Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.
Nous avons vraiment une classe dirigeante extraordinaire.
Distribuant à tour de milliards des milliards qu’elle ne possède pas et qui d’ailleurs n’existent pas à des gogos chantant à l’unisson « et moi, et moi ! », elle continue de combattre avec une constance qui force l’admiration une pandémie sans morts et/ou une épidémie… sans malades !
Quel tour de force ! Après avoir en moins de deux mois durablement ruiné notre économie en imposant un confinement totalement inutile, on vient nous parler d’un « plan de relance économique » qui ne comporte… aucune économie de quoi que ce soit, précisément !
Mais le sublime, c’est maintenant : pour combattre cette pandémie sans décès et/ou cette épidémie sans malades, on impose le port d’un masque à trous béants quand il s’agit de virus, à tout le monde, presque partout, y compris dans nos campagnes et nos usines, et le plus extraordinaire, c’est que cela marche : tout le monde aux abris, tout le monde masqué, y compris dans nos campagnes et nos usines !
Et la bobocratie de réciter à l’envi le chapelet des inepties : le masque, pour se protéger, le masque pour protéger les autres !
La bobocratie, qui ne manque pas d’air, n’hésite pas à imposer le masque, y compris aux travailleurs manuels, et tant pis pour ces derniers, qui vont bien sûr et très vite manquer d’oxygène. Bien sûr, un bobocrate, le travail manuel, il ne connaît pas. Toujours de gauche, même son ménage, il le fait faire. Je voudrais bien suggérer que pour moi, travailleur manuel, le masque et mon métier, c’est seulement incompatible, mais un travailleur manuel, qui l’écouterait ?
Les travailleurs manuels, ça reste le bas du panier. Les ceux qui ne sont rien. Personne ne les écoute, personne ne les entend.
Personne ne les écoute, personne ne les entend, et donc personne ne sait ce qu’ils pensent entre eux, ce qu’ils se disent entre eux. Pas un bobocrate pour même se douter de cette réalité, dont moi, à ma place, je suis le témoin quotidien : le peuple de ceux qui ne sont rien ne croit plus rien. Absolument plus rien. Il y a longtemps qu’il se le murmure de plus en plus fort sous le manteau : le covid est le plus gros mensonge de tous les temps. Il n’a été (plus ou moins) mortel que dans les pays (dont le nôtre) où la corruption l’emporte sur la plus élémentaire humanité, sur le plus élémentaire bon sens, où donc l’on a fait le choix délibéré des bénéfices potentiels fantastiques d’hypothétiques vaccins plutôt qu’un traitement quasi gratuit pris en tout début de symptômes. Non, il n’y a pas plus de malades, car il n’y a plus de malades ; mais seulement plus de tests dont tout démontre une fiabilité plus qu’incertaine.
Ce qui se dit encore : le masque, imposé maintenant envers et contre tout bon sens n’a d’autre utilité que de maintenir la population dans un état de sujétion proche de l’esclavage. Il faut écouler les stocks, pensent les bobobrates. Ils veulent écouler les stocks se répètent ceux qui ne sont rien, mais qui doivent malgré tout porter leur muselière.
La marmite bout, mais personne ne le sait, personne ne l’écoute, personne de l’entend.
Le mensonge est une facilité du présent qui obère l’avenir.
Cela vaut pour chacun de nous et, pratiqué à grande échelle, cela vaut pour nous tous.
Le mensonge accompagne l’irresponsabilité en règle générale, puisque alors il ne prête pas à conséquence pour le menteur qui bénéficie de sa facilité immédiate sans avoir à assumer ses conséquences futures du fait de son irresponsabilité,
L’irresponsabilité de nos hommes du pouvoir, fonctionnaires et politiques regroupés sous le terme “les hommes de l’Etat”, populairement appelés L’Etat, a généré une pratique systématique et constante du mensonge qui ronge et détruit notre pays.
L’épisode toujours en cours du Covid19 a illustré dramatiquement la réalité du mensonge, que les hommes de l’Etat tentent aujourd’hui de dissimuler ridiculement.
Il y a d’abord le mensonge global
On pourrait le qualifier de propagande. Il consiste à prétendre que d’un côté il y aurait les corps de l’Etat composés d’hommes parfaits et de l’autre les assujettis à l’Etat dont les tares et défauts sont tels qu’il n’est pas question de les laisser agir en toute liberté.
On peut citer quelques exemples.
La police est un organisme merveilleux dont tous les membres sont exceptionnels de compréhension, de mesure et d’efficacité, d’intelligence dans l’usage de la force.
Les sapeurs-pompiers, les hospitaliers, les chauffeurs de bus, les employés de la SNCF, tous les fonctionnaires en règle générale ne sont que membres purs, dévoués, attentionnés, au service de tous sans restriction. Ils sont félicités à chaque occasion, globalement, sans distinction.
En contrepoint les assujettis que nous sommes sont tous à tendances tricheuses, égoïstes. Ignorant le bien commun, ils sont prêts à toutes les démesures inégalitaires et doivent être surveillés comme le lait sur le feu. En clair ils sont profondément malhonnêtes. Ils sont eux recadrés à chaque occasion, globalement.
Evidemment tout cela est faux, mensonge.
Les honnêtes gens et les crapules sont répartis à parts égales chez les hommes de l’Etat et chez les assujettis que nous sommes.
Le mensonge, qui permet sur l’instant de dissimuler cette réalité pour asseoir le pouvoir des hommes de l’Etat, ne peut aboutir avec le temps qu’au plus grand désordre ou à une fermeté liberticide quand il apparaît au grand jour. Quand cette répartition supposée des bons et des mauvais fait long feu.
Nous savons aujourd’hui combien l’éducation façonne la personnalité des hommes, souvent plus que leur propre conscience.
On comprend à quel point ce mensonge, inclus dans les préceptes de l’Education Nationale, colporté par la presse, la communication des hommes du pouvoir, peut faire d’immenses dégâts. Comment la découverte de sa portée mensongère peut saper les fondements de notre pays, au point de finir par une catastrophe mortelle.
Alors qu’il serait si simple d’accepter que tous, simples hommes, peuvent être fautifs et d’organiser des arbitrages dans ce sens. Oui mais… les hommes de l’Etat deviendraient ordinaires – ce qu’ils sont — où puiseraient-ils leur droit au pouvoir ? Eux qui devraient être à notre service…
Puis le mensonge individuel
Chacun de nous le vit tous les jours. Cela va de la réceptionniste qui vous dit que la personne que vous cherchez n’existe pas ou de l’agent qui vous envoie dans un autre service pour un problème qu’il aurait pu régler, à la personne qui prétend que le problème que vous exposez n’a pas de solution alors que ce n’est pas le cas.
Ce mensonge individuel peut prendre des proportions mortelles.
Je vous affirme que voir les Services Fiscaux mentir pendant vingt ans, continuer de façon inébranlable devant la justice qui les écoute avec bienveillance, est un choc moral hors du commun. Une dévastation morale et factuelle.
Conclusion
Le problème de notre pays n’est ni conjoncturel, ni complexe, ni insoluble, puisqu’il n’est que l’exercice journalier du mensonge, machine à effacer les problèmes au présent pour les reporter au futur.
Les hommes politiques ont l’énorme responsabilité d’avoir fait du mensonge leur principe de vie, de réussite personnelle.
Ils devront payer. Il y a aura un Nuremberg du mensonge, c’est une question de survie. Les sanctions devront être lourdes, tant il y a eu de victimes.
Bien à vous. H. Dumas
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Quels mots employer pour transmettre toute la monstruosité des Services fiscaux.
Doit-on infiltrer ces services — comme ce journaliste qui a infiltré un commissariat pour constater ce que tout le monde sait : les flics sont odieux et abusent de leur pouvoir sur les populations faibles – pour nous aussi constater ce que tout le monde sait : le fisc n’est que vice, mensonge et pillage ?
Il y a bien longtemps, sous la poussée d’une dette incontrôlée et exponentielle, que l’Etat fiscal a perdu toute morale, toute honnêteté.
C’est une nouveauté sans en être une que ce que l’on appelle “l’Etat” soit l’acteur le plus pervers et le plus malhonnête de l’organisation sociale.
Pendant plus de mille ans, au gré des hasards de la reproduction des rois, les esclaves qu’étaient alors les hommes ont eu à subir des monarques escrocs, violents, tueurs, menteurs, pervers….
On pensait, à juste titre, que la révolution avait décapité cette malédiction. Mais on se trompait en croyant que la démocratie l’avait vaincue à jamais.
Non seulement la démocratie n’a pas vaincu l’escroquerie royale, mais elle l’a sophistiquée, amplifiée, légalisée, lui a donné une apparence morale par le miracle de l’inexistante répartition égalitaire.
La réalité est que la démocratie a simplement agrandi le cercle des courtisans vivant au crochet de l’Etat au point qu’ayant la majorité ils ne cessent de fermer les yeux sur cette ignominie dont ils croient profiter.
D’ailleurs effectivement ils en profitent, mais au détriment de leurs propres enfants qui devront payer la facture de ce génocide économique qui finira en faillite, puisque personne ne peut les arrêter dans leur folie dépensière et dans leurs vols légalisés.
Exemple réel
A mon corps défendant je suis devenu un exemple grandeur nature de l’amoralité des Services Fiscaux.
Rappelons que lors du décès de ma mère le fisc s’est mis dans l’idée de taxer en terrains constructibles des terrains qui ne l’étaient pas. Le jour même de la notification de cette taxation, c’était il y a vingt ans, j’apportais la preuve de l’inconstructibilité de ces terrains. Il a fallu vingt ans, c’est long vingt ans de lettres recommandées, d’ATD, etc…, pour que, du bout des lèvres, la justice me donne raison. Pendant ces vingt ans le fisc a menti et réalisé des faux avec une constance qui ferait l’admiration du plus chevronné des mafieux.
A l’occasion de ce combat, les agents du fisc concernés ont sonné le rappel de leurs amis. Il s’en est suivi pour moi vérifications fiscales bidons et redressements tout aussi bidons.
Tout cela sous le regard bienveillant de notre justice qui pardonne tout aux pandores et aux agents du fisc, dans le cadre de la sacralisation de ces deux administrations. Sacralisation sans laquelle — pensent les magistrats — les français seraient incapables de vivre sous le même ciel…
En fait, dans la famille de chaque français il y a un papa, une maman, puis au-dessus le fisc et la police, pense la magistrature, hautement influencée par la propagande des hommes de l’Etat et des courtisans, dont elle fait partie.
Je vais vous parler, et je n’ai pas fini sans doute, des séquelles de l’échec taxateur de la succession de ma mère.
Ici nous sommes face à un redressement inexistant, plus d’un million quand même, visant une société qui m’appartient : la SARL Les Hauts de Cocraud.
L’affaire a quinze ans. Les preuves que le fisc ment sont colossales, indiscutables. Rien n’y fait, le redressement poursuit sa route inexorablement. Son but ultime est simple : ma ruine totale délibérément voulue. La vengeance du serpent à plume.
Dix maisons appartenant à cette société sont mises en vente forcée au prix de départ de 103 626 €. Pour payer un redressement indu d’un million d’€.
Observez la beauté de la situation, un salaud de promoteur qui se fait piquer son patrimoine. Existe-t-il quelque chose de plus jouissif, de plus emblématique de la justice sociale ? C’est fou la propagande, ça tourneboule les esprits. Passons…
Evidemment, je ne pouvais pas lors de l’audience d’orientation mettant en vente ces biens, il y a deux ans, demander la possibilité de vendre à l’amiable, c’eut été reconnaître la validité de ce redressement indu.
J’espérais que le juge de l’exécution, qui en a le pouvoir, constaterait la nullité du redressement. Il n’en n’a rien été en première instance, encore moins en appel, je suis en ce moment en cassation. Je suis con… j’espère toujours.
Mais je n’ai plus une tune. Le mois prochain je fais la manche devant ma boulangerie – je prévois des problèmes avec les professionnels déjà en place, mais je suis bien avec ma boulangère –…
Avant d’arriver à ces extrémités, j’ai vendu trois maisons, au prix unitaire de 250 000€, un peu inférieur au marché, mais bon… Mes acquéreurs sont adorables, compréhensifs, alors tant mieux s’ils font une bonne affaire.
Je demande donc au JEX l’autorisation de vendre et de conserver la somme, entièrement destinée à payer les dettes que j’ai accumulées pendant vingt ans de harcèlement fiscal, de paralysie de ma vie, de mon travail, de cancer fiscal avancé.
Le fisc n’est pas d’accord, Brabant veut ma mort totale. Il en fait une affaire de principe. Car, en aucun cas les intérêts de l’Etat, même s’il était honnête et que le redressement soit fondé, ne seraient touchés par ces ventes.
Il semblerait que ma demande soit mal formulée, et alors ? Peut-on assassiner quelqu’un au simple motif qu’il a employé le subjonctif maladroitement ?
Evidemment le JEX va se défausser ce matin. Ce qui explique mon insomnie.
Je vous garde le meilleur pour la fin.
Les conclusions du fisc se finissent ainsi :
“En l’espèce, la SARL LES HAUTS DE COCRAUD n’a jamais sollicité l’autorisation de vente amiable (bien que cela lui ait été plusieurs fois suggéré). Elle a sollicité un cantonnement à la procédure de saisie immobilière qui est en cours, l’audience étant fixée le 02 Décembre prochain.
Les décisions de justice ont autorité de la chose jugée et les demandes postérieures à l’audience d’orientation sont irrecevables.
La SARL LES HAUTS DE COCRAUD le sait pertinemment, puisqu’elle a déjà eu une première décision en ce sens.
Cela marque sa volonté de procéder à un véritable harcèlement judiciaire“.
Elle sera condamnée à 1 000 € à titre de dommages et intérêts en application de l’article 1341 du code civil pour procédure abusive, et à 2 500 € sur le fondement de l’article 700.”
C’est moi qui harcèle le fisc.
Elle n’est pas bonne celle-là ?
Bien à vous. H. Dumas
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Une idée fumeuse, qui malheureusement prévoit de ne blasphémer qu’à partir des croyances des autres, uniquement des croyances des autres.
L’idée du blasphème me direz-vous implique une divinité et ses servants, pas exclusivement une croyance, mais une croyance religieuse. Oui mais, il est des croyances qui bien que non divines, réclament le même niveau d’investissement.
Par exemple, l’Etat est une abstraction pour laquelle il peut nous être demander le sacrifice ultime, à qui l’on ne peut pas s’adresser sans passer par un intermédiaire dit “homme de l’Etat”, puisque, tel Dieu, l’Etat ne parle pas à ses fidèles, sauf par l’intermédiaire de ses sbires. L’Etat a ses règles absolues que nul ne peut défier. On lui sacrifie régulièrement des êtres humains, ou leurs biens ce qui est identique.
Nul n’a le droit de ne pas y croire, l’Etat et ses fonctionnaires s’imposent de façon au moins aussi oppressante que les plus violentes des religions intégristes, qui d’ailleurs la plupart du temps affirment qu’elles sont aussi l’Etat.
Peut-on se moquer de l’Etat et de ceux qui ont l’ultime et ridicule prétention de le représenter ?
Je vous affirme que non. Certes vous ne recevrez pas une rafale de kalachnikov, mais si vous vous moquez ouvertement d’un magistrat, d’un flic, si vous caricaturez le Président de votre tribunal, le Préfet, le Commandant de Gendarmerie, je vous garantis un sort totalement néfaste, une éviction de la société pas piquée des vers.
Donc le petit Macron se fout du monde.
Le droit au blasphème n’existe pas, et surtout pas en France. J’ai connu Wolinski et Cabu, ils étaient drôles, très drôles, mais aucunement libres. Ils croyaient en l’Etat égalitariste, une forme élaborée de la divinité de l’Etat à laquelle une quantité infinie d’andouilles croient de façon fervente. Ils ne pratiquaient pas, ils n’étaient pas fervents, mais ils croyaient, comme tout adepte de toutes les religions ou croyances.
Paix à leur âme, ils ne méritaient pas ce sort, car nul ne mérite ce sort, mais ils ne pleuraient pas sur ceux que leur croyance sacrifiait, ruinait et ruine encore tous les jours.
