Archives de catégorie : Zap du Net

Une selection d’articles choisis sur le net par E. Bolling

PETIT TOUR D’HORIZON DES DEFILES POUR LA LIBERTE EN FRANCE (vidéos avant qu’elles disparaissent)

https://www.facebook.com/medianar2.0/videos/872367217024891

https://www.facebook.com/Lafrancecitoyennelibredexpression/videos/883481685710276

https://www.facebook.com/jeanchristophe.chavanon/videos/602609677412747

https://www.facebook.com/nadia.piraud.98/videos/1016843175722945

https://www.facebook.com/lafamillejerome/videos/4062544003842503

https://www.facebook.com/RTFrance/videos/184861170199368

https://www.facebook.com/lim.toss.5/videos/530702421682897

https://www.facebook.com/Putschmedia/videos/557768642064989

J’en ai comme ça des dizaines.
La France était dehors même dans les petites villes.
Officiellement quelques milliers de personnes auront défilés…

 

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QUI PEUT ENCORE PARLER DE L’ETAT DE DROIT EN FRANCE? (vidéo sur public sénat 8mn)

 

https://www.facebook.com/carbon.deseze/videos/327305295740519

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LA VOITURE ELECTRIQUE: UN NON SENS POUR LA PLANETE…

UNE ABERRATION !
Arrêtez d’acheter des véhicules électriques : Le Canard Enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un article au vitriol sur l’absurdité de la stratégie de la voiture électrique engagée par la France.
En ligne de mire, la voiture électrique censée être la solution d’avenir pour sauver la planète en danger.
On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c’est la solution d’avenir et surtout la seule voie pour sauver la planète.
La sauver de quoi ?
On ne sait pas trop, mais il faut la sauver, nous serine-t-on !
À cette fin, la France s’est engouffrée tête baissée dans le tout électrique mais sans aucun discernement.
Partant, nos gouvernants ont enjoint les constructeurs automobiles de tout miser sur l’électrique. Soit !
Mais qu’est-ce que cela signifie ?
D’abord, l’installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les véhicules les plus performants à l’heure actuelle, ne peuvent prétendre à une autonomie supérieure à 500 km.
Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glaces, du dégivrage ou de la climatisation…
Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette énergie. Et là, il faut s’attarder un instant.
À l’heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares.
Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel.
Or le nickel est plutôt rare sur notre terre.
Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d’étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel »
Extraction du nickel à Goro en Nouvelle Calédonie.
Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver.
Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie et son extraction est une vraie galère car on ne le trouve jamais à l’état pur.
Dans les minerais, il n’existe qu’en très faible proportion .Par conséquent, il faut creuser et creuser encore, broyer, cribler, hyrocycloner pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins.
Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l’on déverse la plupart du temps dans la mer !
Mais qu’importe la biodiversité pour les Khmers verts qui ne jurent que par la « mobilité verte », laquelle n’a pas de prix pour eux.
Extraction du lithium en Bolivie.
Il n’y a pas que le nickel en jeu, il y a aussi le lithium.
Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci provient des hauts plateaux des Andes.
Pour l’extraire, on pompe sous les salars (lacs salés asséchés) ce qui entraîne une migration de l’eau douce vers les profondeurs.
Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du manque d’eau.
Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu’on va chercher au Congo.
Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour seulement 2 dollars par jour (Les Échos du 23/09/2020).
Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins, veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce secteur. Alors, le travail des enfants, ça reste un détail.
Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.
On fait donc des carrosseries en aluminium dont l’extraction génère ces terribles boues rouges, déchets insolubles issus du traitement de l’alumine avec de la soude et qui sont composées de plusieurs métaux lourds tels que l’arsenic, le fer, le mercure, la silice et le titane, que l’on déverse aussi dans la mer au mépris des questions d’environnement, comme à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône.
Voilà ce qu’est le développement « durable » selon nos écologistes. Un dogme qui ne laisse aucune place à la raison..!!

Trouvé sur F.B

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LE VACCIN H1N1, ça ne vous rappelle pas le vaccin Covid?

Petit retour dans le passé.
Ce n’est pas si loin.
Le baratin est toujours le même.
Je dois vous avouer que je les avais cru et que je m’étais fait vacciner comme un bon petit mouton que j’étais.
On ne m’y reprendra plus.
Sauf si…

https://www.facebook.com/jloisse/videos/322818999496780

Grippe H1N1: niveau d’alerte 5A maintenu.
La vidéo a « disparu »
Vous pouvez quand même la regarder sur You tube

 

Grippe H1N1: niveau d’alerte 5A maintenu

https://www.youtube.com/results?search_query=Grippe+H1N1%3A+niveau+d%27alerte+5A+maintenu.

Pour le Covid ils ont osé!

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LES NOUVELLES AVENTURES DU FUHRER ET LES VACINES… (vidéo 4 mn)

https://www.youtube.com/watch?v=Lt7WYq4VxDg&t=1s

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UNE BIEN JOLIE COUTUME « ancestrale »… (vidéo 3,40 mn)

Chasse à la glue, corrida, et j’en passe.
Ebouillanter, dépecer vivant des chiens, manger le cerveau de singes toujours vivants: encore des « coutumes » culinaires.
La barbarie humaine est toujours d’actualité et n’a pas de frontières…

Ici quelques méchants dauphins!

https://www.facebook.com/brutofficiel/videos/306916150506939

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IL SUFFIT DE REMPLACER ENNUQUES PAR ENARQUES…

Lorsque les parasites ont pris le pouvoir, il est pratiquement impossible de s’en défaire:

Incident de la rosée douce

L’incident de la rosée douce (chinois traditionnel : 甘露事變), ou incident Ganlu (chinois traditionnel : 甘露之變), qui se déroule le 14 décembre 8351,2, est une tentative d’élimination physique des eunuques de la Cour Impériale chinoise menée par l’empereur Tang Wenzong, avec l’aide du chancelier Li Xun et du général Zheng Zhu2. Cette tentative échoue lorsque les eunuques comprennent ce qui arrive et contre-attaquent avec l’appui des soldats de la garde Shence, qui sont sous leurs ordres. Li Xun, Zheng Zhu, ainsi que beaucoup de leurs associés et d’autres fonctionnaires sont tués, ce qui permet aux eunuques de contrôler encore plus étroitement l’empereur Wenzong et son gouvernement2,3.

Situation avant l’incident

Lorsqu’ils arrivent à la Cour Impériale des Tang, Li Xun et Zheng Zhu sont des amis et associés du puissant eunuque Wang Shoucheng et c’est ce dernier qui les présente à l’empereur Wenzong. Néanmoins, avec le temps, Wenzong commence à montrer des signes de ressentiment envers les eunuques, qu’il trouve beaucoup trop puissants. En effet, ces derniers contrôlent la garde Shence, qui est alors la seule unité militaire sous les ordres directs des Tang, et ils ont un poids politique de plus en plus important au sein de la Cour Impériale. À ce stade, Li et Zheng font partie de ses amis proches et ils ne peuvent pas être soupçonnés par les eunuques, puisque c’est Wang qui les a introduits. Wenzong s’ouvre à eux et tous les trois commencent à comploter pour éliminer les eunuques. Lors de l’été 835, Li et Zheng persuadent Wenzong d’appliquer un plan détaillé en trois phases pour pacifier l’Empire : d’abord détruire les eunuques, puis récupérer les terres perdues au profit de l’Empire du Tibet et enfin détruire les seigneurs de la guerre du nord du fleuve Jaune2.

Ils commencent à appliquer ce plan au cours de l’été 835. Dans un premier temps, Wenzong rogne une partie du pouvoir de Wang en donnant le commandement de l’une des deux gardes Shence à l’eunuque Qiu Shiliang, qui est un rival de Wang, et en l’éloignant d’un autre eunuque, Wei Yuansu (韋元素). Wang Shoucheng était également en conflit avec Wei et les eunuques responsables de la communication du palais, à savoir Yang Chenghe (楊承和) et Wang Jianyan (王踐言). Pour apaiser Wang, tout en éliminant Wei, Yang et Wang Jianyan, Wenzong éloigne ces derniers de Chang’an, la capitale, en les nommant surveillants de trois circuits différents. Par la suite, l’empereur envoie aux trois eunuques un édit leur donnant l’ordre de se suicider. Toujours dans le cadre du plan, Zheng part de Chang’an pour être nommé gouverneur militaire (Jiedushi) du circuit de Fengxiang (鳳翔)4, afin qu’il puisse rassembler des troupes à utiliser contre les eunuques. Li Xun et Zheng Zhu ont aussi repéré six eunuques qui étaient entrés en conflit avec Wang Shoucheng par le passé, à savoir Tian Yuancao (田元操), Liu Xingshen (劉行深), Zhou Yuanzhen (周元稹), Xue Shigan (薛士幹), Sixian yiyi (似先義逸), et Liu Yingchan (劉英). Comme pour Yang Chenghe et Wang Jianyan, ils sont tous les six nommés surveillants dans six circuits lointains, pendant que le lettré Gu Shiyong (顧師邕) prépare des édits à envoyer plus tard dans lesdits circuits pour leur ordonner de se suicider2.

Pendant l’hiver 835, l’empereur Wenzong, suivant les conseils de Li et Zheng, envoie du vin empoisonné à Wang Shoucheng afin de le tuer. Comme prévu par les comploteurs, Wang meurt. La suite du plan de Li et de Zheng prévoyait d’utiliser l’enterrement de Wang, qui doit avoir lieu le 20 décembre, pour passer à l’action1. Zheng devait ramener ses gardes personnels à Chang’an pour assister à l’enterrement, auquel les eunuques étaient tous censés assister. Les gardes de Zheng devaient alors attaquer les eunuques par surprise et les tuer. Cependant, Li Xun, devenu entretemps chancelier, est jaloux de Zheng et ne compte pas lui laisser tout le crédit de l’élimination des eunuques. Il décide donc d’agir avant lui et commence par faire nommer Guo Xingyu (郭行餘) gouverneur militaire du circuit de Binning (邠寧)5; Wang Fan (王璠) gouverneur militaire du circuit de Hedong (河東)6; Luo Liyan (羅立言) maire par intérim de Jingzhao et Han Yue (韓約) général de la garde impériale. Il compte sur ses quatre alliés pour rassembler des troupes et être prêt à agir contre les eunuques avant Zheng. Selon les historiens chinois, seules ces quatre personnes ainsi que Li Xiaoben (李孝本), le chef adjoint de la censure impériale, et le chancelier Shu Yuanyu sont alors au courant des plans de Li2.

Déroulement des événements

Début de l’attaque de Li Xun et ses alliés

Le 14 décembre 8351, Wenzong organise une réunion impériale au Hall Zichen (紫宸殿), avec les officiels de la Cour. Han Yue, qui est le Général du corps d’armée Jinwu de Gauche (左金吾), se présente devant l’empereur et tout le monde s’attend à ce qu’il fasse l’habituel rapport des généraux des Jinwu de Gauche et de Droite indiquant que tout va bien. À la place, il annonce que, durant la nuit précédente, une rosée douce (甘露), ou Ganlu en chinois, s’est déposée sur un arbre à grenade situé à l’extérieur du quartier général du corps d’armée Jinwu de Gauche. Cela dit, il s’incline devant Wenzong et les chanceliers font immédiatement le nécessaire pour que les autres fonctionnaires félicitent l’empereur, la Ganlu étant considérée comme un signe de faveur divine. Li Xun et Shu Yuanyu suggèrent que Wenzong aille observer la Ganlu lui-même afin qu’il puisse recevoir la bénédiction du ciel. Wenzong accepte et les fonctionnaires partent pour le Hall Hanyuan (含元殿), qui se situe près du quartier général concerné. Wenzong lui-même prend place dans une litière et se rend à Hanyuan2.

Une fois tout le monde sur place, Wenzong donne l’ordre aux Chanceliers, ainsi qu’aux fonctionnaires du Bureau d’examen (門下省, Menxia Sheng) et du Bureau législatif (中書省, Zhongshu Sheng) d’examiner cette Ganlu. Une fois cela fait, Li Xun revient et annonce : « Après que nous l’ayons examinée, il me semble qu’il ne s’agit pas d’une vraie Ganlu. Cela ne devrait pas être annoncé immédiatement, sinon, l’Empire vous féliciterait prématurément. » Wenzong laisse apparaître sa surprise et ordonne à Qiu Shiliang ainsi qu’à Yu Hongzhi(魚弘志), le commandant de la garde Shence, d’aller examiner la Ganlu avec les autres eunuques2.

Dès que les eunuques ont quitté le Hall Hanyuan, Li y convoque Guo Xingyu et Wang fan, avant de déclarer : «Soyez prêt à recevoir l’édit.» Effrayé, Wang ne fait rien en présence de Wenzong, mais Guo obtempère et s’agenouille devant l’empereur. Pendant ce temps, plusieurs centaines de soldats de Wang et Guo attendaient à l’extérieur de la porte Danfeng (丹鳳門), soit juste en dehors du Hall Hanyuan. Li Xun leur ordonne de passer la porte pour recevoir l’édit, mais seuls les soldats de Wang entrent, ceux de Guo restant sur place2.

