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COMMENT ON VOUS ENFUME AVEC LES ENERGIES RENOUVELABLES

Rien à ajouter, tout est dit.
Ce n’est pas récent, mais malheureusement c’est toujours d’actualité.
A vous de vous faire votre opinion.
L’enfumage est total pour vous piller…

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Le zéro pointé en économie des candidats de l’ENA

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L’école nationale d’administration (ENA), à Paris. Photo © DURAND FLORENCE/SIPA

La présidente du jury du concours s’inquiète de la “méconnaissance” en économie des postulants censés devenir “l’élite de la nation”…

C’est un nouveau camouflet pour l’ENA. Depuis qu’Emmanuel Macron a annoncé vouloir la supprimer, la très prisée école d’administration, par laquelle sont passés de nombreux responsables politiques, dont le président de la République lui-même, est sous le feu des critiques. Interrogée par L’Opinion, la présidente du jury du concours Isabel Marey-Semper vient ajouter de l’eau au moulin de ses détracteurs, s’inquiétant notamment du niveau en économie des candidats.

Méconnaissance du monde de l’entreprise

Ainsi, celle qui a été directrice de la communication et des affaires publiques de L’Oréal pointe « la méconnaissance par les candidats de la vie en entreprises, de ce qu’est un modèle économique, la faible culture industrielle et microéconomique, la compréhension parfois trop partielle des enjeux géo-politico-économiques mondiaux ». La présidente du jury s’étonne également de l’importance donnée par les postulants, pendant l’épreuve d’entretien, à la « République sociale » et à « la priorité donnée à la réduction des fractures territoriales et des inégalités et à la lutte contre la précarité ». Ainsi, pour les candidats, « les entreprises sont considérées exclusivement comme une source de financement de l’action de l’Etat par les recette fiscales », selon elle. Dans un rapport qu’elle a rendu au Premier ministre le 21 janvier dernier, Isabel Marey-Semper insiste sur le fait que les futurs énarques doivent apprendre à « réconcilier » le public et le privé, qui « sont deux mondes qui s’ignorent ou se défient, voire se méprisent ».

Une trop grande concurrence interne

Autre constat alarmant de la présidente du jury : « Les élèves ne savent pas toujours « travailler ensemble et coopérer ». En cause, la concurrence parfois féroce pour le classement de sortie, qui détermine les premiers postes, et donc une bonne partie de la carrière des hauts-fonctionnaires. Ce classement de sortie « va à l’encontre de cet objectif de coopération puisqu’il induit une concurrence entre les élèves », estime-t-elle. Autre inconvénient de ce classement : « la richesse et la diversité des candidats semblent estompées », juge-t-elle. En résumé, comme l’explique L’Opinion, la majorité cherche à se fondre dans le moule, y voyant sa meilleure chance de succès pour décrocher un bon poste. Isabel Marey-Semper propose donc de doter la haute fonction publique d’une véritable gestion des ressources humaines, plutôt que de faire dépendre la carrière du rang de sortie de l’ENA. Elle recommande aussi la détection de « leadership » lors de la sélection : des candidats « capables de douter et de remettre en cause leurs idées » et « disposant d’un sens éthique et d’une confiance en soi mesurée (ni trop humbles ni trop arrogants) ».

sur le web:  https://www.valeursactuelles.com/societe/le-zero-pointe-en-economie-des-candidats-de-lena-115629?fbclid=IwAR0RcoSkQVj05q3A-7sHUuVyHmNslyYRNzTJrUB5hd7HQ_VNkliZcXKGo8A

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Quand Google vous espionne

Bien sûr on s’en doutait tous sans vraiment savoir.
Là, c’est impressionnant.
Vous êtes espionnés 24h/24.
Que fait il réellement de toutes vos données?
Vidéo courte mais percutante.
Bonjour Big Brother…

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Impôts : comment l’Etat gaspille notre argent !

Allez, une petite vidéo pour la route, pour vous mettre de bonne humeur.
On s’en doutait mais en voyant les chiffres et quelques bénéficiaires de nos impôts, cela fait chaud au coeur.
L’exemple de la pléthore de fonctionnaires à Météo France payés à glander (95%) est magnifique. Quel merveilleux pays que notre France.
Ce n’est qu’une petite partie de ce que vous mettez dans le tonneau des Danaïdes…

https://www.youtube.com/watch?v=rMu2NcVm1QU

 

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Emmanuel Todd, L’ENA et les «crétins diplômés», et les Gilets jaunes

https://www.facebook.com/RTFrance/videos/176329600387521/

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France: un modèle social en échec!

DE PLUS EN PLUS D’ACTUALITE

Théoriquement, lorsqu’un pays est numéro 1 mondial de l’impôt comme c’est le cas de la France, les caisses sont pleines. Or, malgré des prélèvements fiscaux titanesques, l’Etat français est en quasi-faillite et ses caisses de retraite sont vides, affirme Didier Maurin, le directeur de Katleya Gestion

Financer un système dont le Français ne se sert pas

A titre d’exemple, le délai d’attente pour décrocher un rendez-vous auprès d’un ophtalmologue ou d’un dermatologue dans l’Hexagone varie de 6 à 12 mois. Les causes principales s’avèrent être l’augmentation du nombre des patients et des départs à la retraite des praticiens qui ne sont pas remplacés, sans oublier les disparités régionales. Par conséquent, hormis les résidents des Alpes-Maritimes plutôt bien lotis, les Français de province sont condamnés à subir cette attente, ou pour les plus aisés, à franchir la frontière. En effet, dix à quinze jours suffisent pour obtenir le rendez-vous souhaité dans un pays limitrophe dès lors que le patient est prêt à ouvrir son porte-monnaie. Les Français en sont donc réduits à financer une Sécurité sociale, leur propre assurance privée complémentaire, et à prélever régulièrement dans leur portefeuille pour concrétiser leur accès aux soins.

Même chose en matière d’éducation… Nombre de parents font l’amer constat d’une école publique française de moins en moins à même d’apporter à leurs enfants le niveau escompté, aussi financent-ils une école privée sur leurs propres deniers pour obtenir ce qu’ils souhaitent. Une fois de plus, ils financent un système dont ils ne se servent pas tout en payant à côté.

Médecine, école, retraite, le modèle social et étatique français – tellement parfait qu’aucun autre pays n’en veut, comme le soulignent de nombreux économistes – est un échec. Evidemment, puisque trop d’impôts tue l’impôt!

30 ans de socialisme et de racket fiscal français ont fait fuir de nombreux talents et entreprises qui ne sont pas près de revenir, et la situation ne va pas s’améliorer, alors même que les déficits sont abyssaux. Un philosophe comme Nietzsche l’avait bien dit: «les peuples ne savent apprendre et ne peuvent apprendre que dans la souffrance et par la souffrance». Bon nombre de Français ont décidé, du moins pour le moment, de tourner le dos aux socialistes dont les résultats sont aberrants, sauf pour qui aime compter le nombre de chômeurs et le peu de croissance du pays.

Emmanuel Macron aurait dû transformer la France en paradis fiscal

Quant à Emmanuel Macron, il est vraisemblablement en train d’échouer puisqu’il aurait dû transformer la France en paradis fiscal pour attirer les entreprises et les capitaux du monde entier, en diminuant immédiatement d’un tiers tous les prélèvements sociaux et fiscaux. Mais la bureaucratie française, dont le comportement remonte à Colbert, ce ministre de Louis XIV qui se plaisait à organiser les institutions de l’Etat, veille au grain. Elle se juge elle-même la seule apte à gérer et à redistribuer l’argent, pour le bien public bien entendu, et sait aisément bloquer la situation en prétextant que certaines choses sont impossibles à réaliser. De sa propre initiative, la France va donc continuer à «végéter», car il s’agit avant tout d’une question de mentalité.

Trop gauchiste, trop anti-prospérité des entreprises, trop anti-souplesse du droit du travail, la France fait peur, à l’image d’un Brexit dont elle ne profitera pas, les établissements financiers ayant préféré Francfort et Dublin à Paris pour se réinstaller. Car il doit y avoir une justice et une morale. Casser de nombreuses entreprises et beaucoup de chefs d’entreprises, notamment les plus jeunes, à grands coups de charges et d’impôts combinés à de nombreuses réglementations contraignantes n’a jamais apporté la prospérité à un pays.

L’éthique est donc sauve et la croissance continuera à s’installer ailleurs, car après tout, c’est peut-être ce que la France mérite.

 

Sur le web:  https://www.letemps.ch/opinions/2017/08/11/france-un-modele-social-echec-1

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La République du Bisounoursland fête dignement 2020 (en cramant 2020 voitures ?) par h16.

La République du Bisounoursland est un pays de lait, de miel et de traditions : alors même que la galette des Ni-Rois Ni-Reines En République est à peine digérée, il est plus que temps de reprendre le cours normal des activités de tous et de chacun en oubliant aussi vite que possible les fêtes de fin d’année dont les traditions ont, cette année encore, été parfaitement respectées. Notamment celle qui consiste à cramer toujours plus de voitures.

Eh oui : le passage de l’année 2019 à 2020 n’aura pas dérogé aux détestables habitudes d’un pays en décomposition de moins en moins lente. Apparemment, il est maintenant de tradition, après une ou deux coupes d’un champagne léger, d’aller brûler quelques véhicules pour se détendre à la nuit de la St Sylvestre. Et de façon toute aussi traditionnelle à présent, il semble que les autorités n’en ont plus rien à cirer : de même que les attaques de couteaux déséquilibrés sont maintenant rentrées dans ce qu’on définit comme « norme », la mise à feu de voitures particulières le 31 décembre ne provoque plus qu’un vague haussement d’épaule de la part du gouvernement, des politiciens et des autorités en général qui ont, il faut bien le dire, d’autres festivités à mener.

Dans ce cadre, on ne pourra que regretter la joie un peu trop débordante des Strasbourgeois dont l’enthousiasme festif a malgré tout fait parler de lui : les tirs au mortier, les violences et le nombre de voitures cramées ont été trop importants pour bénéficier du même camouflage en règle opéré partout ailleurs.

Et quand j’écris « partout ailleurs », c’est réellement partout. Quand on regarde, même rapidement, la presse locale, on se rend compte que toutes les grandes villes et les villes moyennes de France ont participé à cette nouvelle tradition festive : VénissieuxLimogesLaonBesançonVannesNantesAnnemasseMulhouseToulouseReimsAmiensSt EtienneLa Roche Sur YonAngers, pour ne citer que les premières entrées dans les nouvelles locales, autant de villes grandes et moyennes qui affichent ainsi un soutien sans faille à cet intéressant folklore naissant.

Devant cette avalanche de nouvelles, on devra s’étonner de l’absence quasi-totale de tout décompte global de voitures brûlées dans les grandes métropoles françaises, ou même d’un total général permettant d’apprécier l’ampleur de ce nouveau rite annuel. Si l’on s’en tient aux grands médias nationaux qui n’ont de cesse, l’œil vibrant et la lippe excitée, de dénoncer la moindre fake news, le phénomène des voitures brûlées n’existe pas, pour ainsi dire : épiphénomène extrêmement localisé, petits dérapages locaux-régionaux sans importance et sans réelle signification sociologique, économique ou politique, les grands quotidiens se sont parfaitement entendus pour ne pas traiter de l’information qui, d’ailleurs, n’existe pas.

Les riverains qui, par mégarde, auraient vu des voitures brûlées le lendemain du réveillon sont au mieux d’enquiquinants rabats-joie un peu trop focalisés sur des faits divers anecdotiques, au pire des complotistes de l’extrême-droite nauséabonde, et puis c’est tout.

D’ailleurs, la République du Bisounoursland a bien compris comment régler le problème : on ne communique plus dessus, du tout, pour ne faire ni le jeu de la surenchère (on ne voudrait pas que s’instaure une petite compétition entre départements, cités ou régions, voyez-vous, la République veille), ni le jeu des zextrêmes, forcément à l’affût. Une pierre, deux coups, c’est simple, facile, carré, et ce #PasDeVague républicain sur les voitures en rappelle un autre sur les violences à l’Education Nationale (qui n’existent pas). Ce n’est absolument pas pour cacher l’étendue des dégâts, l’impuissance des forces de l’ordre, le jmenfoutisme des autorités et le désarroi des populations touchées. Pas du tout.

Dans ce cadre, on comprendra donc la rage qui a pu s’emparer des élus de Paris lorsque le président américain, Donald Trump, a eu l’impudence de noter que tous ces véhicules qui crament, ça fait mauvais effet et ça amoindrit les performances de la France en terme d’émissions de dioxyde de carbone.

Donald J. Trump

@realDonaldTrump

How is the Paris Accord doing? Don’t ask! https://twitter.com/JackPosobiec/status/1212136743232790529 

Jack Posobiec🇺🇸

@JackPosobiec

Macron’s France https://twitter.com/sotiridi/status/1212135099879370752 

Rassurez-vous.

Nous sommes le 6 et ce nouveau rituel est déjà oublié dans les médias et dans les têtes des dirigeants. L’actualité a fort heureusement posé un voile pudique sur les troubles qui secouent la France de plus en plus violemment, sur l’incurie des dirigeants, sur l’incompétence crasse de l’Etat à assurer sa mission de base – la sécurité des biens et des personnes, sur la vacuité de la notion de justice sur ce territoire, sur le jmenfoutisme total des classes babillardes qui, largement pourvues en parkings fermés, n’a pas eu à subir le désagrément d’une voiture cramée en bas de chez soi. Joie, bonheur et décontraction : c’est même oublié de la part de l’engeance qui a provoqué ces dégâts.

C’est donc oublié pour tout le monde.

Ou presque : pour les riverains, pour les victimes de ces exactions, les activités festives (auprès des banques, des assurances, des administrations obtuses et pénibles) vont continuer de longues semaines. Pour une partie de ces Français, il va falloir se fader toute une panoplie réjouissante de démarches et de formalités, sans compter qu’en général, ce ne sont pas les voitures de riches qui partent ainsi en fumée, mais bien celles des classes laborieuses dont les déplacements dépendent ultimement de ces véhicules maintenant cramés.

Pour beaucoup, l’assurance ne couvrant pas ces dégâts, cela veut dire de nouvelles dettes, de nouvelles galères invraisemblables, le tout pendant qu’une petite caste de privilégiés fait absolument tout pour bloquer le pays. Cela signifie pour certains une perte d’activité, pour d’autres de devoir faire une croix sur un travail, une rémunération. Le mois de janvier s’annonce idyllique pour ceux-là.

Tous ces individus dont on vient de ruiner une partie de la vie, personne n’en parle plus, dès le 2 janvier. Les âneries d’Anne Hidalgo et de son équipe de clowns tragiques ont eu plus de place dans les journaux que les problèmes des anonymes maintenant confrontés à une série de difficultés qu’aucun service de la République du Bisounoursland ne viendra amoindrir (au contraire même : les administrations françaises veilleront à maximiser l’emmerdement auprès de ces citoyens, n’ayant en réalité aucune autre raison d’exister).

Soyons lucide : cette République est mourante. Elle se fout ouvertement de ses citoyens, méprise le peuple et laisse les pires crapules et la plus basse des racailles proliférer.

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Pour de meilleurs salaires ? Bruno Le Maire a la solution ! Par Simone Wapler.

Par Simone Wapler.

Bruno Le Maire ne connaît rien au capitalisme ni à la vie des entreprises ou s’il y connaît quelque chose, c’est une science livresque glanée il y a 25 ans sur les bancs de l’École normale puis de l’ENA.

Bruno Le Maire n’a jamais travaillé dans une entreprise, même publique. Cela ne l’empêche pas d’avoir des idées bien arrêtées et totalement fausses sur la bonne marche du capitalisme – donc de l’économie de marché – et sur les salaires que peuvent payer les entreprises.

Mais revenons au cœur du sujet.

Bruno Le Maire ignore que la nationalisation des assurances sociales et la mainmise de l’État sur les cotisations aboutissent à un paradoxe : le coût du travail est très élevé en France tandis que les salariés ont l’impression de ne pas être assez payés.

Cher Bruno Le Maire, voici un tuyau, un vrai, pour augmenter les salaires : il suffit que l’État, votre gouvernement, en prenne moins et alors il en restera davantage aux salariés. Imparable, non ?

Car, oui, les cotisations sociales SONT des éléments de salaire. Pour embaucher ou débaucher, un chef d’entreprise ne regarde qu’une chose : le salaire brut de brut, celui qu’il débourse.

Appelons-le salaire complet car la distinction entre « charges patronales » et « charges salariales » n’est qu’une subtilité pour noyer le poisson.

Ceci posé, un petit peu d’arithmétique simplette que même un littéraire peut comprendre :

  • salaire complet d’un salarié au SMIC : 1615 euros
  • salaire net perçu par l’employé 1204 euros
  • différence (assurances sociales) 411 euros

Coût des assurances sociales : 34 % du salaire net (celui qui entre dans nos poches et dont nous pouvons librement disposer) et 25 % du salaire complet (celui que débourse l’employeur). Ces assurances sociales sont – je vous le rappelle monsieur le Ministre  – prodiguées par l’État en situation de monopole.

Si Bruno Le Maire prendre moins à nous, nous avoir plus.

Fastoche, pas besoin de réinventer le capitalisme qui a réussi à supprimer les famines, à sortir les masses de la pauvreté et conduit à une réduction des inégalités.

En revanche, la déviance socialiste, qui consiste à nationaliser à tour de bras et à instaurer le monopole public, mérite d’être contrecarrée. Car on peut nous prendre moins et avoir des prestations aussi bonnes. C’est ce que font les pays qui nous entourent et sont épargnés par la lèpre du chômage de masse que nous connaissons.

UN MONOPOLE PUBLIC HAÏSSABLE

On oublie peut-être de vous dire à l’ENA que le monopole est une vilaine chose anticapitaliste.

Répétons :

— le capitalisme n’est pas mauvais et son moteur est la concurrence.

— le capitalisme est l’organisation qui vise à faire le mieux possible au moindre coût possible justement grâce au défi perpétuel de la concurrence.

— le monopole est anticapitaliste car il conduit à des prix élevés du fait de l’étouffement de la concurrence (il existe cependant quelques cas rares de monopole privé dû à l’excellence mais dans ce cas, personne ne s’en plaint).

La concurrence c’est la liberté.

Détruire la liberté d’agir, c’est détruire la possibilité et par suite la faculté de choisir, de juger, de comparer.

C’est tuer l’intelligence, c’est tuer la pensée, c’est tuer l’homme. Frédéric Bastiat

Le monopole privé est toutefois moins dangereux que le monopole public car il est assez facile à abattre : il suffit de légiférer contre celui qui étouffe la concurrence par des pratiques déloyales.

Le monopole public, en revanche, est très difficile à abattre car le législateur fait collusion avec le monopolisateur. Le législateur est en conflit d’intérêt.

Un petit exemple récent, cher Bruno Le Maire, pour cadrer mon propos et qui va vous démontrer l’inefficacité de votre Sécurité sociale.

Le rapport du magistrat Charles Prats publié fin 2019 a secoué le Sénat. « Il existe des millions de zombies dans les fichiers de la Sécurité sociale », a déclaré le rapporteur.

La Sécurité sociale est l’assureur maladie en situation de monopole public pour les salariés du secteur privé. Le cœur de métier d’un assureur, outre les calculs sophistiqués de risque et probabilité, c’est un fichier bien tenu de ses affiliés.

En général, les assureurs ne payent que leurs affiliés en règle de leurs cotisations et savent faire la chasse aux zombies. Que celui qui a été indemnisé par un assureur sans payer ses primes se fasse connaître !

Le rapport Prats a donc mis en évidence de graves erreurs dans les fichiers de la Sécurité sociale, erreurs visibles en confrontant ses chiffres à ceux d’un autre établissement public, l’INSEE. Alors là, Bruno Le Maire, mauvaise nouvelle : ça ne colle pas, mais pas du tout !

L’INCOMPÉTENCE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE

Voici les niveaux d’erreurs de la Sécurité sociale :

  • 10,06 % pour le nombre d’individus potentiellement bénéficiaires de prestation
  • 25,26 % pour les personnes nées à l’étranger
  • 14 762 % pour les centenaires (3,1 millions pour la Sécu contre 21 000 pour l’INSEE)

Aucun assureur privé ne survivrait à de telles approximations. Il serait condamné à la faillite ou – plus probable – il aurait nettoyé ses fichiers avant de virer dans le rouge. Comme vous le voyez, Bruno Le Maire – et même si votre formation est littéraire – il existe une gigantesque possibilité d’amélioration uniquement en balayant devant votre ministérielle porte !