Le temple de l’Etat, Bercy, fait de charlots irresponsables, de pillards sans vergogne, qui font semblant de gérer le pays et ne le gèrent absolument pas — ça se saurait –, se prend pour Dieu, c’est évident.
Il pratique la multiplication des billets de banque, les promesses et le châtiment à outrance. Bercy proclame des lois aussi impératives que des lois divines, auxquelles sont attachées les mêmes stigmatisations qu’aux lois religieuses.
Evidemment, le temple Bercy n’accepte pas la caricature. Pourtant il s’y prêterait si facilement, mais qui oserait ? Et que dirait Manu ?
Donc, pas question de blasphémer l’Etat.
Évacuons une confusion possible.
En parlant de l’Etat je ne parle pas de cette qualité supérieure de l’homme qui lui permet, face à une difficulté insurmontable seul, face à un espoir inaccessible seul, de pouvoir s’associer et ensemble aboutir. Ça, ce n’est pas l’Etat, c’est le miracle de l’humanité, la force de l’homme, l’expression de sa confiance en l’autre avec en retour la réussite, le progrès, l’amitié, voire l’amour selon l’objectif visé.
L’Etat n’est lui qu’un statut imposé par des frontières à des hommes qui y perdent leur liberté sans aucun profit en retour. Des hommes à qui l’on ment éhontément, que l’on terrorise pour mieux les soumettre, tout cela uniquement au bénéfice des hommes de l’Etat.
Ne confondons pas, ce serait grave.
L’Etat voyez-vous c’est ça :
Il ne faut surtout pas l’oublier.
C’est ça et ce n’est que ça, seule l’intensité de l’abject évolue. C’est ce qui met mal à l’aise à la lecture de ce compte-rendu, identique à des milliers de comptes-rendus de la même époque, de plus loin, d’aujourd’hui et de demain.
Aurons-nous le courage de blasphémer pour voir la tête de Manu ?
Cela demande réflexion.
Bien à vous. H. Dumas
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…
Le dialogue étant donc rompu avec l’administrateur, nous n’avons plus à faire qu’à ses sous-fifres qui nous dirigent sans trop de ménagement vers une voie de garage. Et si l’on veut obtenir un chèque, comme c’est lui qui a la signature, c’est la croix et la bannière, jusqu’au jour où il décidera de ne plus rien signer. Pourtant il a encore plus de 160 000€ à nous. Mais ces euros-là, on dirait qu’ils ne nous appartiennent déjà plus. Sous divers prétextes fumeux, il ne veut pas les lâcher. Sans que nous en apercevions, nos 160 000 euros avaient changé de proprio.
Impossible de les récupérer. Certainement que sa poche, indépendamment de sa volonté, les avait kidnappés.
Entamer une procédure pour les récupérer serait trop long.
Donc, nous avons fait une croix dessus.
Denis et moi essayons de relancer la machine.
Avec assez de succès, il faut le dire.
La Loco fonctionne toujours bien et les gens viennent toujours nombreux aux soirées discothèques ou aux soirées co-prod.
Ils sont loin de se douter, que derrière les lights, les paillettes, les spectacles et les groupes qui font leur show sur scène, que la Loco vit ses dernières heures. Que derrière ces miroirs en trompe l’œil, un monde va s’écrouler. Un mythe va disparaître, car la Loco était devenue en 25 ans, on peut l’affirmer un lieu mythique.
C’est ce qui restera dans l’esprit de millions de personnes, de plusieurs générations de jeunes qui y seront venus y transpirer et draguer. Chacun aura ses propres souvenirs et interprétera le mythe à sa façon.
Nous avons donc compris que nos jours étaient comptés.
Seul un miracle, comme un jugement favorable de la Cour d’Appel concernant l’ « Arrêt Ravon » pourrait nous sauver, mais l’audience est programmée pour le 17 septembre 2009. Et le 8 octobre nous repassons (pour la dernière fois, nous le savons) devant le T.C.
C’est un peu court.
Le miracle, si miracle il y a, il va se jouer dans les tous derniers mètres.
Au finish. Nous savons que les miracles mêmes à Lourdes sont de plus en plus rares, alors vous pensez dans le 18eme arrondissement…
La Loco restera surtout dans les mémoires comme ayant été jusqu’au bout le temple du rock avec ses plusieurs centaines de groupes qui s’y sont produits. Pendant ces 25 ans, tous les jeunes groupes y sont passés. C’était une sorte de consécration avant d’aller plus loin et plus haut.
Tout cela va disparaître, cela nous paraît inéluctable.
Denis, voyant l’impasse dans laquelle nous nous dirigeons concernant le plan de continuation : no monney, no plan et devant l’incapacité de le faire nous-même, me présente son ultime joker, Christian Michigan.
Présenter Michigan vaudrait un chapitre à lui tout seul.
C’est un personnage aux facettes multiples et au passé fluctuant et énigmatique. Il est difficile à cerner.
Pour tout dire, je n’ai jamais réussi à savoir réellement qui il était et ce qu’il faisait. Officiellement il est comptable, il a une formation juridique et fiscale et il semble avoir l’habitude de faire des plans de continuation.
Il débarque chez nous début deuxième quinzaine de septembre. Le plan doit être présenté le 8 octobre. Cela ne nous laisse pas trop le temps de glander.
Christian fait partie des gens « over booké » du matin au soir et même la nuit, 7 jours sur 7. Donc il tient peu les heures de ses rendez-vous. Il vous dit 14h et vous le voyez débarquer à 19h. Ou pas.
Après quelques jours d’apprentissage et d’exaspération totale pour m’adapter à son mode de fonctionnement, j’ai compris qu’il n’était disponible pour la Loco que la nuit. Et que certaines nuits.
Avec lui aucun rendez-vous n’est certain.
Lorsque je lui en fais la réflexion il me répond immanquablement « ne t’en fais pas Manu, ton plan sera prêt à l’heure ». Tout discours « moralisateur » glisse sur lui et sa bonne humeur, car il est toujours de bonne humeur. Après un énième faux bond, lorsque je lui tombe dessus et ne mâche pas mes mots, il attend que l’orage passe et me dit encore une fois son éternel « ne t’en fais pas Manu, ton plan sera prêt à l’heure » avec le sourire.
Putain, combien de fois, au début j’avais envie de lui foutre des coups.
Puis, je m’y suis habitué.
Tous ses clients avaient dû faire pareil. Obligés !
Ce mec, malgré tous ses défauts, pour ses clients, c’était l’ange Gabriel,
le dernier recours, la bouée de sauvetage avant le grand saut.
Il ne s’occupait que de cas « désespérés », genre Mère Theresa, les autres ne l’intéressaient pas. Ce mec était vraiment un spécimen à part, je n’ai jamais pu le classer. Il vous sortait des thèses apocalyptiques sur le « devenir » du monde.
Je l’aurai très bien vu moine ou bonze et se faire cramer.
La nuit, lorsque j’avais la chance de le voir arriver au bureau, il se transformait en bulldozer du boulot.
Le planning était des plus simples : Il se pointait vers 19/20h.
Au bureau, j’étais tout seul.
Je l’attendais avec de la bonne grosse bouffe pourrie de chez Quick.
Il y en avait un à 20 mètres de la Loco.
Pendant une demi-heure, on s’empiffrait de saloperies bien dégueux. Il adorait ça. Après, café. Heureusement que nous avions une machine qui, en plus, en faisait un excellent, car tout au long de la nuit nous allions nous en injecter une bonne dizaine chacun.
Donc, en bon assistant, avant son arrivée, je vérifiais deux choses, si je voulais que l’ambiance soit bonne et reste studieuse : Provision de dosettes et de clopes.
Il fumait un à deux paquets par nuit. Une vraie centrale à charbon.
J’étais, même s’il caillait, obligé d’ouvrir la fenêtre. Moi-même qui étais un fumeur, j’aurais été vite asphyxié si nous l’avions gardée fermée. L’interdiction de fumer n’avait plus court ces nuits-là. Nous étions en pleine illégalité…
Un jour ou plutôt une nuit, il avait manqué de cigarettes, je ne vous dis pas l’enfer !
N’ayant aucune compétence en compta, je ne pouvais que lui servir de boy. J’étais revenu plus de 35 ans en arrière. Mon rôle se cantonnait à l’aider (photocopieuse, scanner etc.), à le relancer dans le plan lorsqu’il commençait à mollir ou à partir dans une autre direction prosélytique, et à lui fournir clopes, bouffe, café.
En fin de nuit, vers 7h, nous étions genre zombie, à ramasser à la petite cuillère. Mon ultime mission, je devais rassembler tous les éléments qu’il avait pondus et les mettre en ordre.
Ça, je savais faire.
Je me souviendrais toute ma vie de l’élaboration de ce plan et après du deuxième avec Michigan.
C’est irracontable. Michigan, c’était E.T qui a vieilli, qui a 40 ans. Il venait vraiment d’une autre planète. Par contre les chiffres, il connaissait. Il savait les aligner et jongler avec.
Avec lui, malgré le stress de notre liquidation programmé, il était tellement « space », que j’attrapais des fous rire. Par moment, nous deux, c’était Buster Keaton et Charlot réunis. Nous avons passé de grands moments dans la déconne. Je ne souhaite pas les revivre mais ce fut malgré tout une expérience. Encore une.
Le redressement judiciaire et la liquidation quasi certaine qui s’annonçait m’ont fait connaître le côté « obscure » de l’aventure que vivent certains entrepreneurs.
J’avais, bien sûr le moral dans les égouts et je ne dormais plus. Ne plus dormir, cela faisait un bout de temps, mais rien à faire, on ne s’y habitue pas. Le plus difficile à gérer ce sont les pensées de suicide qui vous trottent dans la tête pendant de longues heures. Et toutes les nuits rebelote, les revoilà. En plus on baigne dans son jus, tellement on transpire. On transpire tellement que vos draps sont trempés. On ne peut s’imaginer cette douleur réelle que l’on doit supporter chaque nuit. On a envie de crier celle-ci et on se retient pour la cacher, pour essayer de donner le change à celle qui partage votre vie. Celle-ci n’est pas vraiment dupe car elle vit votre agitation, et surtout votre sudation.
Le matin, on se lève les jambes coupées et tout courbaturé, tout cassé. On met un long moment à chasser ses idées noires et à redevenir positif, prêt au combat. En quelques mois de ce régime, j’avais vieilli de 15 ans. Intérieurement, car extérieurement les gens ne se doutaient de rien.
A part Nadine, ma femme, personne ne savait ce que j’endurais toutes les nuits. L’apparence « winner », je devais la garder pour les autres, pour la galerie, employés ou relations alors que je n’y croyais plus du tout. J’étais un ex-winner qui avait une tonne de plomb dans les godasses.
Tous les soirs je voyais approcher le moment de me coucher avec horreur. J’emploie ce mot à bon escient, il n’est vraiment pas trop fort.
Putain, quelle fin d’aventure merdique. Dans mes pires cauchemars je n’aurais pu l’imaginer aussi lamentable. J’avais envisagé plusieurs scénarios, mais aucun aussi pourri.
Jamais je n’aurais pu envisager de tout perdre, comme ça, bouffé tout cru par des saloperies de vautours.
C’était l’éternelle histoire des vases communicants, mais là, nous, nous étions dans le mauvais sens.
Ils allaient nous aspirer le sang à pleines goulées.
Pendant que je tenais seul, je dis seul car Kelly avait littéralement disparu (j’aurais presque dû envoyer un avis de recherche) et Frédéric, lui dans la journée bossait encore, mais la nuit lorsque j’étais avec Michigan, il passait de temps en temps, style courant d’air en nous la souhaitant bonne (la nuit), je restais seul pour tenir « compagnie » et aider l’ami Michigan.
Denis avait pris les rênes, où ce qu’il en restait, en mains.
Il faisait tout ce qu’il pouvait pour faire tourner la boutique et faire rentrer de l’argent.
Comme notre gentil administrateur judiciaire ne voulait plus rien régler, à part les payes des employés, depuis grosso modo la fermeture administrative, cela nous mettait encore un peu plus dans le caca.
Lui, tranquillement, il continuait à se faire du lard sur notre dos.
En effet, pour la gestion courante nous ne pouvions que l’assumer avec le cash que nous encaissions sur les règlements.
La partie chèque ou CB allait directo sur notre compte en banque, dont nous n’avions plus la signature. L’administrateur pouvait le voir grossir en se disant que cet argent n’était pas perdu pour tout le monde et qu’il saurait, lui, le diriger dans la bonne direction. Toujours une histoire de flux.
Les gens réglant de plus en plus en CB, vous voyez le topo pour nos finances….
Partager la publication "CHRISTIAN MICHIGAN, le chevalier blanc n’a rien pu faire, c’était joué d’avance ( la loco, extrait 6)!"
Nous voila presque revenu en 1941.
En 1940 Pétain fait voter les lois de la spoliation des biens juifs.
En 1941 tout un système “d’aryanisation”, c’est un dire un système de spoliation des affaires juives.
Le CGQJ, commissariat général aux questions juives va s’occuper de tondre tout ce beau monde au profit des bons français.
47 000 dossiers seront ouverts et traités par des AP, administrateurs provisoires (les charognards de l’époque, ils sont encore là aujourd’hui).
Tous ces braves gens seront aidés dans leur mission sacrée par un appareil judiciaire aux ordres et qui ne trouvent rien à redire à ces vols.
Ils les favoriseront même.
Les forces de l’ordre, gendarmes et flics le doigts sur la couture du pantalon prêteront, sans état d’âme leur concours, même plus, à cette mascarade dévastatrice.
Même plus, quand il faudra arrêter les juifs pour les envoyer dans des camps, ils répondront présent: les ordres voyez-vous…
A Nuremberg ou à Jérusalem avec Eichmann, tous se serviront de la même “excuse” pour justifier l’injustifiable dont ils ont été les complices actifs.
En France, à la libération, tous ces salopards ont retourné leur veste et quasiment toute la population avait été dans la résistance.
Oublié Pétain, le sauveur de la France!
Je pense qu’il y a une similitude certaine entre 1940/1944 acceptée et agrée dans ses exactions par tous les hauts et petits fonctionnaires de toutes professions et la chasse aux soi disant “fraudeurs fiscaux” contemporains que l’on va piller “légalement” avec la complicité du Tribunal Administratif, de tous les fonctionnaires (toujours eux) et des charognards officiels.
A quand la nouvelle étoile?
N’oubliez pas le papier ci-dessous!
Partager la publication "Les juifs et les “fraudeurs fiscaux”…"
L’épidémie du coronavirus aura eu au moins un avantage : révéler aux Français la véritable nature du régime politique sous lequel ils vivent. Tant il est vrai que c’est en temps de crise que les caractères se montrent sous leur vrai jour.
Tout le monde a pu constater que la France s’est trouvée démunie de toute protection quand l’épidémie a commencé. Il n’y avait ni masques en réserve, ni tests, ni gel hydro-alcoolique. Si bien que le gouvernement, au lieu de dire la vérité et d’inciter les Français à se protéger par des moyens de fortune en attendant l’arrivée des matériels commandés, a cru bon de proclamer l’inutilité des dits matériels, dont on a pu se demander alors pourquoi l’Etat en avait soudain tant commandé !
Le gouvernement n’a pas davantage donné consigne aux établissements pour personnes âgées de prendre toutes les précautions nécessaires pour éviter la mise en danger de leurs résidents, particulièrement fragiles face à ce virus. Et ce fut un massacre !
Puis au lieu de mobiliser le corps de bataille essentiel représenté par les cent mille médecins généralistes et de les laisser accomplir leur mission conformément à leur déontologie et notamment au serment d’Hippocrate, qu’ils prononcent tous au début de leur exercice, le gouvernement leur a interdit la prescription d’un médicament sans danger qu’utilisait avec succès le professeur Raoult. Il appartenait aux médecins, et non au pouvoir politique, de vérifier l’efficacité de ce remède, ou d’en essayer d’autres, ce que certains ont fait avant d’être poursuivis par le conseil de l’Ordre !
