Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Chaque jour qui passe apporte sa dose de haine de violence et de meurtre en devenir

Ce cycle infernal est sans fin. Seul le dégoût pourra l’arrêter. Hélas nous sommes encore, et pour longtemps probablement, dans la phase jubilatoire de la haine de l’autre, dans l’attente impatiente de l’opportunité de le violenter, de le tuer.

L’exemple du jour

Il y a un demi siècle les architectes se sont fait confier le monopole de l’acte constructif. Ce qui, pour ce noble art qu’est l’architecture, a été un scandale, dont on commence à voir la trace aujourd’hui signée par la monotonie et par le manque de créativité de la majeure partie des constructions réalisées sur tout le territoire national.

Il faut dire qu’avant d’obtenir ce monopole les architectes avaient déjà sévi en bâtissant un peu partout les cités dortoirs HLM honnies, qui relevaient déjà de leur monopole.

A l’occasion de ce monopole « artistique » une organisation corporative s’est surajoutée : Le Conseil de l’Ordre des Architectes, organisé au profit de ses organisateurs.

Cette docte assemblée, qui se pousse du col, qui n’en peut plus, gère l’asservissement des architectes, de leur créativité, au pouvoir politique et bureaucratique. Logique retour du monopole consenti.

Pour ce faire l’Ordre émet une cotisation.

Qui ne la paie pas perd son titre d’architecte, enfin plutôt son droit d’exercer en France… Quel moyen de persuasion… pas vraiment tendre, plutôt violent…

Je suis en désaccord avec cette cotisation, que je paie régulièrement mais en la limitant à la case « sans activité en cours », ce qui est mon cas.

L’Ordre se prétend légitime à percevoir sa cotisation non sur les seuls revenus liés à l’architecture mais sur tous les revenus. C’est stupide.

Nous nous retrouvons au tribunal où je perds, sans avoir les moyens alors d’aller en cassation.

La problématique sociétale me parait importante puisqu’elle touche la notion de monopole d’un art majeur et de sa censure engendrée, ainsi que la légitimité de lever finalement un impôt en lieu et place d’une cotisation professionnelle.

Du bonheur pour un magistrat qui s’intéresserait à la marche de son pays et à son métier, non ?

Eh bien non, malheureusement.

Hier en audience de conciliation, précédant les abominations dont on m’a averti pour les 2 000 balles que je devrais, la juge m’a regardé droit dans les yeux pour bien me faire comprendre que ne pas payer sa cotisation, telle qu’elle est demandée par le conseil de l’ordre des architectes, est un acte de contestation inadmissible.

L’architecture, elle s’en fout comme de sa première guigne, elle n’est pas là pour ça.

Elle est là pour bien faire sentir la haine de ceux qui sont au pouvoir contre ceux qui se rebellent, surtout s’il s’agit d’une révolte contre la symbolique de ce pouvoir. Ce qui est le cas ici.

La haine, transmise par procuration, de la juge était accompagnée d’une jouissance des violences à venir dans les yeux de l’huissier qui représentait l’Ordre des Architectes. Pensez, ils vont saisir ma retraite : un exploit.

Pauvre bande de pieds plats, qui ne comprennent même pas que ce sont eux qui cassent tout en distillant ainsi la haine, sans même réfléchir aux situations.

Plus largement

Bercy fait journellement l’apologie de la haine du « fraudeur fiscal » sans que personne ne sache ce que représente cette qualification, y compris Bercy…

Les écolos font journellement l’apologie de la haine pour l’homme qu’ils imaginent négatif — tous les hommes, eux compris, il faut le faire –, de la haine pour le progrès, le capital, la confiance…

Les musulmans font journellement l’apologie de la haine pour tout ce qui n’est pas musulman.

Ces haines et d’autres sont synergiques, elles génèrent une violence qui se manifeste actuellement par le verbe, mais qui languit de se manifester physiquement.

Nous sommes aux portes de la guerre, dont la stupidité est avérée, mais qui ressurgit régulièrement malgré l’immensité des douleurs qu’elle génère.

Je suis sidéré, ce qui ne change pas grand-chose à la situation… et vous ?

Bien à vous. H. Dumas

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Quelle violence fiscale ? Quelle légitime défense ? Circulez, il n’y a rien à voir.

Vous et vos enfants avez passé deux mille ans à vous faire baiser par l’église, vous passerez bien quelques siècles à vous faire niquer par Bercy, me disait un inconnu que j’ai connu.

La méthode est toujours la même, ils flattent les humbles, les gentils, ils leur disent que leur misère est imputable aux autres, tout particulièrement aux riches, qu’ils vont réaménager tout cela à l’aide de l’amour, de la fraternité, de la bonté naturelle des hommes, plus celle des loups, des ours, des moustiques, enfin de tous les êtres vivants du plus grand au plus petit.

Après avoir installé dans les rêves de tous ce paradis – en devenir – ils prennent le commandement, le pouvoir… il faut bien agir pour aboutir aux promesses.

Mais c’est dur, alors il leur faut une police, une armée, pour imposer le bonheur promis.

Regardez, ce pauvre Poutine qui a promis, à ceux qui le croient, la grandeur, la prestance, et les honneurs attachés … Il a besoin d’une armée évidemment, mais ça merde un peu, non ? On verra.

Ils finissent tous par patauger dans la violence, et le comble c’est qu’ils la dirigent finalement vers les humbles qu’ils prétendaient servir, qu’en réalité ils exploitent, qu’ils tuent ou font tuer.

Ci-dessous, une belle histoire de violence gratuite de mort financière volontairement programmée.

Ceci est l’affiche de la mise en vente d’une partie de mon jardin, qui n’est pas constructible, duquel avec mon chien nous voyons la mer et les Pyrénées, assis sur des restanques plusieurs fois centenaires, auprès d’un olivier peut-être millénaire, entourés de chênes verts protégés.

Quinze mille balles, c’est pas cher, pour le gogo qui va se laisser couillonner, parce qu’il imagine qu’il va construire sur ce terrain que les Services Municipaux se sont arrangés à rendre inconstructible à l’occasion de la réalisation du PLUI, en lui réservant des contraintes insurmontables. Alors… à moins peut-être de payer un arrangement, mais sans doute n’est-ce pas possible.

Comment en sommes nous arrivés là. Mais par la violence fiscale, évidemment.

Rappelez-vous, tout est dans ce blog.

Une pétasse des Services Fiscaux redresse la succession de ma mère. Elle estime, sur le même lieu, la continuation du terrain mis à la vente aujourd’hui comme terrain à bâtir — continuation alors et toujours non constructible –, pour la somme de 2 168 000 Frs, en mars 2000, en gros, avec l’inflation, un million d’Euros d’aujourd’hui. Pour cela elle utilise un faux certificat d’urbanisme, qui a été rapporté par le maire.

Elle perdra vingt ans plus tard, sur renvoi en appel par la Cour de cassation. Aucune indemnité ni pour moi ni pour mes enfants alors étudiants et poursuivis sur leurs premiers salaires. Pas violent ça, vingt ans de harcèlement, saisies, ATD, lettres RAR constantes, etc… Non, juste un erreur d’estimation a dit le juge d’appel…

Bon d’accord, je ne m’étais pas couché.

On m’avait dit — publicité mensongère — que j’étais un homme libre dans une société de droit… ouaf, le gag…

Crédule, je me suis tourné vers la justice pendant ces terribles vingt ans pour faire acter l’usage de ce faux certificat d’urbanisme, qui était le seul élément mis en avant par la pétasse pour inventer une taxation supplémentaire de cette succession.

J’ai perdu, partout.

Non seulement je perds, mais la bande se venge — car elle n’est pas seule la pétasse — et elle me colle deux touristes qui viennent faire semblant de vérifier mes deux sociétés SARL Cocraud et SCI Mirabeau.

Ils ne vérifieront rien du tout. Ils profiteront de ma naïveté, de ma spontanéité, pour rédiger deux faux. Deux procès-verbaux inexistants d’une opposition à contrôles fiscaux elle-même inexistante.

Rebelotte, je sollicite la justice, les hiérarchies, en pure perte.

La violence est lancée, rien n’est en mesure de l’arrêter, elle est vitale pour ceux qui veulent faire croire qu’ils sont la justice au service des hommes, mieux que Dieu…

Bercy est au-dessus de tous et de tout, donc des juges et des lois. Je veux bien aller en prison pour avoir clamé cette vérité.

Seul un magistrat, le Commissaire du Gouvernement de la Cour d’Appel Administrative de Marseille traitera dans ses conclusions ces deux redressements de non-sens. Mais il ne sera pas suivi par le juge. Quand même, quel courage cet homme, il y a peu de chance qu’il devienne ministre de la Justice.

Et voilà.

Au final, une fausse facture de plus de 2 M€ qui aura amené la vente de la plus grande partie du stock de la SARL Cocraud et d’une grande partie de ma propriété familiale.

Mais ce n’est pas tout, les conséquences vont entrainer ma ruine et, au moins, ma mort sociale. Si, avec tout ce bordel, on peut dire que j’ai eu une vie sociale.

Mais alors, vu par Bercy, la pétasse à l’initiative de tout ce bordel, devrait être décorée de la légion d’honneur. Non ?

Elle vaut bien tous les héros breloqués, dont la grandeur dépend directement du destin du camp dont ils étaient. Car si tous ont d‘abord donné la mort, la célébrité n’est que pour les vainqueurs… les perdants ont tué pour rien.

Et tous ces évêques qui n’osent plus sortir de peur qu’on les reconnaissent…

Quel foutoir !!!

Enfin, en ce qui me concerne, tout ce en quoi j’ai cru n’existe pas, je me suis trompé, sur toute la longueur.

J’ai pris des risques, faut pas, j’ai travaillé plus que nécessaire, faut pas, j’y ai pris du plaisir, faut pas, j’ai gagné de l’argent tout en faisant en sorte de ne léser personne, faut pas, j’ai refusé les compromis les connivences, faut pas, j’ai donné gratuitement de mon temps à la collectivité, faut pas… Oui, c’est beaucoup d’erreurs.

Résultat, aujourd’hui je suis tout en haut du mur des cons des magistrats, qui évidemment existe toujours ; la population servile me hait, il lui tarde que je sois pendu haut et court, qu’elle puisse honorer la pétasse.

Elle ne comprend pas, la population, que je suis elle, tout simplement, que c’est donc son tour, à grande échelle, pas le mien, je suis là par ma connerie d’idéaliste, je pourrais être ailleurs, pas avec elle…

Elle est aveugle et sourde, elle accepte de se faire traiter de gilet jaune alors qu’elle porte un espoir et une révolte juste en elle, si juste et si forte que tous les maquereaux qui souhaitent le pouvoir se disent plus gilet jaune qu’elle.

