Lettre à mon sénateur

Monsieur le sénateur.

J’ai écouté votre déclaration récente sur Public Sénat à propos de l’obligation vaccinale des professionnels de santé.
Je suis professionnel de santé et j’ai étudié dans ma spécialité les bactéries, les virus et l’immunologie pendant toute ma carrière et j’ai refusé catégoriquement l’injection dans mon organisme d’un traitement génique expérimental dont le rapport bénéfice risque est aussi catastrophique.

Si on ne savait pas depuis des décennies que les virus à ARN mutent tout le temps.
Si on ne savait pas qu’un adulte contaminé peut fabriquer des dizaines de milliards de copies du coronavirus.
Si on ne savait pas que le taux de mutation est de 1/10000, c’est à dire que chaque personne contaminée produit au moins un million de variants, dont 250 environ sont transmissibles, avec une sélection de ceux qui sont insensibles aux éventuels vaccins.
Si les immunologistes n’avaient pas prévenu que les vaccins réalisés d’après des variants de coronavirus déjà disparus allaient en plus limiter la capacité du système immunitaire à s’adapter naturellement aux mutations du virus.
Si Pfizer et les autres fabricants n’avaient pas voulu garder secrets leurs dossiers d’expérience en vue des autorisations de mise sur le marché.
Si ces dossiers, rendus publics après une décision de justice, ne révélaient pas qu’il y avait plus de morts dans le groupe vacciné que dans le groupe témoin et des manipulations de chiffres éhontées et frauduleuses pour arriver à donner un taux d’efficacité de 95% alors que d’après les mêmes données des scientifiques sérieux arrivaient à 12%, sans aller jusqu’à vérifier comment les sujets étaient considérés porteurs ou pas du virus en l’absence de tests pour une majorité d’entre eux.
Si des morts par « pneumonie » n’avaient pas été classées hors cause covid dans le groupe vacciné à l’inverse du groupe témoin.
Si les groupes témoins n’avaient pas été vaccinés à leur tour au bout de six mois pour masquer les différences d’effets secondaires à moyen terme.
Si Pfizer et les autres fabricants n’avaient pas refusé de prendre la moindre responsabilité sur les conséquences négatives de leurs produits expérimentaux.
S’ils ne montraient pas dès ces expériences de phase trois initiale que leurs pseudo-vaccins n’empêchaient pas quiconque d’être contaminé et contagieux ni malade.
Si l’AMM n’avait pas été délivrée malgré l’absence de phase deux expérimentale sur animaux, donc les citoyens servent de cobayes.
Si les contrats d’achat n’étaient pas restés secrets.
Si notre « Président »  n’avaient pas jugé nécessaire de prendre des décisions sanitaires par un conseil de défense pour justement garder secrets les arguments et les raisons réelles des décisions prises, donc douteuses, peut-être inavouables, certainement anticonstitutionnelles.
Si le mécanisme parlementaire n’avait pas été piétiné méthodiquement.
Si le traitement précoce présenté par l’infectiologue le plus réputé au monde, au lieu d’être considéré comme la bouée de sauvetage de la population, et alors qu’il sauvait 99,6% des contaminés quand l’hôpital public dépassé tuait 25 % des malades pris tardivement en charge, soit 50 fois plus de décès, n’avait pas été interdit par un ministre de la santé dont la santé mentale mériterait une approche psychiatrique.
Si d’autres infectiologues, tels que les professeurs américains Harvey Risch, Peter McCullough et Pierre Kory n’estimaient pas que les traitements précoces auraient pu sauver 500000 personnes aux Etats Unis.
S’il n’était pas facile de calculer que ces mêmes traitements auraient pu préserver la vie d’au moins 40000 français s’ils n’avaient pas été interdits.
Si on ne constatait pas dans les pays occidentaux, dès janvier 2021 en Israël, que les campagnes de vaccinations étaient immédiatement suivies de pics épidémiques, preuve de l’inefficacité totale des vaccins à ARNm anti-SARS-COV2.
Si 290 sportifs vaccinés n’étaient pas morts subitement en pleine compétition.
Si les sportifs vaccinés n’étaient pas incapables de retrouver leurs performances antérieures au « vaccin ARNm », ce que l’on a pu constater lors du Tour de France 2022 par exemple.
Si une étude sur les femmes enceintes n’avaient pas montré que 82% des vaccinées dans les 6 premiers mois de grossesse avaient fait des fausses couches.
Si certains ahuris dramatiquement irrresponsables ne poussaient pas à la vaccination des enfants alors que leur risque de développer un covid est nul et que leur densité de récepteurs ACE susceptible de fixer le sars-cov-2 est plus d’un million de fois plus faible que chez un adulte, les rendant insensibles à ce virus et incapables de le transmettre, alors que les effets secondaires graves se multiplient et qu’il n’est même pas pensable de faire courir un tel risque aux jeunes générations.
Si le recueil des effets indésirables n’était pas largement entravé dans de nombreux pays, soit par des démarches administratives complexes et volontairement mal organisées, soit par des classements expéditifs pour ne pas apparaître liés aux vaccins à ARNm.
Si les données des organismes de pharmacovigilance, largement ignorées des médias principaux, ne montraient pas qu’en trente ans d’usage de vaccins, jamais on avait vu autant de décès liés à la vaccination (voir VAERS).
Si plusieurs études aux États Unis n’évaluaient pas autour de 200000 le nombre de décès depuis un an liés aux pseudo-vaccins à ARNm.
Si le décompte des morts des pseudo-vaccins à ARNm en Europe n’en était pas en approche de 50000.
Si la mortalité en Europe des personnes des groupes d’âge entre 0 et 14 ans et entre 14 et 44 ans, qui n’avait guère variée jusqu’en juin 2021 malgré l’épidémie, s’est retrouvé significativement au dessus de la moyenne depuis juillet 2021, sans autre explication que l’effet de la vaccination extensive.