Pendant ce temps, Qiu et les autres eunuques sont arrivés au quartier général du corps d’armée Jinwu de Gauche. À ce moment-là, Han Yue commence à avoir peur, devient nerveux et se met à transpirer. En le voyant ainsi, Qiu commence à sentir que quelque chose ne va pas. Soudain, une rafale de vent fait tomber un paravent et Qiu voit alors de nombreux soldats armés et entend des bruits d’armes. Surpris, Qiu et les autres eunuques courent rapidement vers l’extérieur. Alors que les gardes de la Jinwu sont sur le point de fermer les portes pour les bloquer, Qiu leur hurle dessus et, stupéfait, les gardes laissent passer les fuyards. Immédiatement, Qiu et les autres eunuques repartent vers le Hall Hanyuan et se préparent à faire un rapport à Wenzong sur ce qui se passe2.

La bataille du Hall Hanyuan

Lorsque Li voit les eunuques revenir dans le Hall, il crie aux gardes de la Jinwu de protéger l’empereur et il leur promet des récompenses. De leur coté, les eunuques crient qu’il y a une urgence et que l’empereur doit retourner immédiatement au Palais. Ils attrapent la litière de l’empereur Wenzong, l’y mettent dessus et courent vers le Nord en traversant le paravent cordé situé derrière le hall Hanyuan, et le brisent au passage, pour rejoindre le palais le plus vite possible. Li court après la litière et l’attrape en criant, « je n’ai pas terminé mon rapport, et votre majesté impériale ne devrait pas retourner au Palais2! »

À ce moment, les gardes de la Jinwu sont dans le hall Hanyuan, ainsi que les membres de la police gouvernementale de Jingzhao, dirigés par Luo Liyan, et les gardes du Bureau de la censure impériale dirigés par Li Xiaoben. Tous attaquent les eunuques et tuent ou blessent plus de 10, ce qui n’empêche pas les survivants de continuer à porter la litière de l’empereur Wenzong et de traverser la porte Xuanzheng (宣政門) pour pénétrer dans le palais. Li, qui s’accroche encore à la litière, exhorte l’empereur Wenzong à s’arrêter, mais ce dernier lui crie de se taire. L’eunuque Chi Zhirong (郗志榮) frappe alors Li Xun à la poitrine et ce dernier tombe au sol. La litière finit alors de passer la porte Xuanzheng, qui est fermée sous les acclamations des eunuques. Les soldats et officiers présents dans le hall Hanyuan s’arrêtent un instant, puis s’enfuient, comprenant que le complot a échoué. De son côté, Li Xun met un uniforme vert appartenant aux membres de son personnel, récupère un cheval, et s’enfuit en répétant bruyamment tout le long du chemin: «quel crime ai-je commis pour être exilé? « . Son stratagème fonctionne, car personne sur la route ne le soupçonne d’être Li. Pendant ce temps, Shu Yuanyu, et les autres chanceliers Wang Ya et Jia su retournent au Bureau des Chanceliers et pensent qu’ils seront bientôt convoqués par l’empereur Wenzong pour statuer sur la marche à suivre. Lorsque les fonctionnaires du Bureau viennent leur demander ce qui s’est passé, ils leur répondent de continuer à travailler et de ne pas s’inquiéter2.

Le massacre des fonctionnaires

À ce stade des opérations, Qiu Shiliang et les autres eunuques ont réalisé que l’empereur Wenzong est complice de ce complot et ils le maudissent ouvertement en sa présence. Selon les historiens chinois, Wenzong a tellement peur qu’il est alors incapable de parler. Pendant ce temps, Qiu et les autres eunuques envoient Liu Tailun (劉泰倫) et Wei Zhongqing (魏仲卿), deux officiers de la garde Shence ayant chacun 500 soldats en armes sous leurs ordres, attaquer ceux qu’ils considèrent comme des alliés de Li et de Zheng Zhu2.

Ne se doutant pas de ce qui se prépare, Wang Ya et les autres chanceliers étaient prêts à tenir leur habituelle conférence du déjeuner. C’est alors qu’un membre du personnel vient les avertir : «les soldats sortent du palais et tuent tous ceux qu’ils rencontrent!». Les Chanceliers, incapables de se mettre rapidement à cheval, s’enfuient à pied, accompagnés des fonctionnaires des bureaux législatifs et d’examen, ainsi que des soldats de la Jinwu, soit un total de plus de 1 000 personnes qui s’entassent dans le goulot d’étranglement que représente la porte du bureau des Chanceliers. Finalement, les portes sont fermées alors qu’à peu près 600 personnes sont toujours piégées à l’intérieur, et les soldats de la Shence rentrent, puis les massacrent. D’autres soldats de la Shence sont également envoyés fermer toutes les portes de la cité impériale et entrer dans divers bureaux gouvernementaux pour attaquer les fonctionnaires. Selon les sources de l’époque, les fonctionnaires, les gardes et les civils qui se trouvent alors dans les bureaux, soit plus de 1000 personnes, sont tous massacrés. Divers dossiers, sceaux, livres et autre matériel appartenant au gouvernement sont détruits pendant le massacre. Les eunuques envoient également des cavaliers en dehors de la cité impériale pour tenter de capturer ceux qui ont fui2.

Shu Yuanyu est capturé après avoir changé son uniforme contre des vêtements civils et alors qu’il se prépare à s’enfuir à cheval en passant par la porte Anhua (安化門). Wang Ya, qui a plus de 70 ans, marche jusqu’à un magasin de thé situé dans le Xian de Yongchang (永昌里), où il est capturé. Les soldats de la Shence l’emmènent jusqu’à leur quartier général, où il est torturé. Incapable de supporter la douleur, Wang fait de faux aveux et dit à ses tortionnaires que lui et Li avaient l’intention de renverser l’empereur Wenzong et de soutenir l’accession au trône de Zheng comme nouvel empereur. Wang Fan s’enfuit jusqu’à son manoir du Xian de Changxing (長興里), et ordonne aux soldats du Circuit de Hedong de garder ledit manoir. Quand les officiers de la Shence arrivent sur place, il se mettent à crier : « Wang Ya a commis une trahison. L’empereur veut que tu prennes un poste de chancelier, et le commandant Yu voulait que je vienne te saluer. » Wang Fan les croit et sort de son manoir. Ce n’est que lorsque les officiers commencent à le féliciter d’un ton moqueur que Fan se rend compte qu’il a été trompé. Les soldats de la garde Shence capturent également Luo Liyan dans le Xian de Taiping (太平里), ainsi que les parents de Wang ya et ses domestiques. Tous finissent emprisonnés. Li Yuangao (李元臯), le cousin de Li Xun, est tué2.

Pendant ce temps, sous couvert de chercher les complices de Li et des chanceliers, les soldats de la Shence se livrent au pillage des habitations des ménages les plus fortunés de la capitale. Par exemple, comme Hu Zheng (胡證), l’ancien gouverneur militaire du circuit de Lingnan (嶺南)7, est extrêmement riche, les soldats de la Shence ont utilisé comme excuse le fait de rechercher Jia Su pour entrer dans son manoir et tuer son fils Hu Yin (胡溵). Les habitations des hauts fonctionnaires Luo Rang (羅讓), Hun Hui (渾鐬) et Li Zhi (黎埴) sont pillées de la même manière. Les chroniques chinoises rapportent que beaucoup de voyous et autres bandits ont également utilisé cette occasion pour se venger et piller2.

Exécutions des chanceliers et des comploteurs

Le matin du 15 décembre1, lorsque les fonctionnaires survivants veulent entrer dans le palais pour assister à la réunion impériale de routine qui se tient au Hall Zichen, la porte Jianfu (建福門) reste fermée jusqu’au lever du soleil. Lorsqu’elle finit par s’ouvrir, les soldats de la Shence qui la gardent n’autorisent chaque fonctionnaire à rentrer qu’avec un seul assistant. Aucun des Chanceliers ou censeurs impériaux n’assiste à la réunion, et beaucoup d’autres hauts fonctionnaires sont également absents. Quand l’empereur Wenzong demande pourquoi les chanceliers ne sont pas là, Qiu Shiliang répond: « Wang Ya et les autres ont commis une trahison, et ils ont été arrêtés. » Qiu montre la confession de Wang Ya à l’empereur Wenzong et aux Pushe (僕射)8 Linghu Chu et Zheng Tan. Après avoir lu ces aveux, Wenzong est à la fois attristé et irrité et demande à Linghu et Zheng s’il s’agit bien de l’écriture de Wang Ya. Lorsque les Pushe le lui confirment, Wenzong répond « alors même l’exécution n’est pas suffisante pour leurs crimes. » Il donne ensuite l’ordre que Linghu et Zheng prennent la charge du Bureau des Chanceliers et y règlent tous les problèmes, et que Linghu rédige un édit pour expliquer tout ce qui s’était passé, ce qui revient à déclarer la culpabilité de Wang Ya et des autres chanceliers. Linghu même sa tache à bien, mais son édit est rédigé en utilisant un langage terne pour décrire la prétendue trahison de Wang Ya et de Jia Su, ce qui met en colère Qiu. Au final, si Zheng est bien fait Chancelier, Linghu reste un simple Pushe2. À cette date, les pillages dans les rues se poursuivent. Pour y remédier, les eunuques ordonnent à Yang Zhen (楊鎮) et Jin Suiliang (靳遂良), deux officiers de la Shence, de prendre 500 soldats chacun et de rétablir la sécurité dans les rues principales de Chang’an. Les soldats descendent donc dans la rue, en faisant battre des tambours pour avertir les pillards, et finissent par rétablir l’ordre après avoir tué environ 10 voyous2. Jia Su avait réussi à se débarrasser de son uniforme pour revêtir des vêtements civils et depuis les événements du 14, il vit caché parmi le peuple. Mais après une nuit de cette vie clandestine, il finit par se convaincre qu’il n’a aucun moyen à sa disposition pour fuir. Il échange alors sa tenue civile pour des vêtements de deuil, monte sur un âne et va à la porte de Xing’an (興安門), où il explique aux gardes qui il est et demande à être livré aux soldats de la Shence, ce qui est fait sans délais. De son côté, Li Xiaoben utilise le même subterfuge que Li Xu en mettant un uniforme vert de serviteur, mais garde une ceinture d’or. Il couvre son visage avec un chapeau et essaye de s’enfuir à cheval jusqu’à Fengxiang. Vaine tentative, car les gardes de la Shence le capturent alors qu’il est juste à l’ouest de Xianyang (咸陽)9,2.

Le 16 décembre1, Zheng Tan est nommé chancelier2 et Li Xun arrive aux monts Zhongnan (終南山), où il tente de trouver refuge auprès du moine bouddhiste Zongmi, qui est un de ses amis. Au début, Zongmi veut tonsurer Xun pour le déguiser en moine, mais ses disciples l’exhortent à ne pas accepter le fuyard au sein de la communauté. Li Xun quitte donc les monts Zhongnan et tente de fuir vers Fengxiang. En chemin, il est intercepté par Song Chu (宋楚), le défenseur de Zhouzhi (盩厔)10, qui l’arrête et l’envoie à Chang’an. Lorsque l’escorte de Li Xun arrive au niveau de l’étang de Kunming (昆明池), Li, craignant que les eunuques ne le torturent et l’humilient, demande à l’officier qui l’escorte de le décapiter pour que les soldats de la Shence ne puissent s’emparer de lui et prendre la gloire eux-mêmes. L’officier accepte et décapite Li, avant de livrer sa tête à Chang’an2.

Le 17 décembre1, Li Shi, qui avait été muté par Luo Liyan au poste de maire de Jingzhao11, est nommé chancelier ainsi que le directeur des finances2. Le même jour, une grande procession est organisée pour les exécutions des Chanceliers et des principaux associés de Li Xunt. 300 soldats de la garde Shence de la gauche, transportant la tête de Li en avant de la procession, escortent Wang Ya, Wang Fan, Luo et Guo Xingyu. Dans le même temps, 300 soldats de la garde Shence de la droite escortent Jia, Shu Yuanyu et Li Xiaoben. Les fonctionnaires sont emmenés aux sanctuaires ancestraux et aux sanctuaires des dieux de la terre, où ils sont présentés comme s’ils étaient des animaux à sacrifier. Ensuite, ils défilent sur les marchés de l’est et de l’ouest de Chang’an. Sous la supervision des autorités impériales, ils sont exécutés en étant coupés en deux au niveau de la taille, puis leurs têtes sont coupées et accrochées à l’extérieur de la porte Xing’an. Leurs proches, peu importe leur niveau de parenté, sont également exécutés, y compris les enfants, et certains qui, dans une premier temps, avaient échappé à la mort, deviennent des esclaves du gouvernement. Les chroniques chinoises de l’époque prétendent que, pendant ces quelques jours, aucune des décisions prises au nom de l’empereur Wenzong n’a été voulue par lui ou même connue de lui et qu’elles sont toutes le fait de Qiu et Yu Hongzhi2.