Tout ça est formidable, le banni que je suis devenu, fraudeur fiscal, procédurier, quérulant comme l’a très bien rapporté un de mes rares lecteurs, observe cette situation avec beaucoup de tristesse. Tout ça pour ça…

Bien à vous. H. Dumas

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Macron entre phantasme et réalité

Ce garçon m’intrigue.

Aucun doute sur le fait qu’il est gonflé. Son adolescence en témoigne.

Est-il gonflé au gré des circonstances, simplement pour épater la galerie en exploitant n’importe quelle situation scabreuse, ou est-il lucide sur ces situations et parfaitement conscient des suites de ses exploits, qui l’indiffèreraient ?

Là est la vraie question quand sa personnalité interfère avec notre vie commune du fait de sa position d’homme de l’Etat en chef.

Son discours de fin d’année peut être reçu simplement comme issu de la pensée d’un camelot de foire exposition, qui ratisse large pour fourguer sa camelote.

N’est-ce pas trop simple ?

Réalisé en contrepoint de tout ce qui ne va pas, et la liste est longue, il laisse supposer que tout va aller. Il suffirait de travailler et de s’engager…

Rien sur les causes, rien sur les responsables du désastre que nous allons — grâce à notre engagement et à notre travail, aussi un peu au fric qu’il va nous piquer – solutionner.

Donc se pose les questions :

  • Est-il un simple frimeur qui n’a aucune idée quant aux causes et qui s’en fout ?
  • Où est-il parfaitement lucide, ancré dans le système techno-égalitariste qui nous broie, nous tue et nous amène surement au pire ?

Dans le premier cas il n’est pas bien dangereux,

Il fait partie de la masse de ceux qui vont dérouiller quand la vérité va pointer son nez.

Dans le deuxième cas il est très dangereux,

Il serait un croyant de la pire espèce, de ceux qui imposent leur croyance à tout prix, au prix de la mort des autres.

C’est-à-dire qu’il ferait sienne la croyance techno-égalitariste, en réalité communiste primaire pour parler comme avant, déjà partagée par une majorité. Il la consoliderait, en ferait un dogme total, un enfermement définitif, liberticide, destructeur, socle de la violence fiscale qui emporterait tout de façon pire qu’aujourd’hui.

Hélas, je crois que le deuxième cas est le plus proche de la vérité. Nous verrons, très vite.

H. Dumas

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Peut-on faire un vœu, un seul ?

Notre époque est si désespérante pour ceux qui sont lucides, si fausse pour ceux qui sont crédules, si propice aux cyniques, que la tradition des vœux de la nouvelle année parait bien désuète, puérile, naïve…

La faillite et la guerre — qui va toujours avec elle — sont à nos portes. Si probablement chez nous, dans l’année à venir…

Alors, pourquoi espérer, faire des vœux, voire un seul vœu ?

Parce qu’un seul vœu suffirait : l’éradication de la violence.

Une conscience collective cherche, un peu partout, à éradiquer la violence.

Je pense que cette conscience est mondialement majoritaire dans la population de tous les pays ou races confondus. Il n’y a que dans l’esprit des hommes de pouvoir, des hommes des Etats, que secrets et violences sont encore les bases de leur fonctionnement.

Face à eux le monde s’organise par le biais des réseaux sociaux.

Les femmes sont au sommet de cette organisation, elles luttent avec de nombreux succès contre les violences millénaires qui leur sont faites. Leur victoire est probable, elle changera tout. A condition qu’après avoir vaincu la violence elles n’en deviennent pas le vecteur, ce qui serait catastrophique mais peu probable pour de multiples raisons.

Elles sont les plus nombreuses, mais elles ne sont pas les seules à lutter contre la violence. De nombreuses minorités font entendre leurs voix et s’insurgent contre la violence dont elles sont l’objet, certaines sont audibles, d’autres moins.

Mais tout le monde comprend que l’éradication de la violence est la seule réponse possible à l’augmentation de la population mondiale, accompagnée — cela va de soi – du respect dû à l’intégrité morale et matérielle de chaque individu.

Dans le cadre de ces réflexions, la lutte contre la violence fiscale est essentielle.

Les hommes de l’Etat font l’apologie de la violence fiscale, comme ils font l’apologie de la délation, du chauvinisme et de la guerre, autant de bases à leur pouvoir.

Mais leurs fusils et leur fausse justice pèsent bien peu face à la conscience universelle qui peut s’exprimer à travers les réseaux sociaux.

Pour l’instant ils ont su imposer une croyance absurde qui consiste à prétendre que déposséder autrui par la force, quels que soient les moyens employés, serait bénéfique à la population.

Oui mais, ils sont en faillite. Ce fait est incontournable.

Face à cette faillite ils devront retourner leur machine à piller contre tous, y compris les plus humbles, et alors la vérité apparaitra : ils pillent au seul profit de l’exercice de leur pouvoir. Cela se suffit dans leurs têtes.

Alors, dans ces conditions et face aux enjeux, ma journée de prison — et peut être celles à venir — pour faire taire ma dénonciation de la violence fiscale, sont bien peu de chose.

Je vous souhaite donc une année de liberté et de lutte contre la violence fiscale dont nous reparlerons, souvent — en fait constamment — et longtemps.

Bien à vous. H. Dumas

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La violence fiscale n’est pas inéluctable

Bonjour,

Nous allons nous structurer pour combattre la violence fiscale qui empoisonne la vie de tous les français.

La fiscalité doit être la même pour tous, proportionnelle et maitrisée, il en va de la santé économique du pays et du bonheur de ses habitants.

Bien à vous. H. Dumas

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Quand La Cour d’Appel de Montpellier fait l’apologie de la violence fiscale

En cliquant sur ce LIEN vous pouvez prendre connaissance de l’arrêt de La Cour d’Appel de Montpellier, rendu le 14/12/2022.

En cliquant sur cet autre LIEN vous pouvez prendre connaissance du problème que je soumettais à cette Cour.

Survol abrégé de l’idée de retraite

Son économie est constituée des sommes que l’on perçoit sans être actif, c’est donc une rente. Pour disposer d’une rente il faut avoir accumulé un capital.

Certains ne prennent pas la précaution, ou ne sont pas capables, de constituer un capital. D’où l’idée de mutualiser l’effort à ce sujet.

Hélas un capital c’est fragile, on peut se le faire voler où il peut perdre sa valeur brusquement. C’est ce qui est notamment arrivé, plusieurs fois, à ceux qui s’étaient regroupés ou avait fait confiance à une tierce compagnie pour créer un capital en vue de la perception d’une rente à la fin de leur vie de travail.

Alors les hommes de l’Etat, jamais à court d’idée pour prétendre être capables de faire ce que personne ne sait faire, ont inventé la « retraite par répartition ».

Il s’agit d’une escroquerie banale, type pyramide de Ponzi, qui consiste à faire payer les entrants au profit des sortants. Elle a été mise en œuvre par le régime de Vichy.

A sa base la ficelle était juteuse. L’espérance de vie courte, la retraite fixée à 65 ans, les marges entre les cotisations entrantes et les rentes réparties étaient somptueuses.

Plus de cinquante « bidules », privés, créés entre copains ont vu le jour et brassé pendant des années des sommes mirobolantes, les copains se servant au passage.

Mais, dès les années 1970, la durée de vie, le chômage, et la baisse globale de la puissance économique de la France ont mis à mal la combine.

Certaines caisses aux affiliés riches se sont contentées d’augmenter les cotisations, donc rien de visible tant que les affiliés ne cassent pas tout. Pour les autres ont est allé voir les copains aux commandes des pouvoirs publics.

Et, la bureaucratie des hommes de l’Etat s’est substituée, plus ou moins vite, aux acteurs initiaux défaillants. Doucement, ces escrocs se sont fait la malle. La combine a été étatisée, mais elle reste toujours une escroquerie. La différence est que, garanties par l’Etat les recettes ne sont plus des cotisations mais un impôt.

Et cela change tout :

D’abord, votre cotisation devient une acte de solidarité, un impôt social, elle n’est plus attachée à un contrat. Votre contrat initial a été rompu par votre prestataire, mais pour autant vous n’avez pas retrouvé votre liberté, vous êtes solidairement responsable de son escroquerie.

Ensuite, devenant le contribuable de votre retraite et non plus le client initial que vous étiez d’une caisse privée, vous subissez de plein fouet la violence fiscale liée à votre nouvelle situation.

L’audience d’appel du 17/11/2022 a été suivie en délibéré d’un arrêt du 14/12/2022. Dans cet arrêt, La Cour fait l’apologie de la violence fiscale.

A l’audience, quand même troublé en découvrant une retraite ridicule après 40 ans de cotisations et des demandes de taxes de retraite — le terme de cotisations n’étant plus adapté – plus importantes annuellement que la retraite versée, le magistrat s’était retranché derrière l’idée qu’il n’avait pas à en juger, puisque ce n’était pas de cela qu’il était saisi mais d’une simple contestation de « cotisation ».

Mais il n’a pas résisté à la pulsion de faire état de la légitimité de la violence fiscale :

En lisant cet extrait de l’arrêt, on ne perçoit aucun rapport avec la réalité de la situation.

Que la société privée initiale soit devenue une administration de l’Etat, pourquoi pas ? Mais que mon contrat initial, sans mon avis, me soit imposé dans de nouvelles conditions aboutissant à me faire payer un impôt, Non, ce n’est pas possible.

Que le résultat soit que le contenu de mon contrat initial le transforme en obligation illimitée pour moi et en aucune obligation pour l’autre contractant est une escroquerie.

Qu’en plus, on me raconte des conneries habillées du titre de « solidarité » alors que je n’ai rien et que l’on me vole pour donner à d’autres qui ont plus que moi, c’est fort de café.

Qu’enfin la violence fiscale, telle que décrite par le magistrat : payez et fermez votre gueule, ce qui est fait de votre argent étant de la solidarité ne vous regarde pas… me soit appliquée dans le cadre de mon contrat vieillesse, que je n’ai jamais demandé, dont l’assureur privé m’a été imposé en son temps, c’est gonflé.

Nous allons voir ce que dit la Cour de cassation et, sans doute plus tard, La Cour Européenne.

Bien à vous. H. Dumas

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L’apologie de la violence fiscale

Enfin je comprends tout. J’ai juste mis vingt ans. On ne peut pas dire que je sois un génie, peut-être un besogneux, un tenace…

Depuis les années 1970, les hommes de l’Etat, la presse et les fonctionnaires – pas tous, seuls les affidés –, font l’apologie de la violence fiscale. L’objectif étant de capter la plus grande quantité possible des richesses créées par les acteurs économiques, par les autres.

Cette apologie s’est adossée à l’idée maitresse d’une redistribution plus juste de la richesse, allant jusqu’à l’égalitarisme.