Cette dramatique erreur de stratégie a obligé le gouvernement, pris de panique devant l’extension de l’épidémie, à confiner brutalement la population, ce qui a détruit l’économie d’un pays déjà fort mal en point à cet égard en raison des prélèvements délirants de l’Etat. Infliger un tel traitement à un patient affaibli est un terrible aveu d’incompétence et d’impéritie de la part des pouvoirs publics.
Et voilà qu’au moment où le gouvernement en appelle à la reprise de l’activité, il se lance dans une folle politique d’obligation du port du masque à l’extérieur, alors qu’aucun scientifique n’y voit la moindre utilité. Des messages aussi contradictoires ne peuvent qu’inquiéter la population et la dissuader de reprendre une vie normale.
L’obligation du masque s’accompagne d’une répression policière que le pays n’a pas connue à ce degré dans son histoire.
Comment ne pas conclure de ce tableau d’ensemble que la France est gouvernée par des incapables imprégnés d’une vision autoritaire de la société, au mépris d’une tradition démocratique issue de la Révolution et de la déclaration des droits de l’homme.
Pour dire les choses franchement, des millions de Français se doutaient de ce terrible constat, mais n’osaient pas toujours le formuler, craignant qu’on ne leur rie au nez. Je me souviens de cet excellent journaliste du Figaro qui, au terme d’une émission de radio, il y a une quinzaine d’années, m’avait amicalement interpellé en ces termes : « Ainsi, Claude Reichman peut déclarer que nous vivons en dictature ? » Je lui avais simplement répondu : « Oui ! »
La dérive autoritaire du pouvoir va se poursuivre et s’aggraver au rythme de ses échecs et de son impuissance. Depuis de longs mois, il n’est plus protégé que par les policiers et les gendarmes. C’est une bien insuffisante égide face à un peuple que la colère gagne.
Des événements graves vont se produire en France. Seul un président digne de ce nom pourrait les empêcher. Nous ne l’avons pas et rien ne dit que la République en possède un en réserve. Cela nous oblige à compter sur le peuple, et chacun sur soi.
Le spectacle de la vie publique et des réseaux sociaux ne laisse pas d’inquiéter. C’est à cela que pensait le général de Gaulle quand il évoquait ces moments où « le peuple s’abandonne ». Mais il se voyait aussi comme un « vieil homme recru d’épreuves, mais jamais las de guetter dans l’ombre la lueur de l’espérance ».
Voyez-vous, ce qui serait bien, c’est que nous nous retrouvions un jour prochain à un million sur les Champs-Elysées. En criant certes « Vive la France ! » Mais aussi « Vive la liberté ! »
Claude Reichman
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Sa tête de gondole est Mr Mélenchon, le Maduro français qui prône une rupture complète avec le capitalisme « sauvage », qui pourtant le nourrit, avec ses émoluments plantureux dont il ne parle guère, et qui l’équipe aussi, car sans capitalisme, pas beaucoup de choses à bas coût disponible parmi tout son quotidien.
Le capitalisme « sauvage » qu’il évoque est en fait un autre de connivence dont il fait partie. Celui qui n’est pas autre chose qu’une entente entre la politique et les savoir-faire, et dénonce alors le marché en pur concurrence, car ils, eux, on le déroute vers des rivières de travail de laborieux pour servir des ruisseaux, ou si vous préférez, des Sprinklers à pognon pour une élite qui tient la matrice avec sa batterie de soldats, les fonctionnaires, la bureaucratie.
Cela ne suffit pas à Mr Mélenchon : Car il s’agit pour lui de répliquer des modèles collectivistes qui ont échoués, systématiquement, dans toute l’histoire de l’humanité. Nous pensions être guéris de ce syndrome de Stockholm à la chute du Mur de Berlin, mais non, le conservatoire du régime de Vichy perdure décidément parmi l’Armor et l’Argoat de nos territoires malgré tout.
La faute de cet état de fait incombe à l’EdNat : Cet état dans l’Etat qui fabrique des élèves en batteries, des poulets qui vont pondre des œufs au profit de ladite Matrice. Une prise de pouvoir qui a appelé VGE puis Mitterrand et s’ensuive.
Mr Mélenchon l’a parfaitement compris et s’aligne sur ces légions de désespérés sans futur pour les capter, mais aussi sur un No Man’s Land des banlieues de métropoles et disséminées ailleurs dans le Landerneau des villages.
Mr Mélenchon est un con intellectuel fini, qui représente un danger absolu pour notre démocratie, si tant est qu’elle existe encore. Le fait que nos micros mous des médias puissent lui donner encore la parole n’est pas une objection, mais une subjection militante, gardienne du temple si vous préférez. En contrepartie, vous n’aurez jamais la même audience avec de vrais Libéraux.
La France soumise
Le « Couillanavirus » est un bon exemple. La population se teste, se méfie. Les femmes regardent beaucoup plus dans les yeux des hommes car leurs atours de maquillage disparaissent sous leurs masques. Le lien social de la rencontre de la vie ou d’une vie s’efface par des Burqas improvisées mais rendues obligatoires.
Nos gilets jaunes étaient pauvres avant cet événement surgi dans leur quotidien. Ils vont encore devenir plus pauvres ensuite, et plus nombreux dans le registre.
La violence, l’incivilité prospèrent. Les « sauvageons » de la Novlangue de Mr Chevènement deviennent hors de contrôle.
Sur les routes, je n’ai jamais roulé aussi vite. Les « Keufs » sont aux abonnés absents. Leurs radars fixes sont vampirisés.
En fait, j’ai un peu l’impression d’être plongé dans l’univers d’« Atlas Shrugged ». Un délitement lancinant d’une société d’hommes comme tant d’autres qui ont fini par disparaître par le collectivisme, toujours et encore.
Mais comme le cite Emmanuel Todd : « En bas l’intelligence progresse, tout comme le taux de diplômés en haut ».
Ceci veut dire, à mon sens, que des intelligents exclus ou restant délibérément en bas travaillent à renverser la table bientôt.
Nous verrons bien, mais comme se conclut souvent les articles de H16 : « This will not end well ».
Bien à vous
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Au commencement de la perte de contrôle il y a une diarrhée législative et réglementaire qui touche toute la société.
Elle est ordonnée par et au profit d’une poignée de manipulateurs pervers dissimulés derrière l’idée de démocratie.
La perversion tient au manque d’information des votants où aux informations falsifiées qui leurs sont distillées à longueur de journée, qui évidemment faussent la sincérité indispensable à la qualité du vote.
Situation le plus souvent générée par ceux-là même qui reprochent au marché libre d’être injuste du seul fait que tous n’ont pas le même accès aux informations du dit marché. C’est amusant cette dichotomie….
En ce qui me concerne personnellement, plus particulièrement trois secteurs législatifs spécifiques : le Code Fiscal, le Code de la route et le code de l’urbanisme, me nuisent gravement par leurs démentes abondances et incohérences.
Je parle le plus souvent de ceux-là étant, comme tout un chacun, enclin à dire des conneries sur les sujets que je ne connais pas très bien. Ce qui ne veut pas dire que je ne puisse pas en dire sur ceux que je connais, mais là au moins je peux être utile et éventuellement évoluer si c’est nécessaire.
Cette surabondance législative ou réglementaire transforme ceux qui sont chargés de la faire appliquer en harceleurs vis-à-vis de ceux qui sont censés l’appliquer.
Ce harcèlement prend, jour après jour, des proportions insondables et mortifères, au point que l’on se voit obliger d’aller frapper à la porte de la justice pour y voir plus clair.
Et là surprise, de harcelés on devient procéduriers si l’on en croit ce que les magistrats vous assènent, en règle générale à votre grand étonnement.
— Moi, procédurier ? Mais M. le Juge, je ne viens que chercher la vérité, prouver ma bonne foi.
— Passez votre chemin, ne venez pas encombrer les prétoires, nous avons autre chose à faire que nous pencher sur vos petits embarras.
— Mais ma vie est en jeu, mes biens, ma famille, mon travail, ma santé…
— Et alors. En quoi sommes-nous concernés ?
— Mais vous représentez la justice, à laquelle je crois.
— Continuez à croire ce que vous voulez et foutez-nous la paix, nous réfléchissons à construire une société parfaite, comme nous. Vous pouvez comprendre cela ?
— Non, pas vraiment…
Le quiproquo est lancé, que faire, que penser ?
La justice.
Elle reflète bien sûr la société au profit de laquelle elle s’exerce, indépendamment de la personnalité des magistrats et des justiciables.
Dans notre société d’opportunité, de connivence, de haines catégorielles et de vengeances personnelles, la justice exacerbe, caricature, ces attitudes.
Pourrait-il en être autrement ? Oui dans l’absolu, la justice pourrait être indépendante, représentative des grands principes et de l’universel.
Non dans la réalité, les grands principes et l’universel étant évolutifs en fonction des croyances.
Non aussi parce que contrairement à ce qu’elle s’imagine être, la justice ne dépasse pas le pouvoir qu’elle sert ou qu’elle croit devoir servir.
Nous sommes dans le monde des hommes, pas dans le monde des dieux ou des demi-dieux.
Donc pas de grande justice, juste des tribunaux, boutiques de la “conflitude”, au service du pouvoir, outils de la soumission.
Les conséquences
Notre justice se fout totalement d’être juste.
La recherche de la vérité est le dernier de ses soucis. Comment espérer la justice sans la traque de la vérité ?
Là est le problème, et je vais vous en faire la démonstration factuelle.
L’exemple. Il est un peu long et peut-être fastidieux, comme le sont toujours les aventures du voisin. Mais pour ceux qu’un sujet intéresse, un exemple en grandeur nature est essentiel. Alors pardon à ceux qui vont abandonner la lecture en cours de route, ils ont raison sans doute. Courage à ceux qui vont continuer.
Nous sommes dans une copropriété, dans laquelle je suis en conflit avec certains copropriétaires, qui n’ont jamais eu le souci de l’immeuble, mais uniquement celui de leur investissement, plus la petite idée derrière la tête de me déposséder des invendus à vil prix. Car la crise du début des années 1990 a généré des invendus importants, plus importants que ma surface financière.
Cela se passe dans l’île de Ré qui, dans le même temps, se mettait à faire la une des journaux, donc l’objet de convoitises.
Ces copropriétaires se sont acoquinés avec le syndic.
Les syndics sont toujours prêts à jouer les conflits entre copropriétaires pour assoir leur pouvoir et pérenniser leurs inutiles honoraires. Car les syndics – majoritairement — ne foutent rien, ils se contentent d’intriguer dans le dos des copropriétés avec le conseil syndical, auquel seuls les culottés osent se présenter.
De fait, le copropriétaire de base est victime d’un semblant de démocratie.
Souvent non initié, il ne lui reste plus qu’à payer ses charges sans trop savoir pourquoi et à voter comme tout le monde s’il ne veut pas que les autres copropriétaires lui tournent le dos, lui rendant la vie impossible dans l’immeuble.
Donc, attaché à la bonne marche de cette copropriété, que j’ai bâtie à La Flotte en Ré, je suis depuis des années en conflit avec ses naufrageurs.
D’abord à usage hôtelier, ce petit village piéton de 92 maisons, a subi le vol de sa clientèle par les gérants successifs. J’ai perdu la lutte contre eux.
Ensuite la copropriété m’a fait un procès pour parking inondable, en remplissant régulièrement le parking avec l’eau du réseau pour faire croire à cette farce. Aujourd’hui, sans aucuns travaux supplémentaires, ce parking n’est plus inondable !!!
Je comprends que tout cela puisse paraître louche, tellement c’est énorme.
Ces énormités qui s’imposent par leur seule masse, leur incroyable culot, sont justement le problème essentiel de notre société, en toute chose.
Donc en fait rien que de très banal.
Tout cela pour en arriver au fait qu’à l’occasion d’une AG en Mars 2019, des dispositions sont prises à la majorité, elles sont aberrantes.
Je suis empêché de parler lors de cette AG, comme à chaque AG, je quitte donc la salle, devant tous car je suis au premier rang, après avoir tenté de m’exprimer sans succès.
Je ne demande pas au Président de séance d’acter mon départ.
La copropriété me compte comme présent jusqu’à la fin de l’AG et utilise mon vote positivement pour un projet que j’ai contesté, ce que nul n’ignore.
Nous arrivons au nœud d’intérêt.
Devant le tribunal je dénonce l’AG illégale, le conseil syndical se défend en prétendant que je ne peux pas contester puisque, n’ayant pas déclaré mon départ, j’ai été compté comme votant positivement toutes les résolutions de l’AG.
Mais, j’ai un témoin, mon neveu, lui aussi propriétaire, qui est resté à l’AG et rapporte ce qui s’est passé.
Ce qu’a fait de tout cela un magistrat de La Rochelle.
Pour faire face au témoignage de mon neveu qui prouvait mon départ de l’AG et donc ma capacité à ester en justice sur le sujet, le syndicat des copropriétaires a fourni le faux témoignage d’une copropriétaire, Madame Durand, épouse d’un dentiste de Cholet. La dame Durand prétendant que mon neveu confond dans son témoignage deux assemblées générales. Nous amenons alors la preuve qu’il n’était présent qu’à une, et absent à l’autre. Comment confondre deux choses alors qu’une nous est inconnue.
Ce faux était faux, mais en plus absurde.
Enfin, les dernières conclusions du syndic le 4 Mars 2020 sont carrément diffamatoires.
Le magistrat en charge du dossier a clos immédiatement la mise en état le 5 Mars 2020. Donc il nous interdit de répondre à cette diffamation, que voici :
Comment la dame Durand peut-elle instiller un doute sur la rectitude intellectuelle de mon neveu et la mienne, évidemment sans pour autant affirmer que j’étais présent puisqu’elle sait parfaitement que j’étais absent ? Et surtout comment le magistrat peut-il se contenter de cette merde et me refuser le droit d’y répondre, tout cela pour prétendre qu’étant réputé présent – ce qu’il sait parfaitement faux – je n’ai pas le droit de contester en justice cette AG ?
Les morceaux choisis :Pas mal. On remarque qu’en réalité l’attestation de Durand ne dit pas que l’attestation de mon neveu est mensongère en ce qui concerne mon départ de l’AG, elle prétend juste qu’il mélange deux assemblées générales. C’est donc le magistrat, et lui seul, sans contre témoignage réel, qui prend personnellement la responsabilité d’affirmer que je dois être considéré comme présent. Il déclare le témoignage de mon neveu faux, sans aucun contre témoignage réel. Juste sur l’idée qu’il serait malhonnête et de connivence avec moi, sans aucune preuve à ce sujet. C’est de la diffamation pure et dure. De la part d’un magistrat…
Plus loin :Puis encore :Le mot est lâché : “relations… procédurières”
Et enfin :Ici, la doctrine qui rend esclave sans billet de retour.
La justice ne peut aller contre une majorité dite démocratique. Le monde appartient à celui qui recueille le plus de voix.
Les résolutions sont illégales sur le fond ? Peu importe puisqu’elles ont été prises par la majorité et qu’elles sont valables dans la forme – enfin…, si on veut —
C’est cette doxa qui rend inutile toute procédure lancée contre un élu qui a acheté ses voix avec votre argent, obtenant ainsi l’onction démocratique.
Ici se trouve l’explication de l’échec de la justice, son refus de chercher la vérité, le juste, de simplement entériner les décisions de la majorité.
La majorité c’est l’impunité, on comprend mieux pourquoi elle attire tout particulièrement les escrocs.
Nous ne sommes pas dans un état de droit, mais dans un état de connivences judiciaires avec la majorité, ou son idée. C’est ce qui choque si violemment.
Voilà ce que je voulais vous dire. Je crois cette explication fondamentale, et je vous prie de bien vouloir m’excuser pour la longueur du développement.
Bien à vous. H. Dumas
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Hier, le 25 août 2020 ce blog unique, unique car Henri est le seul à dénoncer les abus “légaux” de Bercy, ce blog, unique donc, dans son genre a atteint depuis son ouverture 1 000 000 de vues.
Ce blog devrait être considéré comme d'”utilité publique”.
Il est certainement plus d’utilité publique que 90% des machines à gaz crées de toutes pièces par nos énarques.