Si on ne pouvait calculer dès à présent que les années de perte de vie liées à la vaccination par ARNm sont plus nombreuses que les années de perte de vie liées au Covid lui-même, qui touchait en moyenne des personnes âgées de 85 ans.
Si on ne constatait pas une recrudescence très marquée des maladies auto-immunes, phénomène assez logique quand on sait que les cellules recevant l’ARN messager de ces thérapies géniques deviennent anormales pour les cellules de notre système immunitaire, qui vont les attaquer et les détruire, même si elles font partie d’une paroi vasculaire, déclenchant une thrombose, mais le nombre de cellules, tissus et organes concernés n’a rien de limité ainsi que les conséquences et effets secondaires même mortels.
Si la recherche récente ne montrait pas que les pseudo vaccins à ARNm entraînent des « tempêtes cytokiniques » comme pouvaient également le faire les premiers variants du sars-cov-2 et des dérèglements graves du système immunitaire.
Si on n’avait pas laissé parler dans les médias des médecins qui avaient des conflits d’intérêt majeurs avec les entreprises pharmaceutiques.
Si les médias les plus écoutés ne s’étaient pas comportés comme des organes de propagande digne des régimes les plus fascistes , et avaient entretenu un débat neutre entre scientifiques après avoir mis à l’écart ceux qui avaient des conflits d’intérêt.
Si les scientifiques les plus réputés par leurs recherches, leurs publications et leurs nombres de citations n’avaient été honteusement harcelés médiatiquement et scandaleusement agressés administrativement dans leurs vies professionnelles.
Si des milliers de professionnels de santé n’avaient pas été interdits d’exercer de façon arbitraire, en totale contradiction avec les articles 23, 10, 11 et 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, signée par la France le 10 décembre 1948.
Si le directeur du NIAID, Antony Fauci, dont la position lui permet de distribuer selon son bon vouloir 57% du budget mondial de la recherche médicale, n’avait pas de ce fait à sa botte une majorité des chercheurs occidentaux, ne leur imposait pas de critiquer au maximum les vieux médicaments peu chers et déjà validés, et de favoriser au maximum des médicaments nouveaux, chers, expérimentaux et pas validés en efficacité et innocuité.
Si le même individu, collaborant avec nombre d’entreprises pharmaceutiques et la fondation Gates, ne finançait pas largement les revues scientifiques et les organisations de santé comme l’OMS, l’EMA, la FDA, etc….
Si le « scandale »  du Lancet n’avait pas montré que les plus grandes revues médicales étaient susceptibles de publier des articles entièrement frauduleux au service des Big Pharma.
Si les « Big Pharma » n’étaient pas coutumières de plaintes pour charlatanisme, tromperies sur indications, falsifications de données, corruption, en particulier Pfizer qui en vingt ans a dû payer plus de 4 milliards de dollars d’amendes et de dédommagements, sommes intégrées dans leur « business plan » sans aucun remord pour les millions de personnes qui perdent la santé ou la vie du fait de leurs impostures criminelles.
Si les tests PCR avaient été utilisés jusqu’à 35 cycles et non pas jusqu’aux 45 cycles largement utilisés qui donnaient de faux positifs.
Si les autopsies des morts susceptibles d’être liées aux vaccins n’avaient pas été interdites.
Si le consentement éclairé avant vaccination, obligatoire en particulier pour un traitement expérimental en essai thérapeutique de phase trois, avait été mis en place, conformément à l’article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, qui interdit conjointement la torture et les expériences médicales, pour ne pas voir se reproduire ce qu’avait fait les nazis sur des prisonniers.
Si la gestion de la pandémie par la peur d’une maladie « mortelle » ne ressemblait pas plus à un test de contrôle de la population à caractère autoritaire en dehors de toute règle républicaine, et à un test de Milgram sur le niveau d’obéissance des structures administratives, qu’à une démarche sanitaire devant une épidémie, elle déjà définie depuis des décennies.
Si tous ces faits que l’on retrouve dans les données épidémiologiques officielles, les publications scientifiques indépendantes de «Big Pharma » et des dossiers juridiques internationaux et surtout américains ne suffisaient pas pour se faire une opinion parfaitement claire et ne suffisent pas pour vous faire comprendre que ces faux vaccins expérimentaux constituent le plus grand scandale sanitaire de tous les temps, c’est que les décideurs gouvernementaux ne sont pas capables de s’informer efficacement de la réalité scientifique du présent, susceptible d’évoluer de jour en jour, ni de prendre des décisions adéquates concernant la santé personnelle de chaque citoyen en toute responsabilité des conséquences.
Si tous ces faits, dont un seul d’entre eux suffit pour mettre en question l’intérêt et l’autorisation de la pseudo vaccination aux ARNm, n’avaient pas existé, je me serais fait vacciner. Mais en l’état de nos connaissances, ces pseudos vaccins apparaissent beaucoup plus dangereux que le covid et il est hors de question que moi ou ma famille se fasse vacciner avec ces saloperies. Les vrais vaccins rendus obligatoires avaient suivi les procédures de validation et des années de recul pour être certains de leur efficacité et leur innocuité. Il y a eu des vaccins rejetés. Il est impossible de considérer les nouvelles thérapies géniques à ARN messager comme des vaccins classiques et sursoir aux principes de précaution inscrits dans les lois, y compris les droits fondamentaux de l’Humanité.
En restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, j’espère que vous vous éloignerez de la caste des criminels corrompus qui sévissent au gouvernement et je vous adresse mes salutations.
Dr Philippe Gault

