui tape sans retenu et sans souci de la loi. Trois jeunes gendarmes nous agressent sans aucune raison sur l’autoroute mon épouse et moi-même, nous avons 70 ans. Ils me bousculent, me menottent. Je dépose plainte contre eux, je me retrouve de l’autre côté de la barre. Ma plainte n’est pas prise en compte, c’est celle des gendarmes et leurs déclarations dont les mensonges sautent aux yeux – je tiens le dossier à la disposition de qui voudra – qui est retenue par la justice. La suite coule de source. Je suis condamné pour rébellion et outrage. Je n’ai pas eu les moyens d’aller en Cassation. Dont acte.

Voilà donc de quoi il s’agit. Le résultat est inquiétant. Dans un pays qui se targue d’être un Etat de droit, de respecter les individus, d’avoir inventé “Les Lumières”, l’inquiétude est grande de rencontrer une justice et une police dont l’arme unique est la terreur, au mépris de la loi, au bénéfice de la force et de son obscurantisme.

Cela mérite une tentative d’explication.

J’exclus immédiatement l’idée d’un complot personnel contre moi. Ce serait prétentieux, irrespectueux pour les milliers de français qui sont exactement dans le même cas que moi.

Non, je crois que le problème est global, strictement bureaucratique. Il est lié à une bureaucratie qui a envahi toute la sphère sociale et procède par protocole, indifférente aux individus et aux cas particuliers, donc indifférente à l’idée que l’on se fait benoitement de la justice.

Voici ma vision de cette affaire particulière.

Je renverse un piéton, effectivement sur un passage protégé. Ce piéton est blessé à la tête. Le choc ayant été léger, je suis surpris par ses conséquences. Mais il s’agit quand même d’une voiture contre un piéton, ceci explique cela.

Ce piéton quitte volontairement la scène de l’accident, je l’assiste et l’accompagne en essayant de le raisonner, je ne l’abandonne pas, j’assume mes responsabilités, je suis catastrophé évidemment.

Arrive les pompiers, et je suppose un jeune interne. Une blessure à la tête, quelque soit la gravité, le jeune interne n’a pas à en juger, le protocole prévoit une évacuation vers le CHU, 30 Kms. A partir de là le reste suit mécaniquement.

Double alcootest illégal du conducteur et constat bâclé. Pourquoi s’emmerder à établir la vérité des faits puisque le conducteur du véhicule doit, quoiqu’il arrive, payer le prix fort ? La terreur est la base de la lutte contre l’accidentologie routière. Qu’importe la justice, seul compte le protocole bureaucratique.

Alors, quand le conducteur que je suis essaie de faire comprendre, que les piétons étaient invisibles du fait de la luminosité défectueuse à cet endroit et à cet instant précis, que la victime n’était pas dans un état normal mais très alcoolisée au point d’être en faute sur la voie publique, qu’il demande l’alcootest de la victime et apprend qu’il n’a pas été réalisé, qu’il ne comprend pas pourquoi les photos de sa voiture exempte de choc ne sont pas au dossier, qu’il se demande pourquoi le procureur a demandé pour lui particulièrement un deuxième alcootest illégal, que sa vitesse était normale telle que la déclare le témoin au moment de l’accident avant de revenir plus tard sur sa déclaration, le conducteur que je suis commet un crime de lèse-majesté, d’entrave au protocole, un crime inacceptable.

Pire encore, lorsqu’il demande aux pompiers le PV de prise en charge de la victime, il lui est refusé, même après que la CADA ait jugé que ce PV est communicable les pompiers refusent toujours de le donner.

Le conducteur que je suis complique le travail de tous ces fonctionnaires qui ont appliqué un protocole dont la conclusion s’impose : condamnation maximum,  sans avoir à réfléchir, sans avoir à peser le pour et le contre, sans avoir à juger ce cas particulier.

Il est fou ou sot ce conducteur qui imagine que des fonctionnaires pourraient avoir envie de rendre une justice individuelle, avec toutes les complications et le travail que cela demanderait. Tout ça pour n’avoir au bout qu’une simple satisfaction morale, pas davantage de salaire….

Le conducteur que je suis rêve. Des millions de français rêvent en croyant que dans ce type de cas ils seraient écoutés et jugés équitablement. Des milliers d’autres en font tous les jours l’expérience.

La bureaucratie est maîtresse de notre pays, protocoles et indifférence sont les conséquences de son omniprésence.

In fine, comme ici, c’est l’injustice qui triomphe.

Mon assureur, qui pour couronner le tout a résilié mon assurance et m’a déclaré au fichier des conducteurs asociaux – après 54 ans de conduite et 70.000 Kms par an sans aucun accident –, m’a dit d’embarquer une caméra à bord de ma voiture, comme dans les pays de l’Est coutumiers de ce genre de situation. Bon…

C’est dur, mais c’est ainsi. Si comme moi vous vous dressez contre cette dérive bureaucratique, vous irez pareillement au casse pipe. Si en plus vous vous attaquez au fisc, comme je le fais, votre compte est bon.

Le mien est en cours, comme je vous l’ai dit : j’ai peur.

