Claire Chaussy, l’enfer n’a-t-il pas de fin?

Hier j’ai reçu une nouvelle mise en demeure de cette dame pour un redressement que le fisc m’avait gentiment et bien sûr abusivement collé avec il faut le dire, la bénédiction et l’assentiment du tribunal de l’Inquisition, c’est-à-dire du Tribunal Administratif qui est chargé de donner quitus et une coloration légale aux diktats des agents « assermentés » du Politburo de Bercy.

Madame Claire Chaussy prend la suite de Madame Anne Béot qui elle-même avait prit la place de madame Joël Le Bail.

Il est vrai que la condamnation aux petits oignons qui avait ruiné mon entreprise et qui par conséquence directe m’avait aussi ruiné et tué ma femme suite à une rupture d’anévrisme (à 53 ans !), rupture en lien direct avec la pression mortelle exercée durant des années à l’encontre de ma société et de moi-même par les agents de Bercy, cette condamnation datant de plus de 20 ans.

Ces trois générations de fonctionnaires zélées se sont succédées et malgré ma ruine que tout un chacun peut constater et surtout, elles, à Bercy avec tous les moyens liberticides qu’elles ont à leur disposition pour me contrôler 24h sur24, elles continuent à me poursuivre.
Que peuvent elles espérer tirer d’un homme ruiné? d’un mort social?
Une machine de mort qui tourne à vide mais continue sur sa lancée…

Prendre 40% de  mon seul moyen de subsistance, ma retraite, que moi j’ai mérité en apportant une large contribution à l’économie française, n’étant pas fonctionnaire improductif, en employant plus de 50 personnes pendant 25 ans et en reversant des tonnes de taxes en contributions multiples et diverses, ils commettent un véritable crime contre l’humanité  en me rendant, à vie et au-delà ,esclave d’une fausse dette « légale » qui poursuivra sans aucun remord, grâce à ces tortionnaires sans conscience dans la lignée des tchékistes, mes enfants et peut être mes petits-enfants.

J’aurais mieux fait de faire un braquage à la Toni Musselin ou à la Albert Spaggiari et prendre au maximum 6 ans.
J’aurais été tranquille après.
Avec Bercy la sentence est irrévocable et à vie. Ici point de juge d’application des peine ni de remise de peine.
A  Bercy il n’y a que des fonctionnaires “Sanson”, sans véritable conscience ou qui l’ont perdu tout au début comme les fonctionnaires sous Vichy.

Le fisc français et ses « agents » ne souhaitent absolument pas connaître la vérité et se camouflent derrière les ordres de leur hiérarchie.
Défense classique déjà employée à Nurenberg…
N’oubliez pas que Bercy est la seule administration qui est juge et partie.
Le fisc français doit aussi se penser supra-infaillible pour édicter de telles condamnations sur plusieurs générations, ce qui est loin d’être le cas.
Seule la « justice » de Bercy ne connaît pas le doute et est plus implacable que la justice civile, surtout lorsqu’elle condamne un homme à tort sans possibilité d’Appel autre que de se retrouver devant le Tribunal Administratif. Et donc perdre à nouveau.
Il n’y a aucune porte de sortie.
C’est le serpent qui se mord la queue.

Avec ces pressions constantes et sans fin, je pense que le fisc attend, pour refermer mon dossier et retourner à d’autres persécutions plus lucratives, que je me suicide ou que je pête les plombs et finisse en asile psychiatrique comme tant d’autres.

Pousser à la mort, quand on sait pertinemment qu’il n’y plus rien à voler doit être leur but ultime car je ne vois pas l’intérêt de ces ATD, mises en demeure à répétition sur plus de 20 ans.
Tout le monde sait que l’on ne peut tondre un œuf mais pas Bercy.
Peut-être joue-t-il la terreur pour l’exemple, comme le  Guépéou ?

Une fois qu’ils vous ont fait monter dans le train de la mort, il faut que la mort soit au bout…

 

un  commentaire très réaliste de Richard Armenante:
Il ne suffit pas aux agents du fisc de Bercy d’être heureux, il faut que les autres soient malheureux.
« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »
Pasteur Martin Niemöller

 

et aussi:  https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/

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4 réflexions sur « Claire Chaussy, l’enfer n’a-t-il pas de fin? »

  1. Comme je comprends ce que votre épouse a pu ressentir comme stress et l’issue fatale inévitable qui en a découler!

    J’ai moi-même eu envie plusieurs fois que la ‘faucheuse’ vienne me prendre dans mon lit, mais elle ne semble pas décidée, c’est pas mon heure ou peut être ne suis je pas encore assez dépouillée ?

    Comme je connais votre détresse face à la machine à broyer que représente BERCY :

    J’ai reçu récemment une seconde lettre de relance pour le paiement d’une pénalité de retard pour une taxe réglée dans les délais : il y a 5 mois !
    impossible de m’en dépêtrer, mon mandataire a répondu à la première relance
    puis à la seconde…

    Que c’est pénible, accablant, usant !

    Force est de constater que ‘peu importe que l’on soit dans les clous’ ou ‘hors des clous’, le résultat est le même, la règle qui s’impose aujourd’hui est :

    ‘Payez et fermez là ou crevez !

    Longue vie à ce blog !

  2. Il ne suffit pas aux agents du fisc de Bercy d’être heureux, il faut que les autres soient malheureux.
    « Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
    Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
    Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
    Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »
    Pasteur Martin Niemöller

  3. Bercy, l’honnêteté intellectuelle, la vérité, la démonstration d’évidence, les scrupules, la rectitude, le devoir, la modération, la vérification avec preuve de bon aloi, le courage, la sincérité, la fidélité, le respect de la parole donnée, la droiture, Bercy dis-je s’assoit sur toutes ces qualités sans l’ombre d’une quelconque vergogne.
    La France ne peut plus subsister dans un état ravagé par le mensonge, la corruption et l’hypocrisie portée en drapeau du déshonneur avec une fierté incongrue.

  4. Comment cette réalité peut-elle se développer sous le regard de tous, sans que personne ne se révolte face à une telle folie meurtrière.
    L’humanité ne fait aucun progrès, la mort de l’autre est peu de chose pour ceux qui en escomptent un bénéfice, même comme ici factice.
    Et les bourreaux sont légions, ils arrivent même à avoir la conscience tranquille.
    Quel dégoût…

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