Bonjour,
Bien à vous H. Dumas et E. Bolling
839 vuesLe 14 Août 2070, le professeur Ahmed SALIN animait un colloque sur la révolution du 2 Août 2020, dont c’est le cinquantième anniversaire.
Ahmed SALIN est un économiste libéral, homonyme du renommé Pascal SALIN, lui aussi économiste libéral mais de la fin du siècle dernier et du début de celui-ci, décédé en 2039.
Le professeur Ahmed SALIN a choisi l’amphithéâtre de l’université de Sorèze — considérée comme l’une des plus performante du monde — pour évoquer la révolution libérale du 2 Août 2020.
L’Université succède en ces lieux à une école prestigieuse, très en avance pédagogiquement aux 19ème siècle, fermée en 1991, rouverte par la grâce et les finances de Bill Gates dans les mois qui ont suivi la révolution libérale de 2020 ; il voulait marquer son admiration pour l’économiste Frédéric Bastiat, élève de l’école au temps de sa splendeur de 1814 à 1818.
Le professeur a d’abord rappelé l’ambiance avant la révolution :
A cette époque les hommes de l’Etat étaient omniprésents, interventionnistes, la population très infantilisée.
Cette attitude avait un coût important et besoin de nombreux relais pour contraindre la population, qui autrement aurait naturellement aspiré à un développement personnel. Pour contrer cette aspiration de développement personnel, les hommes de l’Etat avaient mis moralement en exergue l’idée de solidarité, qui impliquait un égalitarisme inapplicable et réducteur.
Dans la pratique, à l’aide d’une avalanche de lois, de décrets, de circulaires, chaque geste ou chaque pensée de chaque homme étaient rendus si difficiles que tous pouvaient être à tout moment taxer d’illégalité, de délit par rapport à la loi, de fraudeur.
Un corps social privilégié, les fonctionnaires et leurs garants les élus, était chargé de surveiller l’application de cette avalanche de textes auxquels eux-mêmes avaient la faculté d’échapper à l’occasion de complicités de corps rarement dénoncées ou, dans tous les cas, non sanctionnées par une justice aux ordres.
Cette organisation avait un coût très élevé. Par ailleurs les relais de contrainte, les fonctionnaires, bénéficiaient d’un statut personnel qui paraîtrait invraisemblable aujourd’hui. Ils avaient la garantie à vie de leur emploi, une retraite payée sur l’impôt et une carrière statutaire à l’ancienneté sans lien avec leurs performances. Au surplus, ils étaient irresponsables des conséquences de leurs décisions.
Cette situation eut pour résultat de les rendre arrogants, aveugles à leurs échecs, dispendieux inépuisablement.
Une cassure irréversible apparaissait dès la fin du 20ème siècle, vers les années 1990, entre la population et cette caste de privilégiés. Pour la dissimuler les hommes de l’Etat durent financer d’énormes compensations, saupoudrer des avantages, jusqu’à affaiblir durablement le capital économique et pousser les acteurs économiques vers le crédit.
Une crise en 2007 et 2008, liée à l’augmentation exponentielle du crédit, a failli dès cette époque mettre à bas ce système économique bancal, imposé à tous depuis le 15 Août 1971 du fait de la décision dérangeante du Président Nixon au sujet de l’or. La fabrication intensive de fausse monnaie a toutefois permis de le faire perdurer.
Ce n’était que reculer pour mieux sauter. Le tissu économique était doublement fragilisé par le crédit. Les entrepreneurs en flux économique tendu ne pouvaient affronter aucun affaiblissement de la consommation, les consommateurs étaient psychologiquement fragilisés par la pression exercée sur eux pour les contraindre à consommer en leur offrant des crédits quasiment gratuits, mais quand même remboursables.
Des dénis politiques de réalité apparurent sous la forme de croyances irrationnelles, la plus marquante fut l’écologie.
La France fragilisée par l’interventionnisme illimité des hommes de l’Etat, et l’incompétence de ses fonctionnaires détenteurs du pouvoir réel, s’est trouvée dans une grande fragilité.
En Octobre 2018, la pression fiscale devenue insupportable, une jacquerie est soudainement apparue, elle prit le nom de révolte des gilets jaunes.
Le pays était alors gouverné, depuis à peine plus d’un an, par un jeune homme sous influence depuis l’âge de 16 ans de sa professeure de français. Il prit peur, durablement. Il se jeta dans les bras de spécialistes, tous fonctionnaires, comme lui.
Comme le disait Marc Bloch : “Mais rien, précisément, ne trahit plus cruellement la mollesse d’un gouvernement que sa capitulation devant les techniciens”.
La politique de la France fut alors faite de commissions et de collèges sans vision, sans but. Mais avec une constante : la méfiance envers le peuple, tout particulièrement ses éléments charismatiques (voir l’affaire Raoult).
Chaque difficulté, chaque trouble intérieur ou extérieur touchant le pays furent un motif pour limiter les libertés individuelles, soumettre et surveiller la population.
Le jeune président connaissait son histoire. Il avait en mémoire évidement comme tout le monde la révolution spectaculaire et régicide de 1789, mais aussi les trois autres : Les trois glorieuses en Juillet 1830, la révolution des libéraux en Février 1848 et enfin celle de Mai 1968. Trois révolutions qui en quelques jours ont fait table rase de la politique du moment, en ont imposé une autre.
La France à du mal à se transformer autrement que par ces chocs tectoniques.
Le professeur Ahmed SALIN a ensuite évoqué les faits
Alors qu’une pandémie, virulente mais sans plus, touchait le monde, Macron le jeune président de l’époque, suivant ses conseillers, a pensé opportun d’enfermer sa population, interdisant de ce fait tout rassemblement qui aurait pu lui être défavorable. Du même coup, il fragilisait son opposition particulièrement exposée à l’enfermement, alors que ses alliés fonctionnaires n’en subissaient aucun dommage, au contraire, c’était plutôt pour eux un air de vacances anticipées.
Mais, acculée, la faction des gilets jaunes, attisée par la nonchalance des amis du pouvoir “les fonctionnaires”, vit arriver en renfort une partie importante de la classe moyenne, les médecins en souffrance face aux fonctionnaires, les commerçants, les artisans et les petits entrepreneurs, pas mal de monde.
Des réseaux de résistance occultes s’organisèrent à partir du “blacknet.”
Ces réseaux lancèrent l’idée d’une grande manifestation pour le 2 Août 2020 à Paris. La présidence n’était pas en mesure de l’interdire. Des réunions de concertation établirent un parcours et l’autorisation fut donnée.
Mais en réalité le mot d’ordre caché était de monter à Paris la veille au soir. C’est ainsi que des centaines de camions dès le 1 Août en fin d’après-midi s’installèrent devant les portes des casernes de CRS, leur interdisant toute sortie, et que la foule des manifestant pu envahir Paris, pratiquement librement.
Elle se dirigea vers l’Elysée, qui était le point de ralliement secret.
C’est ainsi qu’un million de manifestants se retrouva rue du Faubourg Saint Honoré, face à une poignée de gardes républicains en faction.
Avec un certain courage, il faut le dire, le jeune Macron sortit du Palais de l’Elysée pour haranguer la foule. Mal lui en a pris, il ne dut son salut qu’à la vive protection des meneurs du premier rang et à une exfiltration rapide de ses gardes du corps par les jardins du palais de l’Elysée et les Champs Elysées.
C’est ainsi que la foule s’empara, à l’occasion de cette quatrième révolution, du symbole du pouvoir : le palais de l’Elysée.
Dès le lendemain un pouvoir provisoire était instauré avec pour mission l’organisation d’élections immédiates pour installer une chambre chargée sous trois mois de remettre un projet de constitution, qui fera dans les faits l’objet d’un référendum approuvé à 90% des suffrages exprimés.
Pour le professeur Ahmed SALIN,
Cet épisode de notre histoire est la preuve que la France pratique la procrastination politique, remettant toujours au lendemain les réformes jusqu’au jour où elle doit les réaliser dans l’urgence et la violence.
Cette révolution a vu la disparition de Bercy, de l’URSSAF, du corps spécifique des fonctionnaires.
Ce qui a permis de reconstituer le capital du pays, de retrouver les libertés individuelles, un impôt unique et proportionnel payé par tous à la hauteur de ses moyens, le respect de chacun, la propriété privée et l’aide aux plus démunis.
Les hommes de l’Etat ont été réduits en nombre de 70%, il n’y a plus qu’une élection pour tous nos représentants tous les quatre ans. Les fonctionnaires ont le même statut que tout le monde, ils ont été eux aussi réduits de 70%, le budget de l’Etat est bénéficiaire, l’armée et la justice sont les deux piliers d’un Etat qui se fait discret mais prêt à tout moment à rendre le service qu’il doit rendre en cas de nécessité.
Le plus remarquable est que la nouvelle constitution, avare en poste de pouvoir, a permis, depuis son installation en Décembre 2020, de constantes évolutions qui laissent penser que la France pourra dans l’avenir s’adapter aux changements nécessaires sans révolution.
Le colloque s’est conclu sur un débat libre où il fut question de l’école de Sorèze, de son étonnant destin, de Frédéric Bastiat, de son époque, elle aussi libérale… mais seulement intellectuellement.
Ce qui a fait dire au professeur Salin : “Nous avons peut-être accompli le rêve de Bastiat.”
1 300 vuesCette épidémie nous a révélé que nous avions en France une sacrée usine à gaz pour vous sauver. En théorie !
Encore une exception française que le monde entier nous envie (comme les taxes et impôts) avec plus de 34% de fonctionnaires administratifs dans les hôpitaux.
Encore un autre record que le monde entier…
Voici une des nombreuse listes de nids de fonctionnaires à gros salaires qui nous ont prouvés leur énorme valeur et leur grande utilité ces derniers temps avec le Covid.
A part de vivre très très bien à nos dépens on peut s’interroger sur le nombre de trucs bidules dont la fonction première et unique doit être de servir la soupe à des copains de promo ou des relations de diner.
Le Ministre de la Santé
Le directeur Général de la Santé
La direction de Santé Publique France
Le Directeur de la Haute Autorité de Santé
les Directeurs des Agences Régionales de Santé
Le Directeur de l’Agence nationale Sanitaire
la Direction de l’Alliance Nationale pour les Sciences de la Vie et de la Santé : Epidémiologie-France
Le Centre National de Recherche Scientifique en Virologie Moléculaire
L’agence Nationale de sécurité du médicament et de la Santé.
Un nombre d’Infectiologues Parisiens incroyablement et anormalement élevés probablement lié au fait que les Virus et de Bactéries descendent de l’avion à CDG et ouvrent leurs sièges sociaux près de la place de l’Etoile.
Mais comme tout cela ne suffit toujours pas, on va en rajouter une petite pincée pour les amis retardataires :
Le Haut-Commissariat de lutte contre les Epidémies
Le Haut Conseil de Veille Sanitaire
L’agence Nationale de Sécurité de Logistique Médicale.
et un de nos lecteurs
Et oui et vous avez encore oublié l’Académie de médecine, le CNRS, l’INSERM et les diverses sociétés savantes de médecine, du style : Association française de cardiologie, de diabétologie, Fédération française d’infectiologie etc
Et aussi la Direction centrale du Service de santé des armées puisque nous étions en guerre.
Plus le temps passe plus les couches de peinture administrative s’accumulent et personne ne veut décaper à nu et constater que le bois est vermoulu.
Il faut que vous sachiez que cette gabegie n’est pas unique.
On peut la trouver dans toutes les administrations étatiques, municipales ou autres.
N’oubliez jamais que c’est vous qui entretenez (et bien) par votre travail ces 5 500 000 fonctionnaires qui en plus vous méprisent
Et aussi 2 petites sentences plus que jamais d’actualité envoyées par R. Armenante:
Les fonctionnaires sont comme les livres d’une bibliothèque: ce sont les plus haut placés qui servent le moins. Clémenceau
La France est un pays extrêmement fertile: on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts, Clémenceau
1 150 vues
En Finistère, au bout de la Terre, dans un petit village sous la pancarte de Saint-Philibert, j’ai assisté à l’enterrement d’un proche. Le malheureux, de seulement cinquante-six bougies, souffrait depuis près de cinq ans d’un cancer facial, c’est-à-dire visible. Imaginez une bouche qui se dégrade comme une gueule cassée de temps de guerre. Placé un mois avant sa fin de vie en soins palliatifs, il se demandait encore s’il allait mourir, tellement il luttait pour survivre, après toutes les dents enlevées, et de multiples séances de chimiothérapie.
Celui, à qui je rendais visite régulièrement, répondait de moins en moins à mes présences, avec un masque sur le visage, moi-même masqué aussi dans le respect du protocole sanitaire lié au Covid. Le personnel soignant dans ce couloir de la mort – les soins palliatifs – est admiratif. Je me demande encore comment il peut réaliser un tel boulot : Accompagner des condamnés dans toutes leurs intimités dégradées, leur état de putréfaction vivante pour certains.
En déconfinement, tout en étant confiné, l’enterrement civil était la seule option. Et pourtant dans la petite chapelle d’à côté, mes parents s’y sont mariés, des amis aussi. Des choses plus tristes s’y sont évidemment déroulées avec des enterrements de gens ou de proches que je connaissais. Voir cette chapelle fermée, avec des instructions Covid cloutées sur ses portes, me semblait surréaliste. Non que j’ai la foi, mais j’aime l’architecture des lieux catholiques, leur odeur parmi leurs intérieurs, leur air frais de vielles pierres, leur silence, leur souvenir.
Une bonne partie de la famille s’est donc directement donné rendez-vous au cimetière de Saint-Philibert. Une bonne partie, car limitée selon nos nouveaux principes de précaution. Chacun sans masque, mais à distance, laquelle se raccourci très vite quand il faut prendre des décisions dans l’urgence de la célébration des obsèques. C’était en effet la première fois que je vivais une mise en bière pour aller direct vers le cimetière, comme dans un Western sous un profond ciel bleu. Ladite famille est éparpillée à travers le grand-ouest de la France. Passer du trépas le lundi matin pour se retrouver sous terre le mercredi après-midi, alors que le jeudi est férié, c’était court en termes d’organisation contrainte.
Notre famille jeune pour la plupart composée des petits enfants et de leurs pièces rapportées, car les « très vieux » sont déjà partis, est une famille libérée. Nous acceptons la vie et la mort comme des épouses, sans fard, avec tristesse certes, mais sans s’appesantir, sans chercher un coupable, un responsable. J’ai appris à accepter la mort de mes arrière-grands-parents qui reposaient sur leur lit de coucher au quotidien, comme des endormis quand j’étais enfant. Diner auprès du mort dans un recueillement silencieux. Puis le lendemain, se réunir avec d’autres gens comme pour un retour de noces …
Aurait-on pu faire mieux quant aux soins de ce potentiel défunt ? Probablement ! Y-a-t-il à faire des procès ? Et quand bien même aurions-nous gain de cause, qui paie ? L’Etat, c’est-à-dire vous ? Fin de partie, mais de la mémoire et donc de l’expérience. C’est cela la vie, de l’expérience pour mieux faire ensuite.
Bien à vous
Nous ne voulons plus de votre sac à patates !
Si les Français se voyaient tels qu’ils sont, ils auraient la surprise de constater qu’ils sont vêtus de sacs de jute avec un trou pour la tête et deux pour les bras. C’est par pure illusion qu’ils croient porter des habits élégants.
En réalité, l’illusion a consisté à rendre le sac de jute invisible. Le magicien qui est l’auteur de ce formidable tour de passe-passe, c’est l’Etat. On sait que le secret des illusionnistes consiste à attirer l’attention du spectateur sur un geste appuyé tandis qu’en toute discrétion le geste « magique » s’accomplit. Dans le cas de l’Etat, le tour consiste à clamer haut et fort le mot de « solidarité » et à inviter les spectateurs à l’entonner en chœur après lui, de façon à lui permettre d’enfiler à ces malheureux, pendant qu’ils chantent, le sac de jute qui sera le signe de leur esclavage.
L’épidémie de covid-19 a dessillé les yeux du peuple. La troupe d’illusionnistes qui se produisait à l’enseigne de l’Etat et dont les Français attendaient protection et salut s’est révélée incapable de la moindre mesure sérieuse de sauvegarde. Face aux milliers de morts et à l’économie en ruines, les citoyens ne voient plus dans les illusionnistes que des escrocs et comprennent enfin que le sac à patates qui les habille n’est qu’un truc pour les soumettre.
Prudents, les Français attendent que le virus ait décampé pour passer à l’action. Mais les illusionnistes ne perdent rien pour attendre. Les plus chanceux seront ceux qui auront la vie sauve.