Cela ne changera rien à la chose, c’est trop tard, je n’aurais pas dû rêver, je me retrouve accusé, à tort, du pire. Mon piéton alcoolique va être, lui, grassement récompensé. La France n’est plus un Etat de droit, elle est un Etat de terreur bureaucratique.

Bien cordialement. H. Dumas

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Civilisation : ce mot qui ne veut rien dire.

Voilà un mot que tout le monde emploie et qui ne veut rien dire. Il a la prétention de définir les points communs d’un groupe d’humains réunis par un territoire ou une pensée.

Est-ce possible ? Qui serait habilité à décider les critères retenus à cet effet ?

Parlant du passé la chose peut paraître accessible aux indélicats qui passent par pertes et profits les pensées minoritaires ou ignorées. Mais dès qu’il s’agit de l’avenir c’est le néant du terme.

Et encore, quand il croit marcher le truc ne marche que pour les passés lointains, notamment pour les civilisations dites disparues, pour lesquelles l’histoire est figée.

Mais plus près ? La civilisation Russe, ce sont les tsars ou les bolchéviques ? La civilisation chinoise, ce sont les empereurs ou Mao ? Dans tous les cas sont-ce les tenants du pouvoir qui dictent la civilisation ou leurs opposants en les contraignant.

De Gaulle n’est-il grand que parce qu’il a composé avec les croyants communistes ? Autrement, aurait-il  échoué à affronter cette croyance et disparu dans les profondeurs de l’histoire après ne pas avoir gagné la guerre faute d’armée ?

Lorsque l’on réfléchit sérieusement aux approximations du mot civilisation on comprend que ce n’est pas ce concept qui peut être fauteur de guerre tant il est creux.

Alors, qu’en est-il de ce que d’aucuns baptisent pompeusement le conflit des civilisations ?

Afin d’y voir un peu plus clair, je vous propose d’évoquer un autre mot, autrement plus réel : la croyance.

Ce mot accompagne chaque minute de notre vie. Chacune de nos décisions impose préalablement une croyance.

Ainsi nous n’avançons, au sens propre, que si nous croyons que le sol devant notre pas est solide. S’il ne nous parait pas susceptible de porter notre poids, nous n’avançons pas.

Face à cette problématique il y a deux sortes de croyance.

La croyance irréfléchie ou non vérifiée (le dogme, la foi) :

Elle consiste à avancer si l’on est simplement convaincu, par soi-même ou par un autre, que le sol est solide. Inversement, à ne pas avancer si l’on est convaincu, dans les mêmes conditions, que le sol n’est pas solide.

Ce type de croyance est dangereux puisque le sol que l’on croit solide sans preuve peut ne pas l’être, alors nous passons à travers. Toujours inversement, nous pouvons le croire fragile et nous priver d’avancer, alors que le sol étant solide nous pourrions le faire sans risque.

C’est ici la croyance dogmatique, qui ne se soucie que d’elle-même, totalement indifférente à la réalité.

La croyance réfléchie, vérifiée (la science) :

Elle consiste, préalablement à avancer d’un pas, à vérifier que le sol est capable de porter notre poids. Que ce soit par l’expérience ou par le calcul, la vérification éliminera la possibilité d’échec, mais elle doit être reconduite à chaque pas. Certains cas limites resteront improbables.

C’est la croyance scientifique, qui doit se remettre perpétuellement en question, dont le champ d’action connu est infime par rapport aux problèmes globaux posés chaque seconde aux hommes, pour lesquels ils attendent des réponses immédiates.

Autant de contraintes auxquelles cette croyance répond difficilement, au prix d’un effort constant de réflexion qui n’est pas à la portée de tous.

Les conflits de croyance

Les définitions parlent d’elles-mêmes, ces deux croyances sont incompatibles.

L’histoire de l’humanité connue, et probablement inconnue, est faite principalement de l’affrontement entre ces deux croyances.

La croyance irréfléchie ne peut pas cohabiter avec la croyance réfléchie. L’une est indépendante de la vérité donc libre, elle n’a pas de limite et peut paraitre vraie, l’autre est entièrement prisonnière de la vérité et de ses limites.

Qui plus est, la croyance réfléchie demande du temps et un état d’esprit particulier. Nul n’est capable de l’utiliser exclusivement. Tout particulièrement depuis que son développement extraordinaire l’a rendue inaccessible aux non-spécialistes et a multiplié les spécialistes au point que chacun d’eux ne peut appréhender qu’une croyance réfléchie à la fois.

Contrairement à ce qu’aurait pu laisser croire les siècles d’or de la découverte scientifique, les XIXème et XXème siècles, l’hyper développement de la croyance réfléchie a fait le lit du renouveau de la croyance irréfléchie.

En effet, nous sommes aujourd’hui tous obligés d’adhérer à des croyances inconnues de nous, sans pouvoir vérifier si ceux qui nous initient ont eux-mêmes vérifié ou non ce qu’ils affirment, qu’ils nous imposent de croire.

Le conflit

La difficulté tient au fait que la croyance, réfléchie ou irréfléchie, après s’être emparée d’un homme ou d’un groupe d’hommes apparait comme la vérité.

Cet inconvénient peut paraître marginal pour la croyance réfléchie, encore que…, mais il est rédhibitoire et mortifère dans le cadre la croyance irréfléchie.