Tout cela est machiavélique, si finement joué que l’effet grotte de Platon a été total. Je fais partie des victimes, j’ai adhéré au concept, jusqu’au jour où j’ai été touché dans ma chair par la violence fiscale, il y a vingt ans. Depuis j’essaie de comprendre l’incompréhensible.

Pour comprendre le concept observons la guerre en Ukraine.

Poutine fait, depuis des années, l’apologie du droit à la grandeur et à l’espace du peuple russe, au développement d’une armée de conquête. Ceci allant jusqu’à l’annexion de voisins, déclarée légitime. Inévitablement, à terme, il devait rencontrer une résistance intellectuelle, à laquelle il a répondu par la force, par la guerre. On en voit aujourd’hui les résultats.

L’apologie de la violence fiscale

Même méthode, mêmes effets, mêmes résultats.

Au départ l’impôt est une contribution volontaire et proportionnelle répondant aux besoins des dépenses collectives. Ce sont les termes notre constitution.

Des besoins en dépenses collectives nous sommes passés à l’idée de répartition du capital économique plus juste que la répartition naturelle des jeux de l’économie — on notera que cette idée est millénaire et n’a jamais abouti autrement que par la faillite, puis la guerre ou l’inverse –.

Les organisateurs de ce concept ont alors engagé une apologie de la violence fiscale, justifiée par le but égalitariste proposé.

Cette apologie de la violence fiscale a été reprise par tous ceux qui pensaient en profiter ou qui cherchaient à se placer dans ce système.

Une fois installée, cette violence a offert l’opportunité de prélèvements illimités à ceux qui levaient l’impôt, toute résistance étant brisée par la violence.

Nous n’allons pas refaire dans ce billet le descriptif des zones de non-droit dans lesquelles évolue notre droit fiscal, nous les connaissons et sommes capables de les lister sans problème. Pareillement pour les drames liés à la violence fiscale.

Ce que nous pouvons dire c’est que, in fine, la catastrophe générée par cette stratégie touche — à l’exception de quelques apparatchiks privilégiés – tous les Français qui se voient amputés de plus de 80% des revenus de leur travail, alors qu’en face les mirobolantes promesses égalitaristes ne sont pas du tout au rendez-vous.

La majeure partie des fonds levés grâce à la violence fiscale – l’impôt — est engloutie pour l’achat de voix électorales.

L’exemple le plus actuel de ce drame est largement éclairé par l’interrogatoire de M. Henri Proglio devant la commission de l’Assemblée nationale. Arrêtons-nous un instant sur ce morceau d’anthologie :

M. Proglio a été le DG de Véolia, puis celui de l’EDF. En fait, à cheval sur le public et le privé, il s’avère être un grand spécialiste de la connivence, de l’interférence entre l’économie et la politique. Il est donc parfaitement crédible lorsqu’il évoque devant la Commission de l’Assemblée nationale ces interférences et les dénonce. Lorsqu’il affirme que c’est pour des raisons strictement politiques — visant plus particulièrement les alliances avec les verts nécessaires à la survie de la Chancelière Angela Merkel — que le nucléaire d’EDF a été sacrifié, qu’aujourd’hui nous payons l’électricité, compris les coupures à venir, la peau du cul. L’économie et la technique n’ayant aucune place dans cette catastrophe.

La moralité des politiques ne répond pas aux règles de l’économie qui sont la capitalisation, la vérité, le résultat, la qualité, le respect de la concurrence et des consommateurs. On peut même affirmer que les qualités demandées à un politique sont l’exact inverse, puisqu’il est nécessaire qu’il ne soit pas riche en capital, qu’il mente pour plaire, qu’il écrase la concurrence par tous les moyens possibles y compris les plus bas, qu’il n’accorde aucun crédit aux électeurs autres que les siens.

Revenons à nos moutons

L’apologie de la violence fiscale légitime cette violence.

Or, de façon formelle on sait aujourd’hui — et Bruno Le Maire l’affirme — la captation des biens d’autrui est un acte de guerre, de violence absolue.

Donc, la violence fiscale ne peut qu’aboutir à la violence, à la guerre.

C’est ce que, parfaitement conscients de la situation, les hommes de l’Etat veulent dissimuler, c’est pour cela qu’ils s’acharnent sur ce blog. Ils ont certainement perçu, qu’un jour ou l’autre, nous comprendrions la vérité.

C’est fait… nous affirmons que l’apologie de la violence fiscal est meurtrière.

Nous allons débusquer cette apologie de la violence fiscale.

Bien à vous. H. Dumas

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Audience du 15/12/2022 – Le Ministre tricheur

Ceux qui suivent ce blog savent que j’ai été assigné en référé, d’heure à heure, par Le Ministre Bruno Le Maire. C’est-à-dire que j’ai reçu, hier à 11h, une convocation pour être présent à l’audience civile du Tribunal Judiciaire de Montpellier, ce jour à 14H. Etonnamment, le ministre n’était pas là… dommage…

L’objet pour le Ministre était d’obtenir la suppression sur le blog du billet alors intitulé : « Le brocanteur de Bullecourt était-il en état de légitime-défense ? ». Hier soir j’ai changé le titre pour : « Pourquoi le brocanteur de Bullecourt a-t-il lié à son suicide un agent des Services Fiscaux ? » plus précis et évitant la confusion “légitime-défense-meurtre” qui n’a pas de sens. La légitime-défense n’implique pas le meurtre puisqu’elle doit être proportionnée.

Le motif avancé par le Ministre — lui-même — prétend que mon billet serait une apologie au meurtre. Nous reviendrons sur le délire paranoïaque de cette idée, il suffit de lire le billet pour en prendre conscience.

La tricherie

Pour me poursuivre, Le Ministre vise la loi sur la presse de 1881 d’une part, c’est-à-dire les limites de la liberté d’expression, et la loi pénale d’autre part pour le délit prétendu d’apologie de meurtre. Les poursuites sont engagées à ce sujet et la justice, après m’avoir incarcéré une journée, m’a convoqué le 01/02/2023 devant la 17ème Chambre Correctionnelle du TJ de Paris.

Tout cela est de bonne guerre.

En revanche, la saisine en référé d’heure à heure du civil pour obtenir un acte de contrainte en supprimant le billet du blog, ceci avant tout jugement sur le fond, est une tricherie.

Tout d’abord, se faisant le Ministre m’interdit de me défendre personnellement, puisqu’au civil l’avocat est obligatoire. Or trouver un avocat en 24H est impossible. Trouver un avocat pour plaider contre Le Ministre des Finances est très difficile, tant les représailles sont craintes. Evidemment je n’ai pas pu être représenté et la Présidente de l’audience m’a refusé toute parole. Donc, défense absente.

Mais en plus, un procureur de la République s’est déplacé à l’audience – il n’y en a pas au civil — et a plaidé contre moi en appui de la plaidoirie de l’avocat du ministre, plaidoirie qui a largement débordé le sujet et l’audience pour se lancer, comme d’habitude, dans un délire de haine et de médisance sur moi et sur notre blog. Soudain, nous étions au pénal… sauf que… je ne pouvais pas répondre.

Tout ce cirque pour obtenir d’une magistrate, non spécialiste des problèmes de presse et de liberté d’expression, une décision punitive qui ne sera basée sur rien puisque le fond de l’affaire se jouera à Paris, devant la 17ème, le 01/02/2023.

Je ne sais pas si le poids du ministre va lui permettre d’aboutir avec cette tricherie. Le délibéré est pour le 20/12/2022. Anciennement, le pénal tenait le civil en l’état… Aujourd’hui est-il raisonnable de prendre un jugement de condamnation civile pour des prétendus faits pénaux et de presse, qui ont de grande chance de ne pas être ainsi qualifiés au pénal dans deux mois ???

Tout cela est mesquin et malsain quand on le met en perspective avec ce qui est arrivé et les problèmes sous-jacents liés, passés et à venir .

Sur le fond

Pendant que j’écoutais l’avocat du ministre me décrire tel que je ne suis pas, décrire notre lutte contre la violence fiscale, la terreur fiscale, comme une farce farfelue et irresponsable, puis lire le billet concerné en essayant de le faire cadrer avec une apologie de meurtre — mission impossible –, je voyais que ces arguments de folie pouvaient peut-être convaincre la magistrate. Le Procureur lui les faisait siens – mais il est payé pour ça — …

Et je me disais : « Bon sang, mais c’est bien sûr : c’est celui qui dit qui y est »

Depuis des dizaines d’années, les hommes de l’Etat font l’apologie de la violence fiscale.

Aujourd’hui, ils ont gagné. Les héros sont les agents du fisc, les boucs-émissaires désignés son appelés « les fraudeurs fiscaux » et la foule convaincu ne demande qu’à les lyncher.

Presse officielle, élus et ceux qui pensent y avoir un intérêt, participent activement à l’apologie de la violence fiscale.

On nous la déverse à longueur de journée, personne n’envisage de sanctionner cette apologie de la violence fiscale, au contraire tous rêvent de la voir plus intense.

Savent-ils la puissance de cette violence fiscale, si loin de l’impôt juste et consenti de la déclaration des droits de l’homme ? Savent-ils les drames qu’elle provoque chaque jour chez des centaines de milliers de personnes ? En comprennent-ils les dégâts globaux sur notre économie et notre société ? NON.

Il faut savoir que…

Cette malhonnêteté intellectuelle a un but bassement matériel. Il s’agit de piquer les biens de ceux qui en ont, pour se les partager entre ceux qui ne font rien pour en avoir.

Or c’est clair, c’est Bruno Le Maire qui l’affirme, prendre les biens du voisin est un acte de guerre.

Outre la violence que cela représente, c’est complètement con. En effet le capital ainsi émietté disparait. Le capital, comme nous le rabâchons sans succès, est le moteur de la vie. Rien n’existe sans accumuler et transmettre, y compris en économie.

Or tout le monde n’est pas capable de produire ou de conserver du capital économique et ce n’est pas par la connivence que cela est possible, ce n’est possible que dans le cadre de la concurrence et de la compétence.

Conclusion

En faisant l’apologie de la violence fiscale, les hommes de l’Etat, aujourd’hui contre moi Bruno Le Maire, croient faire une bonne affaire politique, mais ce n’est que sottise.

Ils ont déresponsabilisé l’économie, trahi ses règles, ils seront très bientôt dans le mur, c’est peut-être ce qui les rend si violents à mon encontre.

Bien à vous. H. Dumas

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Bruno Le Maire met la pression sur la justice, c’est « poutinesque ».

Je mets à votre disposition ce LIEN pour lire – mais cela va être un peu long — l’assignation d’heure à heure qui m’a été délivrée, ce matin à 11h pour une comparution demain à 14h, accompagnée de pièces multiples, l’ensemble pour plus de cent pages.