Il ne manque pas d’illusionnistes de rechange. Mais s’ils ne sont jamais arrivés en haut de l’affiche, c’est parce que le peuple, si naïf et bon public qu’il soit, n’a jamais cru à leurs trucs. Il faut dire que déshabiller les riches pour habiller les pauvres n’est pas très convaincant, vu le nombre de ces derniers, et que s’enfermer l’intérieur de chez soi est choquant pour des gens qui ont pris goût à aller voir ce qu’il se passe dehors.
Ce qu’il y a de certain, c’est que les Français vont se défaire du sac à patates qui les habille et le jeter aux ordures, même si les escrocs ne rêvent que de le leur enfiler à nouveau. Ils vont vouloir vivre autrement. Mais « autrement » peut vouloir dire bien des choses. En tout cas cela ne voudra pas dire s’épuiser à porter tout le monde sur son dos.
Sonnons donc le glas du système social « que le monde entier nous envie ». Un virus, l’être le plus petit qui soit, a eu raison de l’abracadabrantesque palais des merveilles et des délices où grouillait l’innombrable foule des demandeurs.
Tout ce monde en déshérence va se répandre dans les villes et les campagnes, à la recherche de protecteurs capables de remplacer leurs bienfaiteurs défunts. Mais ils ne rencontreront que des visages fermés, leur enjoignant de se mettre à la tâche plutôt que de mendier leur pitance. Un défunt chef de l’Etat à la taille imposante employait en des circonstances de cette nature l’expression « vaste programme ! ».
La planète tout entière résonne d’un grand fracas d’empires. Tous ne sont pas morts. Un financier d’outre-Atlantique a coutume de dire « quand la mer se retire, on voit ceux qui nageaient à poil ». Lui-même a perdu un peu du tissu de son caleçon pour n’avoir pas réagi à temps au nouveau cours des choses. Mais il lui en reste assez pour que la décence soit sauve.
C’est cependant au royaume de France que les outrages à la pudeur sont les plus criards. Une immense troupe d’accapareurs de biens publics se balade le cul à l’air dans nos plus belles avenues. Certains esprits vengeurs vont même jusqu’à dire qu’il ne leur manque qu’une plume pour que le spectacle soit complet.
« Ce que l’Etat doit à chacun de ses membres, c’est la destruction des obstacles qui les gêneraient dans leur industrie », disait un conseiller fort avisé mais mal écouté d’un de nos rois au sort funeste. Eh quoi, s’écrient les illusionnistes démasqués, nous voulions le faire, mais un sort malin a fait qu’au lieu de détruire ces obstacles nous en élevions d’autres qui avaient vocation à les remplacer, de telle sorte que tous ces obstacles réunis finirent par faire un mur immense.
Laissons ces inconscients à leurs folles constructions. Rien n’est plus beau que le premier matin du monde. Fasse le ciel que rien ne vienne gâcher notre plaisir !
Claude Reichman
1 079 vuesQuand j’étais jeune (ça fait mal de dire ça), pour financer une partie de mes études, l’été je faisais sauveteur en mer. Autant vous dire qu’avant et après la série « Alerte à Malibu », les sauveteurs et le regard des vacanciers n’ont pas été les mêmes. Après la diffusion de la série, il y a eu plus de 200 candidats/an au centre de formation où j’avais été formé quand il y en avait 15 en moyenne auparavant. Les motivations n’étaient plus les mêmes. Quant aux vacanciers, avant la série, il y avait une reconnaissance, une convivialité, au point que l’on pouvait leur faire des blagues… ensuite nous avons souffert de la comparaison et le regard s’est durcit…
L’été de ma 3ème saison, avant l’effet « Alerte à Malibu », nous avions marqué « Attention aux Mange-Cailloux » pendant la période des méduses sur le panneau d’affichage. Nous avions un super discours : « Une espèce en voie de disparition qui vient du Canada… évolue dans l’eau et cause des irritations comparables à celles des méduses…, dans le sable a un comportement comparable à celui de la taupe… et mange des petits cailloux, il a un système digestif comparable à celui de la poule…, ça peut pincer les pieds… ».
Evidemment, les victimes des méduses défilaient au poste de secours. À notre grand étonnement, au moins la moitié d’entre eux avaient vu le Mange-Cailloux et d’autres pour les jeunes et ados avaient même failli en attraper. Extraordinaire ! Et pour les autres qui n’en étaient pas certains : « – C’était une masse blanche ou sombre ? – Je n’ai pas bien vu, plutôt sombre… – Ben voilà, encore un Mange-Cailloux ! ». Et pour parfaire le tout, nous recommandions aux mamans bien-intentionnées de s’arrêter à la pharmacie au bout de la rue en sortant de la plage aux feux à l’angle, la crème « ApaisylOuAtarax », dit très vite de sorte que ce soit incompréhensible, ou clairement « une pommade contre les piqûres de Mange-Cailloux », « ne vous inquiétez pas, ce pharmacien, lui, il sait ce que c’est ».
Toute la journée et même le soir, l’histoire se répandit, certains « médusés » et d’autres moins crédules ou pas du tout, mais partout, en cette jolie station balnéaire, on ne parlait presque plus que des Mange-Cailloux. La blague s’est arrêtée le lendemain soir quand le pharmacien, furieux, « irrité », submergé par le monde qui venait lui chercher de la pommade contre les piqûres des Mange-Cailloux, est arrivé au poste de secours. Même les élus y avaient cru, au moins ceux qui venaient sur la plage. Le maire, qui n’était pas venu et qui avait beaucoup de sympathie pour nous : « Putain les gars, arrêtez vos conneries… ».
La moralité de cette histoire, c’est que parfois, par la seule volonté, consciente ou inconsciente, de croire en quelque chose de pas ordinaire, quelque chose d’exceptionnel, on finit même par voir ce que l’on a envie de voir.
Quel rapport avec le coronavirus ?
Je ne suis pas médecin, épidémiologiste ou virologue ou même un spécialiste de quoique ce soit dans ces domaines, mais la première question est : meurt-on réellement du coronavirus ? La question peut s’étendre à la grippe ou au VIH…
Concernant le Coronavirus, le professeur Ferguson estime que près de 2 tiers des morts du Covid19 seraient décédés d’une autre pathologie dans l’année :
On n’a pas trop de mal à le croire quand on a en tête, la distribution des morts par tranche d’âge.
À titre personnel, je ne connais directement personne qui soit mort du Covid19, pas même à 1 poignée de main ou je ne suis pas au courant. Oui, une théorie établie en 1929 dit qu’il n’y aurait que 6 poignées de main qui nous séparent de n’importe quel individu sur la planète. Ce serait de 3 ou 4 aujourd’hui à 50 ans !
Donc le fait que vous connaissiez un ami qui connait un ami qui connait un ami qui est mort du Covid19 est plus que normal. Le contraire ne le serait pas !
En revanche, j’ai un vieil ami qui a 2 amis encore plus vieux que lui (environ 85 ans) qui ont eu un grave malaise cardiaque chez eux (à l’origine non contaminés par le Covid19) et alors que la probabilité qu’ils meurent dans les jours qui suivent à l’hôpital se soit réalisée, admis aux urgences, ils ont été déclarés morts du Coronavirus.
Bon, alors pour être prudent, je préfère dire que l’on peut mourir « des effets du Coronavirus », comme de la grippe ou du VIH, c’est certain, mais a priori, je serais aussi tenté de dire que l’on peut mourir tout simplement « avec » le Coronavirus sans qu’il n’ait eu pour autant une quelconque cause sur l’issue fatale.
C’est indiscutable, cela fait donc déjà au moins un facteur réducteur du nombre de morts « des effets du Coronavirus ».
Une précision tout de même, quand je dis « morts des effets du Coronavirus », j’entends uniquement sur le plan médical estampillé « Covid19 », parce qu’en réalité il y en aura d’autres par ailleurs, on y reviendra. Sur le plan économique, ils seront sans doute plus nombreux…
En effet, au risque de me répéter, la grippe fait entre 2000 et 10 000 morts par an en France. Ce chiffre alors même que 50% des personnes âgées de plus de 65 ans sont vaccinées contre la grippe et que l’on compte 10 millions de personnes vaccinées en tout. Et lorsque les plus faibles sont atteints, ces malades sont soignés : paracétamol et antiviraux au menu. En plus, on peut facilement admettre qu’une bonne partie d’entre nous, aux mutations près, est plus ou moins immunisée. Malgré tout, dans ces conditions, on parle d’un taux de létalité de l’ordre de 0,3%. Il vient alors une question : de combien serait-il s’il n’existait pas de vaccin et si l’on ne soignait pas les gens ? 2, 3, 5% ? Et si on faisait un groupe témoin pour satisfaire nos chercheurs, nos technocrates et autres petits marquis ? Euh, je blague là !
Une des rares informations vraie et divulguée par nos technocrates est que les tests ne sont pas fiables. Mais alors ! Les tests en général (PCR ou autres), ne détectent-ils que le Covid19 ? Parce qu’il existe des dizaines de coronavirus, totalement inoffensifs, dont nous sommes parfaitement immunisés depuis longtemps. Ou pourraient-ils être positifs à d’autres virus ou maladies ?
Aussi, cette année, aucune statistique des morts causés par la grippe justement, ou même causés par d’autres infections virales, pulmonaires ou non, qui feraient 60 000 morts par an en plus de la grippe. Sacré chiffre ! Jusqu’à présent personne ne s’inquiéter de porter un masque…, mais bon, soit !
Alors après quand on se rend compte de ça, tout un tas de questions arrivent…
On peut aisément s’interroger si les morts du Coronavirus, « si contagieux », n’incluraient finalement pas, au moins pour une partie, des morts d’autres maladies ? En bref, avec ces statistiques en tête et questionnement sur la fiabilité des tests et sachant qu’il existe l’effet « Mange-Cailloux », même si l’on ne peut objectivement pas nier l’existence du Covid19 et qu’il a nécessairement été responsable de quelques centaines ou milliers de morts, le doute sur la réelle dangerosité du Coronavirus est plus que permis ?
Finalement, quand on y pense bien, le Coronavirus, ne serait-il pas, pour une partie non négligeable, le bouc-émissaire d’une hallucination collective générée par des technocrates, membres de comités scientifiques, fonctionnaires, certes tous cultivés, instruits mais complètement abrutis, motivés par des scientifiques alarmistes ? Parce qu’il faut quand même le reconnaître, depuis le confinement, il n’existe plus qu’une seule pathologie : le Coronavirus !
En effet, pour les autorités, il suffisait que vous ayez 2 des 3 symptômes, maux de tête, fièvre ou toux pour que vous soyez suspecté d’être infecté par le Covid19. « Restez chez vous ». Je ne suis toujours pas médecin, mais il me semble qu’il existe d’autres maladies qui réunissent 2 de ces 3 symptômes. Et si vous aviez les 3 symptômes réunis, pof, direct à l’hôpital public (si vous êtes éligible), le seul qui sait ce que c’est. Hi, le coup du pharmacien. Et là, si vous ne l’aviez pas tout de suite selon le test, vous aviez toutes les chances de repartir avec 😉. Une petite blagounette… Bon, pardon.
Revenons à la contagiosité. Car tout de même le Ro (R zéro) estimé, indice chouchou si cher à nos infectiologues et autres virologues de tout poil, était d’abord de 6 ou 7 puis 3 comme le spot publicitaire pendant la période de confinement le suggérait. Alors faisons un petit calcul.
Pour faire simple, le Ro permet de connaître le nombre moyen de personnes qu’une personne contagieuse pourrait infecter. Dit comme ça, ça n’a pas l’air si dangereux que ça, surtout quand il n’est que de 3 ! ça parait faible et pourtant…
Démonstration approximative, mais quand même, ça a le mérite de donner une idée. Le Covid19 serait contagieux avant l’apparition des symptômes qui apparaissent eux-mêmes après une période d’incubation de 4 à 6 jours et une période de guérison compris entre 6 et 20 jours. Bien. Le premier cas en France certifié date du 27 décembre 2019.
Pour une représentation de la propagation du virus, il suffit d’imaginer un arbre, dans le cas présent à 3 branches où à chaque branche il y pousserait 3 branches et ainsi de suite pour chaque période d’observation. On parle de progression exponentielle et c’est bien le cas. Ensuite, il suffit de faire la somme de chaque nœud. Il suffit donc de résoudre la somme de t = 1 à n de Ron, n étant le nombre de période. C’est un modèle un peu simpliste, il en existe sans doute des beaucoup plus sophistiqués mais a le mérite de permettre d’avoir des ordres de grandeur en tête (indispensable pour juger de la pertinence des solutions à envisager), d’apprécier les cohérences et est très facile à implémenter. En réalité le taux de contamination est plus fort en début d’épidémie et s’estompe avec le temps puisqu’il reste de moins en moins de personnes à contaminer… Donc si l’on considère qu’à partir du 5ème jour d’incubation (hypothèse très conservatrice) chaque personne est contagieuse, depuis le 27 décembre au 17 mars le 1er jour de confinement, il y aura eu 21 périodes. Aïe, c’est embêtant, le nombre de personnes théoriquement infectées est de 15,6 milliards !!! (321 = 1.046 1010 avec le reste…). 2 fois la population mondiale ! Il y a comme qui dirait une couille dans le potage.
Bon, avec un Ro à 2 ? Ça fait 4 186 111. Aaaah, vous m’en direz tant… Vous imaginez avec un indice à 7 !!! On reviendra un peu plus tard sur la cohérence de ce chiffre. Pour info, le Ro de la grippe est de 2 à 3, à la différence près que la grippe dure beaucoup moins longtemps (1 à 2 mois par an) et vous l’avez compris, le temps est un facteur très important : c’est l’exposant !!! CQFD. Nul doute que c’est parce que le Covid19, il existe depuis 5 mois en France maintenant, ne rencontre aucune immunisation, aucun anticorps.
Et qu’en est-il du taux de létalité ?
Dans mon second article qui date du 22 mars 2019, https://temoignagefiscal.com/le-meme-du-coronavirus/ , j’avais estimé modestement un taux de létalité à 0,2%, par une autre méthode moins sophistiquée quand nos experts l’estimaient à 3,5%.
Les autorités ont officialisé un taux d’immunisation à 6% de la population il y a 2 ou 3 semaines, soit 4 millions de personnes. Comment ? Pchittt !!! D’autres parlaient d’un taux compris entre 10 et 15% de la population. https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/confinement/coronavirus-bientot-des-certificats-d-immunite-6808588 . Bon pour faire simple disons 10. Nous sommes 67 millions soit 6,7 millions de personnes immunisées. Ce serait presque cohérent avec les 4 millions précédemment calculées juste avant le confinement, mais vue la croissance des décès même pendant le confinement avec le pic mi-avril (Encore une fois justement estimé dans mon premier article), grâce ou à cause des transports en communs, les courses…
Ordres de grandeur et cohérence sont les maîtres-mots.
Alors de deux choses, l’une : soit le Ro est encore plus faible, soit le nombre de personnes immunisées est sous-évalué. Dans tous les cas, 4 millions de personnes immunisées avec un taux de mortalité à 3,5%, ça ne colle pas : ça fait 140 700 morts !!! Les Hautes Autorités ont cassé leur calculette ?! Non, ils se sont gouraient, pour faire joli et pour la frime, ils comptent en chiffres romains… Ah ben oui alors, c’est beaucoup moins facile !
Nous n’avons qu’un modèle simpliste, mais celui de l’OMS sans doute plus complexe, c’est certain, ne fonctionne pas.
Parce que je ne suis toujours pas médecin, mais ôtez-moi d’un doute. Il faut bien nécessairement avoir été contaminé pour être immunisé ?
Si l’on considère le chiffre des 28 000 personnes décédées officiellement comme juste, ce qui est loin d’être prouvé (à titre perso, au pifomètre j’en enlèverais bien un bon tiers), le taux serait alors au maximum de 0,42%, à peine supérieur à celui de la grippe (0,3%) alors que, je le répète, il y a 10 millions de vaccinés et que les grippés sont soignés.
Voyez-vous, le 25 février quand le Prof. Raoult annonce « Coronavirus, fin de partie », le virus existait déjà en France depuis au moins le 27 décembre 2019. Avec un Ro à 2 et un taux de mortalité à 0,5%, ce qui semble être raisonnable, à cette date, cela ferait tout de même environ plus de 120 000 cas et environ 600 morts. On ne les a pas vus !!! Aux yeux du monde, ils n’existent pas. Les malades allaient chez leur médecin généraliste qui leur prescrivait du paracétamol, des antiviraux, dans d’autres cas des antibiotiques… Les morts ? Ben ils sont morts de la grippe ou d’une autre maladie virale pulmonaire… comme d’habitude.