Le 18 décembre1, Gu Shiyong est arrêté pour avoir rédigé les édits donnant l’ordre au six eunuques partis enquéter dans des Circuits de se suicider, ceci alors que ces édits ont été totalement ignorés par leurs destinataires2. Pendant ce temps, Zheng Zhu, ignorant tout des actions de Li, continue d’appliquer le plan initial et part de Fengxiang avec ses gardes. Quand il arrive à Fufeng (扶風)12, Han Liao (韓遼), le magistrat du Xian de Fufeng prend conscience du plan de Zheng et refuse de lui fournir le ravitaillement dont il a besoin, avant de s’enfuir à Wugong (武功)13. Quand Zheng apprend que Li a agi de son propre chef et a échoué, il retourne à Fengxiang2. Son subordonné Wei Hongjie (魏弘節) lui suggère de tuer Zhang Zhongqing (張仲卿), qui est l’eunuque chargé de surveiller le circuit de Fengxiang, ainsi qu’un certain nombre d’officiers, mais Zheng, terrifié, ne sait pas quoi faire14. Dans le même temps, Qiu rédige un édit au nom de l’empereur Wenzong, qu’il envoie à Zhang Zhongqing et dans lequel il lui donne l’ordre d’agir contre Zheng. Au début, Zhang ne sait pas quoi faire, jusqu’à ce que l’officier Li Shuhe (李叔和), lui propose de tendre un piège à Zheng Zhu en l’invitant à une fête. Li Shuhe distribue nourriture et boissons aux gardes de Zheng, puis, pendant la fête, profite d’un moment de distraction de Zheng pour le tuer et le décapiter. Il fait ensuite tuer les gardes de Zheng, sa famille, ainsi qu’un grand nombre de membres du personnel du défunt. Zhang envoie ensuite Li Shuhe livrer la tête de Zheng à Chang’an, où il arrive le 20 décembre1. Or, depuis le 19 décembre1, les eunuques ont préparé des troupes et mis la ville sur le pied de guerre, au cas où Zheng lancerait une attaque. Ces préparatifs ont provoqué une grande panique au sein de la population de la capitale, qui ne se calme que lorsque la tête de Zheng est accrochée sur la porte de Xing’an. En ce qui concerne Han Yue, il est capturé le 20 décembre1 et exécuté le 21 décembre1,2.

Conséquences

Après cet incident, les eunuques, dirigés par Qiu Shiliang et Yu Hongzhi, contrôlent complètement la scène politique pendant un certain temps. Quand les six eunuques qui avaient reçu l’ordre de se suicider retournent à Chang’an, Tian Yuancao prétend qu’il était prêt à massacrer les fonctionnaires, ce qui provoque un nouveau mouvement de panique de grande ampleur à Chang’an. Ce n’est qu’après avoir vu que Li Shi et le général Chen Junshang (陳君賞) restent calmes que la population de la ville s’apaise2.

Au printemps 836, Liu Congjian, le gouverneur militaire du circuit de Zhaoyi (昭義)15, présente à l’empereur une accusation écrite très sévère envers les eunuques, où il affirme que les chanceliers exécutés étaient innocents et que les eunuques sont coupables de crimes graves. Les eunuques essayent d’abord d’apaiser Liu en le couvrant d’honneurs, mais il continue ses accusations contre eux, et tout particulièrement contre Qiu. D’après les sources d’époques, c’est uniquement grâce aux accusations de Liu que les eunuques décident de rendre une certaine liberté d’action à l’empereur Wenzong, Li Shi, et Zheng Tan, afin d’apaiser les tensions2. Malgré ce recul, les historiens chinois de la dynastie Tang et des dynasties suivantes s’accordent sur le fait qu’après l’incident de la rosée douce, et presque jusqu’à la chute de la dynastie Tang, les eunuques ont la mainmise sur le gouvernement, et sont les seuls à déterminer qui monte sur le trône après la mort d’un empereur3.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Incident_de_la_ros%C3%A9e_douce?fbclid=IwAR16YkgqqOym0N9KjY86TbK6DnUFQf4bd78wm7ZMbhj_SVzVbt2Jd_E6aOo

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COVID: Opération Intimidation… (vidéo 10mn)

https://lemediaen442.fr/la-croix-du-sud-la-capsule-56-operation-intimidation/?fbclid=IwAR3SsnCact770sctXuBMAt3dxIANZ1l4R3zWO3bEc9QFAHZCwogcVMkcpOk

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Le magistrat Charles Prats décrypte l’ampleur des fraudes aux prestations sociales en France! (vidéo 4/23mn)

https://www.youtube.com/watch?v=Ldigvc5YwqQ

Délire social chiffré.

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LE CRIME PARFAIT DE NOS ENARQUES AVEC LE COVID (vidéo 3h27)

Après “Hold Up” après “Mal Traités”, voici le documentaire qui va faire du bruit : Le crime parfait – par Olivier Probst.
C’est un peu long et croira qui voudra…

https://odysee.com/@olivierprobst:8/Vaccination-Covid-19,-le-crime-parfait:e

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DANS LA LIGNEE DES EOLIENNES, VOILA LA VOITURE ELECTRIQUE. encore une absurdité de nos écolos…

Trouvé sur FB
Le Canard Enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un article au vitriol sur l’absurdité de la stratégie de la voiture électrique engagée par la France.
En ligne de mire, la voiture électrique censée être la solution d’avenir pour sauver la planète prétendument en danger.
On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c’est la solution d’avenir et surtout la seule voie pour sauver la planète.
La sauver de quoi ?
On ne sait pas trop, mais il faut la sauver, nous serine-t-on !
À cette fin, la France s’est engouffrée tête baissée dans le tout électrique mais sans aucun discernement.
Partant, nos gouvernants ont enjoint les constructeurs automobiles de tout miser sur l’électrique. Soit !
Mais qu’est-ce que cela signifie ?
D’abord, l’installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les véhicules les plus performants à l’heure actuelle, ne peuvent prétendre à une autonomie supérieure à 500 km.
Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glaces, du dégivrage ou de la climatisation…
Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette énergie. Et là, il faut s’attarder un instant.
À l’heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares.
Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel.
Or le nickel est plutôt rare sur notre terre.
Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d’étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel »
Extraction du nickel à Goro en Nouvelle Calédonie.
Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver.
Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie et son extraction est une vraie galère car on ne le trouve jamais à l’état pur.
Dans les minerais, il n’existe qu’en très faible proportion .Par conséquent, il faut creuser et creuser encore, broyer, cribler, hyrocycloner pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins.
Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l’on déverse la plupart du temps dans la mer !
Mais qu’importe la biodiversité pour les Khmers verts qui ne jurent que par la « mobilité verte », laquelle n’a pas de prix pour eux.
Extraction du lithium en Bolivie.
Il n’y a pas que le nickel en jeu, il y a aussi le lithium.
Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci provient des hauts plateaux des Andes.
Pour l’extraire, on pompe sous les salars (lacs salés asséchés) ce qui entraîne une migration de l’eau douce vers les profondeurs.
Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du manque d’eau.
Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu’on va chercher au Congo.
Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour seulement 2 dollars par jour (Les Échos du 23/09/2020).
Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins, veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce secteur. Alors, le travail des enfants, ça reste un détail.
Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.
On fait donc des carrosseries en aluminium dont l’extraction génère ces terribles boues rouges, déchets insolubles issus du traitement de l’alumine avec de la soude et qui sont composées de plusieurs métaux lourds tels que l’arsenic, le fer, le mercure, la silice et le titane, que l’on déverse aussi dans la mer au mépris des questions d’environnement, comme à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône.
Voilà ce qu’est le développement « durable » selon nos écologistes. Un dogme qui ne laisse aucune place à la raison !
Abdessatar Klai
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LES TEUFFEURS, LES NOUVEAUX TERRORISTES DE NOTRE DEMOCRATIE.

Ce n’est pas de moi mais le Message d’un mec libre que je renvoie car il me parle…
Continuez les mecs et courage.
« Je suis un mec lambda. J’ai 31ans, suis ingénieur depuis bientôt 10ans. J’ai fait des études, j’ai obtenu mon bac avec mention. J’ai un poste de cadre, je paie mes impôts, je fais des heures sup, je paye mon loyer, je vais au supermarché faire mes courses, je paye mes factures d’eau, d’électricité, je cotise, je vais voter. Pendant la semaine, je suis vu comme un citoyen modèle qui participe activement à la vie en société.
Mais quand le samedi soir arrive, je deviens leur « punk a chien », leur « déchet », leur « dégénéré », je fais partie de ce « ramassis de drogués et d’alcooliques » qui fait tant couler l’encre des journaux ces temps-ci. Je pourrais être ton fils, ta fille, ta cousine, ton neveu, ton voisin, je fais partie de ce mouvement aussi vieux que moi. Je suis Teufeur.
Le samedi soir je ne vais pas dans ce club ou tout le monde va. Où on te demande d’être bien sapé, bien coiffé, bien rangé, ou on te taxe de 10€ le droit d’entrer, où on te racket encore 10 balles pour un verre de bière coupé à l’eau. Je préfère aller dans un champ, dans un bout de forêt où dans une friche industrielle assister à un spectacle de son et lumière éphémère qu’une poignée de jeunes s’est cassé la tête pendant des mois à mettre sur pied bénévolement. Je préfère écouter un son qui me met en transe, qui me donne envie de tasser la terre sous mes pieds plutôt que les « tubes de l’été » aseptisés que fait passer en boucle le DJ du club. Je préfère me retrouver assis dans l’herbe, au petit matin, à m’émerveiller avec mes potes devant les paysages des Monts d’Arrée plutôt que d’attendre la fermeture de la boîte pour me faire jeter par le videur et assister hagard, à la parade des mecs bourrés. Je préfère rester dormir sur place dans mon camion plutôt que de prendre le volant ou de payer un taxi pour rentrer chez moi a 6h du mat’.
Enfin je fais partie, comme toi, de tous ces gens qui étouffent et qui ne vivent plus depuis bientôt un an et demi. Mais je n’aime pas le foot, alors je dois rester chez moi. Pas le droit de retrouver mes potes, pas le droit d’écouter ma Tekno. Alors oui je suis comme toi qui brave le couvre feu pour rentrer de chez tes amis, comme toi qui quitte Paname pour aller t’aérer en Bretagne malgré le confinement et même comme toi le ministre hypocrite qui participe a ses dîners mondains organisé par ses relations bourgeoises au dessus des lois. On a tous fraudé d’une manière ou d’une autre ces temps-ci. Face à de telles mesures liberticides, plus personne n’est innocent.
Ce weekend j’ai vu des images où mes semblables, des citoyens modèles comme moi, dégénérés a leurs heures perdues, se font matraquer, gazer, voler, mutiler. J’ai vu les hordes Macronistes brandir leurs marteaux, frapper les platines et faire tomber les murs de son dans l’illégalité la plus totale. Et je me rappelle des gros titres lors des émeutes à Hong Kong. Où les manifestants pro démocratie recevaient les louanges des médias français pour leur courage face à la tyrannie du pouvoir en place. Mais lorsque la tyrannie s’invite chez nous là, silence. C’est de la tyrannie « soft », de la tyrannie autorisée, sponsorisée par nos impôts.
Le déchaînement de violence à l’encontre de notre mouvement ce weekend ne changera rien à mes habitudes. Demain je continuerai d’aller en teuf. Je continuerai de descendre dans la rue, de recouvrir les affiches du FN (pardon, du RN, c’est plus fédérateur, ça plaît plus aux jeunes à ce qu’il paraît) de messages antifascistes et libertaires et je continuerai de questionner l’ordre établi, de contourner les lois pour respirer, pour oublier mon quotidien morose, pour raver.
Un jour je partirai, mais d’autres prendront ma place. Ils n’aimeront peut être pas la Tekno, n’iront peut être pas dans les champs mais ils seront là pour défendre nos valeurs. Je souris en pensant qu’il y aura toujours quelqu’un pour mettre un caillou dans la botte du Pouvoir. Car si tout le monde rentrait dans le moule, si tout le monde marchait en rangs, la société serait stérile. Il n’y aurait pas de Rock, c’est la musique du diable. Il n’y aurait pas de Rap, c’est la musique des gangsters, pas de Reggae c’est pour les fumeurs de joints et pas de Tekno c’est pour les punks a chiens.
Donc ce weekend on a pris des coups, on a un genoux a terre mais on se relèvera pour faire ce que l’on fait de mieux : taper du pied.
Et si nos kicks arrêtent un jour de faire vibrer les campagnes, on gardera en nous la fierté d’avoir participé aux derniers souffles de liberté d’un pays en train de crever.
1312. Rave On. »
Kevin bvs
Peut être une image de plein air et texte qui dit ’LA BATAILLE DE REDON 1422 grenades lacrymo 29 grenades de désencerclement 48 tirs de LBD 19/06/2021 -21:41:43 Renseignement 19/06/2021 Grenades consommées GENL 1422 grenades lacry Tirs LBD 40 mm 48 tirs’
Trouvé sur F.B
🛑LA BATAILLE DE REDON🛑
– Un gendarme nous a contactés pour nous fournir les chiffres qui confirment la terreur de ce weekend –
Trois jours ont passé mais la colère et la sidération sont toujours bien présentes face à ce qui s’est joué ce week-end à Redon. Bien sûr, ce n’est pas la première fois que l’État réprime un événement culturel. Ce n’est pas la première main arrachée. Mais on ne s’habitue pas à la terreur d’État. D’autant plus que celle de Redon a assumé totalement son sadisme : réprimer un rassemblement musical en l’honneur de Steve, tué deux ans plus tôt par l’intervention de la police lors de la fête de la musique.
Les photos et vidéos montrent la violence de la répression. Une violence que les chiffres que nous avons reçu confirment : 1422 lacrymo, 48 tirs de LBD (dont un a touché le journaliste Clément Lanot) et 29 grenades de désencerclement GENL. Tout cela en moins de 24h. Ces chiffres ne sont pas ceux d’un maintien de l’ordre mais bien d’une guerre. Une guerre contre la jeunesse, contre la vie, contre la culture libre. Des chiffres non définitifs puisque envoyés le samedi à 21h41, avant la fin de l’intervention.
Ces chiffres, nous les avons récupéré par un gendarme, totalement choqué par l’intervention de ses collègues à Redon. Il nous a contactés pour nous demander de publier ces infos. Il est allé voir les messages liés à cette intervention et a trouvé celui que nous vous fournissons en screen et qui fait état de ce bilan des munitions utilisées. Bilan qui confirme le ressenti des personnes présentes qui ont vécu plusieurs heures sous les lacrymos et les grenades/LBD, dans une ambiance de guerre.
Il ne s’agissait pas de maintenir l’ordre mais bien de briser des vies, physiquement et moralement. Tout autant que ces gendarmes ont brisé le matériel de son des organisateurs. Détruire, terroriser, mutiler.
Il faudra en tirer les conséquences et construire nos futures mobilisations (sociales et/ou culturelles) à la lecture de cette réalité. Celle d’un pays autoritaire qui réprime la culture, la jeunesse et la vie.
QUI PEUT DONNER DE TELS ORDRES?
et le petit dernier en cinémascope
https://www.facebook.com/mathias.jehin/videos/4275375115834096
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Non, M. Attal, le pass sanitaire, ce n’est pas la liberté ! par NATHALIE MP MEYER

