Non mais allô quoi !

L’expression virale d’une bimbo cérébrée à la va vite par notre brillante éducation nationale soucieuse de maintenir la haute culture française devient finalement d’à propos pour qualifier à peu près tous les sujets d’actualité en France.

C’est dire le niveau moyen des débats officiels. Le bac moins douze se moquant du bac moins quinze, c’était encore un peu drôle. Le bac moins cinq critiquant le bac plus quinze, et c’est ce dernier qui va s’exprimer comme Nabila : « non mais allô quoi ».

Le ridicule ne tue plus. Irrévérence, inconscience et irresponsabilité ont eu sa peau. Je ne sais pas si on apprendra un jour pourquoi tant de médiocres s’en prennent à Didier Raoult. Est-ce seulement de la jalousie ? Cela néanmoins nous a valu récemment quelques belles perles. Notamment ceux qui ont voulu lui faire dire que l’hydroxychloroquine ne changeait rien à la mortalité due au covid, sur la base de son premier « papier » de recherche qui comparait avec et sans sur deux groupes de personnes dans lesquels il n’y avait eu aucun décès ! Il s’agissait seulement d’évaluer la durée du portage viral selon le traitement.

Comment ne pas être consternés que des jeunes médecins affirment qu’un virus ou un vaccin à ARN ne puissent pas provoquer une modification du génome d’une cellule, alors que les rétro-virus, à ARN comme le VIH, possèdent justement une enzyme dite transcriptase inverse qui produit une molécule d’ADN à partir de l’ARN viral. La présence d’un rétrovirus, même inoffensif, dans une cellule en même temps que celle-ci reçoit un vaccin à ARN, peut théoriquement intégrer l’ADN correspondant dans les chromosomes de la cellule, avec de plus un nombre de combinaisons quasi infini avec les gènes pré-existants. Le pire n’est pas obligé d’arriver, mais c’est quand même jouer aux apprentis sorciers.

Le grand chef du conseil scientifique Covid-19 disait devant une commission sénatoriale le 15 septembre 2020 que la mutation du SARS-Cov-2 n’existait pas. Affirmation étonnante alors que l’on sait depuis des décennies que les coronavirus mutent souvent et que c’est une raison pour laquelle on n’arrive pas à faire de vaccin. Aujourd’hui, il n’y a pas de semaine où de nouveaux mutants ne sont pas révélés. Mais pourquoi ont-il sorti Delfraissy du formol ? Quand même, en janvier, il reconnaissait que des mutations se produisaient. Mais bon, il en a encore deux ou trois de retard.

On apprend maintenant que le Remdesivir est un puissant agent mutagène pour le virus, et que ce traitement associé à d’autres agents anti-viraux a contribué à l’apparition de nombreux variants. Quant à l’Europe qui a payé 1,2 milliard d’euros de Remdesivir alors que l’on savait déjà son inefficacité, va-t-elle l’utiliser pour compliquer encore la situation ou tout envoyer à la poubelle ?

On peut maintenant dire que ces virus n’ont rencontré aucun obstacle pour se diffuser de région en région, de pays en pays, quelles que soient les mesures de confinement ou de couvre-feu prises, ou de frein aux déplacements. Il apparait que ces mesures ont toujours été mises en place trop tard, quand la diffusion du virus et des mutants successifs était déjà avancée. Peut-être que ces mesures ont ralenti les épidémies, mais ce n’est même pas prouvé.

La précipitation pour disposer d’un vaccin a fait sauter tous les garde-fous de sécurité pour la mise sur le marché d’un produit médical. Pour ceux à ARN, qui déjà n’ont jamais été utilisés chez l’homme, on part sur de la biologie « théorique » et on bâcle les phases de tests. Les données issues de ces essais faits par Pfizer semblent assez éloignés des normes, d’après Reinfocovid, et il paraît impossible d’en tirer une quelconque certitude sur l’efficacité et l’innocuité. Que Pfizer ait insisté pour ne pas pouvoir être inquiété juridiquement en cas d’effets secondaires défavorables n’est pas rassurant. Les premiers résultats à large échelle en Israël et en Angleterre pourraient même confirmer toutes les craintes. Que le gouvernement français fasse une promotion intense pour la vaccination avec un produit mal testé, pas ou peu efficace sur les variants, avec une suspicion d’effets secondaires potentiellement graves, alors qu’il a interdit un médicament connu depuis 70 ans, utilisé par des milliards de personnes dans le monde sans conséquences graves, encore en vente libre il y a moins d’un an, et dont les preuves d’efficacité s’accumulent de mois en mois, est une attitude complètement ahurissante et inacceptable.

La vaccination n’ayant que très peu de chance d’avoir une efficacité significative, et le chiffre de 2,7 % des vaccinés en phase deux présentant des séquelles handicapantes à long terme, d’après les chiffres de Pfizer, le rapport du bénéfice du vaccin RNA par rapport à ses risques devient inférieur à celui d’attraper le virus, qui est lui-même le meilleur vaccin possible, avec un risque mortel de 1 pour mille, en moyenne à 84 ans, et si on rate toutes les possibilités de traitement disponibles actuellement, officiellement ou non. Les chiffres de 30% de personnes ayant déjà eu le virus dans un ou plusieurs de ses variants et de 35 à 40 % de la population qui y seraient insensibles, seraient indicatifs d’une sortie de crise. Mais on sait que la machine médicale et politique va continuer à tester un peu partout, suivre les variants comme Sherlock Holmes, faire des prévisions apocalyptiques, et les média vont en rajouter des tonnes, et essayer de faire passer des médicaments chers pour le bonheur des grands laboratoires pharmaceutiques et de leurs assujettis. Il y a dix ans, on aurait rien fait de tout cela, les actualités auraient parlé d’une bonne grippe, personne n’aurait arrêté de travailler, l’économie serait sauve. Une maladie des médias, je vous dis.
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4 réflexions sur « Non mais allô quoi ! »

  1. je ne veux élever les ébats…
    pas en tombant de charybde en scylla mais plutot vous enrichir en passant de defraichi en nabab-lillah c’est pas une évolution ..mais on fait un grand pas !!
    –> ne faut t’il pas avanacer masque et traverser la rue avec un beau costard avant l’heure du toccin pour reussir sa covid ?

    turring a gardé pour lui le désastre d’une guerre de pensée a contrecourant qui a pris 50ans a la grand queen afin de l’honorer en 2013

    nous avons en france un virus qui circule et qui nous drague via nos queens et malheureusement comme dirait twain
    y a les mensonsges
    les gros mensonges
    et les statistiques

    Les Anes- a-listes qui nous gouvernent depuis plus d’un an avec leur chiffres abherants ne me donnent pas tort .

    je fais le procés de l’excellence face a la médiocrité le nabilla a élon musk
    https://www.youtube.com/watch?v=9Eys7uaZOvw

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