Charles Prats a évalué le coût des zombies – ces assurés fantômes – à « plusieurs dixaines de milliards d’euros » ce qui fait donc des « des milliers d’euros par cotisant ». Je vous rappelle que c’est notre argent : l’employeur le débourse pour payer notre travail.

La mise en concurrence de la Sécurité sociale permettrait certainement à cet organisme de revenir à une gestion moins entachée d’erreur.

Mais qui en parle du côté de votre gouvernement ?

UN MOYEN SIMPLE D’AUGMENTER NOS SALAIRES

Mettre les assureurs sociaux en concurrence, briser le monopole : voilà une façon très simple d’augmenter les salaires, non ? Inutile de donner des consignes à des chefs d’entreprises. Nos cotisations de sécurité sociale (maladie, chômage, vieillesse, invalidité, accident du travail) sont les plus élevées des pays de l’OCDE. Si on en prend moins, il nous en reste plus.

J’ai envoyé mon dernier bouquin La rage de l’impôt au président Macron qui m’en a gentiment accusé réception mais il ne l’a pas lu. S’il l’avait lu, ce gouvernement ne se serait pas fourvoyé dans cette lamentable réforme des retraites qui conduit à renforcer le monopole public de l’assurance vieillesse.

Dommage, car le chapitre 6 donne des pistes sur ce que nous aurions à gagner en pouvoir d’achat ou d’épargne en instaurant le versement du salaire complet et en mettant en concurrence les assureurs sociaux et tous les risques : maladie, invalidité, accident du travail et vieillesse.

Loin de moi, cher Bruno Le Maire, de vouloir vous donner des leçons comme vous en donnez aux chefs d’entreprises, vous qui n’avez jamais embauché ou payé de salarié.

Voyez-vous, il ne s’agit pas là de théorie.

Je vous parle de ce que je connais, de ce qui m’appartient, de ce que vous me prenez puisque je n’en dispose plus.

Je vous parle de mon argent, des cotisations que je paye, que nous payons tous.

La différence entre vous et moi est que vous gaspillez de l’argent que vous n’avez pas gagné tandis que je tente d’éviter le gaspillage de ce que j’ai gagné.

À ce stade, Audiard vient hanter mon esprit : « Il y en a qui gaspillent. Il y en a d’autres qui collectent ». L’ennui, avec les politiciens actuels, c’est que gaspilleurs et collecteurs sont les mêmes ; ils gaspillent sans en subir les conséquences, ils collectent de force car ils forgent les lois qui le leur permettent.

Sur le Web:  https://www.contrepoints.org/2020/01/12/362130-pour-de-meilleurs-salaires-bruno-le-maire-a-la-solution

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REGARD SUR LA RETRAITE DU SECTEUR PRIVÉ DURANT 62 ANS QUE L’ON M’A ATTRIBUÉE.

De 1956 à nos Jours : 62 ans d’Imagination fiscale… et de Mensonges.
« Déjà, je me présente. Je m’appelle Micheline Sany.
Je suis née en 1927 et je vous le dis tout net :  à force de tirer sur l’élastique, la Corde va péter !

Bonjour,

Je veux exprimer le fait que le nouveau système de retraite serait moins généreux suivant les syndicats en particulier mais l’ancien ne fait que réduire les revenus des retraités du secteur privé. Alors je pense que le problème c’est la gabegie française. Car en fait il n’y a pas entre les salariés d’égalité devant la retraite, les avantages sociaux, les congés, le temps de travail, la pénibilité…etc. Il n’y a pas de fraternité chacun défend son intérêt . Il y a moins de liberté les GJ et ces dernières années démontrent une régression. Les Politiques depuis 1970 sont responsables de cette médiocratie !
Si rien n’est fait, la population du secteur privé devra encore apprendre à travailler plus au lieu de vivre pour nourrir cette médiocratie . Moralité la France était coupée en 2 maintenant elle est pliée en 4.
Mais Le % de syndicalisation est très faible en France aux alentours de 7% dont 80% sont issue de la fonction Publique et de Grandes entreprises d’ETAT ou assimilées. La différence avec d’autres pays Européen voir même aux USA ou le % est de loin plus important.

Regard donc sur la retraite du secteur privé durant 62 ans que l’on m’a adressé =
La situation où on en est !

De 1956 à nos Jours : 62 ans d’Imagination fiscale… et de Mensonges.
« Déjà, je me présente. Je m’appelle Micheline Sany.
Je suis née en 1927 et je vous le dis tout net : > à force de tirer sur l’élastique, la Corde va péter !
En 1956, quand Guy Mollet a instauré la Vignette pour « fournir un Revenu minimum à toutes les personnes âgées de 65 ans et plus », bon… moi j’avais à peine 30 ans et j’étais très fière de pouvoir venir en aide aux Anciens. En plus, Paul Ramadier, le Ministre des Affaires Economiques, avait affirmé que ça serait une Taxe temporaire…
Bah, il a duré Quarante-Quatre Ans le Temporaire !Pendant quarante-quatre ans j’ai payé cette Vignette ! Alors merci !
Surtout que les Anciens n’en ont presque jamais vu la couleur, vu qu’au bout de trois ans, le Premier Ministre, Michel Debré, a annoncé que le Produit de la Vignette serait finalement « acquis au Budget de l’État… », qui le reverserait au Fonds National de Solidarité. Enfin, en partie… Enfin, en petite partie. Que les Vieux se fassent dépouiller comme ça, ça a fait du foin, pendant toutes ces années. Mais ça n’a jamais rien changé.

Ensuite en 1991 , quand ils ont créé la CSG, la Contribution Sociale Généralisée pour financer la branche famille, en remplacement des Cotisations Patronales d’Allocations Familiales, bon… sans râler, j’ai payé !
Surtout que ça ne devait durer que Cinq ans.
« Une Contribution transitoire » qu’ils disaient et puis 1,1 %, c’était supportable.
Seulement Vingt-Sept ans plus tard, elle transite toujours la CSG !> Et elle a grimpé à 9,2 % pour les Salariés et 8,3 % pour les Retraités.
Par étapes, bien sûr, c’est moins voyant.
En 1993, elle est passée de 1,1 à 2,4 %. Pour alimenter en plus le Fonds de Solidarité Vieillesse. Y’avait pas déjà la Vignette pour ça?
De + le calcul passe des 10 meilleures années aux 25 meilleures années.
Chuuuuut, arrêtez d’être insolents !

En 1997, elle augmente encore pour financer, en plus, la Branche Maladie : on en est à 3,4 %.
En 1998, toujours pour la branche maladie, elle passe à 7,5 %, etc., etc.
Bref, la Protection Sociale ne s’est pas redressée, et ce qui devait être temporaire est devenu…
un Impôt de Plus. Ah bah oui !
La CSG, ça rapporte plus que l’Impôt sur le Revenu aujourd’hui.
Si on vous demande combien vous payez d’Impôts par an, vous savez le dire.
Mais si on vous demande combien vous payez de CSG, vous savez ?
Chez moi on disait : « C’est tout un art de plumer l’Oie sans la faire crier.»
Alors qu’il y aurait de quoi hurler.

Et puis en 1996, rebelote avec la CRDS, la « Contribution à la Réduction de la Dette Sociale ». J’ai payé. (Mais j’avoue, j’ai râlé.)
À cette époque, les Déficits Sociaux s’élevaient à un Montant estimé entre 30 et 38 Milliards d’euros. Oui, parce que nous, si on se trompe de dix euros dans notre Déclaration de Revenus, on risque une Amende, mais eux, un flou de 8 Milliards, ils ont le Droit…
Toujours est-il qu’ils avaient tout bien calculé :

en treize ans, tout serait remboursé. La CRDS devait disparaître le 31 Janvier 2009.
Mais voilà-t’y pas qu’en Septembre 1997, le Gouvernement Jospin annonce 13 Milliards d’euros supplémentaires de Dettes, qui correspondaient aux Déficits Sociaux non financés des années 1996 à 1998. Alors, ils ont tout bien recalculé, finalement pour tout éponger il fallait prolonge jusqu’au 31 Janvier 2014.

Mais voilà-t’y pas qu’en 2004, le Plan de Redressement de la Sécurité Sociale concocté par Philippe Douste-Blazy annonce 50 Milliards d’euros supplémentaires de Dette à rembourser. Alors, ils ont tout bien re-recalculé… et ils ont vu que finalement, la Trinité était la meilleure date pour arrêter la CRDS. Donc, on la paye toujours…
Et puis, en 2004, Raffarin a inventé la « Journée de Solidarité », vouée à « l’Autonomie des personnes âgées ».
Moi, ça va, j’étais déjà à la Retraite, mais vous, vous avez travaillé, sans être payés !

Et en 2013 ,une nouvelle Taxe pour les Retraités.CASA, ça s’appelle.
C’est la « Contribution Additionnelle de Solidarité à l’Autonomie », 0,3 % sur les Retraites, Pensions d’Invalidité, Allocations de Pré Retraite.
C’est-à-dire qu’ils font payer les Vieux pour que les Vieux soient autonomes !
C’est pas du bon Foutage de Gueule, ça ?
Et on continue. En 2013,
toujours, M. Jean-Marc Ayrault
nous gèle les Retraites Complémentaires…
Et comme ça ne s’arrête jamais, maintenant, parce que j’ai 1 247 euros de Revenu Fiscal par mois,
j’ai une Augmentation monstrueuse de la CSG : 25 % d’Augmentation !
Ah ben oui, on nous a dit 1,7 % ,
mais c’est pas 1,7 % de ce qu’on payait,
c’est le Taux qui augmente de 1,7 % !
Bref, nous les Vieux, on est passés de 6,6 % à 8,3 % de CSG, ça nous fait 25 % dans les dents qui nous restent.

Un Rappel Info de 2015 que l’on m’avait communiquée et que je soumets à nouveau à votre curiosité et sagacité = ” AGIRC et ARRCO se sont entendus pour reculer la retraite d’un an à + de 63 ans… voyons qui sont les présidents?
-Jean-Louis Malys président Arrco, secrétaire national de la CFDT…
-Jean-Paul Bouchet président d’Agirc, également cadre CFDT…
Toujours d’avis que les syndicats défendent les intérêts de tous les salariés? ”
Vous comprenez mieux les Gilets Jaunes!

Et maintenant, la Cerise sur le pompon :
on nous annonce que nos Retraites vont être revalorisées de 0,3 %
.Cinq fois moins que l’Augmentation dont on aurait dû bénéficier si le Code de la Sécurité Sociale avait été simplement respecté, puisqu’il prévoit que les Pensions soient revalorisées du Montant de l’Inflation moyenne sur l’année pour éviter toute dégradation du niveau de vie.
Et l’Inflation prévue d’après l’Insee est de 1,6 %.
Et Bruno Le Maire ose dire sur RTL :
« Mais ils ne seront pas perdants, leur Pension de Retraite continuera à être revalorisée. » Il croit qu’on est tous gâteux ou quoi !!! «

Je vous remercie de l’attention bienveillante que vous porterez à ces informations.
MAIS SOMMES NOUS DIRIGES DEPUIS 1970 PAR DES VRAIS TOCARDS ?
Charles Prats est membre de l’institut de recherche économique et fiscale Vauban, et délégué au développement de l’association professionnelle des magistrats. Sa Dernière interview sur la réforme des retraites: «Tant que nous ne lutterons pas contre la fraude, toute réforme potentiellement régressive sera inacceptable»” : cliquez pour lire la suite=
https://www.lefigaro.fr/…/charles-prats-tant-que-nous-ne-lu…
Charles Prats – Bercoff dans tous ses états « Le taux de fraude à la sécurité sociale lors de cette mission anti-fraude était de 10,4%. Une arnaque à la sécurité sociale qui coûte 14milliards d’euros par an provenant des manques de contrôle hors de France»=https://www.youtube.com/watch?v=5pQxU9Mj2Lw
Il y aurait 14 milliards d’€ de fraudes à la carte vitale en France d’après des investigations réalisées, 1,8 millions de fausse carte vitale. Sans compter les faux retraités plusieurs centaines de millions d’€. Que fait-on? Ecoutez en cliquant sur le lien= https://www.youtube.com/watch?v=3uPQc-qkftw&feature=share

Sur le web:  https://www.facebook.com/edward.metzger.5/posts/2788219674572173

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COMMERCANTS,TPE,PME ne croyez pas aux promesses du gouvernement. Vous creverez tout seul!

Qui ne se souvient pas des grèves de décembre 1995.
Combien d’entreprises sont elles restées sur le carreau?
Un conseil vécu: n’attendez aucune aide de l’Etat.
Bercy et l’URSSAF vous passeront à la moulinette sans état d’âme, ils ne sont pas dans le monde réel. Ce sont des fonctionnaires hors sol.
Moi, j’ai survécu, mais certainement pas grâce aux fameuses aides et délais promis par l’Etat.

Un court extrait de mon livre  sur ce sujet “La Locomotive la plus grande discothèque de Paris ou la fin des années rock”

…L’année 1995 se terminera très mal pour nous, comme pour tous les commerçants de France, et plus particulièrement pour les parisiens.
Une grève quasi générale sera déclenchée à partir du 24 novembre jusqu’au, officiellement, 21 décembre 95.
Juppé voulait s’attaquer aux régimes spéciaux de retraites SNCF.
Putain, qu’est-ce qu’il n’avait pas dit.
Tous les transports pendant un mois, arrêtés complètement, vont nous pénaliser d’une façon considérable.
Considérable dans l’immédiat par une chute de plus de 75% sur cette période et considérable après car notre chiffre d’affaire baissa de 5 à 7 % par la suite.
Notre clientèle composée à 90% de jeunes, dont une grande partie venait en métro, les autres ne sont venus qu’au compte-goutte vu la fatigue qu’ils subissaient avec les monstrueux embouteillages de la journée, grand froid et la neige, qui comme par hasard se sont mis de la partie cette année-là.
Ils préféraient reprendre des forces chez eux avant de se retaper la galère du lendemain.
La discothèque ressembla donc au désert d’Arabie.
En semaine, il y avait quasiment plus de personnel que de clients. Le nombre d’entrées des fins de semaines était devenu le nombre d’entrées de mauvais jours de semaines.
Ce fut pour nous une période catastrophique, non seulement nous ne faisions pas de recette, mais en plus nous devions évidemment payer notre personnel.
C’était la double peine. Le jour de l’an fut aussi beaucoup moins bon.
Un tournant, malgré nous, avait été franchi.
Notre gouvernement de l’époque avait déclaré que les cotisations URSSAF pourraient être décalées pour les entreprises qui le voudraient.
Comme décalage, nous avons pris 10% de majoration !
L’URSSAF nous déclara qu’elle n’était pas informée de cet engagement.
En plus Juppé baissa sa culotte et tout resta comme avant.
C’était bien la peine d’avoir pénalisé tout le monde. Il aurait mieux fait de s’abstenir…

Ci-dessous un article de 2020, “remake” de 1995.

Grèves : les premières clefs ont été mises sous la porte

Il y a quelques semaines, nous avions publié sur le blog de Zenchef le témoignage d’une restauratrice dont l’établissement a été très fortement lésé par les mouvements sociaux. Cette tribune a rencontré un écho retentissant tant des restaurateurs et commerçants s’y sont reconnus. Aujourd’hui, la grève se poursuit et ses conséquences continuent de se faire sentir, poussant notre auteure cliente Zenchef, à reprendre sa plume.

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Nombreux sont ceux qui ont pensé que les commerçants et restaurateurs avaient juste crié au loup mais les premières clefs ont été mises sous la porte. Voici donc où nous en sommes aujourd’hui :

Il y a quelques semaines, j’ai choisi de publier mon expérience de cette grève sur un blog de restaurateurs avec pour seul dessein que mes semblables s’y retrouvent et se sentent moins isolés dans cette épreuve.

Mais également pour énoncer un autre type de patronat. Celui qui soigne ses salariés, crée de l’emploi, de la valeur, du lien social et qui est pourtant méprisé des syndicats et ponctionné jusqu’à la moelle par un gouvernement qui ne le soutient pas.

Les réactions ont été aussi binaires que le système que je souhaitais dénoncer.

Se plaindre des conséquences de la grève, ce n’est pas cautionner cette réforme à laquelle je n’ai même pas eu le loisir de m’intéresser, la retraite étant pour nous une utopie à laquelle nous ne songerions nous adonner.

Évidemment mon analyse des situations se lit à travers le prisme de ma position. Et je pourrais effectivement avoir un avis sur la question qui serait probablement différent de celui des grévistes. Mais les conséquences de ce conflit qui n’est pas le mien sont trop lourdes à porter pour que j’aborde son fond quand son exécution tue à petit feu tout ce que j’ai construit.

Si je condamne les grévistes, on me reproche d’être à la solde du gouvernement. Comme si c’était l’insulte ultime, bien qu’il ait été élu.

Quand je condamne le gouvernement, on m’objecte d’assumer les risques d’avoir entrepris sous sa houlette.

Se plaindre des conséquences dramatiques de la grève, ce n’est pas accuser l’un par opposition à l’autre. Je leur accorde même le mérite de se partager les torts dans la misère et les maux qu’ils ont conjointement créé et je persiste : la gravité de cette grève pour ceux qui ne l’ont ni engendré ni suivi n’a pas été suffisamment envisagée.

Sur l’autel de cette réforme seront sacrifiés nombre d’emplois, de commerces, de restaurants et, pire, des idées, des projets, des volontés créatrices pour ce pays.

Les patrons de TPE / PME sont un employeur majeur en France mais, avec leurs employés, ils sont également les derniers garants du savoir-faire français.

La restauration française, au-delà d’employer des milliers de salariés de tout milieu, contribue à promouvoir la gastronomie française, dynamise des quartiers, attire les touristes.

C’est dans nos établissements que les étudiants financent leurs études et c’est à nos terrasses que s’écrivent les plus beaux romans. On dira que cette vision est romantique et surannée, je vous confirme qu’elle le sera bientôt.

Car ne vous méprenez pas, nombreux sont ceux qui resteront sur le carreau, certains sauront rebondir, d’autres non. Mais, là encore, cette minorité qui n’a jamais la parole pourra probablement périr de manière aussi silencieuse qu’elle a lutté pour naître et survivre.

Seulement cette fois, la blessure restera béante. Chaque bail restera à céder, les projets resteront des idées.

On me rétorquera que je ne suis concernée et consternée que par la perte de mon « profit », encore un terme positif que l’opprobre social a marqué de son sceau.

Je vous répèterai que la réussite financière en restauration est une exception comme la licorne dans l’univers des start up. Une notion à laquelle certains se prêtent à rêver de temps en temps mais qui ne se présentera jamais pour la majorité. Le restaurateur ne sera jamais plus riche que la valeur de son fonds de commerce. Il s’enorgueillira d’un salaire s’il arrive à se le verser tous les mois. Comme la plupart de mes confrères, je me satisfais de peu : offrir des conditions de travail confortables à mes salariés et permettre à mes clients de passer une bonne soirée.

Si je me révolte, c’est parce que je ne peux accepter que mes salariés et moi-même payions un prix si fort à ce combat qui n’est pas le notre : eux celui de leurs emplois, de leurs salaires, de leur Noël et moi celui d’un projet de 7 ans.

Nous ne pouvons assumer SEULS la responsabilité des délitements sociaux de la France. Les gilets jaunes avaient déjà grignoté 20% du chiffre d’affaires de 2018, la grève a eu raison de 50% de ce qui nous restait, mettant en péril chaque écosystème de PME et augmentant dans la même propension la concurrence internationale, déjà difficile à contrecarrer et que tout le monde est pourtant prompt à critiquer.

Ici, chacun bataille pour son bout de gras et prêche pour sa paroisse.

Je comprends les mécanismes de l’État et l’impossibilité de satisfaire tout le monde. Je saisis la difficulté de guider le peuple malgré lui et pour son bien. Et j’entends parfaitement les revendications de ceux qui ne s’y retrouvent pas.

Mais pourquoi le dialogue entre ceux qui décident et ceux qui refusent est si éloigné de ceux qui subissent ?

Je maintiens qu’il faut réformer ce droit de grève qui n’est que le privilège de certains. Pas le supprimer, ni le diminuer mais le diriger à bon escient. Je maintiens que les petits employeurs et leurs salariés ne devraient pas subir de pertes si grandes à la table d’une discussion qui ne les concerne pas. Car il est FAUX de prétendre que l’issue pourra nous impacter d’une quelconque façon aussi positive soit-elle. Nous n’en aurons ni les récompenses ni les lauriers.