On le redoutait depuis un moment : la fin des confinements anti-Covid et le retour à la vie d’avant, le retour à une vie « normale » où chacun pourrait vaquer à ses occupations en toute responsabilité personnelle, sans obstruction de ses libertés fondamentales (de réunion, de déplacement, économiques) bien mises à mal depuis dix-huit mois s’accompagneraient de la mise en place… d’une nouvelle obstruction sous la forme d’un pass sanitaire.

Autrement dit, après avoir totalement désorganisé nos libertés via la grosse artillerie de confinements et de protocoles, jauges, horaires de couvre-feu, listes de produits non-essentiels et autres décisions hyper-millimétrées dont chacun a pu mesurer à un moment ou à un autre les aspects absurdes (Grande roue de Lille), bureaucratique (attestions de déplacement dérogatoires), idéologiques (tous contre Amazon) ou arbitraires (traque par hélicoptère des randonneurs sans masque), Emmanuel Macron envisageait très sereinement de les « organiser » au nom du retour aux libertés :

 

Or c’est maintenant chose faite depuis avant-hier : les voyages à l’étranger ainsi que l’accès à certains rassemblements de plus de 1 000 personnes sont conditionnés à la présentation d’un certificat de vaccination ou à un test de dépistage négatif de moins de 48 heures ou à un certificat de rétablissement si on a eu le Covid-19.

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal était ravi de nous en faire l’annonce puisque pour lui :

« Le pass sanitaire, c’est la liberté. »

.
Réalise-t-il qu’il parle là comme dans la dystopie « 1984 » de George Orwell où les citoyens sont travaillés sans relâche par la propagande du Parti avec des slogans inversés du style « la guerre, c’est la paix », « la liberté, c’est l’esclavage », « l’ignorance, c’est la force », jusqu’à se penser libres dans la situation d’oppression qui est la leur ?

Mais, Mme MP, m’objecte-t-on, vous en faites trop : quelle oppression ? Il ne s’agit que des rassemblements de plus de 1 000 personnes, ce qui est loin de constituer une entrave insurmontable à la vie quotidienne ; ensuite, tous les rassemblements ne sont pas concernés ; et en plus, tout cela est prévu pour s’arrêter le 30 septembre. Encore un petit effort et la vie d’avant est à nous !

Mes contradicteurs ont raison sur un point : les seuls rassemblements assujettis au pass sanitaire sont ceux qui relèvent des activités de loisirs, des foires et des salons professionnels. Tout ce qui est politique, syndical ou cultuel y échappe. Et tout ce qui y est théoriquement assujetti sans la possibilité pratique de déployer la mise en œuvre du pass y échappe également. Comme l’écrit le gouvernement lui-même dans ses documentations :

« Il semble difficile par exemple de l’exiger pour les personnes qui seraient stationnées au bord des routes pour regarder le feu d’artifice du 14 juillet. »

.
Mais contrairement à mes contradicteurs, je prends ces concessions pratico-pratiques pour les unes et apparemment soucieuses de ne pas trop irriter la fibre politique ou religieuse des Français pour les autres, pour un argument de plus en faveur de l’abandon pur et simple de la mesure. Quelle logique y a-t-il à interdire à une personne non vaccinée l’accès à un « festival en plein-air » de plus de 1 000 personnes quand on l’autorise à participer à un rassemblement politique de même dimension ?

Sans compter que les citoyens sont une fois de plus soumis à une liste administrative à la Prévert de lieux accessibles et non-accessibles, avec tout ce que cela comporte de cadrages-débordements bureaucratiques comme on ne sait que trop bien les pratiquer en France.

La question des données personnelles est également des plus préoccupantes. Même si la présentation d’une attestation de vaccination papier reste acceptée, le gouvernement encourage vivement l’utilisation de son application TousAntiCovid qui serait selon ses dires parfaitement sécurisée du point de vue des données sanitaires. Or plusieurs informaticiens spécialisés en cyber sécurité ont mis en garde récemment contre le fait que le pass serait en réalité une véritable « passoire » ou un « panier percé » en matière de protection des données.

Pour tout arranger, des sénateurs zélés ont déjà rendu un rapport appelant à la collecte et au partage des données personnelles de différentes applications (TousAntiCovid, Waze, OuiSncf, etc.) afin de pouvoir « mieux gérer » une prochaine crise sanitaire via des sms d’information, des rappels à l’ordre et jusqu’à des sanctions de blocage des comptes bancaires ou de désactivation d’un titre de transport pour les personnes qui violeraient les mesures de restriction. Ah oui vraiment, quel brave new world en perspective ! Le risque de la pente glissante dans la surveillance rapprochée de masse s’avère de moins en moins hypothétique.

Il est important de savoir en outre que la loi du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire qui rend le pass sanitaire possible ne stipule nullement le seuil de 1 000 personnes. Il est donc tout à fait possible au gouvernement de décréter 800 ou 500 à sa guise. Je ne dis pas qu’il le fera, mais la loi est ainsi faite qu’elle donne un pouvoir discrétionnaire excessif à l’exécutif. 

Ajoutons que l’expérience que nous avons des lois antiterroristes successives – des lois élaborées pour nous protéger, elles aussi – tend à indiquer que tout ce qui est instauré à titre temporaire est généralement là pour durer. On l’a bien vu en 2017 avec la décision d’Emmanuel Macron d’intégrer dans le droit commun les principales dispositions de l’état d’urgence décrété par François Hollande en 2015.

Si tout cela est déjà très grave, le plus fondamental à mon sens reste que les libertés individuelles n’ont pas à être « organisées » comme le suggérait Emmanuel Macron. Elles sont, point. Toute autre configuration nous fait entrer dans un système illibéral où les notions de bien et de mal sont entièrement soumises à l’appréciation arbitraire et discrétionnaire des dirigeants.

En aucun cas le pass sanitaire ne peut être considéré comme un instrument de liberté. Outre qu’il rétablit une forme de discrimination hygiéniste qu’on pensait révolue, il constitue un instrument délibéré de coercition qui tend à obliger les personnes pas trop tentées par la vaccination (parce qu’elles sont jeunes et pas du tout à risque, par exemple) à se faire vacciner.

Or la liberté, c’est l’absence de coercition, ce qui inclut logiquement le respect des individus par reconnaissance de leur parfaite aptitude à prendre leurs responsabilités à partir du moment où ils sont bien informés dans le cadre d’un débat ouvert et intelligent sur tout sujet important pour eux-mêmes en particulier et pour la société dans son ensemble – environnement, climat, questions sociales, sociétales, etc., et aujourd’hui pandémie.

En conséquence, dans l’état actuel des connaissances sur ce coronavirus qui nous immobilise dans une peur excessive depuis plus d’un an, je rejoins tout à fait ce que tweetait récemment le Dr Gérald Kierzek, médecin urgentiste de l’AP-HP et directeur médical de Doctissimo :

Non pas que je sois le moins du monde opposée à la vaccination. Je pense au contraire qu’elle joue un rôle indispensable dans la limitation de la circulation du virus et dans la diminution du nombre de cas graves. Au regard de cette fonction, il serait dommage de confondre produit médical utile et instrumentalisation politique coercitive de ce produit médical. J’ajouterai même que si des personnes jeunes et sans comorbidités préfèrent se faire vacciner plutôt que d’en passer par un Covid-19 parfois long et pénible, eh bien pourquoi pas ?

Mais quoi qu’il en soit, les obligations et les interdictions administratives infantilisent, tandis que l’appel à la responsabilité de chacun pour se protéger et protéger les autres en fonction des risques encourus serait le signe d’une société solide et mature.

Aussi, plutôt que de prendre les gens pour des enfants à placer sous surveillance perpétuelle et à pousser aux « bons comportements » par des récompenses digne du contrôle social chinois – Tu veux aller au concert ? Vaccine-toi d’abord ! – essayons de bâtir un environnement politique, une vie de la cité où les adultes qui nous dirigent parlent aux adultes qui les ont placés où ils sont. À cette condition seulement aurons-nous effectivement liberté et sécurité.

Première étape, demandons instamment la suppression de ce pass sanitaire conjoncturellement inutile, informatiquement mal sécurisé, politiquement reproductible ad vitam et urbi et orbi et surtout fondamentalement liberticide, contrairement à ce que prétend le porte-parole du gouvernement dans un effroyable accès de novlangue orwellienne.

Non, M. Attal, le pass sanitaire, ce n’est pas la liberté !

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POUR CEUX QUI SE SONT FAIT PIQUOUSER (vidéo 7 mn)

https://www.facebook.com/mustapha.berrahou.pediatre/videos/4750764594953208

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RUBRIQUE PEOPLE: NOUS PAYONS ENCORE ET TOUJOURS POUR EUX…

DEUX SANGSUES, dont une depuis toujours boit nos impôts…
Un pamphlet bien senti!
Trouvé sur FB.