Le temps est lent mais il travaille pour nous.
Chaque “fraudeur” ou plutôt abusé fiscal comprend enfin ce qu’est la machine infernale Bercy et rejoint le clan des tondus et devient, sans oser le dire (peur de la terreur cultivée par Bercy) un opposant à la grande faucheuse.
Ce blog a environ entre 400 et 600 lecteurs quotidiens en moyenne.
Tout abusé fiscal l’a consulté et dans sa détresse a compris que son cas n’était pas isolé.
Ce blog est une bouffée d’oxygène pour ceux que le fisc noie.
La charte du contribuable pondu par Bercy est une vaste blague concoctée pour abuser le contribuable et essayer de donner un vernis de combat loyal entre celui-ci et les agents du fisc.
Il n’en est rien, Bercy étant juge est partie (encore une exception française que le monde entier nous envie), il peut tout vous voler en deux /trois mouvements en émettant ces fameuses et imparables “lettres de cachet” sans que vous ne puissiez rien faire sauf à mettre des emplâtres (coûteuses) sur une jambes de bois qui ne serviront à rien.
L’expérience nous a malheureusement appris, (nous nous en serions bien passés) que tout l’appareil judiciaire est à 90% d’accord avec la persécution et la répression initiées par Bercy.
En 1941, ce même appareil judiciaire n’avait il pas en “toute légalité” aryanisé, pour les piller, les biens des juifs sans aucun remords…
Tout le monde s’était bien enrichi.
Ceux qui nous persécutent actuellement doivent être leurs descendants!
Il n’empêche, n’en déplaise au syndicat des tondeurs, ce blog est un succès et nous apportons notre, nos pierres, à l’édifice de la Liberté et nous en sommes tous fiers.
Merci à tous ceux qui ont le courage, et il en faut pour vaincre la terreur fiscale, merci donc à tous ceux qui écrivent sur ce blog.
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Le pillage de l’autre est la base naturelle de la condition humaine. Avant même d’arracher à la nature sa pitance, son substrat, l’homme essaie de les voler à son voisin.
La plupart des civilisations tentent d’organiser ce pillage naturel, avec des succès mitigés.
Toujours pour des raisons de facilité, l’homme pille en premier dans son milieu, là où il possède le plus d’informations pour organiser son pillage.
C’est ainsi que le pillage est en principe d’abord familial ou amical, puis corporatif ou professionnel, initialement local, puis régional, national et finalement mondial pour ceux qui en ont les moyens.
La réponse sociétale sont les règles du droit de la famille, les règles de la concurrence, les règles hiérarchiques de la fonction publique, les règles des échanges mondiaux, etc… toutes ces règles n’ayant pas la prétention d’éradiquer le pillage, mais simplement de le civiliser, de l’organiser de telle sorte qu’il paraisse légal. Elles évitent qu’à chaque pillage surgisse en réaction la violence.
Ces règles n’ont qu’un seul but : éviter un état de guerre constant fragilisant la condition humaine, la ramenant au niveau de l’animal — ce qui pourtant est très facile et toujours latent –.
Nous naviguons donc toute notre vie dans un espace où le pillage est la norme, où il répond à certaines règles, plus ou moins acceptées.
Lorsque les règles sont largement acceptées, nous sommes en paix. Cela n’évite pas que les pilleurs soient évidemment plus favorisés que les pillés, mais dans la mesure où l’acceptation des règles du pillage est réelle, la chose parait normale, d’ailleurs finalement — vue notre animalité profonde — c’est effectivement un succès.
A terme, le pillage canalisé génère le capital, en toute chose, et donc in fine le progrès toujours issu de la capitalisation ; elle est définie comme l’accumulation suivie de la transmission, que ce soit en science, en philosophie, en technique, en art, etc… aussi, bien sûr, en économie.
Ceci posé, nous allons nous intéresser aux dérapages du pillage.
C’est-à-dire quand les règles du pillage ne rencontrent plus l’acceptation, quand le pillage s’impose par la force.
Plus précisément nous allons évoquer cette situation en économie.
L’exemple historique le plus étudié du fait de son recul, mais cependant le plus proche, est le pillage des juifs parallèle à la guerre de 1940.
A cet effet je me permets de vous conseiller, une nouvelle fois, la lecture de l’ouvrage de Philippe VERHEYDE ” Les mauvais comptes de Vichy”.
En 1930, la crise de 1929 et ses dégâts matériels et psychologiques vont imposer la recherche d’un bouc-émissaire. Les juifs, population sans pays, sont amenés à se soucier un peu plus que les autres de leur sécurité matérielle du fait de cette particularité. Ils traversent mieux la crise économique. Ils seront les boucs-émissaires.
Jusqu’à ce que les allemands, totalement ruinés, s’autorisent à les piller en mettant à la tête de leur pays un allumé pour remplir cette mission.
La France, qui n’en pense pas moins, va — après avoir été battue en un éclair et avoir vu de ce fait ses règles de “pillages-polis” anéanties — installer avec gourmandise l’aryanisation des entreprises juives. Donc le pillage guerrier, par la force.
Alors, vont sortir du bois les pilleurs violents qui se planquaient jusque-là, ils vont envahir les outils mis à leur disposition pour voler sans scrupule, sans discrétion, les biens de ceux qu’ils auront au préalable qualifié de “sous-hommes”. La loi — plus tous les hommes et les outils qui la servent — se mettra à la disposition des pillards.
Le succès sera total, difficile mais total. Les juifs se battront avec leurs moyens, la logique et la mesure, aussi la ruse, mais face à la force ils perdront leurs biens et leurs vies.
Tout ce que l’humanité compte de crapuleux va s’épanouir, les jaloux vont se venger, les véreux vont se renier sans fin, les intrigues vont largement prendre le dessus sur l’efficacité. L’économie va s’effondrer, car il ne suffit pas de piller, encore faut-il le faire sans perdre de vue un objectif sain et une correction minimum. En économie comme ailleurs : il faut piller sans détruire. C’est l’exploit des sociétés avancées !!!
Ainsi tout le monde y trouve son compte… ou le croit.
Les pillages purs et durs de 1940 sont considérés comme des accidents – ce n’est pas ma pensée, mais ma pensée n’a que bien peu d’importance –.
En effet, je pense que l’accident c’est le pillage “zen” des sociétés en paix, et que le pillage violent des sociétés en guerre est la règle, au moins rêvée — si ce n’est appliquée — par la majorité.
Le pillage actuel basé sur l’égalité.
Il n’est pas douteux. Ici le juif est remplacé par le “fraudeur fiscal”, dont la définition est laissée à l’appréciation de chacun.
Le principe est le même, il s’agit de pouvoir accuser le possédant d’une tare sociétale inacceptable, qui permet de le sanctionner, la sanction prenant la forme de la dépossession de ses biens.
La tare sociétale c’est : une atteinte au principe égalitariste, c’est-à-dire au jugement arbitraire de ce que chacun doit posséder, le surplus ouvrant un droit de pillage. La qualification de fraude fiscale n’a pour objet que de légitimer l’accusation, elle est rarement consommée et majoritairement invérifiable.
Ce pillage étatique, instauré à l’aide d’une propagande constante, est exemplaire, il séduit la majorité, il est donc imité en divers endroits.
Nous en arrivons à l’huissier Patricia GIMENEZ
Cet état d’esprit, et ce pillage égalitaire qui a bonne conscience, trouvent à s’appliquer par l’intermédiaire de l’administration, avec la connivence des hommes de l’Etat, à l’échelle du pays. Mais aussi, plus modeste mais non moins révoltant, à des échelles de proximité multiples.
Je vais évoquer une organisation que beaucoup connaissent : les syndicats de copropriété.
Je rabâche mais, le fisc ayant bloqué tous mes avoirs depuis quinze ans, ma trésorerie est la plupart du temps en panne sèche.
Dans les copropriétés où je possède des biens, j’ai toutes les peines du monde à régler régulièrement les charges. Je m’efforce de vendre, quand le marché le permet, un lot pour payer les passifs accumulés et notamment les charges de copropriété.
L’assèchement indu de ma trésorerie par le fisc a des incidences fortes, directement sur ma vie proche de la misère, mais aussi sur mes biens que je ne peux pas entretenir et qui évidemment perdent en valeur absolue et en pouvoir locatif.
Les autres copropriétaires le savent. Tels les vautours, ils attendent ma faiblesse totale en espérant profiter des opportunités que cela pourrait leur occasionner.
Mieux, ils essaient d’accentuer la chute. Inutile d’imaginer aide ou compassion de leur part.
En tête le syndic de copropriété, généralement il est parallèlement agent immobilier, les opportunités : c’est le miel de son métier.
Plus il sera violent contre le payeur copropriétaire qui faillit, plus il justifiera les honoraires exorbitants qu’il facture à la copropriété pour rien foutre.
Il est donc gagnant sur tous les tableaux. Son énergie est stupéfiante, c’est : lettres recommandées régulières, comme s’il ne vous connaissait pas. Alors que vous l’avez mis en place, qu’il y a vingt cinq ans que vous payez régulièrement vos charges et qu’il n’ignore rien de votre injuste situation fiscale.
Vient ensuite ses deux cerbères : l’huissier et l’avocat, le premier doit être évidemment autiste, enfin c’est une image, je veux dire qu’il ne doit rien voir d’autre que ses obsessionnelles poursuites. L’avocat lui va vous défoncer avec délectation.
L’huissier Patricia Gimenez, qui m’inspire ce billet, est une personne fermée, automate et véritable Stakhanov de l’assignation et de la saisie. Une machine bien huilée pour le pillage égalitaire.
Mais, dans le cas que j’évoque dans ce billet, l’huissier ne serait rien sans le juge.
Donc, in fine, le juge
C’est lui le grand ordonnateur du pillage. C’est vers lui que l’on se retourne quand, face au pillage, on espère la justice.
En effet, pensant démontrer ma bonne foi, m’appuyant sur la mise en vente d’un appartement pour payer les charges, expliquant les entraves fiscales injustes dont je suis l’objet, je suis allé devant le juge.
Alors, je vous le dis : le juge s’en fou.
Par principe il donne raison à la meute, il dirige le pouce vers le bas, ce sera la mise à mort.
La crème de la crème :
Mais le juge ne fait pas que s’en foutre. Tout ça l’emmerde, et il le fait savoir.
Aller devant la justice française n’est pas un droit, contrairement à ce que vous avez peut-être entendu dire. C’est une faveur, cette faveur à un prix, elle peut être accompagnée d’une facture salée.
Les magistrats vous reçoivent à contre cœur. Il paraîtrait qu’ils ont beaucoup de choses à faire, bien plus importantes que de recevoir des justiciables.
Ainsi, lorsqu’ils décident que vous avez tort, il vous colle une espèce d’amende pour les avoir dérangés. Ils appellent ça l’article 700, si je ne m’abuse. Cette amende prend la forme d’un cadeau à votre adversaire.
Ainsi dans l’affaire que je vous expose, l’huissier Patricia Gimenez me poursuit, non pas pour les charges de copropriété que j’ai payées, mais pour le fameux article 700, dont le montant ici est de 10.000 €, quand même.
Ainsi donc mes voisins copropriétaires vont, sans état d’âme, ajouter à la dette que j’ai payée, une somme artificiellement fabriquée par un juge que j’ai dérangé et une justice qui assomme pour ne pas être importunée : soit 10.000€.
Un loto gagnant en quelque sorte ce pillage. Ils engagent la récolte de ce cadeau avec violence, à travers l’ineffable Patricia Gimenez, toujours en pensant qu’ils vont me faire basculer et profiter d’opportunités à cette occasion. Donc, saisie des loyers, menaces, etc… encore la totale.
C’est pas beau la vie ? L’humanité ? Les voisins ? Les juges ? Les huissiers ?
Mieux vaut en plaisanter. Bien à vous. H. Dumas
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Depuis mon dernier article (Quand le monde s’est enrhumé !), j’ai découvert ceci : voilà qu’en plus d’être un vieux climatosceptique parfaitement indécrottable, je me découvre, et au moins tout autant, un véritable masquoseptique ! Bon ! Allez, après de pareilles tares, prétendre briller dans les salons, ou tout au moins vous faire accepter par la plupart des sociétés humaines !
Climatoseptique ? Hé oui ! J’aime trop les histoires de Viking pour oublier que certains d’entre eux ont cultivé du blé et même élevé des vaches sur les rivages du Groenland, il n’y a pas si longtemps que cela. Et tant d’autres anecdotes, que je m’épargne car elles ne sont pas mon sujet du jour.
Masquoseptique ? Il semble bien qu’il y ait encore aujourd’hui des personnes sensées à ne pas avoir compris cela : il y a le même rapport de taille entre une nanoparticule (les virus sont des nanoparticules) et les « mailles » de vos filtres que celui qui existe entre un moustique et un grillage. Et c’est un fait acquis que les grillages ne sont pas vraiment des moyens de protection efficace contre les moustiques…
Masquoseptique ? Bien sûr ! si les virus se rient des masques, ce n’est pas du tout le cas des microbes, beaucoup plus volumineux, qui y restent prisonniers. C’est donc qu’un masque est une véritable culture microbienne en ébullition, un risque réel pour son porteur inconscient !
Masquoseptique ? Encore oui, puisque pour le moment, l’épidémie est suspendue, et le virus quasiment inoffensif. Voilà la vérité, tout le reste n’est que propagande.
Et si cette situation venait à changer, la preuve est faite, le traitement existe : le combat des braves gens ne devrait pas être de se soumettre complaisamment aux diktats de nos dictateurs, mais de contraindre ces derniers à lever les interdictions stupides qu’ils maintiennent contre tout bon sens, de l’usage raisonné de la chloroquine.
Bon, tant pis si je vous fâche, masquoseptique je suis, masquoseptique j’entends rester, et ne porte ce déguisement ridicule qu’à contrecœur, contraint et forcé par une tyrannie que je trouve chaque jour un peu plus insupportable.
C’est qu’en fait, je le confesse, ma situation est aggravée par le fait qu’en plus d’être masquoseptique, je suis naturellement masquophobe.
En effet, dans un monde de masques, je me trouve projeté en grande solitude : parfaitement sourd à de nombreuses fréquences sonores, et pas si doué que cela pour les autres, je viens de découvrir à quel point j’ai pris l’habitude de lire sur les lèvres ! Dans une conversation, le plus souvent, ma surdité ne se remarque pas (par moi, y compris). En revanche, si vous me parlez masqué, je ne comprends à peu près rien de ce que vous me dites. Horrible !
Et puisque j’en suis à vous confier mes misères physiques, en voici une autre : je suis sujet à des crises d’asthme qui peuvent me laisser à genoux. Je pense que tous les asthmatiques en conviendront avec moi : le masque et l’asthme ne font pas bon ménage. En tout cas pas pour moi. Je ne porte pas le masque depuis trois minutes que je commence à me sentir très inconfortable.
Dans un autre article prémonitoire, à propos du virus que je m’obstine à qualifier de chinois, j’avais d’ailleurs noté : « Confinement : en sortirai–je vivant ? »
Eh bien, pour tout vous dire, dans un monde de masques privé de chloroquine, j’en suis de moins en moins sûr… Et vous, qu’en pensez – vous ?
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Pour l’instant, la France est en vacances mais le pouvoir redoute un déferlement de mécontentement à la rentrée lorsque l’immensité du désastre va se révéler au grand jour ; avec la disparition de beaucoup d’entreprises malgré les promesses du gouvernement et les garanties de l’Etat à travers le PGE (prêt garanti par l’Etat qui n’est pas si facile à obtenir d’ailleurs) avec un cortège de plans sociaux et de licenciements que le système du chômage partiel ne pourra pas endiguer très longtemps !
Car, on ne peut pas bloquer toute l’économie d’un pays pendant des mois … sans qu’il y ait quelques dégâts collatéraux plus ou moins contrôlables à la clé !
Or, il ne faut jamais oublier que le pouvoir, quel qu’il soit, est toujours dans le calcul et dans la préméditation et il redoute que la population, mécontente, en arrive à des extrémités à côté desquels les manifestations des gilets jaunes pourraient n’être qu’un simple amusement !