À notre échelle, nous militons chaque jour pour réduire la pénibilité des conditions de travail en restauration et avons même obtenu de bons résultats, mais sans que personne n’en soit témoin ou n’y perde son gagne-pain.

Je parle des travailleurs car j’en suis en ligne de mire. Mais quid des étudiants passant leurs concours, des familles monoparentales sans mode de garde, des personnes âgées isolées et des patients rentrant à pieds après des traitements lourds ? Non, ça n’est pas une tentative de pathos ou de faire appel à votre empathie à défaut de votre bon sens. C’est la réalité cruelle de ce mois de décembre à Paris.

L’ensemble des protagonistes de cette grève doit partager avec nous les responsabilités qui sont pourtant entièrement les leurs dans cette lutte qui a, en plus, le mauvais goût de prendre des tournures mesquines de guerre d’égo.

Je fais partie d’un groupe de jeunes restaurateurs, nous ne pouvons nous revendiquer comme un syndicat car notre parole ne vaut rien. Certains ont déjà commencé à faire visiter leurs établissements mis en vente et les offres d’emplacements en liquidation judiciaire n’ont jamais été si nombreuses. Ils auront le mérite de faire le bonheur de grandes enseignes de fast-food.

Donc pour l’instant, nous continuons de financer des Uber à nos salariés pour qu’ils puissent accueillir des clients qui eux ne pourront pas venir. Nous inventons des journées de CP à ceux qui n’en ont pas mais sont trop sinistrés pour se déplacer. Nous proposons de rattraper les services manqués dans un avenir sombre et incertain. Nous payons les salaires à perte et les fournisseurs à découvert. Les commerces et restaurants les moins fragiles tenteront de subsister là où nombreux sont ceux qui ont déjà décroché, las à l’idée de travailler en 2020 pour financer la perte de 2019, en attendant l’hécatombe du prochain décembre. Nous tiendrons le plus longtemps possible, puis à la fin nous ferons les comptes. Pas sûr qu’ils nous permettent de continuer.

Les retraites seront peut-être plus longues mais seront elles joyeuses dans une ville sans commerces ni restaurants ?

Sur le web: https://blog.zenchef.fr/greve-restaurants-fermetures/?fbclid=IwAR3HiHwUHLkXexEg1gpzYf14iX-o3noTtVhIEijPomno8hkqGEe-0d7lLlE

 

 

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le Réchauffement climatique n’est pour rien dans le désastre australien

Qui a raison?
Chacun pensera ce qu’il voudra.

Vous allez être déçu mais le « réchauffement climatique « n’est pour rien dans le désastre et les média ne vous le diront pas…

Tout d’abord un phénomène comparable à El nono, le dipole

https://www.ird.fr/la-mediatheque/fiches-d-actualite-scientifique/339-l-ocean-indien-un-declencheur-d-el-nino

Depuis la fin du printemps austral, l’Australie souffre d’une vague de chaleur exceptionnelle qui a vu de nombreux records absolus de température battus. Le vent et la sécheresse ont entraîné la généralisation de nombreux incendies colossaux et meutriers, notamment pour la faune.

Cette situation météorologique à haut risque est en partie liée au dipôle de l’océan Indien selon le Bureau Météorologique Australien (BOM) : « le principal coupable de nos conditions actuelles et attendues est l’un des événements dipôles de l’océan Indien (DOI) les plus positifs jamais enregistrés« , a déclaré le Dr Watkins, directeur des prévisions à long terme du Bureau de météorologie australien qui ajoute : « un DOI positif signifie que nous voyons moins de systèmes météorologiques porteurs de pluie et des températures plus chaudes que la moyenne dans de grandes parties du pays « .

Le dipôle de l’océan Indien, aussi connu sous le nom d’El Niño indien, est une oscillation irrégulière des températures de surface de la mer, la partie occidentale de l’océan Indien étant tour à tour plus chaude et plus froide que sa partie orientale.

full_569fd097b621c-201603_frequence_nino

https://www.notre-planete.info/actualites/1130-feux-brousse-Australie-incendie-animaux

 

Contrairement aux idées reçues le réchauffement du climat ne conduit pas à des sécheresses catastrophiques mais au contraire à un accroissement des précipitations en raison d’une plus importante évaporation des océans. Ceci a été clairement démontré en étudiant les chroniques du Moyen-Age relatives à la production agricole en Europe au cours de l’optimum climatique médiéval alors que les températures moyennes étaient de plus de 1,5 degrés supérieures à celles de ces 20 dernières années. A contrario un refroidissement du climat provoquera des épisodes de sécheresse prolongée puisque l’évaporation des océans diminuera. Ceci a été également démontré clairement avec l’étude des paléoclimats.

Des années 1970 à la fin du XXe siècle, la région du Sahel a souffert d’une sécheresse dont la durée et l’intensité restent inégalées. Cette sécheresse a été particulièrement marquée entre 1970 et 1990, avec une baisse de la quantité de pluie annuelle de 200 mm en moyenne, soit un déficit de 50 à 60 % dans la partie nord de la région.

L’insécurité alimentaire qui en a résulté s’est traduite par des déplacements de population vers les régions plus humides au sud et les grandes villes, créant les conditions d’une instabilité sociopolitique encore manifeste aujourd’hui.

La sécheresse s’étant progressivement atténuée au cours des années 1990, on a parfois parlé d’un « retour à la normale ». Certains auteurs ont même avancé que cette reprise des pluies était liée au réchauffement climatique, et que la hausse de la teneur en gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère favorisait le retour à des conditions plus humides sur le Sahel.

 

La situation australienne n’est en rien lié à un réchauffement climatique.

 

Malheureusement  les écologistes ont empéché que des mesures préventives soient prises

Un débat a d’ores et déjà éclaté en Australie sur les raisons d’un tel désastre. Les défenseurs de l’environnement, opposés à des feux préventifs permettant de nettoyer le « bush », sont montrés du doigt. « Certains membres du mouvement Vert se comportent comme des éco-terroristes, en menant la guerre contre des feux d’écobuage », a estimé David Packham, un expert de l’Université Monash de Melbourne.

les pompiers sont furieux  contre les politiques qui se sont laissés imposer le terrorrisme vert

L’ article ci dessous est de 2009 mais rien n’a changé depuis comme le démontre l’autre article

 

https://www.7sur7.be/ecologie/la-these-des-incendies-criminels-en-australie-est-confirmee~a5d58123/?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=socialsharing_web&fbclid=IwAR1vyENuAqZlphTTT_gZgJEMmiLcHZZXY-B6KxiI6bqrvz6x0zf4DkT34uY

 

De même  les incendies sont largement d’origine criminelle.

Par Alan Jones, 18 novembre 2019

L’ABC a recommencé la semaine dernière, admirant plus de 23 anciens chefs des pompiers et des urgences qui ont commenté, en dehors de leur domaine de compétence, une relation présumée entre les feux de brousse et le changement climatique.

Il vaut la peine de se demander comment les opinions non expertes de ces personnes sont même d’actualité.

Mais la propagande relative au changement climatique, de la salle de classe à l’université en passant par les politiciens et la plupart des médias, doit être préoccupante.

Comme l’éditorialiste The Australian ce week-end, «il est temps de prendre une dose d’eau glacée. Le changement climatique n’a pas provoqué les incendies.

La sécheresse et même des incendies meurtriers font partie de la vie australienne depuis plus d’un siècle… même si les Australiens ont éliminé tous les gaz à effet de serre du pays, environ 1,3% du total mondial, et ont flatté les extrémistes qui souhaitent réduire la consommation de viande, le pâturage et les vols. de façon notable, rien, pratiquement rien, ne serait réalisé… »

Eh bien, parlons d’abord des flammes «les plus mortelles».

Les Firey sont contraints d’exécuter leurs tâches par les Greenies et les politiques vertes – Oeuvre: Terry Pontikos

Un langage dramatique a été utilisé pour suggérer que la dévastation de la semaine dernière est «sans précédent», «apocalyptique», «catastrophique» et le résultat des «pires conditions de feu de brousse de tous les temps».

Alors, que faire de l’incendie du samedi noir à Victoria en 2009 qui a brûlé 450 000 hectares de terres, tué 173 personnes et détruit plus de 2000 maisons? Ou l’incendie du mercredi des Cendres à Victoria et en Australie-Méridionale en 1983, qui a brûlé 520 000 hectares, détruit 2 400 maisons et tué 75 personnes? Ou les incendies du mardi noir de Tasmanie en 1967, qui ont brûlé plus de 260 000 hectares, détruit quelque chose comme 1400 maisons et tué 62 personnes? Ou, en 1939, l’incendie du Black Friday, qui a brûlé près de deux millions d’hectares, détruit plus de 700 maisons et fait 71 morts?

Un langage dramatique a été utilisé pour suggérer que la dévastation de la semaine dernière est «sans précédent», «apocalyptique», «catastrophique» et le résultat des
«pires conditions de feu de brousse de tous les temps» – Image: AAP / Jeremy Piper

Ajouter du carburant au feu

Personne ne nie la gravité de ce que les gens et les pompiers ont traversé maintenant, mais il ne sert à rien de dorer le lis ici.

Vous ne pouvez pas avoir de feu sans carburant.

Deux facteurs par-dessus tout entrent en jeu ici.

En Nouvelle-Galles du Sud, lorsque Bob Carr était ministre, puis premier ministre, il a ratifié les mesures visant à abandonner les pistes d’incendie.

Les déménagements de Carr ont empêché ces pompiers d’avoir accès à ces pistes d’incendie, sous prétexte qu’il gardait quatre 4×4 et les campeurs à l’extérieur.

Le gouvernement (et combien de problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui sont créés par le gouvernement?) A mis des portes fermées à clé dans ces parcs nationaux et a planté de gros rochers à l’entrée des sentiers de pompiers.

Naturellement, les sentiers de feu sont maintenant envahis par la forêt de repousse, impénétrable à tout le monde sauf aux animaux indigènes et sauvages.

Les sentiers de feu sont maintenant envahis par la forêt de repousse, impénétrable à tout le monde sauf aux animaux indigènes et sauvages – Photo: AAP / Jeremy Piper

Pourtant, ce sont ces traînées de pompiers qui ont permis aux pompiers d’aller au cœur d’un incendie.

Ils pourraient alors créer des incendies et des défrichements.

Les pompiers pourraient mobiliser des engins de terrassement et éteindre le feu avec succès.

À cette époque, les bombardements à eau n’étaient pas en vogue.

Ce n’était pas nécessaire et, de toute façon, c’était trop cher. Les traînées d’incendie étaient «adaptées à l’usage».

Aujourd’hui, les pompiers savent qu’ils sont désespérément limités par l’endroit où ils peuvent accéder aux incendies. Ils doivent s’appuyer sur des stratégies de bombardement d’eau très coûteuses.

Les greenies, bien sûr, approuvent cette stratégie.

Sauf qu’ils, de façon inquiétante, préfèrent l’utilisation d’eau douce, que nous n’avons pas, à l’eau salée pour éteindre les feux de brousse.

Et cela aurait pour but de «protéger» l’environnement.

L’incendie du samedi noir à Victoria en 2009, qui a brûlé 450 000 hectares de terres, tué 173 personnes et détruit plus de 2 000 maisons.

Comme l’a dit un de mes auditeurs: «Cela ressemble à de la fiction, mais ce n’est pas le cas. Qu’est-ce que cette hypocrisie de «protection de l’environnement»? Quand avons-nous vu des députés verts, Zali Steggall, Adam Bandt, Sarah Hanson-Young et leur chef, Richard Di Natale, faire la queue aux côtés de Tony Abbott pour combattre les incendies? »

Le sénateur de l’époque, John Williams, a déclaré en 2013: «Le problème dans nos parcs nationaux est que nous avons ces feux sauvages avec d’énormes quantités de carburant par hectare; nous tuons les arbres, nous tuons les animaux, nous tuons les koalas et tout ce qui vit dans ces régions et nous appelons cela la conservation… »

Vous et moi appellerions cela la destruction.

Je le répète, vous ne pouvez pas faire de feu sans carburant.

Réapprendre à graver

Lorsque vous pensez qu’il y a sept millions d’hectares de parcs nationaux dans la seule Nouvelle-Galles du Sud, dont 200 à Sydney, et pourtant des brûlures de réduction des risques se sont produites sur moins de 1% des terres sujettes aux incendies, alors nous regardons un enfer potentiel.

Cela n’a rien à voir avec le changement climatique.

Le Dr Paul Read, codirecteur du Centre national australien de recherche sur les feux de brousse et les incendies criminels, estime le nombre annuel de feux de brousse en Australie à «62 000 et augmente».

Parmi ceux-ci, 13% sont lancés délibérément et 37% sont suspects. Cela signifie que 31 000 feux de brousse australiens sont le produit d’un incendie criminel ou d’un incendie criminel présumé, chaque année. Cela signifie que jusqu’à 85 feux de brousse commencent chaque jour parce que quelqu’un quitte son domicile et décide d’en démarrer un.

L’incendie du mercredi des Cendres à Victoria et en Australie-Méridionale en 1983, a brûlé 520 000 hectares, détruit 2 400 maisons et tué 75 personnes.

Des milliers d’hommes et de femmes risquent leur vie en combattant des incendies et beaucoup ont été délibérément éclairés.

Les entrailles du problème sont à nouveau le gouvernement.

Les gouvernements locaux sont blâmés pour tout cela, mais ils n’ont même pas le pouvoir de soulever un arbre tombé ou d’enlever une branche cassée.

S’ils veulent brûler à contre-courant ou réduire le carburant sur le sol de la forêt, ils doivent obtenir la permission du gouvernement de l’État et sauter à travers des cerceaux sans fin.

Autrement dit, si le gouvernement local veut réduire le risque d’incendie.

Les Australiens autochtones savaient comment faire face au feu. Nous n’avons rien appris d’eux. Le problème est simple. Il y a trop de carburant sur le sol et nous ne pouvons pas y arriver.

Affirmer que nous avons besoin de plus de bombardiers à eau et que nous devrons les acheter à l’étranger, c’est attaquer le symptôme, pas la maladie.

Sous-bois bureaucratique

Les stratégies actuelles nous font face à des conséquences potentiellement épouvantables et n’ont rien à voir avec la protection de l’environnement.

Nous avons besoin d’un organisme indépendant, retiré de tout gouvernement, avec un simple brief pour assurer la réduction des risques.

La semaine dernière, j’ai vu une pathétique défense de la politique du gouvernement lorsque le ministre de l’Environnement, Matt Kean, a déclaré que le gouvernement avait dépassé son propre «objectif quinquennal glissant de réduction des risques».

Et «cet objectif indique que sur cinq ans, en moyenne, nous ferons une réduction des risques de 135 000 hectares».

Les équipes du NSW Rural Fire Service surveillent le brûlage d’une ligne de confinement autour d’une propriété à Colo Heights, au nord-ouest de Sydney, le 16 novembre – Photo: AAP / Dan Himbrechts

Les parcs nationaux de la Nouvelle-Galles du Sud couvrent plus de sept millions d’hectares.Au rythme de 135 000 hectares par an, vous envisagez plus de 51 ans pour achever la réduction des risques dans chacun d’eux. C’est quelque part au sud d’inutile.

Avec toutes les chances contre eux, l’accumulation massive de carburant sur le sol, le temps sec, les vents effrayants, les pyromanes et les gouvernements se précipitant vers les Verts, nos services d’incendie et nos bénévoles sont de véritables héros et doivent être reconnus comme tels.

Il en va de même pour les employeurs qui financent les bénévoles pendant qu’ils font leur travail.

Au milieu de tout cela, il est facile d’oublier les bonnes histoires.

L’un concerne Paul Sefsky, près d’Urunga sur la côte mi-nord.

Il s’attendait à perdre sa maison. Il s’est enfui lorsque l’ordre d’évacuation est arrivé. Les pompiers ont réussi à sauver sa maison. Quand il est rentré chez lui, il a trouvé une note manuscrite des pompiers qui l’avaient enregistrée. Il a déclaré: «Ce fut un plaisir de sauver votre maison. Désolé, nous n’avons pas pu enregistrer vos abris. PS. Nous vous devons du lait.  »

C’est émouvant et inspirant. Nous devons à ces pompiers une meilleure gestion du risque que ce n’est le cas actuellement.

 

Sur le web:  https://pgibertie.com/2020/01/05/le-rechauffement-climatique-nest-pour-rien-dans-le-desastre-australien/?fbclid=IwAR3wPqrJzwmXjwtXcH98SNVp1fFRMAz_Vj-cmuiuadU8HCX1wgA9nDRUF9Y

 

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LA DESHUMANISATION EST EN MARCHE.

A quoi servent nos monstrueux impôts et nos innombrables taxes si nous pouvons encore voir ça. Il n’y a plus de pitié ou de réelle solidarité chez nos énarques et nos trop nombreux fonctionnaires.
Nos impôts servent-ils uniquement à la connivence?

Texte récupéré sur FB, la seule lucarne sur ce qui nous reste de liberté.

Jeannette à plus de 80 ans était une figure de Montmartre, une blanchisseuse….elle est morte hier dans l’indifférence la plus totale y compris celle des services sociaux.
C’était une vieille femme “non prioritaire”. Elle devait deux ans de loyer. L’huissier en 2018 ne lui a laissé qu’une table, une chaise, un matelas et une couverture…
Début Décembre 2019, l’huissier et les policiers l’escortant sont à nouveau venus pour lui dire qu’au 31 Mars 2020 elle serait mise à la rue ! Elle s’est laissée mourir de faim….
Et oui aujourd’hui en 2020 on laisse des personnes âgées, des femmes dans le plus grand désarroi, à la rue, dans la misère….demain ça sera vous, moi ? Les gros tuent les petits !
La priorité est décidément ailleurs au sein de notre gouvernement et la misère française n’en fait pas partie ! Je préfère me souvenir d’une Jeannette heureuse dans un quartier qui était si populaire, si solidaire, ce temps est bien loin laissant la place aux biobos, promoteurs immobiliers et touristes avides de Airbnb .
Reposes en paix Jeannette, ta souffrance est terminée.

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LA TRAQUE DES « FRAUDEURS » FISCAUX ENFIN AUTORISEE SUR INTERNET.

Enfin Bercy peut se frotter les mains, 1984 n’est plus un rêve.
La traque est enfin complète et la boucle est bouclée.

Plus personne ne doit pouvoir y échapper.

Le ministère de la pensée a aboli le dernier minuscule espace de liberté qui nous restait.
Le triomphe des fonctionnaires bureaucrates est complet.
Notre conseil des « sages » a parlé et c’est terminados, fini de rire et d’essayer de garder quelques sous pour soi.
Nous allons dans peu de temps dépasser la Chine dans la surveillance 24h sur 24. Et la dénonciation est remise à l’honneur.
Méfiez-vous de votre voisin .
Chez nous, Big Brother n’est pas idéologique, il est fiscal : C’est Bercy, cet Ami qui vous veut du bien. Votre bien!

Bercy règne sans partage, « au nom du célèbre bien commun (que le monde entier nous envie) » sur le remplissage sans fin de notre Tonneau des Danaïdes qui sert en priorité à faire vivre notre nouvelle oligarchie de fonctionnaires. Hauts, petits ou assimilés.
Toujours plus haut, toujours loin dans le flicage et donc, suite logique de celui-ci, le pillage par la coercition.
Qui parle de pillage et de coercition ? Qui ose dire cela ?
Nous sommes en démocratie que diable et le Grand Frère (version française) n’agit uniquement que pour le Bien commun.
Il faut éradiquer en priorité, nous répète quotidiennement Grand Frère, à grand renfort de phrases fumeuses et creuses en novlangue, l’ennemi intérieur avant toute chose, cette fameuse 5eme colonne qui empêche le peuple d’être pleinement heureux : ces fumiers de fraudeurs fiscaux.
Bientôt les sages, nos sages autoriseront l’arrestation et la détention dans des camps de rééducation toute fraude fiscale (ce sera le terme officiel employé pour toute contestation) par la police de la pensée.
Les fraudeurs disparaitront la nuit sans faire de bruit et personne ne s’en inquiétera ni ne protestera.
Vous n’avais jamais vraiment contesté quand vous pouviez encore le faire et bien maintenant c’est trop tard, Big Brother est là.
Bonne Année !

E.Bolling

 

Reuters27 décembre 2019

LA TRAQUE DES FRAUDEURS FISCAUX SUR INTERNET VALIDÉE SOUS CONDITIONS

Le Conseil constitutionnel annonce vendredi avoir partiellement censuré l’article de la loi de finances 2020 instaurant pour trois ans une “traque” des fraudeurs fiscaux présumés sur les réseaux sociaux, mais autorise son expérimentation sous réserve de strictes garanties sur le respect de la vie privée.