Je n’ai pas le temps matériel d’établir ma défense, mais qu’importe, le jugement est évidemment déjà prêt depuis la demande d’autorisation d’assigner déposée par M. Le Maire. Rien ne dit qu’il me sera défavorable, on verra… mais je ne me défendrai pas autrement qu’avec mes derniers billets, je n’en ai pas le temps.

Les faits sont les mêmes que ceux pour lesquels, à la demande de M. Le Directeur National des Services Fiscaux, Mme La Procureur adjointe du Tribunal judiciaire de Paris m’a fait mettre en prison 24h et convoqué devant le TJ de Paris le 01/02/2022.

Il s’agit du crime de Bullecourt, et pour M. Le Maire de dramatiser la situation pour assurer une volonté d’impunité totale et de pouvoir absolu aux agents du fisc.

La police des polices en matière fiscale ce n’est pas pour demain. Alors même que M. Le Maire est le signataire des propos évoquant la dépossession de propriété comme une arme de guerre fatale.

Quel est le problème ?

M. Le Maire prétend que j’appelle au meurtre des agents fiscaux.

Je suis stupéfait, je l’ai déjà dit, par cette affirmation paranoïaque. A aucun moment je ne justifie le meurtre de l’agent Montuelle.

Je dis simplement que si l’on veut vivre en bonne intelligence dans un pays, il ne faut pas que certains puissent détenir impunément un pouvoir d’atteinte à l’intégrité des biens d’une personne à l’aide de moyens occultes et coercitifs, sans aucun contrôle.

Il fut un temps où la police avait ces pouvoirs et prétendait qu’elle ne pouvait pas exercer sa mission sans eux, ce n’est plus le cas – sauf exception sanctionnable –, depuis elle exerce toujours sa mission et y a gagné l’estime de la population.

Je paie le prix fort depuis vingt ans pour prouver ce que je dis. J’accumule en effet les condamnations qui le prouvent.

Discussion

A Bullecourt il y a eu deux morts, qui ne sont pas un homme et un chien. Ce sont deux hommes qui sont morts, c’est inacceptable.

Cela ne peut pas être résumé sous la forme de l’acte isolé d’un fou.

Les faits sont clairs. Il y avait trois personnes sur place, M. Montuelle et Mme Poulain agents fiscaux, M. Théron — que M. Le Maire appelle « un contribuable » — en phase de redressement fiscal.

Nous n’avons aucune information sur le déroulement des évènements, sur la situation conflictuelle qui a déchainé le carnage. En aurons-nous ?

Il n’est pas raisonnable de dire que M. Montuelle a été assassiné de sang froid ou crapuleusement, il a été objectivement associé au suicide de M. Théron par ce dernier.

Les cas de suicidés qui entrainent dans leur mort d’autres personnes ne sont pas rares. Ils sont d’une grande injustice, ils sont inacceptables, mais ils ne constituent pas des crimes crapuleux et, lorsqu’ils arrivent aussi bien la justice que les moyens d’information et l’opinion publique cherchent à comprendre la douleur et les faits ayant entrainé ce type de situation.

Donc les choses ne sont pas aussi simples que les présente M. Le Maire, le pays n’a aucun intérêt à les simplifier ainsi si l’on ne veut pas que se reproduisent des tensions pouvant déclencher une telle catastrophe.

Conclusions

Non seulement le billet incriminé ne correspond pas aux exigences nécessaires à une assignation d’heure à heure prévue pour : « Prévenir un dommage imminent, soit pour faire cesser un trouble manifeste », puisqu’il ouvre une discussion qui ne peut pas être simplement évacuée pour cause de crise budgétaire.

Mais l’interprétation du billet par M. Le Maire est erronée, probablement volontairement, ce qui est grave et contraire à l’intérêt des français.

Je vous tiens au courant demain.

Bien à vous. H. Dumas

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CONVOCATION, sans commentaire.

Par souci de transparence, par respect pout tous ceux qui lisent ce blog, je vous confie ce lien qui permet en cliquant ici d’accéder à la convocation dont je suis l’objet.

Vous le savez, sur ce blog il n’y a pas de censure, c’est un blog communautaire ouvert à tous ceux qui veulent s’exprimer, chacun prend les responsabilités de ce qu’il écrit.

Il est possible que la justice ne l’entende pas de cette oreille, aussi je vous remercie de ne pas commenter cette convocation.

Bien à vous. H. Dumas

 

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Plainte pour garde à vue abusive

Bonjour

En cliquant ici, vous pourrez prendre connaissance de la plainte que je dépose ce jour auprès de M. Le Procureur  de La République de Montpellier.

Bien à vous. H. Dumas

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Je sors de garde à vue

Il est 17h45, je suis en garde à vue depuis 9h10, je suis en état de sidération.

Le Directeur National des Services Fiscaux a saisi M. Le Procureur du TJ de Paris, après avoir lu sur notre blog le billet « Le brocanteur de Bullecourt était-il en état de légitime défense ? », il y a vu une apologie au meurtre.

Une adjointe au procureur du TJ de Paris a demandé au commissariat de Sète ma mise en garde à vue.

Voici ce qu’est le délit d’apologie de meurtre : « le fait de porter des propos haineux particulièrement violents afin d’appeler à la commission d’attentats et au meurtre de personnes nommément désignées constitue le délit d’apologie de crime »

En aucun cas je n’ai eu une telle attitude, ou alors mon emploi du français est défaillant. Il faut que je me renseigne auprès des rappeurs…

Je me suis simplement posé la question de la réalité de cette triste affaire, inacceptable mais réelle. Je demandais déjà, et plus précisément encore hier par un dépôt de plainte à M. Le Procureur d’Arras, que l’enquête à venir ne soit pas faite unilatéralement, qu’elle implique tous les faits, y compris ceux qui pourraient engager la responsabilité des Services Fiscaux.

Je veux bien que les hommes de l’Etat répandent la légende de Services Fiscaux au service de tous, se sacrifiant à la tâche et débusquant les horribles « fraudeurs fiscaux », mais ce n’est pas la réalité que je vis et que vivent les lecteurs de ce blog — à l’exclusion de M. Le Directeur National des Services fiscaux, lecteur assidu –.

Dans un drame d’une telle violence il ne me parait pas inconvenant de chercher et dire la vérité.

Quand même, ces hommes de l’Etat nous ont ruiné, c’est un fait. Leur déficit n’est pas le nôtre. Sommes-nous au point où ils sont prêts à couper les têtes de ceux qui leur font des remarques ? Oseront-iIs longtemps prétendre que les Services Fiscaux et les Tribunaux qui les couvrent sont « pur sucre », que leurs décisions ne sont pas souvent mortelles sans raison ?

Est-on arrivé au point où la liberté d’expression doit être sacrifiée sur l’hôtel de la rentrée fiscale de force, sans discussion ?

Depuis plus de dix ans que ce blog existe — pas grâce à Bercy –, il a crument dévoilé des vérités dérangeantes, mais jamais je n’ai appelé à la violence, ni au refus de payer l’impôt. Je suis connement un légaliste, je fais encore confiance à la Justice de mon pays.

Et me voilà en garde à vue. Sacrée expérience.

Je ne vous la souhaite pas. Une cellule de quelques M², un tour de verrou, téléphone et petits objets confisqués, soudain vous n’êtes plus rien, un rat, un cafard.

Vous êtes à la merci de ceux qui vont tenter de vous faire dire que vous bouffez du contrôleur fiscal tous les matins, que vous êtes un tueur, un asocial, une merde.

Ils ont la menace facile, pendant que, vous, vous êtes déstabilisé. Vous faire avouer voilà leur créneau, oui mais quoi ?

Alors une liste de 55 questions est prévue pour faire le tour de votre personnalité, de votre dangerosité, de votre culpabilité. Que répondre ? Rien.

Qu’y-a-t-il à répondre face a tant de démagogie, de calcul politique, de forces occultes, de haine, de violence, d’envie de détruire l’empêcheur de piller en toute tranquillité ? Rien

Je n’ai donc rien répondu. J’ai réfléchi.

J’étais au fond du trou, avec ceux qui fréquentent la violence des faibles, souvent simplement réactive, qui sont chargés de la réduire. Mais qui s’occupe de la violence des forts ?

Car la violence est de tous les mondes, nos cravateux premiers de la classe sont d’une violence inouïe. Ils font la guerre, eux. Qui les modère, quelle justice ? Ceux et celles qui veulent simplement prendre leur place, utiliser la violence à leur compte..

Il faut qu’ils sachent qu’en bas, dans la soute, les mécanos ne sont pas dupes, j’ai croisé des personnes bien, très bien, dans cette journée horribilis.

Je vais être convoqué devant le TJ de Paris, le bourreau fera sa besogne, je serai condamné. Le Directeur des Services Fiscaux le souhaite, ses syndicats encore plus, qu’importe à tout ce monde la vérité sur le terrible drame de Bullecourt. Il n’y a rien à voir.

Bien à vous. H. Dumas

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Suicide du contribuable THERON

Les choses ne peuvent pas en rester là.

Certes Sandy Théron est un meurtrier, mais c’est aussi un suicidé.

Le Code Pénal, en son article 223-13, dit ceci : “Le fait de provoquer au suicide d’autrui est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende lorsque la provocation a été suivie du suicide ou d’une tentative de suicide.”

L’Article 223-15-1 ajoute les personnes morales, donc Bercy.

Nous savons aujourd’hui beaucoup de choses, j’ai souvent eu l’occasion d’avoir au téléphone des personnes au bord du suicide du fait de pressions injustifiées et inconsidérées de Bercy, de ses agents.

La seule question que je me pose est : Comment cela n’arrive-t-il pas plus souvent ?

J’ai donc déposé une plainte dans l’espoir d’y voir plus clair, de cerner les responsabilités de cette affaire catastrophique de Bullecourt.

Le lien pour en prendre connaissance : ICI

Créée il y a plusieurs années l’association d’Aide aux Victimes Fiscales, l’AVF, n’avait jamais été mise en action. J’avais peur qu’elle soit prise pour un nième faux-juriste, faux-défenseur des désespérés fiscaux pour qui la justice administrative fiscale ne peut rien puisqu’elle est la directe complice du pillage fiscal et de la terreur qui le sous-tend.

Aujourd’hui nous sommes au cœur du problème, si vous le voulez cette association peut prendre à bras le corps le problème de l’injustice fiscale et de ses complices qui ruinent la France et tuent ses forces vives.

Nous allons lancer un appel à la participation de tous, présente ou financière, il nous faut sortir du néant, du gouffre où nous avons été jetés. Lutter pour exister tout simplement, nous et ce pays que nous faisons vivre par notre travail et le capital que nous produisons.

Bien à vous. H. Dumas

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La corrida

La corrida c’est la corrida. C’est une ambiance qui a donné son nom à toutes les ambiances qui précèdent le désordre total.

En effet, le désordre est vite présent lors d’une corrida si un seul manquement se glisse dans son ordonnancement.