 

Le château caché de la République
Mazarine, actuellement occupe toujours le château de Souzy-la-Briche, et bénéficie pour sa protection d’un poste à cheval de huit gendarmes gardes républicains, chevaux, 4×4 et autres véhicules. Ce poste permanent sous le commandement d’un Adjudant chef, est logé à 11kms du dit château dans le parc de Baville à St-Cyr-sous-Dourdan. Cela permet à Mme en dehors de sa protection habituelle de se promener à cheval, ou en toutes circonstances, sous haute protection. Mais pour cela, nos gardes républicains doivent couvrir cette distance de 11kms pour la rejoindre avec véhicules et chevaux ! Cela plusieurs fois par jour, car il faut assurer les roulements horaires…!!! Et oui, ils doivent garder les abords du château et patrouiller à cheval dans les jardins et le parc du château.
Nous sommes plusieurs membres de notre groupe de sonneurs à pouvoir en témoigner, pour avoir été plusieurs fois sur le site où est logé le poste à cheval.
Plainte de Mazarine PINGEOT-MITTERRAND, contre les Français!!
Mazarine et Didier LE BRET (ancien diplomate du gouvernement Hollande)
se sont mariés en Juillet 2017
Elle nous la baille belle, la dame Mazarine Pingeot.
Récemment, on apprend qu’’elle se plaint de ce que les Français critiquent les privilèges dont elle a bénéficié durant tout le règne de son père bigame, Mr Mitterrand le Président le plus transparent
À en croire, on lui taperait dessus parce qu’elle a été une enfant illégitime. Eh oui, en France, nous sommes tous des salauds, c’est bien connu, et nous faisons payer aux enfants le comportement de leurs parents.
Mille pardons, Madame, mais vous êtes à côté de vos pompes !
Ils s’en fichent, les Français, de la liaison adultère de votre géniteur, et vous remarquerez qu’en 2012, ils ont élu un président qui a eu quatre enfants avec une femme qu’il n’avait pas conduite devant Monsieur le maire.
En réalité, ce qu’on reproche à votre père et accessoirement à vous, ce sont quelques broutilles.
Par exemple, d’avoir constitué un peloton de gendarmerie pour assurer votre SEULE protection (lui avait ses gendarmes), et que c’est un colonel de gendarmerie (à la carrière très prometteuse par la suite ) qui vous conduisait chaque matin à l’école lorsque vous étiez enfant : il est évident qu’un officier de haut grade ne pourrait rien faire de plus utile.…
Ou encore, d’avoir été logée, avec votre mère, dans un appartement luxueux du Quai Branly, appartenant à la présidence de la République, et dont le bailleur officiel, François de Grossouvre, payait toutes les dépenses, avant d’être poussé au suicide par votre père, une fois abandonné, au point de se tirer une balle dans son bureau de l’Élysée.…
Ou encore, d’avoir passé tous vos week-ends, avec votre mère, au château de Souzy-la-Briche, qu’un admirateur du Général De Gaulle avait légué par testament à la République…
Ou encore, lorsque vous avez eu l’âge d’avoir un amant, je n’écris pas son nom, il est à « Canal Plus » aujourd’hui et il est très connu, d’aller passer vos week-ends à New York en sa compagnie, aux frais de la République c’est à dire aux frais de nous tous, nous les Français, les salauds…
Bref, vous en avez bien profité, de votre illégitimité toute royale, comme si nous étions encore sous Louis XIV.
Et c’est nous qui, à notre insu et sans même être mis au courant, avons payé toutes vos additions !
Alors la pimbêche, vous remboursez ou vous la fermez et surtout, n’oubliez pas, au lieu de les insulter, de dire merci aux braves cons de contribuables trompés par votre géniteur, un peu escroc !
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LES SANGSUES DE NOTRE REPUBLIQUE

Certains diront que ce n’est pas le plus important.
Que cela représente qu’un petit pillage sans importance par rapport à l’ensemble des impôts « mal utilisés ».
Moi, je considère que si ces gens là se gavent à nos frais avec l’aval du pouvoir (voir plus) c’est que notre pays se barre en sucette…
(https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/)

 

Choisissez  un  bon  fauteuil….! ! ! !….avant  de  lire 

>

 Il faudra bien que cela s’arrête un jour! Certains « titres » laissent rêveur……..

>

> C’est quoi un Ambassadeur chargé de la lutte contre le VIH-SIDA et les maladies transmissibles? et ça gagne combien?

> Quand on lit ça, on se dit que, dans le fond, les gilets jaunes n’ont pas tort !!

>

> Haute fonction publique : « Des privilèges hors du temps »

> Les « Ambassadeurs Thématiques »… !!!!

>

> François Croquette Ambassadeur pour les droits de l’Homme chargé de la dimension internationale de la Shoah, des spoliations et du devoir de mémoire

>

> Xavier Sticker Ambassadeur délégué à l’environnement

>

> Nicolas Galey Ambassadeur, délégué interministériel à la Méditerranée

>

> Luc Hallade Ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone de l’Océan indien

>

> Maxime Lefèbvre Ambassadeur pour les commissions intergouvernementales, la coopération et les questions frontalières

>

> Brigitte Collet Ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique pour les énergies renouvelables et la prévention des risques climatiques

>

> Stéphane Visconti Ambassadeur pour le partenariat oriental de l’Union européenne et de la Mer Noire, co-président du groupe de Minsk

>

> Odile Roussel Ambassadeur chargé de l’adoption internationale

>

> Jean-Bernard Nilam Ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone Antilles-Guyane

>

> Michèle Boccoz Ambassadeur chargé de la lutte contre le VIH-SIDA et les maladies transmissibles

>

> Patrick Maisonnave Ambassadeur chargé de la stratégie internationale en matière de lutte contre le terrorisme

>

> Ségolène ROYAL Ambassadeur chargé de la négociation internationale pour les pôles Arctique et Antarctique (même elle.. !)

>

> ils sont actuellement au nombre de 28, le montant réel de leurs indemnités est secret , vraisemblablement du même

> ordre que celui de Ségolène. (17 500 euros/mois)

> Directeur/Président de la Cnil, 160.000 euros annuel

> Directeur/Président du CSA, 188.000… euros annuel

>

> La sénatrice UDI Nathalie Goulet, interrogée par l’émission Pièces à conviction sur France 3 : “Ces « emplois » sont l’expression d’un « véritable copinage aux frais des contribuables »… “ Et pourtant, en tant que Sénatrice elle sait de quoi elle parle , parce qu’au SENAT… Demandez aux jardiniers, aux chauffeurs, et aux agents d’entretiens à  6000 euros par mois.

>

Quelques autres gagnants……

> François VILLEROY de GALAU…waouhhhh Gouverneur de le Banque de France 37 580 euros par mois… + indemnité logement 5 643 euros par mois

> Les deux sous-gouverneurs ont touché 223.255 euros en 2016.

>

> Bruno LASSERRE vice- Président du conseil d’état 65 ans et toujours en activité (si l’on peut dire..) touche 16 170 euros chaque mois plus …..

> Isabelle Falque-Pierrotin qui perçoit 160.891 euros annuels en tant que présidente de la CNIL.

>

> Robert OPHELE président de l’Autorité des marchés financiers avec un salaire annuel de 238.735 euro

>

> Isabelle SILVA présidente de l’autorité de concurrence 14 800 euros par mois

>

> Thierry DALARD Président de la société du Grand Paris 17 000 euros/Mois

>

> Etienne CREPON Président du centre technique du bâtiment 16 330 euros/Mois

>

> Philippe NICOLA directeur du Centre national de la chanson, des variétés et du jazz, 12 000 euros/mois

>

> Jean pierre GENELAY Directeur général de l’AFPA 16 230 euros/Mois

>

> Les énarques de BERCY:    Ils sont 600…. Vous avez bien lu 600… hauts fonctionnaires de BERCY qui touchent un salaire supérieur à 15 000 euros par mois (et certains beaucoup plus….)

>

> Sylvie HUBAC Présidente de la réunion des musées grand Palais 16 000 euros/Mois

>

> Christophe LECOURTIER Chargé de promouvoir l’internationalisation de l’économie Française

> 16 000 euros/Mois

>

> Arnaud LEROY président de l’ADEME 15 830 euros/Mois

>

> Laurent VALLET président de l’INA 15 400 euros/Mois

>

> Olivier KLEIN président de l’Agence de Rénovation Urbaine 14 290 euros/Mois

>

Chantal JOUANNO présidente de la commission de débat public 14 666/Mois

> (A la une en début d’année…2019)

>

> Directeur régional des finances publiques d’Ile-de-France: 21.290 euros nets par mois

>

> Secrétaire général du ministère des Finances: 15.710 euros nets par mois

>

Vice-président du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et 

des technologies (CGEIET), patron du corps des Mines: 14.200 euros par mois

>

> Chef de l’Inspection générale des finances (IGF): 12.955 euros nets par mois

>

> Président du domaine de Chambord  M. Augustin de Romanet 450 473 €/an

> en tant que PDG de ADP

>

> Directeur général de CNP Assurances En 2016  Frédéric LAVENIR a touché une

> rémunération de 450 000 € .

>

> PDG de la Monnaie de Paris  ( En déficit de plus de 20 millions d’euros)

>

> Président de l’Institut du monde arabe (déficit de 3 millions/an) Jack LANG 120 000 euros par an + + + +

>

> Vice-président du Conseil d’Etat: 16.170 euros net

>

> Président de l’Autorité de la concurrence: 14.800 euros nets

>

> Premier président de la Cour des comptes: 14.750 euros nets

>

> Directeur de l’Agence Régionale de Santé d’Ile de France: 16.700 à 17.500 euros bruts

>

> Président de la Société du Grand Paris (SGP): 17.000 euros bruts

>

> Directeur général de Sciences-Po Paris: 16.670 euros bruts

>

> Président du Centre scientifique et technique du bâtiment: 16.330 euros  bruts

>

> Directeur général de l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA): 16.230 euros bruts

>

> Président de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais: 16.000 euros bruts

>

> Directeur général de Business France: 16.000 euros bruts

>

> Les Ambassadeurs : Tous les ambassadeurs touchent plus de 15 000 euros par mois , logés, chauffés, nourris, chauffeur etc etc…

>

> L’Ambassadeur en Afghanistan touche (poste dangereux)  348 000 euros/an  soit 29 000 euros par mois)

> Celui du YEMEN 23 000 euros /mois

>

> Un trésorier-payeur général (responsable départemental du Trésor public) , il y a 1 TPG par département gagne en moyenne 200 000 euros par an

>

Les préfets : Ils sont au nombre de 250…. !!!

>

> Responsable de l’ordre public sur un territoire. Dépositaire de l’autorité de l’état dans son département.   Après 2 ans d’activité on est « Préfet à vie »

Mais seuls  127 préfets sont  affectés à un « poste territorial» et les autres ne sont  rattachés à aucun territoire, et sont « préfet hors cadre » mais conservent les avantages de la fonction… 8 000 euros de salaire par mois en moyenne…

D’après Le Parisien , « Si tous les « objectifs » sont atteints, la prime peut alors atteindre 41 000 euros pour un sous-préfet et 66 000 euros pour un préfet », précise le quotidien.

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L’IRRATIONNEL STATUT DE L’IRRATIONNELLE FONCTION PUBLIQUE par Bellegarrigue

RECONNAÎTRE LE RISQUE : UNE QUESTION DE JUSTICE

La meilleure définition de la rationalité entre les êtres humains, si tant est que l’on admette que cette notion puisse s’appliquer aux relations humaines pacifiques, se trouve à mon avis chez Nicholas Nassim Taleb. Au-delà même d’une définition, c’est la compréhension de ce sur quoi l’égalité devrait reposer au sein de la société des hommes : l’égalité devant le risque.

Car il est dans la nature des choses que la vie (l’existence de l’homme) soit conditionnée, marquée par le risque. Par conséquence, il est légitime que la société protège celui qui va « jouer sa peau », le titre de son dernier ouvrage, tout simplement parce que celui qui risque sa peau sera susceptible de permettre à d’autres de profiter directement ou indirectement de ses efforts. La légalité (le droit écrit par les hommes) ne peut consister, comme c’est malheureusement le cas dans les sociétés démocratiques actuelles, à nuire à un individu qui met en jeu sa peau et celle de sa famille, sous de fallacieux prétextes de solidarité pour servir d’autres qui ne risquent pas la leur.

Vous êtes libre de prendre des risques ou de ne pas en prendre. Mais c’est à vous d’assumer vos choix et leurs conséquences, favorables comme défavorables, et ne pas faire peser sur les autres vos échecs, turpitudes ou états d’âmes, uniquement parce que ces autres réussissent. Avoir quelque chose à perdre et en accepter le risque, est la question prioritaire de justice entre les hommes : c’est la règle fondamentale du jeu qui doit fonder les relations d’échanges entre les hommes, sans aucune espèce d’exception.

Taleb

« Jouer sa peau », par Nicholas Nassim Taleb.

Le plus grand risque de la vie humaine est évidemment la mort physique : 100% des hommes meurent. Voilà une statistique que personne ne démentira. Oui, nous sommes égaux face à ce risque de la nature des choses.

Évidemment, vous ne manquerez pas de relever que la mort de chaque individu survient dans des conditions différentes. Mais le débat n’est pas sur ce qui entraîne la mort, mais sur le résultat obtenu : il y aura toujours une cause (ou plusieurs combinées) qui aboutira à la mort, qui est le fait avéré irréversible. Il est toujours possible de prendre toutes les précautions pour éviter la mort, mais celle-ci ne prévient pas. Même la limitation du risque n’est pas un gage de retarder le moment de sa venue.

Pour Taleb, risquer sa peau est une image qu’il applique à l’économie. Il est rationnel pour un être humain de produire de la valeur et chacun est placé à égalité, en tenant compte d’effets d’échelle et/ou d’expérience (tant pis pour celui qui a peur par exemple). La production de valeur est tributaire du risque de faillite (#mort) pour celui qui risque économiquement sa peau. Il n’est pas acceptable que des personnes puissent s’affranchir de ce risque en profitant des efforts (investissements) des autres sans coopération volontaire.

DEVENEZ FONCTIONNAIRE : AUX AUTRES, LE RISQUE

Il en est ainsi du statut de la fonction publique : le mécanisme de rémunération de la fonction publique n’est fondé sur aucun risque pour ceux qui en sont bénéficiaires. En effet, le butin fiscal (difficile de l’appeler autrement) repose sur la spoliation généralisée de la production de valeur des acteurs du privé. Si certains vous expliquent que les marchés publics, aides publiques ou subventions publiques permettent de faire « fonctionner l’économie » comme ils disent, vous pourrez toujours constater que sans la production du privé, tous ces marchés, aides publiques ou subventions publiques deviennent caduques.