Il n’est pas douteux que la croyance irréfléchie a tué des milliards d’hommes au cours des siècles. Elle continue, c’est elle la fauteuse de guerre.

Le conflit aujourd’hui

Sa base est principalement économique. La croyance irréfléchie a imposé l’égalitarisme économique, en a fait une vérité qui s’impose à notre groupe.

Or, l’égalité ne peut pas affronter le besoin d’excellence sans lequel l’activité économique ne peut pas se développer. Cette activité, comme toutes les autres, même sans doute plus que les autres, participe à la compétition mondiale.

Peut-on imaginer une sélection égalitaire des compétiteurs du cent mètres aux jeux olympiques ? Non. Pour l’économie c’est la même règle.

Où les choses se corsent c’est que les croyances irréfléchies, ou dogme, sont dépendantes de leur clergé, sans lequel elles n’existeraient pas et que donc elles entretiennent grassement.

Ce clergé, ne vivant que de la divulgation de ses croyances irréfléchies ou dogme, turbine jour après jour pour les codifier, les justifier.

Dans le cas qui nous intéresse, le clergé chargé de diffuser et de conforter l’égalitarisme en est arrivé à désigner comme coupable de l’inégalité : le capital. Or, sans capital pas d’activité humaine possible, en quoi que ce soit.

Pense-t-on que le cent mètres pourrait être couru en moins de 10 secondes si soudainement devait être abandonnées toutes les connaissances accumulées depuis des années dans cette compétition, qui font le capital de cette spécialité ?

Mais il y a pire, le clergé égalitariste tant à faire croire que le détenteur de capital est à détruire en même temps, ou même avant, que le capital lui-même.

C’est l’erreur qui tue.

Le capital, quel qu’en soit le détenteur, appartient avant tout à l’humanité toute entière. Ainsi, la médaille d’Usain Bolt lui appartient, mais le temps réalisé sur cent mètres est un capital qui, lui,  appartient à l’humanité.

Il en est de même pour le capital économique.

La guerre des civilisations annoncée ne sera  qu’une guerre des croyances

La croyance économique irréfléchie, ou dogme, qui stigmatise le capital et les acteurs économiques, affaiblit terriblement l’économie de notre pays.

Par contrecoup elle s’affaiblit elle-même en tant que croyance, laissant ses croyants interloqués devant  son effondrement. Ils l’avaient prise et la prennent encore pour la vérité.

Souhaitant profiter de cet affaiblissement extrême, d’autres croyances irréfléchies (la religion musulmane entre autre, mais pas que…) se croient autorisées à prétendre au leadership de la vérité irréfléchie, du dogme.

En fait, le conflit qui se profile n’est pas une guerre de civilisation, comme le dénonce à l’envie nos journaux simplistes, mais une guerre entre croyances irréfléchies, données pour vérité, issues de la crédulité des croyants. Ce conflit s’installe à leur dépens, au profit des clergés dont l’intérêt est de susciter une opposition frontale des croyances pour accéder au pouvoir.

La croyance irréfléchie la plus vive l’emportera, au prix de morts et d’injustice, et mettra au pouvoir une de ces croyances irréfléchies et son clergé.

La raison ne pourra pas l’emporter, tant les croyants sont imprégnés au point de ne pas être capables de rechercher la vérité pragmatique de façon claire et scientifique.

Qui pourrait regarder l’économie et le capital autrement que comme l’ont déguisés la croyance irréfléchie égalitariste et son clergé ? Personne.

Nul ne peut, face à cette croyance égalitariste, redonner pragmatiquement à notre pays de la puissance économique raisonnée, protectrice face aux croyances irréfléchies.

Les carottes sont donc cuites, il ne reste qu’à passer à table. Malheureusement, elles sont mortelles, remplies de pesticide.

Cordialement. H. Dumas

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Cette magistrature de parti-pris, qui n’attache aucune importance à la loi et à justice.

Si vous avez un tout petit peu de sympathie pour mes écrits, de compassion pour ceux qui souffrent parce que persécutés par une justice entièrement au service de ses croyances, hermétique à la vérité des faits, qui accuse sans scrupule pour couvrir les errements des siens ou de ses protégés, faites moi plaisir, lisez ce jugement :  ICI le lien  La haine qui suinte de ce jugement est effrayante. Cette haine vise-t-elle précisément Henri Dumas ou tous les conducteurs de véhicule, sans distinction? Je l’ignore.

Maintenant la vérité

A quelques minutes près, il est 18H15 ce Samedi 7 Novembre 2015. Je rentre de mon bureau vers mon domicile. Je roule lentement, moins de 50Km/h. La nuit tombe. J’arrive sur une portion de boulevard qui longe la mer, qui est très mal éclairée. Il n’y a personne de visible dans mon champ de vision qui est entièrement absorbé par la nuit noire et profonde sur l’horizon de la mer.

J’arrive à 3 ou 4 mètres d’un passage piéton protégé, insuffisamment éclairé, sans percevoir qui que ce soit. Quand soudain surgissent, sur mon capot, deux piétons et un chien.

Je freine, et m’arrête sur le passe protégé. L’ABS me fait perdre un mètre cinquante, ce qui est suffisant pour que je bouscule un des piétons. Le deuxième piéton et le chien ne sont pas touchés, ils évitent facilement mon véhicule.