Le gouvernement veut expérimenter un algorithme d’intelligence artificielle (IA) lui permettant de repérer de fausses domiciliations fiscales ou du commerce illicite, notamment, sur internet.

Cette initiative a suscité les inquiétudes de nombreux députés, qui avaient saisi le Conseil constitutionnel, et de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil), qui s’émeut de potentielles atteintes au respect de la vie privée.

Dans sa décision, le Conseil constitutionnel estime que “les dispositions contestées portent atteinte au droit au respect de la vie privée”.

“Dans la mesure où elles sont susceptibles de dissuader d’utiliser de tels services ou de conduire à en limiter l’utilisation, elles portent également atteinte à l’exercice de la liberté d’expression et de communication”, ajoute-t-il.

Mais les “Sages” jugent toutefois que le législateur poursuit légitimement “l’objectif de valeur constitutionnelle de lutte contre la fraude et l’évasion fiscales.”

Ils demandent en conséquence que ne soient collectés et exploités que “les contenus se rapportant à la personne qui les a délibérément divulgués”. Sont implicitement évoqués des sites comme Twitter, Instagram, Facebook ou les sites de revente en ligne entre particuliers.

“Ne peuvent faire l’objet d’aucune exploitation à des fins de recherche de manquements ou d’infractions les données qui révèlent la prétendue origine raciale ou l’origine ethnique, les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ou l’appartenance syndicale d’une personne, les données génétiques et biométriques et celles concernant la santé et la vie ou l’orientation sexuelles”, souligne le Conseil.

“Il appartiendra au pouvoir réglementaire de veiller, sous le contrôle du juge, à ce que les algorithmes utilisés” ne permettent de collecter que les données strictement nécessaires à la lutte contre la fraude fiscale, est-il précisé.

et toujours:
https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/

LISTE DES IMPÔTS ET TAXES EN FRANCE. Prenez votre souffle et votre temps ! calez-vous bien sur votre fauteuil

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LA POLICE ET LES MANIFESTATIONS: EST-ELLE A LA HAUTEUR et tout est-il proportionnel comme le veut la loi?

Ce matin j’ai reçu ce lien que je vous transmets tel quel, c’est le rôle du zap du net.
C’est juste une liste.
Je ne porte aucun jugement de valeur sur aucune des parties en cause.
Mais on ne peut faire “comme si” tout cela n’existait pas.
A vous de juger de la pertinence de ce lien.
Dans une pièce il y a toujours deux faces.
Nous sommes tous des Saint Thomas et même alors…

https://www.facebook.com/Vecu.lemedia/photos/a.525734527906569/528432047636817/?type=3&theater

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FACTURE D’ELECTRITE, L’EXEMPLE TYPE DE L’IMPOT VASELINE.

Définition :
L’impôt vaseline est la spécialité de nos énarques de Bercy qui ne sont pas génés de faire un impôt (ou taxe) sur l’impôt précédent. il suffit de changer l’intitulé…
Comme son nom l’indique l’impôt vaseline est invisible, sauf si on le regarde de près. Il est camouflé sous des initiales ou phrase sans queue ni
tête, incompréhensibles pour le commun des mortels  ou auparavant, en fonction de l’impôt vaseline ( ou taxe vaseline) il a été enfumé par une campagne imparable « pour le bien commun ».

 

Lire calmement….. si  possible.

> > Pour celles et ceux qui  n’ont pas encore renoncé à comprendre leur facture d’énergie électrique , cela nous est expliqué avec poésie!

> > C’est fascinant, une facture  EDF: belle comme une page de Verlaine, elle contient presque autant  de  lignes qu’un sonnet de Ronsard.

> > À la  base, le gros monopole d’État vend des kilowatts/heure et le client, tous  les deux mois, paye ce qu’il a consommé.
> > Exactement comme chez le  boucher : je choisis une escalope, il la pèse, je paye le prix affiché et je repars avec une «facture» en réalité un ticket – qui ne comporte qu’une  seule ligne.

> > Alors, pourquoi la facture  EDF est-elle si copieuse?
> > On y trouve le prix du  kilowatt/heure 9,09 euros pour 100 kWh, qui passera à 9,32 euros après l’augmentation estivale de 2,5 %.

> > Jusque-là, rien que de très  normal.

> > Les gâteries viennent immédiatement après.

> > D’abord, EDF facture un  abonnement! On se demande bien pourquoi!

> > Lorsque j’achète l’escalope, je ne suis abonné à rien : j’ai, en face de moi, un commerçant qui vend ce  dont j’ai besoin,nous faisons affaire et c’est tout.
> >  Non!…

> > Avec EDF, même en quasi  monopole, faut s’abonner !
> > et ce n’est pas négligeable:  11,6 euros par mois, soit 140 euros par an.
> > Depuis août 2011,  l’abonnement a augmenté de 22 %. Puis, viennent les taxes!
> > Ah! Les taxes…
> > Le mal français !!!!!!! Oh, pardon, une seule taxe et deux «contributions».

> > La contribution, c’est plus  sympa, ça fait plus «social»; pour un peu, on serait heureux de s’en  acquitter, alors que la «taxe»… Beurk!

> > Cela commence par la TCFE, la taxe sur la consommation finale d’électricité.

> > C’est quoi, la consommation finale ? Y a-t-il une consommation initiale?

> > Personne ne sait pourquoi cette taxe existe, même pas EDF, qui se borne à dire que ce prélèvement est  reversé aux collectivités territoriales et à l’État (qui détient pourtant 84,5 % du capital du mastodonte).

> Depuis août 2011, elle a augmenté de 16 %, soit 4 % par an.

Arrive ensuite la  merveilleuse CSPE, la contribution au service public  d’électricité.
Moi qui croyais ingénument  que je contribuais à ce service en me contentant d’acheter du courant électrique!

> > Eh bien, non ! En fait, cette  CSPE sert, entre autres, à compenser le coût exorbitant auquel EDF s’est  engagé à acheter l’électricité des petits malins qui se sont équipés de photovoltaïques ou d’éolien.
En août 2011, elle était de 9 % du coût de la consommation ; elle en pèse aujourd’hui 21,5 %.
À ce  rythme, elle représentera la moitié de notre facture dans trois  ans.

On est parti joyeusement sur la belle voie rectiligne tracée par les taxes sur les carburants.
Puis vient enfin,  toute menue, toute discrète, la CTAE, contribution  tarifaire d’acheminement électrique car, contrairement au boucher vendeur d’escalope, EDF vous apporte votre achat à domicile contre la modeste somme de cinquante euros par an.

> > C’est alors que surgit la TVA. Sur la consommation, au prix fort de 20 % : là aussi, c’est courant! Mais également sur les taxes !

> Chez EDF, les taxes sont taxées! À 20 % (CSPE, TFCE) ou à 5,5 % (CTAE)!
 
Et le meilleur pour la fin  :

EDF prélève un pourcentage de tout ceci, 1% , pour son CE (Comité d’entreprise) 
Elle est pas belle la vie pour certains  ?

Mais nous sommes dans une  république égalitaire !

 Impigeable, mais  poétique, vous dis-je…”

Article déjà paru sur le site le 24 août 2016.

Maintenant en plus de l’abonnement, déjà critiquable, une super taxe vaseline : la taxe d’acheminement qu’ils ont délayé avec l’abonnement.
Nous avons toujours la taxe sur la consommation finale d’électricité TCFE.
La taxe est belle et ne veut rien dire, ce qui en fait une véritable œuvre d’art du langage énarque bercynien.
Nous trouvons encore et toujours les contributions (forcées)
1)Au service public d’électricité CSPE
2)Tarifaire d’acheminement électricité CTA (quid de la taxe d’acheminement payée avec l’abonnement ?)
La Contribution Tarifaire d’Acheminement (CTA) finance le régime spécial ultra favorable d’assurance vieillesse des personnels des entreprises de l’industrie de l’électricité et du gaz.
Cela veut dire que EDF n’ayant pas les moyens de payer les retraites de ses employés, c’est au client d’y pourvoir !
Et, cette cotisation sociale qui ne dit pas vraiment son nom est assujettie à la TVA !Néanmoins, dans sa grande générosité, l’Etat n’applique qu’une TVA à taux réduit (5.5%) sur la CTA. (Précisions de Dominique Philos)


Bien sûr Bercy prend aussi de la TVA sur les taxes.

La vaseline coule à flots continus, pondu quotidiennement par Bercy, qui lui aussi  sert directement ses pauvres énarques accablés de travail.
(https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/)

La France est aussi championne du monde des prélèvements…

(https://temoignagefiscal.com/liste-des-impots-et-taxes-en-france-prenez-votre-souffle-et-votre-temps-calez-vous-bien-sur-votre-fauteuil/)

Autres précisions de “lol lol”:

Petite subtilité sur votre facture l’énergie consommée n’est plus comptabilisée en kilowatt-heure mais en kilovoltampère-heure.

Explication : les anciens compteurs à roue mesurent la consommation apparente d’électricité en kilowatt-heure, les nouveaux compteurs électroniques (les blancs de chez Landis et Gyr ou les tout récents Linky) mesurent la consommation réelle d’électricité en kilovoltampère-heure.

C’est assez technique mais il peut y avoir une grande différence entre les deux types de consommation. Cela dépend en fait de l’impédance des appareils électriques branchés sur le réseau .

Il existe en effet une loi physique (c’est comme ça pas la peine d’ester en justice pour essayer de la changer) qui veut qu’un appareil électrique alimenté par un courant alternatif a non seulement une résistance pure mais aussi une capacitance et une inductance. La somme des trois, nombre mathématique imaginaire, est appelé impédance. On parle aussi de cos Phi ou de facteur de puissance à ce sujet.

Je n’entre pas dans les détails mais en gros avec un ancien compteur si vous alimentez pendant une heure un éclairage de 1000 watts (lampes à incandescence pas les néons) ou un moteur de 1000 watts (par exemple un lave-linge ou réfrigérateur ou congélateur), vous serez dans les deux cas facturé 1 kilowatt-heure.

Mais si vous avez un nouveau compteur, vous serez toujours facturé 1 kilowatt-heure pour une heure d’utilisation d’un éclairage incandescent de 1000 watts mais pas pour un moteur électrique de 1000 watts, car celui-ci consomme en réalité plus que sa consommation apparente de 1000 watts ne le laisse supposer. Avec un cos phi d’environ 0.65 (cas usuel pour un moteur) vous pouvez vous attendre à une facturation de 1,5 kilowatt-heure soit 50% de plus !!!

Si votre contrat est assez ancien (et il est bien prévu dessus une facturation en kilowatt-heure) et si votre compteur est aussi ancien, votre consommation mesurée et facturée sera bien en kilowatt-heure (bien qu’il soit indiqué kilovoltampère-heure sur votre facture) mais dès qu’EDF vous installera un compteur moderne vous serez facturé en kilovoltampère-heure alors que votre contrat ne le prévoit pas !!!

C’est une façon vicieuse pour EDF de gratter quelques sous supplémentaires voire même de faire exploser votre facture (cas du marchand de glace par exemple qui utilise de gros congélateurs en été mais qui n’a pas besoin de s’éclairer).

Merci qui ?

E.Bolling

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ENTREPRENEURS SACHEZ A QUELLE SAUCE LES PREDATEURS VOUS MANGERONT!

Tout est vraiment bien pourri dans le royaume de France, avec Bercy en number one!
(https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/)

Ecoutez Monsieur Ernest Pardo, ne mourrez pas idiot et confiant dans tout notre système dirigé par des prédateurs.

Explications:

 

 

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L’EOLIEN: SOLUTION OU PROBLEME?

Tout le monde connait les avantages de l’éolien grâce à la propagande officielle.
L’éolien a-t-il une face cachée ?
A vous de juger…

Le grand mensonge : 14.000 éoliènnes abandonnées aux USA.

Le problème avec l’éolien

On avait appris dans le passé que l’éolien n’est pas rentable, que les éoliennes ne fonctionnent que 25% du temps, que cette industrie ne vit que grâce aux subventions et qu’au Québec, ça coûte aux contribuables près de 700 millions par an. Et malgré que c’est déficitaire et non rentable, le PQ va continuer à gaspiller l’argent des contribuables dans cette filière.

La vérité c’est que les éoliennes, tout comme les panneaux solaires ne sont pas éternels, ils se brisent et ont une durée de vie limitée. Et tout comme les panneaux solaires, les éoliennes produisent moins d’énergie durant leur durée de vie que ce que ça coûte de les fabriquer.
Fabriquer ces sources d’énergies « vertes » requiers de l’énergie, qui vient en majorité d’énergies fossiles, pour extraire les matériaux (souvent des minéraux rares), transporter, construire, etc.. Et c’est sans compter l’énergie nécessaire pour démanteler et détruire (parce que majoritairement pas recyclable) ces machines quand leur durée de vie finie, (ce qui ne semble pas le cas au U.S.A. avec 14 000 éoliennes abandonnées)

Les éoliennes sont laissés à l’abandon, tel des anciens totems à la religion verte en déclin. Imaginez une seconde si ces installations à l’abandon étaient des équipements pétroliers ou miniers, les verts feraient des manifestations, pour exiger que le promoteur les enlève…

Le secteur éolien est juste une fraude fiscale. Ça marche tant qu’il y a des subventions gouvernementales. C’est très payant pour les promoteurs et les actionnaires de compagnies d’énergie « verte ». Et les politiciens embarquent dans cette arnaque pour plaire aux électeurs qui ont été brainwashés par la religion verte.

Il y a beaucoup de vérités cachées dans le monde idyllique de l’éolien, ses perturbations sur l’environnement, ses dommages incalculables causés aux oiseaux, la fuite des animaux sauvages, leur sous-traitance en Chine, les graves nuisances sur la vie des gens, bruit et électricité statique, sans compter la dégradation des paysages naturels.

Passé la manipulation de l’effet médiatique du réchauffement climatique, les gouvernements ont réduit les subventions et les avantages fiscaux, et les  consommateurs paient maintenant pour le privilège d’avoir une source d’énergie très coûteuse, dont la production électrique reste très aléatoire : froid, vitesse du vent trop importante, pas assez de vent, ne souffle pas aux heures de pointe, difficultés et coût prohibitif de la maintenance…

L’expérience américaine des fermes éoliennes, a laissé plus de 14.000 éoliennes abandonnées, des friches en lente dégradation. Ces immenses géants symbolisent une « religion climatique » sur le déclin, vous n’entendrez nulle part les écologistes jouer un requiem où ils décrivent la réalité de la situation, les erreurs gigantesques commises, le gâchis de l’argent publique afin d’endormir le peuple et lui faire croire que l’on allait faire des miracles (Paul : Le nucléaire bat toujours le plein, de nombreuses centrales sont en construction dans le monde et beaucoup d’autres en projet)

Les Etats-Unis ont des parcs éoliens depuis 1981

« Certains disent que Kamaoa est hanté. Il est hanté par les sons mystérieux de « Na leo o Kamaoa» – la voix des 37 éoliennes squelettiques désincarnées, abandonnées à la rouille, sur le site de cents acres de l’ancienne ferme éolienne de Kamaoa …

Les fantômes de Kamaoa ne sont pas les seuls à nous mettre en garde. Cinq autres sites éoliens abandonnés, parsèment les îles hawaïennes, mais c’est en Californie où l’impact des politiques passées et des subventions ce sont fait sentir le plus fortement. Des milliers d’éoliennes abandonnées hantent le mythe de l’énergie renouvelable, et trois lieux en décrépitude : Altamont Pass, Tehachapin et San-Gorgonio, sont considérés comme les meilleurs sites venteux du monde…

Ces fermes éoliennes faisaient de la Californie le producteur de 80% de l’électricité éolienne mondiale. La production a cessé beaucoup plus rapidement que Kamaoa. Dans les meilleurs spots de vent de la terre, plus de 14.000 éoliennes ont été tout simplement abandonnées. Programme post-industriel en désuétude qui ne génère plus rien, mais tue toujours les oiseaux … «

Le problème des éoliennes, quand elles sont abandonnées, reste ses immenses hélices, mais les écologistes restent aveugles :

La ville de Palm Springs a été contrainte de promulguer une ordonnance exigeant leur démantèlement de San Gorgonio. Mais le comté de Kern, en Californie, englobant la région de Tehachapi, n’a pas de telle loi.

Imaginez l’indignation des verts si l’on avait abandonné des appareils de forage pétrolier dans des sites naturels !

Il a fallu près d’une décennie en Californie, depuis les premières éoliennes, pour dissiper la croyance répandue, parmi le public et les investisseurs, que l’énergie éolienne n’était juste qu’une escroquerie fiscale.

Ben Lieberman, analyste politique, spécialiste des questions énergétiques et environnementales pour la Fondation du patrimoine, n’est pas surpris :

« Si l’énergie éolienne a du sens, pourquoi y aurait-il besoin de la subventionner ? C’est une bulle qui éclate dès que les subventions gouvernementales se tarissent »

C’est là que réside la leçon a apprendre par ceux qui cherchent à faire fortune grâce aux subventions payées par le contribuable, à l’ensemble du secteur des énergies renouvelables, de l’énergie solaire, éolienne, de la biomasse, incapable de survivre seule, sans provoquer des bulles financières. Beaucoup d’entreprises et d’ONG, comme le WWF, Amis de la Terre et Greenpeace, pensent maintenant qu’elles sont de droit divin, qu’elles mènent une croisade verte pour sauver le climat, justifiant toutes ces débauches financières inutiles.

Les hélices des éoliennes d’Altamont ont été attachées depuis 2008, pendant quatre mois de chaque année, afin de protéger les oiseaux migrateurs, après que les écologistes aient porté plainte. Selon la Golden Société Audubon, 75 à 110 aigles dorés, 380 chevêche des terriers, 300 buses à queue rousse, la crécerelle d’Amérique et 333 faucons sont tués par des turbines à Altamont chaque année. En Juillet 2008, l’étude menée par les soins de l’Agence du comté d’Alameda, concernant le développement communautaire, chiffre à 10 000 décès annuels d’oiseaux. Audubon décrit Altamont comme «probablement le pire site jamais choisi pour un projet d’énergie éolienne »

Les mêmes zones, qui sont propices à l’implantation des parcs éoliens, sont également propices aux passages des oiseaux de proie et des oiseaux migrateurs, à travers les hélices. Il est honteux qu’aucun militant vert ne se soucie de la nature. Seul compte leur agenda anti-carburants fossiles, à n’importe quel prix.

Après la débâcle de la ruée vers le vent Californien, l’Union européenne avait battu les Etats-Unis sur les efforts pour subventionner l’énergie « renouvelable », y compris une « avance sur tarif » encore plus lucrative que le contrat ISO4.

Les contribuables qui ont subventionné la construction des fermes éoliennes, ont payé le prix fort pour une source pérenne de production électrique, ils seront finalement roulés dans la farine, bons à payer la facture des dégâts de l’écologie sans conscience.

Les éoliennes se délabrent trop vite

Dans le cadre de cette étude demandée par l’association caritative, des professeurs de l’Université d’Edimbourg ont étudié des années de données sur les performances des parcs éoliens au Royaume-Uni et au Danemark.

12-15 ans, pas plus

Ils ont découvert qu’après plusieurs années, les parcs éoliens ne sont pas aussi performants qu’au départ. Après 10 ans de fonctionnement, la rentabilité d’un parc éolien britannique par rapport à la demande aurait diminué d’un tiers.

L’étude en conclut qu’il ne serait pas rentable d’opérer des parcs éoliens pendant plus de 12 à 15 ans, contrairement à l’autonomie prévue de 20-25 ans. Seule solution : les remplacer par de nouvelles éoliennes, ce qui aurait des conséquences graves pour les investisseurs et le gouvernement. Mais aussi sur l’environnement.

Opinions partagées

Les membres de l’industrie des énergies renouvelables restent cependant sceptiques quant à la véracité des résultats. Scottish Renewables, par exemple, a affirmé que ses plus anciens parcs éoliens en Ecosse avaient 16 ans d’âge et qu’aucun n’avait été démantelé ou réalimenté.

Les opposants aux éoliennes estiment toutefois que ce rapport suffit à freiner la production d’éoliennes et à obliger le gouvernement écossais à repenser à son soutien aux sources d’énergie. Ils prennent l’exemple des États-Unis, où de nombreux « cimetières éoliens » viennent gâcher le paysage.