Avez-vous consenti volontairement à payer vos impôts ? Comment pouvez-vous penser que vous payez le juste prix de la gabegie politicienne ? La réalité économique, ce n’est pas comme la poule ou l’œuf : nous savons qui est à l’origine de la création de valeur. Aussi pour ceux qui en douteraient, demandez-leur d’appliquer leurs merveilleuses recettes publiques au Zimbabwe par exemple !

Ouvrez un peu les yeux : plus un pays dispose de libertés économiques (disons plutôt moins les individus d’un pays sont contraints à subir la spoliation fiscale), et plus la production de valeurs ramenée à l’habitant est élevée. A contrario, moins un pays offre de libertés économiques (disons plutôt, plus les individus d’un pays subissent la spoliation fiscale), et plus est faible la production de valeurs par habitant (cf. le classement de la Heritage Foundation via son index des libertés économiques).

Hong-Kong

Hong-Kong largement au-dessus de la France en matière de liberté économique.

La fiscalité est totalement arbitraire : aucune taxe ou impôt ne se justifie scientifiquement. Il est irrationnel de rémunérer des individus en pillant l’effort d’autres. Le statut de la fonction publique est un privilège d’un autre temps. Tout privilège est irrationnel au regard du Droit puisqu’il expose moins au risque : il y a une rupture de l’égalité du Droit. Si vous voulez le progrès de la société humaine, vous devez accepter de risquer votre peau. La légitimité, c’est d’agir pacifiquement et réciproquement, et ceci est valable pour le fonctionnement d’une institution qui ne peut être rationnellement en dehors du Droit.

Vous pourrez forcer les autres à acheter votre production, mais cela s’appelle de l’extorsion. La fonction publique oblige le secteur privé à son financement et à utiliser ses services : payer pour une production inutile est en dehors de la raison. La fonction publique invente ainsi de très nombreux emplois qui ne produisent aucune valeur, et les individus qui les occupent bénéficient d’un privilège indéniable en créant une rupture d’égalité au regard de ceux qui risquent leur peau.

Pascal Salin, dans les manifestations du libéralisme, l’explique ainsi :

« Il existe deux notions différentes de l’égalité, l’égalité des droits et l’égalité des résultats… La seconde est un pur produit du constructivisme, puisqu’elle consiste à penser que l’on peut interférer avec les résultats de l’action humaine et imposer une répartition des richesses conforme au modèle décidé par les détenteurs du pouvoir, en donnant a priori à chacun des droits sur l’activité d’autrui. Ce faisant, il est créé, au nom de l’égalitarisme, de nouvelles inégalités, par exemple celles qui existent entre ceux qui vivent de leurs propres efforts et ceux qui profitent de la contrainte organisée. »

VIVE LA FAILLITE COLLECTIVE ?

Aussi, à ce stade, formulons que, quelque soit l’organisation qu’elle se donne, la société des hommes aboutira toujours à sa faillite morale et intellectuelle lorsqu’elle s’engagera dans un processus d’attribution d’un privilège professionnel à une caste pour obtenir une rémunération à partir de la spoliation des risques et des efforts entrepris par autrui. La fonction publique n’est que la suite laïque de l’ordre clérical de l’ancien régime.

Mais la faillite qui se profile de l’état français qui ne sait plus quoi inventer pour la masquer, est inéluctable. À jouer à l’autruche qui ne veut pas relever la tête, ceux qui ont le pouvoir resteront peut-être les derniers à subir les outrages de leur système. Il faudra seulement espérer que, si nous allons jusqu’à cette extrémité, le peuple gravera dans le marbre « l’égalité économique devant le risque » pour tout individu.

Tricher

Faire l’autruche à trop tricher ?

Ainsi revenons sur la signification du terme « risquer sa peau » au sens économique. C’est être en mesure de produire de la valeur en engageant tout ou partie de sa propriété avec l’objectif d’accroître celle-ci, tout en acceptant la possibilité d’en perdre tout ou partie à partir de ses propres décisions. À l’instar d’un humain qui va accroître sa connaissance durant sa vie avec le risque de mourir, risquer économiquement sa peau ne s’effectue pas au détriment d’autrui mais grâce à la coopération. Toute rente doit être bannie si elle ne provient pas d’échanges libres et consentis à partir de contrats en bonne et due forme.

En conclusion, la fonction publique est une incongruité dans un monde moderne : rien ne justifie qu’un individu puisse disposer d’un statut qui lui offre une rémunération de rente sans aucune utilité, c’est-à-dire sans que son existence et sa valeur soit remise en cause par le marché, comme pour tout bien ou service produit par le privé. Il est encore à se demander comment une Société qui se dit évoluée puisse encore avoir en son sein un tel fonctionnement, et qui plus est, se dit être la mère des Droit de l’Homme et du Citoyen. C’est une énorme farce… qui malheureusement détruit un peuple.

Et comme disait Benjamin Constant : « la volonté de tout un peuple ne peut rendre juste ce qui est injuste ». À méditer.

 

https://vu-dailleurs.com/2018/08/02/lirrationnel-statut-de-lirrationnelle-fonction-publique/?fbclid=IwAR1DXybZ8xtwBj7rBMyWB9WzCRxsJ4d9cIHn2Z83rNezVJvzS-sO1UBBE6c

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Pass sanitaire, pass de la honte ! par Claude Janvier

À la question : est-ce que le passeport vaccinal ou le pass sanitaire est une mesure liberticide ? La réponse est oui.

D’une part, parce que le flicage est devenu de plus en plus prépondérant, faisant parti de la vie quotidienne que tout un chacun subit tous les jours et d’autre part, parce que les libertés ne sont plus des droits naturels. Elles sont totalement conditionnées par une surveillance toujours plus active.

Radars, caméras dans les rues, GPS, géolocalisation, traçage, flicage et censure des réseaux sociaux, il ne manquait que le pass sanitaire pour anéantir le peu d’individualité qui existait encore.

Avec la puce que l’on va bientôt nous inoculer sous la peau, la chape de plomb va bientôt se refermer, et quand toutes nos possibilités de choix auront disparu, nous ne serons plus libres du tout. Bienvenu dans le monde docile du 21e siècle. Malraux avait dit que ce siècle serait spirituel ou pas. C’est assurément le contraire, et l’on pourrait définir ce siècle comme étant celui de la « stupidité servile ».

Les raisons d’un pass sanitaire ne sont pas liées à la santé. L’âge moyen des décès par la Covid-19 est de 82 ans, l’âge médian étant de 85 ans. La surmortalité due à la Covid-19 est négligeable pour les personnes de moins de 65 ans. La vérité est donc ailleurs. Contrepoints 9 mars 2021 : Pourquoi il faut s’opposer à un Pass sanitaire

Suite à l’envoi de ma lettre contre le vote du passeport sanitaire à l’ensemble des sénateurs, un des élus m’a fait remarquer et je le cite : « … Que les cas d’utilisation de cette attestation sanitaire seront concentrés sur les plus grands rassemblements, certainement au-dessus de 1000 personnes… N’apparaîtront sur ce document que les noms, prénoms, dates de naissances, résultats du test ou certificat de vaccination et la date et l’heure de cet acte… Aucune information d’ordre personnel autre que celles-ci ne seront ainsi consultables… Il convient d’ajouter à ce tableau l’accord conclu entre les États de l’Union européenne pour qu’un pass analogue permette les déplacements des Européens dans les divers lieux de l’Union. Cet accord, qui a été soumis à des conditions strictes de protection des données personnelles, représente évidemment un progrès dans la sortie de crise qui répond aux divers motifs de déplacement et il démontre l’utilité de ce dispositif élargissant les libertés concrètes de tous… »

Pour vos voyages futurs dans le monde, à part utiliser votre « jet personnel » et emprunter la sortie VIP sans contrôles des aéroports, ce n’est pas gagné.
À n’en pas douter, ce pass sanitaire sera plus tard, appliqué aux rassemblements de plus de 6 personnes. Quant à la sécurité de vos informations personnelles, elles sont déjà, via votre carte vitale, dans la banque de données d’une société privée.

Elise Lucet, « Cash Investigation », jeudi 20 mai France 2 : extraits : « … L’enquêtrice est tombée sur cette autorisation de la CNIL qui a été donnée à une société privée qui est juste le leader mondial des data de santé dans le monde qui s’appelle IQVIA*… Donc IQVIA a eu l’autorisation de passer un partenariat avec les pharmacies ce qui fait qu’à chaque fois que vous présentez votre carte vitale dans une pharmacie, toutes les données de ce que vous achetez médicaments ou parapharmacie, absolument tout, va dans un logiciel… »
« … Des informations qui sont transmises sans aucun consentement, donc illégalement… Normalement, on devrait absolument vous prévenir et demander votre consentement, c’est obligatoire. Le consentement explicite, c’est dans la loi, on doit vous le demander. Or moi, j’ai fait le test, on a fait le test dans 200 pharmacies… Petite précision : ils vous disent que ces données de santé sont « anonymisées », c’est-à-dire qu’il n’y a plus le nom et le prénom. Le problème, c’est que dans l’enquête de Cash investigation, on prouve que cette anonymisation par le nom et le prénom, c’est faux ».

Plus besoin de pousser plus avant la démonstration. Le vote de ce « Pass sanitaire » est un pas de plus vers le fond de l’abîme « démocratique ».

Ceux qui ont voté « pour » auront sur la conscience les répercussions sur les générations futures.

Claude Janvier
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. www.is-edition.com

* IQVIA est un leader mondial dans l’utilisation des données, de la technologie, de l’analyse avancée et de l‘expertise humaine pour aider les entreprises des sciences de la vie à faire progresser les soins de santé et la santé humaine. But : Contribuer à mettre en place un système de santé plus moderne, plus efficace et plus efficient. .

Pass sanitaire, pass de la honte !

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L’ingénierie sociale – La fabrique de votre consentement (vidéo 19mn)

Pour apporter de l’eau au moulin de Michel Georgel
https://temoignagefiscal.com/haut-les-coeurs-bas-les-masques%e2%80%89/

Ne mourrez pas con.
A voir absolument

https://www.youtube.com/watch?v=HGfOl8-34po

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Eh oui, la LIBERTÉ d’expression, c’est pour tout le monde ! par NATHALIE MP MEYER

ATTENTION, ILS SONT EN TRAIN DE PREPARER UNE AFFAIRE FILLON 2 AVEC MARINE LE PEN pour l’éliminer avant les élections qu’ils savent perdre.
Affaire Fillon bis repetita.
L’opinion défavorable ou favorable que l’on a du RN ne compte pas dans cette affaire là.
Les énarques qui dirigent complétement et entièrement tous les rouages de la France ne vont pas vouloir qu’on leur enlève leur gamelle

Il est agréable de pouvoir l’écrire de temps en temps : on dirait bien que tout n’est pas complètement pourri au royaume de l’Absurdistan de la République de France. Mardi 4 mai dernier, le tribunal correctionnel de Nanterre a relaxé Marine Le Pen et le député européen Gilbert Collard dans l’affaire de la diffusion de photos d’exactions de l’État islamique. Une victoire pour la liberté d’expression et une débandade en rase campagne pour ceux qui cherchaient à affaiblir politiquement le Rassemblement national par ce biais judiciaire cousu de fil blanc.

Les faits incriminés remontent au mois de décembre 2015. La France sortait à peine d’une année terrible sur le plan du terrorisme islamiste avec les attaques de janvier chez Charlie Hebdo et à l’Hiper Cacher de la porte de Vincennes, puis celles de novembre au Bataclan et en plusieurs autres points de la capitale.

Le journaliste Jean-Jacques Bourdin se devait évidemment d’apporter à ses auditeurs un éclairage incontournable sur ces événements d’une cruauté indescriptible. Il invite donc le politologue Gilles Kepel qui, en tant que spécialiste de l’islam et du djihad, vient de sortir un livre intitulé Terreur dans l’hexagone. Celui-ci développe l’idée d’une « congruence » entre le Front national (devenu entre-temps Rassemblement national) et l’État islamique au sens où tous deux sont pour lui dans un processus de repli identitaire. Tout en précisant que « bien sûr, ce n’est pas la même chose. »

Et c’est là que notre journaliste vedette qui se flatte à l’envi de parler vrai et de ne pas ménager les susceptibilités des politiciens qu’il interroge dans ses matinales se prend les pieds dans un amalgame particulièrement grossier. Il résume les propos de son invité sous la forme d’un « lien » entre le djihad et le RN, comme s’il y avait communauté voire alliance de moyens, d’actions et d’objectifs entre les deux entités :

« Dans votre livre, vous faites le lien entre le djihadisme français et la poussée du Front national. »

.
La réponse de Marine Le Pen ne se fait pas attendre :

 

 

Elle enfonce le clou en publiant trois photos particulièrement ravageuses des exactions de Daesh accompagnées du libellé : « Daesh, c’est ça ! » Gilbert Collard lui emboîte le pas sur Twitter et Facebook avec le commentaire : « Bourdin compare le FN à Daesh : le poids des mots, le choc des bobos. »

Immédiatement, tollé. Pas contre Jean-Jacques Bourdin, naturellement – le fait générateur est toujours oublié en ces circonstances – mais contre le Front national. Les membres du gouvernement de l’époque, Valls, Premier ministre, Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, s’indignent bruyamment :

 

 

Les parents de James Foley, ce journaliste américain décapité en 2014 présent dans l’une des photos, déclarent dans un communiqué qu’ils sont choqués par la publication et demandent le retrait immédiat de la photo concernant leur fils – ce à quoi Marine Le Pen obtempère le jour-même. Mais ils ne portent pas plainte.