Le piéton bousculé se retrouve sur mon capot. Il n’arrive pas jusqu’à mon parebrise. Le choc a été léger. La voiture n’aura aucun dégât, mais le piéton retombera lourdement du capot sur le sol la tête la première, et là il se blessera.

Vous l’imaginez, je suis atterré, complètement déboussolé par cet accident et la présence soudaine de ces piétons masqués par la nuit. Je me précipite vers le blessé. Des passants appellent les pompiers. Soudain le blessé se lève et part. Je le suis et tente de le raisonner, il saigne de la tête, je l’implore d’attendre les pompiers. Il m’insulte et continue son chemin.

Nous sommes dans une rue parallèle à l’accident et à plusieurs centaines de mètres quand les pompiers, qui cherchent le blessé, arrivent.

Je laisse le blessé avec les pompiers et retourne à ma voiture.

Là, on me fait souffler légitimement dans un alcotest. Résultat parfaitement négatif.

A partir de là les choses vont partir en vrille, visant un seul objectif, me charger.

Dans un premier temps les agents de police sur place me disent que je peux rentrer chez moi.

Environ une demi-heure plus tard, cinq policiers, deux en uniforme et trois en civil, dans deux voitures, débarquent à mon domicile.

Ils m’informent qu’un photographe va venir photographier ma voiture, que je dois les suivre pour aller à l’hôpital refaire un alcotest. Cette dernière démarche est parfaitement illégale puisque j’ai déjà subi un alcotest qui s’est avéré négatif.

Je suis embarqué dans le véhicule des deux policiers en uniforme et, toute sirène hurlante, nous allons d’abord au commissariat. Là, je reste enfermé dans une salle d’attente une grosse demi-heure.

Puis, toujours toute sirène hurlante, nous allons à l’Hôpital. Là, les choses vont durer une bonne heure. Alcotest et test de stupéfiant, évidemment totalement négatifs.

Sirène à fond et plein pot, nous retournons au commissariat. Encore une bonne demi-heure enfermé dans la même salle d’attente, puis l’on me fait savoir que ma femme peut venir me chercher, alors qu’au départ les policiers avaient dit qu’ils me ramèneraient chez moi.

Pendant ce temps, le blessé a fait une crise de délirium dans la camionnette des pompiers. Il est chargé à mort, alcool et sans doute stupéfiants ou médicaments incompatibles.

Il n’a aucune fracture aux membres, ce qui prouve que le choc a eu lieu à vitesse réduite, par contre son choc à la tête est assez grave, même inquiétant.

Je m’en inquiète sans succès, l’hôpital où il a été évacué refusant de répondre à mes inquiétudes téléphoniques.

L’enquête de police

Je suis convoqué une première fois et inutilement au commissariat où l’officier de service m’informe de l’état alcoolique de la victime au moment des faits, mais il ne peut pas recueillir ma déposition, il n’a pas mes résultats du deuxième alcotest, dont il ne comprend pas la mise en œuvre.

Je suis une nouvelle fois convoqué, un peu plus tard, pour recueillir ma déposition.

Enfin je suis une troisième fois convoqué pour me signifier ma comparution devant le tribunal correctionnel.

Cette dernière fois, l’officier qui me reçoit, après avoir clos le dossier, m’ordonne de descendre au laboratoire photo où l’on me tire le portrait façon malfrat, de face et de profil, et où l’on prend mes empreintes digitales totales.

En vue de l’audience, je demande le dossier d’enquête.

Alors là, je suis surpris. La victime n’a fait l’objet d’aucun alcotest ou test de stupéfiant. Le rapport d’intervention des pompiers n’est pas au dossier.

Les photos prises de ma voiture, exempte de choc, ne sont pas au dossier, alors qu’un policier a passé plus d’une heure à les faire un Samedi à 20 H.

La fille de la victime qui était le deuxième piéton déclare sur les lieux, aux agents de police chargés du constat, que je roulais à vitesse normale. Puis, plus tard, dans sa déposition, que je roulais à une vitesse excessive.

L’enquête de police est totalement biaisée.

Il n’est pas fait état des conditions de visibilité, de la défaillance de l’éclairage public. La réalité du choc, l’absence de dégât sur la voiture, la position de la voiture au moment du choc ne sont pas notés.

Le rapport de l’intervention des pompiers n’est pas au dossier. L’état d’ébriété ou d’usage de stupéfiant n’a pas été recherché sur la victime.

Les photos anthropométriques dont j’ai été l’objet sont totalement illégales, j’en ai fait état sans succès auprès de la CNIL et du procureur de la République.

J’ai demandé au tribunal la nullité de l’enquête de police.

L’audience du tribunal

Le bilan médical de la victime est ésotérique. Acouphènes, vertiges, perte du goût et de l’odorat, rien de concret, de vérifiable.

Cependant, il me charge. Je me demande bien pourquoi, puisque, quoiqu’il en soit, la loi lui assure indemnités et dédommagements, quelle que soit sa responsabilité.

Quel intérêt a-t-il à me charger ?  A mentir et à faire mentir sa propre fille ?

Bon, passons.