« Nous savons déjà qu’une éolienne doit fonctionner pendant deux ans minimum pour rembourser les coûts carbone de la construction,” a déclaré Murdo Fraser, député conservateur. « La décrépitude des éoliennes n’est pas surprenante. Il suffit de voir ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique pour voir 12 000 éoliennes pourrir dans le désert californien. Combien va coûter le démantèlement de celles-ci et qui va payer ? A quel moment le gouvernement écossais va-t-il comprendre qu’il faut freiner l’énergie éolienne ? »

L’étude évoque également le déclin de la performance des parcs éoliens en mer au Danemark, supérieur à celui des parcs éoliens terrestres britanniques. Dr John Constable, le directeur de l’étude, a affirmé : « En quelques mots, les parcs éoliens en mer et terrestres coûtent trop d’argent et se délabrent trop vite pour offrir au monde émergent une alternative réaliste au charbon.”

Sources:

http://www.greenetvert.fr/2013/01/07/les-eoliennes-se-delabrent-trop-vit…
http://www.ref.org.uk/publications/280-analysis-of-wind-farm-performance…

 

 

60 000 PROPRIÉTAIRES MENACÉS DE FAILLITE PAR LES ÉOLIENNES

  • par LUDOVIC GRANGEOn

 

LVous êtes propriétaire et démarché pour une éolienne, ou vous avez signé un bail, ou encore il y a déjà une éolienne sur votre terrain? Alors lisez bien et faites lire ceci à vos enfants, à votre avocat ou à votre notaire…. Si votre commune s’en occupe, n’oubliez pas que vous êtes aussi contribuable… et si vous appréciez l’environnement, préservez le.

Les USA comptent 14 000 éoliennes abandonnées, information dans “AmericanThinker” à l’occasion des désastres environnementaux des gigantesques fermes éoliennes dévastées de Kamaoa,  de Tehachapi, et bien d’autres. Les sociétés qui les possédaient se sont évanouies. Les recherches de responsabilité sont difficiles ou impossibles.  Ce scandale encore peu connu arrive très vite en France car les techniques utilisées sont les mêmes chez nous, puisque ce sont très souvent de mêmes fonds de pension qui possèdent ces éoliennes. Les propriétaires ont loué leurs terrains aux promoteurs éoliens qui leur ont assuré tout prendre en charge et restituer le terrain « en l’état ». Des élus locaux et parfois des fonctionnaires ont aussi “rassuré” ces propriétaires aux côtés des promoteurs. Ils ignorent souvent que les éoliennes sont en fait revendues dès leur mise en service et simplement gérées par les promoteurs. Les promoteurs éoliens constituent  pour chaque projet des sociétés coquilles au capital minimum de quelques milliers d’euros dont les actionnaires changent au fil des années, selon des ramifications infinies en France et à l’étranger y compris dans les paradis fiscaux. La recherche de toute responsabilité en cas de problème risque de ne jamais aboutir. Alors que la finance n’hésite pas à abandonner des entreprises avec du personnel, il est encore plus facile d’abandonner des éoliennes.

Les propriétaires subissent deux énormes menaces qui sont des bombes à retardement sur leur patrimoine et leur situation personnelle. Ils devraient faire relire leur bail par des experts ou des avocats indépendants avant qu’il ne soit trop tard. Les jurisprudences les menacent à chaque instant selon la règle « pollueur-payeur » qui frappe le propriétaire des terrains.

La plupart du temps les contrats de location de terrain signés avec les promoteurs éoliens l’ont été à l’amiable, sans la présence d’un expert indépendant ou d’une association agréée de consommateurs. Il existe d’ailleurs de nombreux doutes sur la légalité de ces opérations par rapport à la législation sur la vente à domicile par des professionnels rappelée par la DGCCRF. De nombreux baux risquent d’être non valables en cas de litige.

Deux menaces importantes les concernent : tout d’abord la défaillance pure et simple de la société avec laquelle ils ont contracté, et donc des provisions de démantèlement qui les couvrent.  Malgré les dispositions légales contraignantes et le Code de Commerce, la plupart de ces sociétés ne publient même pas leurs comptes. De ce fait, il est souvent impossible de vérifier que les provisions légales de démantèlement sont constituées. Plusieurs défaillances sont déjà survenues.L’un des principaux promoteurs éoliens français ne vient il pas de faire l’objet d’une opération financière atypique sur son parc éolien, devenu la propriété majoritaire d’une curieuse banque egyptienne jusqu’ici inconnue en Europe, et tout cela géré depuis l’étranger ?

L’autre menace est dans les socles en béton dont les propriétaires restent à vie responsables

Par un subterfuge, le démantèlement est prévu au ras du sol selon le Décret 2011-985 du 23 aout 2011. Mais cette astuce occulte les obligations bien plus importantes et réelles des articles L162-9 et suivants de la loi n° 2008-757 du 1er août 2008. Or chaque éolienne nécessite 2 à 3000 tonnes de béton souterrain, parfois plus. Ce béton et ses ferrailles sont d’importantes menaces de pollution ou de perturbation du sol et des nappes phréatiques. A la moindre alerte, à la moindre sommation, c’est donc le propriétaire du terrain et non le promoteur éolien, qui sera recherché, par exemple par la police de l’eau, par un syndicat intercommunal, ou par une association de protection de la nature. Et de toutes façons il faudra restituer le site dans son état initial à la fin du bail. Le coût complet de démantèlement d’une éolienne est chiffré par les entreprises spécialisées de 650 à 850 000 €. Les sommes provisionnées, quand elles le sont, ne sont pas de ce niveau. Le coût d’enlèvement de leur socle en béton hautement ferraillé n’est pas inférieur à 250 000 € , et encore s’il n’y a pas de pollution par les huiles des éoliennes. Chaque éolienne contient 600 litres d’huiles industrielles dont plusieurs fuites ont été observées. Il suffit de dix litres d’huile pour polluer le sol en milieu naturel et atteindre un taux critique.

L’éolien a cessé d’être prioritaire dans les énergies renouvelables avec les leçons décevantes de l’expérience sur 10 ans. Désormais les taxes et les aides vont décliner avec la réforme intervenue en Europe et en France à partir de 2017.  Les tarifs de démarrage sont ramenés au niveau du marché, très inférieur, ainsi que vient de le confirmer le 20 avril 2017 une délibération de la Commission de Régulation de l’Energie. Bill Gates a confirmé au Financial Times qu’il doublait à 2 milliards ses investissements dans les énergies renouvelables mais qu’il excluait à présent tout investissement dans l’éolien, non efficace et non rentable. Malgré de gros investissements, son ami Warren Buffett a tout juste retrouvé sa mise dans l’éolien grâce à une défiscalisation massive mais avec un déficit industriel de 35%, et des subventions déjà fortement réduites sous Obama qui n’iront pas mieux avec Trump.

La Californie ou Hawaï sont envahis d’éoliennes rouillées abandonnées. L’Ecosse, ou l’Allemagne, figurent parmi les premiers pays face au casse-tête d’assumer une quantité très importante de déchets de pales d’éoliennes dans les dix prochaines années, car les pales ont une durée de vie limitée et deviennent cassantes. Les seuls déchets de plastique de pales d’éoliennes atteignent 225 000 tonnes par an au niveau mondial selon Scottish Natural Heritage et le département spécialisé des systèmes industriels de l’Université d’Iowa USA (2016). Personne n’avait pensé à ce bilan carbone calamiteux.

En fait, les propriétaires ont hérité en pleine propriété des immenses socles en béton implantés dans leur terrain, sans les voir, et sans le savoir. De toutes façons, même si le démantèlement atteint son terme, ce qui est très aléatoire et hypothétique pour de nombreux cas, l’enlèvement du socle béton restera à leur charge, soit 250 000 euros par éolienne. Les baux de location signés par les promoteurs ne le disent pas, la plupart du temps. A la moindre pollution, ce coût sera multiplié par trois. Si le promoteur fait défaillance et disparait, comme malheureusement on le prévoit pour un certain nombre, l’intégralité du coût de démantèlement des éoliennes sera à la charge du propriétaire…et de ses enfants… car alors, il faudra débourser de 650 000 à 850 000 € par éolienne… pour garder son terrain !

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LUTTES : plus elles convergent, plus elles divaguent ! par NATHALIE MP ( revoila Greta Thunberg.)

Avec l’éternel retour du mois de décembre, voici également le 25ème retour de la COP, cette conférence climat des Nations unies dont la France institutionnelle et diplomatique tire une fierté particulière puisque c’est lors de la COP21 organisée à Paris en 2015 que fut adopté le fameux objectif de limiter la hausse de la température mondiale depuis l’ère préindustrielle à 1,5 °C. Et avec le retour de la COP, il eut été très étonnant de ne pas assister au fracassant retour médiatique de Greta Thunberg.

Eh bien, bingo !

Non seulement la jeune activiste du climat est bien présente. Non seulement elle nous débite pour la millième fois son discours sur la criminelle inaction climatique des gouvernants :

« World leaders (…) say that they have heard us. They say that they agree with our demand for urgent action to tackle the climate crisis. But they do nothing. »
Les dirigeants mondiaux disent qu’ils nous ont entendus, ils disent qu’ils partagent notre exigence d’action urgente pour répondre à la crise climatique. Mais ils ne font rien.

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Non seulement elle a trouvé dans cette absence d’action concrète des gouvernements une riposte à opposer à ceux qui lui font remarquer qu’à son âge, l’avenir se prépare peut-être plus à l’école qu’en grève scolaire pour le climat :

« Striking is not a choice we relish ; we do it because we see no other options. »
Faire grève ne nous fait pas plaisir, mais nous le faisons parce que nous ne voyons pas d’autres options.

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Et non seulement elle prend bien soin de nous expliquer qu’elle n’exprime pas une opinion personnelle mais qu’elle se contente de se faire le relais scrupuleux de « scientifiques qui sonnent l’alarme ».

Mais elle est arrivée à la COP25 de Madrid précédée d’une tribune (d’où viennent les citations ci-dessus) qu’elle a co-signée et dans laquelle nous apprenons – tiens, tiens – que « la crise climatique n’est pas qu’une question d’environnement » :

« It is a crisis of human rights, of justice, and of political will. Colonial, racist, and patriarchal systems of oppression have created and fueled it. We need to dismantle them all. »
C’est une crise des droits humains, de la justice et de la volonté politique. Les systèmes d’oppression patriarcaux, coloniaux et racistes l’ont créée puis alimentée. Nous devons tous les démanteler.

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Ne vous bercez pas d’illusions. Quand Greta Thunberg parle de système patriarcal, elle ne pense évidemment pas à l’Arabie saoudite où les femmes doivent obtenir l’assentiment d’un père, d’un frère ou d’un mari pour avoir le droit de faire les choses les plus anodines.

Et quand elle parle de système raciste, elle n’a nullement en tête la Chine et sa façon musclée de mettre au pas les Tibétains ou les Ouïghours. Sans compter que la Chine est de loin le premier émetteur de CO2 de la planète. S’il y a quelqu’un que Greta Thunberg devrait démarcher assidument, c’est bien Xi Jinping. Mais apparemment, c’est soudain sans importance.

C’est sans importance, car finalement, ce n’est pas la science, le GIEC ou le CO2 qui importent, même si ce sont des arguments utilement instrumentalisables pour répondre aux questionnements inquiets d’une opinion publique travaillée au corps sur le climat et l’environnement depuis les premières suggestions autoritaires du Club de Rome (1972).

Non, ce qui compte, c’est l’agenda anticapitaliste qui, de marches pour le climat en manifestations à caractère plus social, ne ménage pas sa peine pour se déployer au sein des sociétés occidentales. Ayant essuyé quelques déboires en habits rouges, il avance maintenant en habits verts et va même jusqu’à prendre l’allure d’une frêle – donc innocente, donc authentique – jeune fille de 16 ans à laquelle s’identifient avec enthousiasme des millions de jeunes en quête de sens, de nouveaux combats ou de nouvelles frontières.

Ce n ‘est pas une surprise. Greta elle-même avait annoncé la couleur il y a un an, dès sa première apparition publique d’importance à la COP24 de Katowice en Pologne (vidéo, 03′ 46) :

« Notre civilisation est sacrifiée pour permettre à une petite poignée de gens de continuer à gagner des sommes d’argent énormes. Notre biosphère est sacrifiée pour que les riches des pays comme le mien puissent vivre dans le luxe. Ce sont les souffrances du plus grand nombre qui paient pour le luxe de quelques-uns. »

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On comprend vite qu’elle ne parle pas climat mais anticapitalisme primaire, le climat n’étant plus qu’un prétexte dans un combat totalement politisé. La lutte contre le réchauffement climatique est transformée en « justice climatique » et passe par la mise en accusation des « riches » – encore eux. Un discours typiquement gauchiste qui, déjà, n’a rien à voir avec la science du climat mais toutes les apparences de l’idéologie des lendemains qui chantent socialistes.

Il y a cependant une nouveauté. Elle réside dans le fait que Greta Thunberg nous donne aujourd’hui sa liste précise des luttes qui se doivent de converger à l’abri du parapluie climatique pour mieux terrasser le capitalisme. Ainsi, l’antiracisme, la mise en accusation coloniale(*) et le féminisme deviennent autant de vecteurs possibles de l’action politique d’extrême-gauche qui ont tout intérêt à s’entendre.

Sur le Web :  https://leblogdenathaliemp.com/2019/12/09/luttes-plus-elles-convergent-plus-elles-divaguent/#more-58520

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Impôts et cotisations: ménages et entreprises français paient 150 milliards de plus que les allemands

Par Raphael Legendre
En 2018, ménages et entreprises français ont payé 172 milliards d’euros de prélèvements en plus que la moyenne des contribuables européens

La réforme de la fiscalité du capital de 2018 a ramené la France dans la moyenne européenne.

 Le poids des charges sociales et des impôts de production restent deux exceptions françaises dans le paysage européen, indique dans une note que dévoile l’Opinion l’ancien magistrat de la Cour des comptes et fondateur du site fipeco.fr, François Ecalle. Deux prélèvements qui pénalisent l’activité, donc l’emploi et la croissance.

Cocorico ! Pour la troisième année consécutive, la France vient de décrocher un nouveau titre de champion du monde des impôts, taxes et autres cotisations sociales. Avec un taux de prélèvements obligatoires (PO) de 46,1 % du PIB, inchangé depuis 2017, l’Hexagone affiche près de 12 points de PIB de prélèvements de plus que la moyenne des pays membres de l’OCDE. C’est 275 milliards d’euros de charges de plus sur les ménages et les entreprises en 2018.

D’où vient ce surplus ? Pour y voir plus clair, le spécialiste des finances publiques, François Ecalle, ancien magistrat de la Cour des comptes et fondateur du site Fipeco.fr, est revenu dans une note que dévoile l’Opinion sur les spécificités du système français. L’expert a décomposé nos prélèvements par nature (impôt ou cotisation) et par assiette économique  (travail, consommation, capital…) pour les comparer à la moyenne européenne.

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Premier constat : les Français acquittent 172 milliards d’euros de prélèvements obligatoires de plus que la moyenne des contribuables européens (7,3 points de PIB) ; 141 milliards de plus que la moyenne des contribuables de la zone euro (6 points PIB) et 150 milliards de plus que les contribuables allemands (6,4 points de PIB). Cet écart tient surtout aux cotisations sociales (3,6 points, soit 29 % de plus en France).

Modèle social. Ces cotisations sont payées par les salariés et les employeurs. Un financement de notre modèle social qui repose sur le travail et qui n’est pas sans conséquence la compétitivité du pays. « La France est au deuxième rang de l’Union européenne pour les prélèvements sur le travail en pourcentage du PIB, derrière la Suède », rappelle François Ecalle. Ce que l’on sait moins, c’est que ce surcoût est exclusivement supporté par les cotisations des employeurs, par les entreprises. Car depuis la suppression des cotisations salariales santé et chômage en 2018, financé par une hausse de la CSG, « le poids des cotisations payées par les ménages est désormais inférieur à la moyenne européenne », constate l’expert.

Les cotisations ne sont pas seules responsables de cet écart important. Certains impôts aussi pèsent lourd. Comme les impôts de production qui sont deux fois plus élevés en France qu’ailleurs en Europe (2,3 % de PIB). Un fardeau fiscal qui frappe les entreprises avant même qu’elles aient enregistré leur premier euro de bénéfice. Les industriels français sont récemment revenus à la charge pour réclamer une réduction de cet écart, notamment par rapport à leurs concurrents allemands qui en sont pratiquement exonérés. Emmanuel Macron devrait sur ce point faire des annonces en janvier. Problème, ces impôts sont souvent des impôts locaux et les collectivités locales ne sont pas prêtes à se dessaisir de recettes stables et abondantes.

Ces anomalies fiscalo-sociales ne résument pas non plus l’ensemble du système français. La première des ressources fiscales du pays par exemple, la TVA, affiche un taux normal (20 %) plutôt dans le bas de la moyenne de l’UE. Il est par exemple de 21 % en Belgique, en Italie ou aux Pays-Bas. Il est même de 25 % en Suède. Précédemment inférieur à la moyenne européenne, la hausse de la CSG a par ailleurs ramené le niveau de taxation des revenus des ménages a dans la moyenne européenne. «  Hors CSG et autres prélèvements sociaux, le poids de l’impôt sur le revenu au sens strict reste nettement inférieur à celui des autres pays avec un écart de 6,4 points », rappelle toutefois François Ecalle. Il faut dire que moins d’un foyer sur deux paye l’impôt sur le revenu en France. En revanche, l’ultra-progressivité de l’IR pose le problème de la concentration de cet impôt sur une minorité de ménages.

Le produit de l’impôt sur les sociétés affiche quant à lui un niveau de recettes similaire au niveau européen (2,7 % du PIB). L’IS français affiche pourtant le taux facial le plus élevé de l’Europe, mais les nombreuses niches fiscales qui mitent son assiette réduisent nettement son poids.

Reste enfin la fiscalité du capital, profondément réformée en 2018 avec l’assouplissement de l’ISF et la mise en place de la flat tax. Si la note de François Ecalle reste sur les données de 2017, rappelant le surcoût de la fiscalité à l’époque par rapport aux autres pays européens, une étude récente de l’Association des marchés financiers  (Amafi) indique que la France est ici aussi revenue dans la moyenne européenne. Un avis que ne partage pas complètement François Ecalle, qui estime pour sa part que « malgré les mesures mises en œuvre par le gouvernement, la France devrait rester en 2018 parmi les pays où le capital est le plus fortement imposé ».

sur le web:  https://www.lopinion.fr/edition/economie/impots-cotisations-menages-entreprises-francais-paient-150-milliards-d-205684?fbclid=IwAR22OIrsvyFdXMiSHi0emgZgP0pWG_Ngdal4jn4UgJKM294Rscmq6g2oVLY

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62 ans d’Imagination fiscale… et de Mensonges. Témoignage.

Un témoignage que m’a fait parvenir Richard Armenante.

Une information que l’on m’a adressée et qui n’est pas sans intérêt, à méditer:
“Regard sur la retraite durant 62 ans.
La situation où on en est !
> De 1956 à nos Jours : 62 ans d’Imagination fiscale… et de Mensonges
> Déjà, je me présente. Je m’appelle Micheline Sany.
> Je suis née en 1927 et je vous le dis tout net :
> à force de tirer sur l’Elastique, la Corde va péter !
> En 1956, quand Guy Mollet a instauré la Vignette pour « fournir un Revenu minimum à toutes les personnes âgées de 65 ans et plus », bon… moi j’avais à peine 30 ans et j’étais très fière de pouvoir venir en aide aux Anciens. En plus, Paul Ramadier, le Ministre des Affaires Economiques,avait affirmé que ça serait une Taxe temporaire…
> Bah, il a duré Quarante-Quatre Ans le Temporaire !Pendant quarante-quatre ans j’ai payé cette Vignette ! Alors merci !
> Surtout que les Anciens n’en ont presque jamais vu la couleur, vu qu’au bout de trois ans, le Premier Ministre, Michel Debré, a annoncé que le Produit de la Vignette serait finalement « acquis au Budget de l’État… », qui le reverserait au Fonds National de Solidarité. Enfin, en partie… Enfin, en petite partie. Que les Vieux se fassent dépouiller comme ça, ça a fait du foin, pendant toutes ces années. Mais ça n’a jamais rien changé.
> Ensuite en 1991 , quand ils ont créé la CSG, la Contribution Sociale Généralisée pour financer la branche famille, en remplacement des Cotisations Patronales d’Allocations Familiales, bon… sans râler, j’ai payé !
> Surtout que ça ne devait durer que Cinq ans.
> « Une Contribution transitoire » qu’ils disaient et puis 1,1 %, c’était supportable.
> Seulement Vingt-Sept ans plus tard, elle transite toujours la CSG !
> Et elle a grimpé à 9,2 % pour les Salariés et 8,3 % pour les Retraités.
> Par étapes, bien sûr, c’est moins voyant.
> En 1993, elle est passée de 1,1 à 2,4 %. Pour alimenter en plus le Fonds de Solidarité Vieillesse.
Y’avait pas déjà la Vignette pour ça?