En fait, personne n’a porté plainte. Sauf le ministre de l’Intérieur qui, faisant mine de détecter dans les images publiées un soutien implicite intolérable à l’État islamique, a immédiatement effectué un signalement de contenu illicite sur la plateforme Pharos au motif que ces photos étaient « celles de la propagande de Daesh », puis il a saisi le parquet dans la foulée.

Preuve que la voie judiciaire n’allait pas vraiment de soi alors que dans notre République, le parquet est en principe chargé de « requérir l’application de la loi et de conduire l’action pénale au nom des intérêts de la société »il a fallu aller dégoter un article du code pénal portant sur la mise en péril des mineurs, à savoir la diffusion de messages violents ou portant gravement atteinte à la dignité humaine susceptibles d’être vus par un mineur. On ne voit pas trop le rapport avec la propagande de Daesh, mais quand on veut noyer son chien, ou à tout le moins le poisson…

Bref, après pas mal de péripéties-spectacle sur la levée de l’immunité parlementaire des prévenus et sur la demande qu’ils se soumettent à une expertise psychiatrique, Marine Le Pen et Gilbert Collard sont mis en examen en 2018 puis renvoyés en correctionnelle en 2019. Covid, confinements et retards divers aidant, le procès s’est finalement tenu le 10 février dernier.

Pour sa défense, Marine Le Pen a notamment expliqué au tribunal que « c’est le crime qui porte atteinte à la dignité humaine, ce n’est pas sa reproduction photographique. »

On ne saurait mieux dire. J’ai moi-même connu une petite aventure du même style, quoiqu’à une échelle bien moindre et sans intention politique maligne, avec la publication sur Facebook d’un article consacré à la répression chinoise de Tiananmen dont la photo de couverture montrait un char écrasant tout sur son passage. Le réseau social, ou du moins ses algorithmes ont immédiatement abrité la photo litigieuse derrière un écran noir assorti d’un avertissement du style : attention, ce contenu peut être choquant. Il était néanmoins possible d’y accéder en cliquant sur un lien.

Ayant eu la possibilité de me justifier par message auprès d’un modérateur en chair et en os, j’ai fait valoir que ce n’était pas le fait de montrer cette photo qui était choquant mais le régime politique qui n’hésitait pas à broyer ses étudiants en colère sous les chars, ainsi que je m’employais à le démontrer dans l’article associé. La photo a été débloquée peu de temps après.

Quant au parquet, embringué de force dans une opération plus politicienne que soucieuse du droit, il a ramé. Gilbert Collard s’est même offert le luxe de pratiquer l’autodérision en faisant remarquer qu’il ne voyait pas « quel plaisir des mineurs prendraient à regarder (son) compte (twitter). »

Surtout, le procureur a complètement vendu la mèche quand il a dû admettre que « cette infraction se commet tous les jours », pour dire ensuite qu’on est bien obligé de faire un choix dans les poursuites « en fonction de l’impact ». On peut appeler l’impact « trouble à l’ordre public » comme il l’a fait, mais il n’empêche que toute personne au fait du dossier et douée d’un peu de bonne foi ne pouvait faire autrement que de déceler dans ce procès une instrumentalisation politique de la justice – instrumentalisation que les prévenus et leurs avocats ne se sont pas privés de dénoncer.

Aussi, rendons grâce au tribunal correctionnel de Nanterre de s’en être tenu au droit. Dans son jugement de relaxe, il a considéré qu’avec la diffusion des images des violences de Daesh, Mme Le Pen et M. Collard rentraient dans le champ de la liberté d’expression, qu’ils avaient répondu à une attaque polémique initiale, que cette réponse s’inscrivait « dans une démarche de protestation politique » et qu’elle ne pouvait en aucun cas être prise pour une opération de prosélytisme en faveur du terroriste et de la violence, ainsi que les commentaires des tweets l’indiquaient sans ambiguïté.

Il est bien sûr parfaitement possible de penser que les images en question étaient trop insoutenables pour être publiées, qu’on n’aurait jamais fait cela soi-même, surtout dans le contexte brûlant des attentats du 13 novembre 2015. On peut même subodorer, et le dire, que tout en défendant sa vertu politique outragée par Jean-Jacques Bourdin, Marine Le Pen n’était peut-être pas totalement dénuée du désir de saisir une excellente occasion de créer du buzz en sa faveur.

Bref, on peut parfaitement détester cordialement Marine Le Pen, son parti, ses idées et ses lieutenants, et le dire – à condition de se rappeler d’abord que la liberté d’expression, c’est pour tout le monde, y compris pour ceux qui professent des idées qui nous déplaisent, pas seulement pour soi.

Et à condition de se rappeler ensuite que l’instrumentalisation de la justice à des fins d’élimination des adversaires politiques est une tentation totalitaire absolument inacceptable quand on se flatte de figurer au nombre des dirigeants de la patrie des Lumières et des droits de l’homme.

Eh oui, la LIBERTÉ d’expression, c’est pour TOUT LE MONDE !

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Objectif France, un parti libéral ? par Aymeric Belaud

A l’approche des élections présidentielles de 2022, plusieurs candidats se démarquent dans les sondages. Malheureusement, de Marine Le Pen à Emmanuel Macron, en passant par Xavier Bertrand et Anne Hidalgo, l’antilibéralisme est surreprésenté. Le parti Les Républicains devrait présenter son propre candidat. Mais qui ? Bruno Retailleau, ex-bras droit de François Fillon, qui ne dépasse pas 8 % dans les sondages ? David Lisnard, dont le discours libéral rafraîchissant fait le tour des plateaux ? On ne le sait pas encore. Mais peut-être le candidat libéral attendu viendra-t-il d’un autre parti.

Rafik Smati, président du parti Objectif France, trace son sillon à droite. Bien que ses interventions dans les médias soient réduites à celle du commentaire d’actualité, ses propos détonnent. Qui plus est, Objectif France a absorbé l’ancien parti libéral-démocrate d’Aurélien Véron. De quoi aiguiser notre curiosité. Nous nous sommes alors penchés sur le programme de son mouvement.

Baisses de la dépense publique, des charges et des impôts

Premièrement, M. Smati souhaite s’attaquer au poids de la dépense publique. Objectif France propose de la réduire de 10 %, soit 130 Mds d’€ sur 5 ans. Pour cela, il désengagera l’Etat de la majorité des entreprises dans le domaine concurrentiel. Il réduira le nombre de centres et conseils nationaux relatifs à l’économie, le nombre de membres dans les cabinets ministériels, le nombre d’agences de l’Etat d’un quart, ou encore de 5 à 3 le nombre d’échelons de collectivités. Il demandera également aux agents publics de passer à la semaine de 39 heures. En revanche, aucune trace d’une baisse du nombre de fonctionnaires administratifs, pourtant cruciale si l’on veut réformer l’Etat mammouth.

Ces 130 Mds€ économisés sur les dépenses publiques seraient utilisés pour réduire les déficits publics, renforcer le budget des fonctions régaliennes de l’Etat (Sécurité, Défense, Justice), et baisser les prélèvements obligatoires pesant sur les particuliers et les entreprises. De 45 Mds€ précisément pour ces dernières, par une réduction des impôts de production de 36 Mds et par une baisse des charges sociales patronales de 9 Mds.

Sans aller jusqu’à proposer de verser l’intégralité des rémunérations, le programme du parti vise à réduire les charges sociales sur tous les salaires pour arriver à un gain net sur la feuille de paie de 50€/mois (600€/an). Ce gain serait de 83€/mois pour tous les salariés sous le salaire médian (1800 € nets/mois) en vue d’atteindre une hausse minimale de 1 000€/an. Le dispositif serait complété par un impôt universel sur le revenu, afin de « rétablir la contribution de tous à l’impôt ». Objectif France pourrait s’inspirer de la proposition de flat tax à 2 et 15 % de l’IREF, pour en finir avec l’illégitime et improductive progressivité de l’IR.

Le mouvement souhaite également supprimer l’IFI, dont l’IREF a démontré l’inefficacité.

Mais la baisse des impôts et des charges n’est pas la panacée. Le parti veut aussi simplifier la vie des entreprises.

Simplification de la vie des entreprises

C’est écrit noir sur blanc. Objectif France veut libérer les entreprises françaises du « maquis administratif ». Cette libération s’organisera au sein de commissions qui, sous l’égide de France Stratégie, proposeront au Parlement les mesures les plus adaptées au secteur d’activité, en liaison avec les branches professionnelles. En espérant que cela ne se transforme pas en corporatisme… De même, le parti veut abroger toutes les normes ajoutées à la réglementation européenne. Excellente nouvelle quand on sait que les bureaucrates français adorent en rajouter aux normes et réglementations européennes.

Rafik Smati semble vouloir être le candidat de l’innovation, puisqu’il réécrira le principe constitutionnel pour favoriser l’innovation dite « responsable ». Il vaudrait mieux carrément le supprimer, plutôt que de complexifier la chose, et de laisser l’Etat juger de ce qui est responsable ou de ce qui ne l’est pas…

Objectif France veut aussi libérer les agriculteurs en simplifiant le droit des entreprises agricoles, en facilitant le regroupement d’agriculteurs, ou encore en créant un « compte aléas climatiques et économiques », proposition de François Fillon que nous avions évoquée dans un précédent article. Mais aucune allusion n’est faite à la suppression de la SAFER. La fin des subventions (PAC ou Bio) n’est pas non plus à l’ordre du jour.

En revanche, le parti souhaite libérer les Français de la Sécurité sociale.

Libéralisation de l’assurance santé et responsabilisation de l’aide sociale

Le grand point fort de ce programme, le plus audacieux, c’est la fin du monopole de la Sécurité sociale qui « bloque les réformes et les évolutions indispensables » tout en pénalisant « la compétitivité de nos entreprises ». En réalité l’assurance maladie sera l’organisme par défaut, mais le citoyen pourra choisir un organisme assurantiel de son choix. Dans ce cas, le montant des cotisations sera versé sur le salaire net.

Les assureurs privés seront néanmoins très encadrés par l’Etat qui fixera des conditions de base (obligation de rembourser certaines pathologies à 100%, de mieux rembourser certains soins délaissés par l’assurance maladie, etc.). Certains pays où l’assurance santé est libre, comme la Suisse ou les Pays-Bas, imposent également quelques conditions minimales. Mais attention à ce qu’elles ne soient pas trop contraignantes… La concurrence et les prix pourraient être faussés.

En ce qui concerne les personnes en difficulté, elles bénéficieront d’un chèque-soins, dont le montant correspondra à la valeur moyenne de la prime d’assurance en France pour l’année en cours. Elles pourront également choisir librement leur assureur. La CMU et la CMUC seront supprimées, et l’aide médicale d’Etat (AME) limitée aux soins urgents.

Loin du revenu universel, le parti de Rafik Smati souhaite créer une allocation sociale unique, comme le préconise l’IREF. Assortie d’une carte biométrique, plafonnée afin que les revenus du travail soient toujours supérieurs à ceux de l’assistance, elle sera accordée en contrepartie d’un engagement individuel à se former et à rechercher un emploi. Le programme le rappelle : chaque prestation sociale doit s’inscrire, sauf handicap lourd, dans une durée déterminée, avec un projet de réinsertion à la clé. L’allocation à vie doit rester l’exception.

Nous n’avons pas traité ce programme dans son entier, préférant nous attarder sur l’aspect économique. Nous vous invitions à le consulter. Il est complet, documenté, et surtout financé. Le coût de chaque mesure est indiqué. Une transparence nécessaire que négligent trop souvent bon nombre de partis.

Alors non, ce programme économique n’est pas celui d’un parti libéral parfait. Il comporte beaucoup de références et de propositions nécessitant un « Etat stratège » (transition écologique, politique maritime, intelligence économique, investissements d’avenirsouveraineté numérique…). Beaucoup de crédits d’impôts et de possibles petites usines à gaz. Et une malheureuse hausse du taux normal de la TVA de 2 points.

Néanmoins, il comporte aussi beaucoup de points très encourageants, à l’image de celui de François Fillon en 2017. M. Smati faisait d’ailleurs campagne auprès du candidat malheureux des Républicains. Son programme régalien est à la hauteur des enjeux de sécurité de notre pays. Le numéro 2 du parti, le général de la Gendarmerie nationale Bertrand Soubelet, est un gage de sérieux en la matière.