Je ne suis pas un aficionado, je goûte moyennement ce spectacle, je trouve le taureau rapidement liquidé et l’homme tricheur. Mais, n’est-ce pas son signe distinctif dans le monde animal dont il est partie intégrante ?

La dramaturgie est organisée autour d’un animal puissant, courageux, mais à l’intelligence limitée, que l’on met face à un homme frêle mais intelligent, courageux aussi.

Pourquoi pas ?

Mais l’homme triche. D’abord le taureau est maltraité dans le toril, dont il sort artificiellement en colère, ce qui exclut une paix négociée avec le matador.

Puis le taureau est affaibli lourdement par le picador.

Lorsqu’il arrive devant le matador il n’est plus lui-même. Cela me dérange. Mais peut-être que s’il était lui-même il embrocherait l’homme à chaque coup…

Ceci étant je ne goûte pas ce spectacle, mais il ne me viendrait pas à l’idée de l’interdire.

Chaque fois que l’intelligence est chargée de régler son compte à la force brute doublée de la connerie, je pense que l’humanité y trouve son compte.

Enfant alors que mes parents s’étaient arrêtés au bord d’un ruisseau de prairie en Aubrac pour pêcher le goujon au porte bois, nous avons vu arriver, pédalant comme un fou et rouge d’asphyxie, un curé en soutane sur son vélo, poursuivi par un taureau.

Nous avons eu la sensation d’être des Dieux dans le regard du curé lorsqu’il nous a vu dans cet endroit, peu fréquenté en 1955.

Pas malin le taureau, nous avons dû nous enfermer dans la voiture le temps qu’il réfléchisse à un autre passe-temps, ça a été long.

J’ai ouïe dire que lors d’une émission, hautement philosophique, en direct à la télévision, la représentante des abolitionnistes de la corrida a refusé le débat avec les aficionados. L’un d’eux est alors parti. Il a eu tort.

Il aurait suffit qu’il explique la dramaturgie de la corrida, puis qu’il regrette que l’abolitionniste se comporte comme le taureau, courageusement mais bêtement.

En effet le conflit entre la force et l’intelligence est si courant qu’il serait regrettable d’interdire la corrida et sa symbolique, qui rappelle l’équilibre nécessaire entre les deux, la seconde devant impérativement maîtriser la première, sans quoi c’est le carnage.

Il n’est qu’à voir celui qui est organisé par la force de Bercy que personne n’a l’intelligence de maîtriser.

Bien à vous. H. Dumas

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Demain sera pire qu’hier

Les choses se précisent. Le brocanteur de Bullcourt était dans le viseur du fisc, nous dit la presse informée.

En fait, ce « brocanteur » était un homme des vide-greniers, pas un antiquaire fabiusien du VIIIème arrondissement. Plus près d’Emmaüs, association loi de 1901 très peu imposée, que des opulents antiquaires du Louvre.

Que pouvait-il gagner ? Qu’y a-t-il à gagner dans les greniers en dehors des rêves et de la poussière ? Les crottes de hiboux ?

Il ne faisait pas sa comptabilité. Combien de chineurs font leur comptabilité ?

Quelle différence entre celui qui fait la manche et celui qui vide les greniers. Le premier ne fout rien, le second travaille durement. A certains endroits, le premier gagne plus que le second. Les deux ne n’ont pas de plan comptable.

Et le fisc s’acharne sur ce pauvre type.

Ici, sur ce blog, nous connaissons la terreur fiscale, la torture fiscale, le sadisme fiscal, l’acharnement fiscal…

Quelle misère, quelle tristesse la mort de ces deux hommes et la vie à venir de la survivante.

Mais quelle insulte à l’humanité la « commedia dell’arte » qui agite les politiques et leurs affidés. Dévoyer de la sorte un affrontement social, ses dramatiques conséquences qui ne doivent rien au hasard, qui doivent tout aux dérives de nos hommes de l’Etat, c’est grave, très grave.

Philippe Bas, sénateur LR enfonce le clou.

Il est interviewé dans Le Point

Il assimile les cowboys du fisc, les vicieux de la terreur fiscale, aux élus…

Bien plus, il nous accuse, nous les Français de penser plus à nous qu’à lui. Il est stupéfait que nous n’adhérions pas à ses délires collectivistes, à ses agressions perpétuelles qui n’ont pour but que de nous soumettre, il nous dénie le droit insignifiant de rouspéter.

Ne voit-il pas qu’il nous pousse à bout…

Il ne parait pas en état d’accepter la moindre responsabilité dans le drame de Bullcourt, il est donc dans l’incapacité de l’empêcher de se reproduire.

Conclusion

Le fisc est déjà armé, demain ils se déplaceront accompagnés du GIGN.

Ils ne viennent déjà plus pour comprendre une comptabilité ce qui est leur vraie fonction, ils ne viendront que pour liquider celui qu’ils auront préalablement désigné comme « fraudeur fiscal ».

Puis, plus ou moins rapidement, ils perdront, le pays s’effondrera.

Ils seront alors jugés publiquement, leur médailles et compliments de pacotille ne leur seront d’aucune utilité, ce ne sera pas la première fois que des crapules auront à expier leurs crimes. Même harcelé, je me préfère à ma place qu’à la leur.

En attendant faisons, comme il se doit, le dos rond…

Bien à vous. H. Dumas

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Transparence et opacité, pouvoir et soumission

La puissance mondiale de l’Église catholique, apostolique et romaine, n’a qu’une base pratique c’est : la confession. C’est la couche de base sur laquelle peut s’accrocher la propagande, puis la croyance. C’est la couche d’après, celle que l’on passe avant.

J’ignore si cette pratique existe toujours, dans mon enfance c’était une obligation.

Ainsi nous étions censés, une fois par semaine, nous agenouiller et raconter les détails de notre pensée à une personne qui se planquait derrière une cloison ajourée dans un confessionnal. Nous devions avouer nos premiers émois, nos faiblesses, nos angoisses, en échange nous n’avions rien que des reproches et, soi-disant, une grande miséricorde payée en obligation de prières de soumission.

Nous savons aujourd’hui une infime partie des abus de pouvoir que cette situation a générés, exclusivement en ce qui concerne les abus sexuels, tous les autres abus perdurent, sont ignorés.

En clair, le pouvoir suppose la transparence du soumis et l’opacité de celui qui l’exerce.

C’est une constante, ce sont les preuves caractéristiques du pouvoir et de la soumission, que l’homme de bien se doit de combattre, de réfuter, même au prix de sa vie. Ce combat est la base des « lumières » que la France a portées, mais pas qu’elle. Que la France a oubliées, mais pas qu’elle…

Détail amusant, Freud n’a rien inventé d’autre que la continuation laïque de la confession, accompagnée d’un confort certain puisque le soumis n’est plus à genoux dans un étroit espace, mais allongé sur un sofa et qu’il ne doit des comptes qu’à lui-même.

Oui, mais…

Ce qui est moins amusant c’est que les nouveaux hommes de l’Etat ont instauré un régime confessionnal total, qui induit notre soumission totale et leur permet d’exercer sur nous un pouvoir total. Là, c’est grave. Nos libertés, notre santé, notre vie sont en jeu.

Dans un premier temps l’humanité, au moins occidentale, a pensé se libérer de la confession intellectuelle et morale en cultivant la liberté d’expression, qui effectivement a permis l’instauration d’une égalité de penser par laquelle les abus de pouvoir moraux ont été en partie neutralisés.

La conséquence a été la terreur des « constipés » affolés de découvrir que leurs pires pensées sont partagées et même mises en œuvre, que les pousser sous le tapis n’est pas la solution, mais aussi que, probablement, les mettre en vitrine non plus… Laissons cela suivre son cours.

Revenons à l’essentiel, à notre esclavagisme, au pouvoir qui nous opprime, à la nouvelle religion qui nous tue : l’égalitarisme.

Son outil « confessionnal » est la fiscalité.

Bercy est le nom de l’outil qui nous déshabille, exige et obtient notre transparence, tout en organisant l’opacité des hommes de l’Etat, du pouvoir.

La transparence exigée n’est plus morale, elle est matérielle, c’est encore plus terrible car ici la soumission est absolue. La liberté ne peut se trouver que dans la misère, ce qui n’est pas la meilleure condition pour l’exercer.

Bercy a créé un maillage, à travers sa propre puissance d’investigation, les banques, les avocats, les notaires, les médecins, tous ceux à qui nous sommes obligés de faire confiance, de dévoiler, qui lui rapporte nos moindres faits et gestes matériels.

Dans le même temps Bercy couvre et dissimule, avec l’aide de la force publique et de la justice, toutes les informations de ceux qui sont vraiment au pouvoir. Bercy dénonce comme comploteurs tous ceux qui entrevoient derrière l’opacité créée sans jamais pouvoir rapporter les preuves, si bien dissimulées.

Nous sommes mis en esclavage, notre soumission est totale, notre confession matérielle n’a aucune limite.

Or, la vie ne peut s’épanouir qu’accompagnée d’une dose de discrétion, de secret, qui lui est indispensable. C’était la base des secrets professionnels, bancaires, médicaux et autres.

Aujourd’hui ils n’existent plus, la vie nous quitte, la mort nous guette.

L’idée que le secret est le berceau de la délinquance est idiote, se retournerait contre ceux qui le pratiquent : nos hommes de l’Etat.

En fait ce n’est pas le secret qui est délictuel, c’est l’exigence de transparence de l’autre qui induit sa soumission. Il n’est pas de délinquance sans soumission de la victime.

Peut-on espérer que la population prenne conscience de cette situation ? Pas plus que pour la confession.

Les ressorts qui génèrent et autorisent ces situations ne sont pas les meilleurs de l’homme… ils sont issus des vices de la foule.

Ce n’est pas demain que Bercy sera rasé, nous devrons attendre ce jour le libération, hélas sans doute fort longtemps. Mais il existera…

Bien à vous. H. Dumas

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Où l’on retrouve l’escroc CIPAV

Bonjour,

J’ai besoin de votre indulgence pour la qualité de cette vidéo, liée à la vétusté de mon matériel que je ne peux pas changer pour l’instant.

Mais le sujet vaut la peine…

Bien à vous. H. Dumas

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Tout aurait pu, ou pourrait, être autrement.

Rien n’existe puisque tout aurait pu ne pas exister ou être autrement. En conséquence pour ceux qui ne sont pas là au moment où les choses se font, ils n’en connaissent que l’histoire, donc rien.

A New-York les tours jumelles ont existé, elles n’existent plus. Pour ceux qui sont nés après le 11 septembre 2001 les tours n’existent que dans l’histoire, à condition qu’ils s’y intéressent et que personne ne la trafique pour les en exclure.