Et quoi de mieux pour éviter la révolte que de contraindre cette population, par la peur et les menaces, à rester chez elle et à éviter les contacts tandis qu’on nous parle sans arrêt de deuxième vague ; à tel point que beaucoup sont d’ores et déjà persuadés qu’il s’agit essentiellement de l’utilisation par l’Etat fonctionnaire de l’épidémie à des fins de contrôle de la population.
Le monde semble évoluer vers une société 3.0 dans laquelle il n’y a plus de contacts personnels, plus de réunions, plus de fêtes, où la méfiance généralisée, de tout et de tout le monde, et la peur deviennent la règle de conduite.
Au Japon, pays où il y a l’un des plus forts taux de suicides au monde, une partie de la population vit d’ores et déjà cloitrée chez elle coupée du monde. L’isolement et la peur ont fini par y créer des inadaptés sociaux, agoraphobes qui se réfugient dans un monde artificiel avec des dégâts irrémédiables !
Est-ce vraiment cela que nous voulons ?
Il faut dire que l’administration s’en donne à cœur joie, avec des règlementations tous azimuts dans tous les domaines, des règles absurdes mais obligatoires et des amendes ; tout en agitant sans cesse le risque de la deuxième vague à travers l’utilisation médiatique des « nouveaux cas » en faisant d’ailleurs un peu facilement un amalgame ou une confusion entre cas et décès.
L’hypothèse selon laquelle l’épidémie poursuivrait en fait son expansion mondiale et que l’administration n’y peut rien ou presque ne semble pas envisagée …
En fait, le fonctionnaire confond édiction de normes et efficacité et, dans ce cadre d’action, il va édicter un trop plein de normes par peur de ne pas avoir été efficace ; la sur-normalisation étant assimilée dans son esprit à l’efficacité avec un effet obtenu finalement exactement l’inverse de celui recherché car soit la population accepte cette tutelle lénifiante et déresponsabilisante et devient une masse apathique qui attend tout de l’Etat soit la population en vient à contester plus ou moins violemment ces règles.
Le port du masque, dont il a été dit au départ par les autorités qu’il était totalement inutile et devenu par la magie de la communication politique absolument obligatoire en est l’emblème le plus évident !
Et, comme le fonctionnaire agit toujours dans le même cadre de pensée, il fait la même chose en matière économique ; Bruno Le Maire, devenu le ministre de la relance, qui multiplie les annonces spectaculaires en est devenu l’exemple essentiel jusqu’à la caricature !
Seulement, en y regardant de plus près on s’aperçoit que cette « stratégie » présente un certain nombre d’insuffisances :
– asséner des milliards € de subventions dans tous les sens sans but réel autre que de faire croire à une action décisive de l’Etat fonctionnaire n’aura pas d’autre effet que d’épuiser les ressources du pays sans effet notable sur l’économie,
– habituer les agents économiques à l’argent gratuit constitue un engrenage dont il est difficile, pour ne pas dire impossible, ensuite de sortir, il n’est qu’à observer ce qui se passe en matière d’aides sociales …
– prêter en masse de l’argent à des entreprises aboutit essentiellement à créer … des dettes car, à la différence des Etats, les entreprises devront rembourser ces prêts tandis que l’émission monétaire de la BCE est immobilisée dans les comptes de cette dernière et ses créances à l’encontre des Etat gelées. Clairement, les emprunts souscrits ne sont pas du chiffre d’affaires ou du bénéfice ; ce sont des dettes !
-distribuer en abondance de l’argent qu’on n’a pas, aboutit essentiellement à fausser le marché et à maintenir ou même développer des entreprises zombies c’est à dire des entreprises qui ne survivent que grâce à l’argent gratuit et à la connivence avec les services de l’Etat ; mais vous me direz il faut bien quand même en sauver quelques-unes pour sauver l’emploi !
-l’Etat fonctionnaire ne remet à aucun moment en question la structure administrative et fiscale si pesante qui a fait tant de mal même s’il annonce un légère diminution des impôts sur la production (taxes diverses sur le Chiffre d’affaires qui ne sont pas en corrélation avec le bénéfice) ; bien au contraire, il augmente les contraintes !
D’une manière plus générale, ce nouveau monde 3.0 constitue une évolution inquiétante des précédentes expériences qui ont mené aux taux bas négatifs complètement manipulés, à une épargne massacrée et pouvant être saisie à tout instant pour renflouer des finances publiques qui n’ont de finances que le nom, à une théorie monétaire moderne qui prétend que la dette n’est plus un problème, à des banques centrales qui fixent, au-delà de toute logique économique, les prix des actions et obligations.
Et nous voici désormais avec l’immixtion de l’Etat fonctionnaire dans le dernier carré de l’économie réelle dans le cadre de la nationalisation des échanges commerciaux dans le but de maintenir l’illusion d’une économie de marché …
Car, selon la nouvelle doctrine, l’Etat peut tout faire, aucun secteur n’est plus hors d’atteinte de son contrôle qui va aussi de pair avec un développement … des atteintes aux libertés publiques.
Certains parlent de néo-libéralisme, je serais plutôt enclin à parler de nouvel étatisme (on parle de rétablir l’ancien commissariat au plan qui n’a jamais servi à rien puisque toutes ses prévisions s’étant avérées erronées sauf à permettre, déjà, l’immixtion de fonctionnaires dans l’économie de marché) ou de néo soviétisme car de libéralisme dans toutes mesures, il n’y en a absolument aucun !
Seulement, pensez-vous sérieusement que l’administration soit la mieux placée pour diriger un pays notamment du point de vue de l’économie ; cette administration dont les membres n’ont pas travaillé pendant les 3 mois de confinement sans subir aucune perte de salaire ; qui vivent dans un monde artificiel fait du financement de leurs revenus par les impôts des autres, qui ne prennent jamais de risque (surtout pas),
Si le néo libéralisme c’est le contrôle total de la société et de l’économie par l’Etat administratif alors il s’agit essentiellement d’une perversion linguistique et mentale destinée à tromper la population sur la réalité d’un phénomène qui prend une ampleur inquiétante et pas qu’en France !
Il faut donc rappeler quelques vérités désagréables :
-Bercy (ministère des finances) est la citadelle opaque de collecte de l’impôt ; il n’est aucunement le centre économique du pays comme tend à vouloir le faire croire l’Etat fonctionnaire. C’est un centre d’oppression et de non droit qui abuse de pouvoirs exorbitants à l’encontre du contribuable pour obtenir la collecte d’un impôt nullement consenti ; ce n’est en aucun cas facteur de liberté et de développement !
-Le fonctionnaire, quel que soit son niveau hiérarchique, ne produit rien de tangible, il n’a aucune connaissance des circuits économiques ; au mieux il raisonne en termes macro-économiques et ne sait rien de ce qui se passe au niveau des entreprises ; il est donc le plus mal placé pour parler d’économie,
-La vision du monde du fonctionnaire, c’est normes en tous genres, interdictions, relance, pression fiscale et, accessoirement, une vision marxiste. Le marché, le client, les investissements, la rentabilité, le capital productif, il ne connait pas !
-le développement fantastique des dettes par le biais de l’émission monétaire amène même la banque Natixis à se poser la question du sort de la monnaie car tout le monde sait que trop de monnaie finit par tuer la monnaie et que restera-t-il après une fois qu’on aura anéanti la monnaie et l’économie du pays ?
Nous sombrons insidieusement dans la dictature administrative comme au « bon vieux temps » de l’Union Soviétique dont on sait qu’elle a mal fini ; mais on y va quand même parce que c’est la solution de facilité et parce que l’homme est ainsi fait qu’il pense qu’il pourra toujours échapper à son destin même s’il continue à reproduire les mêmes erreurs … surtout s’il pense que, de toute façon, ce seront les autres qui en paieront les conséquences !
Ce nouveau monde qui se profile est complètement délirant et déconnecté des réalités !
Ne nous leurrons pas nous allons à la catastrophe car bien peu semblent conscients que cet état de grâce monétaire et budgétaire va fatalement avoir une fin, peut-être plus proche qu’on ne le croit, et que ce jour-là, ça risque d’être la « gueule de bois » et l’incompréhension généralisée avant la révolte !
Car la question qui n’est pas évoquée est combien de temps cela va pouvoir durer cette mauvaise farce sans que cela ne se termine par une déflagration générale ?
Bien cordialement à tous !
Απο την Ελλαδα ! (De la Grèce) – Leros
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L’utilisation massive des statistiques, des algorithmes de prévision, les contestations qui en ont découlé, ont fait apparaître au grand jour la relativité de tout cela, sa dépendance aux chiffres introduits dans les différents calculs.
La compréhension de la pandémie est directement liée au nombre de tests, au nombre de morts, au nombre d’habitants concernés, au nombre de lits, au nombre de masques, aux situations de chaque contaminé, à leur âge, etc…
Tout le monde a perçu que selon les chiffres utilisés pour les différentes démonstrations et explications de la situation — qui se veulent mathématiques, donc absolues et vraies – les résultats sont différents, voire totalement en opposition.
Le doute s’est emparé des informés face aux informateurs.
En effet, si dans le cadre de la pandémie, que nous subissons tous, un tel micmac est possible — car le sujet nous concernant directement nous amène à chercher la vérité, donc à percevoir la propagande, la falsification de l’information — un doute général s’insinue.
Ce doute sera-t-il durable ? La propagande sera-t-elle analysée aussi pertinemment sur des sujets moins universels ? Je suis sûr que oui pour les spécialistes de la polémiques, sincères ou non. Pour l’ensemble de la population, j’ai à la fois un doute et un espoir.
A suivre donc…
L’échec de la connivence et du pouvoir administratif.
Un tiers des morts de la pandémie était en EHPAD.
Rappelons brièvement le passé : les personnes âgées étaient prises en charge par leur famille ou mises en mouroir dans des “hospices” pour les indigents.
Récemment, les hommes de l’Etat ont fait mine de se pencher sur le sort des personnes âgées. Enfin, surtout sur celui de leurs descendants actifs ne souhaitant plus avoir la charge de leurs vieux, handicaps à la jouissance de la vie, à la liberté de profiter égoïstement des opportunités matérielles au moins promises si ce n’est acquises. En réalité des descendants obéissant à un fantasme de liberté. Fantasme qui doit sacrifier les vieux, les confier aux hommes de l’Etat.
Ainsi fut fait, évidemment le tout régulé sur le plus petit dénominateur commun, égalitarisme oblige.
Les hommes de l’Etat ont donc conclu un contrat avec des opérateurs privés pour la réalisation d’EHPAD, un nom de la novlangue qui marque.
Donc, plus d’hospice public, que des EHPAD très majoritairement privées.
Aux hommes de l’Etat la réglementation, dont le but principal est d’entraver l’accès à cette activité à tout autre opérateur que ceux choisis par les hommes de l’Etat. Aux opérateurs privés la fortune par la connivence.
C’est ainsi que ces EHPAD — dont l’accès est régulé, limité jusqu’à la pénurie — sont le lieu de vie ultime d’une majorité écrasante des personnes âgées.
Et, surprise, toute cette organisation politico-administrative et de connivence s’avère totalement incapable de remplir sa mission.
Des établissements surveillés, corsetés, par l’administration de la santé, gérés par la fine fleur de la connivence, ne sont pas foutus d’être organisés contre une épidémie de grippe, pourtant annuelle….
Alors que leurs statuts, portés par une propagande rassurante, font mine de rassurer — au moins ceux qui décident d’y envoyer leurs anciens, si ce n’est eux qui y vivent – la réalité nous oblige à constater que ces EHPAD sont des mouroirs à peine plus civilisés que les anciens hospices.
Que donc toute cette administration prétentieuse et sa cohorte d’escrocs agglutinés aux mamelles de la connivence ne sont pas capables de produire des établissements aux normes suffisantes pour affronter les grippes annuelles, pour protéger leurs vieillards fragiles des agressions de virus parfaitement prévisibles.
Ici, comme pour la mystification mathématique, la propagande des hommes de l’Etat en prend un coup. Sera-t-il mortel pour cette propagande ? Sans doute que non. Mais chacun sait que les petites rivières font les grands fleuves. Une fois que le doute s’installe, l’intelligence se rapproche.
Espérons que la pandémie sera le début du doute et celui du retour de l’intelligence en lieu et place de la croyance, fille de l’irresponsabilité.
Bien à vous. H. Dumas
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Lorsque la souris sort de son trou, elle réfléchit – probablement — puis elle décide de prendre le risque de sortir. Si le chat est là, elle n’appelle pas l’Etat à son secours, elle prend ses responsabilités et tente de s’en sortir. Il arrive qu’elle s’en sorte, il arrive aussi qu’elle ne s’en sorte pas. C’est la règle de la vie sur cette terre.
Quelle bizarrerie intellectuelle peut abuser les hommes et leur faire croire qu’il pourrait en être autrement pour eux ? Surtout lorsque les plus virulents à prétendre que les choses pourraient être différentes s’affichent comme des fanatiques de la nature et de ses lois.
C’est un mystère qui me dépasse. Alors, quand je vois, en pleine crise économique, les hommes de l’Etat faire mine d’être capables de juguler cette crise, qui découle uniquement de la négation du risque et de la responsabilité en économie, je suis sidéré.
Le plan de relance est ridicule, ses pauvres 100 milliards sont de l’amuse-ballots.
Il paraîtrait que des entrepreneurs et autres acteurs économiques attendraient ce plan de relance avec impatience.
Je ne sais pas qui sont ces escrocs, mais je sais que — s’ils existent ailleurs que dans l’imagination et la communication des hommes de l’Etat — ce ne sont pas eux qui vont relancer la machine, ils vont juste s’approprier cette dette supplémentaire que leurs enfants et petit-enfants paieront.
L’économie, paradoxalement, n’est pas un problème d’argent. Ceux qui croient le contraire n’ont rien à faire dans cet espace.
L’économie est un pan de la vie — il n’est pas le seul — ceux qui ne respectent pas ses règles sont rapidement réduits au vol et au pillage pour se procurer les fruits de cette activité. C’est le cas des hommes de l’Etat qui confondent pouvoir politique et économie. Partout où ils font cette confusion, la ruine emporte tout.
La complication tient au fait que l’économie génère de la richesse, évidemment, mais aussi un pouvoir lié à cette richesse, nécessaire à la bonne santé de l’économie. Hélas ce pouvoir entre souvent directement en conflit avec le pouvoir politique, qui ne peut le tolérer et sort à tout coup ses fusils pour l’annihiler.
Certains acteurs économiques, face à cette évolution inéluctable, prônent la connivence, l’acceptation des diktats politiques, ils en obtiennent un avantage immédiat, qu’ils paient ensuite de l’affaiblissement de leur activité grevée du chancre de ce parasite politique qu’ils ont accepté en leur sein.
L’économie n’a besoin pour s’épanouir que de liberté, rien de plus.
Evidemment cette liberté, naturelle, est sans pitié, comme la nature. Les champions de cette liberté devraient être ceux qui la prônent pour les loups, mais ce n’est pas le cas, nous le savons. Ils veulent la liberté des loups et la domestication, voire le servage, de l’économie, c’est absurde.
Quand les hommes de l’Etat parlent de l’économie, quand ils prétendent qu’elle serait la jungle sans eux, ils mentent.
Mais seuls ceux qui font l’économie le savent, pour les autres ce mensonge est valorisant, laissant supposer que ne pas connaître l’économie serait un signe de civilisation. C’est totalement absurde.
Voir le groupe auquel on appartient être absorbé par cette erreur de jugement, courir le risque de plus en plus évident de perdre sa force économique, donc sa liberté, est extrêmement frustrant.
Il serait si simple de réduire les dépenses ridicules des hommes de l’Etat, de détruire Bercy jusqu’à la dernière pierre, de rendre la liberté à l’économie, notre pays serait debout en deux ou trois ans.
Mais alors ce serait la jungle… refrain connu…
Bien sûr que non, car d’assistés-aux-ordres nous deviendrions tous des consommateurs libres de nos choix — comme sur le net –, libres de nos critiques dont les hommes de l’économie ne pourraient pas s’affranchir, puisque c’est par la connivence politique qu’ils s’en affranchissent.