> Chuuuuut, arrêtez d’être insolents !
> > > > En 1997, elle augmente encore pour financer, en plus, la Branche Maladie : on en est à 3,4 %.
> > > > En 1998, toujours pour la branche maladie, elle passe à 7,5 %, etc., etc.
> > > > Bref, la Protection Sociale ne s’est pas redressée, et ce qui devait être temporaire est devenu…
> > > > un Impôt de Plus. Ah bah oui !
> > > > La CSG, ça rapporte plus que l’Impôt sur le Revenu aujourd’hui.
> > > > Si on vous demande combien vous payez d’Impôts par an, vous savez le dire.
> > > > Mais si on vous demande combien vous payez de CSG, vous savez ?
> > > > Chez moi on disait : « C’est tout un art de plumer l’Oie sans la faire crier.»
> > > > Alors qu’il y aurait de quoi hurler.
> > > > Et puis en 1996, rebelote avec la CRDS, la « Contribution à la Réduction de la Dette Sociale ». J’ai payé. (Mais j’avoue, j’ai râlé.)
> > > > À cette époque, les Déficits Sociaux s’élevaient à un Montant estimé entre 30 et 38 Milliards d’euros. Oui, parce que nous, si on se trompe de dix euros dans notre Déclaration de Revenus, on risque une Amende, mais eux, un flou de 8 Milliards, ils ont le Droit…
> > > > Toujours est-il qu’ils avaient tout bien calculé :
> > > > en treize ans, tout serait remboursé. La CRDS devait disparaître le 31 Janvier 2009.
> > > > Mais voilà-t’y pas qu’en Septembre 1997, le Gouvernement Jospin annonce 13 Milliards d’euros supplémentaires de Dettes, qui correspondaient aux Déficits Sociaux non financés des années 1996 à 1998. Alors, ils ont tout bien recalculé, finalement pour tout éponger il fallait prolonge jusqu’au 31 Janvier 2014.
> > > > Mais voilà-t’y pas qu’en 2004, le Plan de Redressement de la Sécurité Sociale concocté par Philippe Douste-Blazy annonce 50 Milliards d’euros supplémentaires de Dette à rembourser.
Alors, ils ont tout bien re-recalculé… et ils ont vu que finalement, la Trinité était la meilleure date pour arrêter la CRDS. Donc, on la paye toujours…
> > > > Et puis, en 2004, Raffarin a inventé la « Journée de Solidarité », vouée à « l’Autonomie des personnes âgées ».
> > > > Moi, ça va, j’étais déjà à la Retraite, mais vous, vous avez travaillé, sans être payés !
> > > > Et en 2013 ,une nouvelle Taxe pour les Retraités.CASA, ça s’appelle.
> > > > C’est la « Contribution Additionnelle de Solidarité à l’Autonomie », 0,3 % sur les Retraites, Pensions d’Invalidité, Allocations de Pré Retraite.
> > > > C’est-à-dire qu’ils font payer les Vieux pour que les Vieux soient autonomes !
> > > > C’est pas du bon Foutage de Gueule, ça ?
> > > > Et on continue. En 2013,
> > > > toujours, M. Jean-Marc Ayrault
> > > > nous gèle les Retraites Complémentaires…
> > > > Et comme ça ne s’arrête jamais, maintenant, parce que j’ai 1 247 euros de Revenu Fiscal par mois,
> > > j’ai une Augmentation monstrueuse de la CSG :
> > > > 25 % d’Augmentation !
> > > > Ah ben oui, on nous a dit 1,7 % ,
> > > > mais c’est pas 1,7 % de ce qu’on payait,
> > > > c’est le Taux qui augmente de 1,7 % !
> > > > Bref, nous les Vieux,
> > > > on est passés de 6,6 % à 8,3 % de CSG, ça nous fait 25 % dans les dents qui nous restent.
> > > > Et maintenant, la Cerise sur le pompon :
> > > > on nous annonce que nos Retraites vont être revalorisées de 0,3 %.
> > > > Cinq fois moins que l’Augmentation dont on aurait dû bénéficier si le Code de la Sécurité Sociale avait été simplement respecté, puisqu’il prévoit que les Pensions soient revalorisées du Montant de l’Inflation moyenne sur l’année pour éviter toute dégradation du niveau de vie.
> > > > Et l’Inflation prévue d’après l’Insee est de 1,6 %.
> > > > Et Bruno Le Maire ose dire sur RTL :
> > > > « Mais ils ne seront pas perdants, leur Pension de Retraite continuera à être revalorisée. »
Il croit qu’on est tous gâteux ou quoi !!! “

 

ET AUSSI CE COMMENTAIRE:
Et vous ne parlez que de la csg … , sur salaire et retraité, vous oubliez celle sur le patrimoine, qui est passé de 0 en 1991, à 17,2% aujourd’hui, et probablement 30% dans les 10 ans, et ou les privilèges se payent, (sauf bien entendu les privilèges de la monarchie et de leurs sbires)
Vous pourriez parler du pea, exonéré d’impôts mais pas de csg sur patrimoine, ce plan qui bénéficiait d’un avoir fiscal, et qui as été simplement suprimé , je vous garantie que les propriétaires de pea, ne s’apellent pas ” Bétencourt, Arnaud,…”
Les propriétaire d’un petit bien immobilier, qui sont logés à la même enseigne,
Vous pourriez également parler de l’exonération des plus value immobilière, qui en 91: 22 ans pour être exonéré, puis passé à 15 ans en 2002 (je crois), puis repassé à… 32 ans aujourd’hui.
Et aussi pour que les petits actionnaires pour garder leurs actions longtemps, il y avait une exonération de 65% sur les plus-value, supprimée d’un coup.
Que dire des « avantages retraites », de tout temps pour les fonctionnaires, la fameuse préfonds, totalement déductible du revenus ou de l’impôt payé, je sais pas et je m’en fous, cette retraite par capitalisation si décriée par ces … derniers, et qui n’est pas accessible au secteur marchand…
A croire tout ces fonctionnaires, ils auraient surement de meilleurs salaires dans le privé, mais pourquoi n’y vont ils pas? (Ils sont tellement sur d’être les meilleurs, …)

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Différences des retraites entre public et privé Par Alain Mathieu,

Les différences entre le public et le privé en matière de retraites est un sujet d’actualité brûlant ; dès jeudi la France sera paralysée par la grève des salariés du secteur public qui refusent la disparition de leurs régimes de retraite.

Cette suppression figurait dans le programme électoral d’Emmanuel Macron il y a deux ans : « Nous mettrons fin aux injustices de notre système de retraites. Un système universel avec des règles communes de calcul des pensions sera progressivement mis en place ».

Cette suppression figurait aussi cette année-là dans le programme des Républicains : « nous supprimerons progressivement les régimes spéciaux de retraite et alignerons les régimes de retraite de la fonction publique sur le régime général ».

Vous connaissez ces injustices de notre système de retraite : dans le secteur public on part à la retraite en moyenne environ trois ans plus tôt que dans le secteur privé, et, à salaire de départ égal, la pension moyenne de retraite y est proche du double. Cette pension est égale à 75% du salaire moyen des six derniers mois, alors que dans le privé elle est de 50% du salaire moyen des 25 meilleures années, auxquels s’ajoutent des retraites complémentaires qui portent le montant à environ 60%.

En janvier 2010, lançant la réforme Sarkozy des retraites, qui faisait passer l’âge légal de départ de 60 à 62 ans, François Fillon déclarait au Figaro : « Aucune question n’est taboue. Celle du calcul de la pension sur les six derniers mois de salaire dans la fonction publique se pose évidemment ». Pascale Coton, responsable des retraites à la CFTC, réagissait aussitôt : « Calculer la retraite des fonctionnaires sur les 25 meilleures années ferait chuter les pensions de 40% » déclarait-elle. La question fût rapidement enterrée.

Les différences considérables en faveur du secteur public expliquent l’ardeur manifestée par ses bénéficiaires pour garder ces avantages.

Vous connaissez la justification fournie par les syndicats du secteur public : il y aurait un contrat moral entre les employeurs publics et leurs employés. Ceux-ci seraient mal payés et en contrepartie bénéficieraient de retraites privilégiées. En réalité ils ont bien d’autres avantages, un emploi à vie qui leur enlève toute inquiétude pour l’avenir, une progression de leur salaire à l’ancienneté, des horaires de travail plus légers, des retraites par capitalisation dont les cotisations sont déduites fiscalement de leur revenu, et des avantages annexes que nous détaillerons. Et leurs salaires sont souvent, à temps de travail égal, supérieurs à ceux du secteur privé. Ainsi par exemple, le salaire moyen à EDF est de 4.900 € par mois. De plus ils sont nombreux à appliquer la devise des salariés des pays communistes : « ils font semblant de nous payer ; nous faisons semblant de travailler ».

Mais revenons à la comparaison public/privé. Les moyennes peuvent cacher de grandes disparités car il y a des situations très différentes à l’intérieur du secteur public, comme du reste, à l’intérieur du secteur privé. A quoi est due cette diversité ?

En dehors du régime général des salariés du secteur privé et de la mutualité agricole, il y a 42 régimes spéciaux de retraite. Certains d’entre eux concernent d’ailleurs le secteur privé : les avocats, les indépendants (artisans, commerçants, industriels), les professions libérales (notaires, médecins, pharmaciens, dentistes, architectes…), les clercs de notaires, les marins.

Il y a des régimes spéciaux anecdotiques, comme celui de la préfecture du Haut-Rhin, avec 5 bénéficiaires, celui du chemin de fer franco-éthiopien, avec 10 bénéficiaires, ceux des ports de Bordeaux et Strasbourg et de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris. Le régime spécial de la Comédie française n’a que 401 pensionnés.

Quel est l’âge réel de départ en retraite dans le secteur public, à comparer à celui du secteur privé, qui est en moyenne de 63 ans ?

Les fonctionnaires des catégories actives, expression fort peu aimable pour les autres, qualifiés de sédentaires, peuvent partir en retraite entre 55 et 57 ans, 5 ans avant les autres. Ils sont 765.000. Mais certains fonctionnaires de catégorie active, comme les policiers, les surveillants de prison, les contrôleurs aériens peuvent partir à 52 ans. Les fonctionnaires civils titulaires de catégorie sédentaire sont les moins favorisés et partent un an et deux mois avant le secteur privé. Les danseurs de l’Opéra de Paris partent à 42 ans, les fonctionnaires des assemblées parlementaires peuvent partir après 15 ans de service, les militaires du rang après 17 ans, un commandant de l’armée de l’air peut partir à 52 ans, un général à 63 ans. A la RATP, l’âge moyen de départ est 52 ans pour les roulants et 57 pour les autres. A la SNCF, c’est un an plus tard pour les roulants comme pour les sédentaires. A EDF, l’âge moyen est à 58 ans.

Au total un nombre important de salariés du secteur public partent en retraite avant 61 ans : 30% des fonctionnaires civils de l’Etat, 38% des fonctionnaires territoriaux et hospitaliers, 93% à la RATP, 97% à la SNCF. Ainsi s’explique la moyenne d’environ trois ans de différence entre le public et le privé.

En ce qui concerne le niveau des pensions, la pension moyenne d’un fonctionnaire civil de l’Etat de catégorie active est de 2.473 € par mois, tandis que celle du régime général, y compris les retraites complémentaires, pour un salarié non-cadre, est de 1.335 €, soit 85% de plus pour les fonctionnaires. Pour avoir un tableau plus complet, rappelons que dans le secteur privé les cinq millions de retraités agriculteurs, commerçants, artisans ne sont pas dans le régime général et font baisser la moyenne. Par exemple la moyenne des commerçants est à 970 € par mois, celle des agriculteurs à 740, les artisans à 1.050. Dans le secteur public les cheminots sont à 2.600 €, les électriciens à 3.600 et la RATP à 3.700. Ainsi entre la moyenne du retraité agriculteur et celle du retraité de la RATP, le rapport est de 1 à 5.

Les pensions de réversion (c’est-à-dire versées principalement aux veuves) sont soumises à des conditions de ressources dans le secteur privé, pas dans le secteur public.

Les fonctionnaires se plaignent du fait que leur retraite est calculée sur leur salaire de base, à l’exclusion des primes. Mais c’est en réalité un avantage. En effet en 2005 a été créé le régime additionnel de la fonction publique, un régime obligatoire par capitalisation intégrant les primes jusqu’à 20% du traitement. La cotisation, égale à 10% des primes, est partagée par moitié entre le fonctionnaire et l’employeur. Dans son dernier rapport annuel, l’organisme qui gère cette retraite additionnelle se réjouit de son développement, puisque ses placements atteignent 30 milliards d’euros. Il se réjouit aussi du rendement de ces placements, qui depuis l’origine est en moyenne de 4,8% par an, ce qui permettra de doubler ce complément de retraite par rapport à une retraite fonctionnant par répartition. Le rendement est si bon que l’organisme gestionnaire a pu diversifier ses placements. En particulier il construit des logements à faibles loyers qu’il réserve aux fonctionnaires dont le salaire est supérieur au maximum autorisé pour les HLM. Son rapport précise : « Grâce à la décote par rapport au loyer du marché, les ménages logés ont réalisé une économie annuelle moyenne de 1.167 € ». Cette réussite de la retraite additionnelle de la fonction publique est un argument convaincant en faveur de l’introduction d’une part de capitalisation dans notre futur régime universel de retraite.

Au total les avantages du secteur public peuvent être chiffrés : les retraites publiques coûtent 93 milliards d’euros par an, le double de ce qu’elles coûteraient si elles étaient calculées comme celles du privé.

Outre leurs pensions plus élevées les retraités du secteur public bénéficient souvent d’avantages en nature : électricité à un tarif réduit de plus de 90% pour les électriciens, transports gratuits ou réduits de 90% pour la famille des cheminots (il y a huit fois plus de bénéficiaires de cet avantage que de salariés de la SNCF), vacances, cantines, coopératives d’achat, crédits immobiliers à des tarifs préférentiels, logements sociaux et de fonction, soins de santé entièrement gratuits.

Nous pouvons donc conclure en donnant raison à Agnès Buzin, ministre de la solidarité et de la santé, qui qualifie d’« extrêmement avantageuses » les retraites du secteur public. Chers amis, ne vous laissez pas envahir par la crainte que la grève de jeudi maintienne ces privilèges. Deux raisons permettent d’espérer la fin de ces injustices. D’abord l’opinion publique n’y est pas favorable. D’après un sondage IFOP réalisé il y a un an, 85% des Français trouvent notre système de retraite inégalitaire, et même 61% des salariés du secteur public trouvent ces différences injustifiées.

Ensuite notre système de retraite a fait l’objet de nombreuses réformes qui ont déclenché des grèves et des manifestations, mais pour la plupart ces réformes ont été mises en œuvre : celle de François Fillon en 2003, qui faisait passer la durée de cotisation du secteur public à 41 ans, celle de Sarkozy en 2010, qui augmentait de deux ans pour tous l’âge légal de départ en retraite, celle de Marisol Touraine en 2014 qui faisait passer la durée de cotisation à 43 ans. Une seule réforme n’a pas provoqué de manifestations, celle d’Edouard Balladur en 1993 : elle a été prise par décret à la fin du mois d’août et ne concernait que le secteur privé. Une réforme a échoué après trois semaines de grèves et de manifestations, celle d’Alain Juppé en 1995. Elle alignait les durées de cotisation du public sur celle du privé. Mais cet échec s’est traduit par une déconfiture du gouvernement, obligé, pour retrouver son autorité, à dissoudre l’Assemblée nationale et ainsi à perdre le pouvoir pour 5 ans au profit de Lionel Jospin. Cet échec est une leçon pour les successeurs : lancer une réforme courageuse et y renoncer revient à abandonner le pouvoir. La réforme d’Emmanuel Macron fera sans doute l’objet de concessions, au profit de certains régimes spéciaux, sur la durée de la période de transition entre le régime actuel et le futur régime universel. Mais elle ne pourra pas être abandonnée. C’est l’espoir raisonnable que vous pouvez nourrir, et, s’il le faut, nous nous battrons pour que cet espoir devienne une réalité.

Sur le Web:  https://entrepreneurs-pour-la-france.org/Les-obstacles/Syndicats/article/Differences-des-retraites-entre-public-et-prive

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Impôts, taxes, malus et ponctions : une année 2020 pétulante par H16

Chers lecteurs, chers amis, chers critiques, chers trolls, chers et chères contribuables, je découvre enfin une excellente nouvelle dans le paysage fiscal français : Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics, a bien compris que le bombardement paperassier des entreprises par les administrations pléthoriques de l’État finissait par leur être quelque peu pénible et du haut de sa munificence, il a donc entrepris de remédier à ce petit encombrement de tatillonneries.

Contrôlée sept fois en deux ans par l’URSSAF, l’Environnement, les Transports, l’inspection et la santé du travail et bien sûr le fisc, telle entreprise ou tel commerçant n’en peut plus et finissent par se plaindre auprès des autorités qui, jusqu’à présent, n’en avaient cure. Heureusement, Gérald enfile sa cape de super-héros politique et parvient, grâce à une nouvelle loi « pour un État au service d’une société de confiance » (Essoc) à enfin réduire la charge administrative de ces contrôles incessants.

Rassurez-vous cependant : par « réduire », on n’entend pas du tout rentrer dans le domaine du raisonnable où l’entreprise subirait un contrôle annuel de l’une ou l’autre entité bureaucratique dont la France s’enorgueillit des services remarquables et des résultats admirables, non. Ici, il s’agit simplement de s’assurer que, sur un an, l’entreprise ne se fait pas tabasser plus de neuf mois, ce qui lui laisse alors trois mois de cocagne où l’opulence et la joie de vivre s’y disputeront des bénéfices forcément dodus qui bénéficieront en premier lieu à l’État, via le fisc.

Bref, on l’a compris : l’ambiance va se détendre en France, et on va bien rigoler les prochains mois, c’est Gérald qui vous le dit.

Ce qui n’empêchera pas le même Gérald de tressauter d’allégresse en annonçant à tous que l’espionnage permanent et de plus en plus pervasif de ses services permet d’aller encore plus profond dans les poches des contribuables. Joie, bonheur et brigandage légal : grâce à un efficace data-mining et un habile croisement de données qui aurait fait frémir la CNIL si tout le monde ne s’en foutait pas éperdument, le fisc est parvenu cette année à récupérer 6 milliards d’euros qui viendront s’ajouter à un budget qu’on sait déjà taillé au cordeau.

Rien que savoir ces sommes d’ores et déjà mobilisées pour éduquer si finement nos enfants, réparer si minutieusement nos routes, payer si justement nos médecins dans nos hôpitaux si bien gérés, cela me fait chaud au cœur. Quel bonheur de comprendre que, derrière ces croisements de données, cet espionnage dont tout indique qu’il va continuer à s’étendre encore, se cache une volonté farouche d’aller aspirer la richesse partout où elle se trouve pour que la puissance publique puisse enfin la rediriger là où elle est importante, c’est-à-dire dans les productions télévisuelles et radiophoniques à la botte de Delphine Ernotte, dans les petits fours et autres fêtes grandioses de l’Élysée et de la myriades d’administrations jamais en reste pour un petit drink entre copains (et coquins) ou en distribution de prébendes et autres politiques sociales consternantes dont le résultat est forcément génial et jamais réellement évalué…

Mais ne soyons donc pas mauvaise-langue ! Si le petit Gérald fait ainsi de tels efforts pour aller aspirer partout l’argent où il peut en trouver, c’est que l’État a de gros besoins, toujours inassouvis et que chaque économie, chaque rabotage est un renoncement, une déchirure, une souffrance difficile à supporter, à tel point que le bilan budgétaire est maigre : l’année 2020 devrait une nouvelle fois se traduire par un petit déficit (oh, zut, comme c’est ballot) de 93 milliards d’euros.

Quant aux suppressions de poste dans la fonction publique, qui participerait normalement des efforts budgétaires consentis afin de réduire la masse salariale d’un État morbidement obèse, elle s’établira vaillamment à … 47 postes (oui oui, 47, pas 47 000).