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4 réflexions sur « Lettre à mon sénateur »

  1. Bonjour Docteur,
    Je ne sais pas si tout le contenu de votre lettre est vrai. Mais qu’importe, elle s’impose.
    En cette affaire une chose est sure : la vérité n’est pas encore connue.
    Pourquoi une telle panique de l’opinion mondiale ? Des personnes indélicates en ont-elles profité ?
    Est-ce la bêtise qui a envahi l’espace à la faveur d’une peur non maîtrisable ?
    La complexité de ce phénomène mondial laisse peu d’espoir de connaître un jour la vérité.
    Une seule certitude : la liberté individuelle fut la première et la plus importante victime.
    Son recul à cette occasion fait place à un potentiel pire qui ne va pas manquer de survenir.
    Merci pour ce billet.

    1. Je fais appel à beaucoup de sources et les croisent souvent pour m’assurer de la meilleure chance de vérité. Il suffit d’une erreur pour que tout soit mis dans la benne. La masse de recherches qui a accompagné l’épidémie de sars-cov-2 dévoile beaucoup d’inter-relations et de réactions qui n’étaient pas ou peu connues auparavant. Nous sommes avec ces traitements géniques dans de la pure expérimentation. Les lois sont citées dans le texte. Les statistiques viennent des sites Johns Hopkins, Euromomo, EMA, VAERS, des organisations de pharmacovigilance et de nombreux articles de la presse médicale. Les données scientifiques viennent également d’articles, d’ouvrages spécialisés et de conférences qui donnent les dernières découvertes. J’ai également pris beaucoup d’informations dans le livre de Robert Kennedy jr, titré “Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma” qui reprend l’historique et l’actualité de l’influence des entreprises pharmaceutiques sur nos sociétés. Il faut un grand nom, être un grand avocat et avoir beaucoup de courage pour s’attaquer à l’une des plus puissantes mafia existantes, et citer précisément les références pour chaque affirmation du texte. Je conseille à tous ceux qui veulent ouvrir les yeux sur la réalité du monde depuis notamment deux ans de le lire. Ce n’est pas facile. On peut attraper des nausées intenses à chaque page devant toutes les horreurs commises pour faire toujours plus de bénéfices pour les actionnaires ou de revenu pour les corrompus. On apprend que le déroulement des évènements de 2020 et 2021 a suivi exactement des modélisations étudiées depuis vingt ans, avec les confinements, l’interdiction des ré-emplois de vieux médicaments, la propagande massive, l’exacerbation de la peur, les masques, le harcèlement des contradicteurs, l’usage médiatique des médecins avec conflits d’intérêt, les conflits d’intérêt préparés longtemps à l’avance, la mise en place rapide de nouveaux médicaments chers, etc…
      En fait, la seule chose qui ne soit pas encore certaine, c’est si le sars-cov-2 s’est échappé du laboratoire de Wuhan par accident, …… ou volontairement.

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