Je suis sûr qu’informé, tout le monde pourrait comprendre que cette libération de l’économie — incluant risque et responsabilité économiques – nous amènerait à une société beaucoup plus juste et beaucoup plus efficace, donc beaucoup plus agréable à vivre, sans les tensions du mensonge qui nous empoissonnent l’existence jours après jours.
Peut-être les jeunes générations, les 15/30 ans, vont-ils comprendre la situation et avoir le sursaut nécessaire pour la modifier. Ils devront passer sur le corps de vieux crabes accrochés à leurs proies… qu’ils le fassent.
La France s’enlise dans l’épidémie du coronavirus, pour le plus grand bonheur de sa caste dirigeante. On aura rarement vu une telle unanimité … et c’est d’ailleurs le but recherché.
Du chef de l’Etat au dernier élu municipal, c’est à qui prononcera les propos les plus martiaux et les injonctions les plus pressantes pour le port du masque et les mesures barrière (à ne pas confondre avec l’édification de barricades).
Comme dans une cérémonie patriotique, la liste des contaminations est proclamée chaque jour, une mine consternée étant de rigueur chez tout citoyen digne de ce titre.
Malheureusement, les informations s’arrêtent à ce stade. On ne nous communique pas le nombre des nouveaux patients symptomatiques, pas plus qu’on ne nous dit s’ils sont isolés, si leur parcours est tracé et leurs contacts prévenus, s’ils reçoivent un traitement, et si oui lequel. Bref, on ne nous dit rien, même pas de la fermer, puisque c’est un fait acquis.
Pendant ce temps les médecins se multiplient sur les plateaux de télévision et laissent les spectateurs dans un état de prostration, tant il leur est impossible de se faire une opinion.
Les journalistes font preuve de la plus exquise réserve à l’égard de nos sommités médicales, en ne leur demandant jamais s’ils soignent personnellement des malades du covid-19, quel traitement ils leur administrent et combien de morts ils ont à leur bilan. Ces informations nous seraient pourtant indispensables pour mesurer leur compétence et la valeur de leurs propos.
De toute façon, aucun médecin n’est admis dans une émission s’il ne décrète pas qu’il faut accepter l’incertitude en l’absence de traitement. Cette dernière assertion n’est jamais contredite, ni même interrogée par les autres participants ou les journalistes présents, en raison du fait qu’il est interdit d’évoquer la thérapeutique du professeur Raoult si l’on ne veut pas être banni de l’expression publique.
Le plus comique est que ceux qui ne sont pas médecins sur les plateaux le proclament tous bruyamment pour s’excuser de leur incompétence et de leur incapacité à se prononcer.
Or l’essence même du journalisme réside dans la capacité de ses acteurs à se prononcer en citoyen sur les sujets qu’ils traitent, puisque la seule justification de ces émissions et de permettre l’information du public.
Tranchons le mot, pour reprendre l’expression du général de Gaulle, cette épidémie de coronavirus a tourné, en France, au désastre intégral. Des dizaines de milliers de morts (dont la plupart aurait pu être évités), une économie dévastée, une population frappée de sidération et n’apercevant aucune perspective d’avenir, et tout cela pour une raison parfaitement inavouable, puisqu’il s’agissait de ne pas remettre en cause la parole de ceux qui gouvernent le pays depuis la Libération et le contrôle qu’ils exercent sur la société.
Bien entendu, ce voile tendu sur le pays va se déchirer. Et l’on verra s’envoler à travers ses trous toute « la volaille qui fait l’opinion », comme le chante Souchon, dûment accompagnée de la volaille des élus et des notables tragiquement déplumée par le souffle de la réalité.
Ils auront quand même tenu 75 ans, comme l’Union soviétique. Et avec la même technique, fondée sur la mise au pas du peuple et le mensonge généralisé.
Dans le conte d’Andersen « Les habits neufs de l’empereur », c’est un petit garçon qui s’écrie : « Le roi est nu ! » En France, depuis de très nombreuses années, ce cri est lancé par des millions de bouches et n’est entendu de personne dans la Cité interdite où résident tous ceux à qui la moindre parcelle de pouvoir a servi de ticket d’entrée et de séjour.
L’évacuation de la Cité interdite ne se fera pas dans l’ordre ni avec méthode. Elle prendra des allures d’exode. Mais cette fois, ce ne sera pas le peuple qui sera sur les routes !
Claude Reichman
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Il y a les statistiques, l’observation des tendances, les constantes de l’Histoire et enfin l’intuition – sixième sens indéfini que l’on a ou que l’on n’a pas – pour se faire une idée de l’avenir du pays.
A l’exception de l’intuition aux contours indéfinis, tous les autres moyens de préparer l’avenir sont du ressort de la technique.
C’est évidemment à l’intuition, cette propension à saisir des rapports qui passent inaperçus aux yeux du plus grand nombre, que l’on reconnaît le génie d’une décision.
La taxe « carbone » ou la limitation de vitesse à 80 Km/h sur les routes secondaires n’étaient pas de cette eau-là. On en a subi les effets. C’est à des techniciens qu’on les doit. Les mêmes qui, dans les services ministériels veillent jalousement à l’ordre, à la méthode et à la réglementation et qui, sous l’influence des lobbies, sont placés là pour conseiller le pouvoir politique. Les mêmes qui seront à la manœuvre dans les services d’un Haut-Commissariat au Plan ressorti des oubliettes, sorte d’observatoire confié à une personnalité coordonnatrice de services techniques. Rien d’autre.
Ce n’est pas d’un commissaire dont le vocable réglementaire appelle à la hiérarchie, à l’ordre et à la sanction auquel on devrait faire appel, mais plutôt à un philosophe capable d’inspirer la pensée des décideurs, grâce à une intelligence qui le placerait au-dessus des contingences : le contraire d’un commissaire au plan. Au-dessus des querelles partisanes, toutes faites d’intérêts personnels, de susceptibilités peu accessibles à l’objectivité : le contraire d’un chef de parti. Mais surtout au-dessus du simple énoncé des données afin d’en extraire la signification profonde : le contraire d’un simple analyste.
Ce genre de personnalité est rare. On la reconnaît en général à ses manifestations en période de crise, lorsque tout le monde s’interroge sur le parti à prendre. Elle a alors le don de révéler aux yeux du monde le mystère de l’œuf de Colomb.
Les esprits ordinaires, dont on a grand besoin au quotidien et qui peuplent l’Administration, suffisent à s’enquérir de compter les masques et de constituer les stocks destinés à prévenir la prochaine épidémie de Covid.
La fonction prospective attendue pour redonner foi à une population désenchantée ne se loge pas, à moins de la mettre en garde à vue, dans un Commissariat, fût-il au Plan.
On en vient alors à s’interroger. L’Administration ne répond-elle pas aux exigences de sa fonction ? Si oui, que n’a-t-elle faire d’un commissaire ? N’appartient-il pas au politique d’être ce visionnaire ? Si oui, que n’a-t-il faire d’un guru ?
A moins que les deux pèchent. Tous deux par omission. L’Administration par manque de rigueur. Le politique par manque de vision. Leur double serait-il alors nécessaire ? On en doute. Question de vision.
Peut-être, le Haut-Commissariat n’est-il tout simplement qu’un comité Théodule de plus, qui permet à la République, réputée bonne fille, de se perdre « en même temps » dans la réalité du compromis et dans l’utopie de l’idéal.
L’autodestruction vers le néant.
YVES MARCHAND
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Tout le monde connait cette image du livre de Cervantès : Don Quichotte chargeant les moulins à vent qu’il prend pour des ennemis !
Nous avons, nous aussi, nos moulins à vent, ce sont les éoliennes, et ce sont nos ennemis ou plutôt leurs promoteurs sont nos ennemis ; quoique insidieux et discrets !
Ces engins, dont la taille ne cesse de croitre, occupent de plus en plus le paysage et, à vrai dire, il est désormais difficile de regarder l’horizon sans en apercevoir au moins une car, depuis une quinzaine d’années, des milliers de ces appareils ont été installés au nom des économies d’énergie et des énergies vertes ou renouvelables.
Le cout en est évidemment colossal (on parle de 120 Md€) et il serait peut-être temps de se poser la question du rapport sur investissement, c’est à dire d’en dresser un bilan, comme le ferait tout industriel ; ce qui nous amène à nous poser un certain nombre de questions.
Les éoliennes sont-elles efficaces ?
Ainsi que j’ai déjà eu l’occasion de l’expliquer, une énergie, quelle qu’elle soit, pour qu’elle soit intéressante d’un point de vue à la fois économique et technologique, doit impérativement répondre à trois critères : abondante, stable et bon marché.
Or, les éoliennes ne satisfont à aucun des trois critères exigés.
Elles produisent une électricité intermittente et aléatoire car leur fonctionnement dépend du vent. Il en faut mais ni trop ni trop peu !
Leur production fluctue en permanence ce qui est d’ailleurs très mauvais pour le réseau qui doit impérativement être stable pour pouvoir distribuer l’électricité (240v alternatif en 50hz) sans risque de ruptures dans le réseau.
Elles ne présentent aucune souplesse d’utilisation (s’il n’y a pas de vent elles ne fonctionnent pas) ; et finalement leur rendement réel (facteur de charge) est très faible (18 à 20% du temps c’est à dire qu’elles ne produisent rien au moins pendant 80% du temps). Elles ne sont en fait pas pilotables contrairement au gaz ou au nucléaire (dont le facteur de charge est de 85%).
Et pourtant nous continuons, au mépris de toute logique, à en installer … Un ménage continuerait-il à acheter des équipements qui ne fonctionnent pas ?
J’ai eu une éolienne sur mon bateau et le constat a été : bruyante, inefficace et inutile et, secret bien gardé par les concurrents, savez-vous que les voiliers du Vendée-globe, summum de la course au large, de la voile et de l’énergie verte, emportent en fait au moins 1.000 litres de fuel pour faire tourner un générateur H24 (75joursx0.6l/h = 1.000 litres) en vue d’alimenter les pilotes électriques, les ordinateurs et la centrale de navigation parce que des éoliennes seraient incapables de fournir l’énergie nécessaire. Les exigences de la voile et du sport obéissent à des contraintes car il faut de l’énergie pour faire fonctionner des machines complexes.
Est-ce rentable ?
-En ce qui concerne le consommateur final :
Absolument pas car le prix de l’électricité éolienne est beaucoup plus cher que toutes les autres sources d’énergie hormis le solaire photovoltaïque.
Le prix de l’électricité nucléaire est de l’ordre de 40 à 60 € le Mw/h (mégawattheure) tandis que pour l’éolien terrestre il est d’environ 100€ et pour l’éolien marin, délire suprême, de 200 à 250 €.
Par ailleurs, il a fallu adapter les réseaux pour gérer l’instabilité et doubler les installations éoliennes par des centrales thermiques de soutien (on parle de “back-up”) pour le cas, finalement assez fréquent, où il n’y a pas assez de vent (80% du temps en fait) ; ce qui aboutit à doubler l’investissement, et la dépense, pour obtenir la même chose. Et nous ne parlerons même pas des centrales fermées pour favoriser les énergies dites renouvelables !
L’électricité éolienne est essentiellement chère, instable et aléatoire et c’est seulement le détournement d’une idée (électricité verte sous-entendu naturelle parce qu’émanant du vent) qui tend à faire croire le contraire !
Enfin, ces éoliennes ne sont même pas fabriquées en France ; il faut donc les acheter à l’étranger. Il n’y a donc aucun emploi créé contrairement aux affirmations qui ont été faites et répétées (n’est-ce pas Mme Royal ?).
En fait, l’énergie éolienne n’est ni gratuite ni renouvelable ni éternelle et le vent ne peut être considéré comme une source d’énergie qu’à condition d’en accepter les (fortes) contraintes qui sont … soigneusement occultées par les décideurs politiques et les promoteurs de ces énergies « vertes » !
La conclusion qui s’impose est que le vent est gratuit, et il y en aura toujours, mais pas les matériels qui permettent de l’exploiter, lesquels sont loin d’être aussi performants qu’on veut bien le prétendre ; même si, comme pour les batteries des voitures électriques, on nous promet toujours le progrès fulgurant et imminent (ici c’est le stockage d’électricité) qui va tout débloquer mais … qui ne vient jamais !
-En ce qui concerne les industriels :
La réponse est oui c’est rentable car le prix de l’électricité est fixé par accord entre les exploitants et les autorités de l’Etat et il est très largement subventionné ; c’est à dire qu’il n’est pas du tout en rapport avec les prix du marché alors que son rachat, par EDF, est en outre obligatoire.
Seulement, si on avait laissé faire le marché et la libre concurrence, jamais aucune éolienne n’aurait été installée ; ce qui amène fatalement à la question : qui paie pour cette fantaisie ruineuse ?
Qui paie ?
Le consommateur, forcément, à travers un système de taxes dissimulées dans les factures d’électricité dont les montants ne cessent d’enfler et notamment, dans la CSPE (contribution au service public d’électricité) de votre facture d’électricité pour un total évalué de 6 Md€ mais aussi dans la CTA (contribution tarifaire d’acheminement) ; le total représentant désormais 40% de la facture d’électricité des ménages.
Et il y a une corrélation directe entre le développement des énergies dites renouvelables et le prix de l’électricité payé par les ménages puisque celui-ci a augmenté de façon directement proportionnelle aux capacités installées d’énergies dites renouvelables.
En fait, il s’agit essentiellement d’un transfert opéré discrètement, quoique de moins en moins eu égard aux sommes en jeu, de votre poche dans celle d’industriels adeptes du capital de connivence ; car ces marchés sont évidemment totalement sous le contrôle de l’administration (il faut une autorisation administrative pour implanter un engin de 185 m de hauteur).
En gros, les lubies de quelques-uns ont été payées par les impôts de tous !
Ecologique ?
Les arguments officiellement invoqués pour justifier leur installation sont de réduire les émissions de CO2 et d’accroître l’indépendance énergétique (essentiellement vis-à-vis du gaz).
Or, les émissions de CO2 de la production électrique ont davantage diminué grâce au remplacement progressif de centrales à charbon par des centrales à gaz que grâce aux énergies dites renouvelables.
Dès lors, la politique actuelle de développement des énergies dites renouvelables motivée par des raisons climatiques, comme le prétendent les milieux politiques et les médias, est un argument trompeur puisqu’elle ne réduit pas de façon significative les émissions de CO2.
En outre, paradoxe s’il en est, en France, où les émissions de CO2 sont déjà de loin les plus faibles de tous les pays industrialisés, elle ne fera que les augmenter. Elle rendra la France de plus en plus dépendante du charbon et du gaz importés tout en faisant aussi augmenter le prix de l’électricité pour les ménages.
Car la France a un taux d’émission de CO2 très faible du fait d’une production assurée aux trois quarts par le nucléaire. Cette politique énergétique, essentiellement anti-nucléaire, anéantira donc l’avantage que possède la France en matière d’électricité (gestion et prix).
Ces éoliennes ne sont même pas écologiques puisque l’installation dure 20 ans (contre au moins 60 pour une centrale nucléaire) avec des milliers de tonnes de béton (pour le socle) indestructibles (il n’est qu’à voir les bunkers de la Wehrmacht sur la cote française, 75 ans après la guerre ils sont toujours là) et des pales en carbone ou polyester ne sont pas recyclables.
Certains vendeurs d’électricité prétendent que leur électricité est verte ; c’est à dire issue exclusivement d’énergies dites renouvelables … il s’agit là d’un pur mensonge dans la mesure où les réseaux électriques sont communs et appartiennent historiquement à EDF qui la seule à les exploiter et … elle ne trie pas les électrons circulant dans ses câbles !
Tant qu’on ne saura pas stocker les énormes quantités d’électricité nécessaires (et on en est très loin) à l’alimentation générale du pays, le développement des énergies dites renouvelables liera donc l’avenir de la production électrique à la disponibilité future de combustibles fossiles dont les énergies dites renouvelables prétendent nous dispenser.
Comment fonctionne le marché de l’énergie ?