Mais le Président du tribunal et le procureur, qui, à moins qu’ils n’aient pas lu le dossier, ce qui est possible, me chargent, occultent complètement la vérité, quel but poursuivent-ils ?

Bille en tête, peut-être ulcérés par mes arguments pourtant réels et simples, ne prêtant pas à confusion, ils me fustigent.

Est-ce pour masquer les carences de l’enquête, son parti-pris ?

Le Président n’hésite pas à me dire que j’aurais pu tuer la victime.  Oui, pourquoi pas, mais à moins de 50 Kms/h il aurait fallu de la malchance, et puis cela ne change rien au faits : pas de lumière, un piéton en état alcoolique, non maitre de ses décisions, qui ne perçoit pas que je suis un danger pour lui car il n’est pas visible, qui n’a pas à circuler dans cet état sur la voie publique.

Le Président me dit aussi que la voiture peut-être une arme par destination. Effectivement, mais cela n’implique pas que les conducteurs soient tous considérés comme coupables.

Je dirais que la justice aussi peut-être aussi une arme par destination, cela ne fait pas de tous les magistrats des coupables d’injustices.

Conclusion

On peut regarder cette affaire sous plusieurs angles.

Une conséquence de la terreur que la justice croit devoir répandre auprès des automobilistes pour limiter l’accidentologie. Ce qui justifierait la liberté prise avec les faits par le tribunal.

Une connivence avec les forces de l’ordre, dont les constats ou enquêtes ne pourraient pas être remis en cause quelque soient leurs carences. Cette hypothèse est étayée par mes condamnations dont fait état le magistrat, qui n’ont aucun rapport  avec l’accident, mais des rapports étroits avec les incuries des forces de police lorsqu’elles abusent de leur pouvoir, ce qui est hélas une constante.

J’ai fait appel

Je ne me fais aucune illusion.

Malgré un avis clair de la CADA dans le sens de la communication du procès-verbal, les pompiers refusent de me donner le procès verbal de leur intervention.

L’état alcoolique de la victime au moment des faits n’intéresse personne. Il parait que la vie privée de la victime serait en jeu, pendant que la mienne, avec un mois de prison et six mois de retrait de permis de conduire, ne le serait pas.

Le problème c’est quoi ?

Sans doute le prix à payer pour vivre debout dans ce pays, où il est fortement conseillé de rester couché.

Bien cordialement. H. Dumas

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TRACFIN, ou quand l’Eglise égalitariste transforme les français en collabos.

Imprégnant l’Etat de toute sa croyance, l’Eglise égalitariste a fait de celui-ci un Etat multi-intervenant et oppresseur. Par voie de conséquence, elle a fait du français un pauvre type esclave de cette utopie égalitariste qu’il finit par croire vraie.

Mais ce n’est pas suffisant pour elle.

Faux-cul, comme toute Eglise qui se respecte, l’Eglise égalitariste a fomenté, à la faveur des catastrophes sociétales qui touchent notre pays – auxquelles elle n’est pas étrangère – un plan machiavélique.

Il s’agit pour elle de faire croire qu’elle se soucie de sécurité et d’obtenir à ce titre un droit de fouiller la vie matérielle intime des français. Et, cerise sur le gâteau, d’obtenir légalement que les français se dénoncent entre eux, tout particulièrement ceux en qui la tradition imagine qu’ils sont : “de confiance”. Je veux parler des notaires, des banquiers, des experts-comptables, etc…

Le but avoué est de terrasser les trafiquants de drogue et les terroristes.

Les trafiquants de drogue

Je ne m’aventurerai pas vers le lieu commun qui consiste à se demander qui de Mrs Martel, Hennessy, Ricard et consorts, rois de l’alcool et des bistrots ou de Mrs Mohamed, Luigi, Marcel, Ivanov et consorts rois de la drogue et des trottoirs nuisent le plus à la société, font le plus de dégâts. J’observe que les uns paient des impôts et sont pénards, les autres n’en paient pas et sont traqués.

Y-a-t-il un rapport entre l’impôt et la morale ? Quel serait-il ici ? Je laisse le problème à votre sagacité.

Une chose est sûre, ces deux acteurs économiques, marchands d’alcool et marchands de drogue, affichent des signes extérieurs de richesse qui sautent aux yeux du plus aveugle  des observateurs.

Ainsi, nul ne peut ignorer la richesse des trafiquants de drogue. Elle est si visible qu’il n’est pas pensable que même un simple policier de quartier puisse ne pas la voir. Dans ces conditions, il est raisonnablement possible de se demander pourquoi la police ne parait pas en mesure de combattre le trafic de drogue dès les premiers signes de richesse et doit en laisser l’initiative à l’administration fiscale bien plus tard quand les trafiquants en sont arrivés au blanchiment. Combien de morts entre temps?

Les terroristes

Ceux-là par contre ne roulent pas sur l’or. Enfin, remarquons que les quelques exemplaires qui sont passés à l’acte chez nous, avec malheureusement des résultats catastrophiques, avaient des situations précaires, un lourd passé judiciaire et psychiatrique connu ou non.

Il est clair que les sommes en jeu pour perpétrer leurs actes inacceptables étaient ridicules de modicité. Il semblerait qu’à l’avenir ces sommes soient encore plus modestes.