Encore une fois, ne perdez pas de vue que ces efforts sont consentis pour que la République puisse survivre dans cette période d’austérité grandissante et alors que la rigueur budgétaire atteint des sommets jamais gravis jusqu’à présent. Il sera probablement difficile, dans ce contexte, de continuer à alimenter les petits Think-Tanks et autres minions à la solde des ministères, même si on devrait trouver une trentaine de millions d’euros quand même, ne nous leurrons pas.

Il faut le comprendre : la situation est tendue, le budget l’est aussi, les économies sont difficiles à faire, Gérald et Bruno, les Laurel & Hardy de nos finances publiques, n’ont donc pas fini de recourir à toutes les ficelles pour continuer leur petit jeu d’équilibristes rigolos en comptabilité publique.

Parallèlement et de façon plus sérieuse, pendant que ces deux clowns sinistres et coûteux persisteront à alimenter la chronique de leurs fastes et de leurs saillies imbéciles, le pays va donc très concrètement continuer de s’endetter comme jamais et ce avec d’autant plus d’aisance que le chef de l’État lui-même a jeté aux orties toute velléité de respecter, même vaguement, les traités européens, au motif que limiter le déficit à 3% du PIB serait un débat d’un autre siècle.

Et parce que ces histoires d’endettement, c’est bien mignon, mais ça ne suffira même pas à boucler le budget pourtant catastrophiquement déséquilibré, on y ajoutera bien sûr une nouvelle bordée d’augmentation de taxes, d’impôts, de ponctions et d’accises rigolotes, qui vont pleuvoir sur le contribuables dans les prochains mois avec un rythme joyeux.

Le prix des péages routiers sera ainsi augmenté de 1% à 1,5% ce qui ravira encore le petit peuple méprisable qui utilise encore sa voiture pour se déplacer. Qu’on le taxe encore ! Après tout, il pollue l’atmosphère des Seigneurs !

Le prix des billets d’avion va encore augmenter, l’écotaxe rejoignant la Taxe Chirac déjà présente en France (et en France seulement), ce qui se traduira par un accroissement de 1,5€ à 18€. Rappelons que ce mode de déplacement n’est pas fait pour les pauvres et les classes moyennes. Les classes supérieures en ont assez de voyager serrés comme des sardines à cause de la plèbe, qui, ne l’oublions pas, pollue leur atmosphère !

Concernant le prix de l’essence, rassurez-vous, le gouvernement est formel : il n’augmentera pas plus que d’habitude avec la hausse des cours du pétrole (réelle ou fantasmée, peu importe, c’est toujours une hausse). Cependant, il ne faudrait pas voir ceci comme un blanc-seing à venir polluer l’atmosphère de ceux qui décident et qui taxent : il a donc été logiquement décidé une solide hausse des malus écologiques sur les voitures pour 2020, la pollution étant un sujet particulièrement sensible auprès de nos élites qui n’entendent pas respirer les odeurs de sueur et de charbon brûlé des plèbes grouillantes sans y trouver compensation, zut à la fin.

Enfin, pour faire bonne mesure et comme il va être temps de solder 75 ans de gestion publique progressivement de plus en plus calamiteuse de la production électrique en France, le gouvernement va devoir scinder les activités de distribution et de production électrique d’EDF. Les négociations de marchand de tapis entre nos batteries d’énarques et la Commission européennes ont finalement abouti à un accord qui verra essentiellement bondir les prix de l’électricité en France dès 2020.

Entre l’écologie qui justifiera amplement l’augmentation des taxes ici et là, et l’ultra-libéralisme de la turbo-concurrence imposée par Bruxelles qui disculpera complètement (et commodément) les erreurs industrielles, commerciales et financières en chapelets des dirigeants de nos fleurons industriels, on peut garantir que l’hiver 2020 ne sera certainement ni plus chaud, ni moins cher que les précédents.

L’année prochaine s’annonce déjà pétulante. Les taxes, les malus, les ponctions et les tabassages fiscaux sont déjà dans les tuyaux et la mine réjouie de ces bouffons ministériels nous donne un excellent aperçu de ce qui attend le contribuable français.

Forcément, ça va bien se passer.

sur le web: http://h16free.com/2019/11/18/64697-impots-taxes-malus-et-ponctions-une-annee-2020-petulante

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Charles Gave : « C’est normal que les Français soient en colère car l’Etat est entre les mains de brigands »

https://planetes360.fr/charles-gave-cest-normal-que-les-francais-soient-en-colere-car-letat-est-entre-les-mains-de-brigands/?feed_id=2317&_unique_id=5de9216f9a69b&fbclid=IwAR2S3p0SzhqXQL4XGxqi53RxG

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POURQUOI LA FRANCE S’ECROULE.

Voici un pot pourri de 3 articles dont 2 que nous avons publié séparément.
Pourtant à bien y réfléchir le 2 découle du 1, et le 3 découle du 2.
Pour payer les très hauts
salaires et avantages de connivences de nos « hauts »fonctionnaires (90% sont bien sûr des énarques qui se cooptent), ils sont obligés de piller les français en créant un enfer fiscal, ce qui a forcé une partie de nos élites (élite dans le bon sens du terme), celle qui travaille et ne souhaite pas être rackettée et a les moyens de s’exiler nous donnant après la médaille d’or des taxes et impôts, la médaille d’or de l’exil (proportionnellement) fiscal.
CQFD.

J’ai trouvé la liste des exilés sur F.B et la publie ici …

Salaires et rémunérations de quelques hauts fonctionnaires La France, ce grand pays ! Par Yves Buchsenschutz,

1 décembre 2019Zap du NetLe Zap du Net Modifier

Nous ne résistons pas au plaisir de relayer la diffusion de ce panorama (non exhaustif) des « sinécures » de la haute fonction publique répertoriée dans une publication de Contribuables Associés, à laquelle nous l’empruntons et qui vous aura peut-être échappé. C’est impressionnant et laisse clairement apparaître que des économies sont possibles sans changer le moins du monde la « production » de la fonction publique.

Les « Ambassadeurs Thématiques » … !

Ils sont actuellement au nombre de 28, le montant réel de leurs indemnités est secret – et pourquoi donc ? ( vraisemblablement du même ordre que celui de Ségolène ROYAL (17.500 euros/mois) )

  • Ségolène ROYAL Ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles Arctique et Antarctique (Il faut le trouver… !)

Mais aussi :
● François Croquette, Ambassadeur pour les droits de l’Homme chargé de la dimension internationale de la Shoah, des spoliations et du devoir de mémoire ;
● Xavier Sticker, Ambassadeur délégué à l’environnement ;
● Nicolas Galey, Ambassadeur, délégué interministériel à la Méditerranée ;
● Luc Hallade, Ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone de l’Océan Indien ;
● Maxime Lefèbvre, Ambassadeur pour les commissions intergouvernementales, la coopération et les questions frontalières ;
● Brigitte Collet, Ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique pour les énergies renouvelables et la prévention des risques climatiques ;
● Stéphane Visconti, Ambassadeur pour le partenariat oriental de l’Union européenne et de la Mer Noire, co-président du groupe de Minsk ;
● Odile Roussel, Ambassadrice chargée de l’adoption internationale ;
● Jean-Bernard Nilam, Ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone Antilles-Guyane ;
● Michèle Boccoz, Ambassadrice chargée de la lutte contre le VIH-SIDA et les maladies transmissibles ;
● Patrick Maisonnave, Ambassadeur chargé de la stratégie internationale en matière de lutte contre le terrorisme.
● La sénatrice UDI Nathalie Goulet, interrogée par l’émission Pièces à conviction sur France 3 : “Ces « emplois » sont l’expression d’un « véritable copinage aux frais des contribuables » … “ Et pourtant, en tant que Sénatrice elle sait de quoi elle parle, parce qu’au SENAT … Demandez aux jardiniers, aux chauffeurs, et aux agents d’entretien à 6.000 euros par mois.

Passons à des jobs plus traditionnels : quelques autres gagnants …

  • Directeur/Président de la Cnil, 160.000 euros annuels ;
    ● Directeur/Président du CSA, 188.000 euros annuels ;
    ● François VILLEROY de GALAU, Gouverneur de le Banque de France 37.580 euros par mois + indemnité logement 5.643 euros par mois ;
    ● Les deux sous-gouverneurs ont touché 223.255 euros en 2016 ;
    ● Bruno LASSERRE, Vice-Président du Conseil d’Etat, 65 ans, et toujours en activité (si l’on peut dire…) touche 16.170 euros chaque mois ;
    ● Isabelle Falque-Pierrotin qui perçoit 160.891 euros annuels en tant que présidente de la CNIL ;
    ● Robert OPHELE, Président de l’Autorité des marchés financiers avec un salaire annuel de 238.735 euros ;
    ● Isabelle SILVA, Présidente de l’autorité de la concurrence : 14.000 euros par mois ;
    ● Thierry DALARD, Président de la société du Grand Paris : 17.000 euros/mois ;
    ● Etienne CREPON, Président du centre technique du bâtiment : 16.330 euros/mois ;
    ● Philippe NICOLA directeur du Centre national de la chanson, des variétés et du jazz : 12.000 euros/mois ;
    ● Jean pierre GENELAY, Directeur général de l’AFPA : 16.230 euros/mois.

Autre catégorie intéressante :

  • Les énarques de BERCY : Ils sont 600… Vous avez bien lu : 600 hauts fonctionnaires de BERCY qui touchent un salaire supérieur à 15.000 euros par mois (et certains beaucoup plus …) ;
    ● Sylvie HUBLAC, Présidente de la réunion des musées Grand Palais : 16.000 euros/mois ;
    ● Christophe LECOURTIER chargé de promouvoir l’internationalisation de l’économie Française : 16.000 euros/mois ;
    ● Arnaud LEROY, Président de l’ADEME : 15.830 euros/mois ;
    ● Laurent VALLET, Président de l’INA 15.400 euros/mois ;
    ● Olivier KLEIN, Président de l’Agence de Rénovation Urbaine 14.290 euros/mois ;
    ● Chantal JOUANNO, Présidente de la commission de débat public 14.666/mois (A la une, il y a quelques jours) ;
    ● Le Directeur régional des finances publiques d’Ile-de-France : 21.290 euros nets par mois ;
    ● Le Secrétaire général du ministère des Finances : 15.710 euros nets par mois ;
    ● Le Vice-président du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies (CGEIET), patron du Corps des Mines : 14.200 euros par mois ;
    ● Le Chef de l’Inspection générale des finances (IGF) : 12.955 euros nets par mois ;
    ● Le Président du domaine de Chambord, Mr Augustin de Romanet : 450.473 €/an en tant que PDG de ADP ;
    ● Le Directeur général de CNP Assurances. En 2016 Frédéric LAVENIR a touché une rémunération de 450.000 € ;
    ● Le PDG de la Monnaie de Paris (en déficit de plus de 20 millions d’euros) ;
    ● Président de l’Institut du monde arabe (déficit de 3 millions/an), Jack LANG : 120.000 euros par an ;
    ● Vice-président du Conseil d’Etat : 16.170 euros nets ;
    ● Président de l’Autorité de la concurrence : 14.800 euros nets ;
    ● Premier président de la Cour des comptes : 14.750 euros nets ;
    ● Directeur de l’Agence Régionale de Santé d’Ile de France : 16.700 à 17.500 euros bruts ;
    ● Président de la Société du Grand Paris (SGP) : 17.000 euros bruts ;
    ● Directeur général de Sciences-Po Paris : 16.670 euros bruts ;
    ● Président du Centre scientifique et technique du bâtiment : 16.330 euros bruts ;
    ● Directeur général de l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA) : 16.230 euros bruts ;
    ● Président de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais : 16.000 euros bruts ;
    ● Directeur général de Business France : 16.000 euros bruts.

à quoi s’ajoutent le plus souvent des frais et avantages professionnels.

Penchons-nous maintenant sur les ambassadeurs :

  • Tous les ambassadeurs touchent plus de 15.000 euros par mois, logés, chauffés, nourris, chauffeur, etc.
    ● L’Ambassadeur en Afghanistan touche (poste dangereux) 348.000 euros/an soit 29.000 euros par mois ;
    ● Celui du Yémen 23.000 euros /mois.

Autres catégories bien traitées :

  • Un trésorier-payeur général (responsable départemental du Trésor public). Il y a 1 TPG par département, qui gagne en moyenne 200.000 euros par an.
    ● Les préfets : Ils sont au nombre de 250 !!! Responsable de l’ordre public sur un territoire. Dépositaire de l’autorité de l’Etat dans son département. Après 2 ans d’activité on est « Préfet à vie »
    Mais seuls 127 préfets sont affectés à un « poste territorial » et les autres ne sont rattachés à aucun territoire, et sont « préfets hors cadre » mais conservent les avantages de la fonction… : 8.000 euros de salaire par mois en moyenne …
    Plus, d’après Le Parisien : “Si tous les « objectifs » sont atteints, la prime peut alors atteindre la modique somme de 41.000 € pour un sous-préfet et 66.000 € pour un préfet”, précise le quotidien.
    SUR LE WEB: https://entrepreneurs-pour-la-france.org/Edito/article/Salaires-et-remunerations-de-quelques-hauts-fonctionnaires

 

Et aussi: les hauts fonctionnaires de Bercy qui nous pillent sans vergogne.
https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/

 

LISTE DES IMPÔTS ET TAXES EN FRANCE.
Prenez votre souffle et votre temps !

calez-vous bien sur votre fauteuil

7 novembre 2018Zap du NetLe Zap du Net Modifier

Communiqué par un lecteur de témoignage fiscal.
Précisions de son auteur:
Il me semble que, sauf erreur ou omission de ma  part, qu’il manque  dans cette liste déjà fort longue… la TVA sur les biens de consommation et sur la nourriture….TVA payée par le consommateur final sauf changement législatif que j’aurai zappé par inadvertance….bien sûr. et qui représente un montant annuel non négligeable….
Plus fort que l’IFRAP…

§  1Impôt sur le revenu (IR)

§  2Impôt de solidarité sur la fortune (ISF)

§  3Impôt sur les sociétés (IS)

§  4Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)

§  5Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)

§  6Taxe d’habitation (TH)

§  7Cotisation foncière des entreprises (CFE)

§  8Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)

§  9Contribution sur les revenus locatifs (CRL)

§  10Taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)

§  11Taxe spéciale d’équipement (désormais remplacée par la taxe d’aménagement)

§  12Taxe additionnelle à la TFPNB

§  13Taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)

§  14Taxe destinée au financement des conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE)

§  15Redevance départementale sur l’aménagement des espaces naturels et sensibles (TDENS)

§  16Taxe de balayage

§  17Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE)

§  18Impositions perçues au profit des communautés urbaines

§  19Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie

§  20Prélèvement sur les bénéfices tirés de la construction immobilière

§  21Taxe hydraulique au profit des voies navigables de France

§  22Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP)

§  23Contribution additionnelle à l’impôt sur les sociétés

§  24 Taxe sur la consommation de charbon

§  25Taxes générales sur les activités polluantes (TGAP)

§  26CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale)

§  27CSG (Contribution sociale généralisée)

§  28Taxe forfaitaire sur les métaux précieux

§  29Contribution à l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés)

§  30Redevances pour droit de construire EPAD (Établissement public d’aménagement et de développement)

§  31Droit sur les cessions de fonds de commerce et opérations assimilées

§  32Droits sur les ventes d’immeubles

§  33Droit sur les cessions de droits sociaux

§  34Droits de succession et de donation

§  35Prélèvement non libératoire forfaitaire sur les dividendes et distributions assimilées

§  36Droit du permis de chasse

§  37Droit de validation du permis de chasse

§  38Taxe sur la musique (SACEM – SPRE)

§  39Taxe sur les plus-values immobilières autres que terrains à bâtir

§  40Impôt sur les plus-values immobilières

§  41Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM

§  42Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM

§  43Redevances perçues à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France

§  44Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien des théâtres privés

§  45Taxe sur les transactions financières

§  46Taxe annuelle sur les produits cosmétiques

§  47Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « de stockage »

§  48Surtaxe sur les eaux minérales

§  49Taxe communale additionnelle à certains droits d’enregistrement

§  50Redevances proportionnelles sur l’énergie hydraulique

§  51Taxe communale sur les remontées mécaniques

§  52Taxe communale sur la consommation finale d’électricité

§  53Redevance d’enlèvement d’ordures ménagères (REOM)

§  54Taxe sur les cartes grises

§  55Redevances communale et départementale des mines

§  56Imposition forfaitaire annuelle sur les pylônes

§  57Taxes de trottoir et de pavage

§  58Prélèvement progressif sur le produit des jeux dans les casinos au profit des communes

§  59Taxe sur les activités commerciales non salariées à durée saisonnière

§  60Taxe forfaitaire sur la cession à titre onéreux des terrains nus qui ont été rendus constructibles du fait de leur classement

§  61Taxes sur les friches commerciales

§  62Taxe sur le ski de fond

§  63Taxe sur les éoliennes maritimes

§  64Taxe sur les déchets réceptionnés dans une installation de stockages ou un incinérateur de déchets ménagers 65 Taxe pour non-raccordement à l’égout

§  66Taxes dans le domaine funéraire

§  67Taxe pour obstacle sur les cours d’eau, taxe pour stockage d’eau en période d’étiage et taxe pour la protection des milieux aquatiques, redevances pour pollution diffuses

§  68Redevances pour pollution de l’eau et pour modernisation des réseaux de collecte

§  69Taxe départementale des espaces naturels sensibles

§  70Taxe sur les nuisances sonores aériennes

§  71Taxe spéciale sur la publicité télévisée

§  72Octroi de mer

§  73TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) lubrifiants, huiles et préparations lubrifiantes

§  74TGAP lessives

§  75TGAP matériaux d’extraction

§  76TGAP imprimés

§  77TGAP installations classées

§  78TGAP déchets

§  79TGAP émissions polluantes

§  80Redevances spéciales d’enlèvement des déchets non ménagers

§  81Taxe sur les produits, déchets et résidus d’hydrocarbures

§  82Taxe sur la publicité foncière

§  83Taxe sur la valeur vénale des biens immobiliers des entités juridiques

§  84Cotisation spéciale sur les boissons alcoolisées

§  85Droit de circulation sur les vins, cidres, poirés et hydromels

§  86Droit de consommation sur les produits intermédiaires

§  87Droits de consommation sur les alcools

§  88Droit sur les bières et les boissons non alcoolisées

§  89Taxe sur les prémix

§  90Prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placement et contribution additionnelle

§  91 Contribution sociale de solidarité des sociétés

§  92Contribution due par les laboratoires et les grossistes répartiteurs sur les ventes en gros aux officines pharmaceutiques

§  93 Contribution à la charge des laboratoires pharmaceutiques non conventionnés avec le comité économique des produits de santé

§  94 Contribution due par les laboratoires sur leurs dépenses de publicité

§  95 Prélèvement sur les ressources de différents régimes de prestations familiales

§  96 Redevance due par les titulaires de titres d’exploitation de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux

§  97Droits de plaidoirie

§  98 Contribution due par les entreprises exploitant des médicaments bénéficiant d’une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché)

§  99 Contribution due par les entreprises fabriquant ou exploitant des dispositifs médicaux sur leurs dépenses de publicité

§  100Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au développement de la formation professionnelle continue

§  101Participation des employeurs occupant moins de 10 salariés au développement de la formation professionnelle continue

§  102Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au financement du congé individuel de formation des salariés (0,2 % des rémunérations)

§  103Taxe de séjour

§  104Financement des congés individuels de formation des salariés sous contrats à durée déterminée CIF-CDD (1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche)

§  105Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,15 % du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale

§  106Taxe d’apprentissage – versements aux centres de formation d’apprentis et aux établissements publics ou privés d’enseignement technologique et professionnel

§  107Taxe départementale sur les remontées mécaniques

§  108Taxe d’apprentissage – versements au titre de la péréquation

§  109Contribution au développement de l’apprentissage

§  110Taxe d’apprentissage

§  111Contribution pour le financement des contrats et périodes de professionnalisation et du droit individuel à la formation à 0,15 % et 0,5 %

§  112Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers

§  113Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle

§  114 Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, pour frais de chambres d’agriculture

§  115 Préciser le tarif de la chambre nationale de la bateliererie artisanale

§  116 Taxe pour frais de chambres des métiers et de l’artisanat

§  117 Taxe pour frais de chambres de commerce et d’industrie

§  118 Taxe spéciale d’équipement

§  119 Participation des employeurs à l’effort de construction (1 % logement)

§  120 Cotisation des employeurs (FNAL, Fonds national d’aide au logement)