Aussi, à cette date, nous avions déjà toutes les données nécessaires et suffisantes, pour faire ce genre de petites analyses avec juste un tout petit peu de bons sens. Nous avions l’expérience de la chine, la Corée du Sud, Taïwan… et même un peu de l’Italie… Il y avait pourtant des évidences !
Et quand à partir de cette date, le Coronavirus a commencé à exister, rapidement il n’y a eu plus que lui.
Vous me direz si vous êtes d’accord : « Chacun son Mange-Cailloux !!! »
Cependant, on peut remercier le journaliste David Pujadas, sur LCI dont le titre Youtube est « Coronavirus tout était faux – Panique à bord du vaisseau média mensonge », d’avoir rétabli en partie la vérité :
Il parle de la remise en cause du taux de létalité de 3,5% (10 fois celui de la grippe) à 0,5%, des enfants initialement contaminateurs qui en réalité ne le sont pas, et de la sensibilité à la chaleur et donc de facto à quelque chose près de la saisonnalité.
Oui, là encore pour défendre l’idée que le confinement a aidé à lutter contre le Coronavirus, les techno-virologues soutiennent encore la thèse que le virus n’a pas de saisonnalité et dans le même temps qu’il faudra se préparer à une seconde vague à partir de novembre prochain. C’est vous dire s’ils ont les fils qui se touchent !!! Hein ? À moins qu’ils se foutent de nous ? Oh, ben je n’y avais pas pensé !
À voir également,
https://www.youtube.com/watch?time_continue=263&v=sfNaRWj0_EE&feature=emb_logo
En synthèse,
La lecture du tableau montre que le confinement a généré une mortalité supérieure à si l’on n’avait rien fait. Sans commentaire. En revanche, la séparation additionnée de traitements s’avère efficace.
Mais alors, la santé, dans un pays confiné, comment qu’c’est t’y qu’ça marche ? Ah, et bien c’est pas compliqué ma bonne dame, je m’en va vous en expliquer.
Et bien c’est le triple effet kiss-cool !
Pour les points 1 et 2 je vous recommande de lire cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=IjzCe5vJGH0
Enfin, aujourd’hui les chiffres sont là. Les médecins qui ont fait un travail de médecine, c’est-à-dire, diagnostiquer puis traiter, que ce soit avec la combinaison hydroxychloroquine et azytromicine la solution du Prof. Raoult ou une autre solution sérieuse, il en existe plusieurs, ont obtenu chez les patients admis un taux de mortalité de l’ordre de 0,5% (dans l’univers des 181 826 personnes séropositives confirmées à ne pas confondre avec le 0,5% de l’univers des 6,7 millions de personnes immunisées estimées et donc qui ont été contaminées par le virus ; la confusion est fréquente chez nos techno-virologues pour décrédibiliser ceux qu’on choisit de traiter) quand ceux qui n’ont rien fait, à part intuber, sachant qu’en plus il semblerait que ça n’était pas nécessairement la solution, ont obtenu un taux de mortalité de l’ordre de 3 à 6%. Attention aussi, si vous faite 28 215 / 181 826, vous trouverez 15,4%, c’est parce que beaucoup sont morts estampillés du Covid19 sans qu’ils aient pour autant été pris en charge. Évidemment.
À visionner absolument :
https://www.mediterranee-infection.com/comparaison-des-courbes-epidemiques-selon-villes-et-pays/
Si un doute persiste, dans les établissements qui n’ont pas traité, pratiquement toutes les tranches d’âge ont été touchées, évidemment, en particulier les sujets les plus âgés, mais ceux qui ont traité tout le monde, pas un seul patient mort en deçà de 60 ans. Zéro. Point. La messe est dite.
C’est ce qui fait toute la différence entre les technocrates-virologues ou -chercheurs… -spécialistes, les petits marquis, qui veulent une solution spécifique à chacune des pathologies, qui correspond à une vision administrative des choses à ceux qui font de la vraie médecine, humaine, aussi imparfaite soit-elle, c’est-à-dire faire avec les moyens dont on dispose. Pour rappel, nous étions en guerre contre le Covid19. Il ne faut pas confondre médecine et recherche.
Bilan, si nos chers fonctionnaires et technocrates n’avaient pas monopolisé la santé avec leurs protocoles qui consistent à empêcher les gens de se soigner en attendant un médicament spécifique ou vaccin dont la conception prendra des mois, si ils trouvent un jour, nous aurions eu,
Notez que plutôt que d’attendre que la maladie progresse sur les formes les plus graves qui donc nécessite une assistance respiratoire, si les gens avaient été traités, il est à n’en pas douter que nous aurions eu, idem, au moins 6 fois moins besoin des services de réanimation, donc pas d’engorgement des services de réanimation des hôpitaux sans confinement !
Bientôt, en prime, nous compterons nos morts économiques.
Nous aurons donc tant sur le plan de la santé (Covid19 et autres pathologies) que celui de l’économie, un surplus global de 20 000, 30 000, 50 000… morts de l’effet de l’irresponsabilité de nos technocrates à gérer l’arrivée d’un nouveau virus, dont ils ont voulu le monopôle, communément appelé Coronavirus ou Covid19 ?
Si toutes les personnes de moins de 60 ou même 65 ans, donc ceux qui travaillent, n’avaient pas été confinées et si pour celles qui auraient alors développé les premiers symptômes avait été traitées, le nombre de morts aurait été infiniment inférieur, le taux d’immunisation de la population des 60 ou 80% aurait été plus rapidement atteint et le Covid19 serait devenu insignifiant plus rapidement comme il finira par l’être de toutes façons comme tous les coronavirus. Autant dire qu’un vaccin ne sert à rien. Et accessoirement, cela aurait éviter une crise économique sans précédent.
Nos technocrates ont, ce que je croyais impossible, parfaitement réussi à illustrer ce qu’est que « l’effet papillon ».
Un grand BRAVO donc à nos technocrates, élus et fonctionnaires, on ne les remerciera jamais assez.
Je peux me tromper dans mon analyse que je sais imparfaite, mais c’est mon Mange-Cailloux à moi que j’espère être plus chargé de raison que d’émotions lesquelles conduisent souvent à des catastrophes.
Un bonus/test :
Imaginez une feuille de papier à cigarette suffisamment longue pour que vous puissiez la plier en deux 45 fois. Quelle épaisseur pensez-vous que ferait alors le bloc de feuille, sachant que l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette est de 10 micromètres ?
Bon, euh, 1 micromètre c’est 10-6 m, soit 0,000001 m
Alors ?
Réponse plus bas…
Vous êtes à environ seulement 30 000 km de la lune sachant que la lune est à 380 000 km de la terre.
0,000001 x 10 x 245 = 351 844 km !!!
Surpris ? Non ? Alors maintenant, vous avez le droit de vous présenter à des élections ou même être ministre de la santé. Ouf.
Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.
2 379 vuesSouvent je suis allé en forêt chercher des champignons ou chasser le sanglier, jamais je n’ai compris l’expression qui évoque l’arbre qui cacherait la forêt. C’est plutôt l’inverse que je peux facilement imaginer, c’est-à-dire la forêt qui cacherait l’arbre que l’on chercherait.
En réalité, Wikipédia consulté, j’apprends que l’arbre ne cache la forêt que pour le con qui fait une fixation sur un arbre au point d’en perdre de vue la forêt qui l’entoure. Ce n’est donc pas l’arbre qui cache la forêt mais bien l’esprit borné et obscurci de l’observateur.
C’est le coup du taureau qui cherche à encorner le chiffon rouge au lieu de transpercer de sa masse son tortionnaire.
Voilà qui me ravit et s’adapte parfaitement à notre monde politique où tout andouille de service à telle ou telle émission ou prestation publique arrive à cacher sa médiocrité et celle de l’ensemble de ses coreligionnaires, mais… grâce à notre complicité.
Alors que les mensonges répétés de nos élus, peaufinés par des communicants de haut niveau – oxymore –, devraient nous sauter aux yeux tant ils sont simplistes, pourquoi font-ils l’objet d’exégèses — qui finalement les valident — sur tous les supports possibles et imaginables, médias officiels ou réseaux sociaux.
Car enfin, ces hommes de l’Etat en sont irrémédiablement réduits à n’avoir qu’une seule et unique activité : nous mentir.
Ils se sont mis dans une situation matérielle totalement inextricable, ils ont distribué des cadeaux immérités, se sont attribués des faveurs tout aussi imméritées. Ils nous ont mis en faillite. Ils préféreraient crever, ou mieux nous voir crever, que de l’avouer.
La question lancinante, qui tourne en boucle sans réponse : comment cela est-il possible ? aura-t-elle un jour une réponse.
L’Absence de réponse à cette question est le nœud du problème et la combine qui sauvent les hommes de l’Etat. Ils s’accrochent comme des malades à l’entretien de ce mystère.
Or, la réponse est simple, c’est la suivante : L’arbre c’est l’Etat, la forêt c’est nous. Et l’arbre nous cache la forêt.
Voici comment cela fonctionne :
La crise économique ? L’Etat s’en occupe – La misère ? L’Etat s’en occupe – Les handicapés ? L’Etat s’en occupe – Les indigents ? L’Etat s’en occupe – Les geignards qui se trouvent insuffisamment riches ? L’Etat s’en occupe – Les fainéants dépressifs ? L’Etat s’en occupe – Les incompétents ? L’Etat s’en occupe – Les vieillards ? L’Etat s’en occupe – Le coronavirus ? L’Etat s’en occupe – Le confinement et la ruine qui va avec ? L’Etat s’en occupe – Le redémarrage de l’économie ? L’Etat s’en occupe, etc…
Dans ces conditions l’observateur naïf ne voit que l’Etat, l’observateur ambitieux aussi mais pas pour les mêmes raisons.
Tout le monde perd de vue : NOUS, qui est moi, vous… nous, quoi…
Incroyable, chacun y va de son petit avis sur l’Etat, qui n’existe pas, et perd de vue sa propre personne et les autres.
Pendant que nous nous penchons sur les problèmes de l’Etat, qui ne peut pas en avoir puisqu’il n’existe pas, nous oublions de nous pencher sur nos problèmes.
Le cerveau obscurci, nous croyons utile de disserter sur les mensonges des hommes de l’Etat, comme s’ils correspondaient à une réalité, et cela nous cache notre forêt : nous-mêmes.
C’est ainsi :
-Que nous oublions la faillite permise par l’indélicatesse de ceux à qui nous avons confié les clefs de notre destin, bien imprudemment.
-Que nous allons jusqu’à croire qu’ils sont en mesure de gérer une pandémie, que nous seuls subissons.
-Que, bien plus, nous faisons mine de croire que ce sont eux qui auraient le pouvoir de faire redémarrer l’économie, que nous avons arrêtée en nous confinant volontairement à une majorité de 90%.
Quand nous serons au fond du trou, dans quelques jours, et qu’ils nous diront : “il faut sauver l’Etat”, nous sommes capables de croire à cette situation abstraite, à cette allégorie.
Pour être plus précis : ceux qui seront alors autorisés à piller y croiront, ceux qui seront pillés un peu moins, mais pas au point de se révolter.
Les hommes de l’Etat sont les roseaux qui cachent les sables mouvants.
Bien à vous. H. Dumas
1 101 vuesChaque jour qui passe le démontre un peu plus : aucun rapport entre la panique mondiale occasionnée par l’épidémie en cours, et sa réalité. Les enfants ne risquaient rien, les adultes de moins de soixante ans, pas grand-chose. Le nombre de personnes atteintes relativement limité. Le risque réel circoncis à de courtes catégories de personnes, qu’il eût été facile de mettre sous surveillance et de protéger.
On n’a pas pris un pavé pour tuer une mouche, mais des armées de rouleaux compresseurs pour écraser un virus. Comme toujours en pareil cas, la cible court toujours. Mais ce que les rouleaux compresseurs vont laisser derrière eux, on commence tout juste à le découvrir.
La faute à qui ? demandera-t-on demain. Nos dirigeants, voudront dire les peuples. Henri Dumas, dans un billet récent (Le tribunal. Le petit Macron.) le démontre parfaitement, si les peuples n’avaient pas à ce point cédé à la panique…
Puis, il pose cette question : « Et vous, avez-vous paniqué, où êtes-vous restés lucides et sereins, spectateurs effondrés de la débâcle ? »
J’ai l’intuition que les personnes restées lucides et qui n’ont pas cédé à la panique sont plus nombreuses qu’on ne pense. Mais je pense que, comme pour moi, elles se sont trouvées totalement muselées.
Oui, dès le départ, j’ai pensé que le coronavirus me menaçait personnellement, mais uniquement parce que je suis vieux et malade. Mais même dans mon cas, la probabilité penchait nettement en ma faveur… Un risque relativement raisonnable, qui ne nécessitait en aucun cas de pourrir ma vie et moins encore celle d’autrui.
Mais tellement seul de mon avis !
Si ceux qui ont pensé comme moi ont connu le même isolement, pas étonnant qu’on ait entendu que la version « officielle ».
Je dirige depuis trente-cinq ans un centre de formation professionnelle, qui utilise pour certains apprentissages pratiques, un atelier, fonctionnant sur un mode le plus proche possible de la réalité économique, et qui propose à ce titre des prestations à une clientèle.
Sitôt le début du confinement, nous avons renvoyé les stagiaires chez eux : notre projet ? Remplacer les cours pratiques par des vidéos-conférences. Et donc maintenir à l’atelier une petite activité, à l’aide d’un ou deux formateurs, activité que nous voulions donc filmer et diffuser en « direct », pour utiliser l’expression consacrée.
Un plan simple, semble-t-il. Mais non, rien ne s’est exactement passé comme cela, c’est le moins que l’on puisse dire…
D’abord, intense et furieuse pression de l’entourage : famille proche ou lointaine, amis, relations, tout le monde s’y est mis ! Inconscient, je mettais en péril la vie d’au moins la moitié de la population française… Puis sont venues des indications plus claires sur les mesures de confinement. Lecture faite, exactement ce que nous pratiquions : nos clients n’entraient pas dans l’atelier, la négociation commerciale avait lieu à l’extérieur… mais non, tel n’a pas été l’avis de messieurs les policiers, aimablement invités par des voisins tout pleins de bonnes intentions ! J’ai pourtant argumenté : plusieurs autorités préfectorales avaient confirmé par écrit que des activités comme la nôtre pouvaient s’exercer, ou mieux, devaient continuer d’être pratiquées ! Rien à faire, confinement confinement, pas le droit de travailler ! Et croyez-le ou non, pas de trace d’humour ou même d’humanité ! Seul un vraisemblable gradé m’a discrètement conseillé d’écrire au commissariat. Ce que j’ai fait, en pure perte, on s’en doute.
Finalement, de guerre lasse, et pour éviter d’éventuels soucis à mes collaborateurs, j’ai décidé de ne plus les faire venir, et de cesser l’activité de l’atelier, que j’ai transformé en studio vidéo, animant des conférences interactives en direct avec nos étudiants.
Et bien même cela, on a essayé de me l’interdire : dans notre atelier, je suis seul, assis à une table, devant un écran d’ordinateur. Entrée soudaine et sans ménagement de trois policiers particulièrement vindicatifs. J’explique que je suis en entretien avec une bonne trentaine de personnes, et que cet entretien prend fin dans quinze minutes.
– Nous n’en avons rien à faire. Vous mettez fin immédiatement à votre conférence !
Abus de pouvoir ? Je n’ai pas pu faire autrement que d’éteindre mon ordinateur. Mais j’ai prévenu mes interlocuteurs : je continuerai mes conférences !
– Alors, faites ça chez vous, à votre domicile !
– Chez moi ? Pas la place, pas les équipements, pas le matériel.
J’ai continué mes conférences journalières. Des policiers sont passés devant mon local, pratiquement tous les jours. Mais ils ne sont plus entrés.
Aujourd’hui, pour qui veut ouvrir les yeux, les choses sont claires.
Le peuple n’a pas le choix. Ou il subit, et l’on continuera de le conduire au pire. Ou il s’insurge.
« N’ayez pas peur ! » est une injonction que l’on retrouve plus de trois cents fois dans les Saintes Écritures, Bible et Nouveau Testament. « N’ayez pas peur ! » a répété Jean–Paul II pour inaugurer son pontificat.
Eh oui, nous voyons bien aujourd’hui combien la peur est mauvaise conseillère !
Je ne sais pas comment nous allons nous sortir de la crise économique qu’on nous a inutilement fabriquée de toutes pièces, ni même si nous pourrons en sortir. Mais ce dont je suis sûr, c’est qu’il faudra commencer par cela : vaincre la peur.