Que vient faire dans cette affaire notre fringante administration fiscale ? Pendant que se sont plutôt nos prisons et nos hôpitaux qui sont aux premières loges pour détecter les futurs terroristes, sachant que sur ce sujet : après est toujours trop tard.

Parlons donc de TRACFIN.

TRACFIN dont le rapport d’activité pour 2015 est  ICI –  en ligne.

Prenez un cachet de Nautamine contre le vomissement, puis lisez-le.

Bien que ce rapport ait été écrit pour pouvoir tomber entre toutes les mains et que donc il ne révèle rien de sensationnel, vous pourrez en tirer quelques motifs de foutre le camp, d’aller chercher ailleurs la liberté que vous n’avez définitivement plus ici.

Quelques détails qui sautent aux yeux

Les délateurs les plus zélés sont les banquiers et les notaires. Avec une performance accrue pour les banques mutualistes : “Le secteur bancaire est le principal émetteur de déclarations de soupçon reçues par le service”.

Légèrement en retrait assureurs et casinos. Bien aussi, les experts-comptables et les mandataires judiciaires.

Les autres : Huissiers, changeurs, avocats, agents sportifs, agents immobiliers, commissaires aux comptes, etc… n’y mettent pas assez du leur. Ils rechignent à dénoncer. Aussi, dans ce rapport, TRACFIN leur fait la leçon et leur explique qu’ils courent de grands risques à ne pas dénoncer à tour de bras. Les menaces sont claires, ils vont avoir peur, à juste titre je pense. Ils vont dénoncer, à fond.

Il n’y a que chez Taubira que l’on n’a pas peur de Tracfin, Martinique et Guadeloupe ne dénoncent pratiquement pas, ça alors… Notez, pas un mot sur la Corse…

En 2015, TRACFIN enregistre 43 231 déclarations de “soupçon”. Quand même !!! Résultat : 2 dossiers relatifs à des opérations de financement du terrorisme !!! Trop fort.

Par contre, 410 “soupçons” fiscaux générant 90% de contrôles fiscaux.

On apprend aussi que la délation croit régulièrement, de l’ordre de 18% l’an, pas de déflation ni de stagnation chez Tracfin.

En ce qui concerne le volume de chaque “soupçon”, 70% visent des sommes inférieures à 100 K€. Que des trafiquants modèles réduits.

Tout cela n’est pas sérieux, ce n’est que mensonge.

La vérité est que le dogme égalitariste, comme tout dogme, ne peux pas s’épanouir autrement que dans l’oppression et la terreur.

TRACFIN est l’outil de la terreur égalitariste et fiscale, et de la collaboration sans laquelle elle ne peut pas s’installer.

Un seul “soupçon” vous dénonçant et votre vie est marquée à jamais. Vous voilà dans les livres de TRACFIN. Pour vous, l’enfer commence. Le collabo qui vous a dénoncé peut se réjouir, quelques soient les motifs qui l’animent y compris les plus mensongers ou les plus abjects.

Dans un pays normal, le banquier qui trahit le secret bancaire, donc votre vie privée, serait poursuivi et condamné.

Existe-t-il encore sur la terre un pays normal où la traque des délinquants est du ressort de la police et non des banquiers et des services Fiscaux ?

Le souvenir de la dernière fois  où  la collaboration a été à l’honneur en France ne porte pas à se réjouir.

L’égalitarisme — cette croyance qui nous possède — emportera tout avec lui, y compris la plus simple des morales, celle de la liberté et du respect des individus, sans laquelle il n’est tout simplement pas possible de vivre. Que devient notre “vie privée”?

Pour ma part, je suis un “égalitaro-septique”, si vous me suivez c’est un sujet dont nous allons parler, beaucoup et longtemps.

Bien cordialement. H. Dumas

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Garcia, notre vie privée et la sienne…. (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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L’Eglise égalitariste vient d’accoucher d’un monstre : le bail réel solidaire.

Une ordonnance n°2016-985 du 20 Juillet 2016 a mis au jour le “bail réel solidaire”.

En fait, il s’agit d’un démembrement de la propriété qui invente l’obligation de pauvreté familiale pour transmette son habitation principale à ses héritiers. D’un côté le terrain, de l’autre la construction, le bâti.

Le fonctionnement est le suivant :

            – Un machin, dénommé Office Foncier Solidaire, vole à vil prix du foncier à des propriétaires classiques. Probablement en le dévalorisant à l’aide des règles locales d’urbanisme ou en le piquant aux autres français sous prétexte qu’il appartient à l’armé, à la SNCF ou à tout autre entreprise d’Etat, ce qui permet de faire croire qu’il est sans valeur puisque bien commun (voir La Rochelle ville championne sur ce sujet).

            – Ce machin, l’OFS, consent un “bail réel solidaire” de 99 ans à Tartempion. Celui-ci s’engage à construire sur le site loué une habitation principale. Mais, au terme du bail, ses travaux deviennent la propriété du bailleur OFS.

            – Si Tartempion ne paye pas son loyer, le bail est rompu, ses travaux sont à l’OFS. Idem s’il fait des travaux non prévus. Tartempion est sous constante menace.

