L’affaire Djokovic


Novak Djokovic, à l’âge de 34 ans, est en passe de devenir le plus grand détenteur de titres des tournois du Grand Chelem, devant Rafael Nadal et Roger Federer. Pour cela, il se présente sur le sol des kangourous à travers cette nouvelle édition de l’Open d’Australie en janvier 2022, qu’il a remporté déjà neuf fois auparavant sur son total de vingt trophées majeurs – c’est ainsi sa terre de prédilection comme pour R. Nadal à Roland Garros.

Il est donc parfaitement compréhensible qu’il tienne une nouvelle fois à jouer ce tournoi majeur car ses statistiques plaident en sa faveur.

En janvier 2020, il a remporté l’Open d’Australie, alors que l’affaire du Covid-19 démarrait. Pas de restriction à l’époque. En janvier 2021, il le conquière à nouveau alors que les premières campagnes de vaccinations débutent parmi tous les pays de blancs caucasiens d’Occident. Nous sommes alors sous l’emprise de la souche Covid-19 primale de Wuhan. Il n’est pas encore question de la mutation de ce dernier en Delta, qui sera plus contagieux mais quatre fois moins létal par la suite. Son année 2021 se poursuit par sa victoire à Roland Garros sur le taulier, R Nadal, puis à Wimbledon face à Matteo Berrettini, puis vient l’US Open en septembre où cette fois il échoue contre Alexander Zverev et aussi à remporter les quatre titres majeurs en une année pleine. Le Delta est alors à l’œuvre mais Novak Djokovic est toujours non vacciné.

Durant toute l’année 2021, l’Australie a versé dans la stratégie et peut-être la tragédie du zéro-covid en mettant sa population sous cloche et les autres aux portes de ses frontières, avec des moyens de répression de temps oubliés. Elle a néanmoins ré-ouvert ses contours au 1er novembre à condition exclusive d’être vacciné anti-Covid.

Nous sommes en janvier 2022, avec un variant Delta en fin de course pour laisser la place à un nouveau variant Omicron, beaucoup plus contagieux mais d’après statistiques, sept fois moins létal que son prédécesseur – donc Delta quatre fois moins létal que la sousche Wuhan et Omicron sept fois moins létal que Delta. Ceci peut s’expliquer scientifiquement, non pas par nos experts des plateaux Mainstream, mais par d’autres qui n’y sont jamais conviés. Le Professeur Raoult dans une vidéo publiée cette semaine https://www.youtube.com/watch?v=_x-eozrCCNM nous donne un début d’explication.

Celle-ci corrobore la longue interview accordée par Jean-Marc Sabatier – directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie, affilié à l’institut de neuro physiopathologie à l’université d’Aix-Marseille, plus tôt à France Soir, qui rentre beaucoup plus dans les détails https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/jean-marc-sabatier-entretien-1

Ce qu’il faut comprendre aussi est qu’un athlète de haut niveau est un laboratoire ambulant, hyper surveillé en termes de performances mais aussi de paramètres biologiques. Je sais de quoi je parle, car j’ai touché le haut niveau sportif. Rien, absolument rien n’est laissé au hasard de la contre-performance.

Donc, Novak Djokovic a pu faire son métier sans problème durant les deux dernières années où la phase épidémique était la plus menaçante et ne peut plus le faire quand ladite phase s’éteint ?

Vous voulez un parallèle ? Notre « instituteur de la 3ème République française » – terme emprunté au Courrier des Stratèges, s’époumone sur le passage au Passe Vaccinal à l’intérieur de notre Chambre Basse alors que d’une pandémie, nous nous dirigeons plutôt vers une endémie. Logique ?

Nous avons en face de nous des Etats souverains qui ne veulent absolument pas perdre la face mais même continuer cette ficelle pour hypnotiser les gens, les sidérer, pour les prendre à revers de leurs libertés, puis le reste. Mr Macron ne disait-il pas ceci le 15 octobre 2020 : « Nous sommes en train de réapprendre à devenir une nation. On s’était progressivement habitués à être une société d’hommes libres, nous sommes une nation de citoyens solidaires», ceci dans le contexte du confinement des vingt métropoles de France à date.

Une anecdote : Je me présente à ma banque ce matin pour y déposer des fonds d’entreprise. Du monde à l’intérieur. Une vieille dame et un type dans la trentaine à l’extérieur car il y a une jauge de gens prescrite marquée sur la porte. Il fait froid. Je me dirige directement vers l’agence pour y pénétrer car je sais qu’il me faut quinze secondes, chronomètre en main pour ouvrir un sas avec une clé propriétaire, y déposer les fonds et le refermer puis quitter les lieux. Le jeune type m’alpague en me montrant la jauge, sous l’œil de la vielle dame probablement ensorcelée par le Coronacircus. J’entre très vite en m’énervant contre lui, alors que ma guichetière, sans la solliciter et affairée m’adresse un bonjour, que je lui adresse en retour, un peu perturbé, et le même type en weekend, car c’est un samedi, me reprend verbalement mais timidement au rebours. Car j’avais véritablement envie de le fracasser. Avais-je tort ou raison ? Mais quoiqu’il en soit en cas de sinistre contre moi ou contre lui, j’aurai perdu vis-à-vis de lui devant les préconisations d’usage, en dépit du bon sens. Voilà tout le risque de nos sociétés en démolition …

Allez, je vous laisse, mais tout ce qui précède me fait froid dans le dos. De par mon âge qui n’est pas encore en fin de parti, j’ai connu la liberté en France ! Elle n’était pas irresponsable, mais gérée entre nous en familles et par nos commerces de gens qui s’espionnent mais qui gardent les pieds sur terre, pour la plupart. Bien sûr, il y avait l’Etat, mais il était loin, si loin …

Bien à vous !

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Une réflexion sur « L’affaire Djokovic »

  1. Vendredi, je me suis levé aux aurores pour aller faire mon INR. En sortant du labo à 7.45, la salle d’attente était déjà pleine de gens venus peut être comme moi pour éviter les tarés de Covid.

    Je n’en peux plus de voir tous ces cons masqués dans des rues désertes à chaque sortie. Depuis 15 jours, c’est redevenu comme il y a un an.

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