Vaccins : le pouvoir, contre la société.

J’ai souvent répété ceci : pour moi, l’essentiel des malheurs du monde est le fait d’un peu moins de deux cents organisations criminelles, parfaitement identifiées et connues de tous, organisations criminelles appelées états.

Quand les peuples sont malheureux, c’est-à-dire presque tout le temps, ils rêvent leur salut dans un changement des hommes de l’état dont ils sont les esclaves. C’est bien sûr complètement idiot : au sein d’une mafia, les parrains se succèdent (vieillesse, maladie, assassinat, ce que vous voudrez…), mais la mafia reste, intacte et toujours aussi nocive. Éliminer un parrain ne sert à rien, il est immédiatement remplacé par un autre, le plus souvent pire que son prédécesseur. Ce ne sont pas les dirigeants qu’il faut combattre, c’est la mafia en tant que telle qu’il faut mettre au pas.

Et c’est exactement la même chose pour les organisations criminelles que sont les états.

Quand les hommes d’un état ont pris trop de pouvoir, le peuple de cet état ne peut tout simplement pas faire l’économie d’une forme de révolution, qui consiste à prendre ou reprendre le pouvoir extorqué. Plusieurs anthropologues ont montré que le pouvoir est contraire à la nature humaine : il n’y avait pas de pouvoir dans les sociétés primitives. Il y avait bien des chefs, désignés d’une manière ou d’une autre, mais ces chefs étaient sans pouvoir. Malheur au chef qui prétendait à quelque forme de pouvoir : il se trouvait mis à mort, ou à tout le moins, chassé de la tribu, ce qui revenait d’ailleurs au même.

Dans beaucoup de pays occidentaux, sans doute, et en France, à coup sûr, il est temps, plus que temps, de remettre les hommes de pouvoir à leur place : celui qui paye, c’est celui-là qui doit avoir le dernier mot.

Peuples, vous ne pouvez plus l’ignorer, pas de cerveau humain qui résiste à l’hybris : le pouvoir sur autrui étant par nature contre nature, rend fou et ne connaît pas de limites.

Le pouvoir, contre la société. Les hommes de pouvoir contre les peuples. [1]

Ouvrons les yeux ! Nous avons cru que nous avions « touché » le fond : folie fiscale devenue fureur fiscale, invasions criminelles massives, extrême insécurité érigée en mode de vie ordinaire… nous étions en train d’en mourir, toujours plus pauvres face à nos prédateurs toujours plus riches, étalant avec insolence leurs richesses et leurs fastes, volés à nos économies. Nous ne le savions pas, mais non, nous n’avions pas touché le fond !

En marche pour le pire, et disons-le plus simplement, en marche pour la mort : sous prétexte d’une pandémie qui n’a jamais existé que dans l’imaginaire de quelques furieux et d’un nombre plus considérable de désinformés, on nous a confinés, déconfinés, masqués jusque dans nos bois les plus retirés ou sur nos plages de plus grand vent, imposés couvre-feux et laissez-passer les plus humiliants… et bien tout cela n’était rien encore ! Voilà désormais pour tous l’obligation de se faire injecter des produits totalement inutiles, puisque la maladie est rare et qu’on peut la traiter, des produits dont on ne sait à peu près rien, sinon qu’ils sont le fait de criminels multirécidivistes, au casier judiciaire lourd comme un corps mort de grand cargo ! Des gens que les gens normaux se gardent bien de fréquenter, de près ou de loin. Mais des gens qui sont les relations intimes de nos hommes de pouvoir. On ne sait pas bien qui tient le plus l’autre par la barbichette, mais on sait qui paye le barbier !

L’injection obligatoire, proprement injustifiable. Ou bien l’injection est effectivement un vaccin et protège l’injecté du risque de maladie, et dans ce cas, comment justifier une obligation ? Ou bien l’injection ne protège pas du risque de maladie (comme l’a d’ailleurs affirmé l’homme de pouvoir Olivier Véran), et dans ce cas, comment justifier l’obligation ?

L’injection ne protège pas, mais évite les formes graves, nous dit-on. Parfait. Mais des médicaments beaucoup moins coûteux et sans risques font exactement la même chose. Dans un espace de liberté, je devrais pouvoir choisir ma solution.

Je ne peux plus ? Signe certain qu’il plus que grand temps, non de changer les hommes de pouvoir, mais de les remettre à leur place.

Ce qui ne peut se faire que si le peuple se réveille. Se réveillera-t-il ? Pour vous le dire franchement, je nourris les plus grands doutes à ce sujet. Mais peu importe, je suis partisan de faire comme l’a dit en son temps le prince d’Orange[2].

Et puisque nous en sommes aux références, cette légende que je crois indienne et que j’adore :

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : «Colibri! Tu n’es pas fou? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu!»

Et le colibri lui répondit : «Je le sais, mais je fais ma part.»

Mon billet ? Bien d’accord avec vous : même pas la goutte d’eau apportée par l’oiseau mouche. Mais comme lui… je fais ma part.

Bormes les mimosas, 7 juin 2021

[1] Voir « La Société contre l’état » de Pierre Clastres : http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-La_Société_contre_l’État-1999-1-1-0-1.html

[2] « Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre… »

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2 réflexions sur « Vaccins : le pouvoir, contre la société. »

  1. [ A MEDITER ] Le fondateur de Dubaï, Sheikh Rashid, a été interrogé sur l’avenir de son pays, et il a répondu: « Mon grand-père est monté à dos de chameau, mon père est monté à dos de chameau, je conduis une Mercedes, mon fils conduis une Land Rover et mon petit-fils conduis une Land Rover, mais mon arrière-petit-fils va devoir à nouveau monter à dos de chameau  »
    « Pourquoi cela », – lui a-t-on demandé? Et sa réponse fut: «Les temps difficiles créent des hommes forts, les hommes forts créent des moments faciles. Les temps faciles créent des hommes faibles, les hommes faibles créent des moments difficiles. Beaucoup ne le comprendront pas mais il faut élever des guerriers, pas des parasites ».

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