J’ai dit que ne je n’ai jamais eu peur. Mais je me demande si c’est si vrai que cela. Je n’ai pas eu peur de la maladie, ni pour moi, ni pour autrui, mais si, j’ai eu peur de défendre cela à haute voix, ça, je le reconnais. Et je me dis aujourd’hui que j’ai peut-être eu tort.
1 429 vuesC’est pour moi toujours un étonnement sans cesse renouvelé de constater que les hommes de l’Etat nous traitent comme un bloc homogène.
Ils sont si présomptueux qu’ils croient connaître la solution en tout et s’estiment en droit de nous l’imposer uniformément. Pauvre de nous.
Malheureusement, chacun étant un cas à part — ce qui fait notre charme et celui de notre vie – les solutions universelles ne nous conviennent que très rarement.
Qu’à cela ne tienne, les hommes de l’Etat ont inventé un truc fourretout qu’ils appellent “la démocratie”. Vous connaissez évidemment cette escroquerie qui consiste à prétendre qu’une majorité serait en droit d’imposer ses vues à la minorité.
Mais en réalité cette majorité n’existe pas.
Les hommes de l’Etat, à l’aide de combines, d’associations de circonstance, fabriquent une pseudo majorité qui n’a d’existence que mathématique, qui plus est éphémère la plupart du temps. Elle ne correspond à aucune majorité morale, intellectuelle, politique, qui pourrait fixer un cadre ou des règles de vie et justifier une dictature de la majorité.
L’affaire du coronavirus est exemplaire à ce sujet.
Voilà donc un virus qui se pointe, il provoque une maladie pouvant être grave, voire mortelle. Le sujet est éminemment individuel, il ne concerne que les malades, qui doivent se soigner et éviter de coller leur maladie aux autres.
Admettons que les hommes de l’Etat, pris d’une soudaine empathie – ce qui serait inhabituel – décident d’aider les personnes concernées. Que peuvent-ils faire ?
Cela parait assez simple : aider les contaminés à savoir qu’ils le sont, alors à se soigner, et protéger les autres d’une possible contamination.
Au lieu de cela, les hommes de l’Etat ont surjoué leur rôle, dramatisé la situation, imposé une solution globale inadaptée.
Le tout ayant entraîné la ruine d’un pays qu’ils avaient préalablement mis en faillite à l’aide de ces méthodes globales, qui tuent inutilement toute initiative personnelle.
Ils n’ont aucune conscience de leur folie.
Bien plus, ils traitent de fous ceux qui s’insurgent contre cette massification intellectuelle, morale et pratique.
Je me demande si leur délire est cynique, ou s’ils finissent par croire à la nécessité d’imposer par la force leur fausse utilité, qui n’est pourtant que la résultante de leur plaisir personnel à exercer le pouvoir.
Comment peuvent-ils ne pas percevoir que leur pouvoir est illégitime puisqu’ils l’exercent en refusant la responsabilité de ses conséquences ? Sont-ils aveuglés, mythomanes, ou de sales cons, véreux, sans vergogne ?
Bien que les fréquentant depuis des décennies, je n’ai toujours pas la réponse à cette angoissante question.
Mais force est de constater qu’ils massacrent nos libertés.
Le confinement a bon dos, mais la réalité c’est que nous sommes fliqués comme jamais et que la justice est aux abonnés absents.
Jusqu’où peuvent-ils aller ?
Je dois avouer que le magistrat, qui m’a demandé hier si je n’étais pas un poil parano pendant je lui expliquais que le Fisc est malhonnête, m’a troublé gravement.
Ceci est la pancarte que ce même magistrat a fait mettre à la porte de la chambre criminelle qu’il présidait ce jour-là.
Virus aidant, la justice redécouvre la joie des audiences occultes, comme avant la révolution. La justice rendue publiquement a fait long feu.
Je peine à imaginer de la part de ce magistrat, et des autres, un désir d’expédier rapidement les affaires sans témoin… bien que cela se dise dans les salles des pas perdus.
En réalité et tout simplement, cette pancarte n’évoque-t-elle pas une angoisse sanitaire un peu parano ?
Les masques
Inutiles, devenus obligatoires, on apprend qu’ils sont synthétiques, faits à base de dérivés de pétrole et mettent 450 ans à se dissoudre dans la nature.
Il nous en faut quatre par jour, par personne, soit 280.000.000/j !!!
Les éboueurs ne veulent plus les ramasser. La masse, hélas non homogène, a en son sein des individualités qui jettent les masques dans la rue… ça alors !!!
Que font les flics et les caméras de surveillance ? Voilà un gisement économique. 450 ans de pollution, ça vaut bien une amende de 1.000 €. Non ?
A vos carnets à souche les pandores, suite et fin du confinement….
Bien à vous. H. Dumas
1 324 vues
Nous sommes de grands naïfs car nous avons toujours du mal à imaginer que l’Etat et la collectivité, c’est à dire l’organisation sociale et l’ensemble de la population qui vit avec nous, peut nous vouloir du mal.
D’ailleurs, la doctrine officielle n’est-elle pas celle d’un Etat généreux, protecteur des français avec des services publics que … tout le monde nous envie ?
Cette vision « officielle », répétée inlassablement, nous empêche de voir les choses telles qu’elles sont réellement ; et elles sont nettement moins idylliques …
La réalité, c’est que l’Etat est un monstre froid et n’a pas d’amis ; il n’a que des intérêts et vos intérêts, au regard des siens, ne comptent pas. L’Etat ne vous protège pas, il tient en liberté surveillée une population pour pouvoir mieux la contrôler et l’exploiter notamment en lui faisant payer des impôts qui permettent non seulement de faire face à ses frais de fonctionnement mais aussi à l’entretien d’une caste technocratique à l’utilité plus que discutable …
L’Etat n’a pas d’argent, il n’a que l’argent des futurs impôts qu’ils prélevera !
Des juges du Tribunal Administratif m’ont expliqué un jour, avec un applomb imperturbable, que des impôts payés, par avance, sur des revenus non encore perçus étaient des revenus imposables.
Autrement dit, ces magistrats m’ont doctement expliqué que les impôts qu’on me prélevait à l’avance (deux ans à l’avance) en vertu de l’art 125A du CGI dans sa version de 2013, sur des revenus dont je n’avais jamais vu la couleur, étaient des revenus sur lesquels je devais payer des impôts !
Transformer des impôts en revenus et faire payer des impôts sur des impôts, quoi de plus naturel ?
Fort de ce constat, on en est fatalement réduit à se rendre compte que l’Etat, dans son acharnement à vouloir prélever sa dime à tout prix, en vient à maltraiter l’équité, les mathématiques et la logique pour vous expliquer le plus calmement du monde que :
Cela signifie que si, du fait d’un impôt, qui peut même être calculé sur des revenus complètement fictifs, les services fiscaux vous prennent tous vos revenus, vous restez néanmoins imposable sur ces revenus que vous n’avez pas perçus (puisque ce sont des impôts et que, par définition, des impôts ne sont pas un revenu !).
Et peu importe l’année de prélèvement ou l’année d’imputation, c’est un revenu !
La question de savoir quels seront les moyens de subsistance du contribuable, soumis à une telle spoliation, n’est évidemment pas abordée car ce … n’est pas le problème des services fiscaux (à vrai dire, ils s’en moquent complètement) !
En fait, à bien y regarder, les services fiscaux peuvent utiliser n’importe quel argument pour justifier le prélèvement fiscal ; ce qui constitue, à tout le moins, une véritable perversion de la fiscalité !
J’ai même vu dans un dossier le même impôt être réclamé à deux personnes de la même famille avec deux arguments à l’exact opposé !?!
Vous m’objecterez : Non ce n’est pas possible !?!
Et votre dénégation indignée, devant une telle affirmation, démontre clairement que l’Etat vous trompe quant à la réalité des choses !
Malheureusement si, il existe une règle fiscale générale : l’impôt sur le revenu n’est jamais déductible des revenus auxquels il s’applique ! (article 153 du CGI) ; et ce, quel que soit le montant des revenus et quel que soit le montant de l’impôt …
Et, finalement, au moyen d’un raisonnement faussé qui tient du véritable sophisme, les services fiscaux, qui se retranchent derrière un texte d’application générale à l’interprétation pour le moins extensive, peuvent vous expliquer « les yeux dans les yeux » que les impôts sont des revenus !
Autrement dit, vous pouvez vous retrouver à être imposable sur des revenus que vous n’avez jamais perçus, ou même inexistants, et cela démontre clairement que l’impôt peut être totalement spoliateur mais néanmoins être considéré comme « juste » d’un point de vue légal !
Cela s’est vu à propos de plus-values latentes (donc non réalisées) imposées comme des revenus effectivement perçus ; avec le risque évident que si la plus-value disparaît ultérieurement vous aurez payé des impôts sur des revenus fictifs …
La seule réelle limite est l’appréciation, purement subjective, selon laquelle la fiscalité serait ou non confiscatoire !
Dans certains pays, ce seuil est estimé à 30% mais en France, vous pensez bien que ce seuil est beaucoup, beaucoup plus élevé !
Le conseil constitutionnel, qui n’est pas un organisme judicaire mais exclusivement politique et donc capable de changer d’opinion sur un même sujet en fonction des circonstances, a estimé (à propos de la taxe spéciale sur les revenus supérieurs à 1 million € instituée par F Hollande), qu’au-delà de 75% de prélèvement fiscal, le montant de l’impôt est confiscatoire ; ce qui n’augure en aucune façon des adaptations fiscales à venir … car il existe en France des personnes qui paient des impôts supérieurs au montant de leurs revenus !
A contrario, à 74,9% de prélèvement fiscal, celui-ci est tout à fait normal …
Ces considérations sont évidemment à replacer dans le cadre de l’effondrement économique et fiscal qui se profile pour 2020, 2021 et probablement 2022 ; lequel sera inéluctablement la porte ouverte à bien des abus de la part de l’administration fiscale pour récupérer les impôts nécessaires pour faire face aux dettes colossales de l’Etat. Ces abus ont été abordés (ici), (là) et (encore là).
En effet, les besoins de l’Etat fonctionnaire, du fait du blocage de l’économie et de la violente récession à venir, vont devenir énormes et il se pourrait bien que nos technocrates de Bercy trouvent les moyens de pulvériser notre propre record mondial d’imposition !
En fait, il ne faut jamais faire confiance à l’Etat et ne jamais croire à la parole ou aux promesses des représentants de l’Etat fonctionnaire.
Ce n’est pas pour vous faciliter la vie que le prélèvement à la source a été mis en place, c’est seulement pour vous empêcher de vous opposer au paiement de l’impôt qui est désormais payé par un tiers !
Ce n’est pas pour lutter contre le terrorisme que Bercy veut tout savoir sur vos comptes bancaires, ou connaitre les gens qui ont des coffres dans les banques.
Ce n’est pas pour lutter contre la haine que la loi Avia a été votée, c’est essentiellement pour exercer une censure à l’encontre des propos défavorables au gouvernement !
Combien de français sont-ils conscients que l’argent qu’ils ont versé sur un contrat d’assurance vie en € (il y en a pour 1.500 Md € quand même) a été « investi » dans les OAT de l’Etat français et que cet argent a été entièrement dépensé et qu’il n’existe plus puisque l’Etat a plus de 2.500 Md€ … de dettes ?
Ces contrats d’assurance vie ne peuvent être remboursés que dans le cadre soit d’une levée d’impôt soit d’un emprunt fait pour rembourser ces dettes ; ce qui, en bon français, s’appelle de la cavalerie !
Il suffirait que 10% des titulaires de ces contrats demandent en même temps leur rachat pour faire sauter les compagnies d’assurance et provoquer une crise obligataire ainsi qu’une crise de solvabilité budgétaire !
Heureusement, l’Etat fonctionnaire veille et déclencherait alors le mécanisme de blocage total de cette épargne en appliquant la loi Sapin II !
Ne perdez jamais de vue que l’Etat est avant tout l’émanation d’une caste de gens qui vit sur le dos des autres et que pour pouvoir en vivre confortablement, il lui faut pouvoir d’une part prélever les revenus nécessaires, coute que coute, et d’autre part contrôler cette même population afin de canaliser son comportement, voire sa colère !
Bien cordialement à tous !
Licence de publication : La reproduction de cet article n’est autorisée qu’à la condition de le rependre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.
1 078 vues
Ça tombe bien, cet après-midi j’étais à la Chambre Correctionnelle de La cour d’Appel de Montpellier, j’en ai rencontré un : typique, plus vrai que vrai.
Malheureusement, je ne dessine pas très bien. C’est dommage, il aurait été un excellent modèle. Un ogre, avec chaque partie de son visage surdimensionnée, l’ensemble organisé de façon relativement harmonieuse, mais prenant tout l’espace. Une voix forte, un regard franc. Le genre droit au but, mais uniquement le genre, en réalité provocateur déstabilisant, enfin le joue-t-il ainsi.
Sûr de sa puissance, de sa condition, de son privilège, mais sans affectation. S’il fallait résumer en un mot : dangereux. La prétention de l’efficacité, donc expéditif.
Convoqué à 14h, je passe le dernier, à 17h30, parce que je n’ai pas d’avocat. Je rappelle le litige : en première instance, alors que je poursuis par citation directe pour concussion le cadre supérieur des Services Fiscaux Flory, qui tente de me piller, la magistrate m’a dit lors de l’audience de consignation : “C’est grave ce que vous faites M. Dumas” et m’a collé une consignation de 4.000 € pour me dissuader d’aller au bout de ma citation. D’où l’appel.
Après avoir brièvement résumé la situation, le magistrat me donne la parole.
Je commence en essayant d’expliquer qui je suis et pourquoi je suis là. Le magistrat m’arrête immédiatement en m’informant que je ne suis pas là pour raconter ma vie. Que je suis là, suppose-t-il, parce que je trouve la consignation trop élevée. Allons droit au but, dit-il.
J’explique donc que la consignation habituelle pour ce type d’affaire est de l’ordre de 500 à 800€.
Il me demande combien de citations j’ai engagées dans mes conflits fiscaux. Je lui réponds une dizaine sans doute, mais parfois de mon fait parfois de celui des agents fiscaux.
Voilà donc la première explication pour lui, cette consignation élevée serait due à ma situation de plaideur compulsif. Pas mal non ?
Si le fisc vous tue, si vous demandez à la justice de se pencher sur la question, une fois ça va, mais n’y revenez pas, vous dérangez. Alors que cette même justice a mis vingt ans et des dizaines de procédures pour admettre que le fisc tentait de me voler à l’occasion de la succession de ma mère.
J’explique au cours du débat, où le magistrat parle plus que moi, que le fisc est au-dessus de tout soupçon. Il m’arrête immédiatement : “personne n’est au-dessus de tout soupçon, pas même moi”. Mais il fait une exception pour le fisc “qui est une administration respectable”
Je ne vais pas engager le débat sur ce point, je me contente d’affirmer qu’au moins un contrôle fiscal sur deux est abusif, et je suis gentil. Alors le magistrat, positionnant son coude comme un bras de fer, me dit que les chances que j’ai de gagner la partie sont nulles. Pas mal… alors que mon avenir dépend de lui…
Fin de la partie, frustration maximum, délibéré au 12 Juin.
Mais quand même.
Il n’habite pas la même planète que moi cet homme. Il n’assiste pas aux mêmes drames que moi. Il est dans sa bulle.
Quand, pour finir, je lui ai dit qu’en ces temps de folie fiscale ayant détruit tout le tissu économique, il se pourrait que sous peu son salaire ne lui soit plus payé pour cause de ruine de cet Etat glouton, il m’a demandé si je me considérais comme paranoïaque.
Cela alors qu’il a refusé que je lui expose ma vie, qui je suis. Il me juge à partir de ses aprioris, en me déniant au préalable le droit de me présenter.
Enfin, rien de nouveau sous le soleil. Toujours la même misère, le déni de justice dès qu’il s’agit du fisc, le financier de leurs salaires…les magistrats sont tous les mêmes.
Pourtant celui-là n’était objectivement pas si mal…
Résister est inutile, sauf pour l’histoire, quand la fin sera connue, il sera temps de comprendre pourquoi, peut-être y aiderons-nous un peu.
Le petit Prince a eu bien raison de demander le dessin d’un mouton.
Bien à vous.
990 vuesIl n’est pas d’autre solution.
Voilà deux impécunieux qui contractent un prêt de 500 milliards d’Euros, pour jouer au casino. Est-ce bien raisonnable ?