            – Si Tartempion meurt, sa femme peut rester dans les lieux, mais en payant son loyer foncier. Ses enfants ensuite non, à moins que comme lui ils soient pauvres. D’où l’utilité de bien transmettre sa pauvreté si l’on veut que ses enfants puissent continuer à vivre dans les lieux où ils ont été élevés.

            – Car Tartempion doit être pauvre.

            – Si Tartempion revend son morceau de propriété, son acquéreur doit être pauvre lui aussi. Tout cela étroitement surveillé, évidemment. Tout comme les revenus des habitants actuels des HLM. Nul n’en doute, enfin à condition d’un minimum de naïveté.

            – Toujours sous réserve que la pauvreté se soit bien installée dans les lieux, le bail est rechargeable, c’est-à-dire qu’à chaque transfert il repart pour 99 ans. Il est donc éternel, sous réserve de pauvreté, elle aussi évidement éternelle.

C’est pas beau tout ça ?

C’est pour casser la spéculation parait-il.

C’est vrai que le clampin Tartempion qui aura remboursé le prix de sa construction — les inventeurs de cette escroquerie parlent d’un prix de revient de 70 % du coût actuel de l’immobilier, quand même !!! — ne pourra pas envisager une plus-value en revendant. Il ne pourra pas s’enrichir logiquement au terme de ses efforts économiques, à la fin de ses remboursements d’emprunt.

Finis les appartements parisiens vendus le prix de quatre maisons en province pour aller prendre une retrait méritée. Les plus-values iront à l’OFS.

Toutes les Eglises fonctionnent au bénéfice de leur clergé et au détriment de leurs adeptes. L’Eglise égalitariste n’échappe pas à la règle.

Réfléchissons cinq minutes.

Premiers perdants

Les propriétaires fonciers initiaux, évidemment. Pour eux pas de quartier, il y a déjà longtemps de l’Eglise égalitariste les montre du doigt. Ce qui est à eux est à nous, pas à eux. Leur propriété c’est du vol, la leur voler est une bonne action, chacun sait cela. La chose est tant acquise qu’elle tombe sous le sens, l’ordonnance n’a pas une ligne pour eux.

Deuxièmes perdants

Les Tartempions acquéreurs. Qui nous fera croire que 70% du prix d’un appartement en période de survaleur est si négligeable qu’au terme des remboursements liés il est logique qu’il ne reste aucun bénéfice à celui qui a payé les traites ?

Mais en plus, les 30% de charge foncière sont là indéfiniment puisqu’étant sous la forme d’un loyer elle n’est jamais acquise.

Soit, avec le temps, ces 30% deviendront une somme ridicule par rapport aux obligations qu’ils entrainent, soit ils seront une contrainte insupportable si leur valeur est correctement réévaluée au fil du temps.

Tartempion, le consommateur, est bien le deuxième perdant.

Les neutres

Ce sont les professionnels de l’acte constructif. Géomètres, notaires, architectes, experts en tout poil, entrepreneurs, qui factureront leurs prestations indifféremment de cette situation “solidaire”.

Les grands gagnants

Ce sont évidemment les Offices d’HLM. Le clergé de l’Eglise égalitariste, les papes de la solidarité (ici appelé Office Foncier Solidaire).

D’abord ils n’ont plus à assumer l’acte constructif et ses contraintes. Ils repassent la patate chaude au clampin Tartempion, le consommateur. Ils gardent le pouvoir absolu, puisqu’à travers le foncier ils sont en réalité les propriétaires du bâti.

Si les consommateurs sont assez cons pour mordre à l’hameçon, les offices d’HLM peuvent démultiplier à l’infini leur poids sur l’immobilier en termes économique et politique.

Mais ça, ce n’est pas sûr. Les consommateurs ne sont peut-être pas aussi cons qu’ils l’espèrent.

Il n’empêche que, pendant ce temps, les offices d’HLM se rendent intéressants, toujours sans assumer leur vrai travail qui consisterait à loger les indigents.

Travail qu’ils n’envisagent plus depuis si longtemps qu’ils ne se sentent pas concernés par le sujet. Les offices d’HLM sont les notables de l’immobilier, les seigneurs du secteur, tout leur appartient, rien n’est trop beau pour eux. Cette loi, faite par eux pour eux, est exemplaire de leur dérive totalitaire.

Les plus petits gagnants, mais gagnants quand même

Les gros promoteurs nationaux pour qui la connivence avec les Offices d’HLM leur avait déjà fait avaler la mixité d’escalier. Ils absorberont cette couleuvre et essaieront de lui faire de la publicité, de la mettre en œuvre. Les consommateurs devront être lucides et vigilants.

Enfin, les avocats et Tribunaux Administratifs qui ne manqueront pas d’être débordés dans les vingt ans à venir par les situations explosives que va créer cette ordonnance, si elle arrive à exister pour de vrai.

Le gag

C’est le nom donné à l’aventure : le bail réel solidaire. Plus ridicule que ça, tu meurs.

Bien cordialement. H. Dumas

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La laïcité impose la séparation de l’Etat et de l’égalitarisme.

Voici la définition de la laïcité par M. Larousse :

” Conception et organisation de la société fondée sur la séparation de l’Église et de l’État et qui exclut les Églises de l’exercice de tout pouvoir politique ou administratif, et, en particulier, de l’organisation de l’enseignement.”