Mais, à un an de la présidentielle, Objectif France et Rafik Smati seront-ils assez connus pour espérer peser dans la campagne ? Rien n’est moins sûr. Une alliance avec une partie de la droite libérale (ou pragmatique), issue des cercles de MM. Retailleau, Lisnard, Forissier, Wauquiez, Woerth, Thiériot et d’autres, serait peut-être la meilleure option. Cette alliance pourrait par ailleurs s’inspirer des propositions de l’IREF. Affaire à suivre…

https://fr.irefeurope.org/Publications/Articles/article/Objectif-France-un-parti-liberal?fbclid=IwAR2EuNHwfnWW27_JnUUsEuvZ6j2i34kOX8ltZIC9UlzDkrnjI2i_8NSkCjE

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Curieusement, l’État n’est jamais impuissant pour vous TAXER plus par NATHALIE MP MEYER

Il est toujours étonnant, et absolument navrant bien sûr, de constater à quel point l’État français, qui se montre souvent prodigieusement incompétent et/ou impuissant dans tant de domaines qui lui incombent naturellement ou qu’il s’est arrogé au fil du temps (régalien, santé, éducation, etc.), retrouve soudain une énergie doublée d’une efficacité redoutable dès lors qu’il s’agit de taxer les contribuables et de réduire leurs libertés les plus essentielles.

« Nous ne céderons rien » au terrorisme, s’exclamait Emmanuel Macron vendredi 23 avril dernier, alors qu’une fonctionnaire de police venait de succomber aux coups de couteau d’un terroriste islamiste en plein commissariat de Rambouillet. Six mois plus tôt, après la décapitation de l’enseignant Samuel Paty, puis dans les circonstances tragiques de l’attaque au couteau qui avait fait trois morts dans la basilique Notre-Dame de Nice, il disait exactement la même chose.

Ils ne passeront pas, nous ne céderons rien… et pourtant, la série noire continue, inexorable, chaque nouvel assaut constituant une véritable gifle portée à la face d’un gouvernement désespérément impuissant à enrayer la marche du terrorisme islamiste.

Non pas que cela soit chose facile. Il existe bel et bien un « revival islamiste » totalitaire et violent qui n’a rien à voir avec la situation particulière de la France, qui n’est pas limité à la France et qui pourrit durablement les esprits. Comment avoir prise sur des assaillants qui n’hésitent pas à mener leur petit djihad personnel ou commandité tout en sachant fort bien que la probabilité qu’ils y trouvent également la mort est extrêmement élevée ?

Comment les détourner de leurs pulsions mortelles quand chez nous, trop d’idiots utiles (comme MélenchonHanouna ou certains enseignants de Sciences Po Grenoble) pratiquent assidument l’inversion des victimes et des bourreaux en dénonçant toute critique des abus de l’islam et toute caricature du prophète Mahomet comme la preuve de l’islamophobie fondamentale de la France ?

En revanche, difficile de passer sous silence à quel point les services de l’État font trop souvent preuve de négligences répétées dans leurs missions régaliennes au quotidien. Pas une attaque terroriste récente qui ne mette en évidence un manquement gravissime ici ou là. Un « loupé » comme disait gentiment Laurent Nuñez quand il était secrétaire d’État à l’Intérieur.

Sauf que les loupés s’accumulent dangereusement. Les premiers éléments de l’enquête consécutive à l’attaque de Rambouillet ont montré par exemple que l’assaillant était un Tunisien entré clandestinement en France en 2009 et qu’il y avait ensuite vécu en situation irrégulière pendant plus de 10 ans. Comment cela est-il possible ?

Parmi les affaires de ces dernières années, on peut citer aussi le cas de Mickaël Harpon, cet informaticien de la Préfecture de Police de Paris qui avait donné à ses collègues de vifs motifs d’inquiétude quant à sa radicalisation sans que leur hiérarchie ne daigne les prendre en considération. L’individu a finalement tué quatre personnes à l’automne 2019 dans l’enceinte même de la Préfecture.

Ou encore celui du responsable de l’attentat au couteau qui a fait deux blessés devant les anciens locaux de Charlie Hebdo le 25 septembre 2020 dernier : il avait menti sur son âge à son arrivée en France pour bénéficier du statut de mineur isolé et de l’aide sociale à l’enfance. Quant à l’assassin de Samuel Paty, son compte twitter très porté sur le djihad et les scènes fictives de décapitation avait été signalé à plusieurs reprises aux services compétents.

Force est de constater également que nos autorités publiques ont la détestable tendance à se montrer systématiquement sévères avec les automobilistes ou les étourdis qui oublient leur masque chirurgical, mais restent hélas trop systématiquement pusillanimes dès que les choses se compliquent.

Et encore me contenté-je ici de parler du terrorisme qui endeuille la France puisque c’était le grand sujet du week-end passé. On pourrait y ajouter tous les « loupés » qui font que notre système de santé n’a pas été capable de résister au coronavirus et que notre système éducatif figure parmi les moins performants au sein des pays de l’OCDE. Sans oublier les multiples débâcles de l’État stratège, employeurinformaticien ou aménageur du territoire dont j’ai déjà eu l’occasion de parler.

Sachant tout cela, on a du mal à croire que l’État puisse réussir quoi que ce soit, mais il est cependant un domaine, un seul, où il excelle : celui qui consiste à entraver autant que faire se peut les libertés fondamentales de ses citoyens, à commencer par leur liberté de disposer du produit de leurs activités économiques. (On pourrait tout aussi bien parler des mesures d’exception prises dans le contexte de la pandémie de Covid).

Bien sûr, même dans un État libéral, il est nécessaire de prélever de l’impôt afin d’assurer la sécurité des biens et des personnes. Mais observons que le niveau de prélèvement atteint en France dépasse depuis longtemps tout ce qui se fait ailleurs dans le monde et dépasse également de très loin le stade nécessaire pour remplir intelligemment l’objectif régalien susmentionné.

Et de fait, Bercy n’a pas son pareil pour traquer toutes les assiettes fiscales possibles, toutes les nouvelles activités, toutes les modes comportementales, afin de faire rentrer les précieux deniers qui permettent à la nomenklatura politico-étatique de « faire quelque chose », théoriquement pour le bien des citoyens, et de devenir indispensable à ces mêmes citoyens via une abondante redistribution et un clientélisme judicieusement calculé pour durer.

Hormis quelques recettes spécifiques telles que les dividendes perçus sur les participations de l’État dans diverses entreprises anciennement nationalisées ou sauvées des eaux par pur « volontarisme » politique, les pouvoirs publics n’ont pas de ressources financières propres. D’où l’importance extrême, je dirais même vitale pour la classe politique d’affecter l’essentiel de l’énergie et de la matière grise disponibles dans la fonction publique à la collecte de l’impôt.

Quand on apprend que le logiciel de gestion des ressources humaines de l’Éducation nationale (le fameux SIRHEN) doit être abandonné après dix ans de développement et une facture inutile de 400 millions d’euros pour les contribuables, on a tendance à s’attendre à ce que le prélèvement de l’impôt à la source se mette en place dans la douleur. Eh bien non, pas du tout, tout roule au contraire à merveille !

Car on ne parle pas ici de dépenser l’argent public à tort et à travers comme c’est toujours le cas lorsque quelqu’un s’occupe de dépenser de l’argent qui ne lui appartient pas pour quelque chose qui ne le concerne pas – ce qui se trouve être exactement la position des administrations publiques selon la célèbre classification de Milton Friedman sur les quatre façons de dépenser de l’argent (voir schéma ci-dessous) :

Il s’agit, de façon bien plus importante comme vous vous en doutez, de faire rentrer les sommes qui vont servir ensuite d’argent de poche à nos politiciens pour faire avancer leur carrière et rester le plus longtemps possible aux manettes de la France, de leur région ou de leur village. Et là, pas question de manifester la moindre indolence.

Personne ne pourra jamais taxer le fisc (ni son alter ego l’Urssaf) de laxisme ou de négligence. Personne ne pourra jamais lui reprocher de ne pas procéder à tous les contrôles et redressements les plus méchamment tatillons. Et personne ne pourra jamais l’accuser non plus de laisser perdurer longtemps des trous béants dans la raquette du racket fiscal. La doctrine est simple : pour l’État, pour ses représentants et pour les collecteurs d’impôt qui les servent, le citoyen est un voleur en puissance qu’il convient de traiter comme tel.

C’est ainsi que les parents d’ados addicts au site Vinted pour revendre ou échanger leurs vêtements (façon braderie mais en ligne) ainsi que les contribuables faisant appel à d’autres plateformes collaborative du même genre ont eu ces jours-ci la surprise de voir les sommes en jeu figurer comme revenus préremplis sur leur déclaration d’impôt de l’année 2020.

Il existe bien évidemment des seuils en nombre et en montants pour différencier les utilisateurs occasionnels des vendeurs éventuellement professionnels, mais ce petit épisode de la vie fiscale ordinaire est néanmoins cruellement révélateur de ce que l’État est capable de mettre sur pied en fait de réglementation ultra-complexe et de sommation des plateformes pour qu’elles communiquent sans regimber le détail de l’activité de leurs utilisateurs.

Autrement dit, l’impuissance de l’État est à géométrie extrêmement variable. Il est plus que temps que le personnel gouvernemental et les élus se rappellent que le sens du pouvoir va des individus vers le haut et non de l’État vers le bas.

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[Exclusif] Signez la nouvelle tribune des militaires

[Exclusif] Signez la nouvelle tribune des militaires

Depuis quelques jours, la rumeur courait qu’une nouvelle tribune de militaires allait être dévoilée. Émanant de militaires d’active, elle vient en soutien à celle précédemment publiée sur le site de Valeurs actuelles. Ce texte, qui circule déjà beaucoup et dont les médias se font l’écho, nous avons décidé de le publier ce soir. Et de l’ouvrir, en bas de cette tribune, à la signature des citoyens français qui le trouveraient à la hauteur des enjeux qui sont les nôtres. Tout en continuant, avec une méthodologie exigeante, à nous tenir à la disposition des professionnels des armées qui souhaiteraient y prendre part. Comme la précédente, le but de cette tribune n’est pas de mettre à mal nos institutions mais d’alerter sur la gravité de la situation.

Photo d’illustration. Photo © ROMAIN LAFABREGUE / AFP

Monsieur le Président de la République,
Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :

« Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre »

Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.
Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamento militaire » mais d’une insurrection civile.

Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.
L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?

Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois,  d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.


➡️ Mise à jour lundi matin, à 11 heures : 93 344 personnes ont signé le texte.

https://www.valeursactuelles.com/societe/exclusif-signez-la-nouvelle-tribune-des-militaires/

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« Les grands médias ont perdu le monopole de l’information et ils ne le supportent pas » ( vidéo 53mn)

(Vidéo) « Les grands médias ont perdu le monopole de l’information et ils ne le supportent pas »

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SI VOUS ALLEZ CHEZ MACDO, CET ARTICLE EST POUR VOUS…

 

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Le vieux monde s’effondre … ! …

McDonalds perd une bataille juridique avec le chef Jamie Olivier, qui a prouvé que la nourriture qu’ils vendent n’est pas apte à être ingérée parce qu’elle est hautement toxique.
Le chef Jamie Oliver a gagné une bataille contre la plus grande chaîne de malbouffe qui existe dans le monde. Une fois qu’Oliver a montré comment les hamburgers sont faits, McDonalds, la franchiseuse a annoncé qu’elle allait changer la recette.
D ‘ après Oliver, les parties grasses de la viande sont ′′ lavées ′′ avec de l’hydroxyde d’ammoniac puis utilisées dans la confection du ′′ gâteau ′′ de viande pour remplir le burger. Avant ce processus, selon le présentateur, cette viande était déjà impropre à la consommation humaine.
Oliver, chef militant radical, qui a assumé une guerre contre l’industrie alimentaire, dit : nous parlons de viandes qui auraient été vendues comme nourriture pour chiens et après ce processus, des êtres humains sont servis. En dehors de la qualité de la viande, l’hydroxyde d’ammonium est nuisible à la santé. Oliver dit à ceci : ′′ Le processus de la merde rose « .
Quel être humain en bonne santé mettrait un morceau de viande trempée dans de l’hydroxyde d’ammonium dans la bouche d’un enfant ?
Dans une autre de ses initiatives Oliver a montré comment les nuggets de poulet sont faits : Après avoir sélectionné les ′′ meilleures parties ′′, les autres : graisse, pellets, cartilages, viscères, os, tête, pattes, sont soumises à un liquéfié séparation mécanique. C ‘ est l’euphémisme qu’utilisent les ingénieurs dans la nourriture, puis cette pâte rose par le sang, est déodorée, décolorée, réodorisée et repeinte, capée dans des mélcocha farinacea et frit, c’est réhabilitée dans des huiles généralement partiellement hydrogénées, c’est-à-dire toxiques.
Aux États-Unis, Burger King et Taco Bell ont déjà abandonné l’utilisation d’ammonium dans leurs produits. L ‘ industrie alimentaire utilise l’hydroxyde d’ammonium comme agent anti-microbien, ce qui a permis à McDonalds d’utiliser dans ses hamburgers de la viande d’entrée impropre à la consommation humaine.
Reportage
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