Ils ont fait la démonstration, un peu plus l’un que l’autre, de leur incapacité chronique à gérer leurs placements. Il suffit qu’ils investissent quelque part pour qu’aussitôt l’investissement se transforme en échec. Tout ce qu’ils touchent se transforme en pertes abyssales.
Face à leurs échecs, ils décident de remettre ça, juste à une plus grande échelle. C’est impressionnant.
N’importe quel acteur économique qui agirait comme eux serait immédiatement interdit bancaire, verrait ses possibilités de crédit disparaître.
Leur combine est la suivante :
– Ils appellent leurs pertes de la solidarité.
– Ils empruntent sur le compte d’autrui, qu’ils peuvent ensuite piller pour lui faire payer la facture.
C’est d’une grande facilité. La difficulté pour eux est simplement de trouver des mots compliqués, des attitudes solennelles, pour annoncer leur projet en dissimulant l’ordinaire médiocrité de leur combine.
Une fois le crédit accepté, ils vont le distribuer à leurs amis à partir de considérations liées à leurs seuls intérêts politiques.
Les pauvres cons que nous sommes, qui paieront un jour la facture de force, au prix de leur peine et de leur sang, applaudissent majoritairement.
C’est tout simplement incroyable.
Ainsi donc il n’y a pas d’issue, pas de contrition, plus ils s’enfoncent, plus ils gigotent pour s’enfoncer davantage.
Était-ce bien la peine cette déclaration commune pour une si vilaine escroquerie, une demande d’argent de poche pour continuer à jouer au casino ?
Quand la famille est dans la misère, les chefs de famille qu’ils prétendent être devraient donner l’exemple du travail, du sens des responsabilité, de la reconstitution du capital, de la récompense aux preneurs de risque, à l’imagination des créateurs de richesses.
Rien de cela, retour aux vieux démons, au crédit, à la fausse monnaie, afin d’en inonder les amis avec qui l’on est en connivence.
Ils ne nous laissent pas beaucoup de choix.
Ils ne nous voient pas, ils nous prennent pour une masse compacte, qu’ils pourraient pétrir à leur guise. Quelle erreur.
Exigeons qu’ils soient privés de chéquier, interdits bancaires, signalés à la banque européenne, et finalement déclarés en faillite personnelle, avant qu’ils prétendent en bons escrocs nous rattacher à leur foyer fiscal et nous faire payer la facture.
Personnellement je ne connais pas et ne veux pas connaître ces deux personnes.
Bien à vous. H. Dumas
1 173 vuesLes magistrats ont-ils pris le temps de réfléchir, de prendre du recul, pendant ces semaines de confinement ? La justice envisage-t-elle d’être juste ? Indépendante de tout pouvoir, de toute croyance ? Pourquoi pas…
Les apparences matérielles sont négatives.
La fierté de la justice est d’être rendue publiquement. Le juge juste n’a pas à avoir peur de la population qu’il juge.
Ainsi Saint Louis, qui a posé les bases de notre justice, est réputé l’avoir rendue au pied de son chêne, entouré de la population.
Sancho Panza, nommé gouverneur par le Duc, rend aussi la justice publiquement, il fait des prodiges et étonne.
Ce n’est pas ainsi que cela se passe dans nos tribunaux. Depuis déjà un certain temps ils ne sont plus accessibles qu’après avoir vidé ses poches, posé sa ceinture, et passé sous le joug électronique du détecteur.
Depuis la pandémie, la justice est carrément rendue à huis clos, le public n’est plus admis.
Les magistrats s’enferment, ils fabriquent la justice entre eux, n’y tolérant que les avocats et les plaignants dans les rares procédures où l’avocat n’est pas obligatoire.
La réalité intellectuelle a-t-elle évolué ?
Les magistrats ont-ils pris conscience de l’énormité des mensonges des politiques et de leurs complices technocrates à la faveur de la pandémie ?
S’apprêtent-ils à en tirer les conséquences ? Eux à qui d’autres que nous vont demander, comme nous, justice.
Je vais pouvoir en juger Mardi.
Je me présente devant la Cour d’Appel, à la suite d’une condamnation préventive en première instance — avant tout jugement — à une amende, délicatement appelée consignation, dans le cadre de ma poursuite légitime contre mon tortionnaire actuel, Flory.
LE LIEN pour prendre connaissance de mes conclusions, publiques.
Bien à vous. H. Dumas
1 153 vuesHold-up sur les réserves des caisses de retraite !
La réforme des retraites est abandonnée par le gouvernement (mais elle a été votée par l’Assemblée nationale et pourrait être reprise). En revanche, ce que le gouvernement n’a pas abandonné, c’est son projet de s’emparer des réserves des caisses de retraite. Un projet de loi (n° 2907) a été déposé par le gouvernement le 7 mai 2020. Il prévoit « afin d’améliorer la gestion de la trésorerie de l’Etat […] le dépôt sur le compte du Trésor des disponibilités des personnes morales soumises aux règles de la comptabilité publique et d’organismes publics ou privés chargés d’une mission de service public ».
Dans le contexte du désastre financier provoqué par le covid-19, le sort des réserves des caisses de retraite est scellé : elles vont disparaître. Ainsi, à la déroute de l’économie, va s’ajouter la déroute particulière des retraités.
Voilà des années que j’avertis les responsables de ces caisses des risques qu’ils ont pris en refusant de se prévaloir des directives européennes qui ont supprimé le monopole de la sécurité sociale. Ces dirigeants peu avisés ont cru que le principal danger pour leurs organismes était la concurrence et que la meilleure façon de s’en prémunir était de s’abriter sous le statut de caisse de sécurité sociale et de l’obligation d’y cotiser qui était faite à leurs affiliés d’office. Or le principal danger pour quiconque dispose de fonds substantiels, c’est l’Etat, singulièrement dans un pays qui a conféré à ce prédateur naturel des pouvoirs sans limites.
Les directives européennes de 1992, et les lois françaises qui les ont transposées, ouvrent l’ensemble de la protection sociale à la concurrence. Les sociétés d’assurance, les institutions de prévoyance et les mutuelles peuvent assurer tous ces risques. Les caisses de retraite ont toutes le statut de mutuelle et la loi leur permet d’assurer les risques « branche entière », c’est-à-dire qu’elles ne sont pas limitées à l’assurance complémentaire, comme c’était le cas avant ces directives.
De peur de subir la concurrence des assureurs et donc de l’assurance-vie (qui est considérée par la jurisprudence européenne comme un produit de retraite), les dirigeants des caisses de retraite ont appelé l’Etat au secours et obtenu de voir effacé leur statut de mutuelle par un jeu d’écriture dans le code de la sécurité sociale, procédé qui n’eût pas résisté un instant dans un état de droit mais qui fut validé par des juges aux ordres du pouvoir.
Si ces irresponsables avaient eu deux sous de lucidité, ils auraient compris que le statut de mutuelle était la meilleure protection de leurs adhérents, puisqu’il mettait leurs organismes dans une situation d’équivalence avec les sociétés d’assurance privées que protège le droit constitutionnel de propriété.
Le seul recours désormais pour les retraités et futur retraités du secteur privé est de se mobiliser pour faire échec au hold-up de l’Etat en exigeant que le statut de mutuelle de leurs caisses soit respecté (car il n’a pas été réellement supprimé mais simplement maquillé). Certes ces caisses entreront dans le jeu concurrentiel, mais la bonne gestion à laquelle celui-ci les contraindra leur donnera toutes chances de survie et de pérennité.
Pour être relativement confortable, la situation des retraités français ne les classe pas au rang des riches. Ils savent ce qu’il leur reste à faire pour ne pas figurer à celui des nouveaux pauvres.
Claude Reichman
1 506 vuesLa dictature depuis Jules César et autres « Roi des Rois » jusqu’à nos jours, pour s’établir et perdurer sous différents régimes, royauté, communisme, fascisme ou profiteuse pure doit s’appuyer sur :
-une élite parasitaire qui se coopte d’une façon malsaine, ici l’ENA.
-une économie de complaisance dirigée par l’élite ou une nomenklatura adoubée par celle -ci et qui pille les ressources du pays.
-une classe moyenne + hyper protégée, qui pour continuer à profiter de ses avantages soutient sans état d’âme la dictature, ici l’armée en surnombre de nos fonctionnaires.
-une police politique style Securitate, NKVD ou Stasi. Ici nous CRS, Gendarmes Mobiles ou autres CSI ou BRAV-M. Nous comptons aujourd’hui 7 spécificités de nos forces de l’ordre dont la mission depuis l’avènement de Macron est de réprimer (durement) toute manifestation et rassemblement.
Ces unités sont devenues, discrètement, au fil des mois une force de répression politique chargées d’éradiquer par une violence jamais vue en France toute opposition au régime. Pour qu’elle puisse être efficace pour répandre la terreur, elle s’est vue couverte par une impunité totale.
-une justice complice genre Pétain ou Andreï Vychinski, ici nos juges dépendent du parquet, d’où un glissement progressif mais réel vers une justice d’état qui supplée de plus en plus l’officielle, le Tribunal Administratif.
Passer d’une démocratie, même fatiguée comme la nôtre, à un régime autoritaire demande un peu de doigté mais il y a des précédents comme l’Allemagne avec Hitler ou la France avec Pétain.
Il faut préparer ce passage par une propagande massive (l’enfumage) et un musellement de l’information réelle (censure).
L’exemple le plus frappante fut le régime nazi, avec Goebbels aux commandes qui fit passer la quasi-totalité, en douceur, les citoyens démocrates allemands au nazisme.
Tous ces régimes ont instauré dans la foulé, pour ne pas subir un retour en arrière, une terreur aveugle et efficace. Tchéka ou Gestapo…
Tous les régimes autoritaires ont profité pour s’installer dans leur pays d’une économie en chute libre, d’un chaos souvent entretenu pour se faire passer, au début, comme la seule voie « raisonnable » et salvatrice.
Que vivons nous avec Macron depuis son arrivée au pouvoir?
Une économie en berne, une dette exponentielle, des conflits sociaux qu’il est incapable de résoudre car cela remettrait en question les fonctionnaires, hauts et petits, qui dirigent la France depuis des décennies.
Plutôt que de suivre la voie de la réforme, ce régime qui a une majorité absolue de godillots a donc préféré glisser vers l’autocratie en arguant du fameux « Bien Commun » qui a fait ses preuves jusqu’à aujourd’hui.
Les citoyens anesthésies par toute une série de mesures prises grâce à « l’urgence sanitaire » qui a confiné tous les citoyens chez eux avec l’aide très actives et performantes des forces de l’ordre. (pour info plus de 1 100 000 PV distribués)
Concomitamment un enfumage massif est déclenché tout azimuts.
Il faut dire que celui-ci fut assez loupé et ces ratés furent malheureusement gravés dans le marbres par les réseaux sociaux seules forces d’oppositions à la dictature naissante. Il fallait donc les faire taire, en deux mots les censurer.
Les médias, dits « classiques », à part une infime minorité, roulaient tous pour notre sympathique président.
Cette opposition qui pouvait à la longue réveiller le peuple, maté par les F.O à coups de matraques, de LDB, de grenades de « désencerclements », de gaz était une menace permanente (comme la fameuse épée de Damoclès) ce qui était intolérables pour nos gouvernants et qui avaient bien l’intention de le rester encore des décennies.
Il fallait donc impérativement et de toute urgence la museler.
Une brave députée aidée d’un quarteron de sa formation accoucha d’une loi scélérate portant son nom, pour faire taire ces réseaux sociaux, dont elle se fit gloire auprès de son groupe, passant pour la sauveuse de ce régime.
Cette Jeanne D’ARC de pacotille, qui essaye avec une grande vigueur d’enterrer notre démocratie mourante, se nomme Laetitia AVIA.
Si ce n’est pas le début d’une dictature, ça y ressemble bien.
Je vous conseille de lire urgemment, si vous ne l’avez pas déjà fait (et là vous savez), de lire 1984.
Un homme averti en vaut-il toujours deux ?
Bon réveil…
J’en profite avant d’être interdit et envoyé dans un camp de rééducation “citoyenne”…
Ci dessous nos F.O
Derrière leurs tenues de protection, les forces de l’ordre se ressemblent beaucoup. Pourtant, elles appartiennent à des corps très distincts et n’ont pas les mêmes fonctions.
Vêtus de noir ou de bleu marine, équipés de casques, de lourds gilets, de coques de protection, à cheval ou à moto… les forces de l’ordre sont nombreuses et bien visibles à chaque manifestation. Il ne s’agit toutefois pas d’un corps homogène mais de plusieurs unités, aux modes de fonctionnement spécifiques, certaines relevant de la police, d’autres de la gendarmerie.
Origine. Ce corps spécialisé créé en 1944 dépend de la direction générale de la police nationale (DGPN) et travaille le plus souvent en milieu urbain.
Mission. Ils font partie des forces de sécurité mobile, qui interviennent sur l’ensemble du territoire national, en renfort des unités locales, selon les besoins : maintien et rétablissement de l’ordre, lutte contre la délinquance, le terrorisme ou l’immigration irrégulière. Ils peuvent aussi protéger des lieux et des personnes, interpeller ou évacuer…
Effectifs. En 2018, ils étaient 13 100 fonctionnaires, répartis en soixante compagnies de 130 agents, auxquels s’ajoutent des compagnies spécialisées (deux en montagne, neuf autoroutières, six unités motocyclistes, un service de protection des personnalités..).
Chaque compagnie est divisée en une section de commandement, deux sections d’appuis et de manœuvre (SAM) et deux sections de protection et intervention (SPI). Ces sections sont composées de trois groupes tactiques (A,B,C, ce dernier étant le groupe de commandement).
Equipement. En uniforme bleu marine, les CRS disposent d’un équipement défensif : gilets pare-balles, protections pour bras et jambes, bouclier antiémeute, bâton de défense… Ils peuvent être dotés de grenades lacrymogènes, de désencerclement, de lanceurs de balles de défense (LBD) mais aussi de pistolets, de fusils d’assaut ou de fusils de précisions. Les CRS disposent aussi d’engins lanceurs d’eau pour disperser les manifestants.
Signes distinctifs. Ils sont repérables aux bandes jaunes apposées sur leur casque depuis 1968, et à leur insigne, un flambeau entouré de feuilles de chêne. Attention, certains CRS des unités spécialisées SPI-4G ont un uniforme « basse visibilité » sans bandes jaunes sur le casque et avec un écusson plus discret.
Les CRS portent aussi sur le dos leur numéro de section (1,2,3,4) et la catégorie de groupe tactique (A, B, C). Le numéro de la compagnie est habituellement indiqué à l’arrière du casque.

Origine. Créés en 1921, les escadrons de gendarmerie mobile sont l’équivalent militaire des CRS. Ils dépendent de la direction générale de la gendarmerie nationale.
Mission. Les forces de gendarmerie mobile maintiennent et rétablissent l’ordre, y compris dans des situations délicates d’émeute urbaine ou d’insurrection armée. Ils interviennent en outre-mer et peuvent être mobilisés dans des opérations extérieures.
Effectifs. En 2018, ils étaient 12 801 militaires, répartis en 109 escadrons de 110 gendarmes, et dix-huit groupements de gendarmerie mobile. Certains ont des compétences particulières : sept escadrons de blindés, dix spécialisés montagne et cinq dédiés aux escortes nucléaires.
Equipement. Ils ont le même équipement et armement que les CRS, mais disposent aussi de matériel militaire plus lourd : véhicules blindés, hélicoptères, drones…
Signes distinctifs. Ils sont reconnaissables à la couleur de leur casque, d’un bleu plus clair que celui des CRS. Ils portent aussi dans le dos l’inscription « gendarmerie ».
Origine. La première Compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI) a été créée en 2003 par Nicolas Sarkozy, pour assurer la sécurité des quartiers de la capitale, et servir de renfort lors de violences urbaines. Une seconde CSI a vu le jour à Bobigny, puis une douzaine au total, en Ile-de-France, ainsi qu’à Strasbourg, Toulouse ou Marseille. Des Compagnies départementales d’intervention (CDI) existent sur le même principe ailleurs en France. A Paris, la CSI est sous l’autorité de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), alors que les autres dépendent de la police nationale.
Mission. Contrairement aux compagnies de CRS, qui sont déployées sur toute la France, les CSI et CDI agissent au niveau d’un département, pour les événements de maintien de l’ordre public, la sécurisation des quartiers, les évacuations, les perquisitions ou les contrôles routiers. Plus mobiles que les CRS, ils peuvent se charger des interpellations.
Equipement. Si la plupart sont en tenue, il existe des groupes spécialisés qui peuvent opérer en civil, comme les sections à moto, la section Delta de la CSI75 (spécialiste des filatures) ou la cellule d’identification des violences urbaines (CIVU) qui détecte discrètement les auteurs d’infractions en manifestation.