Quand aux Eglises, Wikipédia dit ceci :

“À partir du moment où l’État lui confère un statut, l’Église, en employant une majuscule, désigne l’institution qui regroupe les croyants d’une même confession”

Nos Eglises prétendent avoir l’exclusivité du sacré. Mais, le sacré n’étant qu’un “respect absolu” il s’agit donc d’une captation abusive de ce mot.

Elles sont plus crédibles lorsqu’elles réclament l’exclusivité du divin, c’est-à-dire de la croyance aveugle, non prouvée et non prouvable.

Les Eglises ne sont pas éternelles, l’histoire de l’humanité les collectionne tant la vie et la mort restent un mystère qui génère naturellement les croyances les plus invraisemblables.

Aujourd’hui, notre société fait face à une nouvelle croyance ahurissante : l’égalitarisme.

Cette croyance imprègne tellement nos sociétés qu’elle parait évidente et n’est pas susceptible de remise en question. Elle est sacrée, regroupe en une Eglise ses thuriféraires, elle a un bras armé : le socialo-communisme, un leader sacré : Marx.

La particularité de cette nouvelle religion n’est pas son but, évidemment inaccessible, mais plutôt son champ d’action qui est strictement limité à l’économie.

Cette particularité est la plus étonnante. En effet, chacun s’accorde à penser que l’égalité n’existe pas sur terre, qu’il n’y a pas lieu de la rechercher même au contraire.

L’inverse de l’égalité — qui est la recherche de l’excellence — est le moteur du sport, de la recherche scientifique, de la culture, etc… de la vie.

Qui se déplacerait pour voir un match de foot entre équipes sélectionnées selon les critères de l’accès égal pour tous à la compétition ? Qui se ferait soigner par un médecin dont le diplôme relèverait d’une simple nomination donnée également à tous les prétendants à cette profession ? Qui monterait dans un avion dont le pilote n’aurait pour bagage que son désir d’être pilote, et un brevet obtenu sur des critères égalitaires sans distinction de ses compétences ? La liste est illimitée.

C’est exclusivement lorsque l’on parle d’économie, et de façon irrationnelle, que l’égalitarisme s’impose.

En cela il est clair que l’égalitarisme économique est une croyance, une religion, qu’à ce titre il doit, dans un pays laïque, être séparé de l’Etat.

N’allez pas me faire dire dans vos commentaires, si vous me faites l’honneur d’en faire, que je ne respecte pas les faibles ou les humbles de l’économie, qu’horrible libéral je plaide pour que ceux-ci soient écrasés. Rien ne serait plus faux. D’abord parce que je crois au devoir universel du fort par rapport au faible en tout les domaines, ensuite parce qu’étant libéral je crois que le fort, naturellement, n’a pas intérêt à ce que le faible le reste, au contraire.

Non, ce que je veux ici démontrer c’est que l’égalitarisme est un dogme et que l’expérience a prouvé que l’Etat et le dogme sont totalement incompatibles.

Nos ancêtres en ont bavé pour éradiquer la religion catholique de sa mainmise sur l’Etat, qui paraissait naturelle pour tous à l’époque.  Cela était si vrai qu’ils durent se battre pendant des années à travers des associations secrètes, qui portent encore maintenant les stigmates sociales de cette lutte.

L’Etat doit être neutre, libre de toute croyance, sans quoi il ne peut pas remplir sa mission au service de tous.

Et pourtant, l’Etat aujourd’hui est entièrement entre les mains de ces nouveaux croyants : les égalitaristes. A tous les niveaux administratifs : armée, justice, police, enseignement, etc…

Cette religion est si prégnante que l’intégralité de nos hommes politiques est égalitariste. Qu’il ne nous est laissé le choix qu’entre un égalitarisme communiste ou un égalitarisme fasciste, mais dans tous les cas un égalitarisme de plus en plus absolu.

C’est cette croyance, complètement irréelle, qui est la base des comportements irrationnels de notre Etat, de son invasion de la sphère privée pour imposer cette nouvelle religion, de ses échecs à répétition.

Il y a urgence.

L’Eglise égalitariste peut être respectée, mais doit impérativement être séparée de l’Etat français. C’est une question de vie ou de mort pour notre société.

Cela va être compliqué. A ce point installé au sein de l’Etat le dogme égalitariste n’a pas besoin de résultat, la croyance se nourrit d’elle-même et engraisse ceux qui la servent ou font semblant, pendant qu’elle détruit tous les autres.

Il y a plus fort, plus l’égalitarisme génère l’inégalité du fait son incohérence et de sa stupidité contre-nature, plus il apparait comme la seule solution pour ses croyants.

C’est dire que le piège ne va pas s’ouvrir facilement.

L’Etat ne retrouvera pas aisément la neutralité dont il a besoin. Le chemin vers la liberté va être long et escarpé.

Les premiers qui vont s’y atteler vont peut-être devoir entrer dans la clandestinité, jouer leurs biens, même leur vie.

L’égalitarisme est notre obscurantisme, nous n’avons pas plus de lucidité par rapport à lui que les musulmans en ont par rapport à leur religion.

Pour l’instant la seule solution pour ceux qui veulent échapper à ce dogme, malheureusement étatisé, est la fuite.

Cordialement. H. Dumas

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