C’est un des grands ratés de Bruxelles !
Là où la dérégulation des télécoms s’est avérée bénéficiaire pour le consommateur, c’est exactement l’inverse qui s’est produit en ce qui concerne le marché de l’énergie ; mais, il faut dire qu’il n’y a eu aucune dérégulation ou libéralisation, bien au contraire !
L’Union Européenne, prise au piège d’un électorat écolo politiquement important dans certains pays, dont l’Allemagne, a voulu se lancer dans les énergies dites vertes ou renouvelables et cette vision a été transposée au niveau français avec la PPE (programmation pluri annuelle de l’énergie).
Seulement, comme ces énergies dites vertes ne sont pas compétitives par rapport au nucléaire et à l’hydraulique (Ce dernier ne représentant qu’une faible part de l’énergie produite et le nucléaire étant honni par les écolos, surtout après l’accident de Fukushima qui n’est d’ailleurs qu’une conséquence du tsunami) il a été décidé de les imposer et de fortement les subventionner avec pour effet de provoquer, pour des raisons essentiellement idéologiques, à la fois une désorganisation du marché de l’énergie et une explosion des couts !
Et on en arrive à de véritables aberrations : le stockage étant impossible, lorsqu’il y a du vent partout en Europe, le marché fait face à des périodes de surproduction et à des prix négatifs de l’électricité surtout lorsqu’il n’y a pas la consommation en face.
Mais alors pourquoi le fait-on ?
Nous savons très bien calculer la quantité d’énergie nécessaire pour faire fonctionner le pays (en globalité). A partir de là, il était facile de diviser la quantité d’énergie nécessaire par la puissance efficace (réelle pas la puissance installée qui n’est que théorique) d’une éolienne pour savoir combien il en fallait et là on se serait aperçu que c’était une idiotie … et le miroir aux alouettes de l’énergie gratuite se brisait !
En fait, c’est surtout le pouvoir qui a décidé de le faire sans, à aucun moment, solliciter l’avis des premiers concernés : les français qui paient leur facture d’énergie.
Par électoralisme, on a pris le problème à l’envers en partant du principe que les éoliennes étaient LA solution et on a manipulé le marché pour les imposer ; à tout prix !
Car le politicien, même fonctionnaire, n’hésitera jamais à dépenser l’argent public (vos impôts en fait) pour favoriser son élection ou sa réélection.
F Hollande a ainsi promis, contre la logique économique, la fermeture d’une centrale nucléaire (Fessenheim) en parfait état de fonctionnement et répondant aux critères de sécurité exigés parce que c’était le deal pour que les écolos, qui sont, par principe et idéologiquement, contre le nucléaire pourtant totalement décarbonné, acceptent de le soutenir en vue des élections de 2012 !
Et comme le parlement, sous la Vème république ne remplit aucune des fonctions ressortant de ses attributions, le tout fonctionne sans aucun contrôle démocratique et sous la direction de la seule administration !
Et le président actuel continue à faire de même !
En conclusion
Le marché des énergies dites renouvelables, et particulièrement des éoliennes, est basé sur une tromperie : on a fait croire à la population, sans l’informer quant au prix, à l’emploi, à la pollution, qu’il était possible de remplacer les centrales électriques traditionnelles (au gaz, charbon ou nucléaires) par des moulins à vent en exploitant l’image des moulins des temps anciens.
On peut clairement parler de manipulation voire de mensonge répété par le pouvoir …
Ceux-ci correspondaient à l’économie du moment à une époque, où il n’y avait rien d’autre, et où l’on consommait très peu d’énergie ; celle-ci étant essentiellement constituée par la force humaine ou animale (chevaux, bœufs). L’intermittence et la faiblesse du rendement n’étaient pas un handicap trop difficile à surmonter …
Or, nos sociétés modernes sont basées sur la consommation d’énergie et particulièrement d’électricité car, hormis les transports (voitures, camions, avions) tout fonctionne à l’électricité !
On a donc investi en masse dans des systèmes énergétiques non rentables et incapables de tenir leurs promesses avec à la clé un monstrueux gaspillage d’argent public qui … n’est pas perdu pour tout le monde car, si on avait laissé faire le marché, jamais les éoliennes n’auraient pu connaitre un tel développement puisque le cout de leur électricité n’est pas compétitif face au nucléaire ou à l’hydraulique et ne le sera jamais !
L’absence de réaction de la population
C’est là quelque chose d’incompréhensible.
Les gilets jaunes, notamment, se sont essentiellement polarisés sur la taxation sur le carburant ou la réduction de la vitesse à 80 km/h sans voir que leur facture d’électricité (poste contraint s’il en est et souvent incompressible) était en train de s’envoler !
Il est vrai que le dogme du réchauffement climatique est désormais bien ancré dans l’esprit de la population après 30 ans de propagande mensongère.
Il faut aussi constater que l’élément principal de l’argumentation politique est désormais la peur et la peur de la fin du monde est habilement exploitée par des moralisateurs doctrinaires dénués de tout scrupule ; la visible exploitation politique de l’épidémie de Covid à des fins de contrôle social de la population par le biais d’une généralisation de la peur et d’une menace d’un reconfinement en étant le dernier symptôme !
Bien cordialement à tous !
Απο την Ελλαδα ! (De la Grèce) Schinousa
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La majorité des français croit vivre dans une société basée sur la propriété privée. Leurs ancêtres ont payé d’une révolution sanglante ce droit, seul et unique rempart aux différents pouvoirs inventés par les peu scrupuleux hommes du pouvoir.
Nous n’allons pas nous égarer en explications sur les différents fantasmes ou illusions qui ont permis d’arriver aujourd’hui à l’idée que la propriété privée est une sorte d’injustice à éradiquer.
Nous allons juste rappeler que tout préalable à la prise totale de pouvoir passe par la suppression des contre-pouvoirs ou des espaces de liberté. La propriété privée est de ceux-là. Elle en est même l’unique et totale représentante, garante. Elle doit donc être éradiquée pensent les hommes politiques et leur complice et associée l’administration. Nos hommes de l’Etat sont fous de pouvoir illimité, pour notre bien, cela va de soi.
Ceci-dit, passons aux faits.
Dans un mémoire déposé au Tribunal Administratif de Poitiers, dont le lien d’accès vous sera donné à la fin de ce billet, le Préfet de la Charente-Maritime écrit ceci : “Sur ce point, il convient de rappeler aux requérants qu’il n’existe pas de droit acquis quant à la constructibilité d’un terrain et que celle-ci peut être remise en cause dans un nouveau document d’urbanisme.”
Traduit en langage ordinaire cela veut dire que vous vous croyez propriétaire d’un terrain, mais qu’en réalité vous n’en avez pas la disponibilité, l’usage. Donc, vous n’en n’êtes pas propriétaire.
Mais alors, qui en est propriétaire ? Le Préfet ? Le maire ? Le directeur des services techniques de la mairie ? vos voisins ? Des groupes de pression ?
Je ne connais pas de réponse à la question. Il n’y en a pas. Le nom est laissé en blanc.
Le vrai propriétaire sera celui qui aura le pouvoir de faire se rejoindre la possession et l’usage. Par exemple le copain du maire, ou du préfet….
Rapidement nous nous trouvons face aux tares de tout régime dictatorial, l’abus de pouvoir, la menace, le dol, le vol, la corruption, et leurs effets délétères sur la société.
Ainsi l’immobilier en France est la victime de cette agression invraisemblable à la propriété privée immobilière.
L’excuse invoquée est la cupidité, l’égoïsme des propriétaires, leur manque de goût, qui justifierait le vol de leur bien par la dépossession de son usage.
La réalité est la manipulation de l’électorat par les politiques se pavanant comme seuls opérateurs urbanistiques compétents, alors qu’ils n’ont aucune formation à ce sujet. Je ne connais aucun architecte ou urbaniste élu maire. Par compte je peux évoquer les monstruosités généralisées enfantées par ces amateurs au pouvoir exorbitant.
La majorité électorale ne rend pas compétent en architecture. Ça se verrait…
Quant à la corruption, un exemple.
Venant quémander leurs permis de construire, les promoteurs amis des élus sont dans la connivence.
Et dans la connivence il faut payer, donner un petit quelque chose.
Depuis quelques années, la combine suivante s’est mise en place. Le promoteur abandonne, à prix coûtant, voire moins, entre 20 et 40% des appartements qu’il réalise à une société HLM amie… du maire évidemment. Tout cela pour le bonheur des sans-logis, qui restent cependant dehors, années après années.
Les sociétés HLM louent, pratiquement au prix du marché, ces logements à des locataires au-dessus de tout soupçon et de qualité — souvent fonctionnaires locaux au parfum –, pour ne pas gêner les clients du promoteur, qui ont payé plein pot. C’est la moindre des choses.
Les sans-logis sont toujours dehors, mais les sociétés de HLM accumulent, à l’heure des prêts sans intérêt, des fortunes.
Bien sûr il y a un hic, qui supporte ce cadeau princier fait aux sociétés d’HLM ? Le promoteur ?
Pas du tout, vous n’y êtes pas, le promoteur doit faire sa marge.
Ce sont les acquéreurs plein pot du promoteur et le propriétaire du terrain s’il est malléable. C’est-à-dire que ce pot de vin officiel, est une sorte d’impôt, de taxe, illégal, payé exclusivement par les acquéreurs. Une honte, que tout le monde trouve formidable.
Les conséquences ?
Un immobilier au prix surévalué qui ne peut survivre que grâce à la rareté entretenue par les bénéficiaires politiques et l’administration, au prix de restrictions des zones constructibles.
Une promiscuité artificielle qui, à terme, va fortement dévaloriser les biens achetés, pour des acquéreurs qui se seront privés pendant 30 ans pour devenir propriétaires.
Un appauvrissement de l’urbanisme à qui les sommes absorbées par cette combine font gravement défaut.
Une démotivation pour les acquéreurs, qui plombe le marché de l’immobilier.
Que du bonheur.
Pour les amateurs de triller vrai : “sincérité contre vice”.
Ce titre me vient d’un des derniers articles d’Eric Verhaeghe ici : https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/08/12/masque-obligatoire-protection-sanitaire-ou-controle-social/
Chiens et félidés
Mon chien est d’une lignée de chasseurs, Springer Spaniel anglais, avec un papa estampillé « Champion de France », si cela veut dire quelque chose. C’est un fait, il a le nez toujours par terre, en regard de son maître pour trouver un objectif pointé.
Mon chat, il est arrivé de nulle-part sur ma propriété. Il est resté dehors à tourner autour de ma maison en hivers comme en été pendant plus d’une année avant de se laisser approcher. Il était déjà castré, donc il a appartenu à quelqu’un. Peut-être s’est-il libéré d’un joug éventuel mais plus sûrement ce dernier l’a affranchi par l’abandon.
La balance du chien et du chat. Le chien l’a accueilli et s’est soumis sous son autorité, alors qu’il aurait pu le terrasser avec ses crocs, son poids, ses muscles.
Mon chien est un socialiste parmi tant d’autres alors que mon devenu chat est un loup pour lui.
Est-ce l’apanage du chat ? Dans ma prime jeunesse, j’ai vu un chat se faire agresser par deux chiens, pas par des molosses, mais des standards. Je n’ai pas réagi assez vite pour sauver ce chat, sauf pour le recueillir et l’expédier vers le vétérinaire le plus proche qui lui a donné l’extrême onction..
Une société qui permet l’individualité
Ce que l’on nous apprend à l’école et plus après, est la route de la servitude pour la collectivité. Car il n’y a pas d’individu sans société. Et béni soit cette société qui s’organise pour nous libérer de notre condition d’animal : La lumière, l’eau courante et l’évacuation de nos déchets parmi nos domiciles, cela ne va pas de soi. Un pompier ou un policier pour nous protéger ou nous sauver, ce n’est pas non plus l’apanage de la nature. Se faire soigner ou se faire accompagner dans ses derniers instants, avec le moins de souffrance possible, n’est pas la condition de n’importe quel animal sauvage et avant nous celle de nos aïeux.
Des enfants gâtés
Vous l’avez sans doute remarqué, nous vivons en paix depuis la seconde guerre mondiale, après s’être foutu sur la gueule à nos frontières dans toute notre histoire. Pourquoi ? Parce que nous avons compris non pas qu’il fallait faire la paix entre nous, mais que nous avions accédé à des pouvoirs de destruction massive. Et depuis, n’importe lequel de nos sous-marins à propulsion nucléaire et armés d’ogives nucléaires parmi les Etats les plus avancés dans le registre, comme en France, en Grande-Bretagne, aux US, en Russie et en Chine, et que sais-je, l’intention est capable de rayer de la carte n’importe quel Spot ciblé.
L’humain à présent est un individu que la collectivité de sociétés évoluées cherche à protéger, peu importe qui il est.
Et c’est tout le problème à présent. La collectivité pèse de plus en plus sur nos épaules. Car la libération de l’individu assumée par nos trente glorieuses trouve de nouveaux murs. La population grandit, elle vieillit aussi. Beaucoup d’entre nous n’ont plus envie de faire le lit de leurs vieux parents. Il nous est alors possible par nos sociétés occidentales de s’en débarrasser ou tout du moins de ne plus vivre avec eux et subir leurs souffrances au quotidien. Mais tout dépend des cultures encore. En Russie, par exemple, il est très fréquent de vivre avec ses vieux au quotidien. Mais cela change aussi, car les nouvelles générations là-bas s’émancipent à l’Occidentale.
Ainsi, la famille n’est plus forcément le socle de notre individualité. C’est peut-être aussi la genèse de cultures importées sur notre sol avec des religions bien différentes de la nôtre. Leurs parents ont émigré et se sont fondus dans une république d’accueil tandis que leurs enfants la réfutent. Leur rue devient la libération permise et promise …
Quand la collectivité pèse
La société fait tout ce qu’il faut pour nous permettre de vivre en tant qu’individu, mais elle comprend le plus petit dénominateur commun pour ériger un principe de précaution, gravé déjà dans le marbre de notre constitution. Vient alors la chape de plomb administrative qui s’interroge sur chacun pour le surveiller.
Quand la collectivité s’effrite
A force d’être puissance sur l’individu, elle finit par le rétrograder en dessous de là où notre histoire nous avait affranchi : L’essor de l’Occident qui a façonné notre monde d’aujourd’hui.
Elle le réduit à présent comme son esclave corvéable à souhait : « Tu paies ce que je t’ordonne de me payer, sinon je t’exécute ! »
Et l’étau se resserre de plus en plus, d’où l’ambiguïté de liberté de chaque individu qui se cogne à cet état de réalité.
Mais quand le joug devient omnipotent, nous ne sommes plus en démocratie, mais dans le monde d’Orwell. Nos gilets jaunes l’ont compris, mais ont eu peur. Ils ont eu peur parce qu’ils n’étaient pas vraiment déterminés. Quand ils le deviendront, ils ne se débarrasseront pas de Bercy, car c’est leur templier, leur phare, leur tour de Babel. Et ce sera toute leur erreur …
Bien à vous
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Les barbares qui sont réputés pour tuer et piller, pour détruire gratuitement, à leur seul profit immédiat, ne sont pas un danger à venir mais un fait acquis, une présence actuelle dans notre société.
Ils sont partout, dans les tribunaux, dans les administrations, dans les collèges d’élus, dans les entreprises en connivence. Ils nous pillent, nous harcèlent et violent nos consciences.
C’est effarant. C’est démoniaque, car ils se prétendent nos protecteurs, la sagesse, la précaution, la météo, l’avenir, la maîtrise du monde, de l’univers qui nous entoure, et bien plus encore au fil des opportunités de séduction qui se présentent à eux.
Ils manient la peur et la terreur, comme aux plus sombres heures de notre pays.
Ils ont le culot de prétendre être un rempart contre la barbarie, alors qu’ils sont la barbarie.
Rien ne vaut un exemple pour décortiquer ces situations cachées.
Les faits que je vous rapporte ne sont pas nouveaux, mais ils arrivent à leur terme.
En gros, le maire de La Rochelle se prétend décideur en tout. Il se trouve que je suis porteur d’un grand projet pour cette ville que j’aime beaucoup, j’ai des attaches familiales et de très bons amis à proximité.