Mon métier est désorientant à ce sujet. Tel projet qui a remporté tel concourt prend la place de tel autre qui l’a perdu, l’un existe l’autre non. Au départ, dans la tête de leurs concepteurs les deux existaient.

Ces possibles qui ne voient pas le jour sont diaboliques tant le présent n’est finalement que la résultante du hasard qui a privilégié ce que l’on voit, qui nous fait, sans vrai motif pour l’élimination de ce qui ne s’est pas fait, alors que paradoxalement ce qui ne voit pas le jour nous fait aussi, par son absence.

A mon âge, si comme moi on a côtoyé par obligation la chose publique toute sa vie, on est effaré par le culot décisionnel des hommes de l’Etat.

La liberté décisionnelle pour tous devrait s’imposer à celui qui réfléchit cinq minutes, quelle prétention invraisemblable que de prendre la responsabilité de dire pour les autres ce qui sera et ce qui ne sera pas.

Face à une situation qui vous implique, vous imaginez une solution et ses conséquences. Mais, c’est une autre solution qui est mise en œuvre, dont vous imaginez vite les conséquences si c’est un sujet que vous maîtrisez. Hélas vous ne pouvez qu’assister aux évènements que va nouer la décision prise. Il en est ainsi de votre vie dans les pays où les hommes de l’Etat la contraignent, décident pour vous.

Bien plus, personne n’est en mesure de retracer les raisons des résultats, que des imposteurs s’attribueront s’ils sont positifs, que les mêmes imputeront à un bouc émissaire s’ils sont négatifs.

Vous serez seul à connaître le degré de toxicité de ceux qui ont eu le culot de décider, vous serez aussi probablement le seul à comprendre le niveau de bassesse humaine qu’il fallait pour prendre la décision de décider pour les autres.

Et vous serez banni, tant la jouissance de décider touche tous ceux qui en profitent. Le chamboulement provoqué par leurs décisions dans la vie des autres ne les arrête pas plus que les dégâts liés aux appétits homosexuels et pédophiles des curés sur l’esprit de leurs victimes.

Ceux qui comprennent cela jeunes sont des génies, ceux qui le comprennent vieux meurent blessés, ceux qui ne le comprennent jamais sont l’écrasante majorité des cons qui nous entourent.

Aujourd’hui l’hôpital s’effondre, la France est un champ ridicule et inutile d’éoliennes que les écolos responsables tentent de masquer par la violence, les déficits qui éparpillent le capital nous mènent droit à la misère, les hommes de l’Etat ramassent les armes car ils craignent le pire, tout cela n’est pas une suite de hasards malheureux mais bien les conséquences des décisions prises par les hommes de l’Etat dans les buts exclusifs de jouir et se faire élire, depuis 1970. Pas un ne paiera… l’addition est pour nous, d’abord pour ceux qui comprennent depuis le début, puis pour tous incluant ceux qui n’ont rien compris….

Bien à vous. H. Dumas

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Valéry DELPRATO, l’humanoïde fiscale

Bref résumé de la situation.

Les Services Fiscaux ont inventé de toute pièce, à l’aide d’un faux certificat d’urbanisme grossier rapporté par le maire de la commune, un redressement lors de la succession de ma mère dont j’ai mis vingt ans à me débarrasser.

Bien plus, face à mon énergique contestation ils décidèrent de me tuer à l’aide de deux faux redressements (2M€) basés sur deux oppositions à contrôle fiscal inexistantes. Sur ces deux derniers points je n’ai pas encore pu obtenir réparation, mais je m’y emploie.

La Cour d’appel de Montpellier, qui m’a donné raison dans la succession de ma mère après renvoi par la Cour de cassation, trouve tout cela normal. Le faux, pense-t-elle sans doute, est une façon naturelle de s’exprimer pour les Services Fiscaux : « l’administration fiscale est dans son rôle lorsqu’elle procède au recouvrement de l’impôt et que la détermination du montant des droits de mutation effectivement dû procède, en l’occurrence, d’une simple divergence quant à l’évaluation des biens soumis à l’imposition, peu important que la procédure de redressement et les procédures judiciaires, qui l’ont suivie, durent depuis près de 19 ans maintenant » (extrait de l’arrêt)

Le faux produit par le fisc, sur lequel est bâti tout le redressement, n’est qu’une « simple divergence quant à l’évaluation des biens… »

Les conséquences

Dès le début les Services Fiscaux ont bloqué tous mes biens personnels et professionnels par des hypothèques. Ils ont pratiqué une moyenne d’un ATD par mois sur mes comptes en banque. Ils m’ont mis depuis vingt ans dans une situation de trésorerie indigente, ils ont paralysé ma vie économique, ma vie tout court.

Ils ont tenté et tentent encore de vendre mes biens aux enchères publiques. Que du bonheur. La seule question qui vaille est : comment suis-je encore en vie ?

Finalement, j’ai pu vendre quelques biens que j’avais réussi à libérer parce que le fisc avait oublié de faire la publicité obligatoire avant la vente forcée qu’il envisageait de ces biens. Le Tribunal de La Rochelle a annulé sa saisie, comme le prévoit la loi, j’ai donc vendu ces biens pour vivre.

On notera que la même situation au Tribunal de Montpellier, où le JEX me hait personnellement pour des motifs que j’ignore, n’a pas été jugée de la sorte pour le même manquement du fisc. Le magistrat a simplement reporté la vente forcée, tout en m’interdisant la vente amiable. Ici, une vraie complicité s’est installée entre le fisc et le juge COMBARET, que je vais dénoncer ce mois de novembre sous la forme d’une plainte en escroquerie au jugement.

Revenons à nos moutons

Sitôt ma trésorerie un tout petit peu renflouée, en priorité je paie mes retards sur les impôts dus et non contestables, je veux parler des taxes foncières, des taxes professionnelles, que seul le blocage indu de ma trésorerie engagé par le fisc m’a empêché de payer plus tôt.

Il tombe sous le sens que les majorations pour paiement tardif ne me sont pas applicables, puisque ce paiement tardif est uniquement dû aux harcèlements du fisc.

J’en demande le dégrèvement.

Et… je tombe sur les humanoïdes au service des Services Fiscaux. Car, il faut savoir que les employés du fisc ne sont pas payés pour réfléchir, mais pour encaisser « quoiqu’il en coûte »…

Ils ont été débarrassés de tout ce qui pourrait ressembler à de l’empathie, de la compréhension, de l’intelligence, ce sont des caisses enregistreuses à apparence humaine. Dans ce cadre toute attitude, y compris odieuse ou mensongère, leur est autorisée, conseillée, et une impunité totale leur est accordée au cas, rarissime, où un contribuable ferait remarquer ces manquements à l’humanité.

Le problème n’est donc pas la réalité de la dette pour l’humanoïde, mais la conformité de son expédition.

Je vous explique

Mettons, nous sommes dans la cour de l’école. Je vous dis : tu vois ce trait par terre ? Si tu le franchis tu as un gage, on joue à « touché-attrapé » et moi je peux le franchir une minute toutes les cinq minutes.

Cela vous parait raisonnable, vous donnez votre accord et vous commencez à jouer.

Mais aussitôt, je vous pousse de l’autre côté du trait et j’exige que vous soyez sanctionné d’un gage….

Vous arrêtez de jouer, non ?

Avec le fisc c’est le même jeu, sauf que l’on ne peut pas s’arrêter de jouer…

Bien à vous. H. Dumas

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Les croyants sont bouffis d’orgueil.

La raison est la misère de l’homme, qui n’est raisonnable que par hasard, par obligation, alors qu’il est croyant volontairement, indépendamment de son environnement.
Ses croyances lui appartiennent alors que la raison lui est imposée de l’extérieur.
Le croyant a l’orgueil du créateur alors que le raisonnable se plie aux contraintes du vivant qui le rendent humble.
Le conflit inévitable entre croyance et raison génère le désespoir, souvent dissimulé en passion.
Tout est là.
La difficulté tient au fait que la politique, démocratie ou autocratie, est le royaume des croyances, donc des mensonges, des affirmations non vérifiées et non vérifiables.
La politique se retourne toujours, « culbutairement », du mandat légitime vers le pouvoir absolu. Sa base est plombée par la jouissance, la facilité, du pouvoir. Tout finit en politique par une prise de pouvoir absolue, c’est si simple…
Exemple ordinaire
Les écolos ont séduit par le raisonnement, la manipulation, entrainant des conséquences qui paraissaient avantageuses pour ceux qui avaient les moyens du surcoût de l’écologie, qui étaient ravis de voir les peuples moins pécunieux au tapis.
Pour de multiples raisons, dont la principale est une redistribution aveugle du capital tombé de ce fait entre des mains dispendieuses qui ont entrainé sa disparition par dévalorisation de son moyen d’échange et de stabilité : la monnaie, la haine du capital a accompagné sa disparition, son remplacement par la fausse monnaie. Merci M. Piketty.
Très vite l’écologie a fait faillite, elle n’a dû sa survie qu’à la mise en scène d’une vérité invérifiable : le réchauffement climatique, enfer de cette nouvelle religion, outil de culpabilisation, de jugements et de procès aveugles en trahison. Dans le même temps, promesse d’un avenir heureux aux fidèles pratiquants.
Les politiques adhèrent à cette croyance qui leur facilite l’exercice du pouvoir en clouant le bec aux opposants. Mais la population est tentée par la raison qui lui fait part humblement des conséquences désastreuses sur sa vie de cette nouvelle religion.
Alors, déconsidérés, les croyants deviennent violents. Ils se dirigent vers la terreur qui précède le pouvoir absolu. Tels les communistes en leur temps, ils sont prêts à tout pour imposer leur croyance. Gros temps…
Il est amusant de décortiquer ce fonctionnement au jour le jour, dans son ordinaire.
Par exemple la voiture.
Aujourd’hui, l’industrie automobile a finalisé un produit complètement stupéfiant. La voiture a des propriétés dynamiques et intellectuelles qui sont impressionnantes. Mais aussi terriblement frustrantes tant elles demanderaient d’espace pour profiter de ces atouts, tant aussi elles sont accidentogènes du fait du fossé entre ces capacités et leur environnement dédié.
L’écologie en a fait sa bête noire, ce n’est qu’une passion de plus autour de la caisse à quatre roues. Mais pas la moindre. De pots catalytiques en contrôles techniques, de dos d’âne en stigmatisations générales, de limitations de vitesse en privations de permis de conduire, nous arrivons au 110 km/h sur les autoroutes et, parait-il, 68% des Français en faveur de la mesure.
Je suis un gros rouleur, 60 000 km par an. La plus grande partie sur autoroute.
Je suis en mesure de vous affirmer qu’il n’y a pas 68% des Français sur l’autoroute. Même pas la moitié de ce pourcentage.
Lorsque les Français vont sur l’autoroute, la plupart du temps les camions n’y sont pas, c’est le weekend, la circulation bouchonne, la vitesse est réduite.
Ceux qui pratiquent beaucoup savent que les camions roulent à 100 km/h, qu’ils sont majoritaires en volume présent et déplacé, que 110 km/h pour les automobiles prises dans ce trafic est une vitesse inadaptée.
Et pourtant, on retient l’opinion de ceux qui n’affrontent pas le problème, elle sera imposée à ceux qui l’affrontent, qui devront se démerder avec les contraintes que cela va leur imposer.
C’est ça la croyance écologique, un truc aussi con et pervers que toutes les autres croyances. Mais qui se prétend scientifique, et qui est de ce fait la plus prétentieuse des croyances qui nous ont empoisonné la vie jusqu’à ce jour.
Et oui : les écolos sont bouffis d’orgueil.
Bien à vous. H. Dumas

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Sylvie BERBACH : la Tartarin de Tarascon de la magistrature.

