Il en est pour croire que le corporatisme protège, que le monopole d’une activité par quelques’uns, qui se disent initiés, est légitime. Ils se trompent lourdement.
Le corporatisme est une entrave à la liberté, il tend inévitablement à protéger la médiocrité ou, à minima, la moyenne.
Alors que la liberté, qui donne sa chance à qui la tente, permet au meilleurs de s’exprimer, sans pour autant qu’il y ait lieu de renier ceux qui échouent et produisent de l’ordinaire.
Le meilleur, l’ordinaire et le médiocre sont un tout qui forme l’humanité. Chacun de nous est tour à tour acteur dans une de ces trois situations, ce n’est pas grave.
Ce qui est grave c’est de perdre la liberté.