Je suis toujours subjugué par ces grands mouvements des apparences dont il ne reste plus tard que des photos, souvent ridicules.
Je vous propose un peu de relativité dans ce psychodrame national du mariage pour tous et peut-être même un sourire, si vous êtes de bonne humeur.
J’ai connu les « pantis » et les pantalons pattes d’éléphant, puis, aujourd’hui, les culottes « petit bateau » et les jeans serrés.
J’ai connu L’union libre, puis, aujourd’hui, le mariage pour tous.
Je me dis que notre « Troubadour-philosophe », s’il était là, serait obligé de modifier sa chanson, j’imagine :
« Quand je pense à Hollande
Je bande, je bande
Quand j’pense a Sarkozy
Je bande aussi
Quand j’pense à Poiv’d’arvor
Mon dieu je bande encore
Mais quand j’pense à Lebranchu
Là je ne bande plus
La bandaison papa
Ca n’se commande pas »
Je vous souhaite un bon weekend.
Bien cordialement. H. Dumas