Signes distinctifs. Leur uniforme de maintien de l’ordre ressemble à celui des forces de sécurité mobile, mais ils ont une inscription « police » sur le dos, et un écusson « sécurité publique/police nationale ». Leur casque est foncé, avec ou sans les deux bandes bleu roi.
Origine. C’est une spécificité parisienne. Il s’agit de policiers qui dépendent de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de la préfecture de police de Paris.
Mission. Les compagnies d’intervention travaillent aux côtés des CRS et des gendarmes mobiles pour sécuriser les manifestations et les événements festifs ou sportifs à Paris et dans la petite couronne (plus de 7 500 par an).
Effectifs. On en décompte sept, de 110 personnes (six équipes de jour et une de nuit).
Equipement et signes distinctifs. Leur tenue de maintien de l’ordre ressemble à celle des CRS, hormis la couleur de leur casque, qui est bleu marine à bandes bleu roi. Ils ont aussi un écusson de la préfecture de police (PP) et non des CRS.

Origine. Les brigades anti-criminalité (BAC) ont été créées à Paris et en Seine-Saint-Denis dans les années 1970, puis généralisées à la France entière par Charles Pasqua en 1994. Les BAC parisiennes sont sous l’autorité de la DSPAP (préfecture de police de Paris), alors que les autres dépendent de la police nationale.
Mission. Les BAC sont surtout connues pour traiter la délinquance en flagrant délit (vol, trafic de drogue, infractions routières graves…), mais ils interviennent aussi lors des émeutes, des violences urbaines ou des grosses manifestations, notamment pour contrôler ou interpeller les participants. Ce sont des unités très mobiles, plus souples que les CRS pour mener des actions offensives, mais leurs membres ne sont pas formés spécifiquement au maintien de l’ordre.
Effectifs. Au niveau national, les BAC comptent 5 200 membres, sans compter les effectifs de la préfecture de police de Paris, qui n’a pas souhaité les communiquer.
Equipement et signes distinctifs. Les membres des BAC travaillent le plus souvent en civil mais disposent d’un brassard orange siglé « police », et d’équipements de protection comme les casques, les gilets pare-balles, les jambières, les bâtons de défense. Ils sont également armés (LBD, grenades, pistolets, fusils…).

Origine. Les brigades de répression de l’action violente motorisées (BRAV-M) ont pris le relais des Détachements d’action rapide (DAR) mis en place en décembre 2018 par la préfecture de police de Paris, après le début du mouvement des « gilets jaunes ». Ces derniers étaient notamment critiqués pour leur usage trop fréquent des LBD. En province, des binômes mobiles équivalents existent sous l’appellation de dispositifs mixtes de protection et d’interpellation (DMPI).
Mission. Ces binômes de policiers et de gendarmes à moto sont souvent comparés aux « voltigeurs » mis en place après les manifestations de mai 1968 puis supprimés après la mort de Malik Oussekine en 1986. Mais les BRAV-M ne procèdent pas à des interpellations ou à des charges en mouvement : les motos sont seulement utilisées pour déplacer les policiers très rapidement, aux endroits où ils peuvent descendre de leur véhicule pour intervenir face aux manifestants.
Effectifs. Les BRAV-M ne sont pas des brigades pérennes mais des binômes constitués à chaque début de journée de manifestation avec des officiers de la BAC, des compagnies de sécurisation et d’intervention (CSI) notamment, mais aussi de gendarmes de la garde républicaine. Une brigade est constituée d’une soixantaine d’agents, dont deux tiers issus des forces de sécurité publique habituées au maintien de l’ordre.
Equipement et signes distinctifs. Ils sont facilement repérables car ils se déplacent à moto.

Origine. Les brigades équestres peuvent être rattachées à la DGPN ou à la DSPAP de la préfecture de police à Paris. Il existe également une quarantaine de brigades équestres mises en place par les polices municipales, par exemple à Toulouse, Tarbes, Beauvais ou Nantes.
Mission. Lors d’une opération de maintien de l’ordre, la brigade équestre cumule plusieurs avantages pour les fonctionnaires de police : facilité de déplacement, stature imposante face aux manifestants, et une bonne image auprès de la population. La brigade équestre peut être statique et empêcher l’accès des manifestants à un lieu, une rue, ou mobile, en permettant de disperser des rassemblements voire d’effectuer des interpellations.
Effectifs. La police nationale affiche un effectif de 45 cavaliers et 23 chevaux, la préfecture de police de Paris de 28 cavaliers et de 16 chevaux. A noter que le régiment équestre de la Garde républicaine n’intervient pas sur des opérations de maintien de l’ordre.
Equipement. Les fonctionnaires de la police montée sont toujours pourvus d’un casque et d’équipements de protection (gilets, jambières, gants) et sont formés au maniement du tonfa, le bâton de défense à poignée latérale, également utilisé par les fonctionnaires à pied. Les chevaux sont aussi équipés d’une visière et de protections aux jambes.
1 583 vues
La haine de la liberté, c’est la haine de l’autre qui découle de la haine de soi-même et entraîne la haine de la vie.
On va le faire autrement.
Si pour une raison majeure, ou mineure, un homme — ou une femme, considérons que le féminin est automatiquement associé – perd l’estime de lui-même, culpabilise, un effet de déni, égoïste et salvateur, lui fera reporter ce rejet sur l’autre.
Il sera saisi du mépris des autres.
Ce mépris a de grande chance de s’exprimer par une atteinte à la liberté des autres, car le mépris entraîne de facto l’idée de domination qui s’exprime par l’exigence de soumission.
Hélas ce mépris des autres générera une distanciation par rapport à la vie, qui a de grande chance de finir en haine de la vie, ou au moins en manque de respect pour celle des autres.
Chaque liberticide cache un culpabilisé qui se reproche, presque toujours inconsciemment, une transgression ou une humiliation.
L’église catholique romaine, avec la confession, fabriquait des armées de culpabilisés –qu’elle humiliait — qui, vent debout, dénonçaient la liberté comme le danger absolu.
Le cas Macron
Sans porter de jugement, il est clair que la transgression du jeune Macron et de sa professeure de philosophie n’a pu que laisser des traces, dans son conscient et dans son inconscient.
Traces que la fulgurance de son ascension sociale a probablement amplifiées à la plus forte intensité de conséquences possibles.
Macron est un névropathe, dominateur et liberticide, probablement incurable puisque la société a fait de sa transgression l’explication de sa réussite, ce qui le met dans un dilemme insoluble.
La vie personnelle des autres l’indiffère.
Il n’est pas armé pour comprendre que l’univers est multiple, puisque entièrement inclus en chacun de nous. Sans lequel il n’existe pas. Puisque qu’il n’existe qu’à travers notre regard. Lui seul, sans notre regard, n’est rien, que néant.
L’équilibre uniquement — auquel il ne peut accéder — permet un regard libre qui se nourrit de la liberté des autres, de leurs différences. Équilibre jamais donné, jamais définitivement acquis, qu’il faut toujours conquérir, inlassablement.
Macron recherche chez ses proches les mêmes névroses. Castaner chef des fics est un ancien voyou. Benalla son ancien garde du corps de même. Avia, sa chienne de garde s’exprime comme un corps de garde au complet, elle est chargée de la délicatesse dans la critique, de la mesure dans la contestation, de la bien séance du verbe.
Au sujet de la loi Avia, au risque de me faire censurer, je crois qu’il s’agit d’un coup de poker menteur qui n’a rien à voir avec la liberté d’expression. Facebook et consorts refusent toute taxe spécifique, qu’à cela ne tienne, on va faire d’une pierre deux coups. Une petite menace de censure — qui plait aux prudes — donc de perte complète d’audience pour ces défouloirs indispensables, ils vont probablement devenir plus conciliants….
Revenons à Macron
Peut-il être dangereux ? Jusque là je ne le crois pas, mais je commence à être moins sûr de moi. Peut-il se désolidariser du monde des fonctionnaires ? Dont il n’est pas d’éducation, dont il est de formation.
C’est là que tout va se jouer.
Le monde des fonctionnaires ne lâchera pas l’os sans un échec électoral de leurs soutiens politiques. Or, si ce monde garde le pouvoir c’est la faillite.
Donc, des élections sont incontournables pour préserver la paix.
Toute autre solution c’est l’affrontement, et dans ce cas Macron ne peut être que du côté de ceux qui vont tenter de garder le pouvoir par la force.
Tout se joue contre l’Urssaf et Bercy.
Si ces deux fous, pilleurs compulsifs, gagnent la partie et tentent d’encaisser de force ce que la population n’a pas, y compris chez “les riches”, c’est la violence qui l’emporte, Macron devient de facto un despote.
Si les français se libèrent par l’opportunité d’un vote, c’est au contraire l’URSSAF et Bercy qui disparaissent et la France a toutes les chances de remonter le courant.
C’est le bon sens et l’honnêteté contre la technostructure et le vice….
A suivre. Bien à vous. H. Dumas
1 134 vues
S’il est une chose qui tue assurément c’est la continuation dans l’erreur.
Heureusement l’homme est résistant à l’erreur, en règle générale. Il partage cette particularité avec la plupart des êtres vivants. Les erreurs qui tuent immédiatement ne sont pas légion.
C’est ainsi que, paradoxalement, l’erreur est le moteur de la vie, du progrès. C’est par l’analyse de ses erreurs que l’homme progresse.
L’erreur est l’arbitre de notre vie, ceux qui feignent de l’ignorer sont engloutis par elle, ceux qui l’avouent, l’analysent et évitent de la reproduire, vivent et avancent.
Dans le rapport aux autres le déni de l’erreur – mensonge à soi-même — conduit évidemment au mensonge à tous. Une posture due à la bêtise ou à la vanité, ou aux deux.
Enfin, l’absence d’erreur n’existe pas. Nul ne peut prétendre, quelque soit son niveau de compétence, ne pas faire d’erreur.
Il fallait préciser tout cela avant de revenir à nos préoccupations du jour, qui toutes tournent autour de l’erreur.
La politique de la poussière sous le tapis
Au moment où nous posons la question du devenir, il est nécessaire de se remémorer le passé d’hier, le presque encore présent.
Hier nous étions en faillite. La haine aveugle du capital, la consommation frénétique appuyée sur le crédit remplaçant le capital honni, des décideurs fonctionnaires irresponsables et dépensiers, des élus inexistants, ont généré cette faillite de façon irréversible.
Là-dessus, la pandémie apparaît comme la peste du XXIe siècle, difforme, effrayante pour une population qui sait son avenir déjà largement obéré par la fin programmée de sa belle vie de tricheuse.
C’est dans ces conditions que notre démocratie et ses représentants, élus ou moralement accrédités, sont chargés par la majorité de mentir. Cela tombe bien, c’est justement leur fonds de commerce : le mensonge.
Ils avaient déjà menti hier en prétendant que la crise n’existait pas, puis ce matin en affirmant que la pandémie est la cause de tout.
Ils rêvent là, maintenant, de nous faire croire que tout va bien se passer, qu’ils sont capables de créer les richesses nécessaires au rachat de nos dettes, voire de ne jamais les rembourser.
La poussière dissimulée sous le tapis, ils font mine de n’avoir rien vu.
Alors qu’ils ont été incapables de vérité et de décisions, ils se posent encore en dirigeants.
Cette posture, ils croient nous l’imposer par la force, par la limitation de nos libertés fondamentales, par le mensonge qu’ils appellent la communication. Par le pillage qu’ils appellent la redistribution.
La vanité et leurs intérêts immédiats les aveugles.
Ils ne sont pas — aussi peut être la plus grande part d’entre nous – capables d’avouer leurs quarante ans d’erreurs. Dans ces conditions nulle analyse n’est crédible, donc nulle décision n’a des chances d’être valide.
La tare de notre société est le déni de l’erreur
C’est le déni de l’erreur qui ouvre la voie à la croyance, seule possibilité pour ne pas devoir affronter les conséquences de l’erreur.
La population de ce pays est profondément croyante, elle croit en tout et en n’importe quoi. Sur ce point elle est, à la limite, attachante pour l’anthropologue.
Ces différentes croyances sont catastrophiques.
Elles permettent au plus grand nombre de se dissimuler les erreurs dont tous ont été complices. Elles ne permettent pas l’analyse de ces erreurs.
Dans ces conditions, non seulement il n’y a aucune chance pour que la situation se modifie, revienne à la normale, mais un conflit entre ces croyances multiples me parait incontournable.
C’est donc la guerre civile que je vois arriver quand la pression économique va générer un inconfort menaçant la vie même du plus grand nombre.
Ce sera le grand jour des survivalistes, le comble de la déraison.
Bien à vous. H. Dumas
1 282 vues
Richard Cantillon était un économiste franco-irlandais et un homme d’affaires du 18°s qui a compris comment fonctionnait la circulation de l’argent et le mécanisme de l’inflation.
Cela lui a permis de littéralement massacrer le système mis en place par John Law sous la régence (de Louis XV alors mineur) puisqu’il a été l’un des rares financiers à faire un bénéfice alors que le système de billets de banque convertibles en or et gagés sur la compagnie française pour le commerce des Indes orientales a fait une magistrale faillite !
Sa renommée repose une étude intitulée « essai sur la nature du commerce en général » dans laquelle il a su théoriser ce que l’on appelle désormais « l’effet Cantillon » ; effet selon lequel une injection de monnaie dans l’économie exerce un effet progressif et différencié sur les prix au fur et à mesure que la monnaie se propage par les échanges à partir du point où elle a été injectée.
En fait, il a mis évidence que la monnaie n’avait pas la même valeur pour tout le monde selon le point selon lequel on se situait par rapport au moment où la monnaie était injectée dans le circuit économique !
Il a en effet découvert que ceux qui bénéficiaient essentiellement de l’émission monétaire étaient avant tout les personnes les plus proches du pouvoir et de la création monétaire elle-même et que, fatalement, ceux qui en étaient les plus éloignés n’en étaient que les plus petits bénéficiaires quand ils n’en sont pas carrément les victimes.
Pour mieux visualiser le phénomène, il faut imaginer un ensemble de cercles concentriques dans lequel, plus on se rapproche du centre, plus on se rapproche du moment de la création monétaire ; les cercles les plus éloignés étant ceux où l’on en est le plus éloigné.
Cela a l’air simple et logique et pourtant ce phénomène est totalement ignoré par la population.
Pour simplifier, quand la monnaie circule et qu’elle s’éloigne du centre, elle perd un peu de sa valeur à chaque transaction …
Si vous bénéficiez de la monnaie à une valeur de 100 alors que l’utilisateur final bénéficie de cette même monnaie à une valeur de 50, cela signifie que l’inflation a doublé les prix mais que le premier utilisateur ne perd pas de pouvoir d’achat tandis que le dernier en perd 50% !
L’explication tient au fait que plus l’argent circule, plus il s’éloigne du pouvoir créateur et plus il perd de sa valeur par le biais de l’inflation qui n’est pas un phénomène d’augmentation des prix mais un phénomène de dévalorisation de la monnaie. Il faut toujours plus d’argent pour acheter la même chose.
Cela signifie que lorsque vous êtes à l’origine de la création de la monnaie, vous en êtes le premier utilisateur et l’entier bénéficiaire pour son montant nominal. Vous pouvez même en être le grand gagnant si l’inflation est d’un montant inférieur mais si vous êtes le dernier utilisateur vous pouvez vous retrouver avec une monnaie dévaluée ne compensant pas la hausse des prix car vos revenus progressent moins vite que l’inflation.
Ce phénomène, en période de forte inflation, permet donc d’expliquer la paupérisation des populations qui ne sont pas dans les premiers cercles du pouvoir.
Cela permet de comprendre que les gens qui dirigent un pays, ainsi que ceux qui sont proches du pouvoir, n’ont jamais peur des mesures qu’ils vont prendre concernant la monnaie ou la fiscalité parce qu’ils savent que, si la monnaie se dévalue de 50%, ils compenseront la perte en résultant en doublant leurs émoluments basés sur la taxation des autres. Ils peuvent donc, quoiqu’il arrive, invariablement conserver leur train de vie d’avant ; compte non tenu des nombreux avantages en nature dont ils peuvent aussi bénéficier.
Bien évidemment, les salariés du privé, les professions libérales et les entrepreneurs n’entrent pas dans ce schéma et subissent une perte de revenus !
Fort de ce constat, et une fois que l’on a assimilé cette situation, on peut facilement déterminer qui sont les profiteurs d’un système et qui en sont les victimes.