Le maire s’est opposé à mon projet, sans autre motif que de réserver les activités économiques de la cité à ses amis.
C’est donc sans vergogne qu’il a entravé mon projet et les propriétaires des sols sur lequel il était envisagé, pour aujourd’hui favoriser des amis à lui sur ces terrains, sans grand projet, juste en tartinant du béton avec uniquement le lucre en perspective.
Au passage, pour se rendre intéressant et faire semblant d’être porteur d’un projet, il a engagé la réalisation d’une nurserie géante pour moustiques tigres en plein centre de sa ville.
Mais il n’avait pas la compétence pour engager ce projet stupide.
En deux liens vous allez pouvoir accéder à la procédure que j’ai engagée, aux réponses pharisiennes des barbares.
D’un côté l’exposé d’un abus de droit, d’un problème de société, de l’autre une diarrhée jurisprudentielle pour justifier l’injustifiable et déguiser la connivence entre barbares.
Bonne lecture. Bien à vous. H. Dumas
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Incroyable. Darmanin n’a pas entendu parler du devoir de désobéissance ? Pourquoi se sent-il obligé, à l’occasion d’un fait divers, de nous faire un cours sur la qualité exceptionnelle de toute la police qui serait quasiment surnaturelle pour lui, équivalente à Dieu sur terre, infaillible…
C’est quoi ce cirque imbécile. Qu’imagine-t-il en nous soufflant que la Corée du Nord, où l’autorité ne se discute pas, serait le modèle de société dont il rêve.
Ne sait-il pas qu’il a pris la responsabilité de diriger une société composée d’hommes, donc d’animaux plus ou moins dangereux, dont certains ne s’apprivoisent que difficilement, voire pas du tout.
Fait-il partie de ces fous furieux qui tuent tous ceux qui ne pensent pas comme eux.
De notre côté nous admettons parfaitement que les forces de police soient composées de personnes de qualité, mais aussi d’autres de moins bonne qualité, éventuellement de quelques voyous. Nous réclamons, à juste titre, le droit d’en juger.
Ne perçoit-il pas qu’à défendre l’indéfendable au titre de l’appartenance, que ce soit pour les flics, les juges, les médecins, ou tout autre corporation ou réseau, c’est lui qui s’aborde notre société, notre lien social.
Son argument massue : “Sans règle, sans policier, il n’y a plus que la loi du plus fort, la guerre de tous contre tous”. Mais, l’autorité … n’est-ce pas justement la loi du plus fort ?
Darmanin devrait réviser ses cours de sémantique, “autorité” et “justice” ne sont pas des mots synonymes, loin de là.
Éventuellement pourrait-on, avec précaution, associer les mots “justice” et “vérité”.
La vérité n’est pas toujours juste, mais il n’y a pas de justice possible sans vérité, et la vérité pour M. Darmanin c’est un truc qui le dépasse, dont il n’a plus vraiment la notion, s’il l’a eue un jour, ce que je ne sais pas ne le connaissant pas personnellement. Mais certains qui le connaissent en doutent, parait-il.
Il confond son appartenance, les ambitions de son groupe, avec la vérité, alors que les récents événements ont fait la preuve absolue du contraire.
On ne peut accorder aucun crédit à la parole de ce gugusse, c’est cela qui est effrayant accolé à sa fonction de détenteur de la force.
Si l’on résume la situation générale : le fisc pille en toute impunité, les flics tabassent, flinguent, “tasent ou flashballent”, les juges condamnent – plus récemment rackettent –, tous à volonté pour que l’autorité soit bien installée dans la tête des français, au profit des…. Hommes de l’Etat, pas de la France.
Effectivement nous approchons du bout. Pas du jugement dernier, mais de celui des braves gens, des honnêtes gens, face aux voyous qui nous mentent à longueur de journée.
Allez, je vais boire une anisette “El Mono”, c’est l’heure.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "Darmanin : “refuser l’autorité, voilà le mal de notre société”"
De passage dans ma librairie favorite, où je ne peux m’empêcher de regarder la contre-information à la pravda nationale, je tombe sur le livre de Maxime Rovere : Que faire des cons ? Voilà qui pourrait éclairer ma lanterne sur ce qui peut se passer dans nos sphères gouvernantes. J’aimerais bien comprendre comment ils arrivent à être nuls en toute matière et à mécontenter absolument toutes les catégories socioprofessionnelles, depuis les commerçants jusqu’aux militaires, et même un autre gros paquet de fonctionnaires, sauf évidemment ceux qui savent profiter du système et ceux-là se comptent par millions. La procédure de base dans les négociations entre une profession quelconque et l’État est que ce dernier propose d’abord un projet qui n’a aucune cohérence pratique, administrative et financière, fait semblant de négocier quelques mois puis impose SA solution, sous prétexte que c’est l’intérêt du citoyen de base, consommateur, ceci sans avoir la moindre idée de ce que veut ou ressent sur la question le citoyen de base, qu’il n’est pas lui-même évidemment, en temps que membre de « l’élite ». Pour eux, il n’y a de gagnants que s’il y a des perdants. La négociation du type gagnant-gagnant, ils ne connaissent pas, probablement faute de n’avoir jamais œuvré dans le monde économique réel, sauf exceptions. Il y a à coup sûr des millions de chefs de PME, d’indépendants, de libéraux, d’artisans, de restaurateurs, de cultivateurs et éleveurs, enseignants, etc…, qui aiment leur métier et cherchent à le faire bien dans le respect de leurs clients, mais sont significativement limités voire empêchés par une administration dépassée mais pinailleuse jusqu’au stade insupportable. L’intérêt de tous étant que l’économie fonctionne bien, on se demande pourquoi gouvernement et administration ne ratent pas une occasion de faire pour que cela marche mal. Cela fait des années que l’on se demande si leur état mental n’a pas quelques sérieuses déficiences. Si les décisions délirantes voire débiles sont le fait de leurs mécanismes cérébraux les plus profonds ou d’une incapacité insondable d’analyse des problèmes. La crise liée au covid19 nous a fait la démonstration flagrante qu’ils sont complètement cons. Sans vouloir mettre tous les « dirigeants » dans le même panier, on pouvait encore accorder certaines circonstances atténuantes, mais là, même avec ce qui pourrait nous rester de bienveillance, c’est la consternation qui l’emporte totalement.
Faire un stage de philosophie spécialisée avec Maxime Rovere, dont il faut conseiller le livre, peut donc être d’une grande utilité. Je le cite : « La connerie est tout sauf statique. Elle se distingue par une résistance très spécifique que les cons opposent aveuglément à tout ce qu’on veut faire pour améliorer une situation quelconque – y compris la leur. Toujours donc, dans une vigoureuse opposition à vos efforts, ils voudront noyer vos arguments dans des ratiocinations (raisonnements trop subtils) sans fin, étouffer votre bienveillance par des menaces, votre douceur par des violences, et l’intérêt commun dans un aveuglement qui sape les bases mêmes de leur propre intérêt individuel. En ce sens, la connerie n’est pas seulement une sorte de résidu incompressible de l’évolution humaine, au contraire, elle est l’un des principaux moteurs de l’Histoire, une force qui – malgré ou plutôt grâce à son aveuglement – a remporté une grande partie des luttes du passé et en remportera beaucoup à l’avenir. Pour résumer la permanence insurmontable de cette force, on conviendra donc de ceci : les cons s’obstinent. »
« Les cons s’obstinent » : seule explication au fait que l’hydroxychloroquine soit toujours théoriquement interdite en France, que l’État providence soit toujours « sous protection » malgré sa faillite évidente, que l’on ait oublié comment éduquer la jeunesse ou fabriquer une centrale nucléaire, qu’on ait oublié qu’il faille des médecins pour que les français puisse se faire soigner, qu’on nous assomme avec le réchauffement climatique et le CO2 alors que les données de température se sont stabilisées depuis 25 ans et que le CO2 est sans action démontrée sur l’effet de serre.
Autre passage inspirant du livre de Maxime Rovere : « Les cons inspirent, au premier serrement de mains, une terrifiante impression de risque. On sait dès le départ qu’il faut les ménager; on esquive le conflit presque à chaque phrase, à chaque regard; d’une rencontre à l’autre, ce jonglage se poursuit sans qu’on soit toujours sûr de ses propres succès; puis vient le jour où tout s’effondre. En contemplant les choses qu’ils ont brisées en mille morceaux, on fait l’expérience de l’irréparable – l’une des plus douloureuses, l’une des plus fascinantes de toutes. Certains philosophes, dans un esprit de consolation, assurent que l’irréparable était au fond inéluctable; mais c’est un doux mensonge. L’irréparable arrive le plus souvent par accident. Et c’est cela précisément qui définit les cons : ils rendent les accidents inévitables ».
Quand Agnès Buzyn a vu venir l’épidémie de Covid19, et le manque de réactivité de l’équipe de tocards qui l’entourait, elle a préféré quitter le navire avant l’accident devenu inévitable, ce que j’aurais certainement fait aussi en de telles circonstances pour ne pas être associé à la série de décisions ou de non-décisions totalement lamentables qui ont suivi. Après, il a fallu trouver pour le poste un benêt susceptible de dire tout ce qu’on lui dit de dire et à l’occasion récupérer une partie des responsabilités du désastre sanitaire. Pauvre Olivier Véran. Je me demande comment il a pu accepter ça.
Reste que la nature dans son jeu habituel de reproduction d’une espèce donne à chaque génération toute la gamme possible des variantes individuelles, du plus con au plus intelligent – disons plutôt « capable ». Après, chacun a les chances dont il a hérité dans l’aventure de la vie. Malheureusement, les brutes, obtuses, bornées, primaires, possessives, autoritaires, pernicieuses et maléfiques, et leur cour de dépendants, ont souvent quelques capacités à s’accaparer le pouvoir. Il faut une base populaire bien instruite pour qu’une démocratie marche correctement. C’est un vrai problème. Rovere dit bien que l’on peut tenter négocier avec les cons, surtout sans agression, sinon, ils se braquent, en les faisant parler sur ce qu’ils pensent, leurs convictions, etc, en cherchant le point faible qui permettra de leur faire douter d’eux. Ce n’est pas gagné d’avance. D’autant plus que d’après Rovere toujours, mais cela reste d’expérience commune, le con aime provoquer, aime la réaction à ses dires péremptoires, aime écraser la contestation par des arguments fallacieux, aime même les insultes qui le font croire « dominant ». Reste une révolution pour les chasser quand ils sont au pouvoir, ce qui suppose un petit pourcentage de la population bien impliqués, et un peu d’organisation. La France est presque mûre.
Plus le temps passe, et plus la réalité devient difficile à nier.
(Toutes les affirmations de ce billet se trouvent soutenues par des références données in fine)
Commençons par le début : le coronavirus est un rhume. Ça ne veut pas dire qu’il ne peut pas se révéler mortel : et d’ailleurs, n’importe quel rhume peut dégénérer, gagner bronches et poumons et devenir mortel.
On pourra reprocher aux Chinois de nous avoir expédié le coronavirus, on ne pourra pas leur reprocher de nous l’avoir expédié sans son « mode d’emploi », son traitement, si vous préférez. Traitement repris et normé par le professeur Raoult, et dont il devient de plus en plus difficile de nier la très bonne efficacité, à condition bien sûr d’en respecter (comme pour tout traitement) le protocole. C’est ainsi que partout où l’on utilise l’hydroxychloroquine, on observe des taux de mortalité inférieurs à 0,5 %.
À noter ce paradoxe : parmi les quelque cent cinquante vaccins à l’étude (les promesses de gains aiguisent les appétits), l’un d’entre eux utiliserait les propriétés de l’hydroxychloroquine.
La dangerosité de ce rhume a été très grandement exagérée : comme le rappelle Alexandra Henrion-Caude, la tuberculose, dont personne ne parle, tue chaque année 1,5 millions de personnes (contre 600 000 pour le covid).
L’épidémie est terminée en France et dans de nombreux pays, et se trouve dans sa phase descendante partout dans le monde (Didier Raoult, Nicole Delépine, Gérard Delépine, Alexandra Henrion-Caude, Jean-François Toussaint…).
Les rares cas ne concernent plus que les populations jeunes, qui ne développent pas ou développent peu la maladie.
La litanie des « cas » remplace désormais celle des morts. Dans les rangs des politiques et des journalistes, personne ne s’étonne du changement majeur de l’objectif des mesures imposées passant d’« aplatir la courbe », à « éradiquer Sars-Cov-2 », une entreprise qu’aucun scientifique ne peut juger crédible.
Pour ce qui est le cas de la France, Alexandra Henrion-Caude, mais aussi beaucoup d’autres (par exemple Nicole Delépine, Jean-François Toussaint…) dénoncent l’absurdité et même la dangerosité du port du masque (en dehors de certaines circonstances bien délimitées).
Il devient évident qu’une immense majorité de personnes ont été victimes d’une « panique collective » : c’est en tout cas ce que suggère Thierry Gourvenec (et beaucoup d’autres avec lui).
Panique collective, délire collectif : un phénomène parfaitement observé et décrit en son temps par Edgard Morin s’appuyant sur un épisode historique dit la « rumeur d’Orléans » : en 1968, la croyance s’est installée de la disparition de femmes enlevées à des fins de prostitution, une croyance qui s’est révélée n’être assise sur aucune réalité.
Si panique il y a eu, nous ne sommes sortis d’affaire. Ses études ont en effet montré à Thierry Gouvernec que si les personnes moyennement ou peu instruites acceptent assez facilement reconnaître s’être ou avoir été trompées, ce n’est pas le cas de celles dont le niveau d’instruction est plus élevé : ces dernières se montrent au contraire incapables d’une telle prise de conscience.
Pourquoi, sachant cela, prendre la peine de ce billet ? Parfois les gouttes d’eau…
Question de fond : jusqu’à quel niveau de responsabilité la panique peut-elle expliquer les (catastrophiques) décisions prises ? Jusqu’à quel niveau faut-il remonter pour trouver les menteurs ? C’est-à-dire ceux qui savaient et ont menti par intérêt ?
Des dirigeants politiques, pour mieux asseoir leur pouvoir, des hommes des médias, par souci de plaire à leurs maîtres et financiers, les hommes des laboratoires pharmaceutiques et leurs complices rémunérés, par souci d’enrichissement…
Si l’on suit Gourvenec, la panique expliquerait tout, jusqu’au plus haut niveau.
Personnellement, je n’en crois rien.
Gourvenec est un grand savant, mais je suppose qu’il ignore ce qu’on appelle « l’économie comportementale ». J’ai longuement étudié ce qu’était l’économie comportementale dans un article dont je donne le lien ci-dessous.
Pour les hommes de l’économie comportementale, on peut facilement conduire les populations à adopter des comportements souhaités par l’utilisation de ce qu’ils appellent des « nudges ». Le nudge (coup de coude) est une information, une image, un slogan, bien choisi, au bon moment. Peu importe que le nudge soit vrai ou un gros mensonge, il faut seulement qu’il soit bien choisi.
À savoir : quand un homme de l’économie comportementale se trouve peu ou prou démasqué, il s’en sort par une pirouette ! Il dénonce un « complotisme ».
Si je vous dis qu’il faut absolument vous faire vacciner contre un rhume, vous allez hésiter. SI je vous l’impose, vous pourriez bien vous rebeller. Mais si je parviens à vous persuader que ledit rhume met en péril la vie de la moitié de la planète, et par conséquent la vôtre aussi, et celle de votre grand-maman, plus besoin de rien imposer, vous accepterez tout, confinement, masques… et de vous-même vous vous battrez pour vous faire vacciner avant tout le monde.
Le coronavirus est peut-être bien le plus gros nudge de tous les temps. Et nous n’avons pas fini d’en payer les conséquences.
Et de toute façon, même si vous n’êtes d’accord avec rien de ce qui constitue le présent article, vous devez cependant absolument prendre la peine d’écouter Alexandra Henrion-Caude, généticienne équilibrée et sincère, dont les propos, au minimum vous interpelleront : https://www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=c3V6DxmOy8o&feature=emb_logo
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