A l’occasion de sa nomination à la présidence du tribunal de La Rochelle voici ce que déclare cette jeune magistrate de 45 ans : « La justice doit s’adapter à l’évolution de la société, même s’il reste du chemin à accomplir pour trouver l’équilibre entre le numérique et l’audience, et prendre le temps d’écouter les justiciables ».

Un courage certain cette déclaration. Un peu comme celles de Tartarin… parce que dans les faits…

Certes, Madame Sylvie Berbach est bien de sa personne, un sourire sympathique, du genre à pouvoir affronter tout type de réception officielle, à avaler en souriant tout type de vérines ou canapés sans s’en mettre plein les doigts ou renverser sa coupe de champagne sur le maire, le préfet, ou tout autre officiel et gratin invités.

Mais, pour son tribunal… je vous raconte.

Le 3 novembre 2022, je suis convoqué à l’audience correctionnelle du jeudi à La Rochelle. Trois affaires vont être évoquées.

Ma citation directe contre l’ancien Directeur ces Services Fiscaux de La Charente-Maritime, Monsieur Garnier.

Ma citation directe contre Messieurs Fountaine Président de la CDA de La Rochelle, M. Gervais son adjoint à l’urbanisme et M. Brillet directeur de l’EPFNA. Qui fait l’objet, de la part de ces messieurs, de deux plaintes pour diffamation publique.

Ces citations datent un peu, il a fallu avant qu’elles arrivent en audience passer par les consignations et les différents délais d’une justice malade de sa pauvreté financière donc organisationnelle, mais pas que…

Lors des audiences précédentes on m’a promis une heure et demie de temps de parole, pour pouvoir expliquer ce qu’a été ma vie, ce qu’est mon combat.

C’est très important puisqu’au pénal le justiciable fait l’objet d’une appréciation de personnalité et que mes adversaires ont l’habitude de plaider mon asociabilité qui serait un affront à leur perfection, à leur statut de fonctionnaires ou d’élus parfaits, irréprochables.

Alors que la vérité serait plutôt le contraire, ce sont des crapules corrompues et sans scrupule, et je suis pour ma part un Français moyen attaché à l’intégrité et à notre collectivité, j’ai payé le prix pour cela. Vous imaginez la joie que je me faisais d’enfin pouvoir m’expliquer, après plus de vingt ans de harcèlement fiscal et d’entraves à mon travail.

Oui, mais voilà…

D’abord l’audience a été divisée en deux. Une première partie de 13h30 à 16h où ont été appelées toutes les affaires, où l’audience était publique, où la presse était présente. Une deuxième partie à partir de 16h où j’étais seul… Plus personne, une espèce de huit clos…vous voyez le genre. Quelle idée bizarre…

La formation du tribunal, dont je ne connais ni les visages ni les noms, était en apesanteur. Le magistrat président d’audience visiblement incompétent en urbanisme, en fiscalité, et sans connaissance des dossiers dans lesquels il a passé l’audience à fouiller sans succès pour retrouver les documents dont il voulait parler…

En premier lieu, il m’a indiqué qu’il était hors de question qu’il me laisse du temps pour me présenter. Alors que mes adversaires ne se sont pas gênés pour évoquer ma possible instabilité et irresponsabilité sociale, et lui-même a insisté sur les dix condamnations apparaissant à mon casier judiciaires et visant mes démêlés avec des fonctionnaires. Ce que d’une part je conteste formellement et qui d’autre part se résumerait à des conflits routiers avec la maréchaussée et ses pièges radarisés. Ce qui n’est pas anormal pour quelqu’un qui fait 60 000 km par an depuis 60 ans… des conflits qui normalement n’apparaissent pas au casier judiciaire…

Affaire Garnier

C’est dans ces conditions que le Président de la formation a appelé l’affaire fiscale en premier. Là, la Procureur a bredouillé trois ou quatre mots inaudibles, puis le Président a déclaré que les faits étaient prescrits. Alors le Tribunal c’est immédiatement retiré pour délibérer, il est rapidement revenu, et voilà… bouclée : prescrit !!! Sans qu’on sache ce qui serait prescrit…

Les bras m’en sont tombés. Une citation essentielle, sociétale, gravissime…Mais aussi, un article 459 du Code de Procédure Pénale qui dit entre autres : « Le tribunal qui est tenu de répondre aux conclusions ainsi régulièrement déposées doit joindre au fond les incidents et exceptions dont il est saisi, et y statuer par un seul et même jugement en se prononçant en premier lieu sur l’exception et ensuite sur le fond. Il ne peut en être autrement qu’au cas d’impossibilité absolue, ou encore lorsqu’une décision immédiate sur l’incident ou sur l’exception est commandée par une disposition qui touche à l’ordre public. »

Je fais appel évidemment. Mais quand même : “prendre le temps d’écouter les justiciables”; oui mais, sauf s’ils mettent en cause Bercy par exemple.

Car cette citation, elle traitait sur le fond du problème du pillage de la France par Bercy qui ne peut pas perdurer, qui va détruire profondément le pacte social et entrainer la ruine du pays. Circulez, il n’y a rien à voir dit Mme Berbach. Car, n’en doutons pas, c’est sur ses ordres que cette mascarade a eu lieu.

Alors, est-elle cynique, croyante, complice volontaire ou otage ? Nous le dira-t-elle ?

C’est quand même à gerber, non ?

Affaire Fountaine, Gervais et Brillet, la mascarade continue.

J’affirme que ces Messieurs sont des tricheurs, des voleurs, qu’ils piétinent le fondement de notre société “la propriété privée”, je le prouve, je le dis… et je suis poursuivi par eux pour diffamation. C’est un peu comme si ayant affirmé que le mafieux Al Capone est un assassin j’étais condamné pour diffamation sur poursuite de sa famille…

Sur ce sujet la formation du tribunal a été émouvante. Tous au fond de leurs chaises, rêvassant, probablement à un paysage polynésien ou encore à leurs futures lessives et repassages, et un Président, au top de son niveau, occultant les faits, refusant de relire avec moi ma citation pour laquelle je suis poursuivi en diffamation, refusant de débattre des faits que je dénonce, de la réalité des escroqueries au jugement dont se rendent coupables ceux qui me poursuivent abusivement, eux-mêmes auteurs d’un vol de plus de 17 millions d’Euros.

Voilà donc ou nous en sommes, et le jugement sera pris sur le siège : je suis condamné pour diffamation !!! C’est incroyable.

C’est confirmé, donc la vision de Mme Berbach, lorsqu’elle parle de « prendre le temps d’écouter les justiciables », c’est d’éliminer ce qui gêne, ce qui pourrait contrarier le pouvoir des élus et des fonctionnaires ?

Ce croit-elle divinisée par l’école de la magistrature et ainsi dotée d’une mission qui consisterait à protéger les siens, fonctionnaires et élus, des soubresauts des manants que nous sommes ?

  • « Qu’ils se taisent et nous laissent agir pour leur bien, nous qui savons tout et eux qui ne savent rien » est sans doute sa religion.

Mais ce n’est pas ainsi que se passent les choses.

La société est faite de multitudes de passions, d’activités, de professions, de compétences. L’économie est une de ses composantes, au même titre que la science, l’art, la politique, etc…

L’économie a ses règles, ses devoirs, qu’il ne faut pas trahir sous peine de la voir s’effondrer. Visiblement Madame Berbach n’a aucune idée de ces règles, de ces devoirs. Dans le fond ce n’est pas grave, elle n’est pas un acteur économique. Mais, ce qui est grave, c’est qu’elle se permet de faire juger, sans y connaître et sans écouter, les problèmes profonds de cette activité.

Elle se permet de jeter sur moi, qui les dénonce, l’opprobre et la ruine. Elle trahit la mission dont elle se croit investie. Alors qu’elle n’a pas les compétences, ou pire, qu’elle a une vision erronée de l’économie à partir de croyances ineptes.

Là aussi il y a appel.

Mais, objectivement : peut-on espérer ?

Bien à vous. H. Dumas

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Les cons qui font du mal pour rien aiment faire du mal

On cherche vainement les motivations de ceux qui blessent, qui torturent et qui tuent.

Les homosexuels, les femmes, les contribuables, les ouvriers maltraités, les juifs, les arabes, les jeunes déboussolés, les faibles, les originaux et bien d’autres subissent vexations, humiliations, violences verbales voire physiques.

Ceux qui sont à la base de ces violences, ceux qui les analysent, se perdent dans des pseudo-croyances pour les premiers, dans des considérations psychologiques pour les seconds.

Les pseudo-croyances organisent le bien et le mal, la vérité, de telle sorte que celui qui croit n’ait plus à s’interroger lors de chaque situation, qu’il puisse agir sûr de son bon droit, qu’il soit déresponsabilisé, qu’il se sente investi par le groupe de pensée auquel il prétend appartenir. Dans ces délires on peut classer les religions, le communisme, le suprématisme, tous les obscurantismes… tout ce qui affirme sans souci pour la raison, pour la discussion, pour la réflexion, pour la liberté de penser.

Les considérations psychologiques excusent. En règle générale le libre arbitre n’existe pas pour elles, l’être humain n’est qu’une chaine de stimuli qui aboutit à l’acte bon ou mauvais. Tout présent est le fruit du passé.

En ce qui me concerne, comme l’exprime le titre de ce billet, je crois que tout est beaucoup plus simple : ceux qui blessent aiment ça.

Ils aiment faire du mal, dénoncer, détruire, voir souffrir, haïr. Cela de façon sélective. Toute excuse pour eux est bonne à prendre.

Celui-là est raciste, nationaliste, corporatiste, clanique, cet autre est convaincu, embrigadé. Ils pratiquent le prosélytisme, ou encore… ils sont inspecteurs des impôts, de l’URSSAF ou de je ne sais quelle boutique qui se la pète et se prétend indispensable à l’humanité, tout en affichant une absence déroutante de résultat.