§  121 Taxe annuelle sur les logements vacants

§  122 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province

§  123 Taxe sur les titulaires d’ouvrages de prise d’eau, rejet d’eau ou autres ouvrages hydrauliques destinés à prélever  ou à évacuer des volumes d’eau

§  124 Taxe d’aéroport

§  125 Contributions additionnelles aux primes ou cotisations afférentes à certaines conventions d’assurance

§  126 Taxes de protection des obtentions végétales

§  127 Taxe d’abattage (remplacée par une majoration de la CVO des éleveurs)

§  128 Taxe sur les céréales

§  129 Taxe au profit de France Agri Mer (anciennement affectée à l’Ofimer)

§  130 Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle, ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes

§  131 Majoration de 10 % du montant maximum du droit fixe de la taxe pour frais de chambres de métiers

§  132 Contribution annuelle des distributeurs d’énergie électrique en basse tension

§  133 Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois

§  134 Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure

§  135 Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table

§  136 Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et  consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques

§  137 Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction

§  138 Taxe pour le développement de l’industrie de la conservation des produits agricoles

§  139 Taxe pour le comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers

§  140 Droit annuel de francisation et de navigation en Corse; droit de passeport en Corse

§  141 Redevance due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente et saisonnière

§  142 Taxe applicable lors du Renouvellement des autorisations de travail aux travailleurs étrangers

§  143 Droits gradués des greffiers des tribunaux de commerce (inscription des privilèges et sûretés)

§  144 Contribution spéciale versée par les employeurs des étrangers sans autorisation de travail

§  145 Taxe perçue à l’occasion de la délivrance du premier titre de séjour

§  146 Taxes sur les primes d’assurance

§  147 Contribution au fonds national de gestion des risques en agriculture

§  148 TVA brute sur les produits pharmaceutiques (commerce de gros)

§  149 TVA brute sur les tabacs

§  150 Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés

§  151 Droits de consommation sur les tabacs (cigares)

§  152 Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France

§  153 Taxe sur les salaires

§  154 Taxes sur les nuisances sonores aéroportuaires

§  155 Taxes sur les primes d’assurance automobile

§  156 Contribution de solidarité sur les billets d’avion

§  157 Taxe affectée au Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes

§  158 Taxe perçue lors de la mise sur le marché de médicaments vétérinaires, ainsi qu’une taxe annuelle pour certaines autorisations ou enregistrements

§  159 Taxe pour l’évaluation et le contrôle de la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et à leurs adjuvants mentionnés à l’article L. 253-1 du code rural et de la pêche maritime et aux matières fertilisantes et supports de culture

§  160 Taxe applicable aux demandes de validation d’une attestation d’accueil

§  161 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en Île-de-France

§  162 Contribution sociale sur les bénéfices

§  163 Contribution pour frais de contrôle

§  164 Droits de timbre sur les passeports sécurisés

§  165 Taxe spéciale sur les huiles végétales, fluides ou concrètes, destinées à l’alimentation humaine

§  166 Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques

§  167 Taxe sur les spectacles

§  168 Taxe sur les spectacles de variétés

§  169 Taxe sur l’édition des ouvrages de librairie

§  170 Taxe sur les appareils de reproduction ou d’impression

§  171 Redevance d’archéologie préventive

§  172 Taxe additionnelle aux droits d’enregistrement et à la taxe de publicité foncière perçus au profit des départements

§  173 Redevances pour pollution de l’eau, modernisation des réseaux de collecte, pollutions diffuses, prélèvement sur la ressource en eau, stockage d’eau en période d’étiage, obstacle sur les cours d’eau et protection du milieu aquatique

§  174 Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés

§  175 Droit de francisation et de navigation

§  176 Taxe sur les boues d’épuration urbaines ou industrielles

§  177 Redevances biocides

§  178 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes

§  179 Taxe intérieure sur les consommations de gaz naturel

§  180 Taxe intérieure de consommation sur les houilles, lignites et cokes

§  181 Octroi de mer

§  182 Contribution sur la cession à un service de télévision des droits de diffusion de manifestations ou de compétitions sportives

§  183 Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes

§  184 Droit de sécurité

§  185 Cotisation pêche et milieux aquatiques

§  186 Redevances cynégétiques

§  187 Prélèvement sur le produit des primes ou cotisations additionnelles relatives à la garantie contre le risque de catastrophes naturelles

§  188 Taxe sur les installations nucléaires de base

§  189 Contribution perçue au profit de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES)

§  190 Taxe sur les résidences secondaires

§  191 Taxe spéciale d’équipement pour la région Île-de-France

§  192 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Recherche

§  193 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Accompagnement

§  194 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Diffusion technologique

§  195 Produits des jeux exploités par la Française des Jeux

§  196 Taxe annuelle d’habitation sur les résidences mobiles terrestres

§  197 Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabacs

§  198 Contribution sociale sur les bénéfices

§  199 TVA brute collectée sur les producteurs de boissons alcoolisées

§  200 Taxe sur les appareils automatiques

§  201 Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée

§  202 Taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché

§  203 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux mis sur le marché français

§  204 Droit progressif sur les demandes d’autorisation de mise sur le marché de médicaments

§  205 Taxe annuelle due par tout laboratoire public ou privé d’analyses de biologie médicale (CNQ)

§  206 Taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale (taxe essais cliniques)

§  207 Taxe additionnelle à la taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale

§  208 Taxe sur les demandes de visa ou de renouvèlement de visa de publicité et les dépôts de publicité pharmaceutique

§  209 Droit sur les inspections menées en vue de la délivrance du certificat de conformité mentionné à l’article L 5138-4 du code de la santé publique

§  210 Contribution forfaitaire due par les employeurs de main-d’œuvre permanente

§  211 Droits fixes des greffiers des tribunaux de commerce

§  212 Contribution de solidarité en faveur des travailleurs privés d’emploi

§  213 Taxe de Renouvellement (et fourniture de duplicatas) du titre de séjour

§  214 Taxe applicable aux documents de circulation pour étrangers mineurs

§  215 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente

§  216 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère temporaire

§  217 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère saisonnière

§  218 Taxe sur le prix des entrées aux séances organisées dans les établissements de spectacles cinématographiques

§  219 Taxe sur les services de télévision

§  220 Taxe sur les ventes et les locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (taxe vidéo et VOD)

§  221 Taxe et prélèvements spéciaux au titre des films pornographiques ou d’incitation à la violence

§  222 Taxe sur les contributions patronales au financement de la prévoyance complémentaire

§  223 Contribution des organismes de protection sociale complémentaire à la couverture universelle complémentaire du risque maladie

§  224 Contribution solidarité autonomie

§  225 Contribution sur les avantages de préretraite d’entreprise

§  226 Contribution sur les indemnités de mise à la retraite

§  227 Contributions patronales et salariales sur les attributions d’options (stock-options)de souscription ou d’achat des actions et sur les attributions gratuites

§  228 Taxe portant sur les quantités de farines, semoules et gruaux de blé tendre livrées ou mises en œuvre en vue de la consommation humaine

§  229 Contribution annuelle au Fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH)

§  230 Contribution des employeurs publics au Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP)

§  231 Contributions additionnelles de 1,1 % au prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et produits de placements

§  232 Contribution sur les régimes de retraite conditionnant la constitution de droits à prestations à l’achèvement de la carrière du bénéficiaire dans l’entreprise

§  233 Taxe d’équipement

§  234 Droits de consommation sur les tabacs (autre tabacs à fumer)

§  235 Taxe sur les véhicules de société

§  236 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers de la Moselle

§  237 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers d’Alsace

§  238 Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules

§  239 Droits de consommation sur les tabacs (cigarettes)

§  240 Taxe additionnelle à la taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché (AMM)

§  241 Droit progressif sur l’enregistrement des produits homéopathiques

§  242 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux et sur les dispositifs médicaux de diagnostic « in vitro » mis sur le marché français

§  243 Enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes

§  244 Contribution visée au II de l’article 8 de l’ordonnance no 2003-1213 du 18 décembre 2003

§  245 Majoration de la taxe de séjour pour les logements haut de gamme

§  246 Taxe de voirie

§  247 Taxe sur les ventes et locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (TCA)

§  248 Péréquation entre organismes de logement social

§  249 Contribution sur les mises jouées sur les paris sportifs en ligne de la Française des jeux et des nouveaux opérateurs agréés

§  250 Redevance destinée à financer les missions de service public confiées aux sociétés de courses

§  251 Prélèvement affecté au Centre des monuments nationaux

§  252 Taxe sur les jeux en ligne.

LES EXILES
Qui va payer les impôts en France ???
Marion Bartoli réside en Suisse
Julien Benneteau réside en Suisse
Arnaud Boetsch réside en Suisse
Arnaud Clément réside en Suisse
Nicolas Escudé réside en Suisse
Guy Forget réside en Suisse
Richard Gasquet réside en Suisse
Henri Leconte réside en Suisse
Sébastien Loeb réside en Suisse
Paul-Henri Mathieu réside en Suisse
Gaël Monfils réside en Suisse
Christophe Moreau réside en Suisse
Amélie Mauresmo réside en Suisse
Stéphane Peterhansel réside en Suisse
Cédric Pioline réside en Suisse
Alain Prost réside en Suisse
Gilles Simon réside en Suisse
Wilfried Tsonga réside en Suisse
Vincent Rives réside en Irlande
Jean-Philippe Gatien réside aux USA
Artistes : Chanteurs
Sylvie Vartan réside aux USA
David Hallyday réside en Suisse
Patricia Kaas réside en Suisse
Florent Pagny réside en Argentine
Michel Polnareff, réside aux USA
Marie Laforêt réside en suisse
Renaud réside à Londres
Yannick Noah a résidé aux USA maintenant dans les yvelines
Acteurs
Alexandra Lamy en Angleterre
Daniel Auteuil réside en Belgique
Emmanuelle Béart réside en Belgique ( la donneuse de leçons pour les “sans papiers en France”!)
Lætitia Casta réside en Angleterre
José Garcia réside en Belgique
David Habibi réside au Canada
Alain Delon, nationalité Suisse
Gerard Depardieu nationalité Russe

Patrons et Actionnaires
Jacques Badin (Carrefour) &n bsp réside en Belgique
Thomas Bata (chaussures Bata) réside en Suisse
Famille Baud (dont Jean Baud), (Franprix/Leader Price, 2 à 3 mds de CHF) réside en Suisse.
Lotfi Belhassine, président d’Air Liberté réside en Belgique.Il a fui la France car l’ISF représentait 93% de ses revenus.
Claude Berda, AB Groupe réside en Suisse
Des membres de la famille Bich (Groupe Bic) résident en Suisse
Michèle Bleustein-Blanchet, Publicis/span réside en Suisse
Corinne Bouygues réside en Suisse
Pierre Castel, PDG du groupe Castel Frères propriétaire des eaux Cristalline, Vichy Célestins et Saint-Yorre réside en Suisse.
Des membres de la famille Mulliez (propriétaire de Auchan, Décathlon, Mondial Moquette, Norauto et Kiabi) résident en Belgique.
Georges Cohen, informatique et armement réside en Suisse
Bernard Darty, fondateur de Darty réside en Belgique
Jean-Louis David, salons de coiffure réside en Suisse
Membres de la famille Defforey , Carrefour réside en Belgique.
Membres de la famille Despature (dont Paul-Georges Despature), propriétaire des marques Damart et Somfy, réside en Suisse et en Belgique.
Paul Dubrulle, quo-créateur du Groupe Accor et ancien sénateur-maire de Fontainebleau réside en Suisse.
Des membres de la famille Ducros réside en Suisse
Pierre-François Grimaldi (i Bazar) réside en Belgique
Éric Guerlain réside en Angleterre
Daniel Hechter, créateur réside en Suisse
Philippe Hersant, groupe Hersant réside en Belgique
Philippe Jaffré, ancien président d’Elf réside en Suisse
Robert Louis-Dreyfus réside en Suisse.
Membres de la famille Mimram résident en Suisse et à Monaco
Des membres de la famille Nonancourt , propriétaire des champagnes Laurent-Perrier résident en Suisse.
Denis Payre, fondateur de Business Objects réside en Belgique ou il a démarré une nouvelle société, Kiala, qui a embauché 100 personnes
Membres de la famille Peugeot réside en Suisse
Jean Pigozzi, héritier des voitures Simca réside en Suisse
Michel Reybier, ancien PDG de Justin Bridou réside en Suisse
Jacques Tajan, commissaire-priseur réside en Belgique
Membres de la famille Wertheimer , Chanel réside en Suisse
Antoine Zacharias, ancien PDG de Vinci réside en Suisse
Alain Ducasse, cuisinier, a troqué sa nationalité française pour rejoindre Monaco
Auteurs :
Christian Jacq réside en Suisse
Marc Lévy réside au Royaume-Uni
Michel Houellebecq réside en Espagne

https://temoignagefiscal.com/wp-admin/post.php?post=6580&action=edit

CETTE LISTE N’EST CERTAINEMENT PAS FERMEE ET DES NOMS SE RAJOUTENT CHAQUE JOUR …

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Salaires et rémunérations de quelques hauts fonctionnaires La France, ce grand pays ! Par Yves Buchsenschutz,

Nous ne résistons pas au plaisir de relayer la diffusion de ce panorama (non exhaustif) des « sinécures » de la haute fonction publique répertoriée dans une publication de Contribuables Associés, à laquelle nous l’empruntons et qui vous aura peut-être échappé. C’est impressionnant et laisse clairement apparaître que des économies sont possibles sans changer le moins du monde la « production » de la fonction publique.

Les « Ambassadeurs Thématiques » … !

Ils sont actuellement au nombre de 28, le montant réel de leurs indemnités est secret – et pourquoi donc ? ( vraisemblablement du même ordre que celui de Ségolène ROYAL (17.500 euros/mois) )

● Ségolène ROYAL Ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles Arctique et Antarctique (Il faut le trouver… !)

Mais aussi :
● François Croquette, Ambassadeur pour les droits de l’Homme chargé de la dimension internationale de la Shoah, des spoliations et du devoir de mémoire ;
● Xavier Sticker, Ambassadeur délégué à l’environnement ;
● Nicolas Galey, Ambassadeur, délégué interministériel à la Méditerranée ;
● Luc Hallade, Ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone de l’Océan Indien ;
● Maxime Lefèbvre, Ambassadeur pour les commissions intergouvernementales, la coopération et les questions frontalières ;
● Brigitte Collet, Ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique pour les énergies renouvelables et la prévention des risques climatiques ;
● Stéphane Visconti, Ambassadeur pour le partenariat oriental de l’Union européenne et de la Mer Noire, co-président du groupe de Minsk ;
● Odile Roussel, Ambassadrice chargée de l’adoption internationale ;
● Jean-Bernard Nilam, Ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone Antilles-Guyane ;
● Michèle Boccoz, Ambassadrice chargée de la lutte contre le VIH-SIDA et les maladies transmissibles ;
● Patrick Maisonnave, Ambassadeur chargé de la stratégie internationale en matière de lutte contre le terrorisme.
● La sénatrice UDI Nathalie Goulet, interrogée par l’émission Pièces à conviction sur France 3 : “Ces « emplois » sont l’expression d’un « véritable copinage aux frais des contribuables » … “ Et pourtant, en tant que Sénatrice elle sait de quoi elle parle, parce qu’au SENAT … Demandez aux jardiniers, aux chauffeurs, et aux agents d’entretien à 6.000 euros par mois.

Passons à des jobs plus traditionnels : quelques autres gagnants …

● Directeur/Président de la Cnil, 160.000 euros annuels ;
● Directeur/Président du CSA, 188.000 euros annuels ;
● François VILLEROY de GALAU, Gouverneur de le Banque de France 37.580 euros par mois + indemnité logement 5.643 euros par mois ;
● Les deux sous-gouverneurs ont touché 223.255 euros en 2016 ;
● Bruno LASSERRE, Vice-Président du Conseil d’Etat, 65 ans, et toujours en activité (si l’on peut dire…) touche 16.170 euros chaque mois ;
● Isabelle Falque-Pierrotin qui perçoit 160.891 euros annuels en tant que présidente de la CNIL ;
● Robert OPHELE, Président de l’Autorité des marchés financiers avec un salaire annuel de 238.735 euros ;
● Isabelle SILVA, Présidente de l’autorité de la concurrence : 14.000 euros par mois ;
● Thierry DALARD, Président de la société du Grand Paris : 17.000 euros/mois ;
● Etienne CREPON, Président du centre technique du bâtiment : 16.330 euros/mois ;
● Philippe NICOLA directeur du Centre national de la chanson, des variétés et du jazz : 12.000 euros/mois ;
● Jean pierre GENELAY, Directeur général de l’AFPA : 16.230 euros/mois.

Autre catégorie intéressante :

● Les énarques de BERCY : Ils sont 600… Vous avez bien lu : 600 hauts fonctionnaires de BERCY qui touchent un salaire supérieur à 15.000 euros par mois (et certains beaucoup plus …) ;
● Sylvie HUBLAC, Présidente de la réunion des musées Grand Palais : 16.000 euros/mois ;
● Christophe LECOURTIER chargé de promouvoir l’internationalisation de l’économie Française : 16.000 euros/mois ;
● Arnaud LEROY, Président de l’ADEME : 15.830 euros/mois ;
● Laurent VALLET, Président de l’INA 15.400 euros/mois ;
● Olivier KLEIN, Président de l’Agence de Rénovation Urbaine 14.290 euros/mois ;
● Chantal JOUANNO, Présidente de la commission de débat public 14.666/mois (A la une, il y a quelques jours) ;
● Le Directeur régional des finances publiques d’Ile-de-France : 21.290 euros nets par mois ;
● Le Secrétaire général du ministère des Finances : 15.710 euros nets par mois ;
● Le Vice-président du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies (CGEIET), patron du Corps des Mines : 14.200 euros par mois ;
● Le Chef de l’Inspection générale des finances (IGF) : 12.955 euros nets par mois ;
● Le Président du domaine de Chambord, Mr Augustin de Romanet : 450.473 €/an en tant que PDG de ADP ;
● Le Directeur général de CNP Assurances. En 2016 Frédéric LAVENIR a touché une rémunération de 450.000 € ;
● Le PDG de la Monnaie de Paris (en déficit de plus de 20 millions d’euros) ;
● Président de l’Institut du monde arabe (déficit de 3 millions/an), Jack LANG : 120.000 euros par an ;
● Vice-président du Conseil d’Etat : 16.170 euros nets ;
● Président de l’Autorité de la concurrence : 14.800 euros nets ;
● Premier président de la Cour des comptes : 14.750 euros nets ;
● Directeur de l’Agence Régionale de Santé d’Ile de France : 16.700 à 17.500 euros bruts ;
● Président de la Société du Grand Paris (SGP) : 17.000 euros bruts ;
● Directeur général de Sciences-Po Paris : 16.670 euros bruts ;
● Président du Centre scientifique et technique du bâtiment : 16.330 euros bruts ;
● Directeur général de l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA) : 16.230 euros bruts ;
● Président de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais : 16.000 euros bruts ;
● Directeur général de Business France : 16.000 euros bruts.

à quoi s’ajoutent le plus souvent des frais et avantages professionnels.

Penchons-nous maintenant sur les ambassadeurs :

● Tous les ambassadeurs touchent plus de 15.000 euros par mois, logés, chauffés, nourris, chauffeur, etc.
● L’Ambassadeur en Afghanistan touche (poste dangereux) 348.000 euros/an soit 29.000 euros par mois ;
● Celui du Yémen 23.000 euros /mois.

Autres catégories bien traitées :

● Un trésorier-payeur général (responsable départemental du Trésor public). Il y a 1 TPG par département, qui gagne en moyenne 200.000 euros par an.
● Les préfets : Ils sont au nombre de 250 !!! Responsable de l’ordre public sur un territoire. Dépositaire de l’autorité de l’Etat dans son département. Après 2 ans d’activité on est « Préfet à vie »
Mais seuls 127 préfets sont affectés à un « poste territorial » et les autres ne sont rattachés à aucun territoire, et sont « préfets hors cadre » mais conservent les avantages de la fonction… : 8.000 euros de salaire par mois en moyenne …
Plus, d’après Le Parisien : “Si tous les « objectifs » sont atteints, la prime peut alors atteindre la modique somme de 41.000 € pour un sous-préfet et 66.000 € pour un préfet”, précise le quotidien.
SUR LE WEB:  https://entrepreneurs-pour-la-france.org/Edito/article/Salaires-et-remunerations-de-quelques-hauts-fonctionnaires

 

Et aussi: les hauts fonctionnaires de Bercy qui nous pillient sans vergogne.
https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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