Cela permet aussi de comprendre pourquoi, avec néanmoins toujours un certain étonnement, des acteurs de cinéma très bien payés, tel Vincent Lindon ou Juliette Binoche (qu’on aime bien par ailleurs), qui ne connaissent probablement pas « l’effet Cantillon » et n’ont sûrement pas conscience d’en profiter, se font complaisamment les vecteurs d’idées moralisatrices, collectivistes, voire communistes et spoliatrices.
Situés dans les premiers cercles du pouvoir, ils savent qu’ils vont bénéficier des subventions dont le cinéma français est largement abreuvé. A vrai dire, sans ces subventions payées par vos impôts, la production cinématographique française chuterait de 90% !
Si la monnaie perd 50% de sa valeur, les subventions seront doublées et leurs cachets suivront le même schéma puisqu’en France, la culture fait partie des secteurs privilégiés du système technocratique dans le cadre d’un mécanisme de complaisance qu’on est bien obligé d’appeler économie de connivence !
La France « bénéficie » d’un ministère de la culture dont le but principal est évidemment de favoriser les acteurs et gens du spectacle dans le cadre d’une économie totalement subventionnée ! Aux USA il n’y a pas de ministère de ce type ; le milieu du cinéma, notamment, fonctionne donc, assez bien d’ailleurs, selon des principes différents.
Pour mémoire, le budget du ministère de la culture est 3,4 Md€ et celui de la justice est de 8 Md € alors qu’il m’apparaît évident que la justice, qui fait partie des missions régaliennes de l’Etat (et dont on sait que son budget est très largement insuffisant), est nécessairement bien plus importante que la culture ; même si en France on parle d’exception culturelle française avec l’objectif de protéger un système basé sur la rente de situation !
Dans le cadre d’un échange de bons procédés, les gens du spectacle soutiennent le pouvoir en échange de « quelques» avantages matériels et E Macron a fait sien le message selon lequel « la culture serait en état d’urgence » et a ordonné la prolongation des droits des intermittents du spectacle d’une année alors même que leur régime ultra favorable est lourdement déficitaire (un milliard €) puisqu’il leur suffit de justifier de seulement 507 h travaillées pour en bénéficier !
En fait d’urgence, elle ne concerne réellement que le milieu du spectacle qui craint une diminution de ses revenus du fait du ralentissement économique et de la fermerture des salles et annulations des festivals …
Il s’agit donc d’une urgence essentiellement narcissique et totalement égoïste !
Ces gens du spectacle sont donc ce que j’appelle « des communistes en bas de soie » car il est tellement plus facile de promouvoir le collectivisme et la spoliation quand on en est au minimum à l’abri de toute difficulté matérielle ; voire même quand on est le profiteur direct d’un système !
Autrement dit, quand on a des rémunérations à 6, voire à 7 chiffres qui émanent pour l’essentiel de la spoliation fiscale par biais des subventions, il est plus facile de voir les choses avec un certain détachement.
A l’opposé, le petit artisan situé au fin fond de la France profonde (Creuse, Corrèze ou même Lozère) est la principale victime de cet effet Cantillon car il ne percevra l’argent émis qu’en toute fin de circuit économique, lorsque l’argent collecté par une entreprise aura été versé en tant que salaire à ses employés et que ceux-ci, après avoir payé toutes leurs charges fixes, pourront enfin se payer ce que fabrique l’artisan !
Evidemment, au nombre de ces collectivistes bénéficiaires de l’effet Cantillon, on trouve aussi les membres de la haute fonction publique pour une double raison :
-d’une part, la collectivisation et la socialisation du système étatique leur permet de justifier leur propre existence qui, bien souvent, ne correspond à aucune utilité réelle ; notamment économique,
-d’autre part, proches, s’il en est, du pouvoir, ils sont assurés de voir leurs émoluments progresser au rythme de l’inflation ou de la dévalorisation de la monnaie ; ce qui n’est évidemment pas le cas de l’employé du privé dont les revenus sont soumis à des contraintes économiques et notamment aux bénéfices réalisés par son employeur !
L’effet Cantillon est au centre des circuits économiques !
Vous savez maintenant pourquoi.
Bien cordialement à tous !
Licence de publication : La reproduction de cet article n’est autorisée qu’à la condition de le rependre en totalité, d’en rappeler l’auteur et le site originel de publication.
1 794 vues
“Qu’est ce qui s’est passé ?… Qu’est ce qui s’est passé ? …” disent Tournesol et le Docteur dans les Bijoux de la Castafiore. Ils sont victimes d’un enchaînement de circonstances qui les dépasse. Je me sens dans une situation identique, et probablement quelques millions de français aussi.
Ainsi donc un virus inconnu, dans un premier temps marginalisé, puis ensuite annoncé comme terriblement mortel, nous attaquait. Contre lui rien n’était possible hormis compter inlassablement les morts. Bien plus, il attaquait l’humanité. Un cauchemar.
J’ai d’abord été sidéré, puis paniqué. Au point de trouver normal que les hommes de l’Etat confirment par la loi mon enfermement volontaire. Puis régissent ma vie de tous les jours, mon comportement, mes soins, mes achats, le choix de mes épiceries, etc…
Ce n’est pas encore fini, loin de là, ils légifèrent maintenant sur ma façon de saluer, de me déplacer, et toujours de me soigner, de travailler… y aura-t-il des limites ?
Hier j’étais au tribunal de Montpellier.
C’était entre Guignol et le Ku Kux Klan. Guignol pour les dialogues, le KKK pour les déguisements.
Je me suis présenté devant la porte du tribunal avec mon épouse, avec qui je partage le combat que nous menons contre les fous du fisc, pour survivre, pour retrouver notre dignité.
Nous allions à une audience faisant suite à la citation directe que j’ai engagée, sans espoir, contre un de mes bourreaux fiscaux.
La double grille du parvis du tribunal était fermée. Nous avons dû nous présenter à une grille de service sur le côté du parvis, tels que nous y incitaient des panneaux.
Là, le cerbère de garde, après nous avoir observés et interrogés avec la suspicion qui sied à un détective avisé, spécialiste du coronavirus, nous dit : “-Vous pouvez entrer, mais pas Madame”. “- Allons bon, pourquoi ?” “-Parce que le public n’est pas admis”.
Là c’est Guignol. Mon intuition est que tout cela n’est pas légal. Les juges doivent, sauf exception du huis clos, officier en audience publique.
Peut-être suis-je mal informé, mais je n’ai pas entendu parler d’une modification de la loi à ce sujet.
Je m’en ouvre au cerbère et lui demande si tout cela est bien légal. Il me répond qu’il s’en fout. Je lui fais remarquer que nous sommes dans un tribunal. Il s’en fout toujours.
Dont acte.
Je rentre donc seul. Quel dommage. Que des avocats et avocates en robes noires et masqués. Torride.
La salle d’audience avait été enturbannée, saucissonnée, de ruban de chantier blanc et rouge pour ne laisser libre qu’une place sur deux. Des marques au sol pour faire la queue et… pas de public.
Les magistrats n’ont pas hésité à donner de la sonnette en entrant, afin que chacun se lève en les voyant. Ils étaient tous masqués, style KKK des grands soirs.
La salle était vide. Dommage. Je n’ai pas eu le culot de faire une photo, encore dommage.
Mais quand même, ils ont donc rendu la justice à huis clos, incroyable. Je rappelle que l’audience publique est un des acquis fondamentaux de la révolution. A la trappe, pour cause de virus. Visiblement sans état d’âme, tant la loi est relative pour les magistrats par rapport à leur pouvoir.
La panique et le populisme
J’ai enfin compris comment les allemands sont devenus Nazis. La panique s’est emparée d’eux, ils ont eu peur de la misère, de la malnutrition, de la mort.
Face à cette panique nul n’a été capable de canaliser leur angoisse, au contraire Hitler a surfé dessus.
C’est probablement ça le populisme, aller dans le sens de la panique populaire, l’exacerber, en profiter, au lieu de la calmer. C’est trouver les mots et les attitudes qui l’amplifient au lieu de ceux qui la maîtrisent.
Il n’y a aucun complot derrière ce bazar.
Ceux qui dénoncent un complot ne cherchent qu’à dissimiler leur responsabilité, la responsabilité de leur panique.
Je ne suis pas fier d’avoir paniqué, au point même de me demander si je n’aurais pas été un bon collaborateur pendant la dernière guerre. Tout cela fait peur. Merde alors.
Le petit Macron
Il a été plus populiste que les populistes qu’il fustige et contre lesquels il se prétend un rempart.
Il a menti, puis quand la panique liée à ses mensonges a pris le dessus il l’a théâtralement utilisée, effectivement tel Hitler. L’horreur.
Il favorise maintenant la délation, il met en place des lois d’exception, il a perdu toute considération, l’histoire va le pendre. Il est tout petit.
Il eut fallu à la France un homme de l’Etat fort, qui explique la situation, donne aux français le gout du courage et de la responsabilité personnelle. Des milliers de morts auraient sans doute été évités.
Mais c’est Macron que les français ont choisi, et je ne lis pas à droite ou à gauche qu’ils auraient honte d’avoir paniqué. A contraire je les crois dans le déni, dans la recherche du complot.
Et vous, avez-vous paniqué, où êtes-vous restés lucides et sereins, spectateurs effondrés de la débâcle ? Pas comme moi, qui suis choqué et un peu honteux, mais prêt à me reconstruire, à ne pas fuir, à ne pas succomber à ma faiblesse passagère, à retrouver mes forces, ma lucidité, mon jugement, enfin j’espère…
Bien à vous. H. Dumas
1 348 vuesUne question m’a toujours interpellé : comment s’y prennent les tyrannies pour durer ?
Bien sûr, pour qu’une tyrannie fonctionne, il faut bien qu’elle ait « à sa main » police, justice et force armée. Nécessaire, c’est l’évidence. Mais suffisant ? Ne faut-il pas, en plus des « forces » que nous venons de décliner, une part importante et plus ou moins large de « complicités » ?
Les mois que nous venons de vivre ne seraient-ils pas une superbe illustration de cette réalité ?
La quasi-totalité de la population occidentale brutalement internée, pratiquement du jour au lendemain, enfants y compris, et cela sans la moindre opposition, la moindre révolte nulle part ! N’est-ce pas admirable ?
Pourtant, dès le départ, on l’a su ! L’emprisonnement des enfants en dessous de quinze ans n’avait aucun sens, aucune utilité : ni contaminants, ni contaminés ! Totalement hors-jeu pour le virus chinois. Le bon sens était de ne pas confiner les moins de quinze ans, la sagesse, de les remettre en classe le plus vite possible. Pourtant, innombrables sont les psychiatres à dénoncer les très graves effets d’un confinement prolongé à ces âges.
Pour la « population active », l’emprisonnement ne se justifie d’ailleurs pas plus ! Bien entendu, les personnes entre quinze et soixante-dix ans ne bénéficiaient pas de l’enfantine immunité, mais bon, pour eux, le risque de tomber malade restait raisonnablement faible, celui d’en mourir, infinitésimal (les décès : très exactement 0,02 % pour la population européenne, la plus atteinte au monde, à ce jour).
En tout cas, pas de quoi choisir de ruiner, pour peut-être un demi-siècle, la quasi-totalité du monde occidental.
Dès le départ, on l’a dit, on l’a su, le risque réel était circoncis à quelques catégories de populations, qu’il eut été facile de mettre soigneusement en observation (tester), d’isoler et soigner si nécessaire. Laissant les enfants continuer de s’instruire, et les actifs continuer de faire marcher l’économie.
Comment une telle catastrophe économique a-t-elle pu s’imposer à tous se demanderont demain les historiens ? On en reviendra aux policiers et à leurs amendes, voire aux juges…`
Mais nous, qui aurons vécu ces heures incroyables, nous saurons bien que juges et gendarmes n’auront pas compté tant que cela ; mieux, à bien des égards, ils étaient inutiles. La vérité est qu’une majorité ne s’est pas vue imposer le morbide confinement, ce n’est tout simplement pas vrai ; le vrai est qu’elle s’y est précipitée, engouffrée ! La preuve ? On parle — enfin — d’un début d’allègement de l’étouffant confinement ? Innombrables sont les voix qui s’élèvent pour s’en indigner ! « Pas question de renvoyer mes enfants à l’école ! Pas question de retourner au travail ! »
C’est donc bien là le secret d’une tyrannie réussie : la complicité d’une large majorité des tyrannisés.
Comment cela a-t-il pu fonctionner ? Le virus chinois aura certes épargné une immense majorité de nos concitoyens, mais son lointain cousin, le coronavitrouille, un formidable coronavitrouille, a touché le plus grand nombre ! Nul besoin de gendarmes, les contaminés, d’eux-mêmes, restaient terrés chez eux, au point que pour une part d’entre eux, il va s’avérer difficile de les en faire sortir !
On dira, pour excuser nos contemporains, que trompes et sirènes des hommes de l’état avaient tout pour affoler : récitation vespérale et quotidienne du nombre de malades et de morts… Excuse refusée, parce qu’inacceptable : un peu de bon sens individuel aurait dû conduire tout un chacun à remettre les chiffres à leur place. Bon sang, il est facile de se douter que si une population donnée jouit par exemple d’une espérance de vie de cent ans, il faut bien qu’il en meure, bon an mal an, 1 % chaque année, soit en France pour les entreprises concernées, un marché annuel d’un minimum de six cent mille cercueils…
D’autres chiffres, disponibles partout, 3 ou 4 clics sur n’importe quelle machine numérique auraient dû interpeller, notamment les Français : 34 morts par million d’habitants, dans le monde, ce qui ne fait pas de cette maladie l’épouvantable pandémie qu’on nous prétend, oui mais…, à ce jour plus de dix fois plus en France, 400 décès par million à ce jour. Ah bon ? La France n’est-elle pas pourtant le pays qui a le plus confiné ?
Décider, pour un risque aussi mince, de sa ruine, de celle de son entreprise, de son pays ! Oui, c’est exactement ce que les complices de l’état, très largement majoritaires, se sont non seulement imposés à eux-mêmes, ce qui après tout était leur droit, mais ont contribué à imposer à tous, ce qui est là le produit d’une authentique tyrannie.
Ce qui est à craindre ? Les hommes de l’état ont usé et abusé du coronavitrouille pour s’arroger tous les pouvoirs, y compris les plus extrêmes, comme de nous interdire le grand air déconfiné de nos plages et de nos parcs, au mépris de tout bon sens. Les vertiges d’un tel pouvoir, on n’y renonce pas comme cela. Après le confinement total, on passera à un déconfinement aléatoire, puis, l’inévitable catastrophe économique bien installée, on voudra nous faire entrer dans une autre sorte de confinement, financier celui-là, avec au choix ou en même temps, plus d’impôts, plus d’inflation, ou confiscations diverses et variées, l’épargne, l’immobilier… soyez–en sûr, l’imagination des hommes de Bercy tourne depuis longtemps à plein régime…
Pourront-ils conduire à terme leur sinistre tyrannie ? Tout dépendra, en fait, nous l’avons compris, de ce qu’il leur restera de complices. Combien de nos contemporains accepteront-ils qu’ils se sont fait rouler dans la farine ? Qu’il est temps non pas seulement de se déconfiner, mais de se réveiller, et redevenir, réellement et complètement, des hommes libres, capables de décider par eux-mêmes de ce qu’ils veulent faire et de ce qui est le mieux pour eux ?
La réponse dans les mois, les jours qui viennent.
2 511 vuesJe suppose que nous sommes tous dans le même état d’esprit, la question tourne en boucle dans notre tête : que va-t-il se passer maintenant ?
Car nous le savons intimement, il va se passer quelque chose… de grave. La suite logique ou illogique de tout ce qui s’est passé… qui est grave.
Je ne suis pas dans votre tête et je n’ai pas la prétention d’y pénétrer, juste l’envie de vous inviter dans la mienne, ce dernier jour de confinement… après se sera chacun pour sa peau, probablement.
Ce qui se passe dans ma tête est résumé dans le titre de ce billet : “quand même…”
A vingt ans je me suis installé à mon compte. Dans l’immobilier. Evidemment, je me suis tout de suite posé la question de la difficulté qu’il y aurait à être intègre moralement tout en rentrant dans le monde des affaires.
Finalement c’était une fausse angoisse.
Il est très facile d’être un homme d’affaires honnête. Il suffit de limiter sa rémunération à un pourcentage de ce que l’on fait gagner à son client. Ainsi nul mécontent, nul appauvrissement.
Je dirais en fait que c’est le principe même du monde des affaires d’être honnête. Les brebis galeuses ne font pas long feu. Sauf, sauf si elle possède un pouvoir de négocier quelque chose sans valeur ajoutée, mais indispensable, tel que par exemple une autorisation administrative.