J’exclus la violence réflexe, celle qui répond à l’agression, qui rentre dans le cadre de la légitime défense.

Il faut bien arrêter les cons qui font du mal pour rien. C’est le problème.

Malheureusement, tous les violents prétendent défendre quelque chose.

Je ne vois qu’une solution pour y voir plus clair, c’est la logique populaire : « C’est celui qui dit qui l’est ».

Transposé au thème développé je dirais que c’est celui qui commence le premier acte de violence qui a tort. Celui qui prend la responsabilité de passer de la discussion à l’action agressive.

C’est toujours le tortionnaire qui a tort, quelles que soient les raisons dont il se pare. Parce qu’en fait il n’agit pas pour ces raisons mais parce qu’il aime faire mal.

Tout ça pour vous dire que Bercy n’a aucune excuse à mettre en avant pour le mal que cette boutique répand journellement, Bercy est entièrement responsable du carnage qu’elle pratique, y compris éventuellement sur des tricheurs invétérés qui sont si peu nombreux que leur tricherie ne justifie pas la haine colportée par Bercy qui n’agit qu’en raison de son plaisir à faire du mal.

J’affirme donc ici, d’expérience, que Bercy est entièrement tournée vers le mal, la torture, le harcèlement, l’injustice, l’abus de pouvoir, l’escroquerie au jugement, par goût et non par nécessité ou raison.

Bien à vous. H. Dumas

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Le temps des poètes…

Je ne suis pas un adepte du mensonge et je déteste les rumeurs. Je crois devoir en conclure que je manque cruellement de poésie.

Les poètes, les artistes-créateurs en règle générale, sont les hérauts de l’épopée.

L’épopée est au fond des rêves de chacun, elle n’est que mensonge mais reste épopée. Cervantès en 1605 en fit la picaresque et passionnée critique dans son ouvrage « L’Ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche ».

Les épopées trouvent leur source dans la grandeur ou dans la décadence, dans le mal ou dans le bien, dans la félicité ou dans le malaise, dans la richesse ou dans la misère, dans l’espoir ou dans le désespoir, mais leur carburant est le rêve, le mensonge, la rumeur, elles recherchent la proximité de l’absolu.

Les poètes sont idéalistes ou sataniques, toujours séduisants pour ceux qui partagent leurs épopées.

J’ai probablement tort si l’on tient compte de l’estime que chacun porte à ses poètes, mais je n’aime pas la poésie, car je n’aime ni le mensonge ni la rumeur, donc très peu l’épopée.

Je suis assez terre à terre. Disons pragmatique. J’ai du mal à m’envoler, du mal à ne pas voir la complaisance, les arrières pensées du « cimetière marin » de Valery.

Ce qui ne m’empêche pas d’observer et d’essayer de comprendre la poésie des autres, qu’elle soit courtisane ou critique.

Ainsi, dans le délire poétique toxique, je trouve que Poutine fait très fort.

Il n’est pas le premier. Mais quelle énormité de voir un être humain arriver à engager son peuple dans une épopée qui se résume au vol et au meurtre du voisin…

Par quelle magie arrive alors un temps où plus personne ne peut faire la différence entre mensonge, rumeur et vérité.

Comment cela est-il possible ? Pourquoi est-ce constant ? Pourquoi l’expérience ne sert à rien, tout recommence à l’identique ?

Né en 1944, j’ai eu la chance de vivre un cycle complet allant du vrai au faux.

Après la guerre l’ambiance générale était à la vérité, même si le pourcentage des menteurs était probablement stable ils n’étaient pas écoutés. Cela alors même que l’information n’était pas libre et aurait pu être entièrement trafiquée. C’est d’ailleurs ce qu’ont prétendu les zélotes de l’épopée collectiviste, pour répandre leurs mensonges, leur propre épopée.

Puis, j’ai vu la parole se libérer et la sympathie pour le mensonge se développer exponentiellement. Alors que dans le même temps et sous d’autres cieux, le même mensonge s’épanouissait aussi, mais au contraire à travers la propagande obligatoire, la parole prisonnière.

Aujourd’hui, le discours à remplacé la raison, la collectivité libre de s’exprimer court après les rumeurs, les dépasse, les amplifie… partout.

La poésie est la maitresse du monde, malheur à celui qui évoque la raison, la simple vérité, toute nue, si mal gaulée…

J’oserai dire : c’est quoi ce délire ?

Où allons-nous, de bombes sales en Nazis ressuscités, de peuple russe sanguinaire en bombes sophistiquées qui tuent partout après quelques secondes de vol…

Tout cela est excessif, pas sérieux, tout cela est ridicule, et pourtant tout cela est notre quotidien, notre normalité, notre poésie. Il est bien venu d’y croire.

Cette poésie qui derrière sa séduction cache quelquefois le meilleur, mais souvent le pire. Car, qu’elle soit beauté ou hideur, elle commence toujours par mentir.

Voici donc le temps des poètes, ce n’est pas le mien.

J’ai peu d’espoir d’avoir le temps de voir revenir celui que j’aime, celui des bâtisseurs.

Bien à vous. H. Dumas

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Pourquoi suis-je français ?

C’est une question que je me pose régulièrement, à laquelle je ne trouve pas de réponse rationnelle.

Il y a bien deux ou trois constatations incontournables :

– D’abord je ne parle que le français, ce qui limite ma communication avec les autres communautés. Il me reste le Québec… Qu’ai-je comme point commun avec les québécois, en dehors de la langue ? Tout. Ce qui me laisse supposer que le mur de la langue dépassé il en serait de même avec le monde entier, tant le Québec est différent des contrées où je séjourne. Rien donc d’original par la langue, sauf la difficulté personnelle de communication.

– Puis, je pense à mon environnement, mes paysages, les ambiances, mes possessions, mes amis, mes habitudes, tout cela me manque vite lorsque j’en suis séparé. Mais, en y réfléchissant, je me dis que, quelles que puissent être ces émotions ailleurs, elles donneraient le même résultat. Je pourrais donc être d’ailleurs et être le même.

– Enfin je pense aux règles de la société dans laquelle je vis. Et là, tout change. Je ressens que si les règles étaient tout autre, ma vie pourrait être complètement différente.

En réalité, c’est la constitution qui régit nos sociétés qui nous différencie. Rien de plus.

Or ces règles ne sont que conventions humaines, même chez ceux où elles sont habillées de l’onction divine.

Comment se fait-il que les hommes puissent accorder à ces règles un pouvoir supérieur au leur, alors qu’elles émanent d’eux ?

C’est là que réside le nœud de tout le drame de l’humanité.

Comment peut-on se battre, tuer ou mourir, en prétendant imposer sa règle aux autres ?

C’est là que se situe l’escroquerie mortelle.

En fait ceux qui haranguent au nom du dogme, de son droit, mentent. Ceux qui font mine de les suivre aussi. Ce mensonge les entraine ensuite au pillage et au meurtre.

Car s’ils mentent c’est pour dissimuler, le mensonge n’ayant pas d’autre fonction.

Que dissimulent-ils ? Leur désir de posséder ce qu’ils envient chez l’autre, soit que l’autre entrave leur souhait ou qu’il possède par hasard ce qu’ils souhaitent et n’ont pas.

Tout n’est que cupidité.

Le moteur de l’humanité est la cupidité. Elle arrive à se dissimuler dans des attitudes ou des discours si sophistiqués qu’elle peut impunément accéder à tous les excès.

Elle est si puissante que même celui qui a tout reste cupide, c’est infernal, insatiable et incontournable.

On dit que l’Ecclésiaste assure que : « vanité des vanitéstout est vanité ».

S’agissant d’une traduction, peut-être que le terme « cupidité » eut été plus approprié, plus significatif, plus porteur d’enseignement, plus terre à terre, moins hermétique donc plus utile.

Reste une question : la cupidité est-elle le reflexe de survie face au risque du manque ?

Effectivement les sociétés repues possèdent en elles des membres qui affirment et tendent à prouver qu’ils ne sont pas cupides. Sont-ils sincères où simplement optimistes face au manque dont ils s’estimeraient à l’abri ?

A l’inverse des sociétés frappées par le manque ont des membres sans signe de cupidité, fatalistes, humains dirions-nous.

Donc, rien de tranché.

Rien qui puisse expliquer la cupidité de nos élus, de Bercy, de nos protestataires professionnels, de nos champions de l’humilité…

En réalité les problèmes qui sont devant nous, dont l’explosion va nous souffler, sont difficiles à codifier, à classer. Il est clair que la cupidité en est sans doute le moteur principal, en faire la démonstration sera probablement impossible… cela dure depuis des millénaires…

Cette impossibilité à expliquer, à démontrer, laisse peu de place à une solution, à la sagesse, à l’optimisme.

Bien à vous. H. Dumas

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Plus d’essence

A qui profite la grève qui touche les raffineries ?

C’est une question que nous avons le droit de nous poser.

Les revendications en jeu quant à l’augmentation des salaires ne sont pas crédibles. Les personnels impliqués paraissent avoir des salaires privilégiés. Même si toute augmentation par les jours d’inflation qui courent est bonne à prendre, il faut aussi penser à ceux qui gagnent moins et que la grève touche durement. Les syndicats ne sont pas très à l’aise sur ce point, ils ont réagi violemment à l’information répandue sur les salaires actuels.

L’idée de distribuer le capital, de le transformer en redistribution d’“argent consommation” est absurde. Total est sur le marché économique mondial, où le capital tient sa vraie place, qui consiste — comme nous le savons — à accumuler et transmettre pour servir de base à l’entreprise, où  les investisseurs étant essentiels sont rémunérés en priorité.

Alors, pourquoi cette grève dure ?

Je vous propose une hypothèse qui n’est pas complotiste, qui imagine des liens et synergies potentiels. Il s’agit d’une réflexion imaginaire, j’insiste.

La CGT et l’URSS ont vécu dans une étroite interdépendance pendant cinquante ans. Peut-être encore aujourd’hui.

Les Services secrets russes ont probablement des dossiers embarrassants sur la CGT, du moins c’est envisageable. Ce qui obligerait cette dernière.

Dans l’état actuel de sa situation, la Russie à un intérêt évident à créer un choc dans l’opinion publique sur l’idée d’une rupture d’approvisionnement. En effet, pour cette opinion publique la Russie est présentée comme un élément essentiel de notre approvisionnement.

Ce choc peut créer un basculement de la sympathie envers l’Ukraine, qui aura tôt fait de fondre face à l’idée qu’elle pourrait générer une pénurie de pétrole.

Les hommes de l’Etat, qui ne veulent pas se sacrifier pour l’Ukraine, ont un intérêt à laisser mariner la situation, surtout s’il sont finalement sûrs qu’elle est artificielle et se résorbera d’elle-même.

C’est une hypothèse plausible, qui aurait de grandes chances d’atteindre son but

Bien à vous  H. Dumas

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