Je ne suis jamais rentré dans la connivence ou la corruption, pas même à l’occasion d’un repas ou d’un avantage payé par une entreprise, alors que j’étais architecte.
Par ailleurs, peut-être bien pourvu en sens de l’organisation j’ai eu l’occasion de le mettre au service de la collectivité dans des activités bénévoles, où j’ai été vraiment bénévole, qui m’ont même coûté en temps et en argent.
Et enfin j’ai toujours été un bon payeur, payant rubis sur l’ongle factures, charges et impôts.
Au terme de tout cela j’ai donc rencontré, pour mon malheur, une cinglée du fisc – pléonasme –, Madame Jourde, qui au moyen de falsifications a tenté de me déposséder de plusieurs centaines de milliers d’Euro à l’occasion de la succession de ma mère, laquelle était entièrement à ma charge depuis vingt ans quand elle est décédée.
Au bout de vingt ans de résistance, récemment, la justice — à contre cœur — a dû me donner raison, mais sans indemnité.
Jourde, vexée par ma résistance, avait appelé à l’aide d’autres véreux du fisc, en est-il qui ne le sont pas ? C’est ainsi que j’ai vu débarquer Martino, puis Garcia, qui ont monté de toutes pièces des redressements indus qui m’ont ruiné.
Donc, soudain, je suis devenu un paria.
D’abord socialement puisque traité de “fraudeur fiscal”, puis professionnellement lorsque tous mes biens ont été saisis, mes comptes en banque bloqués puis fermés m’obligeant à aller quémander à la Banque de France un compte forcé dans une banque que je n’ai pas choisie – qui s’avère plutôt sympathique – la SMC.
Privé de revenu, je suis devenu un mauvais payeur, un tricheur, pour survivre.
Jusqu’à ce jour j’ai eu la chance de ne pas être envahi par la haine, alors que franchement il y aurait eu de quoi. La merde dans laquelle ils m’ont mis après quarante-cinq ans de droiture de vie l’aurait justifiée.
J’ai ouvert ce blog et, au fil du temps, j’ai pu constater que nous sommes des centaines de milliers dans mon cas.
C’est là que : quand même…
Voyons un peu. Nous avons été pillés par des personnes au-dessus de tout soupçon. Nous savons bien les mensonges ou contorsions auxquelles elles se sont prêtées pour arriver à leur fin. Nous en connaissons la grossièreté, la fausseté, la perversion.
Force est de constater que nul ne nous a écouté, rendu justice ou même simplement compris et réconforté.
Tout cela parce que le pillage était motivé. Il s’agissait de solidarité. De juste répartition des richesses. Une évidence, qui s’imposait à tous.
Entendez par là que les richesses que j’ai créées n’ont aucune raison de m’appartenir, qu’il n’est pas légitime que je les utilise pour aider ma mère lors de sa fin de vie, pour aider mes enfants lors de leur entrée dans la vie, pour assurer ma propre fin de vie, pour me faire aussi un peu plaisir.
Non, je devais mettre mes gains dans le pot commun, intégralement, ne conservant que le strict minimum pour continuer à produire des richesses. Et pour ma mère, l’Etat s’en occuperait, pour mes enfants idem, tout pareil pour ma vieillesse, pour la vie courante à peine plus que le smic devait être suffisant.
Mes angoisses, mes risques, mon énergie, mon travail de 20 heures par jour, sans jour férié ? Si c’est ce que j’ai choisi, c’est que cela me plait, ce plaisir est suffisant, inutile de l’accompagner d’une récompense. A la limite, je dois m’estimer heureux de pouvoir le faire, alors que l’Etat pourrait parfaitement le faire à ma place, d’ailleurs aujourd’hui il le fait. Voir cette vidéo, 1h18 : LE LIEN
Nul ne peut aller contre cette magnifique organisation collective dont se portent garants les fonctionnaires. Ma résistance et mes plaintes pour conserver ma propriété, les fruits de mon travail ou pour tout simplement continuer à travailler, sont obscènes, c’est le syndicat unifié des impôts qui le dit et l’imprime en première page de son journal.
Je suis plaqué au sol avec vous, bâillonné, inaudible, ridicule, ruiné, dans la misère après une vie de travail et de réussite, rien de plus normal, de plus solidaire.
La foule applaudit le pouce vers la terre, elle jubile, elle hurle en cœur : vive la solidarité, la vraie, pas la fausse limitée à sa famille, aux siens. Non l’autre, l’anonyme, que seuls les fonctionnaires sont habilités à répartir — mais limitée uniquement aux autres franchouillards évidemment —
La foule adule les fonctionnaires, tout le monde veut en être. Ne sont-ils pas les hérauts de la répartition, les justiciers de l’égalité ? Leurs privilèges mérités leur confèrent le statut qui va avec la très grande compétence et la très grande sagesse. Ils sont la perfection, et ne se gênent pas pour le dire, voire le faire entrer de force dans nos têtes.
Nous sommes des sous-hommes, des reliquats d’une ère primitive en voie de disparition. Ils sont l’avenir de la France et notre éradication est parfaitement justifiée.
Les bourreaux chargés de nous éliminer le font sans état d’âme, en ce qui me concerne ils s’appellent Brabant et Flory, ils sont intelligents, parfaitement conscients de ce qu’ils font, mais ils le font. Un point c’est tout.
Arrive de CORONAVIRUS
Non seulement les fonctionnaires font la démonstration, visible pour tous, de leur incompétence, mais aussi de leur manque de courage, de leur irresponsabilité.
Passons rapidement sur ce que nous avons tous constaté, leur infinie prétention à gérer seuls le problème avec leur hôpitaux pourtant largement en déshérence, à paralyser par des lois de circonstance la médecine de ville, à mentir comme des arracheurs de dents.
Mais voyons le résultat.
Les morts ? Pas plus que ça… de toute façon il en faut, surtout les vieux…
Les fonctionnaires auront été le plus gros bataillon des confinés. Et pourtant ils vont toucher l’intégralité de leur salaire, pendant ces vacances imprévues mais bienvenues.
Les salariés du privé ne toucheront que 80% de leur salaire, ceux qui le toucheront.
Les indépendants les plus heureux sortent de là avec un crédit sur le cul pour ceux qui vont s’en sortir ou essayer, pour les autres c’est la faillite, la misère.
Une nouvelle race de fonctionnaire est née “les espions de la santé”, organisée en brigades volantes qui vont directement venir espionner chez chacun de nous, préalablement dénoncé par son médecin, qui touchera un petit bakchiche pour la peine.
Les fonctionnaires et leurs employés en communication : les élus, se sont votés une loi dégageant leur responsabilité du bordel qu’ils ont foutu.
Une grande ferveur nationale, un immense chagrin collectif est prévu, accompagné probablement d’un gouvernement d’intérêt national composé exclusivement de fonctionnaires, c’est “la passionata”.
Le crédit ? Quel crédit ? Ah, vous voulez parler sans doute de la fausse monnaie ?
Où est le problème, répondent les fonctionnaires, puisque tout le monde croit qu’elle est vraie ? Cessez de vous faire de la bile. Nous ne sommes pas allés au bout du pillage. Il reste du gras.
Nous allons déplacer tous les indépendants, donner leurs biens à des fonctionnaires ou à des nécessiteux, qui engagés collectivement les géreront mieux et au bénéfice de l’Etat. Ne vous inquiétez pas. C’est gagné.
Oui mais, quand même… à moins que…
Bien à vous. H. Dumas
1 420 vuesAmis de la liberté, mettons-nous en colère !
Les révélations du Monde sur la crise des masques face à l’épidémie de coronavirus en France dénoncent un véritable scandale. Mais elles ne sont que la révélation du fonctionnement habituel de l’Etat.
Ayant eu le redoutable privilège d’affronter l’Etat depuis des décennies dans le seul but d’exiger le respect de l’état de droit et des droits de l’homme, j’ai pu constater que les politiciens n’ont aucune influence et que seule gouverne l’administration.
Pourtant cette situation révoltante ne résulte d’aucun texte, mais seulement de comportements humains.
Trois exemples. Arrivant au gouvernement au retour du général de Gaulle, Antoine Pinay réunit les directeurs du ministère des finances et leur expose son programme. Les hauts fonctionnaires se récrient et lui indiquent qu’ils ne pourront pas le mettre en œuvre. « Je vous remercie Messieurs, déclare le ministre, j’ai bien enregistré votre démission. » « Pas du tout, Monsieur le ministre, pas du tout, nous exécuterons vos décisions », répondent ces fonctionnaires.
Autre exemple. Un de mes amis est nommé au ministère des finances. Je suis président d’un syndicat médical et nombre de nos adhérents ont un sérieux problème avec l’administration fiscale qui leur refuse un droit établi par la loi. Je prends rendez-vous avec mon ami, qui me reçoit avec la plus grande amabilité, mais qui, lorsque je lui ai exposé le but de ma visite, me dit : « Mon administration n’acceptera jamais. » Je m’étonne : « Ton administration n’acceptera jamais d’appliquer la loi ? » Il me répond d’un sourire impuissant. Nous nous sommes quittés un peu en froid, après que je lui eus demandé : « Dis-moi, ça sert à quoi d’être ministre ? »
Troisième exemple. Président du Mouvement pour la liberté de la protection sociale (MLPS), je me bats depuis de longues années pour faire appliquer par la France les directives européennes qui mettent la Sécurité sociale en concurrence et que notre pays a transposées et intégrées à sa législation. Là encore, c’est l’administration qui est à la manœuvre et qui refuse d’appliquer la loi. Impossible d’obtenir le soutien d’un seul politicien. Tous sont tétanisés à l’idée d’affronter l’administration. Or voilà qu’un jour un adhérent me transmet une vidéo où l’on voit à l’Assemblée un député, Frédéric Lefebvre, interpeller le gouvernement, dans un hémicycle vide, sur les méfaits du Régime social des indépendants, dont le sigle, RSI, est un objet d’horreur et de ruine pour les trois millions de chefs d’entreprise français. Je prends immédiatement contact avec ce parlementaire, dont je n’avais nullement sollicité l’initiative, et lui indique que notre mouvement se propose de relayer son action, ce qu’il accepte de grand cœur. Quelques mois plus tard, le RSI est supprimé, en même temps que les tribunaux des affaires de sécurité sociale (TASS), sinistres zones de non droit que nous tentions en vain depuis des années de faire disparaître.
Il a donc suffi d’un seul député, certes ancien ministre des PME, mais isolé au sein de son groupe, pour faire basculer une situation figée depuis des années malgré nos actions déterminées et incessantes.
C’est ici qu’il faut se souvenir des mots de l’ancienne dissidente roumaine Doina Cornea : «Si nous avions été, je ne dis pas mille, je ne dis pas cent, je dis cinq, nous aurions vaincu le communisme. »
Quand on affronte le totalitarisme (et la France en est victime, il ne faut pas refuser de le constater), il y a un principe qu’il ne faut jamais oublier : le temps ne compte pas. Cela a un côté désespérant quand on voit défiler les années, mais le désespoir n’est pas de mise dans les grands combats.
Il se peut que le grand ébranlement provoqué par l’épidémie du coronavirus soit l’occasion que nous attendions depuis des décennies. Le peuple a enfin compris que l’Etat ne le protège pas, et même que ses dirigeants le détestent. La politique doit reprendre le pouvoir. Il faudra encore se battre, mais j’ai la conviction que nous y arriverons.
« Un peuple qui n’est plus capable de se mettre en colère est un peuple mort », a dit Confucius. Amis de la liberté, mettons-nous en colère !
Claude Reichman
1 243 vuesLes cinq consignes des hommes de l’Etat dévoilées le 7 Mai par le Ministre Véran, à observer à partir du 11 Mai en cas de symptôme grippal :
– Contacter un médecin
– Qui vous fera faire un test et vous isolera préventivement s’il le juge nécessaire.
– En cas de positivité du test au coronavirus vous devrez rester isolé.
– Toujours en cas de positivité, les personnes en contact avec vous pendant votre période contagieuse seront recherchées.
– Ces personnes, appelées “cas contacts”, seront à leur tour isolées.
Voilà donc mis en œuvre les moyens raisonnables pour combattre la pandémie du coronavirus.
Il y manque un détail : quid des soins ?
On peut supposer, pour l’instant, que le médecin contacté vous conseillera le protocole du professeur Raoult, si vous êtes positif au coronavirus.
Bien, parfait.
Ces consignes simples auraient parfaitement pu être mises en œuvre à partir du 24 Janvier, date de l’apparition connue du coronavirus en France. Maladie présente en Chine depuis fin 2019, dont les paramètres et la dangerosité étaient parfaitement connus.
Rappelons-nous. Au lieu de cela, à cette époque les hommes de l’Etat étaient absorbés par les élections municipales dont le premier tour avait été fixé au 15 Mars, qui ont eu lieu, précédées de nombreuses réunions publiques contraires à toutes les règles de protection face à une pandémie.
Bien plus, pendant cette période les hommes de l’Etat ont publiquement, avec les énormes moyens de communication en leur possession, menti sur la réalité de la maladie, qu’ils connaissaient. Puisque le 17 Mars ils ont déclaré le confinement.
A partir du 17 Mars et donc jusqu’au 7 Mai, ils ont imposé des moyens collectifs inadaptés en réponse à la pandémie.
Pour finir, le 7 Mai, par cette déclaration logique de mesures personnalisées pour faire face au coronavirus.
Ce délai a été tueur. Leur responsabilité est probablement de l’ordre de 10 à 15.000 morts évitables.
Cette responsabilité est le fait d’une organisation collectiviste, égalitariste, imposée par la force de la loi.
Elle est à rapprocher des 100 millions de morts du communisme.
Mais ce n’est pas tout.
Arrive la crise économique, ne venant pas de la nature mais de leur fait.
Pour laquelle, après avoir eux-mêmes inoculé le virus de la pauvreté en détruisant le capital, ils se proposent d’appliquer les mêmes méthodes collectivistes, égalitaristes, par la force de la loi, au lieu de laisser le marché réguler l’économie, ce qu’il fait parfaitement depuis des milliers d’années.
Ici nous sommes dans le mensonge, toujours plus séduisant que la vérité, ce qui est la plus intolérable des souffrances.
Le communisme, puisque c’est bien ainsi qu’il faut appeler le socialisme, l’écologie, l’égalitarisme, et tous les sous-groupes qui lui sont rattachés qui vont des républicains au front national, a envahi la pensée de la France, réduisant à néant le libéralisme qui n’a plus aucun représentant.
La liberté, si hypocritement défendue, présente uniquement sémantiquement sur les documents et bâtiments officiel en France, n’existe pas dans la réalité économique.
Pire, les français ne connaissent pas la liberté économique, ils n’en ont ni le souvenir, ni l’enseignement.
Depuis des siècles tous les systèmes politiques qui les ont dirigés ont flatté leur jalousie, leur haine de la réussite du voisin, ont attisé leurs peurs, ont annihilé leur personnalité au point que ce soient eux qui quémandent leur statut d’esclaves, qui admirent leurs maîtres.
Les français sont dans un rapport sado-maso avec leur organisation collective, qui les étouffe, qui les tue.
Bercy est le dominant incontesté, brutal, violent, qu’ils vénèrent, qui les avilit, qui les réduit à rien, qui leur prend tout pour ce rien, qui entretient sur leur dos une armée de parasites, qui fait du mensonge la norme, du crime la règle, de la connivence et de la corruption l’aspiration nationale.
Dénoncer cette situation, comme je le fais depuis quinze ans, ne rime à rien, est vain.
Alors que cinq consignes simples permettraient de vivre paisiblement dans ce pays aux avantages naturels multiples.
– Supprimer le statut des fonctionnaires.
– Supprimer l’impôt sur le capital. Capital qui est la base du progrès et de la sécurité en toute chose, y compris en économie. Qui doit donc être privilégié ici comme ailleurs.
– Rendre les hommes politiques responsables de leurs promesses et de leurs actes.
– Garantir la propriété privée et supprimer Bercy son principal parasite.
– Réduire l’Etat à ses deux prérogatives essentielles, l’armée — exclusivement pour la défense du territoire –, et l’aide aux plus faibles, aux accidentés de la vie, pas aux fainéants.
Peut-on espérer le même retour au réel de la part des hommes de l’Etat pour la crise de l’économie que pour celle du coronavirus ? NON.
C’est l’opinion publique qui a eu raison de la stupidité face à la pandémie, c’est l’opinion publique qui désire la mort du capital, donc de l’économie. Rien ne peut aller contre l’opinion publique.
Bien à vous. H. Dumas
1 464 vues